Bulletin Municipal Yasmina Abdouni Aïcha Ahamada Sophie Ambert Edmond Auberval Inès Auguste Audrey Billaud Nicolas Cazanove Laëtitia De Place William Lauret Anaïs Saint-Agnan Josephine Arand Cathy Cancade Léa Descours Evan Foc Alexandre Lebon Jean-Sébastien Lucian Karel Perussot Roddy Pothage Indianise Seraphin Song-Li Zhao Daniella Adrien Aurélie Amemoutou Catherine De Lamothe Arnaud Minatchy Samantha Döring Amandine Legros Sanjeeyan Paleatchy Laurent Tixador
Séance d’arrachage de plantes invasives dans les hauts de Saint Paul avec les étudiants de l’école superieure d’art de la Réunion. Cette collecte permettra par la suite à développer un ensemble de logements provisoires et d’y habiter pendant une semaine. Les espèces récoltées sont essentiellement du goyavier et de l’acacia. Depuis son arrivée sur l’île de la Reunion, l’homme a introduit près de 3.000 espèces exotiques venant de toutes les parties du monde. Certaines d’entre elles ont trouvé des conditions écologiques adéquates et prolifèrent au détriment des espèces endémiques Importé sur l’ile pour pour produire du bois de chauffage destiné aux distilleries de géraniums, l’acacia se développe désormais spontanément au dépend des autres espèces végétales. Il est considéré ici comme une peste botanique au même titre que le goyavier (originaire du Brésil) qui envahit les montagnes aux alentours de 900 m d’altitude.
Après la cueillette, nous voici sur l’espace qui nous est alloué. Pour l’instant, ce lieu est vide mais à peine arrivés, nous cherchons déjà ce que nous allons en faire. Entourés par notre récolte, nous agrémentons le tout d’un maximum de matériaux de récupération afin de créer des habitions transitoires. Transition entre l’invasif, les ordures: ce dont on ne veut plus et ce nouvel environnement: lieu d’une vie nouvelle. Aujourd’hui, nous attaquons la construction de nos cabanes, ces abris qui reflète le caractère et le tempérament de chacun. Nous nous acharnons à l’ouvrage car dès ce soir, nous dormons ici, dans cet environnement, à l’intérieur de nos nids.
1 - Préparer la machine à pâtes. Elle doit être propre et le piston doit être sorti de son logement. on placera sous la sortie du cylindre une plaque électrique ou un réchaud à gaz puis on préparera à proximité un bol de farine. 2 - placer une marmite de 5 L remplie d'eau sur le réchaud, ajouter une cuiller à café de sel puis faire couler un filet d'huile d'olive dans l'eau au travers du cylindre. Allumer. 3 - Quand l'eau est arrivée à ébullition, préparer la pâte. pour quatre personnes: - 500Gr de farine - 4 oeufs frais - 1 verre d'eau
- 1 cuiller à café de sel fin. Incorporer les oeuf et le sel à la farine dans un saladier puis ajouter de l'eau jusqu'à ce que la pâte devienne collante mais pas liquide. Rouler la préparation dans de la farine pour pouvoir la manipuler. Ne pas laisser reposer. La pâte est prête à être pressée. 4 - Déposer délicatement la préparation dans le cylindre de la machine et attendre quelques secondes qu'elle atteigne le fond. Recouvrir avec une poignée de farine. 5 - Engager le piston dans le cylindre puis presser à l'aide du levier principal jusqu'en butée. Remuer immédiatement les pâtes dans la marmite pour éviter qu'elles ne se collent. laisser cuire environ une minute après la reprise de l'ébullition puis passer et servir.
Le Port, la Réunion. Dans une chaleur torride presque vingt étudiants travaillent, transpirants et haletant pour construire des huttes de bois. Tout cette activité est dirigée par Laurent Tixador, qui est spécialement venu de métropole. Avec lui ils vont affronter, durant sept jours et nuits dans l’école, chaleurs et intempéries pendant que d’autres étudiants retourneront dans leurs confortables maisons, retrouvant leurs lits chaussants. Leur logements se composeront de bois coupé par eux-mêmes du Maido et d’ordures encombrantes trouvées. Ce qu’ils ne savent pas encore c’est que pendant qu’ils construisent innocemment leurs cabanes, un vampire se cache seulement a quelques pas. Au même moment que les étudiants, il a cherché une place au sein de cette viande fraiche, un droit du silence au sein de tout ce tumulte. Le jour il dort dans la fraicheur de l’ombre de son cercueil, car sa peau blanche ne supporte pas les rayons du soleil et devient aveugle lorsqu’il voit ce dernier. Dans son cercueil il peux rêver, de sang chaud, de peaux délicates et faire des projets sur comment consommer au mieux ces mets délicieux. Dans la nuit, finalement, il part. Il marche a pas feutres, entre les murs et les barricades vers ses victimes. Happ, happ! C’est fini. Le virus trace son sillon. Les autres, encore inconscient de ce danger, innocemment continuent de construire leurs cabanes. Parmis eux se trouvent les jeunes vampires, attire par le sang. Ce que personne ne sait, c’est qu’un chasseur de vampire, discrètement, a suivi la trace de cet assoiffe et veut parvenir a contenir cette chose! Après avoir tué deux jeunes vampires a l’aide d’un pieux de bois et de l’ail, il essaie de tuer ce vieux vampire. Il atteint son objectif mais il est déjà trop tard: le virus s’est propagé. Les jeunes vampires ont trouvé un nouveaux maitre, et, avec l’avion, Tixador rapportera le virus en métropole....