L’ANTIQUE AU COEUR
DU FANTASTIQUE
par les élèves de la 4ème Rostand
Pauline Caussé
UNE PIERRE MYSTÉRIEUSE Durant le mois de décembre, je me rendis à Paris, au Musée Dali. Je voulais voir sa fameuse statue, la Venus aux tiroirs. J’arrivai au musée, c’était magnifique. Au bout d’une allée, j’aperçus cette œuvre. Il faisait assez sombre. Tout à coup, une lumière éclaira la statue. Je m’en approchai, il y avait six tiroirs : un à sa jambe, un au ventre, un à l’abdomen, deux à la poitrine et un au front. Et c’est à ce moment qu’un coup de vent traversa la pièce, et un tiroir se referma ! Cela devenait de plus en plus étrange… Alors, je vis une pierre devant moi, je la pris, elle était noire et je me voyais dedans ! Le soir, je rentrai chez moi et je pensai à la statue. Je trouvais tous ces phénomènes très étranges... Je regardai cette pierre. Alors, je vis la statue. Je regardai mon miroir et je vis encore la statue. Je la voyais partout ! Je tremblais comme une feuille, je paniquais ! J’entendais des voix, je devenais folle, j’étais à me demander si j’étais dans un cauchemar. J’avais la peau moite, la gorge sèche, j’étais en train d’avoir des hallucinations. Elle hantait mon esprit... Que faire pour qu’elle arrête de me poursuivre ?
Perrine Beheity
À Figueres, au musée Dali.
Voyons voir cette fameuse statue...
Arrivée devant la statue, d’un coup elle s’éclaira, puis il eut un coup de vent.
Le tiroir ouvert, une pierre apparut.
C’est magnifique... Mais pourquoi Le tiroir est-il ouvert ?
Mais, c’est quoi cette pierre ?
Aaaah !!! Je vois la statue ! C’est quoi cette histoire !?!
Je me sens bizarre...
Pourquoi je brûle ? Est-ce la statue ? Ou bien j’hallucine ?
AI-JE PERDU LA TÊTE ? Un jour, au Musée d’Orsay, je vis une représentation terrifiante de Méduse. Alors que je rentrais ravi de toutes les belles œuvres que j’avais vues, mais un peu mal à l’aise par l’étrange impression causée par Méduse, un événement horrible se passa. J’étais en train de rouler à vitesse modérée sur ma moto quand je vis la même tête que sur le tableau ! Je perdis alors le contrôle de mon véhicule et ma tête heurta violemment un platane. Il me semblait ne plus avoir de tête, je ne voyais plus rien ! Je perdis tout souvenir de ce qui se passa ensuite.
Alexis Bonhomme
Un jour au musée, je vis une œuvre terrifiante...
Alors que je rentrais de l’exposition à moto...
LE TABLEAU ENSORCELÉ C’était le printemps, il faisait beau. J’habitais une petite maison à la campagne loin de tout. J’habitais seule avec mon chien Newton. Non loin de ma maison, il y avait une grande forêt où j ‘avais l’habitude de marcher pour me détendre. Comme toutes les fins d’après midi, j’allai promener mon fidèle compagnon Newton quand soudain la terre se mit a trembler et le ciel s’assombrit. Je ne comprenais pas ce qui se passait. Je pensais à un tremblement de terre. Mais là surgirent des serpents. D’immenses serpents jaillirent. A ce moment-là, mon cœur se mit à battre très fort mais ce n’était que le début. Une tête m’apparut, horrible, terrifiante, ses cheveux longs étaient recouverts de serpents. Sa tête était livide, ses yeux sortaient de terre comme dans la copie du tableau d’Arnold Böcklin que j’avais chez moi. Je commençai à paniquer c’était un cauchemar ! Mon corps se tétanisa. Je me mis à courir vite, très vite. Elle me suivait toujours. Elle essaya de me mordre et je lâchai mon chien. Elle blessa mon chien. A ma grande stupeur, il se transforma en serpent. Je pleurai, je criai. Au loin, je vis une maison. Je décidai de m’y réfugier. Je tombai prise de panique. Je lui envoyai un coup avec une branche ramassée par terre. Arrivée dans la maisonnette, je criai d’une voix cassée. - Laissez moi tranquille ! Elle répondit : «Je vais te transformer ! « Pétrifiée et tétanisée, je n’osai plus rien faire alors je me bouchai les oreilles, fermai les yeux car l’idée de regarder cette chose me pétrifiait. Quelques minutes après, quand je rouvris les yeux, je vis cette vieille dame laide avec son bonnet tressé sur la tête tenant mon chien en laisse. Je ne comprenais pas ce qu’il se passait ! Etais-je en train de rêver ou bien était-ce réel ? Le lendemain, j ‘étais encore paniquée, j’avais la chair de poule. Je regardai dehors, je vis beaucoup de serpents, peut être parce qu’il faisait très chaud. Je n’osai même plus aller dehors tellement j’avais peur...
Camille Buzeret
Marie aimait cette œuvre d’Arnold Böcklin. Elle en avait accroché une copie chez elle..
Un jour, en fin d’après-midi, elle décida de promener son chien..
C’est bizarre, j’ai l’impression d’être suivie...
Ah !!!
Cours !!
Une maison vide ! On va s’y cacher !
Ici, on sera en sécurité !
LE TABLEAU DE LA FRAYEUR Un matin, j’étais partie à Paris pour aller au musée des Arts décoratifs. J’entrai dans le musée, je tournai la tête à droite et j’aperçus alors un tableau d’Eugène Grasset, « Trois femmes et trois loup » peint en 1892. J’admirais le tableau pendant quelques instants, mais en fait, plus je le regardais et plus je paniquais. J’avançai tranquillement dans la deuxième partie du musée. Tout à coup, je revis le même tableau ! Mon cœur s’emballa. Il y avait trois femmes dont une attira particulièrement mon attention ; celle de tout devant. Avec ses cheveux et son visage, elle me terrifiait ! J’avais l’impression qu’elle me suivait tout le temps et qu’elle était derrière moi ! Quelques heures plus tard, j’allais rentrer chez moi, quand je vis la femme sur la route ! J’avais la gorge nouée et j’avais toujours l’impression qu’elle me suivait partout. Enfin rentrée chez moi, je me posai sur le canapé, puis quand j’allumai le télévision, la femme était encore là! J’avais tellement peur que mes cheveux se dressèrent sur ma tête ! Que faire ? Aller voir un médecin ? Fuir ? J’étais perdue !…
Chloé Bousté-Fréché
étage 1
Magnifique, cette œuvre !
Quelque heures après ... étage 2
Arrêtez de me suivre !
Mais pourquoi ce tableau est-il encore là ??
De retour chez elle, Christelle fut surprise...
Mais ce n’est pas possible !!
Si vous plaît ! Ne me faites pas de… Nooooon !
LE TABLEAU MAUDIT Je m’appelle Bertrand et j’ai 45 ans. Je suis peintre et j’aime beaucoup les musées. Je décidai d’aller au musée du Louvre. J’y vis beaucoup de tableaux comme la Joconde. Je discutai avec des amis à moi. Soudain, je vis un tableau qui m’intrigua et qui me fit peur. Ce tableau était d’Arnold Böcklin et se nomme « Méduse ». Elle avait des cheveux de serpents qui me fixaient ! Je m’approchai de plus en plus et je vis son visage bouger brièvement. Je la regardai plus attentivement. Elle ne bougeait plus. Je crus alors la voir bouger, c’était sûrement mon imagination qui me jouait des tours. Je voulus partir et j’ouvris la porte principale. Je rentrai dans une pièce que je n’avais jamais vue, il y faisait tout noir, aucune lumière, personne. Je voulus sortir mais je ne trouvais plus la porte. J’eus très peur. Mais je vis une chose qui me suivait. Je sentis quelque chose me toucher l’épaule. Et tout à coup, j’aperçus une lueur. J’accourus vers cette lumière, c’était un garde qui me cherchait. Je m’évanouis de peur, et quand je me réveillai, j’étais allongé sur un fauteuil avec au-dessus comme motif la tête du tableau dérangeant ! Je partis vite, mais sur le coup de l’inquiétude, je me mis à courir et je me perdis dans le musée. Je voyais le visage du tableau qui m’effrayait beaucoup. Mon cœur cessa de battre, je me figeai sur place, mon sang devint glacial. Je m’évanouis à nouveau. Un peu plus tard, je me réveillai dans un hôpital sans aucun souvenir de ce qui s’était passé. Avais-je été possédé ? Est-ce que c’était réel ? Que de questions dans ma tête !
Sofian Cantonnet
Cette peinture est vraiment magnifique !
C’est étrange, j’ai l’impression d’être suivi…
De retour chez lui...
Je sens encore sa présence !
Le lendemain
Désolé, on ne peut rien faire pour vous...
J’en ai vraiment assez de penser tout le temps à elle !
Maintenant, tu vas arrêter de me suivre !
Il découvrit alors que c’était sa femme… qui voulait lui faire une blague.
UNE JOURNÉE PAS ORDINAIRE J’étais dans le musée. Une œuvre d’Arnold Böcklin, la Méduse, m’intriguait beaucoup, une femme âgée avec les cheveux très épais et noirs. Je ne la trouvais pas très belle, mais elle me resta dans la tête toute la journée, puis arriva le moment d’aller me coucher, je m’endormis assez vite. Mais vers quatre heures du matin, je me réveillai d’une peur monstrueuse, la tête de cette femme dans mon esprit. Elle était là, sa tête me fixait d’un air méchant. Son visage était blanc, ses yeux noirs. Sa longue chevelure noire également ressemblait à des serpents. Je ne pus me rendormir. Arriva l’heure de me lever, je me préparai et partis au bus. Quand j’entrai dans le bus, l’ombre du chauffeur dans le rétroviseur ressemblait fortement au visage de cette abominable femme ! Je le dis à Mathéo qui ne me crut pas le moindre instant. La journée débuta par le cours de géographie. Au milieu du cours, je vis le visage de la femme remplacer celui de mon enseignante. Je criai « Regardez-là ! » Tout le monde se mit à rigoler mais moi j’avais une peur bleue ! La professeure me dit d’aller à l’infirmerie pour voir ce que j’avais. Je ne pouvais pas me déplacer car j’avais une étrange douleur dans les jambes. On m’apporta un fauteuil roulant. J’arrivai devant l’infirmerie, puis la porte s’ouvrit. Là, je vis la femme sur le mur qui me regardait avec un sourire moqueur, et je m’endormis. Quand je me réveillai, j’étais dans ma chambre avec ma mère. Elle me dit que j’avais fait un cauchemar. Mais moi je me dis que je n’avais pas pu inventer toute cette histoire...
Quentin Cazenave
Le soir venu...
???
Bonne nuit mamam !!
04:00
07:30
Quatre km à pieds…
Aaah !!!
En sortant du musée... Chut ! les enfants !
Mais… Je ne sens plus mes jambes !
Ça va ? Bof...
Oh, mon Dieu !
Tu as fait un cauchemar mon fils ?
FIN
LA MALÉDICTION Grand adepte de l’art, comme à mon habitude, je cherchais une petite galerie pour y dénicher le tableau de mes rêves. La galerie se trouvait dans une petite ville non loin de chez moi à Stuttgart. A mon arrivée, je me dirigeai vers la collection. En entrant, je vis un tableau, son nom était « Méduse », d’Arnold Böcklin. En une fraction de seconde son visage s’était imprimé dans ma tête, mon sang se glaça ! Je m’approchai, je la regardai, je la dévisageai mais au moment où je voulus m’en aller je n’en fus pas capable, j’étais comme fixé au sol et derrière mon oreille, je sentis un léger murmure, c’était du latin « TU MEA », « TU MEA »... Je l’entendais sans répit ! Je réussis à bouger. Je me dirigeai à toute vitesse chez moi. Durant tout le trajet, je me répétais pour ne pas oublier « tu mea ,tu mea ... ». Je m’empressai d’ouvrir la porte et je me jetai sur mon ordinateur. Je réussis à trouver la traduction de ces mots « TU MEA ». Ils signifiaient : tu es à moi !!! La peur m’envahit, le tictac de l’horloge me faisait sursauter chaque seconde. J’étais effrayé, je me sentais observé ! J’allai au lit ; je ne savais pas si la peur et mon imagination me jouaient des tours ou si ce tableau et cette femme étaient réels. Au réveil, mon chien gisait dans mon jardin, de la bave au museau. Les vétérinaires me dirent que mon chien avait été empoisonné. Était-ce la Méduse qui l’avait tué ? Je demeure encore sans réponse…
Alessio Dos Santos
M ! e iqu nif ag
pe Je n bo ux e ug plu er s ...
!!! H A AA
Tu m Tu m ea Tu m ea ea
! N ! NO
Tu mea... Tu mea.. Tu mea....
Tu mea = tu es à moi !
Mort naturelle ou méfait de Vénus, jamais on ne sut la cause de la mort de mon chien...
J’AURAIS MIEUX FAIT DE NE JAMAIS ENTRER AU LOUVRE…
Je n’ai jamais apprécié les musées. Je n’ai jamais compris pourquoi on amassait dans de vastes bâtiments les vestiges du temps passé ; je n’ai jamais saisi non plus l’intérêt qu’on pouvait porter à l’art. Lors d’une promenade avec un ami, je me laissai finalement convaincre par un ami d’aller visiter le Musée du Louvre à Paris. S’il y en a bien un à faire, c’est celui-là ! Et pourtant, je n’aurais jamais dû y aller ! Nous passâmes dans la partie réservée à l’Antiquité et là je vis une représentation des Enfers peuplés de divinités étranges. Ce tableau resta gravé dans ma mémoire et j’ai depuis l’impression qu’il me poursuit !
Corentin Fasentieux
Lors d’une promenade...
Un musée !
Oh, ce tableau est très étrange !
Vite une sortie !
À l’aide !!! Le tableau me Poursuit !!!
LA VÉNUS DE MILO Il y a quelques semaines, je me préparais pour aller au musée du Louvre à Paris, voir les œuvres exposées. Je me dirigeai vers le musée en passant par la pyramide du Louvre pour prendre quelques photos. J’entrai dans le musée et j’aperçus la fameuse statue de la Vénus de Milo. Je marchai et m’arrêtai devant cette sculpture. Elle faisait un peu plus de deux mètres de hauteur, je regardais avec précision le cartel, où étaient écrites les informations sur cette œuvre. Cela m’intéressait beaucoup. Puis je partis dans une autre pièce. Je fus surprise de découvrir une vingtaine de statues de la Vénus de Milo. Dès que je tournais, les statues étaient plus près de moi, je me sentis très mal et je partis en courant du bâtiment, morte d’inquiétude. Je rentrai chez moi paniquée, je fermai la porte, je suai à grosses gouttes, je me retournai et je vis trois des vingt statues devant mon visage et je sentis mon cœur battre à toute allure ! Je fermai les yeux, les ouvris et je ne vis plus les sculptures... Je me demandai si c’était simplement un rêve... J’avais beaucoup d’inquiétude en moi.
Lauralyne Fersing
Lara sortait de chez elle pour se rendre au musée...
De retour chez elle...
BAM ! MAIS… Pourquoi il y en a-t-il trois ?!
ELLE VEUT MA MORT... Comme tous les soirs, je rentrais à pied du restaurant où je travaille, vers vingt-trois heures. Je passais par de petits chemins isolés qui raccourcissaient la route mais qui étaient très sombres. Ce soir-là, une affiche se décolla du grand panneau qui se tenait devant moi et me tomba dessus. Je pris cette affiche. Elle représentait la Méduse de Böcklin. Cette Méduse était effrayante avec ses cheveux comme des serpents. Mais je n’y fis pas attention et continuai ma route, puis une autre affiche me tomba dessus. Celle-ci représentait la Faucheuse... C’est à ce moment-là que je commençai à m’inquiéter, j’avais le front moite et le souffle coupé. Je me dépêchais de rentrer chez moi mais plus j’avançais, plus j’avais peur. J’entendais des bruits bizarres. Soudain, j’entendis un cri et aussitôt après, une ombre commença à me poursuivre, je changeai de direction mais l’ombre me rattrapait de plus en plus. Dix mètres plus tard elle me dépassa et j’entendis un miaulement. Puis après cet événement, je pris mes jambes à mon cou et m’en allai chez moi à toute vitesse. Une fois chez moi, je fis ma toilette, mangeais et allais au lit. Je commençais à m’endormir, quand je vis la Vénus de Milo, en face de moi. Je ne savais pas si c’était un rêve ou la réalité mais elle m’observait et ne bougeait pas d’un cil alors que moi, j’étais pétrifié !
Baptiste Gabarrus
Un jour, en rentrant de chez Patrick, je vis une étrange créature...
Une semaine plus tard...
La Méduse… La Faucheuse… Encore elle ! Elle va me tuer !
Je fus soulagé en rentrant chez moi….
AHHH !!
LA FEMME EFFRAYANTE Un beau jour, alors que je me baladais dans le musée des Offices à Florence, je vis un œuvre effrayante nommée : “La Méduse”. Le lendemain, c’était mon anniversaire, j’invitai ma famille et mon meilleur ami. Ma mère m’offrit un cadeau rectangulaire et plat. Je l’ouvris et là, je fis un bond en arrière, la gorge nouée, le front moite, c’était le tableau de la femme ! Quelques jours plus tard, mon meilleur ami m’invita à manger chez lui. J’y allai, j’entrai, il m’emmena jusqu’au salon et là, sur la nappe imprimée : la toile de la dame effrayante ! Mon cœur battait la chamade, mes jambes étaient clouées au sol, j’avais la chair de poule ! Et je criai : “Cette femme ! Elle me suit !”. Cette femme était réellement effrayante comme l’indiquait l’écriteau au musée : “La méduse ou La Femme Effrayante”. Deux jours plus tard, j’allai montrer à mon ami, l’œuvre au musée. Arrivé devant le tableau il dit : “Mais c’est la vilaine de ma nappe !”. Tout à coup, le musée fut plongé dans le noir, le tableau se mit à trembler, nous nous enfuîmes chez moi et jetâmes la peinture à la poubelle. Une mauvaise nuit passa durant laquelle j’eus très peur. Je me levai, allai à la cuisine, tournai la tête et vis le cadre qui s’était remis à son emplacement d’origine. Je le montrai à mon ami qui lui aussi fut surpris car ni lui ni moi n’y avions touché ! Mon camarade s’emporta et insulta la Méduse. Dans la maison, un ricanement retentit et là Grégoire devint tout blanc, le regard vide et il s’écroula par terre...
Mathéo Gomes
Musée des Offices Florence, Italie.
Je la connais !
De retour chez mon ami T’as vu?!
Mais, elle me suit ! Une fois rentré pour préparer mon anniversaire...
Une fois les invités partis...
Allez oust ! À la poubelle !
Tiens mon chéri.
Mais… elle est revenue !?
Ah, ouais.
Non, encore elle !
MÉDUSE EFFRAYANTE Un matin, j’allai dans un musée voir une exposition. Je vis un tableau très effrayant. Il se nommait « Méduse » et avait été peint par Arnold Böcklin. Les couleurs étaient très sombres, ses cheveux n’étaient pas des cheveux! On aurait dit que c’était des serpents ! La femme qui avait été peinte avait l’air épuisée. Ce tableau était le plus effrayant que je n’avais jamais vu. Cette peinture me hantait… Le lendemain, j’allai au supermarché. Je revis la même tête que celle du tableau ! A chaque fois que j’allais quelque part, je voyais toujours cette femme qui me terrorisait. Je crus que celle-ci était vivante ! Soudain, mon téléphone sonna. Je répondis. J’entendis une voix de femme, très grave et très vieille. Cette dame, que je ne connaissais pas, commença à me menacer : -Allô, je viendrai te voir ce soir ! Je te hanterai la tête !, dit-elle en riant. Je raccrochai, je me mis à pleurer, j’avais vraiment très peur. Je commençai à partir de chez moi, pour ne pas voir la dame qui me faisait peur. Alors, je voulus aller chez une amie. Il commençait à faire nuit, j’étais sur le chemin, je vis une ombre me suivre, je me mis à courir. Je me retournai et je vis cette femme, la femme de ce tableau qui hantait mes pensées !...
Lara Gonçalves
Ce matin, au musée...
Entrée
Un peu plus tard, au supermarché.
SOR
TIE
Arnold Böcklin
LE TABLEAU !
Plus tard dans la soirée...
Driiiiing !
Je suis là !! Ah ah ah !
Nooon !
Allô... Je viendrai ce soir te hanter !
AAAAAH !!!
FRAYEUR AU MUSÉE DALI Il était huit heures du matin lorsque j’arrivai au Théâtre Musée Dali, il faisait sombre et j’étais dans ce grand musée, ce qui me laissa le temps de regarder chacune des œuvres sans être gêné. J’arrivai face à la statue “La Vénus aux tiroirs”. Je continuai mon chemin mais quand je revins à cette œuvre, elle avait changé de place ! Elle n’était plus contre le mur mais au milieu de la salle ! Je commençai à me poser des questions mais je continuai mon chemin. J’entendis un bruit et je me retournai. Là, je vis la statue bouger toute seule ! J’étais terrifié ! Je sentis la peur monter en moi, mon souffle se coupa et j’avais la chair de poule ; j’étais cloué au sol, je ne pouvais plus bouger ! Je me croyais dans un cauchemar ! Je me mis a courir mais la statue me suivait, je courais le plus vite possible mais la statue me rattrapa ! Et boum!!!!!! la Vénus explosa en mille morceau derrière moi.
Une histoire de Lucas Jouanjus & Timéo Zimolo
Lucas Jouanjus
MUSEE
Wouah, il est beau ce musée !
Magnifique statue !
Elle a bougé !?! Qu’est-ce qu’il se passe ici ?
Mais… AAAAAAAAH !!!!!!
Ça me fais peur... Il faut que je parte vite d’ici !
VITESSE MÉDUSE Par une après-midi pluvieuse, je me rendis au musée d’Orsay pour voir le bouclier avec le fameux visage de la Méduse d’Arnold Böcklin. Les couleurs sombres et saturées me fascinèrent aussitôt, d’autant plus que j’avais toujours été passionné par l’antiquité gréco-latine. Mais soudain, il me sembla que son visage et ses cheveux se mettaient à bouger ! Je n’en croyais pas mes yeux. Je m’approchai alors du cartel pour voir les explications et là, je découvris horrifié les phrases suivantes : « Méduse peut vous assassiner de trois manières différentes. Vite, courez ! » Je sortis du musée en courant et enfourchai ma moto. Je démarrai et m’enfuis à toute vitesse sans comprendre ce qui s’était réellement passé…
Cali Lamarque
MUSEE musée
Ah !!!
Mais… Elle a bougé !
Elle fait vraiment peur !
Attention : Méduse peut vous assassiner de trois manières différentes.
Vite, COURREZ !!!
LA VENGEANCE Je rentrai dans le muséen des Offices à Florence où je vis un tableau du Caravage intitulé «Méduse» avec une dame en noir qui était effrayante. J’eus l’impression qu’elle me suivait du regard. J’étais terrifié je ne savais pas si je devais partir en courant ou m’enfermer. Le lendemain, je me réveillai, je regardai mon téléphone. Je vis que toutes les photos que j’avais représentaient la femme effrayante que j’avais vue au musée ! Puis mon téléphone commença à sonner mais avec un numéro inconnu. On aurait dit qu’elle me voulait du mal ! Dans l’après midi je partis dans le manoir sombre et lugubre de ma tante. Je marchais puis j’aperçus le même tableau que celui du musée. Je décidai de retourner au musée, je vis soudain une chose bouger, c’était comme une espèce d’esprit mais il commença à me suivre et aussi à me parler du mal. Je partis en courant mais je tombai et je me foulai la cheville. L’esprit me dit «Reste par terre, humaine, sinon tu auras quelque chose à me faire !» J’étais terrifiée après ces paroles! Quelques heures plus tard, je me trouvai dans mon lit, l’air de rien. Je ne savais si c’était réel ou si une présence invisible continuait à me poursuivre. Une histoire d’Emilie & Thibault Larrieu
Emilie Michel
Elle est vraiment effrayante, cette peinture !
Attention, à toi humaine !
C’était un rêve !?! Mais… Elle parle !
Finalement Morgane se réveilla chez elle...
Ouf, elle n’était pas réelle !
FRAYEUR AU CHÂTEAU Après plusieurs heures de route, j’arrivai enfin à Limoges. Je fus chaleureusement accueilli par mon hôte dans son somptueux château situé a l’écart de la ville. Monsieur Suarez était grand et fort et avait un accent mexicain très prononcé car il venait de Morelia. Je lui avais été présenté quelques mois auparavant par une connaissance commune car celui-ci avait besoin d’un notaire pour régler une affaire d’héritage. Lorsque je franchis la porte du lieu, je vis que de nombreuses personnes étaient présentes. M.Suarez m’invita à les rejoindre. L’un d’entre eux, qui était aussi originaire du Mexique, me proposa de goûter un alcool très spécial, qui venait de là-bas. Sa couleur était jaunâtre, il s’en dégageait une odeur peu agréable mais surtout, un énorme serpent se trouvait à l’intérieur de la bouteille ! A contrecœur, je bus cette boisson nommée « le mezcal ». Aussitôt, un mal de tête me prit et j’eus du mal à m’en débarrasser tout au long de la soirée. Un peu plus tard, le propriétaire des lieux tint à me montrer son importante collection de tableaux peints par de grands maîtres. Soudain, il m’arrêta et me montra ce qu’il considérait comme sa plus exceptionnelle toile. Cette dernière représentait Méduse et était réalisée par Arnold Bocklin. Elle était répugnante, sa bouche était ouverte comme si elle voulait nous maudire ; ses yeux étaient presque blancs et une multitude des serpents gigotaient sur sa tête. Je ne sais pas pourquoi mais, à ce moment-là, j’eus l’impression qu’elle me suivait du regard, ce qui me fit frissonner. Comme mes maux de tête me reprenaient, je demandai la permission d’aller me coucher. Lorsque je m’allongeai dans mon lit, je crus entendre des bruits, comme des sifflements qui venaient de derrière la porte. Je fis en sorte de penser à autre chose, mettant cela sous le coup de la fatigue et peut-être de ma trop grande consommation d’alcool. C’est alors que je vis la porte s’entrouvrir. Je me mis à suer et à trembler puis, je me recroquevillai pour échapper à ce qui m’effrayait. Je ne pus m’empêcher de regarder et ce que j’aperçus me glaça le sang : une dizaine de serpents s’avançaient vers moi ! Je sentis même l’un d’entre eux s’enrouler autour de ma cheville. J’avais le souffle coupé, la gorge nouée si bien que je ne pus appeler au secours et que je finis par m’évanouir. Le lendemain, je me réveillai mal en point. M. Suarez, inquiet, se trouvait à mon chevet. Je lui racontai toute ma mésaventure et je vis bien qu’il n’y croyait pas. En me tapant la main, il m’expliqua que c’était sans doute une hallucination due à la consommation du mezcal. J’acceptai cette version des faits même si le doute m’habitait…
Gorka Morstyn
Vas-y, entre.
Bienvenue ! Merci
D’accord.
Oulala, je ne devrais pas !
Ah !?! Qu’elle est laide !!! Voyons voir ce qu’il y a là...
Je vais aller me coucher, j’ai vraiment mal à la tête.
LA VENGEANCE Je rentrai dans le muséen des Offices à Florence où je vis un tableau du Caravage intitulé «Méduse»avec une dame en noir qui était effrayante. J’eus l’impression qu’elle me suivait du regard. J’étais terrifié je ne savais pas si je devais partir en courant ou m’enfermer. Le lendemain, je me réveillai, je regardai mon téléphone. Je vis que toutes les photos que j’avais représentaient la femme effrayante que j’avais vue au musée ! Puis mon téléphone commença à sonner mais avec un numéro inconnu. On aurait dit qu’elle me voulait du mal ! Dans l’après midi je partis dans le manoir sombre et lugubre de ma tante. Je marchais puis j’aperçus le même tableau que celui du musée. Je décidai de retourner au musée, je vis soudain une chose bouger, c’était comme une espèce d’esprit mais il commença à me suivre et aussi à me parler du mal. Je partis en courant mais je tombai et je me foulai la cheville. L’esprit me dit «Reste par terre, humaine, sinon tu auras quelque chose à me faire !» J’étais terrifiée après ces paroles! Quelques heures plus tard, je me trouvai dans mon lit, l’air de rien. Je ne savais si c’était réel ou si une présence invisible continuait à me poursuivre. Une histoire d’Emilie & Thibault Larrieu
Thibault Larrieu
Je vis une œuvre très effrayante !
Un jour au musée...
AAAH !!
Non !?! C’est elle ! Ouf...
...ce n’était qu’une illusion !
PANIQUE AU MUSEE Pendant les vacances, je décidai d’aller visiter Paris. Je me rendis aussitôt au fameux musée d’Orsay pour voir la représentation de la Méduse d’Arnold Böcklin. Dès que je me trouvai devant l’œuvre, je ne pus m’empêcher d’hurler : « Aaaaahhhh, ce tableau est vraiment effrayant ! » J’avais honte des regards réprobateurs que les autres visiteurs portèrent sur moi et je repartis chez moi aussitôt et terrorisée. Le soir, je me demandai vraiment ce qui avait bien pu se passer. J’allumai la télé et là le visage de la Méduse apparut. Mais que m’arrivait-il ? Pourquoi étais-je partie visiter ce musée ?
Lauryne Lheureux
Enfin arrivée ! Aaah ! Ce tableau est vraiment effrayant !
Après l’exposition, Alexandra repartit chez elle.
Cette exposition était vraiment géniale. Mais un peu effrayante quand même !
Non !!!
Mais pourquoi, est-elle sur ma télé ???
AH AH AH !
LA MÉDUSE Je m’appelle Simon, j’ai 19 ans. Je vis dans un appartement situé à Paris dans le XIVe arrondissement. Aujourd’hui nous sommes dimanche et je passe la journée au musée du Louvre. Une exposition temporaire attire mon attention : « la représentation de la femme en peinture ». Avançant dans la galerie, je parcourus les différents tableaux exposés : « La mort et le fossoyeur », « Trois femmes et trois loups », « Apparition dans la forêt » … Le dernier tableau, intitulé « la Méduse », était un portrait d’une femme ayant le teint blafard, ses yeux rouges et exorbités me donnaient la chair de poule ! Sa chevelure était particulière, je ne savais comment la décrire. La lumière commença à clignoter, à grésiller. J’entendis alors le cri perçant d’une femme, on aurait dit celui de la Méduse ! Je partis en courant et rentrai chez moi complètement déstabilisé ! Arrivé devant la porte de mon immeuble, je fis tomber mes clefs. Une femme, la quarantaine dirais-je, très sombre se baissa pour les ramasser et disparut. Mon cœur battait très vite, très fort. Était-ce une apparition ? Cette femme ressemblait fortement à la Méduse ! En regardant de nouveau par terre, je vis que mes clefs étaient là ! Je pris place devant l’ordinateur et je rentrai mon mot de passe. Le fond d’écran apparut et ce n’était pas celui de d’habitude… J’avais la gorge nouée, le souffle coupé, le front moite et mon cœur qui battait la chamade. Je pris mes jambes à mon cou et partis me réfugier dans mon lit. Pétrifié, paralysé, j’essayais malgré tout de m’endormir. Ce devait être un cauchemar. Mon cœur s’emballait de plus en plus vite, je ressentis comme un coup de couteau brutal, violent dans l’obscurité de la nuit …
Arthur Pasini
Un Unjour jourau au musée du Louvre. musée du Louvre.
uvre Quelle œ e ! nt efraya
De Deretour retour ààlalamaison... maison...
T T I Z
AAAAH !
zzz
AAAAH !
Etait-ce Etait-ceun unrêve ? rêve ?
LA MÉDUSE Avec mes parents et mon frère, nous nous rendîmes dans un musée dans lequel il y avait les plus belles œuvres du continent. Quand nous fûmes entrés, la première œuvre que je vis fut la Méduse. Elle me faisait peur ! Je me séparai de mes parents, mais mon frère me suivait toujours. Je repartis devant ce tableau mais j’étais certain qu’elle avait changé de position ! Elle avait des serpents sur la tête, elle était aussi très blanche avec une longue robe noire. Une fois le tour du musée fait, nous repartîmes dans un taxi, mais j’avais l’impression que je voyais la Méduse dans les vitrines des magasins ! Une fois à table, elle était là dans les fenêtres noires comme l’ombre. Quand j’allai au lit, je la voyais au plafond, elle me faisait très peur … Le lendemain matin, quand je sortis, je vis encore la Méduse ! Je pris alors un couteau et je la poignardai pour ne plus qu’elle me fasse peur. Je pris une pelle et je creusai très profond pour ne plus que quelqu’un ne la retrouve. La vie était redevenue comme avant, paisible, calme, sans personne qui me regardait en cachette ! Mais j’ai le pressentiment qu’un jour, un homme se baladant avec son chien dans le bois retrouvera le corps de la Méduse...
Téo Peducasse
C’était un après-midi au musée avec mes parent.
Cette tête ! Heureusement qu’ils ne sont plus avec moi !
Enfin rentré...
AAAH !
Il ne me rester plus qu’à t’enterrer !
J’en ai assez de toi !
LA VÉNUS DE MILO Je me préparais pour aller au musée du Louvre à Paris, voir les œuvres exposées. Je me dirigeai vers le musée en passant par la pyramide du Louvre pour prendre quelques photos. J’entrai dans le musée et je vis la statue de la Vénus de Milo. Je marchai puis m’arrêtai devant cette sculpture. Elle faisait un peu plus de deux mètres de hauteur. Je regardai le cartel avec précision, où étaient écrites les informations sur cette œuvre. Cela m’intéressait beaucoup. Puis je partis dans une autre pièce. Mais là, je fus surpris de découvrir une vingtaine de statues de la Vénus de Milo ! Dès que je tournais, les statues étaient plus près de moi, je me sentis très mal et je partis en courant du bâtiment, mort d’inquiétude ! Je rentrai chez moi paniqué, je fermai la porte. Je suais à grosses gouttes, je me retournai et je vis trois de vingt statues devant mon visage. Je sentis mon cœur battre à toute allure. Je fermai les yeux, les ouvris et je ne vis plus les sculptures. Je me demandais si c’était simplement un rêve. J’avais encore beaucoup d’inquiétude en moi.
Ethan Pelisso
MÉDUSE
Qu’est-ce que c’est que cette peinture ?!
Oh, mon dieu !
Au secours !!!
AAAH!!! Elle est vivante !
LA FEMME EFFRAYANTE J’avais décidé d’aller au musée. J’arrivai au musée, il y avait de grands tableaux partout accrochés aux murs. Je vis un tableau avec une femme dessinée dessus. En la regardant, j’eus des frissons dans tous le corps. Mon regard se fixa sur elle pendant quelque minutes. En partant, je pensais toujours à elle comme si mon esprit avait était marqué par son regard. En rentrant chez moi, dans la voiture, je repensais à cette femme. Elle avait des cheveux tout mouillés, la peau très blanche, on ne voyait quasiment que le blanc de ses yeux avec comme un long drap blanc sur elle. J’ouvris la porte de ma maison, j’allumai la lumière et j’eus comme un flash pendant un millième de seconde et je la vis. Je partis directement me coucher car j’avais eu une peur bleue ! Le lendemain, je partis à mon travail comme tous les jours sauf qu’il y avait quelque chose n’allait pas. J’eus l’impression que quelque chose m’observait... Je réfléchis pendant toute la journée pour savoir ce qui se passait. En rentrant du travail, je la vis de nouveau ! Je me couchai en ne sachant pas ce que j’avais ou ce qu’elle était. J’étais terrifié ! Cette nuit-là, j’avais réfléchi et je m’étais dit que si cet esprit me suivait partout où j’allais, alors j’irais l’enfermer dans une grotte. Je partis dans cette grotte, j’y entrai puis je partis en courant verrouiller la porte. Je l’avais enfermée mais je ne pense pas qu’elle allait y rester…
Teddy Riskwait
Oh...
Aaah !!!
Non, non… Ça doit être une illusion !
Viens !
J’espère qu’elle va rester enfermée….
Elle est encore là !! Je vais l’enfermer dans une grotte.
LE KIDNAPPEUR MYSTÈRE Le professeur de français nous annonça un matin nous allions au musée. Arrivée au musée, je reconnus un tableau que j’avais aperçu en photo et sur une affiche par terre dans la rue. Le tableau était particulier, il s’agissait d’une femme avec des serpents à la place des cheveux, avec un regard effrayant nommée « Méduse ». Soudain, quelqu’un m’appela en anonyme, et une personne me dit que ma mère était décédée. Mes jambes tremblèrent et je me mis à pleurer. Je regardai devant moi, et le tableau changea de tête ! Elle eut un petit sourire au coin de la bouche. Je partis et appelai la police. Ils me répondirent qu’ils allaient mener une enquête. Mon père triste et moi fûmes interrogés. Nous savions au moins deux choses : la cause du meurtre et nous connaissions aussi la cause du décès : empoisonnement par un venin de serpent. Il y avait un indice, c’est qu’il y avait gravé « board ». Le vide régnait dans ma tête, puis je pensais au tableau. Je commençai à avoir la chair de poule, mais je me dis que le meurtrier ne pouvait pas être elle ; ce n’était qu’une femme dessinée sur un tableau ! Des jours passèrent et deux filles disparurent. Elles étaient dans ma classe. Un serpent avait mordu les deux filles, ce qui les avait endormies et le ravisseur avait pu les transporter mais il avait laissé un gant. La police le récupéra et l’amena dans un laboratoire pour l’examiner, et relever les empreintes. Mais contre toute attente, il n’y avait aucune empreinte ! C’était comme surnaturel, comme si c’était un fantôme et soudain un message s’afficha sur mon téléphone : « You are very small, but be careful, I watch you ». Je le montrai à mon père. J’avais le front humide. Je savais que tout cela avait un rapport avec le tableau ! Mais qui avait pu faire ça ? Alors je décidai de revenir au musée. J’allai donc au musée et je parlai au tableau. Je lui demandai des explications mais elle ne répondit pas évidemment… Puis elle sortit du tableau avec les serpents et essaya de m’attraper ! Mais je pris le couteau que j’avais mis dans ma poche et je lui transperçai le corps. Elle repartit dans son tableau et un cadenas apparut. Ma mère sortit du tableau saine et sauve et je la pris dans mes bras et là je vis tout blanc avec juste mes parents et moi, puis je sentis mon corps qui tombait.
Léa Rossé
Quelle horreur ! Il est temps que je rentre.
Mais c’est le tableau !
Police ?
AH !!
LA FEMME HANTÉE J’entrai dans le musée, la première chose que je vis, ce fut un tableau d’une femme effrayante. Je me dépêchai de changer de salle car cette femme me disait quelque chose, je la revis en face de moi, ma gorge se noua, mes jamb es se clouèrent au sol, je ne compris rien à ce qui m’arrivait. Je rentrai chez moi, je pris mon téléphone, je vis la femme en fond d’écran, je hurlai! Le front moite, je partis chez mon meilleur ami pour tout lui expliquer, il me dit d’aller chez un psychiatre. J’entrai dans là salle d’attente et la je vis le même tableau avec la femme dessus qui me regardait ! La sueur perlait sur mon front, je partis en courant, j’étais possédé !!! Je retournai chez moi avec une idée en tête, je revis la femme dans la cuisine, je fermai toutes les portes à clef, les fenêtres, absolument tout. Je mis le feu à la maison, pour essayer d’anéantir l’esprit. Pendant quelques jou rs, je ne la revis pas, je me sentis soulagé, rassuré. Peu de temps après, peut être une semaine, la femme réapparut à mon réveil et me regarda avec un sourire machiavélique, mon cœur battit très fort. Fallait-il que je me tue pour l’éliminer à tout jamais ?
Pierre Urieta
Au musée
AAAH !!!
1 heure après, sur son téléphone...
Le lendemain
CLAC
1 semaine après
Ma maison, elle brûle !
Je vois encore son visage...
Faudra-t-il que je me tue... pour arrêter ce drame ?
FRAYEUR AU MUSÉE DALI Il était huit heures du matin lorsque j’arrivai au Théâtre Musée Dall, if faisait sombre et j’étais dans ce grand musée, ce qui me laissa le temps de regarder chacune des œuvres sans être gêné. J’arrivai face à la statue “La Vénus aux tiroirs”. Je continuai mon chemin mais quand je revins à cette œuvre, elle avait changé de place ! Elle n’était plus contre le mur mais au milieu de la salle ! Je commençai à me poser des questions mais je continuai mon chemin. J’entendis un bruit et je me retournai. Là, je vis la statue bouger toute seule ! J’étais terrifié ! Je sentis la peur monter en moi, mon souffle se coupa et j’avais la chair de poule ; j’étais cloué au sol, je ne pouvais plus bouger ! Je me croyais dans un cauchemar ! Je me mis à courir mais la statue me suivait, je courais le plus vite possible mais la statue me rattrapa ! Et boum !!!!!! La Vénus explosa en mille morceaux derrière moi.
Une histoire de Timéo Zimolo et Lucas Jouanjus
Timéo Zimolo
Il était une fois à Figueras...
Quelle belle statue !
MAIS ! Elle est passée où ?
Elle bouge !!! Non non, c’est impossible !
À L’AIDE !!!
l’antique au coeur du fantastique Des récits fantastiques réalisés par les élèves de la 4ème Rostand (2017-2018) du collège Joseph Peyré de Garlin. Dans le cadre du cours de français, les élèves ont choisi une œuvre d’art parmi celles étudiées en classe et ont inventé un récit fantastique les mettant en scène. La réalisation de la bande-dessinée a débuté par un atelier animé par Marion Duclos (auteur et illustratrice de bande-dessinée), en partenariat avec la médiathèque de Garlin. Les élèves ont ensuite eu à choisir la technique de réalisation. Ils ont librement adapté leur texte. Un projet interdisciplinaire : Français (Mme Mondésir) / Arts plastiques (Mme Lupiac)
Merci à la Médiathèque de Garlin.