Art'e'show - janvier 2018

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n°1 - janvier 2018



Édito

Bonjour à toutes et à tous et bienvenue sur le magazine Art'E'Show de janvier, sur le thème du fantastique ! Tournez les pages de ce monde merveilleux mais souvent sombre en voyageant à travers l'Art avec un grand A ! Chez nous, pas besoin de baguette magique pour vous faire découvrir des films, des séries, des livres, des bandes dessinées, et bien d'autres ! Sans oublier nos rubriques musique, E-new ou encore mangas ! La mise en page peut vous faire penser à de la magie ! c'est peut-être le cas, mystère... Bien sûr, Art'E'Show remercie toutes les personnes ayant participé à ce magazine de janvier ainsi que la maison d'édition Gallimard et Netflix pour nous avoir permis d'utiliser leurs images. Nous vous remercions vous ! Principalement, nos chers lectrices et lecteurs ! À présent je vous laisse ouvrir ce grimoire rempli d'idée toutes plus fantastiques les unes que les autres. Bonne lecture ! L'équipe Art'E'Show


S

p6 - Ma p7 - Bd p8 - lit p9 - mu p10 - c

p12 Ă 2


Sommaire

anga d tthérature usique cinéma

p11 - Théâtre p22 - Cusine p23 - E-New 24 à 25 - séries

21 - le fantastique


Qui n'a jamais révé d'incarner un héros de RPG* ? C'est ce qui vit un joueur d'un célèbre MMORPG* à succès au Japon, surnommé Momonga, un nécromancien liche de niveau 100.

Overlor

Lorque le jeu est sur le point de fermer, en tant que chef de la puissante guilde "Ainz Ooal Gown", Momonga attends seul la fermeture du jeu. Cependant, remarquant que l'heure de fermeture du jeu est dépassée, il ne se déconnecte pas et les PNJ* du jeu semblent se dotés d'une conscience propre. Prisonnier de ce monde inconnu, notre seigneur maléfique décide de partir à la recherche d'un nouveau but à son existence et de prendre la décision de conquérir ce nouvel univers tout en y laissant son empreinte. Sachez que ce manga a eut le droit à son adaptation en animé. Grâce à Satoshi Oshio (le scénariste) et Hugin Mayama (le dessinateur), mangaka en charge de l'adaptation du manga papier de Kugane Maruyama, nous sommes plongés au coeurs d'un univers virtuel qui se distingue par sa singularité du personnage principale, nous ne suivons donc un personnage mielleux à qui il arrive des péripécies un peu au hasard mais par le méchant de l'histoire possèdant déjà une grande force. En revanche, on y retrouve toujours quelques personnages propres au manga, une dragueuse qui essaira à tout pris de sortir avec notre héros, une jeune fille gothique secretement amoureuse, une mascotte mi hamster mi je sais pas quoi... D'ailleurs, pour celles et ceux qui ont peur des squelettes, cet anime vous ais fortement déconseillé !

Le premier tome, sortie en 2014, devrait beaucoup vous plaire, surtout ceux qui ont une âme de gameur, il y a actuellement 5 tomes de sortis (en France) et le 6ème est prévu pour

le 10 janvier 2018.

Bonne Lecture !

*RPG (Role Playing Game) = Jeux de rôle *MMORPG (Massively Multiplayer Online Role Playing Game) = Jeu combinant le jeu de rôle et le jeu en ligne multijoueur

Le choix étant cornélien, j'ai choisis Tokyo Ghoul, parce qu'il a fait l'unanimité dans mon entourage. L'animé a déjà deux saisons à son compteur et 24 tomes sorties en France.

Tokyo Ghoul est manga d’Ishida Sui sortie au Japon en 2012. Qu’est-ce que Tokyo Ghoul ?

Un générique entraînant, du suspens et beaucoup de sang. L’histoire se passe dans un Tokyo futuriste, presque apocalyptique, envahit de goules. Ces créatures cannibales de forme humaine se dissimulent parmi les humains pour mieux s’en nourrir. Les humains «normaux» veulent les exterminer, sans surprise. Ken Kaneki, notre protagoniste, va rentrer dans ce monde à cause d’une greffe due à un accident suite à l’agression d’un de ces monstres. On suit ce qu'il ressent comme une descente aux enfers. Il apprend à vivre dans un monde totalement différent du sien.

Sui Ishida signe là sa première œuvre, installe le malaise par une description minutieuse de nouvelles sensations qui

assaillent le héros et les transcendent par des scènes d'action explosives et magnifiques. Prenant à contre pied les récentes productions sur les zombies, ce titre nous présente une vision inversée du combat de l'humanité contre ses prédateurs. Je conseille cette série animé aux amateurs de thriller et de gore !

D'ailleurs la saison 3 sortira en 2018, pas de date officielle pour le moment malheureusement.

Tokyo ghoul


l

Toxic Planet Dans une époque, que l’on n’espère pas si proche, le port du masque à gaz est une évidence. Les nuages de fumées nocives, les rejets visqueux de tous genres, les déchets toxiques, en quantités dispersées ou non, font désormais partie du décor. Au point qu’on ne les remarque plus. Foutue époque, planète foutue ? Mieux vaut en rire… de peur d’avoir à en pleurer. David Ratte, en 2006, dénonce un laisser-aller et un laisser-faire dont ses personnages n’ont pas conscience, essayant de nous justement de nous faire rire de tous même si vous allez flipper pour votre futur. Mais marrez-vous, les 3 albums sont drôles, avec des dessins vivants, une myriade de couleurs tout à fait approprier et des scènes percutantes. L'humour à répétition est léger donc vous n'en aurez pas marre et l'enchaînement de courtes scènes autour du même thème sont très fluide. Regardez attentivement le bas des pages, ne penser que c'est un bête remplissage, car si vous regardez bien, les dessins peuvent former une animation plutôt intéressante, le but de l'artiste est d'arriver à mettre un sourire sur le visage des gens à partir d'une Idée noire. De plus, on remerciera l'auteur d’offrir au lecteur des créatures féminines aux formes attrayantes, malgré leurs masques, plutôt que des aliens mutants aux membres multipliés ou au visage déformé. C’est un détail, quoique. Enfin, le but de cette BD est personnellement atteint, vous allez envie de trier vos déchets, faire attention à ce que vous manger ou encore prendre soin des personnes âgées... Je vous laisse découvrir pourquoi !!


“Qui es-tu Alaska ?“ ISBN : 9782075075657 / “Nos étoiles contraires“ ISBN : 9782092543030

Littérature Vous fumez par plaisir. Moi, c'est pour mourir.

John Green, vous connaissez ? Et bien cet homme a remporté le prix Michael L.Printz en 2006 de l'American Library Association avec son premier livre "Qui es-tu Alaska ?" parut en 2005 aux Etats-Unis. Ça n'est que deux ans plus tard que nous avons pu le voir sur les étalages des librairies françaises.

En réfléchissant un peu, vous vous dites que le nom de cet écrivain ne vous est pas inconnu ? C'est totalement normal, c'est l'auteur de "La face cachée de Margot", du "Théorème des Katherine" mais aussi et surtout de son bouquin le plus récent "Nos étoiles contraires". Revenons-en à notre livre principal : "Qui es-tu Alaska ?". Plusieurs critiques l'ont qualifié comme étant le "roman de l'adolescence" dans lequel Miles Halter, personnage principal, âgé de seize ans, nous partage sa vie où amitiés fortes, amours, transgressions, soif de connaissances et quêtes de sens sont des éléments essentiels. C'est après son départ en pensionnat que son existence prend un réel tournant et commence enfin. C'est dans ce même endroit qu'il rencontre la belle, intelligente, troublante, mystérieuse, insaisissable, drôle Alaska Young.

Un roman qui nous fait passer du rire aux larmes en quelques secondes. On souhaiterai qu'il n'y ai jamais de fin !

Nos étoiles contraires

Sans souffrance, comment connaître la joie?

On va rester avec notre célèbre John Green encore une fois avec ce roman, “Nos Etoiles Contraires“ sortie en 2013 relatant la vie d'Hazel, une jeune femme de 16 ans, atteinte d'un cancer. Malgré les soins et que sa maladie semble prendre fin, elle se saît condamnée. Lorsqu'elle intégre un groupe de soutien, elle ne s'attendait pas à rencontrer Augustus, un jeune lui aussi atteint d'un cancer, mais lui en rémission. Leur attirance pour l'un et l'autre est immédiate et malgré les doutes d'Hazel, une magnifique relation commence entre nos deux protagonistes. Ce livre est une pure gifle émotionnelle, je n'ai pas de mot pour arriver à le définir véritablement, votre coeur va se remplir de sentiments divers et contraires : la joie, la tristesse, la compation, la colère…

Les plus beaux et les pires sujet seront abordés dans ce roman: l'amour, l'amitié, la mort, le cancer… et malgré la tournure des évènements, on referme ce livre avec l'envie de profiter de sa vie. « Je crois qu'on peut choisir dans la vie comment on a envie de raconter une histoire triste, et Augustus et moi avons choisi la manière drôle. » Crédit couverture “Qui-es tu Alaska ?“ / Auteur : John Green, Éditeur : Collection Pôle Fiction, Gallimard Jeunesse


Retrouvez toutes les musiques de la rubrique sur la playliste d’art’e’show

OW pré E SH se T nt AR e

L A r u b r i q u e

MUSIQUE Salut salut, et bienvenue dans la rubrique musique du magazine Art'e'Show ! Ici nous vous ferons découvrir un album attendu dans le mois, ainsi qu’un ou plusieurs artistes que bien sur, je vous invite à découvrir. Pour commencer, avec cette rubrique et cette nouvelle année c'est Camilla Cabello jeune chanteuse qui a fait plus de 400 millions de vues sur YouTube avec son hit à succès "Havana", qui nous invite à en découvrir plus sur son ces musiques avec son album intitulé "Camilla", un album très intime, que l'on vous invite à découvrir lors de sa sortie le 18 janvier !

Walk Off The Earth J'aimerais aussi vous faire découvre un groupe que j'apprécie particulièrement ; Ils sont Canadiens, ils nous permettent de redécouvrir des hits connus d'une autre manière et seront en tournée mondiale en 2018.

Walk Off The Earth ! Ryan Marshall, Gianni Luminati, Mike Taylor, Joel Cassady et Sarah Nicole Blackwood viendront nous faire une démonstration de leurs talents le printemps prochain avec pas moins de 4 dates en France. Les Canadiens débuteront par le Zénith de Paris le dimanche 15 avril 2018 puis enchaîneront avec les villes de

Nantes, Lyon et Lille. “Walk Off The Earth” a en effet créé le buzz en reprenant la chanson de Gotye “Somebody That I Used to Know” début 2012.

Si leur nom ne vous dit rien, vous les avez forcément entendu sur la toile…

Suite à sa ils ont eu 80 millions de vues en seulement 2 mois sur Youtube !

Découvrez les en live, même si je doute qu'ils amènent leur voiture pour jouer avec, je vous invite a allez les voir sur YouTube pour comprendre !

A bientôt et mettez la musique a fond !


E U Q I R B RU

“STAR WARS“

Difficile de ne pas faire abstraction de l'envie de Rian Johnson et son équipe de proposer un space opera grandiloquent et marquant. Visuellement, ce nouvel épisode de la saga pris sous l'aile d'un seul homme, est d'une beauté impressionnante. Gardant visuellement l'esprit de son prédécesseur dans cette idée de proposer un cinéma “bricoleur“ et humble, “Les Derniers Jedi“ est d'une richesse visuelle assez rare et c'est véritablement l'un des points forts du film de Johnson. Ainsi s'ouvre ce nouvel opus sur un rythme effréné et une sorte d'impatience multipliant l'action et la vivacité sans jamais vraiment capter profondément le spectateur, un défaut qui s'imprégnera de plus en plus au fur et à mesure que le récit avancera. Il n'était pas évident d'amener de l'inédit et de contrebalancer le récit du “Réveil de la Force“ basé sur la transmission et l'héritage. Finalement, Rian Johnson ne se sert pas réellement de l'aspect marche-pied de son prédécesseur et le moins que l'on puisse dire c'est que ce nouvel opus peine à trouver l'équilibre et n'est pas vraiment une suite logique à un épisode qui, désormais, s'accommode davantage à être un film totalement à part et presque opposé dans sa manière de composer et d'écrire cette nouvelle saga. Ce nouveau “Star Wars“ s'inscrit, comme son homologue passé, dans un rapport au mythe et à l'objet matériel de cinéma qu'est “Star Wars“. On aura le droit à des structures visuelles et scénaristiques des épisodes précédents reprenant quasiment mot pour mot certains dialogues phares de la trilogie originelle. Le comble pour un film dont le propos est clairement de faire table rase du passé de la franchise et d'une certaine structure du cinéma hollywoodien. Cette idée presque nécessaire de couper les liens avec ce qui a été fait parcourt le film de bout en bout. Dès lors, reprenant le même ADN que le septième épisode de la saga, Rian Johnson nous livre un épisode disséquant et reprenant le mythe en le désacralisant, tentant d'ajouter une nouvelle lecture. Néanmoins, alors que le rôle du film de JJ Abrams était de laisser place à la nouvelle génération, cet épisode a du mal à rendre ses personnages solides et Kylo Ren sera malheureusement le seul personnage véritablement intéressant et crédible incarnant à merveilles le propos du film. Pourtant, dans la continuité d'un “Réveil de la Force“ timide et honorable, cet épisode VIII casse, démystifie les codes le rendant assurément étonnant mais n'ajoute rien. “Les Derniers Jedi“ joue sur les attentes et les détourne mais n'a pas assez de profondeurs pour être un épisode à part entière. Lorsque Luke jette symboliquement l'objet de cinéma qu'est le sabre d'Anakin Skywalker, on a cette impression que Rian Johnson tue le passé mais s'écarte également du septième sans faire avancer l'histoire et on peine à trouver un sens à cette trilogie alors qu'il n'en reste déjà plus qu'un volet pour la conclure. C'est la tête ailleurs qu'on se laisse porter par un récit sans queue, ni tête uniquement basé sur la fuite, et multipliant des péripéties inintéressantes ne permettant que de montrer des décors, un bestiaire réussi et de nouvelles planètes discutables n'apportant peu à l'imaginaire de la saga de George Lucas. Bien que des plans magnifiques parsèment le film, Rian Johnson ne donne pas assez de force à son scénario pour le rendre véritablement inédit. Pourtant, on décèle dans le film cette furieuse envie de disloquer le manichéisme et les symboles mais tout tombe vite à plat lorsqu'on se rend rapidement compte qu'on est devant le film de la franchise le plus léger et le plus inconstant dans ses dialogues, l'enchaînement des scènes et ses personnages. En effet, notamment à travers le personnage de Luke qui, campé par un Mark Hamill crédible en légende contestable, sera finalement bancal et inégal à l'image d'un long métrage incompréhensible et frustrant. Que ce soit à travers un humour trop souvent gras qui donne à l'autodérision une place excessive qui ne nous permet pas de s'identifier aux personnages et aux différents enjeux mais également dans certaines scènes et choix scénaristiques trop souvent de mauvais goût qui donne aux “Derniers Jedi“ un attrait plus hasardeux qu'ambitieux en plus d'avoir un rythme assez artificiel.

Néanmoins, il est évident que tout n'est pas à jeter dans le film. En effet, bien que l'aspect course-poursuite du récit ne laisse que trop peu de temps aux personnages de se retrouver face à des choix cruciaux et à un véritablement acheminement, le personnage de Rey, porté par une Daisy Ridley éclatante, reste fort bien que celui-ci en pâtisse. Parfois naïf mais toujours intéressant, ce personnage est soigné et représente surtout l'alter ego parfait de Ben Solo. Un lien, entre ces deux personnages, entretenu à travers la Force qui forme l'une des réussites de ce huitième épisode. Ben Solo, qui est définitivement l'une des pierres angulaires de cette trilogie, aura le droit à une progression très captivante et des répliques très fortes, véritable porteur du propos de ce “Star Wars“ à la manière de Rey dans “Le Réveil de la Force“. La plupart des personnages, par contre, seront en deçà de ce qu'on pourrait attendre d'un “Star Wars“ surtout après un premier épisode les mettant, pour certains, autant en avant. Dans cette volonté, toujours, d'ajouter de l'ambivalence et de la nuance dans l'univers “Star Wars“, on s'étonnera d'y retrouver des personnages aussi peu incarnés et des retournements de situation abusivement simplistes. Des personnages, frôlant la caricature, pilotant entre des scènes déséquilibrées, tantôt porteuses d'émotions vite évacuées, tantôt parodiques et fallacieusement ambitieuses, qui n'établiront finalement pas grand chose et dont le potentiel coup de théâtre s'évaporera aussitôt qu'il apparaîtra. C'est donc le cœur déshérité qu'on attendra un revirement, une proposition mais Rian Johnson s'engouffrera, au fil du film, dans l'accumulation de fausses surprises laissant entrevoir, entre les lignes du script et des visuels à couper le souffle, un scénario plat enfonçant des portes ouvertes mais surtout frustrant par son immense potentiel.


Bonjours et bienvenue dans la rubrique théâtre ! Ce mois-ci Art'e'Show vous présente la comédie musicale "Singin'in the rain". Plusieurs représentations sous la plus Grande Verrière d'Europe, ont eux lieu du 28 novembre 2017 au 11 janvier 2018. D'abord rendu célèbre grâce au film culte "Chantons sous la pluie" de Gene Kelly, qui raconte (comme tout le monde le sait, ou presque), le bouleversement du cinéma Hollywoodien du métier d'acteur avec le passage du muet au parlant. Plus besoin de rappeler la célèbre chanson qui a fait son succès et que l'ont à tous repris en dansant avec notre parapluie. Cette comédie musicale pleine de surprise et brillamment mise en scène par Robert Carsen, fut jouer pour la première fois en mars 2015 sur la scène du Châtelet, et celle-ci avait été accueillie de manière triomphante, mais pendant la fermeture pour rénovation, le théâtre du Châtelet s'exporte hors de ses murs et investit la nef du Grand Palais ou la comédie musicale eut 47 représentations. Car malgré un petit déménagement, ici tous les ingrédients sont parfaitement réunis pour un succès immédiat. Comme le souhaiter Jean-Luc Choplin, qui prit les rênes du spectacle pour y apporter des costumes typiquement Hollywoodiens, des chorégraphies phénoménales, une talentueuse distribution des rôles et toujours la présence des musiques et chants qui ne nous quittent pas l'esprit. J'espère qu’au moins cette rubrique vous permettra de découvrir, ou redécouvrir, cette comédie musicale ou le film culte de 1952, un petit conseil : visionnez le avant la sortie du magazine du mois prochain.... A bientôt !


Le fant

Le fantastique, est un genre qui regroupe le mystérieux, l’horre autres sont au centre de ces créations artistiques. L’intri


tastique

eur et surtout le surnaturel. Sur écran ou papier, les monstres et igue ce centre autour d'éléments irrationnels et irréalistes.


Frankenstein Maléfique À genoux ! Quand je m’adresse à vous !

Mes salutations, je me présente Docteur Victor Frankenstein. Je suis l’un des plus grands savants fous de ma génération.

Je suis la fée la plus puissante du royaume. Un geste de ma part et vous dormirez jusqu’au siècle suivant.

Mes hobbies sont la science, la profanation de tombe et la collection de membres humains. L’oeuvre de qui me rendit célèbre fut de donner la vie à un puzzle de cadavre.

Je m'appelle Alma LeFa directrice du Refuge Pe Enfants Particuliers, situ boucle temporelle sur l Cairnholm.

Je me souviens encore de ce fameux Charles Perrault qui me menaçait de m’enfermer dans les pages de sa prochaine histoire. Ahah ! Il fut changer en grenouille.

Mais cette créature tua ma fiancer et me conduisit à la mort, comme quoi aurais peut-être pas dû jouer avec la vie.

Je suis également une s la particularité d'être un Cui-cui !

1697

Miss Pere

1810

J.C

-4000 Galadrielle "A la place d'un seigneur des Ténèbres, vous aurez une reine, non pas Ténébreuse mais aussi belle et traîtresse de l'aurore. Alors tous m'aimeront et désespèreront. Je suis une des 3 gardiennes des Elfes, souveraine, épouse et mage, mon anneau protecteur est Nenya. J'ai réussi à vaincre mon attirance pour l'anneau unique"

1897 1838 Nosferatu Nosferatu est mon nom, je suis la première adaptation cinématographique du roman Dracula de Bram Stoker. Mais ce qui me rendit célèbre fut le mythe autour du film de Murnau. Oui moi Max Schreck de mon vrai nom, était suspecté, d’être un véritable vampire lors du tournage.

Lorem Ipsum Van Hellsing Bien le bonjour, Van Helsing pour vous servir. Bram Stoker me donna la vie du bout de sa plume et associa mon nom à celui de Dracula, mon ennemi juré, qui tua l’un de mes anciens élèves Jonathan Harker, et transforma la pauvre Mina. Mais par chance je réussis à la sauver grâce à mes connaissances en médecine et vengea mon ami.


1939

1982

egrine

ay Peregrine, eregrine pour ué dans une l'île de

Aslan Je suis Aslan, fils de l'Empereur d'au-delà de la mer, créateur de Narnia, vrai

syndrigast avec ne Ombrune.

Leeloo

E.T.

Seigneur de ce monde et guide des quatre enfants Pevensie. Mes milliers d'années font de moi un être plein de sagesse.

E.T. Elliott, ami E.T. Danger E.T. vélo E.T. Téléphone maison E.T Maman, Papa E.T. Bye, Bye E.T. Retour maison

En 2263, un homme m'a aidé à sauver l'humanité, moi dune race extraterrestre, une Mondo-Shawans et un humain bravant le danger.

Lorem Ipsum

Il existe 5 éléments: le feu, la terre, l'eau et le vent, je suis le dernier: La vie. Lorsque je suis arrivé sur cette planète j'y ai découvert ce que l'Homme faisait de pire et aussi de plus beau. J'ai failli mourrir mais l'amour m'a sauvée.

2263

1950

2018 1992

Lorem Ipsum Jack Frost

Lorem PeterIpsum Pan

Salut ! Je m’appelle Jack, Jack Frost ! Je suis l’allégorie de l’hiver, du froid et du givre. Je viens du folklore anglo-saxon !

Salut ! Moi, c'est Peter Banning, je suis un brillant avocat d'affaires. Vous me connaissez certainement sous le nom de Peter Pan, mais j'ai oublié toutes les aventures que j'ai vécu il y a quelques années, jusqu'au jour où cet abominable Capitaine Crochet a kidnappé mes deux enfants, Jack et Maggie.

J’ai de grands pouvoirs et un physique enfantin. Mais ne me met jamais en colère car à ce moment-là je peux faire peur ! Pense à moi quand la neige tombera !

1941

Du coup j'ai dû m'envoler pour le pays de Nulle Part pour les sauver.

1964

Cousin Machin

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Au faite mon histoire est apparue sur vos écrans le 1 avril 1992 !


16 Lunes

onnaissez-vous «Sublimes Créatures» ? Un film sortie sur nos écrans en 2013 ? Et bien saviez-vous que ce film est une adaptation cinématographique du premier épisode d'une saga écrite par Kami Garcia et Margaret Stohl, qui s'intitule «16 Lunes» ? Le bouquin est d'abord parut aux Etats-Unis en 2009 puis a été adapté en français puis vendu sur le territoire un an plus tard.

C

Ces romans nous plonge dans un monde où enchanteurs, incubes et autres créatures surnaturels font leur apparition. Ils nous racontent également l'histoire d'un jeune mortel, Ethan Wate, qui tombe amoureux d'une enchanteresse, Léna Duchannes, qui va devoir aller du côté de la Lumière ou des Ténèbres à son 16ème anniversaire. Comme vous vous en doutez, les choses dans la petite ville de Gatlin ne vont pas se passer comme prévu. Si vous avez déjà lu, ou pas ce livre, ou même, si vous avez déjà regardé le film dont je vous ai parlé au début, et bien sachez que, si vous le souhaitez, il y a une suite avec trois autres livres : «17 Lunes», «18 Lunes» et «19 Lunes»


FREAKS SQUEELE Dans un monde pas si éloigné du nôtre, imaginez les super-héros avec un statut légal, un permis d’exercer et même des universités pour les former à leur futur boulot… Ce monde, c’est celui de “Freaks' Squeele“. Il existe une université qui permet d'obtenir un tel permis, Chance, Xiong Mao et Ombre entament leur cursus dans celle-ci. Ces trois nouveaux étudiants vont découvrir les joies de la vie universitaire, la concurrence sans pitié entre étudiants, les professeurs sadiques et le stress des examens. Avec cette première œuvre, Florent Maudoux, Ankama et le tout nouveau Label 619 vous proposent un regard neuf et décalé sur l’univers des super-héros. L’époque des justiciers masqués de papy a fait son temps… Parlons un peu de notre auteur, Florent Maudoux est né en 1979. Formé au dessin animé à l’école des Gobelins. Amateur de films hongkongais, ses influences se situent à la croisée des mangas et de l’art classique italien ou encore des illustrateurs anglais du 19e siècle. Grâce à de nombreuses expériences hors BD tel que : les jeux vidéos (Eden Games), illustrations ou encore des figurines (Rackham), l'auteur se met au service de la BD avec “Freaks' Squeele“ sortie en 2008. C'est pour cela aussi, que les dessins de l'auteur sont très proches des dessins de mangas. Petites informations en plus : - Une adaptation en dessin animé aurait été proposé par la boîte d'édition Ankama Japan, avec un épisode pilote de 10min, malheureusement pour nous le projet est en ce moment en veille - La BD a eu le droit à son adaptation en jeux de rôles sur tables, un JDR pour les puristes, appelée "Freak's Squeele, le jeu d'aventures" édité par Ankama et 2d sans face en 2017. Des apparitions sont aussi visibles dans les BDs, fan de DC Comics lisez au moins jusqu'au pour voir une des personnages emblématique de la série de BDs Batman. Et comme l'auteur est fan de mangas, retrouvez aussi des clins d'oeil à Bersek, Hellsing, Akira et j'en passe. Bref, cette BD vos vraiment le coup pour son taux de drôleries, d'histoires abracadabrantesque, des personnages tous aussi délirants les uns que les autres... Un véritable coup de cœur, qui saura étirer un sourire sur vos frimousses.


20 199 Penny Dreadful Van Hesling, Dorian Gray, Frankestein, Dracula, Jack The Ripper (jack l’éventreur), vampires, loups-garous...

maléfiques, Vanessa Ives, est une jeune femme puissante et mystérieuse aux pouvoirs psychiques, allie ses forces

à celles d’Ethan, un jeune Américain rebelle et violent “Penny aux allures de Cowboy. Elle pourra aussi compter sur Sir Dreadful“. Cette série a été créée par John Logan et Malcolm, un vieil homme riche aux ressources inépuisables produite par Netflix en 2014. Vous pourrez y retrouver de cherchant à venger sa chère fille Mina Murray. Ensemble, très bons acteurs tel que Eva Green, Josh Hartnett, Timmy ils devront lutter contre un ennemi inconnu, presque invisible, non humain et qui massacre la population.... Dalton etc... Tous réunis dans une seule et même série :

“Penny Dreadful“

nous plonge dans un univers d’une Angleterre à l’âge Victorien. On nous emmène dans le

Londres du XIXe siècle, au travers de ses personnages mythologiques, et une mise en scène plutôt sombre.

Ceux qui aime “American Horror Story“, ne vous atendez pas à un monde aussi malaisant, nous sommes tout de même sur une série presque tout public qui rentre à peine dans les séries d’horreur. En tous cas, super production

américano-britannique qui compte trois saisons.

Petit résumé pour ceux qui serait intéressés :

Je ne vous en dis pas plus, allez découvrir cette série aux

Dans un Londres laissé au joug de différentes puissances

allures de “Ligue des gentlemen extraordinaire“ mais plus sombre et plus profond !

charmed

Prudence alias Prue, Piper, Phoebe, Paige, Halliwell, pouvoir grâce le pouvoir des trois, entre sorciers maléfiques, des trois. Tous ces mots vous font penser à une seule et démons et toute sorte de créature souterraine à San unique série. Charmed. Francisco en Californie.

Créée par

américaine

Constance M.Burge, Charmed est une série diffusée en 1998. Durant 8 saisons et 178

épisodes nous pouvons suivre les aventures de ces trois sœurs Halliwell, interprétées par Alyssa Milano (Phoebe), Holly Marie Combs (Piper), Rose McGowan (Paige) et Shannen Doherty (Prue), qui deviennent des sorcières

garce au pouvoir qu’elles ont reçue en héritage.

Durant 125 heures, nous pouvons suivre le parcourt de

Piper, Phoebe, Prue et Paige combattant les forces du mal,

(Attention Spoiler !!! Paige intervient après le décès de l’aîné Prue)

Pendant une période de 8 ans, on les voit grandir, mûrir, construire leur vie, en faisant évoluer leur pouvoir.

Entre histoires d’amour, combat pour le bien, et vie

quotidienne, Charmed nous donne envie de faire partie de ce monde magique.


010 90 Haven

“Haven“. Est-ce que ce nom vous dit quelque chose ? Audrey Parker, Nathan Warnos, Duke Crocker ? Non toujours rien ? Et bien venez avec moi, peut-être que ça va vous intéresser.

Haven

“phénomènes“ paranormales. Elle va faire la rencontre de Nathan Warnos et Duke Croker qui ensemble vont essayer de résoudre les mystères que leur offre Haven et aider les affecter. et qui se trouve mêlée à une succession de

americo-canadienne, inspirée du Au fur et à mesure des épisodes on peut voir plusieurs roman de Stephen King “Colorado Kid“ et créé par Sam Ernst clins d’œil de la part des réalisateurs à des films (“Shining“, en collaboration avec Jim Dunn. On découvre le premier “Les oiseaux“ d’Alfred Hitchcock, “Ça Il est revenu“), à des épisode le 9 juillet 2010 aux États-Unis et au Canada, et se séries (X-Files) ainsi qu’à des œuvres littéraires comme “Le prolonge sur 5 saisons réparties en 78 épisodes. Fléau“ de Stephen King. c’est une série

De qui parle cette série ? D’un agent du FBI, Audrey Parker Haven

qui arrive dans une petite ville du Maine, nommée

Je vous invite donc à venir découvrir les histoires de cette petite ville.

Buffy

“Buffy contre les vampires“ est une célèbre série télévisée américaine de 144 épisodes répartis sur sept saisons, du genre fantasy urbaine, créée par Joss Whedon. La série a

lycée on a tous tuer des vampire bien-sûr), peux aussi compter sur un certains nombres d’amis, l’aidant à lutter contre ces force du mal.

été diffusée pour la première fois aux États-Unis du 10 mars 1997, et en France à partir du 3 avril 1998.

La première diffusion des épisodes de la série attira en

Pour ma part mon enfance a été bercée par cette série, qui a vu de grandes générations passer devant elle. Et rien de mieux pour le fantastique que quelques vampires buveurs de sang !

États-Unis, on peut penser que c’est beaucoup, mais pour l’époque c’est relativement modeste. Malgré tout, notre

Effectivement, elle raconte l’histoire de

(interprétée par

une Tueuse

de vampires issue d’une longue lignée d’Élues luttant contre les forces du mal, et notamment les vampires et

Buffy

légendaire est spéciale !

Tueuses, elle bénéficie des enseignements de son Observateur, chargé de la guider

Car à l’instar des précédentes

et de l’entraîner. Mais

Buffy,

4 et 6 millions de téléspectateurs aux

Buffy, fut citée dans plusieurs magazines spécialisés et fut nommée pour les Awards ! Exactement les Emmy Awards et aux Golden Globes, la série remportant au total trois Buffy Summers Emmy Awards !

Sarah Michelle Gellar),

les démons. Mais notre

moyenne entre

notre héroïne blonde (et lycéenne, car au

Elle possédait même ses propres fans (toujours existants et très nombreux !), qui donna vie à de nombreux produits

dérivé tels que j’en passe !

Bandes Dessinées, jeux vidéo, figurines,

et

En bref, une série qui nous donnais envie d’être lycéenne ou lycéen tueurs de démons, ou qui nous donnais envie de nous marier avec Buffy ou Angel... à vous de choisir !




la galette des rois pour environ 8 personnes

Préparation :

• Préchauffer votre four à 180°C.

• Sur une plaque de cuisson avec une feuille, déposer la première pâte. Badigeonner à l'aide d'un pinceau les bords de la pâte avec un œuf battu.

Ingrédients • 2 pâtes feuilletées Ingrédients pâte d'amande : • 2 oeufs • 100 gr de poudre d'amandes • 40 gr de farine • 100 gr de beurre pommade • 1 bouchon d'alcool au choix (rhum, fleur d'oranger...)

• Pour préparer la pâte d'amande, mélanger les œufs, la poudre d’amandes, le sucre et la farine à l'aide d'un batteur manuel jusqu'à l'obtention d'une pâte homogène. • Ajouter le beurre à la préparation jusqu'à ce que le mélange blanchisse. • Étaler la crème d'amande au centre de la pâte feuilletée, surtout n'oubliez pas d'ajouter la fève à l'intérieur à cette étape, puis recouvrir le tout de la seconde pâte. • Bien appuyer sur les bords pour refermer la galette pour éviter qu'elle ne déborde au four. Badigeonner le dessus avec le deuxième oeuf battu. • Décorer le dessus de la galette à l'aide d'une pointe de couteau, en faisant attention à ne pas la transpercer, puis faire quelques trous pour que la crème d'amande puisse cuire

Mettre à cuire au four traditionnel à 210°C pendant environ 30min ou au four à chaleur tournante à 190°C pendant environ 35min Et voilà, votre galette est prête, qui sera la reine ou le roi de votre soirée ? n’oubliez pas la couronne !

Marceline


Citation :

“La connerie, c’est la décontraction de l’intelligence“ Serge Gainsbourg

Musique:

Un moment de nostalgie

Artiste :

L’ésquisse d’une vie Sébastien del grosso

Clique ici Chaîne YouTube :

Bon, rapide, inventive, cuisine

Photographie :

American History X Clique ici


Lucifer

“Lucifer“ est une série télévisée américaine créée par Tom Kapinos et diffusée depuis le 25 janvier 2016. En France, la série est diffusée en version originale depuis le 10 septembre 2017 sur Cstar (Autrement dit, la 17 !) Elle est adaptée du personnage de bandes dessinées créé par Neil Gaiman, Sam Keith et Mike Dringenberg et paru chez Vertigo (DC Comics).

L'histoire est simple :

L’ange Lucifer fut banni du Paradis et on lui coupa les ailes. Sa punition, veiller sur les portes de l'Enfer et juger les âmes ayant mal agi de leur vivant... Jusqu'à ce que le prince des Enfers décidé de prendre des vacances à Los Angeles ! Valises bouclées, il ouvre une boîte de nuit où traine alcool, drogue et luxure. Profite de la vie jusqu'au bout, Mr Morningstar (l’étoile de matin) devient même célèbre. Mais il rencontre Chloé, jeune enquêtrice a la criminelle. Le contact avec cette jeune femme le fait devenir mortel... Problème était que son frère, Amenadiel, souhaite résoudre le plus rapidement possible, en ramenant Lucifer en Enfer. Sans oublier d'autres personnages emblématiques tels que Mazikeen, la démone sadique et sexy, Linda, la psy du prince des enfers et Trixie, la petite fille du lieutenant Chloe Decker et du “Détective Duch“ pour Lucifer mais appeler le lieutenant Dan Espinoza pour les simples mortels.

“Ici aussi les âmes sont jugées, pas besoin de billet pour les Enfers, Lucifer Morningstar règle directement c'est petit détail.“

En bref, une série drôle. Car il faut l'avouer que le rôle de Lucifer est tordant, imaginez le Joker de Batman, mélanger avec Hulk de Marvel ? Genre la force et la folie ? Vous aurez Lucifer.

Mais aussi une série sombre, on se promène quand même des âmes errantes, des feux de l'Enfer, et des meurtres ou autres punitions physiques infligées aux "méchantes personnes". Une série décalée, avec 3 saisons (la 1 saison disponible en français, et les saisons 2 et 3 sur la FOX).

Pour ma part elle me plaît énormément, souhaitant même regarder la suite qu'on attend impatiemment !


Le ring se dessine, les lumières brillent, les notes de “Warrior“ de Scandal retentissent. Oui vous regardez les premières minute du pilote de “Glow“. Cet univers de paillet, de transpiration, de bleu et d’amitié est sortie l’année dernière sur Netflix. La série nous entraîne dans les années 80, Ruth Wilder une actrice fauchée et sans notoriété, peine à trouver ça place dans le monde cruel du showbiz. Mais par chance elle arrive à dénicher un casting, qui se trouve être hors du commun. Car oui ce casting n’a pas pour but de chercher des actrices, mais des catcheuses ! Ruth devra alors composer avec ces nouvelles collègues, leurs personnalités quelque fois étranges et surtout trouver sa place au sein du groupe. Comme vous avez pu vous en douter le casting se compose principalement de femmes, et pour cause ! Les deux créatrices jouent souvent la carte du Girls Power notamment Carly Mensch, qui a écrit quelques scénarios pour “Orange is New Black“ et “Weeds“, elle a aussi contribué à la série “Nurse Jackie“ avec sa complice Liz Flahive, qui on eu l’idée ensemble de créé “GLOW“. Mais autres les noms de Carly Mentsh et Liz Flahive une autre pointure de Netflix participe aussi au show, Jenji Kohan connu notamment pour avoir produit les séries “Orange is new black“ et “Weeds“ également. Avec ce trio gagnant la série ne pouvait que rempoter un grand succès. Mais qu'est-ce que réellement GLOW ?

LO

“Gorgeous Ladies of Wrestling“ qui est traduit par "Les sublimes dames du ring“ par Netflix, et une histoire vraie. Ce divertissement date des années 80, il a été diffusé sur la télévision américaine, et fut l’un des premiers à mettre des catcheurses en vedette. Dans leur body en lycra elle devait chaque soir s’affronter par “équipe“ les “Good Grils“ et les “Bad Girls“. Le show regroupait des danseuses, des mannequins, des cascadeuses et autres actrices en galère. Il a duré 4 saisons, dont au total 105 épisodes et pris fin en 1990. En 2012 Un documentaire intitulé “GLOW: The Story of Gorgeous Ladies of Wrestling“ de Brett Whitcomb voie le jour, et c’est notamment grâce à ce reportage que Carly Mensch et Liz Flahive on eut l’idée que créer la série produite par Netflix. Une vraie catcheuse dans la distribution ?

Oui Kia Stevens alias Welfare Queen dans GLOW ou alors son vrai nom de scène Amazing Kong dans l’univers du catch américain, et la seule actrice qui connaît réellement l’effet d’être sur le ring. Et grâce à plusieurs victoires elle a eu la chance de faire le tour du monde, puis a dérochée le titre de championne du monde ! En participant à cette série elle signe son premier casher en tant qu’actrice. Dans ce programme, nous retrouvons aussi Alison Brie, qui interprète le personnage principal de Ruth Wilder. Cette comédienne n’était pourtant par prés destiner pour avoir ce rôle, les productrices voulaient quelqu’un de mois connu, car oui rappelez-vous ! Elle jouait aussi l’un des rôles principaux dans la série humoristique “Community“. Cette série relate les aventures de la plus mauvaise des universités américaines et surtout d’un groupe d’étude composé de personnage plus hilarant les uns que les autres. Et c’est donc après de multiples auditions, que Alison Brie a réussie à convaincre son auditoire qu’elle était le bon choix à faire. Pour notre plus grand plaisir, nous la retrouvons en catcheuse aux files des épisodes.

“GLOW“, lueur en français porte bien son nom. Cette production nous transporte avec talent dans année 80, notamment grâce aux musiques qui superpose les images colorées du show. Pour ma part n’étant vraiment pas fan du catch, j’ai enchainé les dix épisodes qui la composent d’une traite. Drame, humour, disco, amitié, trahison et catch une combinaison gagnante pour Netflix. Nous aurons la chance de retrouver “Les sublimes dames du ring“ pour une deuxième saison !



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