APOLLINAIRE ARP BONNARD BRANCUSI CHAGALL DE CHIRICO DENIS DIX DUCHAMP KANDINSKY KLEE LÉGER MAN RAY MATISSE MODIGLIANI MONET NEVINSON ORPEN PICABIA PICASSO RODIN TAEUBER-ARP VALLOTTON VAN DOESBURG VUILLARD…
DOSSIER DE PRESSE
EXPOSITION 26.05 > 24.09.12 centrepompidou-metz.fr
1917
Sommaire 1. Présentation générale .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 02 2. PARCOURS DE L’EXPOSITION .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 03 Galerie 1
Debout les morts !, Feu !, READY-MADE, Exotismes, Russie. Retours aux SOURCES, PAYS-BAS – De Stijl, Zurich – DADA, Paris, Matisse, Évasions, Ferveurs . ............................................................ 03
GRANDE NEF
Portraits, Corps meurtris, masques, Théâtre aux armées, les mamelles de Tiresias, arlequin, parade, Camouflage, Paysages, esthétique de la ruine, utopie de la reconstruction, mémoire immédiate, monet, abstractions Russes ........................................................................................................................ 07
3. LE RIDEAU de scène du ballet PARADE, un prêt exceptionnel du Centre Pompidou, Musée national d’art moderne .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10 4. Liste INDICATIVE Des artistes exposés .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 5. Le catalogue . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 6. la programmation culturelle autour de l’exposition .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15 7. générique .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18 8. LISTE DES prêteurs .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21 9. PARTENAIRES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 23 10. Informations pratiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36 11. Visuels disponibles pour la presse .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37
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1917
1. Présentation générale 1917
Exposition ouverte au public du 26 mai au 24 septembre 2012 Galerie 1 et Grande Nef L’exposition 1917 questionne la création artistique en temps de guerre, à l’échelle de cette « année impossible »1 au cours de laquelle le monde s’enlise dans un conflit dévastateur. Foisonnante et pluridisciplinaire, cette exposition propose un aperçu instantané de tous les champs de la création d’une année de la Première Guerre mondiale. Il s’agit ainsi d'interroger ce que représente, pour l’activité artistique, un contexte aussi resserré et précis qu’une année, tout en déjouant les attentes et les a priori sur ce que peut être l’art en temps de guerre.
L’exposition présente des oeuvres issues de collections publiques et privées, artistiques et militaires, françaises et internationales. Au premier chef, elle bénéficie de nombreux prêts exceptionnels du Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, dont le rideau de scène du ballet Parade de Picasso. Elle fait également l’objet de partenariats, notamment avec la Bibliothèque de documentation internationale contemporaine (Nanterre), le musée de l’Armée (Paris), le musée du service de santé des armées (Paris), l’Historial de la Grande Guerre (Péronne) et l’Imperial War Museums (Londres).
L’année 1917 se caractérise par une extrême diversité de productions culturelles, dont l’exposition entend rendre compte en illustrant la variété de situations des artistes par rapport au front et la pluralité des types d’œuvres présentées. Aux côtés d’artistes majeurs, dont les oeuvres sont plus ou moins directement inspirées par les événements, s’expriment également des amateurs qui éprouvent le besoin de réagir aux épreuves du conflit par une activité de création, comme par exemple l’art des tranchées - ensemble d’objets réalisé à partir de résidus d’obus et d’armes - dont le rassemblement constitue un moment fort de l’exposition. Il faut en outre compter avec les artistes missionnés sur le front pour enregistrer les faits et rapporter des images du conflit, ainsi qu’avec la somme d’individus qui s’improvisent comme témoins visuels pour léguer à la postérité une mémoire du conflit.
L’exposition 1917 inaugure en France le cycle des manifestations du centenaire de la Première Guerre mondiale. Elle bénéficie du soutien de la Mission du centenaire de la Première Guerre mondiale 1914-2014. Jean-Jacques Becker, 1917 en Europe : l’année impossible. Bruxelles, Éditions Complexe, 1997.
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Commissaires : Claire Garnier Laurent Le Bon, Directeur du Centre Pompidou-Metz
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1917
2. PARCOURS DE L’EXPOSITION GALERIE 1
Présentée en deux parties, l’exposition questionne tout d’abord, en Galerie 1, la proximité physique et psychique des créateurs avec les événements, tout en offrant un aperçu de la diversité de la production culturelle de 1917. Elle interroge ensuite, dans la Grande Nef, les liens entre destruction, reconstruction et création, avec un accent tout particulier sur le monde du théâtre et, en point d’orgue, la présentation du rideau de scène monumental réalisé par Pablo Picasso pour le ballet Parade.
« Comment appeler la guerre actuelle ? – On a commencé à l’appeler la “guerre de 1914”, puis, 1915 venant, on dit “la guerre européenne”, puis, les Américains s’y mettant, on parla de “guerre mondiale” ou de “guerre universelle”, ce qui est d’une meilleure langue. “La grande guerre” a aussi ses partisans. “La guerre des nations” pourrait réunir des suffrages. “La guerre des races” pourrait se défendre. […] Mais “la guerre des Fronts” exprimerait peut-être mieux le caractère de cette lutte gigantesque » Mercure, « Échos – Revue de la quinzaine », Mercure de France, Paris, 1er novembre 1917, tome 124, no 465, p. 187 Conçu comme un éloignement progressif depuis le cœur du conflit vers des ailleurs géographiques ou intérieurs, le parcours de la première partie de l’exposition illustre la diversité de réactions des créateurs face aux événements de l’année 1917. On y découvre une multitude de trajectoires individuelles qui, considérées ensemble, dressent une cartographie de la création en 1917 avec une typologie de créateurs : célébrités du xixe siècle, représentants des avant-gardes, artistes officiels missionnés pour témoigner du conflit, artistes combattants, célèbres ou amateurs, créateurs de toutes nationalités. La récurrence de certains thèmes, motifs ou pratiques, l’émergence de foyers culturels et de mouvements d’avant-garde dans un contexte troublé, les réactions de repli ou de distanciation de certains artistes structurent le cheminement de cette section, qui comprend un important corpus documentaire soulignant le caractère crucial, dans tous les pays, de l’écrit et de l’image.
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1917
MATISSE
PARIS PAYS-BAS ZURICH
ÉVASIONS RUSSIE
EXOTISMES
La scénographie de l'exposition a été conçue par Didier Blin, architecte muséographe. « Comment construire 1917, éviter l’écueil de l’interprétation trop littérale d’un thème qui, en une année, ouvre des perspectives géographiques immenses tout en rappelant le confinement et l’oppression ? Ici réside l’un des enjeux majeurs de la scénographie de l’exposition. Le parcours de la Galerie 1 plonge le visiteur au cœur de la folie créatrice de l’année 1917. L’étude du positionnement géographique et intellectuel de chacun des artistes actifs par rapport aux événements de l’année fait apparaître différents thèmes et motifs, toujours abordés sous l’angle de la création et de la représentation. Conflit, paysages exotiques, refuges du corps et de l’âme, œuvre de la main ou de l’esprit, autant de schèmes dont l’approche croisée révèle la souffrance et l’imaginaire. Envisagés comme des territoires, ils inspirent une géographie complexe, mouvante et torturée, que traduisent les aménagements de la Galerie 1. Un dessin fragmenté rythme le parcours autour d’un axe central, ligne brisée incisive, cheminement étroit en tension ouvrant sur des salles intimes et des espaces plus ouverts. Chaque espace est traité comme un îlot thématique, univers autonome aux frontières néanmoins poreuses, ouvrant le dialogue entre création artistique et témoignage documentaire, permettant confrontations et rapprochements, oppositions et résonances. Entrées multiples, barrières franches et perspectives infinies sont autant d’astuces pour multiplier les points de vue, désorienter le visiteur dont l’itinéraire n’en est pas moins tracé par un sillon documentaire dense et continu.
FERVEURS
SORTIE ENTRÉE
La scénographie de la Galerie 1
READY-MADE SENS DE LA VISITE
Synthétique plutôt qu’illustrative, la scénographie de la Galerie 1 est accompagnée par une mise en lumière contrastée, qui tour à tour s’affirme dans une ambiance sombre et enveloppante puis se fait oublier pour ne plus laisser que les œuvres s’exprimer. » Olivia Davidson, chef de projet, Centre Pompidou-Metz
DEBOUT LES MORTS ! FEU !
Plan de la Galerie 1
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1917
Debout les morts !
Exotismes
Bien que l’année 1917, avec environ 150 000 morts, soit la moins meurtrière de la Grande Guerre, elle marque un basculement dans la représentation de la guerre : les artistes n’hésitent désormais plus à en montrer l’horreur. La mort devient un sujet récurrent, y compris dans sa dimension de massacre à grande échelle, avec ses cadavres et ses corps disloqués. Au silence et à l’anonymat des innombrables victimes s’opposent les funérailles en grande pompe de célébrités tels Rodin ou Degas. Pour conjurer la tuerie et continuer, malgré tout, à faire vibrer la fibre patriotique, les créateurs poursuivent leurs variations, parfois ironiques, autour de « Debout les morts ! » – appel à la résurrection des soldats tués au front, popularisé par Maurice Barrès dès 1915. En parallèle, croix et cimetières envahissent les œuvres de leur présence obsédante.
En 1917, la guerre sous-marine à outrance menée par les Allemands provoque l’entrée en guerre des États-Unis qui va faire basculer le conflit. Les artistes dépeignent ce terrain militaire particulier en s’attardant sur les équipements navals et le quotidien des marins. Mais la mer demeure également un lieu de tourisme, de villégiature, de découverte, un décor qui inspire aux artistes des compositions harmonieuses et décoratives qui contrastent avec les terribles réalités de cette année. Cette même ambivalence caractérise d’autres espaces : le désert abrite les nouveaux fronts de Palestine et de Mésopotamie tout en se faisant promesse d’exotisme ; la montagne voit se dérouler des conflits comme la bataille de Caporetto tout en restant synonyme de tourisme et d’activités sportives.
Russie. Retours aux sources
Feu ! Les développements technologiques de l’artillerie donnent naissance à la guerre moderne – une guerre massive, industrielle et désincarnée. Les combats sont désormais rythmés par les explosions. Des tranchées jusqu’au ciel, où les avions se font canonner, tout n’est que grondement, crépitement et éclatement – impression renforcée par le recours aux fusées éclairantes. Ces caractéristiques nouvelles déroutent les artistes. Certains, tel Félix Vallotton dans son Verdun, s’efforcent de les traduire dans un langage abstrait de lignes brisées et de faisceaux colorés. Contrepoint troublant à ces représentations, les décors de Giacomo Balla pour le ballet abstrait Feu d’artifice de Stravinsky reprennent cette esthétique fusante. Guerre et spectacle se font ainsi écho, non sans ambiguïté.
Les révolutions russes de février et d’octobre 1917 sont peu représentées cette année-là par les artistes – il faut attendre l’année suivante pour qu’une vague de célébrations s’empare des arts plastiques russes. Contrastant avec la presse et les affiches qui témoignent de l’embrasement révolutionnaire, la production artistique paraît, dans son ensemble, coupée des événements. Deux parcours, placés chacun sous le signe du bonheur conjugal, sont emblématiques de cette distance. Vassily Kandinsky célèbre ainsi son mariage avec Nina dans une série d’huiles sur toile figuratives consacrées à la datcha familiale d’Akhtyrka, où le couple passe l’été. Quant à Marc Chagall, il chante sa félicité avec Bella, épousée deux ans plus tôt, tout en témoignant de son souci du peuple juif, dans des peintures inspirées par le pittoresque de Vitebsk.
Ready-made
Pays-Bas – De Stijl
" La « Der des Der » fut un trauma humain et un désastre social d’une ampleur et d’une gravité sans précèdent. De nouvelles technologies militaires s’y développèrent, gaz de combat, aviation, tanks, sous-marins, photographie, cinéma et, surtout, cette guerre d’anéantissement n’a pas visé que les armées adverses, elle a victimisé les populations civiles, les villes et les villages. Alors que les Futuristes avaient chanté la militarisation à outrance, les Dadaïstes s’y opposèrent radicalement. Le mécanomorphisme de Picabia, les Ready Made de Duchamp, la poésie sonore de Ball furent autant d’actes de rébellion contre les consensus culturels et les nationalismes. Parallèlement, dans l’horreur sans nom des carnages et des combats corps à corps, est né un art du recyclage massivement pratiqué par les Poilus de tout bord et de toute origine, bricoleurs anonymes et inventifs, qui ont détourné les douilles ou éclats d’obus et autres engins meurtriers pour les métamorphoser en ustensiles pacifiques. Depuis leurs immondes tranchées inondées ou leurs ateliers de fortune, ils ont contribué, à leur manière, au triomphe discret mais incontestable de l’instinct de vie sur l’instinct de mort. "
Pays neutre, les Pays-Bas représentent un refuge particulièrement propice à la création. Le 16 juin 1917, libéré de ses obligations militaires, Theo van Doesburg fonde à Amsterdam le groupe De Stijl, avec Piet Mondrian, Bart van der Leck, Vilmos Huszár, Jacobus Johannes Pieter Oud et Georges Vantongerloo. Ils prônent un renouveau radical de l’art, qui doit supprimer toute contingence dans la représentation en recourant à l’abstraction et à la simplification. Ce langage universel et épuré doit innerver tous les domaines artistiques : peinture, architecture, sculpture et mobilier. Ces principes sont énoncés dans la revue De Stijl, créée par le groupe à Leyde en octobre, dont le premier numéro comprend l’article fondateur de Mondrian, « De Nieuwe Beelding in de schilderkunst » (« La Nouvelle Plastique dans la peinture »).
Jean-Jacques Lebel
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1917
Zurich – Dada
Évasions
Né de l’horreur du carnage et du dégoût des institutions et idéologies l’ayant engendré, Dada entend subvertir et détruire des valeurs sociales, morales et culturelles désormais caduques. Fondée en 1916 au Cabaret Voltaire, cette entreprise de corrosion généralisée connaît en 1917 un grand essor à Zurich, en Suisse, territoire neutre. En janvier, la galerie Corray accueille la première exposition Dada, mêlant des œuvres du groupe à des pièces cubistes et africaines. En mars, la galerie Dada lui succède, proposant expositions, conférences et soirées auxquelles participent Tristan Tzara, Marcel Janco, Hans Arp ou Hugo Ball. À Zurich toujours, le premier numéro de la revue Dada paraît en juillet sous la direction de Tzara, et comprend poèmes, textes théoriques et illustrations placés sous le signe de la dérision et de l’expérimentation.
En réaction ou en marge d’un monde où l’on s’entretue, certains artistes transforment leur création en lieu d’évasion et de refuge. Elle peut alors aussi bien se prêter à l’onirisme fantastique et inquiétant des paysages d’un Charles Burchfield qu’à la sombre description faite par les expressionnistes allemands des bordels permettant aux soldats d’oublier leur quotidien. Pour noyer leur ennui et leur cafard, les artistes, comme les soldats, recourent aussi volontiers aux opiacés ou à l’alcool, qui ne leur épargnent pas toujours la tentation du suicide, illustrée par Fortunato Depero. Parallèlement, des artistes comme Kazimir Malévitch poursuivent leur démarche radicale d’élévation cosmique, au-delà de l’objet et par-delà le monde, dans une quête créatrice spirituelle et métaphysique.
Ferveurs
Paris
Le sentiment religieux s’exacerbe avec la Grande Guerre : les soldats se confectionnent crucifix et amulettes protectrices et consolatrices à partir d’obus ; les aumôniers rythment la vie des tranchées avec leurs cérémonies. Si le registre religieux avait pu être convoqué, au début des hostilités, au service d’une rhétorique patriotique, en revanche, en 1917, la situation est bien différente : il permet désormais d’exprimer doutes et critiques à l’égard d’une guerre absurde et sanglante. Un artiste comme Max Beckmann s’attarde volontiers sur le couple formé par Adam et Ève pour stigmatiser une humanité pécheresse et meurtrière, tandis que l’iconographie christique connaît un véritable regain en tant qu’allégorie universelle du martyre et des souffrances des hommes.
Alors que la guerre s’enlise, que le froid et les restrictions sévissent, Paris se distingue plus que jamais en 1917 par son effervescence culturelle. En témoigne l’intérêt pour le cubisme : dénigré au début des hostilités comme « art boche », le cubisme est désormais associé à l’effort de guerre par le marchand Léonce Rosenberg qui multiplie les contrats au sein de sa galerie L’Effort moderne. Les débats font rage : Diego Rivera gifle Pierre Reverdy pour avoir affirmé dans la revue Nord-Sud l’incompatibilité du cubisme avec le genre du portrait ; les artistes soutenus par Rosenberg créent la polémique en refusant de qualifier de cubiste Les Mamelles de Tirésias, la pièce d’Apollinaire. Celui-ci, figure incontournable du Tout-Paris, entraîne dans son sillage des poètes qui expérimentent l’art des calligrammes.
Matisse En 1917, Henri Matisse a 47 ans. Trop âgé pour s’engager, il tente de pallier son sentiment d’impuissance, exacerbé par le départ de son fils Jean au front, en s’adonnant corps et âme à son art. Il sillonne la France, depuis Paris jusqu’à Nice en passant par Marseille, et multiplie les contacts avec ses aînés – il rencontre Monet à Giverny et Renoir à Cagnes – et des artistes non mobilisés ou en permission qu’il accueille chez lui – Gleizes, Gris, Lhote, Metzinger… Ces déplacements et ces rencontres s’accompagnent d’expérimentations formelles et d’oscillations stylistiques. Ainsi, si certaines œuvres de 1917 préfigurent l’hédonisme de la période niçoise, d’autres portent la marque de recherches plus expérimentales, comme Auguste Pellerin II, dont la facture semi-abstraite et stylisée fige le visage du collectionneur en masque.
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1917
GRANDE NEF « La guerre, qui n’est pas que destructrice, mais qui est aussi féconde, a déterminé des vocations » Clément-Janin, « Les Estampes et la guerre », Gazette des Beaux-Arts, Paris, octobre-décembre 1917 Organisée en forme de spirale, motif récurrent en 1917 qui figure aussi bien le tourbillon physique que le tourment intérieur, la seconde partie de l’exposition s’articule autour des liens qu’entretient la création avec la destruction et la reconstruction. La blessure affecte autant les âmes que les corps et les visages, les paysages ou l’architecture. La mort et la meurtrissure sont ainsi omniprésentes, et la question de la protection est centrale, allant du camouflage au masque, dont les différents avatars – militaires, mortuaires ou primitifs – rythment le parcours. Le travestissement, la modification de l’apparence sont également centraux dans le monde du théâtre, au front comme à l’arrière. Ils permettent de rejouer les inversions masculin / féminin qu’ont engendrées la guerre et les bouleversements qui secouent la société. La figure masquée d’Arlequin apparaît à plusieurs reprises jusqu’au rideau de scène monumental réalisé par Picasso pour le ballet Parade, point d’orgue de l’exposition.
La scénographie de la Grande Nef La scénographie de l'exposition a été conçue par Didier Blin, architecte muséographe. « Destruction. Reconstruction. La section de l’exposition présentée dans la Grande Nef explore l’analogie entre blessures de l’homme – physiques, psychiques – et meurtrissures du paysage, stigmates d’un conflit ravageur. Dès l’entrée, l’immersion du visiteur est totale dans une spirale aux courbes en apparence apaisantes. Dans un mouvement d’entraînement et d’accélération s’impose, rapidement, un continuum structuré et pluridisciplinaire favorisant visions simultanées et effets kaléidoscopiques.
PARADE
RUINES
La spirale est un motif majeur en 1917, au cœur de la réflexion scientifique sous l’impulsion des travaux de D’Arcy Thompson, et récurrent dans les expressions artistiques et plastiques de cette année. Dans la lignée de la scénographie de l’exposition « Hieronymus Bosch 1450-1516 » (Paul Robbrecht et Gracia Lebbink, Museum Boijmans Van Beuningen, 2001), des projets de Jacques Monory (MAC/VAL, 2005-2006) et d’Éric Mutel (Rencontres internationales de la photographie, Arles, 2007) pour n’en citer que quelques-uns, c’est une expérience émotionnelle que cette double spirale dynamique invite à partager, plongée dans un maeström évoquant inexorablement l’ardeur du conflit et l’enfer des tranchées.
PAYSAGES ARLEQUIN CORPS MEURTRIS
MASQUES
INVERSIONS
IE RT SO TRÉE EN
S E NS
DE L
A VI
PORTRAITS
SIT
E
MÉMOIRE IMMÉDIATE
ABSTRACTIONS RUSSES
CAMOUFLAGE
MONET
Parallèle manifeste et évocateur, la confusion des genres et le travestissement, trouble jeté entre masculin et féminin, sont ensuite associés au camouflage par le prisme de l’artifice et de la dissimulation. Point d’orgue de l’exposition, présentation majestueuse de la figure de l’Arlequin, le rideau de scène du ballet Parade se dresse, monumental, dans un dispositif scénique rappelant sobrement sa fonction au Théâtre du Châtelet en 1917. En contrepoint s’offre aux regards curieux un parcours fragmenté, à l’accès discret ; à l’immensité répondent exiguïté et dissimulation. Totale et immersive, cette mise en espace joue de l’évidence et de la duplicité. » Olivia Davidson, chef de projet, Centre Pompidou-Metz
Plan de la Grande Nef
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1917
Portraits
Théâtre aux armées
Cet ensemble de portraits et autoportraits dévoile les différents états intérieurs des créateurs et de leurs modèles. Il révèle aussi une large gamme de styles, de l’académisme le plus classique aux avant-gardes les plus radicales. La plupart des physionomies trahissent une souffrance psychique intense, parfois due aux événements. C’est en 1917 qu’est enfin reconnue l’origine psychique des traumatismes de guerre, dans une véritable frénésie de publications sur le sujet, qu’il s’agisse des Psychonévroses de guerre de Jean Lhermitte ou des Troubles mentaux de guerre de Jean Lépine. Ce basculement épistémologique bouleverse ainsi la prise en charge des névroses de guerre. Ces dernières contribuent également à faire évoluer le champ de la psychanalyse, à travers les réflexions que leur consacrent Freud, Jung ou Ferenczi.
Le masque, présent sur la scène militaire, évoque aussi le monde du théâtre. Pour distraire les poilus, le Théâtre aux Armées de la République sillonne le territoire au gré des offensives. Il propose aux soldats des pièces issues du répertoire classique, jouées par des comédiens professionnels sur des scènes ambulantes conçues par Georges Scott, également correspondant du journal L’Illustration. Parallèlement, les poilus mettent en scène leurs propres pièces, inspirées de leur quotidien et dans lesquelles ils se reconnaissent davantage, au sein de ce qu’on appelle alors le théâtre aux armées, un théâtre de l’improvisation, du bricolage et du recyclage. Différence notable, les rôles féminins y sont assurés par des hommes, dans une logique de travestissement qui participe à la confusion des rôles entre hommes et femmes engendrée par le conflit.
Corps meurtris
Les Mamelles de Tirésias
La Première Guerre mondiale exerce une violence sans précédent à l’encontre des corps des combattants, qui se retrouvent pulvérisés, disloqués, éclatés. Cette brutalité choque les artistes qui n’hésitent plus, à partir de 1917, à la dépeindre massivement. Éclopés, amputés et mutilés envahissent les représentations, qu’il s’agisse d’insister sur la barbarie de l’ennemi ou plus généralement de condamner les effets de la guerre. Réduit à des fragments et à des lignes brisées, le corps blessé engendre une esthétique du démembrement que vient souligner l’usage des prothèses. Le corps, privé de son intégrité, tente d’être réparé et devient en partie mécanisé. En parallèle, le cubisme et le futurisme produisent des formes simplifiées dans un mouvement de déconstruction de la figure et du corps.
Cristallisant l’inversion des genres, Les Mamelles de Tirésias, pièce de Guillaume Apollinaire, met en scène la féministe Thérèse, qui renonce à son rôle de mère au profit d’une carrière militaire à Zanzibar, en tant que général Tirésias. Son mari, délaissé, devient capable d’engendrer seul 49 051 enfants par jour. Alors que le pays est marqué par les manifestations des « midinettes », la pièce d’Apollinaire exhorte ainsi à la fécondité, indispensable à la victoire de la France. Soutenu par SIC, la revue de Pierre Albert-Birot, ce « drame surréaliste », montré pour la première fois le 24 juin 1917 à Paris, déploie une esthétique antinaturaliste héritée à la fois du cirque et du théâtre de Guignol, que soulignent les décors et les costumes créés par Serge Férat – non sans évoquer ceux de Picasso pour Parade.
Masques
Arlequin
Le masque à gaz, symbole de protection contre des technologies meurtrières, connaît un perfectionnement en 1917 avec l’avènement de l’ARS 17. Omniprésent sur le champ de bataille, il produit une inquiétante étrangeté que traduisent de nombreuses représentations graphiques et photographiques. De manière générale, la figure est mise à mal par le conflit, disparaissant sous les masques de tankistes ou ravagée par des éclats d’obus, jusqu’à devenir l’une de ces « gueules cassées » qui nécessitent des moulages médicaux pour être réparées ou, à défaut, camouflées. Ces visages dévastés ne sont pas sans évoquer la déstructuration des traits qui s’opère dans les masques Dada, eux-mêmes inspirés par la sculpture africaine, très en vogue en 1917. Enfin, le motif de la tête bandée et dépourvue de traits envahit la production artistique de cette année.
Figure masquée, Arlequin incarne l’espièglerie, la ruse et l’inconvenance. S’il n’a cessé d’inspirer les artistes, son agilité, sa propension à la métamorphose ainsi que son costume composé de carreaux bariolés le prédisposent tout naturellement à retenir l’attention des cubistes. En 1917, alors que Guillaume Apollinaire revendique les racines latines du cubisme dans son article « L’Origine du cubisme », Juan Gris, artiste fondateur du mouvement, s’empare du motif de l’arlequin pour poursuivre ses expérimentations de 1916, réintroduisant la figure humaine au sein de compositions cubistes. De même, Picasso, lui-même véritable Arlequin de l’art, décline ce personnage dans des travaux d’une grande diversité stylistique, caractéristique de sa production de 1917, allant du cubisme au néoclassicisme.
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1917
Parade
comme la cathédrale de Reims. L’accusation est d’autant plus palpable dans les clichés autochromes qui, à l’occasion de séances de projections, restituent en couleur les dégâts subis. En réaction aux destructions, certains architectes, comme Pol Abraham ou André Ventre, envisagent la reconstruction future du pays.
Le 18 mai 1917, le public du Théâtre du Châtelet assiste, médusé et perplexe, à la première du ballet Parade, à l’occasion d’un gala de charité. Fruit d’une collaboration à Rome entre Jean Cocteau, qui en écrit le texte, Érik Satie, qui en compose la partition, Léonide Massine, qui en assure la chorégraphie, et Pablo Picasso, qui en réalise les décors et les costumes, Parade doit insuffler, selon les termes de Guillaume Apollinaire, un esprit nouveau, « une sorte de sur-réalisme ». Procédant d’une mise en abyme, le sujet est relativement simple : face à un public nonchalant, aux portes d’un théâtre, différents personnages effectuent des numéros de music-hall. Le ballet surprend par ses contrastes stylistiques audacieux et par sa musique expérimentale, qui valent aux auteurs d’être taxés de « boches » et d’ « embusqués » par leurs détracteurs.
Mémoire immédiate Le caractère inédit du conflit engendre rapidement la nécessité de le documenter. Peintres et photographes sont officiellement missionnés au front pour l’enregistrer ; des expositions sont consacrées à la guerre dans les deux camps ; des guides de visite des champs de bataille apparaissent en 1917. Il s’agit aussi de s’adresser à la postérité, comme en témoignent de nombreuses initiatives publiques et privées en 1917 : création, à partir de la collection des époux Leblanc, de la BibliothèqueMusée de la Guerre (actuelle BDIC), de l’Imperial War Museum à Londres, de l’Australian War Records Section et du Canadian War Memorials Fund, aménagement d’une salle sur la guerre au Musée de l’Armée à Paris, première réunion du Comité des collections de guerre (Ausschuss der Kriegssammlungen) allemand à Leipzig.
Camouflage Le théâtre des opérations militaires nécessite lui aussi, littéralement, d’être décoré : il convient de masquer les équipements, de tromper l’ennemi avec de faux accessoires. C’est ainsi que le Nancéien Louis Guingot s’inspire de son expérience de décorateur pour mettre au point la première veste léopard. Peinture à vocation paradoxale d’invisibilité, dont l’invention est attribuée à Lucien-Victor Guirand de Scevola, le camouflage permet aux artistes de mettre leur talent au service de la patrie. Des peintres reconnus comme Forain, Mare, Dunoyer de Segonzac rejoignent ainsi la Section de Camouflage. Une parenté s’opère entre le brouillage formel recherché et la déconstruction propre au cubisme, que rend d’autant plus manifeste l’avènement, en 1917, du Dazzle Painting, camouflage naval, créé par l’artiste britannique Norman Wilkinson.
Monet Depuis le début de la guerre, éprouvé par plusieurs deuils, Claude Monet refuse de quitter Giverny. Il y poursuit inlassablement son cycle des Nymphéas, malgré son âge, sa cataracte grandissante et les risques de bombardements. Avec ces toiles, il entend proposer plus que jamais un refuge contre l’agitation, une résistance à la morbidité et à la folie meurtrière. S’absorbant dans son travail, bien qu’assailli en permanence de doutes, il affirme l’invincibilité de l’art et combat littéralement avec sa peinture, participant en 1917 à des manifestations de bienfaisance et acceptant l’idée, finalement non réalisée, de peindre la cathédrale de Reims bombardée. Sa contribution à l’effort patriotique sera nettement affirmée lorsqu’il décidera d’offrir une partie des Nymphéas à l’État français.
Paysages Le décor dans lequel se déploie le conflit s’apparente à un univers de désolation et de meurtrissures. La violence qui s’exerce contre le corps humain ravage en effet tout autant le paysage, rendu totalement méconnaissable. Les étendues dévastées, trouées de cratères d’obus et peuplées d’arbres calcinés, impressionnent les artistes qui s’en emparent pour dresser un tableau éloquent de la violence guerrière. Les compositions apocalyptiques et souvent fantastiques s’attardent sur tout ce qui porte atteinte à l’intégrité de la nature : les barbelés qui agressent, malmènent et incisent le territoire ; les tranchées qui entaillent, blessent et déforment le sol en boyaux infernaux.
Abstractions russes Résolument tournée vers l’élaboration d’un monde pictural nouveau, composé de formes géométriques, de couleurs éclatantes et lumineuses, l’abstraction connaît en Russie une vitalité exceptionnelle en 1917. Affirmation de la toute-puissance du pouvoir créateur, le suprématisme de Kazimir Malévitch est décliné par Olga Rozanova en un rayonnement coloré frôlant l’immatériel. Autre « amazone de l’art », Lioubov Popova superpose les plans de couleurs de manière à obtenir contrastes et dynamisme, compositions qu’elle baptise « architectoniques picturales ». Pleines d’enthousiasme et d’espérance, ces œuvres entendent construire un futur placé sous le signe de l’expérimentation créatrice, comme l’annonce de façon programmatique 1918, recueil de poésies et de collages d’Alexeï Kroutchonykh, de Kirill Zdanévitch et de Vassili Kamienski.
Esthétique de la ruine, utopie de la reconstruction Aux dévastations du paysage répondent les destructions architecturales. Les bombardements transforment les villages et les bâtiments en monceaux de ruines et en restes fragiles, que les peintres comme les photographes de la Section photographique de l’armée ne se lassent pas d’enregistrer, dans des images empreintes de pathétisme et de mélancolie. Chaque ruine fonctionne comme une preuve sans appel de la barbarie ennemie, qui n’hésite pas à sacrifier des trésors patrimoniaux
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3. LE RIDEAU DE SCÈNE DU BALLET PARADE UN PRÊT EXCEPTIONNEL DU CENTRE POMPIDOU, MUSÉE NATIONAL D’ART MODERNE Le rideau de scène a été réalisé par Picasso pour le ballet Parade à la demande de Serge de Diaghilev, directeur des Ballets russes. Sur un thème de Jean Cocteau et une musique d’Erik Satie, ce ballet est l’un des premiers exemples de collaboration entre des artistes d’avant-garde de différents domaines. Comme l’affirme Guillaume Apollinaire dans la préface du programme, on découvre « pour la première fois cette alliance de la peinture et de la danse, de la plastique et de la mimique qui est le signe de l’avènement d’un art plus complet ». Créé au Théâtre du Châtelet à Paris le 18 mai 1917, Parade a provoqué un scandale important et des débats essentiels au sein des avant-gardes parisiennes.
Le rideau de scène du ballet Parade, toile libre monumentale de 10,50 mètres sur 16,40 mètres soit plus de 170 m2, d'un poids de 45 kilos, constitue la plus grande œuvre de Picasso connue dans le monde. Il n’a pas été montré en France depuis plus de 20 ans. Son iconographie mystérieuse, son caractère autobiographique, renforcé par des références à la Période Rose du peintre, en font l'un des chefs-d'œuvre des collections du Centre Pompidou, Musée national d’art moderne. Le spectacle ayant pour thème la vie de saltimbanques qui tentent désespérément de devenir célèbres, Pablo Picasso conçoit un rideau qui dépeint des scènes poétiques où figurent un Arlequin, des forains, une fée…
Pablo Picasso, Rideau de scène du ballet Parade, 1917 Peinture à la colle sur toile, 1050 × 1640 cm. Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris. Achat, 1955. © Succession Picasso, 2012 © Photo : Christian Bahier et Philippe Migeat - Centre Pompidou, MNAM-CCI /Dist. RMN-GP
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4. Liste INDICATIVE Des artistes exposés Pierre ABADIE, Pol ABRAHAM, Pierre ALBERT-BIROT, Lou ALBERT-LASARD, Fernand ALLARD–L’OLIVIER, C. ALTAM, Guillaume APOLLINAIRE, Alexandre ARCHIPENKO, Guy ARNOUX, Jean ARP (Hans ARP, dit), Charles ATAMIAN, Ivan AXIONOV, Gaston BALANDE, Iras Roberto BALDESSARI, Giacomo BALLA, Adrien BARRÈRE, Alfred BASTIEN, W. BATTERMANN, Charles BAUDELAIRE, Rudolf BAUER, Max BECKMANN, Demian BEDNY, Vanessa BELL, Mary BENNER, Lucien BERNHARDT, Thomas BERT, F. BESNIERS. PINX, Pierre BLANC, Maria BLANCHARD, Max BLONDAT, Gus BOFA, Muirhead (Sir) BONE, Pierre BONNARD, Joseph-Félix BOUCHOR, Antoine BOURDELLE, David BOURLIOUK, Bernard BOUTET DE MONVEL, Constantin BRANCUSI, André BRETON, L.G. BRODATY, Romaine BROOKS, Antonio BRUNO, Georges Léon BRUYER, Alfred BRYAN, Gabrielle BUFFET, Karl Karlovitch BULLA, Charles BURCHFIELD, CAMI, Henri CAMUS, Maurice CANNEEL, CAPIELLO, Paul CASTELNAU, Georges Dorival GEORGES CAPON, Blaise CENDRARS, CERRINA, Marc CHAGALL, Charlie CHAPLIN, Louis CHARLOT, Pierre CHOUMOFF, Howard CHRISTY, Paul CLAUDEL, Gilbert CLAVEL, CLESS, Jean COCTEAU, Haskell COFFIN, Paul-Émile COLIN, COLLOMB, Richard COOPER, JeanGeorges CORNÉLIUS, Henri CRASTE, Henri DANGON, Stuart DAVIS, Karel DE BONDT, Giorgio DE CHIRICO, DE COSTER, AnnePierre DE KAT, DELAPRE, Sonia DELAUNAY, Félix DEL MARLE, Maurice DENIS, Fortunato DEPERO, Paul DERMEE, Victor-Lucien DESCAVES, Albert DETHOMAS, Alfred et Léo DEVRED, Otto DIX, Emil der Jungere DÖPLER, Georges DORIVAL, G. DOUANNE, Marcel DUCHAMP, Raymond DUCHAMPVILLON, André DUCUING, Leonardo DUDREVILLE, Charles Georges DUFRESNE, Raoul DUFY, Robert DUMONT-DUPARC, Georges DUHAMEL, Fritz Helmut EHMCKE, Albin EGGER-LIENZ, Jacob EPSTEIN, Fritz ERLER, Max ERNST, Pierre FALKE, Henri FARRÉ, Léon FAURET, Serge FÉRAT, Louis FEUILLADE, James Montgomery FLAGG, Jean-Louis FORAIN, Tsugouharu FOUJITA, Charles Dominique FOUQUERAY, André FRAYE, Raphaël FREIDA, Otto FREUNDLICH, André GALLAND, Jean GALTIER-BOISSIÈRE, Abel GANCE, Tony GARNIER, Pierre
GATIER, Julio GAUDIER-BRZESKA (Henri GAUDIER, dit), Mark GERTLER, Augusto GIACOMETTI, Pietro GIGLI, Eric GILL, Charles GIQUET DE PREISSAC, Albert GLEIZES, Julio GONZÁLEZ, Oskar GRAFF, Juan GRIS, Marcel GROMAIRE, J. L. GROSSE, George GROSZ, Paul GUILLAUME, Olaf GULBRANSSON, Jacques HABLÜTZEL, Margaret HALL, Marsden HARTLEY, Childe HASSAM, Raoul HAUSMANN, Erich HECKEL, Auguste-Claude HEILIGENSTEIN, Keith HENDERSON, Auguste HERBIN, M. HERINGFELD, HERMANN-PAUL, George HERRIMAN, Alfred-Jules HERVÉ-MATHÉ, Ferdinand HODLER,Gaston HOFFMANN, Gustav HOLST, Karl HORN, Charles HOUBEN, Jean HUGO, Vicente HUIDOBRO, Vilmos HUSZAR, August William HUTAF, Paul IRIBE, Johannes ITTEN, Max JACOB, Marcel JANCO, Alexej von JAWLENSKY, Marcel JEANJEAN, Lucien JONAS, Paul JOUVE, Pierre-Jean JOUVE, Joseph Maria JUNOY, Ary JUSTMAN, Vassili KAMENSKI, Vassily KANDINSKY, Eric Henri KENNINGTON, André KERTÉSZ , Ernst Ludwig KIRCHNER, Paul KLEE, Ivan KLIOUNE, Jun’Ichi KŌCHI, Magda KOLL, Käthe KOLLWITZ, N. KOTOV, Alexei Boris KOUSTODIEV, KROUTCHENYKH, Jean-Émile LABOUREUR, LACHMAN, Paul LANDOWSKI, Maurice LANGASKENS, Henri LANOS, Charles LANSIAUX, Mikhaïl LARIONOV, Jacques Henri LARTIGUE, Henri LAURENS, Karel LAUWERS, John (Sir) LAVERY, LE CORBUSIER (Charles Edouard-Jeanneret, dit), Jean-Louis LEFORT, Fernand LÉGER, Otto LEHMANN, Wilhelm LEHMBRUCK, LEHMEYER, Aristarkh LENTOULOV, André LHOTE, Jacques LIPCHITZ, Robert LOTIRON, Karl Max Reinhard Ludwig LOTZE, Maximilien LUCE, Stanton MACDONALD-WRIGHT, Pierre MAC-ORLAN, Paul MADELINE, Alberto MAGNELLI, Gaspard MAILLOL, Kasimir MALÉVITCH, Robert MALLET-STEVENS, MAN RAY, Paul MANSARD, Henri MANUEL, André MARE, F. T. MARINETTI, Albert MARQUET, Frans MASEREEL, Charles MARTIN, Henri MATISSE, Janos MATTIS TEUTSCH, Achille Luciano MAUZAN James McBEY, Mathurin MÉHEUT, Ludwig MEIDNER, Willi MENZ Jean METZINGER, V. METZSCH, Marc-Henri MEUNIER, MEURISSE, Joan MIRÓ, Amedeo MODIGLIANI, Laszlo MOHOLY-NAGY, Johannes MOHLZAN, Arthur S. MOLE, Claude MONET, Henri MONTASSIER, Pietro
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MORANDO, Paul MORCHAIN, Georg MUCHE, Felix MULLER, Reinhold NÄGELE, NAM, John NASH, Paul NASH, Oskar NERLINGER, Maurice NEUMONT, Christopher NEVINSON, Jais NIELSEN, Emil NOLDE, Major Henry NORMAN (Sir), John NORTON, Eugène OGÉ, Ferdinand OLIVIER,ORIGINAL DIXIE JAZZ BAND, William ORPEN, Louis ORR, Jules PASCIN, Max PECHSTEIN, Auguste PERRET, Antoine PEVSNER, Francis PICABIA, Charles Alexandre PICART LE DOUX, Pablo PICASSO, Joseph-Porphyre PINCHON, Pierre Jean POITEVIN, Lyubov POPOVA, Francisque POULBOT, Francis POULENC, Victor PROUVÉ, Marcel PROUST, Greta PROZOR, Paul QUESTE, Charlotte QUILLET SAINT ANGE, Benjamin RABIER, Pierre RATOUIS, Pierre-Auguste RENOIR, Hans RICHTER, Albert ROBIDAS, Auguste RODIN, Alexandre RODTCHENKO, Maurice ROLLAND, Georges ROUAULT, Olga ROZANOVA, Ludwig RUBINER, SADAG, John Singer SARGENT, SAUNIER, Erik SATIE, Morton Livingston SCHAMBERG, Egon SCHIELE, Oskar SCHLEMMER, Jules SCHMALZIGAUG, Karl SCHMIDT-ROTTULFF, Leo SCHNUG, Georges SCOTT, SEM (Goursat, dit), Emilio SETTIMELLI, Gino Joseph SCHWEISTHAL, SEVERINI, Charles SHEELER, Philippe SOUPAULT, Franz STASSEN, SPRITZ, Iacob STEINBERG, Théophile-Alexandre STEINLEN, Henri-Louis STEPHANY, Alfred STIEGLITZ, Paul STRAND, Fritz STUCKENBERG, SUJAN PAL, Léopold SURVAGE, Tancrède SYNAVE, Sophie TAEUBER-ARP, THALAMAC, Emma THIOLLIER, James THIRIAR, Charles de THOLEY, John D. THOMAS, Henry TONKS, Jean-Baptiste TOURNASSOUD, Abel TRUCHET, Tristan TZARA, Henri VALENSI, Paul VALÉRY, Félix VALLOTTON, Bart VAN DER LECK, Theo VAN DOESBURG, Kees VAN DONGEN, Achille VAN SASSENBROUCK, Georges VANTONGERLOO, André VENTRE, Alexandre VESNINE, Jacques VILLON (Gaston Duchamp, dit), Ambroise VOLLARD, Ernst VOLLBEHR, Elsa VON FREYTAGLORINGHOVEN, Édouard VUILLARD, William WAUER, Henry de WAROQUIER, Clarence H.WHITE, Orrin WIGHTMAN, Harold Sandys WILLIAMSON, Gerda WEGENER, Beatrice WOOD, A.W. WURTHMANN, Georges YAKOULOV, Ossip ZADKINE, Ilia ZDANÉVITCH, Kirill ZDANÉVITCH, Al. ZELENSKI, JulesÉmile ZINGG, Henri-Achille ZO…
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5. Le Catalogue Le catalogue 1917 constitue le sixième catalogue d’exposition publié par le Centre Pompidou-Metz.
Le dernier volet se présente comme un journal de l’année, jouant avec la forme de l’almanach alors en vogue. Il est introduit par deux courts essais sur la lecture de l’image.
Sur près de 600 pages et avec 1070 illustrations, le catalogue propose une approche du sujet complémentaire de celle développée dans l’exposition. Tandis que le parcours de celle-ci est entièrement thématisé, les trois parties du catalogue déclinent successivement une série d’essais généraux, un dictionnaire et un journal de l’année.
Chaque jour se compose d’une éphéméride, d’une chronologie (militaire, diplomatique, politique, culturelle…), et est illustré de documents rendus publics en 1917 (affiches, journaux…). La couverture du catalogue, et de manière générale l’identité visuelle de l’exposition 1917, sont inspirées du motif du bateau camouflé Texas, cargo réquisitionné lors de la Première Guerre mondiale.
Dans un premier temps, trois essais, rédigés par des historiens et historiens de l’art, apportent des éclairages généraux sur l’année 1917. Le deuxième volet de l’ouvrage est pensé comme un dictionnaire de l’année 1917, avec environ 225 notices courtes, thématiques ou biographiques, consacrées aux hommes, événements, lieux, disciplines, problématiques culturelles, artistiques ou quotidiennes qui ont « fait » cette année 1917. Cette partie est illustrée d’une grande partie des œuvres et documents présentés dans l’exposition.
Le Catalogue Direction d’ouvrage Claire Garnier Laurent Le Bon Édition Camille Aguignier Claire Bonnevie Clementine de La Feronnière Coordination et recherches pour l’almanach Carole Benaiteau, avec le concours d’Ada Ackerman Conception graphique et mise en pages P&J, Laurent Pinon et Aurore Jannin, assistés de Betty Deléon Relecture Laurence Peydro Traductions Ada Ackerman {russe} Sonia Goldblum {allemand} Marc Phéline {anglais} Renaud Temperini {italien} Fabrication Dominique Oukkal éditions du Centre Pompidou-Metz, Metz, 2012 ISBN : 978-2-35983-019-4 Dépôt légal : mai 2012 Photogravure : IGS-CP, L’Isle d’Espagnac Imprimé au Luxembourg Prix de vente : 49,90 €
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Contributeurs du Catalogue essais et notiCes Ada Ackerman, chercheur au CNRS Damarice Amao, doctorante en histoire de l’art à l’université de Paris-IV Sorbonne Caroline Apostolopoulos, responsable des collections photographiques, Bibliothèque de documentation internationale contemporaine Mathias Auclair, conservateur en chef, Bibliothèque-Musée de l’Opéra (BnF) Damien Baldin, professeur agrégé d’histoire, doctorant à l’EHESS, enseignant à l’EHESS et au lycée Joliot-Curie de Nanterre Aldo Battaglia, archiviste-paléographe, Bibliothèque de documentation internationale contemporaine Thomas Bauer, professeur à l’université de Limoges Nicolas Beaupré, professeur à l’université ClermontFerrand-II Blaise-Pascal Annette Becker, professeur des Universités, université de Paris-Ouest Nanterre-La Défense ; membre de l’Institut universitaire de France Carole Benaiteau, diplômée de Sciences Po Paris, chargée de recherches indépendante Jean-Pierre Bertrand, professeur à l’université de Liège, Belgique Laurence Bertrand Dorléac, historienne de l’art Bernard Bèzes, chef de la cartothèque IGN Yaëlle Biro, assistante de conservation, département des Arts africains, d’Océanie et des Amériques, Metropolitan Museum of Art, New York Jay Bochner, professeur à l’université de Montréal, Canada Frédéric Bosser, rédacteur en chef, [dBD]Magazine Antoine Boulant, lieutenant-colonel, docteur en histoire (université de Paris-I Panthéon Sorbonne), Service historique de la Défense Patrick Boureille, professeur certifié, docteur en histoire (université de Paris-IV Sorbonne), Service historique de la Défense Marine Branland, doctorante en histoire de l’art à l’université de Paris-Ouest Nanterre-La Défense Christian Briend, conservateur en chef au Cabinet d’art graphique, Musée national d’art moderne, Centre Pompidou Laure de Buzon-Vallet, attachée de conservation honoraire au Cabinet de la photographie, Musée national d’art moderne, Centre Pompidou Laurence Campa, maître de conférences à l’université de Paris-Est Créteil ; membre du comité scientifique du Centre de recherches de l’Historial de la Grande Guerre de Péronne
Agnès Chablat-Beylot, conservateur en chef du patrimoine, chef du département de l’Armée de l’Air, Service historique de la Défense Violaine Challéat-Fonck, conservateur, chef du pôle Archives, Établissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense Emma Chambers, conservateur, Modern British Art, Tate Britain Laurent Charbonneau, assistant de conservation, département contemporain, musée de l’Armée Landry Charrier, agrégé et docteur en Études germaniques (Nancy/Dusseldorf), maître de conférences à l’université Clermont-Ferrand-II Blaise-Pascal Yves Chevrefils Desbiolles, responsable des fonds artistiques, IMEC-Abbaye d’Ardenne François Cochet, professeur d’histoire contemporaine à l’université de Lorraine Jean-Louis Cohen, architecte, historien et professeur à l’Institute of Fine Art de New York University, États-Unis Gérard Conio, professeur émérite à l’université de Lorraine Maryse Cordesse, présidente de l’association des Amis de Jacques Henri Lartigue Cécile Coutin, docteur en histoire de l’art, conservateur en chef, département des Arts du spectacle, BnF Philippe Dagen, professeur d’hitoire de l’art contemporain à l’université de Paris-I Panthéon-Sorbonne Macha Daniel, attachée de conservation au Cabinet d’art graphique, Musée national d’art moderne, Centre Pompidou Cécile Debray, conservateur au département des collections modernes, Musée national d’art moderne, Centre Pompidou Julia Drost, directrice de recherche, Centre allemand d’histoire de l’art, Paris Aurélie Ducol Édouard Ebel, lieutenant-colonel, docteur en histoire (université de Strasbourg-II), Service historique de la Défense Sergei Efimov, musée historique et militaire de l’Artillerie, du Génie et des Transmissions, Saint-Pétersbourg Natalia Efimova, musée historique et militaire de l’Artillerie, du Génie et des Transmissions, Saint-Pétersbourg Isabelle Ewig, maître de conférences à l’université de Paris-IV Sorbonne Jean-Jacques Ferrandis, président de la Société française d’Histoire de la médecine Daniela Fonti, professeur d’histoire de l’art contemporain à l’université Sapienza, Rome Nastasia Gallian, élève de l’École normale supérieure de la rue d’Ulm Claire Garnier, commissaire de l’exposition « 1917 »
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Jordan Gaspin, chargé d’études documentaires, département contemporain, musée de l’Armée Laurent Gervereau, philosophe et cinéaste, président de l’Institut des Images Benjamin Gilles, conservateur responsable du département des Périodiques, Bibliothèque de documentation internationale contemporaine Sophie Goetzmann, doctorante à l’université de Paris-IV Sorbonne, chargée de recherche au Centre allemand d’histoire de l’art, Paris Philippe Gorczynski, historien et président de l’Association du tank de Flesquières Séverine Gossart, doctorante en histoire de l’art à l’université de Paris-I Panthéon-Sorbonne, boursière au Centre allemand d’histoire de l’art, Paris Magali Gouiran, conservateur responsable des collections d’affiches, Bibliothèque de documentation internationale contemporaine Michel Goya, colonel, directeur d’études à l’Institut de recherche stratégique de l’École militaire (IRSEM) Laurence Graffin-Vène, réalisatrice de documentaires, écrivain et galeriste Édouard Graham Jean-Noël Grandhomme, maître de conférences (HdR) à l’université de Strasbourg, membre du comité scientifique du Mémorial de Verdun Christophe Gué, lieutenant-colonel, doctorant en histoire à l’université de Lorraine, Service historique de la Défense Dominique Guillemin, professeur certifié, doctorant en histoire à l’université de Paris-I Panthéon-Sorbonne, Service historique de la Défense Philippe Gumplowicz, professeur de musicologie à l’université d’Évry Val d’Essonne Benoît Haberbusch, capitaine, docteur en histoire (université de Paris-IV Sorbonne), Service historique de la Défense Françoise Heilbrun, conservateur en chef honoraire, musée d’Orsay Michèle Hornn, chargée d’études documentaires, musée de l’Orangerie Étienne-Alain Hubert, maître de conférences à l’université de Paris-IV Sorbonne Serge Hureau, metteur en scène et directeur du Hall de la Chanson, Centre national du patrimoine de la chanson Oxana Ignatenko-Desanlis, historienne de l’art Godehard Janzing, directeur adjoint, Centre allemand d’histoire de l’art, Paris Michel Jareš Ephraïm Jouy, directeur du musée de l’Hôtel-Dieu, Mantes-la-Jolie Béatrice Joyeux-Prunel, maître de conférences à l’École normale supérieure, directrice d’Artlas
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Nadia Kabbach, doctorante à l’université de Paris-I Panthéon-Sorbonne Christina Kott, maître de conférences à l’université de Paris-II Panthéon-Assas, historienne associée à l’Institut d’histoire du temps présent (IHTP) Gilles Krugler, capitaine, doctorant en histoire à l’université de Paris-IV Sorbonne, Service historique de la Défense Ronan L’Héréec, aspirant, master en histoire, Service historique de la Défense François Lagrange, chef de la division de la recherche historique et de l’action pédagogique, musée de l’Armée Jean-Claude Laparra, général, docteur en histoire (université de Paris-I Panthéon-Sorbonne) Laurent Le Bon, directeur du Centre Pompidou-Metz, commissaire de l’exposition « 1917 » Jean-Yves Le Naour, docteur en histoire, spécialiste de la Première Guerre mondiale, scénariste et auteur de documentaires Sylvie Le Ray-Burimi, conservateur en chef, département des Peintures et Sculptures, Cabinet des dessins, des estampes et de la photographie/ bibliothèque, musée de l’Armée Brigitte Leal, directrice adjointe, Musée national d’art moderne, Centre Pompidou Jean-Jacques Lebel, plasticien Armance Léger-Franceschi, étudiante à l’École normale supérieure de la rue d’Ulm Sylvie Leluc, conservateur, département Artillerie, musée de l’Armée Aurélien Lemonier, conservateur, service Architecture, Musée national d’art moderne, Centre Pompidou Anne Lemonnier, attachée de conservation au Cabinet d’art graphique, Musée national d’art moderne, Centre Pompidou Mark Levitch, chercheur et écrivain, National Gallery of Art, Washington DC Sarah Ligner, élève conservatrice du patrimoine, promotion 2012 Michel Litalien, directeur, réseau des musées des Forces canadiennes, direction de l’Histoire et du patrimoine, ministère de la Défense nationale du Canada Laurent Lymes, capitaine, doctorant en histoire à l’université de Paris-IV Sorbonne, Service historique de la Défense Alain Marzona, attaché d’administration, master en histoire, Service historique de la Défense Stéphanie Molins Anne Monier, étudiante à l’École normale supérieure de la rue d’Ulm Camille Morando, docteur en histoire de l’art, documentaliste principale au Musée national d’art moderne, Centre Pompidou Cécile Mouillard, doctorante en histoire de l’art à l’université de Paris-IV Sorbonne. Projet soutenu par l’attribution d’une allocation doctorale Région Île-de-France
Philippe Nivet, directeur de l’UFR d’histoire et de géographie de l’université de Picardie Jules-Verne Sylvie Patry, conservateur en chef, musée d’Orsay Anthony Petiteau, chargé d’études documentaires, département des Peintures et Sculptures, Cabinet des dessins, des estampes et de la photographie/ bibliothèque, musée de l’Armée Béatrice Picon-Vallin, directrice de recherche CNRS/Arias Manon Pignot, maître de conférences en histoire contemporaine à l’université de Picardie Jules-Verne (Centre d’histoire des sociétés, des sciences et des conflits) Juliette Pollet, élève conservatrice du patrimoine, promotion Germaine Tillion Christophe Pommier, chargé d’études documentaires, département Artillerie, musée de l’Armée Martine Poulain, conservatrice générale des bibliothèques, directrice de la bibliothèque de l’Institut national d’histoire de l’art, collections Jacques Doucet Laure Poupard, doctorante à l’université de Paris-IV Sorbonne Émilie Prud’hom Emmanuel Ranvoisy, conservateuradjoint, département Contemporain, musée de l’Armée Peter Read, professeur à l’université du Kent, Canterbury, Royaume-Uni Xavier Rey, conservateur, musée d’Orsay Jean-Louis Riccioli, conservateur en chef, musée de l’Empéri Charles Ridel, historien Matthieu Rivallin, chargé de collection, Médiathèque de l’architecture et du patrimoine Yves-Marie Rocher, lieutenant, doctorant en histoire à l’université de Paris-IV Sorbonne, Service historique de la Défense Nicholas J. Saunders, professeur d’archéologie et d’anthropologie, Université de Bristol, Royaume-Uni Max Schiavon, lieutenant-colonel, docteur en histoire (université de Lorraine), Service historique de la Défense William Schuman, conseiller municipal délégué au rayonnement artistique dans les quartiers, Ville de Metz Alexandre Sheldon-Duplaix, diplômé de Sciences-Po Paris, doctorant en histoire à l’université de Paris-I Panthéon-Sorbonne, Service historique de la Défense Richard Slocombe, conservateur en chef, Art Department, Imperial War Museum Ulrike Smalley, conservateur, Art Department, Imperial War Museum Sandrine Smets, chef du service scientifique II – De 1914 à nos jours, attachée Première Guerre mondiale, musée royal de l’armée, Belgique Alexandre Sumpf, maître de conférences en histoire contemporaine à l’université de Strasbourg
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Xavier Tabbagh, capitaine, conservateur, musée du Service de santé des armées, Paris Michèle Touret, professeur émérite à l’université de Rennes-II, historienne de la littérature Carine Trevisan, maître de conférences à l’université de Paris-VII Diderot Thomas Vaisset, agrégé de l’Université, doctorant en histoire à l’université de Paris-Ouest Nanterre-La Défense, Service historique de la Défense Florence Valdes-Forain Olivier Van den Bossche Philippe Vatin Laurent Véray, professeur à l’université de Paris-III SorbonneNouvelle Jean-Pierre Verney, conseiller historique au musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux Philippe Vial, agrégé de l’Université, docteur en histoire (université de Paris-I Panthéon Sorbonne), Service historique de la Défense Pierre Vidal, directeur, Bibliothèque-Musée de l’Opéra (BnF) Dominique Viéville, conservateur général du patrimoine Jean-Claude Vigato, architecte et chercheur Marie-Catherine Villatoux, professeur certifié, docteur en histoire (université de Paris-I Panthéon-Sorbonne), Service historique de la Défense Patrice Warin, historien de l’art et collectionneur Nicolas Werth, directeur de recherche au CNRS, Institut d’histoire du temps présent (IHTP) Annabelle Winograd, historienne du théâtre, écrivain et metteur en scène Jay Winter, Charles J. Stille Professor of History, Yale University, États-Unis Frédéric Worms, directeur du Centre international d’étude de la philosophie française contemporaine, professeur d’histoire de la philosophie moderne et contemporaine à l’université de Lille-III.
almanaCh Coordination et recherches : Carole Benaiteau avec le concours de Ada Ackerman Assistées de : Zoya Katashinskaya, Armance Léger-Franceschi, Sarah Ligner, Anne Monier, Jérôme Schweitzer Chronologie de la musique : Aurélie Ducol Chronologie militaire et diplomatique : Service historique de la Défense Commentaires des visuels : Hélène Guillot, capitaine, doctorante en histoire à l’université de Paris-I Panthéon-Sorbonne, Service historique de la Défense
1917
6. La programmation culturelle autour de l’exposition 6 JUIN
Dans le prolongement de ses expositions, le Centre Pompidou-Metz propose une programmation artistique pluridisciplinaire dans différents espaces : Auditorium Wendel, Studio, Forum et jardins. Le décloisonnement des espaces et des contenus permet ainsi une forme inédite d’échange entre les expositions et le spectacle vivant. Fonctionnant selon un principe de saison, les rendez-vous sont pensés autour des expositions afin d’en développer le thème à travers d’autres champs de la création : spectacle vivant, musique, conférences, cinéma…
19h30
DE LA POSSIBILITÉ OU DE L’IMPOSSIBILITÉ DE CRÉER EN TEMPS DE GUERRE PHILIPPE DAGEN Professeur d’histoire de l’art contemporain, directeur de l’HiCSA, journaliste au Monde Conseiller scientifique de l'exposition 1917
CONFÉRENCE
Le Centre Pompidou-Metz offre ainsi une lecture vivante et inédite de l’art moderne et contemporain en faisant dialoguer entre elles des disciplines artistiques et en favorisant l’échange entre les artistes et le public.
« […] En 1917, cela fait trois ans que s’accomplit à la vue de tous une révolution dans la représentation du présent, le basculement de l’imitation manuelle – dessin, peinture, gravure – à l’enregistrement mécanique – photographie, cinéma. […] Tout soldat est un photographe en puissance, tout citoyen de “l’arrière” le spectateur passionné et effrayé de ses images. Une économie se constitue ainsi, première forme de commercialisation du spectacle de l’actualité au xxe siècle. […] Les arts, les vieux beaux-arts ou même l’art moderne, ont-ils encore les moyens d’intéresser, d’émouvoir, de convaincre ? […] On s’y arrêtera, avec, à l’arrière-plan, cette hypothèse d’historien : ce qui se passe entre 1914 et 1918, ne serait-ce pas la préfiguration de la société des images dans lesquelles nous vivons aujourd’hui ? »
La fin de la saison 2011-2012 s’articule autour de l’exposition 1917 avec différents rendez-vous qui se déroulerent dans les espaces de programmation ainsi que dans le Forum et les jardins.
26 Mai
21h30
OCTOBRE DE SERGUEI EINSENSTEIN
AUDITORIUM WENDEL
JEFF MILLS
Tarif : 5 euros
CINÉ MIX Jeff Mills est considéré comme l’un des DJ et producteurs de musique techno les plus inventifs au monde, et une figure majeure de la techno de Detroit, où il a débuté sa carrière de DJ en 1984 sur une radio locale. Très attiré par l’image et le cinéma, il travaille dès 2000 sur la fusion de l’image et du son et présente au Centre Pompidou sa bande-son inédite du film muet Metropolis de Fritz Lang. L’année suivante, il crée Mono, une installation inspirée du film de Stanley Kubrick, 2001, l’Odyssée de l’espace. À la même période, il acquiert un nouvel outil, le DVJ-X, qui lui permet de manier à la fois le son et l’image et réalise l’année suivante la musique d’un autre film muet, pour MK2 cette fois, Les Trois âges de Buster Keaton. En avril 2009, la Cinémathèque française lui propose une première collaboration autour du film muet The Cheat (Forfaiture) de Cecil B.DeMille, avant de l’inviter à se confronter à l’univers de Sergueï M. Eisenstein. Ciné Mix est une création pour Octobre (1927), film retraçant la révolution de 1917 et le passage du pouvoir aux mains de Soviets.
9 JUIN
11h
PORTRAITS
ANDREA BOZIC ET JULIA WILLMS PERFORMANCE Andrea Božic et Julia Willms invitent deux peintres à réaliser une œuvre de 1917 qu’ils n’ont jamais vue. Séparés par un paravent, ils devront se représenter l’œuvre dont il sera question et la reproduire grâce à la description qui leur sera faite par un historien d’art. L'œuvre apparaît au fil des minutes - heures, fruit d'un récit et de deux interprétations, proposant dans ce glissement de l'image aux mots puis à l'image, le décalage sensible de l'imagination sans jamais savoir le nom de l'artiste.
FORUM
STUDIO
Tarif plein : 15 euros
Entrée libre
Tarif réduit : 10 euros
Narrateur : Claire Lahuerta / Artistes invités : Élise Franck, Vivien Roussel.
15
1917
10 JUIN
17 JUIN
11 h/15 h/16 h 30
10 h 30 /11 h 45
LE HALL DE LA CHANSON
UN DIMANCHE UNE ŒUVRE
Parade : « Vous avez dit cubisme ? »
SERGE HUREAU Avec Serge Hureau et Olivier Hussenet, chanteurs, et Cyrille Lehn, pianiste
ROLAND HUESCA
MUSIQUE
CONFÉRENCE
Des artistes interprètent quelques-unes des chansons que l’on entendait, malgré la guerre, dans les music-halls en 1917 et que les poilus reprenaient dans les tranchées pour se donner du courage et bercer leurs angoisses. Ils chantent à quelques mètres du rideau de Parade peint par Picasso pour le ballet de Cocteau et Satie, qui savaient si bien s’inspirer des beaux-arts comme des arts populaires du cirque, du bal et du music-hall.
18 mai 1917 : ce soir les ballets russes présentent Parade. À l’affiche : Picasso, Massine, Satie, Cocteau. Dans les colonnes du Figaro Henri Quittard fait part de sa méfiance : ces « noms seuls, comme on dit, parlent d’eux-mêmes ». Quel va être la teneur de ce « ballet réaliste » dont on soupçonne qu’il sera un peu « cubiste » ? C’est une incursion au cœur de cette soirée que nous propose Roland Huesca. GRANDE NEF, DEVANT LE RIDEAU DE PARADE
GRANDE NEF, DEVANT LE RIDEAU DE PARADE
Entrée libre sur présentation d’un ticket d’entrée aux expositions
Entrée libre sur présentation d’un ticket d’entrée aux expositions
20 JUIN
13 JUIN
19 h 30
20 h
« CAMOUFLER, NE PAS CAMOUFLER, 1917 ? »
La Grande Illusion (1937)
ANNETTE BECKER
Jean Renoir
Directrice du Centre Pierre Francastel d’histoire de l’art et des représentations contemporaines, Université de Paris Ouest, Nanterre, La Défense.
CONFÉRENCE/CINÉMA
CONFÉRENCE Introduction de Christophe Damour, maître de conférences en histoire et esthétique du cinéma à l’université de Strasbourg.
« La guerre fut grise et camouflée. Une lumière, une couleur, un ton même étaient interdits sous peine de mort. […] Personne n’a vu la guerre, caché, dissimulé, à quatre pattes, couleur de terre, l’œil inutile ne voyait rien. » À partir du constat du combattant Fernand Léger, on s’interrogera sur les occultations des fronts militaires et domestiques en 1917. Camoufler, c’est parvenir à cacher le drame de la guerre tout entière en essayant de dépasser la contradiction entre esthétique – les fragmentations des avant-gardes – et destruction. Ce sont plus souvent les ruines que les morts (militaires et civils) que l’on représente et que l’on montre : l’aseptisation de la guerre est devenue totale.
L’avion du capitaine Boeldieu et du lieutenant Maréchal est abattu derrière les lignes allemandes pendant la Première Guerre mondiale. Faits prisonniers, les deux Français retrouvent au camp un groupe de compatriotes qui forment une communauté soudée. Les hommes entreprennent la construction d’un tunnel par lequel ils veulent s’évader. Mais ils sont transférés dans un autre camp la veille de leur évasion… AUDITORIUM WENDEL Tarif : 5 euros
AUDITORIUM WENDEL
16 JUIN
20 h
Tarif : 5 euros
17
16 h
24 JUIN
MONOCLE, PORTRAIT DE S. VON HARDEN
10 h 30 /11 h45
STEPHANE GHISLAIN ROUSSEL
UN DIMANCHE UNE ŒUVRE
THÉÂTRE
Histoire d’une rencontre impossible : Princesse X, God et Fountain
À partir du tableau d’Otto Dix Portrait de la journaliste Sylvia von Harden (1926), caractéristique de la nouvelle objectivité, la pièce met en scène l’icône féminine de l’immédiat aprèsguerre. Son monologue, interprété par Luc Shiltz, révèle des faits et témoignages d’époque. Mais le surtitrage FrançaisAllemand, en référence au cinéma muet, introduit un flou dans les frontières entre la réalité, le tableau vivant et le théâtre parlé.
Arnaud Dejeammes Artiste et théoricien, il a enseigné à l’université et est intervenu dans plusieurs écoles des beaux-arts, tant en France qu’à l’étranger.
CONFÉRENCE L’exposition 1917 réunit pour la première fois trois œuvres n’ayant pas pu l’être auparavant. Le potentiel provocateur dont elles semblent être porteuses ne doit pas faire oublier leur rôle dans le basculement de l’art moderne, influences annonciatrices du minimalisme et de l’art conceptuel. Si le destin propre à chacune sera évoqué, leur rencontre permettra d’aborder le climat artistique à l’ombre de la grande guerre et des révolutions : militarisme à outrance et refus de la guerre, sexisme et féminisme, conservatisme et libéralité des mœurs…
Studio Tarif plein : 10 euros tarif réduit : 5 euros
GALERIE 1 Entrée libre sur présentation d’un ticket d’entrée aux expositions
16
1917
8 JUILLET
Rouge, elle est organisée par la ville de Metz aux profits des civils, victimes directes ou indirectes des hostilités. En fait, son but le plus important est la propagande : à travers une trentaine de présentations thématiques, elle assure la promotion de l’effort de guerre.
10 h 30/11 h 45
UN DIMANCHE UNE ŒUVRE
Les Nymphéas de Monet : l’expérience immersive
GRANDE NEF Entrée libre sur présentation d’un ticket d’entrée aux expositions
Claire Lahuerta
20 et
CONFÉRENCE Dans la fluctuation des reflets et des miroitements de Giverny, c’est l’impermanence des choses que le peintre parvient à capter sur la toile, en une lecture à plusieurs niveaux que l’on peut saisir dans le contexte si singulier de l’année 1917. Conçues comme un environnement pictural, les œuvres présentées dans l’exposition seront lues comme le point névralgique d’une installation à plus grande échelle : celle de la scénographie de l’exposition, vertigineuse et abyssale.
21 septembre
COLLOQUE 1917 Auditorium Wendel, Centre Pompidou-Metz
Pour fêter la fin de l'exposition 1917, le Centre Pompidou-Metz propose un colloque sur la thématique de la création en temps de guerre.
21 septembre
GRANDE NEF, DANS LA SALLE DES NYMPHÉAS Entrée libre sur présentation d’un ticket d’entrée aux expositions
L'ours Normand
21 JUILLET
Théâtre
EXTRA LARGE !
À travers un montage de textes consacrés par Fernand Léger au cirque et au choc de la confrontation avec la guerre, le comédien Arnaud Churin nous entraîne, dans la vie et l'oeuvre d’un pionnier de l’art moderne. Avec la complicité du rappeur slameur D’ de Kabal, et dans une mise en scène efficace et évocatrice Arnaud Churin incarne un ours normand qui nous entraîne dans une univers intime et sensible.
Le Centre Pompidou-Metz s’associe avec la Ville de Metz, l’association Fragment et Musiques Volantes pour la deuxième édition de l’événement Extra Large ! A PARTIR DE 16 h 30
MUSIQUE / PERFORMANCES / DANSE
Mai ‑ Juillet :
Programmation en cours
À la tombée de la nuit
Ateliers Jeunes Publics " N. & R. " Les fÉtiches anti-gothas.
Charlie Chaplin : L’émigrant / Charlot soldat / Charlot fait sa cure
Dans le cadre de l’exposition 1917, l’artiste Antoine Poncet investit les ateliers Jeunes Publics en invitant deux "stars" de l'époque : Nénette & Rintintin.
CINÉMA Une soirée sous les étoiles autour de trois films de Charlie Chaplin réalisés en 1917 et 1918. Trois chefs-d’œuvre qui nous font traverser les aventures de Charlot : en cure dans une paisible station thermale, forcément troublée par la venue de ce personnage incongru ; l’arrivée de Charlot, son statut d’émigrant à New York et enfin les tribulations du personnage dans la rigueur de la discipline militaire au sein du contexte dramatique du front.
En cette période de guerre, mascottes et portes-bonheur se répandent dans toutes les classes de la population. Fait de simples écheveaux de laine reliés l'un à l'autre, ce couple de fantoches, qui s'adresse d'abord aux enfants, est devenu un véritable phénomène de société. Par leurs aspects dérisoires mais quelque peu effrayants, ils deviennent de véritables fétiches, au même titre que les katchinas et les gri-gri africains. Ils pourraient faire peur mais, unis par ce fil de laine, ils dansent et suscitent l’engouement. Autre particularité de ces fétiches : ils n'ont pas de pouvoirs en soi, ils ne « fonctionnent » que s'ils sont offerts. Ludiques, profanes, magiques, gratuits, en mouvement, aériens, ils sont, à leur façon, des parades contre la morosité ambiante.
PARVIS DU CENTRE POMPIDOU – METZ Entrée libre
22 JUILLET
10 h 30 et 11 h 45
UN DIMANCHE UNE ŒUVRE
1917 La Deutsche Kriegsausstellung Metz : armée, Croix-Rouge, œuvres sociales et propagande de guerre la confusion des genres.
Antoine Poncet propose aux jeunes publics de confectionner leurs propres Nénette & Rintintin et de participer ainsi à une présentation de fétiches qui évoluera tout au long de l'exposition 1917. Renseignements pratiques : Les ateliers d'une durée d'1h30 comprennent une présentation de documents d'époque et la confection des fétiches.
Jean-Claude Laparra CONFÉRENCE Cette « exposition allemande de guerre », présentée à Metz en 1917, est un type de manifestation généralisée dans toute l’Allemagne à partir de 1915. Soutenue par l’administration militaire et la Croix-
1 week-end / mois
17
Samedi 26 mai 2012 de 14h00 à 15h30 et de 16h00 à 17h30 ; Dimanche 27 mai 2012 de 14h00 à 15h30 et de 16h00 à 17h30 ; Samedi 16 juin 2012 de 14h00 à 15h30 et de 16h00 à 17h30 ; Dimanche 17 juin 2012 14h00 à 15h30 et de 16h00 à 17h30 ; Samedi 14 juillet 2012 de 14h00 à 15h30 et de 16h00 à 17h30 ; Dimanche 15 juillet 2012 de 14h00 à 15h30 et de 16h00 à 17h30.
1917
7. GÉNÉRIQUE
L'exposition 1917 est une production du Centre Pompidou-Metz.
générique Commissaires Claire Garnier Laurent Le Bon Chef de projet Olivia Davidson Scénographe Didier Blin, architecte muséographe, assisté d’Erol Gülgönen Conseillers scientifiques Philippe Dagen Jean-Jacques Lebel Conseiller scientifique pour le cinéma Laurent Véray Conseillers scientifiques pour la littérature Laurence Campa Édouard Graham Chargée de recherche Ada Ackerman Régisseur d’œuvres Éléonore Mialonier, assistée sur le montage de Floriane Benjamin et Irene Pomar-Marcos
Coordination de la signalétique Camille Aguignier Claire Bonnevie Erika Ferrand-Cooper Traduction de la signalétique Sandra Petch (anglais) Ulrike Lowis (allemand) Relecture de la signalétique Paul Richman (anglais) Christiane Weidemann (allemand) Fabrication et pose de la signalétique Expocom Graphik Medicis Réalisation des aménagements muséographiques Barem : Dominique Barrière, Bruno Desgouttes, Dominique Salaün, Vincent Vandersleyen et leur équipe Montage, encadrement, soclage Aïnu : Stéphane Pennec, Pauline Bulot et leur équipe
Assistante de production Jeanne Simoni
Montage et préparation des films et des diaporamas ECPAD : Jean-Pierre Duboscq, François Guerin
Régisseurs d’espace Clitous Bramble Alexandre Chevalier
Bureau d’études Bureau Michel Bancon : Christophe Arnion
Chargé d’exploitation Stéphane Leroy
Bureau de contrôle Dekra Inspection : Jean-Michel Hoareau
Chargée de mission Annie-Claire Geisinger Régisseur audiovisuel et éclairage Thibault Leblanc Conception lumière I.C.O.N., Akari-Lisa Ishii Conception graphique P&J, Laurent Pinon et Aurore Jannin, assistés de Betty Deléon Rédaction des textes de salles Ada Ackerman Rédaction des cartels développés Thibaut Casagrande Armance Léger-Franceschi Stéphanie Molins Anne Monier
Installations électriques Cofely/Ineo : Olivier Ritleng, Christophe Lere, Lionel Weiler et leur équipe Fourniture et installation du matériel audiovisuel Audiovisuel Solutions : Angélique Attali, Lionel Schwarz Fourniture et pose de l’éclairage MPM Équipement : Laurent Capron Transport et emballage des oeuvres LP Art : Stéphane Dominguez, Nicolas Rimaud, Bénédicte Macédo Accrochage des œuvres Artrans : Wahiba Khenifi, Sébastien Schaeffer, Christian Muller
18
Assurance des œuvres Blackwall Green : Robert Graham, Camilla Stephens Électricité Sébastien Bertaux Vivien Cassar Maintenance des matériels audiovisuels et d’éclairage Jean-Philippe Currivant Sûreté et sécurité André Martinez SGP Lorraine Sécurité incendie Service départemental d’incendie et de secours : lieutenant-colonel Pierre Ferrandes Médiation en salles Phone Régie Supports de médiation Anne-Marine Guiberteau Dominique Oukkal Audioguide Sycomore : Géraldine Gauvin Relations presse Louise Moreau Agence Claudine Colin Communication Stagiaires Thibaut Casagrande, Sabrina Francon, Nastasia Gallian, Nadia Kabbach, Zoya Katashinskaya, Armance LégerFranceschi, Sarah Ligner, Stéphanie Molins, Anne Monier, Alice Pfister, Anna Winterstein Conservateur stagiaire Juliette Pollet
1917
Le Centre pompidou-Metz Président
Personnalités qualifiées
Pôle bâtiment et exploitation
Alain Seban, président du Centre Pompidou
Frédéric Lemoine, président, du Directoire du Groupe Wendel, Patrick Weiten, président du Conseil Général de la Moselle, ou son représentant
Philippe Hubert Directeur technique Christian Bertaux Responsable bâtiment Sébastien Bertaux Agent technique électricien Vivien Cassar Agent technique bâtiment Jean-Pierre Del Vecchio Administrateur systèmes et réseaux Pierre Hequet Technicien bâtiment Christian Heschung Responsable des systèmes d’information Stéphane Leroy Chargé d’exploitation André Martinez Responsable sécurité Jean-David Puttini Agent technique peintre
Président d’honneur Jean-Marie Rausch Vice-Président
Représentants du personnel Philippe Hubert, directeur technique, Benjamin Milazzo, chargé des publics et de la fidélisation
Jean-Luc Bohl, président de Metz Métropole Direction Représentants du Centre Pompidou Alain Seban, Président, Agnès Saal, directrice générale, Jean-Marc Auvray, directeur juridique et financier, Bernard Blistène, directeur du Développement culturel, Donald Jenkins, directeur des publics, Frank Madlener, directeur de l’Institut de recherche et coordination acoustique/musique, Alfred Pacquement, directeur du Musée national d’art moderne.
Laurent Le Bon Directeur Claire Garnier Chargée de mission auprès du Directeur Secrétariat général
Jean-Luc Bohl, président, Antoine Fonte, vice-président, Pierre Gandar, conseiller délégué, Patrick Grivel, conseiller communautaire, Thierry Hory, vice-président, Pierre Muel, conseiller délégué , William Schuman, conseiller communautaire
Emmanuel Martinez Secrétaire général Pascal Keller Secrétaire général adjoint Julie Béret Chargée de mission auprès du Directeur et du Secrétariat général Hélène de Bisschop Responsable juridique Émilie Engler Assistante de direction
Représentants du Conseil régional de Lorraine
Pôle administration et finances
Jean-Pierre Masseret, président, Nathalie ColinOesterlé, conseillère régionale, Josiane Madelaine, vice-présidente, Roger Tirlicien, conseiller régional, Thibaut Villemin, vice-président
Jean-Eudes Bour Agent comptable, responsable du pôle administration et finances Jérémy Fleur Assistant de gestion en comptabilité Audrey Jeanront Assistante de gestion ressources humaines Frédéric Lewandowski Assistant de gestion en comptabilité Ludivine Morat Assistante de gestion administration générale Alexandra Morizet Chargée des marchés publics Véronique Muller Assistante de gestion en comptabilité Estelle Pussé Assistante marchés publics
Représentants de Metz Métropole
Représentant de l’Etat Christian de Lavernée, préfet de la région Lorraine, préfet de la Moselle et de la Zone de Défense et de Sécurité Est, ou son représentant Représentant de la Ville de Metz Dominique Gros, maire de Metz, commune siège de l’établissement, Thierry Jean, adjoint au maire
19
Pôle communication et développement Annabelle Türkis Responsable du pôle communication et développement Erika Ferrand-Cooper Chargée de communication et d’événementiel Marie-Christine Haas Chargé de communication multimédia Louise Moreau Chargée de communication et des relations presse Marine Van Schoonbeek Chargée de communication et de relations publiques Amélie Watiez Chargée de communication et d’événementiel Pauline Fournier Assistante relations publiques en alternance
1917
Pôle production
Pôle publics
Anne-Sophie Royer Responsable du pôle production Charline Becker Chef de projet Floriane Benjamin Assistante régie Clitous Bramble Régisseur d'espace Alexandre Chevalier Régisseur d’espace Jean-Philippe Currivant Régisseur technique Olivia Davidson Chef de projet Jennifer Gies Chef de projet Thibault Leblanc Régisseur spectacle vivant Éléonore Mialonier Régisseur d’oeuvres Fanny Moinel Chef de projet Marie Pessiot Chargée de production spectacle vivant Irene Pomar Chef de projet Jeanne Simoni Assistante de production
Aurélie Dablanc Responsable du pôle publics Fedoua Bayoudh Chargée du développement des publics et du tourisme Djamila Clary Chargée des publics et du développement des ventes Jules Coly Chargé des publics, de l’information et de l’accessibilité Anne-Marine Guiberteau Chargée de la programmation jeunes publics et des actions de médiation Benjamin Milazzo Chargé du développement des publics et de la fidélisation Anne Oster Chargée des relations avec les établissements de l’enseignement
Pôle programmation Hélène Guenin Responsable du pôle programmation Camille Aguignier Chargée d’édition Claire Bonnevie Éditrice Géraldine Celli Chargée de programmation Auditorium Wendel et Studio Anaïs Lellouche Chargée de recherche et chargée de mission auprès du Directeur Alexandra Müller Chargée de recherche et d’exposition Dominique Oukkal Fabricant Élodie Stroecken Chargée de coordination du pôle programmation
LES AMIS DU CENTRE POMPIDOU-METZ
Stagiaires : Cléo Bassel, Juliette Chevalier, Farid El Allaoui, Sabrina Françon, Tristan Garcia,Stéphanie Molins, Mathilde Poupée, Pauline Ramos Ibanez Le Centre Pompidou-Metz remercie l’ensemble de ses prestataires ainsi que leurs équipes : Clean Alliance, Cofely, la librairie Flammarion, Phone Régie, le restaurant La Voile Blanche et SGP.
20
La vocation des Amis du Centre Pompidou-Metz, association sans but lucratif, est d’accompagner le Centre dans ses projets culturels, de fédérer autour de lui le monde de l’entreprise ainsi que les particuliers désireux de le soutenir. Jean-Jacques Aillagon Ancien ministre Président Ernest-Antoine Seillière Président du Conseil de Surveillance de Wendel Vice-Président Lotus Mahé, historienne d’art Secrétaire générale Philippe Bard Président de Demathieu & Bard Trésorier Charline Guille Assistante auprès de la Secrétaire générale
1917
8. LISTE DES prêteurs Boulogne-Billancourt
allemagne
états-unis
Albstadt
New York
Galerie Albstadt, Städtische
The Metropolitan Museum of Art
Kunstsammlungen
The Museum of Modern Art
Musée des années Trente
Berlin
Francis M. Naumann Fine Art
Philadelphie
Käthe-Kollwitz-Museum Berlin
Philadelphia Museum of Art
Staatliche Museen zu Berlin
France
Musée-école de la Perrine
Musée Granet
Le Bourget
Museum Ludwig
Stiftung Wilhelm Lehmbruck Museum
Essen Museum Folkwang
Francfort-sur-le-Main Städel Museum
Friedrichshafen Zeppelin Museum Friedrichshafen GmbH
Neukirchen Stiftung Seebüll Ada und Emil Nolde
Amnéville-les-Thermes
Musée de l’Air et de l’Espace
Musée de la Moto et du Vélo – collection Maurice Chapleur
Cathédrale d’Arras
Mantes-la-Jolie
Service territorial de l’architecture et du patrimoine du Pas-de-Calais
Musée de l’Hôtel-Dieu
Marly-le-Roi Avignon
Association des Démineurs de France
Musée Angladon
Meaux Bagnols-sur-Cèze
Musée de la Grande Guerre du Pays de Meaux
Musée Albert-André
Metz Bar-le-Duc
Württembergische
Collection Diors, département de la Meuse
autriche Vienne
Lons-le-Saunier La Maison de la Vache qui rit
Arras
Staatsgalerie Stuttgart
Landesbibliothek Stuttgart
Ivry-sur-Seine
Laval
Aix-en-Provence
Duisbourg
Fleury-devant-Douaumont
Établissement de communication et de production des archives de la Défense (ECPAD)
Staatliche Museen zu Berlin, Kupferstichkabinett
Cologne
Service historique de la Défense
Mémorial de Verdun
Bundesarchiv
Staatliche Museen zu Berlin, Nationalgalerie
Châtellerault
Archives municipales Bibliothèques-Médiathèques de Metz
Beauvais
Collection Jean-Paul Philips
Musée départemental de l’Oise
Musées de Metz Métropole – La Cour d’Or
Besançon
Milly-la-Forêt
Musée des beaux-arts et d’archéologie
Maison Jean Cocteau
Blérancourt
Nancy
Musée franco-américain du château de Blérancourt
Musée Lorrain
Leopold Museum
Belgique Bruxelles Musée royal de l’Armée et d’Histoire militaire
Nanterre Bordeaux Musée des beaux-arts de Bordeaux
Bibliothèque de documentation internationale contemporaine (BDIC)
Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique
Nantes Musée des Beaux-Arts de Nantes
21
1917
Luxembourg
Paris
Péronne
Académie des beaux-arts, Fondation Lurçat
Historial de la Grande Guerre
Archives Jean-Jacques Lebel Bibliothèque historique de la Ville de Paris
Poitiers
Luxembourg Musée national d’histoire et d’art
Musées de Poitiers
Bibliothèque littéraire Jacques-Doucet
Saint-Germain-la-Blanche-Herbe
Pays-Bas
Bibliothèque interuniversitaire de Santé
Institut mémoires de l’édition contemporaine (IMEC)
Amsterdam
Bibliothèque nationale de France
Eye Film Instituut Nederland
Bibliothèque Paul-Destribats
Saint-Julien-lès-Metz
Centre national du cinéma et de l’image animée
Archives départementales de la Moselle
Centre national des arts plastiques – ministère de la Culture et de la Communication
Saint-Mandé
Centre Pompidou
IGN-Institut national de l’information géographique et forestière
royaume-uni
Salon-de-Provence
Belfast
Musée de l’Empéri
Saint-Patrick’s Church
Collection J+C Mairet
Strasbourg
Londres
Collection Patrice Warin
Musée d’art moderne et contemporain (Musées de Strasbourg)
Imperial War Museums
Thionville
Tate
Archives municipales
The Royal College of Surgeons of England
Otterlo Stichting Kröller-Müller Museum
Cinémathèque française Cinémathèque Robert-Lynen Cité de l’architecture et du patrimoine
Comédie-Française Donation Jacques Henri Lartigue – ministère de la Culture et de la Communication
Ne boltai! Collection
Fondation Albert Gleizes Fondation Le Corbusier
Vincennes Service historique de la Défense
russie
Galerie 9e Art
Vincey
Moscou
Gaumont Pathé Archives
Musée militaire
Collection Sergey Vengerov
Galerie 1900-2000
Galerie Trétiakov
Les Arts Décoratifs Lobster Films Médiathèque de l’architecture et du patrimoine – ministère de la Culture et de la Communication Musée Bourdelle Musée d’art et d’histoire du Judaïsme Musée d’art moderne de la Ville de Paris
italie
Rostov-Vélikié Musée national du Kremlin de Rostov
Rovereto Museo di Arte Moderna e contemporanea di Trento e Rovereto (Mart)
Berne
Musée de l’Armée Musée de l’Orangerie Musée d’Orsay Musée du Service de santé des armées au Val-de-Grâce
suisse
Museo Storico Italiano della Guerra Zentrum Paul Klee
Japon
Genève
Tokyo
Musées d’Art et d’Histoire de la ville de Genève
The National Museum of Modern Art
Zurich
Musée Marmottan Monet
Kunsthaus Zürich
Musée national de la Marine Musée Rodin Musée Zadkine
22
1917
9. Partenaires L’exposition 1917 est une production du Centre Pompidou-Metz. Le Centre Pompidou-Metz est la première décentralisation d’un établissement public culturel national, le Centre Pompidou, réalisée en partenariat avec une collectivité territoriale, la Communauté d’agglomération de Metz Métropole. Le Centre Pompidou-Metz est un établissement public de coopération culturelle, dont les membres fondateurs sont l’État, le Centre Pompidou, la Région Lorraine, la Communauté d’agglomération de Metz Métropole et la Ville de Metz. Il bénéficie du soutien de Wendel, mécène fondateur.
G R A N D M E C E N E D E L A C U LT U R E
L’exposition 1917 est réalisée grâce au soutien de la Caisse d’Épargne Lorraine Champagne-Ardenne et des Amis du Centre Pompidou-Metz.
L’exposition 1917 bénéficie du soutien du ministère de la Défense et des Anciens combattants, secrétariat général pour l’administration, Direction de la mémoire, du patrimoine et des archives.
L’exposition 1917 est réalisée en partenariat avec la Bibliothèque de documentation internationale contemporaine (BDIC), Nanterre, l’Établissement de communication et de production audiovisuelle de la défense (ECPAD) et le musée de l’Armée.
L’exposition 1917 reçoit le concours de la zone de soutien de Metz.
L’exposition 1917 inaugure en France le cycle des manifestations du centenaire de la Première Guerre mondiale. Elle bénéficie du soutien de la Mission du centenaire de la Première Guerre mondiale 1914-2014. Elle reçoit le concours de la cinémathèque Robert-Lynen, Ville de Paris.
L’exposition 1917 est réalisée en partenariat média avec
23
1917
Le ministère de la Défense et des Anciens combattants, deuxième acteur culturel de l’Etat Deuxième acteur culturel de l'Etat après le ministère de la Culture, le ministère de la Défense et des Anciens combattants conserve aujourd'hui un vaste patrimoine culturel (archives, collections des musées, bibliothèques, patrimoine monumental et mobilier, formations musicales militaires) qu'il entretient et valorise afin de permettre au plus grand nombre d'y avoir accès et, à travers lui, de mieux faire comprendre les enjeux passés, présents et à venir de l'institution militaire. Placée sous l'autorité du secrétariat général pour l'administration (SGA) et en lien avec de nombreux opérateurs culturels du Ministère, la Direction de la mémoire, du patrimoine et des archives (DMPA) est chargée de la conception et de la mise en œuvre de la politique culturelle du ministère de la Défense et des Anciens combattants. La politique des musées du ministère de la Défense et des Anciens combattants s'appuie principalement sur les trois grands musées du Ministère que sont le Musée de l'armée, le Musée national de la marine et le Musée de l'air et de l'espace, organisés tous les trois sous forme d'établissements publics placés sous la tutelle de la DMPA, mais également sur les 17 musées de tradition rattachés à l'Armée de terre et au Service de santé des armées (Musée du Val-de-Grâce), répartis sur l'ensemble du territoire national. Depuis le XVIIe siècle, l'administration des départements ministériels de la Guerre et de la Marine recueille les archives du Ministère, aujourd'hui conservées par le Service historique de la défense (SHD), service à compétence nationale rattaché à la DMPA. Le SHD abrite près de 380 kilomètres linéaires de documents tels que la correspondance des ministres et des étatsmajors, les archives de toutes les unités militaires et de l'administration centrale (SGA et DGA), les dossiers de carrière des militaires. A ses côtés, l'Etablissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense (ECPAD), ancien Service cinématographique des armées, conserve et valorise depuis 1915 près de 3 millions de clichés photographiques et 21 000 titres de films. La numérisation et la mise en ligne de ces archives constituent, avec la valorisation des collections des musées, un axe prioritaire de la politique culturelle du ministère de la Défense et des Anciens combattants. Elles sont consultables, pour les archives papier, sur le site Mémoire des hommes (www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr) et pour les archives audiovisuelles sur le site Internet de l’ECPAD (www.ecpad.fr). En lien avec les opérateurs culturels du ministère de la Défense et des Anciens combattants et le ministère de la Culture (protocole Culture-Défense) la DMPA détermine et finance également les actions nécessaires à l'entretien et la valorisation des monuments historiques dont le Ministère est l'héritier. A travers une politique de publications et de soutien à la production audiovisuelle, la DMPA s'attache enfin à valoriser auprès du plus grand nombre le patrimoine culturel du Ministère de la Défense et des Anciens combattants.
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MUSEE DE L’ARMEE HOTEL NATIONAL DES INVALIDES, PARIS
Le musée de l’Armée, grand musée national, situé en l’Hôtel national des Invalides, au cœur de Paris, présente et conserve une collection prestigieuse constituée de plus de 500 000 œuvres et objets : armures, uniformes, pièces d’artillerie, armes, emblèmes, décorations, iconographie…. Sa richesse et à sa diversité permet de proposer au visiteur un parcours retraçant l’histoire militaire de la France, depuis le Moyen –Age jusqu’à nos jours, sur plus de 20 000 m2 d’exposition permanente. Collections et outils de médiation se complètent pour une approche pédagogique et interactive, objectif du programme de rénovation et de modernisation ATHENA mené entre 2003 et 2010. Musée d’histoire, le musée de l’Armée évoque tout autant les grandes figures militaires ou politiques, que les anonymes, les soldats, mais aussi les civils, hommes et femmes, qui ont contribué, par leur engagement, à toutes les étapes de l’Histoire de notre pays et à sa construction. Accueillant plus de 1 400 000 visiteurs annuels (chiffres 2010 et 2011), le musée de l’Armée conduit une politique de développement active, caractérisée notamment par une programmation culturelle variée - qui ne cesse de s’enrichir – en lien avec ses collections. Elle s’organise autour de deux grandes expositions temporaires par an, auxquelles font écho des conférences, des concerts, des projections, des animations pédagogiques, des tables-rondes ; mais aussi d’expositions-dossiers (sur l’histoire militaire de l’après seconde-guerre mondiale en particulier). Par ailleurs, depuis trois années, de grands événements populaires investissent la cour d’honneur des Invalides, « cœur battant » du monument : Opéra en plein air (depuis 2010), Paris Quartier d’été (depuis 2011), ou encore le spectacle son et lumière La Nuit aux Invalides (depuis 2012) permettent à de nouveaux publics de découvrir les lieux sous d’autres aspects. La richesse des collections du musée de l’Armée constitue aussi la base de sa politique de rayonnement scientifique national et international. Elle se traduit, entre autres, par des prêts et des dépôts, qui assurent une visibilité accrue aux collections : 23 000 objets ont ainsi été déposés dans diverses musées et institutions patrimoniales civiles ou militaires en France et à l’étranger ; le musée est également prêteur à une trentaine d’expositions temporaires par an. C’est dans le cadre de cette politique que s’inscrit le partenariat engagé avec le Centre Pompidou-Metz autour de l’exposition 1917. Le musée de l’Armée travaille depuis 2010 à une exposition intitulée Vue du front, qui portera sur les représentations de la Grande Guerre. Ce projet est conduit en partenariat avec la BDIC, il bénéficie du soutien du Deutsches Historisches Museum de Berlin, du musée des Beaux-Arts du Canada à Ottawa, de l’Imperial War Museum de Londres et du musée de la photographie de Bièvres, notamment. L’établissement a d’autant plus volontiers accepté d’apporter son concours au projet de Metz, que ce dernier a constitué une belle occasion de partager les réflexions en cours sur ses collections et sur des thèmes que les deux projets aborderont sous des angles différents et complémentaires. Pour l’exposition 1917, les équipes scientifiques du musée de l’Armée ont été mobilisées sur le choix des œuvres et des objets qui seront présentés au public (en particulier le département contemporain et le département iconographie) ; elles ont également apporté leur contribution au catalogue par des essais et des notices d’œuvres et d’objets. Nous souhaitons que cette manifestation recueille le succès escompté. Nous remercions ici Laurent Le Bon, directeur du Centre Pompidou-Metz et administrateur du musée de l’Armée depuis 2011, ainsi que toutes ses équipes pour la qualité des échanges et de cette collaboration, autour de ce projet ambitieux auquel le musée de l’Armée se plaît d’être associé. Hôtel national des Invalides, 129 rue de Grenelle 75007 Paris www.invalides.org Contact presse et média : service communication / 01 44 42 53 08 – 32 34
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Les collections de la BDIC Seule institution en France à collecter et conserver des fonds sur toute l’histoire du XXe et du XXIe siècle, la Bibliothèque de documentation internationale contemporaine (BDIC) est aussi réputée pour la richesse de ses fonds dans le domaine de l’histoire européenne et des relations internationales que pour la composition, tout à fait originale, de ses collections. En plus des 3 millions de documents multisupports en langues française et étrangères (livres et périodiques, archives écrites et audiovisuelles) consultables sur le site de Nanterre, sont en effet rassemblés aux Invalides, à Paris, des œuvres d’art, des photographies, des affiches, des dessins de presse et des objets, soit près d’1,5 million de documents iconographiques. La BDIC naît en 1917 du don à l’État d’une collection privée exceptionnelle, rassemblant dès 1914 tous les documents relatifs au conflit. La collecte effectuée n’établissant pas de discrimination entre l’imprimé et l’image, ni entre les langues et les provenances, la BDIC se trouve dotée d’un fonds d’une grande diversité qui en fait, aujourd’hui encore, une des toutes premières collections en Europe sur la guerre de 14-18. Aujourd’hui bibliothèque interuniversitaire rattachée à l’Université de Paris Ouest Nanterre La Défense, la BDIC continue d’enrichir ses collections de nombreux fonds d’archives privées (Ligue des Droits de l’Homme, Cimade, etc.) et de collections photographiques et d’affiches en plus des outils de la recherche. Les fonds photographiques sont d’une valeur patrimoniale inestimable : ainsi les 110 000 clichés « Valois » sur la Grande Guerre ou les reportages d’Elie Kagan sur la nuit du 17 octobre 1961, sur Israël, sur l’Allemagne, sur la Russie. La collection d’affiches et de dessins retracent la vie politique française et l’usage de la propagande par l’image dans de nombreux pays à travers le monde. Autre spécificité : la collection d’archives orales, avec des témoignages d’acteurs de l’histoire, sur la Guerre d’Espagne ou la Guerre d’Algérie, notamment.
Accueillant des chercheurs de tous horizons, français et étrangers, la BDIC renforce aussi sa vocation de médiation entre la recherche scientifique et le grand public en organisant des expositions chaque année, accompagnées de catalogues réunissant les contributions de spécialistes reconnus : l’amour et la sexualité en temps de guerre, la chute du Mur de Berlin, l’URSS au temps de la Perestroïka, sont quelques-uns des thèmes traités dernièrement. Actuellement sont en préparation : une exposition sur l’affiche politique de 1789 à nos jours (14 novembre 2012 24 février 2013) et, en partenariat avec le Musée de l’Armée, une grande exposition sur la Première Guerre mondiale : « Vue du front » (automne 2014). Enfin, le site en ligne de la BDIC (www.bdic.fr) offre un catalogue des fonds conservés, expositions virtuelles et une bibliothèque numérique importante présentant dans leur intégralité des sources d’histoire actuellement axées sur la Première Guerre mondiale mais appelées à se développer plus largement.
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Char Renault FT 17 au musée de l'Armée
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La Mission du Centenaire de la Première Guerre mondiale
Dans la perspective du centenaire de la Première Guerre mondiale qui sera commémoré de 2014 à 2018, le Gouvernement a souhaité la création d’une Mission interministérielle du centenaire de la Première Guerre mondiale, officiellement créée le 11 avril 2012. Composé de seize membres fondateurs, parmi lesquels le ministère de la Défense et des Anciens combattants, le ministère de la Culture et de la Communication, le ministère des Affaires étrangères et Européennes, le ministère chargé de l’Education nationale, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, le ministère de l’Intérieur, de l’Outre-Mer, des Collectivités territoriales et de l’Immigration, le ministère chargé du Tourisme, la Bibliothèque nationale de France, le musée de l’Armée, le Centre national de documentation pédagogique, l’Institut Français, l’Etablissement de communication et de production audiovisuelle de la Défense, l’Office national des anciens combattants, l’Association des maires de France, le Souvenir français et la fondation CARAC, le groupement d’intérêt public « Mission du centenaire de la Première Guerre mondiale » a la responsabilité de concevoir et de mettre en œuvre le programme commémoratif de la France pour le centenaire de la Première Guerre mondiale. Le conseil d’administration de la Mission du Centenaire est présidé par le Général d’armée (2S) Elrick IRASTORZA, ancien chef d’état-major de l’armée de terre. En lien avec les partenaires étrangers de la France, les collectivités territoriales, les institutions culturelles et mémorielles, et les associations, la Mission du centenaire de la Première Guerre mondiale a pour objectif l’organisation des manifestations de référence de l’année 2014 marquant le début des commémorations du Centenaire. Elle veillera par ailleurs à la mise en cohérence et à la coordination de l’ensemble des initiatives commémoratives locales, régionales et nationales, et sera l’interlocuteur des pays étrangers pour l’organisation de leurs activités commémoratives en France durant le Centenaire. Enfin, elle aura la responsabilité de mettre en œuvre dès la fin de l’année 2012 une politique d’information et de communication à destination de l’ensemble des publics du Centenaire. La Mission du centenaire de la Première Guerre mondiale est animée par une équipe permanente et interministérielle dirigée par Monsieur Joseph ZIMET, commissaire général du Centenaire et par Monsieur David Zivie, commissaire général adjoint. La Mission du Centenaire est assistée par un conseil scientifique international et pluridisciplinaire présidé par l’historien Antoine Prost, professeur émérite à l’université de Paris I, et par un comité des mécènes, présidé par le journaliste Jean-Claude Narcy.
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La Cinémathèque Robert-Lynen L’ouverture de la cinémathèque de la ville de Paris en janvier 1926 est le fruit d’une longue réflexion sur les possibilités éducatives de l’utilisation des images fixes et animées dans l’enseignement. À l’origine, ses principales missions, assignées par le conseil municipal, relèvent de la conservation des images de Paris et de la constitution d’une collection de films permettant le développement de l’enseignement par le cinéma. Au fil des ans la cinémathèque a enrichi ses fonds photographiques et cinématographiques pour mettre à la disposition de son public les outils précieux d’une éducation par l’image, qui se révèlent aussi ceux d’une culture par l’image. Institution cinématographique dédiée à la jeunesse, la cinémathèque devient en 1967 Cinémathèque RobertLynen de la Ville de Paris, en hommage au jeune acteur, interprète du Poil de carotte de Julien Duvivier (1932) fusillé en 1944 pour faits de résistance. Parmi les riches fonds patrimoniaux de la cinémathèque Robert-Lynen, la collection Jules GervaisCourtellemont occupe une place de choix.
Jules Gervais-Courtellemont (1863-1931) Photographe, photocollographiste, éditeur, auteur et surtout explorateur et conférencier, Jules GervaisCourtellemont se situe dans la lignée des voyageurs de son temps. La terre algérienne sur laquelle il grandit fit naître en lui une véritable passion par l’Orient et la religion musulmane à laquelle il se convertit en 1894. Cette fascination lui fait parcourir, jusque dans le milieu des années 20, la majeure partie des territoires pénétrés par l’Islam. De ses nombreux voyages, il rapporte en France carnets de notes et photographies servant à l’illustration des conférences qu’il anime de 1895 à 1931 pour faire découvrir ces « ailleurs » et permettre un rapprochement entre Orient et Occident. Dès 1907, il s’adonne à la pratique de l’autochrome qui lui permet de rapporter « l’Orient par des images photographiques avec leurs vraies couleurs, leurs magiques couleurs » comme il l’écrit à son ami Pierre Loti. Initiateur de spectacles de projections lumineuses à l’attention d’un public toujours plus nombreux, il présente entre 1908 et 1914 ses clichés « qui constituent alors la plus remarquable et la plus nombreuse collection de photographies en couleur d’après nature qui existe au monde ». En 1914, retiré à Coutevroult (Seine et Marne), il s’engage à titre indépendant dans le premier conflit mondial en photographiant après la bataille, les lieux de combats, et en publiant Les Champs de bataille de la Marne (1915) puis les Champs de bataille de Verdun (1917). Diffusée devant plusieurs milliers de spectateurs parisiens entre 1914 et 1917, cette série d’autochromes sur la guerre sera projetée à New York en janvier 1918 au Garrick Theater. La cinémathèque Robert-Lynen conserve 3 250 autochromes de Gervais-Courtellemont dont 200 sur le premier conflit mondial. 2012/ Cinémathèque Robert-Lynen/ 11 rue Jacques Bingen 75017 Paris Contact / emmanuelle.devos@paris.fr
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Mécène Fondateur G R A N D M E C E N E D E L A C U LT U R E
Wendel, Mécène Fondateur du Centre Pompidou-Metz « Le Groupe Wendel est très fier de s’être engagé depuis 2010, pour une durée de cinq ans, comme Mécène fondateur du Centre Pompidou-Metz, ce qui lui permet de soutenir un projet phare pour la Lorraine, berceau du groupe et de ses familles fondatrices. Nous avons voulu que ce partenariat s’appuie sur nos valeurs d’entreprise : le long terme, synonyme de fidélité et d’engagement, l’innovation, dont nous pensons qu’elle est au cœur de la création de valeur économique mais aussi des activités humaines et artistiques et l’ambition de rayonnement international dans une région française au cœur de l’Europe. », soulignent Frédéric Lemoine, Président du Directoire de Wendel et Ernest Antoine Seillière, Président du Conseil de Surveillance de Wendel et Vice-Président des Amis du Centre Pompidou-Metz. Wendel est l’une des toutes premières sociétés d’investissement cotées en Europe. Elle exerce le métier d’investisseur et d’actionnaire professionnel en favorisant le développement à long terme d’entreprises leaders mondiaux dans leur secteur : Bureau Veritas, Legrand, Saint-Gobain, Materis, Stahl ou encore Mecatherm. Créé en 1704 en Lorraine, le groupe Wendel s’est développé pendant 270 ans dans diverses activités, notamment sidérurgiques, avant de se consacrer au métier d’investisseur de long terme.à la fin des années 70. Le Groupe est soutenu par son actionnaire familial de référence, composé de plus de mille actionnaires de la famille Wendel réunis au sein de la société familiale Wendel-participations, actionnaire à hauteur de 35% du groupe Wendel. Contact journalistes : Christine Anglade-Pirzadeh : + 33 (0) 1 42 85 63 24 c.angladepirzadeh@wendelgroup.com Christèle Lion + 33 (0) 1 42 85 91 27 c.lion@wendelgroup.com Site internet : www.wendelgroup.com
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1917 Les Amis du Centre Pompidou-Metz Association des Amis du Centre Pompidou-Metz 1, parvis des Droits-de-l’Homme CS 90490 F-57020 Metz Cedex 1 Téléphone : +33 (0)3 87 15 52 59 Mél : contact@amis.centrepompidou-metz.fr
Depuis son ouverture, le Centre Pompidou-Metz, première décentralisation d’une grande institution culturelle nationale, est un véritable succès. Au cœur de la Grande Région, le Centre Pompidou-Metz a pour ambition de faire partager ses valeurs d’innovation, de générosité et d’ouverture grâce à une programmation pluridisciplinaire de qualité internationale. Il est naturel que soit créée une Association des Amis pour soutenir cette magnifique institution. Fondée en novembre 2010, l’association « Les Amis du Centre Pompidou-Metz », sans but lucratif, a pour objectif d’accompagner le Centre sans ses projets culturels, de fédérer autour de lui le monde de l’entreprise ainsi que les particuliers désireux de le soutenir. Les Amis du Centre Pompidou-Metz contribuent, par leurs actions, à une belle aventure culturelle ainsi qu’au rayonnement de Metz, de la Lorraine et de la Grande Région. Dès la première année depuis sa création, et grâce à la générosité de ses 200 adhérents, dont une douzaine d’entreprises bienfaitrices de la Grande Région et de Paris, l’association a eu la joie et la fierté d’apporter sa contribution en marge d’expositions prestigieuses telles que : ERRE, Variations Labyrinthiques, Daniel Buren, Échos, Travaux In Situ, Sol LeWitt. Dessins muraux de 1968 à 2007. À l’occasion de l’exposition 1917, manifestation de grande ampleur qui sans nul doute rencontrera l’adhésion du public, les Amis du Centre Pompidou-Metz ont tenu à apporter leur soutien enthousiaste.
Composition du Bureau des Amis du Centre Pompidou-Metz : Président : M. Jean-Jacques Aillagon Vice-Président : M. Ernest-Antoine Seillière Secrétaire Générale : Mme Lotus Mahé Trésorier : M. Philippe Bard
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La Chaîne Info c’est… L’INFORMATION 24 H / 24 : Des journaux toutes les demi-heures pour suivre l’actualité en temps réel et de grandes tranches d’information aux moments clés de la journée. LES GRANDS ÉVÉNEMENTS EN DIRECT : Discours politique important, conférence de presse majeure ou événement impromptu… La grille peut être « cassée » à tout moment : priorité absolue au direct ! L’ACTUALITÉ ANALYSÉE PAR DE GRANDES SIGNATURES : Analyses, témoignages, débats… Près de 7 000 invités commentent l’actualité chaque année : politiques, grands patrons, scientifiques, philosophes, sportifs, artistes… LA PART BELLE A LA CULTURE : expositions, sorties de films, spectacles… Les coups de cœur de la rédaction et les rendez-vous culturels à ne pas manquer sont à découvrir tous les jours sur LCI.
Histoire
La chaîne du documentaire historique et du débat culturel En proposant de revivre les moments emblématiques de l’histoire, la chaîne, créée en 1997, nous offre un éclairage captivant du passé afin de mieux comprendre le présent avec près de 1 000 documentaires diffusés chaque année programmés notamment en grands cycles thématiques sur plusieurs jours et soirées spéciales. Histoire engage une vraie politique d’investissements dans la production d’inédits par le biais de coproductions non seulement historiques mais plus largement culturelles : Jean Anouilh : toute une histoire avec Michel Bouquet (décembre 2010) ou encore Paris Céline avec Lorànt Deutsch (décembre 2011). La chaîne s’associe également aux commémorations d’événements marquants du xxe siècle : 20 ans de la chute du mur de Berlin (2009), 70 ans de l’appel du 18 juin (2010), 50 ans des accords d’Évian qui marquèrent la fin de la guerre d’Algérie (2012)… Les bonnes raisons de la regarder - Des séries documentaires et documentaires, français et étrangers, sur l’histoire contemporaine, les grandes civilisations, les guerres et grandes batailles, l’histoire de l’art… - Un film chaque semaine dans Histoire fait son cinéma - Deux magazines de référence : Historiquement Show présenté par Michel Field et Vive le patrimoine présenté par Valérie Expert
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EN DIRECT DE METZ VENDREDI 25 MAI ET SAMEDI 26 MAI
PARTENAIRE DE L’EXPOSITION 1917, RTL REALISERA SES EMISSIONS EN DIRECT DU CENTRE POMPIDOU-‐METZ LES 25 ET 26 MAI PROCHAIN.
Le Centre Pompidou-‐Metz accueillera, du 26 mai au 24 septembre, une exposition entièrement consacrée à l’année 1917. Plus de 800 œuvres autour de la création en temps de guerre, seront à découvrir parmi lesquelles le plus grand Picasso du monde. Un événement culturel et artistique de taille auquel RTL a souhaité s’associer pour affirmer son attachement à la Culture et à l’Histoire, et ainsi faire vivre l’exposition sur son antenne pendant deux jours. Pour être au cœur de cet événement, RTL délocalise six émissions le 25 mai (ouverture en avant-‐ première de l’exposition) et le 26 mai prochain (jour de l’ouverture officielle au public), qui seront réalisées dans l’enceinte même de l’institution. Ainsi Stéphane Bern, Jacques Pradel, Jean-‐Pierre Foucault, Laurent Boyer, Jean-‐Sébastien Petitdemange, Jade, Elizabeth Martichoux et Laurent Bazin se succèderont pour y animer en direct et en public leurs émissions. Les visiteurs de l’établissement pourront ainsi assister aux différents programmes et rencontrer les animateurs de la station de la rue Bayard. Au programme : Vendredi 25 mai :
A la Bonne Heure (11h/12h30) présentée par Stéphane Bern, avec Patrice Carmouze et Régis Mailhot RTL midi (12h30/14h) présenté par Elisabeth Martichoux et Laurent Bazin L’Heure du crime (14h/15) présentée par Jacques Pradel Samedi 26 mai :
La Bonne Touche (11h30-‐12h30) présentée par Jean-‐Pierre Foucault et Eric Laugérias Itinéraire d’un auditeur gâté (13h30-‐15h) présenté par Jean-‐Sébastien Petitdemange et Jade Le Grand Quiz des Histoires de France présenté par Laurent Boyer et Clémentine Portier-‐Kaltenbach – émission enregistrée le samedi de 15h à 16h / diffusion le dimanche de 13h30-‐14h30
Contact Presse : Carole Reichardt -‐ 01 40 70 42 91
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9. INFORMATIONS PRATIQUES Horaires D’OUVERTURE HORAIRES Lundi........................ 11 : 00 – 18 : 00 Mardi........................ fermeture hebdomadaire Mercredi................... 11 : 00 – 18 : 00 Jeudi......................... 11 : 00 – 18 : 00 Vendredi................... 11 : 00 – 18 : 00 Samedi..................... 10 : 00 – 20 : 00 Dimanche................. 10 : 00 – 18 : 00 Les caisses ferment 45 minutes avant la fermeture du Centre Pompidou-Metz
Tarifs Tarif unique : 7 € Le ticket vous donne accès à l’ensemble des expositions présentées le jour de votre visite. L’entrée est gratuite, sur présentation d’un justificatif, pour : — les moins de 26 ans, — les enseignants en activité (Pass éducation ou carte professionnelle française), — les visiteurs handicapés et leur accompagnateur, — les demandeurs d’emploi inscrits en France (justificatif de moins de 6 mois), — les allocataires du RSA ou de l’aide sociale (justificatif de moins de 6 mois), — les titulaires du minimum vieillesse, — les guides interprètes et conférenciers nationaux, — les titulaires de la carte Icom, Icomos ou Aica, — les titulaires d’une carte de presse, — les artistes membres de la Maison des Artistes, — les agents du Centre Pompidou et de ses organismes associés (BPI, IRCAM) sur présentation de leur badge, — les adhérents du Centre Pompidou (une gratuité pour une entrée achetée). Ont accès à la file prioritaire : — les titulaires du Pass du Centre Pompidou-Metz, — les visiteurs handicapés et un accompagnateur, — les titulaires de réservations, de tickets d’entrée ou de contremarques, — les titulaires de la carte Icom, Icomos ou Aica — les titulaires d’une carte de presse. Pass annuel Centre Pompidou-Metz : 33 € Renouvellement Pass 30 € (tarif préférentiel applicable pour tout renouvellement dans un délai maximum de 3 mois après l'échéance du Pass)
Audioguides : 3 € Des audioguides multimédia sont disponibles uniquement au comptoir de la billetterie. Langues : français, anglais et allemand. Accessibles aux déficients auditifs (BIM). Pour tout renseignement supplémentaire : centrepompidou-metz.fr
COMMENT ACHETER SON BILLET ? Sur place : vous pouvez acheter vos billets aux guichets du Centre Pompidou-Metz. En ligne : sur notre site Internet : centrepompidou-metz.fr à la rubrique Billetterie. Auprès de nos réseaux partenaires : Digitick, Fnac, France Billet et TicketNet.
VISITES GUIDÉES GROUPE Visite guidée avec un conférencier du Centre Pompidou-Metz : Tarif : 170 € Langues : français, anglais, allemand Ce tarif comprend l’entrée aux expositions, la visite guidée d’1h30 par un conférencier et les frais de réservation pour un groupe. Les visites de groupe sont strictement limitées à 20 personnes. Visite libre ou avec un conférencier extérieur au Centre Pompidou-Metz : Tarif : 7 € par personne + 20 € de frais de réservation qui vous garantissent un accès prioritaire. Les visites de groupe sont strictement limitées à 20 personnes. Réservation obligatoire et exclusivement sur notre site Internet centrepompidou-metz.fr, à la rubrique Billetterie.
Évènements Dans le prolongement de ses expositions, le Centre Pompidou-Metz propose une programmation artistique pluridisciplinaire régulière dans les espaces dédiés que sont l’Auditorium Wendel et le Studio. Ces évènements portent sur tous les champs de la création artistique.
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Spectacles vivants : — Danse, théâtre, performances et concerts : 5 € / 10 € / 15 € / 20 € selon le spectacle Cinéma : 5 € la séance (tarif unique) / gratuit pour les adhérents Rencontres/Conférences : — Paroles d’artistes : Entrée libre dans la limite des places disponibles — Gratuit pour les adhérents — Initiation à l’Histoire de l’art du xxe siècle : 5 € (tarif unique) — Initiation à l’Histoire du design : 5 € (tarif unique) — Un dimanche, une œuvre : Accès libre pour les visiteurs munis d’un billet d’entrée aux expositions ; dans la limite des places disponibles. Inscription le jour même aux caisses.
COMMENT VENIR AU CENTRE POMPIDOU-METZ ? À pied : à 2 min de la gare TGV de Metz Ville, à 10 min du centre historique. En voiture : autoroutes A4 (Paris/Strasbourg) et A31 (Luxembourg/Lyon), sortie Metz Centre. Un parc de stationnement souterrain est accessible par l’avenue François-Mitterrand, tous les jours et 24h/24. Parking de 700 places. En bus : autoroutes A4 (Paris/Strasbourg) et A31 (Luxembourg/Lyon), sortie Metz Centre. Un dépose minute groupe est disponible sur l’avenue François-Mitterrand puis des places de parking réservées aux bus et autocars sont accessibles par l’avenue Louis-LeDébonnaire. En train : Gare TGV de Metz Ville. Trains directs : à 1h20 de Paris, à 40 min de Luxembourg Ville. Gare Lorraine TGV (à 29 km de Metz, navettes à disposition). Trains directs : à 2h de Lille Europe, à 4h de Rennes, à 5h de Bordeaux, à 2h40 de Francfort. En avion : aéroport de Metz-Nancy Lorraine (33 km/20 min environ), aéroport de Luxembourg (69 km/45 min), aéroport de Sarrebruck (79 km/1h), aéroport de Zweibrücken (110 km/1h20). Centre Pompidou-Metz 1, parvis des Droits-de-l’Homme CS 90490 F-57020 Metz Cedex 1 +33 (0) 3 87 15 39 39 contact@centrepompidou-metz.fr centrepompidou-metz.fr Retrouvez le Centre Pompidou-Metz sur Facebook et Twitter !
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10. VISUELS PRESSE Les visuels d’œuvres de l’exposition ci-dessous sont téléchargeables en ligne à l’adresse suivante : centrepompidou-metz.fr/phototheque Nom d’utilisateur : presse Mot de passe : Pomp1d57 Une sélection de visuels de l’exposition in situ est également disponible à cette adresse.
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VISUELS DISPONIBLES POUR LA PRESSE
C. Altam, Les Tanks à la Bataille de la Somme, 1917 Paris, F. Rouff, Collection « Patrie », 1917 Ouvrage, 32 p., 19,5 x 14 cm Collection particulière © Droits réservés
Augusto Giacometti, Sommernacht [Nuit d’été], 1917 Giorgio De Chirico, Interno metafisico (con sanatorio), [Grand Intérieur métaphysique], avril-août 1917 Huile sur toile, 95,9 x 70,5 cm
Huile sur toile, 67,2 x 65 cm The Museum of Modern Art, New York © 2012. Digital image, The Museum of Modern Art, New York/Scala, Florence © Droits réservés
The Museum of Modern Art, New York © 2012. Digital image, The Museum of Modern Art, New York/Scala, Florence © ADAGP, Paris 2012
Guy Arnoux, 1917. J’apporte la victoire, 1917 Aquarelle, encre de Chine, plume et mine de plomb sur papier, 36,7 x 26,3 cm
Albert Gleizes, Paysage des Bermudes, 1917 Giorgio De Chirico, Solitudine [Solitude], 1917
Huile sur carton, 92 x 73 cm
Centre national des arts plastiques – ministère de la Culture et de la Communication, Paris Dépôt à la BDIC, Nanterre © Collection BDIC © Droits réservés
Crayon sur papier, 22,4 x 32 cm
Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-GP/Jacqueline Hyde © ADAGP, Paris 2012
Pierre Bonnard, Un village en ruines près de Ham, 1917
Otto Dix, Selbstporträt als Soldat [Autoportrait en soldat], 1917
Huile sur toile, 63 x 85 cm
Craie sur papier, 39,9 x 39,4 cm
Centre national des arts plastiques – ministère de la Culture et de la Communication, Paris Dépôt à la BDIC, Nanterre © Collection BDIC © ADAGP, Paris 2012
Staatliche Museen zu Berlin, Kupferstichkabinett, Berlin © BPK Berlin, Dist. RMN-GP/Jörg P. Anders © ADAGP, Paris 2012
The Museum of Modern Art, New York © 2012. Digital image, The Museum of Modern Art, New York/Scala, Florence © ADAGP, Paris 2012
Marcel Duchamp, Foutain [Fontaine], 1917/1964 Constantin Brancusi, Princesse X, 1915 - 1916
Faïence blanche recouverte de glaçure céramique et de peinture, 63 x 48 x 35 cm
Bronze poli, pierre calcaire, 61,7 x 40,5 x 22,2 cm
Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-GP/Christian Bahier et Philippe Migeat © Succession Marcel Duchamp / ADAGP, Paris 2012
Centre Pompidou, Musée national d'art moderne, Paris © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-GP/Adam Rzepka © ADAGP, Paris 2012
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Juan Gris, Arlequin à la guitare, 1917 Huile sur panneau, 101 x 65,1 cm The Metropolitan Museum of Art, New York © The Metropolitan Museum of Art, Dist. RMN-GP / image of the MMA © Droits réservés
George Grosz, Explosion, 1917 Huile sur panneau composé, 47,8 x 68,2 cm The Museum of Modern Art, New York © 2012. Digital image, The Museum of Modern Art, New York/Scala, Florence © The Estate of George Grosz, Princeton, NJ./ADAGP, Paris 2012
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Gaston Hoffmann, Le Sort des premiers tanks, 31 juillet 1917
John Nash, Oppy Wood, 1917. Evening [Oppy Wood, 1917. Le soir], 1918
Crayon et lavis d'encre de Chine sur feuille de carnet, 13,5 x 20,2 cm
Huile sur toile, 182,8 x 213,3 cm
Musée de Metz Métropole – La Cour d’Or, Metz © Laurianne Kieffer, Musée de La Cour d’Or Metz Métropole © Droits réservés
Henri Matisse, Auguste Pellerin II, mai 1917
IWM (Imperial War Museums), Londres © IWM (Art.IWM ART 2243)
Huile sur toile, 150,2 x 96,2 cm Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-GP/Philippe Migeat © Succession H. Matisse
Paul Nash, Existence, 1917
Ernst Ludwig Kirchner, Kopf Van de Velde, Dunkel [Tête de Van de Velde, sombre], 1917
Craie, encre et lavis sur papier, 52,5 x 36,7 cm
Xylographie sur papier, 49,8 x 40,2 cm Staatliche Museen zu Berlin, Kupferstichkabinett, Berlin © BPK, Berlin, Dist. RMN-GP / Jörg P. Anders
Claude Monet, Portrait de l’artiste, 1917
IWM (Imperial War Museums), Londres © IWM (Art.IWM ART 722)
Huile sur toile, 70,5 x 55 cm Musée d’Orsay, Paris © RMN-GP, Musée d’Orsay/Jean-Gilles Berizzi
Ernst Ludwig Kirchner, Kopf des Kranken (Selbstporträt) [Tête du malade (Autoportrait)], 1917-1918 Xylographie sur papier, 56,8 x 26,8 cm Staatliche Museen zu Berlin, Kupferstichkabinett, Berlin © BPK, Berlin, Dist. RMN-GP / Jörg P. Anders
Max Pechstein, [Sans titre]. De la série SommeSchlacht (Bataille de la Somme), [1916-1917] James Montgomery Flagg, I Want you for U.S. Army [Je te veux pour l’armée américaine], 1917 Lithographie couleur sur papier, 96,5 x 63,2 cm
Eau-forte sur papier, 52,2 x 42,6 cm Historial de la Grande Guerre, Péronne (Somme) © Péronne, Historial de la Grande Guerre/Yazid Medmoun © Pechstein Hambourg/Toekendorf/ADAGP, Paris 2012
BDIC, Nanterre © Collection BDIC © Droits réservés
Pablo Picasso, Arlequin et femme au collier, 1917 Huile sur toile, 200 x 200 cm
Otto Lehmann, Wir Schlagen sie. Und Zeichnen Kriegsanleihe! [Nous les vaincrons. Souscrivons aux emprunts de guerre !], 1917-1918 Affiche (Allemagne) : lithographie couleur sur papier, 33,8 x 23,6 cm
John Nash, « Over the Top ». First Artists’ Rifles at Marcoing, 30th December 1917 [À l’assaut. Le First Artists’ Rifles à Marcoing, 30 décembre 1917], 1918 Huile sur toile, 79,8 x 108 cm IWM (Imperial War Museums), Londres © IWM (Art.IWM ART 1656)
BDIC, Nanterre © Collection BDIC © Droits réservés
39
Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-GP/Bertrand Prévost © Succession Picasso, 2012
1917
Pablo Picasso, Rideau de scène du ballet Parade, 1917 Peinture à la colle sur toile, 1050 x 1640 cm Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-GP/Christian Bahier et Philippe Migeat © Succession Picasso, 2012
[Plaie de la région orbitaire côté droit. Perte totale de l’œil droit et substance osseuse du maxillaire inférieur. Moulage réalisé quelques heures après la blessure], 1914-1919 [Coupe-papier belge. Portrait gravé du Roi Albert Ier], [1914-1918] Éclat d’obus gravé et poli, 1,8 x 32 x 5,5 cm
Moulage en plâtre peint rehaussé de cire, 34,8 x 21,3 x 11,5 cm Musée du Service de santé des armées, Paris © Musée du Service de santé des armées au Val-de-Grâce, Paris © Droits réservés
© Collection Patrice Warin © Droits réservés
Hans Richter, Visionäres Porträt [Portrait visionnaire], 1917 Huile sur toile, 53 x 38 cm Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris © Centre Pompidou, MNAM-CCI, Dist. RMN-GP/droits réservés © Hans Richter Estate
[Cendrier en forme de casquette anglaise], [1914-1918] Laiton de douille découpé, 6,5 x 12,5 cm © Collection Patrice Warin © Droits réservés
[Visage mutilé par éclat d’obus. Perte de substance sur la partie droite du visage, notamment les maxillaires et supérieur et inférieur. Aspect de la blessure avant traitement], 1914-1919 Moulage en plâtre et cire polychrome, 35,8 x 21,5 x 15 cm Musée du Service de santé des armées, Paris © Musée du Service de santé des armées au Val-de-Grâce, Paris © Droits réservés
Félix Vallotton, Verdun. Tableau de guerre interprêté [sic] projections colorées noires bleues et rouges terrains dévastés, nuées de gaz, 1917 Huile sur toile, 114 x 146 cm Musée de l'Armée, Paris © Musée de l’Armée, Dist. RMN-GP/Pascal Segrette © Droits réservés
[Presse-papier allemand avec croix de fer], [1914-1918] Laiton et douille de 37mm pour le pied, 17 x 9,6 x 14,2 cm © Collection Patrice Warin © Droits réservés
[Porte-photographies], [1914-1918] Douilles d’obus, 28,2 x 22,9 x 9 cm Archives Jean-Jacques Lebel © Philippe Fuzeau © Droits réservés
Alexej von Jawlensky, Mystischer Kopf. Großer Frauenkopf [Tête mystique. Grande tête de femme], v. 1917 Huile sur papier, 50 x 40 cm Stiftung Wilhelm Lehmbruck Museum, Duisbourg © LehmbruckMuseum/Bernd Kirtz © ADAGP, Paris 2012
[Avion miniature], [1914-1918] [Cambrai], [1914-1918]
Balle de fusil, 4,5 x 10 x 8 cm
Douille d’obus gravée et martelée, 23 x 9 cm © Philippe Fuzeau © Droits réservés
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Archives Jean-Jacques Lebel © Philippe Fuzeau © Droits réservés
1917
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