Le langage, l’univers de l’écrit
S’APPROPRIER LE LANGAGE Échanger, s’exprimer
Comprendre
PETITE SECTION
PETITE SECTION
Commencer à prendre sa place dans les échanges collectifs.
Écouter en silence un conte ou un poème courts. OBSTACLES : • Ils n’écoutent pas quand le maître raconte.
OBSTACLES : • Ils ne parlent pas.
• Ils ne s’intéressent pas aux histoires sans images.
• Ils ne comprennent pas les règles des échanges. • Ils n’arrivent pas à rester dans le thème du discours.
Comprendre une histoire courte et simple racontée par l’enseignant : répondre à quelques questions très simples sur le texte écouté ; guidé par le maître ou par des images, reformuler quelques éléments de l’histoire écoutée.
Répondre aux sollicitations de l’adulte en se faisant comprendre.
OBSTACLES : • Ils ne comprennent pas ce que le maître raconte.
OBSTACLES : • Ils ne parviennent pas à se faire comprendre car ils
ont un langage « bébé ». • Ils craignent de mal dire ou de ne pas avoir la bonne réponse. • Ils ne parlent pas. • Ils ne comprennent pas la (les) tâche(s) proposée(s).
• Ils ne s’intéressent pas aux histoires sans images.
MOYENNE SECTION
Écouter en silence un récit facile, mais plus étoffé que l’année précédente. OBSTACLES : • Ils ne s’intéressent qu’aux images.
MOYENNE SECTION
• Ils croient que raconter une histoire c’est réciter.
Participer à un échange collectif en écoutant autrui et en attendant son tour de parole.
Comprendre une histoire racontée ou lue par l’enseignant ; la raconter, au moins comme une succession logique et chronologique de scènes associées à des images.
OBSTACLES : • Ils ne comprennent pas qu’ils peuvent participer.
• Ils ne s’intéressent pas aux situations verbales. • Ils ne s’adaptent pas aux connaissances de leurs camarades. • Ils n’arrivent pas à rester dans le thème du discours.
OBSTACLES : • Ils ne comprennent
pas les histoires sans avoir recours aux images. • Ils ne racontent pas l’histoire car ils ne la connaissent pas par cœur. • Ils ne hiérarchisent pas les informations iconiques. • Ils ne donnent pas sens à la suite des images.
Relater un événement inconnu des autres ; inventer une histoire sur une suite d’images ; faire des hypothèses sur le contenu d’un livre au vu de sa couverture et de ses illustrations. Dans tous les cas, ajuster son propos pour se faire comprendre en fonction de questions ou de remarques.
GRANDE SECTION
Comprendre une histoire lue par l’enseignant ; la raconter en restituant les enchaînements logiques et chronologiques ; l’interpréter ou la transposer (marionnettes, jeu dramatique, dessin).
OBSTACLES : • Ils ne s’intéressent pas aux situations verbales.
• Ils ne s’adaptent pas au destinataire et à ses connaissances propres. • Ils ne font pas attention aux consignes.
OBSTACLES : • Ils ne comprennent que le début du récit.
• Ils ne savent reformuler qu’avec les images. • Ils inventent une autre histoire avec certains éléments du récit lorsqu’il n’y a pas ou que l’on ne donne pas d’images. • Ils n’interprètent pas le récit car ils pensent qu’il y a une seule interprétation possible : celle du maître. • Ils ne traitent pas les informations contextuelles. • Ils ne font pas de lien entre les moments de l’histoire.
GRANDE SECTION
Produire un oral compréhensible par autrui.
OBSTACLES : • Ils ne s’intéressent qu’à leur prise de parole.
• Ils ne s’intéressent qu’au fait d’avoir raison. • Ils ne s’adaptent pas au destinataire et au fait que celui-ci ne connaisse pas les mêmes éléments qu’eux.
Participer à une conversation en restant dans le sujet de l’échange. OBSTACLES : • Ils n’arrivent pas à raconter.
• Ils ne s’adaptent pas au destinataire et au fait que celui-ci ne connaisse pas les mêmes éléments qu’eux. • Ils ne s’intéressent qu’à leur prise de parole. • Ils ne s’intéressent qu’au fait d’avoir raison.
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LES FONDEMENTS THÉORIQUES - LA DÉMARCHE
Progressivité des apprentissages
Fréquence des compétences
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Répondre aux sollicitations de l’adulte en se faisant comprendre. Écouter en silence un conte ou un poème courts.
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Comprendre une histoire courte et simple racontée par l’enseignant : répondre à quelques questions très simples sur le texte écouté ; guidé par le maître ou par des images, reformuler quelques éléments de l’histoire écoutée.
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Poucet Poussin
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Une petite oie pas si bête
Commencer à prendre sa place dans les échanges collectifs.
Poule Plumette
Fréquence des compétences travaillées en petite section
Roule galette
En restreignant le champ d’application de la littérature de jeunesse à sept sous-domaines de compétences de l’écrit, une première lacune des œuvres littéraires est apparue. En effet sa spécificité abordée dans le premier chapitre fait qu’elle ne peut pas, sous peine d’être grandement dénaturée, servir de support aux autres domaines de l’écrit. Cette singularité fait que l’on doit aussi se poser la question de la réversibilité de ses possibilités et plus exactement de la question de savoir si toutes les compétences des sept sous-domaines sont traitées à part égale dans les œuvres littéraires ou si certaines de ces compétences sont « oubliées » lors de l’étude de chaque œuvre. Pour permettre à chaque enseignant de le savoir exactement et d’adapter les éventuels manques aux besoins de sa classe, cet ouvrage a créé un second outil permettant de juger de la fréquence de chacune des compétences travaillées au quotidien autour des œuvres. Il s’agit d’un tableau à double entrée, reprenant chacune des œuvres étudiées et y associant les compétences travaillées et le nombre de fois qu’elles le sont. Ceci afin de comprendre et de répondre à d’éventuels besoins spécifiques en cas de difficulté majeure sur une compétence particulière.
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Se saisir d’un nouvel outil linguistique (lexical ou syntaxique) que l’enseignant lui fournit quand il lui manque, en situation, pour exprimer ce qu’il a à dire.
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Produire des phrases correctes, même très courtes.
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Comprendre, acquérir et utiliser un vocabulaire pertinent (noms et verbes en particulier ; quelques adjectifs en relation avec les couleurs, les formes et grandeurs).
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Reconnaître des supports d’écrits utilisés couramment en classe ; distinguer le livre des autres supports.
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Utiliser un livre correctement du point de vue matériel. Écouter des histoires racontées ou lues par le maître.
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Le roi de la grande savane
Comprendre une histoire racontée ou lue ; la raconter, au moins comme une succession logique et chronologique de scènes associées à des images.
Les bons amis
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Le bonnet rouge
Écouter en silence un récit facile, mais plus étoffé que l’année précédente.
Petit bonhomme de pain d’épice
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Poucet Poussin
Relater un événement inconnu des autres ; inventer une histoire sur une suite d’images ; faire des hypothèses sur le contenu d’un livre.
Une petite oie pas si bête
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Poule Plumette
Participer à un échange collectif en écoutant autrui et en attendant son tour de parole.
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Connaître quelques termes génériques dans une série d’objets, identifier et nommer ceux qui font partie de la classe d’un générique donné.
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Produire des phrases de plus en plus longues, correctement construites.
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Comprendre, acquérir et utiliser un vocabulaire pertinent (noms, verbes, adjectifs, adverbes, comparatifs).
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Reconnaître des supports d’écrits utilisés couramment en classe plus nombreux que durant l’année précédente.
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Dans des situations simples (univers du vécu ou sujets déjà abordés), faire des hypothèses sur le contenu d’un texte au vu de la page de couverture du livre d’images l’accompagnant.
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Établir des liens entre des livres (imagiers / livres comportant texte et images ; livres racontant une histoire / n’en racontant pas).
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Écouter des textes dits ou lus qui accoutume l’enfant à comprendre un vocabulaire et une syntaxe moins familiers que ceux des textes entendus jusque-là.
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Dans une histoire, identifier le personnage principal (c’est l’histoire de…) ; le reconnaître dans la suite des illustrations.
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Comparer des histoires qui ont des points communs (même personnage principal, même univers).
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Connaître quelques textes du patrimoine, principalement des contes. Produire un énoncé oral dans une forme adaptée pour qu’il puisse être écrit (dictée à l’adulte).
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Rappeler le début d’une histoire lue par épisodes par l’adulte ; essayer d’anticiper sur la suite.
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LES FONDEMENTS THÉORIQUES - LA DÉMARCHE
Fréquence des compétences travaillées en moyenne section
Roule galette
Le langage, l’univers de l’écrit
La lecturePrésentation offerte ou lecture du réseau plaisir2 LES RÉSEAUX LITTÉRAIRES
Présentation du réseau Parmi les principales instances littéraires en jeu dans les œuvres de littérature de jeunesse, la notion de récit est sans doute la première à maîtriser. Pour Christian Poslaniec, schématiquement un récit est à la fois l’histoire qui est racontée et la façon dont elle est racontée. Dans tout récit on trouve, centralement, une série de péripéties. Le plus souvent, le récit avance grâce à ces péripéties (qui peuvent être des rencontres entre les personnages), chacune découlant de la précédente et justifiant la suivante. De ce fait, les épisodes ne sont pas permutables, et l’intérêt d’un récit tient souvent à la façon subtile dont s’enchaînent les péripéties. Cela explique qu’il soit très difficile de maîtriser tous les paramètres de la notion de récit à l’école primaire. Or, dans un certain nombre de récits destinés aux plus petits (peut-être même faudrait-il parler de pré-récits !), il n’y a réellement que deux épisodes enchaînés, le début et la fin, le reste tournant en rond narrativement, suivant le phénomène dit « de randonnée ». Dans ces récits, le suspense repose sur la succession des péripéties c’est-à-dire le plus souvent sur la succession des rencontres faites par les personnages. C’est la façon dont sont organisées ces diverses rencontres que l’on fera découvrir aux élèves lors de la mise en relation des œuvres. Les épisodes de la randonnée peuvent être interchangeables, substituables. Dans Les bons amis par exemple, la carotte passe par trois personnages avant de revenir au lapin. D’une part, ces rencontres pourraient se faire dans n’importe quel ordre ; d’autre part, on pourrait raconter cette histoire avec seulement deux personnages intermédiaires, ou cinq, ou douze, sans que cela ne change rien. Dans certains récits en revanche, les randonnées sont en quelque sorte ordonnées et les épisodes ne sont donc pas permutables. C’est le cas dans les versions de La moufle où les animaux sont de plus en plus gros, sauf le dernier. La structure des randonnées peut présenter plusieurs formes : la répétition par juxtaposition : soit rencontres successives d’un personnage avec un second, un troisième… (Roule galette…), soit succession d’actions effectuées par un personnage ; la répétition par accumulation : un personnage, plus un autre, plus un autre… qui soit s’additionnent au cours du récit (Poule Plumette), soit se retrouvent à la fin ; la répétition par substitution : le premier personnage chasse le second qui chasse le troisième… Ce sont souvent des récits «en boucle» ; la répétition par suppression : un groupe de personnages qui perd ses éléments un à un ; la répétition par emboîtement : structure gigogne.
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Dans le réseau présenté ci-après, on s’intéressera plus particulièrement aux structures répétitives par accumulation et par substitution.
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SÉANCE 3 Matériel Plusieurs exemplaires de l’album Le Petit Bonhomme de pain d’épice.
Organisation de la séance Atelier dirigé.
LITTÉRATURE, LE RAPPORT TEXTEILLUSTRATION. COMPRENDRE LA COMPLÉMENTARITÉ DES ILLUSTRATIONS ET DU TEXTE Objectifs la complémentarité entre les illustrations et le texte ; comprendre qu’il y a une double * Comprendre narration qui n’est pas toujours redondante. la motivation des personnages à travers leur catégorisation. * Comprendre Comprendre la double épreuve du bonhomme de pain d’épice. * Mettre en relation des « images » analogues pour des situations identiques afin de faire percevoir * la valeur narrative de ces images. Compétences/obstacles MOYENNE SECTION
Participer à un échange collectif en écoutant autrui et en attendant son tour de parole. OBSTACLES : • Ils ne comprennent pas qu’ils peuvent participer.
• Ils ne s’intéressent pas aux situations verbales. • Ils ne s’adaptent pas aux connaissances de leurs camarades. • Ils n’arrivent pas à rester dans le thème du discours.
Connaître quelques termes génériques (animaux, fleurs, vêtements, etc.) ; dans une série d’objets (réels ou sous forme imagée), identifier et nommer ceux qui font partie de la classe d’un générique donné. OBSTACLES : •
Ils ne savent pas sélectionner un terme, le hiérarchiser et le rapprocher d’un terme générique. • Ils ne savent pas nommer les éléments faisant partie de la classe d’un terme générique.
Comprendre, acquérir et utiliser un vocabulaire pertinent (noms, verbes, adjectifs, adverbes, comparatifs) concernant : les récits personnels, le rappel des histoires entendues (caractérisation des personnages, localisation, enchaînement logique et chronologique). OBSTACLES : •
Ils ne prennent pas d’indices dans une situation écrite. • Ils ne traitent pas sémantiquement un enchaînement de propos.
Dans une histoire, identifier le personnage principal (c’est l’histoire de…) ; le reconnaître dans la suite des illustrations. OBSTACLES : •
Ils n’identifient le personnage principal que dans les images. • Ils ne font pas de hiérarchie entre les différents personnages présents. • Ils ne comprennent pas la permanence du (des) personnage(s).
Comparer des histoires qui ont des points communs (même personnage principal, même univers). OBSTACLES : •
Ils ne font pas de comparaison. • Ils n’utilisent pas les relations connues pour construire le sens d’une nouvelle histoire.
Connaître quelques textes du patrimoine, principalement des contes. OBSTACLE :
• Ils ne se représentent pas les rôles narratifs de personnages archétypiques tels que loup, renard, sorcière…
Déroulement PHASE 1 REPRISE DES ILLUSTRATIONS ET CATÉGORISATION DES PERSONNAGES Dans un premier temps, l’album Le Petit Bonhomme de pain d’épice est donné aux élèves sans consigne ; ils s’approprient ainsi l’objet livre. Dans un second temps, le maître formule des consignes. Consigne 1 : « Rappelez-moi quels sont les poursuivants du bonhomme de pain d’épice. » Les élèves se remémorent ou retrouvent grâce à leur album la liste des poursuivants du petit bonhomme : la petite vieille, le petit vieux, un chat, une jument, un petit garçon et une petite fille, une vache. Consigne 2 : « Recherchez dans les illustrations les autres animaux qui ne participent pas à la poursuite. »
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Le Petit Bonhomme de pain d’épice
Consigne 3 : « À quelle catégorie appartient chaque liste de personnages ? » Les élèves classent la liste des poursuivants dans la catégorie des humains ou des animaux domestiques ou encore dans la catégorie du monde civilisé. Les animaux ne poursuivant pas le bonhomme de pain d’épice sont classés dans la catégorie des animaux sauvages. À travers ce classement, les élèves construisent l’opposition monde civilisé/monde sauvage et interprètent cette opposition comme différence de motivation entre les personnages. DIFFÉRENCIATION OBSTACLES : • Ils ne savent pas sélectionner un terme, le hiérarchiser et le rapprocher d’un terme générique. PISTE :
• Ils ne savent pas nommer les éléments faisant partie de la classe d’un terme générique. • Les deux catégories sont données pour permettre aux élèves de comprendre l’opposition civilisé/sauvage et d’interpréter la corrélation entre la catégorisation des personnages et leur motivation.
PHASE 2 REPRISE DES ILLUSTRATIONS ET COMPRÉHENSION DE LA DOUBLE ÉPREUVE DU BONHOMME DE PAIN D’ÉPICE Consigne : « Recherchez dans les illustrations les obstacles que doit franchir le petit bonhomme de pain d’épice lors de sa course. » Les enfants dressent, à partir des illustrations de l’album, la liste la liste des obstacles qui se dressent face au petit bonhomme : la porte du four, la porte de la maison, les barrières d’entrée et de sortie du jardin, la clôture du pré et la rivière. À travers cette liste, les élèves comprennent que le bonhomme de pain d’épice doit aussi franchir, au cours de sa fugue, des obstacles matériels symboles d’enfermement, et qu’il a donc une double épreuve à subir.
PHASE 3 CONSTRUCTION DU RAPPORT TEXTE-IMAGES Consigne : « Quelles sont les deux épreuves réussies par le bonhomme de pain d’épice au cours de sa fuite ? Qu’est-ce qui donne au lecteur les informations sur ces deux épreuves? » Les élèves identifient les deux épreuves réussies par le bonhomme de pain d’épice : les poursuivants lancés à ses trousses, qui ne le rattraperont pas, et toutes les barrières matérielles qu’il a franchies. Ils prennent conscience du fait que les informations concernant les poursuivants sont données à la fois par le texte et par les illustrations alors que les barrières physiques n’apparaissent que dans les illustrations. Les illustrations peuvent donc apporter des informations complémentaires par rapport à celles que donne le texte.
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LES RÉSEAUX LITTÉRAIRES
Les élèves dressent, à partir des illustrations de l’album, la liste des animaux qui ne poursuivent pas le petit bonhomme de pain d’épice : des oiseaux, des souris, des lapins, un écureuil, des escargots, des poissons.
Préface. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3 Introduction. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
Première partie : Les fondements théoriques – La démarche. . . . . . . . . . . . . . . . . 7 I La littérature de jeunesse à l’école maternelle. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8 Les nouveaux programmes pour l’école de 2008. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8 La double complexité des textes littéraires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8 Les modalités de la lecture littéraire au cycle 1. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10 II Le langage, l’univers de l’écrit et la progressivité de ses apprentissages en littérature de jeunesse. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 Progressivité des apprentissages. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13 Fréquence des compétences. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16
Deuxième partie : La mise en œuvre – Les réseaux littéraires. . . . . . . . . . . . . . . . . 18 Réseau 1 : la construction du stéréotype du renard . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19 Présentation du réseau. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20 Roule galette…. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22 Poule Plumette. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32 Une petite oie pas si bête . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 44 Poucet le poussin. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 58 La lecture offerte ou lecture plaisir. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 74 Réseau 2 : la structure répétitive par accumulation et par substitution. . . . . . . . . . . . . . . . . 77 Présentation du réseau. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 78 Le Petit Bonhomme de pain d’épice. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 80 Le Bonnet rouge. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 96 Les Bons Amis. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 112 Le Roi de la grande savane . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 128 La lecture offerte ou lecture plaisir. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 142 Bibliographie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 144
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TABLE DES MATIÈRES
Table des matières