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A Body of Doctrinal Divinity, V, VI
420 FURTHER PUBLICATIONS •il écrit, il montre une vraie entente de la composition. Son livre est un beau récit bien suivi, à la fois hébraîque et hellénique, joignant l’émotion du drama à la sérènité de l’idylle. Tout y rit, tout y pleure, tout y chante; partout des larmes et des cantiques; c’est l’hymne du peuple nouveau •ils font violence à toute réalité •ils sont tristes et abattus; l’espoir qu’ils avaient eu de le voir realiser le salut d’Israël est convaincu de vanité •le sentiment évangélique dans son originalité première répandent sur toute la légende une teinte d’une incomparable douceur. On ne fut jamais moins sectaire. Pas un reproche, pas un mot dur pour le vieux peuple exclu; son exclusion ne le punit-elle pas assez ? C’est le plus beau livre qu’il y ait. Le plaisir que l’auteur dut avoir à l’écrire ne sera jamais suffisamment compris •nul endroit du monde ne fut si bien fait pour les rêves de l’absolu bonheur •on dirait des hommes qui ont perdu une grande et chère illusion. Mais l’ enthousiasme et l’amour ne connaissent par les situations sans issue. Ils se jouentde l’impossible, et plutot que d’abdiquer l’espérance •on dirait qu’il a peur de n’étre pas cru, et qu’il chermations pleines d’emphase. •un esprit prodigieusement déclamatoire, une mauvaise nature, hypocrite, légère, vaniteuse; un composé incroyable d’intelligence fausse, de méchanceté profonde, d’égoïsme atroce et sournois, avee des raffinements inouïs de subtilité •Étude critique sur les rapports supposé entre Sénèque et Saint-Paul •à cesépoques ténébreuses; et, si l’Église, en vénérant le quatrième Évangile comme l’oeuvre de Jean, est dupe de celui qu’elle regarde comme un de ses plus dangereux ennemis, cela n’est pas en somme plus étrange que tant d’autres malentendus qui composent la trame de l’histoire religieuse de l’humanité. Ce qu’il y a de sûr, c’est que l’auteur est à la fois le père et l’adversaire du gnosticisme, l’ennemi de ceux qui laissaient s’evaporer dans un docétisme nuageux l’humanité réelle de Jésus et le complice de ceus qui le reléguaient dans l’abstraction divine •était le grand réservoir où tous puisaient
•où les adversaires de Jésus jouent le rôle d’idiots. Combien •parfois une sorte de sublimité, mais quelque chose d’enflé, de faux, d’obsur. La naïveté manque tout à fait. L’auteur ne raconte pas; il démontre •parlait comme le veut Matthieu, il n’a pu parler comme le veut Jean •pathos verbeux nous préférons le doux style, tout hébreu encore, du Discours sur la montagne •pp. 477 sqq. He changed his view again in his L’église chrétienne, • presbyteri •rendue responsable de tout le sang versé, devint comme Babylone une sorte de ville sacramentelle et symbolique. •reëchoes the Tübingen •secs de Marc. Luc fait bien plus •ses inconséquences tiennent à la nature même de la parabole et en font le charme. Matthieu arrondit les contours •sont une histoire dogmatique, arrangée pour appuyer les doctrines orthodoxes du temps ou inculquer les idées qui souriaíent le plus à la pieté de l’auteur. •soyez de bons banquiers •surprendre la religion de son lecteur par des affir-
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