Bulletin d’information - salubrité alimentaire

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Elizabeth May, O.C., députée Votre députée de Saanich-Gulf Islands

Bulletin de l’hiver 2012 — Salubrité alimentaire Où que j’aille au Canada, il existe un mouvement en faveur de la consommation d’aliments locaux, de l’alimentation saine et de la sécurité alimentaire. Nulle part ce mouvement est plus fort qu’à Saanich-Gulf Islands. Nous avons le bonheur de bénéficier d’avantages naturels sans pareils. Notre saison de culture est longue, nos agriculteurs sont dévoués, nos réserves de terres agricoles nous permettent de maintenir une agriculture locale, nous disposons de groupes privés dynamiques qui encouragent la production d’aliments locaux et d’une vaste armée de loyaux défenseurs des marchés de produits biologiques. Les raisons d’appuyer l’agriculture locale sont multiples : réduire les gaz à effet de serre (importer des pommes de Nouvelle-Zélande ne semble pas très sensé), soutenir notre économie locale, être sûrs que nos enfants ont une alimentation saine et prendre soin de la terre sur laquelle ses aliments poussent. Nous avons désormais une autre raison. En effet, l’éclosion de E. coli à l’abattoir XL à Brooks (en Alberta) a mis en lumière les risques d’une production qui à l’opposé : des abattoirs géants où jusqu’à 5 000 bêtes sont tuées par jour. Les enchères auxquelles j’ai assisté à Salt Spring Island à l’automne, afin de soutenir la construction d’un abattoir local, ont constitué une expérience amusante et enrichissante. Cet abattoir permettra de produire de l’agneau local. Autrement, il faudrait transporter les agneaux par ferry jusqu’à un abattoir éloigné, ce qui coûterait des sommes énormes. Végétarienne depuis l’âge de huit ans et ayant adopté à l’époque un agneau comme animal domestique, je n’aurais jamais cru être capable de défendre la création d’un abattoir. Cependant, étant donné ce qui se passe dans le monde de la production alimentaire, de plus en plus industrialisé et monopolistique, je suis prête à m’enchaîner aux grilles de toute usine de mise en conserve ou abattoir qui sera fermé. Évidemment, la contamination alimentaire peut se produire également dans les petites usines. Mais dans ces dernières, l’incidence est limitée, localisée et facilement retracée. La santé publique a été compromise dans l’affaire XL, parce qu’il a fallu près de deux semaines aux organismes fédéraux concernés pour établir les aliments contaminés, car ils craignaient de nuire à l’image du bœuf canadien dans son ensemble, compte tenu de la taille de cette usine. Nous devons nous battre pour une agriculture locale, pour que les agriculteurs aient un niveau de vie décent et que les Canadiens soient sûrs de la salubrité des aliments qu’ils consomment.

Bureau de circonscription 9711, rue Fourth, Bureau 1 Sidney (Colombie-Britannique) V8L 2Y8 Téléphone : 250-657-2000 ou 1-800-667-9188 Télécopieur : 250-657-2004 Courriel : elizabeth.may.c1a@parl.gc.ca

Adresse de la colline 518, édifice de la Confédération Chambre des communes Ottawa (Ontario) K1A 0A6 Téléphone : 613-996-1119 Télécopieur : 613-996-0850 Courriel : elizabeth.may@parl.gc.ca

En ligne www.elizabethmaymp.ca @ElizabethMay facebook.com/ElizabethMayGreenLeader

Le Centre pour la défense des végétaux est sauvé! Le 30 octobre, j’ai appris du ministre de l’Agriculture, Gerry Ritz, que le Centre pour la défense des végétaux sur la péninsule Saanich restera ouvert. Inutile de dire que je suis enthousiasmée et soulagée d’apprendre cette décision. Je tiens à remercier le ministre Ritz pour avoir tenu compte de nos préoccupations et être revenu sur sa décision de déménager les services de quarantaine et de contrôle virologique à Summerland, soit au cœur de la région vinicole et fruitière de la Colombie-Britannique. C’est une victoire pour notre communauté, mais aussi pour tous les gens qui se sont battus pour défendre la tradition d’excellence qui a fait la réputation du Centre pendant 100 ans. Des résidents de Saanich—Gulf Islands et de l’ensemble de la ColombieBritannique ont signé des pétitions pour demander le maintien du Centre pour la défense des végétaux, y compris la pétition suivante, que j’ai déposée à la Chambre des communes le 29 octobre :

« Monsieur le Président, j'ai l'honneur de présenter une pétition signée par des électeurs de ma circonscription, des gens de Salt Spring Ron Wilson, Victoria artistwilson.com Island, de Galiano et de la région de Saanich. Les pétitionnaires exhortent le ministre de l’Agriculture avec qui j'ai discuté de la situation à plusieurs reprises – à revenir sur la décision de fermer le Centre pour la défense des végétaux, une installation qui sert les intérêts de la science depuis 100 ans en menant des recherches visant à comprendre les virus. Depuis 1960, il s'agit du centre national de quarantaine pour les phytovirus. Il n'est tout simplement pas possible d'aller de l'avant comme prévu et de déménager ces installations dans la région de l'Okanagan. Par conséquent, je dépose cette pétition au nom de mes électeurs, qui veulent que le Centre pour la défense des végétaux demeure ouvert. » Le Centre pour la défense des végétaux joue un rôle clé dans la quarantaine et le contrôle virologique de nouveaux végétaux. Son emplacement stratégique, soit isolé de la partie continentale de la province par la mer des Salish, empêche la transmission de virus ou d’organismes nuisibles aux principales régions agricoles de la Colombie-Britannique. Bien que six postes soient toujours visés par le projet de transfert aux installations de Summerland, 23 postes à plein temps seront désormais épargnés et le Centre demeurera ouvert. Quel merveilleux cadeau pour souligner le 100e anniversaire du Centre pour la défense des végétaux. Cela prouve l’impact que peut avoir un groupe de citoyens déterminés et engagés. Merci aux résidentes et aux résidents de Saanich—Gulf Islands qui ont pris part à cette campagne. Visitez mon site Web de députée à: http://www.elizabethmaymp.ca/fr/get-involved pour télécharger d’autres pétitions et les signer.

Elizabeth May, O.C., députée

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Salubrité alimentaire

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Usine XL - quelques faits sur le plus important rappel d’aliments de toute l’histoire canadienne 

Escherichia coli (E. coli) est une bactérie que l’on trouve dans les entrailles des animaux à sang chaud. Si des aliments sont contaminés par cette bactérie, la personne qui la consomme peut tomber gravement malade ou même décéder.

Les autorités américaines ont décelé pour la première fois cette bactérie E. coli dans la viande importée par XL à la frontière le 3 septembre.

Le Canada n’a pas alerté le public ni rappelé les produits du bœuf provenant de cette usine avant le 16 septembre.

Chaque jour jusqu’à 5 000 animaux sont abattus.

L’usine compte 2 200 employés.

40 % de tout le bœuf produit au Canada est abattu dans l’usine XL.

Il y a 46 inspecteurs de l’Agence canadienne d’inspection des aliments (ACIA) qui travaillent en deux quarts de travail. Les inspecteurs ne travaillent pas tous sur les carcasses. Certains sont des vétérinaires qui examinent les animaux avant leur abattage. Même lorsqu’ils sont tous présents, chacun des inspecteurs doit s’assurer du suivi de la sécurité de trois abattages à la minute.

Chaque travailleur doit découper la viande de 300 à 320 bêtes à l’heure. L’Union internationale de travailleurs et travailleuses unis de l’alimentation et du commerce a déclaré que, compte tenu de la vitesse et du volume des activités, les travailleurs sont obligés de sauter des étapes comme le nettoyage des couteaux entre chaque carcasse.

Le syndicat prétend que les travailleurs étaient contraints de travailler plus rapidement qu’il est humainement possible de le faire s’ils devaient respecter les étapes de sécurité. Le personnel est de plus en plus constitué de travailleurs étrangers embauchés temporairement. En vertu des modalités qui les régissent, ils ne peuvent travailler que pour la compagnie qui les a embauchés à contrat. Avec un salaire de 17 $ de l’heure, la plupart craignent de se plaindre des violations par peur d’être limogés et expulsés du Canada.

XL Foods - Extraits du débat d’urgence tenu à la Chambre des communes le 3 octobre 2012

Après l’éclosion de listériose en 2008, qui a causé 22 morts dus à la contamination de produits de viande servis à des personnes âgées en résidence, le ministre de l’Agriculture Gerry Ritz a établi une enquête publique chapeautée par Sheila Weatherill, ancienne dirigeante du Centre de santé d’Edmonton. Le rapport que cette dernière a produit a décrit une complaisance généralisée et formulé plus de 40 recommandations. Lors du débat d’urgence du 3 octobre 2012, le gouvernement a prétendu que toutes les recommandations avaient été mises en œuvre. Il est clair que cela n’a pas été fait. Il est également clair que les enseignements n’ont pas été tirés.

Le député conservateur a insisté à maintes reprises sur le fait que le budget de l’Agence canadienne d’inspection des aliments avait augmenté. Ce n’est pas le cas : Elizabeth May : Monsieur le Président, le secrétaire parlementaire nous avait dit que le budget prévoirait de nouvelles sommes pour l'Agence canadienne d'inspection des aliments. Je pense qu'on tente de nous leurrer. Si nous allons à la page 191 du budget, nous constatons qu'une somme de 51,2 millions de dollars en nouvelles ressources est prévue sous la rubrique « Accroître la salubrité des aliments ». C'est écrit en grosses lettres. Cette somme sera fournie au cours des deux prochaines années et sera partagée entre trois organismes différents: l’Agence canadienne d’inspection des aliments, Santé Canada et l’Agence de la santé publique du Canada. Selon mes calculs, si ces sommes sont réparties également, chaque organisme recevra approximativement 8 millions de dollars par année.

Elizabeth May: On nage en pleine confusion ce soir, car les divers partis appuient leurs interventions sur toutes sortes de faits. J'ai lu le budget de 2012 d'un bout à l'autre afin d'essayer de mettre un peu d'ordre dans tout ça. Voici ce que je veux demander à mon ami. Le rapport Weatherill semble avoir fait quelques observations qui sont restées lettre morte. L'une d'entre elles, à la page v — il est question de la listériose —, signale « l'absence d’un sentiment d’urgence au début de l’éclosion ».

Toutefois, si nous lisons les petits caractères à la page 296, nous constatons que les sommes versées à l'ACIA diminuent : de 2 millions de dollars cette année, de 10 millions de dollars l'année prochaine et de 56 millions de dollars au cours des exercices suivants.

Je pense que l'histoire est en train de se répéter. La désinformation et les retards sont flagrants. Ce que révèle la crise actuelle, c'est que nous n'avons apparemment rien appris de la précédente.

Le secrétaire parlementaire a laissé entendre, lorsqu’il a pris la pris la parole, que l’Agence canadienne d’inspection des aliments allait disposer de 100 millions de dollars d’argent frais, mais elle faisait référence au budget de 2011. Je dispose du budget 2012 qui montre clairement que le financement de l’Agence recule d’une année sur l’autre jusqu’à atteindre 56 millions de dollars de recul en 2014.

Le rapport Weatherill partait du principe que la concentration de la production de viande dans une poignée d’usines géantes nuisait à la sécurité inhérente au système. Mais ni Weatherill ni quiconque d’autre à la Chambre des communes ne semblent penser que c’est le modèle qui est à l’origine du problème. Elizabeth May : Monsieur le Président, je veux amener ce débat plus loin. Je veux citer le rapport Weatherill. Outre le fait que nous ayons perdu des inspecteurs des aliments et que nous soyons inquiets au sujet de la salubrité des aliments, on risque de ne pas s'attaquer à la source du problème. Je cite le rapport Weatherill :

« Les risques de maladie d'origine alimentaire sont aussi plus élevés qu'auparavant. L'agriculture et la transformation alimentaire à grande échelle [...] ainsi que les répercussions de la mondialisation, qui donnent [...] accès à des aliments provenant de partout dans le monde, augmentent les risques de contamination. En outre, il est aujourd'hui plus difficile de retracer la source . » Quand je songe à cette usine qui transforme entre 2 000 et 5 000 bovins par jour, soit jusqu'à 40 % de tout le bœuf au Canada, je me demande si les sociétés alimentaires, dont le modèle de production est axé sur la concentration et l'industrialisation, s'intéresse moins aux aliments qu'à leurs profits, et si nous ne devrions pas plutôt appuyer les agriculteurs, les abattoirs et les transformateurs locaux.

Assemblées locales prévues pour le mois de janvier Je tiens une série d’assemblées publiques locales un peu partout à Saanich-Gulf Islands. C’est une occasion unique pour moi de savoir ce que vous pensez au sujet de questions locales ou nationales. C’est avec un grand plaisir que je vous annonce une nouvelle série d’assemblées publiques pour janvier. Vérifiezen les dates et les heures qui seront annoncées dans les journaux, par courrier et mon site Web (www.elizabethmaymp.ca). Je me réjouis de vous y voir.

Elizabeth May, O.C., députée

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Salubrité alimentaire

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Une vision nationale pour la politique alimentaire : améliorer la salubrité, la sécurité et la souveraineté alimentaires Il nous faut une politique nationale en matière d’agriculture et d’alimentation qui : Améliore la salubrité alimentaire  

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Modifier le mandat de l’Agence canadienne d’inspection des aliments pour en éliminer toute obligation d’encourager l’agroalimentaire au Canada, et veiller à ce que l’Agence se focalise sur la salubrité alimentaire en disposant de ressources supplémentaires pour l’inspection et le suivi. Veiller à la qualité et à la salubrité des aliments en consolidant le suivi de l’utilisation des pesticides, herbicides, fongicides, hormones de croissance, antibiotiques à usage non thérapeutique et insecticides dans la production, la transformation et l’entreposage des aliments, dans le but de réduire de façon ordonnée les résidus détectables de ces substances jusqu’à ce qu’ils atteignent des quantités indétectables. Établir des programmes financés au niveau fédéral et dirigés au niveau communautaire de préparation de lunchs dans les écoles de sorte que nos enfants de tout le pays aient tous les jours une alimentation locale saine et puissent en savoir plus sur la production viable d’aliments et l’alimentation saine. Consolider les programmes de protection des plantes et de santé des animaux à l’aide de mesures visant à assurer l’intégrité des produits alimentaires agricoles. Améliorer et consolider les normes biologiques au Canada. Fournir une aide à ceux qui abandonnent les méthodes traditionnelles pour se tourner vers des pratiques d’agriculture biologique certifiée. Veiller à ce qu’aucun produit d’origine animale ne soit utilisé dans les aliments pour ruminants. Mener des tests sur l’ESB.

Assure la sécurité alimentaire     

S’orienter vers l’autonomie alimentaire régionale dans tout le pays, en privilégiant l’agriculture biologique comme principal modèle de production. Appuyer le régime axé sur la consommation d’aliments produits dans les 200 kilomètres et les aliments locaux par l’essor des marchés et le tourisme culinaire local. Encourager les jardins potagers établis sur les toits, les espaces verts destinés à l’agriculture en milieu urbain, a production d’aliments dans les villes et les banlieues et les jardins communautaires. Protéger le droit des agriculteurs de conserver leurs propres graines. Encourager les banques de graines patrimoniales et les programmes d’échange de graines.

Empêche le contrôle de l’approvisionnement alimentaire par de grandes sociétés   

Réformer les règlements agricoles afin de contester la concentration par quelques sociétés. Veiller à ce que l’aide financière aux agriculteurs soit fondée sur l’exploitations agricole et (non sur la production) pour encourager les exploitations agricoles et les agriculteurs. Encourager les méthodes d’agriculture biologique pour améliorer la rentabilité et la viabilité.

Pour en savoir plus : http://elizabethmaymp.ca/vision-green/p1.15

Déclaration sur le jour du Souvenir Le 11 novembre est l’occasion de se souvenir de tous ces soldats qui sont morts avec la conviction qu’ils avaient été envoyés au front pour défendre la liberté. Nous devons respect et gratitude envers ces femmes et ces hommes des forces armées, qui ont fait l’ultime sacrifice de donner leur vie à cette noble cause. Le 11 novembre est l'occasion pour les Canadiens de se souvenir et de se recueillir. Nous nous souvenons de celles et de ceux qui ont sciemment donné leur vie. Nous nous souvenons de la vie brisée de ces soldats, qui sont revenus de la guerre blessés dans leur corps et dans leur âme. Nous nous souvenons que le sacrifice de ces soldats était aussi celui de leur famille et bien souvent de toute une collectivité. Nous nous souvenons de ces innombrables civils morts dans une guerre qu’ils n’avaient pas voulue. Nous nous souvenons qu’il est facile de commencer une guerre, mais difficile d’y mettre fin. La violence des guerres, même si elles sont courtes, a de terribles répercussions bien après que l’écho du dernier coup de feu se soit évanoui. Nous nous souvenons du sacrifice de celles et de ceux qui ont travaillé en faveur de la paix et la fin de la guerre. Nous nous souvenons que toute cette violence n’impliquait pas que des nations mais qu’elle contaminait toute la société et notre façon de penser. En ce 11 novembre, c’est avec gratitude que nous nous souvenons de tout cela.

Affiche de la soucription à des obligations pendant la 2e guerre mondiale L’artiste était mon grand-père

En ce 11 novembre, nous nous souvenons et nous prions pour que plus jamais ne survienne la guerre.

Votre opinion compte! Ce qui est important pour vous est important pour moi... je veux connaître vos priorités!

www.elizabethmaymp.ca contient une section « Signez une pétition », où il est possible de signer plus de 20 pétitions en ligne, ou de télécharger une copie papier que je peux présenter à la Chambre des communes.

Je vous invite à prendre le temps de répondre à la question formulée dans la colonne de droite. Veuillez découper le coupons le long du pointillé et me renvoyer vos réponses en franchise de port. Vous pouvez également répondre au sondage en ligne à partir de mon site Web (http:// www.elizabethmaymp.ca)

Mon bureau envisage d’ajouter à mon site Web une section « Présentez votre propre pétition », où vous pourriez rédiger votre propre pétition et la faire signer par vos amis, votre famille et vos voisins.

Si votre ménage compte plus d'une personne, vous pouvez communiquer avec mon bureau de Sidney au 250-657-2000 pour obtenir d'autres exemplaires du sondage; nous vous les enverrons par la poste. Merci!

Elizabeth May, O.C., députée

Aimeriez-vous que j’ajoute cette section à mon site Web de députée?

Oui

Non

Sans opinion

Veuillez me tenir au courant de cette question, et de toute autre.

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Salubrité des aliments

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Cérémonie de remise des médailles du jubilé de diamant de la Reine Elizabeth II Le 6 février, la Reine Elizabeth a souligné le 60e anniversaire de son accession au trône, une occasion qui ne s’est présentée qu’une seule fois auparavant et il s’agissait de son arrière-arrière-grand-mère, la Reine Victoria. Pour célébrer ce 60e anniversaire de l’accession de la Reine Elizabeth au trône en tant que Reine du Canada, le gouverneur général a annoncé que serait remise la médaille du jubilé de la Reine Elizabeth II aux Canadiennes et Canadiens remarquables, de tous âges et de tous les horizons, afin d’honorer les Canadiens exceptionnels pour leur contribution à notre société, à leurs collectivités et à leur pays. Plusieurs centaines d’électeurs de Saanich-Gulf Islands ont recommandé des personnes à qui remettre cette médaille unique. Ces personnes se sont distinguées par leur contribution exceptionnelle à leur collectivité et à leur pays, que ce soit en tant que volontaires ou dans le cadre de leur carrière – dans le secteur public ou privé. C’est un comité de quatre personnes qui a eu la difficile tâche de choisir les 30 lauréats de cette médaille. Il s’agissait de :    

John Treleaven, ancien président de la Saanich Peninsula Chamber of Commerce; Mme Margaret Fulton, OC, ancienne présidente de l’Université Mount St. Vincent; M. Ambrose Marsh, chef du Service médical, Hôpital , Saanich Peninsula et de moi-même.

Une cérémonie de remise des médailles a eu lieu le 13 septembre au Mary Winspear Centre en l’honneur des lauréats. Figurent ci-après quelques photos de l’événement. Pour en voir d’autres et avoir la liste complète des biographies, veuillez consulter le site http://www.elizabethmaymp.ca/fr/qeii-diamond-jubileemedal

Pour plus de renseignements sur les photos figurant dans le bulletin, voir www.elizabethmaymp.ca.

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Elizabeth May, O.C., députée

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Elizabeth May, O.C., députée 518, édifice de la Confédération Chambre des communes Ottawa (Ont) K1A 0A6

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