Vendanges de printemps 2011
© Chamalot - Résidence d’artistes / Les artistes / Les auteurs Tous droits de reproduction réservés pour tous les pays ISBN : 978-2-917684-04-7 Dépôt légal : avril 2011
Virginie DyĂŠ Steve Givernaud DĂŠborah Julien Maude Maris Thilleli Rahmoun Claire Tabouret
Virginie Dyé
Deux êtres face à face les mains tendues vers l’autre, un groupe face à un individu isolé, un homme seul évoluant dans un paysage... Dans mes peintures, je souhaite mettre en évidence des compositions simples et lisibles dans lesquelles une narration sous-jacente peut naître. Inviter le spectateur à identifier le dialogue intérieur des personnages, percevoir l’intensité présente dans une scène. La peinture est ici le prolongement d’une réflexion sur l’être et les tensions qui l’animent. L’isolement, l’oppression, la difficulté à communiquer sont au centre de ces préoccupations. Les personnages figurent davantage l’être ou le groupe en général qu’une personne en particulier. Le récit place le spectateur dans un espace-temps où les éléments semblent en suspens. Toute notion précise de lieu et de temps est volontairement supprimée afin de ne garder que l’essence même de la réflexion. Devant chaque toile, on est face à un moment de doute, d’attente. Le climat est pesant, nous n’avons pas de donnée sur ce qui est antérieur à la scène ni sur ce qui va advenir. En arrière plan de chaque peinture, une lumière quasi fantastique appelle au dehors de la scène comme pour signifier un hors-champ. Certaines toiles présentent un caractère grinçant ; en figurant un être isolé d’un groupe, elles soulignent le retrait du personnage tout en montrant d’un doigt railleur l’ironie de son triste sort. Ainsi dans La valse, l’homme à l’écart applaudit la danse malgré son isolement. Les hémisphères, La valse, Les hostilités...souvent défini après un temps de recul face aux peintures, le titre souligne le récit et marque mon attachement à la littérature.
La scène, 2010, huile sur toile, 89 x 116 cm
L’impasse, 2010, huile sur toile, 30 x 40 cm
Le contrat, 2010, huile sur toile, 30 x 40 cm
La valse, 2010, huile sur toile, 100 x 120 cm
Les hémisphères, 2010, huile sur toile, 80 x 100 cm
Drawing days, 2007-2008, technique mixte, aquarelle, encres, 32 x 24 cm
Virginie Dyé Née à Blois en 1986. Vit et travaille à Bruxelles. www.viidye.fr 2009 DNSEP Ecole des Beaux-arts de Bourges. Expositions personnelles (sélection) : 2011 Virginie Dyé, Traffic Art Galery, Bruxelles. Expositions collectives (sélection) : 2011 2010 2007 2006
Truc Troc, Palais des Beaux Arts, Bruxelles. Biennale HORS COURANTS, Toulouse. Arts at home, Arles. Artec, Chouzy/Cisse.
Divers : 2009 Réalisation d’une lithographie originale en collaboration avec l’Atelier Pons dans le cadre de La Nuit des musées au Musée St Roch d’Issoudun
Steve Givernaud
La rigueur formelle du dessin affirme un acte poétique de l’artiste dans une peinture qui se réfère au réel. Peindre et non décrire, tel semble être le désir de cet artiste. Un site, un angle de vue attire son attention et il les transcrit sur la toile. Dans la pureté d’un dessin géométrique sans froideur, s’élèvent immeubles, usines, pylônes. Mais le peintre n’oublie jamais la nature, au ciel, il donne une place importante ; gris ou bleu, animé de nuages, vaporeux il apporte une certaine douceur à l’architecture, l’humanise en quelque sorte. Steve Givernaud se montre très à l’aise dans les grands formats, ses oeuvres respirent dans une alternance de masses statiques et de touches linéaires. Il aime les oppositions de couleurs, un ciel embrasé par le couchant à l’automne contraste avec le sombre agglomérat d’arbres ou ce sont des harmonies bleues, nuancées que cisaille ici et là une ligne géométrique noire. Nicole Lamothe
Winter, 2008, huile sur toile, 162 x 130 cm
Untitled 6 (i come with the rain), 2010, huile sur toile, 200 x 250 cm
Untitled 7 (i come with the rain), 2010, huile sur toile, 200 x 250 cm
Spring, 2009-10, huile sur toile, 162 x 130 cm
Summer, 2010, huile sur toile, 162 x 130 cm
Wall 4 et Wall 1, 2009, huile sur papier, 50 x 65 cm
Steve Givernaud Né en 1980. Vit et travaille à Fontenay sous bois. http://www.myspace.com/stevegivernaud 2006 DNSAP Ecole des Beaux-arts de Paris. Expositions personnelles (sélection) : 2010 Fondation Taylor, Paris. Expositions collectives (sélection) : 2010 Biennale d’Arts, Marhina Grande, Portugal. Novembre à Vitry, Galerie Municipale, Vitry. 2009 Novembre à Vitry, Galerie Municipale, Vitry. 2008 Midi 6, Fontenay sous bois. 2006 Parvis poétiques, Théâtre de la Reine Blanche, Paris. 2005 Novembre à Vitry, Galerie Municipale, Vitry. Divers : 2010 Prix de peinture Eddy Rugale Michaîlov, Fondation Taylor, Paris. 2007 Création du lieu Midi 6, Fontenay sous bois. 2006 Bourse d’étude aux projets artistiques, Mairie de Paris.
Déborah Julien
Mes peintures organisent des narrations suspendues, issues de mon autobiographie. Elles développent des espaces imaginaires où les paysages et les objets qui les composent se répondent et créent un dialogue implicite. Elles installent un espace symbolique, et se jouent d’un répertoire d’objets, détournés de leur fonction, mais porteurs du poids de mes angoisses et mes désirs. Des formes, des objets dégagent une charge organique, sexuelle qui se mollifient dans la rigidité des espaces, telles les montres molles de Salvador Dali ou se tendent dans des espaces sidéraux. Tous ces éléments récurrents courent d’une toile à l’autre, durant un temps donné. Ils construisent une narration d’événements vécus ou à vivre et définissent des séries qui se terminent quand le dialogue, qu’ils entretiennent entre eux, s’épuise. Parfois des mots s’immiscent dans la peinture, s’y mélangent, au point de devenir illisibles. Pourtant, ces mots, comme ceux du titre, déterminent la lecture de la peinture. Ils égrènent la narration et en délivrent le sens. En fait, ma peinture s’apparente aux rébus de mon vécu réel et imaginaire. D’ailleurs, j’entretiens, en parallèle de mes peintures, un travail d’écriture qui relie très souvent les deux. Les mots s’imposent et imprègnent la peinture comme ils adviennent sur la feuille de papier sous forme de poèmes, liant poésie et picturalité. co-écrit par Stéphane Doré
Élévation, 2010, huile et acrylique sur toile, 100 x 100 cm
MSI, 2010, huile et acrylique sur toile, 150 x 195 cm
Sans titre. 2010, huile et acrylique sur toile, 40 x 40 cm
Linceul, 2010, huile et acrylique sur toile, 40 x 40 cm.
RĂŠsidence, 2010, huile et acrylique sur toile, 45 x 55 cm
Moumou, 2011, aquarelle sur papier, 24 x 32 cm Femme moustache, 2011, aquarelle sur papier, 24 x 32 cm
Déborah Julien Née en 1985. Vit et travaille à Bourges. www.desbeauxrats.fr
2009 DNSEP Ecole des Beaux-arts de Bourges.
Expositions personnelles (sélection) : 2010 Paris en cage, galerie Art Tension, Bourges. Expositions collectives (sélection) : 2010 2004 2003 2002
5ème biennale d’art contemporain, Bourges.
Les trois petis points, PAC des ouches, Nevers.
Château de Mably, Roanne. 4 brins d’herbe, Espace Cardin, Mâcon. Réalitez Bordel, Espace des Arts, Châlon sur Saône
Maude Maris
Dans le travail de Maude Maris, une part importante est faite aux intérieurs, intérieurs aux volumes géométriques simples, tout à fait cohérents du point de vue de l’illusion perspective mais néanmoins tout à fait irréalistes dans leur simplicité même, dans leur abstraction d’images trop parfaites. Tout est évacué de ce qui pourrait faire réalisme, traces de vie ou du temps, pour ne laisser à voir que des enveloppes, des lieux virtuels, abstraits de toute géographie, semblables à ces architectures mentales que les orateurs antiques se construisaient pour y loger le chemin d’un discours. Ce sont des boîtes, des contenants. Le support physique de la toile, espace premier de projection, est donc doublé d’un espace figuré dans lequel peuvent se blottir d’autres illusions encore : des formes lisses ou plutôt des contreformes évoquant quelque moule industriel, bateau, coque, piscine saisis comme des énigmes surréalistes. Moules mâlics ou machines célibataires comme chez Duchamp « en aspect d’attente » ? Cubes ouverts devant nous, mais si serrés qu’ils semblent devoir se refermer sur eux-mêmes comme les scènes de prédelles de Fra Angelico dissimulant dans leur éloquence, leur clarté de rigoureux mystères. Mais tout regard, par le point de vue, le cadre qu’il impose n’est-il pas une boîte? Tout se passe comme si au détour d’un angle de notre subconscient surgissait un de ces morceaux du monde digéré par la pensée, encore tout luisant de sucs, entreposé là au fin fond d’une architecture inimaginable comme un tombeau de pharaon. Ainsi, le projet s’apparente quelque peu à une figuration de la pensée ; pensée hantée par les images extrapolées du monde visible. Extrait d’un texte de Jérémy Liron
Église, 2010, peinture glycérophtalique sur bois, 210 x 126 x 92 cm
Prototype bleu, 2010, huile sur toile, 200 x 250 cm
Bateau 1, 2009, huile sur toile, 73 x 92 cm
Piscine, 2009, huile sur toile, 73 x 92 cm
Coffres, 2010, huile sur toile, 110 x 150 cm
Maisons noires n째24 et 27, 2010, mine de plomb sur papier, 50 x 65 cm
Maude Maris Née en 1980. Vit et travaille à Caen. http://maudemaris.com 2003 DNSEP Ecole des Beaux-arts de Caen.
Expositions personnelles (sélection) : 2010 Deux horizons, Chapelle des Calvairiennes, Mayenne. Vues intérieures, Galerie du CAUE, Limoges. 2009 Archétypes, Carré Noir, Amiens. 2008 Points de vue, Orangerie du château de la Louvière, Montluçon. Expositions collectives (sélection) : 2010 Novembre à Vitry, Galerie municipale, Vitry-sur-Seine. die Beschreibung der Welt, die WG in Malkasten, Düsseldorf. 2007 La preuve par 9, Galerie Catherine et André Hug, Paris 2006 3ème biennale d’art contemporain, Bourges. 2005 Novembre à Vitry, Galerie municipale, Vitry-sur-Seine. L’art et la ville, Orangerie du Sénat, Paris. 2004 18èmes rencontres vidéo art plastique, CAC Basse-Normandie. Mulhouse 004, création contemporaine issue des écoles d’art. Jeune Création, Grande halle de La Villette, Paris. 2003 Le jour de la sirène, chez Christophe Cuzin, Paris. Bourses et résidences : 2009 DAAD, bourse de recherche pour artistes et architectes, Kunstakademie Düsseldorf. 2008 Shakers, lieux d’effervescence, Montluçon. 2angles, résidence, Flers. Saint-Céneri (61), résidence dans la chapelle. 2006 Aide individuelle à la création, DRAC Basse-Normandie. Collections : 2010 Collection FRAC Basse Normandie. 2009 Collection FRAC Haute Normandie.
Thilleli Rahmoun
J’ai longuement travaillé sur la thématique de la chambre sensuelle mais inhabitable, lieu de vie -malgré les contraintes qu’elle suppose (présence d’objets incongrus, difficulté de s’y déplacer, etc...)- mais saturée d’éléments possédant leur histoire et leur sens propres. Le but est d’exprimer ma féminité et de raconter mon histoire en créant une ambiance baroque, décalée et absurde. La question est de savoir quel est l’élément qui n’est pas dans son environnement naturel, mais qui continue à exister dans l’absolu. L’essentiel de l’oeuvre repose peut-être sur la présence de ce corps étranger, subtil mélange de transgression, démesure, décalage et poésie. Cette réflexion est basée sur la représentation de tranches de vie et de souvenirs datés et précis, illustrés par des histoires intimes, improbables et oniriques. Etant une personne « impressionnable » au sens photographique du terme, je recueille des sensations, des hallucinations visuelles, que je mets ensuite en scène dans des lieux de passage. Les évocations sont nombreuses, notamment celles relatives à l’enfance, à l’énergie frustrée et à la sexualité adulte. Les fragiles protagonistes que je jette dans les bras de ce monde clos sont à la fois victimes insouciantes, acteurs incertains, sages juges et témoins indifférents d’un passé. Si mon travail actuel est principalement axé sur la représentation fixe (dessins, peintures sur divers supports, installations), je projette d’écrire des scénarii narratifs construits autour de l’univers décrit ci-dessus.
Nous, les mouches, 2008, technique mixte sur toile, 97 x 130 cm
École des Beaux-arts d’Alger, 2009, technique mixte sur papier marouflé sur toile, 145 x 230 cm
Don Juan pêcheur, 2010, technique mixte sur papier marouflé sur toile, 144 x 235 cm
Sentiments paranormaux 2, 2009, technique mixte sur papier, 70 x 100 cm
Sentiments paranormaux 1, 2009, technique mixte sur papier, 70 x 100 cm
Don Juan de Arkel 1 et 2, 2009, acrylique sur plexiglas, 20 x 30 cm
Thilleli Rahmoun Née en 1978. Vit et travaille à Paris. www.thilleli.com 2007 DNSEP Ecole des Beaux-arts de Paris. 2001 Ecole Supérieure des Beaux-arts d’Alger. Expositions personnelles (sélection) : 2009 2008 2002 2001
Futur simple/Passé antérieur, Pôle Culturel de Coulanges, avec le soutien de la Direction des Actions Culturelles de la Ville de Gonesse.
Adieu, à « La Résidence », Dompierre-sur-Besbre. Ceux qui volent n’ont pas peur de tomber, Mairie du Vème, Paris. Reflets fugaces, Galerie Zehira, Alger.
Musée de Pruschow, Pologne.
Expositions collectives (sélection) : 2010 Salon du dessin contemporain, Galerie Placido, Paris. Zoom Art Fair, Galerie El Marsa, Miami. 2009 Africaines , Pavillon des expositions, 2ème Festival Panafricain d’Alger. Automne, Galerie Sellem, Paris. Que du papier, Galerie Placido, Paris. 2008 Festival d’art singulier, Centre Saint-Jérôme, Toulouse. 12ème Biennale européenne d’art contemporain, Nîmes. 12ème prix Antoine Marin, Galerie Julio Gonzalez, Arcueil. Contes et passions, Galerie Placido, Paris. 2007 Salon de Montrouge. Biographie métaphorique, Galerie Crous Beaux-arts, Paris. Centre Culturel Algérien, Paris Jeune Création 2007, Centre d’art La Bellevilloise, Paris. 2006 Académie des Beaux-arts de Paris. Salon de Montrouge. Bourses et résidences : 2009 2007 2006
Résidence d’artiste à « La Résidence », à Dompierre-sur-Besbre. Résidence et bourse à la Casa de Velázquez de Madrid. Résidence d’artiste à Saint-Alvère, Prix artistique Félix Fénéon, Chancellerie des Universités de Paris. Résidence d’artiste la Maison d’Emma, Saint-Mathieu de Tréviers. Prix de peinture Alphonse Cellier, Académie des Beaux-arts de Paris.
Claire Tabouret
Élément liquide prenant corps dans une superposition de strates, la peinture cristallise en une image qui engage un mode de représentation spécifique. La multiplicité des régimes de visibilité qui ponctue son histoire rappelle à quel point l’apparence des choses est labile et le processus d’achèvement du tableau une trajectoire qui ne va pas de soi. Clouzot en filme la dynamique d’auto-engendrement dans le Mystère Picasso et Balzac en décrit l’écueil dans le Chef d’oeuvre Inconnu. Les peintures de Claire Tabouret se construisent dans cette tension relative à leur stase, d’où sa prédilection pour les sujets qui lui permettent de confronter différents degrés d’actualisation de la figure. Sa représentation de maisons partiellement inondées oppose l’espace construit à l’espace liquide, leur forme arrêtée et terrestre, à celle, mouvante et dissolue, de leur reflet dans l’eau. Déployant un espace réflexif, elles confrontent différents degrés de visibilité. « Souviens-toi que tu es née liquide et que tu redeviendras liquide ». Mais à l’instar d’autres peintres de sa génération, c’est dans l’image filmée que Claire Tabouret trouve cet « autre » de la peinture qui la nourrit. Des images prélevées de vidéos qu’elle réalise lors de ses traversées à pied de villes ou de campagnes, de préférence à la tombée de la nuit, matrice, comme l’eau, de tous les possibles. Ces « résidus diurnes » agissent comme un filtre qui fait taire les données immédiates de la perception, pour n’en retenir qu’une évocation lointaine de lumières et de masses aux contours indéfinis. C’est dans ce manque à voir que Tabouret voyage mentalement, s’aveuglant pour mieux convoquer une mémoire d’affects et reconstruire un espace pictural dense. (...) Éternellement liés à l’élément liquide où ils se meuvent, les vaisseaux fantômes que peint Claire Tabouret ne rentreront jamais au port. Ils rappellent le rêve du poète romantique, Novalis, qui écrivait dans son Hymne à la Nuit : « Faut-il toujours que le matin revienne ? Est-il donc sans fin, l’empire des choses terrestres ? ». Les paysages qu’elle retient dans le crépuscule sont troués de lacs sombres, masqués de rideaux de feuillages qui absorbent la couleur et retiennent la lumière, complices dans ce retardement de la vision ultime. Marguerite Pilven
テ四e de la jeunesse 1, 2009, acrylique sur toile, 162 x 130 cm
Maison inondĂŠe, 2009, acrylique sur toile, 27 x 35 cm
Le jardin, 2009, acrylique sur toile, 60 x 73 cm
The peace commission tent, 2010, acrylique sur toile, 98 x 120 cm
Maison inondĂŠe 7, 2010, encre acrylique sur papier, 116 x 150 cm
Maison inondĂŠe 5, 2010, encre acrylique sur papier, 77 x 57 cm
Claire Tabouret Née en 1981. Vit et travaille à Pantin. www.clairetabouret.com 2006 DNSEP Ecole des Beaux-arts de Paris. Expositions personnelles (sélection) : 2011 Centre d’Art Contemporain Le Carré Noir, Amiens. 2010 Où est passée la journée d’hier ?, Galerie Isabelle Gounod, Paris. 2008 Orangerie, Château de la Louvière, Montluçon. Expositions collectives (sélection) : 2010 2009 2008 2006 2005 2003
Salon du dessin contemporain, Galerie Isabelle Gounod, Paris. Docks Art Fair, Galerie Isabelle Gounod, Lyon. Parcours d’Artistes, Pontault-Combault. Vert et Bleu, Exposition avec Delphine Renault, Pontault-Combault. Vidéo-Salon 3, Galerie 10m², Sarajevo. Carré des Arts, Salon du Livre, Paris. Lubalin Center, New York. En suspend, École Spéciale d’Architecture, Paris.
Bourses, résidences, prix : 2011 2009 2008 2005
Astérides, résidence d’artistes Friche de la Belle de Mai, Marseille. Prix jeune créateur décerné par la ville de Pontault-Combault. Shakers-Lieux d’effervescence, résidence d’artistes, Montluçon (6 mois). Aide individuelle à la création de la Mairie de Paris. Bourse d’étude Colin-Lefranc à Cooper Union, New-York (6 mois).
Publications, presse, TV : 2010 2009 2008
Journal de la culture d’ ARTE. Claire Tabouret, Échos. Texte de Jérémy Liron, Semaine n°14. Analogues édition. Catalogue d’exposition, texte de Frédéric Bouglé. Édition Shakers.
Collections :
Fondation pour l’art contemporain Claudine et Jean-Marc Salomon. Ville de Pontault Combault.
Ce catalogue a été édité par ChamalotRésidence d’artistes à l’occasion de l’exposition Vendanges de printemps 2011, dans les locaux de la résidence, du 17 avril au 22 mai 2011.
Contact : Chamalot - Résidence d’artistes Christine et Philippe Pée 19300 Moustier-Ventadour +33 (0)5 55 93 05 90 chamalot.residence@free.fr www.chamalot-residart.fr
Remerciements : L’association tient à remercier ses adhérents et donateurs, le comité de sélection, le jury du prix Novembre à Vitry.
Avec l’aide du Ministère de la Culture / DRAC Limousin, du Conseil Régional du Limousin, du Conseil Général de la Corrèze, de la Communauté de Communes de Ventadour, de la Commune de Moustier-Ventadour, de la Communauté Européenne (Leader Corrèze-Ventadour).
Chamalot - Résidence d’artistes fait partie du Réseau 5,25 réseau d’art contemporain en Limousin.
Crédits photographiques : Les artistes.
Moustier-Ventadour