Le Cercle Cité - un nouvel ensemble attractif en plein centre-ville

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LE CERCLE-CITÉ Luxembourg

un nouvel ensemble attractif en plein centre-ville



LE CERCLE-CITÉ

Luxembourg


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PRÉFACE En plus de cent ans d’existence, le Cercle a toujours été un lieu de rencontre et de convivialité au cœur de la ville, le centre de la vie sociale de la capitale, un lieu impressionnant et prestigieux a prêté son cadre à d’innombrables réjouissances et célébrations et qui a accueilli grands banquets, soirées de gala, bals, expositions et toutes sortes de fêtes et d’événements culturels le rendant cher au cœur des Luxembourgeois.

Le Cercle a en outre été, comme peu d’autres édifices, le témoin des grands moments de l’histoire de la ville et du pays des années sombres de l’occupation nazie à la présence de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l’acier et aux festivités des 25 ans de règne du Grand-Duc Jean en 1989, et a pu accueillir au fil des ans des personnalités internationales, de la reine d’Angleterre au président Mitterrand en passant par Margaret Thatcher et Willy Brandt. Fermé il y a six ans en vue d’indispensables travaux de rénovation, le Cercle est fin prêt à accueillir dans son cadre impressionnant des événements de prestige et à ouvrir à nouveau ses portes aux associations et aux résidents de


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la ville. Qui plus est, en conjonction avec le bâtiment de l’ancien Ciné-Cité voisin, le complexe Cercle-Cité abritera désormais un centre de conférences sophistiqué en plein centre-ville.

attentes du grand public ni de parfaire l’image d’une ville dynamique, conviviale et multiculturelle.

Au nom du Collège échevinal et de tous nos concitoyens, nous tenons à remercier l’équipe de l’atelier d’architecture Beng, de même que les collaborateurs des différents services et institutions ainsi que tous les corps de métier ayant contribué à l’achèvement des travaux du Cercle-Cité. Nous sommes persuadés que le futur du Cercle-Cité sera aussi glorieux que son passé et que la qualité des évènements culturels ne manquera pas de satisfaire les

Paul Helminger Bourgmestre

Lydie Polfer

Présidente du comité de gérance


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SOMMAIRE

LE CERCLE-CITÉ, un nouvel équipement multifonctionnel au cœur de la ville 

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Si

LE CERCLE

pouvait parler

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Récapitulatif Cercle 

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Entreprises engagées dans la réalisation du Cercle (phases I et II) 

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UN TRIPLE DEFI, de restauration 

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les travaux

LE CITÉ, 

du cinéma à la bibliothèque

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Le Cité, un nouveau centre socioculturel 

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Récapitulatif Cité 

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LE CERCLE-CITÉ, un nouvel équipement multifonctionnel au cœur de la ville


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Avec le nouvel ensemble architectural Cercle-Cité, la Ville de Luxembourg s’est dotée d’un équipement multifonctionnel en plein cœur de la capitale. Composée du Cercle municipal récemment rénové et d’un centre socioculturel moderne construit sur l’emplacement de l’ancien Ciné-Cité, cette nouvelle structure aux abords de la place d’Armes propose aux citoyens et aux visiteurs des services multiples. Le Cercle-Cité, dont le lancement s’inscrit dans un plan d’action concerté de la Ville de Luxembourg, joue un rôle clé dans l’évolution de l’image de la capitale. Misant sur l’accessibilité et la convivialité, il doit contribuer de manière substantielle à accroître l’attrait du centre-ville. Dans la mesure où le Cercle-Cité est appelé à concourir à la réanimation du centre-ville, les infrastructures qu’il abrite ont été conçues de manière à s’ouvrir à un large public. Ce faisant, il doit permettre de renforcer l’image de Luxembourg comme ville cosmopolite et dynamique. La conception architecturale du nouvel ensemble se veut à la fois novatrice et accueillante, jouant sur le contraste entre l’architecture historique et monumentale du Cercle d’une part et l’aspect moderne, voire futuriste, du Cité d’autre part. Pour marquer leur complémentarité, les deux bâtiments sont par ailleurs reliés par une passerelle en verre. Outre l’ancienne Bibliothèque municipale, aujourd’hui complétée par une médiathèque et rebaptisée CitéBibliothèque, le Cercle-Cité abrite un centre de

conférences comportant deux auditoriums et plusieurs salles de conférences, et auquel s’ajoutent un espace d’exposition et un restaurant. Suite à leur rénovation, les trois salons de l’ancien Cercle municipal ont retrouvé leur splendeur d’antan. Avec la grande salle de bal, ils forment un cadre prestigieux pouvant accueillir des manifestations diverses : événements mondains et réceptions officielles, mais aussi réunions privées ou d’entreprise. Le complexe architectural Cercle-Cité se prête tout particulièrement à la tenue d’événements d’entreprise, offrant un cadre à la fois sophistiqué et professionnel, des équipements performants et des services personnalisés. Le centre de conférences, qui se compose de quatre salles modulables, du petit auditorium du Cercle et du grand auditorium du Cité, peut accueillir jusqu’à 250 personnes. Toutes les salles sont dotées d’équipements multimédia et permettent la réalisation de visioconférences. Couvrant une superficie de 490 m2, la nouvelle galerie d’art aménagée dans l’ancien Ratskeller au rez-dechaussée du Cercle permet la tenue d’expositions dans un cadre hors du commun. L’offre culturelle du CercleCité est complétée par la Cité-Bibliothèque de la Ville de Luxembourg, qui s’étend sur trois étages du Cité et permet aux usagers de consulter livres et journaux ou de se connecter à l’un des terminaux Internet mis à disposition gratuitement. Enfin, au 1er étage du Cité, le restaurant Aka Cité attend ses clients avec le premier train sushi au Luxembourg.


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Si

LE CERCLE

pouvait parler…

Le Cercle municipal tient son nom de l’ancien Cercle littéraire. Créé en 1826 à Luxembourg-ville, le Cercle littéraire s’était porté acquéreur de la maison Metz, située rue Genistre (communément appelée Lantergässel, soit « ruelle des Lanternes »), afin d’y faire construire une salle des fêtes. Lorsque l’effort financier s’avère trop important, la Ville de Luxembourg décide de lui racheter le site et de mener les travaux de construction à leur fin. Si par la suite, la maison change de propriétaire à plusieurs reprises, elle continue cependant d’accueillir les activités du Cercle littéraire, comme en témoigne une affiche d’époque faisant la publicité de la comédie-vaudeville Le Gamin de Paris, donnée en représentation le lundi 17 février 1862.

Les origines Suite au traité de Londres de 1867, le Luxembourg devient un pays indépendant et neutre. Le démantèlement de la forteresse prévu par les accords permet à la ville de Luxembourg de s’ouvrir en récupérant des terrains jusqu’alors militaires. Peu à peu, elle s’affirmera comme une capitale moderne avec des parcs, des boulevards et des réalisations architecturales prestigieuses.

En 1902, la municipalité décide de démanteler le corps de garde de la place d’Armes et le Cercle de la rue Genistre, afin d’y ériger un « palais municipal » avec salle des fêtes et salons représentatifs. Un concours architectural à deux tours est lancé en juillet 1902. Un jury composé de trois éminents architectes étrangers – Joseph-Antoine Bouvard de Paris, Friedrich von Thiersch de Munich et Ernest Acker de Bruxelles – présélectionne quatre projets. Le concours sera finalement remporté par « Le Coq », un projet conçu par Pierre Funck (1840-1932) et Paul Funck (1875-1939). Les projets « Moto O » de Nicolas Petit (18761953) et « Municipal », également des Funck père et fils, se classent deuxièmes ex-aequo. Le projet d’inspiration française des Funck l’aura donc emporté sur le style rigoureux, d’inspiration allemande, de Petit.


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Le gros œuvre de la construction est achevé en 1906 et, trois ans plus tard, les premiers services municipaux s’installent dans le nouveau « palais municipal ». Hormis les grands salons réservés aux réceptions officielles, l’immeuble accueille les bureaux de l’architecte de la Ville, plusieurs salles de réunions où siègent les commissions municipales, un poste de police avec « violon » (situé côté gauche, rue Genistre) et une permanence des pompiers (côté droit, rue du Curé).

devient surtout (et faute de mieux) un lieu polyvalent qui accueille les manifestations les plus diverses, voire incongrues : présentation de la nouvelle Renault Dauphine en 1956, Concours national de la Fédération des coiffeurs, Foire gastronomique de 1934, Tournoi international de tennis de table en 1939 ou encore une rencontre de boxe entre le Luxembourg et la Belgique en 1945.

Un palais municipal à vocation nationale et internationale

la Communauté européenne du charbon et de l’acier (CECA), que le Cercle perd sa vocation publique. Il faudra attendre les années 1970 et le regroupement définitif des institutions européennes dans le nouveau quartier de Kirchberg pour qu’il s’ouvre de nouveau au public. Et bien que, dans l’intervalle, de nouvelles infrastructures, mieux adaptées à l’organisation de manifestations culturelles ou autres, aient vu le jour sur le territoire de la ville, l’attrait du Cercle ne se démentira jamais.

Tout au long de son histoire, le Cercle a été le théâtre d’importants événements historiques. Cela ne l’empêchera pas de devenir un lieu de rencontre privilégié des Luxembourgeois, qui s’y retrouvent à l’occasion de bals, de bazars ou encore du tirage de la Loterie nationale. Lieu de travail pour les uns, lieu festif pour les autres, le Cercle

Ce n’est que dans les années 1950 et 1960, lorsqu’il accueille les séances du Conseil spécial des ministres de


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Le Cercle en temps de guerre Pendant la Seconde Guerre mondiale, le Cercle devient le lieu privilégié des spectacles publics de l’occupant nazi. Décoré de grandes croix gammées et aménagé dans le style affectionné par les caciques du parti national-socialiste, il prête son cadre aux manifestations de l’Union des jeunes filles allemandes (Bund deutscher Mädel – BDM), aux festivités commémorant la Nuit de Cristal et aux rencontres annuelles des conseillers d’arrondissement (Kreistage) de 1942 et 1943.

Au lendemain de la défaite allemande, le Cercle devient un haut lieu de la Commémoration. Le 10 septembre 1944, le Prince Félix s’adresse à la foule depuis le balcon du Cercle en compagnie du général américain Lunsford Oliver, dont la 5e Division blindée vient de libérer la capitale. L’événement a marqué les esprits à tel point que le 8 septembre 1945, le premier anniversaire de la Libération sera fêté sous la forme d’un concert de gala au Cercle. L’année suivante, le bâtiment devient témoin d’une exposition photographique commémorant les quelque

3 000 Luxembourgeois disparus pendant la guerre et de la présentation des cercueils et des urnes des patriotes luxembourgeois décédés en Allemagne. En 1952, le Cercle entre de plain-pied dans l’histoire européenne en accueillant les premières réunions de la Haute Autorité de la Communauté européenne du charbon et de l’acier (CECA).

Palais des citoyens et des têtes couronnées Conçue comme une salle de concerts, la Grande Salle du Cercle pouvait accueillir jusqu’à 500 personnes. Un certain temps, il fut même envisagé de la doter d’un orgue à tuyaux, mais cette idée restera finalement au stade de projet. Cela n’empêchera pas la venue de grands interprètes étrangers : le 2 mai 1929, près de 800


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personnes se serrent dans la Grande Salle pour assister au concert de l’Orchestre philharmonique de Berlin sous la direction de Wilhelm Furtwängler, et dix ans plus tard, le 8 mai 1939, Richard Strauss y dirige son Don Juan. En revanche, les Journées de Beethoven en 1940, malgré la qualité indéniable des prestations musicales et la présence de la grande pianiste allemande Elly Ney, garderont à tout jamais un arrière-goût amer en raison de leur caractère de propagande.

Le Cercle et son prédécesseur, le Cercle littéraire, ont par ailleurs joué un rôle important dans la création artistique nationale. C’est en effet au Cercle littéraire qu’est donnée, le 25 février 1855, la première pièce de théâtre en langue luxembourgeoise, De Scholtschäin (Le Titre de créance) d’Edmond de la Fontaine, dit Dicks (18231891), et il revient à la Grande Salle d’accueillir la plupart des concerts organisés par le Conservatoire de musique de la Ville, sous la direction de Lucien Lambotte, les matinées musicales de la Musique militaire, sous la direction de

Fernand Mertens, et le tout premier concert des Jeunesses musicales le 12 juillet 1946. En 1973, le compositeur luxembourgeois René Hemmer y présente en première son œuvre Intensité et Rythme à l’occasion d’un des rendez-vous traditionnels de la Musique militaire. Les concerts de l’Orchestre de RadioLuxembourg sous la direction d’Henri Pensis (1949 et 1950) et le Te Deum de Marc-Antoine Charpentier avec les musiciens du Conservatoire de la Ville sous la direction


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de Joseph Hamer (1973) restent, eux, aussi des moments musicaux inoubliables. Grâce à son balcon, qui peut accueillir un orchestre complet, la Grande Salle s’avère particulièrement adaptée pour la tenue de bals. Dans l’entre-deux-guerres, le bal de la Saint Sylvestre organisé par l’Harmonie municipale et le bal de l’Orphéon municipal sont des événements incontournables. À partir de 1945 viendront s’y ajouter les bals du Jeune Barreau, du club d’escrime Spora, de l’Union commerciale, des Officiers et de l’association étudiante Assoss.

De 1926 à 1969, entrecoupées seulement par les années de guerre, les fameuses redoutes masquées à la mi-Carême sont le rendez-vous obligé de la jeunesse luxembourgeoise. Après la Seconde Guerre mondiale, le Bazar de la CroixRouge au Cercle municipal devient la plus importante manifestation de bienfaisance du pays. Le Cercle et son parvis accueillent également les tirages de la Loterie nationale.


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Enfin, le Cercle prête volontiers son cadre prestigieux aux visites d’Etat. Le premier dans ce qui deviendra une longue liste de chefs d’Etat et de têtes couronnées en visite au Cercle est Son Altesse Impériale et Royale le Ras Taffari d’Ethiopie, le 25 mai 1924. Après 1945, le rythme des visites d’Etat s’accentue : bon nombre de Luxembourgeois se rappelleront avec bonheur la visite féerique du couple royal de Thaïlande en 1960 ou celles de la reine Juliana des Pays-Bas en 1951, du roi Baudouin des Belges en 1959, de la reine Elisabeth II d’Angleterre en 1976, de la reine Margrethe II de Danemark en 1976 et du couple royal de Suède en 1983. A noter enfin la

visite des présidents de l’Autriche (1975), d’Israël (1985), de la Finlande (1992) et de la Pologne (1998). Lors de la visite de François Mitterrand au Luxembourg en 1992, le Cercle passe à l’heure de l’Elysée, avec haie d’honneur de la Garde républicaine et dîner somptueux servi sur porcelaine de Limoges.

La famille grand-ducale est elle aussi régulièrement accueillie au Cercle, que ce soit pour l’ouverture du Bazar de la Croix-Rouge ou pour des occasions plus officielles. En 1939, la Grande-Duchesse Charlotte y inaugure les festivités du Centenaire de l’Indépendance du Luxembourg. En 1989, le Grand-Duc Jean y fête le 25e anniversaire de son avènement au trône, puis, l’année suivante, le centenaire de la dynastie luxembourgeoise, commémoré en présence de la reine Beatrix des Pays-Bas.


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Le Cercle : un lieu de travail et d’échanges

Autorité de la CECA prévoit sa mise à disposition pour les besoins de la municipalité pendant quinze jours en décembre et quinze jours lors du Carnaval.

En 1952, la Ville de Luxembourg est désignée « capitale provisoire » des institutions de la Communauté européenne du charbon et de l’acier (CECA). Cette décision inattendue prend de court les instances luxembourgeoises et les oblige à improviser pour loger les fonctionnaires européens.

Les salons du Cercle accueillent quant à eux des conférences et congrès internationaux sur les sujets les plus variés, et parfois insolites : Congrès international de la médecine militaire (1938), Congrès colonial international (1938), Congrès du Mouvement international des étudiants catholiques Pax Romana (1949), Bureau international de la chaussure et du cuir (1952), Convention

Un bâtiment situé place de Bruxelles et destiné aux Chemins de fer luxembourgeois est réquisitionné, tandis que la Villa Vauban, une ancienne maison bourgeoise réaménagée en galerie d’art municipale, accueille dorénavant la Cour de justice de la nouvelle entité européenne. En raison de l’exiguïté des locaux, les grandes séances du tribunal ont lieu dans la Grande Salle du Cercle.

annuelle de l’Amicale des personnes retraitées, âgées et solitaires (Amiperas, 1965), Convention internationale sur les substances vitales, l’alimentation et les maladies de civilisation (1967), Congrès international de la Ligue du Coin de Terre et du Foyer (15 septembre 1967)…

Bien que le Cercle ne soit plus accessible au public, le contrat de bail entre la Ville de Luxembourg et la Haute

Ils voient en outre défiler les personnalités politiques, parmi lesquelles Margaret Thatcher (18 octobre 1979) et Willy Brandt (4 mai 1992), qui donnent des conférences sur le processus d’intégration européen. Dans le cadre de la CECA, différents congrès et réunions à caractère


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européen sont organisés au Cercle, dont ceux des Jeunes travailleurs des mines (1954), des Fédéralistes européens (1960) et des Bourgmestres des villes sidérurgiques de la CECA (1963). La conception originale du Cercle municipal prévoyait, outre l’accueil des bureaux de la municipalité, une permanence des pompiers, un poste de police et les bureaux de l’architecte de la Ville. En 1934, le Syndicat d’Initiative de la Ville profite du départ de la police et des pompiers pour y établir son centre d’accueil, qui deviendra

le premier point de chute pour les touristes. En 1983, la Ville de Luxembourg inaugure au Cercle une exposition permanente ayant pour sujet la forteresse et ses vestiges, et dont le point d’orgue est la reproduction fidèle d’une maquette historique de la forteresse de Luxembourg réalisée entre 1802 et 1805. Enfin, les anciens élèves de la Ville de Luxembourg se rappelleront leurs visites chez les médecins du Service médical scolaire, qui avait trouvé refuge au Cercle dans les années 1950 et 1960.

Une cure de jouvence Construit entre 1906 et 1909, le bâtiment actuel a fait l’objet de nombreux travaux d’embellissement et de transformation au cours de son existence. En 1952, la Grande Salle est aménagée pour accueillir le tribunal de la CECA. Après le départ de celui-ci en 1970, elle fait peau neuve. En 1989, à l’occasion du centenaire de la dynastie grandducale, le Cercle est rafraîchi une première fois, mais en

2003, la municipalité décide que le temps est venu de l’adapter aux besoins actuels. Profitant de cette occasion, elle choisit d’y installer un centre de conférences, équipé d’outils de visioconférence modernes, ainsi qu’une galerie d’art qui vient compléter les infrastructures culturelles existantes que sont le Musée d’Histoire de la Ville de Luxembourg et la Villa Vauban – Musée d’Art de la Ville de Luxembourg. Grâce à cette cure de jouvence, le Cercle a de beaux jours devant lui.


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UN TRIPLE DÉFI, les travaux de restauration A l’aube du 21e siècle, la rénovation du Cercle s’est avérée inéluctable. Toutefois, la restauration de ce bâtiment presque centenaire posait des défis majeurs. Il s’agissait d’une part de l’adapter aux normes actuelles en matière de sécurité et d’hygiène, tout en respectant le patrimoine historique. Dès lors, il fallait minimiser l’impact des interventions sur l’aspect de l’immeuble, particulièrement en ce qui concernait les parties accessibles au public, telles que le hall d’entrée, le péristyle, l’escalier d’honneur et les salons du bel-étage. D’autre part, la Ville de Luxembourg avait pour objectif de convertir le Cercle en un centre de conférences, relié à la nouvelle infrastructure voisine du Cité, et d’y intégrer une galerie d’art dans les espaces de l’ancien Ratskeller, tout en garantissant l’accessibilité aux personnes à mobilité réduite. Les travaux de rénovation et de conversion ont été réalisés en deux phases. La première phase (2005-2008) s’est conclue avec le réarrangement des espaces non publics, l’intégration du centre de conférences et le réaménagement des cuisines et de leurs annexes. La deuxième phase (2009-2011) a permis de revoir entièrement le fonctionnement des installations de sécurité (contrôle d’accès, circulation, détection incendie, sonorisation) et des équipements techniques (ventilation, réseau de courant faible et basse tension, système multimédia). Parallèlement, l’ancien Ratskeller a été transformé en galerie d’art, tandis que les locaux du Luxembourg City Tourist Office (LCTO) ont été réaménagés pour accueillir les bureaux de l’Union commerciale et le Bureau enfance et jeunesse.

Les travaux de rénovation relevaient donc d’un triple défi, puisqu’il s’agissait : > de concilier l’architecture classique de Pierre et Paul Funck avec un immeuble résolument contemporain, dont les signes distinctifs sont des grandes baies vitrées et une bulle en acier ; > d’intégrer les technologies modernes dans l’architecture historique, tout en conservant son aspect d’origine ; > de porter le bâtiment aux normes de sécurité et d’hygiène actuelles et de répondre aux exigences du public de demain.


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Les salons restaurés Les salons ont été remis dans leur état d’origine : les murs et les plafonds ont été rafraîchis, les salles dotées de lustres restaurés et de nouveaux rideaux, et le parquet de la Grande Salle a été refait à l’ancienne.

L’insertion des nouvelles technologies, qui assurent confort et qualité, a été réalisée de manière discrète : les réseaux ont été intégrés aux boiseries, aux combles et aux murs de manière à demeurer presque invisibles. L’ensemble bénéficie en outre d’une correction acoustique


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au niveau du plafond dans la Grande Salle et au bar-foyer. Les vitraux d’art sur châssis métalliques ou en bois ont quant à eux été restaurés et incorporés dans des montants à double vitrage.


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L’espace d’exposition Le centre de conférences Suite à son réaménagement, le Cercle permet dorénavant la tenue de conférences en plein centre-ville, à deux pas de la zone piétonne et de la vieille ville classée patrimoine mondial de l’Unesco, avec ses commerces, cafés, restaurants et musées. Le nouveau centre de conférences, qui occupe pour l’essentiel le cinquième étage, comprend quatre salles de conférences et un auditorium d’une capacité de 48 places, équipés d’installations multimédia (projection et sonorisation) et d’un système de visioconférence performant.

L’ancien Ratskeller et ses annexes ont été mis en conformité et réaménagés en salle d’exposition. La galerie d’art est reliée à la place d’Armes par le hall principal et bénéficie par ailleurs d’un accès direct situé rue du Curé.

La vitrine commerciale Les anciens bureaux du LCTO ont été réaménagés pour les besoins de l’Union commerciale de la Ville de Luxembourg. Le visiteur y trouvera un espace innovant destiné à la promotion des produits et services proposés par les quelque 450 commerces sur le territoire de la ville.


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Le Bureau enfance et jeunesse Dans le cadre de son Plan d’action communal enfance (PACE), la Ville de Luxembourg inaugurera une nouvelle structure communale dans les locaux du Cercle, dédiée exclusivement aux jeunes citoyens de la ville. Le Bureau enfance et jeunesse aura pour mission de diffuser et de mettre à disposition des visiteurs toutes les informations et décisions de la municipalité relatives à l’enfance et à la jeunesse.

Back office Les espaces non accessibles au public ont également été réaménagés de manière à répondre aux normes et aux besoins actuels. La cour intérieure a été condamnée afin de dégager des surfaces supplémentaires sur tous les étages. Des vestiaires et des douches ont été aménagés au rez-de-chaussée pour les besoins du personnel de la cuisine, des agents de nettoyage et des artistes qui se produisent sur le kiosque de la place d’Armes. La cuisine et ses dépendances ont été agrandies et équipées pour répondre aux besoins des professionnels. La nouvelle cuisine (98 m2), la plonge (20 m2) et la chambre froide supplémentaire (10 m2) se situent dans la partie centrale du bâtiment. Un monte-plats relie la cuisine de production à la cuisine de préparation au niveau de la Grande Salle et de la Salle Flamande.


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Accessibilité aux personnes à mobilité réduite Tous les espaces publics sont accessibles aux personnes à mobilité réduite. L’entrée principale est équipée d’une rampe permettant l’accès aux chaises roulantes. Des ascenseurs au niveau de l’entrée rue Genistre mènent au centre de conférences et au bel-étage, tandis que l’espace d’exposition est accessible au moyen d’une plateforme hydraulique.

Bureaux Des espaces ont été aménagés pour accueillir les bureaux du Coordinateur culturel de la Ville de Luxembourg, l’administration du Cercle-Cité (1er étage), l’administration de la Cité-Bibliothèque (rez-de-chaussée) et les bureaux de l’Agence luxembourgeoise d’action culturelle (6e étage), qui est par ailleurs en charge de la gestion du complexe Cercle-Cité. Enfin, le logement de service de l’agent de gestion permanent a lui aussi été réaménagé.


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Installations techniques La chaufferie existante et le poste de transformation électrique ont été mis en conformité. Les voûtes au-dessus de la Grande Salle ont été consolidées au moyen d’un système de suspension au niveau du grenier. Le bâtiment a en outre été doté de nouvelles fenêtres à haute protection thermique et acoustique.

WC publics Les installations sanitaires publiques ont été agrandies et mises aux normes.


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LE CITÉ : du cinéma à la bibliothèque


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Le projet d’un cinéma au centre-ville relève d’une initiative conjointe du notaire Charles Michels et de Louis Freysing et Isidore Thill, exploitants des cinémas Marivaux et Victory. Le 23 octobre 1958, le Ciné-Cité est inauguré en présence du Grand-Duc héritier Jean et de la GrandeDuchesse héritière Joséphine-Charlotte. Le film à l’affiche ce soir-là est Le Pont de la rivière Kwai de David Lean, avec Alec Guinness, Jack Hawkins et Sessue Hayakawa dans les rôles principaux.

Mais il devient aussi le rendez-vous des cinéphiles, grâce notamment à ses séances du mercredi et jeudi soir, dédiées aux films d’auteur. Le Cité ne manque pas de faire la une à plusieurs reprises, ainsi en janvier 1969, lorsque le film de propagande Les Bérets verts de John Wayne donne lieu à des manifestations, et en avril 1973, quand une partie du public s’offusque des scènes érotiques dans Le Dernier Tango à Paris de Bernardo Bertolucci. Dans les années 1980, en réponse à la baisse des fréquen­ tations, la grande salle de projection est morcelée en

Avec 800 sièges, un écran cinémascope de 10 x 4,50 m, un système de climatisation automatique et un dispositif sonore pour malentendants, le Ciné-Cité, conçu par l’architecte luxembourgeois Robert Lentz en forme d’entonnoir, est alors la salle la plus moderne de la ville. Les décorations intérieures sont l’œuvre des artistes luxembourgeois Franz Kinnen (frise de verre) et Lou Theisen (peinture murale). Pendant les vingt premières années de son existence, le Ciné-Cité attire un public nombreux en programmant surtout des grandes productions hollywoodiennes.

deux salles plus petites, disposant respectivement de 146 et 230 sièges. Parallèlement, trois salles de 74 à 84 sièges chacune sont aménagées dans les sous-sols. Pourtant, ces transformations ne parviennent pas à enrayer le désamour du public, et le Ciné-Cité est contraint de fermer ses portes une première fois en novembre 1997. La Ville de Luxembourg se porte acquéreur de l’immeuble et confie l’exploitation du cinéma au groupe Utopia. Mais après cet interlude, qui dure d’avril 2000 à janvier 2004, le cinéma est démoli pour laisser place au nouveau centre socioculturel, comprenant la bibliothèque et médiathèque municipale, un auditorium et un restaurant.


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Le Cité : un nouveau

CENTRE SOCIOCULTUREL


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Le Cité est un nouvel espace socioculturel au cœur de la ville. Il abrite une bibliothèque-médiathèque avec un espace Internet, un auditorium et un restaurant. Lieu de rencontre, il se veut aussi un lieu de réflexion et de contemplation. Cette double vocation se reflète au niveau de l’architecture, qui met en scène différents types d’ambiance : introvertie pour les espaces de lecture et de consultation, extravertie pour les espaces de transition, qui s’ouvrent à la vie urbaine et soulignent ainsi l’accessibilité du bâtiment.

Empreint de transparence et de légèreté, le langage architectural du Cité forme un contraste avec le caractère monumental et historique du Cercle municipal, qu’il contribue ce faisant à revitaliser. La liaison fonctionnelle entre les deux bâtiments est assurée par une passerelle à parois vitrées qui traverse la rue Genistre. En journée, la silhouette historique du Cercle se reflète dans la façade vitrée du Cité ; la nuit, l’amphithéâtre illuminé du Cité attire le regard depuis la rue, rappelant discrètement le cinéma dont les lumières animèrent jadis le quartier.


Un bâtiment moderne et fonctionnel L’accueil de la Cité-Bibliothèque se situe au rez-dechaussée, dont la grande baie vitrée, orientée vers le sud, s’ouvre sur la rue piétonne. L’utilisation du verre assure un éclairage naturel de la salle et permet aux passants de découvrir l’intérieur du bâtiment, avec le comptoir d’accueil et les postes d’accès Internet.


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La Cité-Bibliothèque occupe en outre deux étages au sous-sol, reliés par un escalier aux dimensions généreuses. L’apport de la lumière naturelle est ici assuré par un patio côté nord. Un plan d’eau au fond du patio réfléchit la lumière du soleil et contribue ainsi à accroître la luminosité dans les salles, tout en conférant aux espaces une ambiance propice à la concentration.

Les étages supérieurs du bâtiment parallélépipède accueillent l’auditorium. Cet amphithéâtre pouvant accommoder jusqu’à 142 spectateurs se présente sous la forme d’une grande bulle métallique qui, suspendue librement au-dessus de l’espace restaurant, évoque la coque d’un bateau. Dans l’espace restaurant, les activités sont distribuées de part et d’autre d’une grande structure carrée qui fait à la fois office de comptoir-bar, cuisine et tapis roulant sur lequel défilent des assiettes de sushi.


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Der Cercle-Cité: ein neues Kultur- und Konferenzzentrum im Herzen der Stadt Mit dem neuen Cercle-Cité verfügt Luxemburg über ein vielseitig nutzbares Kultur- und Konferenzzentrum inmitten der Hauptstadt. Der aus dem Zusammenschluss des jüngst renovierten Cercle municipal und des neuen soziokulturellen Zentrums am Standort des früheren CinéCité hervorgegangene Gebäudekomplex am Place d’Armes richtet sich an Bürger und Besucher gleichermaßen und zeichnet sich durch seine vielseitige Nutzbarkeit aus. Der Cercle-Cité spielt als Teil eines weit reichenden Aktionsplans der Stadt Luxemburg eine wichtige Rolle in den Bestrebungen, das Profil der Innenstadt zu schärfen. Mit seinem breit gefächerten Angebot wird dieses offene und freundliche Zentrum zur Wiederbelebung des Stadtkerns beitragen und somit die Attraktivität der Hauptstadt entscheidend verbessern. Indem er sich einem größtmöglichen Publikum öffnet, möchte der Cercle-Cité dazu beitragen, das Image Luxemburgs als kosmopolitische und dynamische Stadt zu verstärken. Das architektonische Konzept des Cercle-Cité setzt auf Innovation und Offenheit zugleich, indem es einen Kontrast zwischen der historischen und monumentalen Architektur des Cercle einerseits und dem zeitgemäßen Erscheinungsbild des Cité andererseits schafft. Das Zusammenspiel der beiden Gebäude innerhalb der neuen Einheit wird durch eine verglaste Verbindungsbrücke verdeutlicht. Neben der einstigen Stadtbibliothek, die sich heute als multimediale Cité-Bibliothèque präsentiert, beherbergt der Cercle-Cité ein Konferenzzentrum, bestehend aus zwei Auditorien und mehreren Tagungsräumen, sowie einen Ausstellungsraum und ein Restaurant. Die drei repräsentativen Salons des Cercle haben dank einer umfangreichen Renovierung ihren früheren Glanz wiedererlangt. Zusammen mit dem großen Ballsaal bieten sie einen glanzvollen Rahmen für private wie berufliche Anlässe, von festlichen Abenden und offiziellen Empfängen bis hin zu Firmenevents. Der Gebäudekomplex Cercle-Cité bietet sich dank seines professionellen und stilvollen Rahmens, neuester Technik und maßgeschneiderter Dienstleistungen ganz besonders für Firmenseminare an. Das Konferenzzentrum setzt sich aus vier modularen Tagungsräumen, einem kleinen Auditorium im Cercle und einem großen Auditorium im Cité zusammen und bietet insgesamt bis zu 250 Teilnehmern Platz. Alle Räume sind mit Multimediatechnik und Videokonferenzsystemen ausgestattet. Der im einstigen „Ratskeller“ eingerichtete Galerieraum im Erdgeschoss des Cercle bietet mit seinen rund 490 m2 Stellfläche einen einmaligen Rahmen für Ausstellungen. Das kulturelle Angebot des Cercle-Cité wird durch die Cité-Bibliothèque ergänzt, die sich über drei Stockwerke des Cité erstreckt und Besuchern die Möglichkeit gibt, Bücher und Zeitungen einzusehen oder die frei zugänglichen Internet-Terminals zu nutzen. Im Obergeschoss des Cité wartet zudem das Restaurant Aka Cité mit dem ersten Sushi-Laufband Luxemburgs auf.

Wenn der Cercle sprechen könnte…

Die Ursprünge des Cercle Im Zuge der Londoner Konferenz von 1867 wurde Luxemburg zum unabhängigen und neutralen Land erklärt. Die von den Verträgen vorgesehene Schleifung der Festung erlaubte es der Stadt Luxemburg, neue Baugebiete zu erschließen, die bis dahin militärischen Zwecken vorbehalten waren. Dank dieser Öffnung etablierte sie sich schrittweise als moderne Hauptstadt mit weitläufigen Parks, großen Boulevards und prestigeträchtigen Gebäuden. Der Cercle municipal verdankt seinen Namen dem Cercle littéraire, einem 1826 gegründeten Literaturkreis, der das Haus Metz in der Rue Genistre (auch Lantergässel, sprich „Laternengasse“, genannt) erworben hatte, um dort einen Festsaal einzurichten. Als dem Verein jedoch die Gelder ausgingen, erwarb die Stadt Luxemburg das Gebäude und schloss die Bauarbeiten ab. Obwohl das Haus anschließend mehrere Male den Besitzer wechselte, fanden die Aktivitäten des Cercle littéraire weiterhin dort statt, wie einem historischen Plakat zu entnehmen ist, mit dem die Vorführung der Boulevardkomödie Le Gamin de Paris am 17. Februar 1862 beworben wird. Im Jahr 1902 entschied die Stadt, die am Place d’Armes gelegenen Kasernen und den früheren Cercle in der Rue Genistre abzureißen und an ihrer Stelle einen „Gemeindepalast“ mit Festsaal und repräsentativen Salons zu errichten. Der zweistufige Architekturwettbewerb für die Gestaltung des neuen Gebäudes wurde im Juli 1902 ausgeschrieben. Die aus drei angesehenen ausländischen Architekten bestehende Jury – JosephAntoine de Bouvard aus Paris, Friedrich von Thiersch aus München und Ernest Acker aus Brüssel – behielt zunächst vier Projekte zurück. Prämiert wurde schließlich der Entwurf „Le Coq“ (Der Hahn) von Pierre Funck (1840– 1932) und dessen Sohn Paul Funck (1875–1939). Der zweite Preis ging zu gleichen Teilen an die Entwürfe „Moto O“ von Nicolas Petit (1876–1953) und „Municipal“, ebenfalls von Pierre und Paul Funck. Somit hatte sich das französisch inspirierte Projekt der beiden Funcks gegen Petits strenge, an den deutschen Stil angelehnte Linienführung durchgesetzt. Drei Jahre nach dem Richtfest (1906) zogen die ersten kommunalen Dienststellen in den neuen „Gemeindepalast“ ein. Neben den großen Salons, die Repräsentationszwecken vorbehalten waren, beherbergte das Gebäude auch das Büro des Stadtarchitekten, Sitzungssäle für die einzelnen Gemeindekommissionen, eine Polizeistation mitsamt „Kittchen“ (im linken, an der Rue Genistre gelegenen Gebäudeteil) und eine Feuerwache (im rechten Flügel an der Rue du Curé).


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Ein Gemeindepalast mit nationaler und internationaler Ausrichtung Im Laufe seiner Geschichte wurde der Cercle Zeuge zahlreicher bedeutender Momente in der Geschichte des Landes. Darüber hinaus war er aber auch stets ein sozialer Treffpunkt für die Einwohnerinnen und Einwohner Luxemburgs, die sich hier zu unterschiedlichen Anlässen (Bälle, Wohltätigkeitsveranstaltungen, Ziehung der Lottozahlen…) einfanden. Als Arbeitsort und Vergnügungsstätte zugleich war der Cercle (nicht zuletzt aufgrund fehlender Spielstätten) ein vielseitiger Veranstaltungsort, der für die unterschiedlichsten, teils kuriosen Anlässe genutzt wurde: Vorstellung des neuen Renault Dauphine (1956), Jahreswettbewerb der Nationalen Frisörsvereinigung, Internationale Gastronomische Messe (1934), Internationales Tischtennisturnier (1939) oder Boxmeeting zwischen Luxemburg und Belgien (1945). In den 1950er und 60er Jahren wurde der Cercle für die Treffen des Besonderen Ministerrats der Europäischen Gemeinschaft für Kohle und Stahl (EGKS) bereitgestellt und verlor somit seine öffentliche Funktion. Erst in den 1970er Jahren, als alle europäischen Institutionen im neuen Stadtteil Kirchberg zusammengeführt wurden, erlangte der Cercle seine ursprüngliche Bestimmung zurück. Und obwohl in der Zwischenzeit neue, teils besser geeignete Spielstätten in anderen Stadtvierteln entstanden waren, hat der Cercle bis heute nichts an seiner Attraktivität eingebüßt.

Der Cercle zu Kriegszeiten Während des Zweiten Weltkriegs wurde der Cercle Schauplatz nationalsozialistischer Veranstaltungen. Mit großen Hakenkreuzen geschmückt und im Nazistil eingerichtet, bot er den Rahmen für die Veranstaltungen des Bunds deutscher Mädel (BDM), die Erinnerungsfeier an die Reichskristallnacht und die Kreistage der NSDAP in den Jahren 1942 und 1943. Im Zuge der deutschen Niederlage avancierte der Cercle zu einer Gedenkstätte. Am 10. September 1944 wandte sich Prinz Felix, in Begleitung von General Lunsford Oliver, dessen 5. Gepanzerte Division die Hauptstadt zwei Tage zuvor befreit hatte, vom Balkon des Cercle an die Bevölkerung. Folgerichtig wurde auch der erste Jahrestag der Befreiung am 8. September 1945 in Form eines großen Galakonzerts im Cercle begangen. Ein Jahr später bot der Cercle den Rahmen für eine fotografische Ausstellung zum Gedenken an die 3.000 im Krieg verschollenen Luxemburger sowie für die feierliche Präsentation der Särge und Urnen der in Deutschland umgekommenen Luxemburger Patrioten. Im Jahr 1952 ging der Cercle in die europäische Geschichte ein, als er die ersten Treffen der Hohen Behörde der Europäischen Gemeinschaft für Kohle und Stahl (EGKS) aufnahm.

Palast der Bürger und gekrönten Häupter Der als Konzertsaal konzipierte Festsaal (Grande Salle) bot rund 500 Besuchern Platz. Die zeitweilig geäußerte Idee, ihn mit einer Pfeifenorgel auszustatten, wurde hingegen nie umgesetzt. Dennoch spielten renommierte Interpreten aus der ganzen Welt hier auf: Am 2. Mai 1929 wohnten knapp 800 dicht gedrängte Zuhörer dem Konzert der Berliner Philharmoniker unter der Leitung von Wilhelm Furtwängler bei. Zehn Jahre später, am 8. Mai 1939, dirigierte Richard Strauss hier seine Oper Don Juan. Die Beethoven-Tage 1940 hingegen sollten trotz der unbestreitbaren Qualität der Darbietungen und der Präsenz der berühmten deutschen Pianistin Elly Ney einen bitteren Beigeschmack als Propagandaveranstaltung behalten. Der Cercle municipal und sein Vorgänger, der Cercle littéraire, spielten zudem eine wichtige Rolle im nationalen Kulturleben. Das erste Theaterstück in luxemburgischer Sprache, De Scholtschäin (Der Schuldschein) von Edmond de la Fontaine, genannt Dicks, wurde am 25. Februar 1855 im Cercle littéraire uraufgeführt. Die meisten Konzerte des Städtischen Musikkonservatoriums unter der Leitung von Lucien Lambotte sowie die musikalischen Matinees der Militärmusik (Musique militaire) unter der Leitung von Fernand Mertens fanden im Festsaal des Cercle statt, wie auch das allererste Konzert der Jeunesses musicales am 12. Juli 1946. Im Jahr 1973 stellte René Hemmer (geb. 1919) sein erstes Werk Intensité et Rythme im Rahmen eines der traditionellen Konzerte der Militärmusik im Cercle dem hiesigen Publikum vor. Die Darbietungen des Orchesters von Radio Luxemburg unter der Leitung von Henri Pensis in den Jahren 1949 und 1950 sowie Marc-Antoine Charpentiers Te Deum, gespielt von den Musikern des Städtischen Musikkonservatoriums unter der Leitung von Joseph Hamer, sind weitere musikalische Höhepunkte in der Geschichte des Festsaals. Dank seines Balkons, auf dem ein ganzes Orchester Platz findet, eignete sich der Cercle besonders für große feierliche Anlässe. So wurden in den Zwischenkriegsjahren der Silvesterball der Stadtharmonie (Harmonie municipale) und der Ball des Gesangvereins Orphéon municipal zu wichtigen gesellschaftlichen Ereignissen. Ab 1945 waren die Bälle der Jungen Anwaltschaft, des Spora Fechtvereins, des städtischen Geschäftsverbands (Union commerciale), der Offiziere sowie der Studentenvereinigung Assoss hoch im Kurs. Zwischen 1926 und 1969, mit Ausnahme der Kriegsjahre, waren darüber hinaus die berühmten Maskenbälle zu Mittfasten der beliebteste Treffpunkt der Luxemburger Jugend. Nach dem Zweiten Weltkrieg avancierte der Rot-Kreuz-Basar im Cercle zur größten karitativen Veranstaltung des Landes. Ferner fand die Ziehung der Lottozahlen durch die Loterie Nationale traditionell im Cercle, respektiv auf dem Vorplatz des Cercle statt. Der Cercle bot nicht zuletzt den Rahmen für zahlreiche Staatsbesuche. Die lange Liste der Staatsgäste, die Luxemburg und den Cercle besuchten, wird angeführt von Seiner Königlichen und Kaiserlichen Hoheit von Äthiopien Ras Tafari am 25. Mai 1924. Nach 1945 wurden Staatsbesuche häufiger: Viele Luxemburger erinnern sich noch an die märchenhafte Visite des thailändischen Königspaars im Jahr 1960, an Königin Juliana der


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Niederlande (1951), König Baudouin der Belgier (1959), Königin Elisabeth II. von England (1976), Königin Margrethe von Dänemark (1976) und das schwedische Thronpaar (1983). Ferner hervorzuheben sind die Besuche der Präsidenten Österreichs (1975), Israels (1985), Finnlands (1992), Frankreichs (1992) und Polens (1998). Der französische Präsident François Mitterrand verwandelte den Cercle kurzerhand in einen Ableger des Elysée-Palasts mit Ehrenspalier der Kavallerie der Republikanischen Garde und prunkvollem Abendmahl auf Porzellan aus Limoges. Auch die großherzogliche Familie wurde regelmäßig im Cercle empfangen, sei es zur Eröffnung des Rot-Kreuz-Basars oder zu offiziellen Anlässen. 1939 war Großherzogin Charlotte im Rahmen der Feierlichkeiten zum hundertjährigen Jubiläum der Unabhängigkeit Luxemburgs im Cercle zu Gast. Großherzog Jean besuchte den Cercle 1989 zum Anlass des 25. Jubiläums seiner Thronbesteigung und 1990 zur Feier des hundertjährigen Bestehens der Dynastie, welches im Beisein von Königin Beatrix der Niederlande begangen wurde.

zu Gast, allen voran Margaret Thatcher (18. Oktober 1979) und Willy Brandt (4. Mai 1992), die Vorträge zum europäischen Integrationsprozess hielten. Im Rahmen der EGKS fanden zudem unterschiedliche europäische Kongresse und Treffen im Cercle statt, darunter die Tagungen der Vereinigung Junger Bergarbeiter (1954), der Union Europäischer Föderalisten (1960) und der Bürgermeister der Stahl produzierenden Städte der EGKS (1963). Der ursprüngliche Entwurf des Cercle sah außer den Büroräumen der Gemeinde auch eine Feuerwacht, einer Polizeistelle und Räumlichkeiten für die Büros des Stadtarchitekten vor. Nach dem Weggang der Polizei und Feuerwehr im Jahr 1934 zog der damalige Fremdenverkehrsverband (Syndicat d’Initiative de la Ville) in die freistehenden Räumlichkeiten ein und eröffnete dort sein Informationsbüro, welches zur ersten Anlaufstelle für Touristen aus dem In- und Ausland wurde. 1983 eröffnete die Stadt Luxemburg eine Dauerausstellung im Cercle, in deren Mittelpunkt die originalgetreue Kopie eines zwischen 1802 und 1805 angefertigten Models der Luxemburger Festung stand. Einstige Schüler der Stadt Luxemburg wiederum erinnern sich sicherlich noch an den Besuch beim Arzt der schulmedizinischen Abteilung (Service médical scolaire), die in den 1950er und 60er Jahren im Cercle untergebracht war.

Der Cercle als Arbeitsplatz und internationale Begegnungsstätte Im Jahr 1952 wurde Luxemburg sozusagen über Nacht zur „vorläufigen Hauptstadt“ der Institutionen der Europäischen Gemeinschaft für Kohle und Stahl (EGKS) erkoren. Nun galt es, den europäischen Beamten kurzfristig Arbeitsstätten zur Verfügung zu stellen. Als erstes wurde ein der staatlichen Bahngesellschaft CFL zugedachtes Gebäude am Place de Bruxelles umfunktioniert. Zeitgleich wurde die Villa Vauban, ein herrschaftliches Stadthaus, in dem die Städtische Kunstgalerie untergebracht worden war, für die Zwecke des Gerichtshofs der neuen europäischen Institution geräumt. Angesichts des dort herrschenden Platzmangels mussten die großen Sitzungen des Gerichts jedoch in den Festsaal des Cercle verlegt werden. Obwohl der Cercle in der Folge nicht mehr öffentlich zugänglich war, sah der zwischen der Gemeinde und der Hohen Behörde der EGKS geschlossene Mietvertrag die Bereitstellung des Gebäudes an die Stadt für fünfzehn Tage im Dezember und weitere fünfzehn Tage zur Fastnacht vor. Auch die Salons wurden oftmals als Arbeitsstätten genutzt. Hier fanden internationale Konferenzen und Kongresse zu den unterschiedlichsten, teils ungewöhnlichsten Themen statt: Internationaler Kongress für Militärmedizin (1938), Internationaler Kolonialkongress (1938), Kongress der Internationalen Bewegung Katholischer Studenten Pax Romana (1949), Internationales Büro für Schuhe und Leder (1952), Internationales Treffen der Seniorenvereinigung Amiperas (1965), Internationaler Konvent für Vitalstoffe, Ernährung und Zivilisationskrankheiten (1967), Internationaler Kongress der Liga für Garten und Heim (1967)… Ferner waren hochrangige politische Persönlichkeiten in den Salons

Eine Verjüngungskur Der zwischen 1906 und 1909 gebaute Cercle municipal wurde im Laufe seines Bestehens mehrfach umgebaut und renoviert. 1952 wurde der Festsaal als Sitzungssaal des Gerichts der EGKS hergerichtet. Nach dem Weggang des Gerichts 1970 wurde er umfassend renoviert. Im Jahr 1989, zum Anlass des hundertjährigen Bestehens der Dynastie, wurde das ganze Gebäude zum ersten Mal renoviert, doch bereits 2003 entschied der Gemeinderat, dass es an der Zeit sei, den Cercle an zeitgemäße Bedürfnisse und Anforderungen anzupassen. Der geplante Umbau bot zudem die Gelegenheit, ein mit moderner Videokonferenztechnik ausgestattetes Konferenzzentrum sowie einen Ausstellungsraum einzurichten, der heute das bestehende kulturelle Angebot der Stadt Luxemburg (Historisches Museum und Villa Vauban – Museum für Alte Kunst) ergänzt. Dank dieser Verjüngungskur wird der Cerle auch in Zukunft eine wichtige Rolle im kulturellen Leben der Stadt spielen.


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Die Restaurierungsarbeiten: eine dreifache Herausforderung Anfangs des 21. Jahrhunderts wurde ersichtlich, dass der 1909 eröffnete Cercle einer grundlegenden Renovierung bedurfte. Hierbei ging es einerseits darum, das fast hundertjährige Gebäude an heutige Sicherheitsund Hygienestandards anzupassen und gleichzeitig den historischen Bestand zu bewahren. Dies bedingte minimalistische Eingriffe in das Erscheinungsbild des Gebäudes, insbesondere was die öffentlich zugänglichen Bereiche wie die Eingangshalle, den Peristyl, die Freitreppe und die Salons in der Beletage betrifft. Andererseits sahen die Pläne der Stadt die Einrichtung eines mit dem neuen Gebäude des Cité verbundenen Konferenzzentrums mitsamt Ausstellungsraum im ehemaligen „Ratskeller“ im Erdgeschoss vor, wobei der Zugang zu allen öffentlichen Räumen auch für Personen mit eingeschränkter Mobilität gewährleistet werden musste. Die Renovierungsarbeiten wurden in zwei Bauabschnitten durchgeführt. In der ersten Bauphase (2005–2008) wurden die nicht öffentlichen Bereiche neu definiert, das Konferenzzentrum eingerichtet und die Küchen und Nebenräume neu gestaltet. In der zweiten Bauphase (2009–2011) wurden alle Sicherheitssysteme (Zugangskontrolle, Verkehrswege, Feuermelder, elektronischer Lautsprecher-Alarm) und technischen Anlagen (Belüftung, Niedrigstromnetz, Multimediatechnik) neu konzipiert und eingebaut. Der frühere „Ratskeller“ wurde in einen Ausstellungsraum umgewandelt, während die Räumlichkeiten des Luxembourg City Tourist Office (LCTO) für die Belange des städtischen Geschäftsverbands (Union commerciale) umgestaltet wurden. Es galt demnach, mehreren Anforderungen gerecht zu werden: – Die klassische Architektur des historischen Gebäudes von Pierre und Paul Funck in Einklang zu bringen mit einem resolut zeitgenössischen Bau mit verglaster Front und frei hängender Stahlwanne. – Die moderne Technik in die historische Architektur zu integrieren, ohne deren ursprüngliches Aussehen zu verändern. – Sowohl zeitgemäßen Sicherheits- und Hygienenormen als auch den Erwartungen zukünftiger Besucher Rechnung zu tragen.

Die Restaurierung der Salons Die Salons wurden in ihren Originalzustand zurückversetzt: Wände und Decken wurden neu gestrichen, die Kronleuchter wurden restauriert, die Räume erhielten neue Vorhänge, das Parkett wurde wieder aufgearbeitet und in der Grande Salle nach historischer Vorlage sogar neu verlegt. Der Einbau der neuesten Technik, die den künftigen Besuchern größtmöglichen Bedienkomfort bietet, erfolgte mit Blick auf die Wahrung des historischen Bestands: Alle Netzwerke wurden so diskret wie möglich in die Holzvertäfelungen, Decken und Mauern integriert und bleiben somit weitestgehend unauffällig. Eine akustische Korrekturmaßnahme in der

Decke des Festsaals und im Foyer-Barbereich vervollständigt das Konzept. Die Bleiverglasung in Metall- und Holzrahmen wurde ihrerseits restauriert und in eine Doppelverglasung eingefasst.

Das Konferenzzentrum Dank dieser Maßnahmen bietet der Cercle fortan die Möglichkeit, Konferenzen im Herzen der Stadt abzuhalten, unweit der Fußgängerzone und der in die Unesco-Liste der Welterbestätten aufgenommenen Altstadt mit ihren Geschäften, Cafés, Restaurants und Museen. Das neue Konferenzzentrum oberhalb der Beletage umfasst vier Versammlungsräume und ein Auditorium mit 48 Sitzplätzen, die allesamt mit Multimediatechnik (Bild und Ton) und hochwertigen Videokonferenzsystemen ausgestattet sind.

Der Ausstellungsraum Der frühere „Ratskeller“ und seine Nebenräume wurden an bestehende Sicherheitsstandards angepasst und in einen Ausstellungsraum umgestaltet, der über die Haupteingangshalle des Cercle mit dem Place d’Armes verbunden ist und darüber hinaus über einen eigenen Eingang in der Rue du Curé verfügt.

Das Schaufenster der städtischen Geschäftswelt Die früheren Räumlichkeiten des Luxembourg Info Tourist Office (LCTO) wurden für die Zwecke des städtischen Geschäftsverbands (Union commerciale) umgestaltet und dienen fortan als innovatives Schaufenster für die vielfältigen Produkte und Dienstleistungen der rund 450 Unternehmen auf dem Gebiet der Stadt Luxemburg.


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Büro für Kinder und Jugendliche Im Rahmen ihres Kommunalen Aktionsplans Kindheit (Plan d’action communal enfance – PACE) wird die Stadt Luxemburg im Cercle einen neue kommunale Anlaufstelle einrichten, die sich ausschließlich mit den Belangen der jungen Bürgerinnen und Bürger der Stadt befasst. Das Büro für Kinder und Jugendliche hat zum Ziel, Besuchern und Interessenten alle Informationen und Maßnahmen der Stadt in Bezug auf Kinder und Jugendliche zur Verfügung zu stellen und zu erläutern.

Back Office Die nicht öffentlich zugänglichen Räume wurden ebenfalls renoviert, um bestehenden Vorschriften und zeitgemäßen Benutzeranforderungen gerecht zu werden. Durch Überbauen des alten Innenhofes wurden auf allen Stockwerken zusätzliche Nutzflächen gewonnen. Im Erdgeschoss wurden Umkleideräume und Duschen für das Küchen- und Reinigungspersonal sowie für die auf dem Kiosk des Place d’Armes auftretenden Künstler eingerichtet. Die Küche und Nebenräume wurden vergrößert und mit einer professionellen Einrichtung ausgestattet. Die neue Küche (98 m2), die Spüle (20 m2) und die zusätzliche Kühlkammer (10 m2) wurden in den hinteren Teil des Gebäudes angeordnet. Ein Speisenaufzug verbindet die Produktionsküche mit der Verteilerküche in unmittelbarer Nähe zum Festsaal und Flämischen Saal (Salle Flamande).

Büroräume Der Cercle beherbergt ferner das Büro des Kulturkoordinators der Stadt Luxemburg (1. Stock), die Verwaltung der Cité-Bibliothèque (Erdgeschoss) sowie die Büros der Kulturagentur Agence luxembourgeoise d’action culturelle (ALAC, 6. Stock), die überdies für die Verwaltung des Cercle-Cité zuständig ist. Die bestehende Dienstwohnung des technischen Leiters wurde renoviert und neu ausgestattet.

Zugang für Personen mit eingeschränkter Mobilität Alle öffentlichen Bereiche wurden für Personen mit eingeschränkter Mobilität zugänglich gemacht. Der Haupteingang wurde mit einer Rollstuhlrampe ausgestattet, Fahrstühle am Eingang in der Rue Genistre führen zum Konferenzzentrum und zur Beletage. Die beiden Ausstellungsebenen im „Ratskeller“ sind über eine hydraulische Plattform erreichbar.

Technik Die bestehende Heizanlage und der Transformator wurden an aktuelle Sicherheitsstandards angepasst. Die Gewölbedecke des Festsaals wurde mithilfe eines Abhangsystems im Dachgeschoss stabilisiert. Das Gebäude wurde mit Wärme- und Schallschutzfenstern versehen.

Öffentliche Toilette Die bestehenden sanitären Einrichtungen wurde vergrößert und auf neueste Hygienestandards gebracht.


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Das Cité: vom Kino zur Bibliothek Der Bau eines modernen Kinos im Stadtzentrum geht auf eine Initiative des Notars Charles Michels und der Betreiber der Kinos Marivaux und Victory, Louis Freysing und Isidore Thill, zurück. Am 23. Oktober 1958 wurde das Ciné-Cité im Beisein des Erbgroßherzogs Jean und der Erbgroßherzogin Joséphine-Charlotte eingeweiht. Gezeigt wurde an jenem Abend David Leans Kriegsspektakel Die Brücke am Kwai mit Alex Guinness, Jack Hawkins und Sessue Hayakawa. Das von dem Luxemburger Architekten Robert Lentz in Form eines Trichters entworfene Ciné-Cité war mit 800 Sitzplätzen, einem CinemascopeSchirm von 10 x 4,50 Metern, einer automatischen Klimaanlage und einer Tonanlage für Hörgeschädigte das damals modernste Kino der Stadt. Die Innendekoration stammte von den luxemburgischen Künstlern Franz Kinnen (Glasfries) und Lou Theisen (Wandmalerei). In den ersten zwei Jahrzehnten seines Bestehens lockte das Kino vor allem mit Hollywoodproduktionen. Gleichzeitig wurden seine Vorführungen von Autorenfilmen am Mittwoch und Donnerstag Abend zum beliebten Treffpunkt Luxemburger Filmliebhaber. Das Cité geriet ferner wegen mehrerer Skandalfilme in die Schlagzeilen, so im Januar 1969, als John Waynes Propagandafilm Die grünen Teufel (Orig.: The Green Berets) Demonstranten auf den Plan rief, und erneut im April 1973, als Bernardo Bertoluccis Erotikstreifen Der letzte Tango in Paris bei Teilen der Öffentlichkeit Empörung auslöste. In den 1980er Jahren wurde der große Kinosaal wegen schwindender Besucherzahlen in zwei Säle mit je 146 und 230 Sitzplätzen aufgeteilt. Zudem wurden drei kleinere Säle (mit 74 bis 84 Sitzen) in den Kellerräumen eingerichtet. Trotz dieser Umbauarbeiten blieb das Publikum aus, was zur Folge hatte, dass das Ciné-Cité im November 1997 nach fast 40 Jahren Existenz seine Türen ein erstes Mal schließen musste. Die Stadt Luxemburg beschloss, das Gebäude aufzukaufen und den laufenden Betrieb der Utopia-Gruppe anzuvertrauen, die das Kino von April 2000 bis Januar 2004 bespielte. Nach diesem kurzweiligen Zwischenspiel wurde das Kino jedoch endgültig geschlossen und abgerissen, um dem neuen soziokulturellen Zentrum zu weichen, welches neben der Cité-Bibliothèque ein Auditorium und ein Restaurant beherbergt.

Das Cité: ein neues soziokulturelles Zentrum Das Cité ist ein neues soziokulturelles Zentrum im Herzen der Stadt Luxemburg. Es beherbergt die Cité-Bibliothèque, mehrere InternetTerminals, ein Auditorium und ein Restaurant. Das neue Gebäude versteht sich als Ort der Begegnung und der Reflexion. Diese doppelte Zielsetzung spiegelt sich in der Architektur wider, die den einzelnen Bereichen verschiedene Atmosphären zuweist: introvertiert in den Leseecken, extrovertiert in den öffentlichen Bereichen, unter anderem den Durchgangsräumen, die an das urbane Leben anknüpfen, sich den Passanten öffnen und somit die Zugänglichkeit des Zentrums unterstreichen. Die Architektur des Cité legt Wert auf Transparenz und Leichtigkeit und hebt sich bewusst von der monumentalen historischen Architektur des Cercle municipal ab, die sie zugleich belebt. Der funktionelle Übergang zwischen den beiden Gebäuden erfolgt über eine Glasbrücke, die über die Rue Genistre hinweg führt. Tagsüber spiegelt sich der historische Cercle in der Glasfassade des Cité, nachts zieht das beleuchtete Amphitheater des Cité die Blicke an und verweist diskret auf die Lichter des Kinos, die einst das Viertel erhellten.

Ein modernes und funktionelles Gebäude Die Eingangshalle der Cité-Bibliothèque befindet sich im Erdgeschoss. Eine große, nach Süden ausgerichtete Fensterfront öffnet sich zur Fußgängerzone hin: Sie führt das Tageslicht in das Innere des Gebäudes hinein und gewährt den Passanten Einblicke in die Innenräume mit Empfangsschalter und Internet-Terminals. Die weiteren Bereiche der Cité-Bibliothèque wurden auf die zwei Untergeschosse verteilt, die über eine großzügige Treppe miteinander verbunden sind. Das natürliche Licht wird über einen Innenhof auf der Nordseite in diese Bereiche geführt. Eine Wasserfläche im unteren Teil des Lichthofs spiegelt das Tageslicht und trägt so zur Beleuchtung der Innenräume bei, die eine ruhige und konzentrierte Atmosphäre prägt. Das Auditorium wurde in die oberen Geschosse des parallelepipedischen Gebäudevolumens eingefügt. Das Amphitheater bietet bis zu 142 Zuschauern Platz und präsentiert sich als blasenförmige Stahlkonstruktion, die frei über dem Restaurantbereich schwebt. Das zentrale Element des Restaurants bildet eine rechteckige Theke, die zugleich als Bar/Tresen, Küche und Fließband fungiert, auf dem die frisch zubereiteten SushiPortionen vorbeifahren.


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Cercle-Cité: a vibrant multifunctional centre in the heart of the city With the new architectural ensemble of the Cercle-Cité, the City of Luxembourg provides the local community and visitors with a vibrant multifunctional infrastructure in the heart of the capital. Combining the recently refurbished Cercle municipal (a former city palace) with a modern socio-cultural centre built on the site of the former Ciné-Cité cinema, this unique venue on Place d’Armes offers a wide range of activities. The Cercle-Cité, which forms part of a comprehensive action plan initiated by the city council, plays a key role in the city’s efforts to improve its image. By providing an accessible and convivial platform, it will help increase the appeal of the city centre to locals and visitors alike. The Cercle-Cité, which aims to contribute to the revitalisation of this part of town, has been designed to reach out to a large public and sharpen Luxembourg’s profile as a cosmopolitan and dynamic city. The architectural concept of the new complex is both innovating and user-friendly, staging a deliberate contrast between the historic and monumental architecture of the former Cercle municipal and the contemporary design of the Cité. Underlining the synergy between the two buildings is a glass-panelled connecting footbridge. Besides the former Municipal Library, which has been expanded into a multimedia resource library, the Cercle-Cité houses a conference centre comprising two auditoriums and several meeting rooms as well as an exhibition space and a restaurant. The three formal drawing rooms, or Salons, of the Cercle have recovered their former grandeur thanks to extensive renovation work. Together with the ballroom, or Grande Salle, they provide a distinguished framework for a wide range of events, from social gatherings and official receptions to private and corporate functions. For business purposes, the Cercle-Cité offers a both sophisticated and professional environment with state-of-the-art technology and personalised services. The conference centre, which comprises four modular meeting rooms, a small auditorium in the Cercle and a large auditorium in the Cité, can accommodate up to 250 guests. All facilities are equipped with multimedia and videoconferencing technology. With an overall surface of more than 490 sqm, the gallery space in the former Ratskeller is a unique exhibition venue. The Cercle-Cité’s cultural offer is completed by the Cité-Bibliothèque, the multimedia resource library of the City of Luxembourg, which spreads over three floors in the Cité building and provides quiet reading spaces, a rental service and free Internet terminals, while the Aka restaurant on the first floor of the Cité boasts Luxembourg’s first sushi train.

If the Cercle could talk…

The origins of the building At the London Conference of 1867 Luxembourg was declared an independent and neutral country. The dismantling of the fortress allowed its capital city to expand by reclaiming land which had been used for military purposes and establish itself as a modern capital with parks, boulevards and stately buildings. The Cercle municipal takes its name from the so-called Cercle littéraire, or Literary Circle. Founded in Luxembourg in 1826, the Cercle littéraire acquired Metz House on Rue Genistre (commonly called Lantergässel, or ‘Lantern Alley’), where it planned to construct a ballroom. As funds proved insufficient, the building was bought and completed by the City of Luxembourg. But although the property subsequently changed owners several times, it continued to host the activities of the Cercle littéraire, as witness a poster advertising the theatre play Le Gamin de Paris, a vaudeville comedy staged there on Monday 17 February 1862. In 1902 the City decided to demolish the barracks on Place d’Armes and the Cercle on Rue Genistre to make way for a ‘municipal palace’ with a ballroom and representative drawing rooms. The two-stage architectural competition was launched in July of the same year. A jury composed of three distinguished international architects – Joseph-Antoine Bouvard from Paris, Friedrich von Thiersch from Munich and Ernest Acker from Brussels – short-listed four contributions. The winning bid was ‘Le Coq’ (The Rooster), a project by Pierre Funck (1840–1932) and Paul Funck (1875–1939), while ‘Moto O’ by Nicolas Petit (1876–1953) and ‘Municipal’, also by Pierre and Paul Funck, were declared equal runners-up. The Funck’s French-inspired design had thus won over Petit’s more rigorous, German-indebted style. Structural work was completed in 1906, and three years later, the first council offices moved into the new ‘municipal palace’. Besides the large drawing rooms, which had been devised for official receptions, the building also housed the City Architect’s offices, various rooms for the council’s commissions, a police station with a “can” (on the left side of the building towards Rue Genistre) and a fire station (on the right side towards Rue du Curé).


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A municipal palace of national and international scope In the course of its history the Cercle municipal was host to a series of important historic events. Simultaneously, it was a meeting place for citizens, accommodating formal balls, charity sales and the drawing of the National Lottery. A workplace for some, a festive venue for others, the Cercle (not least in want of better infrastructures) soon became a versatile platform for the most diverse, not to say unlikely events, among which the presentation of the new Renault Dauphine in 1956, the annual contest of the National Hairdressers’ Federation, the International Food Fair in 1934, an International Table Tennis Tournament in 1939 and a boxing meeting between Luxembourg and Belgium in 1945. It was not until the 1950s and 60s that the Cercle lost its public function, when it was chosen to host the sessions of the Special Council of Ministers of the European Coal and Steel Community (ECSC). In the 1970s, when the various EU bodies were eventually regrouped in the new Kirchberg district, the building was again opened to the public. And although new and better equipped infrastructures had meanwhile appeared in other areas of the city, the Cercle never lost its appeal.

The Cercle during the war During the Second World War, the Cercle became the main stage for public events organised by the German occupant. Adorned with swastikas and refurbished to the tastes of Nazi leaders, it played host to the meetings of the League of German Girls (Bund deutscher Mädel – BDM), the celebrations marking the anniversary of the Reichskristallnacht, and the official Nazi Party Days (Kreistage) of 1942 and 1943. In the wake of German defeat, the Cercle soon became a place of commemoration, as Prince Felix appeared on its balcony on 10 September 1944, addressing the crowd alongside General Lunsford Oliver, whose 5th Armoured Division had just liberated the city. The event proved so memorable that the first anniversary of Liberation Day was celebrated on 8 September 1945 as a grand gala concert at the Cercle. The following year the building hosted a photographic exhibition commemorating the 3,000 Luxembourgers who had disappeared during the war and the presentation of coffins and urns of Luxembourgish patriots who had died in Germany. In 1952 the Cercle entered European history when it hosted the first meetings of the High Authority of the European Coal and Steel Community (ECSC).

The palace of citizens and crowned heads The Grande Salle of the Cercle had originally been conceived as a concert hall which could hold up to 500 people. Although subsequent plans to fit it with a genuine pipe organ were abandoned, this did not prevent it from hosting a string of internationally renowned musicians: on 2 May 1929 nearly 800 spectators squeezed into the Grande Salle to listen to Wilhelm Furtwängler direct the Berlin Philharmonic Orchestra, while ten years later, on 8 May 1939, Richard Strauss directed his Don Juan here. The Beethoven Days in 1940, however, despite the undeniable quality of the performances and the presence of the great German pianist Elly Ney, would remain fatally tarnished by their status as Nazi propaganda. The Cercle municipal and its predecessor, the Cercle littéraire, also played an important role in the development of the national cultural scene. It was at the Cercle littéraire, for instance, that the first theatre play in Luxembourgish language, De Scholtschäin (The Borrower’s Note) by Edmond de la Fontaine, aka Dicks, premiered on 25 February 1855. Most concerts organised by the City Music Conservatory under the direction of Lucien Lambotte, and the musical matinees of the Luxembourg Military Band (Musique militaire) under the direction of Fernand Mertens were held at the Cercle, as was the very first public concert by the Musical Youth (Jeunesses musicales) on 12 July 1946. In 1973 the Luxembourgish composer René Hemmer (born 1919) premiered his composition Intensité et Rythme as part of the regular programme of concerts by the Musique militaire at the Cercle, and among other highlights were the concerts by the Orchestra of Radio Luxembourg under the direction of Henri Pensis in 1949 and 1950 as well as the Te Deum by Marc-Antoine Charpentier performed by musicians of the City Music Conservatory under the direction of Joseph Hamer in 1973. With its balcony, which can accommodate an entire orchestra, the Grande Salle was a perfect venue for formal balls. In the period between the two World Wars, the ball of the Municipal Band (Harmonie municipale) on New Year’s Eve and the ball of the Orphéon municipal choir became popular events in the cultural calendar. From 1945 onwards the balls organised by the Young Barristers, the Spora Fencing Club, the local Business Union (Union commerciale), the Officers and the student union Assoss were much sought-after events. From 1926 to 1969, except for a wartime break, the famous masked redoubts on the third Thursday in Lent were one of the main gatherings for Luxembourg’s teenagers. After the Second World War, the Red Cross International Bazaar at the Cercle became the country’s largest charity event. The National Lottery draws were also held at the Cercle and on its forecourt. The Cercle furthermore provided the framework of numerous state visits. The first in a long list of crowned or elected heads of state to visit Luxembourg and the Cercle was His Royal and Imperial Highness the Ras Taffari of Ethiopia on 25 May 1924. After 1945, state visits became more frequent: many Luxembourgers like to recall the fairytale visit by the royal couple of Thailand in 1960 and those of Queen Juliana of the Netherlands in 1951, King Baudouin of Belgium in 1959, Queen Elisabeth II of the United Kingdom in 1976, Queen Margrethe of Denmark in 1976 and the royal couple of Sweden in 1983. Official visits also included the presidents


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of Austria (1975), Israel (1985), Finland (1992), France (1992) and Poland (1998). The French president François Mitterrand memorably turned the Cercle into a one-day subsidiary of the Elysée Palace, complete with guard of honour by the Cavalry of the Republican Guard and a lavish dinner served on Limoges porcelain. The Grand Ducal Family of Luxembourg were also frequent guests of the Cercle, notably for the opening of the Red Cross Bazaar and on numerous other official occasions. In 1939 the Cercle thus welcomed the Grand Duchess for the celebrations of the country’s Centennial Anniversary of Independence, while in 1989 and 1990 respectively, it saw Grand Duke Jean commemorate the 25th anniversary of his accession to the throne and the Centennial Anniversary of the Grand Ducal Dynasty in the presence of Queen Beatrix of the Netherlands.

The Cercle had originally been conceived to accommodate various municipal departments as well as a fire brigade, a police station and the offices of the City Architect. In 1934 the Syndicat d’Initiative de la Ville, as the City Tourist Office was then called, moved into the premises left vacant with the departure of the police and fire brigades and opened its public information point, which would become the main rallying point for tourists. In 1983 the City of Luxembourg inaugurated a permanent exhibition at the Cercle, whose centrepiece was a faithful copy of a historic model of the Luxembourg fortress made between 1802 and 1805. Local pupils might also remember the Cercle from their annual visit to the School Medicine Department, which occupied a part of the building in the 1950s and 60s.

Rejuvenation The Cercle: a workplace and meeting ground In 1952 Luxembourg became the ‘provisional capital’ of the institutions of the newly created European Coal and Steel Community (ESCS) – a decision so unexpected that the government had to make do with existing infrastructures. A building on Place de Bruxelles, which had been allocated to the national railway company CFL, was requisitioned alongside the Villa Vauban, a former bourgeois town mansion which had been reconverted into a municipal art gallery and would now host the Court of the new European body. However, due to a lack of space, the tribunal’s plenary sessions were held at the Grande Salle of the Cercle. While the Cercle was therefore no longer open to the public, the contract of lease between the City of Luxembourg and the High Authority of the ECSC included a provision granting the city the right to use the building on 15 days in December and another 15 days during Carnival. The drawing rooms of the Cercle played host to international conferences and congresses on various, and at times peculiar, issues: International Congress of Military Medicine (1938), International Colonial Congress (1938), Congress of the International Confederation of Catholic Students Pax Romana (1949), International Bureau of Shoes and Leather (1952), Annual Convention of the Amiperas Club for the Aged (1965), International Congress on Vital Foods, Alimentation and Civilisation Diseases (1967), International Congress of Land and Home Ownership (1967)… The drawing rooms furthermore witnessed conferences on the European integration process by important political figures such as Margaret Thatcher (18 October 1979) and Willy Brandt (4 May 1992). In the framework of the ECSC, various congresses and meetings on European issues were held at the Cercle, among others by the Association of Young Miners (1954), the Union of European Federalists (1960), and the Mayors of Steel-Producing Towns in the ESCS (1963).

Built between 1906 and 1909, the Cercle municipal was continuously transformed and refurbished. In 1952 the Grande Salle was remodelled to accommodate the Court of the ECSC, and in 1970, as the Court moved out, it was comprehensively renovated. For the Centennial Anniversary of the Dynasty in 1989, the Cercle was fully renovated for the first time, but in 2003 the city council decided it was time to adapt the building to contemporary needs and requirements. It used this opportunity to redevelop the building into a conference centre equipped with modern videoconferencing technology and an art gallery which completes the existing cultural infrastructures of the Luxembourg City History Museum and the Villa Vauban – Luxembourg City Art Museum. This rejuvenation ensures that the Cercle will continue to play a vital role in the development of the city’s cultural offer.


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The restoration: a triple challenge

The conference centre

At the dawn of the 21st century, renovation of the Cercle proved unavoidable, but the restoration of this nearly hundred-year-old building posed major challenges. On the one hand it had to be brought up to current health and safety standards while preserving its historic architecture. Therefore the impact of the architectural intervention on the overall aspect of the building had to be minimised, particularly in the public areas such as the entrance hall, the peristyle, the stairwell and the drawing rooms in the belle etage. On the other hand the building was to hold a conference centre, connected to the new Cité building, as well as an art gallery in the former Ratskeller, while ensuring access for people with reduced mobility.

The Cercle is the perfect venue for conferences in the heart of the city, a few steps away from the main pedestrian shopping zone and the Unesco heritage-listed site with its shops, bars, restaurants and museums. The new conference centre, which occupies most of the second floor, comprises four conference rooms and an auditorium with 48 seats, equipped with multimedia systems (sound and image) and state-of-the-art videoconferencing technology.

Renovation was carried out in two stages, the first of which (2005–2008) consisted in redefining the layout of the non-public areas, implementing the conference centre and refurbishing the kitchen and pantries. The second stage (2009–2011) served to redesign and implement the security layout (access control, circulation, fire detection, public address system) and technical systems (ventilation, low-voltage electrical wiring, multimedia technology). Simultaneously, the former Ratskeller was transformed into a gallery space, while the premises of the Luxembourg City Tourist Office (LCTO) were refurbished to host the offices of the local Business Union (Union commerciale) and the Childhood and Youth Office. The renovation thus had to meet three major objectives: ­ – Combining the classic architecture of the Cercle with the contemporary design of the Cité with its distinctive glass frontage and suspended auditorium – Integrating modern technology networks into the existing architecture while retaining the overall historic aspect of the building – Adapting the building to current health and safety standards while anticipating future needs.

The exhibition gallery The former Ratskeller and its attendant spaces have been brought up to current health and safety standards and rearranged into an exhibition space. The gallery is connected to the Place d’Armes through the main hall and benefits from a dedicated entrance on Rue du Curé.

A showcase for local businesses The former offices of the Luxembourg City Tourist Office (LTCO) have been refurbished to accommodate the Luxembourg Business Union (Union commerciale de la Ville de Luxembourg), which promotes the products and services of over 450 local businesses in this innovating showcase.

Restoring the drawing rooms The drawing rooms have been returned to their original state with redecorated walls and ceilings, new curtains, refurbished chandeliers and traditional parquet flooring. While providing high user comfort, the modern technical systems remain largely invisible thanks to their seamless integration into the wooden panelling, roof spaces and walls. Acoustic correction panels were furthermore integrated into the ceilings of the Grande Salle and the lobby bar (bar-foyer). The stained glass windows on metal and wooden frames have been restored and inserted into double glazing.

The Childhood and Youth Office As part of its Communal Youth Action Plan (Plan d’action communal enfance – PACE), the City of Luxembourg plans to open a new municipal service in the Cercle building that will be entirely dedicated to its young citizens. The Childhood and Youth Office aims to present and mediate all available information and city council policies on childhood and youth.


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Back Office

Accessibility for people with reduced mobility

The parts of the building which are not accessible to the public at large have also been refurbished and brought up to current standards and needs. The interior court was reclaimed to increase the amount of available space on each floor. Changing rooms and showers have been installed on the ground floor for the kitchen and caretaking staff and may be used by the artists performing on the kiosk on Place d’Armes.

All public areas have been made accessible to people with reduced mobility. The main entrance has been fitted with a ramp for wheelchair access. Lifts near the entrance on Rue Genistre lead to the conference centre and the belle etage, while the two levels of the basement gallery can be accessed via a hydraulic platform.

The kitchen and pantries were increased in size and equipped to meet professional needs. The new kitchen (98 sqm), the dishwashing area (20 sqm) and the cold storage facility (10 sqm) are located in the middle of the building. A dumbwaiter links the central kitchen at the back to the regeneration kitchen on the third floor near the Grande Salle and the Salle Flamande (Flemish Room).

Technology The existing heating system and electrical substation have been adapted to current standards. The vaults above the Grande Salle have been consolidated by means of a suspension system in the attic. New windows with heat and sound protection have been implemented.

Offices Specially refurbished offices host the department of the City’s Cultural Coordinator (1st floor), the department of the Cité-Bibliothèque (ground floor) and the cultural events agency Agence luxembourgeoise d’action culturelle (ALAC), which is also in charge of managing the Cercle-Cité complex. The existing apartment of the facility manager has also been renovated.

Public toilets The public sanitary facilities have been increased in size and brought up to current standards.


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Le Cité: from cinema to library

The Cité: a new socio-cultural centre

The project of a cinema in the centre of town was initiated by the notary Charles Michels and the managers of the Marivaux and Victory cinemas Louis Freysing and Isidore Thill. On 23 Octobre 1958 the Ciné-Cité was inaugurated in the presence of Crown Prince Jean and Crown Princess Joséphine-Charlotte. The opening film was David Lean’s Bridge on the River Kwai with Alec Guinness, Jack Hawkins and Sessue Hayakawa.

The Cité is a new socio-cultural centre in the heart of the city. It comprises a book and multimedia library with free Internet access, an auditorium and a restaurant. A freely accessible meeting place, it also offers a contemplative environment. This double purpose is reflected in its architecture, which creates various atmospheres, from introverted spaces for reading or studying to more extraverted, transitional spaces, which open up to urban life and thus underline the building’s accessibility.

With more than 800 seats, a cinemascope screen of 10 by 4.5 metres, an automatic air-conditioning system and a sound system for the hearing impaired, the funnel-shaped Ciné-Cité, conceived by the Luxembourg architect Robert Lentz, was the most modern film theatre in town. The interior decoration was designed by the Luxembourgish artists Franz Kinnen (glass frieze) and Lou Theisen (wall painting). In the first twenty years of its existence the cinema attracted large crowds by showing mostly big-budget Hollywood productions. But it also became a meeting place for Luxembourg’s movie buffs, thanks to its Wednesday and Thursday night programme of art-house productions. The cinema also hit the headlines with scandals, for instance when in January 1969 John Wayne’s propaganda vehicle The Green Berets prompted demonstrations, and Bernardo Bertolucci’s erotic fantasy Last Tango in Paris shocked members of the public in April 1973. In the 1980s, following a steady decline in audience figures, the main theatre was divided into two separate rooms, of 146 and 230 seats respectively, while three smaller theatres were fitted into the basement spaces (ranging from 74 to 84 seats each). However, these changes proved unsuccessful, and after nearly forty years of existence, the Ciné-Cité was shut down for the first time in November 1997. The City of Luxembourg acquired the building and appointed the Utopia Group to run the cinema from April 2000 to January 2004, but despite this interlude, it was eventually demolished to make way for the new socio-cultural centre, which comprises the municipal Cité-Bibliothèque, an auditorium and a restaurant.

The architectural language of the building is based on notions of transparency and lightness, forming a deliberate and revitalising contrast with the monumental and historic vernacular of the Cercle municipal. The functional link between the two buildings was shaped as a glass footbridge crossing Rue Genistre. In daylight the historic outlines of the Cercle are reflected in the glass frontage of the Cité, while at night the illuminated amphitheatre of the Cité attracts attention from outside, thus subtly alluding to the cinema whose lights once animated this part of town.

A modern and functional building The entrance of the Cité-Bibliothèque is located on the ground floor. A large, south-facing bay window opens onto the pedestrian street, attracting the natural light into the library spaces and allowing passers-by to see the ground floor interior of the building with its information desk and Internet terminals. The Cité-Bibliothèque spreads to the two basement floors, which are connected via a large staircase. These areas are naturally lit thanks to a patio on the northern side, whose water basin reflects the sunlight and increases the influx of light into the spaces to create a quiet and studious atmosphere. The upper floors of the parallelepiped volume of the building hold the auditorium. This amphitheatre with 142 seats consists of a large metal construction in the shape of a suspended bubble hovering over the restaurant space. The restaurant features a large square counter, which acts simultaneously as a bar counter, a kitchen and a conveyor belt for the freshly prepared sushi portions.


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Récapitulatif Cercle Volume bâti :

28 300 m3

Surface bâtie : 8 300 m2 Salles de conférences :

350 m2

Salles de réception :

880 m2

Cuisines :

150 m2

Bureaux :

370 m2

Espace d’expositions :

490 m2

Concours :

2002

Devis :

Phase I : 8 500 000 Euro TTC

Phase II : 12 600 000 Euro TTC

Début des travaux de gros œuvre :

fin 2005 (phase I), début 2009 (phase II)

Fin des travaux :

09/2008 (phase I), 04/2011 (phase II)

Ouverture officielle :

04/2011


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Cercle (Phases I et II) Pilote Architecte Ingénieur Génie civil Ingénieur Génie technique

Luxconsult SA Atelier d’Architecture BENG TR Engineering SA S&E Consult

Commodo-Incommodo Bureau de contrôle C/IC Bureau de contrôle technique Coordination sécurité santé Etude acoustique Gros œuvre Installations HVAC et sanitaire Installations électriques, ascenseurs Charpente, ferblanterie, ardoises Vitraux d’art Ravalement de façade Réparation et réfection de façade Pierres naturelles Carrelage Sol en bois Sol en linoléum

Energie et Environnement SA AIB Vinçotte Asbl Secolux Asbl INCA SARL SPC Acoustique Tralux SARL Socimmo construction SA A&P Kieffer Omnitec SARL Socom SA Zimmermann et fils SARL Jängi Kremer et fils SARL Menuiserie extérieure Annen SA Bernard Bauer SARL Luxbâtir SLCP – Chanzy Pardoux SARL Marbrerie Trigatti SARL Marbrerie Bertrand SARL Carrelage De Cillia SARL et Design Carrelages SA Domingues SARL Menuiserie Achten SARL Holzgestaltung Irsch SARL General Floor SARL


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Faux plafonds Binsfeld & Bintener SA Ibermat SARL Leglux SARL Serrurerie Ateliers Fior SARL Ateliers N. Olinger SA Peinture et tapis plain Reckinger peinture et décors SARL Menuiserie bois intérieure Tischlerei Hubert Schmitt Transformation sur menuiseries bois Menuiserie Calmes SARL / Duriez Equipement multimédia Electro Hauser SARL Revêtements acoustiques Leglux SARL Rideaux Rullem décorations intérieurs Stores Lemogne rideaux-store Fauteuils Pro-Concept Solutions SARL 1er équipement, chaises Bureautique R. Wagner-Brauckmann SARL 1er équipement, tables et accessoires Reed & Simon 1er équipement, fauteuils Carrérouge Signalisation Pro-Concept Solutions SARL Grün SARL Meng SARL Nettoyage en cours de chantier Polygone SARL Express Service SA Nettoyage de fin de chantier Nettoservice SA Express Service SA Sécurité et gardiennage Brinks Security SA G4S


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Récapitulatif Cité Volume bâti :

14 400 m3

Surface bâtie : 3 500 m2 Cité-Bibliothèque : 1 000 m2 Surface restaurant: Surface bulle salle de conférence :

250 m2 175 m2

Concours : Approbation de l’avant-projet par le C.C. : Approbation du projet par le C.C. :

2002 03/2003 04/2004

Devis :

16 990 978 Euro TTC

Démolition du cinéma Ciné-Cité : Début terrassement travaux de gros œuvre : Fin des travaux :

09-12/2005 01/2006 12/2009


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Pilote Architecte Ingénieur Génie civil Ingénieur Génie technique

Luxconsult SA Atelier d’Architecture BENG TR Engineering SA S&E Consult

Commodo-Incommodo Energie et Environnement SA Bureau de contrôle C/IC AIB Vinçotte ASBL Bureau de contrôle technique Secolux ASBL Coordination sécurité santé INCA SARL Etude acoustique SPC Acoustique Démolitions et installation chantier Olivi et Rodrigues TP SA Gros œuvre Tralux SARL Charpente métallique – Bulle Ateliers Poncin Traitement extérieur bulle Carrosserie Comes & Cie SA Installations HVAC et sanitaire A&P Kieffer Omnitec SARL Installations électriques Socom SA Charpente bois et ferblanterie Zimmermann et fils SARL Menuiserie métallique extérieure Roschmann Group Façade isolée Bautenschutz Theisen Pierres naturelles Marbrerie Trigatti SARL Carrelage Carrelage De Cillia SARL Design Carrelages SA Sols en bois Menuiserie Achten SARL Faux plafonds Binsfeld & Bintener SA Leglux SARL Plâtrerie MR Façade / Construction SA Serrurerie Ateliers Fior SARL Peinture et tapis plain Reckinger peinture et décors SARL Menuiserie bois intérieure Menuiserie N. Karier & Cie SECS Equipement multimédia Electro Hauser SARL Revêtements acoustiques Leglux SARL Fauteuils Pro-Concept Solutions SARL Mobilier bibliothèque Carrérouge SARL Bureau Moderne SA Pro-Concept Solutions SARL Signalisation Pro-Concept Solutions SARL Nettoyage de fin de chantier Nettoservice SA Sécurité et de gardiennage Brinks Security SA G4S


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Impressum

Copyright © avril 2011, Ville de Luxembourg Editeur Ville de Luxembourg Coordination Agence luxembourgeoise d’action culturelle Architecture Atelier d’Architecture BENG Traductions Patrick Kremer Photographies Bruno Baltzer John Braun Anna Rühland-Thiel Christof Weber

couverture pp. 38, 39 pp. 4, 5, 6, 8, 16, 17 pp. 1, 20, 21, 22, 23, 30, 31 pp. 2, 3, 14, 15, 18, 19, 26, 27, 28, 29, 46

Photothèque de la Ville de Luxembourg Pol Aschman Albert Biever Raymond Faber Collection Geissler Jochen Herling Tony Krier Théo Mey Inconnu

9/2 24 13/1, 13/3 10/1 13/2 10/2, 11/1, 11/2, 12/1, 12/2, 25/1, 25/3 9/1, 9/3, 10/3, 11/3, 25/2 12/3

Design graphique rose de claire, design. Impression Imprimerie Centrale Tirage 2 000 exemplaires ISBN 978-2-919901-02-9




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