SOMMAIRE
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Curriculum vitae
page 4-5
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Les lumières du savoir
page 6-7
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Diriger par la couleur
page 12-13
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Crématorium
page 18-19
04
Habitation collective
page 26-27
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Maison citoyenne
page 34-35
06
L’entre-deux
page 42-43
07
La question du lieu
page 50-51
08
Productions personnelles
page 62-63
09
Contemplation
page 70-71
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Croquis
page 90-91
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COMPÉTENCES Langues Anglais Allemand Espagnol
Logiciels
DATE DE NAISSANCE 05/09/1996
ADRESSE 1548 Avenue Lou Mistraou, 83230, Bormes les Mimosas.
Microsoft office Autocad Indesign Illustrator Photoshop Sketchup pro 3Dsmax Revit Archicad
PERSONNALITÉ
Optimisme: Créativité: Ponctualité: Responsabilité: Organisation: Réactivité: Ouverture d’esprit: Sociabilité:
clara.ducrond62@hotmail.fr
INTÉRÊTS
TÉLÉPHONE 06.17.05.33.25
MOBILITÉ Permis B
Art
Photographie Danse Dessin
Sport
Crossfit Randonnée
Voyage
Bagpacking
Road trip
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EXPÉRIENCES PROFESSIONNELLES 2020
. Serveuse au sein du bar à vin et à tapas, l’Envie, Lavandou - CDD juin/octobre.
2019/2020
. Vendeuse au sein du magasin H&M, centre commercial V2, Villeneuve d’Ascq, Nord - CDD novembre/février 2020. . Hôtesse de caisse chez Carrefour - Le Lavandou, Var - CDD juillet/août. . Animatrice évènementielle ...-Nord - contrats d’in térim Manala depuis début 2019.
2017/2019
. Hôtesse d’accueil et serveuse pour le LOSC, gestion naire de dossiers au sein de la métropole européenne lilloise, Nord - contrats d’intérim ADECCO.
2018
. Architecte au sein du cabinetde Mr Buteau “Héliotrope” - Hyères, Var - stage juin/juillet. . Barmaid au camping “Le camp du domaine” - Bormes-Les- Mimosas, Var - CDD août.
2017
. Hôtesse de caisse chez Carrefour - Le Lavandou, Var - CDD juillet/août.
2016
. Maçonnerie au sein de l’entreprise “DAYRE maçonne rie”, Bormes-Les-Mimosas, Var - stage estival. . Vendeuse dans le magasin touristique “Reflet” - La Favière, Bormes-Les-Mimosas, Var - CDD fin juillet début août. . Conception au sein de l’entreprise «Eiffage», Lille, nord - Stage d’un mois - Septembre.
2015
. Serveuse sur une plage privée “La Madinina” - La Fa vière, Bormes-Les-Mimosas, Var - CDD juillet/août.
2010
. Stage d’architecture au sein du cabinet de Mr Cardon (architecte) - Béthune, Pas-de-Calais.
DIPLÔMES ET SCOLARITÉ 2019
. Master 2 d’architecture, Faculté d’architecture, d’in génierie architecturale et d’urbanisme - Université catholique de Louvain LOCI Tournai, Belgique.
2014
. Baccalauréat Scientifique, Lycée Louis Blaringhem - Béthune, Pas-de-Calais.
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Retenu pour être présenté au concours du musée L de Louvain La Neuve, le projet a comme commande la conception d’une installation artistique destinée à en valoriser et à en remercier les grands mécènes (reconversion d’une
ancienne bibliothèque). L’objet a pour but l’évocation du rassemblement comme force pour construire et avancer.
En d’autres termes: 1+1 = 3.
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Ainsi l’oeuvre artistique valoriserait le passé en créant du vivre ensemble. La zone choisie posséde une double hauteur trés sombre et peu mise en avant.
La mise en place de l’oeuvre artistique crée un éclairage artificieL et permet un apport de lumière tout en revalorisant l’espace en créant une continuité du balcon avec un ciel de boules de lumières.
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Comme le musée se veut être l’objet de dialogues entre les arts et la science, la lumière est introduite comme représention du savoir au sein de la réalisation . Ayant un budget de 10 000 euros
il a fallut trouver un dispositif peu coûteux et facilement réalisable. Des globes en verre suspendus par de longs câbles electriques sont le coeur de la création.
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Chacun est bombé sur sa moitié et le nom de chaque mécène est mit en exergue à l’aide d’un simple système de pochage. La différenciation entre les mècènes se fait grâce à deux couleurs, le cuivré pour les entre-
prises et l’argent pour les donnateurs privés.
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Retenu pour être réalisé au sein de la nouvelle école d’architecture de la ville de Tournai, ce projet répond a une demande de l’académie. « Comment la couleur peut-elle induire la circulation au sein de la faculté ? » La proposition s’inspire du fonctionnement des réseaux métropolitains et du maniement de leurs lignes colorées pour orienter les nouveaux étudiants et les visiteurs. Pour cela, un dessin est réalisé dans le hall principal qui est le premier lieu dans lequel on arrive. Celui ci fonctionne sous forme de plan mais également en coupe offrant une lecture simple et une projection rapide du trajet à prendre. Des pastilles de couleurs permettent au visiteur de pouvoir se répérer d’un point A à un point B . Chaque trajet possède sa couleur.Celle ci confirme alors la position du visiteur. De plus, chaque couleur a été choisie en fonction de l’activité qu’elle représente afin de correspondre au mieux aux ambiances de chaque lieu.
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La crémation étant une étape trés importante dans le processus de deuil, le questionnement sur la « mise en scène » de la mort en tant que telle est primoridale pour répondre le plus respectueusement possible aux besoins et aux désirs des familles du défunt.
Situé dans les carrières de la ville de Tournai, le projet s’installe sur une berge au bord de l’eau où se trouvaient les anciens locaux des fours à chaux de la ville.
C’est un lieu à lui seul chargé de symbolique. En effet, le reflet du ciel dans l’eau laisse transparaître les cieux alors que sur les ruines le souvenir semble s’inscrire comme autant de stèles témoins du passé.
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Elément fort du site par la présence conséquente de stèles en son sein, comme autant de pointe déterminant l’implantation.
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Le parcours se fait sous forme de boucles, chaque salle possède sa propre ambiance et s’enchaine afin que ne se croisent pas les familles des défuns. Les stèles deviennent un élément fondateur du projet sur lequel vient s’articuler le bâtiment. Leur mise en scène comme témoin du passé permet de manière symbolique de débuter le processus de deuil.
Elles pourront également acceuillir au coeur de l’espace dit de dispersion, les noms de chaque défunts faisant de ce jardin un lieu de reccueillement, de calme voire même de sérénité.
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La forme cubique et simple de l’édifice permet de porter l’attention vers ce qui entoure le projet et non le projet en lui-même. Le crématorim s’incère dans le site de manière à laisser la Nature seule maîtresse des lieux puisqu’elle reprendra toujours le dessus.
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C
D Privé
Observer
SemiPrivé
S’ouvrir
Partagé
Echanger
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A - Schéma circulation:
A
1 :Espace partagé à deux logements 2: Espace tous.
partagé
à
3: Axes Majeurs 4: Axes Secondaires 1
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B - Schéma projection des vues:
3
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B
C - Répartition des espaces partagés D - Vivre au sein des logements E - Articulation des logements
A l’heure où la société est encore portée par un état d’esprit individualiste, de nouveaux modèles d’habitation cherchent à retrouver les valeurs de collectivité en inventant et imaginant de nouvelles façons de résider.
E Logement privé 1
Logement privé 2
Espace partagé
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Cette expérimentation autour du logement cherche à résoudre de nouvelles questions sur le vivre ensemble, le partage mais aussi l’intergénérationnalité. En effet, le modèle de famille a évolué. Il s’agit aujourd’hui de trouver d’autres manières d’habiter et de répondre à cette nouvelle société où le nombre d’habitants ne fait qu’augmenter. Bergues est une charmante ville du Nord-Pas-de-Calais où la convivialité est perceptible. Il est agréable de se perdre dans ses rues qui se croisent et s’enchevêtrent.
1. Plan RDC
2. Plan R+1
3. Plan R+2
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Néanmoins, il semble pertinent de se demander s’il n’est pas possible de faire rebondir la structure si particulière de la ville au sein de l’habitation afin d’y animer d’avantage la vie collective. C’est sur ce sentiment de circulation labyrinthique que s’est alors formé le projet. La crétion de cours collectives a reproduit cet entremêlement caractéristique en densifiant les habitations tout en introduisant des élargissements et des rétrécissements. Cet effet est accompli par l’ enchevêtrement des logements qui offre également de nouveaux lieux. Ainsi la déambulation et l’habiter deviennent une expérience qualitative.
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Dans ce projet, le questionnement se fait à plusieurs échelles, c’est à dire du paysage au détail. En effet, les allers-retours entre l’idéalité de projet et ce que veut être le projet est un processus qui cherche à penser un nouveau lieu capable de répondre à des question d’avenir et de citoyenneté.
A l’intersection entre le chemin de grande randonnée et l’entrée des landes dans la ville, l’édifice public vient s’inscrire dans des locaux existants afin de sublimer le plus banal des hangars.
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A
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Avec l’hybridté comme maître mot, la maison citoyenne devient un territoire où les anciens hangars offrent un espace «capable» entièrement polyvalent. Profitant de la topographie, ce lieu d’accueil vient s’insérer dans le sol en escalier afin de vivre les toits des espaces chauffés comme des terrasses sous les portiques mais aussi d’y intégrer l’auditorium. Par ailleurs, en s’ouvrant vers l’extérieur, les espaces chauffés s’aggrandissent et viennent qualifier leurs abords grâce aux activités qu’ils proposent. A leur tour les espaces extérieurs deviennent polyvalents changeant de fonction selon l’occupation.
A - Mises en situation: . Concert . Marché . Terrain de volley
B - Toiture amovible
B
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Respectueuse de l’environnement, la ville de Gand cherche à s’installer dans un mode de vie durable et accessible, développant ainsi des mobilités vertes et des circuits courts. Le projet veut s’inscrire dans le même élan, afin de répondre mieux aux enjeux de la ville à travers les spécificités qu’offre le parc Bourgoyen-Ossemeersen. La station d’épuration qui se situe à proximité du parc semble manquer fortement de considération et offre un point d’accroche spécifique, en adéquation avec les enjeux de la ville. En effet, le traitement des eaux est une problématique actuelle encore peu évoquée. Le projet permet ainsi de venir sensibiliser la population à l’importance de l’eau, son cheminement mais aussi sur l’exploitation et la réutilisation des déchets fournis par l’édifice d’assainissement. Suite à une végétation dense, le parc nie sa proximité avec ce site pourtant bénéfique, séparant alors ces deux lieux qui sont complémentaires.
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Le projet joue alors le rôle d’interface en venant négocier la façade de la station d’épuration.
Urban smart ferme Séchage des boues. Culture maraichaire.
Utilisaion des boues en engrais.
Bâtiment d’accueil.
(mise en vente des récoltes et utilisation de celles-ci pour le restaurant).
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Le projet revalorise la station d’épuration en servant de transition entre celleci et le parc. Il vient prendre en compte les contraintes de chaque lieu pour en faire un atout afin de les réunir. Légitimement ouvert à la vie associative, la culture maraichère et sa mise en vente est un bon compromis entre l’exploitation de la station d’épuration et le parc par le recyclage de ces déchets en engrais.
S’inscrivant dans une hiérarchie structurelle le projet est capable de se transformer et d’évoluer en fonction des besoins. Grâce à cela, le jour où les différents pôles d’activités mis en place dans la projet ont besoins de se renouveler, la trame structurelle les définissant pourra également s’adapter.
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Originaire d’un petit village du Nord-Pas-deCalais, je m’intéresse dans un premier temps au canal qui le parcoure. L’ensemble du territoire qu’il traverse devient alors mon terrain d’étude où ma méthode d’analyse fonctionne par zoom. Le territoire traversé par le Canal d’Aire se compose à la fois du bassin minier et de la plaine de la Lys. De manière simplifiée, ils sont témoins de 4 étapes majeures d’évolutions où l’on perçoit un territoire marécageux s’assainir sous l’action de l’homme avec la mise en place d’un grand réseau de fossés pour cultiver la terre. Ce réseau va générer une urbanisation historique sous forme d’habitat linéaire. Je choisis donc de me concentrer sur la plaine habitée de la Lys dont l’attractivité augmente considérablement et la rend de plus en plus résidentielle. L’eau dicte de moins en moins cette urbanisation et manque de considération. L’habitat traditionnel fait place à l’habitation de masse dépourvue de sens avec le paysage dans lequel il s’installe.
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Maison rurale isolée
Maison ouvrière agricole
Maison ouvrière
Maison résidentielle
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Cette analyse permet d’identifier 3 éléments essentiels de la culture paysagère de la plaine, l’urbanisation historique (l’urbanisme linéaire), l’eau et l’agriculture. En ce qui concerne l’urbanisme historique, la continuité de l’évolution du paysage est évidente. Les constructions forment un ensemble cohérent et singulier en fonction des usages offerts par la plaine. Mais ses qualités paysagères s’amoindrissent avec des maisons traditionnelles qui évoluent en de nouvelles générations à l’usage uniquement résidentiel et qui s’installent de plus en plus sous une nouvelle urbanisation type « grappe de raisin ». L’urbanisation future de la plaine est donc une question primordiale à considérer pour penser l’avenir de son territoire. Pour ce qui est de l’eau alors qu’elle conditionnait l’urbanisation, sa valeur aujourd’hui pose question. Il est possible d’imaginer l’ensemble du territoire comme une maille avec 4 échelles de réseaux d’eau qui affluent les uns dans les autres, excepté le canal qui lui fonctionne comme une grande bassine.
1. Fossé 2.Courant
3. Rivière 4.Canal
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En effet, en urbanisant de plus en plus, l’homme canalise davantage les fossés et réduit fortement leur capacité. L’eau de ruissellement arrive donc de plus belle dans ce réseau initialement agricole et dont l’écoulement est plus différé. Ce qui crée des problèmes d’inondations. Ainsi ne plus considérer l’eau comme l’élément principal du territoire est une aberration. Le lien avec la vocation agricole du paysage est nécéssaire puisque la question d’écoulement s’aggrave aussi sous l’action des agriculteurs qui, pour avoir une parcelle plus grande, drainent leurs champs et retirent de nombreux fossés. L’eau infiltrée dans les sols se restitue plus vite vers les fossés qui sont de moins en moins nombreux. S’ajoute la pression urbaine dont le déploiement de ces constructions intègre les parcelles agricoles dans d’immenses cœurs d’îlots. Ce qui engendre des problèmes de gestion avec les habitants qui ne souhaitent pas subir les désagréments de l’agriculture. Comment inverser la spirale négative qui asphyxie le territoire? Pour tenter d’y répondre il faut néanmoins se focaliser sur une partie plus précise. Travailler ainsi est possible car il existe une répétition infinie d’un même système paysagé au sein de la plaine faisant de chaque lieu, un exemple représentatif.
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Ne pouvant affirmer que LA solution pour inverser la tournure sera trouvée, aborder le territoire sous forme de réflexion spéculative est un levier intéressant pour le comprendre davantage. L’un des scenario est la création d’un espace inondable. Positionnés au centre des grands cœurs d’ilots, ces espaces tampons, dont le rôle est celui d’amortissement hydraulique, seraient perçus comme de grands jardins communs. Ainsi l’habitat linéaire réputé pour l’isolement social possèderait un espace naturel facilement accessible et proche où, l’élément eau créerait non seulement un lien entre les différents habitants mais aussi avec le paysage environnant. L’histoire même du paysage démontre comment, par le biais du drainage, l’homme a su faire disparaitre l’eau de la surface alors qu’initialement les lieux étaient totalement marécageux. Cette intervention serait alors une forme de retour en arrière pour penser l’avenir du territoire.
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Cette autre hypothèse crée un réseau semi connecté. La création de fossés en fond de parcelles est un moyen de les abouter et de les rendre communicantes. Les fossés qui seraient alors semi connectés joueraient le rôle de tampon en drainant l’arrière des terrains privés et les champs ou espaces naturels environnants. Ainsi l’ajout d’un sous réseau de fossés au réseau existant se connecterait qu’en cas de surplus. Nous pouvons aussi imaginer que chaque habitant décide de réduire son fond de parcelle privée pour générer un espace commun communiquant.La nouvelle considération pour le fossé en tant que tel serait un élément de connexion entre la vie privée et le monde environnant qu’il soit humain ou paysager. Même si définir LA solution susceptible de répondre à la problématique de la plaine est impossible je suis néanmoins convaincue de la nécessité de lier l’homme à son milieu afin que tous deux évoluent en harmonie.
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Réhabilitation d’un RDC d’une maison. Bormes les Mimosas - Var.
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1.Plan avant intervention. 2.Plan après intervention.
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Réhabilitation complète d’un appartement. Bormes les Mimosas - Var.
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1.Plan avant intervention. 2.Coupe après intervention. 3.Plan après intervention.
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Réhabilitation complète d’un appartement. Bormes les Mimosas - Var.
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1.Plan avant intervention. 2.Plan après intervention.
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Voyager . Désert d’Hurgadha - Egypte . Vallée du conémara - Irlande.
. Huaraz - Pérou. . Banos - Equateur.
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. Lagune 69, Huaraz - Pérou. . Galapasgos - Equateur.
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Découvrir . Vallée du Conémara -Irlande. . Désert - Mali
. Huaraz - Pérou. . Huaraz - Pérou.
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. Galier Pastouri, Huaraz - Pérou. . Volcan Quilotoa, Latacunga - Equateur.
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Observer . Volcan Cotopaxi, Latacunga - Equateur. . Huaraz - Pérou.
. Huaraz - Pérou. . Gien, Hyères - France.
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. Galapagos - Equateur. . VallĂŠe du ConĂŠmara - Irlande
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Dirriger . . . . .
Galapagos - Equateur. Amazonie, Iquitos - Pérou. Marché d’Otavalo - Equateur. Mémorial, Berlin - Allemagne Plage de l’éléphant, Le lavandou - France.
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Volcan Ruccu Pinchincha, Quito - Equateur. Route des cascades, Banos - Equateur. Parc du Cotopaxi, Latacunga - Equateur. Las Grietas, Galapagos - Equateur. Las Grietas, Galapagos - Equateur.
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Cadrer . . . . .
Cabanon, Bormes les Mimosas - France. Temple de Karnak, Louxor - Egypte. Palais de Ras el Tin, Alexandrie - Egypte. Volcan Quilotoa, Latacunga - Equateur. Gien, Hyères - France.
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Chapelle Constance, Bormes les mimosas - France0 Cimetière Santa Cruz, Galapagos - Equateur. Le Louvre, Paris - France. Las Grietas, Galapagos - Equateur. Temple Karnak, Luxor - Egypte.
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Hausser . . . .
Mosquée, Alexandrie - Egypte. Le Louvre, Paris - France. Glacier Pastouri, Huaraz - Pérou. Temple Karnak, Louxor - Egypte.
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. Tour Eiffel, Paris - France. . Galapagos - Equateur. . Route des cascades, Banos - Equateur.
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Habiter . Amazonie, Iquitos - Pérou. . Amazonie, Iquitos - Pérou. . Otavalo - Equateur.
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. Désert, le Caire - Egypte. . Habitation isolée, Huaraz - Pérou.
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Elever . . . .
Temple de la reine Hatchepsout, Louxor - Egypte. Amazonie, Iquitos - PĂŠrou. Amazonie, Iquitos - PĂŠrou. Eglise, Cologne - Allemagne.
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Jardin de Gaudi, Barcelone - Espagne. Bibliothèque d’Alexandrie - Egypte. Zoo, La londe - France. Cathédrale Duomo, Milan - Italie.
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Contraster . Cuenca - Equateur. . Pavillon Mies Van der Rรถhe, Barcelone - Espagne.
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. Zwin, Knocke - Belgique. . MĂŠmorial, Berlin - Allemagne.
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« Le véritable voyage ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages, mais à avoir de nouveaux yeux. » Marcel Proust
« On voyage pour changer, non de lieu, mais d’idées. » Hippolyte Taine
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« L’architecture, c’est une tournure d’esprit et non un métier ». Le Corbusier