Book 2 Anais AUDOU

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AUDOU ANAIS


Anais AUDOU

06.48.12.19.59 (mobile) 02.37.82.77.97 (maison) anais.audou2@hotmail.fr 9, chemin des beurriers 28210 SENANTES FRANCE 19 ans, Titulaire du permis B

ETUDES

DIPLOMES

- 2015/ 2016 : Deuxième année de BTS design d’espace au Lycée Camille Claudel de Vauréal (95).

- Brevet des collège mention “assez bien”.

- 2014/ 2015 : Première année de BTS design d’espace au lycée Camille Claudel de Vauréal (95). - 2013/ 2014 : Terminale en arts appliqués au Lycée Edouard Branly de Dreux (28). - 2012/ 2013 : Première en arts appliqués au Lycée Edouard Branly de Dreux (28). - 2011/ 2012 : Seconde en création et culture design au Lycée Edouard Branly de Dreux (28).

EXPERIENCES - Janvier 2014 : Stage de deux jours chez Optimium Architecture intérieure-design (1 rue Sadi Carnot, 92120 MONTROUGE) avec une participation à un projet. - Participation à un projet confidentiel d’entreprise en design d’objet. - Partenariat avec le site archéologique du Val d’Oise (projet de micro-architecture). - Partenariat avec la Maison des Arts de Vauréal (projet d’architecture d’intérieure). - Partenariat avec le Théâtre de L’Apostrophe (projet de scénographie). - Juin 2015 : Stage d’un mois chez SBBT Architecture ( 1 Allée des Atlantes, 28000 CHARTRES) avec une participation à certains projets. - Membre du comité de la Petite galerie (galerie d’exposition au Lycée Camille Claudel) Chargé du graphisme et de la communication.

- Baccalauréat STD2A mention “assez bien”.

COMPETENCES Anglais lu, écrit et parlé

Sketchup

Microsoft Word

CENTRES D’INTERETS

Illustrator, InDesign et Photoshop

Autocad

Microsoft Power Point



La Mare de l’Hautil, Triel-sur-Seine, 78 Projet de paysage - septembre 2015 La contemplation est une application de l’esprit à voir et observer certaines réalités d’un espace. Ici on observe la mare et son environnement. On suit un sentier défini, on y reste. On contourne la mare qui opère comme une attraction. Quand on quitte le chemin, quand on se détache de la mare, on explore les bois, on remarque la diversité végétale, on comprend le lieu. C’est en l’explorant et en voulant le comprendre, que j’ai constaté qu’il présentait une double identité. Un côté artificiel, par sa création orchestrer par l’Homme, et un aspect naturel, puisqu’au fil du temps la nature à repris ses droits et a réinvesti ce lieu, en le modifiant, en le restructurant. Suite à cela, je voudrais que les gens explorent davantage le site, qu’ils puissent le découvrir ou le redécouvrir. Les structures pour pique-niquer seront faîtes de miroirs où l’environnement s’y reflètera. De ce fait, une harmonie et une interaction s’installera entre le site et la micro architecture.

3.23 M

2.93 M

6.71 M

3.42 M 4.42 M





Concour construir’Acier - Octobre 2015

0.35

1.25

Avec sa partie coulissante elle apporte deux manière différentes de l’utiliser, et de l’appréhender. Le cuisinier peut avoir un acccès direct visuel, auditif et physique avec l’extérieur et le public à une relation immédiate avec la cuisine. Alors que dans le deuxième cas, il se retrouve plus isolé et est dans une véritable enceinte de cuisine, les clients eux se retrouvent dans une zone d’accueil qui rappelle une salle de restaurant. Elle a deux caractères en fonction de deux domaines culinaires différents : le snack et la restaurant.

2.36

La rue de Bourgogne à Orléans a une appartenance collective de part ses activités et fréquentations. Elle réunit tout type de personnes, de tout âge, de tout milieu et créer un espace de pluripersonnalité. Pendant la fête de la musique, tout est plus fort, tout est accentuer et le partage est encore plus présent. Le but est alors de créer une cuisine collective qui réunirait non seulement les usagers mais aussi ceux qui font vivre cette rue. Les restaurateurs contribueront au fonctionnement et s’occuperont de la cuisine, ce qui apporte un double regard collectif par son fonctionnement d’utilisation d’un groupe de commerçants et par le principe de rassemblement qu’elle va engendrer. Le Cub’à emporter va également redonner une fonction à une façade de commerce qui est fermée et ramènera ainsi une valeur commercante au bâtiment.Les cubes de réserves sont fait dans ce même principe de mobilité.



ONKALO Projet de scénographie - janvier 2016 Le récit se divise en trois tableaux, illustrants chacuns une étape de la relation qu’entretient l’Humain avec sa création, cette puissance régissant l’univers qu’il maitrise alors, l’énergie atomique. Le premier acte présente la découverte de la matière radiocative; la fascination qu’elle engendre est l’object d’une véritable célébration. Des rites, aux tendances mystiques s’organisent autour d’elle. Dans un second temps, l’entitée sacralisé semble se développer, prend de l’ampleur, indépendamment à volonté de son créateur. Rupture. La matière, auparavant vecteur d’enthousiasme et d’espoir révèle sa monstruosité. Elle impose sa suprématie sur son créateur qui ne prend que trop tardivment conscience de sa dangerosité. Nonobstant les tentatives de le contenir, à l’instar de Dédale élaborant les plans du labyrinthe afin d’y enfouir le Minotaure, les humains confirment leur impuissance face à une situation aux issues tragiques. Dans un tableau final, est donné à la vue un paysage de désolation vide de toute présence humaine. L’ère de l’humanité est définitivement résolue, mais la réprésentation continue... Le monstre suscite la crainte par sa cruauté, sa perversion et est remarquable par la terreur qu’il inspire. Notre scénographie présente un monstre caractérisé par son immatérialité, sa présence sur scène s’exprimera par une source lumineuse, différement diffractée au cours de l’intrigue, ainsi que par une sonorité distinctive qui occupera l’espace à différentes échelles afin d’en traduire les mutations. Compréhensible, ordonné et rationnel dans un premier temps, le monstre marquera son aspect incontrolable et effrayant par une lumière forte, agressive couplée d’un son aliénant. Aussi dans une première partie, la chorégraphie visera à traduire la fascination, la sérenité ainsi que le sentiment de maîtrise des choses. Puis, les protagonistes adoperons une attitude passive, ne faisant alors que subir les caprices du monstre avant de succomber à son hégémonie.



La petite galerie

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Un coin de chambre Au 1er étage du CDI aux heures d’ouvertures

Vernissage

Le 18 février à 18h h



Portraits sérigraphiés Eva Largo

Du 22 au 29 Mars 2016 Au 1er étage du CDI

h



« Limites et frontières »



La disparition La disparition peut évoquer le passage d’un état à un autre qui engendre un changement définitif. A la suite de mes expérimentations, je me suis interrogée sur les paysages qui disparaissent à cause de l’Homme. En effet, l’évolution constante et les progrès humains ont des répercutions considérables sur l’environnement. On peut parler du réchauffement climatique qui provoque la fonte des glaciers mais qui engendre la montée des eaux qui à leur tour font disparaître des îles. Les paysages détruits pour laisser place à des constructions sont de plus en plus nombreux, que ce soit dans le milieu urbain ou rural. Mon projet est de montrer cette disparition progressive d’un paysage fait en linogravure par l’accumulation de couches de calques. Le paysage ne disparaît pas complètement car ses racines restent présentes malgré qu’en surface il ne soit plus présent.





« Série de croquis »



L’innéfable mise en espace d’une chanson

Ma musique est Rivers Flow In You de Yiruma. Elle est douce, harmonieuse, fluide et légère. A son écoute je vois la mer, les vagues qui ondulent et qui se forment sous le vent. Je revois des lieux de vacances, où l’on se sent apaisé, nostalgique, et de bonne humeur. Les rythmes varient, comme la mer, elle est enivrante comme l’odeur de l’air marin, elle nous englobe comme le bruit des vagues. J’ai donc travaillé sur des paysages marins d’après mes souvenirs de vacances, j’ai expérimenté différentes manière de représentation à travers la gravure et la linogravure. J’en ai finalement sélectionné un qui me semblait être le plus proche entre ce que je ressentais à l’écoute de la musique et à la vision de ce paysage. Je l’ai dessiné comme une partition, puis je l’ai retravaillé pour lui donner un rythme, en jouant sur les variations d’une vague selon l’intensité de la musique. Ces vagues forment le paysage et donnent vie à la musique.





Série de portraits Changer la perception d’un visage à travers les couleurs.





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