Portfolio étudiant Marine André

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Marine AndrĂŠ Etudiante en architecture

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Sommaire Bachelier 1 Etude du Colisée, p.8 Travail topographique - Liège, p.14 Etude et Projet de Maison Japonaise, p.20 Projet de logements étudiants et centre culturel, p.24 Workshop, p.28

Bachelier 2

Etude d’une maison de quartier, p.32 Projet de maison de Quartier - Flagey, p.36 Projet de logements et d’un centre sportif de quartier, p.42 Workshop, p.48

Bachelier 3 Urbanisme d’un quartier de cité-jardin, p.52 Aménagement quartier dans une cité-jardin Bruxelles, p.56 Projet d’école d’architecture, p.64 Workshop, p.70

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Bachelier 1 AnnĂŠe 2015-2016

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Colosseo Le premier projet d’architecture a été consacré à l’étude du Colisée. En effet, le travail s’est scindé en plusieurs étapes : Analyse globale, analyse par rapport à un thème, puis comparaison avec un autre lieu. La première étape nous a permis d’entrer dans le sujet de l’architecture et plus particulièrement dans le Colisée : Coupes, plans, documents techniques, ont été réalisé de manière à comprendre l’ensemble du bâti. La seconde étape était nécessaire puisqu’elle avait pour objectif d’analyser ce monument de manière beaucoup plus précise, ici par le vide et le plein. C’est un bâtiment ayant de nombreux percements, que nous considérions comme du « vide » et le bâti comme du « plein ». Nous avons tiré la conclusion que le bâti était fait tel une « enveloppe ». C’est alors que la troisième étape est intervenue : Le choix de l’église Saint-Paul de Massimiliano Fuksas a été fait puisqu’elle se compose de deux prismes insérés l’un dans l’autre, faisant office d’enveloppe. Ce projet utilise la géométrie et l’éclairage naturel pour créer un lien spirituel. Le colisée lui aussi joue avec la lumière naturelle.

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Elevation du Colisée 0

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1/4 de plan du Colisée

Coupe du Colisée 0

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Comparaison avec l’Eglise Saint Paul de Massimiliano Fuksas

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Travail topographique Liège Ce projet est basé sur le travail de Topographie de la citadelle de Liège. En effet, le programme demandait de prévoir un logement pour un artiste ainsi qu’un atelier ou espace d’exposition lui permettant de présenter ses œuvres. Le projet est scindé en 9 modules différents, ayant des formes et des orientations différentes. Nous avions pris le parti de scinder les deux espaces en considérant deux blocs. Le premier, inséré dans la pente, représente le logement de l’artiste. Ceci lui permet d’être à l’abri des passants et surtout d’avoir des vues privilégiées puisqu’il se trouve en contrebas par rapport au chemin piéton. Sur son toit, se trouve une terrasse, permettant l’accès à la salle d’exposition du dessus. L’accès se fait grâce à un escalier léger afin de ne pas bloquer la vue au visiteur. La salle d’exposition est créé de sorte à avoir une vue directement liée à l’exposition puisque la face vers la pente est totalement ouverte.

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2,5m

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Plan du logement

Plan de la salle d’exposition

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La maison japonaise Ce projet à quant à lui était imaginé à la suite d’un travail d’analyse sur une maison japonaise. La maison étudiée n’avait aucune fenêtre donnant sur l’extérieur, mais était seulement constitué de patio et d’ouverture zénithale. L’organigramme ci-après représente celui de la maison étudiée mais finalement aussi celui du projet réalisé puisque celui-ci devait reprendre les idées premières de la maison d’étude. C’est donc par cette maison que j’ai créé la mienne : un grand patio central permettant de faire entrer la lumière dans la maison et aucune fenêtre donnant directement sur la ville et le voisinage.

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Organigramme

Pièce principale (salon) Pièce privée (ch. + sdb) Espace clos Espace ouvert sur ext. (portes) Zone de vie Patio Lumière zénithale (naturelle) Lumière artificielle Circulation de la maison Arbe identique ext/int. Gravier identique ext/int. Plan du projet 0

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2,5m


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Logements étudiants et centre culturel Le projet final de bachelier 1 consistait à s’implanter sur les ruines se situant à coté du colisée. Le but était de bâtir un lieu où pouvait se réunir une centaine d’étudiants ou de touristes afin d’étudier les ruines. Dans ce projet, nous avons décidé de s’implanter entièrement sur les ruines et de reprendre la forme de l’arène afin de dégager légèrement la rue. Nous avons scindé notre entité en deux : d’une part au dessus les logements, et d’autre part un centre culturel au plus proche des ruines afin de ressentir le bâti. En effet, le centre culturel est implanté en sous sol et permet de faire entrer les ruines dans le bâti. Ceci correspond complètement au programme puisque cela permet aux étudiants vivant au dessus de descendre voir les ruines et les étudier tout en pouvant se documenter au travers des livres et des différents espaces proposés dans le centre : médiathèque, bibliothèque, salle de conférence, zone d’exposition, etc.

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Bâtiment Grille utilisée pour le privé 1,5x1,5 Grille utilisée pour le public 6x6 Ouvertures Privée et Public Division espace privé Division espace public Ouverture commune Enveloppe du bâtiment Vide formé par le bâtiment Rue environnante

Organigramme

Coupe du projet

Ambiance 0

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2,5m


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Workshop : « BRUXEL...PIXEL » L’exercice proposait de découvrir et parcourir un quartier de Bruxelles, avec l’ambition d’établir un état des lieux de son ambiance chromatique. Ce relevé visait à rassembler une collection de « pixels », qui, chacun, témoignait d’un fragment de la réalité colorée du quartier. Ensemble, ils constitueraient sa palette chromatique. Le pixel correspond au plus petit élément constitutif d’une image numérique auquel on puisse associer individuellement une couleur et une intensité. La recherche portait sur l’identité chromatique du quartier. Elle voulait répertorier ses caractéristiques objectives, sans exclure ses dimensions humaines. Selon les stratégies choisies les sujets pouvaient donc être des éléments mobiles ou immobiles, vivants ou inanimés,...

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Bachelier 2 AnnĂŠe 2016-2017

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Etude d’une maison de quartier Le but de cette étude était de nous plonger d’une part dans un projet existant et d’en créer des plans techniques à l’aide d’expérimentation, de mesurage, de retranscription et d’analyse et d’autre part de nous rendre compte de la réalité d’un projet d’architecture. Il nous a été demandé de nous concentrer particulièrement sur un détail de ce lieu, et notre attention s’est portée sur le système d’entrée : la peau, le vitrage et les différentes possibilités d’accès dès l’entrée.

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Maison de quartier A la suite de l’étude sur la maison de quartier, il semblait intéressant de travailler sur l’exploration des logiques de composition à l’aide d’un équipement de quartier. Il s’agissait de concevoir une « Maison Commune » à l’usage des habitants et des associations du quartier. Ces maisons communes devaient s’implanter dans la ville, au rez-de-chaussée d’immeubles existants : des anciennes stations services. Il s’agit donc de concevoir un lieu collectif, convivial mais aussi intergénérationnel, qui propose des espaces/lieux de natures différentes, adaptés à des activités et des usages variés. Ce projet joue avec les niveaux puisqu’il est creusé dans le sol. Du niveau de la rue, on peut observer la salle d’atelier en contrebas, mais également une zone d’exposition. Le projet comprend également une salle de réunion, et une salle de conférence pour une trentaine de personnes. L’idée est de lier l’ensemble des espaces et de créer des vues vers toutes les zones, qu’il s’agisse de zone fermée avec des vitres où bien des espaces complètement ouverts.

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Plan du projet 0

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Coupe AA’

Coupe BB’

Coupe CC’

Coupe DD’

Coupes du projet 0

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Logements et centre sportif Dans ce projet, qui se trouve a Molenbeek, j’ai défini deux espaces principaux de cours. Ce sont des espaces non bâtis permettant de créer une dilatation de l’espace urbain et de l’espace vert. J’ai défini mon volume par les limites du mitoyen. Une première cours coté rue, est un espace totalement publique, un espace d’accueil. Lors de l’arrivée devant le bâtiment on tombe sur un renfoncement de 6m du bâtiment par rapport à la parcelle, avec une vue directe sur l’accueil, sur la circulation vers la salle de sport, mais aussi et surtout une vue dirigée grâce à une faille. Cette vue permet d’inviter le public à se diriger vers la cours de l’autre coté, qui est plus privée et permet de se trouver directement face à la coulée verte. La dilatation urbaine reste totalement sobre. C’est un espace qui se veut vide de toute végétation pour laisser place à la ville. De l’autre coté, lorsqu’on passe le centre sportif et qu’on se trouve dans la seconde cours, on est face à la coulée verte. Cet espace est aménagé de sorte à accueillir une partie sportive mais également de la végétation : amorce de la coulé verte. Dans cette cours, on longe le gymnase en contre bas. Cela créé une mise à distance entre les sportifs et autres visiteurs, tout en gardant un lien visuel. Les deux cours principales donnent directement sur les deux cours en hauteur : le toit du gymnase, accueillant le préau ainsi qu’une cafétéria, et la dernière cours, privée, pour les locataires des appartements. Le gymnase, permet de créer une baie complètement vitrée coté parc. C’est un apport de lumière, mais aussi une vue privilégiée.

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Coupe du projet

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Plan RDC

Plan R+1 0

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Plan R+2

Plan R+3 0

Ambiance terrasse privée

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Ambiance Cafétéria

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Ambiance salle de sport


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Workshop: « Au nord d’ailleurs … Univers littéraires » Travail sur l’analyse d’un livre durant quatre jours. Il s’agissait ici d’une parabole du temps représentée par un homme ne pouvant échapper à son destin. Nous l’avons représenté comme emprisonné dans une chrysalide. Celle-ci représentait le temps qui se même à l’homme et à son destin.

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Bachelier 3 AnnĂŠe 2017-2018

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Urbanisme : Quartier d’une cité-jardin La cité jardin par définition, d’autant plus ici sur le site du kappeleveld repose sur des sinuosités qui viennent construire un ensemble ayant sa propre autonomie constitutionnel. Le caractère hybride de la parcelle d’implantation avec d’un coté un paysage caractérisé par un ensemble unitaire et sinueux et de l’autre un registre plutôt rectiligne et autonomique est à mettre en avant. D’un coté de notre parcelle se trouve la cité-jardin du Kappelleveld nous avons donc fermé le tissu pré-éxistant à cet endroit avec des bâtiments de typologie « serpent » pour terminer la cité-jardin en respectant ses sinuosités. D’autre part nous avons aussi pris part à l’hybrité du quartier au sud de notre terrain avec des plots qui permettent plus de porosité et de contact avec la promenade verte ainsi qu’une certaine rectilinéarité en adéquation avec les autres bâtiments environnants. Le second enjeu vise cette fois à qualifier différents espaces verts qui font la richesse de la cité jardin. Les maisons en serpent possèdent de jardins privatifs dans un dialogue frontal et mimétique avec le bâti préexistant. Cette proposition intègre aussi plusieurs qualificatifs d’espaces non bâtis, à savoir la place où ce concentre l’essentiel des services et des activités ou bien encore la rue piétonne qui, dans une approche distributive permet une circulation longitudinale au sein de la proposition. Depuis la place se créée une perspective jusqu’au plateau multi-sport situé en contre bas. L’implantation en plot est en contact privilégié avec la promenade verte qui se prolonge au sein de la proposition par un travail topographique et permet une percolation des flux et une perméabilité visuelle visant à crée le lien entre la rue et la promenade.

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Aménagement: Quartier d’une cité-jardin Le programme de ce projet était basé sur la construction d’une partie de quartier appartenant à une cité jardin. Il fallait donc reprendre les critères clés : les espaces verts, les lieux de rencontre et d’activités communes pour l’ensemble des habitants du quartier. Ce projet est divisé en deux parties : un plot faisant face à une série de maisons mitoyennes. Les maisons mitoyennes sont légèrement surélevées par rapport à la rue piétonne afin de créer une mise à distance sans l’utilisation de haies. Les maisons pour familles nombreuses peuvent devenir des lieux multi-générationnels puisque certaines possèdent une chambre au rez-de-chaussée ainsi qu’une salle de bain attenante. Ces maisons possèdent chacune un jardin privatif et une petite parcelle à l’avant permettant encore une fois une mise à distance. Dans les maisons multi-générationnels, on retrouve des mezzanines permettant de créer encore plus de liens avec la personne habitant au rez. Dans le plot, on trouve des logements pour étudiants, pour personnes âgées mais également des logements multi générationnels. Les zones de circulation sont centrales. Avec une face ouverte complètement sur le quartier, la lumière entre complètement dans cet espace. Chaque niveau possède un « salon » ou espace détente permettant une fois de plus les rencontres et les échanges. Un jeu d’escalier est mis en place dès le RDC jusqu’au dernier niveau afin de faire passer l’habitant dans les espaces de détente. Au RDC, on retrouve des espaces communs. La rue piétonne est rythmé par des éléments ponctuels. Le parc autour du plot est accessible à tous et permet de faire un lien entre cette rue piétonne et la promenade verte.

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Plan RDC

Coupe du projet

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Plan R+1

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Ambiance

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Plan R+2

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O Coupe de détail Acrotère

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Faculté d’architecture Il s’agit ici de la réalisation d’une école d’architecture. Dans un premier temps, il a fallu choisir un lieu sur lequel s’implanter. Nous avons fait le choix des casernes puisqu’il permet d’être proche de la VUB et facile d’accès pour l’ensemble des campus a proximité avec les transports en communs. Nous avons pris le parti de ne pas seulement créer une faculté d’architecture mais tout un campus regroupant les pôles d’arts : arts du cirque, beauxarts, architecture, stylisme, etc. Nous avons fait le choix de pervertir le niveau zero afin de créer une nouvelle topographie et de faire entrer l’espace vert au coeur de notre projet en l’insérant tel un «virus» dans tout le campus. Ce virus permet de faire le lien entre tous les espaces et toutes les facultés, d’une part visuellement mais aussi de manière plus matériel puisque certains espaces sont accessibles. En ce qui concerne la faculté, nous l’avons traité tel un openspace. Il nous semblait interessant de travailler ce lieu comme un seul espace et donc de ne pas scinder les fonctions.

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Coupe longitudinale

Coupe transversale

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Workshop: 26ème nuits des architectes Il s’agit d’organiser le bal des étudiants en architecture de l’école. Les étapes de conceptions sont donc les suivantes : dégagement des espaces, sécurisation des lieux, imaginations et conceptions des décors ainsi que des bars et différentes zones nécessaires pour la soirée. Nous nous sommes occupés de la zone de l’entrée : Accueil, desk, vestiaire. Il s’agissait d’être dans le thème psychédélique. Nous avons donc monter des murs en ytong et réalisé une structure représentant un bateau afin de créer le desk. Le reste de la conception était plutôt décorative : au sol une mer psychédélique faite d’une multitude de couleurs, des méduses en guise de limite visuelle au dessus des bars, et du corail en mousse expansée sur les murs.

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