Portfolio Lepage Samuel by COMM-P-301

Samuel Lepage

Samuel Lepage Portfolio architecture

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Curriculum Vitea

Samuel Lepage 44, Rue Saint-Bernard 1060 Saint-Gilles, Bruxelles, Belgique Samuel.lepage@gmail.com Logiciels Autocad, Rhinoceros, Sketchup, V-ray, Maxwell, Suite Adobe (InDesign, Photoshop, Illustrator, After Effects), Suite Microsoft Office Langues Français et Anglais à l’oral et à l’écrit

Formation académique Année d’échange, Architecture Faculté d’architecture La Cambre-Horta [Bruxelles] 2013-2014 Baccalauréat en sciences, Architecture Université de Montréal 2011-2014 _ GPA 3.89/4.3 [A-] Baccalauréat en Histoire de l’art Université du Québec à Montréal 2007-2011 _ GPA 3.7/4.3 [A-] Diplôme d’études collégiales en Art et lettres // Communications Cégep du Vieux-Montréal 2005-2007 Diplôme d’études secondaires Polyvalente Thérèse-Martin 2000-2005

Projets extrascolaires Swastica // Business Of Design Week de Hong Kong 2013 Projet d’atelier pour une cité des arts marchands exposé comme l’un des deux représentants de La Cambre-Horta à la BODW de Hong Kong 30 novembre au 9 décembre 2013 Opération cale-portes // exposition ABC : Montréal Projet de charrette nomade réalisé en équipe de 5 étudiants, exposé au Centre Canadien de l’Architecture [CCA] Réalisation mars 2012 Exposition du 31 janvier au 31 mars 2013 Utopies de l’architecture mobile, les mégastructures de Yona Friedman Projet de recherche et de conférence réalisé dans le cadre du colloque étudiant Fais ta voie, édition 2011

Emplois Placier // Place des arts 2006 à aujourd’hui [en suspend pour l’année 2013-2014] Technicien en information, préposé à l’accueil et guide // Loto-Québec Direction des commandites évènementielles et Galerie Espace création Étés de 2008 à 2013

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01 Mat Building 02 Maison Vanitas 03 Logement collectif 04 Résille solaire 05 Architectural Uncanny 06 Gîte au Pied Levé 07 Swastica

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01 Mat-Building E.H

E.H

Projet — Nappe résidentielle / la banlieue Cadre — atelier, UdeM Année — 2012 Semestre — 02 Tuteur — Richard Langford Réalisation — 10 semaines Note — A

Ravivant les tentatives de la fin de la modernité du Mat-building, ce projet vise à produire un schéma constructif applicable à l’ensemble du territoire en périphérie de grands centres ; la banlieue. Ce projet cherche à engager une réflexion sur la gestion bâtie du développement de la banlieue qui tend à échapper à une vision architecturale claire et cohérente. Ici, c’est par l’application d’un motif simple en chevrons que s’articulent, à l’intérieur d’une parcelle de 30m x 30m, des espaces modulaires composant trois résidences unifamiliales. Par la rencontre décalée du motif à la trame parcellaire est produite une complexité spatiale qui permet des unités d’habitation proposant des qualités et caractéristiques différentes. Encloisonnée, la parcelle est entièrement gérée par l’architecture et parcourue par une travée végétale. Celle-ci agit comme un espace de pause dans le système construit et unit chaque résidence par son statut collectif.

E.H

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Sous-sol B

top

Rez-de-chaussée 01

Rythme géométrique division par modules

Mise en volume entrelacement spatial

Orientation des modules ensoleillement et intimité

Niveau 1 01 Déploiement volumétrique

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Coupe A-A

Coupe B-B

02 Coupes â&#x20AC;&#x2030;

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02 Maison Vanitas Projet — Maison du collectionneur Cadre — atelier, UdeM Année — 2012 Semestre — 03 Tuteur — Georges Adamczyk Réalisation — 3 semaines Note — A

Ayant pour prémisse la résidence unifamiliale mitoyenne dans le contexte urbain du quartier Shaughnessy à Montréal, le scénario entourant l’exercice d’une maison pour collectionneur demeure libre. Le parti ici adopté est de faire de la collection l’élément central de la maison à partir et en fonction duquel sont organisés les espaces intérieurs. Envisagée comme étant composée d’œuvres papier présentant des scènes d’architectures à l’état de ruine, la collection, par son aspect de fragilité, ressenti tant dans le médium que dans le propos, sert d’élément de départ vers une réinterprétation du white cube. L’espace d’exposition s’impose avec massivité en contraste avec les œuvres de manière à orienter la lecture potentielle qu’il en sera faite. Ne gardant que le cube du white cube, l’espace d’exposition en délaisse les qualités d’effacement et de neutralité qui sont toutefois reprises par les autres espaces de la maison. Ainsi, la maison devient l’environnement opérant une stratégie white cube sur l’œuvre qui se compose dès lors des pièces de la collection ainsi que de son cadre d’exposition immédiat. La salle d’exposition, par le glissement du white cube à un espace de monstration l’excédant, intègre l’ensemble artistique et, comme le font les œuvres de la collection, se charge de l’objectif de transmettre à l’usager un rappel du caractère éphémère des choses. Ce faisant, la maison s’associe au genre pictural de la nature morte.

Sectoriser Séparation des espaces de vie et de l’espace d’exposition

01 Déploiement volumétrique

Perforer Le volume d’exposition effectue une percée des dalles de plancher

Disloquer Les dalles de plancher sont scindées et les portions avant effectuent une translation verticale vers le haut

Opacifier La façade avant est partiellement opacifiée afin d’y loger les espaces servant

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B 02

B Rez-de-chaussée

Niveau 1

Niveau 2

Niveau 3

Coupe A-A 02 Plans d’étage 03 Coupes

Coupe B-B

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03 Logement collectif Cadre — atelier, UdeM Année — 2012 Semestre — 03 Tuteur — Georges Adamczyk Réalisation — 8 semaines Collaboratrice — Pascale Bussea Note — A+

existant

proposition

2050

Vélo Voiture Piétons

01 Implantation 02 Circulations

La commande est ici de réaliser un projet dont la mixité programmatique et les solutions formelles proposées devraient permettre le redéveloppement de ce quartier de Côte-des-Neiges. Il était demandé d’inclure un café, une boucherie, des espaces de bureau pour une entreprise de Multimédia, un cordonnier, des installations dédiées à la collectivité, 6 lofts d’artiste, 9 studio et 15 appartements comprenant 2 chambres. Le projet prends racine à partir d’une publicité que lance en 1906 le Northmount Development pour des maisons individuelles dans le village de Côte-des-Neiges, mettant en valeur l’air pur, la proximité de la montagne, la proximité de la ville et le potentiel de développement du quartier. La proposition suivante s’inscrit dans une volonté de mettre de l’avant ces qualités de Côte- desNeiges, s’articulant autour de deux intentions principales. En premier lieu, le projet propose de conserver les qualités pavillonnaires et villageoises, tout en faisant rentrer la ville dans le village de Côte-des-Neiges. Ainsi, le rez-de-chaussée est défini comme un socle partagé, au-dessus duquel se dressent trois volumes de logements, c’est-à-dire d’espaces privés. De plus, les ascenseurs distribuent à chaque étage uniquement deux logements, de manière à ce que l’ascenseur luimême soit déjà un peu chez soi. En second lieu, le projet s’articule autour de la mise en valeur du rapport privilégié avec la nature que l’on retrouve déjà dans le quartier. Ainsi, les espaces extérieurs de chaque logement sont généreux alors que les diverses vues permettent de profiter des espaces verts du secteur. Face à cet ilôt sans ruelle, le plan en U offre un espace extérieur collectif semi-privé agissant comme reel pivot du projet plutôt que comme un espace tampon servant uniquement au transport qu’aurait représenté l’addition d’une ruelle.

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A Rez-de-chaussée

Coupe A-A 05

Niveau 1

03 Plans d’étage 04 Coupe 05 Axonométries d’ilôt

Niveau 2 - 10

Sud-ouest

Nord-est

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04 Résille Solaire Projet — Dispositif de contrôle lumineux Cadre — atelier, UdeM Année — 2013 Semestre — 04 Tuteur — Maxime Gagné Collaborateurs — Vincent Bourassa, Kelly Laporte, Nassima Samadi Réalisation — 3 semaines Note — A Mention — Projet archivé par l’école d’architecture

Combinant des visées à mi-chemin entre composition et efficacité, ce projet de dispositif de contrôle lumineux acontextuel consiste également en une exploration sur la matérialité. Une première phase d’itérations en maquettes informatiques et physiques à échelle 1 :10 a permis de tester et mesurer les qualités d’ensoleillement que produisent des variations formelles. La seconde étape a été de réalisé un fragment de cette résille solaire à échelle 1:1 dans un format de 8 x 3 pieds. Avec la volonté de concevoir une résille pouvant s’adapter à différents besoins d’ensoleillement, la trame développée montre un mouvement produit par une variation des modules losanges ainsi que du degré d’ouverture des éléments en extrusion. L’itération conservée permet la monstration d’un mouvement type en six étapes. Les règles de développement retenues proposent que les membrures des losanges aient toujours les mêmes dimensions et que ce soit l’affaissement ou l’allongement de ces figures qui varie et infère sur le degré d’ouverture des pièces en extrusion. Celles-ci sont réalisée en de minces éléments de bois dont les faces intérieurs sont peintes de blanc lustré. Par cette matérialité il est permis de maximiser la réflexion lumineuse sur les faces intérieures et l’illumination des pièces de bois. Ainsi, un éclairage diffus et doux est maximisé et des vues potentiellement contrôlées selon le mouvement général induit à la structure.

a h

Rapport original hauteur / longueur R = l/h = 1.5 / 3.5 La dimension des membrures d demeure constante a=l R varie de 0.2 en 6 sauts Angle des éléments extrudés = 1 / R

01 Dessin d’expression

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05 Architectural Uncanny Projet — Analyse d’un ouvrage théorique Cadre — Théorie du projet architectural, UdeM Année — 2013 Semestre — 04 Tuteur — Jean-Pierre Chupin Collaboratrices – Éloïse Barry, Adriana Izzo Réalisation — 1 semestre Note — A +

01 Séquences vidéos 02 Maquette 30 X 30 cm

Théoricien et historien d’architecture, Anthony Vidler identifie dans l’architecture moderne un profond malaise qu’il qualifie de familière étrangeté [uncanny]1. Expliquant ce phénomène par des procédés d’aliénation des codes traditionnels de l’architecture, Vidler montre qu’il est possible pour l’usager de dégager un sentiment de familiarité par un effort réflexif, mais que cette mise à distance empêche la plénitude du confort que devrait transmettre l’environnement bâti. L’analyse ici réalisée es pose en deux temps autour de 4 principes tirés des écrits de Vidler comme générateurs d’une familière étrangeté ; le retrait de la façade, la division, le double et le vagabondage. À travers une vidéo prenant le pavillon des États-Unis de Buckminster Fuller pour l’expo universelle de Montréal en 1967 comme symbole de la familière étrangeté montréalaise, sont appliqué les 4 principes étudiés à la bande vidéo elle-même. La maquette vise également à explorer la notion d’uncanny en applicant à la forme familière d’un cube de bois les 4 principes pris de Vidler. Par un jeu de bandes élastiques liées à des poignées externes à la boite de plexiglas, il est possible de reconstituer le cube de bois et éliminer les effets d’étrangeté. Ainsi, l’effort physique requis pour la reconstitution du cube est analogique de l’effort mental nécessaire au dépassement de l’aliénation; dépassement par lequel il serait possible d’atteindre une compréhension familiarisée de l’architecture moderne.

1 Anthony Vidler, The architectural uncanny, essays in modern unhomely, Cambridge, The MIT Press, 1992

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06 Gîte au Pied Levé

PRODUCED BY AN AUTODESK EDUCATIONAL PRODUCT

Définition des axes

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Champs

Boisé

Paysage

Ferme

Adaptation topographique

01 Implantation 02 Déploiement volumétrique

Structuration des points de vue

Ségrégation du programme

Maximisation du gain solaire

Coordination des stratégies d’aménagement projet // site

PRODU

UCT

PRODUCED BY AN AUTODESK EDUCATIONAL PRODUCT

À partir d’un programme défini, il s’agissait ici de concevoir sur un site agricole des Cantons de l’Est des installations pouvant accueillir de manière permanente une résidence familiale, une exploitation fermière, une table champêtre et un gîte touristique. Questionnant la possibilité de définir un langage architectural contemporain pour la ruralité à travers son inscription dans le paysage, sa relation aux activités marchandes et la présence de l’industrie touristique, ce projet porte une attention particulière à la matérialité et l’expérience des lieux. Le parti adopté a été de voir le gîte comme un retraite à la campagne, un lieu de repos et de pause où le grand air, le panorama montagnard et les mets du terroir sont à l’honneur. La clarté avec laquelle le programme est segmenté a rapidement mené à une organisation spatiale permettant à la fois proximité et distance entre unités programmatiques. En optant pour le plan plan radial il a été possible de lier cette volonté d’affirmer les différents programmes dans différentes volumétries à celle d’un parcours évoluant dans des ambiances et matérialités distinctes. Ainsi le parcours se déploie tout d’abord sur un axe ouvert et extérieur qui est celui de l’exploitation agricole et est connecté à l’espace de la maison, marquée par une enveloppe contrôlant intimité et gains solaires par une résille de bois. Le parcours se poursuit vers le cœur du projet où se déploient les espaces publiques du projet dans un entrelacement du bois et de l’ardoise. Finalement, l’aile des chambres s’affirme par l’omniprésence de l’ardoise, où son aspect austère et lourd est contrebalancé par d’abondantes ouvertures sur le paysage et un éclairage zénithal dramatisant la composition. Le bois et l’ardoise sont choisis et mis en relation avec le paysage, l’eau et la lumière pour leur qualités contrastantes, mais aussi parce qu’il s’agit de matériaux locaux. La légèreté du bois est accentuée par l’emploi ajouré du matériau, alors que la pesanteur de la pierre noire est assise par des cloisons surdimensionnées permettant des solutions énergétiques performantes et l’insertion de mobilier intégré.

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Projet — Architecture, ruralité et gastronomie Cadre — atelier, UdeM Année — 2013 Semestre — 04 Tuteur — Maxime Gagné Collaborateur — Vincent Bourassa Réalisation — 10 semaines Note — A

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01 Toiture végétaliséeTerre 60mm Lès de protection drainant 35 mm Bitume polymère Panneaux de bois 27mm Solives 300mm Cellulose projetée Panneaux de gypse 12mm Ladde de bois 24 mm

Total 458 mm

01 02

05 06

02 Mur extérieur Appareillage d'ardoise 100 mm Vide de ventilation 40 mm Panneau d'isolant rigide à pare-pluie intégré 127mm Contreplaqué 20mm Colombage de bois 150 mm Membrane pare vapeur Contreplaqué 20mm Tuiles d'ardoise 20mm

05 06

Total 700mm 03

03 Dalle de sol Radier 350mm Panneau d'isolant rigide 100mm Gravier 200mm

02 01 09

Total 650mm

22 21

Rez-de-chaussé 02 Plan d’étage 03 Coupe détail

01 - Entrée du gîte 02 - Salle d'eau 03 - Salle à manger 04 - Bibliothèque 05 - Chambre gîte 06 - Salle de bain 07 - Espace de vente 08 - Cuisine 09 - Dinette 10 - Réfrigération 11 - Entrée de la maison 12 - Bureau 13 - Chambre d'invité 14 - Chambre 15 - Chambre principale 16 - Dinette d'été 17 - Terrasse 18 - Piscine 19 -Bassin de rétention d'eau 20 - Fourrage 21 - Vignes 22 - Potager 23 - Dames Jeane

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04 Parcous, aquarelle et fusain

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07 Swastica

Mise en volume des programmes

GALE

RIE

GALE

’AR

RIE

EXP OSIT ION

Hauteur légale

01 Organigramme

02 Déploiement volumétrique

Concentration | Densification

Décalage

Découpe

Raffinement de la silhouette

RÉSIDENCE D’ARTISTES

BUREAUX

ESPACE D’EXPOSITION

GALERIES D’ART

RÉSIDENCE D’ARTISTES

ÉCHANGE

BUREAUX

RÉSIDENCE D’ARTISTES

BUREAUX

GALERIES D’ART

La topographie très escarpée et la forte densité démographique de Hong Kong expliquent la nécessité de construire en hauteur. Pour faciliter le développement urbain, le territoire est périodiquement élargi, empiétant sur l’océan. Le site sélectionné, cumulant plus de 100 000 m2, est positionné sur la berge et a pour voisins les quais de ferry et la seconde plus haute tour. De l’autre côté, sur la zone de remblais, est prévu un très controversé projet de parc. Il s’agissait donc de concevoir un projet sur un site bénéficiant d’une grande visibilité, d’une très grande surface au sol et qui, par son rapport à l’espace publique, serait bénéfique pour la ville. Conscient de l’expansion fulgurante du marché de l’art de la Chine des dix dernières années, la proposition ici développée vise à consolider la scène des arts visuels par un centre de diffusion. Si les ventes d’art visuel enregistrées en Chine fracassent les records, la diffusion et la consommation des arts demeurent peu développées. Transposant la typologie d’espaces publics la plus répandue de HK, le centre commercial surmonté d’une tour, au contexte d’une cité marchande des arts visuels, le tout est généré autour de l’expérience spatiale, la proximité des oeuvres à la turbulence urbaine et la variété des espaces dédiés aux arts, dans le but de séduire un auditoire peu sensible à la diffusion des arts. La forme est développée à partir de l’idée de paradoxe ressentie entre les possibilités de visibilités qu’offre le site et les demandes de modestie émises par les autorités. Ainsi, partant d’une forme rationnelle, des opérations de découpes sont effectuées pour que le profil rationnel demeure en élévation alors que les autres angles montrent une forme à l’identité forte et distinctive. Les principaux espaces de diffusion se trouvent sur les premiers étages, articulés par des variations spatiales d’un motif traditionnel chinois, la swastika, symbole d’éternité et d’optimisme.

GALERIES D’ART

Projet — Public Relations Hong Kong Cadre — atelier, La Cambre-Horta Année — 2013 Semestre — 05 Tuteur — Ève Depré, Alain Simon Réalisation — 8 semaines Note — 15.5 / 20 Mention — Projet exposé comme représentant de La Cambre-Horta à la biennale du design de Hong Kong 2013

’AR

T EXP OSIT ION

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Galeries d’art

Exposition collective

Foyer culturel

Logements d’artistes

Ateliers d’artiste

Bureaux

Les figures sont mises dans le bon ordre de gauche à droit eet de haut en bas : 01 - Galeries d’art 02 - Exposition collective 03 - Foyer culturel 04 - Appartements d’artistes 05 - Ateliers d’artistes 06 - Bureaux Les figures sont mises dans le bon ordre de gauche à droit eet de haut en bas : 01 - Galeries d’art 02 - Exposition collective 03 - Foyer culturel 04 - Appartements d’artistes 05 - Ateliers d’artistes 06 - Bureaux

03 Plan

04 Isométrie d’implantation 05 Isométries programmatiques

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Galeries d’art

06 Isométrie des espaces publics

07 Coupes fragments 08 Galeries d’art 09 Exposition collective

Exposition collective