Affabulation (p.36) n.f. Arrangement de faits imaginaires ; invention plus ou moins mensongère : Il ne s’est rien passé de tel, tout ceci n’est qu’affabulation (syn. fabulation, invention). Antagoniste (p.69) n. Personne en lutte avec
Comment j’ai écrit un roman sans m’en rendre compte Roman de A. HUIZING SYROS
Témoigner d’une admiration béate à l’égard de qqn (syn. excessif, inconsidéré). Crémation (p.105) n.f. Action de brûler les morts (syn. incinération). Discordant, e (p.101) adj. Qui manque de justesse, d’harmonie, d’ensemble ; divergent : Des sons discordants. Des avis discordants (syn. opposé).
une autre, en opposition : La police est intervenue pour séparer les antagonistes (syn. adversaire). Béat, e (p.39) adj. Qui manifeste un contentement un peu niais, une absence d’esprit critique : Un sourire béat (syn. idiot, imbécile).
Frénésie (p.175) n.f. Degré extrême atteint par une action, un sentiment ; état d’exaltation violent : Aimer avec frénésie (syn. passion, ardeur). Applaudir avec frénésie (syn. enthousiasme). La frénésie d’une foule en colère (syn. fureur).
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Intérimaire (p.111) n. et adj. Travailleur mis temporairement à la disposition d’une entreprise par une entreprise de travail temporaire pour qu’il occupe un emploi ponctuel (remplacement, surcroît de travail). Intersidéral, e, aux (p.15) adj. astron. Situé entre les astres : Les espaces intersidéraux. Médium (p.19) n. Intermédiaire entre le monde des vivants et le monde des esprits, selon les doctrines spirites : Des médiums. Moribond, e (p.83) adj. et n. Qui est près de mourir : Un blessé moribond (syn. agonisant, mourant).
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4 Sempiternel, elle (p.16) adj. Qui est répété indéfiniment au point de fatiguer : Ses sempiternelles jérémiades (syn. continuel, perpétuel). Nombrilisme (p.135) n.m. fam. Attitude d’une personne qui ramène tout à elle-même : égocentrisme.
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Acclamation (p.87) n.f. Cri de joie ou d’enthousiasme collectif : La chanteuse est sortie sous les acclamations du public (syn. bravo). Être accueilli par une acclamation (syn. ovation).
Le garçon qui courait plus vite que ses rêves Roman de E. LAIRD FLAMMARION
Badin, e (p.12) adj. litt. Qui aime à rire, à plaisanter ; d’une gaieté légère : Un ton badin (syn. léger). Cliquetis (p.145) n.m Bruit répété produit par des corps qui s’entrechoquent : Le cliquetis des couverts dans un restaurant.
la mort ; état de ralentissement, d’affaiblissement des fonctions vitales qui caractérise ce moment : Malade à l’agonie. Apitoyer (p.45) s’apitoyer v.pr. [sur]. Être pris d’un sentiment de pitié pour qqn, qqch : L’opinion s’est apitoyée sur le sort des réfugiés.
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Coqueluche (p.156) n.f. fam. Personne dont on est entiché : Cet acteur est la coqueluche des jeunes spectateurs. Effervescence (p.79) n.f. Agitation extrême : Ville en pleine effervescence (syn. fébrilité). Effroi (p.117) n.m. litt. Grande frayeur : Ces attentats répandent l’effroi (syn. épouvante, terreur).
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4 Zélé, e (p.46) adj. et n. Qui a, qui montre du zèle : Une secrétaire zélée (syn. dévouée). Un zélé défenseur des libertés (syn. actif, infatigable).
Agonie (p.137) n.f. Moment de la vie qui précède immédiatement
Flamboyant, e (p.136) adj. Qui flamboie : Feux flamboyants. Une chevelure flamboyante (=rousse, qui a des reflets roux). Hyène (p.127) n.f. Mammifère carnivore d’Afrique et d’Asie, à pelage gris ou fauve tacheté de brun, à l’arrière-train surbaissé, se nourrissant surtout de charognes. Rem. On dit l’hyène ou la hyène. Famille des hyénidés : long. Jusqu’à 1,40 m. L’hyène hurle, ricane. Liesse (p.155) n.f. litt. En liesse, se dit d’une foule qui manifeste une joie débordante : Le peuple en liesse a accueilli le président.
3 Stratagème (p.95) n.m. Moyen habile : Recourir à un stratagème pour triompher de son adversaire (syn. Sommité (p.155) n.f. Personne éminente dans un domaine quelconque : Un congrès qui réunit les sommités de la médecine. Se renfrogner (p.44) v.pr. Manifester son mécontentement, sa mauvaise humeur en contractant le visage. Rituel, elle (p.153) adj. Qui est comme réglé par une coutume immuable : Les visites rituelles à la famille pour Noël (syn. habituel, traditionnel). Mugissement (p.87) n.m. Cri sourd et prolongé des animaux de l’espèce bovine (syn. beuglement, meuglement).
Vrombissement (p.103) n.m. Bruit de ce qui vrombit (syn. bourdonnement, ronflement).
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ruse, subterfuge).
Accoutumé, e (p.15) adj. À l’accoutumée, à l’ordinaire, d’habitude : Elle a été très accueillante, comme à l’accoutumée. Bifurquer (p.8) v.i. (Sujet qqn, qqch). Prendre une autre direction : Bifurquer sur une voie de
Mister Orange Roman de T. MATTI LA JOIE DE LIRE
Courroucer (p.25) v.t. litt. Mettre en colère. Exhiber (p.17) v.t. Arborer, faire étalage de : Exhiber ses décorations (syn. afficher, étaler). Fanion (p.65) n.m. Petit drapeau servant d’emblème ou de signe de ralliement à une unité militaire, une organisation sportive, etc.
garage, vers la gauche. Calfeutrer (p.176) v.t. Boucher les fentes d’une baie, d’une fenêtre, etc., afin d’empêcher l’air extérieur et le froid de pénétrer : Calfeutrer portes et fenêtres avec des bourrelets.
Jérémiade (p.69) n.f. fam. (surtout au pl.). Plainte, lamentation persistante, importune : Qu’il est pénible avec ses jérémiades ! (syn. gémissement, pleurnicherie). Loquace (p.155) adj. Qui parle beaucoup : Elle n’est pas très loquace (syn. bavard, volubile).
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Lustrer (p.13) v.t. Donner du brillant, du poli à qqch : Lustrer la carrosserie d’une voiture (syn. astiquer). Parcheminé, e (p.36) adj. Peau, visage parcheminés, secs et ridés. Sirupeux, euse (p.80) adj. Qui est de la nature, de la consistance du sirop : Un liquide sirupeux (syn. épais, visqueux). Taciturne (p.32) adj. Qui parle peu ; silencieux : Ses préoccupations le rendent taciturne (contr. bavard, loquace, volubile). Tomahawk (p.97) n.m. Hache de guerre des Indiens d’Amérique du Nord.
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Amnésie (p.95) n.f. Diminution ou perte totale de la mémoire due à des causes pathologiques.
Robin des graffs Roman de M. ZÜRCHER THIERRY MAGNIER
Courroucer (p.96) v.t. litt. Mettre en colère. Effluve (p.107) n.m. [parfois fém. au pl.]. Émanation qui s’exhale du corps des êtres vivants, des fleurs, des aliments, etc. : Les effluves embaumés d’un jardin (syn. odeur, exhalaison). Filiforme (p.24) adj. Mince, grêle, délié comme un fil : Des jambes filiformes.
Chéneau (p.7) n.m. constr. Rigole ménagée à la base d’un toit et conduisant les eaux de pluie au tuyau de descente. Compassion (p.35) n.f. sout. Sentiment qui rend sensible aux souffrances d’autrui ; pitié : Un regard plein de compassion.
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Graff (p.13) n.m. Composition picturale à base calligraphique bombée sur un mur, une paroi. Impalpable (p.95) adj. Si fin, si ténu qu’on ne le sent pas au toucher : Poussière impalpable. Indigent, e (p.12) adj. et n. Qui est privé de res-
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Baudrier (p.102) n.m. Bande de cuir ou d’étoffe portée en écharpe et qui soutient une arme, un tambour, un ceinturon : Ceindre son baudrier et y attacher son épée.
sources suffisantes ; qui manque des choses les plus nécessaires : Vieillard indigent (syn. nécessiteux). Interloquer (p.95) v.t. Mettre dans l’embarras par un effet de surprise : Cette réponse l’a interloqué (syn. déconcerter). Investigation (p.14) n.f. Recherche attentive et suivie : La police poursuit ses investigations (=son enquête). Manigance (p.20) n.f. fam. (Surtout au pl.). Petite manœuvre secrète qui a pour but de tromper : Je ne suis pas dupe de ses manigances pour obtenir ce poste (syn. agissements, manège).
3 Vigilant, e (p.21) adj. Plein de vigilance : Un surveillant vigilant (syn. Satirique (p.29) adj. et n. Enclin à la médisance, à la raillerie ; qui tient de la satire : Chanson, dessin satiriques. Récrimination (p.21) n.f. Action de récriminer : reproche : Se répandre en continuelles récriminations (syn. plainte, critique). Pédophilie (p.33) n.f. Attirance sexuelle d’un adulte pour des enfants. Pathologie (p.35) n.f. Ensemble des manifestations d’une maladie : La pathologie du cancer. Narcissisme (p.28) n.m. Admiration de soi ; attention exclusive portée à soimême.
attentif). Être l’objet de soins vigilants (syn. assidu, empressé).
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Alcôve (p.102) n.f. Renfoncement ménagé dans une chambre pour recevoir un lit. Asphalte (p.53) n.m. Calcaire imprégné de bitume qui sert au revêtement des trottoirs, des chaussées, etc.
Chemins toxiques Roman de L. SACHAR GALLIMARD JEUNESSE
Ermite (p.11) n.m. Personne qui vit retirée : Vivre en ermite. Flanelle (p.61) n.f. Tissu fait ordinairement de laine cardée ; vêtement fait dans ce tissu. Gallon (p.46) n.m. Unité de capacité utilisée en Grande-Bretagne et, anc., au Canada
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(où il vaut 4,546 l), ainsi qu’aux États-Unis (où il vaut 3,785 l). Guttural, e, aux (p.187) adj. Qui est émis du fond de la gorge, en parlant d’un son : Voix gutturale (syn. rauque). « K » et « g » (de « gare ») sont des consonnes gutturales. (On dit aussi une gutturale). Jacasser (p.72) v.i. fam. Bavarder, parler avec volubilité. Mortifier (p.61) v.t. Blesser dans son amourpropre : Votre refus m’a mortifié (syn. offenser, vexer). Pulvérulent, e (p.77) adj. Qui est à l’état de poudre ou qui est réduit en poudre : La chaux
pulvérulente. Rameau (p.40) n.m. Petite branche ; division d’une branche d’arbre : Le rameau d’olivier est un symbole de paix. Ravin (p.39) n.m. Dépression allongée et profonde creusée par un torrent : La voiture est tombée dans le ravin. Spéculation (p.154) n.f. econ. Opération aléatoire fondée sur la prévision de l’évolution des cours boursiers ou commerciaux : Se livrer à des spéculations hasardeuses. Subrepticement (p.166) adv. D’une façon subreptice : Partir subrepticement (syn. discrètement, furtivement).
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4 Urticaire (p.66) n.f. Éruption cutanée passagère, ressemblant à des piqûres d’ortie, souvent due à une réaction allergique. Ténu, e (p.147) adj. Très fin ; très mince : Le fil ténu d’un ver à soie. Une distinction très ténue (syn. subtil).
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Anfractuosité (p.63) n.f. Cavité profonde et irrégulière dans une roche (syn. crevasse, renfoncement). Broc (p.79) n.m. Récipient haut, à col resserré et à bec muni d’une anse latérale, pour le transport des liquides : Un broc à eau.
Traqués sur la lande Roman de J-C. TIXIER RAGEOT
Fulminer (p.10) v.i. sout. Entrer dans une violente colère souvent assortie de menaces : Fulminer contre quelqu’un (syn. pester, tempêter, tonner). Goguenard, e (p.134) adj. Qui se moque ouvertement de qqn d’autre : Elle nous regardait, goguenarde (syn. moqueur, narquois).
Claudication (p.25) n.f. sout. Action de boiter : Une légère claudication. Darder (p.12) v.t. litt. Lancer comme un dard ou une flèche : Le soleil darde ses rayons. Énurésie (p.43) n.f. Émission involontaire d’urine, génér. nocturne, à un âge où la propreté est habituellement acquise.
Grabuge (p.28) n.m. fam. Dispute bruyante ; dégâts qui en résultent : Il va y avoir du grabuge (syn. altercation, scène). Faire du grabuge (=de la casse) (syn. dégâts). Maton, onne (p.34) n. arg. Gardien, gardienne de prison.
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Rachitisme (p.12) n.m. Maladie de la croissance, observée chez le nourrisson et le jeune enfant, caractérisée par une insuffisance de calcification des os et des cartilages, et due à une carence en vitamine D. Raidillon (p.24) n.m. Court chemin en pente raide. Rictus (p.10) n.m. Contraction des muscles de la face, donnant au visage l’expression d’un rire crispé : Rictus de colère. Sévices (p.18) n.m. pl. Mauvais traitements exercés sur qqn qu’on a sous sa responsabilité ou son autorité : Exercer des sévices sur un enfant.
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4 Timonerie (p.49) n.f. Abri qui protège l’appareil à gouverner et l’homme de barre sur les bateaux de petit tonnage. => Sur les grands navires, on dit une passerelle. Taveler (p.163) v.t. Marquer une surface de taches, de crevasses : La moisissure tavelle les fruits. Tannée (p.22) n.f. fam. Correction ; volée de coups.
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