CCV NEWS 12 FR

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CCVNEWS 12

Let’s make payment happen! I Novembre 2014

Tout sur CCV Shop Une boutique en ligne ouverte à tous !

Mieke Claerhout de devreemdeeend.be témoigne : “Ne craignez pas les retours de marchandises”

Dossier : e-commerce et commerce de détail C’est l’heure du dé ”clic” !


Venez rendre visite à CCV lors d’Horeca Expo et recevez ce sac à dos pratique !

Des tickets d’entrée gratuits ?

Demandez-les via notre page Facebook www.facebook.com/ccvBE ou envoyez un e-mail à myccv@be.ccv.eu

Avec plus de 620 exposants, une superficie d’exposition de 54 000 m² et 3 000 marques, Horeca Expo au Flanders Expo de Gand est le plus grand salon global consacré au secteur de l’horeca belge. Il va de soi que CCV participera à l’édition 2014 qui aura lieu du 23 au 27 novembre. Notre stand (n°1537) se trouvera à nouveau dans le Hall 1. Nous offrirons avec plaisir un sac à dos pratique aux membres de CCV qui nous honoreront d’une petite visite. Pour recevoir des tickets d’entrée gratuits, nous vous invitons à consulter notre page Facebook (www.facebook.com/ccvBE) ou à envoyer un e-mail à myccv@be.ccv.eu. Au plaisir de vous rencontrer à Gand !


BONJOUR Cher client, Let’s make payment happen! Telle est la nouvelle devise de CCV. Non pas que l’ancienne version « Votre conseiller en paiement électronique » était devenue obsolète, loin de là. Nous continuons évidemment à vous conseiller sans relâche en matière de paiement électronique. Cette nouvelle signature est liée à l’élargissement de nos services. L’initiative la plus importante à cet égard est CCV Shop, un nouveau service dont nous sommes tous très fiers. Avec CCV Shop, notre toute nouvelle plate-forme logicielle

ligne pour compléter leur magasin physique. Nous nous

en ligne destinée aux webshops, nous mettons

attendons à ce que ce nouveau service suscite également

l’e-commerce à la portée de tout commerçant et donc à

l’intérêt de nombreux commerçants qui ont ou désirent

la vôtre aussi. Le package de base de CCV Shop est même

uniquement une boutique en ligne : les pure players ou les

entièrement gratuit. Avec cette version gratuite, nous nous

débutants dans ce domaine qui doivent encore faire un

adressons en premier lieu aux clients de CCV ayant un

choix.

commerce classique, qui se demandent s’il ne leur faudrait pas progressivement combiner celui-ci à une boutique en

CCV Shop comporte en tous cas des applications ad hoc

ligne. Il s’agit en quelque sorte d’une façon de se familiariser

pour convaincre aussi les clients les plus exigeants et

avec le programme. Si l’utilisateur le désire, il peut procéder

ambitieux. Nous avons dès lors considérablement investi

ultérieurement à un upgrade avec des programmes plus

dans cette nouvelle technologie.

étendus que CCV Shop propose aux prix respectifs de 19,95 € et 39,95 € par mois et qui sont résiliables mensuellement. Un tout petit prix comparativement aux milliers d’euros que coûte généralement la création d’une boutique en ligne. Afin de mieux vous guider dans le monde de l’e-commerce, nous vous avons concocté un e-dossier étoffé dans ce douzième numéro de CCV News. En effet, c’est un plaisir pour CCV de vous aider à développer votre stratégie en

CCV Group lance CCV Shop en Belgique, aux Pays-Bas, en Allemagne et en Suisse. D’autres pays leur emboîteront le pas prochainement, mais le service sera toujours géré au niveau local. Si vous avez une question concernant la configuration de votre première boutique en ligne, envoyez-nous un e-mail. Je vous souhaite un hiver chaleureux et lucratif avec beaucoup de plaisir en ligne !

ligne. Les astuces et conseils figurant dans le dossier sur l’e-commerce en sont déjà le point de départ. Bien entendu,

Meilleures salutations,

un conseil personnalisé est toujours possible. Avec CCV Shop, nous ne nous adressons pas seulement aux clients « omni-channel » qui souhaitent une boutique en

Dimitri Beck, CEO CCV Belgium

Notre SERVICE CLIENTÈLE se tient à votre disposition 7 jours sur 7. En cas de problème, envoyez un e-mail à support@be.ccv.eu ou appelez le 070 23 30 41 (entre 8h30 et 22h). Vous pouvez également joindre notre service clientèle via Facebook sous le nom « CCV Belgium » ou directement sur www.facebook.com/ccvBE

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C’est l’heure

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e du dé « clic » ! Comparativement à la moyenne de ses pays voisins, le Belge achète moins en ligne. Toutefois, tout porte à croire qu’un solide mouvement de rattrapage est en train de s’amorcer, non seulement en raison du succès d’acteurs de premier plan comme Zalando, Bol.com ou Coolblue, mais aussi sous l’impulsion de détaillants classiques qui commencent à être convaincus de la plus-value d’une boutique en ligne. Dans ce volumineux dossier de CCV News, nous vous dévoilerons l’essence des mécanismes de marché de l’e-commerce et nous pencherons sur la façon dont le commerçant classique peut démarrer avec succès une boutique en ligne.

Une marge de croissance gigantesque en Belgique Aujourd’hui, 16 % des Belges achètent de temps à autre en ligne alors que la moyenne européenne est de 33 %, soit un peu plus du double. Selon BeCommerce, la fédération belge des entreprises actives dans la vente à distance, le commerce via Internet en Belgique a généré 1,91 milliard d’euros de chiffre d’affaires en 2013. Comparativement à nos pays voisins, il ne s’agit pas de résultats significatifs. Ces chiffres suscitent toutefois une image quelque peu erronée de la situation. Le montant dépensé par les consommateurs en ligne belges est en effet plus élevé car bon nombre d’entre eux achètent sur des sites étrangers. Quelque 65 % des produits que nous cherchons sur Internet sont uniquement disponibles sur des sites étrangers. Néanmoins, les Belges achèteraient beaucoup plus en ligne s’ils en avaient l’opportunité sur des sites belges, car ceux-ci suscitent plus de confiance. En outre, 35 % des noms de domaine « .be » sont détenus par des entreprises étrangères. Les entrepreneures de notre pays disposent donc d’une marge de croissance gigantesque dans l’e-commerce.

Les Belges achèteraient beaucoup plus en ligne s’ils en avaient l’opportunité sur des sites belges, car ceux-ci suscitent plus de confiance. [5]


Alors que nos voisins français, allemands et néerlandais se rangent parmi les plus importants pays européens en matière d’e-commerce, le déclic doit encore se produire chez nous. Dans certains secteurs, comme la réservation d’hôtels ou de billets d’avion, l’e-commerce a également gagné en maturité en Belgique. D’autres doivent encore évoluer. Nous devons développer à cet effet nos sites Web et notre logistique et en renforcer le professionnalisme. Avec le port d’Anvers, un bon réseau routier, une population multilingue et une situation centrale, nous disposons de tous les atouts pour faire de la Belgique le centre européen de l’e-commerce.

Grande percée du petit détaillant Le paysage de l’e-commerce compte trois types d’acteurs. Nous avons tout d’abord les pure players qui exercent leur activité exclusivement sur Internet et qui opèrent fréquemment sur le marché en ligne belge depuis un pays étranger (Zalando ou Bol.com par exemple). Deuxièmement, nous retrouvons les acteurs en ligne avec une présence hors ligne comme Coolblue. Le troisième groupe est constitué des distributeurs classiques qui, en plus de gérer un magasin « physique »,

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intensifient et développent leurs efforts en ligne. Alors que les deux premiers types d’acteurs affichent déjà de très bons résultats, nous sommes convaincus chez CCV que la Belgique est prête à présent pour la grande percée du troisième groupe. Afin qu’un commerçant classique opère aussi avec succès dans l’e-commerce, il est important de connaître quelques différences majeures entre l’activité « en ligne » et « hors ligne ». Le consommateur fait ses achats différemment sur Internet qu’en ville. D’une part, les clients en ligne se laissent moins tenter par des achats ne figurant pas sur leur liste de courses (achats impulsifs). D’autre part, les boutiques en ligne peuvent miser sur des atouts en matière de fidélisation de la clientèle et de communication dont ne disposent pas les magasins physiques. Alors qu’un commerçant classique est plutôt comme un pêcheur qui attend patiemment derrière sa ligne, l’e-commerçant peut partir à la chasse aux clients en ayant recours à des outils technologiques.

Le client est roi, en ligne aussi L’adage « connaissez votre client » est tout aussi important sur Internet. Il s’agit d’établir le lien entre


SEO et SEA Il est très important pour une boutique en ligne d’apparaître le plus haut possible dans les résultats de recherche sur Google. Le consommateur la trouvera alors facilement. Pour y parvenir, il faut faire appel à la Search Engine Optimization (SEO). Pour établir ses résultats de recherche, Google puise des données dans le code source des pages Web. Via la SEO, vous pouvez répéter certains mots-clés des pages Web dans le code source afin de donner plus de poids à votre site. Cette méthode fonctionne bien, mais n’est pas la panacée. Google recherche en permanence des outils influençant les résultats de recherche et y adapte ses algorithmes. Chaque année, le géant de l’Internet réalise environ cinq cents adaptations. Le contenu pertinent pour le surfeur reste toujours le critère principal pour un résultat de recherche optimal. Ceux qui souhaitent ressortir davantage du lot sur la toile peuvent faire appel au Search Engine Advertising (SEA). Il s’agit de la publicité sous forme de bannières et de messages commerciaux sur Google pouvant être adaptés de manière optimale au public cible. Le géant des moteurs de recherche dispose en effet de profils d’utilisateurs détaillés : le moteur sait où le surfeur habite, ce qui l’intéresse, etc. les données de la carte de fidélité, celles du fichier des adresses e-mail et celles relatives aux achats. Le commerçant en ligne doit cerner les besoins des clients et leur offrir de nouvelles possibilités. Les magasins qui servent le client efficacement grignoteront une part de marché des autres. Les commerçants classiques qui lancent une boutique en ligne doivent toutefois avoir bien conscience des investissements nécessaires. Quand il s’agit d’ouvrir un magasin physique, il est évident pour tout le monde que celui-ci doit être soigné dans les moindres détails alors qu’en ligne, on porte très souvent son choix sur des solutions relevant plutôt de l’amateurisme. Une filiale numérique implique un travail tout aussi intense qu’un magasin physique et requiert elle aussi les investissements qui s’imposent. Une boutique en ligne doit également procurer une expérience optimale aux clients. Outre un site web beau et transparent, le service en ligne joue un rôle très important. Respectez ce qui a été convenu et réagissez à temps aux questions : le client est roi, en ligne aussi !

Une boutique en ligne doit également procurer une expérience optimale aux clients. Question de confiance Les raisons majeures qui incitent le consommateur à acheter en ligne sont un meilleur prix et un gain de temps. La confiance à l’égard des boutiques en ligne se renforce de manière significative.

Autrefois, le consommateur voulait tout d’abord déguster, essayer ou sentir un produit. Aujourd’hui, la confiance est plus grande et les produits qui ne plaisent pas peuvent tout simplement être renvoyés (une obligation légale !), ce qui rend évidemment les achats en ligne beaucoup plus accessibles. De ce fait, l’industrie du vêtement, par exemple, a fait un grand pas en avant. Par ailleurs, une livraison correcte constitue de moins en moins souvent un problème. Le consommateur est même souvent disposé à payer un supplément afin de s’assurer d’une livraison à temps et rapide. Les boutiques intelligentes offrent une livraison gratuite, mais relèvent légèrement le prix de leurs produits. Personne ne s’en soucie !

Briques et clics L’e-commerce (clics, en ligne) ne remplace pas le commerce de détail physique, qui a pignon sur rue (briques, hors ligne) : il constitue un canal de vente complémentaire. Tous deux se renforcent mutuellement. Les commerçants malins se mettront en quête de façons de combiner et d’intégrer leurs activités en ligne et hors ligne. Le consommateur combine lui aussi ces deux canaux lors de son processus décisionnel. Son canal d’information primaire est très souvent numérique. Quant à l’achat proprement dit, il le fait là où cela lui convient le mieux. Il prend connaissance du prix, du service et des modalités de livraison. Il réfléchit s’il est nécessaire de goûter ou d’essayer le produit dans un magasin physique. Le commerçant classique ne doit pas

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craindre que, bientôt, tout soit vendu en ligne. Les experts s’attendent à ce que la proportion soit plus ou moins de 50-50. Un commerçant indépendant qui enregistre de bonnes ventes en ligne peut porter à 50 % la proportion entre les activités en ligne et hors ligne sans qu’il y ait le moindre impact sur son magasin « pignon sur rue ». Un bel équilibre entre les briques et les clics est idéal.

Les raisons majeures qui incitent le consommateur à acheter en ligne sont un meilleur prix et un gain de temps. David contre Goliath Un assez grand nombre de distributeurs classiques craignent la toute-puissance de géants tels que Zalando, Bol.com et Coolblue. Il est vrai que ces acteurs vont s’emparer d’une part du gâteau qui revenait auparavant aux magasins physiques. C’est pourquoi le distributeur

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classique doit essayer de se démarquer. Non pas avec de meilleurs prix, mais avec des extras que la toile ne peut offrir. Sur Internet, le consommateur utilise au maximum deux sens : la vue et éventuellement l’ouïe.

Les commerçants malins se mettront en quête de façons de combiner et d’intégrer leurs activités en ligne et hors ligne. Le magasin traditionnel a la possibilité de faire appel à tous les sens du consommateur. Musique, lumière, écrans vidéo et parfums peuvent donner une dimension supplémentaire à l’expérience physique en magasin. Un détaillant qui sait bien choisir son offre (de niche), qui connaît bien ses clients, qui leur offre une agréable expérience en ligne et hors ligne et qui délivre en outre un excellent service est certainement à même de bien se défendre face à de grands acteurs.


Didier Bollen (cartreatment.be) :

« Rien de plus facile avec CCV Shop » Didier Bollen, de Heusden, exerce la profession de laveur de véhicules. Depuis juillet 2014, il s’occupe, à titre complémentaire, de la gestion de cartreatment.be, une boutique en ligne spécialisée dans les produits d’entretien pour voitures et motos. cartreatment.be est-il un magasin en ligne pur ? Didier Bollen : « Tout à fait. Ce n’est pas un magasin physique, mais les clients sont toujours les bienvenus chez moi, sur rendez-vous. Par exemple, je vends également des coatings. Ces produits ne sont pas faciles à appliquer sur une voiture ou une moto. Les clients viennent régulièrement me demander conseil. » Vous adressez-vous surtout aux particuliers ? Didier Bollen : « Oui. Pour servir les clients professionnels, je devrais également proposer les produits d’entretien dans de plus gros conditionnements, qui ne sont pas encore proposés sur le site web pour le moment. Tout ce qui y figure aujourd’hui est de stock. Je mentionne un délai de livraison de deux ou trois jours pour être sûr mais, en pratique, j’arrive souvent à livrer plus vite. Je vais immédiatement déposer la commande au bureau de poste de la commune. » Vous arrive-t-il souvent de recevoir des retours de marchandises ? Didier Bollen : « Cela ne s’est encore jamais produit jusqu’ici. Il est arrivé une fois qu’un client me fasse savoir que le produit livré ne répondait pas à ses exigences. Je lui ai proposé de le renvoyer, mais ce n’était pas nécessaire. »

Aurez-vous quelques conseils à donner aux commerçants qui envisagent de lancer une boutique en ligne ? Didier Bollen : « Il ne faut pas hésiter : il n’y a rien de plus facile avec CCV Shop. Je propose aujourd’hui cinquante produits, avec des explications. Il m’a fallu trois à quatre soirées de travail pour que tout soit en ligne. Maintenant, le site web ne demande plus beaucoup de travail. »

Didier Bollen: « Je propose actuellement cinquante produits. Il m’a fallu trois à quatre soirées de travail pour que tout soit en ligne. » Où vos clients habitent-ils ? Didier Bollen : « Je n’ai encore envoyé aucun colis dans le Limbourg. Les clients de la région passent chez moi. La plupart des colis sont expédiés vers Anvers ou la Flandre-Orientale. Je projette de créer une version française, allemande et anglaise du site. Je suis distributeur exclusif de la marque Chemical Collective. Chemical Guys est également en vente sur mon site web. »

cartreatment.be

Quand je tape « produits de nettoyage », « voiture » et « moto » sur Google, votre site n’apparaît pas directement… Didier Bollen : « Je sais. L’optimisation pour les moteurs de recherche (SEO) est l’aspect suivant sur lequel je dois me concentrer. En fonction de la réussite de la SEO, je déciderai de passer au SEA ou non. »

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Mieke Claerhout (devreemdeeend.be) :

« Les détaillants qui envisagent de lancer une boutique en ligne ne doivent absolument pas craindre les retours de marchandises. » Depuis mai 2012, Mieke Claerhout gère la boutique en ligne devreemdeeend.be où elle vend de la décoration d’intérieur, des cadeaux et des accessoires originaux. Un magasin physique à Courtrai est venu s’y ajouter en novembre 2013. Par ailleurs, Mieke donne des cours de marketing et d’e-commerce chez Syntra en Flandre-Occidentale et au Centrum voor Avondonderwijs à Anvers et Gand. Mieke était donc l’interlocutrice ad hoc pour une interview pleine d’enseignements au sujet de l’e-commerce ! L’offre de la boutique en ligne est-elle plus étendue que celle de votre magasin physique ? Mieke Claerhout : « Non, au contraire. La collection présentée dans la boutique en ligne est plus restreinte que celle en magasin. Au départ, la gestion d’une boutique en ligne représente parfois plus de travail que celle d’un magasin physique. Toutefois, la maintenance nécessite peu de temps, voire plus du tout, par la suite. Dans une boutique, vous exposez les produits livrés et

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les dotez d’une étiquette de prix, c’est tout. Pour une boutique en ligne, vous devez prévoir des photos et un commentaire pour chaque produit, télécharger le tout, etc. Je me charge de tout toute seule, y compris du travail graphique. Bien entendu, il ne faut accomplir ce travail qu’une seule fois par produit alors que, dans un magasin, vous devez à chaque fois déballer, etc. »


Faites-vous souvent des achats en ligne ? Mieke Claerhout : « Si je peux me procurer facilement des articles hors ligne, je choisis ce canal. Pour les objets design spéciaux ainsi que les chaussures et vêtements de ce genre, j’effectue très souvent mes achats en ligne. Quant aux voyages, je le réserve aussi via Internet. » Qu’est-ce qui marche le mieux : le magasin ou la boutique en ligne ? Mieke Claerhout : « C’est difficile à dire parce que les heures que je consacre au magasin et à la boutique en ligne varient tout le temps. La vente en magasin est plus facile car je donne des conseils avec beaucoup d’enthousiasme concernant les nombreux produits de niche que je propose. Hors ligne, c’est quand même un peu moins personnalisé. Évidemment, le magasin et la boutique en ligne s’enrichissent mutuellement, ce qui est super. » Vos clients en ligne ont-ils un profil différent que la clientèle hors ligne ? Mieke Claerhout : « Oui, mes clients hors ligne habitent généralement dans les environs de Courtrai où mon magasin est implanté. Mes clients en ligne, en revanche, habitent partout en Flandre et aux Pays-Bas, sauf dans la région de Courtrai. Logique : les personnes qui ne doivent pas aller loin pour regarder et prendre en main mes produits de niche originaux ne vont pas s’en priver. » Quels produits se portent bien en ligne ? Mieke Claerhout : « Je propose une gamme de parapluies au look très fun qui se vendent comme des petits pains sur la toile. Dans notre pays où la drache est nationale, une touche de positivisme sous la pluie n’est pas superflue. Grâce à leur visibilité dans la rue, ces parapluies sont aussi la meilleure des publicités pour mon magasin. Leurs propriétaires sont souvent interrogés par les passants curieux de savoir où ils se les sont procurés. »

la passion et l’amour qui y sont consacrés. Pour les sites marchands comme Zalando, il en va évidemment autrement : les clients disposent d’un délai de trois mois pour renvoyer les marchandises. Il y règne une mentalité de « je renvoie si cela ne me convient pas » qui fait partie de la formule à succès. Je peux dire aux lecteurs de CCV News qui possède un petit commerce de détail « pignon sur rue » qu’ils ne doivent absolument pas avoir peur des retours. Tant qu’ils gèrent leur boutique en ligne avec passion et qu’ils fournissent suffisamment d’informations concernant les articles et le fonctionnement de l’e-shop, peu de choses leur seront renvoyées. »

Mieke Claerhout : « Mes clients en ligne habitent partout en Flandre et aux Pays-Bas, sauf dans la région de Courtrai. Logique : c’est là que se trouve mon magasin physique ! » Savez-vous si vos clients commandent souvent via une tablette ou un smartphone ? Mieke Claerhout : « Oui, en un an de temps, j’ai constaté une augmentation énorme des commandes effectuées via tablette et smartphone. J’ai donc le conseil suivant à donner aux commerçants qui se lancent dans une activité en ligne : veillez à ce que votre boutique en ligne soit dotée d’un « responsive design ». En d’autres termes, faites en sorte que le site s’adapte à l’appareil sur lequel il est consulté. D’octobre 2012 à octobre 2013, 81 % des achats sur devreemdeeend.be ont été effectués sur un PC ou un ordinateur portable, 13 % via tablette et 6 % via smartphone. L’année suivante, ces pourcentages s’élevaient à respectivement 68 %, 19 % et 13 %. Et pourtant, ma boutique en ligne n’est pas encore adaptative ! »

Arrive-t-il fréquemment que des articles achetés vous soient renvoyés ? Mieke Claerhout : « Chaque client a légalement le droit de renvoyer les marchandises dans les quatorze jours suivant leur réception, sans en préciser le motif. Chez De Vreemde Eend, ce n’est jamais arrivé parce que les clients de boutiques en ligne de niche comme la mienne voient

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Allez-vous investir en SEO et SEA ? Mieke Claerhout : « Ces aspects sont encore assez limités, faute de temps. Je vais bientôt suivre un cours en SEO et, pour ce qui est de la SEA, je n’y suis absolument pas encore arrivée. La localisation sur Internet est évidemment aussi importante que celle en ville. Je constate en tout cas une très forte évolution dans la façon dont les gens recherchent sur Google. Si, autrefois, ils tapaient des formulations générales du type « cadeau original pour hommes », ils utilisent désormais des termes très spécifiques, ce qui les amène beaucoup plus directement à mon site web. Ainsi, je vends pas mal de petites œuvres d’une artiste suisse, avec des pommes de pin et des feuilles dorées ou argentées. Toute la collection a été vendue via des recherches très spécifiques telles que « chaîne en or gland », « chaîne en or feuilles » ou « chaîne en argent pomme de pin ». »

Tout ce qui peut être commandé en ligne est de stock ? Mieke Claerhout : « Bien entendu. Sinon, je serais très malhonnête. Ce qui est acheté en ligne doit pouvoir être immédiatement expédié à son acquéreur. Et c’est ce que celui-ci attend, à juste titre. Souvent, le consommateur fait un achat en ligne parce qu’il a envie de l’avoir rapidement. Après l’achat, cela ne se fait pas d’avertir le client qu’il devra patienter pendant encore deux semaines. » Avez-vous une idée du profil de vos acheteurs en ligne ? Mieke Claerhout : « L’âge se situe surtout entre 25 et 45 ans et deux tiers des acheteurs sont des femmes. »

www.devreemdeeend.be www.marketingvoorstarters.be

Les commandes sur devreemdeeend.be par support utilisé : PC/ordinateur portable octobre 2012 – octobre 2013 81% octobre 2013 – octobre 2014 [12]

68%

Tablette 13%

Mobile 6%

19%

13%


CCV Shop rend la boutique en ligne accessible à tous

Pourquoi hésiteriez-vous encore ? Avec CCV Shop, la toute nouvelle plate-forme logicielle en ligne, CCV rend l’e-commerce accessible à tous, y compris au détaillant et à l’amateur. Karel-Lodewyck Lefere de CCV Group nous explique ce lancement qui donne à l’e-commerce un nouveau visage. Karel-Lodewyck Lefere : « CCV Shop est une plate-forme logicielle pour les boutiques en ligne qui permet à tout moment à l’utilisateur d’apporter des modifications à son webshop, tant à l’arrière-plan qu’à l’avant-plan. Vous pouvez rapidement et facilement ajouter une nouveauté à votre boutique en ligne pendant que vous êtes chez votre belle-mère, par exemple. La plate-forme est très complète mais le client peut décider, par exemple, de démarrer à un niveau de base et d’y ajouter éventuellement des fioritures à un stade ultérieur. » Le package 25, qui est le programme de base, est même totalement gratuit ! Karel-Lodewyck Lefere : « C’est exact et quand nous disons gratuit, c’est vraiment 100 % gratuit. L’utilisation est gratuite, sans limite de temps et ne cache aucun supplément. Si vous souhaitez une boutique en ligne de base entièrement gratuite pendant dix ans ou plus par exemple, vous en avez la possibilité. Bien entendu, la version de base gratuite a quelques restrictions. Vous ne pouvez gérer que 25 produits et ne pouvez pas y associer un système de paiement. Mais, si vous souhaitez une formule plus étendue, mieux vaut porter votre choix sur le Package 50 ou Package Illimité. Les coûts sont respectivement de 19,95 € et 39,95 € par mois :

un tout petit prix par rapport à ce que vous recevez en échange. De plus, ces packages sont résiliables chaque mois. Nous proposons le package gratuit pour permettre aux clients de faire la connaissance du produit et de découvrir le monde de l’e-commerce. Il s’agit néanmoins d’un produit de premier ordre qui a déjà été vanté par différents magazines néerlandais spécialisés. » Grâce à CCV, le détaillant peut accéder en toute facilité au monde de l’e-commerce. Karel-Lodewyck Lefere : “« C’est le but. La version gratuite s’adresse en tout premier lieu aux clients « omni-channel » désireux de combiner un magasin classique et une boutique en ligne. Dans les versions de base, vous pouvez choisir vous-même le design, mais n’avez pas la possibilité de le créer. Vous avez le choix entre quelques modèles et couleurs. Le résultat a bonne allure et est professionnel. Si vous désirez étendre votre boutique en ligne plus tard, rien de plus facile. Nous ne nous adressons toutefois pas exclusivement à ces clients « omni-channel ». Nous nous attendons plutôt à ce que la grande majorité de nos clients soient de pure players qui ont uniquement une boutique en ligne et pas de magasin classique. CCV Shop dispose d’applications et de technologies pour servir les clients les plus exigeants et les plus ambitieux. »

Passionné par le commerce électronique ? Rendez-nous visite lors de l’E-COMMERCE EXPO au Kortrijk Expo les 1er et 2 décembre 2014 ! Inscrivez-vous gratuitement sur www.ecommercexpo.be. [13]


CCV attend manifestement beaucoup de ce nouveau service. Karel-Lodewyck Lefere : « Nous y avons consacré d’énormes investissements. Pour 2015, nous visons d’ores et déjà 750 à 1 000 clients payants en Belgique. La plate-forme logicielle est lancée en Belgique, aux Pays-Bas, en Allemagne. La Suisse suivra le mouvement l’année prochaine. Toutefois, CCV Shop est une initiative internationale avec un service local. L’help desk est l’help desk belge habituel de CCV. L’adresse est tout simplement la même que celle utilisée aujourd’hui. » Quel que soit le package de votre choix, vous ne payez rien ou à peine 40 € par mois : un prix incroyablement avantageux pour une boutique en ligne complète ! Karel-Lodewyck Lefere : « Si vous demandez à une agence de communication un devis pour une boutique en ligne, on vous avancera un montant de plusieurs milliers d’euros. Chez CCV Shop, vous recevez, pour 39,95 € par mois, bien plus qu’une boutique en ligne classique. Pourquoi hésiter ? Moyennant un prix dérisoire, vous avez une boutique en ligne professionnelle et commerciale ainsi qu’un étalage en ligne et ce, 7 jours sur 7, 24 heures sur 24. »

Karel-Lodewyck Lefere : « La version gratuite s’adresse en tout premier lieu aux clients omni-channel désireux de combiner un magasin classique et une boutique en ligne. »

Package 25 Gratuit

Package 5 19,95 €/ mois

Package illimité 39,95 €/ mois

Pas de frais uniques Frais uniques : 34,95 € Frais uniques : 34,95 € Pas de contrat Contrat d’un mois Contrat d’un mois Max. 25 produits Max. 50 produits Jusqu’à 15 000 produits 500 MB* de transmission de Fair Use Policy transmission de Fair Use Policy transmission de données données données Pas d’adresse e-mail 1 adresse e-mail 2 adresses e-mail Uniquement support en ligne / FAQ Support par téléphone et par e-mail Support par téléphone et par e-mail Module de design HTML / CSS Module de design HTML / CSS Module de design HTML / CSS Boutique en ligne mobile Boutique en ligne mobile Boutique en ligne mobile

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Votre terminal de paiement, contrat ou traitement des transactions est-il à jour ?

Demandez un check-up gratuit ! En tant que conseiller en paiement électronique, CCV souhaite bénéficier de votre entière confiance dans le domaine des paiements électroniques. Pour ce faire, nous vous proposons non seulement des produits de qualité inégalée, mais aussi le meilleur et le plus rapide des services. C’est dans cette optique que nous vous offrons un check-up gratuit ! Lors d’un check-up de ce type, nous vérifions si votre (vos) terminal (terminaux) de paiement, votre contrat ou le traitement des transactions est (sont) encore à jour. Si une autre solution s’avère plus avantageuse, nous ne manquerons pas de vous le signaler. Envoyez un e-mail à myccv@be.ccv.eu dans lequel vous communiquez à quel moment vous êtes joignable pour un entretien téléphonique. Nous vous appellerons alors afin que nous parcourions ensemble votre contrat.

N’hésitez pas et envoyez-nous, aujourd’hui encore, un e-mail à myccv@be.ccv.eu en vue d’un check-up gratuit ! Primes de reprise ! Réductions de fidélité ! Livre gratuit !

Échangez votre terminal de paiement contre un tout nouvel exemplaire ! Échangez maintenant votre terminal de paiement contre un exemplaire de la toute dernière génération et profitez de nos primes de reprise exceptionnelles et éventuellement de réductions de fidélité jusqu’à 300,00 €. Si vous effectuez ce changement avant le 15 décembre, vous recevrez en outre gratuitement le livre très recommandé « Omnichannel in retail » de Gino Van Ossel, professeur en Retail & Trade Marketing à la Vlerick Business School. L’action s’applique à tous nos nouveaux appareils : le CCV Budget avantageux, le CCV Smart malin, le CCV Mobile pratique et le CCV DUET spécialement mis au point pour l’activité hôtelière. Vous trouverez un complément d’information concernant nos appareils sur www.ccvonline.be. Vous aimeriez recevoir une offre sur mesure pour votre commerce ? Contactez-nous sans engagement au 0800/22 790 ou adressez-nous un e-mail à myccv@be.ccv.eu. Nous vous aiderons avec plaisir !

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MasterCard lance le paiement sans contact en Belgique En 2015, MasterCard Belgique lancera son système de paiement mobile sans contact en Belgique. La technologie est actuellement appliquée auprès du personnel de MasterCard. Un téléphone doté de la NFC (Near Field Communication) permet aux utilisateurs de payer en toute facilité leurs petits achats quotidiens en maintenant leur téléphone tout près du terminal sans contact.

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Avec l’introduction de cette nouvelle technologie, MasterCard tend à exploiter la popularité et la souplesse des systèmes de paiement via smartphone afin d’offrir aux utilisateurs et commerçants une solution fiable pour les petits achats quotidiens. Pour tester les paiements sans contact et l’implémentation de terminaux compatibles en Belgique, MasterCard a équipé de cette nouvelle technologie ses collaborateurs belges ainsi qu’une sélection de commerçants et de restaurants locaux. Une fois que ce nouveau système aura été déployé en Belgique, MasterCard s’attend à ce qu’un grand nombre de terminaux classiques fasse l’objet d’une mise à jour dans le courant de 2015 afin de permettre les paiements sans contact. Les nouveaux terminaux de CCV s’y sont d’ores et déjà préparés.

Sans code pin jusqu’à 25,00 € Pour payer, l’utilisateur ouvre en un seul clic l’application de paiement sur son smartphone et maintient celui-ci à 4 cm maximum de l’icône sur le terminal de paiement. Pour les montants de moins de 25,00 €, le paiement se déroule entièrement automatiquement. Pour les sommes plus élevées, il faut encore introduire le code pin. [16]


CCV Transactions : facile et avantageux ! CCV Transactions sans abonnement est la solution de paiement électronique idéale pour les commerçants et les professions libérales qui exécutent peu de transactions électroniques par mois. Si vous effectuez plus de 500 transactions par mois, vous ne payez pas un cent de trop.

Une évaluation permanente

Pas d’abonnement

Il est demandé aux nouveaux clients de procéder à une estimation du nombre de transactions. Si cela s’avère difficile, nous commençons automatiquement dans la catégorie des 50 - 99 transactions. Nous vérifions ensuite tous les 3 mois le nombre moyen de vos transactions. S’il s’avère qu’en moyenne, la catégorie choisie n’est pas correcte, nous l’adaptons pour les 3 mois suivants.

CCV Transactions fonctionne sans abonnement. Vous ne payez qu’un montant fixe par transaction débitrice. Les cartes bancaires sont simplement traitées à l’aide de Maestro, une technologie intégrée à chaque carte de paiement. Vous ne payez bien entendu que si vous utilisez le terminal. Si, par exemple, vous êtes en vacances ou avez une activité saisonnière, vous ne payez au total aucun coût.

Vous n’avez pas encore CCV Transactions ? Vous n’avez pas encore CCV Transactions ? Surfez sur ccvonline.be pour en apprendre davantage sur ce mode de paiement révolutionnaire (découvrez également notre calculateur de transactions !). Pour de plus amples infos, vous pouvez également envoyer un e-mail à myccv@be.ccv. eu ou appeler le 0800 22 790.

Plus le nombre de transactions est élevé, plus le prix est bas Plus le nombre de transactions est élevé, plus le prix unitaire est bas. Si vous effectuez moins de 50 transactions par mois, vous payez 0,3542 € par transaction. Si le nombre de transactions se situe entre 50 et 99, ce prix passe à 0,2530 €. Entre 100 et 149 transactions par mois, vous arrivez par exemple à 0,2024 €. Si vous effectuez plus de 500 transactions par mois, vous ne payez que 0,1316 € par transaction.

Prix de CCV Transactions* Nombre de transactions

Prix par transaction

Moins de 50

0,3542 €

50 - 99

0,2530 €

100 - 149

0,2024 €

150 - 249

0,1720 €

250 - 499

0,1518 €

500+

0,1316 €

*hors TVA

[17]


CCV roule à vélo pour l’Afrique… Durant le « Bike to close the Gap » le 19 juin dernier, les collaborateurs de CCV ont parcouru ensemble pas moins de 131 tours sur le Paterberg. Close the Gap est une ONG agréée par les Nations Unies qui a pour mission de combler le fossé numérique dans le tiers monde et le quart monde. Avec 100 euros à peine, Close the Gap peut fournir un ordinateur de grande qualité avec logiciel en Afrique centrale et orientale, transport, implémentation, formation, maintenance, support local et e-waste management compris.

www.biketoclosethegap.be

… et contre le cancer WAAK, un atelier protégé de Kuurne, a pris part avec deux équipes aux 1 000 km de « Kom op tegen Kanker ». CCV leur a fourni avec plaisir un équipement cycliste professionnel.

[18]


CCV engage ! CCV, entreprise saine et novatrice, donne un nouvel élan au monde du paiement électronique. Nous sommes persuadés qu’une approche orientée vers le client et le résultat va de pair avec une atmosphère de travail agréable où des personnalités diverses se sentent bien et où le respect mutuel et l’humour ont également leur place. Nos valeurs-clés sont fiabilité, durabilité, responsabilité et honnêteté. Nous avons bien à l’esprit que nos collaborateurs sont la clé de notre succès. CCV investit dans une large mesure dans les formations, cours et

trainings pour ses collaborateurs. De plus, un bon équilibre entre travail et vie privée se range au nombre de nos priorités (entre autres par le biais d’horaires flexibles). Pour continuer à développer notre organisation, nous sommes en permanence à la recherche de nouveaux profils. Surfez sur notre site consacré à l’emploi (www.ccvonline.be/fr/jobs.html) pour prendre connaissance de l’offre la plus récente d’emplois vacants.

Intéressé(e) ? Envoyez votre lettre de candidature accompagnée de votre CV à jobs@be.ccv.eu [19]


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