Recueil d'illustrations

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Sommaire 1/Mon projet, ma démarche. Dans quel but et pour qui? p 2 à 5 2/Mes illustrations p 6 à 15 style graphique et thématiques Influences 3/Etude de l’existant p16 à 18 agence Lexilus et autres exemples de recueil 4/Idées, formes du recueil. p19 à 21 Parra et travaux de Mac Ball 5/Avec l’imprimeur... p22 à 24 Présentation du projet, contraintes techniques et finanancières. shéma: type de reliure, prévisualisation 6/Tests techniques p 25 à 28 7/Coûts p 29

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1 MON PROJET: RECUEIL D’ILLUSTRATIONS I/ Pourquoi ai-je choisi de réaliser un recueil d’illustrations comme projet professionnel? J’ai vu dans ce projet l’opportunité de réaliser quelquechose qui me ressemble. Etant naturellement attirée par le print et plus particulièrement par l’édition, il m’a fallu réfléchir à un ouvrage qui fasse échos à mes créations. Je parle ici de mes illustrations car cela a une place importante dans mon quotidien. J’ai donc choisi de réaliser un recueil d’illustrations dans un style qui est le mien. Pour ce projet, je me retire toutes contraintes de commanditaires réelle ou fictif. Je travail essentiellement pour être en cohérence avec ce que je souhaite laisser paraître de moi. Ce travail est d’autant plus difficile car il implique un travail graphique et nous, en tant qu’individu. J’ai également l’envie de créer un objet dont je gère l’élaboration. J’ai toujours en tête cette notion du “collector”. J’entend par là, l’idée d’un objet en série limité sur un concept de découverte, d’illustrations avec un packaging intéressant, complément affiche (pourquoi pas des sérigraphies numérotées) et des autres goodies (stickers, cartes postales). Tout cela dépendra du coût que ça engendrera. Si ce receuil se destine à la vente, j’aimerai que le prix soit relativement abordable. Je suppose que celui qui voudra acquérir ce livre ne voudra pas mettre trop d’argent pour un artiste ou illustrateur inconnu ou émergent. 2


Si je dois me définir comme illustratrice, je dirai que mes inspirations se trouvent dans mon quotidien. J’ai pris l’habitude de commencer un dessin sans savoir à quoi il ressemblera à la moitié et au tiers de sa réalisation. Le desin final est toujours une surprise. En ce qui concerne le style, je suis restée en noir et blanc, peut être pour aller à l’essentiel. Dans un jeux de contours de formes et d’ombrages. Mon rythme de création est d’environ d’un dessin par jour quand le temps me le permet. Mais je peux très bien passer cinq heures sur une même illustration sans qu’elle ne figure dans ce recueil car je n’en suis pas pleinement satisfaite. Si le temps et l’inspiration me le permet, j’aimerai que mon recueil regroupe une trentaine voir une quarantaine de dessins. J’ai toujours eu envie de réaliser un livre d’illustrations, le problème est qu’auparavent je pensais qu’il me fallait forcément un récit à illustrer. Avec ce recueil j’ai la possibilité de mettre ma créativité en avant pour aller directement toucher l’imaginaire de ceux qui regarderont ces dessins. Peut-être qu’à un autre moment je chercherai une histoire ou un sujet plus précis pour créer un ouvrage pour un public plus large.

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Dans quel but? J’ai choisi de réaliser un recueil d’illustrations car il me semble que dans la profession de graphiste il faut faire preuve de créativité. J’ai mis de coté mes créations antérieurs pour créer de nouveaux dessins, une complation d’illustrations sur le même support, le même format. Ce sont avant tout des dessins spontanés dans mon style graphique. Dans un but d’autopromotion aussi. Pourquoi pas imaginer une exposition individuelle ou collective où je pourrai présenter les originaux et proposer mon recueil d’illustrations. Ce recueil est aussi un moteur dans ma création. Etre de jour en jour plus créative, dessiner pour s’affirmer car c’est en dessinant que notre style évolut. Peut-être y’aura t-il des éléments qui évolueront avec le temps. C’est pour moi le meilleur moyen d’imposer son style et de se promouvoir. De cette expérience en ressortira une série d’illustrations dont je disposerai pour les publier sous d’autres formes à l’avenir, notamment sur le web.

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Pour qui? Les livres illustrés ne sont pas uniquement détestinés aux enfants... La bande dessinée et le livre illustré sont en effet devenus des genres littéraires et artistiques majeurs. Beaucoup d’artistes apprécient de pouvoir publier leurs dessins sous formes de livres en utilisant diverses techniques. Il peut être un très bon portfolio ou un véritable objet d’art. Tout ouvrage a son public. Du sérieux au ludique, de l’essai philosophique au livre illustré. Mon recueil d’illustrations vise un public d’amateur d’art et d’illustrations contemporaines. Pour cela il faut que je cible des endroits stratégiques où ce public est suceptible d’être intéressé par mon livre. Je pense bien evidemment à des librairies spécilisées et autres galeries d’art. Comme mon recueil sera edité en édition limité (micro-édition), il me faut jouer sur le coté “collector”, l’objet, et intéresser le public de cette manière. Pour définir plus précisemment ma cible je dirai que c’est une génération assez jeune entre 18 et 35 ans déjà adepte de l’illustration contemporaine et ouvert aux styles émergents... des curieux.

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2 MES ILLUSTRATIONS Des éléments reviennent assez souvent. Inconsciemment on fini toujours par trouver des occurrences d’un dessin à l’autre, même si plusieurs jours ou plusieurs semaines les séparent.

Grosses femmes,

Corps de femmes, imposants parfois dégoulinants, formées d’arrondis et d’arabesques. Ce personnage est venu naturellement, je ne pourrait plus dater expressemment le moment où ce personnage m’est venu. Tous ce que je peux dire est que cette figure s’est imposé à moi. Représentant peut être la mère, la femme imposante. Parfois à la limite du ridicule, nu mais pas forcément vulgaire. Femme sans visage, qui a pour tête une grosseur, un impindice. Souvent posant sur un nuage, en contemplation. Elle n’a pas de bras et ses jambes ne sont que pour moitié existantes. Cela est sans rappeller une certaine Vénus. Je fais maintenant un lien avec les poupées de Hans Bellmer et les Nanas de Niki de St Phalle. Ce qu’elles signifient réellement je ne sais pas. Illustration réalisée sous illustrator, ne figura pas dans le recueil.

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Hans Bellmer “Les poupées”

REFERENCES

Niki de St-Phalle “Les nanas”

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Les Ornements Les ornements, ce qui vient le plus naturellement quand je pose mon crayon sur ma feuille, s’apparentent souvent à des formes nuageuses et arrondies. Le nuage réfère selon moi au rêve. Les bulles quand à elle référent à la légéreté. Cependant ces éléments peuvent être imposants par leur quantité. Les yeux aussi qui sortent des nuages comme pour voir ce qui se passe à l’extérieur.

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Les fétiches: Les baskets: Je reproduis assez souvent des paires de baskets dans mes llustrations car j’aime tout simplement cela. C’est un élément qui me correspond bien. J’ai toujours été attiré par cette idée de nouveauté, le coté neuf, comme à la rentrée des classes où on passe des heures dans les rayons pour trouver LA paire! J’ai toujours était attiré par leur design, enfant je voulais en faire mon métier. Selon moi les baskets marquent des générations, traversent le temps. Ce visuel revient souvent pour m’ancrer justement dans une génération. J’idéalise leur forme, leur donne un style en pointillés, crayonné ou griffoné.

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La nourriture: Quand je dis que mes illustrations sont directement inspirées de mon quotidien, cela se ressent même dans des éléménts qui font appel à la nourriture. Il se peut qu’à un moment j’ai envie de chocolat donc je dessine ce à quoi j’aspire. Cela donne des dessins à base de donut’s, de chocolat, de chantilly et de nuages sucrés.

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Musique: J’écoute énormément de musique en dessinant donc cela m’influence d’une manière ou d’une autre. Et quand mon premier trait ne veut pas s’affirmer j’écris le titre de la chanson que j’écoute ou celle que j’ai envie d’écouter. Comme l’illustration « Sunday Confort » ou « On my Hands ». En fonction de l’écriture, du style que je donne aux lettres, je tourne autour du mot en essayant de lui donner du sens ou non! En réalité je déteste trop réfléchir quand il s’agit de mes dessins car je cherche avant tout la spontanéïté.

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INFLUENCES Bien évidemment mon style à des influences. Ou plutôt, des artistes en particulier m’ont donné envie de dessiner et surtout de continuer, pour un plaisir personnel dans un premier temps. Je suis depuis plusieurs années passionnée par l’art urbain, des prémices jusqu’à aujourd’hui. J’entends ici le graffiti ainsi que les artistes influencés par le mouvement. Comme référence je cite Jean Michel Basquiat, le 9 eme Concept, Jonone, Jeff Soto, Niark1... Je m’inspire de cet art urbain car certaines images qui me plaisent sont ancrées dans mon esprit, j’évolue avec ces images en tête. Mes illustrations se composent d’éléments que je plaquent sur mon support, sans penser à une quelconque perspective. Je pense une composition, comme une affiche.

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Jean Michel Basquiat Il fait partie des pionniers de l’art contemporain par l’importance et l’abondance de son oeuvre. Graffiteur au style percutant et original puis peintre virtuose capable de véhiculer un message spontané, enfantin et à la fois effroyablement sérieux, son oeuvre pointe vers une nervosité et une violence bien particulières, caractéristiques très représentatives du personnage qu’il était.

Jonone Jonone est un artiste graffeur et peintre originaire de New York, fondateur du 156 crew. Il vit et travaille à Paris depuis la fin des années 80.

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Stephane Carricondo

Alexöne

Le 9ème Concept est un collectif d’artistes parisien, créé en 1990 par Stéphane Carricondo, Ned et Jerk45.

Le collectif est composé de peintres, dessinateurs, graphistes, tatoueurs, photographes, et de personnes issus du mouvement graffiti. Guidé par l’envie de démocratiser l’art, le 9e Concept mène depuis sa création des actions artistiques oscillant entre expositions accessibles à tous et interventions spécifiques avec des marques. Pionnier en matière d’événementiel artistique, agitateur culturel auprès des services marketing de grandes marques, le collectif élargit, au fur et à mesure de ses collaborations, l’éventail des possibilités créatives. Rejoint par des artistes d’horizons différents, le groupe se forge une identité propre et use de cette émulation collective pour initier des oeuvres personnelles originales, et les présenter en galeries, musées, en plein air...

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Jeff Soto

http://www.jeffsoto.com/

Palette de couleurs distinctes de Soto, le sujet, la technique et des thèmes résonnent avec une audience croissante. Inspiré par les jouets d’enfance, le style de vie colorée du skateboard et du graffiti, hip-hop et la culture populaire, le travail de représentation de Soto est à la fois accessible et stimulant. Les questions environnementales sont primordiales pour Soto, qui est préoccupé par le conflit des humains tentant encore de profiter de la nature. Ses tableaux dégagent cette tension, comme duel créatures/robotiques, tentacules organiques, les bouquets de fleurs, et le brouillard noir flottant au milieu des crânes de mauvais augure.

Niark1 http://www.niark1.com/ Graphiste illustrateur parisien, Niark.1 impose son univers déjanté haut en couleurs peuplé de créatures étranges et autres animaux surréalistes. Influencé par le street art, par la mode, la musique Il est publié là où il faut (c215, Belio, Modart, Rugged, De Fish ...) et exposé partout. 15


3 ETUDE DE L’EXISTANT

Bien evidemment, j’ai éffectué des recherches, dans les librairies, les musées, sur le web... pour voir ce qui se faisait en terme de recueils d’illustrations et livres d’artistes illustrateurs. Jachète de temps en temps ce genre de livre comme la collection Lexilus qui est un petit livre qui présente les travaux de plusieurs artistes pour un coût relativement abordable. Je me suis intéressé à ces livres, leur forme, leur contenu, l’éditeur ect. Certains sont publiés par de grandes maisons d’édition et d’autres sont de véritable “Do it Yourself”. Agence Lezilus présente John Burgerman, Jean Julien, Jeremyville, Les JeanClode, Tabas. édition Michel Lagarde.

Compilation d’illustrations d’artistes. L’idée est de présenter les illustrateurs de cette agence, regroupés par famille graphique et de faire connaitre leur travail auprès des professionnelles de la communication et des amateurs d’arts graphiques. Dans ce premier tome, vous pouvez découvrir l’australien Jérémyville, l’anglais Jon Burgerman, le marseillais Tabas (graphiste de la collection) et le trio des Jeanclode! L’agence Lezilus présente une selection de dossiers d’illustrateurs et de graphistes de la nouvelle génération. Issus de la street culture, de l’animation, du pixel art ou du manga, ils viennent apporter leur regard neuf dans le monde de la communication. 16


Andy Smith Receuil d’illustrations http://www.asmithillustration.com/bookrain1.html

Luz Mary Vargas Martinez London Édition faite lors d’un voyage à Londres. Elle révèle par la méthode du transfère les différents lieux parcourus et les multiples souvenirs que m’a laissé cette ville cosmopolite. 17


Hitnes http://www.hitnes.org/ L’ouvrage de Hitnes, membre des GM, comporte 64 illustrations en noir et blanc. Une véritable plongée dans les fonds marins vus par l’artiste.

Evan Geltosky, http://www.pancake-breakfast.com/portfolio/ 18


4 IDEES, FORME DU RECUEIL A la manière de....

Mots clefs: zines, fanzines, graphzines, recueil, livres

Pour des questions de budget, mon choix ira vers une forme simple, le choix du noir et blanc s’avère être un choix appréciable pour l’impression. Autre solution: le “Do it Yourself”. Editer mon recueil moi même c’est à dire gérer mes impressions ainsi que les reliures et le packaging. Dans ce cas l’élaboration sera plus longue et laborieuse. A la manière des “zines”, “fanzines” et autres “graphzines”... Un fanzine (contraction de fan magazine) est un périodique (ou apériodique) indépendant, créé et réalisé par des passionnés, pour d’autres passionnés. Les fanzines sont consacrés le plus souvent à la musique rock, au cinéma, aux séries télévisées, à la sphère politique ou à la littérature populaire (et, en premier lieu, à la bande dessinée), Le fanzine est un support à diffusion limitée, de par son faible tirage et les frais occasionnés par une diffusion massive. Vers la fin des années 1970 et pendant la décennie suivante, apparaissent les “graphzines”, aux prétentions artistiques évidentes (souvent issus d’écoles d’art d’ailleurs). Au début des années 1990, de nombreux projets professionnels naissent du fanzinat et deviennent ce qu’on appelle aujourd’hui la Bande dessinée indépendante ou Bande dessinée alter. 19


Exemples de “zine” d’artistes

PARRA

Zine de 48 pages où l’on retrouves quelques dessins et esquisses de l’artiste hollandais, à l’encre noir sur papier rose. Il est édité à 25 exemplaires qui sont numérotés et signés par Parra. Disponible online chez Arkitip.

MIKE BALL IIllustration Quatres illustrations pour l’anthologie “the Muscle Crap”, publié en 2004 par Salt Tooth Press. Couverture réalisé par Max Hubenthal “Anthroapology” zine, illustration Recueil d’illustrations.

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MIKE BALL

Iillustration, collage, zine “Clap Yr. Hands” est un zine que Mike Ball publie occasionnellement. .

MIKE BALL

Battles: la mer et la terre se fait en deux volets, d’une illustration basée sur le récit. Mike Ball a fait ce recueil à l’été 2006. 21


5 AVEC L’IMPRIMEUR...

Imprimerie LELIEVRE 16 Avenue St Amand 59300 VALENCIENNES Tél. : 03 27 46 63 44

Pour me faire une idée précise de ce à quoi pourrait ressembler mon recueil je me suis rendu chez un imprimeur. Ainsi nous avons pu discuter sur ce qui est possible de faire ou non. Discussion avec l’imprimeur sur les différents type de reliure, j’ai retranscrit le tout dans des shémas (page suivante). Il m’a montré des exemples de reliure possible qui sont plus ou moins compatible selon l’épaisseur du livre, le nombre de page, les recto-verso. Sur ces conseils et en terme de coûts, nous étions resté sur une reliure dos carré collé à condition que l’épaissseur du recueil soit supérieur à 0,5 millimètres.

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Différents types de reliures vus avec l’imprimeur

Livre cartonné Les pages sont assemblées en cahier, cousus et collées sur une bande en mousseline assurant la soupless et la solidité de la reliure.

Dos carré collé La liasse des feuilles assemblées est encolée à chaud du coté de la reliure. La couverture vient ensuite envelopper la liasse à laquelle elle se colle au niveau du dos.

Thermocollage Une bande de tissu recouverte d’un adhésif enveloppe les pages assemblées et la couverture.

Piqûre à plat Pages et couvertures sont agréfées sur toute l’épaisseur de livre. La reliure prend une place importante au niveau des marges intérieures et ampute d’autant la surface utile des livres de petit format.

Piqûre à cheval La couverture et les pages sont assemblées en un cahier puis agrafées au niveau du pli central. Comme l’ensemble du cahier est plié en deux, iil vaut mieux que son épaisseur ne dépasse pas 3mm avant pliage.

Cahier cousu Couverture et pages cousus avec de la ficelle. Ce type de reliure manuelle convient à despublications ne comprenant pas plus de 36 pages.

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PrĂŠvisualisation

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6 TESTS TECHNIQUES J’ai fait quelques tests techniques pour des questions de mise en page. J’avais besoin de matérialiser mes idées. Il m’a fallu réfléchir à une manière de mettre en valeur mes illustrations. La mise en forme du recueil doit être originale mais simple pour des questions de lisibilité. Il ne faut pas trop en faire car cela pourrait nuire aux dessins et détourner l’attention. J’ai donc réalisé des ébauches pour la forme du recueil. Imaginant un recueil simple, une page = une illustration. Un système de pochette si les illustrations sont en feuilles volantes, manipulables. Puis pourquoi pas un mini book qui prendrai le format carte postale détachable, une illustration= une carte postale avec reliure en thermocollage.

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Autre idĂŠe de packaging possible si illustrations en feuilles volantes.

Packaging

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Autre idĂŠe de mise en page possible si illustrations au format carte postale.

Exemple de mise en page format livre compilation illustrations cartes postales. Format A6 : 10 x15 cm

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Elaboration de la boite pour dossier de prĂŠparation 28


7 COÛTS Je n’avais aucune idée du prix que peut avoir un livre d’illustration ou autre publication de ce genre. En fonction du format du livre, du nombre de page, si l’ouvrage sera en couleur ou noir et blanc, selon le type de couverture, du grammage du papier, du type de reliure, le prix varit et peut parfois engendrer des coûts importants. Evidemment plus le tirage est important, plus le livre en lui même est moins cher. J’ai demandé à l’imprimeur ce que coûterai la publication de mon recueil (2 exemplaires) selon les critères suivants: - format A5 - grammage 120 g/m2 - reliure dos carré collé - trentaine de pages Ce qui fait environ 16 euros pour deux exemplaires (prototypes)

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