le GUIDE pour réussir les ECN 2011

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Les bons plans pour réussir les ECN

Le guide pour

Réussir les ECN 2011

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Introduction OK, maintenant, c’est parti ! Finie la rigolade de la P2 et de la D1 : l’internat c’est bientôt, et il faut être prêt ! Les quelques chapitres qui suivent sont là pour vous guider dans la préparation de ces Épreuves Classantes Nationales. Mais comme avant toutes les bonnes choses, quelques préliminaires : - la préparation des ECN, c’est un marathon, il faut être RÉGULIER et fournir un effort CONSTANT… ce n’est pas la peine de sprinter en D4, c’est déjà trop tard ; - il faut gérer l’effort : pas la peine non plus d’arriver crevé le jour J ! ; - il faut croire en ses capacités : « OUI, je vais y arriver, bordel ! »… et ne pas se décourager, car les débuts sont durs… mais c’est comme ça pour tout le monde ! ; - l’effort doit être croissant entre la D2 et la D4. Ce petit guide se veut sans prétention. Il n’est là que pour vous donner quelques conseils pour la préparation des Épreuves Classantes Nationales. Ces conseils, nous les tenons de notre expérience, et ils ont été testés sur le terrain ! Nous espérons qu’ils vous seront utiles et qu’ils vous mettront sur la voie du succès. Nous vous souhaitons de tout cœur d’avoir la spécialité que vous souhaitez, dans la ville de votre choix. Bon, ben maintenant, on s’y met ! Bon courage et bonne chance ! Franck et Julien.

Les auteurs : Julien QUILICHINI, interne des hôpitaux de Paris, chirurgie, promotion 2005. Franck ATLAN, interne des hôpitaux de Paris, chirurgie, promotion 2005.

Remerciements : Les éditions Estem remercient : • les auteurs, Julien QUILICHINI et Franck ATLAN, pour leur collaboration ; • Baptiste COUSTET, directeur de la collection “50 dossiers”, pour ses conseils sur l’épreuve de la lecture critique d’article ; • Guillaume VOGIN pour sa contribution à la méthodologie.

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Sommaire Déroulement du DCEM DCEM2 : comprendre . . . . . . . . . . 1 DCEM3 : apprendre . . . . . . . . . . . . 2 DCEM4 : entreprendre . . . . . . . . . .6

Préparer les Épreuves Classantes Nationales Les sous-colles . . . . . . . . . . . . . . . . 8 Les conférences . . . . . . . . . . . . . . . 9 Les vacances . . . . . . . . . . . . . . . . . 9 Les concours blancs . . . . . . . . . . . 11 Les dossiers . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 La Lecture Critique d’Article . . . . 13 Un mot sur l’épreuve 2010 . . . . . 13 Ce qui va tomber en 2011 . . . . . . 14 Le jour J . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14 Compte-rendu d’une réunion de correcteur . . . . . . . . . . . . . . . . 15

Zoom sur la lecture critique d’article Pourquoi la LCA ? . . . . . . . . . . . . 17 Enseignement de la LCA . . . . . . . 17 Charte d’enseignement de la Lecture Critique d’article . . . . 19 Principe de l’épreuve . . . . . . . . . . 19 Déroulement de l’épreuve . . . . . . 19 Élaboration de l’épreuve . . . . . . . .20 Correction . . . . . . . . . . . . . . . . . . .22 À consulter . . . . . . . . . . . . . . . . . . .22

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Conseils méthodologiques Terrains physiopathologiques . . . . 25 Étiologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .31 Examens complémentaires . . . . . 31 Traitement . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32 Maladies chroniques . . . . . . . . . . 33 Posologies à connaître . . . . . . . . . 34 Transversalité . . . . . . . . . . . . . . . . 34 Ultimes conseils . . . . . . . . . . . . . . 35 Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37

Infos pratiques Bureaux et syndicats des internes 39 Coordonnées des DRASS . . . . . . . 41 Adresses utiles . . . . . . . . . . . . . . . 42

Liste des abréviations autorisées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46 Programmes du 2e cycle et ECN Première partie : 11 modules transdiciplinaires . . . . . . . . . . . . . . 49 Deuxième partie : maladies et grands syndromes . . . . . . . . . . . 79 Troisième partie : orientation diagnostique devant… . . . . . . . . . 86

Textes généraux . . . . . . . . . . . . . 92


Déroulement du DCEM DCEM2 : comprendre Approche qualitative : «

Il ne s’agit pas de beaucoup lire, mais de bien

lire ». Il ne faut pas se voiler la face : quel que soit le niveau de vos moyens mnémotechniques, de vos capacités de mémorisation, et de votre motivation, presque tout ce que vous apprendrez en D2 aura disparu des méandres de votre esprit torturé en fin de D4. En revanche, tout ce que vous aurez compris sera définitivement acquis et servira de fondation au travail d’apprentissage. Cette phase est donc fondamentale, car c’est de sa solidité que dépendra la stabilité de votre travail au cours des années suivantes. Le but est donc de constituer un terreau fertile pour y semer les connaissances que vous accumulerez par la suite. Si cette phase est négligée, ce que vous apprendrez sera au mieux inutilisable, au pire oublié dans la minute, et la récolte sera maigre, malgré un labeur acharné. Il faut donc comprendre. Mais comment faire ? Là, tout est permis. Il y a les partisans des cours, de la bibliothèque, des stages, etc. Il n’y a pas de règle, seulement quelques principes. –

Optimiser son travail : c’est un réflexe à prendre très vite : • s’intéresser à ce qui est au programme des ECN, et exclusivement à cela. Tout le reste vous apportera autant que de lire Gala ou d’aller au ciné. Si ça vous amuse, pourquoi pas, mais ne vous imaginez pas une seule seconde que cela vous sera d’une quelconque utilité pour le concours ; • se procurer très vite un programme complet détaillé (avec les sous-questions) et comprendre qu’il faut éviter les staffs de quatre heures sur les variantes anatomiques du réseau vasculaire du prépuce ; • ne pas en rajouter : 345 items c’est énorme et il y a largement de quoi être écœuré ; • travailler ses examens à la lumière du programme, dans la mesure du possible, pour ne pas perdre de vue que l’objectif final, c’est le concours.

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Le guide Estem pour réussir les ECN 2011 –

Optimiser son temps : là encore c’est un réflexe vital (surtout valable pour les stages hospitaliers) : • essayer d’y chercher des éléments compatibles avec des items du programme, quitte à aller en stage, plutôt que de compter les secondes en poussant le chariot métallique durant des visites interminables et incompréhensibles ; • profitez-en pour poser des questions ou au moins noter les éléments que vous ne comprenez pas ; • lisez les examens complémentaires qu’on vous fait ranger dans les dossiers, cherchez des anomalies, essayez de les interpréter, bref, investissez-vous. Dans la limite du programme bien sûr…

DCEM3 : apprendre Approche quantitative :

« Tout ce qui rentre fait ventre ».

C’est une année très difficile, psychologiquement et méthodologiquement. Dites-vous bien que tout le monde se sent aussi nul que vous, c’est parfaitement normal, même si c’est très énervant. Vous allez passer par toutes les sensations : euphorie, désespoir, jalousie, autodépréciation, renonciation, etc. Surtout, ne craquez pas, et comprenez que la seule chose qui compte vraiment, c’est de continuer d’avancer, coûte que coûte, vers votre objectif. Le principe est simple : comprendre les matières non abordées en D2 et, parallèlement, commencer le travail d’apprentissage : ce qu’on appelle le « premier tour ». Il est alors fondamental de se constituer une base de données stable et complète qui servira d’outil de travail pour les révisions, sur le principe suivant : 1 item = 1 source (à compléter à loisir). Par exemple, l’item « Embolie pulmonaire » ne doit surtout pas être traité dans un bouquin de cardio, puis dans un bouquin de pneumo, puis dans un bouquin de réa. Attention, pas de fiche en D3 c’est trop tôt, inutile et inefficace. L’apprentissage doit être intelligent. La quantité à assimiler est réellement énorme, il faut donc apprendre à hiérarchiser. Concentrez-vous sur le grave et le fréquent. C’est ce qui sera le plus coté, ce qu’il faudra écrire en premier, et ce qu’on ne vous pardonnera pas d’oublier. Utilisez les conférences comme un outil de travail, et non pas comme une fin en soi : attention à ne pas aller en conférence sans réviser pour « voir ce qui reste » avant d’avoir bouclé son « premier tour » puisque, par définition, rien n’est encore acquis.

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Le guide Estem pour réussir les ECN 2011 Néanmoins, considérez qu’on apprend infiniment plus d’un dossier sur lequel on sèche lamentablement que d’un dossier réussi. Cet état de stress étant un avant-goût à doses homéopathiques de ce que vous ressentirez le jour du concours si vous tombez sur un dossier difficile, il est indispensable d’apprendre à savoir y faire face et à gratter des points dans un dossier sur lequel on ne connaît rien. Donc pendant la phase de rédaction des dossiers, c’est concentration absolue, pas de poly sur les genoux, pas de dialogue, pas de regard en coin, même et surtout si on est perdu, bref, comme le jour J. Toutefois, planter une conférence, ça arrive à tout le monde, et ça ne doit surtout pas vous décourager ni vous faire douter de vous. Tirez-en profit pour mettre en évidence les points qui vous ont échappés et pour compléter vos sources. Concernant les sous-colles, les avis divergent, mais franchement en D3 il est encore trop tôt pour en tirer un réel profit.

DCEM4 : entreprendre Approche pratique :

« C’est en forgeant qu’on devient forgeron ».

À ce stade du jeu, il s’agit d’utiliser enfin le travail des années précédentes. On sort d’une phase d’apprentissage intense mais à la portée de tous, pour entreprendre véritablement le travail de préparation au concours proprement dit. Le but est d’apprendre à utiliser ce qu’on sait et à combler ce qu’on ne sait pas lors de la rédaction des dossiers, pour pouvoir gratter le plus de points possible. Il n’y a pas de secret, c’est bien là que se fait la différence, les connaissances pures étant sensiblement identiques entre les 1500 premiers candidats. Vous verrez qu’avec beaucoup d’entraînement on peut obtenir des scores très honorables à des dossiers où l’on se plante de diagnostic. Votre self-control doit être inébranlable. Et pour cela une seule solution : faire des dossiers. En quantité industrielle, et dans des conditions les plus réalistes possibles ; c'est-à-dire : – feuille blanche A4 sans ligne ni carreau ; – stylo bleu ou noir ; – pas d’abréviations autres que celles officiellement autorisées ; – pas de question sans réponse, même si on ne sait pas ; – bien écrit, propre et aéré, avec les mots-clefs en majuscules.

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Déroulement du DCEM Une seule règle absolue : ne jamais renoncer. Qu’il s’agisse d’un dossier concernant un (des) item(s) qu’on maîtrise mal, d’une question ou même d’une sous-question épineuse, n’abandonnez pas pour passer au dossier ou à la question suivante. Votre seul but : mouiller le maillot à chaque fois, toujours chercher un peu plus loin dans votre esprit comment faire la différence entre une bonne réponse et une réponse excellente, ou à défaut entre pas de réponse du tout et une réponse moyenne. Vous devez absolument vous entraîner en permanence à l’overperformance : c’est l’art d’optimiser sa copie. Voila pour la théorie. Pour la mise en pratique, à vous de jouer… Force et Honneur.

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Préparer les Épreuves Classantes Nationales Les sous-colles Encore une fois, il n’y a pas de recette miracle !! Les sous-colles ne garantissent pas le succès à l’internat, et on peut très bien réussir sans en faire. Cependant, il nous semble que ce genre de travail en groupe peut être la plupart du temps bénéfique. En effet, c’est souvent un moment où l’on peut se situer par rapport aux autres, éclaircir les points obscurs du programme, partager ses expériences de dossiers avec ses sous-colleurs, etc. Quelques règles doivent être respectées : – les sous-colles, c’est de deux à quatre personnes maximum ! Au-dessus, ça se transforme en soirée entre amis… ; – il faut fixer un rythme régulier : même jour, même heure, même endroit ! ; – on travaille avec des gens motivés, sinon c’est dehors ! ; – le rythme : une fois par semaine semble être un bon choix. En fin de D4, vous pouvez éventuellement passer à deux par semaine, pour rester stimulés ; – le but n’est pas de se rassurer en se posant des questions évidentes, mais au contraire d’essayer d’approfondir les connaissances, de mettre le doigt sur les lacunes de chacun.

➥ Comment ? Quant au déroulement de la sous-colle, il existe plusieurs possibilités : faire des dossiers, se poser des questions courtes, inventer des dossiers et les poser aux autres, etc. Bref, c’est à vous de choisir. Il ne faut pas hésiter à faire évoluer la sous-colle au fil des mois…

➥ Quand commencer ? La D3 semble être la meilleure année, mais on peut imaginer commencer les colles en fin de D2 pour prendre ses marques et trouver le système qui convient à chacun ! En D4, le rythme peut s’accélérer, avec deux colles pendant le printemps…

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Conseils pour préparer les Épreuves Classantes Nationales

Les conférences C’est le métronome de votre travail. Elles commencent en D3, au rythme de deux par semaines, et se poursuivent en D4 (une à deux par semaine), avec enfin le « tour de printemps » ou « tour de synthèse ». Elles se déroulent le soir, généralement de 19 h à 23 h. Ces conférences nous semblent un moment important de la préparation des ECN. En D3 elles permettent de faire en une année un tour complet du programme et nous confrontent souvent pour la première fois avec les dossiers. Le principal problème (avec le prix encore une fois), c’est qu’il faut en même temps préparer le programme de la fac ! Les colles peuvent alors être utiles en se focalisant sur le programme des certifs de la fac, alors que le reste de la semaine est réservé à la préparation des confs. Il existe de nombreux organismes proposant leurs services. Pour ne citer que les plus nombreux : Hippocrate, Conf plus, Hermès, Khalifa, ASPIC, etc. Il n’existe pas une conf meilleure que les autres. C’est à vous de vous renseigner auprès de vos aînés pour trouver la conf qui va vous convenir le mieux. Quel que soit l’organisme choisi, il est primordial de parfaitement préparer les conf, pour pouvoir en tirer le maximum. Ce n’est pas la peine d’y aller si on n’a même pas vu la moitié du programme du soir, car on ne va rien retenir… alors autant aller faire un flipper au bar. Si votre tour de D3 a été sérieux, vous partez avec un sacré avantage pour les ECN, car il vous reste alors toute la D4 pour approfondir vos connaissances, compléter les questions que vous n’avez pas bien travaillées, et vous entraîner aux cas cliniques !

Les vacances En D2 : tout l’été ! C’est le dernier alors profitez-en ! En D3 : le but, ne pas rater une conf ! Ça fait donc une semaine à Noël et trois l’été ! En D4 : le but, ne pas perdre le rythme ! Une semaine à Noël et un mois avant l’internat. Pas pour travailler comme un chien, mais en préservant des heures de sommeil correctes (il ne faut pas arriver crevé le jour des ECN) ! Et quand on dit vacances, c’est : pas de bouquin !! On décompresse !! Après, il est clair qu’on peut toujours rajouter une ou deux semaines par-ci par-là, mais attention ! Pas de départ sous les tropiques et toujours un bouquin sous la main s’il s’agit de vacances en rab’ !!… 9



Conseils pour préparer les Épreuves Classantes Nationales

Les concours blancs C’est ce qui va rythmer la D4 !! Ils sont la plupart du temps nationaux, ce qui permet de se situer par rapport aux autres. Mais ce qui compte le plus, c’est de pouvoir se mettre dans les conditions réelles ! C’est-à-dire de voir ce que c’est que de rédiger pendant trois fois trois heures, sur deux journées, des dossiers longs. Il est important d’arriver aux ECN avec une bonne expérience de ce type d’épreuve ! Les concours blancs permettent de se mettre dans le bain, et surtout d’apprendre à gérer le temps et le stress ! De nombreuses boîtes de conf organisent ce genre d’examen blanc : deux pour Hippocrate, un pour Conf plus, deux pour Hermes, deux pour Aventis, deux pour ASPIC, etc. Il faut en faire au moins trois, répartis sur l’année, de préférence avec une bonne participation au niveau national. Il ne faut pas chercher à tous les faire, car un CB, ça prend un week-end entier, ça crève et ça coûte cher ! Et pour ce qui est des résultats, il faut savoir les prendre avec recul. Un carton ne doit pas faire arrêter le boulot, et bien sûr, l’inverse marche aussi : il ne faut pas désespérer si on se prend une caisse ! Cependant, en règle générale, les concours blancs avec une bonne représentativité nationale donnent une bonne approximation des capacités d’un étudiant.

Les dossiers ➥ Préparation Voilà ! C’est essentiellement sur ça qu’on va vous juger : sur neuf dossiers ! Alors pas d’hésitation, votre préparation doit se focaliser sur l’entraînement à la rédaction ! En D2-D3, c’est souvent difficile, car les connaissances sont encore limitées, on n’a qu’une vision partielle du programme et on n’est pas encore rompu à la gymnastique des dossiers. C’est pourquoi il ne faut pas s’affoler si les premières notes ne dépassent même pas le 50/100… En D4, par contre, on commence à faire des liens entre les items, on a les réflexes de rédaction, et l’on peut faire des dossiers d’une heure, bien transversaux. Et pour ce qui est des trois derniers mois avant les ECN, pas de doute, il faut faire des dossiers à la chaîne ! Les réflexes vont se fixer, vous deviendrez plus attentifs aux détails 11


Le guide Estem pour réussir les ECN 2011 des énoncés, et puis il s’agit aussi d’un bon moyen pour vérifier ses connaissances et réviser son cours : après un dossier raté, hop ! un petit tour dans le poly en rapport pour se remettre les idées en place. Pour ce qui est des notes aux dossiers, pas de panique : on peut se trouer (juste un peu) sur un dossier (55/100), à condition qu’un autre soit cartonné (85/100)… mais évidemment la meilleure solution reste la régularité !!

➥ Rédaction C’est l’une des grosses inconnues quand on commence la préparation de cet examen. Le CNCI ne veut plus de réponse qui tienne en deux mots… Mais attention, il ne s’agit pas non plus de faire une dissert de philo. Les idées sont à hiérarchiser au maximum, de la plus intéressante à la moins utile pour essentiellement : • les possibilités diagnostiques, • les examens complémentaires, • les conduites à tenir. Rappelez-vous toujours que le jury a 4500 copies à corriger et que ses membres ne sortiront de l’hôtel dans lequel ils sont emprisonnés qu’une fois leur travail entièrement terminé !! Alors ne les noyez pas dans votre prose ! On fait des phrases, mais des phrases COURTES, allant droit au but, avec les motsclefs bien en relief ! Pareil pour les justifications : il ne faut pas hésiter à faire des tirets avec des grands cadres de réponse, exemple : On évoque ce diagnostic devant : – le terrain… ; – l’anamnèse… ; –… Ce genre de présentation a l’avantage d’être claire, agréable à lire pour le correcteur, de mettre en avant votre raisonnement et de prouver au correcteur que votre réponse est le fruit d’une réflexion construite et pas d’un gros coup de bol ! N’oubliez pas non plus que les mots-clefs existent toujours !! Un conseil pour bien les mettre en valeur : les écrire en majuscule, c’est clair et propre. Un seul inconvénient, quand vous écrivez une connerie, elle ressort en gros…

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Conseils pour préparer les Épreuves Classantes Nationales

La Lecture Critique d’Article Vous en aviez rêvé, ils l’ont fait ! La lecture critique d’article est pour la première fois tombée aux ECN de juin 2009. Ne comptant que pour 5 % de la note en 2009, elle a pris du « poids » sur la notation finale et compte désormais 10%. Comme pour toute épreuve, il n’y a pas de secret ! La clé de la réussite reste la méthode et l’entraînement. Alors lisez un maximum d’articles et ne perdez pas de vue les objectifs donnés par le CNCI, qui seront votre fil rouge pour conduire cette lecture critique.

Un mot sur l’épreuve 2010 Les ECN se sont déroulées du 2 au 4 juin 2010. Cette septième « édition » des ECN procure plusieurs enseignements. Les cas cliniques sont donc de plus en plus classiques, sur des thèmes consensuels. C’est un concours dont le but est de sélectionner les gens sur la base de connaissances nombreuses. Parmi cette profusion de savoir à acquérir, le tri est possible. Connaître les conférences de consensus est plus que jamais d’actualité et permet à la fois des corrections sans discussion mais aussi d’interroger les étudiants sur des sujets importants qu’ils verront aux urgences ou en cabinet de médecine générale. Il ne s’agit pas de faire la sélection sur les futurs médecins des différentes spécialités et encore moins de la chirurgie. Il faut connaître ce qui fait référence pour la prise en charge du malade, les conférences de consensus permettant d’intégrer la transversalité. Hiérarchiser ses idées en proposant un raisonnement logique, argumenté permet de ne pas se tromper sur l’ensemble d’un dossier. Souvenez vous bien que les questions sont indépendantes et refusez l’idée qu’un diagnostic doit être donné parce que la question suivante « irait bien avec ». Les énoncés sont longs et représentent une première étape de sélection. Les automatismes qui mènent beaucoup d’étudiants à évoquer coûte que coûte des diagnostics peu cohérents sont une barrière au raisonnement que l’on demande de mener en peu de temps. L’épreuve de lecture critique était très semblable aux exemples proposés par le CNCI.

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Le guide Estem pour réussir les ECN 2011 Ceci confirme cette volonté constante de sélectionner les étudiants sur leurs erreurs plus que l’étendue de leurs connaissances. Bien connaître une prise en charge validée, raisonner est la base de la réussite aux ECN…

Ce qui va tomber en 2011 Ben… nous n’en savons que dalle… Personne ne peut le prédire, pas même Paco Rabanne. Sachez cependant qu’il y a quelques trucs qui marchent toujours… et qui, au pire, ne peuvent pas faire de mal, au moins par acquis de conscience : – deux semaines avant les ECN, regardez les 20 dernières monographies (attention, il ne s’agit pas de références universitaires) de la Revue Du Prat’ (soit toutes celles de l’année passée). Ne vous prenez pas le chou à rentrer dans les détails, regardez juste l’intitulé. Il y a souvent des surprises et, assez régulièrement, on retrouve aux ECN des thèmes abordés dans ces monographies (maladies professionnelles, ménopause, hépatite C, etc.) ; – tenez-vous au courant des dernières conférences de consensus. C’est quand même plus facile de faire une grille de corrections sur un sujet quand tout le monde est d’accord… ; – regardez ce qui est tombé les années précédentes… ce qui est déjà tombé a plus de chance de retomber que ce qui n’est jamais tombé… d’ou l’intérêt des annales ! ; – les questions dans lesquelles il faut connaître les posologies tombent chaque année !!! Il n’y en a que huit ou neuf, marquées par un signe (P) dans l’énoncé du programme officiel. C’est suicidaire de ne pas les connaître avant les ECN. Pour les autres posologies, c’est très souvent inutile (voire dangereux) de les mettre car elles ne sont pas cotées (ou très peu). – les nouveaux items de l’internat : ils ont quand même une bonne chance de tomber (handicap en 2005 !!) ! Alors révisez bien « douleur », « handicap », « anesthésie » et cie… – bon après il vous reste toujours les gris-gris africains, la patte de lapin dans la poche, lire l’avenir dans les entrailles de poulet… mais c’est quand même moins efficace.

Le jour J Ça y est ! Après trois ans de boulot, voilà les deux journées qui vont tout décider (c’est bon, je crois que là, tout le monde se fait pipi dessus)…

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Conseils pour préparer les Épreuves Classantes Nationales Comment ça se passe ? On est réuni dans une énorme salle et repartis par petits groupes. Un surveillant pour dix personnes (les antisèches du style « Les sous-doués passent les ECN », ce n’est même pas la peine d’y penser !). Une table dont la superficie est assez réduite. Et, déjà posés dessus, les trois cahiers de rédaction et un paquet d’étiquettes autocollantes avec votre nom dessus (comme pour les patients à l’hosto, juste en plus grand !!!). Quand l’heure sonne, tout le monde se lève pour que les surveillants distribuent les dossiers… puis tout le monde s’assoit et c’est parti ! L’idéal est d’avoir déjà collé les étiquettes sur ses cahiers car chaque seconde compte, et puis ça occupe avant le début des épreuves… Après, notre conseil est de lire l’ensemble des trois dossiers avant de commencer. Nous savons que ça prend du temps (10 min au moins) mais c’est indispensable !! Faites-le aussi pendant les concours blancs !! Le but étant de commencer par le dossier qu’on maîtrise le plus. Pourquoi ? – C’est bon pour le moral ! – Il faut se tenir à une heure par dossier et il ne vous reste plus que 50 min pour le premier (10 min de lecture), alors mieux vaut ne pas avoir trop à réfléchir. – C’est trop bête de commencer par le dossier dur, de réfléchir pendant 30 min pour finalement ne rien mettre et de ne pas avoir le temps de répondre aux questions dont on connaît les réponses. Après, c’est comme on a dit : une heure par dossier !! Il faut se tenir à ça pour ne pas s’endormir sur les questions !! Rappelez-vous, les ECN, c’est LONG ! Et puis n’oubliez pas de relire votre copie !! Bon là par contre, c’est souvent illusoire… mais si vous pouvez le faire c’est top !

Compte-rendu d’une réunion de correcteur Ce sont eux qui en parlent le mieux… Voici des conseils à ne pas prendre à la légère ! • Les mots-clés sont toujours les bienvenus, on s'en doutait. • Toutefois certains correcteurs aiment pouvoir lire des phrases et pas que des abréviations collées les unes aux autres. • Les sujets ne semblent pas avoir été revus sérieusement avant d'être posés, les correcteurs ont trouvé eux-mêmes certaines questions vraiment stupides. • Les sujets qui vous seront posés seront tirés à 100% de cas cliniques réels avec iconographie. 15


Le guide Estem pour réussir les ECN 2011 • Le propos récurrent : bossez ce qui est grave et fréquent. • Vous pouvez demander la publication officielle des grilles de l'internat dans la mesure où vous représentez un groupe de pression, et ça, il ne faut pas l'oublier, même si tout ça est tellement opaque que ça m'étonnerait que ce soit fait un jour. • Une notion importante : la médecine est basée sur des niveaux de preuve, donc inspirez-vous des recommandations et consensus des sociétés savantes ++. • Si vous expliquez n'importe quoi et que vous arrivez à une réponse juste vous n'aurez aucun point. • Les questions sont traitées de façon indépendante et l'esprit de correction n'a pas changé finalement. • La rédaction des questions est nulle, selon les correcteurs. • La légende selon laquelle les propositions de réponses du rédacteur sont jetées directement à la poubelle par le jury est vrai : le jury est SOUVERAIN. • La grille est très contrastée : toutes les questions n'ont pas le même poids. • Il n'y a pas vraiment de volonté de poser des pièges dans les questions. • Bienveillance des correcteurs +++ : je crois vraiment qu'ils sont honnêtes là-dessus, ils ne sont pas là pour déchirer. • Double correction (moyenne) avec confrontation si écart important.

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Conseils pour préparer les Épreuves Classantes Nationales

Zoom sur la lecture critique d’article En 2004, la nouvelle tombe : la lecture critique d’article serait au programme des ECN 2008. Vous avez été nombreux à vous mobiliser pour reculer l’échéance, car la LCA n’était alors pas enseignée de manière homogène et équitable dans l’ensemble des facultés. Cette nouvelle épreuve a donc été intégrée aux ECN 2009.

Pourquoi la LCA ? Avec l'accélération de la recherche, les enseignants considèrent que les futurs médecins ont besoin de compétences spécifiques pour comprendre et interpréter les résultats du progrès médical. L'enjeu est à la fois scientifique et pédagogique, et cela passe par une lecture raisonnée et critique des résultats de la recherche dans les articles scientifiques, par un décryptage et un décodage des informations médicales. L’enseignement de la LCA en DCEM et sa validation lors des ECN permet l’acquisition d’une compétence transversale à l'exercice de la médecine.

Enseignement de la LCA Une des conditions majeures réclamées par les candidats aux ECN était l’harmonisation de l’enseignement de la LCA dans les universités. Dans cette optique, le CNCI et la Conférence des doyens de médecine ont rédigés une charte d’enseignement, diffusée auprès des présidents d’universités. En principe, une quinzaine d’heures seront consacrées aux cours magistraux, et une trentaine à l’enseignement dirigé.

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Conseils pour préparer les Épreuves Classantes Nationales

Charte d’enseignement de la Lecture Critique d’article Conférences des Doyens et CNCI, juin 2007 Art. 1 - Chaque faculté de médecine s’engage à organiser l’enseignement des méthodes élémentaires d’analyse d’un article scientifique médical. Art. 2 - L’enseignement peut se faire sous forme de cours magistraux et/ou d’enseignements dirigés. Art. 3 - Les disciplines cliniques doivent participer activement à cet enseignement et notamment intégrer des actions de formation au cours des stages cliniques. Art. 4 - L’enseignement doit se faire au cours du deuxième cycle des études médicales. Art. 5 - Chaque faculté de médecine s’engage à mettre en place des actions de formation de formateurs. Art. 6 - Les objectifs pédagogiques et notamment le niveau minimal requis de connaissance de méthodologie statistique sont en accord avec ceux édités par le Centre National du Concours de l’Internat. Art. 7 - Chaque faculté de médecine s’engage à organiser une évaluation des connaissances selon les modalités prévues aux ECN. Art. 8 - Les modalités de déroulement de l’épreuve de lecture critique d’article aux ECN sont connues de tous.

Principe de l’épreuve La LCA est une épreuve rédactionnelle de critique et d’analyse portant sur des articles médicaux scientifiques. L’article concerne une étude d’observation ou expérimentale, traitant d’un sujet mentionné dans le programme de la deuxième partie du DCEM. Il sera en français (primitivement en français ou traduit d’une autre langue) ; il est en principe proposé dans son intégralité, seuls en seront supprimés le résumé de l’article ainsi que les noms des auteurs et la référence de la revue.

Déroulement de l’épreuve L’épreuve dure 3 heures. Elle compte pour 10 % de la note totale des ECN. Les réponses doivent être construites, contrairement à l’épreuve des dossiers pour les19


Le guide Estem pour réussir les ECN 2011 quelles les énumérations sont parfois même conseillées. De plus, seules les abréviations figurant sur le site du CNCI sont autorisées dans la rédaction des réponses. L’épreuve comporte deux parties : un résumé (20 % de la note) et des questions (80 % de la note). Le résumé doit être structuré en fonction du contenu de l’article. Il comporte généralement les objectifs de l’étude, le matériel et les méthodes employées, les résultats et la discussion (ou conclusion). Il ne doit pas dépasser 250 mots. Une grille de résumé à remplir vous sera d’ailleurs fournit pour faciliter le comptage lors de la rédaction mais aussi de la correction. Les questions (entre 6 et 10) portent sur les objectifs pédagogiques décrits dans le paragraphe suivant. La rédaction des réponses n’est pas aussi formelle que celle du résumé : leur longueur peut varier selon le type de question et n’est pas limitée. Le seul impératif est de proposer une réponse structurée et rédigée. La rédaction des questions est soumise à des critères précis que vous retrouverez dans le paragraphe suivant.

Élaboration de l’épreuve ➥ Objectifs pédagogiques (établis par le CNCI) Identifier • Il faut tout d’abord savoir identifier l’objet de l’article parmi les suivants : évaluation d’une procédure diagnostique, d’un traitement, d’un programme de dépistage, estimation d’un pronostic, enquête épidémiologique (sauf méta-analyses). • Vous devez ensuite identifier la question posée par les auteurs, c’est-à-dire l’hypothèse qu’ils proposent dans l’article.

Analyser la méthodologie Population étudiée • Identifier les caractéristiques (données démographiques) de la population étudiée, à laquelle, les conclusions pourront être appliquées. • Analyser les modalités de sélection des sujets, critères d’inclusion et de non inclusion et d’exclusion. • Identifier la technique de randomisation et vérifier sa cohérence, le cas échéant. • Discuter la comparabilité des groupes soumis à la comparaison.

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Conseils pour préparer les Épreuves Classantes Nationales • Discuter l’évolution des effectifs étudiés et leur cohérence dans la totalité de l’article ; savoir si le calcul du nombre de sujets nécessaires a été effectué à priori. Méthodes • S’assurer que la méthode employée est cohérente avec le projet du travail et qu’elle est effectivement susceptible d’apporter « une » réponse à la question posée dans l’introduction. • Vérifier que les analyses statistiques (en fonction de notions élémentaires) sont cohérentes avec le projet du travail ; connaître les limites de l’analyse par sous groupe ; connaître la notion de perdus de vue. • Vérifier le respect des règles d’éthique.

Analyser la présentation des résultats • Analyser la présentation, la précision et la lisibilité des tableaux et des figures, leur cohérence avec le texte et leur utilité. • Vérifier la présence des indices de dispersion permettant d’évaluer la variabilité des mesures et de leurs estimateurs.

Critiquer l’analyse des résultats et de la discussion • Discuter la nature et la précision des critères de jugement des résultats. • Relever les biais qui ont été discutés. Rechercher d’autres biais d’information et de sélection éventuels non pris en compte dans la discussion et relever leurs conséquences dans l’analyse des résultats. • Vérifier la logique de la discussion et sa structure. Reconnaître ce qui relève des données de la littérature et ce qui est opinion personnelle de l’auteur. • Discuter la signification statistique des résultats. • Discuter la pertinence clinique des résultats. • Vérifier que les résultats offrent une réponse à la question annoncée. • Vérifier que les conclusions sont justifiées par les résultats. • Indiquer le niveau de preuve de l’étude (grille de l’HAS).

Évaluer les applications cliniques • Discuter la ou les applications potentielles proposées par l’étude

Analyser la forme de l’article • Identifier la structure IMRAD (Introduction, Matériel et méthode, Résultats, Discussion) et s’assurer que les divers chapitres de la structure répondent à leurs objectifs respectifs. • Faire une analyse critique de la présentation des références. • Faire une analyse critique du titre. 21


Le guide Estem pour réussir les ECN 2011

➥ Contenu des questions • Aucun calcul nouveau ne peut être demandé dans les questions. • Il est possible d’avoir à réaliser un commentaire de tableaux, de figures ou de calculs statistiques, une nouvelle rédaction du titre ou d’un paragraphe. La forme de l’article peut être discutée. • Aucune question de mémorisation sur le sujet étudié ou s’écartant de l’article ne peut être posée. • Les questions doivent être comprises simplement par tout étudiant de deuxième cycle, elles sont ainsi rédigées dans un langage clair. Elles sont indépendantes les unes des autres. • En général, les sous-questions sont peu présentes. • Si une définition pose problème, c’est-à-dire si elle peut faire l’objet de discussions, la définition retenue pour l’épreuve sera précisée dans l’intitulé.

Correction • Le résumé ne doit pas dépasser 250 mots et doit être fidèle à l’article. Votre résumé sera rédigé dans une grille proposée lors de l’épreuve, afin de faciliter le comptage des mots. Sachez que si votre résumé est trop long, une pénalité proportionnelle au degré de dépassement peut-être décidée par le jury. • Une grille de réponses est proposée par le conseil scientifique du CNCI pour le résumé et les questions portant sur l’article. • Des points négatifs peuvent être décidés par le jury. • Tout comme l’épreuve des dossiers, la LCA fait l’objet d’une double correction.

À consulter ➥ Sur le site du CNCI (http://www.cnci.univ-paris5.fr/medecine/) • • • •

Le glossaire officiel publié en 2007. La liste d’abréviations autorisées aux ECN, tant pour les dossiers que pour la LCA. Une technique de comptage des mots pour l’élaboration du résumé. Un exemple de sujet et de questions pour l’épreuve de la LCA.

➥ Sur legifrance (http://www.legifrance.gouv.fr) • L’arrêté du 6 décembre 2007 fixant la pondération de l'épreuve de lecture critique d'articles, paru au JO du 20 décembre 2007, texte 50. 22




Guide pratique pour réussir les épreuves classantes nationales

Conseils méthodologiques Voici des conseils pratiques qui vous permettront d’optimiser votre préparation. De manière générale : • pensez à prendre en compte le terrain physiopathologique du patient ; • dans l’énoncé, soulignez les divers symptômes cliniques, biologiques, radiologiques qu’il faut traiter ; • n’hésitez pas à résumer la problématique en une phrase à la fin de la lecture de l’énoncé.

Terrains physiopathologiques Il s’agit d’états de santé particulièrement liés à certaines comorbidités. Soulignez-les dans l’énoncé et ouvrez une case où figure les diverses comorbidités liées : enfant, femme enceinte, personne âgée, migrant, précarité, fumeur, buveur, toxicomane, immunodéprimé, patient en réa/décubitus, etc. Personne âgée • escarres • iatrogénie • troubles sphinctériens (constipation, fécalome, incontinence) • troubles sensoriels • dépression • chutes/fractures/ostéoporose • dénutrition/déshydratation • troubles cognitifs • maladies chroniques • perte d’autonomie Éthylique • précarité • déficit nutritionnel (protéines, micronutriments) • troubles métaboliques (hypoglycémie, hypertriglycéridémie, hyperuricémie) • SNC : encéphalopathie hépatique, Korsakoff, Gayet-Wernicke, atrophie cérébrale, Machiafava-Bignami, épilepsie, HSD chronique post trauma…) 25


Le guide Estem pour réussir les ECN 2011 • • • • • • • • • • •

SNP : polyneuropathie locomotion : myopathie, ostéonécrose aseptique foie : stéatose, hépatite alcoolique, cirrhose et hépatocarcinome cœur : myocardiopathie, HTA poumons : pneumopathie de déglutition, imputation des pneumocoques, Klebsiella anémie macrocytaire tube digestif : œsophagite, gastrite, pancréatite endoc : pseudo-Cushing, atrophie testicules, aménorrhée, ostéopénie psy : DT, intox aigue cancers ORL, œsophage, hépatocarcinome… femme enceinte : embryofœtopathie, maltraitance

Toxicomane • co-intoxications (médicaments, alcool, tabac) • infectio : VIH, hépatite C, infections cutanées, endocardite droite aiguë, septicémie, sinusite chronique • précarité • psy : sevrage, troubles comportementaux • nomadisme médical, iatrogénie • femme enceinte : embryo-foetopathie • overdose • chutes, accidents Enfant • croissance (poids, taille, PC, vélocité, BMI…) et sa pathologie • vaccinations • maltraitance • puberté et sa pathologie • accidents domestiques, intoxications • maladies infantiles et vaccinations • nutrition et supplémentations (anémie, rachitisme, dénutrition…) • développement psychomoteur et sa pathologie • pathologie buccodentaire

La nature des infections (répétées +++) qui s'en suivent oriente vers un des trois principaux déficits immunitaires par leurs sièges et l'agent infectieux :

• le déficit de l'immunité humoral (DIH) se manifeste après le 6e mois de vie (disparition des AC maternels), essentiellement par pneumonies, otites et sinusites récurrentes à pyogènes dues à des bactéries pyogènes, souvent encapsulées, à parasitisme extracellulaire : pneumocoques, Hæmophilus, streptocoques, Pseudomonas, staphylocoques, méningocoques. Il existe aussi des infections intestinales notamment à Giardia lumblia. Ces infections aboutissent après quelques années à des

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Conseils pour préparer les Épreuves Classantes Nationales • scolarité • troubles visuels, orthopédiques, auditifs • affections congénitales, consanguinité

dilatations des bronches et des diarrhées chroniques avec syndrome de malabsorption ;

• dans le déficit de l'immunité cellulaire (DIC), le début est précoce, généralement avant le 6e mois de vie, par des infections à germes intracellulaires

Adolescent • sexualité, MST • troubles du comportement alimentaire • dépression, suicide et troubles anxieux • conduites à risque

(virus,

mycobactéries,

salmonelles,

Pneumocystis carinii, toxoplasme) entraînant surtout des pneumopathies interstitielles, des septicémies et des candidoses orales rebelles. Il existe fréquemment des manifestations allergiques et auto-immunes. Les DIC entraînent rapidement une hypotrophie ;

• le déficit de l'immunité non spécifique (DINS) (complément, phagocytose) est évoqué par la

Immunodéprimé/VIH+ • infections opportunistes (voir encadré ci-contre) • cancers (Kaposi, parfois viro induits) • iatrogénie • AEG, dénutrition • auto-immunité

survenue, dès la période néonatale, d'abcès cutanés et du système réticulo-endothélial (ganglions, foie, rate) surtout à staphylocoque et à Aspergillus. L'atteinte gingivale et stomatique est fréquente et sévère dans les neutropénies.

Patient en réanimation • infections nosocomiales • complications de décubitus • décompensation aiguë/défaillance multiviscérale • iatrogénie • mort encéphalique Maladie chronique • iatrogénie • douleur • éducation du malade • handicap • dépression • coût financier et social : absentéisme ➜ adaptation, réinsertion professionnelle • dénutrition • exacerbations aiguës ➜ traitement d’urgence à domicile 27


Le guide Estem pour réussir les ECN 2011 Tabagisme actif • cancers (poumon, VADS, bronches, œsophage, pancréas, vessie, rein, estomac…) • maladies cardiovasculaires (AVC, ACOMI, AAA, IDM, infarctus mésentérique, OACR, HTA, maladie rénovasculaire) • poumon : BPCO, emphysème, asthme, infections • appareil digestif : ulcère, RGO • interactions médicamenteuses • hypofertilité • ostéoporose • vieillissement cutané • femme enceinte : HRP, RCIU, prématurité, (FCS, GEU) Tabagisme passif • enfant : complications périnatales, prématurité, otites répétées, asthme, bronchiolite et infections respiratoires… • adulte : … Patient mourant • douleur • détresse psy et sociale • grabatisation et complications décubitus • iatrogénie • situations aiguës (agitation, hémorragies, dyspnée aiguë…) Décubitus • MTEV, désadaptation cardiovasculaire, hypoTA • escarres • dénutrition, déshydratation • complications orthopédiques : ankylose, rétractions tendineuses, amyotrophie, ostéoporose • encombrement et infections respiratoires basses • constipation, infections urinaires • ulcère de stress • lithiase Précarité • désocialisation (illettrisme, absence de suivi médical, non emploi) • conduites addictives • BK 28



Le guide Estem pour réussir les ECN 2011 • • • •

dermatoses (gale…) MST, VIH maladies mentales maladies digestives, dénutrition

Atopique (dermatite atopique, allergies alimentaire, asthme, rhinoconjonctivite allergique, choc) • retentissement socioprofessionnel (maladie chronique) • situations suraiguës ➜ kit d’urgence à domicile • adaptations alimentation : régimes, évictions • adaptation environnement (plantes, animaux, literie, hygrométrie…) • co-intoxication tabagique • surinfections en particulier virales (Kaposi-Juliusberg) MST • pathologies spécifiques : VIH, VHB, gonococcie, mycoplasme, chlamydiose, HSV, HPV, syphilis, chancre mou, donovanose, chancre mou • gale • maladies à déclaration obligatoire • infections des partenaires Femme enceinte • pathologies spécifiques : HTA gravidique, éclampsie, diabète gestationnel, RCIU, MAP, HRP, GEU, grossesse môlaire,… • non suivie • malformations, consanguinité, anomalies chroniques • grossesse gémellaire • iatrogénie • carence alimentation • précarité • infections (toxo, rubéole, listériose, strepto B, syphilis, VIH, HSV…) • intoxications (tabac, alcool…) Iatrogénie • hypoTA orthostatique : anti HTA, psychotropes • déshydratation et IRA : modifications pharmacocinétiques et néphrotoxiques (aminosides, vanco, sels de platine, AINS, IEC et hyperkaliémiants, digoxine…) • glaucome, démence, HBP : atropiniques

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Conseils pour préparer les Épreuves Classantes Nationales • asthme, insuffisance cardiaque, ACOMI : béta• dénutrition, hypoalbuminémie : défixation protéique des AVK, AINS, ADO, BZD • insuffisance respiratoire chronique : BZD, morphine, autres psychotropes, bléomycine • dysthyroïdie : amiodarone • insuffisance hépatocellulaire : anticoagulants… • PILULE

Étiologie Ne vous taper pas des listes de 3 pages. Classez les causes par grade : grade A1 (grave), grade A2 (fréquent), grade B (rare). Casiers étiologiques : gardez en tête que tout symptôme peut avoir une cause : • inflammatoire, infectieuse • tumorale (bénigne, maligne) • métabolique, nutritionnelle, hormonale • toxique • iatrogène • génétique, malformative • traumatique • psychologique • organique (organe voisin, insuffisance cardiaque, respiratoire, rénale, hépatique, thyroïdienne) • physiologique fonctionnelle

Examens complémentaires • Bio, radio, électrographie, explorations fonctionnelles. • À visée : diagnostic positif, diagnostic différentiel, diagnostic de gravité, préthérapeutique. • Modalités de réalisation, conditions nécessaires, contre-indications. • Connaître les risques et en informer le patient. • Annoncer le résultat attendu.

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Le guide Estem pour réussir les ECN 2011

Traitement Méthode HOSPITALERSK Hospitalisation ? Si oui où ? Quel transport envisager? Est-ce en urgence ? Oxygène ? Désobstruction rhinopharyngée ? Libération des voies aériennes supérieures ? Intubation ? Modes de ventilation ? Sonde ? (urinaire, nasogastrique, de monitorage de la PIC…) Prévention ? (complications de décubitus, SAT-VAT, allo-immunisation rhésus…) hIdratation, pose de VV, rééquilibration hydro-électrolytique Traitement curatif (médical, chirurgical, fonctionnel, abstention) Alimentation, régime Loi, médecine travail, mesures sociales… Education du patient (information, apprentissage des signes d’urgence et CAT, auto-adaptation des doses, port de carte, liste de médicaments interdits, autosurveillance, observance…) Repos ? Surveillance : efficacité, tolérance, observance Kiné, orthophonie, psychothérapie, cure thermale

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Conseils pour préparer les Épreuves Classantes Nationales

Maladies chroniques Il faut en comprendre l’histoire naturelle et adapter sa démarche en conséquence :

Exposition aux facteurs de risque : • génétiques • alimentaires • professionnels • toxiques • iatrogènes

consolidation

PHASE AIGUË

RÉCUPÉRATION SÉQUELLES

RÉÉDUCATION (amélioration) RESTITUTION ÉTAT évaluer les déficiences, ANTERIEUR incapacités, handicaps traitement curatif éviter la décompensation préserver le capital (trophicité des fonctions résiduelles musculaire, amplitudes articulaires) compenser les fonctions prévenir les complications perdues prévenir les précoces liées à l’alitement complications tardives

RÉADAPTATION / RÉINSERTION réévaluer les déficiences, incapacités, handicaps : déterminer IPP reconnaître handicap, démarches COTOREP, AAH, équipement domicile, retour à domicile, reclassement professionnel, aides techniques, aides humaines… maintenir le niveau d’autonomie acquis prévenir les complications tardives suivi au long cours en réseau…

La prise en charge doit être pluridisciplinaire, globale en réseau de soins, associant médecin généraliste (chef d’orchestre), kiné, médecin rééducateur, spécialistes d’organe, ergothérapeute, psychologue, nutritionniste, assistante sociale, pouvoirs publics….

La réinsertion se prévoit en termes de : • soins (institution, domicile, ambulatoire…) • profession, scolarisation (milieu normal, milieu protégé) • logement • revenus (salaire, assurance sociale : retraite, sécu, mutuelle ; responsabilité : accident du travail, tiers responsable ; solidarité : allocations)

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Le guide Estem pour réussir les ECN 2011

Posologies à connaître Antalgiques Antipyrétiques AI

Antithrombotiques Angine Asthme

BPCO RGO Vomissements

Transversalité ➥ Qu’appelle-t-on la transversalité ? Les dossiers des ECN sont plus longs avec plus d’amont et d’aval. C'est-à-dire qu’on ne considère pas un patient qu’à un instant t, mais tout au long de sa vie, avec ses facteurs de risque, les complications éventuelles, etc. La vraie transversalité c’est, par exemple, un patient de 65 ans, diabétique, avec une hypercholestérolémie, tabagique. Dans un premier temps, vous le traitez en médecine de ville. Puis, il fait une crise d’angor, aboutissant à une hospitalisation en urgence, puis en cardiologie. Traité, il sort de l’hôpital, voici venu le temps de l’éducation de ce patient. Voilà un exemple de pathologie permettant une grande transversalité sans sortir du milieu hospitalier : le myélome. Tous les items des ECN ne peuvent pas être facilement déclinés en dossiers transversaux. N’hésitez pas à demander conseil à vos enseignants. La disposition légale qui disait que pour l’internat chaque item devait être décliné dans un dossier de la banque n’existe plus. En clair, ne vous attardez pas sur des items très précis, voyez-les tous néanmoins. Le conseil scientifique du CNCI est conscient que les ECN se destinent aussi à 50 % d’étudiants, futurs médecins généralistes. Les dossiers, bien que plus longs, ne présentent pas plus de 50 items.

➥ Pathologies transversales et fréquentes Tout le M1, M3, M4, M5, M6, M11 M2 : grossesse normale, accouchement normal, principales complications, stérilitéPMA, IVG, prévention risques fœtaux, évaluation et soins du n-né à terme, maladies génétiques, allaitement, contraception M3 : développement et suivi de l’enfant bien portant, pathologie de croissance et puber-

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Conseils pour préparer les Épreuves Classantes Nationales té, addictions, précarité, maltraitance, risque suicidaire M7 : santé pub, vaccinations, angine, endocardite, fièvre aiguë, immunoD, hépatites, VIH, pneumopathies, MST, infections nosocomiales, exanthèmes, méningites, palu, patho inf des migrants, septicémie, sv prothèses, BK, voyageur, médecine du travail, nutrition M8 : réactions inflammatoires, allergies chez l’enfant et l’adulte, patho auto-immunes, LEAD-SAPL, polyarthrite, MICI, SEP, Guillain-Barré, Horton-PPR, pso, sarcoïdose, transplantation M9 : athérosclérose, fdr, HTA, IDM-angor, ACOMI-anévrisme, AVC, MTEV M10 : cancéro générale (épidémio, diagnostic, traitement, physiopath), généralités sur K enfant, K les + fréquents (sein, prostate, poumon, colo rectal, utérus, peau, ?sophage), leucémies, myélome Maladies et grands syndromes : appendicite, anémie par carence martiale, asthme, BPCO, cirrhose, colopathie fonctionnelle, acné, diabète, épilepsie, ACFA, fractures de l’EIR-ESF, hémorragie méningée, HBP, insuffisances cardiaque, respiratoire, rénale et surrénale, lésions ligamentaires du genou et de la cheville, patho lithiasique, migraine, obésité, pancréatites, pneumothorax, RGO, sv malade sous plâtre, trouble de réfraction, ulcère gastroduodénal

Ultimes conseils ➥ Relire le programme Les mois juste avant l’examen, la pression est souvent forte, les coups de stress sont fréquents, mais il faut résister !!!…et continuer à travailler ! Alors voici quelques conseils pour les derniers mois ! – Deux à trois mois avant le jour J, prenez le temps de relire en entier la liste des items au programme. Vous allez vous rendre compte (normalement…) que vous connaissez une bonne partie du programme et même plein de trucs hors programme (traitements, posologies, etc.)… mais le plus important, c’est de cibler les items qui ont été survolés. – Vous en profitez aussi pour vous faire une liste d’une vingtaine d’items du genre « les questions incontournables » ! Ce sont les pathologies qu’il faut connaître à fond, soit parce qu’elles sont courantes ou graves, soit parce qu’il s’agit de classiques de l’internat… et comme ça, à quatre semaines des ECN, quand vous serez stressé, flippé, en dépression grave et que vous ne saurez pas où donner de la tête dans vos révisions, vous pourrez vous concentrer sur les items de cette fameuse liste. 35


Le guide Estem pour réussir les ECN 2011

➥ Check-list du « dernier tour » Allez, un autre truc encore. Pour le « dernier tour » n’hésitez pas à vous faire une petite « check-list du dernier tour ». Ça vous assure de ne rien oublier dans vos ultimes révisions (du genre : « Meeeerde ! j’ai zappé l’ophtalmo ! » à deux semaines des ECN, bonjour le stress !), ça permet de mieux gérer le temps qui reste et puis ça rassure quand on voit qu’on avance bien. D’ailleurs, pas la peine de vous faire un programme de timbré, (« je vais revoir en 3 semaines, tout le programme, plus toutes les conf de D3 et D4 et refaire trois fois les dossiers des bouquins… »), parce que pour le coup vous n’allez pas sortir rassuré… Alors, qu’est ce qu’il faut revoir les deux à trois derniers mois ? Tout le cours ? Impossible, vous n’aurez pas le temps. Rappelez-vous que vous devez passer la majeure partie de votre journée à faire des cas cliniques !! Le mieux donc, c’est de prévoir de relire toutes ses conf de D4 et de « tour de printemps ». C’est vraiment super efficace car généralement, on voit en conf les trucs les plus importants. Ensuite, c’est quand même pas mal de pouvoir jeter un coup d’œil sur ses concours blancs. Et puis il reste encore les annales : à faire ou à refaire. S’il s’agit de les refaire, en rester aux cinq dernières années suffit. Enfin dernier truc : les questions incontournables et les questions que vous avez survolées… Dernier conseil, n’oubliez pas de questions : c’est vraiment le truc qui donne envie de se prendre les fesses avec les dents quand on s’en rend compte après coup. Et n’oubliez pas non plus des parties de questions (du genre : « quelles sont vos hypothèses, avec les arguments pour et contre, et quelle est la plus probable ? »).

➥ Annales Faut-il en faire ? OUI ! Sans aucun doute ! Bien évidemment, il faut s’imprégner des dernières années, car les ECN de 2011 seront à 99 % dans la même veine. Mais il ne faut pas négliger les annales des années passées. Certains vous diront qu’il s’agit d’une perte de temps ; nous pensons qu’ils se trompent. En effet, même si le type de questions a changé, que le type des énoncés aussi, que les réponses attendues ne sont plus les mêmes, les thèmes abordés eux, sont souvent identiques. Par exemple, en 2005, le dossier de Pédiatrie était déjà tombé deux fois auparavant (en tout cas, un dossier similaire de retard staturo-pondéral). L’insuffisance surrénale est aussi un classique… C’est toujours plus rassurant de se trouver face à un dossier qu’on a déjà rencontré une fois !

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Conseils pour préparer les Épreuves Classantes Nationales Par contre c’est pas la peine de toucher aux QCM : aucun intérêt, et en plus c’est vachement dur !! Pas la peine non plus de remonter aux annales 1930-1931 où le traitement de la tuberculose était le pneumothorax, et celui du cancer était le cierge à la messe. Disons que les 8-10 dernières années suffisent (Nord et Sud). Vous allez voir le nombre de sujets qui retombent (myélome, BK, paralysie faciale, insuffisance surrénale, etc.).

Conclusion Ca y est, vous êtes fin prêt ! Alors n’oubliez pas : – vous êtes LE MEILLEUR ! ; – l’internat c’est FACILE ! ; – vous savez TOUT ; – vous allez RÉUSSIR, c’est sûr ! ; – RIEN ne peut vous arrêter ! ; – et surtout : FORCE ET HONNEUR. Allez, et maintenant : ACTION !!

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Infos pratiques Bureaux et syndicats des internes Amiens

Dijon

Association des internes : Bibliothèque de l’internat, Hôpital Nord, place V.-Pauchet, 80054 Amiens Cedex 1. Tél. : 03 22 66 81 42 / 87 84. E-mail : internat.nord@chu-amiens.fr

Association autonome des internes en médecine des hôpitaux : Hôpital du Bocage, 2, bd du Mal de Lattre-de-Tassigny, 21000 Dijon. Tél. : 03 80 29 30 31.

Angers

Grenoble

AIAIMPHA : 4, rue de Larrey, 49033 Angers Association des internes en médecine des Cedex. Tél. : 02 41 35 38 53. hôpitaux : Internat CHRU, BP 217, 38043 Grenoble Cedex. Tél. : 04 76 76 51 93. Besançon Association des internes et chefs du CHU : E-mail : mascarpitta@chu-grenoble.fr Hôpital Jean Minjoz, 3, bd Alexander- Flemming, Lille 25000 Besançon. Tél. : 03 81 66 88 60. AIEHL : Hôpital Claude Huriez, 1, place de Verdun, 59037 Lille Cedex. Tél. : 03 20 44 43 16. Bordeaux Association des internes des hôpitaux : 14, rue E-mail : aiehl@nordnet.fr Eugène-Jacquet, 33000 Bordeaux. Tél. : 05 56 96 01 96. E-mail : internat-de-bordeaux@wanadoo.fr

Limoges

Association des internes du bureau de l’internat : CHU de Caen, avenue de la Côte de Nacre, 14033 Caen Cedex. Tél. : 02 31 53 93 12. E-mail : internatdecaen@wanadoo.fr

Marseille

Association professionnelle des internes : Internat, 2, avenue Martin-Luther-King, 87042 Limoges Cedex. Brest Syndicat des internes : Hôpital de la Cavale Tél. : 05 55 05 61 23. blanche, boulevard Tanguy-Pringent, 29609 Lyon Brest Cedex. Tél. : 02 98 49 21 18. Association des internes des hôpitaux : 1, place E-mail : sissb@hotmail.fr de l'Hôpital, 69288 Lyon Cedex 02. Tél. : 04 78 37 38 91. Caen

Clermont-Ferrand Syndicat autonome des internes des hôpitaux : Internat de Clermont-Ferrand, 2, bd WinstonChurchill, 63000 Clermont-Ferrand. Tél. : 04 73 27 00 58. E-mail : saiehcf@wanadoo.fr

Associations des internes et anciens internes des hôpitaux : Bureau de l’internat, parc de l'hôpital Salvator, 249, bd Sainte-Marguerite, 13009 Marseille. Tél. : 04 91 75 15 52.

Montpellier Association des internes des hôpitaux de Montpellier-Nîmes : Internat hôpital Lapeyronie, 371, avenue du Doyen-Gaston-Giraud, 34295 Montpellier Cedex 5. Tél. : 04 67 33 83 10. E-mail : internat.Montpellier@wanadoo.fr

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Le guide Estem pour réussir les ECN 2011 Nancy

Rennes

APIHNS : Hôpital central, Bureau de l’internat, 29 avenue du Mal de Lattre-de-Tassigny, 54000 Nancy. Tél. : 03 83 85 17 68. E-mail : apihns@chu-nancy.fr

Syndicat autonome des internes en médecine : Internat de Pontchaillou, 2, rue Henri-Le Guillou, 35033 Rennes Cedex 9. Tél. : 02 99 28 43 21. E-mail : saimrenn@club-internet.fr

Nantes

Rouen

Syndicat des internes en médecine des hôpitaux : CHU Hôtel-Dieu, Internat, 11, rue Gaston-Veil, 44093 Nantes Cedex 1. Tél. : 02 40 08 45 57. E-mail : bureau@internat-nantes.com

Association ORPHEON : Internat Le Colombier, Hôpital Charles Nicolle, 1, rue de Germont, 76031 Rouen Cedex. Tél. : 02 32 88 89 90. E-mail : internatderouen@free.fr

Nice Internat des hôpitaux de Nice : Hôpital Pasteur, 30, avenue de la Voie-Romaine, BP 69, 06002 Nice Cedex 1. Tél. : 04 92 03 82 47. E-mail : info@internat-de-nice.org

Paris Syndicat des internes des hôpitaux de Paris : 17, rue du Fer à Moulin, 75005 Paris. Tél. : 01 45 87 28 39 et 01 46 69 14 10. E-mail : sihp@sihp.fr

Poitiers

Saint-Étienne Syndicat des internes des hôpitaux Bibliothèque de l’internat, Hôpital Bellevue, boulevard Pasteur, 42100 Saint-Étienne. Tél. : 04 77 12 76 12.

:

Strasbourg Syndicat autonome des internes des hospices civils : Hôpital civil, Mess des internes, 1, place de l’Hôtel-de-Ville, 67000 Strasbourg. Tél. : 03 88 11 60 70.

Syndicat des internes en médecine : Toulouse CHU internat Jacques-Aubert, rue de la Milétrie, Association des internes et anciens internes des BP 577, 86021 Poitiers Cedex. hôpitaux : Internat, CHU Purpan, 1, place du Tél. : 05 49 44 40 73. Docteur-Baylac, 31059 Toulouse Cedex. Tél. : 05 61 77 74 78. Reims Comité des internes de Reims-Champagne : E-mail : internat.med@chu-toulouse.fr Bureau de l’internat, CHU Robert Debré, 45-47, Tours rue Cognac-Jay, 51100 Reims. Syndicat des internes en médecine des hôpitaux : Tél. : 03 26 78 72 03. Internat, Hôpital Bretonneau, 2, bd Tonnelé, 37044 Tours Cedex. Tél. : 02 47 47 47 47 (standard).

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Infos pratiques

Coordonnées des DRASS Alsace

Ile-de-France

Cité administrative, 14, rue du Maréchal-Juin, 58-62, rue de la Mouzaïa, 75935 Paris Cedex 67084 Strasbourg Cedex. 19. Tél. : 01 44 84 22 22 et 01 44 84 24 30. Tél. : 03 88 76 76 81. Télécopie : 01 42 06 81 10. Télécopie : 03 88 76 77 05. Languedoc-Roussillon

Aquitaine

615, boulevard d'Antigone, angle avenue JeanCité administrative, 2, rue Jules-Ferry, BP 962, Mermoz, 34064 Montpellier Cedex. 33063 Bordeaux Cedex. Tél. : 05 56 24 80 80. Tél. : 04 67 22 89 00.

Auvergne

Limousin

Cité administrative d'Assas, bât. P, rue Pélissier, 24, rue Donzelot, 87037 Limoges Cedex. 63034 Clermont-Ferrand Cedex 01. Tél. : 05 55 45 80 80. Tél. : 04 73 60 90 00. Télécopie : 05 55 45 80 50. Télécopie : 04 73 90 16 05. Lorraine

Bourgogne

Immeuble Les Thiers, 4, rue Piroux, 54036 11, rue de l'hôpita, BP 1535, 21035 Dijon Nancy Cedex. Tél. : 03 83 39 29 29. Cedex. Tél. : 03 80 44 30 00. Télécopie : 03 83 39 29 44. Télécopie : 03 80 44 30 09. Midi-Pyrénées

Bretagne

71 bis, allée Jean-Jaurès, 31050 Toulouse Les 3 Soleils, 20, rue d'Isly, 35042 Rennes Cedex. Tél. : 05 61 29 30 00. Cedex. Tél. : 02 99 35 29 00. Télécopie : 05 61 29 30 03.

Centre

Nord - Pas-de-Calais

Immeuble Le Magellan, 25, boulevard Jean- 143, rue Jacquemars-Giélée, BP 2039, 59014 Jaurès, 45044 Orléans Cedex 1. Lille Cedex. Tél. : 03 20 62 66 00. Tél. : 02 38 77 47 00. Basse-Normandie Télécopie : 02 38 54 46 03 La Folie Couvrechef, 27, rue des Compagnons, Champagne-Ardenne 14050 Caen. 7, boulevard Kennedy, quartier Verbeau, 51037 Tél. : 02 31 46 54 54. Chalons-en-Champagne Cedex. Haute-Normandie Tél. : 03 26 66 78 78. Immeuble Le Mail, 31, rue Malouet, BP 2061, Télécopie : 03 26 65 57 46 76040 Rouen Cedex.

Corse

Tél. : 02 32 18 32 18. 1, rue Colomba, BP 821, 20192 Ajaccio Cedex 4. Télécopie : 02 35 62 53 18. Tél. : 04 95 50 91 11. Pays de la Loire Franche-Comté Maison de l'administration nouvelle, 7, rue 16, rue des Villas, BP 219, 25015 Besançon Viviani, Ile Beaulieu, 44062 Nantes Cedex. Cedex. Tél. : 03 81 47 88 00. Tél. : 02 40 12 80 00

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Le guide Estem pour réussir les ECN 2011 Picardie

DIRSS d'Antilles-Guyane

52, rue Daire, 80037 Amiens Cedex. Tél. : 03 22 82 30 00. Télécopie : 03 22 82 30 01.

Centre Delarès, Hauts de Dillion, BP 656, 97263 Fort-de-France Cedex. Tél. : 05 96 59 01 41. Télécopie : 05 96 60 97 96.

Poitou-Charentes 28, rue Gay-Lussac, 86020 Poitiers Cedex. Tél. : 05 49 42 30 00

Provence-Alpes-Côte d’Azur 23-25, rue Borde, 13285 Marseille Cedex. Tél. : 04 91 29 99 99.

DRASS - DDSS de la Réunion 2 bis, av. Georges-Brassens, BP 9, 97408 Saint Denis Messag Cedex 9. Tél. : 0 262 48 60 60.

Rhône-Alpes

Direction de la solidarité et de la santé de Corse et de la Corse-du-Sud

107, rue Servient, 69418 Lyon Cedex 03. Tél. : 04 72 34 31 32. Télécopie : 04 78 62 85 41.

BP 413, 20305 Ajaccio Cedex 1. Tél. : 04 95 50 91 11 ou 04 95 51 40 40. Télécopie : 04 95 51 29 89 ou 04 95 21 16 45.

Adresses utiles – – – – – – – – – – –

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CNCI : 45, rue des Saints-Pères, 75270 Paris Cedex 06. Tél. : 01 44 50 26 76. Télécopie : 01 44 50 26 70. Site : www.cnci.univ-paris5.fr Ministère de la santé et des affaires sociales : DHOS, Bureau des concours, 8, avenue de Ségur, 75350 Paris 07. Tél : 01 40 56 43 48. Site : www.cnci.univ-paris5.fr Assistance publique-Hôpitaux de Paris : 3, avenue Victoria, 75100 Paris RP. Tél. : 01 42 77 11 22. Ordre des médecins : 14, rue Euler, 75008 Paris. Tél. : 01 47 20 66 32. CROUS : 39, avenue Georges-Bernanos, 75005 Paris. Tél. : 01 43 29 12 43 Comité de l'internat (DES) : 17, rue du Fer à Moulin, 75005 Paris. Tél. : 01 43 37 97 14 07 67 et 01 45 87 28 39. ISNIH : site : www.isnih.org SIHP (DES) : 85, rue de Picpus, 75012 Paris. Tél. : 01 43 07 35 07. Site : www.sihp.fr MACSF : 10, cours du Triangle de l’Arche, TSA 40100, 92919 La Défense Cedex. Tél. : 01 40 46 72 57. Site : www.macsf.fr Sou médical : 37, rue de Bellefond, 75009 Paris. Tél. : 01 45 96 33 33. Site : www.lesoumedical.fr Médicale de France : 27, avenue Claude-Vellefaux, 75010 Paris. Tél. : 01 40 03 10 10. Site : www.medicaledefrance.com


Infos pratiques – – – – – – – – –

SMEREP : 28, rue Fortuny, 75017 Paris. Tél : 01 44 01 45 40. Site : www.smerep.fr LMDE : 37, bd Saint-Michel, 75005 Paris. Tél. : 01 46 64 18 18. Site : www.lmde.com EMIS : 27, rue de Chaligny, 75012 Paris. Tél. : 01 43 41 97 33. Site : emis.medistrophe.com ASPIC : 243, rue Diderot, 94300 Vincennes. Tél. : 01 43 73 13 38 et 06 09 25 19 94. E-mail : medi.mcr@wanadoo.fr Conférence +++ : place de la Bastille, 1 rue St-Antoine, 75004 Paris Tél. : 01 42 49 01 65. Site : www.conf-plus.com Réflexe-Élite : éditions Medline, 12, rue du Texel, 75014 Paris. Khalifa : éditions Grégo-Vernazobres, boulevard de l’Hôpital, 75013 Paris. Hermès : site : www.hermès.com Estem : 2 ter, rue des Chantiers, 75005 Paris. Tél. : 01 72 36 41 75. Site : www.estem.fr

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Liste des abréviations autorisées CNCI-Conseil Scientifique • CPK-BB : créatine phosphokinase iso enzyme BB • CPK-MB : créatine phosphokinase iso enzyme MB • CPK-MM : créatine phosphokinase iso enzyme MM • CRH : corticotropin releasing hormone (hormone de libération de l'hormone corticotrope) • CRP : C reactive protein (protéine C réactive)

A • ACE : antigène carcino-embryonnaire • ACTH : adrenocorticotropic hormone (corticotrophine, hormone corticotrope hypophysaire) • ADH : antidiuretic hormone (hormone antidiurétique, vasopressine) • ADN : acide désoxyribonucléique • AINS : anti inflammatoire non stéroidien • ALAT : alanine amino transferase (TGP) • ALD : affection de longue durée • AMM : autorisation de mise sur le marché • AMPc : AMP cyclique • ANCA : antineutrophyloc cytoplasmic antibody (anticorps anti cytoplasme des polynucléaires) • APGAR : american pediatric groos assessment record • APUD : amine precursor uptake and decarboxylation (groupe de cellules captant et décarboxylant des précurseurs d'amines) • ARN : acide ribonucléique • ARNm : ARN messager • ASA : classification du risque opératoire de l'american society of anesthesiologist • ASAT : aspartate amino transférase (TGO) • ASLO : antistreptolysine O • ATP : adénosine triphosphate • AVC : accident vasculaire cérébral • aVf, aVL, aVr : dérivations électrographiques unipolaires • AVK : anti-vitamine K

D • DCI : dénomination commune internationale • DHEA : déhydroépiandrostérone • DOPA : dihydroxyphénylalanine

E • EBNA : Epstein-Barr nuclear antigen • EBV : Epstein-Barr virus • ECBU : examen cytobactériologique des urines • ECG : électrocardiogramme • ECHO virus : enteric cytopathogenic human orphan virus • EEG : électroencéphalogramme • EFR : épreuve fonctionnelle respiratoire • ELISA : enzyme-linked immunosorbent assay • EMG : électromyographie

F • FiO2 : fraction inspirée d'oxygène • FSH : follicle stimulating hormone (hormone folliculostimulante)

G

B

• • • •

gamma-GT : gamma-glutamyl transférase GB : globule blanc GH : growth hormone (hormone somatotrope) GH-RH : GH-releasing hormone (hormone activatrice de l'hormone de croissance) • GR : globule rouge • GVH : graft versus host (réaction du greffon contre l'hôte)

• BCG : bacille de Calmette et Guérin • BK : bacille de Koch • BPCO : broncho pneumopathie chronique obstructive

C • CCMH : concentration corpusculaire moyenne en hémoglobine • CEC : circulation extra corporelle • CGMH : concentration globulaire moyenne en hémoglobine • CIVD : coagulation intra-vasculaire disséminée • CK : créatine kinase • CMV : cytomégalovirus • CO : monoxyde de carbone • CO2 : dioxyde de carbone • CPK : créatine phosphokinase

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H • • • • •

Hb : hémoglobine HbA1C : hémoglobine glyquée HbO2 : oxyhémoglobine HBPM : héparine de bas poids moléculaire HCG : human chorionic gonadotrophin (gonadotrophine chorionique) • HDL : high density lipoproteins (lipoprotéines de haute densité)


• HELLP : hemolysis + elevated liver enzymes + low platelets • HLA : human leucocyte antigen (antigène d'histocompatibilité) • HPV : human papillomavirus • HTLV : human T cell leukemia/lymphoma virus (virus humain T lymphotropique)

Q • • • •

R • RAST : radio allergo sorbent test (dosage radio immunologique des IgE spécifiques d’un allergène) • Rh : rhésus • RMN : résonance magnétique nucléaire

I • • • • • • • •

IDR : intradermoréaction IEC : inhibiteur de l'enzyme de conversion Ig : immunoglobulines IGF : insulin-like growth factor (somatomédine) IMAO : inhibiteur de la mono amine oxydase INR : international normalized ratio IRM : imagerie par résonance magnétique (exit: ITT : incapacité temporaire totale)(ambiguïté=>supprimée le 17/3/2005) • IV : intraveineuse

S • SIDA : syndrome d'immunodéficience acquise • SRAS : syndrome respiratoire aigu sévère

T • • • • •

L • LCR : liquide céphalorachidien • LDH : lactate déshydrogénsae • LDL : low density lipoprotein (lipoprotéine de faible densité) • LH : luteinizing hormone (hormone lutéinisante) • LHRH : luteinizing hormone releasing hormone (gonadolibérine)

• • • • • •

M • MALT : mucous associated lymphoid tissue (tissu lymphoïde associé aux muqueuses) • MNI : mononucléose infectieuse • MST : maladie sexuellement transmissible

• •

N • NFS : numération formule sanguine • NK : natural killer (lymphocyte)

O • OAP : œdème aigu du poumon • OMS : organisation mondiale de la santé • ORL : oto-rhino-laryngologie

P • PAN : périartérite noueuse • PaO2 : pression artérielle partielle en oxygène • PaCO2 : pression artérielle partielle en dioxyde de carbone • PCR : polymerase chain-reaction • PDF : produits de dégradation de la fibrine • PDGF : platelet-derived growth factor (facteur de croissance des plaquettes) • PMI : protection maternelle et infantile • PNB : polynucléaires basophiles • PNE : polynucléaires éosinophiles • PNN : polynucléaires neutrophiles • PSA : prostatic specific antigen

QI : quotient intellectuel QRS : complexe QRS QSP : quantité suffisante pour QT : segment QT

T3 : triiodothyronine T4 : thyroxine, tétraiodothyronine TCA : temps de céphaline activée TCK : temps de céphaline kaolin TCMH : teneur corpusculaire moyenne en hémoglobine TDM : tomodensitométrie TEP : tomographie par émission de positon TGMH : teneur globulaire moyenne en hémoglobine TGO : transaminase glutamo oxaloacétique TGP : transaminase glutamo pyruvique TNM : classification tumor nodes metastasis (tumeur primitive, adénopathies régionales, métastases) TP : taux de prothrombine TPHA : treponema pallidum haemagglutination assay TRH : thyrotropin releasing hormone (protiréline) TSH : thyroïd stimulating hormone (thyréostimuline)

U • UI : unité internationale • UIV : urographie intraveineuse

V • VDRL : veneral disease research laboratory (réaction d'agglutination syphilitique) • VEMS : volume expiratoire maximum par seconde • VGM : volume globulaire moyen • VIH : virus de l'immunodéficience humaine (HIV, virus du SIDA) • VLDL : very low density lipoproteins (lipoprotéines de très faible densité) • VS : vitesse de sédimentation


Programme du 2e cycle et ECN Les définitions suivantes ont été établies afin de simplifier la rédaction des objectifs pédagogiques du 2e cycle et d’harmoniser ces objectifs avec les modalités de l’examen d’entrée en 3e cycle (BO du 7 juin 2007) : – diagnostiquer : • analyser et hiérarchiser les données cliniques ; formuler les problèmes posés par le patient ; • argumenter les principales hypothèses diagnostiques ; • justifier la démarche diagnostique et la stratégie d’investigation en expliquant la contribution attendue des examens complémentaires sélectionnés, en les expliquant au patient et en discutant l’interprétation de leurs résultats ; • expliquer les principaux mécanismes physiopathologiques qui rendent compte des signes cliniques et paracliniques ; • discuter les principaux diagnostics étiologiques et différentiels en tenant compte des données épidémiologiques essentielles et des co-facteurs de morbidité ; – identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge : • identifier les signes de gravité imposant des décisions thérapeutiques immédiates ; • décrire les mesures à mettre en œuvre : gestes et manœuvres éventuels, mesures de surveillance immédiate, orientation du patient, médicaments avec leur posologie (lorsque cela est précisé par la lettre P dans le texte) ; – argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient : • expliquer l’histoire naturelle, les complications et les facteurs de pronostic ; • justifier le choix d’une stratégie thérapeutique en fonction des objectifs poursuivis, des modes d’action des thérapeutiques, de leurs bénéfices démontrés et de leurs risques éventuels, et les expliciter au patient ; • décrire les modalités de la surveillance de la maladie et du traitement et préciser les informations essentielles à donner au patient y compris en termes de retentissement socioprofessionnel et psychologique ; • expliquer, le cas échéant, les modalités de la prévention primaire et secondaire, individuelle et collective ; • rédiger avec précision dans les situations fréquentes une ordonnance incluant posologie (lorsque cela est précisé par la lettre P dans le texte), durée et surveillance du traitement ; – décrire les principes de la prise en charge au long cours : expliquer le pronostic à long terme et décrire les principes de la prise en charge au long cours dans des situations de maladies chroniques, d’invalidité et d’altérations fonctionnelles durables y compris les aspects ayant trait à la démarche éducative et à la réinsertion du patient.

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Programme du 2e cycle et ECN

Première partie : 11 modules transdisciplinaires ➥ Module 1. Apprentissage de l’exercice médical N° 1. La relation médecin/malade. L’annonce d’une maladie grave. La formation du patient atteint de maladie chronique. La personnalisation de la prise en charge médicale. – Expliquer les bases de la communication avec le malade. – Établir avec le patient une relation empathique, dans le respect de sa personnalité et de ses désirs. – Se comporter de façon appropriée lors de l’annonce d’un diagnostic de maladie grave, d’un handicap ou d’un décès. – Élaborer un projet pédagogique individualisé pour l’éducation d’un malade porteur d’une maladie chronique en tenant compte de sa culture, de ses croyances. N° 2. La méthodologie de la recherche clinique. Analyser et argumenter les grands types d’études cliniques. N° 3. Le raisonnement et la décision en médecine. La médecine fondée sur des preuves. L’aléa thérapeutique. – Analyser les bases du raisonnement et de la décision en médecine. – Intégrer la notion de niveau de preuve dans son raisonnement et dans sa décision. – Expliquer au patient en termes compréhensibles les bénéfices attendus d’un traitement, les effets indésirables et les risques. N° 4. Évaluation des examens complémentaires dans la démarche médicale : prescriptions utiles et inutiles. – Argumenter l’apport diagnostique d’un examen complémentaire, ses risques et son coût. – Faire l’analyse critique d’un compte-rendu d’examen. – Prendre en compte les référentiels médicaux. – Rédiger une demande d’examen complémentaire et établir une collaboration avec un collègue. N° 5. Indications et stratégies d’utilisation des principaux examens d’imagerie. – Argumenter et hiérarchiser l’apport des principales techniques d’imagerie. – En évaluer le bénéfice, le risque et le coût. N°6. Le dossier médical. L’information du malade. Le secret médical. – Créer un dossier médical répondant aux recommandations des bonnes pratiques et savoir transmettre à un confrère une information adéquate. – Expliquer les droits à l’information et au secret médical du patient. – Délivrer aux patients une information claire et compréhensible. – Préciser la notion de consentement éclairé et sa formalisation.

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Le guide Estem pour réussir les ECN 2011 N° 7. Éthique et déontologie médicale : droits du malade ; problèmes liés au diagnostic, au respect de la personne et à la mort. – Expliquer les principes de la déontologie médicale. – Expliquer les principes d’une réflexion éthique dans les décisions difficiles. N° 8. Certificats médicaux. Décès et législation. Prélèvements d’organes et législation. – Préciser les règles générales d’établissement des certificats médicaux et leurs conséquences médico-légales. – Préciser les principes de la législation concernant le décès et l’inhumation. – Préciser les principes de la législation concernant les prélèvements d’organes. N° 9. Hospitalisation à la demande d’un tiers et hospitalisation d’office. Argumenter les indications, les modalités d’application et les conséquences de ces procédures. N° 10. Responsabilités médicales pénale, civile, administrative et disciplinaire. Différencier les types de responsabilité liés à la pratique médicale. N° 11. Principes d’une démarche d’assurance qualité et évaluation des pratiques professionnelles. Argumenter les principes d’une démarche d’assurance qualité et de l’évaluation des pratiques professionnelles. N° 12. Recherche documentaire et autoformation. Lecture critique d’un article médical. Recommandations pour la pratique. Les maladies orphelines. – Effectuer une recherche documentaire adaptée y compris sur les maladies orphelines. – Effectuer la lecture critique d’un document ou d’un article médical. – Argumenter les règles d’élaboration des recommandations et des conférences de consensus. N° – – – –

13. Organisation des systèmes de soins. Filières et réseaux. Expliquer les principes de l’organisation des soins en France, en Europe et aux États-Unis. Expliquer les principes et finalités des filières et réseaux de soins. Aborder les spécificités des maladies rares dans ce domaine. Expliquer les grandes lignes du système conventionnel français.

N° 14. Protection sociale. Consommation médicale et économie de la santé. – Expliquer l’organisation de la protection sociale en France. – Préciser les principaux indicateurs de consommation et de coût de la santé en France.

➥ Module 2. De la conception à la naissance N° 15. Examen prénuptial. Préciser les dispositions réglementaires et les objectifs de l’examen prénuptial. N° – – –

16. Grossesse normale. Besoins nutritionnels d’une femme enceinte. Diagnostiquer une grossesse et connaître les modifications physiologiques l’accompagnant. Énoncer les règles du suivi (clinique, biologique, échographique) d’une grossesse normale. Déterminer lors de la première consultation prénatale les facteurs de risque de complications durant la grossesse qui entraînent une prise en charge spécialisée. – Expliquer les particularités des besoins nutritionnels d’une femme enceinte.

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Le guide Estem pour réussir les ECN 2011 N° 17. Principales complications de la grossesse. – Diagnostiquer et connaître les principes de prévention et de prise en charge des principales complications de la grossesse : • hémorragie génitale ; • HTA gravidique ; • prééclampsie ; • menace d’accouchement prématuré ; • diabète gestationnel. – Argumenter les procédures diagnostiques et thérapeutiques devant une fièvre durant la grossesse. N° 18. Grossesse extra-utérine. – Diagnostiquer une grossesse extra-utérine. – Identifier les situations d’urgences et planifier leur prise en charge. N° 19. Troubles psychiques de la grossesse et du post-partum. – Dépister les facteurs de risque prédisposant à un trouble psychique de la grossesse ou du post-partum. – Reconnaître les signes précoces d’un trouble psychique en période anténatale et postnatale. N° 20. Prévention des risques fœtaux : infection, médicaments, toxiques, irradiation. – Expliquer les éléments de prévention vis-à-vis des infections à risque fœtal. – Préciser les particularités de la pharmacocinétique des médicaments chez la femme enceinte et les risques des médicaments durant la grossesse. – Donner une information sur les risques liés au tabagisme, à l’alcool, à la prise de médicaments ou de drogues, à l’irradiation maternelle pour la mère et le fœtus. N° 21. Prématurité et retard de croissance intra-utérin : facteurs de risque et prévention. Expliquer les principaux facteurs de risque et les éléments de prévention de la prématurité et du retard de croissance intra-utérin. N° – – –

22. Accouchement, délivrance et suites de couches normales. Expliquer les différentes phases du travail et de l’accouchement. Argumenter la conduite à tenir devant un accouchement inopiné à domicile. Argumenter la prise en charge d’une accouchée durant la période du post-partum.

N° – – – –

23. Évaluation et soins du nouveau-né à terme. Réaliser un examen complet du nouveau-né à terme. Reconnaître les situations nécessitant une prise en charge spécialisée. Promouvoir la qualité des premiers liens affectifs parents/enfant. Expliquer aux parents les bases de la puériculture.

N° 24. Allaitement et complications. – Expliquer les modalités et argumenter les bénéfices de l’allaitement maternel. – Préciser les complications éventuelles et leur prévention. N° 25. Suites de couches pathologiques : pathologie maternelle dans les 40 jours. Diagnostiquer les principales complications maternelles des suites de couche : complications hémorragiques, infectieuses, thrombo-emboliques.

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Programme du 2e cycle et ECN N° 26. Anomalies du cycle menstruel. Métrorragies. – Diagnostiquer une aménorrhée, une ménorragie, une métrorragie. – Reconnaître et traiter un syndrome prémenstruel. N° – – –

27. Contraception. Prescrire et expliquer une contraception. Discuter les diverses possibilités de prise en charge d’une grossesse non désirée. Discuter les indications de la stérilisation masculine et féminine.

N° – – –

28. Interruption volontaire de grossesse. Préciser les modalités réglementaires. Argumenter les principes des techniques proposées. Préciser les complications et les répercussions de l’interruption volontaire de grossesse.

N° 29. Stérilité du couple : conduite de la première consultation. Argumenter la démarche médicale et les examens complémentaires de première intention nécessaires au diagnostic et à la recherche étiologique. N°30. Assistance médicale à la procréation : principaux aspects biologiques, médicaux et éthiques. Argumenter la démarche médicale et expliquer les principes de l’assistance médicale à la procréation. N° 31. Problèmes posés par les maladies génétiques à propos : d’une maladie chromosomique : la trisomie 21 ; d’une maladie génique : la mucoviscidose ; d’une maladie d’instabilité : le syndrome de l’X fragile. – Expliquer les bases du conseil génétique, et les possibilités de diagnostic anténatal. – Expliquer les problèmes liés à la maladie et les retentissements de l’arrivée d’un enfant souffrant de maladie génétique sur le couple et la famille. – Diagnostiquer la trisomie 21, en connaître l’évolution naturelle et les principales complications.

➥ Module 3. Maturation et vulnérabilité N° 32. Développement psychomoteur du nourrisson et de l’enfant : aspects normaux et pathologiques (sommeil, alimentation, contrôles sphinctériens, psychomotricité, langage, intelligence). L’installation précoce de la relation mère/enfant et son importance. Troubles de l’apprentissage. – Diagnostiquer une anomalie du développement somatique, psychomoteur, intellectuel et affectif. – Repérer précocement les dysfonctionnements relationnels et les troubles de l’apprentissage. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi dans les situations courantes. N° 33. Suivi d’un nourrisson, d’un enfant et d’un adolescent normal. Dépistage des anomalies orthopédiques, des troubles visuels et auditifs. Examens de santé obligatoires. Médecine scolaire. Mortalité et morbidité infantile. – Assurer le suivi d’un nourrisson, d’un enfant et d’un adolescent normaux. – Argumenter les modalités de dépistage et de prévention des troubles de la vue et de l’ouïe. – Argumenter les modalités de dépistage et de prévention des principales anomalies orthopédiques.

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Le guide Estem pour réussir les ECN 2011 N° 34. Alimentation et besoins nutritionnels du nourrisson et de l’enfant. Expliquer les besoins nutritionnels du nourrisson et de l’enfant. N° 35. Développement buccodentaire et anomalies. Dépister les anomalies du développement maxillo-facial et prévenir les maladies bucco-dentaires fréquentes de l’enfant. N° 36. Retard de croissance staturo-pondérale. Diagnostiquer un retard de croissance staturo-pondérale. N° 37. Maltraitance et enfants en danger. Protection maternelle et infantile. – Repérer un risque ou une situation de maltraitance chez le nourrisson, l’enfant et l’adolescent. – Argumenter la démarche médicale et administrative nécessaire à la protection de la mère et de l’enfant. N° 38. Puberté normale et pathologique. – Expliquer les étapes du développement pubertaire normal, physique et psychologique. – Dépister une avance ou un retard pubertaire. N° 39. Troubles du comportement de l’adolescent. – Expliquer les caractéristiques comportementales et psychosociales de l’adolescent normal. – Identifier les troubles du comportement de l’adolescent et connaître les principes de la prévention et de la prise en charge. N° – – –

40. Sexualité normale et ses troubles. Identifier les principaux troubles de la sexualité. Dépister une affection organique en présence d’un trouble sexuel. Savoir aborder la question de la sexualité au cours d’une consultation.

N° 41. Troubles anxieux, troubles phobiques, troubles obsessionnels compulsifs, troubles conversifs, état de stress post-traumatique et troubles de l’adaptation. – Diagnostiquer des manifestations d’anxiété et/ou des troubles phobiques, troubles obsessionnels compulsifs, troubles conversifs, état de stress post-traumatique et troubles de l’adaptation chez l’enfant, chez l’adolescent et chez l’adulte, et apprécier leur retentissement sur la vie du sujet. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° – – –

42. Troubles du comportement alimentaire de l’enfant et de l’adulte. Expliquer les principales modalités d’une hygiène alimentaire correcte. Diagnostiquer une anorexie mentale et une boulimie. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.

N° 43. Troubles du sommeil de l’enfant et de l’adulte. – Diagnostiquer les troubles du sommeil du nourrisson, de l’enfant, et de l’adulte. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 44. Risque suicidaire de l’enfant et de l’adulte : identification et prise en charge. – Savoir détecter les situations à risque suicidaire chez l’enfant et chez l’adulte. – Argumenter les principes de la prévention, et de la prise en charge.

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Programme du 2e cycle et ECN N° 45. Addiction et conduites dopantes : épidémiologie, prévention, dépistage. Morbidité, comorbidité et complications. Prise en charge, traitements substitutifs et sevrage : alcool, tabac, psychoactifs et substances illicites. – Expliquer les éléments de prévention et de dépistage des conduites à risque pouvant amener à une dépendance vis-à-vis du tabac de l’alcool ou de la drogue. – Diagnostiquer une conduite addictive (tabac, alcool, psychotropes, substances illicites, jeux, activités sportives intensives…). – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. – Décrire les principes de la prise en charge au long cours. N° 46. Sujets en situation de précarité : facteurs de risque et évaluation. Mesures de protection. Évaluer la situation médicale, psychologique et sociale d’un sujet en situation de précarité. N° 47. Bases psychopathologiques de la psychologie médicale. Connaître les fondements psychopathologiques de la psychologie médicale. N° 48. Différents types de techniques psychothérapeutiques. Principes de base.

➥ Module 4. Handicap. Incapacité. Dépendance N° 49. Évaluation clinique et fonctionnelle d’un handicap moteur, cognitif ou sensoriel. – Évaluer une incapacité ou un handicap. – Analyser les implications du handicap en matière d’orientation professionnelle et son retentissement social. N° 50. Complications de l’immobilité et du décubitus. Prévention et prise en charge. – Expliquer les principales complications de l’immobilité et du décubitus. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 51. L’enfant handicapé : orientation et prise en charge. Argumenter les principes d’orientation et de prise en charge d’un enfant handicapé. N° 52. Le handicap mental. Tutelle, curatelle, sauvegarde de justice. Argumenter les principes d’orientation et de prise en charge d’un malade handicapé mental. N° 53. Principales techniques de rééducation et de réadaptation. Savoir prescrire la masso-kinésithérapie et l’orthophonie. Argumenter les principes d’utilisation et de prescription des principales techniques de rééducation et de réadaptation.

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➥ Module 5. Vieillissement N° 54. Vieillissement normal : aspects biologiques, fonctionnels et relationnels. Données épidémiologiques et sociologiques. Prévention du vieillissement pathologique. – Expliquer les aspects fonctionnels, biologiques et psychologiques du vieillissement normal. – Exposer les principes de la prévention des maladies et des troubles dont l’incidence augmente avec l’âge. – Décrire les conséquences sociales et économiques de l’évolution de la pyramide des âges. N° – – –

55. Ménopause et andropause. Diagnostiquer la ménopause et ses conséquences pathologiques. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi d’une femme ménopausée. Diagnostiquer une andropause pathologique.

N° 56. Ostéoporose. – Diagnostiquer une ostéoporose. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 57. Arthrose. – Diagnostiquer les principales localisations de l’arthrose. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 58. Cataracte. – Diagnostiquer la cataracte et ses conséquences. – Argumenter les principes de traitement et de prévention. N° 59. La personne âgée malade : particularités sémiologiques, psychologiques et thérapeutiques. – Expliquer les concepts de vieillissement pathologique, de polypathologie et de vulnérabilité en gériatrie. – Décrire les particularités sémiologiques, physiques et psychiques de la personne âgée malade. – Définir le raisonnement thérapeutique en gériatrie et citer les principales règles générales de prescription chez le sujet âgé. N° 60. Déficit neurosensoriel chez le sujet âgé. – Diagnostiquer les maladies de la vision liées au vieillissement et en discuter la prise en charge thérapeutique, préventive et curative. – Diagnostiquer les troubles de l’audition liés au vieillissement, et en discuter la prise en charge thérapeutique, préventive et curative. N° 61. Troubles nutritionnels chez le sujet âgé. – Diagnostiquer un trouble nutritionnel chez le sujet âgé. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi de l’évolution. N° 62. Troubles de la marche et de l’équilibre. Chutes chez le sujet âgé. – Diagnostiquer les troubles de la marche et de l’équilibre chez le sujet âgé. – Argumenter le caractère de gravité des chutes et décrire la prise en charge.

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Programme du 2e cycle et ECN N° 63. Confusion, dépression, démences chez le sujet âgé. – Diagnostiquer un syndrome confusionnel, un état dépressif, un syndrome démentiel, une maladie d’Alzheimer chez une personne âgée. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 64. Autonomie et dépendance chez le sujet âgé. – Évaluer le niveau d'autonomie et de dépendance du sujet âgé. – Dépister les facteurs de risque de perte d’autonomie et argumenter les mesures préventives à mettre en œuvre.

➥ Module 6. Douleur. Soins palliatifs. Accompagnement N° 65. Bases neurophysiologiques et évaluation d’une douleur aiguë et chronique. Reconnaître et évaluer une douleur aiguë et une douleur chronique. N° 66. Thérapeutiques antalgiques, médicamenteuses et non médicamenteuses. – Argumenter la stratégie de prise en charge globale d’une douleur aiguë ou chronique chez l’adulte. – Prescrire les thérapeutiques antalgiques médicamenteuses (P) et non médicamenteuses. – Évaluer l’efficacité d’un traitement antalgique. N° 67. Anesthésie locale, locorégionale et générale. – Argumenter les indications, les contre-indications et les risques d’une anesthésie locale, locorégionale ou générale. – Préciser les obligations réglementaires à respecter avant une anesthésie. N° 68. Douleur chez l’enfant : sédation et traitements antalgiques. – Repérer, prévenir, et traiter les manifestations douloureuses pouvant accompagner les pathologies de l’enfant. – Préciser les médicaments utilisables chez l’enfant selon l’âge, avec les modes d’administration, indications et contre-indications. N° 69. Soins palliatifs pluridisciplinaires chez un malade en fin de vie. Accompagnement d’un mourant et de son entourage. – Identifier une situation relevant des soins palliatifs. – Argumenter les principes de la prise en charge globale et pluridisciplinaire d’un malade en fin de vie et de son entourage. – Aborder les problèmes éthiques posés par les situations de fin de vie. N° 70. Deuil normal et pathologique. Distinguer un deuil normal d’un deuil pathologique et argumenter les principes de prévention et d’accompagnement.

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Programme du 2e cycle et ECN

➥ Module 7. Santé et environnement. Maladies transmissibles N° 71. Mesure de l’état de santé de la population. Expliquer les principaux indicateurs de l’état de santé d’une population. N° 72. Interprétation d’une enquête épidémiologique. Discuter et interpréter les résultats des principaux types d’enquête épidémiologique. N° – – –

73. Risques sanitaires liés à l’eau et à l’alimentation. Toxi-infections alimentaires. Préciser les principaux risques liés à la consommation d’eau ou d’aliments. Diagnostiquer une toxi-infection alimentaire et connaître les principes de prévention. Argumenter une conduite pratique devant une toxi-infection alimentaire familiale ou collective.

N° 74. Risques sanitaires liés aux irradiations. Radioprotection. – Préciser les risques biologiques liés à l’irradiation naturelle ou artificielle et savoir en informer les patients. – Expliquer les risques liés aux principaux examens radiologiques. – Appliquer les principes de la radioprotection. N° 75. Épidémiologie et prévention des maladies transmissibles : méthodes de surveillance. – Préciser les bases de l’épidémiologie des maladies transmissibles et les mesures de surveillance et de prévention. – Déclarer une maladie transmissible. N° – – –

76. Vaccinations : bases immunologiques, indications, efficacité, complications. Appliquer le calendrier des vaccinations en France. Conseiller une vaccination adaptée en fonction du risque individuel et collectif. Argumenter les contre-indications et expliquer les complications des vaccinations.

N° 77. Angines et pharyngites de l’enfant et de l’adulte. – Diagnostiquer une angine et une rhino-pharyngite. – Argumenter l’attitude thérapeutique (P) et planifier le suivi du patient. N° – – –

78. Coqueluche. Diagnostiquer une coqueluche. Diagnostiquer une mononucléose infectieuse. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.

N° 79. Ectoparasitose cutanée : gale et pédiculose. – Diagnostiquer une gale et une pédiculose. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 80. Endocardite infectieuse. – Diagnostiquer une endocardite infectieuse. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 81. Fièvre aiguë chez un malade immunodéprimé. Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge.

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Le guide Estem pour réussir les ECN 2011 N° 82. Grippe. – Diagnostiquer une grippe. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° – – –

83. Hépatites virales. Anomalies biologiques hépatiques chez un sujet asymptomatique. Diagnostiquer une hépatite virale. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. Interpréter des anomalies biologiques hépatiques chez un sujet asymptomatique.

N° – – – –

84. Infections à herpès virus de l’enfant et de l’adulte immunocompétents. Diagnostiquer et traiter une poussée d’herpès cutané et muqueux. Diagnostiquer et traiter une varicelle et en connaître les complications. Diagnostiquer et traiter un zona dans ses différentes localisations. Préciser les complications de la maladie herpétique chez la femme enceinte, le nouveau-né et l’atopique. – Savoir reconnaître les principales infections opportunistes. – Savoir reconnaître les principales pahologies malignes associées à l’infection par VIH. N° – – – –

85. Infection à VIH. Informer et conseiller en matière de prévention de la transmission sanguine et sexuelle du VIH. Diagnostiquer une infection à VIH. Annoncer les résultats d’une sérologie VIH. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.

N° 86. Infections broncho-pulmonaires du nourrisson, de l’enfant et de l’adulte. – Diagnostiquer une bronchiolite du nourrisson, une pneumopathie, une broncho-pneumopathie de l’enfant ou de l’adulte. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° – – –

87. Infections cutanéo-muqueuses bactériennes et mycosiques. Diagnostiquer et traiter un impétigo, une folliculite, un furoncle, un érysipèle. Diagnostiquer et traiter une infection cutanéo-muqueuse à Candida albicans. Diagnostiquer et traiter une infection à dermatophytes de la peau glabre, des plis et des phanères.

N° 88. Infections génitales de la femme. Leucorrhées. – Diagnostiquer une infection génitale de la femme. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi de la patiente. N° 89. Infections génitales de l’homme. Écoulement urétral. – Diagnostiquer une infection génitale de l’homme. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 90. Infections naso-sinusiennes de l’enfant et de l’adulte. – Diagnostiquer une rhino-sinusite aiguë. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.

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Programme du 2e cycle et ECN N° 91. Infections nosocomiales. – Reconnaître le caractère nosocomial d’une infection. – Savoir appliquer et expliquer les mesures de prévention des infections nosocomiales. N° 92. Infections ostéo-articulaires. Disco-spondylite. – Diagnostiquer une infection osseuse et articulaire. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 93. Infections urinaires de l’enfant et de l’adulte. Leucocyturie. – Diagnostiquer une infection urinaire chez le nourrisson, l’enfant et l’adulte. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 94. Maladies éruptives de l’enfant. – Diagnostiquer et distinguer une rougeole, une rubéole, un herpès, un mégalérythème épidémique, une varicelle, un exanthème subit, une mononucléose infectieuse, une scarlatine, un syndrome de Kawasaki. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 95. Maladies sexuellement transmissibles : gonococcies, chlamydiose, syphilis. – Diagnostiquer une gonococcie, une chlamydiose, une syphilis. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° – – –

96. Méningites infectieuses et méningo-encéphalites chez l’enfant et chez l’adulte. Diagnostiquer une méningite ou une méningo-encéphalite. Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.

N° 97. Oreillons. – Diagnostiquer les oreillons. N° – – –

98. Otalgies et otites chez l’enfant et l’adulte. Expliquer les principales causes d’otalgie chez l’adulte et l’enfant. Diagnostiquer une otite moyenne aiguë, une otite externe, une otite séro-muqueuse. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.

N° – – –

99. Paludisme. Mettre en œuvre les mesures de prophylaxie adaptées. Diagnostiquer un paludisme. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.

N° 100. Parasitoses digestives : lambliase, téniasis, ascaridiose, oxyurose, amibiase, hydatidose. – Diagnostiquer les principales parasitoses digestives. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 101. Pathologie d’inoculation. – Identifier les situations à risques de pathologie d’inoculation. – Diagnostiquer et argumenter les principes du traitement d’une maladie de Lyme et d’une maladie des griffes du chat.

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Le guide Estem pour réussir les ECN 2011 N° 102. Pathologie infectieuse chez les migrants. – Diagnostiquer les pathologies infectieuses fréquentes dans les populations de migrants. – Donner des conseils d’hygiène et de prévention adaptés aux conditions de vie des migrants. N° 103. Prévention du tétanos. – Exposer les modes de contamination de la maladie. – Savoir appliquer la prophylaxie. N° – – –

104. Septicémie. Diagnostiquer une septicémie. Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.

N° 105. Surveillance des porteurs de valve et de prothèse vasculaire. – Expliquer les risques inhérents aux valves artificielles et aux prothèses vasculaires et les mesures préventives correspondantes. – Diagnostiquer une complication liée au matériel prothétique ou au traitement associé. N° 106. Tuberculose. – Diagnostiquer une tuberculose thoracique et connaître les localisations extrathoraciques. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 107. Voyage en pays tropical : conseils avant le départ, pathologies du retour : fièvre, diarrhée. – Donner des conseils d’hygiène et des mesures de prévention adaptés. – Rechercher les principales causes de fièvre et de diarrhée chez un patient au retour d’un pays tropical. N° 108. Environnement professionnel et santé. Prévention des risques professionnels. Organisation de la médecine du travail. – Expliquer le cadre de l’action du médecin du travail et ses relations avec les autres partenaires de santé. – À propos des risques liés aux solvants organiques, au plomb, à l’amiante, aux bruits, aux mouvements répétés ou à la manutention, savoir expliquer les possibilités d’action préventive du médecin du travail. – Évaluer l’impact du travail sur la santé et rapporter une pathologie aux contraintes professionnelles. – Mettre en relation, pronostic médical et pronostic socioprofessionnel. N° 109. Accidents du travail et maladies professionnelles : définitions. – Définir un accident du travail, une maladie professionnelle, une incapacité permanente, une consolidation. Se repérer dans les procédures et en comprendre les enjeux. N° 110. Besoins nutritionnels et apports alimentaires de l’adulte. Évaluation de l’état nutritionnel. Dénutrition. – Exposer les besoins nutritionnels de l’adulte, de la personne âgée, de la femme enceinte. – Évaluer l’état nutritionnel d’un adulte sain et d’un adulte malade. – Mener une enquête alimentaire et prescrire un régime diététique (n° 179). – Argumenter la prise en charge d’une dénutrition.

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Programme du 2e cycle et ECN N° 111. Sport et santé. Aptitude aux sports chez l’enfant et chez l’adulte. Besoins nutritionnels chez le sportif. – Conduire un examen médical d’aptitude au sport. – Exposer les bénéfices et les inconvénients de la pratique sportive chez l’enfant et l’adulte. – Exposer les besoins nutritionnels chez le sportif enfant et chez le sportif adulte. – Argumenter les précautions et contre-indications à la pratique sportive intensive.

➥ Module 8. Immunopathologie. Réaction inflammatoire N° 112. Réaction inflammatoire : aspects biologiques et cliniques. Conduite à tenir. – Expliquer les principaux mécanismes et les manifestations cliniques et biologiques de la réaction inflammatoire et les points d’impacts des thérapeutiques anti-inflammatoires. – Argumenter les procédures diagnostiques devant un syndrome inflammatoire et/ou une VS élevée inexpliqués. N° 113. Allergies et hypersensibilités chez l’enfant et l’adulte : aspects épidémiologiques, diagnostiques et principes de traitement. – Expliquer l’épidémiologie, les facteurs favorisants et l’évolution des principales allergies de l’enfant et de l’adulte. – Expliquer les principales manifestations cliniques et biologiques et argumenter les procédures diagnostiques. – Argumenter les principes du traitement et de la surveillance au long cours d’un sujet allergique, en tenant compte des aspects psychologiques. N° 114. Allergies cutanéo-muqueuses chez l’enfant et l’adulte. Urticaire, dermatites atopiques et de contact. – Diagnostiquer une allergie cutanéo-muqueuse aiguë et/ou chronique chez l’enfant et chez l’adulte. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 115. Allergies respiratoires chez l’enfant et chez l’adulte. – Diagnostiquer une allergie respiratoire chez l’enfant et chez l’adulte. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 115 bis. Déficit immunitaire. – Argumenter les principales situations cliniques et/ou biologiques faisant suspecter un déficit immunitaire chez l’enfant et chez l’adulte. N° 116. Pathologies auto-immunes : aspects épidémiologiques, diagnostiques et principes de traitement. – Expliquer l’épidémiologie, les facteurs favorisants et l’évolution des principales pathologies auto-immunes d’organes et systémiques. – Interpréter les anomalies biologiques les plus fréquentes observées au cours des pathologies auto-immunes. – Argumenter les principes du traitement et de la surveillance au long cours d’une maladie autoimmune.

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Le guide Estem pour réussir les ECN 2011 N° 117. Lupus érythémateux disséminé. Syndrome des anti-phospholipides. – Diagnostiquer un lupus érythémateux disséminé et un syndrome des anti-phospholipides. N° 118. Maladie de Crohn et recto-colite hémorragique. – Diagnostiquer une maladie de Crohn et une recto-colite hémorragique. N° 119. Maladie de Horton et pseudo-polyarthrite rhizomélique. – Diagnostiquer une maladie de Horton et une pseudo-polyarthrite rhizomélique. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 120. Pneumopathie interstitielle diffuse. – Diagnostiquer une pneumopathie interstitielle diffuse. N° – – –

121. Polyarthrite rhumatoïde. Diagnostiquer une polyarthrite rhumatoïde. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. Décrire les principes de la prise en charge au long cours d’un rhumatisme déformant et invalidant.

N° 122. Polyradiculonévrite aiguë inflammatoire (syndrome de Guillain-Barré). – Diagnostiquer un syndrome de Guillain-Barré. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 123. Psoriasis. – Diagnostiquer un psoriasis. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 124. Sarcoïdose. – Diagnostiquer une sarcoïdose. N° – – –

125. Sclérose en plaques. Diagnostiquer une sclérose en plaques. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. Décrire les principes de la prise en charge au long cours d’un malade présentant un déficit moteur progressif.

N° 126. Immunoglobuline monoclonale. – Diagnostiquer une immunoglobuline monoclonale. N° 127. Transplantation d’organes : aspects épidémiologiques et immunologiques ; principes de traitement et surveillance ; complications et pronostic ; aspects éthiques et légaux. – Expliquer les aspects épidémiologiques et les résultats des transplantations d’organe et l’organisation administrative. – Expliquer les principes de choix dans la sélection du couple donneur receveur et les modalités de don d’organe. – Argumenter les principes thérapeutiques, et les modalités de surveillance d’un sujet transplanté. – Argumenter les aspects médico-légaux et éthiques liés aux transplantations d’organes.

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Programme du 2e cycle et ECN

➥ Module 9. Athérosclérose. Hypertension. Thrombose N° 128. Athérome : épidémiologie et physiopathologie. Le malade poly-athéromateux. – Expliquer l’épidémiologie et les principaux mécanismes de la maladie athéromateuse et les points d’impacts des thérapeutiques. – Préciser les localisations préférentielles et l’évolution naturelle de la maladie athéromateuse. – Décrire les principes de la prise en charge au long cours d’un malade poly-athéromateux. N° 129. Facteurs de risque cardio-vasculaire et prévention. – Expliquer les facteurs de risque cardio-vasculaire et leur impact pathologique. – Expliquer les modalités de la prévention primaire et secondaire des facteurs de risque cardio vasculaire et les stratégies individuelles et collectives. N° 129 bis. Dyslipidémies – Diagnostiquer les principales dyslipidémies primitives et secondaires. – Connaître les recommandations pour la prise en charge des dyslipidémies. N° 130. Hypertension artérielle de l’adulte. – Expliquer l’épidémiologie, les principales causes et l’histoire naturelle de l’hypertension artérielle de l’adulte. – Réaliser le bilan initial d’une hypertension artérielle de l’adulte. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. – Décrire les principes de la prise en charge au long cours. N° – – – – –

131. Artériopathie oblitérante de l’aorte et des membres inférieurs ; anévrysmes. Diagnostiquer une artériopathie oblitérante de l’aorte et des membres inférieurs. Diagnostiquer un anévrysme de l’aorte et des artères périphériques. Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. Décrire les principes de la prise en charge au long cours.

N° – – – – N° – – – –

132. Angine de poitrine et infarctus myocardique. Diagnostiquer une angine de poitrine et un infarctus du myocarde. Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. Décrire les principes de la prise en charge au long cours.

133. Accidents vasculaires cérébraux. Diagnostiquer un accident vasculaire cérébral. Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. Décrire les principes de la prise en charge au long cours.

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Le guide Estem pour réussir les ECN 2011 N° 134. Néphropathie vasculaire. – Diagnostiquer une néphropathie vasculaire. N° – – –

135. Thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire. Diagnostiquer une thrombose veineuse profonde et/ou une embolie pulmonaire. Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.

N° 136. Insuffisance veineuse chronique. Varices. – Diagnostiquer une insuffisance veineuse chronique et/ou des varices. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 137. Ulcère de jambe. – Diagnostiquer un ulcère de jambe. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.

➥ Module 10. Cancérologie. Oncohématologie N° 138. Cancer : épidémiologie, cancérogenèse, développement tumoral, classification. – Décrire l’épidémiologie des cinq cancers les plus fréquents sur le plan national chez l’homme et la femme (incidence, prévalence, mortalité) ; expliquer leurs principaux facteurs de cancérogenèse et les conséquences sur la prévention. – Décrire l’histoire naturelle du cancer. – Expliquer les bases des classifications qui ont une incidence pronostique. N° 139. Facteurs de risque, prévention et dépistage des cancers. – Expliquer et hiérarchiser les facteurs de risque des cancers les plus fréquents chez l’homme et la femme. – Expliquer les principes de prévention primaire et secondaire. – Argumenter les principes du dépistage du cancer. N° 140. Diagnostic des cancers : signes d’appel et investigations paracliniques ; stadification ; pronostic. Décrire les principes du raisonnement diagnostique en cancérologie. N° 141. Traitement des cancers : chirurgie, radiothérapie, chimiothérapie, hormonothérapie. La décision thérapeutique multidisciplinaire et l’information du malade. – Décrire les grands principes des traitements en cancérologie et expliquer la nécessité d’une décision multidisciplinaire en tenant compte de l’avis du patient. – Expliquer les effets secondaires les plus fréquents et les plus graves des traitements, leurs signes d’appel et leur prévention. N° 142. Prise en charge et accompagnement d’un malade cancéreux à tous les stades de la maladie. Traitements symptomatiques. Modalités de surveillance. Problèmes psychologiques, éthiques et sociaux. – Expliquer les principes de la prise en charge globale du malade à tous les stades de la maladie en tenant compte des problèmes psychologiques, éthiques et sociaux.

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Programme du 2e cycle et ECN N° 143. Agranulocytose médicamenteuse : conduite à tenir. – Diagnostiquer une agranulocytose médicamenteuse. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 144. Cancer de l’enfant : particularités épidémiologiques, diagnostiques et thérapeutiques. – Expliquer les particularités épidémiologiques, diagnostiques et thérapeutiques des principaux cancers de l’enfant. Les localisations d’organes suivantes sont des modèles d’application des principes généraux. Ces tumeurs seront envisagées dans le cadre du module de cancérologie ou dans un autre module selon l’organisation propre à chaque unité de formation et de recherche. Selon les localisations, seront envisagées les tumeurs bénignes, les lésions précancéreuses et les tumeurs malignes. N° 145. Tumeurs de la cavité buccale et des voies aérodigestives supérieures. – Diagnostiquer une tumeur de la cavité buccale et une tumeur des voies aérodigestives supérieures. N° 146. Tumeurs intracrâniennes. – Diagnostiquer une tumeur intracrânienne. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 147. Tumeurs du col utérin, tumeur du corps utérin. – Diagnostiquer une tumeur du col utérin et du corps utérin. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 148. Tumeurs du côlon et du rectum. – Diagnostiquer une tumeur du côlon et une tumeur du rectum. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 149. Tumeurs cutanées, épithéliales et mélaniques. – Diagnostiquer une tumeur cutanée, épithéliale ou mélanique. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 150. Tumeurs de l’estomac. – Diagnostiquer une tumeur de l’estomac. N° 151. Tumeurs du foie, primitives et secondaires. – Diagnostiquer une tumeur du foie primitive et secondaire. N° 152. Tumeurs de l’œsophage. – Diagnostiquer une tumeur de l’œsophage. N° 153. Tumeurs de l’ovaire. – Diagnostiquer une tumeur de l’ovaire. N° 154. Tumeurs des os primitives et secondaires. – Diagnostiquer une tumeur des os primitive et secondaire. N° 155. Tumeurs du pancréas. – Diagnostiquer une tumeur du pancréas.

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Le guide Estem pour réussir les ECN 2011 N° 156. Tumeurs de la prostate. – Diagnostiquer une tumeur de la prostate. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 157 Tumeurs du poumon, primitives et secondaires. – Diagnostiquer une tumeur du poumon primitive et secondaire. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 158. Tumeurs du rein. Diagnostiquer une tumeur du rein. N° 159. Tumeurs du sein. – Diagnostiquer une tumeur du sein. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 160. Tumeurs du testicule. – Diagnostiquer une tumeur du testicule. N° 160 bis. Tumeurs vésicales. – Diagnostiquer une tumeur vésicale. N° 161. Dysmyélopoïèse. – Diagnostiquer une dysmyélopoïèse. N° 162. Leucémies aiguës. – Diagnostiquer une leucémie aiguë. N° 163. Leucémies lymphoïdes chroniques. – Diagnostiquer une leucémie lymphoïde chronique. N° 164. Lymphomes malins. – Diagnostiquer un lymphome malin. N° 165. Maladie de Vaquez. – Diagnostiquer une maladie de Vaquez. N° 166. Myélome multiple des os. – Diagnostiquer un myélome multiple des os.

➥ Module 11. Synthèse clinique et thérapeutique. De la plainte du patient à la décision thérapeutique. Urgences THÉRAPEUTIQUE

GÉNÉRALE

N° 167. Thérapeutiques médicamenteuses et non médicamenteuses. Cadre réglementaire de la prescription thérapeutique et recommandations. – Argumenter une prescription thérapeutique en tenant compte du rapport bénéfice/risque et des informations médicales et socio-économiques concernant le malade et des responsabilités légales et économiques.

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Programme du 2e cycle et ECN – – –

Expliquer les modalités d’élaboration des recommandations professionnelles et conférences de consensus, ainsi que leur niveau de preuve. Distinguer les différents cadres juridiques de prescription. Expliquer la prescription d’un médicament générique.

N° 168. Effet placebo et médicaments placebo. – Expliquer l’importance de l’effet placebo en pratique médicale. – Argumenter l’utilisation des médicaments placebo en recherche clinique et en pratique médicale. N° 169. L’évaluation thérapeutique et le niveau de preuve. – Argumenter l’évaluation d’une thérapeutique et les niveaux de preuve des principales sources d’information. – Argumenter une publication d’essai clinique ou une méta-analyse et critiquer une information thérapeutique. N° 170. La décision thérapeutique personnalisée. Observance médicamenteuse. – Argumenter les facteurs qui interviennent lors d’une décision thérapeutique chez un malade donné. – Argumenter l’absence de prescription médicamenteuse et l’introduction ou l’arrêt d’un médicament. – Expliquer les facteurs améliorant l’observance thérapeutique lors de la prescription initiale et de la surveillance. N° 171. Recherche d’un terrain à risque et adaptation thérapeutique. Interactions médicamenteuses. – Identifier les sujets à risque et en déduire les principes d’adaptations thérapeutiques nécessaires. – Identifier les principales associations médicamenteuses responsables d’accidents et leurs modalités de prévention. N° 172. Automédication. – Planifier avec un malade les modalités d’une automédication contrôlée. – Expliquer à un malade les risques inhérents à une automédication anarchique. N° 173. Prescription et surveillance des anti-infectieux. – Prescrire et surveiller un médicament appartenant aux principales classes des anti-infectieux. N° 174. Prescription et surveillance des anti-inflammatoires stéroïdiens et non stéroïdiens. – Prescrire et surveiller un traitement par les anti-inflammatoires stéroïdiens et non stéroïdiens, par voie générale et par voie locale. N° 175. Prescription et surveillance d’un traitement antithrombotique. – Prescrire et surveiller un traitement antithrombotique à titre préventif et curatif, à court et à long terme (P). N° 176. Prescription et surveillance des diurétiques. – Prescrire et surveiller un médicament appartenant aux principales classes de diurétiques. N° 177. Prescription et surveillance des psychotropes. – Prescrire et surveiller un médicament appartenant aux principales classes de psychotropes.

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Le guide Estem pour réussir les ECN 2011 N° 178. Transfusion sanguine et produits dérivés du sang : indications, complications. Hémovigilance. – Expliquer les risques transfusionnels, les règles de prévention, les principes de traçabilité et d’hémovigilance. – Prescrire une transfusion des dérivés du sang. – Appliquer les mesures immédiates en cas de transfusion mal tolérée. N° 179. Prescription d’un régime diététique. – Argumenter les facteurs favorisant l’adhésion aux régimes diététiques. – Principes de prescription des principaux régimes diététiques. N° 180. Prescription d’une cure thermale. Expliquer les modalités des cures thermales et climatiques et en justifier la prescription. N° – – –

181. Iatrogénie. Diagnostic et prévention. Identifier le caractère iatrogène de manifestations pathologiques. Prendre en compte et prévenir le risque iatrogène lors d’une décision médicale. Expliquer les objectifs et les principes du fonctionnement de la pharmaco et de la matériovigilance.

SITUATIONS

CLINIQUES FRÉQUENTES ET/OU URGENTES

N° 182. Accidents des anticoagulants. – Diagnostiquer un accident des anticoagulants. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 183. Accueil d’un sujet victime de violences sexuelles. – Décrire la prise en charge immédiate d’une personne victime de violences sexuelles. N° 184. Agitation et délire aigus. – Diagnostiquer une agitation et un délire aigus. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 185. Arrêt cardiocirculatoire. – Diagnostiquer un arrêt cardiocirculatoire. – Prise en charge immédiate (P). N° 186. Asthénie et fatigabilité. Diagnostiquer une asthénie et une fatigabilité. N° 187. Anomalie de la vision d’apparition brutale. – Diagnostiquer une anomalie de la vision d’apparition brutale. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° – – –

188. Céphalée aiguë et chronique. Diagnostiquer une céphalée aiguë et une céphalée chronique. Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.

N° 189. Conduite suicidaire chez l’adolescent et l’adulte. – Identifier et prévenir le risque suicidaire chez l’adolescent et chez l’adulte.

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Programme du 2e cycle et ECN N° 190. Convulsions chez le nourrisson et chez l’enfant. – Diagnostiquer une convulsion chez le nourrisson et chez l’enfant. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 191. Crise d’angoisse aiguë et attaque de panique. – Diagnostiquer une crise d’angoisse aiguë et une attaque de panique. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 192. Déficit neurologique récent. – Diagnostiquer un déficit neurologique récent. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 193. Détresse respiratoire aiguë du nourrisson de l’enfant et de l’adulte. Corps étranger des voies aériennes supérieures. – Diagnostiquer une détresse respiratoire aiguë du nourrisson, de l’enfant et de l’adulte. – Diagnostiquer un corps étranger des voies aériennes supérieures. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° – – –

194. Diarrhée aiguë et déshydratation chez le nourrisson, l’enfant et l’adulte. Diagnostiquer une diarrhée aiguë chez le nourrisson, l’enfant et l’adulte. Diagnostiquer un état de déshydratation chez le nourrisson, l’enfant et l’adulte. Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge.

N° 195. Douleurs abdominales et lombaires aiguës chez l’enfant et chez l’adulte. – Diagnostiquer une douleur abdominale et lombaire aiguë chez l’enfant et chez l’adulte. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 196. Douleur abdominale aiguë chez une femme enceinte. – Diagnostiquer une douleur abdominale aiguë chez une femme enceinte. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 197. Douleur thoracique aiguë et chronique. – Diagnostiquer une douleur thoracique aiguë et chronique. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 198. Dyspnée aiguë et chronique. – Diagnostiquer une dyspnée aiguë et chronique. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 199. État confusionnel et trouble de conscience. – Diagnostiquer un état confusionnel et un trouble de la conscience. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 200. État de choc. – Diagnostiquer un état de choc. – Prise en charge immédiate.

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Le guide Estem pour réussir les ECN 2011 N° 201 Évaluation de la gravité et recherche des complications précoces : chez un brûlé, un polytraumatisé, un traumatisé abdominal, un traumatisé craniofacial, un traumatisé des membres, un traumatisé du rachis, un traumatisé thoracique, devant une plaie des parties molles. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 202. Exposition accidentelle aux liquides biologiques (conduite à tenir). – Décrire la prise en charge immédiate d’une personne victime d’une exposition sexuelle ou d’une exposition accidentelle au sang. N° – – –

203. Fièvre aiguë chez l’enfant et chez l’adulte. Diagnostiquer une fièvre aiguë chez l’enfant et chez l’adulte. Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. Identifier les critères de gravité d’un syndrome infectieux.

N° 204. Grosse jambe rouge aiguë. – Diagnostiquer une grosse jambe rouge aiguë. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 205. Hémorragie digestive. – Diagnostiquer une hémorragie digestive. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 206. Hypoglycémie. – Diagnostiquer une hypoglycémie. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 207. Infection aiguë des parties molles (abcès, panaris, phlegmon des parties molles). – Diagnostiquer une infection aiguë des parties molles (abcès, panaris, phlegmon des parties molles). – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 208. Ischémie aiguë des membres. – Diagnostiquer une ischémie aiguë des membres. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 209. Malaise, perte de connaissance, crise comitiale chez l’adulte. – Diagnostiquer un malaise, une perte de connaissance, une crise comitiale chez l’adulte. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° – – –

210. Malaise grave du nourrisson et mort subite. Diagnostiquer un malaise grave du nourrisson. Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. Expliquer la définition de la mort subite du nourrisson, son épidémiologie, les facteurs de risque et de prévention, et les principes de la prise en charge de la famille.

N° 211. Œdème de Quincke et anaphylaxie. – Diagnostiquer un œdème de Quincke et une anaphylaxie. – Prise en charge immédiate.

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Programme du 2e cycle et ECN N° 212. Œil rouge et/ou douloureux. – Diagnostiquer un œil rouge et/ou douloureux. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 213. Piqûres et morsures. Prévention de la rage. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. – Expliquer les mesures préventives vis-à-vis de la rage devant une morsure d’animal errant. N° 214. Principales intoxications aiguës. – Diagnostiquer une intoxication par les psychotropes, les médicaments cardiotropes, le CO, l’alcool. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 215. Rachialgie. – Diagnostiquer une rachialgie. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 216. Rétention aiguë d’urine. – Diagnostiquer une rétention aiguë d’urine. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 217. Syndrome occlusif. – Diagnostiquer un syndrome occlusif. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 219. Troubles de l’équilibre acido-basique et désordres hydro-électrolytiques. – Prescrire et interpréter un examen des gaz du sang et un ionogramme sanguin en fonction d’une situation clinique donnée. – Savoir diagnostiquer et traiter : une acidose métabolique, d’une acidose ventilatoire, une dyskaliémie, d’une dysnatrémie, d’une dyscalcémie.

Deuxième partie : maladies et grands syndromes N° 220. Adénome hypophysaire. – Diagnostiquer un adénome hypophysaire. N° 221. Algodystrophie. – Diagnostiquer une algodystrophie. N° 223. Angiome cutané. – Diagnostiquer les différents types d’angiome cutané. N° 224. Appendicite de l’enfant et de l’adulte. – Diagnostiquer une appendicite chez l’enfant et chez l’adulte. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 225. Arthropathie micro-cristalline. – Diagnostiquer une arthropathie micro-cristalline. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.

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Le guide Estem pour réussir les ECN 2011 N° – – – –

226. Asthme de l’enfant et de l’adulte (n° 115). Diagnostiquer un asthme de l’enfant et de l’adulte. Identifier les situations d’urgence (P) et planifier leur prise en charge. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. Décrire les principes de la prise en charge au long cours.

N° – – – –

227. Bronchopneumopathie chronique obstructive. Diagnostiquer une bronchopneumopathie chronique obstructive. Identifier les situations d’urgence (P) et planifier leur prise en charge. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. Décrire les principes de la prise en charge au long cours.

N° – – – –

228. Cirrhose et complications. Diagnostiquer une cirrhose. Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. Décrire les principes de la prise en charge au long cours.

N° 229. Colopathie fonctionnelle. – Diagnostiquer une colopathie fonctionnelle. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 230. Coma non traumatique. – Diagnostiquer un coma non traumatique. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 231. Compression médullaire non traumatique et syndrome de la queue de cheval. – Diagnostiquer une compression médullaire non traumatique et un syndrome de la queue de cheval. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 232. Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique. – Diagnostiquer l’acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.

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N° – – – –

233. Diabète sucré de type 1 et 2 de l’enfant et de l’adulte. Complications. Diagnostiquer un diabète chez l’enfant et chez l’adulte. Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. Décrire les principes de la prise en charge au long cours.

N° – – –

234. Diverticulose colique et sigmoïdite. Diagnostiquer une diverticulose colique et une sigmoïdite. Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.

N° – – – –

235. Épilepsie de l’enfant et de l’adulte. Diagnostiquer les principales formes d’épilepsie de l’enfant et de l’adulte. Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. Décrire les principes de la prise en charge au long cours.


Programme du 2e cycle et ECN N° – – –

236. Fibrillation auriculaire. Diagnostiquer une fibrillation auriculaire. Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.

N° 237. Fractures chez l’enfant : particularités épidémiologiques, diagnostiques et thérapeutiques. – Expliquer les particularités épidémiologiques, diagnostiques et thérapeutiques des fractures de l’enfant, en insistant sur celles qui sont liées à la croissance. N° 238. Fracture de l’extrémité inférieure du radius chez l’adulte. – Diagnostiquer une fracture de l’extrémité inférieure du radius chez l’adulte. N° 239. Fracture de l’extrémité supérieure du fémur chez l’adulte. – Diagnostiquer une fracture de l’extrémité supérieure du fémur chez l’adulte. N° 240. Glaucome chronique. – Diagnostiquer un glaucome chronique. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 241. Goitre et nodule thyroïdien. – Diagnostiquer un goitre et un nodule thyroïdien. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 242. Hémochromatose. – Diagnostiquer une hémochromatose. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 243. Hémorragie génitale chez la femme. – Diagnostiquer une hémorragie génitale chez la femme. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 244. Hémorragie méningée. – Diagnostiquer une hémorragie méningée. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 245. Hernie pariétale chez l’enfant et l’adulte. – Diagnostiquer une hernie inguinale de l’enfant et de l’adulte. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 246. Hyperthyroïdie. – Diagnostiquer une hyperthyroïdie. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 247. Hypertrophie bénigne de la prostate – Diagnostiquer une hypertrophie bénigne de la prostate. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 248. Hypothyroïdie. – Diagnostiquer une hypothyroïdie. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.

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Le guide Estem pour réussir les ECN 2011 N° 249. Insuffisance aortique. – Diagnostiquer une insuffisance aortique. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° – – –

250. Insuffisance cardiaque de l’adulte. Diagnostiquer une insuffisance cardiaque chez l’adulte. Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.

N° 251. Insuffisance mitrale. – Diagnostiquer une insuffisance mitrale. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 252. Insuffisance rénale aiguë. Anurie. – Diagnostiquer une insuffisance rénale aiguë et une anurie. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° – – –

253. Insuffisance rénale chronique. Diagnostiquer une insuffisance rénale chronique. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. Décrire les principes de la prise en charge au long cours.

N° – – –

254. Insuffisance respiratoire chronique. Diagnostiquer une insuffisance respiratoire chronique. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. Décrire les principes de la prise en charge au long cours.

N° 255. Insuffisance surrénale. – Diagnostiquer une insuffisance surrénale aiguë et une insuffisance surrénale chronique. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 256. Lésions dentaires et gingivales. – Diagnostiquer les principales lésions dentaires et gingivales. N° – – – – –

257. Lésions péri-articulaires et ligamentaires du genou, de la cheville et de l’épaule. Lésions méniscales du genou. Diagnostiquer une lésion péri-articulaire et/ou ligamentaire de l’épaule. Diagnostiquer une lésion ligamentaire et/ou méniscale du genou. Diagnostiquer une lésion ligamentaire de la cheville. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.

N° – – –

258. Lithiase biliaire et complications. Diagnostiquer une lithiase biliaire et ses complications. Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.

N° 259. Lithiase urinaire. – Diagnostiquer une lithiase urinaire. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.

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Le guide Estem pour réussir les ECN 2011 N° – – –

261. Maladie de Parkinson. Diagnostiquer une maladie de Parkinson. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. Décrire les principes de la prise en charge au long cours.

N° 262. Migraine et algies de la face. – Diagnostiquer une migraine et une algie de la face. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 263. Myasthénie. – Diagnostiquer une myasthénie. N° 264. Néphropathie glomérulaire. – Diagnostiquer une néphropathie glomérulaire. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 265. Neuropathie périphérique. Diagnostiquer une neuropathie périphérique. N° 267. Obésité de l’enfant et de l’adulte. – Diagnostiquer une obésité de l’enfant et de l’adulte. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 268. Pancréatite aiguë. – Diagnostiquer une pancréatite aiguë. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 269. Pancréatite chronique. – Diagnostiquer une pancréatite chronique. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 270. Pathologie des glandes salivaires. – Diagnostiquer une pathologie infectieuse, lithiasique, immunologique et tumorale des glandes salivaires. N° 271. Pathologie des paupières. – Diagnostiquer et traiter un orgelet, un chalazion. N° 272. Pathologie génito-scrotale chez le garçon et chez l’homme. – Diagnostiquer un phimosis, une torsion de cordon spermatique, une hydrocèle, une cryptorchidie. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 273. Pathologie hémorroïdaire. – Diagnostiquer une pathologie hémorroïdaire. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 274. Péricardite aiguë. – Diagnostiquer une péricardite aiguë. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 275. Péritonite aiguë. – Diagnostiquer une péritonite aiguë.

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Programme du 2e cycle et ECN – N° – – –

Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. 276. Pneumothorax. Diagnostiquer un pneumothorax. Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.

N° 277. Polykystose rénale. – Diagnostiquer une polykystose rénale. N° 278. Psychose et délire chronique. – Diagnostiquer une psychose et un délire chronique. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° – – –

279. Radiculalgie et syndrome canalaire. Savoir diagnostiquer une radiculalgie et un syndrome canalaire. Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.

N° 280. Reflux gastro-œsophagien chez le nourrisson, chez l’enfant et chez l’adulte. Hernie hiatale. – Diagnostiquer un reflux gastro-œsophagien et une hernie hiatale aux différents âges. – Argumenter l’attitude thérapeutique (P) et planifier le suivi du patient. N° 281. Rétrécissement aortique. – Diagnostiquer un rétrécissement aortique. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 282. Spondylarthrite ankylosante. – Diagnostiquer une spondylarthrite ankylosante. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 283. Surveillance d’un malade sous plâtre. – Diagnostiquer une complication chez un blessé sous plâtre. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° – – –

284. Troubles de la conduction intracardiaque. Diagnostiquer un trouble de la conduction intracardiaque. Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.

N° – – –

285. Troubles de l’humeur. Troubles bipolaires. Diagnostiquer un trouble de l’humeur et/ou des troubles bipolaires. Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. Décrire les principes de la prise en charge au long cours.

N° 286. Troubles de la personnalité. – Diagnostiquer un trouble de la personnalité et apprécier son retentissement sur la vie social du sujet. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.

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Le guide Estem pour réussir les ECN 2011 N° 287. Troubles de la réfraction. – Diagnostiquer un trouble de la réfraction. N° 288. Troubles des phanères. – Diagnostiquer une alopécie et un onyxis. N° 289. Troubles somatoformes. – Diagnostiquer un trouble somatoforme. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° – – –

290. Ulcère gastrique et duodénal. Gastrite. Diagnostiquer un ulcère gastrique, un ulcère duodénal, une gastrite. Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.

Troisième partie : Orientation diagnostique devant… N° 291. Adénopathie superficielle. – Devant une adénopathie superficielle, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 292. Algies pelviennes chez la femme. – Devant des algies pelviennes chez la femme, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 293. Altération de la fonction visuelle. – Devant une altération de la fonction visuelle, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 294. Altération de la fonction auditive. – Devant une altération de la fonction auditive, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 295. Amaigrissement. – Devant un amaigrissement, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 296. Aménorrhée. – Devant une aménorrhée, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 297. Anémie. – Devant une anémie, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. – Argumenter l’attitude thérapeutique dans les anémies carentielles et planifier leur suivi.

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Programme du 2e cycle et ECN N° 298. Ascite. – Devant une ascite, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 299. Boiterie et troubles de la démarche chez l’enfant. – Devant une boiterie ou un trouble de la démarche chez l’enfant, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 300. Constipation chez l’enfant et l’adulte (avec le traitement). – Devant une constipation chez l’enfant ou l’adulte, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 301. Déficit moteur et/ou sensitif des membres. – Devant un déficit moteur ou sensitif des membres, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 302. Diarrhée aiguë chez l’enfant et chez l’adulte (avec le traitement). – Devant une diarrhée aiguë chez l’enfant ou chez l’adulte, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi de l’évolution. N° 303. Diarrhée chronique. – Devant une diarrhée chronique, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 304. Diplopie. – Devant l’apparition d’une diplopie, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 305. Douleur buccale. – Devant des douleurs buccales, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 306. Douleur des membres et des extrémités. – Devant des douleurs des membres et des extrémités, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 307. Douleur et épanchement articulaire. Arthrite d’évolution récente. – Devant une douleur ou un épanchement articulaire, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. – Devant une arthrite d’évolution récente, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 308. Dysphagie. – Devant une dysphagie, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 309. Électrocardiogramme : indications et interprétations. – Argumenter les principales indications de l’ECG et discuter l’interprétation des résultats.

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Programme du 2e cycle et ECN N° 310. Élévation de la créatininémie. – Devant une élévation de la créatininémie, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 311. Éosinophilie. – Devant une éosinophilie, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 312. Épanchement pleural. – Devant un épanchement pleural, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 313. Épistaxis (avec le traitement). – Devant une épistaxis, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 314. Exanthème. Érythrodermie. – Devant un exanthème ou une érythrodermie, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 315. Hématurie. – Devant une hématurie, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 316. Hémogramme : indications et interprétation. – Argumenter les principales indications de l’hémogramme, discuter l’interprétation des résultats et justifier la démarche diagnostique si nécessaire. N° 317. Hémoptysie. – Devant une hémoptysie, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 318. Hépatomégalie et masse abdominale. – Devant une hépatomégalie, une masse abdominale ou la découverte de nodule hépatique, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 319. Hypercalcémie (avec le traitement). – Devant une hypercalcémie, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. – Identifier les situations d’urgence et planifier leur prise en charge. N° 320. Ictère. – Devant un ictère, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 321. Incontinence urinaire de l’adulte. – Devant une incontinence urinaire de l’adulte, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. – Décrire les principes de la prise en charge au long cours.

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Le guide Estem pour réussir les ECN 2010 N° 322. Mouvements anormaux. – Devant la survenue de mouvements anormaux, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 323. Œdèmes des membres inférieurs. – Devant l’apparition d’œdèmes des membres inférieurs, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 324. Opacités et masses intrathoraciques. – Devant une opacité ou une masse intrathoracique, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 325. Palpitations. – Chez un sujet se plaignant de palpitations, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 326. Paralysie faciale. – Devant une paralysie faciale, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 327. Phénomène de Raynaud. – Devant un phénomène de Raynaud, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 328. Protéinurie et syndrome néphrotique chez l’enfant et chez l’adulte. – Devant la découverte d’une protéinurie, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. – Devant un syndrome néphrotique chez l’enfant ou chez l’adulte, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 329. Prurit (avec le traitement). – Chez un sujet se plaignant d’un prurit, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 330. Purpuras chez l’enfant et chez l’adulte. – Devant un purpura chez l’enfant ou chez l’adulte, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 331. Souffle cardiaque chez l’enfant. – Devant un souffle cardiaque chez l’enfant, argumenter principales les hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 332. Splénomégalie. – Devant une splénomégalie, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 333. Strabisme de l’enfant. – Devant un strabisme chez l’enfant, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents.

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Programme du 2e cycle et ECN N° 334. Syndrome mononucléosique. – Devant un syndrome mononucléosique, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 335. Thrombopénie. – Devant une thrombopénie, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 336. Toux chez l’enfant et chez l’adulte (avec le traitement). – Devant une toux aiguë ou chronique chez l’enfant ou chez l’adulte, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 337. Trouble aigu de la parole. Dysphonie. – Devant l’apparition d’un trouble aigu de la parole ou d’une dysphonie, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 338. Trouble de l’érection. – Devant un trouble de l’érection, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 339. Troubles de l’hémostase et de la coagulation. – Devant un trouble de l’hémostase et de la coagulation, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 340. Troubles de la marche et de l’équilibre. – Devant un trouble de la marche ou de l’équilibre, argumenter les hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 341. Troubles de la miction. – Devant un trouble de la miction, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 342. Tuméfaction pelvienne chez la femme. – Devant une tuméfaction pelvienne chez la femme, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 343. Ulcérations ou érosion des muqueuses orales et/ou génitales. – Devant des ulcérations ou érosions des muqueuses orales et/ou génitales, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. N° 344. Vertige (avec le traitement). – Chez un sujet se plaignant de vertige, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. – Argumenter l’attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. N° 345. Vomissements du nourrisson, de l’enfant et de l’adulte (avec le traitement). – Devant des vomissements du nourrisson, de l’enfant ou de l’adulte, argumenter les principales hypothèses diagnostiques et justifier les examens complémentaires pertinents. – Argumenter l’attitude thérapeutique (P) et planifier le suivi de l’évolution.

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Textes généraux Vous trouverez l’intégralité des arrêtés et décrets suivants sur le site http://www.legifrance.gouv.fr/. Il vous suffit d’entrer la date du Journal Officiel concerné dans l’outil « Rechercher un JO ». Arrêtés du 4 mars 1997 et du 10 octobre 2000 relatifs à la deuxième partie du deuxième cycle des études médicales. JO n° 241 du 17 octobre 2000, texte 22. Décret n° 2004-67 du 16 janvier 2004 relatif à l'organisation du troisième cycle des études médicales. JO n° 15 du 18 janvier 2004, texte 14. Arrêté du 24 février 2005 relatif à l'organisation des épreuves classantes nationales anonymes donnant accès au troisième cycle des études médicales. JO n° 53 du 4 mars, texte 10. Arrêté du 19 mai 2005 fixant les modalités d’organisation de la procédure nationale de choix de la discipline et du centre hospitalier universitaire de rattachement à l’issue des épreuves classantes nationales anonymes donnant accès au troisième cycle des études médicales. JO n° 123 du 28 mai 2005, texte 26. Arrêté du 10 janvier 2008 portant ouverture des épreuves classantes nationales anonymes donnant accès au troisième cycle des études médicales, au titre de l’année universitaire 2008-2009. JO n° 15 du 18 janvier 2008, texte 41. Arrêté du 6 décembre 2007 fixant la pondération de l’épreuve de lecture critique d’articles lors des épreuves classantes nationales du troisième cycle des études médicales. JO n° 295 du 20 décembre 2007, texte 50.

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