Exposition Anders Zorn peintures eaux-fortes aquarelles et sculptures, 1907

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S



EXPOSITION

ANDERS ZORN GALERIES DURAND-RUEL (17

MAI—

1(5

JUIN 1906)



EXPOSITION

Anders Zorn




ANDERS ZORN


GALERIES DURAND -RU EL 16,

%iie Laffitk, Taris

EXPOSITION

Anders Zorn PEINTURES, EAUX-FORTES AQUARELLES ET SCULPTURES

CATALOGUE DES ŒUVRES EXPOSÉES (17

MAI— 16

JUIN 1906)


Président

M.

ALFRED

:

BEURDELEY

Secrétaires

TYGE MÔLLER

LOYS DELTEIL,

MM.

Trésorier

ALFRED

M.

:

:

STRÔLIN

Membre correspondant pour

Membres

BERALDI

(Léonce).

BOUCHOT

(Albert).

(Henri).

BRACQUEMOND

:

:

MM. HAGBORG

LARSSON

(Henri).

BESNARD

Suède

THORSTEN LAURIN

M.

MM. BÉNÉDITE

la

(Félix).

(Auguste). (Carl).

LEPÈRE

(Auguste).

MARCEL

(Henry).

MARX

(Roger).

COMTE

(Jules).

MATHEY

CURTIS

(Atherton),

MILES

DAYOT

(Armand).

ROUART

(Alexis).

(Charles).

(Paul).

(Roger).

GEFFROY

(Gustave).

SAUNIER

GERBEAU

(Jules).

THIÉBAULT-SISSON.


La

en France, donné naissance à au-

ri a encore,

critique d'art

cune étude d'ensemble sur Véminent peintre

Zorn. Ce

silence est explicable

pendant une dizaine d'années,

on ne

et

l'artiste, très

:

les

graveur suédois

assidu à nos expositions

a complètement désertées depuis,

a vu reparaître qu'en 1900, avec l'Ecole dont

l'y

L'étranger, bien que plus favorisé que nous, ne

Zorn a une fait guère jusqu'ici,

internationale

clientèle

d'efforts

du peu de

And ers

très fidèle,

l'est

il

tient la tête.

guère, néanmoins.

qui lui

suffit, et il

pour étendre une notoriété qui n'a pas diffusion de ses œuvres, ayant

et

ne

souffert,

pour base

l'estime

raisonnêe et fermement assise d'une élite. Il a néanmoins fini par céder aux instances d'amis et d' admirateurs pressants, et s'est bien voulu laisser le

nom

convaincre que la consécration parisienne donnerait à son

sceau suprême de la gloire. L'exposition qui vient de s'ouvrir, dans

les

galeries

Durand-Ruel, aura, pour

le

plus

grand nombre,

d'une révélation; quinze années de production active

ouvrages de sa période parisienne, originale

La

du maître de Mora peinture Scandinave

allemand, dont ter,

elle

date de

et

aux

de l'ensemble, la physionomie

dégage avec une

s'est

s'y ajoutent

netteté singulière.

longtemps traînée à la suite de

l'art

apprenait, dans les ateliers de Dûsseldorf, à répé-

sans grandes variantes,

naïveté maniérée

se

l'intérêt

et les

les

scènes familières

empreintes

d'une

paysages théâtralement conventionnels. Le réveil

1875 environ;

les

yeux des septentrionaux s'ouvrirent simul-


tanément, sur

les côtes

de ï Océan

et celles

de la Baltique,

aux après

au charme robuste d'une race tonifiée du climat et la réaction musculaire quelles commandent. Zom fut un des principaux artisans de cette renaissance; tandis qu'Edelfelt et Gallen révolutionnaient la Finlande, Kroyer, le Danemark, Thaulow et Werenskjold la Norvège, il ramenait la peinture beautés d'une nature rebelle et

par

les

rigueurs

suédoise des fadeurs de l'anecdote à la vérité littérale

Avec

individuel.

a

Liljefors, il

le

charmant décorateur Larsson

initié

l'Europe

une auréole d'or

humanité trempée par la dant

il

au milieu de

a,

part. *N>' en 1860, fut

non

son propre maître,

essais

lutte

quotidienne avec

ses confrères,

loin de

Falun,

modèles

ses

apprêt. n'est

débuts,

Zom

de ferme

œuvre dut à

Comme

les

s'est

et les

grands

point de motif qui ne

et

s'échappait

Espagne

et

1881,

en Angleterre.

l'ait séduit,

un

le relief qu'affecte

surtout

intérêt

par

parmi

de traces profondes dans

les

vécus

et

lui

a

les

plus simples,

été bon, il

sincérité

de la

la jeunesse est

avide

était entré en

1875,

la seule

Mais il

et

dans

ces

fit,

ses sujets

de 1881 à 1885, ;

deux pays la

néanmoins, sans vie individuelle,

des manières, enracinèrent en lui le goût

portait vers tout ce qui est neuf

Cependant

et

saveur franche, sa réalité sans

Les études qu'il y

nul doute,

le

pas vu, du

milieu physique

à peine à l'âge d'homme, pour voyager en

laissé

inné qui

l'a

les spec-

dévelop-

conducteurs de carrioles de son entou-

peintres, en général, tout

n'ont pas

r allure tranchée des types

le

le

mesuré avec la nature, prenant pour

de l'Académie de Stockholm, où dès

il

vivace.

représentation, le seul accent de la facture.

d'inconnu,

on ne

;

a longtemps pratiqués et

ce contact sa

assuré qu'il était d'y mettre

il

une physionomie à

au foyer de simples paysans,

la plus heureuse

ses concitoyens; il les

les filles

rage, et son

éléments. Cepen-

les

et

pas longtemps, à reproduire

en a gardé en lui l'empreinte directe

Dès

aspect

avec des recettes apprises,

atelier, recréer,

mœurs de

un

joyeuse d'une

et

à peine adolescent, s'exerçait déjà, en des

et,

l'artiste l'influence

fond d'un

à la santé fraîche

de la vie rustique. Cette origine a eu sur

tacles journaliers

et les

clair,

la gaucherie ne persista

pement de

rude animalier

et le

son propre pays aux grâces frêles de

et

à la vierge lumière qui Jait aux fjords de sa

la nature dalécarlienne, terre natale

au caractère

et

succès remportés par

les

et

primesautier.

expositions de

Zom

à


.

Paris, où

il

vécut,

à peu près à demeure, de 1888 à 1896,

gnaient au choix d'une

Unis

et

y fit

là-bas,

un

men

ness

riches,

force portraits de

cette aristocratie

dési-

le

des sollicitations

et

vinrent d'Amérique. Il visita à cinq reprises

lui

actives

d'amateurs

élite

Etats-

les

d'argent qui a constitué,

type d'humanité particulier, où la fruste carrure des busi-

a pour heureux repoussoirs l'élégance

race des jeunes

et la

générations de femmes. Il est rentré, chaque fois, avec une remarquable facilité de réadaptation, de ces

milieux de surchauffe ou d'apparat t dans

sa calme Dalécarlie, où son art se retrempe avec joie; lières, la

nature non arrangée

fami-

d'où sortent ensuite de plus franches études, des œuvres d'un

diale,

accent plus sincère

A

et

d'une prise plus forte.

la différence de

beaucoup

aucune mièvrerie n'amollit

d'artistes frottés

celui-ci

Zom

;

aux hautes classes, un paysan aux

reste toujours

bras musclés, pour étreindre la réalité nue. Il suite,

les réalités

reposent dans une contemplation cor-

l'y

un métier extraordinaire de spontanéité

s'est créé, et

presque tout de

de crdnerie ;

attaque

il

sa toile au pinceau, sans crayonnage préalable, quelque ébauche peinte lui

donnant, tout au plus,

siner

le

tons

et les

valeurs. S'il lui arrive de des-

un mouvement complexe, un raccourci

arrêté, est jeté

Et

les

au

voilà, d'un élan furieux, sabrant ses

brutales,

mais d'une tonalité

si juste,

une fois

difficile, le croquis,

rebut, la pose étant, dès lors, fixée

dans son cerveau

formes de grandes zébrures

de rapports

si exacts,

qu'à la dis-

tance voulue, tout se marie, s'accorde, se fond en finesses délicieuses, en

molles rondeurs frôlées de

admirables de plénitude,

reflets les

et

animées de frissons. Les nus sont

attaches robustes

satin de l'épiderme, ï armature solide, massive

de tissus tendres

aux ondulations

y

jouent sous

même, parfois,

aux plans

fuyantes,

sensualité ardente se dégage de ces morceaux,

le

flexible

s'y revêt

invisibles.

mais franche

Une

saine,

et

sans nul sous-entendu risqué. L'argile idéale a dans notre peintre un

adorateur extasié, doublé, à qu'il la caresse

ou la pétrisse,

ses heures, il

d'un maître impérieux

en respecte

le

moule divin

et

;

mais,

l'auguste

fonction.

Le portraitiste

n'est pas, che\

Zom, moins

surprenant que

le

peintre

de nu; soit qu'il exprime Vanatomie déjetée d'un de ses contemporains tout en cerveau, soit qu'il immobilise sur la toile quelque miss élancée dissante

comme une Diane,

c'est le

modèle

même

qui

jaillit

du

et

bon-

cadre,


traits,

expression

et

démarche,

qu'un repentir,

sans

ou

trahisse les tâtonnements d'une pensée indécise,

programme

comme

imposé. Tel portrait,

du

celui

s

inscrivant dans

sculpté par l'âge, T autre dans

comme

a demandé au modèle

deux heures! De même, sans doute, pour Wieselgren,

saisi,

avec son rude rire

Mais où sûr de

portrait

métier de

dans

Zorn montre

les eaux-fortes,

du docteur

en sa concision incisive

brusque séduction d'un impromptu

le

lui, c'est

le

et l'hésita-

trois séances de

sa barbe humide de Vihing, dans

et

l'expansive cordialité d'un toast. L'œuvre,

voulue, offre la

Faure

d'indivi-

grands plans du visage

clignement myope du regard

le

tion des doigts sur les touches,

les

lourdeur

célèbre chanteur

à son harmonium, miraculeux d'action momentanée, dualité permanente, l'une

une

compromis d'un

les

le

et

étincelant.

plus d'emportement calculé

et

improvisations originales, ou inter-

Du

prétations transposées de ses toiles maîtresses.

griffonnis des hachures

parallèles qui semblent balafrer, sectionner la forme, celle-ci se dégage,

au

contraire, insaisissable, impalpable,

confident,

quelle mystérieuse incantation, avec les les

nuances

les

traduire, des antithèses de virtuosité aussi

saluer

reflétée

en quelque miroir

le

et

du

geste. Cet

extrême raf-

langage chercherait en vain, pour

le

mauvais goût ; bornons-nous à constater qu'une

paradoxale achève, par un

et si saisissante,

demain l'œuvre

je ne sais

moindres inflexions de son modelé,

plus fugitives de l'expression

finement dans la brutalité affectée,

personnelle

comme

mais en même temps évoquée, de pied en cap, par

trait bien

à

lui, la figure si

en sa complexité, du maître dont Paris va

géniale.

Henry Marcel


N°

i

du catalogue.



.

PEINTURES i

.

S.

M.

le roi

Oscar

II,

de Suède. (Appartient à S.

2.

S.

A. R.

le

M.

la

Reine de Suède.)

prince Charles de Suède. (Appartient à " Lifgardet

til

hasts Officers kor

Stockholm".)

Saint-Yves, Cornouailles (Pêcheurs).

3

(Appartient au Musée du Luxembourg.)

4.

Effet de nuit, 1895. (Appartient au Musée de Gôteborg.)

5

.

Le Toast

à la Société "

Idun

"

(1898).

(Appartient à

6.

la

Société

"Idun", Stockholm.)

Coquelin cadet. (Appartient à

7

.

cadet.)

Faure, de l'Opéra. '

v

8.

Première pose.

9.

Margit.

10.

M. Coquelin

Une première

Collection de

(baigneuse et enfant).

MM.

Faure père

et fils.)


il.

Le Coucher.

12.

La Rameuse.

13

Un

(Collection de

.

14.

5

.

16.

MM.

Faure père et

fils).

quai en Suède.

Baigneuses.

Ma

Grand'Mère.

La Barque, souvenir de Dalarne.

17.

Le Réveil.

18.

L'Isle

19.

Opale.

Adam.

20-21. Paysages.

22. Notre pain quotidien. (Collection de

23.

Mistress Hallowell. (Appartient à

M. O. Hentze.)

M™e

Hallowell.)


z



N°

25 du catalogue.



.

24.

Toilette

du matin, 1894. (Collection de

25.

Le Sable rouge, 1902.

26.

La

Brasserie, 1890. (Collection de

27

.

M. C. R, Lamm.)

Le Lever

Omornad

»),

M. Thorsten

Laurin."

1904. (Collection de

M.

Liljenwalch.)

28. Mauri père. (Appartient à

29.

M me

30.

Cap Nord (Minuit)

M

lle

Rosita Mauri.)

Rikoff.

M me

Rikoff.)

M. A.

Strôlin.)

(Appartiennent à

3 1

Paysans dalécarliens se rendant à

l'église. (Appartient à

32.

Spuller (Eugène). (Appartient à

33.

Wallenberg

(M me ),

M. André

1903. (Appartient à

34.

Zorn

(M me Emma),

M. Wallenberg.)

1902. (Appartient à

35.

Spuller.)

Vieille Bergère, 1905,

M

rae

Zorn.)


..

36.

Horloger de Mora, 1905.

37

La Lucarne, 190e.

38.

Rêve de Printemps, 1906.

39.

Poiska (Danse dalécarlienne), 1906.

40.

Bruno

41

«

Liljefors

Hermula

42. La

Femme

»

(Gopsmor, 190e).

(Rivière à Mora).

à la couverture, 1906.

43. Musique en Famille, 1906.

44. Baigneuse.

45. Bain improvisé, 1906.

46. Demoiselle d'honneur, 1906.


.

AQUARELLES - DESSINS 47. Le Départ pour

la

Messe (Dalécarlie), 1883. Aquarelle.

48. Brita, (Dalécarlie), 1883. Aquarelle.

49. Espagnole, 1885. Aquarelle. Appartiennent à

Zorn, par lui-même, 1890. Dessin à

50.

la

MM.

Dalécarlienne se coiffant. Aquarelle.

52.

Femme

S?.

Le Tub. Aquarelle.

54.

May (M.

55

.

Simonson.

M.

et

M™

A. Curtis.)

se coiffant. Aquarelle.

(Collection de

May (les

et

plume.

(Collection de

5 1

Chaîne

et

MM.

Faure père

et fils.)

Mme Ernest). Aquarelle.

Enfants de M. et

Mme Ernest). Aquarelle. (Appartiennent à M. E. May.)


,

56.

Renan

(Ernest). Dessin. (Appartient à

57

.

M mc

Éventail. Aquarelle.

M

llea

S.

.

.

M

lles

S.

.

.

M me

Rikoff.)

Aquarelle. (Appartient à

60.

Psicbari.)

Georges May.)

(Appartient à

59.

P.

Les deux Sœurs. Aquarelle. (Appartient à

58.

M me

M me Salomon.

Aquarelle. (Appartient à M'»e Jules Schwartz


K"

43 du catalogue.



.

EAUX-FORTES 61. Les Cousines, 1883 (F. de Schubert,

5). (Collection de

62.

Espagnole, 1884 (F. de Sch.,

tête,

M.

et

M me A.

Curtis.)

1884. (Collection de

64. Le graveur Axel

X.)

8). (Collection de

63. Repos, étude de

M.

Hermann Hâgg, 1884

M. X.)

(F. de Sch., 9). (Collection de

M. G. P.)

65. Le poète Cari Aspelin, 1884 (F. de Sch., 13). (Collection de

66.

Zorn, par lui-môme, assis devant Sch., l8).

67

un

M.

1

Mme

A.

M. Aug. Hagborg.)

e 889 (F. de Sch., 20), 2

état.

(Collection de

6$.

Mauri (Rosita), 1889 (F. de Sch., pure (non

69.

décrit).

Une Première (Baigneuse 2

e

état.

21),

I

er

(Collection de

et entant),

Curtis.)

pupitre, 1889 (F. de

(Collection de

Proust (Antonin),

et

1889

(Collection de

M.

état,

M.

M. X.)

eau-forte

Jules Gerbeau.)

(F. de Sch., 22), Alfred Beurdeley.)


.

70.

Wade, avocat américain, 1889

(F.

de Sch., 23). M.

(Collection de

71

Carte du jour de l'An 1890. Eau-forte, non

le

La grande

Brasserie,

1890

r

Schweisguth.)

décrite.

M. Ch. Bermond.)

(Collection de

72.

D

de Sch., 24).

(F.

M.

(Collection de

73.

La

même

estampe, état différent, non

décrit.

(Collection de

74.

L'Artiste et sa

Femme, [890

(F.

M. A. -G. Ragault.)

de Sch., 26). (Collection de

(Collection de

M me Armand Dayot,

1890

(F.

de Sch.,

May (M me

Georges), 1891-

(F-.

de

Sch.',

(Collection de

78.

Faure, de

l'Opéra,

189 1

(F.

M. Alfred Beurdeley.)

de Sch.,

M.

St-Yves, Cornouailles 2

80.

e

et

M me A.

Curtis.)

32).

M.

Alfred Beurdeley.)

35).

(Collection de

79.

P.)

3 1),

(Collection de

77.

M. G.

1890 (F. de Sch., 28).

75. Jeune Fille et enfant se baignant,

76.

S.)

M. Aug. Hagborg.)

(Pêcheurs), 1891 (F. de Sch., 36),

état.

La Valse. Une Soirée dansante, 1891

(F. de Sch., 37).

(Collection de

M. Alfred Beurdeley.)

81. Liebermann (le peintre Max), 1891 (F. de Sch., 38),

non

décrit.

(Collection de

M.

I

er

état,

Jules Gerbeau.)


i

ii

llil

IllMUfc *lïl

N° 66 du

i

il

ïlÉfrtfMJl

catalogue.

k lilÉlM^i



N° 69 du

catalogue.



N°

71

du catalogue.



N° 88 du

catalogue.



.

82. Prince Eugène de Suède, 1891 (F. de Sch., 41). M.

(Collection de

83.

Le Matin (étude de femme), 1891

84. La

Dame

à la cigarette

(M

lle

(F.

La Dame Sch.,

à la cigarette

44

(M

lle

Mm

e

A. Curtis.

de Sch., 43).

X), 1891 (F. de Sch., 44). M.

(Collection de

85

et

X),

bis).

i

re

Alfred Beurdeley.)

planche inédite (F. de

(Collection de

M. Ch. Bermond.)

86. L'Orage (Zorn à cheval), 1891 (F. de Sch., 45). (Collection de

87.

Le Réveil, 1891 (F. de

88.

Simon (M me ), 1891

Sch., 46).

(F. de Sch., 47),

I

er

état.

M

(Collection de

89.

Le Joueur d'échecs, 1891

(F.

Grônberg (M me Gerda), 1891

En Omnibus, 1891

(F.

M. Paul

M. Alfred Beurdeley.)

de Sch., 51). (Collection de

92.

Renan

(Ernest), 1872 (F. de Sch., 52),

tion manuscrite suivante belle

Beurdeley.)

(F. de Sch., 49). (Collection de

91.

Alfred Beurdeley.)

de Sch., 48). (Collection de feu

90.

M. Aug. Hagborg.)

image de Zorn vous

:

I

er

M. Loys

état,

Cher Monsieur soit

avec

D ...,

Delteil.)

la

men-

que

cette

un bon souvenir de moi,

E. Renan. (Collection de

M. Armand

Dayot.)


. ..

93

Le

.

94.

même

Bratt

portrait, 2 e état.

(M me

(Collection de

M

Olga), 1892 (F. de Sch., 53),

I

Hagborg (M me Gerda), en

(le

peintre

La Lecture (M r

comte G.

Sch., 57),

98

.

Le Toast à

e

3

et

M

M. Alfred Beurdeley.)

Deering, de Chicago), 1893 (F. de

môme

I

er

état,

Wôrn non

et

Marquand

décrit.

estampe,

e

3

état,

non

M. Ch. Bermond.)

décrit.

M.

et

Jeune

Femme

se coiffant. Eau-forte

non

Irlandaise,

A. Curtis.)

M. Loys

Delteil.)

décrite.

(Collection de

102.

M me

(Henri), 1893 (F. de Sch., 59). ^Collection de

10 1

Môller.)

Nordenskyold), 1893 (F. de

(Collection de

100.

M. Tyge

(Collection de

Collection de

La

décrit.

A. Curtis.)

de Sch., 56).

de), 1893 (F.

état.

Hildebrand, Key,

99.

non

Société « Idun » (portraits de H. Wieselgreen,

la

Sch., 58),

rs

et

M™e

M. Charles Bermond'.

(Collection de

97.

état,

pied, assise, 1903 (F. de Sch., 55). (Collection de

96. Rosen

er

M.

(Collection de

95

Alfred Beurdeley.)

.

M. Ch. Bermond.)

1894 (F. de Sch., 61). (Collection de

M me

Ménard-Dorian.)

Dalarnie, 1894 (F. de Sch., 62).

103

Dimanche matin en

104.

La Vénus de Montmartre, 1894 (F. de Sch., (Collection de

e 63), 2 état.

M. Alfred Beurdeley.)


105.

M me

Lamm,

belle-mère de Zorn, 1894 (F. de Sch., 65).,

2 e planche.

106.

Mon Modèle

et

mon

bateau, 1894 (F. de Sch., 68). (Collection de

M.

et

M me A.

Curtis.)

e e 107. Verlaine, 2 planche, 1895 (F. de Sch., 71), 2 état.

(Collection de

M me

108. Furstenberg (M. et

M. Ch. Bermond.)

Pontus), 1895 (F. de Sch., 74),

e

2 état.

109.

Hagborg (M me Gerda), 1896

de Sch., 79), 2 e état (seul

(F.

décrit).

no. Potter-Palmer (M mc ), 1896

(F. de

.

113. Loeb

(M

r

S.),

New

Bacon (Edward),

i

re

York, 1897

1897

(F.

(F

de

-

M mo A.

de Sch. 8 7)>

Curtis.)

M.

Le peintre Karl Larsson dessinant, 1897

116. Vieille ballade, 1898 (F. de Sch

,

2

état.

Alfred Beurdeley.)

(F.

M

,

de Sch., 92). Jules Gerbeau

.

)

97).

Le Roi Oscar de Suède, 2 e planche, 1898 e

2& état.

Sch., 88).

(Collection de

117.

et

planche, 1895 (F- de S cn -> 83).

(Collection de

115.

M.

Baigneuse, de dos, 2 e planche (F. de Sch., 82).

112. Paris, Effet de nuit,

114.

Delteil.)

Sch., 80).

(Collection de

ni

M. Loys

(Collection de

(F. de Sch., 102),


n8. Le

119.

Déjeuner, essai de vernis mou, 1898 (F. de Sch., 103).

Etude de modèle, 1898

120. Joueuse de billard

(F.

(M rae

de Sch., 104).

P. Bartlett,

femme du

sculpteur

américain), 1898 (F. de Sch., 108). (Collection de

121.

Cassel(Miss Maud), 1898 (F. de Sch.,

122. Paris, Effet de nuit, 2 e planche,

M.

Alfred Beurdeley.)

109).

1897 (F. de Sch., 112),

e

2 état.

123. Le président Grover Cleveland, 1899, Sch., II4).

124.

Cleveland

(M

rs

(Collection de

Grover), 1899

(F.

2e

M.

planche (F. de et

M™» A.

Curtis.)

de Sch., 115). {Collection de M. Loys Delteil.)

125.

Zorn

et

son Modèle, 1899

(F. de Sch., 119), 2 e état. (Collection de

126.

Heyne (M Uc Maya von), 1900

M me

(F. de Sch., (Collection de

127. La Mère,

dénommée

la

Madone, 1900

Gerda Hagborg.)

120).

M. Loys

Delteil.)

(F. de Sch.,

(Collection de

M

.

121).

Alfred Beurdeley

.

)

128. Princesse Ingeborg de Suède, 1900 (F. de Sch., 123), 2 e état. (Collection de

129.

M. G.

P.)

Princesse Ingeborg de Suède, 2 e planche, 1900 (F. de Sch., e 124), 2 état.


N° 92 du

catalogue.



J N° 98 du

catalogue.



N° 101 du catalogue.



.

N°

115 du catalogue



N° 126

du" catalogue.



130. Runeberg

(M ,ne ),

1900

de Sch., 125).

(F.

(Collection de

131.

Joueuse de guitare, 1900

132.

Zorn

133.

Lamont

(M mc Emma),

(le

1900

(F.

(F.

de Sch., 126), 4 e

Mason

135.

Au

)

état.

de Sch., 127), 2 e

état.

Colonel), en pied, 1900 (F. de Sch., 128). M. Alfred Beurdeley.)

(Collection de

134.

M. S

(le sénateur Billy),

1900

(F.

de Sch., 129).

Piano (Miss Anna Burnett), 1900 (Collection de

(F.

de Sch., 130).

M.

Mme

et

A.

Curtis.)

136. Dalécarlienne en costume national, 1903 (F. de Sch., 139), 2 e état.

137. Nouvelle chanson, 1903 (F. de Sch., 140).

138.

Anna, jeune

fille

de Mora, 1903

(F.

de Sch., 141).

(Collection de

139.

M me

Granberg, 1905

(F.

de Sch., 142). (Collection de

140.

Nanette, étude de

M. Alfred Beurdeley.)

femme

nue,

M.

Femmes

près

du

lit,

M me

1903 (F. de (Collection de

141. Les deux

et

1903

(Collection de

(F.

M.

A. Curtis.)

Sch., 144).

M. Paul Mathey.)

de Sch., 145). Alfred Beurdeley.)


.

142.

Lamont

Colonel), en buste, 1904

(le

(F.

(Collection de

Hay

143

de Sch., 148). M. Tyge

Môller.)

(John), secrétaire d'Etat, 1904 (F. de Sch., 149). (Collection de

M. G.

P.)

144. Zorn, par lui-même, 1904, 2 e planche (F. de Sch., 151).

145

.

Rassmussen (M lle Emma), 1904

(F.

de Sch., 153).

(Collection de

Kip (M rs ),

146.

1904

(F.

de

Sch.,

154).

(Collection de

Zorn, par lui-même,

147.

Schubert)

(F.

1904 (pour

le

Mm

et

e

A. Curtis.)

de F. de

de Sch., 155). M.

Alfred Beurdeley.)

Violoniste de village, 1904. (Collection de

Curtis (M. et

149

M.

catalogue

(Collection de

148.

M. Alfred Beurdeley.)

M me Atherton),

M. Alfred Beurdeley.)

1906. (Collection de

M.

et

M

ra e

A.

Le Président Roosevelt, 1905.

150.

(Collection de

151

.

152. Nansen

(M me Betty),

M.

X...)

Jules Gerbeau.

1905. (Collection de

.

M.

Engstrôm, 1905. (Collection de

153

Curtis.)

M. G.

P.)

Musique en Famille, Mora, 1906. (Collection de

M.

et

M me A.

Curtis.)


<ibk" jiMiNi^kWkft

N° 142 du catalogue.



'A



154- Demoiselle d'Honneur, 1906.

paysanne de Mora, 1906.

155.

Kesti,

156.

Ida,

157.

Baigneuse, 1906.

158.

Raccommodage, 1906.

159.

Femme

160.

Le Coucher, 1906.

paysanne de Mora,

nue

1906.

se coiffant, 1906.

(Collection de

M. X.)


..

SCULPTURES 1

6

1

62

Ma Grand'Mère (bois).

1

M me May (bronze).

.

163.

Gustave Wasa (bronze).

164.

«

165

Le Faune (bronze).

1

66

.

Gryvyl

» (bois).

Boîte à bijoux (bois).



MODERNE IMPRIMERIE 9,

rue

Abel-Hovelacque

PARIS




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