The HEConomist Février 2012 | N°8
Comité HEC Lausanne
Editorial Doit-on intervenir en Syrie ?
INDEX Bilan
3
Economie
6
Entretien d’embauche
7
Conférence
9
Facebook à 100 milliards, le pari insensé
Matières Premières Les questions les plus folles
“Coca Cola : More than a drink…”
HEC Lausanne Sailing Team Le HLST à Monaco
11
Sport
13
Soirées
15
Journée de Ski
Carnaval HEC
A ce jour aucune des interventions occidentales, américaines seules ou groupées, ne peuvent se targuer d’avoir été des succès (Vietnam, Irak1, Irak2, Afghanistan). Le cas récent de la Lybie est différent. On peut parler sans équivoque de réussite militaire, mais la réussite politique est plus mitigée (la démocratie amenant à la charia), en tout cas prête au débat. Dans cette zone géopolitique explosive, à l’heure où Israël menace d’attaquer l’Iran (bientôt détentrice de l’arme nucléaire), soutien financier d’une Syrie stratégique et amie du Hezbollah (lui même ennemi d’Israël), n’importe quelle action de l’Occident ferait effet d’une allumette dans un baril de poudre. S’ajoute à cela la situation interne, qui ne relève pas seulement de revendications socio politiques mais aussi de vrais clivages ethnico religieux, renforcés par des alliances atypiques, à l’instar de minorités kurdes ou chrétiennes soutenant le
2 régime de Bachar Al Assad. Un conflit de plus au sein de cette région du globe dans lequel seraient embourbées les forces militaires de l’Occident pourrait s’avérer dramatique tant au plan économique qu’au plan politique (hausse du ressentiment antioccidental) au sein d’un monde changeant dans lequel les grandes puissances d’hier doivent désormais prendre en considérations des forces nouvelles dont les réactions possibles ne nous sont pas connues. Plombés par des recettes publiques défaillantes et une menace de montée des prix du pétrole, tant l’Amérique que l’Europe ne peuvent plus et ne doivent plus, pour leur propre survie (politique mais aussi économique) se permettre de telles interventions. Les temps ne sont plus à la tentative de propagations des valeurs, le cas de la Lybie (coût au 30 septembre 2011 : environ 320millions d’euros) nous le montre. Si notre cœur nous appelle à aller soutenir un peuple à la merci de tyrans notre raison doit nous inviter à opérer un calcul rationnel quant à nos intérêts. Laisser mourir le peuple syrien à la manière de la très forte et influente résolution de l’ONU le 16 février n’est pas non plus une solution. Des soutiens
The HEConomist | Février 2012
stratégiques, logistiques, économiques, et diplomatiques doivent être pourtant dirigés dans ce sens. Qu’on se le dise, le régime syrien ne peut désormais plus que basculer, la situation atteindra son comble tôt ou tard diagnostiquant la mort du régime de « naturelle ». Espérons que cette mort vienne le plus vite possible... Renaud-Selim Sanli Etudiant en 3eme année Sciences Politiques
Impressum Editeur : Comité HEC Lausanne Internef, CH-1015 Dorigny communication@comite.ch www.comite.ch Rédacteur en Chef : Frédéric Maillard Rédacteurs: Abel Ganz, Léa Montfajon Imprimeur : S’Impression, Saint-Prex
Copyright © 2011 Comité HEC
3
The HEConomist | Février 2012
Bilan
Par Dino Auciello, le 15 février 2012
Facebook à 100 milliards, le pari insensé La valorisation de la société est spectaculaire mais son modèle économique, lui, soulève des doutes. Début de la fin? Au royaume des sociétés cotées à très haute capitalisation, le prince de l’e-économie s’apprête à monter sur le trône. Facebook a déposé son dossier auprès de la SEC, l’autorité boursière américaine, pour une entrée en bourse record qui devrait avoir lieu dans le courant du deuxième trimestre 2012. Le réseau social pourrait lever 5 à 10 milliards de dollars. Sa valorisation: 100 milliards, soit presque trente fois son chiffre d’affaires de 3,7 milliards. Plus qu’Amazon (88,3) et McDonald’s (95,6). «Personne ne peut ignorer qu’il y a clairement une exagération. En termes de critères traditionnels de valorisation, ce n’est pas justifiable, même pour une société de l’ampleur de Facebook.» L’avocat spécialiste des nouvelles technologies Michel Jaccard n’est de loin pas le seul à partager cette opinion: la création de Mark Zuckerberg ne vaut pas un tel montant. Même si – semblet-il – des investisseurs s’arrachent ces actions à prix élevé. «C’est une simple conséquence de la loi de l’offre et de la
demande, estime Panagiotis Spiliopoulos, chef de la recherche chez Vontobel. En ne mettant que 10 milliards au maximum sur le marché, soit 10% de son capital, Facebook provoque un effet de rareté efficace qui booste sa valeur.» Dévoilés pour la première fois, les résultats réels, eux, démontrent la profitabilité du réseau: il encaisse en 2011 un bénéfice net d’un milliard. Or la méfiance prévaut, tant le ratio de valorisation actuellement appliqué est jugé «incohérent». «Je ne recommanderai en aucun cas d’acheter des parts, avertit Panagiotis Spiliopoulos. La valorisation est clairement excessive et ne laisse aucune place à l’erreur.»
Jeux de casino
Il n’empêche que l’entrée en bourse, fignolée sur les marchés secondaires, constitue une véritable mine d’or. Pour le fondateur, bien sûr, Mark Zuckerberg, qui devrait être propulsé dans le top 10 des fortunes mondiales. Mais aussi pour les actionnaires privilégiés, pressés d’être récompensés pour les risques encourus, tels que le fonds
4 Digital Sky Technologies et la banque d’affaires Goldman Sachs. Leurs capitaux injectés à fin 2010 ont par ailleurs projeté la valorisation du réseau social à hauteur de 50 milliards… Michel Jaccard: «Reste à déterminer quel jeu jouent les banques d’affaires et certains investisseurs historiques. Le dysfonctionnement du marché sur la valorisation au moment de grosses entrées en bourse est certainement amplifié par des intermédiaires qui ont un intérêt financier évident. Celui de placer contre commissions des participations auprès de souscripteurs qui subiront eux, le cas échéant, la correction de valeur par la suite.» Acheter des actions au prix fort dans le but de les revendre encore plus chères. De quoi encourager les jeux du casino boursier. «Il y a bien sûr un risque de spéculation autour de l’opération de l’IPO elle-même, soutient Daniel Pellet, analyste chez Bordier & Cie. Les détenteurs individuels d’actions pourraient très vite être tentés de sortir rapidement du capital, après une forte progression initiale, tandis que les institutionnels et les banques vont observer de plus près comment fonctionne le groupe, dans une perspective à plus long terme.» Le risque boursier réside notamment dans la défiance qu’inspirent les jeunes entreprises Internet. A preuve, les récentes cotations du secteur dont l’évolution est jugée
The HEConomist | Février 2012
décevante. C’est notamment le cas de Groupon qui poursuit sa chute depuis son entrée en bourse au mois de novembre 2011. Le site d’achats groupés au modèle souvent critiqué vient d’annoncer une perte trimestrielle de près de 43 millions de dollars.
“Il n’empêche que l’entrée en bourse constitue une véritable mine d’or.” Un modèle à repenser L’empire Facebook, un colosse aux pieds d’argile? C’est après son IPO que sa viabilité à long terme sera testée. Les futurs investissements permettront de mesurer la qualité du management et la capacité de l’entreprise à renouveler son modèle d’affaires. A commencer par les revenus engendrés par la publicité, une part de 85% de son chiffre d’affaires. En 2011, selon l’institut de recherche marketing ComScore, une annonce sur quatre est visualisée sur le réseau social aux Etats-Unis. Toutefois, le marché de la publicité en ligne n’a pas atteint sa
5
The HEConomist | Février 2012
pleine maturité pour satisfaire l’appétit de Facebook. D’autant que les grandes marques n’ont pas encore délaissé les médias traditionnels au profit des plates-formes Web. «Il faut faire le bon choix d’investissements, poursuit Daniel Pellet. Pour attirer davantage de revenus et mieux contrôler sa croissance, Facebook pourrait par exemple créer sa propre régie publicitaire et rechercher d’autres sources de revenus, comme dans l’événementiel.» Les supports mobiles constituent par ailleurs un enjeu de taille pour sa croissance. Or le réseau social n’est pour l’heure pas parvenu à monétiser ses applications pour smartphones. Mais c’est surtout sur sa vaste base d’utilisateurs que sont braqués les yeux des investisseurs: ces 845 millions d’«amis» à travers le monde et leurs données privées convoitées par les annonceurs. Né il y a huit ans aux Etats-Unis où il compte près de 160 millions d’utilisateurs, le géant du Web voit aujourd’hui ses zones d’influence se déplacer sur les marchés émergents: plus de 40 mil-
lions de connectés en Inde et en Indonésie, 35 au Mexique ou encore 38 au Brésil. Une stratégie plus agressive dans ces régions à fort potentiel s’avère nécessaire. Elle contribuerait aussi à contrecarrer le ralentissement inexorable du taux de croissance des adhérents au site. Un phénomène observé depuis 2009. «Ce type d’entreprises est facilement périssable», avance même un analyste, en évoquant le réseau social musical Myspace, vite adoré, puis déserté. Les nouvelles générations pourraient se détourner de la plateforme au profit d’autres réseaux plus petits et plus spécialisés. D’autant que la colère gronde parmi les utilisateurs actuels. Mark Zuckerberg fait face à une fronde d’«amis» soutenue par les autorités gouvernementales qui dénoncent l’exploitation de leurs données privées. Un ras-le-bol qui pourrait précipiter la chute du réseau. Mais rien n’est encore joué pour le géant du Web social. Une fois entré en bourse, Facebook montrera assez rapidement s’il se profile comme le Google de demain… ou le prochain Groupon. Une idée d’avance sur l’économie
6
The HEConomist | Février 2012
Economie : Matières premières Le saviez-vous ? Depuis plusieurs années, nous assistons à des àcoups brutaux des cours des matières premières, à une forte hausse des prix des biens de première nécessité, le tout couplé à une forte financiarisation des marchés de matières premières. En effet, aujourd’hui sur ces marchés coexistent des producteurs, des utilisateurs finaux, mais aussi des acteurs financiers. Le volume des échanges s’est donc considérablement accru et ce régulièrement depuis une vingtaine d’année. A titre d’exemple, le volume de produits pétroliers échangé aujourd’hui sur les marchés financiers est environ huit fois plus important que celui échangé sur le marché physique qui représente la demande et l’offre réelle de pétrole et pour d’autres commodités cela peut représenter 15 à 20 fois plus, ce qui augmente d’autant les volumes globaux mondiaux échangés. En effet, les dérivés sur les matières premières tendent à être considérés par les gérants et investisseurs comme une classe d’actif à part entière, au même titre que les actions et les obligations. Ces investisseurs, qui n’ont pas la vocation de stocker ou détenir physiquement les matières premières, utilisent le plus souvent les marchés de
dérivés pour exposer leur portefeuille à cette classe d’actifs sans jamais en prendre directement livraison. Ceci explique le décalage entre les volumes échangés sur les marchés financiers et les marchés physiques.
Pourquoi une telle financiarisation des marchés de matières premières ?
Au début des années 2000, la forte baisse des rendements boursiers résultant de l’éclatement de la bulle internet, combinée par un faible taux d’intérêt du aux politiques monétaires, ont incité les investisseurs à se diriger vers d’autres sources de rendement. Ces types de placements se sont rapidement imposés comme outil de diversification. Ils sont rentables pour les portefeuilles d’actif. Ils assurent une protection contre l’inflation et surtout, sont décorrelés des autres actifs financiers.
Quelles sont les conséquences de la financiarisation des marchés de matières premières ?
Le cours des matières premières ne correspondent plus à une offre et demande réelle des consommateurs et utilisateurs finaux. Même les profes-
7
The HEConomist | Février 2012
sionnels du secteur et acteurs sur les marchés physiques ont du mal à anticiper une hausse ou une baisse des prix. Elle a un impact sur l’économie et la vie quotidienne des personnes. Elle peut provoquer une instabilité financière, une volatilité des prix très importante et potentiellement des abus et manipulations de marché. Par ailleurs certains intervenants du marché peuvent tenter d’assurer la maîtrise d’un marché en se plaçant en position dominante et ainsi pouvant peser sur les cours du fait des montants énormes investis
Quelles sont les solutions envisagées ?
Ce sujet est devenu une réelle préoccupation pour les décideurs politiques. La France, notamment, en a fait une priorité de sa présidence du G20. La régulation de ces marchés de produits financiers dérivés de matières premières, de la même manière que les marchés financiers, est une des solutions proposées pour remédier aux effets négatifs de la financiarisation. Il est également proposé d’instaurer des règles spécifiques pour permettre aux producteurs, intermédiaires financiers et consommateurs de cohabiter intelligemment. Enfin, tout abus de marché (comme cité ci-dessus) serait réprimandé. Léa Montfajon, Abel Ganz Etudiants 1ere année HEC
S’Impression
Votre centre d’impression numérique depuis plus de 10 ans à votre service
Commandez 5000 flyers A6 pour 150.− www.simpression.ch Rue de la Gare 3 - 1162 St-Prex Tél.: 021 806 26 30 - Fax: 021 806 46 39 e-mail: info@simpression.ch
8
The HEConomist | Février 2012
Entretien d’embauche : Les questions les plus folles “Si vous faisiez la taille d’un crayon et qu’on vous introduisait dans un mixer, comment feriez-vous pour vous en sortir?” Goldman Sachs “Combien de ballons de basket pouvez-vous mettre dans cette pièce?” Google “Combien de questions devez-vous poser pour découvrir un nombre entre 1 et 1000, sachant qu’on ne peut vous répondre que par ‘plus haut’ ou ‘plus bas’?” Facebook “Comment pèseriez-vous un éléphant sans utiliser de balance?” IBM “Il y a trois boîtes, une avec seulement des pommes, une avec seulement des oranges, et une avec des pommes et des oranges. Les boîtes ont été étiquetées de façon incorrecte, de telle sorte que les étiquettes n’identifient pas le contenu des boîtes. En ouvrant juste une boîte, et sans regarder dedans, vous prenez un fruit. En regardant le fruit, comment pouvez-vous immédi-
atement étiqueter toutes les boîtes correctement?” Apple “Vous êtes rétrécis à la taille d’une pièce de monnaie et votre masse est proportionnellement réduite afin de maintenir votre densité initiale. Vous êtes alors jetés dans un mixer vide. Les lames commenceront à tourner dans 60 secondes. Que faites-vous ?” Google “Donnez-vous une note de bizarrerie, sur une échelle de 1 à 10 ?” Capital one “Si vous pouviez être un super-héros, lequel seriez-vous ?” AT&T “Combien y a-t-il de feux de signalisation dans Manhattan ?” Argus Information & Advisory Services “Que faites-vous si vous héritez de la pizzeria de votre oncle ?” Volkswagen “Expliquez-moi ce qu’il s’est passé dans ce pays ces dix dernières années ?” Boston Consulting
The HEConomist | Février 2012
9
Conférence “Coca Cola : More than a drink…” Guy Wollaert - Chief Technical Officer - Coca Cola Company 6 mars 2012 - 18h - Internef 273 Version française (english version available lower) : Pour sa troisième conférence de l’année, le Comité HEC Lausanne, en collaboration avec l’Association des Alumnis HEC et la faculté HEC, a le plaisir de recevoir Mr Guy Wollaert, directeur technique de la compagnie Coca Cola. Nous connaissons tous la fameuse boisson noire, gazeuse et fraiche, dont la recette reste secrète jusqu’à nos jours, appelée « Coca Cola ». Cependant, cette boisson ne représente qu’une partie de l’activité. En effet, un grand nombre d’autres marques de boissons non-alcoolisées appartiennent à la compagnie Coca Cola et cette dernière est très active dans son programme de durabilité. Elle opère dans 206 pays actuellement et, dans un monde aux ressources limitées, elle intègre de l’innovation accompagnée de durabilité dans le but de créer de la valeur pour ses parties prenantes. En tant que directeur technique, Guy Wollaert dirige entre autres l’innovation, la recherche et le développement, la qualité globale, la sécu-
rité et l’environnement ainsi que la chaîne d’approvisionnement. Notre invité vous montrera comment une compagnie mondialement réputée qui célèbre son 125ème anniversaire continue d’innover toutes ses catégories de produits à travers le monde. Il vous exposera également comment la compagnie voit ses futures croissances en fonction de sa capacité de tenir un « business model » durable. Venez à cette conférence et tandis que la recette du « Coca Cola » restera secrète, le business qui l’entoure sera exposé ! English version: The « Comité HEC », in collaboration with the HEC Alumni Association and the HEC faculty, is honored to receive M. Guy Wollaert, Chief Technical Officer of the Coca Cola Company. We are all very familiar with the fresh, black, fizzy and “ingredient secret” drink called “Coca Cola”. However, the single soda occupies only part of the activities. The Coca Cola Company owns many
10
The HEConomist | Février 2012
other non-alcoholic drink brands and is actively working on its sustainability program. The Coca-Cola Company operates in 206 countries around the world, and in a world of finite resources, the company integrates innovation with sustainability to create shared value for all of its stakeholders. As Chief Technical Officer, with a mandate that oversees innovation, research & development, science, scientific and regulatory affairs, global quality, safety and environment, procurement, Freestyle Global Center, and supply chain, Guy Wollaert will
take you on a tour through CocaCola’s innovation agenda. He will explain how a company that celebrates a 125-year-old global brand also continues to innovate across all product categories and throughout the world. And he will articulate a strong sense of how the company sees its future growth dependent on its ability to build sustainable business models. We invite you to come to the conference! The “Coca Cola” drink ingredients may stay a secret but the business around it will be shared! Jonathan Lechtman Responsable Conférences
06-03-12 Internef 273 18h00 Conférence suivie d’un apéritif
Guy Wollaert
Chief Technical Officer de Coca Cola
UNE CONFÉRENCE POUR SE CULTIVER!
Coca Cola : More than a drink ...
11
The HEConomist | Février 2012
HEC Lausanne Sailing Team Le HLST à Monaco du 1er au 5 février 2012 Pour la 2ème et dernière régate de préparation avant la Course Croisière de l’EDHEC, nous nous sommes rendus à la Primo Cup de Monaco où nous étions l’équipage le plus jeune et l’un des moins expérimenté du circuit !! La Primo est une régate internationale d’un bon niveau de compétition comprenant tout de même plusieurs Champions d’Europe dans le peloton de tête.
Après le 1er jour, nous étions 13ème sur 23 mais nous remontons finalement à la 11ème place à l’issu du weekend. Nous n’irons pas jusqu’à dire que c’est un bon résultat mais au vue du niveau relevé et de notre préparation en Surprise, nous ne pouvons qu’être satisfaits de nous. En tant qu’équipage le plus jeune et le seul 100% étudiant, une place dans la première moitié de ce classement est de bonne augure pour la CCEDHEC.
Suite à la page suivante...
ème
Pour la 2 et dernière régate de préparation avant la Course Croisière de l’EDHEC, nous nous som Primo Cup de Monaco où nous étions l’équipage le plus jeune et l’un des moins expérimenté du circuit !! La Pri régate internationale d’un bon niveau de compétition comprenant tout de même plusieurs Champion d’Europe d The HEConomist | Février 2012 de tête.
12
er
ème
ème
le 1 jour, nous étions 13 23 mais nous remontons finalement à la 11 Nous n’irons LesAprès vagues et la fameuse (ensurvoile) grosse houle de Monaco ontplace toutà l’issu de d pas jusqu’à dire que c’est un bon résultat mais au vue du niveau relevé et de notre préparation en même réussies à terrasser 2 deEnnos d’eleauplus douce etleceseul qui a amené ne pouvons qu’être satisfait de nous. tant marins qu’équipage jeune et 100% étudiant,quelques une place dan moitié de ce classement est de bonne augure pour la CCEDHEC. bons moments de rigolade lors de leurs vomissements. Voilà un bref contre-rendu de la régate : er
J0 - 1 février
Arrivée à Monaco et matage du bateau
J1
Premier entrainement et inscription au Yacht Club de Monaco.
J2
Trois manches sont lancés durant la journée
J3 J4 – 5 février
--14
Une seule manche a pu être courue, nous nous emparons d’une belle er Durée du 1 bord de près 1h10 / Vent 2.5 nœuds / Vagues 1.5 - 2 mètres / Vitesse du bateau –0.2 à 1.1 nœuds! Retou Suisse dans la nuit.
ème
-11
ème
7 21
-11
ème
ème
ème
-5
ème
Toute l’équipe tient à(enremer de Monaco Notre préparation pour la Les vagues et la fameuse voile) grosse houle ont tout de même réussies à terrasser d’eau douce et ce qui a amener quelques bon moment de rigolade lors de leur vomissements. cier la Société Nautique de Genève et Course Croisière de l’EDHEC se Michel Glaus, pour le prêt du Surprise déroule doncet Michel pourGlaus, le mieux Toute l’équipe tient à remercier la Société Nautique de Genève pour le prêtque du Surpr avons navigué que navigué l’École hôtelière de Lausanne qui nous pour le bateau. surnous lequel nous ainsi avons ainsi se soit sura l’prêté eau saouremorque à terre. En effet, que l’École Hôtelière de Lausanne qui la recherche de sponsoring avance Notre préparation pour la Course Croisière de l’EDHEC se déroule donc pour le mieux que se soit su nous a prêté sa remorque pour le baà ilgrand pas,de vous il nous tarde de vousparten En effet, la recherche de sponsoring avance à grand pas, nous tarde présenter nos nouveaux teau. présenter nos nouveaux partenaires ! Marc Stern Responsable du Team
Le Comité change d’adresse Facebook ! Bonjour à tous ! Nous vous souhaitons une bonne rentrée et que ce 2ème semestre se passera bien. Dans l’optique d’obtenir une meilleure interaction avec vous sur Facebook, nous changeons d’adresse ! Ajoutez nous comme ami ! L’adresse http:// www.facebook.com/comiteheclausanne
La page fan restera active, mais n’hésitez pas à nous rejoindre sur ce nouveau compte ! A bientôt ! Guillaume Chevallerau Responsable Informatique
13
The HEConomist | Février 2012
Sport
Vanessa Faraday Responsable Sports
Journée de ski HEC : samedi 3 mars La saison de ski arrive gentiment à sa fin, mais le Comité HEC organise une journée de ski aux Crosets !! Viens profiter de skier une dernière journée avant que le dur travaille recommence! Pour 66.- le Comité a organisé pour toi le transport en car de l’uni jusqu’à Champéry, ainsi que le forfait de ski dès 11h jusqu’à 19h avec ski nocturne ! Pour les moins courageux, ou les alcooliques, il y aura la possibilité
de boire un apéro ensemble en bas du télécabine ! Et pour bien finir la journée, on se retrouvera tous à l’hôtel « Le National » pour déguster une bonne fondue ! Toutefois, le nombre de place est limité à 50 personnes ! Alors dépêche toi de t’inscrire !! Au plaisir de te voir lors de cette journée de débauche et bonne rentrée !
14
The HEConomist | Février 2012
Soirée Malgré ces températures sibériennes, le printemps va gentiment faire son apparition sur le campus. Et qui dit printemps dit CARNAVAL!!! Cette année, le Carnaval HEC prend des airs de Mardi Gras (qui par ailleurs était le mardi 21) avec une soirée spécialement conçue pour cette occasion! En effet, comme la tradition le veux lors de Mardi Gras à la Nouvelle-Orléans, tous les hommes se verront remettre quelques colliers à perles à l’entrée du D! qu’ils devront redistribuer aux femmes à l’intérieur du club.
spéciaux vous seront proposés tout au long de la soirée sur les boissons. Ouverture des portes: 23h Prix: 10.- avant minuit, 15.- après, entrée gratuite avec la carte de membre.
Mais attention chers amis, ces colliers peuvent se monnayer assez cher (des voix m’ont dit qu’à la Nouvelle-Orléans, les filles montrent leurs deux atouts pour recevoir un collier...) car les trois filles avec le plus de collier se verront remettre une carte de membre du D! valable jusqu’en été 2013 ainsi qu’une bouteille pour la grande gagnante! Ne soyez donc pas trop généreux;-) Afin de bien débuter la soirée, l’Association des Étudiants en Droit de Lausanne organise une before au N2o (place de l’Europe, anciennement Café Luna) où tous les HEC sont bienvenus! Et comme le veut la coutume, des prix
Manuel Schmied Responsable Soirées
15
The HEConomist | Février 2012
Jeux N° 1 1
HORIZONTALE 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
-
Théorie dʼespace et de temps Mettre de côté Dans les chaînes - Bamako y est capitale Symbole dʼune grande distance - Dans les impôts - Travail forcé Compositeur et femme de lettres - Astate Lion de Damas - Appela Calculatrice abrégée - Fatiguerais Chanteur de Joy Division ème Curé de Saint-Sulpice au 17 siècle - Enthousiasme Jeux... de lʼantiquité - Appris
-
3
4
5
6
7
8
9
10
2 3 4 5 6 7 8
VERTICALE 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10
2
1
Mise en liberté Qui concerne lʼEglise Dans les règles - Sodium - Jeux de société Pige - Un attribut dʼHermès Ville de Sibérie occidentale - Confiante Penser Méprisable - Espèces Mère dʼHorus - Courrier anglais Dans les règles - Filtras Coupas les cheveux en quatre - Lettre grecque
9 10
Patrice H. - Mots Croisés 10x10 - Site : www.mots-croises-mots-fleches.com
jusqu'a 87% de reduction sur votre abonnement a + de 50 titres
J’en profite www.edigroup-plus.com/etudiants.html Bon de commande et conditions générales de vente au bureau du Comité. © shotsstudio - Fotolia.com