Les mesures d’accompagnement à la libre circulation des personnes sont critiquées au motif
qu’elles encouragent les conventions collectives de travail, et donc des salaires minimaux qui
défavoriseraient les jeunes cherchant à entrer sur le marché du travail. Une telle conclusion ne
correspond pas à la réalité. De plus, cette analyse très théorique néglige le fait que les mesures
d’accompagnement sont nécessaires pour rendre la libre circulation politiquement acceptable.