Photo-souvenir : Dans la grande Mosquée de Abu Dhabi (détail). Novembre 2010. Photo Daniel Buren © DB et ADAGP Paris.
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DANIEL BUREN ÉCHOS TRAVAUX IN SITU DOSSIER DE PRESSE
08.05 > 09.09.2011 www.centrepompidou-metz.fr
DANIEL BUREN, ÉCHOS, TRAVAUX IN SITU
Sommaire 1. Communiqué de presse Daniel Buren, ÉCHOS, travaux in situ....................... 03 2. Présentation de l’œuvre et du parcours de Daniel Buren............................... 04 3. Publication et DVD de l’exposition........................... 07 4. Informations pratiques............................................. 08 5. Partenaires du Centre Pompidou-Metz ................... 09 6. Visuels presse............................................................. 10
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1. Communiqué de presse ÉCHOS, travaux in situ Daniel Buren 8 mai > 9 septembre 2011 Centre Pompidou-Metz, Galerie 3 Daniel Buren est à l’heure actuelle l’un des artistes les plus renommés, tant en France que sur la scène artistique internationale. Depuis plus de quarante ans, chacune de ses expositions de par le monde suscite l’événement.
de l’architecture de Shigeru Ban et Jean de Gastines, longue de 80 mètres, découpée ici en plein milieu par un nouveau mur, lui-même exposé comme partie intégrante de l’ensemble proposé. Dans une partie, l’œuvre Les cabanes éclatées imbriquées, travail in situ forme « des sites dans des sites, des lieux dans des lieux » 1. Le spectateur est invité à parcourir ces architectures temporaires dont les multiples points de vues fragmentent l’espace.
Le Centre Pompidou-Metz tisse depuis 2009 une relation privilégiée avec Daniel Buren, avec des projets initiés dès Constellation, manifestation de préfiguration du Centre Pompidou-Metz : 5 610 flammes colorées pour un arc-en-ciel, travail in situ rue Serpenoise à Metz et Couleurs superposées, Acte XIII, performance présentée à l’Opéra-Théâtre de Metz Métropole en septembre 2009.
L’autre partie de l’exposition intitulée La Ville empruntée, multipliée et fragmentée : travail in situ propose un contrepoint au panorama sur la ville. Daniel Buren emprunte la baie vitrée et le paysage qui se trouve derrière, les fragmente et multiplie à l’infini grâce à un jeu de miroirs. Il précise : « le miroir rend plus évident dès son utilisation qu’une œuvre quelconque n’est jamais qu’un fragment d’un ensemble » 2.
Un an après son ouverture, le Centre Pompidou-Metz invite Daniel Buren à réaliser un projet spécifique dans le cadre d’une invitation conjointe du Mudam Luxembourg, Musée d’art moderne Grand-Duc Jean et du Centre Pompidou-Metz. Daniel Buren a réalisé dans le Grand Hall du Mudam : Architecture, contrearchitecture : transposition, travail in situ (9 octobre 201022 mai 2011). Le projet du Centre Pompidou-Metz prend le relais de cette proposition en invitant Daniel Buren à investir la Galerie 3 avec deux œuvres spectaculaires spécifiquement conçues pour cet espace.
1 Daniel Buren « Entrevue, Conversations avec Anne Baldassari » (1987), in Paris, Flammarion, Musée des Arts Décoratifs, 1987, p.24 repris dans Les Écrits, T.3, Bordeaux, Musée d’art contemporain, 1991, p.238. 2 Daniel Buren, « Épreuves d’écriture » (1985), in cat. « Les Immatériaux», Centre de Création industrielle, Centre Georges Pompidou, Paris, 28 mars - 15 juillet 1985, repris dans Les Écrits, op. cit., T.3, p.83.
Les travaux de Daniel Buren exposent, questionnent et transforment les caractéristiques des lieux qu’ils investissent. Pour son exposition Échos, travaux in situ l’artiste investit la galerie la plus spectaculaire
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2. Présentation de l’œuvre et du parcours de Daniel Buren Les prémices
La critique de la peinture
Daniel Buren est né en 1938 à Boulogne-Billancourt. Après une formation à l’École des Métiers d’Art à Paris, de 1957 à 1960, et un rapide passage par l’École Nationale Supérieure des Beaux-Arts à Paris également, il mène au début de son parcours de nombreuses expérimentations touchant à la peinture, à la sculpture et au cinéma. Des premiers travaux picturaux, datant de 1960, il s’achemine rapidement vers une économie de moyens avec laquelle il met déjà en avant la neutralisation du contenu illusionniste de la peinture et l’indifférence au sujet narratif qui sont au cœur de sa démarche.
De décembre 1966 à septembre 1967, Buren s’associe avec les peintres Olivier Mosset, Michel Parmentier, et Niele Toroni pour une série de manifestations collectives. Leur pratique commune se fonde sur la répétition systématique d’un même motif et la volonté de peindre chacun à leur façon « le dernier tableau ». Cette association éphémère - désignée a posteriori et de manière erronée par les critiques sous le sigle « BMPT » - s’inscrit en opposition radicale à un contexte artistique parisien très académique, dominé par l’École de Paris. Les quatre artistes bousculent ce climat avec des interventions qui suscitent les plus vives polémiques. Ce travail en commun prend la forme d’un véritable dispositif critique qui permet à Buren d’examiner les limites non plus seulement physiques de la peinture, mais aussi politiques et culturelles du monde de l’art.
En septembre 1965, il découvre au Marché Saint-Pierre une toile de coton, tissée et rayée, dont les composantes deviennent dès lors la base même de son vocabulaire artistique : des bandes verticales alternées, blanches et colorées, d’une largeur de 8,7 cm. Le choix d’un motif fabriqué industriellement répond parfaitement à son désir d’objectivité, en lui permettant de travailler directement sur un fond/support hautement visible et d’accentuer le caractère résolument impersonnel de son travail. Dans un premier temps, Buren utilise cette toile banale comme support : il peint d’abord des formes organiques et aléatoires qui laissent apparaître en partie le fond/support rayé, puis réduit son geste jusqu’à ne recouvrir de peinture acrylique blanche que les deux bandes extrêmes colorées puis, dès fin 1967, les deux bandes extrêmes blanches.
Le degré zéro de la peinture, loin de signifier pour lui une fin de l’art, constitue en effet dès lors l’axiome de départ de sa démarche.
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L’outil visuel
De la rue au musée
À la suite de cette expérience, Buren trouve une autre utilisation des bandes alternées. Délaissant le travail de répétition en tant que tel, il commence à explorer les potentialités de ce motif en tant que signe et passe ainsi de l’objet-peinture à ce qu’il appelle un « outil visuel », en faisant également imprimer du papier rayé dès le mois de novembre 1967. Ce glissement du tableau à l’affiche et au papier peint constitue une rupture fondamentale dans son œuvre, ces derniers lui permettant de recouvrir les surfaces les plus variées sur un mode d’intervention désormais infini.
En 1967, la rue est déjà l’un des espaces d’intervention privilégiés de Buren, où il procède à des « affichages sauvages ». Ces opérations clandestines, au même titre que la distribution de tracts, les interventions dans le métro ou les défilés d’hommes-sandwichs, participent largement à le faire reconnaître internationalement. Ainsi, dès 1968, son exposition personnelle à la galerie Apollinaire de Milan et ses participations aux manifestations internationales « Prospect » en 1968 et 1969, et les suivantes à Düsseldorf, marquent le vrai point de départ de sa célébrité. Buren commence à exposer dans les musées dès la fin des années soixante, toujours hors de France pendant une dizaine d’années et dans le cadre d’expositions qui l’assimilent à l’art conceptuel. Mais s’il est très naturellement identifié à ses homologues américains et européens pour son goût de l’analyse et du langage théorique, il s’en démarque par sa conviction de la nécessité d’une « présence concrète au monde » et d’une réflexion continue sur la valeur d’usage de la peinture et la nécessité de poser ces problèmes avec des éléments de l’ordre du visible à l’inverse de certains artistes conceptuels qui prétendaient vouloir et pouvoir s’en affranchir.
Buren s’affranchit alors du cadre imposé du tableau mais aussi des murs du « cube blanc ». Il forge la notion de l’in situ dans le champ des arts plastiques, que bien d’autres reprendront après lui, pour caractériser une pratique intrinsèquement liée aux spécificités topologiques et culturelles des lieux où les œuvres sont présentées. Il procède toujours à une analyse du lieu dans lequel il place ses bandes pour mettre en lumière certaines de ces particularités, les plus signifiantes et les moins visibles. Buren parle lui-même « d’instrument pour voir » car, en réduisant le contenu du « tableau » à un motif unique et identifiable, il parvient paradoxalement à un élargissement du champ visuel du spectateur.
Dans ces mêmes années, soixante-dix et quatre-vingts, cette présence se fait d’ailleurs « omniprésence », investissant les supports les plus variés : murs, portes, panneaux d’affichage, poteaux indicateurs ou simplement du papier ou de la toile sous des verrières, sur des escaliers, des trains, des voiliers, sous forme de drapeaux sur les toits de Paris, de gilets pour les gardiens de musée, etc.
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De la Rue au Musée, suite
La commande publique
De contenue et répétitive, son œuvre prend une ampleur infinie et devient de plus en plus diversifiée et colorée. La critique institutionnelle dont elle s’accompagne s’en trouve accrue et l’artiste transgresse dans le même temps l’interdit moderniste de toute fonction décorative. En 1971, invité à participer à la Ve Exposition Internationale du Solomon R. Guggenheim Museum à New-York, Buren stigmatise l’architecture dominante de Frank Lloyd Wright avec la suspension d’une pièce de tissu rayé de 200 m2 dont les deux bandes blanches extrêmes sont recouvertes de peinture acrylique blanche recto-verso – qui sera censurée à la demande d’une poignée d’autres artistes – au beau milieu de la spirale centrale du bâtiment, emplacement qu’il occupe à nouveau en 2005, avec une pièce monumentale en miroirs erigée lors de son exposition personnelle, The eye of the storm.
Le changement de politique qui s’amorce dans les années quatre-vingts lui permet de continuer d’occuper l’espace public de manière moins fugitive, en commençant à réaliser des œuvres pérennes. La première, et la plus célèbre, est Les Deux Plateaux (1985-1986), commande de l’État pour la cour d’honneur du Palais-Royal. La polémique nationale que rencontrent alors les « colonnes » et l’obtention du Lion d’Or à la Biennale de Venise pour le prix du meilleur pavillon en 1986, lui assurent une véritable notoriété. Depuis, Buren a continué à explorer les possibilités propres aux espaces publics dans des multiples commandes en France et à l’étranger (Japon, Italie, Allemagne, Espagne, Belgique, Israël, Chine, Corée, Angleterre, États-Unis, Canada…).
Poursuivant la critique des lieux et modalités d’exposition, Buren défraie la chronique en 1972 lors de la célèbre Documenta V de Kassel organisée par Harald Szeemann. Une fois encore, il impose singulièrement ce qui est devenu sa signature en tapissant de papier rayé les cimaises sur lesquelles sont accrochées les œuvres des autres artistes instaurant ainsi un dialogue non seulement avec l’organisateur de l’exposition lui-même mais également avec son propre travail montré dans une section spécifique, seul sur un mur comme une œuvre au plein sens du terme alors que dans les autres sections, il apparaissait comme une sorte de fond ou de présentoir, à d’autres œuvres complètement étrangères.
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L’architecture quatre-vingt-dix, cette dernière n’est plus seulement appliquée à même le mur mais littéralement « installée dans l’espace » sous forme de filtres, de plaques de verre ou de plexiglas colorés. L’impression d’éclatement de l’œuvre, accentuée par l’utilisation de miroirs réfléchissants, incite le spectateur à un déplacement non plus seulement du regard mais du corps tout entier.
Très vite, son propos est focalisé sur l’ascendant de l’architecture (notamment muséale) sur l’art. Il commence à développer un travail plus tridimensionnel et une conception de l’œuvre qui n’est plus objet mais modulation de l’espace comme l’œuvre censurée au Guggenheim de New York en janvier 71. Cependant, la première Cabane Eclatée réalisée en 1975 constitue un véritable tournant en accentuant l’interdépendance entre l’œuvre et le lieu qui l’abrite par des jeux savants de construction et de déconstruction. Les cabanes se composent d’un module souvent carré dans lequel des formes géométriques sont découpées puis projetées sur les espaces alentour. L’exposition Mises en demeures, Cabanes éclatées (Villeurbanne, 1999-2000) a décliné le principe de la cabane éclatée en une série de propositions jouant avec les matériaux, les formes et la lumière ainsi que plus récemment les Cabanes aux céramiques et aux miroirs (Castellon, Espagne, 2006). Ce sont de véritables paradigmes architecturaux où l’œuvre devient elle-même son propre site, en même temps que le lieu du mouvement et de la déambulation.
À ce jour, Daniel Buren a réalisé à travers le monde des milliers de travaux in situ. Si ces œuvres, détruites la plupart du temps après leur présentation, n’ont d’existence que dans le lieu et le temps pour lesquels elles ont été conçues, il existe toutefois un corpus important d’œuvres permanentes dans les collections des plus grands musées internationaux d’art moderne et contemporain. Il est frappant de constater qu’une pareille économie de moyen ait engendré une œuvre à ce point riche et complexe. Buren, toujours aussi prolifique, garde aujourd’hui toute sa force critique et sa capacité à nous surprendre.
Les propositions les plus récentes se présentent comme des dispositifs architecturaux de plus en plus complexes, tels ceux conçus pour Le Musée qui n’existait pas (Paris, 2002) ou dernièrement Architecture contre-architecture (Luxembourg, 2010) et Allegro Vivace (Baden-Baden, 2011), qui entretiennent toujours un dialogue avec l’architecture existante. Elles donnent à voir une véritable mise en abyme de l’espace, une multiplication des jeux sur les matériaux (bois, vinyle, matières plastiques, grillage, etc.) et une explosion de la couleur. Depuis le début des années
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3. Publication et DVD de l’exposition Publication
Le DVD « Daniel Buren »
Le nouveau projet de Daniel Buren dans la Galerie 3 du Centre Pompidou-Metz est une invitation conjointe du Mudam Luxembourg - Musée d’Art Moderne Grand-Duc Jean et du Centre Pompidou-Metz. Daniel Buren a réalisé dans le Grand Hall du Mudam le travail in situ : Architecture, contre-architecture : transposition, travail in situ (9 octobre 2010-22 mai 2011).
Un double DVD consacré au travail de Daniel Buren est coédité par le Centre Pompidou-Metz. Il s’agit d’une réédition du DVD Daniel Buren de la collection « Works & Process » paru en 2002 et épuisé aujourd’hui, complété d’un DVD inédit sur sa performance Couleurs superposées, Acte XIII, présentée à l’Opéra-Théâtre de Metz Métropole en septembre 2009 dans le cadre de Constellation, manifestation de préfiguration du Centre Pompidou-Metz.
À l’occasion de ces deux projets le Mudam et le Centre Pompidou-Metz coéditent un ouvrage qui rassemble une soixantaine de vues photographiques de ces deux œuvres in situ. Ce défilé d’images met en avant le dénominateur commun aux deux projets : le jeu sur la lumière et les perspectives.
Ce coffret de deux DVD propose près de 4 heures de programme composé de 12 films dont : — des documentaires tels celui sur l’exposition The eye of the storm de Daniel Buren au Guggenheim à New York en 2005 ou celui sur l’exposition Allegro Vivace qui se tient actuellement à Baden-Baden (tous deux réalisés par Gilles Coudert) ; — des documents originaux et inédits tels One Year of Ballets in Manhattan sur les performances de Daniel Buren dans les rues de New York en 1977-1978 ; — des œuvres audiovisuelles de l’artiste. Le deuxième DVD propose dans son intégralité la performance Couleurs superposées, Acte XIII à l’Opéra-théâtre de Metz Métropole, réalisée en 2009 lors de la manifestation Constellation. Dans cette nouvelle édition, l’ensemble des films est proposé en version sous-titrée anglais. Date de Parution : mai 2011 Tarif public TTC : 25,00 euros En vente à la librairie Flammarion du Centre PompidouMetz « Works & Process » est une collection de DVD monographiques consacrée aux artistes contemporains dirigée par Gilles Coudert. Chaque « monographie » utilise un principe encyclopédique et propose de découvrir et d’appréhender la démarche d’un créateur à travers différentes approches documentaires, des films et des archives inédites de l’artiste, ainsi qu’une œuvre originale.
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4. INFORMATIONS PRATIQUES Horaires d’ouverture Lundi. ............................... 11H – 18H Mardi................................ fermeture hebdomadaire Mercredi........................ 11H – 18H Jeudi................................. 11H – 20H Vendredi. ....................... 11H – 20H Samedi............................ 10H – 20H Dimanche..................... 10H – 18H Les caisses ferment 45 minutes avant la fermeture du Centre Pompidou-Metz
Tarifs Tarifs unique : 7 € Le ticket vous donne accès à l’ensemble des expositions présentées le jour de votre visite L’entrée est gratuite, sur présentation. d’un justificatif, pour : — les moins de 26 ans, — les enseignants détenteurs . du Pass éducation, — les visiteurs handicapés . et leur accompagnateur, — les demandeurs d’emploi inscrits . en France (justificatif de moins de 6 mois), — les allocataires du RSA ou de l’aide. sociale (justificatif de moins de 6 mois), — les titulaires du minimum vieillesse, — les guides interprètes et conférenciers nationaux, — les titulaires de la carte Icom, . Icomos ou Aica, — les titulaires d’une carte de presse, — les artistes membres . de la Maison des Artistes.
Ont accès à la file prioritaire : — les titulaires du Pass du Centre . Pompidou-Metz — les visiteurs handicapés . et un accompagnateur — les titulaires de réservations, de tickets d’entrée ou de contremarques — les titulaires de la carte Icom, Icomos . ou Aica — les titulaires d’une carte de presse. Audioguides : 3 € Des audioguides multimédia sont disponibles au comptoir de la billetterie. Langues : français, anglais et allemand. Accessibles aux déficients auditifs (BIM). Pour tout renseignement supplémentaire :. www.centrepompidou-metz.fr
VISITES GUIDÉES GROUPE Visite guidée avec un conférencier . du Centre Pompidou-Metz : Tarif : 170 € Langues : français, anglais, allemand Ce tarif comprend l’entrée aux expositions, . la visite guidée d’1h30 par un conférencier . et les frais de réservation pour un groupe. Les visites de groupe sont strictement limitées à 20 personnes. Visite de groupe libre . au Centre Pompidou-Metz : Tarif : 7 € par personne + 20 € de frais de réservation/ Les visites de groupe sont strictement limitées à 20 personnes. Visite avec un conférencier extérieur . au Centre Pompidou-Metz: Tarifs : 7 € par personne + 20 € de frais de réservation qui vous garantissent un accès prioritaire. Les visites de groupe sont strictement limitées à 20 personnes.
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COMMENT ACHETER SON BILLET ? Sur place Vous pouvez acheter sur place vos billets pour l’exposition aux guichets ou aux bornes automatiques. En ligne — sur notre site internet : . www.centrepompidou-metz.fr — sur nos réseaux partenaires : Digitick, Fnac, France Billet et TicketNet.
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5. Partenaires du Centre Pompidou-Metz Le Centre Pompidou-Metz est la première décentralisation d’un établissement public culturel national, le Centre Pompidou, réalisée en partenariat avec une collectivité territoriale, la Communauté d’Agglomération de Metz Métropole. La maîtrise d’ouvrage a été assurée par Metz Métropole, principal financeur de l’équipement, associé à la Ville de Metz (mandataire) et au Centre Pompidou. La construction du Centre Pompidou-Metz a également bénéficié du soutien financier du Conseil Général de la Moselle, du Conseil Régional de Lorraine, de l’État et de l’Union européenne (Fonds européen de développement régional, Feder). Le Centre Pompidou-Metz est un établissement public de coopération culturelle, dont les membres fondateurs sont l’État, le Centre Pompidou, la Région Lorraine, la Communauté d’Agglomération de Metz Métropole et la Ville de Metz. Le Centre Pompidou-Metz tient à remercier très chaleureusement tous les partenaires qui se sont engagés à ses côtés pour permettre la réalisation de ses expositions.
Mécène fondateur
Avec la participation de Vranken Pommery Monopole
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6. VISUELS PRESSE Un CD de visuels de l’exposition « Daniel Buren, Échos, travaux in situ » est à votre disposition en 3e de couverture. Toute reproduction de ces visuels doit faire l’objet d’une demande d’autorisation préalable auprès de l’ADAGP sous réserve des indications ci-dessous. Des droits d’auteurs devront être acquittés auprès de ce même organisme. Pour les publications de presse ayant conclu une convention générale avec l’ADAGP : se référer aux stipulations de celle-ci. - Pour les autres publications de presse : exonération du paiement des droits des deux premières reproductions illustrant un article consacré à un événement d’actualité et d’un format maximum d’ 1/4 de page ; au-delà de ce nombre ou de ce format les reproductions seront soumises à des droits de reproduction ; toute reproduction en couverture ou à la une devra faire l’objet d’une demande d’autorisation auprès du Service Presse de l’ADAGP ; le copyright à mentionner auprès de toute reproduction de cette exposition sera : Daniel Buren, « Photo Souvenir » : Échos, travaux in situ, Centre Pompidou-Metz, mai 2011 © Adagp, Paris 2011, Daniel Buren / Photo Rémi Villagi - Pour les publications sur Internet : exonération du paiement des droits des deux premières reproductions illustrant un article consacré à un événement d’actualité ; au-delà de ce nombre les reproductions seront soumises à des droits ; le copyright à mentionner auprès de toute reproduction de cette exposition sera : Daniel Buren, « Photo Souvenir » : Échos, travaux in situ, Centre Pompidou-Metz, mai 2011 © Adagp, Paris 2011, Daniel Buren / Photo Rémi Villagi
Contacts ADAGP Patricia Louot & Géraldine de Spéville Société des Auteurs dans les Arts Graphiques et Plastiques 11, rue Berryer - 75008 Paris, France Tél. : +33 (0)1 43 59 09 79 - Fax. : +33 (0)1 45 63 44 89 www.adagp.fr
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7. NOTES
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