Numéro n°3 star wars

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Couverture


Edi

« Il y a bien longtem lointain

Bonjour à tous jeunes Pad numéro 3 d’Art E Show ! Ar mensuel en ligne qui a pour des sujets divers concernant Dès ce numéro, notre maga thème principal, quelques rubr le web, la bande dessin

Dans ce numéro à travers la galaxie célèbres sagas, nous redécouvrons Star Wars par Disney et la sortie imm l’occasion de revenir sur ce complexe

Bonne lecture je vous souhaite, et que Bisous interg


ito

mps dans une galaxie ne... »

dawans ! Bienvenue sur le rt E show est un magazine r but de partager avec vous t l’art, sonore comme visuel. azine vous propose, hors du riques concernant la musique, née ainsi que le cinéma.

e, nous voyagerons. L’une des plus s Star Wars ! En effet le rachat de minente d’un nouveau chapitre sont e univers composé de deux trilogies.

e la force soit avec vous futurs Jedis ! galactiques !


Somm

p6 et p7 : Cine

p8 : E-

p9 : Monte

P10 À 17 : DOSS p18 et p19 :

p20 et p21 : Leve p22 et p23


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SIER STAR WARS 9ème Art

er de rideaux : Events


Dark City Bonjour et bienvenue dans la Cinémathèque glacée. Dans ce numéro, je vais vous présenter le thriller de science-fiction Dark City réalisé par Alex Proyas ! Allez, c’est parti !

Dark City sort en 1998 au cinéma, et une version « director’ s cut » sortira 10 ans plus tard. Il faut savoir que lors de sa sortie dans les années 90, le film est un échec commercial ! Cependant je tenais à vous le faire quand même découvrir car il est plus intéressant qu’il n’y paraît : Alex Proyas nous fait évoluer en même temps que Murdoch dans un univers très sombre et inquiétant mais pas dérangeant. Les effets spéciaux ne sont pas « ringards » et tiennent encore la route aujourd’hui (si, si, je vous assure!). Et ce qui est génial pour un film de science-fiction, c’est que l’ambiance de thriller un peu tordu est plus travaillée que l’action (très présente dans nos films SF actuels) !

Résumer : Un homme, John Murdoch (Rufus Sewell), se réveille dans une salle de bain d’un hôtel, sans savoir ce qu’il y faisait ni depuis combien de temps. Dans la chambre, il trouve un cadavre marqué de spirales. Il s’enfuit après avoir reçu l’appel d’un mystérieux médecin (Kiefer Sutherland) le prévenant qu’il va être poursuivi par « des personnes ». Ces fameuses personnes sont des hommes chauves au teint livide et au grand manteau noir, possédant des aptitudes surnaturelles leur permettant de modifier la vie des gens la nuit. John Murdoch, Donc si vous voulez vérifier que ce que je dis ne sachant pas vraiment qui il est, va tenter est vrai, allez voir ce film vraiment unique ! de comprendre ce qui lui arrive et pourquoi il est poursuivi, tout en développant à son tour Voilà ce sera tout pour moi ! Bisous bisous ! des capacités similaires à ses poursuivants !


AND

Sucker Punch

Sucker Punch est un film fantastique américain réalisé par Zack Snyder. Il est diffusé le 25 mars 2011 aux États-Unis et le 30 mars 2011 en France. Sucker Punch est le premier film de Zack Snyder qui ne s’inspire pas directement d’une œuvre. Synopsis Cela se passe dans les années 1960 ; une jeune fille voit sa mère mourir d’une étrange maladie, alors que son beau-père a l’air réellement heureux de cette perte. On peut ensuite découvrir que tout cela n’est qu’une manigance de ce beau-père. Suite à ça, s’en suit la mort de nombreuses autres personnes, alors que la jeune fille surnommée Babydoll nous fait découvrir un monde à la fois fantastique, surnaturel et très imaginatif. Je ne vais bien sûr pas vous raconter la totalité de ce merveilleux film qu’il ne faut pas hésiter à voir et à revoir, afin d’être emporté dans le même monde que Babydoll, tout cela pour nous permettre de découvrir une seule notion : celle de la liberté. Je vous dis à bientôt pour de nouvelles explications cinéphiles ! A bientôt, et allez camper dans les cinémas !


E-news Site : http://opnminded.com/ Un site pas comme les autres !

Citation d’un artiste : «Un peuple malheureux fait les grands artistes» Alfred de Musset Youtuber : Projet 301 une vue un don pour une association d’aide à la personne. https://www.youtube.com/watch?v=JiXx4QbBGW0 Artiste du web : http://caiozzama.tumblr.com/ Illustration : http://www.studiomuti.co.za/140443/7969733/illustration/the-monster-project Du dessin d’enfant au véritable monstre

Vidéo : https://youtu.be/Ws7QDKI-Ccw Le buzz du groupe Amiénois DUST


Musique Monte le Son ! ED SHEERAN Pour l’ouverture de la rubrique musique, je tiens à vous présenter un grand artiste, interprète et compositeur britannique : Ed Sheeran. Et quoi de mieux pour débuter que la chanson I See Fire issue de l’album The Hobbit : The Desolation of Smaug sortie en 2013. J’ai encore besoin de préciser que cette musique est le générique de fin du film The Hobbit ? Choisi par Peter Jackson, le réalisateur du film Le Hobbit, Sheeran regarde le film, écrit la chanson, et en enregistre la plus grande partie en une seule journée. Bien joué Ed ! N’hésitez pas à découvrir cette magnifique chanson et je vous dis à bientôt pour de nouvelles actus et infos musicales ! Bye.

lien : https://www.youtube.com/watch?v=2fngvQS_PmQ&list=RD2fngvQS_PmQ


Dos Star


ssier Wars


star wars

Si vous comptez voir Le réveil de la Force, le septième épisode de la saga Star Wars, mieux vaut également bien connaître les précédents épisodes. Mais vous avez peut-être oublié certains éléments de cette incroyable saga... Ou peut-être ne les avez-vous jamais vus ?

Voici pour vous maintenant la deuxième saga, celle dont nous attendons la suite depuis maintenant trente-deux ans !!!!!

Quelques années plus tard, Palpatine (Dark Sidious) détient tous les pouvoirs, et la République est donc devenue un Empire. Mais Voici tout ce qu’il faut savoir sur l’ensemble heureusement, Luke et Leïa se retrouvent et des épisodes de Star Wars... Histoire de vous commencent à montrer leurs grandes capacités. remettre dans le bain en quelques minutes. Voici Ils retrouvent également Obi-Wan Kenobi, qui le résumé dans l’ordre chronologique de la saga. s’était caché sur la même planète où il avait déposé Luke, et vont se battre aux côtés des Dans un univers très lointain, il y a de très rebelles. Grâce à ses talents de pilote, Luke nombreuses années, de nombreux peuples réussit à faire exploser l’Etoile Noire, une arme existaient sur de nombreuses planètes. Certains de destruction ultime créée par l’Empereur. pouvaient maîtriser « la Force » qui entourait Malheureusement, Obi-Wan Kenobi meurt des chacun. Ceux qui en faisaient bon usage étaient mains de Dark Vador pour permettre à ses amis les Jedis, et ceux qui au contraire se servaient de s’enfuir. de la Force à des fins malfaisantes étaient les Sith. Trois ans après la destruction de l’Etoile noire, les rebelles sont pourchassés dans tout l’Empire. Dans la saga 1, l’ordre de la galaxie est maintenu Luke apprend à maîtriser la Force auprès d’un par une République. Nous rencontrons Yoda, un des derniers Jedis encore vivants : Le Grand Jedi très puissant qui fait preuve d’une grande Maître Yoda, qui a survécu aux attaques de Dark sagesse tout au long des aventures de Star Sidious. Un combat mémorable a lieu entre Luke Wars ; ainsi qu’un enfant, Anakin Skywalker, qui et Dark Vador, au terme duquel Luke apprend la présente une grande sensibilité à la force. Le terrible vérité : Dark Vador n’est autre que son Jedi Obi-Wan Kenobi le prend sous son aile pour père ! devenir un futur grand Jedi. Malheureusement, Palpatine, un sénateur de la République, se Après la destruction de son Etoile Noire, trouve en fait être un des derniers Sith (peuple l’Empereur entreprend la construction d’une que l‘on croyait disparu), « Dark Sidious » . Etoile de la Mort. Un nouveau combat entre Petit à petit, au fil des années, il pervertit l’esprit Luke et son père se déroule sous les yeux de d’Anakin et se sert de la perte de sa mère pour L’Empereur Palpatine. Ce dernier essaie de l’entraîner dans son filet. Obi-Wan Kenobi ainsi convertir Luke, tout comme son père. Voyant que Padmé, sa femme, font alors tout pour le que Luke s’y refuse, le seigneur noir des Sith retenir dans la lumière, mais Anakin devient le décide de le tuer. C’est à ce moment que Dark célèbre Dark Vador. Malheureusement, Padmé Vador, qui n’a plus que de la haine en lui, réagit perd la vie en donnant naissance à des jumeaux, en voyant son fils en mauvaise position ; le peu « Luke » et « Leïa », qui sont séparés dès la d’Anakin qui reste en lui trouve la force d’attraper naissance. Alors que la République et les Jedis Palpatine pour le tuer. Trop affaibli, il rend son tentent de sauver le monde grâce à une armée dernier souffle dans les bras de son fils, non pas de soldats clones, cela se retourne contre eux ; en tant que Dark Vador, seigneur malfaisant, et Dark Sidious, aidé de Dark Vador, fait exécuter mais en tant que Anakin Skylwalker, celui qui a tous les Jedis ! malgré tout rétabli l’équilibre dans la force.


Musique La bande originale de Star Wars Connue de tous, même de ceux qui n’ont pas visionné les films Star Wars, cette bande originale est aujourd’hui devenue culte. Elle est indissociable de l’univers, mais elle est aussi importante pour le monde de la musique de film. Retour sur ces mélodies qui n’ont pas pris une ride et leur créateur ! Le plus célèbre air de l’album Star Wars n’est autre que « La Marche Impériale », thème associé au personnage iconique de la saga : Dark Vador. Cependant, selon certains il existerait deux versions de ce thème dont la première aurait rapidement été remplacée par celle que nous connaissons, donc oubliée. Les bandes sonores des deux trilogies ont été signées par le même compositeur : John Williams, compositeur attitré de George Lucas et Steven Spielberg ( Les Dents de la Mer ; E.T. L’extraterrestre ; Jurassic Park ; …). Aujourd’hui il est considéré comme étant la personne (vivante) la plus récompensée dans son domaine. Le travail de John Williams sur Star Wars aurait contribué à la modernisation de toute l’industrie de la musique de film et marque également le retour des grands orchestres symphoniques dans le monde du cinéma.


person Missa s’appelle Jar Jar Binks. Missa être très maladroit, alors Missa plus avoir le droit de rentrer chez lui, Missa a fait trop de bêtises, les autres avoir peur de Missa maintenant.

Je m’appelle Obi-Wan. Je suis un Maître Jedi et Général de l’Armée de la République. C’est moi qui ai formé Anakin Skywalker.

Moi c’est Han Sol et capitaine du Fa et peut-être un pe quand on m Accompagné par copilote et meilleu aide la magnifique combattre

Je suis Dark Vador, le plus gra l’Empire. Dark Sidious m’a ense obscur de la Force. Ainsi j’ai pu an ord

Mon nom est Padmé Amidala. J’ai été Reine de Naboo avant d’en devenir la Sénatrice. Je me suis mariée en secret à Anakin Skywalker, Jedi qui était chargé de ma protection.


nnages

lo, le célèbre pilote aucon Millenium... eu contrebandier... me paye bien ! r Chewbacca, mon ur ami Woookie, on e princesse Leia à e l’Empire !

Yoda est mon nom. Vert et petit je suis. Mais grand maître Jedi je suis aussi. Depuis plus de 800 ans des jeunes padawans je forme. A Luke Skywalker, la maîtrise de la Force j’ai enseigné, et un grand Jedi il est devenu.

Je suis C-3PO, je suis un droïde de protocole. J’ai été conçu par le jeune Anakin Skywalker. Je maîtrise plus de six millions de formes de communication. R2-D2 est mon fidèle compagnon, c’est un petit droïde astromech. Mais il est loyal et plein de courage.

and Seigneur Sith et le chef de eigné comment maîtriser le côté néantir tous les Jedi ainsi que leur dre.

Mon nom est Luke Skywalker. Orphelin, j’ai été élevé par mon oncle et ma tante sur Tatooine, avant de découvrir que j’allais devenir un grand Jedi et que j’avais une sœur , Leia, princesse d’Alderande et chef de l’Alliance Rebelle, qui ne savait pas non plus qu’elle avait un frère.


7ème opus

Nausicaä de la décharge de Jakku

«E

very Generation Has a Story», voilà le slogan de cette nouvelle trilogie et voilà que cette nouvelle histoire inédite est enfin arrivée sur nos écrans. L’attente est définitivement brisée. Et la première chose que l’on peut faire, même si des choses déçoivent, c’est remercier du fond du cœur J.J. Abrams, Lawrence Kasdan et Michael Arndt pour ne pas avoir abandonné la saga entre les mains d’une industrie calibrée et sans saveur. En effet, The Force Awakens s’inscrit dans une époque où le cinéma hollywoodien n’a jamais été aussi peu créatif en plus d’être dans l’idée exécrable d’émoustiller autant le père que le fils en proposant des reboots, à la manière d’un certain Ridley Scott qui radote de son cinéma sans y retrouver la saveur d’antan, qui, pour la plupart, sont dispensables voire totalement risibles.

J

.J. Abrams avait signé ce qui semblait être un projet perdu d’avance et, au plus grand désarroi général, a plutôt très bien amené la trilogie de la nouvelle génération car The Force Awakens, en plus d’être un bon Star Wars, est surtout un très bon film. En vérité, l’intérêt de cet épisode réside surtout dans le parti pris du réalisateur : faire un film identifiable sur les bases de la trilogie originale, principalement A New Hope, et c’est totalement une réussite sur ce point de vue. The Force Awakens est un film nostalgique qui ne pompe pas un matériau culte mais lui voue un autel, tout en l’inversant voire en l’améliorant. Tout tourne autour de ce passage du flambeau de la mythologie à une nouvelle génération, tout en proposant un scénario à la fois prévisible pour les fans de la première heure, mais également étonnant quant à son côté encore une fois inversé, notamment pour ce qui est des personnages et de leurs constructions respectives. The Force Awakens est un miroir de l’épisode IV et doit être considéré comme tel. C’est d’ailleurs en l’appréhendant de cette façon que l’on réussit à capter toute la symbolique

de celui-ci et sa manière très minutieuse de se détacher petit à petit de la trilogie originale pour ainsi nous mettre en condition pour une nouvelle aventure inédite.

D

’un point de vue scénaristique, donc, le film est plutôt très ingénieux, et même si certains raccourcis et quelques dialogues paraissent étranges voire légèrement bâclés, l’ensemble est vraiment de très bonne facture si on le prend, encore une fois, comme un passage d’une génération à une autre. C’est d’ailleurs pour cela, toujours dans cette idée de confrontation entre le passé et le futur de la saga, qu’on parle de Luke et de la Force comme d’un mythe, que les rebelles soient devenus des résistants, indépendants de la République, et que l’Empire ait laissé sa place au «Premier Ordre» et n’ait comme changement que la violence, beaucoup plus implicite, qu’il inflige. Le côté «inversé» se retrouve davantage dans les nouveaux personnages et leurs actions, où l’on ressent cette écriture si particulière et inattendue qui fera sûrement la sève des épisodes suivants. On retrouve un Finn, joué par John Boyega, très drôle et en même temps très mystérieux, puisqu’il s’agit d’un stormtrooper totalement humanisé et mis au devant de la scène. On nous propose également une sorte de nouveau Han Solo, bien que celui-ci soit central : Poe Dameron joué par un Oscar Isaac toujours aussi incroyable. Un personnage charismatique qui, malheureusement, n’est pas énormément porté à l’écran. Kylo Ren, quant à lui, est très original dans son traitement puisqu’il est bien plus qu’un simple sith, étant finalement un jeune homme essayant de suivre les traces d’une des plus grandes figures de l’histoire du cinéma. Adam Driver joue d’ailleurs très bien ce personnage tiraillé, en quête de reconnaissance et d’aspiration maléfique, mais qui, au final, est loin d’être accompli.


M

ais l’épisode VII ne serait pas un film si efficace sans le personnage de Rey, qui se trouve être un des personnages les plus charismatiques de toute la saga. En effet, en plus de rendre l’épisode si identifiable de par l’écriture et la construction de son personnage, ce nouveau «Luke» est extrêmement bien pensé. Daisy Ridley, qui est d’ailleurs une jeune actrice qui n’avait pas encore fait ses preuves, s’en sort à merveille et nous offre une prestation vraiment rafraîchissante, de par un jeu très sincère et qui n’a de cesse de toucher par sa maladresse qui en devient finalement une qualité tout au long du film. Rey se rapproche d’ailleurs des personnages féminins du grand Hayao Miyazaki et fait notamment penser à Nausicaä. Une jeune femme forte et aventureuse qui garde une certaine tendresse féminine ce qui, d’ailleurs, lui permet souvent de faire les bons choix. Ces nouveaux personnages sont vraiment iconiques et identifiables en plus d’être crédibles, chose totalement inattendue. Et même si on peut être déçu par certains de ces personnages, ce serait cependant faire preuve de mauvaise foi que de les juger péjorativement tant ces nouveaux acteurs semblent investis et prometteurs pour la suite.

mais restent totalement minoritaires. Défenseur de l’argentique et réalisateur bercé par cet aspect «artistique» du cinéma américain, J.J. Abrams nous offre un film très bien maîtrisé et passionnant sur sa forme, qui rend littéralement aux décors réels et à l’aspect «bricolage» de la mise en scène leur gloire passée, tout en ajoutant la force du numérique, lorsque celle-ci tient le rôle clef de mettre en scène l’impossible et de briser les frontières quant aux idées de mises en scène ambitieuses. The Force Awakens est en effet une perle cinématographique à ce niveaulà et un savant mélange entre ce qui a été fait et ce qui peut être fait aujourd’hui, en plus d’avoir une ambiance sonore grandiloquente si chère au cinéma de son réalisateur notamment à travers la violence sonore du sabre laser.

A

u final, The Force Awakens est une excellente surprise avec des défauts évidents mais qu’on ne peut que pardonner lorsqu’on constate que toute la sève qu’avait fait la trilogie originale se retrouve dans ce nouvel opus. Ce passage d’un mythe cinématographique d’une génération à une autre, qui se retrouve autant dans le scénario que dans la mise en scène, témoigne du génie de son réalisateur, et on ne peut que se réjouir qu’un tel cinéaste se soit retrouvé aux ôté mise en scène et réalisation, c’est à la commandes d’un projet si délicat. Porté par un fois excellemment maîtrisé mais aussi très héritage conséquent, le film pourrait se résumer humble. Disney nous avait prévenus, J.J. Abrams à sa bande originale signée par le grand John est un énorme fan et un spécialiste de la trilogie Williams : une composition timide mais qui, originale, qui ne porte d’ailleurs pas vraiment lorsqu’on l’écoute avec plus d’adresse, est la prélogie dans son cœur. Ce cinéaste est, en d’une qualité considérable. Espérons que Rian effet, bloqué entre les premiers blockbusters très Johnson saura se détacher de la trilogie originale bricolés et ingénieux qui constituaient l’aspect dans le prochain opus, en nous proposant onirique du nouvel hollywood d’antan, et l’âge du une suite digne d’une trilogie inédite qui, il faut tout numérique où les décors et les effets spéciaux l’avouer, commence très bien et fait réellement n’ont plus la magie de l’époque et où des films plaisir notamment lorsqu’on observe le paysage attachés à cet héritage comme Mad Max: Fury industriel cinématographique américain qui n’a, Road écrasent littéralement toute la production en général, d’égal que sa fadeur. Impressionnant. cinématographique américaine d’aujourd’hui

C

Conclusion

Depuis sa sortie dans les salles obscures, la saga Star Wars a rencontré un tel succès que la franchise a été adaptée en série d’animation se déroulant dans des univers parallèles ou en jeux vidéos, et des produits dérivés en tout genre ont rapidement fait leur apparition. Des répliques telles que « Je suis ton père » ou bien « Que la force soit avec toi » sont devenues cultes, et il est juste de dire que le monde de Star Wars fait désormais partie de notre culture et n’est pas prêt de disparaître !


Le 9 ème Art



Lever

N

Bonjour, bonsoir ! Bienvenue à la rubrique thé de gré ou de force, en vous présentant la pièc Goumet.

Je tiens à vous préciser que ce n’est pas la gra les lycéens, et c’est d’ailleurs là que je l’ai déco

Le principe est simple : un comédien qui incarn petits Playmobile ! Eh oui, le comédien est se dans un monde drôle, imaginaire, inventif et à l théâtrales, et n’hésitez pas à aller admirer nos


de Rideaux

NOUVEAU HEROS

éâtre ! Pour la première de cette rubrique, je tiens à vous ramener en enfance, ce théâtrale Nouveau Héros, pièce réalisée et jouée par le comé dien Nicolas

ande pièce dont l’on entend parler, loin de là. Celle-ci est connue et faite pour ouverte.

ne Hercule, ce grand héros grec, et les autres personnes...incarnée s par des eul sur scène durant près de 1h30, mais arrive malgré tout à nous emmener la fois futuriste. Ça c’est de l’art ! Je vous dis à bientôt pour de nouv elles infos chers artistes ! Bye.


Eve

Les rencontres internationales #19 – Paris

Je préfère qu’on reste ami – Olympia Paris

Au rendez-vous des Enfoirés – Accorhotel Arena

Jérémy Ferrar – Le Trianon Pa

Balthazar – Olympia Paris

Motörhead – Zénith de Paris

Paul Kalkbrenner – Zénith de Paris

Miossec – Lune des Pira Messmer Inte Zénith – Amie Touche Franç Paris


ents

ri aris

ates - Amiens emporel – ens çaise #2 –

Nikon Festival – Champigny Sur Marne – Val de Marne (94), Open Space #4 – Paris

Hungry music Tour – Olympia Paris

Georgio – La Cigale Paris

D’Jal – Auditorium Mégacité - Amiens

The Australian Pink Floyd Show – Zénith – Amiens Luce – Lune des Pirates – Amiens

JCC (Jamel Comedy Club)Auditorium Mégacité – Amiens Cirk L – Cirque Jules Verne Les 30 ans du Raï – Zénith de Paris

Muvrini « Invicta » Zénith – Amiens

Celtic Fantaisie – Zénith – Amiens Future ! – Paris (jusqu’au 21 février)

Jason Derulo – Zénith de Paris 7 Paris Grand Slam 2016 – AccorHotel Arena



Remerciement Quentin Rigaux - rubrique - Le 9ème art Gwendoline Simon - illustration/rubrique – Couverture/Le 9ème art Constance Olsem - corrections Lora Mazur - illustrations - Edito, Sommaire, Personnages, 7ème Opus, Conclusion, 4ème de couverture Camille Orlandi - illustration - Remerciements Ewen Linet - article – Le 7ème Opus N.B - rubriques - E-News, Events Amandine Mitsune - illustration/rubrique – Couverture/Le 9ème art Mathilde Plé - article – Edito Céline Pluyet - article - Personnages Snow - article/rubrique - Musique, Conclusion, Cinéma Ticket Chloé Hernandez - rubriques – Cinéma Ticket, Monte le son, Lever de rideaux A.Sauer - article- Star Wars Noko - illustration - Couverture dossier Yggdrasylum - illustration - Star Wars Magazine mis en page par Lora MAZUR L’équipe d’Art E Show vous remercie de continuer à les suivre.



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