Excellence hiver 2014 (hires)

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initiative de

Briller par son édition hiver 2014

résolutions professionnelles Fixez-vous des objectifs et

atteignez-les!

Numéro de convention de la poste-publications 40037621


Ta b l e d e s m at i è r e s

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Mot du directeur général Nouvelle année, nouveaux défis professionnels

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À la CDEVR (CLD) VIP Manufacturier, réseautez, jouez, gagnez pour de bonnes causes De retour, après cinq ans d’absence

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Dernière heure Groupe R.Y. Beaudoin

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Signature Photographes Bourret

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À la une Résolutions professionnelles

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Nouvelles entreprises Atelier d’usinage Poudrier Patrick Fortier Centre de plongée sous-marine Kdanse

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Développement durable Que mange le développement durable en hiver? Mentorat pour entrepreneurs Dix ans de loyaux services auprès des entrepreneurs d’ici

Légende des programmes d’aide reçus par les entreprises : FDEÉS Fonds de développement des

entreprises d’économie sociale

FJP Fonds Jeunes Promoteurs FCJE Fondation Canadienne

des Jeunes Entrepreneurs

FLI Fonds local d’investissement STA Soutien au travail autonome AT Aide technique M Mentorat

Le bulletin trimestriel Briller par son Excellence est entièrement rédigé et conçu par la Corporation de développement économique de Victoriaville et sa région (CLD). Il est distribué dans toutes les entreprises manufacturières, de distribution et de services, aux entreprises sur le territoire ainsi qu’aux partenaires économiques. Les renseignements contenus dans les pages du bulletin visent non seulement à informer les lecteurs sur les derniers événements économiques, mais aussi à faciliter le réseautage entre entreprises. 747, boulevard Pierre-Roux Est Victoriaville (Québec) G6T 1S7 Téléphone : 819 758-3172 Site Internet : www.cdevr.ca Courriel : cdevr@cdevr.ca

Mot du directeur général nouvelle année, nouveaux défis professionnels L’année 2014 est maintenant bien entamée. Plusieurs parmi vous avez probablement déjà pris (et peut-être même déjà abandonné!) certaines résolutions. En prenant ces engagements face à vous-même, votre but est probablement d’améliorer un comportement ou de changer une habitude durant l’année à venir. Mais avez-vous déjà pensé à prendre des résolutions professionnelles? Ces défis que vous vous fixerez au travail peuvent être aussi positifs que ceux qui consistent à faire plus d’exercice ou à se nourrir plus sainement. Par exemple, si vous désirez être plus productif, vous pourriez suivre une formation qui vous permettrait d’être à jour avec un logiciel que vous utilisez régulièrement, mais dont vous n’exploitez pas le plein potentiel en raison d’une connaissance limitée du programme. À la page sept de ce bulletin, nous avons dressé une liste de résolutions que vous pourriez mettre en pratique au cours des prochains mois. Des conseils vous y sont prodigués afin que vous réussissiez à transformer vos objectifs en succès et non en échecs. Il y a un an maintenant, la Corporation de développement économique des Bois-Francs (CLD) changeait son nom pour celui de Corporation de développement économique de Victoriaville et sa région (CLD). Cette nouvelle appellation s’accompagnait du slogan Briller par sa diversité, mettant en lumière la diversité économique de la région au cours des dernières années. Continuant sur cette même lancée, le bulletin que vous lisez présentement porte désormais le nom de Briller par son Excellence. Nous voulons ainsi démontrer, encore plus fidèlement, le haut niveau d’excellence des entrepreneurs de notre région! Nouvelle année rimant souvent avec nouveauté, vous découvrirez, dans cette parution, deux nouvelles chroniques. L’une porte sur le

mentorat pour les entrepreneurs et l’autre sur le développement durable. Mme Julie Laroche, analyste financière et coordonnatrice de la cellule de mentorat, vous fera découvrir les différentes facettes de ce service d’accompagnement offert à la CDEVR (CLD) depuis 2004. Pour sa part, Mme Jacinthe Roy, conseillère en développement durable, traitera, à juste titre, de ce sujet. La spécialiste aiguillera les chefs d’entreprises dans leur démarche de pratiques d’affaires responsables, en harmonie avec le développement durable tout en demeurant économiquement prospères, respectueuses de l’environnement et soucieuses du bien-être de la collectivité. La somme des investissements dans le domaine industriel sur le territoire (pensons, entre autres, aux 45 M$ de Sural, en novembre dernier) a été exceptionnelle en 2013. L’année 2014 promet d’être tout aussi remarquable. Les entrepreneurs peuvent compter sur notre équipe d’experts en développement économique pour les accompagner dans leurs projets et en faire des succès durables. Si nous brillons par notre diversité et par notre excellence, c’est parce que notre clientèle brille par sa détermination!

Bonne lecture!

René Thivierge, directeur général


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À la CDEVR (CLD) vip manufacturier, réseautez, jouez, gagnez pour de bonnes causes

Plus de 70 personnes étaient réunies pour cette activité de réseautage

C’est le 11 février dernier, au Kinzo de Victoriaville, que s’est tenu le 5e VIP Manufacturier de la Corporation de développement économique de Victoriaville et sa région (CLD) (CDEVR (CLD)). Cette activité de réseautage a permis à plus de 70 dirigeants d’entreprises, issus du milieu manufacturier, d’échanger et de réseauter entre eux.

Au cours de la soirée, les participants ont profité d’une heure de jeu, offerte gracieusement par la CDEVR (CLD) dans le but de remettre la somme amassée à la Sécurité alimentaire et à la Maison Raymond-Roy. La somme recueillie durant cette période de jeu, additionnée d’une contribution de 200 $ provenant du discrétionnaire de la députée Sylvie Roy ainsi que d’un montant alloué de la part de la CDEVR (CLD), totalise 1 200 $. « Les invités ont bien apprécié l’originalité de cette activité. Le concept du Kinzo en est un de divertissement social, ressemblant un peu au bingo, mais qui se joue en réseau avec d’autres salles à travers le Québec », spécifie Chantale Marchand, responsable des communications à la Corporation. Celle-ci tient également à préciser que le Kinzo est un organisme à but non lucratif qui remet ses profits à quatre organismes de la région. Président d’honneur

« Le maillage industriel facilite le partage de contacts, aide à établir un contexte commercial propice entre les industries et permet également la création d’alliances », précise le directeur général de la Corporation, René Thivierge.

Madame Isabelle Voyer en compagnie de M. René Thivierge

Messieurs Johnny Izzi et René Thivierge ont profité de la soirée pour présenter aux invités, les outils destinés aux marchés anglophones

Président d’honneur du 14e Souper Venaison organisé par la Sécurité alimentaire, René Thivierge a tenu à rappeler, aux personnes présentes, l’importance de l’implication de chacun à participer à cet événement-bénéfice qui contribue au mieux-être de la collectivité. Les personnes intéressées à se procurer des billets pour cette soirée, qui aura lieu le 9 avril prochain, peuvent communiquer avec Isabelle Voyer, coordonnatrice à la Sécurité alimentaire, en téléphonant au 819 752-5305.


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À la CDEVR (CLD) de retour, après cinq ans d’absence

Mesdames Julie Laroche et Nathalie Bilodeau

Afin de permettre à son analyste financière et coordonnatrice de la cellule de mentorat, Mme Julie Laroche, de donner naissance à sa petite fille et de bien s’en occuper par la suite, la Corporation accueille avec plaisir Mme Nathalie Bilodeau dans son équipe. Madame Bilodeau est déjà bien connue des entrepreneurs de la région, car elle a déjà occupé les mêmes fonctions à la CDEVR (CLD) de 2006 à 2009. Au cours des prochains mois, elle répondra aux demandes déposées aux programmes Soutien au travail autonome (STA) et Fondation Canadienne des Jeunes Entrepreneurs (FCJE). Au cours des cinq dernières années, elle était à l’emploi du CLD de L’Érable où elle a soutenu directement 136 promoteurs en démarrage ou en acquisition d’entreprises. Si vous souhaitez rencontrer Mme Bilodeau, prenez rendez-vous avec elle par courriel au nbilodeau@cdevr.ca ou par téléphone au 819 758-3172, poste 235. Bon congé de maternité, Julie, et heureux retour, Nathalie!


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Dernière heure groupe r.y. beaudoin,

investissement de 4 millions de dollars au Québec, accaparant actuellement 5 % du territoire québécois. Présentement, l’entreprise détient plusieurs contrats avec une dizaine d’entreprises de l’Ontario. À long terme, nous envisageons également de développer le marché nord-américain », conclut Yvon Beaudoin, copropriétaire de l’entreprise. AT

Messieurs Rémi et Yvon Beaudoin avec une représentation de leur futur bâtiment

En activité depuis 2007, le Groupe R.Y. Beaudoin, spécialisé en fabrication d’équipements dans le secteur manufacturier de l’industrie métallurgique, plus précisément les équipements de machinerie lourde, s’apprête à s’installer dans de tout nouveaux locaux. En effet, au cours de l’année 2014, l’entreprise fera construire une usine de 23 000 pi2 dans le prolongement du parc industriel Fidèle-Édouard-Alain sur le boulevard Pierre-Roux Est, et ce, afin de répondre aux besoins sans cesse grandissants de sa clientèle. Pour Rémi Beaudoin, copropriétaire de l’entreprise, cette relocalisation s’avérait nécessaire. « Cette nouvelle usine permettra une amélioration de la productivité de l’entreprise grâce à l’ajout d’équipements. Elle facilitera également le développement de produits dans le domaine de la démolition et du recyclage et du même coup, permettra

339, route de la Grande-Ligne Victoriaville (Québec) G6T 0G1 Téléphone : 819 604-1396 Courriel : info@gryb.ca Site Internet : www.gryb.ca

une augmentation de 50 % de notre capacité de production », explique M. Beaudoin. Avec son département de recherche et développement (R et D), sur lequel travaillent quatre personnes à temps plein, l’entreprise a construit une part de sa renommée grâce, entre autres, à sa conception sur mesure, ajustée aux demandes du client. « Nous sommes déjà très productifs en matière de perfectionnement de machineries, d’ailleurs, deux nouveaux produits viennent de s’ajouter à notre gamme existante, soit le godet tamiseur et le pulvérisateur à béton », ajoute Rémi Beaudoin. Celui-ci souligne également qu’une cinquième personne se joindra très bientôt à l’équipe de R et D, portant ainsi à 21 le nombre de personnes travaillant à temps plein pour l’entreprise. Les propriétaires prévoient aussi l’embauche d’au moins cinq personnes au cours de l’année et d’une dizaine d’autres d’ici deux ans. « Le Groupe R.Y. Beaudoin vise à occuper une part du marché encore plus importante

Pulvérisateur à béton

Godet tamiseur


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Signature

photographes bourret,

dans le « portrait » régional depuis 90 ans

Messieurs Gaétan et Michel Bourret

photographie commerciale et industrielle. « Ces créneaux représentent maintenant une partie importante de notre chiffre d’affaires, même si nos services sont toujours disponibles au grand public », explique celui-ci. En plus du studio situé au centreville depuis 1962, un studio commercial de plus de 2000 pi2 est aussi établi dans le parc industriel P.-A.-Poirier de Victoriaville.

Photographes Bourret est l’exemple parfait d’une entreprise qui a su s’adapter aux bouleversements technologiques... des neuf dernières décennies! Fondatrice de l’entreprise, Annette Bédard est une pionnière à plusieurs niveaux. Elle est la première femme de Victoriaville à avoir un compte en banque, l’une des premières à posséder et à conduire une voiture et la première femme photographe professionnelle au Québec. Il n’y a donc rien de surprenant à ce qu’elle crée le Studio Bédard en 1924! Trente ans plus tard, son commerce est racheté par Gaétan Bourret qui garde le nom original du studio jusqu’en 1982, année où son fils Michel, fraîchement diplômé en photographie, s’associe à lui. Le studio porte désormais le nom de Photographes Bourret. Si Mlle Bédard était une pionnière, ses successeurs ne sont pas en reste. En 1983, MM. Bourret sont les premiers à offrir un service de développement rapide de photos à Victoriaville. Ce nouveau service permet d’obtenir ses photos en trois heures à peine! Puis, au milieu des années 90, Michel Bourret décide de se départir de son équipement de finition photographique pour prendre un nouveau tournant : celui de la

Le studio commercial

Du noir et blanc à la couleur, de l’argentique au numérique, l’entrepreneur vit ces changements de façon positive. « Dès l’avènement du numérique, nous avons converti notre studio à cette nouvelle technologie, ce qui a fait de nous des précurseurs dans la région », fait remarquer le photographe. Outre la photographie commerciale et industrielle, l’équipe de Photographes Bourret propose une gamme variée de services à sa clientèle : - Prise de photos panoramiques, en 3D, aériennes et à grande gamme dynamique (HDR); - Conception graphique et d’emballage de produits pour différents secteurs d’activités; - Retouche et reproduction photographiques; - Création et vente de kiosques d’exposition; - Conception de site Web; - Encadrement corporatif et sur mesure (plans, concepts informatisés).

Bien que les petits appareils que l’on retrouvent maintenant dans les cellulaires peuvent combler un besoin d’instantanéité, ils ne sont pas près de remplacer les studios professionnels. « Lorsque les gens réalisent la qualité photographique limitée que leur procure leur téléphone en comparaison avec celle que nous pouvons leur apporter, ils reviennent rapidement nous voir. Je dirais même qu’ils peuvent créer chez certains utilisateurs un désir d’obtenir de meilleures images et lorsque ceux-ci ont besoin de les faire traiter ou de les exposer, nous sommes là pour les accueillir », conclut l’homme d’affaires.

58 A, rue St-Jean-Baptiste Victoriaville (Québec) G6P 4E2 Téléphone : 819 752-5871 Courriel : photo@bourretdesign.com Site Internet : www.bourretdesign.com Le même emplacement, sur la rue St-Jean-Baptiste, deux visuels complètement différents : le studio Bédard, en 1962 et Photographes Bourret, en 2014


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À la une

résolutions professionnelles Fixez-vous des objectifs et atteignez-les!

améliorez vos méthodes de travail La gestion du temps est un combat perpétuel pour plusieurs. Cette année, trouvez une façon d’améliorer votre productivité en adoptant une méthode efficace pour traiter vos courriels ou pour mener vos réunions. cultivez votre réseau professionnel Une fois établis, plusieurs entrepreneurs négligent le réseautage au profit d’autres obligations. Pourtant, c’est un outil indispensable pour rester compétitif.

Le retour des vacances, qu’elles soient estivales ou de fin d’année, est souvent le moment idéal pour faire le point sur sa carrière et pour mettre en lumière les défis qu’on aimerait relever au cours des prochains mois. Quand on est bien reposé les idées sont plus claires, ce qui favorise la prise de décisions réfléchies. Pour commencer, faites émerger toutes les résolutions que vous aimeriez tenir et sélectionnez les trois qui vous tiennent le plus à coeur. Mieux vaut concentrer ses efforts si on veut avoir une chance de réussir, car adopter 25 objectifs pour l’année c’est courir à l’échec. Sur les trois résolutions retenues, choisissez-en une vraiment ambitieuse et deux plus accessibles. Ces dernières aboutiront plus rapidement, ce qui vous motivera. Si vous atteignez deux buts sur trois au bout de six mois, rien ne vous empêche alors d’en choisir d’autres pour poursuivre l’année! Afin de vous mobiliser pour une finalité précise, vous devez y trouver un intérêt palpable. Pour que les résultats s’inscrivent dans le temps, il faut qu’ils vous touchent et que vous y trouviez du plaisir. De simples idées en l’air ne se transforment jamais en solides résolutions. Pour formaliser les objectifs que vous vous assignez, rien de tel que de les écrire. Privilégiez les tournures positives du genre : « Je m’engage à classer mes dossiers dès que je les aurai terminés. De cette manière, je saurai exactement où ils sont et je gagnerai un temps précieux à ne pas les chercher ». De plus, une fois ce contrat avec vous-même rédigé, annoncez-le à votre entourage. Un engagement public vous impliquera davantage. Le bon côté avec les résolutions, c’est qu’on peut en prendre chaque année. Si vous ne parvenez pas à atteindre votre objectif cette fois-ci, analysez la cause de votre échec et répétez l’expérience l’année suivante. Voici quelques exemples d’objectifs stimulants :

apprenez à mieux gérer votre stress En essayant de jongler avec ses obligations professionnelles, familiales et personnelles, on augmente les attentes envers soi-même et on s’oublie plus souvent qu’autrement. Cette année, apprenez à respecter vos limites et prenez, chaque jour, un moment juste pour vous. Ces quelques minutes de décrochage sont loin d’être improductives. Sortez prendre l’air sur l’heure du dîner, écoutez de la musique, lisez, etc. Peu importe l’activité que vous privilégiez, elle doit VOUS FAIRE PLAISIR! Vous serez de retour au travail plus détendu et certainement plus productif. sortez de votre zone de confort Être dans sa zone de confort est sécurisant, facile; on s’y sent compétent! Mais bousculer ses habitudes rend créatif et génère des idées nouvelles pour se démarquer de la concurrence! Soyez ouvert au changement. Votre peur de faire des erreurs ou d’échouer ne doit pas vous empêcher d’agir. Au contraire, elle vous donnera l’énergie nécessaire pour aller de l’avant. À la longue, vous développerez de nouvelles forces et vous acquerrez de nouvelles compétences, en plus d’augmenter votre bagage de connaissances et de développer votre capacité à gérer les changements. donnez-vous du crédit et félicitez-vous Les gens qui reçoivent du feed-back positif performent mieux. Si vous êtes seul dans votre entreprise, félicitez-vous! Pour ce faire, gardez des lettres de remerciement que vous avez reçues de vos clients ou regardez des photos prises lors du lancement d’un de vos produits. Il faut qu’à la vue de ces souvenirs, un sentiment de satisfaction surgisse, entraînant une montée d’endorphine qui vous accrochera un sourire au visage pour le reste de la journée! Et surtout, profitez au maximum de chacune des petites victoires que vous remporterez grâce à la réussite de vos objectifs!


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Nouvelles entreprises Atelier d’usinage poudrier,

usinage et soudure spécialisée sous un même toit En raison de la diversité des secteurs manufacturiers qu’on retrouve sur le territoire, la production numérique de pièces et la réparation de machinerie fixe sont des créneaux où l’on observe une demande constante. Atelier d’usinage Poudrier est là pour répondre à cette demande. Ayant grandi dans une famille d’entrepreneurs, la famille Poudrier de Poudrier et Frères ltée, Alexandre Poudrier représente la quatrième génération à travailler dans le secteur métallique. Depuis mai 2013, le promoteur et son associé, David Bergeron, offrent un service d’usinage, de production numérique et de soudure aux entrepreneurs de la région. « Nous pouvons faire la conception et l’usinage de différentes pièces, qu’elles soient fabriquées d’acier, de métal, d’aluminium, de stainless et même de plastique », énumère M. Poudrier. L’équipe de l’Atelier répare également les pièces endommagées, et ce, dans un délai très court. « L’efficacité et la rapidité de notre service sont appréciées de nos clients. Moins l’attente est longue pour obtenir leurs pièces, plus vite leur production pourra se

poursuivre. Des délais de livraison sont ainsi évités », continue l’entrepreneur. L’Atelier offre aussi un service de soudure, que celle-ci soit générale ou spécialisée, et qu’elle se fasse sur l’aluminium, le stainless ou l’acier. « Une partie de notre clientèle est composée d’entreprises provenant du secteur agroalimentaire qui apprécie grandement que nous puissions réaliser de la soudure au TIG (Tungsten Inert Gas). Ce procédé est parfait pour les pièces qui entrent dans la composition d’une machine dédiée au domaine alimentaire grâce à son cordon de soudure de très haute qualité, tant au point de vue de sa pureté que de son fini et de sa surface», de conclure M. Poudrier. JP - STA

1200, rue Acadie Victoriaville (Québec) G6T 1R3 Téléphone : 819 752-4441 Courriel : apoudrier@usinagepoudrier.ca Site Internet : www.usinagepoudrier.ca

Patrick Fortier centre de plongée sous-marine, le monde sous-marin à votre portée

Patrick Fortier

Patrick Fortier pratique la plongée sous-marine depuis une quinzaine d’années, dont dix en tant que moniteur. Après avoir gravi les échelons jusqu’à devenir instructeur, c’est maintenant à son tour de partager sa passion en ouvrant son école de plongée.

Du débutant à l’assistant instructeur, les cours dispensés par M. Fortier se divisent en trois parties : d’abord, la théorie, ensuite, la pratique en piscine et, finalement, cinq plongées de certification en eau libre. « Cette homologation finale peut se faire de différentes façons, au choix de l’étudiant. Il peut plonger en ma compagnie au Québec, m’accompagner lors d’un de mes voyages

organisés vers une destination soleil ou plonger avec un instructeur participant aux programmes de référence d’élèves, dans un pays tropical », explique-t-il. Après cette formation, les étudiants reçoivent une certification à vie reconnue mondialement par la National Association of Underwater Instructors (NAUI). « Celle-ci permet de plonger librement, de louer ou d’acheter des équipements, et ce, partout sur la planète », de compléter l’instructeur. En plus des cours qu’il donne, l’entrepreneur se spécialise dans la vente-conseil d’équipements de plongée. Il offre aussi un service de photographie sous-marine et terrestre. Pour les plongeurs certifiés qui auraient besoin de rafraîchir leurs connaissances et leurs techniques, M. Fortier propose également des sessions de mise à jour. STA Téléphone : 819 460-1712 Courriel : info@patrickfortier.com Site Internet : www.patrickfortier.com


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Joanie Vaillancourt et Thérèse Ferland

kdanse,

célébrez la vie et entrez dans le mouvement Kdanse a toujours existé dans le cœur de Thérèse Ferland et de Joanie Vaillancourt, mère et fille passionnées par le mouvement. Pratiquant la danse, le conditionnement physique et le yoga depuis plusieurs années, le duo souhaite maintenant partager son dynamisme et son expérience avec la population de la région.

Les jeunes danseurs moins bien nantis ont aussi la chance de renforcer leur estime personnelle et d’améliorer leur condition physique grâce au programme de parrainage mis en place par Kdanse. Celui-ci consiste à jumeler un enfant âgé de 6 à 16 ans avec une entreprise qui accepte de défrayer les coûts de l’inscription. « Les entreprises souhaitant participer au programme de parrainage n’ont qu’à communiquer avec nous », ajoute-t-elle.

Le studio Kdanse ouvre ses portes en septembre 2013, accueillant petits et grands, expérimentés ou non. « Notre souhait est de faire découvrir à notre clientèle de nouveaux styles de danse qui leur permettent de s’évader sur des rythmes entraînants et de leur donner l’occasion de prendre un temps pour se recentrer », explique Mme Ferland.

Croyant que l’activité physique doit être accessible à tous, les entrepreneures proposent également des cours adaptés aux enfants vivant avec un handicap moteur ou intellectuel. « Dans le cadre de notre programme spécial visant l’intégration face aux différences, ces cours offrent la possibilité aux enfants et adolescents de pratiquer ce merveilleux sport qu’est la danse sur un rythme qui leur convient », termine Mme Ferland. STA

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Une offre de cours diversifiée est disponible chez Kdanse : Zumba, ballet, yoga, piloxing et yoga chaud sont tous au menu. D’ailleurs, les deux derniers cours de cette liste sont des exclusivités régionales. « Nous offrons des cours à toutes les tranches d’âges, du jeune enfant de 2 ans jusqu’à l’aîné qui désire améliorer son tonus, sa souplesse et sa qualité de vie en général », précise Mme Vaillancourt.


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Développement durable

Briller par son développement durable

Que mange le développement durable en hiver? Mais revenons à notre question première : Que mange le développement durable en hiver? Il existe plusieurs définitions du développement durable, communément appelé le DD. Le gouvernement du Québec s’est doté d’une définition à laquelle nous adhérons. Le DD est « un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs. Le développement durable s’appuie sur une vision à long terme qui prend en compte le caractère indissociable des dimensions environnementale, sociale et économique des activités de développement ».1

Bienvenue dans cet espace inspiré du développement durable! Je me présente, Jacinthe Roy, conseillère en développement durable et responsable de l’Écoparc industriel de Victoriaville ainsi que de la Démarche d2. Cette nouvelle chronique vous parlera de « durables », de « verts » et d’« écoresponsabilités ». Proactive dans le domaine du développement durable, la CDEVR (CLD) offre depuis 2007, un service d’accompagnement pour l’obtention de l’attestation ICI ON RECYCLE!; ICI ON VA PLUS LOIN. Elle collabore également depuis 2010 à une initiative régionale d’écologie industrielle. Voulant demeurer en tête de liste, la CDEVR (CLD) en collaboration avec la Ville de Victoriaville, ont annoncé, en septembre dernier, deux projets qui affirment notre leadership en développement durable : l’Écoparc industriel de Victoriaville et la Démarche d2, un service d’accompagnement personnalisé en développement durable. À ce jour, une première entreprise, Gaudreau Environnement, a déjà adhéré à la Démarche d2. Une autre fera aussi son entrée d’ici peu dans l’Écoparc industriel.

En décortiquant cette définition de façon concrète, je pourrais dire que le DD offre un menu de trois services (l’ordre n’ayant pas d’importance). Il y a la sphère économique, déjà bien connue des entreprises, associée à la recherche de rentabilité, de pérennité et de création de richesse de l’organisation. Ensuite, il y a l’aspect social qui fait référence à la création d’impacts positifs sur la communauté, à la recherche d’équité sociale et à l’épanouissement de ses employés (santé et sécurité, conditions de travail, développement des compétences, ...). Finalement, il y a la dimension environnementale qui fait, bien sûr, référence à la protection des écosystèmes et de la planète ainsi qu’à la recherche de diminution des impacts sur l’environnement (eau, énergie, matières résiduelles, gaz à effet de serre, autres pollutions, ...). En parallèle, une démarche de DD doit se faire également en considérant les intérêts, besoins et aspirations de ses parties prenantes (employés, clients, fournisseurs, actionnaires, ...). Cette façon de faire permet de solidifier sa démarche en DD. Maintenant que vous savez ce que mange le DD en hiver, je vous invite à suivre mes prochaines chroniques. Elles pourront vous servir d’inspiration pour poser des gestes durables au sein de votre entreprise! 1

Loi sur le développement durable du Québec

Madame Jacinthe Roy en compagnie de M. Johnny Izzi, directeur général chez Gaudreau Environnement, première entreprise à adhérer à la Démarche d2.


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Mentorat pour entrepreneurs

dix ans de loyaux services auprès des entrepreneurs d’ici Bienvenue dans cette nouvelle chronique dédiée au mentorat pour entrepreneurs. Mon nom est Julie Laroche, analyste financière et coordonnatrice de la cellule de mentorat à la CDEVR (CLD). Chacun de mes articles portera sur ce qui touche au monde de l’entreprenariat, ses décideurs et les gens qui les accompagnent dans leur cheminement d’entrepreneur : les mentors. La cellule de mentorat pour entrepreneurs amorce ses activités en septembre 2004. À l’origine, elle comptait six mentors dont trois sont encore actifs, soit Mme Nicole Desharnais et MM. Jean St-Arnaud et Raymond Nappert. Ceux-ci fêtent donc leur dix ans de loyaux services, tout comme le mentorat! Depuis, la cellule de mentorat s’est agrandie portant son nombre de généreux mentors à quinze. À ce jour, ceux-ci ont aidé plus de cent trente-cinq entrepreneurs à passer à la vitesse grand M,

ou plutôt grand V! Certaines entreprises accompagnées n’existent plus, mais nos statistiques indiquent que 89 % de celles accompagnées au cours de ces dix dernières années sont toujours actives. Le mentorat, c’est une panoplie de services et de ressources pour nos nouveaux entrepreneurs. L’accompagnement offert par un mentor est axé sur l’écoute, la motivation et le développement des compétences entrepreneuriales du mentoré. La réalité quotidienne d’un dirigeant d’entreprise peut faire en sorte qu’il se sent parfois bien seul dans sa belle aventure. Le mentor peut alors l’aider à prendre conscience que son environnement externe et interne influence ses prises de décisions et peut-être explorer avec lui des pistes de solutions.

Les mentors sont des gens passionnés qui ont à cœur d’offrir à de nouveaux entrepreneurs leur propre expérience d’un travail acharné qui les a menés tantôt à l’échec, tantôt au succès, mais qui les a, de toute façon, fait grandir. Dans les prochaines chroniques, je vous ferai partager ces expériences humaines qui ont permis la réalisation de grands rêves. D’ici là, si le mentorat pour entrepreneurs vous intéresse, n’hésitez pas à communiquer avec moi, il me fera plaisir de vous donner plus d’information. Pour télécharger notre formulaire de demande de mentorat, ou celui de votre candidature de mentor, vous n’avez qu’à vous rendre sur notre site au www.cdevr.ca/fr/services03.aspx. Que le printemps vous apporte toute l’énergie nécessaire à la poursuite de vos projets d’affaires!



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