MARIE SEILLER
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ARCHITECTURE
PHOTOGRAPHIE
CROQUIS
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ARCHITECTURE
1 ère année
2 eme année
3 eme année
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Un bijoutier travaille le fer et divers métaux, dans un univers ferroviaire. L’habitat lié à l’atelier, doit à la fois informer sur les préoccupations plastiques du créateur, mais aussi respecter sa vie de famille. Il y a donc différents degrés d’intimité: Le privé avec le logement et le public avec un espace de vente, d’exposition et de travail. Le bâtit crée une rupture entre ces deux temps. L’espace de circulation au centre marque un entre-deux, une frontière qui demande un franchissement. Les murs sont volontairement épais pour donner cette sensation de limite et permettre d’abriter aussi bien des espaces de pauses, des rangements, ainsi que les créations de l’artiste.
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Dans un paysage imaginaire, ponctué de maisons d’auteurs, on intègre un programme de logements. Le groupement de cinq habitations, doit être clairement identifié sans toutefois créer de rivalité avec la maison Prouvé et la Parekh house de Charles Correa. La maison Prouvé étant de plain pied, il est question de redéfinir une ligne d’horizon dans le paysage. Pour les maisons situées devant Prouvé, le bâtit se situe en dessous de cette ligne pour ne pas cacher les vues, alors que pour les maisons en proximité avec la Parekh house, l’habitat se situe au dessus pour aller chercher les vues. L’originalité de ce projet réside donc dans la création d’espaces communs complémentaires en toiture ou sous le bâtit. L’habitat, lui joue sur de multiples dualités d’activités, de matérialités et de vues. La partie de nuit, en bois est composée de percées visuelles très cadrées sur le paysage, afin de créer des espaces de pauses, de lecture, déconnectés de la pièce de vie. L’espace de jour, en béton quant à lui, possède à la fois une vue fermée sur le patio et une vue très ouverte sur le paysage au sud.
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plan masse du groupement
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collage du groupement
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Le premier enjeux majeur du projet square Jacques Brel, consiste à créer une place clairement délimitée, afin de redonner une lisibilité à un espace entouré d’une multitude d’axes induits par l’existant. Posé dans un environnement complexe, le plan masse reprend donc une forme géométrique simple dont la reprise à plus petite échelle donne la sensation d’une nappe où la limite entre intérieur et extérieur disparaît. Par conséquent, la place devient un espace aéré de pauses, de rencontres ou de passages. Située en rupture entre la ville dynamique et le quartier résidentiel, la place demande l’insertion d’un programme qui correspond à chaque type d’usagers et d’habitants: Une crèche, un restaurant, un atelier bois, un atelier métal et un co-working. C’est l’occasion de rassembler, de mettre l’accent sur des connections visuelles et spatiales entre tous les programmes.
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La deuxième phase du projet prend une toute autre tournure après une excursion révélatrice à Londres. La visite de certains équipements brutalistes Londoniens, a motivé l’intégration de l’espace public comme un élément du programme dans le bâtit. Il est toujours question de rassembler et de générer une proximité à travers des connections fortes entre toutes les fonctions. Le regroupement du cahier des charges dans une même enveloppe, libère la place qui se structure en trois espaces identifiés: un paysagé, un vide et un bâtit. La complexité des lignes directrices du quartier est reprise dans le bâtiment, qui transpose l’univers extérieur à l’intérieur. Elle se décline en dilatations, points de tensions et en diversité d’espaces dans les zones publiques intérieures. Le bâtiment n’est pas un obstacle mais le continuité d’un parcours dans la ville.
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En cœur d’îlot à Charleroi, un nouveau programme décliné en logements, places et en un parc dynamique vient s’implanter, transformant le statut de l’îlot en élément public. Le bâtiment crée des espaces intermédiaires entre le public et le privé, par une promenade commune donnant accès à deux circulations: une rapide au centre et une autre plus lente qui parcourt le bâtit et mène à des espaces communs: Une cuisine, une bibliothèque, une salle d’études, une salle de projections et un espace de jeux pour enfants. Chaque montée d’escalier correspond à un cadrage particulier et joue avec les moments forts du plan masse. La circulation lente crée des obliques qui modifie l’orthogonalité du plan à la manière des éléments ponctuels du paysage urbain qui viennent perturber l’ordre établi. Le nouveau programme de l’îlot vit au rythme de la marche, la pause et la rencontre entre voisins.
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L’Architecture Supernormale, cherche à prolonger l’appel du designer Jasper Morrison, qui modifie légèrement des archétypes pour en améliorer l’usage. Une nouvelle génération de concepteurs semble vouloir proposer d’autres choses que les productions très médiatisées, dépendantes de leurs auteurs. C’est une recherche sur l’architecture du retrait, l’économie de gestes, le banal, l’anonymat, un jeu sur les images connues de notre quotidien. Il s’agit de comprendre les qualités de l’effet de cette économie de gestes à travers l’analyse d’auteurs, et les qualités d’un territoire à travers une axonométrie. Le territoire est analysé et devient moteur de projet. Il s’agit d’étudier l’existant pour amplifier ses qualitées.
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L’étude du texte « inquiétant ready made » de Eric Lapierre qui analyse l’architecture de Lacaton et Vassal à travers l’énumération de certaines notions comme, la légèreté, la liberté d’usage, permet de faire des liens avec le super normal introduit par Morrison. L’architecture de Lacaton et Vassal, est une architecture qui joue avec l’existant à travers la transformation de l’archétype agricole, comme on peut le voir avec la maison à Coutras qui est un ready made de la serre.
maquette de la maison à Coutras de Lacaton et Vassal
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maquette en bĂŠton du site et plan masse du nouveau projet
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Il s’agit de valoriser un complexe amateur, de faire du projet avec les éléments banals et normés des terrains de sport. C’est d’amplifier les éléments présents, à travers trois figures qui s’inscrivent dans la continuité du site. Chacune des figures reprend un élément minimal de l’équipement sportif; la clôture, les gradins, les textures ou le mur.
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parcours de ville, Grèce 2012
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parcours de ville, Grèce 2012
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lire en diagonal, Bilbao 2011
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lire en diagonal, Bilbao 2011
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serie sur la ligne, Brest 2014
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serie sur la ligne, Nantes 2013
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