Kwa maimai market

Etudiant: WANG Xiao Ying Directeur de projet: Stéphane Sadoux Tuteur de stage: Jhono Bennett Université Pierre Mendès France Institut d’Urbanisme de Grenoble Mater Science du territoire Spécialité: Urbanisme & Projet urbain Parcoure: Design urbain (Master professionnel) Lieu de stage: 1:1 Agency of engagement, Johannesburg, Afrique du Sud

Le 23 Juin, 2014

Kwa MaiMai market/committee Le devenir d’un marché et d’une communauté (Zulu) face au renouvellement urbain à Johannesburg

REMERCIEMENT

Merci à Stéphane Sadoux et Jhono Bennett, mes directeurs de projet, pour m’avoir encadrée, soutenue et stimulée par leurs idées et leurs conseils.

Merci à toute l’équipe IFAS (Institut français d’Afrique du Sud) et de l’Université de Johannesburg pour m’avoir accueillie et m’avoir fait découvrir la ville sous de nombreuses facettes.

Merci à Karen pour sa disponibilité et ses avis pour mon projet, malgré sa charge de travail; aux professeur de l’Université de Wits pour m’avoir fourni les connaissances de la ville et m’avoir fait participer à leur réunion de recherche.

Je tiens à remercie Ineza et Lucy qui m’ont fait découvrir leur vie quotidienne dans le Mai Mai market.

Un remerciement s’adresse à tous mes amis de johannesburg pour leur amitiés.

PRÉAMBULE

L’ Afrique est le continent le plus rural, mais elle s’urbanise rapidement.

Dans un processus de mondialisation, les grandes villes africaine face à nombres défis d’urbanisation: Pauvreté, étalement urbaine, ségrégation sociale, dégradation de l’environnement...

On trouve les formes urbains identiques dans ces villes: Les quartiers précaires; les enclaves résidentielles; les grandes zones d’activités et commerciales; les centres gentrifiés...

Johannesburg est une exemple qui rassemble tous ces problématiques. C’est la ville la plus riche du continent africain. Il est également un moteur économique de tout l’Afrique austral qui accueille les capitaux et les gens du monde.

Vingt ans après l’abolition de régime d’Apartheid, la ville est encore très divisées par les ‘‘races’’. Son ancien structure spatiale est encore très influencé à l’urbanisation d’aujourd’hui - Une ségrégation et inégalité se manifeste entre Nord et Sud. 1: L’ Afrique est le continent le plus rural (un taux d’urbani sation environnant le 35%), mais elle s’urbanise rapidement (la population des villes s’étant multipliée par 12 en 40 ans). ‘‘Les études urbaines en Afrique sub-saharienne: un portrait général’’ -Annie-Claude Labrecque

Son centre-ville ‘‘Inner city’’ se trouve au mielleux de ces deux extrémités, chargé d’une responsabilités importante d’évoluer la ville. Il doit représenter la figure d’une métropole de demain, mais aussi offre les services et les opportunités, être accessible à tout le monde. Notamment pour les gens habitent dans les quartiers où manquent encore des équipements publics nécessaire.

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Pour comprendre mieux l’épaisseur des problématiques du site de projet Kwa Mai Mai market, cet essai a contribué deux partie de recherche sur l’espace urbain de Johannesburg en deux échelle.

L’objectif est de comprendre le forme urbain, son fonctionnement, et ses enjeux. Par la suite, l’idée est d’ interroger la notion des espaces publics.

L’observation s’appuie sur le doit d’accessibilité(les espaces publics-privés), les pratiques sociales( informalités, trafics)...

Ces analyse finalement nous guidera à redéfinir mon site de projet - Kwa mai mai market. Un complexe d’un marché et d’une résidence dans un quartier à majorité Zouloue2 qui est considéré aujourd’hui comme un ghetto social.

Face au renouvellement urbain et les phénomènes de gentrification, on s’intéresse à quel point ce marché peut être valoriser autant pour l’extérieur que l’intérieur.

2: Zulu est l’un des groupes ethniques de l’Afrique du Sud, divise principalement au Witwatersrand(zone minière dans la province de Gauteng comprenant Johannesburg) et à Durban(ville portuaire de la province Kwa zulu natal)

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TABLE DES MATIÈRES

Métropole en construction _Ville d’or, ville apartheid, ville fragmentée...

Inner city _ Ce qui forment l’espace urbain _ Chaos, désordre, déserts _ Espace public-privée

Site_ Kwa Mai Mai market : Une espace à expérimenter _ Redéfinition l’espace _ Projet & Programme

Table des illustrations Bibliographie 5

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MĂŠtropole en construire

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150 km

GÉOLOCALISATION

Johannesburg se trouve dans le plateau d’Est de l’Afrique du Sud, dans la province de Gauteng dont elle est la capitale.

Gauteng: 18,178 km² 12,272,263 hab

Gauteng est la province la plus petite au niveaux de superficie environ 18 000 km², mais cependant la plus riche, la plus urbanisée et la plus peuplée du pays.

Pretoria, capitale administrative de l’Afrique du Sud se trouve également dans cette province, 53 kilomètres au Nord de Johannesburg. Constitue avec Johannesburg une région métropolitaine de 10 millions d’habitants qui est détiée un rôle économique major du pays.

50 km

Johannesburg: 1,644 km2 4,434,827 hab

5km

En 2010, quelques jours avant le coup du monde de football. Un nouveux chemin de fer à grand vitesse a été mise en place entre Pretoria et Johannesburg - Gautrain, qui lier à l’aéroport international et les principaux centres d’activités.

Aujourd’hui, la ville rencontre un besoin urgent de se transformer dans l’objectif de se densifier. Les défis sont complexes car liés à un passé particulier: La découvert de la mine d’or et la construction de la ville, la régime d’apartheid, et le développement post-apartheid...

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VILLE D’OR

2.5 km

Le centre-ville de Johannesburg – Inner city a été construit en 1886, après la découverte d’une mine d’or. La forme urbaine (Système de blocs, comme les grillages à New York) a été influencé par la configuration des camps de mineurs.

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VILLE APARTHEID

1886-1940 1941-1960 1961-1976

3 km

centre-ville et son quadrillage zone de mines

Principales étapes d’extention urbaine à Johannesburg entre 1886 et 1976. La ville a été construit très rapidement .

L’activité minière n’est plus le secteur principal de l’économie locale, mais le tracé des mines restent encore un impact important qui coupe la ville en deux.

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Centre-ville interdit aux population/ Townships(zones résidentiels pour les populations nois) non-blanche jusqu’à 1980s

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VILLE FRAGMENTÉE

Le régime d’apartheid forme une base de structure spatiale particulière, qui impose une ségrégation sociale : Au Nord, les « gated communities » (ancienne zone où vivait la population blanche) s’étendent largement dans l’espace urbain.

Les centres commerciaux et d’affaires s’installent progressivement.

Au Sud, les townships, les bidonvilles avec une densité de population importante (anciennement, les quartiers résidentiels pour les noirs, aujourd’hui continue à se densifier afin de construire des logements sociaux pour les gens à faible revenu).

Espace bâti anciens quartiers blancs Espace bâti anciens quartiers non-blancs Centre d’affaires / de commerce gérés par CIDs Enclosure (rue d’accés reservés)

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5 km

LES ENCLAVES RÉSIDENTIELLES

SOWETO - LE PLUS GRAND TOWNSHIP

SANDON- CENTRE COMMERCIAL

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LES GRANDS DÉFIS D’URBANISATION À JOHANNESBURG D’AUJOURD’HUI Question de mobilité et de l’environnement: Nombres de quartiers ont été construits sans une planification de développement, le déplacement urbain dépend largement d’automobile.

Question de doit à la ville: L’accés au foncier et les espaces publics...

Les espaces publics sont soit privatisées, soit manque de gestion public. Cette question lié à nombre de factors de la société même ( la disparité économique, l’inégalité sociale...)

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5 km

CENTRALITÉ(S) À RENFORCER Modèle poly-centralité

Noyau métropolitain Réseau ferroviaire et routier interurbain Centralité peripherique principal Centralité peripherique secondaire Haute densité Moyenne densité Faible densité Très faible densité

La région métropolitaine généralisée

Johannesburg (modèle poly-centralité inversé)

La rayonnement de Inner city (Noyau métropolitain) est très réduit, dû au contraintes phisiques (infranstructures et zone de mine), ainsique une urbanisation diffuse.

Une désequilibres entre la ville du nord et celle du sud - la majorité des centres d’activités se concentrent au Nord.

- la manque d’équiments et d’emplois au Sud, cela s’explique aussi la congestion de l’inner city

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5 km

LOCALISATION DE L’INNER CITY

La ville de Johannesburg est divisée en 7 régions administratives.

L’ Inner city se trouve dans la régionF, au ceur de réseux routier qui la relie aux villes principales tels que Pretoria, Bloemfontein, la Cap, Durban...

3 autoroutes N1, N12, N3 forment une boucle de 80 kilomètres qui est fréquement congestionné. La déviration R24 relie la ville à l’aéroport international.

La ville manque encore d’un système adapté de transport en commun, la majorité du transit des personnes et des marchandises s’effectue par la route. Un nombre significatif de résidents dépend des taxis collectifs(Minibus informel). le centre ville aujourd’hui est une transit de trafics. Les rues sont dominés par les minibus qui dégage une amibance de chaotique impressive.

Site kwa Mai Mai market se trouve à l’ échangeur de M31 qui est l’une des deux routes principale qui relie la ville en vertical.

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Inner city

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INFRASTRUCTURE

Armature routière intérieur de centre-ville

Chemin de fer

Centure de mines

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Autoroute M1

Dupliquer le niveux de l’autoroute M1

Pont Mandela franchise partie Nord et Sud de centre ville qui est coupé par le chemin de fer

CE QUI FORMENT L’ESPACE URBAIN

Les infranstructures sont les éléments structurants qui forment l’espace urbain de l’Inner city. (Le chemin de fer, la anciene zone minière, les autoroute, et le réseau routière intérieur de centre-ville). Ils coupent le centre-ville en différentes parties.

Pour comprendre mieux le foctionnement urbaine, il faut prendre en compte également les espaces bâtis et non bâtis Les blocs de building, la rue, les espace plublics... leurs usages quotidiennes.

Réseau routière de l’Inner city (quadriaillage)

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SYSTÈME DE BLOCS & ESPACE CONSTRUIT/ NON CONSTRUIT

Les bureaux, le passage piéton, le galerie commercial

Les espaces ouvert (place, parc public)

Building multi-fonctionne (commerce, bureaux, résidence)

L’ambiance de l’environnement se distingue brutalement entres les blocs. Les caractéristiques des uns et des autres se définirent par plusieurs éléments: la taille de building, le fonctionnement, l’espace public, la passage et le mouvement de piéton...

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Une rue a été reconvertie comme un passage piéton, un système de stand a été mise en place au milieu de la rue, pour abriter les commerçants dans la rue

Arcade, espace ouvert entre les buildings

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SYSTÈME DE TRANSPORT

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Les rues dans le centre-ville sont dominées par les minibus

l’arrêt de BRT(Bus rapide transit)

Les noeds de transport collectif sont toujours lié aux points commercials populaires( les marchés, les commerçants informel dans la rue...)

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Les gestes pour appeler le minibus

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CHAOS, DÉSORDRE, DÉSERTS, ESPACES PUBLICS (INFORMELS)?

Au pied des gratte-ciels, dans la rue, les marchants ambulantes, les mini-taxis, la masse de gens qui circulent dégagent une impression de chaos …

La rue est une espace public le plus populaire au

centre-ville. Cela veux dire la majorité des publics est des pauvres ou les classes moyens.

C’est une espace de ressource, de la vie quotidienne on trouve les femmes qui font le barbecue, font le coiffage pour leurs clients... les pratiques socials qui s’y déroulent du domaine exclusif de la formalité.

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Centres de commerce quartiers résidentiels quartier des affaires

quartiers mixes Quelques blocs plus loin, l’atmosphère change brutalement, on voit des lieux déserts, des espaces vides…

zone industrielle

L’ Inner city a connu son déclin après la fin d’apartheid. La zone où vivaient les populations blanches et les bâtiments ont été vite laissés à l’abandon.

On voit encore partout les publicités de ces immeubles à vendre (‘‘To let’’) en centre-ville. Les bâtiments se dégradent et sont murées pour éviter la création de squats…

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ESPACE PUBLIC-PRIVÉE

Le centre-ville de Johannesburg a besoin de retrouver ses identités. Le renouvellement urbain est devenue une urgence.

Certain quartier sont en train de se transformer en nouveaux quartiers culturels grâce à la stratégie CID ( City Improvment District) qui encourage les secteurs privés à investir les espaces urbains.

L’espace public-privé est un catégorie de l’espace public dont le titre de foncier conrrespont à un propriété privé (un autre type de gouvernance urbain).

Comme ici, le cas de Maboneng precinct, c’était auparavent une zone industielle. un entrepreneur a acheté au fur et à mesure les bâtiments vacants, dégradés, les a transformé en nouveux lieux d’activités - galerie d’art, cinéma, restorant, bar, l’hôtel, l’atelier d’artiste...Aujourd’hui, il est devenue un quartier avant-garde et a commencé à avoir le gentrification.

Cette stratégie a été critiqué comme étant ‘‘une autre forme de gated communities’’. La question de la gentrification demande une nouvelle vision pour traiter les problématiques de l’Inner-city.

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L’ANALYSE D’ÉCHELLE DE QUARTIER : Manque de son propre identité

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LOCALISATION DU SITE Site Kwa Mai Mai market se trouve à Sud-est de l’Inner city, dans un anicen quartier industriel dont la plus part de bâtiments sont occupées comme logement.

Ce quartier est au coeur des quatre quartiers très différents: CBD( Centre business district), Maboneng(nouveux centre culturel et de loisir), City deep(zone industrielle), Jeepestown(zone résidentielles)…

Lui même manque d’une identité et d’une visibilité. cela dû à l’infrastructures (l’autoroute 31) et les bâtiments vacantes qui manque d’aménagement.

Situé en-dessous des échangeurs de la route Heidleberg, il manque de visibilité

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Site_ Kwa Mai Mai market : Une espace Ă expĂŠrimenter

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L’ENTREE D’OUEST

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ThĂŠatre

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shops

Arcade

Place en commun

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coffins

Place de travail

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Atelier de fabrication

Planche ronde pour sécher le peau des animaux

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Numéro de l’unité (shops)

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Lieux culturel

Les médicaments traditionnels de Zulu

Lieux de sociabilité Lieux de vie Lieux de travail Lieux d’éducation les costumes, les oevres artisanales de la culture Zulu

Mai-Mai khuthala pre-school

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Un école primaire qui acceuile deux centaine enfants. Une partie d’eux vient d’extérieur de MaiMai market

QU’EST CE QUE C’EST KWA MAI MAI MARKET ? ( FONCTIONNEMENT DU SITE) Mai Mai market daté des années 1910, à l’époque c’était la résidece pour les ouvrier qui travaillent dans les mines.

En suit il a été devenue une écurie. Au fil du temps, aujourd’hui, un marché de médicament traditionnels se forme ici. On trouve également tous les autres oeuvres artisanals de Zulu .

Il y a 176 unité dans ce marché, avec 600 habitants - Une ‘‘Complexe’’ de résidence et de marché. Il est géré par Métropolitaine trading compagny. (Les habitant payent seulement le loyer environ 150 rands à la ville).

Les problématiques de ce site sont multiples : Visibilité, Sécurité, informalité…

Le principe du projet de Mai Mai est de faire évoluer l’espace tout en permettant aux gens de rester sur place et de créer des nouvelles opportunités.

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Ruptures & Bords physiques

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LA COMPLEXITÉ DE TERRAIN (LES CONTRAINS PHISIQUES)

L’organisation spatial de site est incompréhensible pour les visiteurs. La complexité base sur plusieurs éléments:

les colones du pont d’autoroute

Les infranstructures( l’échangeur, l’égout) qui fragementent le parcelle en différentes parties. les bords ( les murs, les grillages, les portails) comme un rôle défensif , est très présent dans cette ville. Ils reforcent davantage cette conficuration de fragementation.

On le considère comme une architecture de ‘‘peur’’. La question de sécurité est une grande thématique de la ville.

D’ailleurs il y a aussi une industrie de ‘‘peur’’ (le système de surveillance, l’entreprise de sécurité...)

l’égout

L’usage de l’espace est aussi un facteur fondamental qui structure l’ambiance de site. (Les activités informels, les squats) 53

Bords physiques

2 un travail résent des artiste sur le mur de l’entrée du Nord

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QUATRES ENTREES

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Espace fragmentĂŠe

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5 zones d’activité

Place ouvert (les activités informel

L’entrée ouest / Espace de circulation

Espace squattée

Jardin fermé /terrain de jeux pour les enfants

parking

Marché & Espace de vie

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REDÉFINITION DE L’ESPACE

Nouveau point de repère

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Espace public

Lieux de possibilité

PROJET & PROGRAMME

Nouveau point de repère

Lisibilité & Sécurité Espace public

Espace multi-fonctionne / structure mobile: intégrer les activités informels Lieux de possibilité

Résidence, travail, service, activités créatives/ économiques 59

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LISIBILITÉ & SÉCURITÉ

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CrÊer les relations visuelles sur les ponts de l’autoroute.

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Un stucture mobile sur l’égout, qui permet de créer une place multifonctionne( sécher les médicaments, mouvment de piéton, lieu de commerce...

Le soit, il peut se plier, pour rassurer le sécurité.

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CrĂŠer des nouvelles espaces piĂŠton

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Espace multi-fonctionne

Divers pavements & topographie artificiel Structures mobiles pour les diffĂŠrents activitĂŠs

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Propose des nouvelle logement aux habitants CrĂŠer des nouvelles service: Restorant et cafĂŠ, Centre de crĂŠation artisanal, Atelier de photographie, organisation de mariage traditionnel...

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Atelier de photographie

Organisation de mariage traditionnel...

Centre de crĂŠation artisanal

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TABLE DES ILLUSTRATIONS

P8 : Données issue de wikipedia, dessinée par l’auteur.

P10,12 : Cartes issue de ‘‘Johannesburg: The making and shaping of the city’’ (Keith BEAVON), redessinées par l’auteur P11, 13 : Photos issue de ‘‘Johannesburg: The making and shaping of the city’’ (Keith BEAVON) p14: Carte issue de ‘‘Le territoire contre le réseau ? Fermetures de rues et nouvelles formes de gouvernance urbaine à Johannesburg, Nairobi et Ibadan’’(Claire Bénit-Gbaffou, Seyi Fabiyi, Samuel Owuor) P15: Les enclaves résidentielles: http-//www.fotothing.com/photos/2fb/2fb80bbab8e81572ede0f7e4b63255c9.jpg Soweto - le plus grand township: http-//despresdelapau.files.wordpress.com/2013/09/dsc08584.jpg Sandon - centre commercial : http-//www.thesouthafrican.com/wp-content/uploads/2012/12/mandela-square.jpg http-//chicvoyagetravel.com/wp-content/gallery/capetown/sandton-mall.jpg p16: Redessinée sur des cartes de région issue de JDA (Johannesburg developement agency) p17: Modèle poly-centralité - Karen lévy, chercheur de l’AFD (Agence française développement) p18: Dessinée par l’auteur sur la carte de région et retracée sur l’image de Google earth

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P28: Image issue du site de Rea Vaya p34: Données issue du site de JDA( Johannesburg developement agency) p35: issue du site de Maboneng precinct

Toutes les orthophotos sont issues de Google Earth Toutes les photos ou cartes non-mentionées sont faites par l’auteur même 71

BIBLIOGRAPHIE Keith BEAVON, ‘‘Johannesburg: The making and shaping of the city’’ Caroline Skinner /ACC(AFRICAN CENTRE FOR CITY), ‘Working in Warwick’’ CHIPKIN, C. (1993). ‘‘Johannesburg Style: Architecture and Society 1880s – 1960s’’ K. Beavon «Nearer my Mall to Thee: The Decline of the Johannesburg Central Business District and the Emergence of the Neo-Apartheid City,» Seminar Paper, University Of The Witwatersrand, Institute For Advanced Social Research (5 October 1998).

Les études urbaines en Afrique sub-saharienne: un portrait général http://www.vrm.ca/cap_afrique_portrait.asp?ID=1228 LA QUESTION URBAINE EN AFRIQUE AUSTRALE. Perspectives de recherche Alain Mabin, Collectif - Philippe Gervais-Lambony, Sylvy Jaglin

Claire Bénit-Gbaffou, Seyi Fabiyi, Samuel Owuor: ‘‘Le territoire contre le réseau ? Fermetures de rues et nouvelles formes de gouvernance urbaine à Johannesburg, Nairobi et Ibadan’’ Pauline GUINARD, Les espace publics au prisme de l’art à Johannesburg : Quand la ville fait œuvre d’art et l’art œuvre de ville

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HATJE CANTZ <<AFRITECTURE -Building Social Change>>, edited by Andres Lepik AbdouMaliq Simone, For the City Yet to Come: Remaking Urban Life in Africa, 2003 Hiton Judin & Ivan Vladislavic << Architecture, apartheid and after>> David B. COPLAN, Socialising the city : the creation of Black Identity in Johannesburg FOURCHARD Laurent, Shebeens, Sociabilité et pouvoir en Afrique du Sud au XXe siècle Blanca Calvo BOIXET, Urban segregation in the buffer strips – Edges, people and network Une finestra sur : Johannesburg,Urbanistica Informazioni Marché foncier et habitat informel dans la banlieue de Johannesburg, Etudes foncières - n° 129 Carroy, Chrystelle, Johannesburg : à la reconquête du centre-ville, Diagonal - n° 166

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