ARCHITECTURE & P A Y S A G E PORTFOLIO
AUDREY AUBERT 1
17
2
/sommaire /formation . . . . . . . p.5 2017 /M2 Urbanisme et aménagement /spé paysage 2014 /PFE l’espace urbain vertical 2013 /M2 la pièce urbaine 2013 /M2 la ligne 2012 /M1 école de danse 2012 /M1 logements collectifs 2007-11 /Licence /concours /workshop . . . . . . . p.27 2015 /Concours UP Albâtre 2014 /Concours UP Trouville 2014 /Workshop Limapolis /pro . . . . . . . p.35 2016 /Ateliers AUAV 2015-16 /2Portzamparc 2014 /Atelier du Prado 2014 /Ileana Popea Architecte 2014 /Projet personnel 3
4
/formation /concours /pro
5
Hypothèse de projet : Une entrée du parc terrestre (réhabilitation de l’usine Legré Mante) connectée visuellement et par un cheminement piéton à l’entrée marine. Deux promenades (sous)marines envisagées : . la grande boucle qui suit la limite nord du parc, ponctuée par les épaves jusqu’à l’ile du Planier, sensibilise aux mondes marins (faune et flore), à l’histoire géologique et au patrimoine architectural . la boucle littorale, du port de la Madrague aux Goudes qui offre la possibilité de comprendre la continuité entre écosystème littoral, maritime et marin en randonnée palmée et bateau.
6
WORKSHOP - ESQUISSE ÉCOLOGIE Un massif collinaire protégé Responsable workshop : C. Mermier- A. Marco / Programme : réalisation d’un parcours de promenade et de découverte du Parc National des Calanques entre la Madrague et le début des Calanques (Mont-Rose, Calanque de l’Escalette, Anse des Goudes, Cap Croisette, Cap Canaille) / Thématique : confrontation avec les problématiques de conservation et préservation de la biodiversité dans la réalisation d’un projet de paysage. / Site : les portes du Parc National des Calanques - La Madrague / Les Goudes (Marseille) / Hypothèse : SOUS L’HORIZON, LE PAYSAGE Chacun s’accorde à reconnaître le caractère exceptionnel des espaces terrestres des Calanques mais le public est plus restreint quant à la découverte des espaces marins du parc. Le coeur marin représente pourtant plus de cinq fois la surface du coeur terrestre et on ne peut en définir les contours ni depuis la terre, ni en mer. L’enjeu est de permettre une plus grande accessiblité aux espaces marins pour sensibiliser et faire découvrir les richesses du parc au delà de notre ligne d’horizon définie par le niveau zéro de la belle mer méditerranée.
7
/pro /formation // M2 urba paysage
2016-17 /Master 2 Urbanisme et Aménagement / spécialité Paysage et Aménagement Partenariat IUAR Aix-Marseille // ENSP Marseille
MASSIF DU GARLABAN
Pôle multimodal (piéton, vélo, bus, voiture), zones refuge, requalification de la typologie de l’habitat dans la zone inondable Requalification et mise en valeur des espaces verts existant
Oppidum Baou de la Tourette
ZAC La Valentine
GARE St MARCEL
Espaces publics (parc paysager, parvis de gare, zones refuge): nouveau coeur de village Suture les différents quartiers déconnectés et previent des risques
GARE La BARASSE
ancien crassier de la Barasse
Mise en valeur et sensibilisation du parc paysager industriel Requalification de l’accès et l’entrée du parc des Calanques
GARE La Penne-surHuveaune
PARC NATIONAL DES CALANQUES
2016-17 /Master 2 Urbanisme et Aménagement /spécialité Paysage et Aménagement Partenariat IUAR Aix-Marseille // ENSP Marseille ATELIER MÉTROPOLITAIN - Responsable Master : J.N Consales / Site : Saint Marcel - La Barasse (Marseille), La Penne-sur-Huveaune / Thématique : Ville / Risques / Recyclage / Programme : Esquisse de projet urbain à partir de l’analyse du territoire selon trois axes de recherche à questionner à différentes échelles : Habiter, Bouger, Respirer. Le territoire de La Penne-sur-Huveaune est exposé aux risques multiples (Inondation, risques technologiques, incendie...) et la ville compte de nombreux délaissés urbains qui sont sources de décharges informelles. Reflexion portée sur l’aménagement du territoire afin de l’inclure à l’échelle de la Métropole Aix-Marseille selon la thématique «Ville / Risques / Recyclage (urbain)» / Hypothèse : Le territoire de la Penne-sur-Huveaune est traversé par des réseaux divers concentrés en fond de vallée. La ville est fragmentée par ces réseaux de transport et hydrographique et par la mixité du tissu urbain. Il n’y a pas de réels espaces publics en centre bourg. La ville est exposée aux risques multiples. On repère aussi un fort potentiel en terme de qualité paysagère : l’Huveaune, le parc National des Calanques et le massif du Garlaban. Pourtant ces entités paysagères ne sont pas mises en valeur. Les gares constituent des centralités, des points d’accroche de la ville par une pratique piétonne associée (à l’échelle du quartier) et sont aussi des leviers territoriaux, parce qu’elles sont connectées aux territoires plus lointains (échelle métropolitaine). Associées aux délaissés urbains à requalifier, les gares peuvent être épaissies et devenir des lieux de vies, espaces publics attractifs, ouverts et désimperméabilisés, zones d’information et de refuge pour prévenir et répondre aux risques. Plus que des gares, ces centralités deviennent des pôles multimodaux. 8
/pro /formation // M2 urba paysage
SAINT MARCEL, EXEMPLE DE RECYCLAGE URBAIN
St Marcel actuellement des espaces fragmentés Saint-Marcel actuellement : des espaces fragmentés, un quartier St Marcel actuellement exposé des au espaces risque fragmentés inondation, une gare déconnectée du centre bourg
Hypothèse de projet : un parvis de gare qui s’étend jusqu’au noyau villageois, des rez-de-chaussée réhabilités, l’Huveaune accessible et visible
Un parvis de gare qui s’étend jusqu’au noyau villageois en réinvestissant les rez-de-chaussée et en rendant l’Huveaune accessible
Un parvis de gare qui s’étend jusqu’au noyau villageois en réinvestissant les rez-de-chaussée et en rendant l’Huveaune accessible
L’entrée vers le Parc National des Calanques ; « crASSier de LA bArASSe » Réaménager les accès depuis la ville qui tourne le dos aux grandes entités paysagères une promenade sensible autour des sites pollués Des risques imbriqués (incendie - glissement de terrain - inondation - pollution industrielle)
crassier
9 « crASSier de LA bArASSe »
tALuS de bAuxite
talus de bauxite tALuS de bAuxite
Insertion dans le site, parc des Cormailles, Ivry sur Seine Plan masse
10
/pro /formation // PFE
2014 / PFE L’espace urbain vertical Laurent Salomon Site : Parc des Cormailles, Ivry-sur-Seine
Programme régulier : Hospitalisation / Hotel familial Consultation Programme singulier : Plateaux techniques lourds Logements Espace urbain Accueil
On propose dans ce projet d’installer la ville dans une verticalité. On se doit de conserver certaines constantes au travers de la tour dite métropolitaine; de l’espace vide extérieur, baigné de lumière naturelle qui sépare des programmes différenciés et dans lequel on fabrique l’urbain. Vivre dans la hauteur pose les questions des différences de référentiel par rapport à l’horizon, au sol, et au déplacement. L’intention initiale du projet est d’avoir une lame de distribution verticale, opaque et structurelle, sur laquelle on «accroche» des programmes. Elle rationalise le parcours vertical, facilite la lecture de la distribution principale et de la circulation verticale. C’est l’interprétation d’un déplacement urbain replié à la verticale, semblable à la ligne de métro ; une ligne composée de points s’apparentant à des stations. C’est ici l’hypothèse retenue.
Composition d’un module : Hospitalisation Consultation Plateau technique lourd Espace urbain + variable selon la façade Est
Le programme de l’hôpital peut être travaillé par modules. A chaque module, son espace public et urbain, orienté vers le parc. La lame distributive donne l’occasion de séparer les programmes. On choisi ici d’opposer le programme hospitalier public à l’ouest, comprenant les chambres d’hospitalisation, les consultations, les espaces urbains contenant des programmes variés (cafétéria, espace multimédia, bibliothèque, salle de sport, garderie) et les plateaux techniques lourds, du programme plus privé à l’est, réservé au personnel médical (bureaux de médecins, locaux infirmières, logements du personnel et des internes, administration, salles de réunion). La surface du plateau technique assure l’espace urbain du module supérieur. Le caractère opaque de cette lame permet de composer la façade Est plus librement.
11
Organigramme programmatique
On trouve des variations dans chaque module, chaque espace urbain au gré du programme qui le constitue, notamment avec l’hôpital de jour ou le CHU. Le CHU est au sommet de la tour, pour le caractère public qu’il sous-entend. L’amphithéâtre est adaptable en salle de spectacle. On y trouve aussi les salles de classe. On choisi, en toiture de disposer d’un enclos, dont la vue privilégiée est orientée vers le ciel. Si dans l’ensemble de la tour, les vues sont organisées en cadrages vers un horizon lointain, la toiture est alors l’occasion de faire entrer le ciel dans le bâtiment. Ainsi, se termine l’expérience de la tour en son point le plus haut, directement mis en relation avec le cosmos; c’est un hommage à l’angle droit. Le soubassement de la tour, plus large, permet au visiteur de minimiser l’impact vertical de la construction à son environnement le plus proche. On évite ainsi toute forme de monumentalité. Il intègre l’accueil, les services constitués par les plateaux techniques des urgences, de réanimation et de radiologie, la logistique, l’administration. Les urgences sont accessibles depuis le pont. La hauteur du soubassement est similaire au bâtiment HLM Maurice Thorez en face. La rampe d’accès au hall principal décaissé d’un mètre soixante quinze indique le changement de référentiel sol : le sol de la tour n’est pas le même que celui de la ville. Le module est travaillé en «boite à lumière», avec une prise en considération de la plus grande dimension, la diagonale, vecteur de dilatation de l’espace. Elle se lit par la lumière et la vue, et tend à rendre captif un espace urbain. L’espace contenu, ainsi dilaté fait place à un travail de compression nécessaire. C’est alors une gamme de types de lumière (indirecte, directe, filtrée), qui permet de hiérarchiser les éléments architecturaux s’installant dans le vide. On fait appel à un travail topographique pour installer des points de vue et des cadrages. Par analogie à la ville, le projet d’espace urbain vertical nécessite une complexité mesurée. Reste alors à mettre en œuvre des «façades urbaines» intérieures, tantôt le jour comme réflecteur de lumière naturelle, tantôt la nuit comme objet lumineux.
12
Coupe transversale BB
/pro /formation // PFE Module C bibliothèque salle activités sportive amphithéâtre 250 places salles de cours hôtel familial -internat consultations hospitalisation hôpital de jour cafétéria du personnel épaisseur technique Module B unité de biologie hôtel familial consultations hospitalisation garderie restaurant Module A unité de chirurgie hôtel familial consultations hospitalisation hôpital de jour espace multimédia
BASE unité de réanimation service des urgences déchocage imagerie/radiologie hôtel familial administration/logistique
Coupe longitudiale AA
13
Espace urbain, module B
MODULE A
Plan niveau 1 Espace urbain altitude: 45m
Plan niveau 0 Espace urbain altitude: 40m
Espace urbain, module C
MODULE B
Plan niveau 1 Espace urbain altitude: 97m
Plan niveau 0 Espace urbain altitude: 94m
14
MODULE C
Plan niveau 4 Bibliothèque / salle de sport altitude: 203m
Plan niveau 1 Espace urbain haut altitude: 178m
/pro /formation // PFE Module A: espace urbain - hĂ´pital de jour
Module B: vue depuis la cafĂŠtĂŠria vers la garderie
15
Module C: restaurant du personnel
Plan RDC, accès principal, espace urbain intérieur
Plan centre de conférences
16
/pro /formation // M2 archi
2013 / La pièce urbaine_ Laurent Salomon Site : Coeur Condorcet, Aubervilliers / programme : centre de documentation (bibliothèque, maison des étudiants, espaces micro-entreprises, galerie d’exposition, salles de projection), centre de recherche (ateliers chercheurs), centre de conférences (amphithéâtres, salles de conférence, salles de réunion, salle des actes), administration et restauration, espace urbain intérieur (public)
Elevation Sud, accès depuis le métro
/ thématique : la ville-bâtiment, un édifice qui a la faculté d’intégrer et d’assumer la ville dans son espace urbain intérieur. Coupe 1
/ hypothèse : volonté d’une continuité de la rue biaise qui traverse le projet jusqu’au métro. Les programmes singuliers (centre de conférence et bibliothèque) se tournent vers la ville (l’un vers paris et l’autre vers Aubervilliers) et marquent deux entrées monumentales, à l’échelle urbaine. Les façades Est et Ouest façonnent des entrées à l’échelle du piéton, avec l’entrée vers le métro et une cafétéria. La figure est une double équerre : horizontale (centre de conférence) et verticale (centre de documentation). Elle est la résultante d’un pliage de ces deux formes. Le tout s’intègre en plan dans un carré.
Elevation Ouest, restaurant, administration
Coupe 2
Angle sud-ouest, restaurant, centre de conférences, administration
17
Angle nord-est, bibliothèque et centre de recherche
2013 /La ligne_Laurent Salomon Site : Coeur Condorcet, Aubervillers / programme : 60 logements collectifs et une université (amphithéâtres, salles de classe, espace public) / thématique : la ligne, support pour expérimenter la problématique de la répétition, qui peut tendre vers une singularité complexe sans rompre son caractère répétitif. / hypothèse : la figure préexistante est interprétée. Une lame de distribution sépare le programme de logements qui s’oriente au sud, du programme universitaire qui s’oriente au nord. Après avoir déterminé un logement, une salle de classe et un amphithéâtre tous «idéaux», l’assemblage permet d’enrichir chaque entité. Un module de 4 étages de logements (tous en duplex) correspond à un module de 5 salles de classes plus un amphithéâtre de 100 personnes. Le découpage de la figure permet d’organiser des espaces urbains réservés spécifiquement à l’université ou aux logements, et d’autres partagés voire publics.
ÉLÉVATION NORD ech 1/200
18
COUPEÉLÉVATION AMPHITHEATRE ech 1/20 ÉLÉVATION NORD ech NORD 1/200 ech 1/200
/200
/pro /formation // M2 archi COUPE AMPHITHEATRE COUPE AMPHITHEATRE ech 1/200 ech 1/200
^ élévation et coupe < maquette, détail des assemblages > croquis de la figure existante, donnée en master1
19
20
/pro /formation // M1 archi 2012 /Ecole de danse et salle de représentation _ Emmanuel Cerise Cyril Ros Site : Siem Reap, Cambodge / programme : école de danse, musique, théâtre, ateliers créatifs pour la fabrication de costumes et masques. Salle de représentation, orientée sur le bassin
Projet
/ thématique : La ville est confrontée au problème de l’urbanisation rapide liée au tourisme de masse. réflexion portée sur l’eau et sa gestion, la mise en valeur et conservation des espaces naturels indispensables à la ville (bassin de rétention - les «bareng») ainsi que l’espace public des habitants. / hypothèse : la parcelle choisie donne accès à un bassin périssable et de moins en moins accessible, envahi par des constructions neuves de logement individuel qui se font de manière incertaine et désordonné. Proche d’écoles, la parcelle est sur un tissu peu dense. On choisit de proposer une école de danse, théâtre avec ateliers et salle de spectacle. on décide de mettre en scène le bassin. Il devient le décor et fond de scène d’une salle de représentation/spectacle. un accès au bassin est conservé ; l’espace extérieur sur la parcelle est un espace public. L’autre partie de la parcelle, sur rue, est réservée à l’école et aux ateliers
Parcelle
21
Bareng
22
/ programme : 60 logements sur une parcelle de 90mx40m dont l’angle est ouvert sur un croisement de rues. / thématique : travail sur l’épaisseur habitable, la continuité entre logement individuel, l’espace collectif et l’espace public, les accès et dessertes. / hypothèse : vivre entre combles et caves. Le logement idéal est un T4 en duplex ; avec une hauteur de 4,60m sous plafond, dans laquelle s’organisent espaces et sous-espaces. Les pièces et les volumes vides de rangement ou de service fabriquent des sous-espaces réels (plancher surélevé de quelques dizaines de centimètres) ou visuels (plafond abaissé) Logement traversant, accessible par une coursive (espace semi-public et appropriable). Espaces extérieurs privés (balcon, terrasse, patio)
23
/pro /formation // M1 archi
2012 /Le logement collectif_ Edith Girard Site : Maringa, Brésil
2010-11 /Concours ABN_Atelier Luis Barragan Site : Mexico D.F, Mexique / programme : 400 logements sociaux et parc public/privé. Travail en groupe. Trois typologies de logements s’organisent sur la parcelle. / hypothèse : Travail sur différentes typologies avec des constantes dans les logements : double hauteur, double exposition est-ouest, ventilation naturelle croisée, isolation solaire à l’ouest par l’épaisseur de la circulation. . Un module «plot», un module «ligne» et un module «intermédiaire». L’ensemble des modules «lignes» forme une barrière permettant l’occultation du bruit des voies ferrées sur le site, les modules «plot» et «intermédiaires» sont disposés sur la parcelle et fabriquent des espaces semi-publics extérieurs appropriables.
2009 /L’image_Lorenzo Piqueras / programme : centre d’art contemporain / hypothèse : analyse d’une photographie en noir et blanc d’auteur, au trait, en positif/négatif/ en nuances, en polychromie, pour élaborer un document graphique résultant de l’image. Il est la matrice de la représentation du futur bâtiment. C’est ensuite une «mise en volume» de la photographie à partir des lignes de composition de l’image. La découverte de la forme passe par la «bidimensionnalité» d’un plan à la tridimensionnalité de l’espace. L’exercice se pratique au travers d’un support formel qu’est l’image, point de départ du projet. Le travail est basé sur l’imaginaire, autorise la complexité des formes. L’importance du domaine pictural dans le projet architectural est montrée. Les différentes analyses montrent le déplacement successif de la perception, et la concrétisation en maquette révèle des espaces architecturaux riches.
2008 /Le logis_Bernard Paurd Serge Clavé / thématique : Initiation au logement, à la gestion de la lumière solaire, et à l’ergonomie de l’espace, au cadrage, à l’intimité, et à la modularité. / problématiques : sensibilisation de l’organisation des espaces en fonction de la lumière solaire, de la temporalité, et du programme. L’ombre et la lumière font le projet. Conscience des différents types de lumière et des moyens pour la diriger (lumière directe, indirecte, filtrée / paroi opaque réflecteur, paroi translucide, miroir) Concilier le «privé» (l’intimité) et le «public» (la lumière naturelle) ; l’hypothèse «voir sans être vu». Apprentissage de l’orientation du regard de l’homme. L’espace modulable : la loggia ; moyen de faire paraître plus grand l’espace du logement. La fenêtre d’angle ; espace extérieur lorsqu’on autorise l’ouverture de l’angle. Initiation à la couleur dans le projet architectural. Habiter la couleur qui détermine des espaces différenciés, la limite virtuelle de la lumière colorée.
24
/pro /formation // LICENCE archi Plan masse , module de logements ; module «plot» module «ligne» module «intermédiaire»
Photo : Franck Horvat, La femme au comptoir Paris 1957, image de synthèse, interprétation de l’image, maquette d’étude
^ coupes schématiques, principe du «voir sans être vu» ; laisser rentrer la lumière, cadrer le paysage, conserver un espace intime < diagramme des ombres 25
26
/formation
27
/concours /pro
36 28
2015 /UP Albatre Concours international d’idées d’aménagement durable_ Horizons_ MCA M.Rugolin, C.Griolet, A.Aubert / rendu de concours : documents graphiques, dossier de présentation, estimation budgétaire / programme : aménagement urbain et territorial, mise en valeur du paysage pour redonner une identité au territoire Pays de Caux/ Côte d’Albâtre. / intentions : valorisation du territoire naturel par l’installation d’interventions paysagères ponctuelles, qualifiant un parcours global au sein de la communauté de communes Côte d’Albâtre. Ces interventions se greffent sur des réseaux existants d’infrastructure de loisirs, et valorisent les sites de découverte de la nature. Le projet jouent avec différentes échelles : localement, il aménage des sites de ceux qui proposent des équipements touristiques. À plus grande échelle, on propose de mettre en place une campagne de communication visant à s’approprier les interventions et à les connecter librement selon les habitants et visiteurs, pour faire des ces points stratégiques, un parcours global attractif. Enfin, les projets sont au service du territoire, permettent de les contempler, offrent de nouveaux points de vue et de nouvelles manières de penser le territoire. C’est un projet participatif dans la mesure où l’usager fait partie intégrante du projet. Trois expériences sensorielles sont proposées : - la mer, l’horizontalité ; un belvédère en porteà-faux sur les falaises de la côte d’Albâtre, situé stratégiquement à l’intersection d’un réseau existant. - l’eau, l’immersion ; une promenade sensitive dans les vallées de la Durdent, qui enrichie les parcours existants. - le ciel, la terre ; un observatoire qui offre un point de vue final sur le plateau cauchois et les clos-masure _typologie de propriété caractéristique du Pays de Caux.
/pro /formation
Ce sont des marqueurs du territoire, activateurs de paysage qui ont pour but de sensibiliser le visiteur.
29 37
TrouvilleS
La boucle, les points
MCA_Audrey Aubert_Camille Griolet_Mélissa Rugolin Nos objectifs sont les suivants: équilibrer les différentes parties de la ville en proposant de multiplier les centres d’intérêts et d’activités autant touristiques que résidentiels; réunir l’ensemble des habitants autour d’un projet linéaire commun basé sur une constellation d’activités et d’équipements; enfin, offrir une alternative à la voiture avec la mise en place de parkings et d’un réseau piéton et de transport qui assure une réelle continuité sur l’ensemble de la ville.
Multiplication
Constellation
Continuité Nous proposons un réseau qui touche différentes échelles: tout d’abord une nouvelle ligne de bus qui lie la ville haute à la ville basse, rapide avec un minimum d’arrêts, il s’arrête à chaque point stratégique construit ou réhabilité. Nous l’envisageons comme une navette express, efficace et ciblée. Elle dessert l’ensemble de la ville et permet de relier les nouveaux centres entre eux. Elle s’ajoute à la ligne de bus 22 existante dont nous modifions légèrement le tracé pour une meilleure desserte. C’est également un cheminement piéton, qui propose une promenade alternative qui peut être considérée dans son ensemble (comme un élément de découverte à part entière) ou par tronçons, voire comme un moyen de déplacement. Cette promenade traverse différents paysages et est ponctuée par différentes activités et équipements. Nous nous appuyons sur des structures existantes que nous développons pour former un parcours continu: le ruisseau de Callenville et son sentier ludique déjà mis en place, la Touques et ses quais, la plage et les planches, le GR qui traverse la ville sont autant d’éléments préexistants que nous souhaitons développer et intégrer au sein d’un parcours plus vaste et plus adapté à l’échelle de la ville. Pour relier les éléments déjà existants et les pôles d’activités que nous développons, nous proposons des installations sensitives. Ces éléments de promenade guident les piétons sur un cheminement accessible à tous qui traverse les différents visages de Trouville.
g
La Gare Multimodale. Navette Express Ligne 22 Navette Aéroport Parking de 350 places Cinéma Place urbaine
odale
La Gare Multimodale et la forêt de Callenville
Fo
ch -C as i
o
En contre-bas du site se trouve un pôle de tourisme alternatif : des modules n complètement immergés dans la nature. Le visiteur, qui laisse sa voiture dans le parking ,est directement dirigé vers des moyens alternatifs de se déplacer et il est ainsi immédiatement plongé dans l’ambiance d’une ville où le piéton à une véritable place de choix. Pla ce
ue s
la To uq
de
Qu ai
de
len v il le
Point central qui relie les différents moyens de transports : navette express, ligne 22, navette venantl de l’aéroport, voitures (mise en place d’un parking de 350 places), Ca avec le départ du cheminement doux. vélo et piéton Elle est associée à un équipement fonctionnant toute l’année et qui s’adresse aussi bien aux résidents qu’aux visiteurs: un cinéma. Fo rê t
Ga re
m
ult im
od ae
l
Plan masse 1/2000
Nous proposons de repenser la place Foch comme une véritable place de ville, qui met en valeur le casino et met en scène son entrée, tout en permettant de créer 200 places de parking, semi-enterrées. Ce parvis pourrait alors devenir un véritable lieu de vie.
gare multimodale
La place Foch-Casino
Coupe 1/1000
Le centre Bourg et la forêt d’Hennequeville Centre actif du nouveau quartier d’Hennequeville: implantation Comme pour la gare multimodale, le centre d’activité est situé à d’activités commerciales et de loisir autour d’une place publique proximité d’une réserve naturelle sur laquelle nous développons avec un parking de 500 places en sous-sol. des équipements sportifs à l’échelle de la ville et du nouveau Cette place est le début d’un aménagement plus vaste de la zone, quartier: un terrain de football, des terrains de tennis, un centre où pourrait à l’avenir s’installer un éco-quartier qui diversifierait aquatique et un parcours santé prennent place autour du ruisseau casino l’offre de logements pour les résidents, attirant ainsi un nouveau et du sentier continu. Nous proposons de repenser la place Foch comme une type de population. véritable place de ville, qui met en valeur le casino et met en scène son entrée, tout en permettant de créer 200 places de parking, semi-enterrées. Ce parvis pourrait alors devenir un véritable lieu de vie.
Le club Nautique
Coupe 1/1000
club nautique
Nous proposons de redonner de l’ampleur au club nautique, qui occupe une place très importante entre la mer, la falaise et la plage, jouant ainsi un rôle de repère visuel depuis la ville et la plage. Le nouveau club nautique sera plus ouvert au public avec l’introduction d’un restaurant avec vue sur la mer qui prend place au-dessus de la halle à bateau et des locaux du club, laissant ainsi filer un passage pour les vélos et les piétons.
Salle polyvalente Plan masse 1/2000 Zone de covoiturage et stationnement des cars
30 38
centre bourg
le
r
Ce n
tre
Bo u
g
He nn eq ue vil or êt
de
Na ut iqu e Cl ub
Le sP lan
ch e
s
F
Club Nautique Centre Bourg d’Hennequeville Place Foch-Casino
Navette Express Ligne 22 modifiée GR 223 Promenade piétonne
Le centre Bourg Navette Express Ligne 22 Parking de 500 places Salle Polyvalente Place urbaine Commerces
Gare multimodale
Plan d’aménagement général 1/15000
2014 /UP Trouville Concours international d’idées d’aménagement durable_Une ligne, des points MCA M.Rugolin, C.Griolet, A.Aubert / rendu de concours : documents graphiques, dossier de présentation, estimation budgétaire / Programme : aménagement urbain et territorial, mise en valeur du paysage pour redonner une identité au territoire Pays de Caux/ Côte d’Albâtre. / Intentions : Trouville est une ville contrastée ; la ville s’étend sur un territoire à fort dénivelé, il existe une dichotomie entre la ville haute (habitations) et la ville basse, en bord de mer, où l’on trouve plus d’attractivités (restaurants, casino, plage...). Il existe un contraste dans la pratique de la ville en saison haute ou basse _dichotomie saisonnière, piéton/ forte densité de voitures en haute saison.
Le projet propose un parcours piéton, un parcours cyclable et un réseau de transports continue, formant une boucle, «balisé» par des repères urbains : - la gare multimodale, relie les différents moyens de transports praticables dans Trouville (bus, vélo, cheval..), point de stationnement et de réunion (cinéma, cafétéria, parking), et est le point de départ des parcours «santé». - la place du casino : la place est requalifiée, le parking actuel est intégré sous la place publique permettant un lieu spacieux et travaillé, un accès doux au casino et la liaison entre la place et la ville. - le club nautique : à cheval entre deux plages, au pied de la falaise, au point final de la ville basse, c’est un repère visuel depuis la ville et la plage. Le club nautique ouvert au public, agrandi d’un restaurant, il devient un lieu de convivialité où les usagers s’arrêtent et prennent le temps. C’est aussi la connexion avec la ville haute intégrant une tyrolienne, équipement attractif et pratique. - le centre bourg d’Hennequeville : pôle attractif au niveau de la ville haute, desservi par l’ensemble des transports. Le centre s’articule autour des infrastructures existantes, et intègre des activités commerciales et de loisir supplémentaires, salle polyvalente. Y sont aménagés place, parc et stationnement. 31
/pro /formation
L’objectif est de rééquilibrer la ville en proposant une continuité et une complémentarité entre le littoral et l’intérieur des terres, avec la mise en place d’une «constellation» de projets pensés en fonction de la nature du lieu dans lequel ils s’installent.
e ser y ofreciendola visualmente a la poblaciĂłn. ea metropolitana juega con la irregularidad de los segĂşn un dispositivo valido, tanto en plano como en 2014 /Limapolis Semaforos VWD QXHYD OLQHD GH FUHVWD DUWLĂ&#x20AC;FLDO HQWUD HQ WHQVLyQ urbanos_Master2 dispensĂŠ par curvas aleatorias del acantilado y crea situaciones Laurent Salomon es segĂşn lo que encuentra, produciendo nuevos / rendu :enhypothèse urbaine, es programĂĄticos el fondo del paseo documents como en la graphiques, panneaux deplanos prĂŠsentation el acantilado. El encuentro entre horizontales les con el acantilado crea una linea analĂłgica que amĂŠnagement urbaindeetla erte en /el programme negativo, en: plano y en la cresta, territorial, mise en valeur du paysage pour playa. redonner une identitĂŠ Ă Lima grand territoire, parte, reforzamos el acceso al mar proponiendo PĂŠrou ma adaptable de bajadas en estructuras metĂĄlicas P 6XV SRURVLGDGHV SHUPLWHQ YROYHUODV FDVL / intentions : Lima a uneGH forte attractivitĂŠ, s a la escala del acantilado. touristique, ĂŠconomique et culturelle. Son unto deaccroissement balizas casi idĂŠnticas vendrĂĄ constant se fait decoronar manièrela informelle et incontrĂ´lĂŠe. ville se dĂŠveloppe darle un techo Ăşnico de 250mLade altura, mas alto du littoral vers les terres. HGLĂ&#x20AC;FLRV H[LVWHQWHV GDQGR DVt XQD XQLGDG IXHUWH DO Il nâ&#x20AC;&#x2122;y a pas deelgrande cohĂŠrenceLas dans les e mar, reinando sobre caos existente. balizas règles urbanistiques, on note une circulation rĂĄn una indicaciĂłn fuerte vistas desde la ciudad y trop dense, il y a un manque de transport en UDQ OD SUHVHQFLD GHO OLWRUDO GHVGH FXDOTXLHU SXQWR GH commun. forzandoLima el lazo visual simbĂłlico entre est sur uneyfalaise au bord deocĂŠano lâ&#x20AC;&#x2122;ocĂŠan. y a, dandoPourtant una dimensiĂłn a la ciudad. celui-ci est casiment invisible
FKDRV )XUWKHUPRUH WKH\ ZLOO UHSUHVHQW D LPSRUWDQW ODQGPDUN VHHQ from the city and will signify the presence of the coastline from any point of view reinforcing the visual and symbolic between ocean and mountains, re-qualifying the dimension of the city. Those monumental inhabitated lighthouses will be the departure for aerial railways that will cross WKH FLW\ XQWLO WKH PRXQWDLQV WR UHFRQTXHVW WKH FLW\ DQG OLQN LW ZLWK WKH center. Thus the towers will be three-dimensional point of connection and distribution. Complete vertical extension of the city and urban VSDFHV LW ZLOO KRVW Ă H[LEOH SURJUDPV KRXVLQJ HGXFDWLRQ PHGLFDO VKRSSLQJ FXOWXUH Ă&#x20AC;WWLQJ ZLWK WKH QHHGV RI WKH QHLJKERUKRRGV ZKHUH WKH\ ZLOO WDNH SODFH DQG ZLOO DOORZ WR VHH WKH RFHDQ WKH FRDVWOLQH and the urban renewal of Lima.
SEMAFOROS URBANOS LIMA nos brinda el sentimiento de un formidable potencial urbano, por su clima, su posiciĂłn estratĂŠgica en el eje AmĂŠrica del norte â&#x20AC;&#x201C; AmĂŠrica latina y lo largo de su litoral que pueden lograr ser un importante polo de desarrollo turĂstico. Es obvio decir que al mismo tiempo, Lima debe enfrentar una multitud de problemas crĂłnicos, como la proliferaciĂłn incontrolada, la falta de coherencia de sus reglas urbanas, o el gran problema de circulaciĂłn y una necesidad absoluta de transportes pĂşblicos. El litoral nos parece ser un territorio crucial del desarrollo futuro de Lima. Es un condensado de varios objetivos y podrĂa constituir una identidad fuerte de la ciudad, mientras que hoy solo parece ser una franja urbana poco utilizada y que padece de una relaciĂłn fuerte con la ciudad. La realidad es que la playa constituye un mundo fuera de la ciudad, cuenta con muy pocos accesos peatonales y es utilizado principalmente como un eje de carretera atrapada entre los dos Ăşnicos elementos naturales de a ciudad : el ocĂŠano y el acantilado. Esta carretera es de un uso casi Ăşnico de desplazamientos individuales. No hay transportes pĂşblicos porque ninguna FRQH[LyQ FRQ OD ´VXSHUĂ&#x20AC;FLHÂľ 6REUH OD FRUQLVD GHO DFDQWLODGR una vĂa sinuosa hace difĂcil los desplazamientos rĂĄpidos y de gran amplitud. El litoral constituye sin embargo la columna vertebral de la ciudad y deberĂa ser un eje mayor de desarrollo. Ademas, la identidad del frente de mar no posee una coherencia global, es el fruto de una concentraciĂłn de operaciones inmobiliarias : torres de un promedio de 20 pisos que no tienen relaciĂłn las unas con las otras y dan la espalda a la ciudad. 3RU RWUD DUWH XQD JUDQ SDUWH GHO OLWRUDO HVWD FRQĂ&#x20AC;VFDGR SRU ´JDWHG FRPPXQLWLHVÂľ OR TXH GD OD LPSUHVLyQ SDUDGyMLFD TXH Lima no es una ciudad situada al borde del mar, porque solo se puede observarlo a travĂŠs de raras aberturas visuales. Nuestra ambiciĂłn es de tratar el conjunto de problemas dentro de una proposiciĂłn de escala metropolitana. De esta forma, damos la prioridad a la elaboraciĂłn de un VLVWHPD GH WUDQVSRUWHV S~EOLFRV HĂ&#x20AC;FD] \ UiSLGD TXH XQH HO conjunto de la ciudad siguiendo el litoral sobre la cresta del acantilado, buscando de no desnaturar el patrimonio natural que suele ser y ofreciendola visualmente a la poblaciĂłn. Esta linea metropolitana juega con la irregularidad de los relieves segĂşn un dispositivo valido, tanto en plano como en FRUWH (VWD QXHYD OLQHD GH FUHVWD DUWLĂ&#x20AC;FLDO HQWUD HQ WHQVLyQ con las curvas aleatorias del acantilado y crea situaciones diferentes segĂşn lo que encuentra, produciendo nuevos espesores programĂĄticos en el fondo del paseo como en la altura del acantilado. El encuentro entre planos horizontales y verticales con el acantilado crea una linea analĂłgica que se convierte en el negativo, en plano y en la cresta, de la linea de playa. Por otra parte, reforzamos el acceso al mar proponiendo un sistema adaptable de bajadas en estructuras metĂĄlicas FDGD P 6XV SRURVLGDGHV SHUPLWHQ GH YROYHUODV FDVL invisibles a la escala del acantilado. Un conjunto de balizas casi idĂŠnticas vendrĂĄ coronar la ciudad y darle un techo Ăşnico de 250m de altura, mas alto TXH ORV HGLĂ&#x20AC;FLRV H[LVWHQWHV GDQGR DVt XQD XQLGDG IXHUWH DO frente de mar, reinando sobre el caos existente. Las balizas constituirĂĄn una indicaciĂłn fuerte vistas desde la ciudad y VLJQLĂ&#x20AC;FDUDQ OD SUHVHQFLD GHO OLWRUDO GHVGH FXDOTXLHU SXQWR GH vista, reforzando el lazo visual y simbĂłlico entre ocĂŠano y montaĂąa, dando una dimensiĂłn a la ciudad.
LIMA gives the feeling of a incredible urban potential, considering its priveleged weather, its strategical position on the North America â&#x20AC;&#x201C; Latin America axe, and the lenght of its coastline that could easily become an important spot of touristic development. 7KHQ LW¡V REYLRXV WKDQ WKH FLW\ LV IDFLQJ D ORW RI RWKHU FKUQRQLF problems such as its out of control proliferation, the coherences of LWV XUEDQ UXOHV WKH LQRUJDQLVDWLRQ RI LWV PDVVLYH WUDIĂ&#x20AC;F RU WKH ODFN RI HIĂ&#x20AC;FLHQW FRPPRQ WUDQVSRUWDWLRQ From our analysis, the seaboard appears to be a crucial area of the futur development of Lima. It gathers numerous issues and seems WR EH DQ XQGHUHPSOR\HG DQG XQOLQNHG XUEDQ HGJH ZKHQ LW FRXOG establish a strong identity for the city. Indeed, the beach counts very few pedestrian accesses and is mainly used as a highway in between the two last natural elements RI WKH FLW\ WKH FOLII DQG WKH RFHDQ ,W LV DOPRVW QRW WDNHQ E\ FRPPRQ WUDQVSRUWDWLRQ EHFDXVH RI LWV ODFN RI OLQNV ZLWK WKH ´VXUIDFHÂľ 2Q WKH WRS D YHU\ VLQXRXV URDG PDNHV WKH WUDIĂ&#x20AC;F YHU\ VORZ DQG LQHIĂ&#x20AC;FLHQW 7KHQ WKH FRDVWOLQH KDYHQ¡W D JOREDO FRKHUHQFH LW LV WKH DGGLWLRQ RI buildings from 1 to 20 storeys that have no report between themselves DQG GRHVQ¡W ORRN DW WKH FLW\ 7KHQ D ELJ SDUW RI WKH WRS RI FOLII LV FRQĂ&#x20AC;VFDWHG E\ ´JDWHG FRPPXQLWLHVÂľ WKDW GRHVQ¡W JLYH WKH IHHOLQJ IRU Lima to be a city on the sea, a fact that one can only observe at rare occasion. 2XU DPELWLRQ LV WKHQ WR GHDO ZLWK DOO WKRVH SUREOHPV ZLWK D SURSRVLWLRQ at the metropolitan scale. The priority is given to the elaboration of a common transportation V\VWHP IDVW DQG HIĂ&#x20AC;FLHQW WKDW ZLOO FRQQHFW WKH ZKROH FLW\ IROORZLQJ WKH coastline on the crest of the cliff, but caring about the preservation of LWV VSHFLĂ&#x20AC;F UHOLHI DQG PDNLQJ LW DV D QHZ FRQWHPSRUDU\ ODQGVFDSH IRU the citizens to re-enjoy it. This metropolitan line plays with the geographical irregularity DFFRUGLQJ WR D GHYLFH ZRUNLQJ LQ SODQ DV LQ VHFWLRQ 7KLV QHZ DUWLĂ&#x20AC;FLDO crestline creates a tension with the random lines of the cliff and different situations according to the way they meet, producing new SURJUDPPDWLF WKLFNQHVVHV LQ WKH GHSWK RI WKH SDWKZD\ DV ZHOO DV in the height of the cliff. The meeting of the horizontal and vertical surfaces with the relief establishes an analog line that is the negative of the free line of the beach and gives a global coherence to the device. Then we reinforce the access to the water proposing a adaptable system of metallic stairways every 500m . The porosity of the structure PDNHV LW DOPRVW LQYLVLEOH FRPSDUHG WR WKH VFDOH DQG WKH FRQWLQXLW\ RI the cliff. A set of beacons or urban lighthouses will crown the city and give it a unique ceilling of 250 m, higher enough than the other buildings to give a strong unity to the seafront, prevailing on the existing FKDRV )XUWKHUPRUH WKH\ ZLOO UHSUHVHQW D LPSRUWDQW ODQGPDUN VHHQ from the city and will signify the presence of the coastline from any point of view reinforcing the visual and symbolic between ocean and mountains, re-qualifying the dimension of the city. Those monumental inhabitated lighthouses will be the departure for aerial railways that will cross WKH FLW\ XQWLO WKH PRXQWDLQV WR UHFRQTXHVW WKH FLW\ DQG OLQN LW ZLWK WKH center. Thus the towers will be three-dimensional point of connection and distribution. Complete vertical extension of the city and urban VSDFHV LW ZLOO KRVW Ă H[LEOH SURJUDPV KRXVLQJ HGXFDWLRQ PHGLFDO VKRSSLQJ FXOWXUH Ă&#x20AC;WWLQJ ZLWK WKH QHHGV RI WKH QHLJKERUKRRGV ZKHUH WKH\ ZLOO WDNH SODFH DQG ZLOO DOORZ WR VHH WKH RFHDQ WKH FRDVWOLQH and the urban renewal of Lima.
depuis la ville. Câ&#x20AC;&#x2122;est un territoire crucial du developpement urbain de Lima.
La proposition retenue est un travail Ă lâ&#x20AC;&#x2122;echelle de la mĂŠtropĂ´le et du grand paysage urbain. - un système de transport en commun efficace et quadrillĂŠ partant du littoral vers les terres. - une ligne de transport le long du littoral ininterrompue, sâ&#x20AC;&#x2122;adossant, sâ&#x20AC;&#x2122;accrochant, ou traversant les falaises. elle est ponctuĂŠe dâ&#x20AC;&#x2122;ĂŠlĂŠments architecturaux hauts, des repères urbains dans lesquels on trouve des installations publiques et des belvĂŠdères. Ces ĂŠlĂŠments hauts ÂŤsĂŠmaphores urbainsÂť permettent de se repĂŠrer dans la ville et sont un repère de la ville depuis lâ&#x20AC;&#x2122;ocĂŠan.
3/$12 '( ,17(1&,21 6(0$)/2526 75$163257( 587$6 35,1&,3$/(6 587$6 6(&81'$5,26
40 32 &257(6
S URBANOS
, considering orth America t could easily
KHU FKUQRQLF oherences of RU WKH ODFN RI
al area of the s and seems ZKHQ LW FRXOG
esses and is ural elements Q E\ FRPPRQ IDFHµ 2Q WKH G LQHIÃ&#x20AC;FLHQW KH DGGLWLRQ RI n themselves WRS RI FOLII LV KH IHHOLQJ IRU bserve at rare
D SURSRVLWLRQ
ransportation IROORZLQJ WKH eservation of DQGVFDSH IRU
&257(
l irregularity QHZ DUWLÃ&#x20AC;FLDO the cliff and oducing new D\ DV ZHOO DV l and vertical the negative erence to the
PLANO
a adaptable f the structure H FRQWLQXLW\ RI
ty and give it her buildings the existing QGPDUN VHHQ line from any en ocean and
&257(
departure for
LQN LW ZLWK WKH of connection ty and urban LRQ PHGLFDO KRRGV ZKHUH KH FRDVWOLQH
PLANO
3/$12 '( ,17(1&,21 6(0$)/2526 75$163257( 587$6 35,1&,3$/(6 587$6 6(&81'$5,26
&257(
PLANO
&257(
/pro /formation
PLANO
HOP INTERNATIONAL
12 '( '(6$552//2 85%$12 '( /,0$
33 41
34
/formation /concours
35
/pro
2016 /Ateliers AUAV_Laura Chavy Ateliers d’architecture, de design, et retails / illustration d’espace et d’architecture : production de croquis, illustrations et documents graphiques mise en place d’une charte graphique pour les documents architecturaux conception et réalisation des visuels pour la création du website coordination avec les webdesigners
/ esquisse hall ESQ-APS : étude architecturale, faisabilité, esquisse du projet. Dessins, plans, dossier de présentation client. / hypothèses et intentions : volonté de rendre «public» le hall ; il devient espace de convivialité, coworking séquence d’entrée lisible, volumes plus généreux et hiérarchisés continuité hall/boutique : équilibre visuel des deux entités continuité hall/patio, aménagements extérieurs et paysagers, patio redessiné et hiérarchisé
36
ࠞ ߿߿
FORMAT A3 HALL GROUPE ETAM ESQ esquisse de projet
ESQ. 22 04 2 0 1 6 ECH 1.200
ࠞ ߿ࠀ
/pro /formation
V
V
GROUPE ETAM Q esquisse de projet
37
30 38
2015-16 /Agence 2Portzamparc_chef de studio : C. Aïra-Crouan / Agence d’architecture et d’urbanisme
/ programme et intentions : Deux bâtiments de bureaux pour une surface plancher totale de 25000m2 , concours d’idées privé, à Issy-lesMoulineaux. Parcelle triangulaire, la pointe orientée vers Paris. Deux écriture de façade différentes : Quartz, à la pointe, est un prisme avec une façade entièrement vitrée, double-peau en verre. Opale est un volume plus massif, moins haut, pourvu de brises-soleil. Ceux-ci irréguliers dynamisent la façade.
39
/pro /formation
/ New Trigone - PeriXV : phases de projet suivies ESQ, PC, APS, APD, PRO/DCE élaboration de plans, coupes, élévations d’architecture et détails architecturaux - analyse architecturale, faisabilité et coordination avec les BET ingénierie, fluide, synthèse, gestion et adaptabilité d’un cahier des charges. constitution et mise en œuvre du dossier «détail étanchéité» , «bassin miroir d’eau», charpente métallique en toiture (panneaux photovoltaïques), gestion des sous-sols (gestion des stationnement et maquettage des locaux techniques)
de Nancy 0 Paris 33 1 44 54 06 40 33 1 44 54 00 54 atelierduprado.com
DEMANDE DE PERMIS DE CONSTRUIRE / MAISON INDIVIDUELLE / Barjols / Parcelle H 581 Lot D /
12/15 29/06/2014
Ech: 1/150
FAÃ&#x2021;ADE SUD-EST
32 40
2014 /Atelier du Prado_chef d’agence : Jean-Luc Perez Agence d’architecture / constitution du permis de construire ESQ/APS - PCMI : croquis, documents graphiques, documents cerfa, dossier de présentation client et administration
41
/ intentions : une maison belvédère. Maison située sur un terrain en fort dénivelé. Le projet s’intègre dans un volume simple, un parallélépipède rectangle ouvert sur ses grand cotés. On garde un rapport privilégié avec l’ensemble du terrain visuellement. L’ensemble de la maison est un plancher unique, de plain-pied. Au sud, création d’une terrasse avec piscine. Recherche de continuité entre le volume construit et l’espace extérieur, traité comme un prolongement du dedans (utilisation de matériaux, textures et couleurs homogènes)
/pro /formation
/ programme : maison individuelle à Barjols (83) /trois séquences : épaisseur d’entrée (porche, entrée, garage), un espace ouvert (cuisine, salon, salle-à-manger), un espace intime (trois chambres, wc, deux salles-de-bain)
2014 /Ileana Popea Architecte_chef d’agence : Ileana Popea Agence d’architecture / rendu de concours : documents graphiques, dossier de présentation / Programme : E.H.P.A.D à Jonzac (17) / Intentions : hypothèse d’un développement du projet en étoile, acceptant une ou plusieurs extensions projet architectural : projet qui profite du dénivelé du terrain pour s’y adosser. Quatre unités distinctes séparées par les espaces communs et les espaces réservés au personnel. projet paysager : mise en place d’une hiérarchie dans le parc paysager et distinction des espaces extérieurs /jardin thérapeutique, jardin contemplatif, et patio pour les usagers dépendants /théâtre de verdure, parc et bassins d’eau «jardin d’agrément», terrain de pétanque, pour les promeneurs externes et les usagers accompagnés /intégration des espaces de stationnement avec le parvis et le parc paysager ; parking public, et parking réservé au personnel et à la logistique 42
2014 /Projet personnel Audrey Aubert A.D.E. / constitution de la déclaration préalable pour une extension de maison individuelle esquisse, croquis, documents graphiques, dossier de présentation client et administration / programme : extension de maison de ville à Royan (17) 25m2 /chambre, dressing, salle de bain, wc
/pro /formation
/ intentions : continuité visuelle entre la maison existante et l’extension. Volonté de maintenir un passage extérieur entre le terrain donnant sur rue/garage, et le jardin à l’arrière de la parcelle. Un éclairage naturelle pour chaque pièce de l’extension. le volume de l’extension se détache de l’ensemble de la maison pour permettre le stationnement d’un véhicule sur le terrain, et une avancée vers le jardin avec une vue sur la piscine.
43 35
/ Aubert Audrey ADE // 06/12/43/69/68 aubert.audrey@hotmail.fr 44