Lettre Express Octobre 2010

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Lettre Express Octobre 2010

Rencontre
des
APE/comités
de
gestion
d’Asie
à
Bangkok
le
6
novembre L’APE du lycée Français International de Bangkok, le président du conseil de gestion de Shanghaï, en liaison avec la FAPEE, invitent

Toutes
les
APE
GESTIONNAIRES
ET
NON
GESTIONNAIRES
de
la
zone
 à une réflexion stratégique et à un échange de bonnes pratiques

Agenda de la FAPEE : • 28 septembre 2010 : ENTRETIEN AVEC PHILIPPE GUSTIN, CHEF DE CABINET DE LUC CHÂTEL, MINISTRE DE L’EDUCATION NATIONALE • 14-15 octobre 2010 : CONGRÈS DES SECTIONS INTERNATIONALES à Sèvres • 6 novembre 2010 : RENCONTRE DES APE/ COMITÉS DE GESTION D’ASIE À BANGKOK • 10 novembre 2010 : AUDITION DE LA FAPEE PAR LA CONFÉRENCE NATIONALE SUR LES RYTHMES SCOLAIRES • 25 novembre 2010 : CONSEIL D’ADMINISTRATION DE L’AEFE. Faites-nous connaître vos sujets. • 11 décembre 2010 : ETATS GÉNÉRAUX DE L’ENSEIGNEMENT DE L’ARABE DANS LE RÉSEAU à CASABLANCA:Toutes les APE des établissements où l’arabe est enseigné sont invitées à y participer. • 15-16 décembre 2010 : COMMISSION NATIONALE DES BOURSES Merci de nous renvoyer le questionnaire sur votre CLB si vous souhaitez que certains dossiers y soient réétudiés.

Pilotage éducatif dans le réseau La FAPEE souhaite faire entendre le point de vue des parents en demandant la mise en place d’une instance consultative de concertation . Cette instance réunirait des représentants de l’administration, des enseignants et des parents..

Point de vue des parents

M. Joseph, chef du secteur Asie, M. NGuyen, coordonnateur de la zone, participeront à cet échange.

Mise en place des réformes de l’Education Nationale dans le réseau,adaptation des enseignements et de l’organisation éducative au contexte local, enseignement des langues, livret personnel de l’élève, évaluations en conformité avec la mise en place du socle commun, orientation postbac, remise à plat de la circulaire Vie scolaire de 2008 ... autant de sujets pédagogiques et éducatifs que les parents de la FAPEE souhaiteraient aborder avec l’AEFE. Aujourd’hui, seul existe le conseil d’administration, instance décisionnaire, réuni 3 fois par an. Chaque CA croule sous le poids d’un ordre du jour pléthorique, souvent à caractère administratif et financier. Lorsque l’on arrive enfin aux questions diverses, seul moment où l’on peut interroger l’Agence sur un certain nombre de points ayant trait à la pédagogie, le CA siège depuis plusieurs heures, tout le monde est fatigué, et nos questions ne sont pas ou mal traitées. Pour répondre à l’insatisfaction que ressentent nombre de parents devant des applications intempestives de réformes hexagonales il nous semble important de demander à l’Agence un nouveau mode de pilotage éducatif qui fasse une place à la concertation et à la discussion en réunissant personnels de direction, enseignants ET parents. Si on avait pris en amont l’avis des parents, sans doute que l’application de la réforme des horaires du primaire n’aurait pas été celle que nous avons subie... Isabelle TARDE

FAPEE - 101, boulevard Raspail - 75006 Paris (France) - Tél. : 33 1 45 44 08 49 – Site : www.fapee.com - Courriel : info@fapee.com


Résultats du bac 2010

Total

Données AEFE

2009

2010

Présentés

Reçus

%

Présentés

Reçus

%

11990

11285

94,12

12731

11990

94,18

2010

Présentés

Reçus

%

Présentés

Reçus

%

Afrique

5223

4748

90,9

5767

5294

91,8

Amérique

1743

1711

98,2

1402

1367

97,5

Asie Océanie

2569

2440

95

2805

2630

93,8

Europe

2455

2386

97,2

2757

2699

97,9

Total

11990

11285

94

12731

11990

95,25

Résultats par continents

Information parents

2009

L'ORIENTATION DES ÉLÈVES DES LYCÉES FRANÇAIS DE L'ÉTRANGER (Données AEFE) L'analyse du devenir des élèves des lycées français de l'étranger s'appuie sur deux sources. • La première est l'enquête orientation menée par l'Agence auprès des établissements (EGD, conventionnés et homologués). Les établissements font remonter le devenir de leurs élèves de terminales à la rentrée suivante après enquête auprès d'eux. Ces données sont déclaratives et pour la promotion 2008/2009, 60% des établissements scolarisant des élèves en terminale ont fait connaître leurs chiffres. L'enquête concernant la promotion 2009/2010 s era menée en décembre 2010/janvier 2011. • La seconde est la base de données de l'application www.admission-postbac.fr qui permet de connaître les résultats de l'affectation dans l'enseignement supérieur français pour la campagne de 2010. En effet, depuis deux années, les élèves des lycées français de l'étranger connaissent les mêmes procédures d'inscription dans l'enseignement supérieur que les lycéens du territoire français sur le portail unique national www.admission-postbac.fr (plus de 9000 formations). Cette application permet deconnaître très précisément et de manière exhaustive le nombre de candidats ayant émis des voeux, obtenu une proposition d'admission et accepté une proposition d'admission. Le nombre d'inscrits effectif peut être connu pour les filières enseignées en lycée, cette donnée est encore difficile à obtenir pour les universités notamment. 1 L'enquête orientation : devenir des terminales de 2008/2009 Les 141 établissements ayant répondu à l'enquête ont déclaré 12 069 candidats ayant obtenu le baccalauréat.1 Parmi ces bacheliers, • 45% seraient inscrits dans l'enseignement supérieur en France • 35% seraient inscrits dans l'enseignement supérieur du pays du lycée d'origine • 20% seraient inscrits dans l'enseignement supérieur d'un pays tiers (dont 4% au Canada, 3% aux États-Unis d'Amérique et 1,5% au Royaume Uni)

En 2008/2009, 229 établissements liés à l'AEFE scolarisaient 13870 élèves en classe de terminale. 2 Les données d'Admission-postbac (APB) – bilan de l'affectation 2010 Le nombre d'élèves en terminale dans un établissement français de l'étranger, candidats à Admission-postbac est passé entre 2009 et 2010 de 8053 à 8471. La procédure APB permet à nos lycéens candidats à une formation d'enseignement supérieur en France d'intégrer une formation d'enseignement supérieur en France en proportion sensiblement proche à l'ensemble des candidats des académies de France. Les statistiques d'inscription issues des données enregistrées dans www.admission-postbac.fr confirment les observations déjà faites l'an dernier. Les projets d'orientation des élèves des lycées français de l'étranger sont qualitativement spécifiques avec des voeux qui se portent majoritairement sur des filières d'excellence longues : l'université pour 67% d'entre eux, les classes préparatoires aux grandes écoles pour 18% et les écoles d'ingénieurs après bac pour 7%. Moins de 10% sont candidats à des filières sélectives courtes (Bac+2) contre plus de 20% pour le total des candidats APB.2 La qualité des dossiers des lycéens du réseau AEFE est un atout de poids pour leur réussite dans les épreuves de sélection des grandes écoles françaises.

Métier de parent : participez à notre grande enquête auprès de toutes les associations de parents

FAPEE - 101, boulevard Raspail - 75006 Paris (France) - Tél. : 33 1 45 44 08 49 – Site : www.fapee.com - Courriel : info@fapee.com


Information parents

FÉDÉRATION DES ASSOCIATIONS DE PARENTS D'ÉLÈVES DES ÉTABLISSEMENTS D'ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L'ÉTRANGER

RÉSULTATS DU BAC (DONNÉES MISSION LAÏQUE FRANCAISE)

Inauguration du lycée Français Paul Gauguin de Panamá (14 octobre) Inauguration des nouveaux locaux du lycée français international de Singapour (20 octobre)

Elections des représentants de parents d’élèves: Quel établissement a mis en place le vote électronique? Faites-nous part de votre expérience.

Commission nationale des Bourses : Si vous avez des ques-

tions, une préoccupation sur un dossier, faites-nous en part. Nous siégeons à l CNB. Une questionnaire est à votre disposition sur notre site.

EVALUATION: non à l’ECHEC Scolaire ARTIFICIEL “lutte contre la constante macabre et pour une évaluation plus juste du travail des élèves et des étudiants par le contrat de confiance” La FAPEE est signataire de l’appel lancé par l’association de

Sous la pression de la société, les enseignants semblent obligés, pour être crédibles, de mettre un certain pourcentage de mauvaises notes, même dans les classes de bon niveau : une constante macabre en quelque sorte. Il s’agit d’un phénomène de société dont les enseignants ne sont évidemment pas les seuls responsables.

Quelques conséquences catastrophiques de ce dysfonctionnement ‣ Chaque examen est un concours déguisé. La lutte contre l’échec scolaire restera donc vaine. ‣ Échec injuste et artificiel de nombreux élèves qui, faisant partie des moins bons élèves d’une classe, ont une mauvaise note malgré leur travail et la compréhension des notions de base. ‣ Perte de confiance dans les rapports entre élèves et enseignants. ‣ Perte de confiance en soi des élèves français. ‣ Trop nombreux cours particuliers : il ne suffit pas de comprendre pour s’en sortir; il faut absolument éviter de faire partie du mauvais « tiers » de la classe. ‣ Mal-être des élèves français à l’école. À ce sujet, une récente enquête internationale PISA est particulièrement éloquente : sur 41 pays (250000 élèves interrogés), la France occupe la dernière place dans le domaine du bien-être à l’école. ‣ Baisse inquiétante du nombre d’étudiants dans les filières scientifiques. Plus précisément, la sélection des élèves s’appuie souvent sur leurs résultats en math et en physique (à une époque, c’est le latin qui jouait ce rôle). Par suite, ces disciplines, pourtant passionnantes, sont considérées comme trop difficiles.

Principal objectif : un système d’évaluation par contrat de confiance qui repose sur le principe de base selon lequel l’élève doit prendre conscience du fait que les efforts qu’il fournit ne sont pas vains, que

le travail est une valeur importante.

Lettre Express FAPEE - octobre 2010


FÉDÉRATION DES ASSOCIATIONS DE PARENTS D'ÉLÈVES DES ÉTABLISSEMENTS D'ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L'ÉTRANGER

Conduites à risques :

Information parents

Voir
 la
 Mission
 interministérielle
 de
 la
 lutte
 contre
 la
 drogue
et
la
toxicomanie:

http://www.drogues.gouv.fr http://www.lalettredelamildt.fr

PARENTS ÉLUS AU CONSEIL D’ÉTABLISSEMENT:

CE
SUR
QUOI
VOUS
DEVEZ
ÊTRE
VIGILANT: Dans le contexte particulier des établissements d’enseignement français à l’étranger, le service pédagogique a retenu les priorités suivantes : la mise en place du socle commun de connaissances et de compétences au primaire et au collège; la maîtrise de plusieurs langues : français, langue maternelle et langue du pays d’accueil, langues étrangères ; le développement du bi/plurilinguisme, des sections européennes, orientales et internationales (circulaire AEFE sur l’enseignement des langues vivantes n°2920 du 23-09-2004) ;

Revue de presse Politique éducative Le « plan de lutte » contre les absences non remplacées se précise « La continuité du service public impose que tout enseignant absent soit remplacé. » Tel est le principe qui prévaut à une note de service adressée aux recteurs d’académie, qui présente les différents leviers d’action pour améliorer le remplacement des courtes absences. Le texte a été publié au Bulletin officiel du 14 octobre. La note supprime de fait le délai de carence de quatorze jours, en suggérant que « l’intervention des moyens académiques actuellement consacrés au remplacement des plus longues absences ne doit pas être exclue » pour assurer des remplacements de courte durée. Cette mesure avait été annoncée par le ministre de l’éducation nationale en mars dernier, dans le cadre d’un plan contre les absences non remplacées (voir La Lettre n° 660). Parmi les autres leviers d’action, un vivier de contractuels doit être constitué, avec l’appui de Pôle emploi et des universités, afin de recruter des étudiants. Lettre de l’Education 18 octobre 2010

l’école maternelle ;

Enseignement supérieur

la continuité des enseignements (liaison GS-CP ; CM2-6ème, 3ème-seconde) ;

Classes prépa littéraires : vers un concours unique et plus de débouchés

les enseignements scientifiques ; l’aide et l’accompagnement personnalisés. La mise en œuvre de ces priorités doit traduire la recherche de l’excellence dans tous les enseignements par une formation renforcée des personnels et la mise en œuvre efficace de tous les dispositifs de personnalisation et d’individualisation des apprentissages.

➡CAS

PARTICULIER DES LANGUES:possibilité de regrouper les élèves en dehors de leur groupe classe selon les nécessités de leur progression déterminées par évaluation diagnostique. C’est ce qui va nous intéresser au premier chef pour le Réseau, où les performances des élèves dépendent parfois autant de leur environnement personnel que de la classe dans laquelle ils sont inscrits. Bien entendu, la distinction LV1/LV2 et parfois même LV3 disparaît d’elle-même ➡Avec la mise en place du nouveau lycée, les langues ne sont plus distinguées entre LV1, LV2, LV3 mais en fonction du niveau de l’élève. Les enseignements doivent se faire en groupe de compétences. (progressions plus personnalisées dans des groupes plus homogènes pour travailler à son rythme chacune des cinq activités langagières (compréhension de l’oral, expression orale en continu, interaction orale, compréhension de l’écrit et expression écrite)

COMPRENDRE ET AGIR

Peu à peu, une filière littéraire destinée aux meilleurs élèves se dessine dans l’enseignement supérieur. Valérie Pécresse, ministre de l’enseignement supérieur, a annoncé, le 3 septembre, l’élargissement de la banque d’épreuves littéraires (BEL) commune aux écoles normales supérieures et à de nombreux autres établissements. Un protocole d’accord devrait être signé entre les partenaires le 17 septembre, pour que la BEL soit effective dès 2011. Discutée depuis des mois (voir La Lettre n° 667), cette filière littéraire, hors université, offrira une variété de débouchés aux étudiants refoulés à l’entrée de Normale-Sup. Après une première année commune en hypokhâgne, les étudiants entreront en khâgne pour préparer les épreuves de la BEL. Selon leur réussite et leur choix, ils pourront intégrer l’une des écoles normales supérieures (ENS), un institut d’études politiques ou une école de commerce (31 leur sont accessibles, dont HEC, Essec et ESCP Europe). Les reçus pourront également choisir l’Ecole supérieure d’interprètes et de traducteurs (ESIT), l’Institut supérieur du management public et politique (Ismapp), l’Ecole des chartes ou le Celsa. Certes, les étudiants littéraires n’ayant pas trouvé place à Normale-Sup pouvaient déjà passer les épreuves d’entrée de ces établissements, mais « il fallait jongler avec les concours », fait-on remarquer dans l’entourage de Mme Pécresse. « Hypokhâgne et khâgne sont des fleurons négligés de notre système éducatif, regrette la ministre. Les très bons étudiants littéraires doivent pouvoir bénéficier de très bons débouchés. » Aujourd’hui, les ENS de Paris et de Lyon n’ont que 250 places à offrir à 5 000 khâgneux. Cependant, en favorisant l’orientation vers des écoles sélectives, le ministère prive les filières littéraires universitaires de très bons étudiants. Lettre de l’Education 13 septembre 2010

GUIDE DU PARENT D’ÉLÈVE DANS L’ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L’ÉTRANGER à télécharger sur le site www.fapee.com

Lettre Express FAPEE - octobre 2010


FÉDÉRATION DES ASSOCIATIONS DE PARENTS D'ÉLÈVES DES ÉTABLISSEMENTS D'ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L'ÉTRANGER Rythmes
scolaires
:
Luc
Chatel
en
visite
au
Danemark

Revue de presse

Dans
 le
 cadre
 de
 sa
 «
 conférence
 nationale
 sur
 les
 rythmes
 sco‐ laires
 »,
 lancée
 le
 7
 juin,
 Luc
 Chatel
s’est
 rendu
 en
 visite
 au
 Da‐ nemark
 le
 26
 août.
Le
 ministre
 de
 l’éducation
 nationale
 a
 trouvé
 dans
 ce
 pays
 de
 5
 500
 000
 habitants
 un
 système
 scolaire
 en
 pleine
 activité
 depuis
 déjà
 plusieurs
semaines,
 puisque
 la
 rentrée
 y
 était
 Tixée
 au
 11
 août.
 Le
 Danemark
 Tigure
 en
 Europe,
 avec
 l’Allemagne,
le
Liechtenstein
et
 les
Pays‐Bas,
parmi
la
minorité
 de
 pays
 où
 les
 vacances
 d’été
 sont
 particulièrement
 courtes
 :
 envi‐ ron
 six
 semaines,
 contre
 neuf
 en
 France.
 L’un
 des
buts
 de
 cette
 visite
 est
 de
 voir
 «
 comment
 mieux
 équilibrer
 l’année
 scolaire,
 a
 précisé
le
 ministre.
 En
France,
 nous
avons
 178
jours
de
 cours
 par
 an
dans
le
 secondaire,
 144
dans
le
 primaire.
Au
 Danemark,
 on
est
 autour
 de
 200
 jours.
 »
 Le
 résultat,
 outre
 cet
 étalement
 sur
 l’an‐ née,
 est
 que
 les
 journées
 scolaires
 y
sont
 plus
 courtes,
 d’autant
 que
 les
 semaines
 de
 classe
 durent
 5
 jours.
 La
 journée
 est
 aussi
 organisée
 différemment,
les
cours
 s’arrêtant
 à
 12
h
 ou
12
h
30
au
 niveau
 primaire,
 et
 à
 14
 h
 ou
 15
 h
 pour
 l’équivalent
 de
 notre
 collège.
Par
ailleurs,
 le
 Danemark
ignore
 la
 coupure
 primaire‐col‐ lège
 :
toute
 la
 scolarité
 obligatoire,
de
 6
à
 16
ans,
y
est
 accomplie
 dans
 la
 continuité
 au
 sein
 d’une
 «
 école
 fondamentale
 »
 dénom‐ mée
«
Folkeskole
 ».
Il
ne
s’agit
pas
pour
autant
 d’un
«
 modèle
type
 qu’il
faut
 reproduire
 »,
 a
 averti
M.
 Chatel.
 La
 conférence
 nationale
 sur
 les
 rythmes
 scolaires
 doit
 rendre
 un
 rapport
 d’étape
 en
 janvier
 2011,
 puis
un
 rapport
d’orientation
 mi‐mai,
 date
à
 laquelle
 il
est
 prévu
que
 soient
 présentées
 les
pistes
retenues.
La
Lettre
de
l’Education
30
août
2010

Enseignement
secondaire Collège
:
le
Haut
Conseil
de
l’éducation
bouscule
les
traditions

Technologies
éducatives Les
nouvelles
technologies
ont
un
impact
positif
sur
 les
apprentissages Les
nouvelles
technologies
ont
un
impact
incontestable
 sur
l’amélioration
de
la
motivation
des
élèves
et
leur
in‐ vestissement.
C’est
l’une
des
conclusions
du
rapport
d’Eu‐ ropean
Schoolnet,
«
Etude
de
l’impact
des
technologies
 dans
les
écoles
primaires
»,
rendu
public
en
juillet
der‐ nier.
Cette
étude
comparative
conTirme
le
modeste
rang
 de
la
France
parmi
les
pays
européens
:
avec
un
taux
de
 66
%
d’enseignants
qui
utilisent
l’ordinateur
en
classe,
la
 France
se
classe
21e
sur
27
pays
européens.
L’enquête
la
 classe
aux
côtés
de
la
Belgique,
du
Luxembourg
et
du
 Portugal,
parmi
les
pays
qui
ont
des
résultats
supérieurs
à
 la
moyenne
quant
aux
équipements,
mais
qui
utilisent
 peu
les
technologies
de
l’information
et
de
la
communica‐ tion
pour
l’éducation
(TICE).
Les
enseignants
français
se
 révèlent
moins
qualiTiés
que
leurs
voisins
européens
:
 avec
76
%
des
enseignants
du
primaire
qui
ont
une
bonne
 ou
une
très
bonne
maîtrise
des
TICE,
la
France
se
classe
 21e.
Elle
se
classe
19e
pour
l’usage
des
TICE
en
lecture
et
 écriture
et
26e
pour
l’apprentissage
des
langues
étrangè‐ res.
Le
rapport
regrette
qu’en
l’absence
d’études
scientiTi‐ ques,
il
reste
difTicile
de
mesurer
le
rôle
des
nouvelles
 technologies
sur
les
apprentissages.
Toutefois,
certaines
 études
existent
dans
les
pays
où
les
TICE
sont
très
répan‐ dues.
C’est
le
cas
en
Hongrie
où
l’on
a
constaté
un
effet
 très
positif
de
l’ordinateur
et
d’Internet
sur
les
élèves
 issus
de
cultures
différentes
et
dont
le
niveau
initial
est
 faible.
Au
Royaume‐Uni,
la
scolarisation
des
5‐7
ans
s’est
 nettement
améliorée
en
maths,
en
sciences
et
en
anglais.

Parent
 pauvre
 du
 système
 éducatif,
 le
 collège
 a
 fait
 l’objet
 du
 rapport
 annuel
du
Haut
Conseil
de
l’éducation,
remis
au
président
de
 la
Républi‐ que
le
 1er
octobre.
Les
«
 sages
»
du
HCE
recommandent
de
 transformer
 le
collège
en
«
école
du
socle
commun
». Passer
 du
 «
 collège
 unique
 »
 à
 l’«
 école
 du
 socle
 commun
 »
 :
 c’est
 ce
 que
 préconisent
les
neuf
«
sages
»
du
Haut
Conseil
 de
l’éducation
(HCE),
dans
un
rapport
remis
au
président
de
la
République
 le
1er
octo‐ bre.
Une
 recommandation
qui
s’inscrit
dans
la
droite
 ligne
de
la
 loi
d’orientation
sur
l’avenir
de
 l’école,
votée
 en
2005,
qui
crée
 cette
 instance
consultative
et
consacre
le
principe
selon
lequel
tous
les
élèves
doivent
avoir
acquis,
à
 la
 Tin
de
 leur
scolarité
obligatoire,
un
«
 socle
commun
de
connaissances
et
de
compétences
». «
 L’école
 du
socle
implique
un
nouveau
collège
»,
afTirme
 le
 HCE.
Nouvelles
pédagogies,
nouvelle
 gestion,
nouvelles
pratiques
profes‐ sionnelles.
Le
Haut
Conseil
 encourage
ainsi
le
décloisonnement
des
disciplines,
le
 travail
 en
groupes
de
 compétences,
l’enseignement
 d’une
«
culture
manuelle
et
technologique
»,
la
bivalence
 des
enseignants.
L’école
du
socle
 rime
aussi
avec
«
 autonomie
».
Le
 HCE
 re‐ commande
 que
«
tous
les
collèges
disposent
d’une
 certaine
latitude
 [au
moins
10
%
de
leur
dotation]
dans
la
 répartition
des
moyens
 qui
leur
sont
attribués
».
Les
principaux
 verraient
leur
marge
de
manœuvre
 accrue,
à
 l’image
 des
chefs
d’établissement
du
nouveau
 programme
«
Clair
»,
qui
recrutent
tous
leurs
personnels
(voir
La
Lettre
n°
676). EnTin,
le
HCE
ne
craint
pas
de
bouleverser
certaines
vaches
sacrées,
en
recommandant
que
le
service
des
enseignants
soit
revu
:
celui‐ ci
ne
doit
pas
«
uniquement
être
 déTini
par
un
nombre
d’heures
hebdomadaires
d’enseignement
devant
les
élèves
»,
mais
doit
«
 pren‐ dre
en
compte
la
diversité
des
missions
»
qui
leur
sont
 conTiées
:
 heures
de
cours,
travail
 en
 équipe,
soutien
scolaire
 et
 tutorat.
Cette
 nouvelle
 organisation
implique
un
allongement
 du
temps
de
 présence
 dans
l’établissement.
EnTin,
le
 rapport
ne
fait
pas
de
 cadeau
au
 gouvernement
en
insistant
sur
l’importance
de
la
formation
initiale
des
enseignants,
que
la
réforme
appliquée
à
cette
rentrée
 vient
de
 réduire,
 et
 sur
 la
 nécessité
 d’une
 «
 présence
 plus
 forte
 d’adultes
pour
encadrer
les
élèves
»,
alors
que
 le
 budget
2011
prévoit
de
nouvelles
suppressions
de
 postes. En
 réponse
 à
 ce
 rapport,
 Luc
 Chatel
 a
 déclaré
 qu’il
 ne
 souhaitait
 pas
 faire
 une
 grande
 réforme
 du
 col‐ lège
 d’ici
à
 2012,
mais
«
 on
 peut
 avancer
dans
deux
 directions
 :
 une
 plus
 grande
 personnalisation
 des
 enseignements
et
une
action
 sur
l’orientation
».
Par
 exemple,
 précise
 le
 ministre
 de
 l’éducation
 natio‐ nale,
 «
 on
 pourrait
 avoir
 un
 accompagnement
 au
 début
 du
collège,
 pour
les
15%
 d’élèves
entrés
avec
 de
 lourdes
 difTicultés
 sur
les
fondamentaux.
Cet
 ac‐ compagnement
pour
la
 lecture,
l’écriture
et
le
calcul
 pourrait
être
effectué
en
classe
de
6e
par
des
profes‐ seurs
des
écoles
».
Lettre
de
l’Education
4
octobre
2010

Lettre Express FAPEE - octobre 2010


FÉDÉRATION DES ASSOCIATIONS DE PARENTS D'ÉLÈVES DES ÉTABLISSEMENTS D'ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L'ÉTRANGER

Revue de presse

La
France
dépense
sans
compter
pour
ses
élites L'étudiant
d'une
grande
école
coûterait
3,4
 fois
plus
que
 celui
d'une
université Vous
 avez
 dit
 127
 527
 euros
 ?
 Selon
 Pierre
 Courtioux,
 chercheur
 au
 pôle
 économique
de
 l'Ecole
 des
 hautes
études
 commerciales
du
 Nord
 (Edhec),
c'est
 ce
 que
coûte
 chaque
 année
 à
la
 collectivité
 la
 formation
 d'un
 étudiant
 dans
 une
 "
 très
 grande
 "
 école
 d'ingénieurs.
 Soit
 3,4
 fois
plus
 que
 la
 dépense
 publique
 moyenne
 par
 étudiant
 à
 niveau
 de
 diplôme
équivalent.

Pour
 la
 collectivité,
 le
 coût
 des
 études
 supérieures
 est
 encore
 plus
 élevé
 si
l'on
prend
en
 compte
 le
 fait
 que
 certaines
écoles
rémunèrent
 leurs
 étudiants.
 Les
 normaliens,
 par
exemple,
 touchent
 1
 400
 euros
 net
 par
 mois
 pendant
 leur
 scolarité,
 ce
 qui
 peut
 paraître
 paradoxal
 quand
 on
 sait
 qu'ils
 appartiennent
 le
 plus
 souvent
 aux
 catégories
 sociales
 élevées.
 Les
 polytechniciens,
 eux,
 touchent
 700
 euros.
 Bien
 traités
 par
 l'enseignement
 supérieur,
 ils
 bénéTicient
 aussi
 d'un
 bon
 accueil
sur
 le
 marché
 du
 travail
 français.
 Pourtant,
 certains
 choisis‐ sent
de
partir
travailler
hors
de
nos
frontières. Passés
à
l'étranger Selon
 Stéphane
 Gregoir,
 directeur
du
 pôle
 de
 recherche
 en
 économie
 à
 l'Edhec,
 le
 problème
 est
 mécanique.
 Plus
 qu'une
 décision,
 c'est
 le
 résultat
 d'un
 enchaînement
 de
 faits.
 "
Beaucoup
d'élèves
 des
 grandes
écoles
 réali‐ sent
la
Tin
 de
 leurs
cursus
 à
l'étranger.
 Aux
 Etats‐Unis,
 par
exemple,
 les
entreprises
 sont
 en
lien
plus
direct
avec
les
universités
et
proposent
rapidement
 un
emploi
aux
 étudiants
français.
 Et
comme
les
nouveaux
 diplômés
 américains
doivent
 rembour‐ ser
 leurs
prêts
d'études,
les
 chefs
 d'entreprise
 sont
 habitués
 à
 proposer
 des
 salai‐ res
plus
élevés
qu'en
France.
"
Le
Monde
14
octobre
2010

Les
désarrois
de
l'élève
français Messieurs
 les
 Anglais,
 tirez
 les
 premiers
 !
 En
 l'occurrence,
 le
 sniper
 de
 Sa
 Gra‐ cieuse
Majesté
‐
 Peter
Gumbel
‐
est
un
ancien
grand
reporter
de
 Time
 Magazine
en
 France,
 devenu
 professeur
à
 l'école
 de
journalisme
 de
 Sciences
 Po
Paris.
Mais
il
est
 surtout
 le
 père
 de
 deux
 Tilles
 qui
 ont
 fait
 leur
scolarité
 dans
des
établissements
 fran‐ çais. C'est
 donc
en
 tant
 qu'utilisateur
 avisé
 qu'il
 critique
 notre
 système
 scolaire
 de
 l'intérieur,
 critique
 enrichie
 par
une
 enquête
 comparative
 hors
 du
 cadre
 hexagonal.
Il
n'est
 d'ailleurs
pas
inutile
 de
signaler
que,
 malgré
son
titre,
 l'essai
de
 Peter
 Gumbel
n'a
 rien
à
voir
avec
 les
brûlots
 qui
Tleurissent
 à
chaque
 rentrée
 scolaire
 et
 dont
les
auteurs,
 aveuglés
 par
 leur
 haine
 de
 l'école
 pour
 tous,
 c'est‐à‐dire
 de
 l'élève
 en
difTiculté,
 ont
 perdu
 tout
 sens
 du
 discerne‐ ment. Ici,
 au
 contraire,
 aTin
 d'améliorer
 les
 résultats
 de
 notre
 école,
 l'auteur
 plaide
 avec
 chaleur
 pour
plus
d'empathie
 à
 l'égard
 de
 l'élève
 et
 nous
 exhorte
 à
 mettre
 Tin
à
 la
 tyrannie
 de
 la
 note
 et
 à
 l'humiliation
dont
souffrent
les
 jeunes
Français,
victimes
au
quotidien
d'une
institution
qui
rabaisse
ceux
 qu'elle
 a
échoué
à
élever
(ceci
explique
cela). L'auteur
ne
compte
 plus
 les
paradoxes
d'un
 système
qui,
bien
que
 représentant
le
premier
budget
 de
 l'Etat,
laisse
 sortir
 chaque
 année
 130
000
 jeunes
 sans
diplôme
 ni
qualiTication.
D'un
pays
riche
en
 pionniers
 de
 l'éducation
 (de
 Rousseau
 à
 Freinet,
 en
passant
 par
Buisson,
Ferry
et
tant
 d'autres),
 mais
 qui
voit
57
%
de
ses
élèves
redoubler
au
moins
une
fois
au
cours
de
leur
scolarité. Les
 résultats
 aux
 enquêtes
PISA
 ‐
menées
 auprès
de
 jeunes
de
 15
 ans
 des
31
pays
de
 l'Organisation
 de
 coopération
 et
de
 développement
 économique
 (OCDE)
‐
sont
«
accablants
»
pour
notre
système,
qui
est
«
particulièrement
cassant
comparé
à
ceux
des
autres
écoles
dans
le
monde
». Plus
de
 la
 moitié
 des
élèves
français
répondent
 par
ailleurs
que
leurs
 professeurs
 les
aident
 «
parfois
»
 ou
 «
jamais
 »,
 contre
 60
 %
en
moyenne
dans
les
 autres
 pays
 de
 l'OCDE
 où
 les
 professeurs
 les
 aident
«
 à
 chaque
 cours
 ou
à
 la
 plupart
 des
 cours
 ».
Peter
 Gumbel
ne
 jette
 pas
 la
 pierre
 aux
 enseignants,
 mais
plutôt
«
au
système
éducatif
français
[qui]
ne
leur
a
pas
permis
d'évoluer
avec
leur
temps
». Pour
mettre
 Tin
 à
 la
 «
 constante
 macabre
 »
 d'une
culture
 de
 l'excellence
 qui
encense
 un
 petit
 nombre
 pour
mieux
enfoncer
 les
autres
;
d'une
 «
 culture
 de
 la
 nullité
 »
 qui,
 logiquement,
 fabrique
des
nuls,
l'auteur
conseille
 de
 prendre
 exemple
 sur
la
Finlande,
 pays
phare
 des
classements
 de
 PISA.
Bien
sûr,
 avec
ses
 5,4
 millions
 d'habitants,
 la
 Finlande
 n'est
 pas
 la
 France.
 Mais
 rien
n'empêche
 d'établir
 un
parallèle
 entre
 les
 bons
 résultats
de
 sa
 pédagogie
 pointés
par
PISA,
et
les
scores
peu
glorieux
de
la
France
pourtant
si
Tière
de
son
école
républicaine.
Le
Monde
18.09.10 En
Finlande,
 les
professeurs
 sont
 reconnus,
 bien
 payés
 (en
 moyenne
 3
 300
euros
 par
mois),
 bien
 formés,
 motivés
 et
 ne
 craignent
 pas
de
 collaborer
 entre
eux
pour
s'entraider. Autre
 différence
 de
 poids
 :
il
n'y
 a
 pas
 d'inspecteurs
en
 Finlande,
 où
 l'on
 fait
 conTiance
 aux
 enseignants,
 qui
à
 leur
 tour
 font
 conTiance
 aux
 élèves,
les
 soutiennent
 et
 mettent
 l'accent
sur
 leurs
progrès
 plutôt
 que
 sur
leurs
 échecs.
 Résultat
:
des
 élèves
majoritairement
 épanouis
 et
 pas
 ou
 peu
 de
 redou‐ blements.
Bref,
 presque
l'exact
 opposé
de
notre
 système.
Nicolas
Sarkozy
a
demandé
 au
Prix
 Nobel
d'économie,
Joseph
Stiglitz,
de
prendre
 en
 compte
 le
 bien‐être
dans
les
statistiques
économiques.
A
quand
un
Stiglitz
de
l'éducation
qui
se
pencherait
sur
notre
école
?
Le
Monde
9
septembre
2010

Lettre Express FAPEE - octobre 2010


FÉDÉRATION DES ASSOCIATIONS DE PARENTS D'ÉLÈVES DES ÉTABLISSEMENTS D'ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L'ÉTRANGER

L’an passé, une junior Entreprise au lycée de Tunis Professeurs et parents d’élèves cherchaient un moyen de suivre les élèves après le bac afin d’améliorer l’orientation. Un parent d’élève, Ziad MILED, membre du Comité directeur APEESFT a proposé d’y impliquer les élèves de façon à la fois ludique et éducative . il leur a proposé de monter leur Junior entreprise, parfait outil pour mener à bien cette mission et apprendre autrement. Un rapide cycle de conférences posant les principes de la création d’entreprise, de l’organisation, des techniques comptables et du marketing a permis en amont d’établir le cadre de travail. 1- Le projet « Junior entreprise LGF » en quelques mots L’objectif de la « Junior entreprise LGF » était d'initier les lycéens de Gustave Flaubert au monde de l'entreprise en leur faisant réaliser un certain nombre de tâches. C'est le principe de l’apprentissage par l’action. Cela permettait également aux jeunes participants d’enrichir leur CV et ainsi bénéficier d’un atout pour l’accès aux établissements sélectionnant sur dossier et/ou entretien. La « Junior Entreprise LGF » a fonctionné selon le modèle d’une entreprise. Elle a été gérée, durant chaque année scolaire, par une équipe formée de lycéens encadrés par des adultes (APE, professeurs, administration de LGF). Les objectifs du programme était de développer chez les jeunes participants des compétences et des aptitudes qui peuvent être classées en : Savoirs Connaissance du monde de l'entreprise et acquisition du vocabulaire adéquat Savoir-faire Planifier - Organiser - Rédiger - Communiquer – (se) Présenter – Convaincre - Négocier Savoir-être Créativité - Rigueur et méthode - Capacité d'analyse et de synthèse - Autonomie - Sens de l'objectif - Persévérance - Confiance en soi - Esprit d'équipe - Respect des autres- Appartenance à l’établissement. La «Junior Entreprise LGF» était elle-même subdivisée en plusieurs mini-entreprises, chacune responsable d’un projet. Le premier projet identifié était « LGF et après ? » et avait pour objectif de créer une base de données des anciens élèves du Lycée Gustave Flaubert. Préalablement à sa «constitution , chaque mini-entreprise devait identifier un ou plusieurs clients et obtenir l’autorisation de Monsieur le Proviseur. Le deuxième projet de la JE, était axé sur l’environnement. Pour des raisons de commodité et de simplicité la « Junior entreprise LGF » ne s’est pas dotée de personnalité juridique propre mais a été considérée comme une simple « activité» de l’APE. Elle a été subdivisée en plusieurs mini-entreprises pour permettre à un maximum d’élèves volontaires d’y participer. Chaque mini-entreprise étant responsable d’un projet, un peu sur le modèle d’une entreprise divisée en plusieurs centres de profits. Le Siège a été installé dans le local de l’APE. Le président en était le Proviseur et l’encadrement s’est fait par autant de professeurs que de mini projets. L’animation et le suivi a été tout du long assurés par le parent porteur du projet. Les élèves, appelés Mini-Entrepreneurs, se sont réunis au moins une fois par mois, ont organisé la répartition de leurs tâches et ont rédigé leurs comptes rendus de réunions. Le projet a connu un véritable plébicite des élèves. Sera t-il reconduit?

Echanges scolaires Votre établissement a signé un partenariat d’échanges scolaires avec un autre établissement du réseau? un établissement français? Un établissement étranger? Merci de nous le faire savoir.

Lettre Express FAPEE - octobre 2010


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