L’accord bilatéral sur la suppression des obstacles techniques au commerce nécessite une adaptation régulière. Cette dernière est actuellement suspendue par l’UE, pour des raisons que l’on ne peut que supposer mais qui ne paraissent pas pertinentes. L’économie helvétique s’en inquiète légitimement et le Conseil fédéral devrait exiger que cet accord, en vigueur depuis quinze ans, continue à fonctionner de manière satisfaisante.