Goya, 1902

Page 1


THE

J.

PALIE

GETTY MUSEUM LIBRARY


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es artistes de tous tes SÉRIE

C.

LES TEMPS

temps

MODERNES

GOYA



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REVUE DE L'ART ANCIEN ET MODERNE

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PRESSE


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FRANCISCO

GOYA

(

par lui même

Collection de M.Léon

Revue de

l'Art ancien et

moderne

)

Bonnat

Imp.L.Fort


LES ARTISTES DE TOUS LES TEMPS Série C. — Les temps modernes

GOYA PA R

PAUL LAFOND DU MUSÉE DE

cO N sE U VATE UR

PAU

PA PIS LIBRAHUE DE A N C

I

ANCIEN ET MODEHNE

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rue

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Tdllijoiil

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Prdm Louis

Ballesleros.

\ïisi[iicz

dinando

N il

N’iarilot.

Lh'onde do

la

l.omlon.

ol

l

en

ri

10 de

— Les

London

— Aolicia inslrnclira

cscrüa

//

presentada a

S.

M.

el

Bey don

P"er-

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Xotieias biograficas. Zaragoza. Imprenta de la l’erseveroncia, 1808,


ADDENDA CAÏALOdUE DK f/OEnVRE PEfNT ET DESSINÉ Portraits. Portrait de Ferdinand IV, roi de Naples.

ea buste du grandeur nalurello. Peint entre 1780 et 1790. Madrid. Appartient au marquis de la Vega Inclan.

Toile. Fi”'ure

Dessins. Portrait de Ferdinand IV, roi de Naples.

Exécuté au crayon entre 1780

et 1790.

ERRATA Page

23,

Page 128,

Légende

île

la

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134. 2® colonne, .Vrt. 176, ligne

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135, P’® colonne. Art. 181. ligne

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135,

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W.

Dannat.

Il.-IL

M.

Maura.

W. Dannat

Peyral.

M.

W. Dannat

Dios. ha.



GOYA I

L’ART DL GOYA L’Espagne, après avoir élonné peintres, de la fin

dn

xvi" siècle

bien bas (jnand aj)parnt Goya,

le

monde par le nombre el le an commencement dn xvm'^, le

opaques

nom

siècle

;

11

pour

suffit

faire

Ini disparu,

les

du dernier

moines

siècle,

et ses

scs voleurs

et

est bien le

même

ténèbres se firent pins

la unit et

a})paraître devant les

mirage, l'Espagne à jamais évanouie et disparue.

Homancero ou

l’anli’e

affirma son génie en faisant revivre

espagnol se résigna de nonveau à

et l’art

seul

tombée

était

dernier annean de cette cbaîm*, à

bout de hnjnelle se trouve Velazqne/.

dans son œuvre Eàme de son

talent de ses

yeux,

Non

au silence. Son

comme dans un point l’Espagne dn

des rois catholiques Isabelle et Eerdinand, mais celle

avec

gentilshommes

ses

et

grandes

ses

dames, ses

contrebandiers, ses toreros et sesmajas, sa Sainte-Ilermandad

de grand chemin, ses nécromanciens

et ses

sorcières.

Goya

miroir fidèle de cette Espagne tour à tour joyeuse et terrilde,

galante et sauvage, picaresque et fanfaronne. Dans son œuvre, on rencontre

pêle-mêle Almaviva coudoyant cita

Torqnemada

;

assistant à

le

torero Pedro

un autodafé

;

Romero

;

Basile, la

Carmen-

des moines et des paysans massa-

crant des soldats de l’armée de Nai)oléon. L’artiste a fixé à jamais,

avec sa

brosse ou sa pointe, cette société castillane qui s’est écroulée sons scs yeux,

dont

il

fut le peintre attitré et le dernier représentant’.

Eug. Delacroix donne une singulière preuve de la sincérilé de Goya dans ses lellrcs écrites son voyage au .Maroc, en l.s:52 et 18:t3. 11 revient à plusieurs reprises sur les sensations de plaisir qu’il a éprouvées à se trouver entouré d’Esi>agnols en costume do Figaro, à contempler des moines de toutes robes, à se sentir transporté dans une civilisation d'un autre siècle. « Tout Goya Iialpitait autour de moi, » écrit-il. *

lors de


(

JUen et

son pays,

lie

captivé

i)ar

li's

l»ien

:

0VA

de sa race, Goya esl avant tout nn nalnralislc attiré

scènes de

avec une ironie, une vivacité

rend

la vie qu'il

d'expression ([ii’aucun aidre peintre n'a jamais atteintes. Coinhien loin der-

ne

rière lui jilns

pas

laisse-t-il

on moins

ofliciels

de

li's

faiseurs de peinture de son pays,

cour

la

El'lSOliE liE l’iiGCCPATIOX

d(‘

Madrid

FKANÇUSE

A

!

cote d eux,

(colledion de

Jl.

auprès de |iygmées. un chêne entouré d’arlndsseaux. d

luii

des (adh'ja, des

luipliaid et

Mengs,

(‘iicore

cet

bei'i'o,

1

pres(pie inaboi'dables, bî

(Jni se

souvient anjour'?

Tout au plus

a tour

ijiii

indomptable Aragon aux grandes

(d

brûlantes on glaciales, aux vallées sauvages

avaient servd de l'ofugc aux libertés nationales

minuscule royaume de Sobrarbe après

Be celte timacc lité, la

Ch. Clicrfils).

l'ispagnol, n'est-il pas tout à fait oublié

entant de ce hautain

montagnes dénudées, tour dans

semble nn géant

des buzan, des Maella, des Bayeu

Allemand devenu

artistes

!

(lOya esl bien

et

il

les

et lièrerace ai’agonaise

cbnlc de Tempirc des Goths.

bravoure qui va jusqu’à

a la

il

la

la

xolonté [toussée jusqu a rentètement, l’amour de rindéj)endance

la libert(', id,

Malgie

le

par-dessus tout,

la

haine

fameux mot de Louis XIV

d(' :

témé(d

de

Tétranger. «

Il

n’y a pins de Pyi’énées

»,

l'Es-


( i

pagne, à

la lin

du

3

xvm'' siècle, était encore tro[) isolée

réforme imposée à

l’aii

que David, à son tour,

Goya une

ÜYA

inlliience

pour

(pie la soi-disant

par les prédécesseurs immédiats du peintre David, allait

et

despotiquement poursuivre, pùl avoir exercé sur

quelconque. D’ailleurs, sa nature énergique, volontaire

Portrait de '

Goya par

et

lui-mème

iVonLispicc des Caprices).

personnelle n’aurait jamais pu s’asservir aux règles auxquelles on eût entendu le

soumettre. Il

n’avait

que

faire des lisières

imposées par ces pseudo-rénovateurs

leur successeur, ce réfoi'mateur à l’esprit étroit et entier. lui cette imitation

tion

mesquine

empruntés aux

et frelatée

informé sur

la

vie? N’avait-il

[>as la

lui

par

importait à

de l’antiquité, ces sujets de composi-

histoires assyrienne,

égyptienne, grecque ou romaine?

Qu’aurait-il été chercher dans les siècles passés être

Que

et

nature,

?

Ne

lui valait-il

et, tout

cahles modèles dans les merveilleuses toiles de Velâzquez

près de et

pas mieux

lui,

d’impec-

des antres grands


CO Y A niaîlivs, réuni. ‘S

delà

les priiicos

i):ir

iialiire el eoiiseillenl

Plus (lu'aueuii autre oi.tiisrs et étroites

hégaiements de

l'art

eemetits des écoles ol.jectit

celui

(|iie

comme eux

il

du

le

la

maison (rAulriche, qui loulcs

de retourner vers

la

d.‘ S.'ville,

était

du Scnncnt des Horaces.

h' sol

de

la

relxdle

aux théories

De^.iiis les

péninsule ihéri.jue, de[>uis

les ai'tisles

procèrleiiL

source d'où elles éinanenl?

tempérament espagnol

jieintre

sur

il(>

les

premiers

commen-

nationaux n’avaient jamais eu d'autre

de faire vrai. Goya })ensail

comme

ses compatriotes, el

avait riiorreur instinctive de tout ce qui est d'importation étran-

gère. La

morgue

(pielqin;

chose à demander au voisin ou à apprendre de

castillane

ou aragonaise n'admet guère que l'on puisse avoir lui.

11

faut recon-

naître (|ue cet orgueil a du hon et qu'il a eu ce précieux résultat de maintenir



t


(10 «

Tralos montes

que

fort

De

»

un

YA

purement autochtone, superhe

art

puissant, n’ayant

et

peu emprunté aux nations étrangères.

ce C(jté,

ne faut cependant pas être

il

Goya, llemljrandt,

merveilleux

notamment,

a eu sur

lui

de clair-obscur dont a

effets

absolu,

tro})

même

à

propos de

une action indéniable. Épias des

tiré

un

si

extraordinaire parti

le

chef de l’école hollandaise, à l’inverse de Yela/quez et de presque tous les

maîtres espagnols dont

la

pénombre, aux ombres

La trahison

toile,

ordinairement d’une simplicité

df-

et

d'une

peintre aragonais attache une énorme importance à

clarté sans égales, le

lumière, à

la palette est

les

Jadas, dans laquelle

plus profondes

l’effet

mêmes

;

la

témoin sa

de clair-obscur est d’une puis-

sance rare; témoin surtout scs eaux-fortes dont nombre de scènes,

et,

parmi

celles-ci, les}dus belles et les plus étourdissant('s, se passent dans d’opa({ues

ténèbres striées de quelque éclat violent et intermittent de lumière

Goya reconnut exercée sur

d’ailleurs de

La preuve,

lui.

la voici

amis

sée à lin littérateur de ses

Velâzquez Si

Goya

laquelle s’il

et

doit

il

Rembrandt.

doit

est

c’est

un

«

dans ce i)assage irune de ses J’ai

eu

lettres adres-

trois maîtres, » écrit-il, « la nature,

»

beaucoup à

beaucoup aussi

un

:

a

nature

la

avec une passion jalouse,

qu’il étudia

recourut sans cesse, qui lui enseigna scs adresses et ses témérités;

non seulement s’il

bonne grâce rintluencc que Rembrandt

à

Rembrandt,

l’avoue,

il

mais

indépendant

et

doit pas

comme même

disciple très reconnaissable

disci[)le

iie

il

il

moins à Velâzquez, comme s’en fait gloire. Toutefois,

du peintre ordinaire de Pbili})pe IV,

peu soumis, qui

s’est

plu,

bien souvent, à

faire l’école buissonnière,

écoutant assez volontiers ceux qu’il rencontrait au

coin des chemins ou dans

les

nolds, Gainsborougb,

boudoirs, quand ces derniers s'appelaient Rey-

^Vattcau ou Greuze.

En

lagunes

sur les

Italie,

l’Adriatique,

Goya aurait bien encore trouvé un peintre avec lequel

eu

i)oint

[)lus

d’un

de contact

:

d’aller faire sa connaissance à ])lus

de soixante-ilix ans,

[tins tard.

et

Gio Rattista Tiepolo; mais

Venise

;

y demeura

ce dernier vint

il

il

de eût

n’eut pas besoin

en Espagne, âgé de

jns([u'à sa mort,

survenue sept ans

Malgré son âge avancé, ce descendant encore reconnaissable de

Véronèse exécuta à Madrid de nombreuses décorations que naisn’étudia pas sans

iirotit.

le

peintre arago-

Les eaux-fortes de Tiepolo', qui pratiqua ce motb'

Jl ne l'aul pas oiililier (|ue Tiepolo a gravé une série de -l planclies inülulée iuvenlati ad incisi dal cclebrc Gio liaüisla Tiepolo. » '

:

»

Vari Capricci


(

.

(;

de -raviirc'

)

VA

ilélaissé alm's, inléivssèrent

si

être à essayer de

la

poinic

vivement Goyael

le

décidèrent peut-

son lonr. mais d nin' layon Ionie dilTérente de

à

les plancln's sont lonjoiirs claires, gaies et

du maître vénitien dont

cidle

(

enso-

leillées.

L'amour de

tiova i>our les anciens maîliv'S est la meilleure i»renve ([ne l’on

SCKiNE DE CAliN.U'AL

duniK'i'

|iiiiss('

vcan.v

;

de sa sincérité.

conscient de ce que

des expressions, l('i'

ce

cpii

il

convenait

le

la conti'aignit à

M. Ui

ji’a [>as soiij^é

meme

chercha à pénétrer

.

Clicriîlb!.

à inventer des procédés

langue n’est pas ennemie de la

la

la

non-

variété

techni([nc du passé et à lui empruii-

mien': à son individualité.

mcnl dans son application,

moyen

la

Il

(colloclioil ilc

conrormant

à ce

Il

la

modilia natnrelle-

qui était en

lui,

et i>ar ce

de nouvelles manifestations.

Certains ont vonin voir dans Goya

un moraliste dans

le

genre de Hogarth,


r.ovA se servant de sa pointe et de sa brosse

mettant à nu

la bassesse

pour fustiger

les vices

de son temps,

de ses contemporains alin d'inspirer

riiorreur de leur conduite, stigmatisant les

mœurs

le

mépris

et

de la cour de Charles IV

en montrant, tous voiles déchirés, l'hypocrisie, l'ignorance, l’impudeur des

personnages des deux sexes qui composaient l’entourage de l’ertile

comme

en luttes intestines.

graveur

et laisser

encore, jugerait on à écrit ses fables

:

H

le

famille royale,

faudrait, dans ce cas, considérer l’artiste surtout

presque complètement de côté son œuvre

tort. Il a peint,

pour

la

dessiné et gravé,

comme

})eint, et

La Fonlaine

a

plaisir de produire, }>ar besoin de se réqiandre, s’em-

barrassant fort peu des (|UCstions de morale. La vérilé est

(jue,

mêlé auxintri-


8

j^urs

tli?

taiilùl

cour, aux (juerolles

puur

tics jiaiiis,

({iii

proutl fail cl cause taulol

pour

l

un,

son burin acéré pour égraligncr ses adver-

l’aulrc. sc servaiil de

saires du jour,

il

seroiil ses alliés

de (bunain.

Les idées de Goya sur son arl n'élaienl pas, bien enlendii, d’accord avec celles des peinlrcs de son temps. Les jirocédés

Aveugle

enlevi';

suiî

les

le

(b‘s

lignes lui semblaient

une absurdité. Quant à il

corps qui

(pii

u(‘ le

reliefs el d(‘s

(pie

Gov.\.

sont encore Irop de nos jours, consislanl à ne voir dans le dessin qne

servir de ses i)i'opres (‘xpressions,

(pii

alors,

cornes d’un taureau

gravure dclacliec de

qui

d'enseignemenl de modo

sont pas, des [dans

eiilonccments

jiasse, avail-il

moi.

»

1

:

«

Je ne

:

^

avancent

comple

et des

i>as les poils

mon

mieux

}dans de

jtinceau ne

Les professeurs abnrissent

leur taisant tracer de leur crayon le

la nature,

pour se

ne voyait que des corps éclairés

babilude de dire,

Et encore

dans

lui,

laillé, cl

la

(jui

reculent, des

barbe de l’homme

doit }ias voir

b-iirs

et des

jeunes

mieux

éli'ves

en

pendant des années, des


LA REINE JUARIE LOUISE Musée du Prado ancien

et

moderne

lmp

L Koit



(^.OYA

9

yeux en amandes, dos bouches en arc ou en cœur, des nez en tôles

en ovale.

dessin.

Qu’ils leur

donnent donc

le

1 renversé, des

seul maître de

»

Avec de

telles théories

esthétique routinière.

il

de comprendre qu’il n’eut jamais une

est facile

prenait les gens

Il

présentaient devant

tels qu’ils se

un type

se gardant bien de les rapporter à Il

nalure, c’est

la

préconçu

idéal

et aria'dé

disait-il, « la

si

l’on veut bien

l'éllécbir

y

couleur n’existe pas plus que

ligne

la

«

:

nalure,

la

n’y a que

il

;

Dans

d’avance.

au premier

avait sui‘ la couleur des idées tant soit peu paradoxales

abord, quoique justes,

ture est dans les sacrilices et dans les })artis pris.

Sa palette

extrêmement simple du

était

noir,

:

ocres, des terres de Sienne, et c’était à

peu

])i’ès

»

le soleil et

ombres. Avec un morceau de charbon je ferais nu tableau. Toute

les

lui,

la

pein-

»

du blanc, du vermillon, des

tout.

Il

peignait dans la pâte,

n’usant que fort rarement des glacis, et encore, uni(juement dans les petits

tableaux qui devaient être vus de très près. L’art

de Goya n’est pas rigoureusement raisonné.

instinctif.

Chez

lui, les

moyens d’expression purement

cherchés ni voulus, mais bien

saisit

en entrant dans une

tout,

ville

il

comme

particulière

celle qui

on dans une bourgade d’Espagne, une

odeur de chair en mouvement, de sueur humaine. Dans ses

toiles,

comme

dans ses eaux-fortes, dans ses décorations religieuses mêmes, qui n’ont, vrai, de religieux

ment des corps

que

le

nom,

uns contre

les

terprète des scènes

({u'il

instar de

I

pour

elle, les

Don

est

les

autres dont se dégage une sorte d'électriest

acteur tout aussi bien qu’in-

représente, et ces scènes, quelles qu’elles soient, se

passent dans des milieux à

il

sensation dominante est celle du dur frotte-

la

animale, pour ne pas dire bestiale. Goya

cité

est

Dans son

résultante fatale de sa nature.

la

œuvre de passionné impulsif on sent une odeur vous

Avant

naturalistes ne sont ni

i)lus

simplistes que les mMres. La race espagnole,

Quichotte, ignore

le

ap[)arences réalistes sont

ridicule,

um^

qui ne peut l’atteindre, et

nécessité.

Dans

sa peinture

Goya

néglige et laisse par conséijuent de côté les transpositions savantes et délicates dont

il

n’a cure, ou,

posilion appelle

la

pour

j)arler plus

sa,

foi'ine

de Irans-

collaboration du spectateui’.

Plus qu’aucun autre peintre des })i'is

justement,

de nos jours. Plus

et

contemporain, })resque un

é[) 0 (|ues

[)assées

mieux (ju’un précurseur,

homme

le

il

est fait

pour être com-

peintre aragonais

de demain. Sa façon de traduire

('st

un

et d'inter-


(i(>

10

la

iialiuT csl ahsolunuMil inodonio.

cûmpi‘('di(‘nsinu

d'mi arlislr

a\ama‘ sur

de eeni ans

(mi

eoin[)l('deinrnl

(>sl

ni

son

(oi

merci,

obsession, d arriver à

esl parv('nu à

Les listes

cm donnei'

ai'lisles

Son j)roeédé de

siàel(‘.

d(diors

(d(-

1

de

})lus

j)orlrai liste

Irès

Il

osl

de Ionie lliéorie d'enseigneinent

poursuivi

C-OntSE EE NoviLLhs,

cal)le

lcdle qu’il la voil, av(“C la

d'une exlraordinaire audace.

raeoii di' Irailei’ la rres(|ne.

sans Irève

la l'oud

Il

nolri' laiiips, os(' cl iiidcpiMidaiil.

d('

personind

i'xisl»nic(‘,

VA

jtar celle

litliograiillio

expression de

Il

;

sa

a diirani Ionie son

lancinaiile idée, iinjila-

de Goya

la vie;

on

peiil

presque dire

qu’il

l’illusion.

qui oui peiiil leur bnnps sont désignés sons les

on de natnralisles. Cela poun'ail à

la

noms de

rigueur s’entendre dans

le

réa-

sens

profond de ces mois, mais ordinaire, ces dénominations s’appliquent aux peintres qui sont plus particulièrement frapj)és par l’exlériorité des choses,

par

le

pittoi’csque de l’inslanl,

véi’ilaldes l'éalisles

(dre

du moment. Ce ne sont pourtant pas

ou natnralisles, ce qui

esl

exclusivemenl réservée aux maîtres émus

incapables de se reluser à rinvisible, et cette

pénétration des êtres

et

(jiii,

tout un. i»ar la

là les

La qnalilication doit puissance de

la

vie,

de toutes parts, se manifeste à eux;

des choses, étrangère à leurs contemporains.


G

en

Goya

seuls, et

générai,

le

souci du sacrifice,

passion sensuelle de

la

décor du costume

et

de

la

le

la vie, cet

couleur locale,

le

sens du

ensemble

contraint au

de simple accompagnement,

rôle

à respecter ce qui est im-

le force

muable,

et,

même,

par cela

sombrer dans

jamais

geante. C’est ce qui a les

cban-

et

que chez

fait

ajustements semblent tou-

jours vraisemblables,

que

ne

<à

ridicule

le

mode ondoyante

la

eux

se trouvent le

dédain de l’anecdote,

le

qui supprime

de

du nombre,

est

11

de leur époque et de riiuinanité. Chez ces maîtres

les deini-dieux

fait

OYA

deptiis

même

lors

longtemps

ont

ils

été

remplacés par d’autres qui cbangeront à leur tour.

Goya,

comme

tous

maîtres, n’a rien omis

Chez

auivres.

ses tient.

vrais

les

de

lui

tout

elles,

Son tempérament

dans

lui

se

impose

des formes précises et absolues

j)ar

endroits, transparentes et fuyantes Tête

par

d’autres.

Plein

de

verve

d’étude,

(ipssin

et (colleclion de M. Paul Lalond),

d’esprit,

il

eut

l’intelligence

des

sacrifices (jui doivent servir de la

point de départ

au si)ectateur

et

sensation voulue. Iiien de plus juste ni de plus vrai, [)U iscpie toute leuvre est faite

Le tabb'au l’artiste la

compléter

n’est pas

digne de ce

})artic

du rêve qui

l’expression d’un

terminé,

nom

est

il

le relie

eiicoia'

celui

(|iii

de désirs.

dans son enfantement va

et déjà

le suivre, l’associant ainsi à

doit faire converger tous ses etïorts vers la vie

amour immense,

à jamais inassouvi.

par


Il

VIE DE (jOYA SA JEUNESSE.

l’i’aurisco

pauvre

(

loy.'i

y

par pai’

(irasa;

r('jj,lise

inmi du

le

paysans

simpO's enl'aulsU

II

halulaiil

journées

un

200

iui([uil le

30 mars 1710 à iMiendelodos,

lial)ilanls,

voisin de Saragosse. Baptise

<'omme en

vieaii'e,

})ari‘aiii

gi'andil

<à

SON MAITRE LUZAN

Nuire-Daine de rAssomjdion, paroisse, du village,

Uamillo Uusla,

eiiré

!('

des

de luO

Maria Xiimuiu,

.lns('

Liioit'iiU's

lr;ici;i

villaiic arai^Diiais

liMidemaiii dans

1('

(

eut

il

ne ligure pas iiiu'

p(ui

Ses })aren(s claienl de

sni‘ l’acle.

pauvre cliauruière,

ayant

el

déjà

gamins du voisinage, donnant

recevant force horions, mais très certainement en donnant pins recevait. La h'gemh' i'acont(‘

par hasard

passant

du charhoii, sur un et. (|u’étouué'

à Fuendetodos, aperçut

il

(Jiie

(|u’en

le

pas

la

|»ortrail

(h‘

l’emmenei’

d'un maître ca])ahle de montrait

île si

à

à

de l’avenglc du village,

iM'ine

le

ou fausse, peu iuqiorte. Ce qui

âgé de douze ans,

travaillait

prieur de

Aula Dei, située près de

chartiauise

ohtiut de

la

mettre sous

la

(>ssai,

les princijies

Icujnid

la

dessinaiil avec

Saragosse poui‘

enseigner

Imzan, à Saragosse, chez

soit,

Goya

il

d'un

art

pour

sniqii’enanles dispositions.

cette li'geudc Soit vl'aie

1700 Goya,

lui

et

n’en

— ([n’un moine

petit

le

qu’il

sienne?

des heurmises dispositions que décelait Cad

famille du j(‘uue prodige dii'ection

hujiud

— quel [teinire n’a

coin de muraille

d’antj'es

dans son liourg natal, vagaliondanl

à l’altaudon

j)olissounaut avec les

eiilièi’es,

nue certaine Franeisca

maia'aine

poni'

de l)aplème dressé

l’aele

loi

l'ail

ih'

l’avait fait entrer, soit la

est cei'tain, c’est

dans

l’atelier

de

Don Félix Salzcdo,

ca[»itale

de l’Aragon,

plus proiiahlemcnt, lecomle.de Fuentes, seigneur de Fuendetodos.

Mai'i.a de li Sal.'j., ainsi que le coiut.e de la Vinaza. dans ses Adiciuiies al iùccloiturio llistôde lus md.s ihis/res ]irofe.soreÿ de las hellus arles en Espana de lion .laun A<justin Cean Hermtidez, assurent (|ue le ]ière de Goya quilta Fuendetodos, peu après la naissance de sou fils Francisco, pour aller s'elalilir à Sai'.agosse mi il apprit le mèlier de doreur que dès 1749, il exerçail dans cette ville, calle de la Moreria Cerrada. '

rico

l)(iii


(iO V A QiieI(|U(' primesaiilh'r,

menl

il

se ressent jtlus

porsoimcl

13

el iîiclVpondanl (|ue soil (lu ailisto, falalc-

ou moins de son enlonrage

de son milieu, snrtonl

el

dans sa jeunesse. L’innuence de ses premiers maîtres, de ceux qui

aux

[irincipes et

an mécanisme de

l’art, se

reconnaît toujours chez

secondaire qu'ait été leur valeur. Aussi n'est-il

vement

la

vie

de Luzan qui

Iluhens et Quentin Varin pour

On ne

fat le

[>as

pour Goya ce

l'ont initié

lui,

quelque

inutile de racontei-

Vœnius

<ju’Otto

l)riè-

fut jiour

Poussin.

PEL'T UEGAIUiEU cela, gravure

cx.Li"iite îles

Désastres de

la

Guerre.

Quoi(|ue complètement oublié aujourd’hui, Luzan n’est pas absolument }>remier venu.

amusant,

le

Il

dessinait assez

procédé expéditif et brillant,

l’ordonnance pittoresque })ourtant

Vinaza^

correctement,

et

et possédait

du sens décoratif son ;

une certaine harmonie. Comme, c’était

avait

l’a fort

le

faire

léger,

le

facile,

une certaine entente de

coloris, fade et terne, avait

justement

écrit le

comte de

une sorte de Pacbeco aragonais, mais un Pacbeco de

la la

«lécadence dernière.

Le xvnP

siècle, si brillant

en France,

fut

une époque de déchéance com-

plète pour rEspagne. L’art et les lettres y tombèrent dans

abandon absolus. Pas un '

El l'onde de la Vinaza.

artiste,

pas

un

un marasme

et

un

écrivain à citer d’une valeur réelle.

su tiempo, su cidu, sus ubvas. Uuv.

cit.


(K) V A

La vie iiilelL'diirlk'

d

srmiik'

crrrlirale

pairie de Cervantes el de Vela/apu'Z. (d, été les princes de la

Charles IV,

ils

maison de Bourbon,

ne pnrenl relever

et

avoir alors

lolalomeiil

délaissé

la

(inelque bien inlentionués qn’aienl Pliilipp(‘

^alvaniseï'

V, Charles

l’art

(|ui se

III cl

plus tard

mourait de con-

som])tion.

A

la

vérité Charles

111

avait

couréra sur les Beaux-xVrts

les

l'ail

venir à sa cour Raphaël

Mengs auquel

il

])ouvoirs d'une sorte de dictateur; mais que

pouvait cel Allemand aux maximes

éli’oites et rigides, à

rcxéculion timide

el


POHTKAIT DE EA HEINE MaHIE-Lo L’ISE (uncicnne

galerie

de

San

Tclnio

à

Siî^illc).


(K)

VA

16

son

lal.oriüUsc, qui, avoïKinl ,',ioii.s

,1„

CIrango

ConveC

,1c joiiuli-c

al.sciice il’onginalilô,

au dessin

,lu Saii/,io le

l.-aillcui-ssou inilucucc fui

cul la protciUion loul au

coloris ,lu Tilicn cl

la gi'àcc

k'auenup plus appamilc que

réelle,

Scène fantastique dessin (oollcclion de

iiiliniment l’ielre

celle de

l’ait

entrer

guère dejmis

Après

lui,

Henri Kouari).

Luca Giordano, élève attardé de

de Corlone. Aj)[)clé par Gliarles

mier avait sortit

moindre que

I\î.

l’art csjiagnol

II,

dans

à

Madrid en

la

U)'.)2,

1

école de

celui-ci, le pre-

voie de la décoration dont

il

ne

lors.

Giacomo Amiconi, Giaqiiinto Corrado,

et entin liepolo,

venu

le




(;o

VA

17

mouvement, moins

dernier en Espagne, ne firent qn’accentner et accélérer ce

malhenreux peut-être pas la décadence,

il

ne

qu’il

le

semble au premier abord,

car,

n’enraya

s’il

rendit moins apparente et par conséquent plus sup-

la

portable.

Luzan temps.

une place des plus honorables au milieu des peintres de son

lient

peut être avantageusement

Il

en compagnie des artistes aragonais

cité

ses compatriotes, à côté de Francisco Artiga qui,

en

même

et

au burin

temps architecte, ;

d’être i)eintre lut

malliémalicien, graveur à l’eau-forle

litlérateui’,

de Francisco Piano, également architecte, qui, d’après Palo-

mino, égala en mérite

célèbres Colonna et Metelli

« les

un grand nombre de tableaux de

qui a laissé

non content

»

;

de Pablo Uaviella,

batailles d’un style tant soit

peu

incorrect; de Juan Alrnor, l’auteur des fresques de la Chartreuse de la Con-

mort avant leur achèvement; de Josef Forlea, plus particulièrement

ception,

adonné à

peinture de Heurs

la

;

de Carlos

et

Francisco Casanova,

le

i»remier

peintre et graveur, le second miniaturiste et graveur en médailles; de Pablo

Pernicharo, élève de llovasse, dont les copies des œuvres de Raphaël, exécutées en Italie, ne sont si

envié de peintre de

calzados d(-

de Rarcclone,

»

la Vierge

Saragossc où

dans

la

sans mérite

Chambre

de Josef Romero, qui obtint

et brossa, [lour le

composition

la

;

si

couvent des

«

mercenarios

connue en Catalogne de

Liizan il

fut

ou Luxan y Martinez naquit le Di décembre 1710 à baptisé le jour même dans l’église Saint Michel de los

De nobleextraclion,

il

à l’àge de seize ans, i)lacé en qualité de page

fut,

maison des princes de Pignalelii, comtes deFuentes, qui, par

tion de leur race et

Comme

le

jeune

parleur fortune, tenaient

homme

prince de Pignalelii l’envoya à ses

la

peinture. Luzan y travailla sous jouissait d’une

ouvrages des peintres à

la

la

frais, V('rs la

peinture,

direction de Mastreolo, élève de Soliil

prit le

goût des

mode, de Pielre de Cortone, de Solimène, de Luca Calahrese,

dit-il

et

médiociités lamentables, les Mattéi, les Simonetti,

compositions de nombreuses copies

sans originalité.

la

1730, à Naples, pour y étudier

grande notoriété. Chez ce maître,

Ciordano, de Matlia Preti

testable habileté de

l’ilhislra-

première place en Aragon.

monlraitdc grandes dispositions pour

le

mène, qui

le titre

à saint Pierre Nolasque.

Don Josef JXavarros.

la

}>as

main, ne

lui

même etc.

11

de leurs imitateurs,

exécuta d’a[)rès leurs

(jui, si elles lui lirent

acquérir une incon-

enseigm'rent qu’un slyle sans caractère et


COV A

I.N

Apiès [dac(> suil

à

ciiu]

ans de ce lal»enr assidu,

il

revinl dans sa pairie

an lover dos PignaUdli qu'il ne (jnilla plus. i'('i;ap,ni‘r

l'italir

pour s('juurner

à

Koine,

ne

(|n'il

rcj)ril

cl

[tensa Idcn

Il

sa

un inslant

coniiaissail pas,

apri'S avoir i)réalab]ement

Florence

visité

à

soit

aller

et

Venise,

s’installer

Madrid auprès de

la

à

cour;

mais, par suite d'une sorte d'aj)atliie

natm'elle et aussi

reconnaissance

|iar

ceux qui lilé

l(‘s

son

aid,

lui

avaient

moyens il

pour t'aci-

d’étndier

se décida à res-

auprès de ses bienfai-

ler

teurs,

dans une sorte de honorifique,

donu'slicilc

faisant [lonr ainsi dire })ar-

de leur famille.

li('

ans après

Cinq

relonr de

son

Na[iles, en 1740, à l’àge do

lrenle-cim[ ans,

il

se

ma-

ria avec Doua Teresa Za-

ba O, I

tille

dn [(cintroZabalo

qui jouissait en

Aragon de

quelque notoriété.

L'muvre de Luzan, qui, aussi bien que Lnca Gior-

dano, eût en droit au surc'est CIIAEL)

(jUE gravLirn

(‘\l

railc

nom

!

d(‘

Fa

presto, est con-

dos ('aprices.

sidérable. Elle consiste en

btblcanx do gmm'. en

porti'ads

tableaux de

ses porirails

}>einls

cliez

gami'o les

(d

l'ignatelli,

religieuses sont pour [telles.

le

snrlonl en compositions religienses. Ses

et

sont

devenus assez rares;

la

plupart,

ont dis[)arn ou sont dispersés. Ses compositions

plus grand

églises ou calluMliales

(b‘

nombre

faciles

à retrouver dans les clia-

l’Aragon, delà Navarre, de la Catalogne et


r.o

de la Vieillc-Casülle

;

VA

10

dans

celles qui se trouvaionl

les

couvents supprimés ou

abandonnés sont moins aisées à découvrir.

Parmi

les principales

œuvres

(}uc

de citer, pour la grande sacristie de

Luzan exécuta

la cathédrale,

Saints de t Eglise ; pour Péglise Sainte-Engràce,

une de

ses meilleures inspirations ([ue ses

à Saragosse,

nn tableau

il

convient

repi'ésentant les

nn Saint Jérome dans

le désert,

contemporains admiraient d’une

façon toute particulière; pour l’église des Convalescents, une Mater in/irmo-

rum, placée sur

le

grand autel de Marie

très sainte

Michel, deux comjtositions se faisant pondant

une Apparition, de saint Michel ; pour

œne

:

l’église

dans

le «

formero del talero

»

de

l’édilica',

l’église de Saint-

Afiparition

delà Vierge

la

et

les

chapelle de Marie très pure,

deux tableaux du gi’and autel; pour

nuMlaillons en riionneur du lîosaire, l’un dans

pour

de Notre-Dame de Jésus,

Fiançailles de la Vierge et V Annonciation de la ainsi (jue les

;

l’église Sainte-Croix,

deux

chapelle des Alares, l’autre

au-dessus du chœur.


20

(

catlicdrak' do

I.a

Jrrdme foueltê par

une Mort du

(d

VA

(.)

Huosca reiirermc deux grandes anges pour

les

jnênie saint

pieds du Christ

i

la

;

toiles

de Liizan

un Sainl

:

à la lecture des livres profanes,

et

cathédrale de Galahorra, une Madeleine lavant

les

s'être livré

un Saint Martin donnant

la nwitiê

de son manteau à un

pauvre.

Ces diverses

d'une prestesse

couii)üsiliüns,

de main

d’une habileté

et

d’exécution extrêmes, témoignent d’une absence de pensée et d’une pauvreté d'invention que ne

pas

rachète

leur style

Les formes arrondies

théâtral.

des personnages représentés, leurs attitudes apprêtées et minaudières, sont aussi

loin

que possible de

(|u’ils

ont

d’atfecté,

rest(>nt

ment

d'outré,

Malgré tous ces défauts, malgré ce

vérité.

la

de pompeux,

ouvrages

ces

d’artificiel,

n'en

pas moins l'œuvre d’un décoratcui' expert et sagace. Luzan a justede surcharger

évité

perdues pour

été

auraiiMit

île

détails oiseux, de finesses hors do saison, qui

le

machines religieuses

ces grandes

spectateur,

destinées à être placées dans des églises ou chapelles plus ou

dans des

des

sacristies,

ou

salles

ou moins hauts. Par

éclairés, plus

la

môme

moins sombres,

de couvents plus

cloîtres

raison,

il

s’est

moins

ou

gardé avec soin

des colorations sombres et s’est elTorcé, avec succès d’ailleurs, d’harmoniscr

monuments

ses [)eintin' 0 s avec les

pas leur confusion, leurs elfets maniérés,

seulement de majesté

A

et

de noblesse, mais

coté

11

avait

renfermaient de

ses

dont

Adonné

le sujet

le

»,

;

plupart

la

assez

et

de

Calaliorra

des

épisodes

fréquemment dans

les

Navarre des bannières de procession peintes

il

tribunal de l’Inquisition

n’est pas

mère du

Christ.

«

étonnant que Luzan

Philippe

V

franclii les

voulut

lui

ait été

réviser do toda pintura deshonesta

mission assez délicate qu’il remplit à

Sa réputation avait ronnantes

couvent des Augustins

tout particulièrement à la peinture religieuse, très scrupuleux obser-

par

O irrisoria

le

principal représente généralement la

vateur du dogme dans ses ouvrages,

nommé

énumérées, nombre

de Catalayud

On rencontre encore

églises de la Catalogne et de la lui.

d’être

de l’Aragon et des provinces

compositions, figurant pour

de la vie de la Vierge.

manque non

de tenue.

presque entièrement décoré

chaussés de Saragosse. Ceux des Capucins

par

même

trouvaient dans les monastères

limitrophes.

leur

leur fausseté,

des productions de Luzan qui viennent

d’autres se

mais tout cela n’excuse

qu’elles décorent;

la satisfaction générale.

bornes de l’Aragon

et

des provinces envi-

témoigner l’estime dans laquelle

il

tenait


Fernando

San

de

AcadĂŠmie

(



(i

son talent en

Il

conférant

lui

un honneur

était alors

même

vint

à

0 VA

21

de peintre surnuméraire du

le titre

Madrid après

cette

et

qui

nomination, qui eut lieu en 1741, pour

prêter le serment exigé en pareille circonstance.

temps

roi, ce

fort envié.

n’y resta que fort peu de

Il

retourna à Saragosse quelques mois plus tard.

Mal gré ce que ses œuvres ont de méritoire, ce n’est pas

Luzan nous intéresse particulièrement, mais bien par son amour de gnement, par

du professorat.

sa spéciale entente

aptitude dans celte branche de

l’ensei-

montra une singulière délicate

l’art si difficile et si

enseignements reçus par

Les

propos.

assez insister à ce

Il

que

elles

i»ar

;

l’on

ne saurait

des

lui

maîtres

napolitains lui semblèrent un dép(M qu’il était de son devoir de transmettre à d’autres à son tour. Aussi, à peine fut-il revenu d’Italie et réinstallé à Sara-

gosse, que son atelier devint

avaient le goût

et

l’amour de

une

accueillis à bras ouverts. C’était

que

aux jouissances de

d’initier

pour

l’art

trairement à l’usage de son temps, tion et

quelconque de

il

une profonde

lui

ceux qui

il

se

L’année

1

fut aidé

intéresser.

telli.

le

Il

avait l’habi-

moyen d’apprendre

un

et

de

:

celui d’ouvrir

Il

eut

projet caressé et médité par lui

une académie publique des Beaux-

dans cette œuvre par quelques professeurs

qu’il parvint à

y Citons parmi eux Juan Zabalo, son beau-père; Pablo Baviella;

Josef Ramirez, etc.

Le

local fut

Bien entendu tous

considérée

recevait d’eux était

755-50 est une date mémorable dans l’existence de Luzan.

depuis son retour d’Italie 11

([u’il

art.

alors la profonde satisfaclion de réaliser

Arts.

Jamais, con-

montrait d’un dévouement

de les voir profiter de ses leçons.

tude de dire qu’enseigner était pour lui surtout

dans son

intime satisfaction

s’y intéressaient.

d’une patience à toute épreuve. Le seul paiement

se perfectionner

et

ne consentit à accepter une rémunéra-

ses élèves envers lesquels

la satisfaction qu’il ressentait

où tous ceux qui

sorte d’académie privée

pointure et du dessin étaient assurés d’être

la

comme

la

les

généreusement fourni par

la

famille Pigna-

cours étaient gratuits. Celte institution peut

cause première

et

délerminante de

la

ôli’e

fondation de

l’académie de Saint-Louis, débnilivement étaOlie peu après à Saragosse, sous les

auspices des notables de Il

n'est pas

élèves de rent à

la cité et

de

la

province.

étonnant qu’avec ce dévouement absolu

Luzan

aient été

une haute

à

l’enseignement, les

nombreux. Un certain nombia' d’entre eux arrivè-

situation.

Parmi

les

[)rincipaux qui

devinrent tous

les


•)>

(

condisciples

(d

li‘S

ses heanv-frèi’es. l'i'ancisco (d

dans

la

ainis de (ioya,

Ii‘s

(

I

A

coinienl de

Irois lîayeii y Siilda. d('

liamon.

Cliarirense

il

.

fiireiil d(‘

peinlres de

Inieiiles,

aux

nommer

Saragosse. doni

Chambre,

la

[)orles

en première ligne

d(>

(d

le

denx aînés,

les

moine

lruisi('me,

capilale de l’Aragon; puis

la

Beralon, de Tarra-

J(jscf

gone, imi lalenr des précé-

ïomas

dents;

Saragosse

de

Marline/,

Vallesj)in,

Antonio

;

de

Ilnesca,

graveur

seiilptenr,

en

médailles, joaillier et orfèvre, dont la réputation fui

gi'ande à Madrid

si

commencement

an

du

siècle dernier.

Les procédés d’ensei-

gnement de Imzan

étaient

ceux de son temps.

commençait

Il

par

élèves

faire co[)ier à ses

des estampes, leur recom-

mandant duire

de

une

avec

cice iMi;rAMOui’iiosK ue sonciEKS

il

provoïKml

cli'

l’Alnicda

d’une

j)(‘rmetlait

d'aborder

dance, Coya ('xercic(‘s

certaine

se,

jdaignit

un [xm pmu

force

à

c(q»ier

des

ils,

])lusieiirs i-ej)i'ises

,

17S.j,

plâtre,

le

et

ce

que lorsqu’ils étaient antiques

(ju’il

(|n'il

leur

avait perdu à ces

surtout aux laqu'oductions d’estampes

démi(‘S, de toutes b'S écoles

cet exer-

cntreti(“ns et sa coi'respon-

du temps

ces (buaiii'ies annéc's, ers [U’océdés ne furent-ils

Le 20 septembre

ligui’cs

modeb' vivant. Dans ses

le

temps de

ilu lUic il'Osiiiia).

n’est

devenus

un

les faisait travailler

,,

d apres (pciiilui’o

lidélité

Après

scrupuleuse. certain

repro-

les

;

mais

jus(|u’à

pas ceux de toutes les aca-

?

Luzan

s’éteignit a[>rès

une

vie

si

luen remplie à


(

l’age

(le

;

OYA

23

soixantc-([ualorzc ans, à Saragosse, dont

sorti depuis son retour d

Italie

;

il

fut

vécu assez pour jouir des succès de ses élèves ceux de Goya, arrivé alors

à la

liU

IX'

(collcclion de 51.

([u’un artiste

ment de

[u'it

n’élait l’c'glise

pour ainsi dire pas Saint-Gil.

Il

avait

les i'rères Ilayeu et surtout

cour de Gliarics

l'ilUTHAIT

il

inluimé dans

lit à

la

de

[dns haute situation

DLC D'OsUNA

0

.

Linden).

ambitionner. Ce fut [lonr

le

vieux [leintre

le

couronne-

sa carrière, la récom[)ense de ses ell'orts C

Goya ne

travailla [»as uni([uement chez

Lnzan

il ;

rré(|uenta aussi <[uel([ue

Liizan laissa im fils. Ignacio laiznn y Zabalo, (|iii, entré dans rndininislration, fut preiniei' alcade de la ville frontière de .laça, Ignace Lnzan ou de Luzan, le poète galliciste. ne à Saragosse en 1702, rpii, a[U’ès avoir jiassé comme .losef Luzan sa jeunesse dans le royaume de Na[des, devint successivement secretaii'e d'ambassade, conseiller d’Etat et ministre du commerce, était certainement de la même famille ipie lui; mais f(iiel degré de parenté e.\istait-ii entre le peintre et le poète homme d'Etat ? Mous l'igno'

rons.


(

à Sai'iiii'dssc*,

|)L'ii,

le

pai lienlarilés

de loules

lialiilaiils

uu

u’ail

sien,

le

auquel

les

ue mauqueul jamais de se rendre

ue consiste pas exclusivement à aller

frie

la

son gonl immodéré pour

est

qui

hoiu'g

voisiiu's

les i)uroisses

dans une chapelle ou nu enuilage

d( 0 ()l(‘uuml s'/igeiioniller

des jeux et des

:

isscuueuls sont raccom[iagueuieut ordinaire des cérémonies religieuses,

di v(M'l

et

Kanrirez.

du caraelère aragonais

Mallienreusemeiil,

lonl(“.

.losel

l'omerias. Pas

ou

pèleriuag(*s

les

de dessin, fondée eu 1/14 par

i\ca(lciiiic

I

sculpienr .luan Uainire/. père de

Une des

('U

l^lcoh's l*ios cl

l('S

OVA

i

sonveni

villages

eiilre

riv/ililés

les

sauglanles. La }»ali('uce et

mausuélndc ue sont pas

la

en luttes

dégahièreiit

coiirréri('S

et

domi-

les qualités

iianles de l'Aragou/iis.

On raconte que Goya

jiarlagcait

la

une mêlée, à laquelle

fêles |)Opnlaires, (d (pi'nu jour, après (d

jeunes gens auraient été assommés,

trois

ofi

seciad,

mandad eu vraie,

réfugier à Madrid. Jns(|u'à

;illaut se

de

est difticile

il

il

aurait

il

cause ou [tour une

[)our cette

Toujours

le dire.

sid'ieiiscmeut au travail,

point rauccdole est-elle

(]iiel

qu'à Madrid, où

VEsopc^

c'roit-ou,

part,

Sauta Jler-

il

était

s’eulhousi/ismaut de Velâzquez,

anli'e,

copiant,

est-il

[»ris

crut prudent, sur uu avis

fuir les familiers de rhujuisiliou et les sergents de la

d('

pour ces

})assiou de scs compalriotes

le

Mrnlppr

mil

se

il

et

venu

nombre

d'autres (cuvresdu maiire éparses dans les diverses résidences royales.

Goya continua pourtant, une

vi(>

dans

Uosine, à

la

une

uavaja.

Tou eu

rue.

Malgré

remrdi(j eu il

cape,

sa

sou séjour dans (1

se

i'('da

(|niller

(loya

faut toujours s’eu ra|q»orter

aux ou-dit,

la

dans le

nue

guitare

sur les yeux, sous

mener

la nuit,

la feiiLdre

de

I

donc

le il

<‘ut,

élaldie. puis(pie à peine

;

l

et

Aragou

la

à

Il

;iu

dos pcrc-é d’un coup de

Guaiido esta vipera

aussit(M

était oubli('.

i'(''inslallé

décoration d une cb;qielle de

le

}»ica,

le

no bay

caché aux yeux des alguazils,

aju'ès

ayant lancé contre

ebemiu de y

:

«

r(devé par des amis

luquisilioii

(b|uipée

ou trouva notre écervelé,

fanhonrg de Lavapiès,

le

})roverbe qui dit

qmilrième année

belle nuit, à la lin de la

c;q)itale d('S Caslilles,

assez ])romptemeul

Madrid,

si

h'ulre rabattu

dise, et,

la l»oliea ».

blit

reprit

é(|iii[tee,

le

la

;i

façon d'Almaviva; mais Barlliolo ne se laisse pas toujours ber-

mu-, (|uoi (jur

coin

il

assez irrégulière, courant les aventures, jduçant de

emltossé

d(‘

s

oii

ou lui

le

lui

lit

eu toute

uu ordre

bâte

d'arrestation,

souvenir de sa première

revenait avec une réputation déjà

Saragossc,

il

reçut

la

commande

fameuse église de Nolre-l)amc del

Pilar.

de

la


Paris,

Imj.L.Fort,

moderne

et

ancien

ad'Art

Revue


1


(;oYA Il

partit

25

peu de temps après pour Rome, dont

il

mer ne

arrivé fort soulTrant dans la Ville éternelle, sa

bonne

heureusement

chance

la

d’aller loger chez

une

ardimiment

désirait

étudier les merveilles artistiques. Le voyage sur

vieille

aller

réussit guère

lui

étoile

lui

femme

qui

;

ménagea le

soigna

avec une telle sollicitude qu'il se retrouva promptement sur pied.

A Rome, au engagé dans

lieu d’étudier les

la

chefs-d’œuvre des maîtres Italiens, fioya,déjà

voie qu’il suivit jusqu’à la

tant des scènes de son pays

exécuta des tableaux représen-

fin,

courses de taureaux, fêtes populaires, etc

:

qui

,

attirèrent bientôt sur lui l’attention des amateurs. Ses succès furent tels

l’ambassadeur de Russie, chargé

nombre lui

d’artistes distingués à aller se

les })ropositions les

lit

La légende a toujours

fixer à la

plus tentantes;

il

s’y

cour de Saint-Rétersliourg,

montra sourd.

sa part dans la vie de Goya, et

plus vertigineuses. la

lanterne de

fois se tuer,

des Papes,

la cité

Ne

l'ait

son

d’inscrire

nom

dans

s'il

s’était

avec un couteau sur une pierre que per-

lui ?

N'aurait-il

pas

un autre

l'ait,

borné à ce genre de folies! Mais

aventures galantes

les

les

sbires,

les bras

au

une

enlever une jeune tice, et

il

il

à

Rome sei'ait

dont

était

violcnmient

un mauvais

il

é[u‘is,

fut livré à

il

quai't d’henné, (piand

les

pour

tentait d’escalader les murailles d'un couvent,

était à la veilb* de passer

tille

il

il,

se

montra

été à Madrid. Là-bas,

le

corniche?

d’une gravité extrèim'. Arrêté une nuit par

alfaire

moment où

l'avait

la

jour,

se lança, jiaraît

il

plus imprudentes et se

encore plus déraisonnable qu'il ne

mis sur

à

eût dû mille

il

tour du tombeau de Cécilia Mctella debout sur l’étroite saillie de

Et encore,

pendant

un jour, dans une ascension

se serait-il point avisé

sonne n’avait atteinte avant

feu croire,

tenter,

plus folles entreiu’ises, les escalades les

les

coupole de Saint-Pierre, jiendant laquelle

la

l'aut

s’il

sa nature aventureuse ne s’était pas assagie. Elle lui aurait

son séjour dans

que

par sa souveraine do décider un certain

la il

jusfut

relàclng gi'àce à riuterventiou de l’ambassadeur d'Espague. Tiri' desgrilb's de la [lolice

romaine, Goya se hâta de reprendre

Encore une C’est ce qu’i

I

qu’aux riches.

fois, (juelle est la jairt

est bien di fticile

de

le

chemin de

la vérité et

de démêler. Toujours

de

la

est-il

sa [latrim

fable en tout cela?

que

l'on

ne

[U'ête


Il

DE GOYA

SUN AGE MUR.

Eu

(lova (initia

177o,

line

fair('

lin

SA VIEILLESSE.

revint

ol

s'installer à

Madrid

avait viiii^l-neur ans, c’était

11

suivante,

l'aniKM'

;

rJlalic

naissante.

l('l)nlal ion

|»réc('d(‘ sa

T

moment

le

de

Bayen, sœur de son

Joseta

(‘ponsail

il

l’avait

ofi

eamarade Eraneiseo Bayen. de leinps apri's,

l'(Mi

lut

il

de dessiner

(diai’i;('

les

carions des tapisseries

destimn's an palais dn Bardo.

Le niariaye vie assez

ii’assaj^il

d’ailleurs d’une

en

[dii[)art

lias

1781

âge

et

le

\il(‘

date

neiirs el

les

I

an

appelait

décédé; (|iii

le

l(>

lui

le

pour a

nomma

ni

avril

1780, à

peintre de

lard,

le

le

la

San iMaincisco

r(''glise

vogue dn peintre

lui

[ironva

lui

R'

la

vi'i'en

à

t

lieiilenaiit la

10 mars

(!rande, de Madrid,

el

de

el

d(‘

lion

rinl’anl

la

de 1781.

lin

ses ceiivres. Eiiis,

Il

dn

frère

l)e

devint roi

une aifeelion tonte parlicnlière. Les lion-

d

lois.

directi'iir.

mort 1788,

la

Le

de mérite;

niemliri'

de

lui lin

mener nue

à

donnant vingt enfants, morts

lui

comnn'iisal

[losle

venait, depuis

01

(‘I

prolils

San l’ernando

en

inlidélilés. Elle

ne fut mis en place qu’à

(]iii

grandi'

s’éprit

({iii

pour

Sirnur

la

iiorlrailiste

(diarles IIE

devant

dont un seul, Eraneiseo Javier, snrvécnl à son père.

enlr('pril

lin Sailli. Ilrnuiril ilv

cette époiiiK'

lirnyanles

et

fa('on p(‘renipt(d r(g

Goya

comme

coni inna

([ni

Sa paii\re l'emme ne laissa cependant d’aimer cet éponx

(I('|('^;I('M‘.

malgré ses nomlirenses

volage,

lui

Goya

yni're

di'

ii

succéder

mai 1780,

einij

Gornelio

di'

7

la

ans

a|ir('S,

place

Van der à

l’Acadinnie de

en

I78’’>. elle

d’Andréas Goli'ii,

Calli'ja,

Charles 1\

son père Gfiarles

III,

lit

,

de

Cliamhri' avec nn traitement de loOOO réanx; dix ans pins

oelohre 1700,

il

sera

élevé

an rang de [iremier peintre de

la


C0YA

Chamlire

une augmentation de

Jiveo

dire dO OIHt

de plus du double, c’est-à-

Irailenieiit

réaux, eu récompense de sa d('‘Coratiou de San Antonio de

l’iorida. Voilà

donc Cioya arrivé encore

souhaiter;

pi'd

•21

rien

u'fdait

tomlxh' bi('U bas an point de vue

j(Mine

aux

})liis

juste; eu dehors

plus

hautes situati(>us

de

lui,

la

([u’il

l'Mspagne était

arlisli(|iie.

CorilSE DE TVntEAl'X collection

(une.

Le

l'ègiie

de Charles IV fut

le

moment

aragonais. Les grands se disputaient

La nature

fêle

reju'eud

sou caractèn' tout rait la

doue des

le

la vie

du peintre

ses ouvrages.,

mais aussi

plus brillant de

non seulement

sa personne. C’était à qui l’aurait chez

Aussi courait-il de

Salainanca).

lui,

le

garderait

le

plus longtem})S.

en fête, de palais en palais. toujours

d’une

le

j)ièce,

dessus. Avec sou lempéranieut emporté,

Goya,

las

de

la

coutraiule (|ue

haute soci(dé, avait soif de se reli’ouver près du po[)ulaire.

[>as

divtu'l

s’élonner

isseimmls

(julia' d(‘

la

mesure cour,

si, il

au milieu des

esl [>ris

de

la

«

leidulias » des

nostalgie de

la

lui Il

inspi-

ne faut

grands

canaille et

el

du


(.0 V A

28

ruisseau.

de

partie

uiK'

du

élait

Il

totalemeni (huiiu*

reste

au

jouriiéc'

la

la

l)()ud('r

daii^

iiiiil

jua'juoés. Api'ès avoir passé

au milieu des t'emmes

palais royal

élt-^aules, d(‘s liüiuiues les plus ral'liiiés.

d(‘

il

moins recommandables

tavei'ues (d les liodeyas les

les

des i'aubourps de Madi'id, jouer aux dés ou aux caries ave(*

mo/os

les (d

}dcador(‘s.

les

(rup

disculer un

cordid,

d('

mauvaise

est-ce

i\lais

gràc(‘

à

dire,

d'é[»ée

nous eût jamais

ou de lance avec

esj)agnol qui ne

laissé

cède que

le

les

et

espadas

nous de nous mi plaindre? Nous aurions

mondes, ce passage dans tous ces ])ages

si

vibrantes,

les milieux,

(|ui ont,

dans une représentation extraordinaire celte

tixi'

aguadorcs

b's

raimenl. Sans ces fréquenlations [)lus(pue louches, sans

\

ces excursions à travers tous les (loya ne

coup

plus

les

soinauit daller vaga-

lui arrivait

tin

pour ainsi

du xviu®

siècle

bien peu au inàtre, par son intérêt

«le

par

et

son caractèr«'.

Avec ces nueui's, amateur

passi«.)nné des sp('ctacles

liculiiM'ement. «l’èliH'

lit

j«as

«run

Il

la

xym®

sa défense,

qui ra])plaudissaienl

«!«>

cbemins

sans nuages,

«pi’il

jour de sa

a l)esoin

Pour il

«lé«lai-

lui,

il

ne

ariaudut plus

l’existence de

trêve

tempêtes,

les

le

«levant de leur l«)ge.

Goya survint

Les beaux jours ni

merci

rendre

le

coup de ton-

«lu

peintre sont

vont sillonner son

pres«[ue

im})raticables

ciel b‘s

faudra néanmoins pai'courir, ne lui laissant plus, jus«ju’au

lui

mort

cirque.

le

mignonnes mains sur

leurs

orages sans

les

il

une de ces gracieuses spectatrices

lU'cre qui reuv«>rsa le troue «le Ghai’b's IV.

jus«iu'alors

toutefois

gens de cour eux-mèmes ne

siècle les

l’offrir à

le })liis brillant «le

Dorénavant,

si

devisa au taureau avec la haialiesse et l’babileté

pi'ofession [tour

«le

Au monnmt

la

qu’un

rue et de l’arène, de l’arène tout par-

pour

bvrl habile à cette «langereuse escrime,

et,

mona ou

la

i'spa«la

linis.

jtouyait être autre chose

de desciuidi'e CJicore queh|ucfois dans

pas faute

d’une fois

«le

Goya ne

ne faut jtas oublier

disculjié. «[u’à la lin «lu

gnèrent s’en

ces baldludes,

«|ui

aura

lieu

en terre étrangère, que quelques rares j«)uniées

d’accalmie relative.

La guerre de rind«‘p«‘ndance, qui mit Un, pour un temps du moins, au règne

des Bourbons en Espagne,

êquivo«|ues. Ouel coup jtour voir le roi et «le ses

des

et

grailes

ti-ouldes

r«dne

la

et

;

le favoi'i

«le

la

«lans

})rotecteurs

événements!

une

[«osture

«les

plus

cour de rin«h)lent Charles IV de

prisonniers en France;

ses «unis et «les

Goya

pla«.‘a

Godoy privé

«lispajms «)u

Comment

se

«b‘

ses titres

«lispersés

par suite

déci«la-t-il à

reconnaître


SCKNK UK SOIlGELLKIilK l‘eiiilui’C pi’uv'CiKinl

ilo

I

Alaiiicdu du duc d'Osuiia.


CO VA

30

Jusopli lionaparli' pour roi qu’il (d

!('

l'ail

ici, l'ul

il

ol (juo,

lil

sans

(diosalicr de

comicnl

loin

d’èlri'

la

?

priuco dos Aslurios,

osl

hicn

«liflicilc

Nous u’avous pas

L’i'xomjde

lui

lard l’ordiiiaiid \MI,

do

viiil lU' S(>

.lovidlanos, Mazarredo, l njuijo,

de

Saula

Colonua,

à

csl-il

a

iulruso »

jii^oi'

l’Iiomino

roi

k‘

li's

liaiil,

de

Irôs

liaul.

Le

iaiiogi-a|iliic.

ducs do Fiu'iian Nuùez

cardinal

di'

il

souuiil-il jias lo proinicr ?

Picador ent.evé sur les cornes d'un tu’reau,

coniti'

Toujours

roxi)li(j lier.

ordiuain' du

dire à sa d('‘cliarge i|u’(‘u cidli' cii'Couslauco

di‘

c'xci'pliou. jiliis

do

lui iioiuim'' priuli'o

il

Li'piou d’Iioiinoiir.

sruloiuoiil uiio

Il

lardoi',

llourijou, jiour

ot dol

Panjuo,

ne ciler

(jiie

le

les

plus grands, n agireul poinl d’aulre façon. Los confrôres do Goya, les peintres

de

Mariaiio Maella, Francisco Uainos,

la COU)’,

Ft ne

laul-il

iaire parlie,

parmi

los

Pahlo Piocio

pas tout diie?

Le inalhenreiix Goya

avec Napoli

Macdla.

(ahloaux de

la

el

do

la

galerie royale,

'

M.

de niôrnc.

jusqu’à accejilei'

de

conimission cliargéo de choisir,

cinquante des

destinées a otre envoyées en France pour enrichir No/lcia inslnidiva escrila y presontada a S. de 1814, por Don Pedro Vasrpiez Ballesleros.

alla

lireni

el

le

plus

helh's

toiles

musée du Louvre L

rev don Fernando

VII en 10 de uiarzo


CO VA Il

est l)0n d’ajouter

que

peintre regretta vite cette adhésion par trop

le

complète au nouvel état de choses,

dans

la

maison de campagne

sortir (pie ville,

il

le

moins

possible.

et (pie

qu'il possédait

un étrange

II.

(rentendre

résonner sur

les

t

sans

lilEN

Tluii.

.

graMii'L' cxlrailv

miirmiii’er

et

s'enfermer

alla

et

à

travers la

cette

ühligé de ronger son

vue

fr(‘in

le

en

des L’apriccs.

éperons des

les

pavés des rues dé Madrid,

hésaslres de lafinerre.

il

aux portes de Madrid pour n’en

runiforme fram^ais

état d exa.spiu'a ion

ESI'

de dégoût,

Mais, dans ses courses ohligées

rencontrait encore trop souvent

mettait dans

silence,

31

il

se

housards

de

Mural

vengea en hurinant

les

en lirossani avec une vignenr dial)oli(pie des tueries

de soldats fram^ais. Itevenn complélement sourd

-,

triste,

morosi', fatigué de tout, des autres

campagne de Coya, il l'allail sortir de Madrid par le vieux pont eu pierres île laille par .liian de llerrera sons l‘hilip[ie II, |uiis prendre un petit cliemin r|iii y eomluisail en einq niiinites. C'était une liàtisse de la fin du x\ iii' siècle, sans caractère aucun, édifiée sur une éminence d'où im domine la ville entière cl scs principaux monuments, avec le lit souvent à sec du Manzanares, au premier plan. '

lie

l’our se rendre à la iiiaisun de

Sci’govic,

liàli

i

-

Coya avait

ressenli les premiers

sym[)tùmes de

la

surdité dès sa jeunesse.

.\

treize

ans

il

était


32 lin de enfermé dans sa « .luiula >>, jusqu'à la de lui-inème, (ioya resla anciens camaseuleinenl sa porle à .luel.iues rucenpalimi, eiilred.àillanl fîlll^ M SO,S m allies et à son

comme

,

de Bon Bni-

illnslradnir

1

jole, qn’il n’avail

cependanl pas

dans ses planches des

éparpillé

Câpriers, Caslillo

Selnia

nus

le

graveur,

peintre

cl

avait con-

([u'il

de

madrilène.

r Acadé'inie

Kl

le

j)ensionnaires

Bonn'

à

((

fjaini-

le criliqne d arl,

mudez, coro,

(jcan Ber-

atraliilaire

liumenr

intruso

rey

.loseph

»,

l)ona[»arle. Int oldigt' de ([iiiltei

ri'lspagne

18B1,

en

années de règne, ;ipp('l('r le

cin([

on

}»ent

si

1

coinme

régnei', vivre

à ^ladrid

lit

après

conlinuelles, à

il

dans des transes 1

ahri des haion-

uelh'S françaises, nnoiiine

Goya

dern'eùt point, snriout dans les lempsde 1 occiqtalion, épailèn'i'S

les (‘xpressions

gné

mépris

de

dont tré,

un

il

et'

p('u

eût été Les GABBES bu tabac, du

(iiiuséi’

i„nnl lèri's,

,

le il

carloii ii'Hir

l’rai.lo).

Itésiié le,s,|Me h, l.aleille

ne

Kuala, „ a„U

restait [tas

,,a„ a

U

i

le

designei'

[tour

celni

avait été le peintre atti(jiii

mam[uail

de générosité;

un

lies

[tins

[lenl-ôtre ([iioitpi

il

chaleureux

des plus exaltés pour acclamer heiretour dans ses hdats de

use

4e

lui ,.ul

nuulu

le

hVme 4e

ses

assez loin tes néanuntins sans <[ueh[ues a[tprehensi(tiis,

a ,à,„,„a„... il IVIaii ,„«t àf.il. l’àge de <ii.araute ans,

°

v.nilnt, vers

nilinnü', iiêaiimuiiis a imsseder d’itue l'acMm surprenante

triste

,1

,q

tapisseno

haine et

d(‘

.

11

lecmait

pail


"SLSu

i t

PLafond

i:i.

Pcvuc de

l’Art

ancien et inodcme

T()Pvl‘:UO

sc.

.JOSK KO.MKIU)

imp.L.l'ort



GOYA d’ailleurs.

compte que

se rendait fort bien

Il

33

ses liaisons et ses relations pen-

dant les années terribles devaient l’avoir fortement compromis auprès de l’entourage du souverain. Si, d’un

dans

les idées libérales, il

coté,

les utopies des

avait terrildement trcnijié dans

il

Joselinos »; d’un autre,

«

avait plus terriblement encore fustigé et fouaillé

Le

patrie.

roi lui

en

comme

à l’écart, craindre,

conduite aurait mérité

Neuf années

et,

frondeur

l’artiste

se contenta,

il

compte,

tint

au

plus

l’exil,

aurait bien eu

môme

que

de

VU

mauvais

Néanmoins

rêve.

il

mode

La plupart de

— plus

de

et ce fut tout.

:

bourbonienne;

dans son

liire

de peintre

n’étaient pas les siennes.

il

eût aimé à sc retrouver,

ceux avec lesquels

ses amis, de

avait

il

Les nouvelles

sortes.

toutes

rétrogrades que jamais

le

([ue sa

ne sc sentait pas à son aise à Madrid où

assisté à tant de palinodies et d’apostasies

idées à la

de

raison

française n’avait été qu’un

Cbamlu'c, eût pu croire que l’occupation

la

garrot

tenir

le

en souriant

restauration

la

Goya, réintégré par l’indulgence de Ferdinand

quelque

lui dire

l’exil, le

depuis

écoulées

s’étaient

de sa

les envabisseairs

déporter ou de

lieu de le

pour toute punition, de

est vrai,

il

déportés ou morts. Bref, n’en pouvant plus, après avoir long-

étaient exilés,

temps patienté

rongé son frein en silence,

et

il

demanda au

roi

un congé

pour

aller

en France prendre

était

âgé

de près de soixante-dix-huit ans. Pour sc rendre à Plombières,

il

fallait

les

passer par Paris que

eaux de Plombières.

le vieil

athlète ne

peinture française et juger son école dont

dont et

il

11

et

il

n’alla

la France pour étudier

entendu parler

avait tant

n’avait vu que d’assez rares échantillons.

il

en 1824,

connaissait pas.

pas plus loin et profita de son séjour dans la capitale de la

C’était

et

L’astre de David pâlissait

ceux qui clicrcbaient à renverser ce colosse aux pieds d’argile n’étaient

point faits pour laisser Goya indilTérent. Les toiles de Gros, de Prnd’bon, de

Géricault et du jeune Delacroix firent sur lui une profonde n’entra cependant

ouvrages dont

le

lui

en

[»as

suffit.

se

Il

relation avec ces

il

avait

connu à Rome

le

fait

il

écrivit à

Madrid

aux eaux de Barèges pas plus à Barèges

;

grand-père, .loseph Vernet.

afin de solliciter

elle lui fut

(|u’il

leurs

cependant pour l’enthousiasmer,

Après un séjour de qucbjucs mois à Paris, Goya vint d’où

rexamen de

})eintres,

Il

contenta d’aller rendre visite à Horace Vernet

genre de talent n’était pas

mais dont

impression.

s’installer à

Bordeaux

une prolongation de congé pour

accordée sans diflicnlté.

n’avait (dé à Plombièrc's,

mais

Il

aller

n’alla d’ailleurs

resla à

Bordeaux où


(iOYA

31

ivli'oiiva

il

une ancienne amie

M""’ YVoiss,

plus lard pmress(‘ur de di'ssin de aussi nninlu-c'

d(‘

rtune Isaljcdle.

la

couuaissances de Madrid

Juan Paulisla Muyuiro, iNdlequc,

le

gravcuir

Jos('pli

de

llernai'din

moins

('\ii(''s.

pidntre

de

Saint-Pierre, s’y lia

Il

mai'ines

avaient

Ils

de

A.

de

ou

plus

Prngada.

patrie ne

rue

de

avec un jeune Ces

se ({iiittaienl

riialtitude

(piotidiennement,

Aléa,

Vlrejlnle

tons

d(‘ jilus

;

même

enfants d'um“ guère.

Mignel

José

,

Iraducteui' de Pai/i et

r(dcganl

l'nl

y revit

son Sn/nl Fnaiçots de Borja,

d(‘

Cai'iierero

d('

vieil arlisle

L(‘

poète Moratin, Pio de Molina,

le

;

Weiss,

llosario

ilonl la lille,

réunir

se

d('

iVdite-Taupe,

la

chez un ceidain liranilio Poe, poui' parler de hoir pays, ampiel Lors(|U('

dat(‘

la

de cim| anm'‘es, fut (ui

tS27,Goya

le roi.

cieusement qu’il

son

faire

à

Sara-

mais s’il

à

en par

])orlrait

l)ortrait, pei)it

Portrait du duc de San Carlos Durcau du Canal impérial d'Aragon

était

chemin de rEs[»agne.

le

alla se i>rcsenter

il

accorda

et lui

])eintre qui lui

(jui

souveiaiin le reçut fort gra-

I.e

dition llatfeuse

p(uis(u'.

jirès d'exj)ii‘er, c’est-à-dire

Madrid,

à

s(dlicitait,

son congé,

d(‘

re})ril

A peine anavé devant

ne cessaient de

ils

avait

le

nouveau congé

une condition, conde laisser

celle

fnl,

Viceute

succédé à

Lope/P, la

en (|Ludques heures,

aujourd’hui au musée du

Prado.

le

cour. Ce sc'

trouve

Il

repré-

gossc.

sente relle,

à

mi-corps, assis presque de

gauclie et une hrosse de la

omaude sur

la j)oitrine,

main

le

maître ai’agonais de gi'andeur natutenant

face,

droite.

laissant passer

un

Il

est

une

|)alette

de

la

main

vêtu d'une redingote claire

jahot de dentelles.

Ce Lcipcz nï'l.'iit ]ias le iireiiiier venu. Ne à Valence en 1772, il nunirul à Madrid en 1830, à a^e de .soixaiite-dix-liuiL ans. l'dls cl neveu do peintres, il est tout naturel qu'il ait embrassé la ]irolcssion de Ions les siens, sorte d’herila,!.''e l'amilial. Il décora de nombreux momiments et sa réputation coniine [icinire de fresques fut grande iiéaumoins scs portraits sont encore le meilleur de son couvre, et parmi ses princijiaux, il est juste de citer, à côté de celui de Goya, ceux du roi et de la reine de Naples, père et mère de .Marie-Ghristiae, de l)on Manuel Fernandez de Varela. du marquis del Labrador, etc. *

1

;


Prado).

du

(nmsĂŠe

villageoise

tapisserie

noce

La

iiour

carton


(in

36

Un

raconle (|n’après que Lopez

pas (lemeiiror rn rosie,

(Uil

YA aclievé son porlrail,

do lu'ossor, à

l('ula

iiire

Goya no voulanl

do irciprociks

le

do son oonfrèro; mais sa main Iromldanto, dcqà à moilid glacik" par lonio in'oclio,

de son

on règle Inronl

polil-lils

demonl.

désir do

5(1

So voyani

chambre,

(kcivil

il

le

son

qno

acln'vc('s, lui

roi

d(> lils

sa

lin,

immodialomoni

éfait alilo. Trois jours a[»rès,

h'

dans

15 la

(ra}H)ploxio terrassa le vieux maîlia' lils

La mort de Goya dans

la

ol

il

revinl à Bordeaux, accomi)agn6

avail accord(‘

no

lors,

un conge

forces

S(‘S

(|nillanl

pins,

Madrid, pour

.lavior, l'osh' à

arriva à Bordeaux

d’embrasser ce

mémo

mori

ddmarclios m'cossairos pour mollro

revoir nno dornièr(‘ fois avanl do mourir.

])èro. Il

joie

les

000 rc'anx. llopnis

près

ap})cl, celui-ci parlil

son

d('S

Mariano. Le

un Irailomonl do

la

sa volonlo.

Iraliil

Goya rolonrna on Franco, SOS all'airos

porlrail

maison

si

An

illimiU',

avec

déclinèrcnl

ra})i-

pour

ainsi

dire,

Ini faire pari rorpi

la

do son

do ce prossanl

j)onr aller roenoillir le dernier soiq»ir do

y avail si'izo jours (jno Goya nnil du 15 an il! mars 82S, une alla(|no

mars

;

il

1

(|ui

s’éleignil aju'ès avoir

on

la

dernière

lemhannenl aimé.

fut (b'-clarée par le poète Bio de (jne lui, 30.

Molina qui demeurait

Fossés de rintendance,

et

par un négociant


SCKNl'; J'ISPACNOLE.



(i

OVA

37

espagnol, Uonuielido Yaiies/ halûlant cours de Tourny, furenl célébrées en grande castillane, si

que

nombreuse

pompe dans

les piâncipales notabilités

de

tle la

Guyenne, y

la

famille Goicoechea, alliée à son

COUUAGE

^‘IUIL

DE

L.V

Goicoechea, mort en 1S25. Sur fut

la

colonie

assista, ainsi

tils

la

Cbarirense, dans la

Javier, on reposait Martin

CÉLÈBBE PaJUELER.V DANS UNE COURSE A SaUAGOSSE gTavurc cxlrailc

du peintre,

riiiKu-ailles

la ville.

L'inlinmation eut lien à Bordeaux, au cimetière de sépulture de

Ses

Notre-Dame. Tonte

l'église

alors dans la capitale

3(».

ilc

la

la [)ieri'e

'rauromachie

lomliale qui recouvrait la dépouille

gravée rinsci'iplion suivante

:

inc JACET

FUAISCISCÜS A GOYA ET EUCIEX'TES IIISPAXIEX’SIS

PEHITISSIMUS

MAGNAQCE

PlCTOIl,

SCI XOMl.NIS

CELEKItlTATE NOTES, IiECUllSO, OlîllT

PKOCE, LU.MINE VlTJl, XVI KALENDAS MAII,

ANNO DO.MIM, M. DCCG XXVIII. .ETATIS Sr.E

E.XXXV

II.

I.

P.


(

.

(

3S

(;ell(>

Alldriana y

l.rrlo fui

srpullmv,

à

P.ordeauK

ou-cueils de

l('S

Coya

n'sles d.‘

el

du

inailiau el,

Marlin

1rs s(jU(d(dles .pi’ils roiilenaieiil

rouservalion

(|ii

il

lui

d.-linilive

eu

:

18'.)9.

M. Al-

pinlVsseiir à l’écül(> royale d'archi Icclu re de IMadrid,

delégud parle mar.iiiisde Pidal, inini^lrr

rhrr

,lr

VA

ne dcvail pas èliv

.l'aillriirs,

('diica.le.

)

«

le

del

Fomealo

Irouvaieiil

exluimés

dans

impossidh' (ral'lirmer avec

un

pourv(Miir cher-

même

d juin de lu

(’.oiooecdiea fiinml

se

«,

si

(9

année,

les

ouverts; mais

lamenlahlc

eerlilud(‘

kupud

élal

élad

séparément dans d(Ui.x hoiles dr Coya. Tous d(m\ ruivnt alors enrermés encasirés dans un lri[)le cercinul, (d (dirne. doiildées d(‘ plüinl), puis

rrliii rii

l•amenés

à

Madiid où Coya

ivpose dans l'église San Isidro,

rompa-;non du rinudiére dr llordeaux, sons |,.s

Coidrs avairni. en 1888, volé

prand

la

le

à

cùlé de son

magniliqne rénolaplie

eoiislrudion, pour ^dorilier

prinli'o espap,nol.

I

le

dont

dernier


GOYA PEINTRE RELIGIEUX

mourait en Espagne,

L’arl religieux se

comme

parloul ailleurs, à

du

la lin

XVII i" siècle.

Les

qui dans

jieiulres,

la

[léninsule régentaieni

goùl puldic, faisaient

le

encore montre d’une cerlaim' connaissance de rordounance pittoresque prali([ues ils

du métier

formes llaphaël

En vain Charles

factices.

Mengs

lante jadis;

qu'ils avaient apjirises des Italiens

et Tiepolo, avail

elle

III,

et

que

!

le

nom

essayé de galvaniser l’école nationale,

s’éteignait avec les Bayeu, Maella, Javier

de

commun

do plus faibles encore

pour laquelle

fait les

homonyme

;

nous en passons

la foi, ils

avaient

smrliment naturaliste qui daus

jiei’du

les

et sceptique

Icsenlimeut

siècles précédeuls

ces cutrefailes. Pas })lus (jue ses

contemporains

sédait la foi qui enfante les grandes ouivres, mais, à son défaut,

un amour absolu est

[lour la

ualure

et

il

il

ne pos-

ressentait

avait su prendre jiour maître Velazijuez.

donc tout naturel qu’avec scs extraordinaires qualités natives qui

pèrent tous

les

yeux,

il

ait

conquis sans coup

Son œuvre religieuse consiste en en peintures à

férir

jieintui'es

autres, elles sont enfermées pour la plupart dans h's

églises,

les galei'ies particulières

delà péninsule.

exécutées

décoratives

connues

et

frap-

une haute situation.

l’huile, sur toile. Tro[» [lou

fresque

l»ril-

Gonzalez Velâzquez qui n’avait,

avec son illustre

remplaçaient

si

maîtres des écoles de Séville et de Madrid.

Goya arriva sur

Il

de

Bamos, Vicenle

Vivant au milieu d’une cour dissolue

les jiratiqiies

i-eligieux ainsi ({ue le

avaient

!

et

en appelant deux peintres étraugi'rs,

Cornez, Eugenio Ximenès, Pedro Michel, hélas

delà décadence, mais

que de scènes théâtrales, d'atliludes convenlionnelles

n'étaient épris

des

et

les

les

unes

et

musées

à les et


(K)

il)

Le faire large

cl })uissaiil

un

lout

fresque

la

si'

marie à

pour ainsi dire parlie

rarcliileeture donl elle fait

d'un

de

VA

et

que

aux ligues de

avec laquelle

homogène. Rien ne s'harmonise mieux avec

('dilice

souliail

elle

les puissanles

forme masses

composi lions de ce genre de peinture aux tons mats

les

dmicemenl passés. Malhenreusement qu'aux grandes époques de

l'arl,

el

la

les

IVcscjue

semble ne pouvoir

[)einlres

du xviiL

siècle

et

llenrir

furent les

Fragment de fresoie (ôÿlise

derniers à avoir

le

San Aiilonio Oc

la

sens de celle décoralion

lloiida).

si

haulement arlistique

par

et

trop délaissée aujourd’hui.

Goya,

touche

(}ui

qn'en 1S28,

est le

l’époque conlem})oraine,

à

dernier venu des artislés de

puisqu’il

ne

s’éleignil

grande Iradition qui aieni

la

usé de ce procédé. S('s lifs,

de

fresques religieuses se composent de deux coupoles

à l’église

Notre-Dame

San Anlonio de

la

del

Pilar, à

Florida

<à

Saragosse

Madrid,

;

de

el

de leurs penden-

coupole de l’église

la

d’aulres j)einlures dans

et

les

cloili'esde la cathédrale de Tolède, disparues aujourd’hui.

Notre-Dame lin

(hd Pilar de Saragosse est

un énorme

et

massif édifice de

la

du xviP sièchq de forme rectangulaire, surmonté de onze dômes recouverts

de tuiles do ditférentes couleurs. L’intérieur, divisé en trois nefs, est froide! nu. La seule

],)arlic

série dé (h'mu's, (jni

curiensedu s(>

monument

trouve au milieu

el

esl le

sancluaire consistant en celte

siunhle

un

timiple imcasiré dans

un


AtiOSSE)

SAM

(

l’iLAll

DEE

rs'OTriE-I)A.\IE

UE

COUI'OLIÎ

G


(

aiilro

]mi

|('iii]»l('.

J

OYA

;

771, les cliimoiiK'S.

(li;trg(''S

delà

d(' décur;iliou (‘iilrepris

(lisli'ihiilion

depuis un

malgré

déjà,

u'li('‘si lèr(‘iil }>as,

avail juste viugl-cin(| ans

il

la

des

li'iiviiux

cei'lain

lenips

|eunesse de (luya,

demaiider

lui

deux coiuposi ions important('S. Le peinire brossa I

deux grandes

anssilùl

enVay(* de leur nal

mais

l)l(M‘,

loya

(

les

(I

<1

a

II

même

I

d ra n

chœur de de

la

de

ligiirant,

:

Il

quehjues années

[leigiiit sui' la

coiqiole

chapelle

une

,l//c-

Ihriai/r

la

au milieu de

Imniuenx,

rayons

mali'egimhé

du

a ire

la

Yiergi'

(jijnv

chapitre,

n'accepta pas d’ein-

turent a[)lanies,

mit au travail.

gui

le

(|md(pne pen h's relouclier. (Jnand

tés

se

il

lirai isine,

que

seiiliunent ajirès avoir jias

it'licul

après, q

U

es(|uisses

le

triangle sacré entouré d

auges

de\ant

eu

adoration

lui.

Sur une

seconde coujiole, fait

Fii.uiMKNT

face à

UE FiiEsnn-: 1

San Aiilunio

lin

la

11 1-,]

(1rs

oac

[lieds,

dans

les

1

111

i

Morida).

niarhirs.

cenli'c le point

chapelh'

la

I^a

il ,

.

i‘(‘])i‘rsoiila

raiar

qni

ini're

culminant de

du

La

occupe au

(Jhrisl

la coiii[)osiliou

nuages, des anges,

îles

fargr,

I

;

ses

archanges,

des pnqdiètes et des saints. Sur h's peudiuilirs se voient d'aiilri's auges.

Cet ouvrage fut exéciili', chosi' à [leine croyaIde,

en (|uatre-viugl-dix jours, entre

décemhre 1780 ,

et h-

.

neanmoins, en

nioisde février 17hl .

I

siiii

1

giuire, maigri' h'

mois de

le

[leii

:

il

resti'

II ite temps

Fli.VljMF.Nr

^

que

du

lui

«’gli-'C

DF FliESoUE

San .Vnlonio

ilc la

Florida).

consacra son auteur, rieiivrc [irincipale

[leintre.

Larticul ièrement

remar([iiahles jiar

la

longue

et

rem[)orte-


Saint [''uANnois

iif,

Uüii.ia t

usant ses adieux a sa

i

amim.e

de Sailli d'raiieois de Doi ja, calliédi alc de Valeiiee;


4

O VA

(i

i

nient dn dessin,

finesse

la

manquent vraiment

Iroj)

et

drdiealesse de

la

du sentimcnl religieux qui

Goya. Malgré

à

moins hors de

pair, rejetant hic'U loin

cet le

l'ail,

ces fresques

comme

on

sait, aliso-

capitale, elles n’en sont pas

infériorilc

lument défaut

veilles,

la coloration,

dans romhrc

les

quoique correctes, de son heau-frère Bayeu,

décorations froides et celles de

et

Gonzalez

les avoisinent.

Velâzquez qui

Arrivons aux fresques de San Antonio de

San Antonio

une

est

Florida.

la

presque une

petite église,

cliapcllc, édifiée vers

1792

par ordre de Charles IV dans un des faubourgs de Madrid. C’est en 1798

que Goya i‘xécula en

mois dans

trois

célèbres ouvrages. Ces peintures, sont tout ce

l’église,

gai, véritables éclats

comme

de trompette sonores

Véi'onèse et des tiness('s à

liste la

doit

la

« Sai/i/

:

nom

faire révéler le

Dans

d’aller

avec d’infinies

rien, avec le sujet

la

coupole

de son

se caclier

les lunettes, b's

un de

ses [)lus

murailles de

et les

de plus

brillant,

joyeux. Impossible à

et

la fantaisie

comme Velâzquez, comme Titien, spirituel comme chez ce dernier et chez

plus loin. C’est vrai

lumineux comme liembrandt,

Tiepolo,

La mort

décorent

(|iii

que rimaginalion peul rêver de plus

d’oser davantage, à l’esprit éiiergiqiK' et

cet liiimhlc sanctuaire

délicat

perspectives

Watteau. Mais cela n’a rien à

voir,

absolument

A/tloinc de P(uJouc rcssuscifa/if un mort pour lui

meurh ier.

»

Foin do

honteusement devant

la tristesse et

la

vive la gaieté

!

joie do vivre.

angles des murailles, les rctomliées des voûtes, Far-

représenté dos ebérubins, des gloires, des anges, des archanges, toute

a

milice céleste consistant surtout en

amours

et petits culs

nus, aussi profanes

que possible. Carions maintenant des peintures religieuses de Goya exécutées sur

Sa pi'emière (cuvre impoidaute en ce genre de 1781

peint

mesure nn

4'",

à

sent('‘

789 poui\l’église San

Saint Bernard de Sicnne'^

l’rancisco

el

Grande.

Cette

80 dv hauteur sur 3 mètres de largeur. Elle représente

crucifix à la

colline,

1

est le

devant

main, priant en plein

le

roi Al})bonse

lui-même dans

celte

à

air,

d’Aragon

composition où

la

et sa il

toile.

clarté des étoiles,

le

toile

saint,

sur une

cour. Le peintre s’est repré-

figure à di’oite au milieu de la

foule des courtisans.

Saint Bernard de Sienne est une leuvre d’un dessin ferme '

Le comte ilc Torrccilla possède deux curieuses de Sienne de Goya.

llernarcl

esqitisses, différentes

rime de

et

d’une colo-

l'autre,

du S(dnl


Saint FiiANijois mo ISouja aiui iiant un moribond du se uepeniir du ses eau es i

c;lia|)cllc

de

Saiiil-I'i'uiK'oii

do

IJüija.

calliodi-ale

de Valoiu'o)


CO'i'A

•i(i

ralioiidélicalr qui ;H)p(‘la MU’ [irolil.

r;ii'lisl('

Les eoninumaulés ivligL'uses

d’iiu[)(.»i'laides

déeoralinns. La

coiii'

l'ai Irii S('

(d

Sainte Famille

[)i’odu(di(ms.

L

illiislie ramill(?

parer un cerlain

Les d'Osuiia,

mais aussi

leiu[»s à

(|ui [)orlaieul

celui de

de Valence une

son

dues

cdia])elle

d(‘

l

iuii

p.riK'i'alo.

liàlàronl à la

\ili(‘ S(>

'niust^c

1

d

euvi

Il

lira gloire el

(mi

d('

is|tii l(‘i'('n

lui l

comuiander

S('S

nioiudrcs

du Prado).

d'Osuna jugea

le

niomeiil l’avurahL' [)our l'aeca

pi’olil.

non

s('uleinenl

le

lili'c

decoinles

d(‘

Benavenle,

(landia, venaii'iil de faire ('devenlans la calhédrale

sous rinvocalion de saint Fj'ançois de Borja on de

Borgia. Fi'ançois de Borja, marquis

d(‘

LomLay, duc de

(îaudia, élail

un grand


r.*0

seigneur de

la

cour de

Charlcs-Quint.

dépouilles d'isabeilc de Portugal, première

Le

l’étiqueLle.

La vue des

pression qu'il quitta le

devint

le

Cliarge

femme

ClirUST en croix (nuisrc

tout Fécial de la jeunesse el de la beauté,

clianoines de la caÜiédrale,

47

YA

le faire

il

tlu

d escorter a

troisiènu' géni'ral.

les

de l’empereur, morte dans

l’raJo).

dut, en remeltanl le cercueil

aux

ouvrir pour obéir aux prescriptions de

restes défigurés de sa souveraine lui

monde pour

Grenade

entrer dans la

lit

une.

telle

im

compagnie de Jésus dont

il


GOYA

•18

En

17N7,

le

duc (rOsuna, désireux d’orner celle

deux lalileaux représcmlaid, Eun

cliaj)clle,

commanda

à

Goya

Saint Franrois de Burja faisant scs adieux à

:

sa famille, l'an Ire Sai/it François de

Borja adjurant an moribond de

se repentir

de ses fautes. llans la premièi’c de ces loiles, le saini, en

Ions les pej'sonnaties de

mouumenlal, embrassani son l’amille jdeni'i'ul et se

se

coni})Osition,

la

lameuleid

menls religieux, debout, un

aine

lils

membres de

la

main, exhorte au repentir nn mori-

crncilix à la

à ses sollicilations, laudis

couclié, s'apilent des

démons gidmaçanls, que

les

(jiio

seconde, l’rançois de Borja, eu vète-

bond qui reste sourd

qu’à

du

la tète

oii

lit

il

mourant que

le

est

dans

l’on retrouvera })lus lard

Caprices, cbucbotant des paroles de révolte au

ravir à

siècle ainsi

an sommet d’un escalier

lient

tandis (|ue les autres

<laiis la

;

coslume du xvY

saint veut

l'enfei'.

Ces deux peintures, gravées en 1805

trouvent chez

le

j»ar

IVdeguer

et

dont

maiapiis de Santa Cruz, sont loujours dans

laquelle elles avaient (dé

commandées. D’une sagesse

les es(|uisses se la clia[)elle i)Our

étonner, elles

faite j)Our

]>rouv('utde toute évidence (jue, gêné par le sujet, Goya, en les exécutant, n’a

osé

|)as

S(‘

Banni

livre)’ à sa

fougue liabiluelle.

les meilleui’es

compositions religimises de Goya,

pi’emier l’ang Jésus recevant

d’une longue va

rante,

l’ecevoii’ le

Iniiser

lance à la main. Cette

ti'oj)

lui

toile,

demander

bi'andt [»ar l’entente

le

le

A

Dieu crucilié sur

Tolède, dans

la

le

sacristie

composition

le

Glirisl,

-,

la

de

vêtu

nus, entouré d’une foule hurlante et vocifé-

(jui se

trouve à sa

veut bien, ce

sentiment

et

di’oite, le

casque en

fête et

cintrée par le haut, de 3 mètres sur 2, est ({ui est,

le

il

est vrai,

un peu

clir('dien. Goy;i a pres(]ue

du clair-obscur. La scène

mais purement bumaine, avec

centre de

la

de .ludas qui s’avance à sa gauche et indi(|ue du

véi’ilable cbef-d'ouivre, si l’on

ne pas

le

tiini(|ue, les jtieds

rilomme-Dieu à un soldat

doigt la

Dans

de Tolé(k‘.

callu'drale

la

baiser de Judas

le

faut citer au

il

poui’

est

diflicile,

égalé

Bem-

d’une vérité saisissante,

en j)articulier n’a rien

Christ

un

à

démêler

Golgotlia.

cbajielle

de

la

nuiison du

Nonce ^

se

voit encoi’o

un

Christ mort iittribué [»ar les uns à Bayeu, }»ar les autres à Goya, que l’empla'

Le fameux duc de Lerme

On

étail. petil.-lils

de saint François de Horja.

ignore à i|uelle épO(|ue au juste a été peint c'est probablement vers 1787. -

le

tableau de Jésus recevanl

Voir .'Vmadur de los Kios, Toledo pinloresaj. Madrid, 184à.

le

baiser de Judas

:


Sainte Justine et sainte Uufine calhi'’i.li'alc (

de SĂŠ\ille).


(io V

50

cemont somlire

occupe.

(ju'il

A de

eni|)ùclie

distinguer suffisamment

pour

pouvoir juger de ses mérites.

Le musée du Prado possède de Goya une Sainte Famille de grandeur naturelle

un Christ en

et

également de grandeur naturelle, provenant

croijc',

du couvent de San Francisco

el

Grande, de Madrid, dans lesquels

panni

ses qualités et ses défauts ordinaires. Liions encore,

gieuses brossées avant

dans

l'église de

en Aragon

prière

Mort de

;

un Saint Blas dans

;

un Saint Pierre

;

Sai/it

Bernard

Ghrist à sa droite et

trouvent encoi'e

à

Sainte Omelina

;

un catéchumène ;

Robert baptisant

saint

et

Ir

d’Urrea de Gaen

l’église

cathédiaile de Valladolid

la

Vierge à sa gauche

la

Valladolid dans Péelise Sainte-Anne. O

l’artiste

d’ètre encore jilns ju'ofane

La

vieil h'sse

n’ent

(jiii,

en ihqdt des sujets,

sur

prise

gu('r('

tlemanda un tableau laqu'ésentaut

moyen

le

ici

cou-

les

le

de Goya.

talent

le cluq)itre

de

patronnes de

la

11

âgé

était

de

calliédrale de Séville lui

la ville,

Sainte Justine

et

Bu fi ne L

sainte

Le

dans

i)einlre se rendit alors

celle

commande. Dans une

ron,

il

a

toile

la

capitale de l’Andalonsic pour exécuter

de 3 midres de haut sur 1"\73 de large envi-

représenté les deux saintes dehoni, un peu [dus giauides que nature,

du martyre dans

les [»almes

les

mains,

les

yeux levés vers

des rayons lumineux. Cette comjiosition,

a été peinte dans l’atcdier de .lose Maria

Goya, [HUir

[)i’ix d(!

régnsedc« Calasanz.

los

il

t<ule

celt('

2 mètres de largeur,

d un

prêtre

monire

Arango,

[leinlre

de Séville, [)orlrait.

dont Trois

h'

saint

w

de 2 (>st

de Madrid,

mètres

et

la

Communion

de saint Joseph de

demi de hauteur sur

r(q)résenté à genoux, recevant la

[)i'ès

de

commu-

eu vèlenumis sactu'dolaux, tandis que derrière eux des

'

M.

éclairées

l’artiste fort assagi,

Une copie de ce Christ en croi.r, exécutée p.ar Philippe Ahas, se trouve de la Société écouoiui(|ue ar.agoiiaise des amis du pays. Cliez

ciel,

exécuta dans sa villa des bords dn Manzanares, pour

Padres escolapios

Dans

([ui

le

son hos}dtalil(‘, hi'ossa un charmant [udit

ans après, en 1820,

nion

trouvé

ces

;

11

que d’ordinaire.

soixante et onze ans, quand, en 1817.

[lar

a

la

nomhre

vient de reconnaili'e (jne ces peintures ne i)euveut être conq)tées au

des meilleurc's de

Vierge

la

an morceau de pain à un pauvre qu’il

offrant

dans

saint Joseph, avec

trois toiles se

retrouvent

chute des Bourhons, une Assomption de

Cliimdion

du tombeau,

fait sortir

en

la

se

ses peintures reli-

l’ahlo lioscli à

à Saragosso au siège

Madrid, se voit une curieuse esquisse de Sainte Justine

el

sain

le

Ru fine.


G0YA

enfants prient agenouillés. La effet très

51

Communion

de mini Joseph de Calasanz, d’un

simple quoique des plus saisissants, montre une apparence de sen-

timent religieux, chose rare, pour ne pas dire unique, dans l’œuvi-e du peintre.

Ce fut sa dernière composition importante, mais n’est-cc

i»as

déjà presque

un

Communion de saint Joseph de Calasanz (église

de los Padrcs escolapios, à Madrid).

miracle qu’elle soit sortie des mains d’un vieillard plus que septuagénaire?

Nous l’avons déjà

dit et

Florida à Madrid, celles

tableaux de sainteté

nous y revenons les fresques de San Antonio de la de Notre-Dame del Pilar à Saragosse, les nombreux :

dont

il

vient

d’etre

question,

prouvent d’une façon

péremptoire que Goya n’est point un peintre religieux. Ce sens

lument defaut. De ce côté ses

tableaux destinés à

il

est

lui fait

abso-

bien de son siècle. Dans ses décorations et

inspirer la

piété,

à

paid la

Communion

de

saint


(

;;2

Joseph do Calasanz. lisle,

il

;i

a

vei’S l’expi'ession

peint

liaiali

nirnl

OVA

nionlré surloiil son goùl

laissant à l’ocarl lonio

avant tout el

il

i

t‘l

dans Imir coslnme habituel

i'(‘di(‘i'clio

tlt'

la

\

itn

l'original

el

houle, les lieux

Coinint' l*anl \ t'i’onèsc

el

dans leurs

des (dTels de lumière, .

les Iradi lions ajtprises et ressassées,

aux mœurs des

Nombre de la

les a

el

loi,

!

(|n'('llt‘

en dehors des

la el

franchise

el

sans fausse

sans

le

moindre respect pour

Ne pouvant

se

n’a pas cherché

montrer chrétien,

il

il

personnel et audacieux, original et imprévu les frestjues di‘

femmes de

doux modèles qui ont posé pour

de Séville, Sainte Justine pécheresses

n’a vu

parles recherches

rendus avec

civilisations })assées,

jtersonnages re})résentés dans

les

nalnra-

sans vouloir davantage rien emprunter

Florida sont des portraits. Les plus jolies

proh pudor

ilo

locale, a[)pelc

ne s'emharrassanl guère du fatras

slyh',

rajeunir h's thèmes caducs et lu’anlants. s’est contenlt' d’èlre

aéléallirt''

il

Laissant de eùlè, hravemenl

communs du grand

et

il

allilinh's familières,

des règles couvenlionnelles ayant force de

aux coutumes

on

IVanclieinenl les lioniint's de son temps prestpie

le caracléi'isenl

tjui

it('

son inslinel

liisloriqno

tic vt'i'ili''

rengaines ai'idi(Ahogit|nes. tiomme liemhrandl,

du clair-ol)scnr

cl

et sainte

Rafne,

le.

San Anlonio de

cour y figurent, et, tableau de la cathédrale la

n’étaient-elles pas (.leux

charmanles

?

convient il'ajoutcr à la liste des tablean.x religieux de tloya une Immaculée Conceplioii la même roinposition (|iie celle dont parle .lovcllanos dans une de ses lettres un Sii'hU Iteniard, un SaiiU IScnoil et un SahU Ilai/inotiil peints pour le collège de Calatrava de ITniversite de Salamani[iie; une Vierr/p des clouleucÿ commandée vers I77Ô; une Mort de saint Joseph. un Episode de la vie de saint Bernard : un Episode de la vie de suinte lAidçjarde et une Notre-hume del Carmen, exécutés entre les aimées 17!S7 et I7M). D'après une légende accréditée en Aragon, une Apparition de la Vierr/e del l'ilar. jieinte à riiuile sur les portes du retable de l'église paroissiale de Fuendetodos, [latrie de Uuya. aurait été exécutée par lui dans sa première jeunesse. Cet ouvrage est d'ailleurs sans aucune valeur. '

Il

]ieut-ètre


P Goya pinx^

LA

FAlvRj.'rSA

Mo.

LIBREHAv Db LA

'''M.i.f

RAiRRÊ!’JAb


\

I

i

•I

if '


(iOYA PORTRAITISTE

Quand, en 1775, Goya, mençait à

être

son retour d’Italie, s'élaldit à

à

dans tout l’épanouissement de son

IMadi'id,

et le

Sain/ Uernord de Sienne de l’église San Francisco

la

mode. Ce

111

en

tète, vint

commandés,

Grande, que

el

admirer en grande pompe,

fut depuis lors à qui aurait

un

com-

Les modides des

talent.

tapisseries de la fabri(|ue de Santa llarbara qni lui furent alors

cour, le roi Charles

il

la

le

mirent à

portrait de sa main.

lÜen de

plus naturel, car Goya, coloriste exquis, dont la pahdle est d’une fraîcheur excessive et d’une transparence sans pareille, excelle dans ce genre de pein-

Peu

ture.

que

lui

rendu

le

et

sentiment de interprété

et tout particulier.

idéal il

y

que

même

d’artistes,

(d

forme baignée dans l'atmosphèi'e. Aussi

a-t-il

humain dans son milieu avec un charme du grand

Velaztjiu'z, d’antre

Il

non dans

faut les

néanmoins reconnaître moins bons,

les

(jne

faut juger

un

j)eintr('

;

c’est

accessoires sont assez

En

et la

valeur

vince d’Avihi, par l’Infant

Don

tableau de famille, montrant lils

d(‘

bien plus dans ses abandons ([ne dans ses coi'rections.

1783, Goya fut appelé au palais de Arenas de San Pedro, dans

Vallabrija, son

œuvre

souvent par ses négligences, alors qu’il

ne se surveille pas, étant simplement lui-même. La qualité l’artiste s’aflirment

;

dans nombre

négligés. Mais, ce n’est pas toujours par les parties soignées d’une ([u'il

rare

toujours cherché à rendre dans son épanouissement

souvent arrivé.

de ses portraits,

point

idus grands, eurent au

n’a jamais eu, à l’instar

la vie qu’il a

est bien

la

l’être

11

même

j)armi les

Don

Luis, frère du roi, qui lui

le [u iiicc'

avec sa

lit

entourés des geus de leur maison. Goya

s’est

[)eindre ce célèbre

femme Doua Maria

Luis, [dus tard cardinal, et salille

la [)ro-

Teresa de

Doua Maria Teresa,

portraituré lui-même dans cette


lüilo,

la

paU'lto à la main. Ce

lai'ücur sur 3 l'ai

l

demi

el

aujourd’hui

d('

parli('

de

sii])ei’l)e

hauteur: la

Le

il

mesure plus de

lahleaii

dans

est resié

eolh'clion du due

liOi

Charles IV

(musi'c

th'

du

la

lamille

Siu'ca,

mètres de

3 d(‘

l

lufanL et

comle de Chincliou,

l'i-ado).

chez lc(|uel se Iruuveut encore um‘ viiiglaim' d'autres toiles peintes par Goya à

la

même

ép(j({ue

d’après rinfaiit, riiit’aute, leurs deux

eiit'auls et

nombre

superhe

})ortrait

d’autres [)Grsouiiag(‘s princiers. C’est

(‘U

cette

du comte de l^eu de

mèuu' année 1783

l’ioiada Blanca,

temps

aju'ès

un de

<[ue le

peintre l)rossa

h>

ses ouvrages les j)lus accomplis.

ravènement de Charles

IV,

Goya peignit

les

deux grands


GOYA portraits équestres des

nouveaux souverains, exposés aujourd’hui au musée du

Prado. Le roi Cliarles IV est représenté en uniforme de colonel des i^ardes du corps,

monté sur un genet andalou de robe

La HEINE Mahie-LoUISE

plus curieuses.

La

pic

;

(imist’e

sa ligure falote et fatiguée est des

du Prado).

reine Maria Luisa, giaisse commiu’e sans aucune distinction,

au teint haut en couleur

et

au regard impudent de

spectateur à calilourchon sur un cheval à

la

vieille coquette, se

montre au

crinière tressée. Elle est également

vêtue d un costume rappelant celui de colonel des gardes du corps. Impossible d imaginer tournure pins étrange,

ture plus vibrante.

mais im[)Ossihle aussi de renconirer pein-


(

l/;irlislo ('X(‘Ciila

eaux du Priiicr du laiis,

dniil

a

il

gruiipiL dans

d(‘

l

lo

(

VA

)

l'Iioui’o,

l’Iiii'ant

l)oii

priiudpaux.

suporlu' laldeau ropios(ui lau

musée

salon du palais royal. Lliarlos IV

iiu

enlrc auU'cs

;

du giuuu'al Don dose Palafox, duc de

aoluol lomoiil au

liguia'

apràs coiix-ci

(m}ik‘sI irs

rails

lloùa i\laiia Terosa, l'cuiimu do

ciloi’ (jiio les

épu(|uo dalo

sa l'amillo, (jui

d('

l*aix,

parlé loul à

('h'

mémo

[)ui

la

Saragosso. pour ne Di' la

d'aiili’cs

i

1

le

i‘oi

au miliou

Lo j)oiulro y a Maria Luisa, eiilouros de l‘rado.

ilu

ol

leurs iiomlu'oux ouraiils.

Lommo l'aiils el

nue

p('iulro

d inraules,

— celui

juire merveille

lU'vimx

lilles,

lils,

Doya drossa de nomiu'eux

(diamlu'o,

la

d('

d(' la

el iiièees

jeune

du couple royal,

[u incess(“ Isaladle

porirails d'incuIj’c aiilres

de Dourhou, devenue

plus lard l'oine des Deiix-Sieiles.

de

L(' l'i'gne

li>le.

IV

(lliarles

plus

momcnl

C(idèlires.

C(>

plus l»rillant de

Muùai'riz, du l'iince de

serait long el l'aslidienx.

la

la

célèbre actrice

ne doil-il pas à celle loule Silva,

dncliesse d’Albe,

suivit

dans son d'une

au milieu des

Il

vie de l'ar-

p(unls par

sul'lit

lui

nommer

de

à

Tirana, de José Luis

cbarmanle la

laille

la

duebesse

et toute gracieuse

llexible, à la

d’Alljo.

(Juc

Goya

Maria Teresa de

ilistinclion ex<|uise,

San Lucar de Barramcda? Lxil doux

exil à

s’il

en

(ju’il

fut,

enchanteresse, dans ce merveilleux i>ays d’Andalousie,

telle

d’orangers arrosés

lios(|uels

dans l’Océan. Aussi

la

Paix, de la duchesse d’Albe, ])resqne tons à l’Aca-

démie San l’ernando. Nous venons de nommer

auprès

porirails

la

tamx, enlre autres, de rarcliilecle Villanueva, de son bean-

du poète Moratin, de

trèro Baycii,

le

principaux

essayer (r('nnm(ua'r les

I^'aul-il

en ces années l'orlunées? les

lui le

S(‘S

})ar le

Guadahjiiivir près de se jeter

dessins d’alors ne re|U‘ésenlent-ils (pue l’éléganle sirène,

lanbH dans un co(|uel daGliabillé avec son épaisse chevelure répandue sur ses Idanches épaules, tanb'd dans son boudoir écrivant ou rêvant,

promenade dans son parc aux longmxs et

de citronniers,

(diaise

mar([iiis de

teur sur

la

.")7

lit

de repos,

l»(jmana une

d('

largeui',

mème

laisaul l

bille,

pelil(' toile

r('pr('sei'taut

versant amoureusement, dans

vivant d;ins

allées droites ombi-agées de jialniiers

noiudialammeul étendue dans sa chamiire sur une

lanl('d

longue ou un

en

lanlcàl

une (h-chiration

toujours elle!

du maître, de

un

hu[uelle à la

cavaliei’ et

la

existe

Il

même

chez

le

ceiilimèlres de hau-

une puine femme con-

tradition veut voir

grande dame.

inlimit(‘ de cette quasi-déesse,

Il

le [>eintre

lui-

n’est [tas étonnant (|ue,

au milieu de celte société niadri-


l.A

KK

MM K

A

T,'

KV1'’,NTAI1,

Musée du Louvre

et

moderne

Ini|i

I-.F.m



OYA

( :

lènc

mais clianuaule de

policée, sous l'iiinucnce de celte cour coitoiu[)uc

si

Charles IV, de Maria Luisa et de Godoy, Goya

ail

montré une

face nouvelle

de son talent. Celle-ci, toute de finesse, de grâce et de diMicatesse, à ce

moment, un proche parent de Watteau, de Ueynolds

De

même

cette

les portraits

et

du peintre Asensio

maintenant an musée du Prado la

de Gainshorough.

.Julia,

au palais de San Telmo,

des deux ducs d'Osuna,

;

comtesse-duchesse de Henavenle, de

la

légiu'

i)ar la

famille d'Usuna,

la

le

père et

fils;

le

comtesse de Santa Cruz, nn

des meilleurs du peintre, de Félix Colom, un de ses pins })uissanls

que

lui,

époque, ou d’une é])oque un peu postérienre, datent encore

duchesse de Monl[)cnsi('r à l’archcvèque de Séville; de

de

de

fait

ceux

;

renferment les demeures princières des Fernan Nnnez, des All)o, des

Pontejos, des Ansola, des Veragua, etc. Gardons-nous de passer sons silence les portraits

d’Espagne, la

Yega

que possèdent FAcadémie royale d’histoire,

le

marquis de Casa Torres,

le

la

Banque nationale

marquis de Corvera,

Inclan, l’éminent peintre et écrivain d’art

le

marquis de

Don Aur. de Beruele,

etc.

Au musée

provincial de Valence se voient les portraits de iMariano Ferrer,

secrétaire

de

l’Académie

second de Bayeu,

et celui

de

cette

ville,

du

graveur

de Francesca Caudado; à

la

Bafaël

cathédrale, celui de

l’archevcuiiie Joaquin Company, en costume de franciscain, en pied; h pital de la

Miséricorde de Saragosse, celui de de

Bamon

un

Esteve,

l’hù-

Pignalelli. en {lied,

mais ce dernier n’est peut-être qu’une copie.

En France on ne connaît,

tout au

moins dans

les galeries

nationales ou

municipales, que de très rares portraits de Goya. Le Louvre en possède celui de Gnillemardet C qui a été trop

Best à regretter éteint.

qu’il

Le fougueux

l’évenlaif

ne montre artiste est

acquise en

1898

caractéristique, quoique cette

vu pour

le talent

du peintre que sous un jour un

ordinairement moins sage la

trois,

qu'il soit nécessaire de le décrire.

:

La Jeune

fille

vente Knms, d’Anvers, a un accent

œuvre ne puisse cependant

être mise

})eu

à

})lus

au nombre

des meilleures productions du maître. Le troisième est une délicate ligure de

femme

hahillécde noir, en pied, de dimensions réduites.

C’esL une eiirieusc ligure i|uc ce (Juilleuinnlet. Né en 17iJ5. luéJeciu à .Vutun, envoyé à la Convention par le (lépartement de Saùne-el-Loire, puis représentant de la République française à Madrid, il se rallia coiiiiue tant d’autres à l'Empire et fut successivement préfet de la CliarenteInférieure et de l’Ailier. Très lié avec le père d'Eugène Delacroix, dont il suivit d’ailleurs la ligne politique, il servit de témoin à la déclaration de naissance du futur auteur Je la Haniuedu Dante. le 8 lloréal an VI, en la mairie de Charenton-Saint-Maurice. .Vyaut pour ainsi dire ju'ésidé à la naissance du [dus graml coloriste de école française contemporaine, il était .juste qu'd fi'il [lortraituré par le dernier des coloristes de l’ècade espagnole. '

1

8


(,n V A

:is

Ajuès

l(‘

Louvre, seul, riiuniMemusée de Caslres renrerme deux sujxubes

porlrails de (loya loin,

I

aiili‘(‘

e(diii

run d’un

esl le sien ju'upre.

dont

])ersoiiuai;'e d'aspeel

L

M ANTE

l.

il

va êlre ([ucsliou

assez l'éliarhalil

un

j)eu

plus

hahillé de noir

,

ISABEEI.E DE liOURBO.N

(anricmic galerie de San Telmo, a SOillc).

à

la

mode des

Loutes premières années dusièele

d’une laide, une

letli'e

;i

la

*

il

vient de linir, assis auprès

les

principaux esjiadas de son

main.

Passionné des spectacles de l’arène, temps, dont

({ui

lié

avec

jiarlageait les ^oùfs, les idées et les liahitudes,

Paul Lvfond. Trois tableaux

île

Goya au musée de

Castres, Chronique

c/es

il

n’est pas cton-

Arts,

mars

1896.


CO VA liant

que Goya

des toréadors.

ait aussi porlraituré

principaux d’entre eux

de trois

d('s

tiiicho.

De Pedro Uomero, dont tous

Lf,

la triste lin,

il

les

:

les

une

etligie

I’aI.AI'OX

trouhlante

[lortrait,

a lixé sur toile les traits l'edro et José, et

les aniateui's de; taui-oinachie

l'imiséi' (lu

et

cheveux noirs tombant sur

aux couleurs éclatantes. Ce

Il

deux üoinero,

a laissé deux portraits, dont

l’autre; de José,

renfermant

(JFNFlî.U.

39

connaissent

l'radü)

l’un n’est

que

elleininée, avec les

Mar-

épaules et

le

qui faisait jadis [)artie

réjiétition

la la

longue

de

l'ésille

costume de satin d(' la

collection de


(.0

00

Don Séha^lion de

lioiirhon, oncle

priélé d('s hérilic'rs de son

lils, le

YA reine Isabelle, esl anjonrd’hui

la

d('

duc d'Ans(da. Les conlenrs claires

cl

pro-

la

joyeuses

du vêlement oui beau y claunu' el cbaiiler à l’envi, elles no parviennenl pas à dominer red'el d<‘ la lèle (pii reste malgré tout la parlie la [)lus vibrante de la Pour Marlinebo,

toile.

le

b-nn-raire toiMU’o aragoiiais,

peint également en

l'a

il

bnsie, la tète couverled'un large cbapeau incliné sur l’oreille gauche, recouvert d'uiu' cape (|u’il rann'me de la

main

autre portrait (jue l'on peut rap[)roclier de ceux-ci

Pedro Mocarte, sous

catlnalrale de Tob'ah',

la

pourtant

(|ue celui-ci

le

l’ùt

Goya

à la ceinture.

moins du monde

b'

c’est celui

;

C(jslume à

afiilié

tronvé (jue ce travestissement

soit (juc le peintre eût

a encore exécuté

un

du chanteur de

d(>

toréador,

sans

noble profession;

la

lui allât bien, soit plut(M

parce que Mocarte fut un des plus lidèles hafdtués du cirque. Faut-il faire (uitrer dans la série des poi'traits de

de l’Académie

toiles

Ma/a demada non

traits,

et

duchesse

la

d’All)e,

comme

simplemeut d’une demi-mondaine d’alors

Pans lille

Maja

la

cheveux uégligemmeni dénoués,

les

deux

louei’ ces

toiles (jui sont paiani les

plus

Files ont certainement été faites sur l’oidre

Paidons maintenant

monts.

Ils

(h‘

inaîtiN'

d’une mantille peintre

et

un buste

de Pona Isalad noir('.

c(dui d(‘

du

jeuiu'

et

[»oèt(‘

le

de

même jeune

la

Inutile

voiles.

de

productions du maîtreh

Icelles

du prince

aragonais.

(kiHi-n/ vient, cependant, d’acquérii' tout

celui

sans

d(‘ la

Paix. ([ui

ont passé les

Les musées êlrangau-s ne comptent

d’ailleui's.

guère d’ouvrages de ce genre dn

femme',

d’une légère jupe

et

certains antres portraits de f>oya

sont assez rares

Paix.

croisés deri'ière la tète,

lu'as

exact(‘ment semhlable, mais

la

de repos une jeune

lit

Maja nue monti'e

la

;

mais tout

connue du prince de

un

célèlu-es

ce sont bien des por-

passementeries

(b‘

rose t('udre lui descendant jus(iu’aux pieds

dans une pose

les

deux

a été dit à tort,

il

habilb'O, le peintre a représenté sur

vêtue d’une veste jaune agr(“in('ntée

lille

fort

les

désignation de La

la

La Maja vrs/ida? Pour(|uoi pas? car de

]>as

Goya

San Fernando, connues sous

ih'

En

Anglelei'i’e, la

Xalional

l(‘cemment un cnricmx portrait de

Porc(d,

posée

de face,

musée Powi'S possède nn

la

[)0idrait

tête

du

couverte frère

du

M(deudez-\’ablez. Le musée de Prux(db‘S montre

lille.

Il IViul encore citer parmi les ouvrao'es de Uova île la inème époipie le porlrail du célèbre avengle jmieiir de >,nutare appelé El Ho paijiiele, c'est-à-dire l'oucle cliill'ou. qui se tenait à la porte de l'eglise Saird-I‘liili|i[ie à Madrid et que tous les Madrilènes d'alors counaissaicut. '

*

I'aui, Lki'oht. L'ii

portrait de l'euiuie par Uoya. (1/izcllc des Hoaii.r-Ar/s.

1.

XN'II, 3' jieriode.


I‘(i|m\ur

ru:

l,\

TllU\

\

aoailc''mi(-

dr Sui

1

l^lallllû'.


COYA

02

m l‘uilTH\IT IIE (jril,LEMAltlip;T irnusée

On ne sait trop à quelle date sons le nom de la Jeune /ille à corps, tenant

deux roses dans

de

la vie <ln

la roue les

ilu

Louvre).

peintre reporter

la

brune Andalouse assise

mains

a})[inyées

toile

et

connue

vne

à

mi-

sur les genoux. L'ellet


C

do la toilelte claire sur

le

OYA

63

fond plus foncé

a

un

figuré

assise,

le

pelit

dos pins lirurenx. Colle lotie

est

A

a dù être peinte aux environs de 1800*.

vente Wilson, en mars 1881,

la

jtanneau représentant une jeune

visage encadré

femme vue

à mi-corps,

une mantille noire recouvrant

dans

La jeune riLLE a ua (aucicuiio colleclion do la Ijaronne

une

coilTe

iiose

.Xalli.

de

blanche, la poitrine cachée par un lichn hlanc

Rolliscliild)

et

une écharpe ronge sur

les

épaules.

Citons à Paris dans les collections particulières

superhe portrait de femme, le front

les

cheveux coupés

chezM. Rischolfsheim,

;

Madrazo, celui de Pedro Mocarle

le portrait

tlont

den, ceux du 1X° duc d’Osuna et du

en pied de Manuel Garcia de

ht

If'

il

:

chez M.

II.

retombant sur

à la chien et

de Lorenza Correa

Rouart, un

;

chez M. R. de

vient d’ètre question; chez M. Lin-

Payrel

;

chez M. Pacciity,

le [lortrait

Prada, tilcade coi’regidor de Mtidrid en 1811

;

figuri' à l'exposilioii rétrospective de Bruxelles en 1873. On a longtemps voulu la passer pour un portrait de Charlotte Corda}'. Cette atlrilnition s'explique jusqu'à un certain point la mort de Marat ayant longtenijjs préoccupé Coya, (|ui en a uièine brossé plusieurs es(iuisses. La Jeune fille à la rose sort de la colleclion du marquis de Silva .VIegre, selon Ossosio et Bernard selon Cli. Yriartc, elle aurait l'ait partie de la galerie du patriarche tles Indes. '

Cette peinture a

faire

;

;


01

(IM V A

-

M.

dii'Z

les [torlrails

lîainlK'i'yci',

f^ole l»rune, laissaiil

passer son jahui

veille Salamaiica, faili'

d’une el

de

jeiiiu' la

l'euime

du

îi

à sa

l'iiùlel

loihdle

l('nni'

td

le

d’iiiie rediii-

eullel (ruii gilet Ijlaiic (a ligiiia' à la

Di’ouul: ini (]ui

iMaïund Garcia, V(Mu

1N72),

du

passe pour celui

diicliesse d’Allte eu cosluuie de uiaja

;

(diez

|)einlrc Aseiisio .liilia,

(ririic

M.

I*.

maîlrcsse de Goya Soliège,

un

si'cond

l*(jiiii;Air

(c)lk'clioii de iM. Ilcuii Hoiiarl).

])or(rail

de

la

de

la

duchesse d'Alhe d'une allure superhe chez ;

celui de Lola Ziineùez;

chez

l\l

.

liillollc,

un

jiorlrait

reine IMaria laiisa, nn de ses ent'anls dans les hras; chez M. Gheraniy,

MM. Boussod

chezM. Gaunal,

el

cidui d'une l'einine en mantille noire

Valadon, celui d’Al lamirano,

el

nn

;

chel'-du'nvre, le

porliail en pied de la duchesse de Moiile-Ilerinoso à l'àge de treize ans, etc.

Lors(jue Ghaides VI fut renversé de son Irone, tini,

(jue c'en était

fait

Gova

crnl-il ({ue tout était

de l'hlspagiu'? ou plutôt [lensa-t-il, coininc

de ses compatriotes, ([u’nne

('re

de

lilierlé

el

nombre

d’all'ranchissemenl allait s’ou-


GOYA vrir pour son pays? Qui le

reconnu Joseph Bonaparte,

saura jamais il

fut

?

Toujours

csl-il

qu'aprcs avoir

chargé de peindre son portrait. Cet hon-

neur ne l’attacha pas longtemps au nouvel

AltAMIRANO OidOR, de

état de

choses dont

Séville.

vite.

Les tristesses de roccu})ation étrangère réveillèrent chez lui

ment

patriotique, et

imposé

le roi

ses états,

il

vécut dans la solitude

fut obligé

un peu

et

risolement jusqu’au

de quitter l’Espagne.

Ferdinand VU, oubliant généreusement

lance du peintre de son père, lui

se lassa

il

demanda son

Une les

fois

le

senti-

moment

de retour dans

moments de

défail-

portrait équestre. Cette toile,

plus grande ([ue nature, est d'une superhe alluiv

.

Le

roi légitime U


en VA

Ofj

y

L'sl

rei)r(''‘scnié

en

hal)il

boulonné, avec

le

grand cordon de (diarles

])anlalon collani jannàlre, i-econverl de holles molles.

de 1res nombreuses coj)ies

j'nreni

(|iii

envoyées dans

Il

lui

les

en

lui

III,

en

commandé

aynniamienlos

«

»

PoliTIiAIT (colleclion Je

M. Ilaimal).

des dill'érenles provinces dn royaume. Ce ])orlrail qui ligure aujourd'lmi à

l’Académie par Goya. Asturies,

Il

il

n’est pas le seul

l’avait déjà porlraituré

(|uand

il

du souverain qui

ail

été peint

n’élait encuia' (jue prince des

peiguit encoiH' plusieui's lois depuis lors.

le

Goya, vers

un équestre

San Fernando

de.

la

se

même époque, lit trouve chez

le

aussi

deux portraits du duc de Wellington

duc de Wellington actuel

à

Stratblielsaye

:

:


(i

quoique inachevé,

il

dernièrement encore Il

0

YA

67

est des plus reinarquahles la

;

second, à mi-corps, était

le

propriété de D. Hicardo Aleva, à Madrid.

représenté Ini-mème maintes et maintes

s’est

Fernando

})Ossèdc

un

portrait

d(>

en huste,

lui

la

L’Académie de San

fois.

tète inclinée

corps enveloppé dans une sorte de rohe de chambre, dont

Goya par

titions

:

d’hui au

LLI-ML.ME

il

existe

le

deux répé-

(AcacU'mic de San Fernando).

rune, jadis au ministère de rinstruclion puhli([ue,

musée du

en avant,

l*rado, l’autre a fait partie

d(' la

se trouve aujour-

collcclion Baroilhet et a

passé en vente à l’hùtcl Drouot à Paris, en 1S72. Ces dilférents portraits ont servi d’études

ou de préparations au

célèl)re tableau

représentant Goya en

compagnie de son médecin Arriida, dont on connaît plusieurs de son élève Asensio Julia.

Il

convient de faire une

})laee à part

copies,

œuvres

au portrait du

maître ap[)artcnant à M. L. Bonnat dont une répétition, mais avec des variantes assez importantes, se voit au

musée de

exquise et d'une coloration délicieuse.

Castres. Ils

Tous deux sont d’une

représenlent

le

fraîcheui’

peintre, les

abrités par d’énormes bésicles, et coilfé trune perruque poudrée.

Dans

le

yeux pre-


(;n

68

niier,

il

})orlo

des houlons

un vèlrmeiil roucé

d('

;

VA

dans

second, un

le

lialùl

de salin vert avec

métal.

La collection Carderera

ronl'crinail

un

portrait de

Goya vers

l’age de

qua-

rante à qnarant('-cinq ans. de trois (|uarts, vêtu d'un habit à larges revers, jaliot

de dentelh's descendant sur

poilrimv

la

les

cheveux poudrés,

frisés

le

au

PoiiTiiAir

(nmséo Je Caslrcs)

petit h‘r et le

montrant

noués derrière

trouvait dans

chez

le

tète }>ar

un large ruban de velours; un autre

jeune d’une dizaim^ d'années, debout devant un cbcvalcl se

i)lus

cabinet de D. Francisco de Madrazo. D'autres portraits de

le

l’artiste existent

la

:

à Saragosse, chez

comte de Villagonzalo

en détient un des

])lus

1).

et cliez

Mariano de Ena y Yillaba; à Madrid,

Doua Carmen Berganza de Martin, qui

intéressants, mais de proportions fort réduites;

un

dernier, également plus petit (jue nature, a été adjugé en vente publique à


C.OYA

Drouot

riiôlel

Notons en passant deux dessins à

ItlOl).

ijuiii

rapporté d’Espagne par M.

Page de quarante ans, l’autre,

69

Paul Leforl, ligurant

[)luine,

la

mais l’image

prolil, coitl'é

plus curieuse qui reste de lui

la

l’un

trois quarts, vers

cheveux poudrés émergeant d'un large

les

appartenant au marquis de Seoaue, de

à large visière;

Doya de

tricorne, et

d’une casquette est

peut-être la

gravure servant habituellement de frontispice aux

quelle

couverte d’un énorme cha-

la tète

peau, cils,

les

ombragé

l’œil

lèvre

la

nente,

ris

la-

représenté de prolil.

s’est

il

Caprices dans

d’épais sour-

inférieure

proémi-

menton en galoche

le

et

joues recouvertes de gros favobruns. Si

Goya

tain attrait

de scs

témoigné d’un cer-

a

pour

traits,

il

la

reproduction

n’a pas

montré

moins d’ardeur à portraiturer ses parents et ses proches. Au musée du Prado Josefa à

le portrait

Dayeu

fait

de sa

femme

pendant au sien

;

New- York, miss Sarah Cooper

llcwitt possède

de ses

lilles,

sentée à

le

portrait d’une

Ermcnegilda, repréde dix-huit mois

l’cigc

environ, un tambourin à la main

nous savons

qu’un

portrait

;

de

son beau-frère Francisco Dayeu se trouve à l’Académie de San Fernando et

un second au musée de Valence. Nous savons aussi

musée Bowes,

le

propriétaire du portrait de ^Manuel Garcia

possède encore celui d’un jeune

ceux de Javier Goya,

On

[)rcmièrcs

au

ligure le portrait d’un de ses frères.

M. Pacculy,

senter.

((u’en Angleterre,

bomme

du peintre,

le lils

et

dont

montrent

à

mi-corps sont

de

la

:

pctit-lils

Pune chez

Prada,

rappellent beaucoup

qui très proljaldement doit

connaît jusqu’à trois efligies de son (jui le

les traits

le repi'('-

Mariano Goya. Les deux le

mar([uis d’Alcardces,


70

M. Zubiiia;

l'autie à Séville, clie/

passée dans son

pompon

ornée d’un

tète

une cnlottc

[)orle

il

grand

d'un am[)le babil gris

vèlii

cbaussé de demi-

collel el revers,

nn chien loulou

rayui'es verticales;

à

la

représenlé deboul, une main

un formidable gourdin;

soie violelb' avec

qnene douldi' de

de

[larlie aiijourd'liiii

l'ail

esl

lenanl un chapeau de dimensions

tandis cjuc l’antre,

gilet

gigantes(}ues. s’apj)nie sur

boltes,

Iroisièine

la

Mariano y

enlleeliun BisclioH’sheini à Paris:

OYA

(7

ronge, est couclié à ses pieds.

blanc, la

y a dans ce morceau,

Il

peint très rapidement cl sans i)rétention, du Vela/qnez, du Fragonard, du Pru-

du Greuze. enfin, un amalgame réjouissant

d'iion.

A trait

côté de cette toile, encore cln-z M.

du peintre, debout

la lielle lille

(!('

d(‘

maîtres dilférenls.

Bischoll'slieim,

ivu

fanl citer

il

robe de salin noir,

la tète

le

por-

couverte

d’une mantilb' l)lamdie tombant jus(ju’an-dessons des banebes; elle lient un é'vcntail ferim'

Nommons de

de

main

la

encore

donl(‘ de

d(‘

un

blanc jappe à ses côtés.

petit cliien

les portraits d(' la l'amille

(d

nn ans plus

femme du précédent la

mèiu(>.

Ignacio Ziiloaga

A

;

de

la belle-tille

Juan Martin de Goicoecbea brossé une première

L).

seconde vingt

1).

droite

la

;

I).

Iiamon

(|ue oclogtnia ire, oii

[)ortraits

il

de

;i

passa la

;

cadui de

.1

uana

(‘iilin,

Saltn'*.

Paris, les

il

lalai'za

(

cana[)é,

en 1828, Goya peignit S(‘s

plus puissants

exiMUila celui

ib'

.loa(|uin

années de

derjib'res

;

sa

de ces derniers,

il

tôt,

(‘le.

lithographe bordelais avec le(|uel

de

la

jeune paysanne qui

lui

etc.

portrait de l'alcade

il

(jiie

la

bi'ossa les

el à

Itor-

encore

les

circonstances

capitale girondine.

convient de citer Pio de Molina, Lton Juan

Baulista Mugiero, Fernandez de Moi'alin

que vingt-cinq ans plus

sans

a})parlenant à

Maria F('rrer

|)oliliques avaient obligés de vamir chendier un abri dans

An nombre

porli'ait,

l'aumM' suivante, pres-

vi(‘,

plupart de ceux de ses compatriotes

le

une

17ÎS9 et

de Goicoecbea

Gumersinda de Goicoecbea,

celui de

un de

en

1810; un autre

représentant ('dendiie sur nn

veille de qiiil 1er rFs|)agne,

corl('.

ileaux,

la

lard en 181 0

date également de

(pii

fois

de Goya, celui

Il

il

(jui

avait déjà

})0S(‘

devant

lui

quel-

reproduisit aussi les traits d’un imju'imeur s’était lié, Jac(|ues

apportait son

lait

Galos, ainsi qu(‘ ceux

cba({ne malin.


GOYA PEINTRE DE GENRE ET D’HISTOIRE

un

S'il est

dévié,

artiste qui,

toujours montré

le

l'art

aux règles

rebelle

à l'époque

— nul

croirait?

trouvé sa voie et n’eu

ait

bien (loya. Natui'aliste convaincu

c'est

régenter

du premier coup,

il

commença

l'air

ses tableaux dont le souvenir ait été conservé est

plus classique.

cours

le

En

ambiant

bien

fait

pour inspirer

Parme

jeunes

il

s'est

voulaient

([ui

premier de

le

une composition du

les

jamais

Néanmoins, qui

[)inceau.

1771, l'Académie des beaux-arts de

sujet suivant

délicat,

réformateurs

un

à tenir

n'écbappe à l'inlluence de

coloriste

et

étroites des

ait

style

le

mis au con-

avait

ai'tistes

vainqueur^ du haut des Apennins jette ses premiers reqards sur

:

les

Annihal

campa-

gnes ddtalie. Le bruit de ce concours vint jusqu’à Saragosse où Goya se trouvait alors;

il

voulut y prendre part

avait brossée à cette intention.

numéro du Mercure

11

et

envoya à Parme

obtint

le

second prix,

de France do janvier 1772 relatant

Les considérants du jugement sont à citer plaisir

dans

le

:

«

le

regard d’Annibal

et

deur dans l'attitude du général. Si M. Goya composition du sujet du programme il

le fait

L’Académie

un

pi-ouve

à

tout au long.

remarqué avec

qu’il brossa

décorei'

les

appartements

la

cba-

moins écarté dans

»

car ce sont de véritables

pour servir de modèles aux tapisseries destinées tlu

sa

son arrivée à Madrid, en 177b.

des cartons, ou plutôt des pointures

tableaux

un

certain caractère de gran-

se fût

aurait balancé les suffrages pour le premier prix.

la suite

a

le

eût mis plus de vérité dans son

et s’il

Le premier ouvrage important de Goya tut

com[)osition qu’il

second tableau un beau mouvement de pinceau, de

leur d’expression dans

coloris,

la

comme

à

prince des Asturies an palais du Pardo. C’est


CO VA UaiiliaT'l

^longs. dispensalour des favem's royales, qui le cliargea de ce Iravail

coiisidérahle. dont

Ahaudonuaut de

rOlympe

la

vie réelle,

il

les

s’acquitta, d'ailleurs, à la satisfacüou générale*.

anciens errements, laissant de caMé les dieux, les déesses

gracieux cortèges, Goya voulut rendre des épisodes de

et leurs d('

rexisteuca'

du peuple. Ces dilVérentes compositions ne

L’enfant a l’agneau. (colleclion Oc Ooii

pas exécutées à

longs intervalles

la ;

suite les la

l'ureut

caiTon Oc Upisscric Livinio SliiiL).

unes des autres, mais, au contraire, à d assez

première fut livrée par

le

peintre en 1776, la dernière,

quinze ans après, en 1761. Les tentures tissées d’après ces peintures sont certainement les plus importantes

et

les

plus remarquables de

celles

(|ui

soient sorties de la

manu-

Eugène Don Gregorio Ci'uzada Villaainil. Lrt.s' Tuph-es de Goya, lîivadeneyra, Madrid, 1870. Jules Guilli'ey, llis/oire de la Ta]ii.<tsene. tours. Muntz, La Tapisserie. Paris, A. Onanlin, éditeur. A. Marne et tils, éditeurs. ISSO. ’


I)''

MANUKL GAUCIA DK Colit ction de

TA,

M

LA

PDADA

f’acculy



GOYA facture nationale

73

La plupaii d’entre

espagnole.

Un fragment

résidences royales de l’Escurial et du Pardo. tapisseries ligure depuis quelques années Il

se trouvent dans les

elles

de l’une de ces

au musée des Gobclins.

ne faudrait pas demander à ces tentures

la finesse et la délicatesse des

pièces françaises de la lin du xvin® siècle. Elles sont autrement comprises,

moins

fines et

même

des plus harmonieuses, vues à une certaine distance.

C’est

moins fondues,

au musée du Prado, à Madrid,

des modèles de Goya.

Ils

([ue se trouve

trois

quarts de

siècle,

suite

demeurèrent

depuis

jour

le

oii

fabrique de Santa

inspecteur des beaux-arts, président de la commission des

mit

richesses des palais nationaux, les

du musée des

avaient

où l’on peut

les

nn Enfant monté

sitions

mètre

plupart,

Il

de

sur

Goya

gouvernement révolution-

nettoyés et restaurés, ce

furent ensuite transportés dans se

demi à

à

la

de Santa

de

mètre

1

Barbara. et

La

demi à

largeur. Leurs

4 mèti’es de

local

composait primitivement

dernière représentant

3

dimension des compomètres

de

hauteur sur

empruntés pour

sujets,

iigurent des joueurs

po[)ulaire,

vie

le

dont

un agneau, appartient à Don Livinio Stink, directenr

varie

et

Commission

ne s’en trouve plus maintenant que 38 au musée du

manufacture

de la

actuel

ils

le

ont été détruites, volées ou égarées, une

7

:

c’est-à-dire

état,

inventaires des

disposition de la

admirer aujourd'hui. Celte suite

de 46 compositions.

Prado

en

Ueniis

plus grand besoin,

le

la

à

de rEscurial, créée par

tapis

naire de 18G0.

1

ils

la

gaies,

y furçnt déposés après l’achèvement des tentures, par le directeur de Itarbara, jusqu’à celui où Don Griizada Villaamil,

ils

ils

fort

et

actuellement

proviennent du Palais Itoyal où

un grenier, près de

roulés dans

la

intéressantes cependant

fort

la

des fêtes

de cartes,

aux environs de Madrid, des réunions champêtres, des jeux d’enfants, des scènes de mœurs,

A

côté de

etc.

ces

tapisseries

faisant pas partie de c’est-à-dire

largeur,

C’est

portrait le

dernièrement une ne

une reproduction, grandeur de

mesurant 77 centimètres

du

avec lequel

la série.

s’en trouvait encore

il

de

lié: l’original,

original,

hauteur sur o8 centimetres de

du fameux acteur Isidoro Mai([uez,

peintre avait été

1

le

Talma espagnol,

dos plus intéressants, est conservé

au musée du Prado. Certaines es(|uisses de Goya

que

les

cartons sont

là,

mais

([ui

tout

avaient servi, non pas de modèles, puis-

au moins d’idées premières aux tentures de 10


7

(

i-

;

0

l’iipparlomonl du prince des Asluidcs,

nels de dilléi'euls aiualeurs

A i'oni

le niai‘(|uis

:

acUicllcmoul l’oruemeul des

de

la

cal)i-

Torecilla, enlr(> auli'es, en |)OS-

sède plusi(Mirs. (à's lajiisseries

daiil, lie

i

sonl pour ainsi dire inconniK's liors de IM7S])agne. C(‘]>en-

nd(^p('iulanimenl

dn IVagnienl

paniu'anx donnés par

Irois

cjne

jossède

musée des

le

(ioltelins, et

reine Isabelle an roi Léopold de Belgi([ne, on

la

pnl voir à rexj»osi(ion réli’ospecti ve dn ]»alais dn Trocadéro, en 187S, dilVé-

DE Tauukaux

f^OriîSE (

acat-li'niio

do Son rcrnando).

renies p(dit('S leninres des l'abri(|nes de .Madrid, (loya

el d(*

son bean-frèiv Baven

harmonieuses

el

relative sortit

:

les

h's la[iiss('ries

Il

l'anl

exécnbn'S

cninposilions de (lova, ne

b's lapissiers se

souvent de leurs

permireni de

iiK'liers lani

d’après des escpiisses de

cas [dèec's, assez médiocres, sonl dnia's, peu

Ideu loin des modèles.

leurs l'éelles ([iialilés,

Barbara, d'a[)rès

;

lisséc's

telles

soit j)en

avouer, dn resle, [)ar

le

la

(jue,

malgré

mannractnre de Sanla

l'nrenl

(|n'avec

une

licences (ine l'œuvre

lidélilé

dn peintre

déformée, sinon méconnaissable.

Les cartons de ces tentures donnèi-enl an duc d’(.)snna qui venait de faire

jadmlrt'

les

deux grands labbnmx de Saint l’rançois de Borja, de

lui

sa


dia})ellc do

do Val('iice.

la catliédralc'

maison do campagne silnée

Goya brossa

alors

do

l’iddo

domander do

lui

ddcur(>r sa

à quel(jnos lienos doMadrid

pour colle

villa,

on 1778, nno snilo do vingL-lrois com-

positions d’nno vil)ration oxiraordinairo, d’iim' colijrati(m Inmincnso et chandc

au possilde. Ce sont dos ro[)rosentalions do scènes |)opnlairos cùlo do

scènes idylli([nos

et

champêtres qn’on

La MAISON DE FOUS

(acatîomie

Walt(‘an, à Bonclior on à l^ancrol. Vonduos

tic

il

mémo

ol

dirait

])Opulacièr(‘s à

presque omprnntéos

San [’cniando).

y

a

un corlain temps

sont maintonant dispci'sées un peu do tons cùlo%.

<léjà, elles

Le duc de Monlollano en

consorvo quelques-unes; d’autres amateurs on possèdent ogalemont. trouve

En

à

National Gallenj

la

l'ait

Londres

do scènes champêtres, voici

seur rapportant du

canipagne,

la

(j 'ib ’ier,

:

et

même

an

;

en

l'ait

mu soe du

wwq Dame au bord de

un Repas de laboureurs,

Balançoire, (de.

à

la

Un en

Prado.

l'eau,

un Chas-

Fenaison, une Partie de

de scènes po})ulaires

:

la

Construction

d'une ma'ison, dos Voleurs atteuiuant une diligence, des Taureaux conduits à l'a'rrogo,

puis enlin

Bonier'ia de

San

la

plus

remarquahlc de toutes cos compositions

Jsidro, c'est-à-dire la foire de Saint-Isidore, la fête

l)opulairc de Madrid.

la

:

la

plus


r.o V A

70

l>ix

ans

ajirès, eii 1798, (ioya })oignil

encore dix an Ires toiles à pen

caria'es.

de 40 eenliinàlres envii'on, desliin'a's

maison

de

épisodes de

campagne,

il

comnn' on

ne faut

le sait,

|)oinl s’élonnei-

pas un'. Ini (hdiorsde leur

])]'éc(Hl('nles,

(!('

a IraiO'

(|ualil(' d'art et

Le

ses plaïudies

nn amateur s'il

TUIBIX.-U.

(lalilcau

et

les

elles

])rès

même divers

i'(‘pi'ésentent

(U‘

j)assionn(‘ des courses de laureanx, les

sujets de

de vie

])ar

lanromachic

UE I.'IXuEIStTIOX

l'Acaik'rnic

ilo

San

l'crnaiKlo).

turos sont du vérilablrs lrail(‘S pi'olrssionmds.

Les attaques,

les

lidélité irré})roclialde.

véritables bêt(‘S de

de cirque, c est

le

détenses

snni

combat dignes des ganadeiâas le

le

On

n'y ren-

plus compé-

toujours d'une just(‘ssc absolue,

Oans ees compositions endiablées

mouvement

comme

cousé(|uent, ses taltleanx

contre pas iinr erreur cajaibb' d'être reb'vée par l’alicionado tent.

de celte

la vi(‘ i'é(dli‘.

(loyaétail,

aus>i

(lomnn'

à la bil)liolliè([ne

pins turbulent,

la

les

d'une

taureaux sont de

les })lus prisées.

bousculade

la

Ces foules

plus grouil-

Lors de son séjour a Sarag'osse. à son retour d Italie. Ooya brossa divers épisodes des courses intérieur du cirque de cette ville, sur les panneaux de la harrei-a qui sépare le couloir du refuge du public, a 1 endroit où l’on a placé posterieurement les numéros du tendido. Plus tard, lorsque ces j)eintures eurent été détériorées par le temps, on les recouvrit de badigeon. Quelques-uns de ces '

à

1

jranneaux cependant furent détachés

;

mais on ignore ce

qu’ils sont

devenus.


( :

lanlc, le

vacarme

Parmi

il

77

plus assourdissant qui

ait

jamais été

fixé

sur une toile à

couleurs d’une palette.

l’aide des

la

le

OVA

les

plus intéressantes toiles

(hi

peintre en ce

genre on doit citer

:

Course de taureaux de l’Académie de San Fernando; ce n’est qu’une esquisse, est vrai,

ne peut fouillis

mais d’une violence de couleur

donner une

lumineux

idée.

et clair

et

Impossible d’imaginer nn

que

le

plus

extraordinaire

premier plan de cette petite

toile grouillant

La procession du Vendredi-saint

de spectateurs

([ui

dévorent des yeux

(acatlcmie do

l’arèni'

son petit taureau se détachant d’une l'açon l’enceinte.

lection

Une

répétition de cette

du marquis de l’Espinar,

Salamanca,

elle a été

d’une hardiesse de dessin dont rien

vendue à

avec seschulos, ses [)icadores et

si

nette

œnvre hors de petit-lils

l’hotel

San Fernando).

sur

le

fond de sable

pair faisait partie de

de l’artiste; |)asséc dans

la

de

la col-

galerie

Drouot en 1875. Notons aussi l’esquisse

du musée du Prado représentant un Picador à cheval vêtu de velours grenat et

courant au galop.

Une des d/q/As

plus belles productions de Goya est sans contredit si

vrai d’elfct cl

si

large de facture,

trouve à Séville au palais de San Tclmo

et

le

taldeau des

dont une répétition

dont une seconde, mais

se

celle-ci


(io y A

78

probaMemeul une co|)ic nous on donnons

(jvie

Parmi

les

nons dispense de

*

Salanianca

[)arlic <lc la j^alerie

a fait

i'aul sij^naler (jiialrc

il

d’une ex(}nise délicalesse de lou,

la

rc'produdion

décrire.

la

antres laldeanx de Goya à peu près de

pninlés aux scènes }>opuIaires,

;

i’aisani [)arlie

de

la

même

la

épO((uo,

esquisses pleines de drio el

rAcadémie de

collection de

San IGu'uando, qui ne laml’erme pas moins de quinze ouvrages du soni

un IntcrK-ur de maison do

:

em-

ce

niaîlr(',

d’un réalisme macabre, une Scène du

fous'^.

Ivihunal de i'ha/uisition, une Scène de lUKjollanls (d Y Eniccremont de la sardine, épisod(‘

Au

(!('

Palais-Royal de Madrid,

de balles, jadis dans

paysages

A

du carnaval

cloliiia'

la

voient

S('

pilant

mar(|uis de

clu'z b‘

:

la

Casa del Princi})C

la

supeidjcs, d(‘s ouvriers

Madrid,

Madrid

à

la

Fabrique de poudre

salj)èlre

ilu

se

monlant des

el

de pestiférés,

')7

cenlimèli'es de

Scènes de bandits, des Attaques de briqands, un Hôpital

Ions

elc.,

l»alles.

Irouve une série de polils

tableaux de Goya mesurani 32 cenlimèlr(‘s de bantenr sur larg(‘ur, liguraul «b's

Fabrique

monlranl, dans des

à rEscui'ial,

Romana,

el la

curieux

l’oi'l

amateurs madrib'mes, du comte de

el

fort inléia'ssants.

Toria'cilla,

du mar(piis

Les collections des d('

Gasiro Serena, du

comlede Yillagonzalo, de M. Lalille,de Pona Carmen Rergonza de Martin, renfermeni

de

nombreuses

compositions

de Goya, particulièremeni

elc.,

des

scènes champèlia's ou de brigandage. (Juel(|ues-unes des j>lns Ixdles toiles de g('iire riiôlel

Drouol depuis un

convi('nl

(le

noter au jiremier rang

fils

du peintre

et

ayant

esquisse éclu'veb'e,

s’il

il

fait

paidie

d’hommes

et

de

se lu'ohlant au

'

Une

re^pétUion

Procession,

ti

de

la

suiqilis et

en cagoub's, chargés

femmes dn peuple fond du tahlean de Vlntérie/ir

de

;

la

il

comme

du cabinet du petit-

liaul.

collection

par

dernières

Loinbas [trovenant,

Salanianca.

mi fut jamais. Rien d'étonnant

nable procession de ju’èires eu froc, de [léniliuiles

la

été (|U(‘slion plus

a

ont passé

noml>re d'années. Parmi ces

cau'lain

Course de taureau.)- doid

la

du maître

comme

C’(>st

une

celte intermi-

en cbasnldes, de moines revêtus du d(‘

liannières, de croix, de cic'rges;

sortant d’une vieille église à clocher carré

rien de curieux maison

de fous,

est

comme la

cette longue théorie

propriété

de D.

Aureliano de

licriiete. “ Don Pedro de Madrazo. C/Ualof/o del museo del Prado de Madrid. Madrid, Iniprenta de la sucesora de M. Minucsa de los liios, l'.HJO. Cuadros seleclus de la Real Academia de Relias Arles de Au» Ferii/indo. Madrid, Iniprenta de M. Tello, 1870.

“ Le musée de Besançon possède quatre petits tableaux de Goya peints sur des lamelles de blanc légués par J. Gigoux ils représentent des scènes de banditisme et de cannibalisme. :

fer-


L’ENTEUHEMEXT de

I-.V

{académie

SaiUHNE, scène de lir

San

l’ornainlo).

r.

UiNW

AI.


(10

80

se (léroulani

capricicusemcnl à travers une

On entend

d’orage.

VA

le

brouhaha produit par

i)laine éclairée

cette foule,

cantiques à travers une campagne surchanlfée par

midi.

11

que des indications,

bridant du

le soleil

mais d’une vérité

est vrai,

chargé

et

d’une

moins aigue, moins acérée, moins

juste.

Un devine davantage, voyant

Mort du incador

et les

Taureaux à

moins. Citons encore

la

lection Sarlin, la Course de

de

ciel

L’œuvre plus poussée donnerait probablement une sen-

justesse incroyables.

sation

il

nn

psalmodiant ses litanies

et ses

n’y a

par

ainsi

187.'),

que

Taureaux en deux

ï'arroijo

la col-

Salamanca

parties, de la vente

deux esquisses de courses de taureaux,

les

de

jiropriété de

llardac. M. Sieismond C*

léinvasion française, qui en 1808 renversa du trône de ses pères

Cbarb's IV. fournit

Goya de

à

roccujiation furent rendus par

une

En même

idée.

tableaux. Les malheurs de

terribles sujets de lui

le faible

avec une horreur dont rien ne peut donner

tem{)s qn’il gravait ses planches vengeresses des Malheurs

de la guerre, Goya brossait avec une sauvagerie véritablement diabolique deux

scènes de l’occupation en 1808 connues sous

Ces deux

toiles,

aujourd’hui au

musée du

la

dénomination de Dos de Mago.

Pi'ado à Madrid,

mesurent 3”, 12

de largeur sur un })eu plus de 2 mètres et demi de hauteur. Elles nous font assister

de

la

morts

:

l’une, à

une horrible

Garde im[)ériale à et les

la

lutte entre des

et

des

mamelucks

Puerta del Sol à Madrid, scène de carnage où

mourants s’enebevètrent

l’autre, à l’exécution

gens du peuple

et s’entassent les

uns snr

les

les autres

;

de Madrilènes par les soldats de Murat. Impossible de

rien imaginer de plus batailleur, de plus violent, de plus excessif. C’est le cri

de la haine la plus imiilacable, du désespoir

le

plus exaspéré, de la colère

arrivée à son paroxysme. 11

existait

esquisses des l’autre, des

dans

mômes

la

galerie de l'Infant

faits

Don Sébastien de Bourbon deux

représentant, l’une, des amoncellements de cadavres,

femmes assommant des

piques, d’un enlevé, d’un brio

soldats français à coups de bâton et avec des

extraordinaire.

Ces deux compositions ont

d’ailleurs été reproduites idusimirs fois, à queb|ues variantes près, par l’artiste et

môme

gravées dans sa suite de planches des Désastres de

Goya ne pouvait pas toujours représenter de

pareils sujets qu’il était d’ailleurs

oblig’éde tenir cachés à tous les yeux. Incapable de les loisirs

de

la villa

la guerre. iMais

demeurer

inactif,

il

employa

que lui faisaient ces temps malheureux entre tous à décorer les murs des bords du Manzanarès dans la([uelb‘

il

vivait triste et solitaire.


'>oya

pmx

G-A-Kanchon

D'^JA ISABEL f

COBOS DR PORCEL,

Galerie Natiou.-ile de Londret^

)

’orc

c'

sc.



(10

(Jomnic ces peiiilures il

n’avail

endiablée, à sa furie

la j)lus

81

pour

ont. été hrossi'os

on rendre compte à

<à

VA su satisruclion porsonm'lle,

c'mu' (pui vive,

qiu^s sans eu être

extravagante. Ces curieuses peinluia^s, au

une

d’altord,

Fêle

l'éalité.

Une

[>artie étaient

nombre

ont l’appaiTiice de fres-

le plâtre,

au rez-de-cliaussée de

la (juinta

;

au premier étagau Toutes sont à admirer, toiücs sont à décrire.

les autres,

C’était

en

s’y est livré à sa v(‘rve la plus

il

de quatorze, exécutées à riiui le directement sur

comme

en entrant, dans sérénade

populaire,

héros dépenaillé

en

du rez-de-chaussée

salon

le

vent

plein

donnée par

qu'entourent des auditeurs

et dépoitraillé

uiu'

(d

droite

à

:

de

sorte

des auditrices

qui n’est pas peu dire; à

aussi dépenaillés et aussi dé[)oilraillés que lui, ce

gauche, une Réunion de sorcières, présidée par un vieux houe aux longues cornes; un Portrait en pied de la duchesse d'Albe, souvenir des hrillantes années

de jeunesse ou peut-être plutêjt

d’un peu

une merveille de coloration

loin,

manquant de ses enfants,

simplement une Maja

tout

gaieté et d’une fantaisie

et

de rendu

macahre

d’une exécution assez fruste,

(d La,

;

;

de près, rien,

à côté,

et excessive

;

deux

sujets

Saturne dévorant

Mort dînant avec une

sorcière,

puis enfin une Séance de rnacjic'

Au premier

étage,

on voyait d'abord de jeunes

et élégants cavaliers char-

geant de commissions inavouables d’borribles vieilles décrite par Victoi'

Hugo.

Dont

la

barbe

fleurit et

ensuite une Scène de purjilat

Ho?nmes

et

la

et

Holopherne

;

dont

le

nez trognonne;

des paysans galiciens

enti'e

Femmes du peuple

journal; Judith

se précipitant sur

des

Femmes

Procession de religieux

une

;

une éminence inexjuignable

ébauches

les

des

un personnaç/e

lisant

un

les affres

de la mort

;

une

;

Un

chien luttant contre

le

courant dans

Pargues assises sur un nuage.

extraordinaires peintures,

osées, les

loin,

puis des Guerriers montant à l'assaut d'un château fort

rivière, et enfin Les

Ces

[tins ;

des faubourgs mises en gaieté par

vue d'un malheureux en chemise se tordant dans

bâti sur

semblaldes à celle

auprès desquelles

les

esquisses les

plus

plus violentes sont des ouvrages h-chés et parachevés,

l'eiit-rtrc iuirait-il clé juste de meniioniicr parmi tes (ciivres de ce genre de (toya ses frcsipies prolanes. Elles ii’onl. Il faut en convenir. (|n'nne importance secondaire et consistent surtout en décorations exécutées par lui au palais du prince de la l’aix, aujoiird'liui ministère de la .Marine, simples allégories de peu de valeur, et en un [dal'ond, détruit deimis, qui se trouvait dans le salon d'iionneurdu [lalais du comte de la l'uebla. à Madrid. '

11


(iO

«2 é(ai('nt doslinées,

on

d('vail la craindia', à dis])araîli'e

pres([uo impossible (ju’elles piisseiil (dl(‘s

avaieul élé

si

VA

èfia'

un jour;

cai'

il

scmljlail

enlevées dos murailles sur lesquelles

furieusemeul bi-ossées. Leur dispariliou aurait été un

vériiable malheur, car riou ne [uml.

comme

doumu- une idée

elles,

île

la

verve lerrible et eudialdée de Goya. Elles ont lieureusemeul élé transportées sur

loile,

musé('

^ràce à

la

lilMM'ali(('‘

du baron Eilanyei',

(d

lip,'urenl

aujourd’bui au

Prado.

tlu

F.USrilCA'l

lOX

DE

l'OI

DRE

DANS

I

N

DOIS

(l'akii^aiojal. M.ulri.l).

C’esI à

nue date nu

vaste, compositii^u

peu de temps au il

a été

le tils

inus(‘e

à

jmmi

sans doute qu’il faudrait rattacher une

i>rès

inconnue, appartenant depuis fort

de Castres, ainsi ({ue les deux portraits du maître dont

parlé antérieurement

'.

(îes trois toiles

ont été léguées à cette ville par

du peintre Briguiboul. La composition qui nous occaqie mesure

de hauteur sur

presque de

4"',

3'",

18

30 de largiuir. Ea scène se passe dans une grande salle vue

face, éclairée

cipal, relégué

[leu jiostérieure

du peintre

de gauche

au fond, au second

Paul Lal'onJ. Trois tableau. r de

(ioi/a

à droite }»ar

[)lan, consisti'

une large

baie.

Le sujet prin-

en une douzaine de personnages

au muse'e de Cas/res, Chronique des Arts, mars

189G.


GOYA devant une longue table.

assis

militaire,

comme

Le

[)rincipal

lui riiniforme.

Le premier plan

moins cérémonieuses

leurs sièges,

les

ou tenant

gilet

d’enlre eux est

de grands dignitaires [)lacés à sa droite

des personnages assis sur des chaises les

83

les

:

dans

les

Ils

les

uns à

la

mode de

un moine

tout près de la

maigia'

et

ascétique,

A

l'oiiiVr

le

et

un personnage debout, embossé dans

des plus variées. Parmi eux

corps penché en avant

et obtuse.

sa

cin([uantaine d’années, dont la tète raj)pelle

cape les

liriine,

traits

;

un autre

compa(jnic des

la

Phii//)//i/ies

paraissant âgé d’une

du peintre lui-mème.

re})résente au juste cette composition? Peut-être la

du nouveau.

gauclie, dans l’embrasure d’une porte, on aper-

çoit

d(‘.

ouverture du

bordure, appuyé sur un bâton, n’est ([u’un simple paysan à

énergique

rala

1

l’ancien régime, les autres à celle

tête

Que

plus variées et

Maili'iil).

Leurs expressions sont des plus vivaules se trouve

gauche par

portent les costmiies les plus disparates.

(Palais-Ro\al,

les

les

genoux, passées dans

Faiuucation de bai.les dans une

vôtus

postures

et à

jambes croisées, allongées ou rentrées sous

mains étendues sur leur ebapeau.

occupé à droite

est

coslume

en

à sa gauclie portent

et

une

<jh\v-

ou plus probablement une junte de Los


GOYA

84

cinco gremios majorer. C’est sans doule celle

Madrid

fois à

oliez

au musée de

tienl

Don Angel Berlin.

point de vue de

la

loile

xMaria Terradillos et dont

Ce qui est extraordinaire

cette importance', d’un tel peintre, ait

Au

même

pu échappera

qui se trouvait autre-

une esquisse

c’est

aj)par-

qu’une œuvre de

l’attention générale.

peinture celle vaste composition, malgré

le

vide

absolu du milieu du tableau, ne saurait être assez admirée. C’est peint dans pâte, d'un seul jet et

Après cette

pour ainsi dire sans

Coya

toile,

n’a

plus

il

est vrai,

de

la

chargé

pai‘

Banz

son élève Luis

Cil

passés

d’armes

les

peintres

eurent

revinrent en

la

exécuté d’important, en restauration bourbonienne,

'.

à

iM'aucouj)

tout(' lifde à

il

et

le

«

artistes

El l’escadorct est,

))

d'ailleurs,

sujets religieux,

il

siège de Saragosse.

alla visiter les dilférents endroits

célébrer

de

spécialement

;

peine

Madrid sans

mais, arrêtés à

comme

écbaj)per à

la

esi>ions,

colère

fut,

Avec

s’étaient les

deux

populaire

et

(b.)nner suite à ce projet.

Goya ave<- Lucas sou iiuilaleur, Leonardo Alenza et Asensio dans ses fresques de San Antonio de la Florida. La valeur de ces assez mince, quoiqu’ils aient touché à tous les genres histoire, hatailles,

C’est le seul à citer des élèves de

'

Julia

de

fait

Fei'dinand Vil de reproduire les principaux épisodes

guerre de rindépendanct',

faits

glacis.

ri('u

tableaux d’bistoire ou de genre. Lors de

la

iiui

l’aida

portraits, etc.

:




GOYA GRAVEUR

Les gravures de Goya ont

})lus fait

l'Espagne que ses peintures,

pour rendre son

nom

hors de

célèlu’c

aujourd'hui ses planches sont recherchées

et

par tous les véritables amateurs d'art.

Il

n’en fut pas toiijours ainsi

:

elles furent

d’ahord répandues en Angleterre par les officiers de l’armée de Wellington

qui en avaient rapporté un certain

ne

tarda

guère

à

l’Allemagne.

que

plus

lard,

En France, en

leurs bagages; \onv /iKmour

Londres. De

là,

elles se

Royaume-Uni, puis dans

les

Days-Bas

grandement apprécié

être

répandirent rapidement dans tout et

nombre dans

IS2i,

le

à

ne commencèrent à

ces planches

l’installation de

lors de

leur réputation ne s’étendit guère au didà

Goya

l’encontre des idées du

mais

du pays girondin. D’ailleurs

étaient peu faites pour plaire aux amateurs de l’époque. allait trop

connues

êti'e

à Boi'dcaux,

moment.

Leur

elles

liberté d’allure

L’esprit public n’était pas

fait

encore chez nous à faut de liberté et de désinvolture. Ce ne fut que long-

temps après, quand des Piot, fui’ent

des

littérateurs

comme

Delacroix, des curieux d’art

tie

ces

gravures,

pensée

le

conquit dès

qu’il

l’eut

mière planche, un Avciujlo chantant, date de 1778, alors Il

traduisit

Sa j)cnsée avait été

chef de l’école

à

primesautier de Teau-forlc devait séduire Goya,

et

cette façon de Iraduir»' sa

trente-deux ans.

commencèrent

qu’elh's

}>ays.

Le procédé mordant

(|ucz.

comme

eurent franchi les Pyrénées et

Th. Gautier,

revenus enthousiasmés

compter dans notre

comme

artistes

par

madrilène ap})arlenaut à

mau(|ua [)rohahlement

(d

il

ce la

moyeu

(juc

Sa pre-

l’artiste

avait

tableaux de Velaz-

ensuite sur cuivre divers

de rendia^

essayé.

toutes

tàuironne,

ne put réaliser son projet.

mais Il

se

toiles

du

temps

lui

contenta

de

les le


r.OYA

80

reproduire quinze seulemenl des ouvrages du peintre de Philippe IV'.'rout en essayani do deineui’er aussi exact Iraducteur que possible,

pêcher

d('

melli'(‘

il

ne put s’em-

son senliinenl personnel dans ses gravures qui sont plutôt

des interiirélalions libres (lue des reproductions fidèles. Goya grava d’abord

dans d’assez vastes dimensions, c’est-à-dire sur des planches de 25 à 35 cen-

Las Mo)iinas

tinn'dres sur 35 à 45.

(‘questrcs de

Ph 'lUppo

de

///,

Le

la

GOi'u VGEr.v

Los Uorrac/ios ainsi que

et

Marpuerhe

ladne

lîtii

imx \tv\av\st r\

gravure pxlrailo

de

reini'

la

Isabelle

de Pourbou.

du Comte duc d'Olivares, ainsi

d' Autriche

la

d(‘

(|uc

r

le p(U'trait

lippe IV, ceux des fous

portraits

de Philippe

IV

vritEAr

Taiiromnrh}(\

I(mii'

Vlufaut l)ou

fils,

V Esope

et h'

dimensions moindres, mais encore assez grandes, sur 25

les

Pallasar Carlos,

Dlénippe. Puis, dans des

15 centimètres environ

de Vlufaut Don. Ferdinand d'Autriche, frère de Phich'

cour Pernia,

dit

Parberousse et Don Juan

des nains El Primo et l)on Sébastian de Morra

Pazan, houtfon de (Jhaides

11,

et,

d' Autriche

enfin, celui de Francisco

lu'ohahlcment reproduit d’après une toile de

Garrcùo aujourd’hui perdue. Ces diverses ]danches, exécutées à l’eau-forte avec adjonction d’a{iuatinte, sont fort simplement traitées. L’elfet n’en pas moins des plus justes. Elles furent olfertes par '

La

plupart, des

nale de Madrid

i]ui

gravures de Goya d’après Velâzquez sont en fait de temps à autre un tirage.

le

est

peintre au roi en 1779.

la [iropriété

de

la

Chalcographie natio-


(

;

0 VA

87

Vinrent ensuite Les Caprices^ qui virent productions gravées de

(ïroya

pour sa renommée,

fait

jour

('n

De tonies (|ui

ont

le

les

pins

([uoi-

que,

au point de vue du mé-

tier,

elles

moins

le

ce sont les plus eoiiniu's, (adles

soient peut-être les

Dessinées à

parfaites.

la

pointe, elles ont également des

rehauts iraqualinteV Ce de

rendit tout c’est

que

célèbres,

suite

presque toutes renl’er-

menl une une

([ui les

allusion

poliliqiu',

satire violente et sanglante

à l’adiTSse des personnages (m

vue. L'antenr a bien essayé, en

d’nne

tète

de

défendre

SC

faire

petite*,

introduction,

des personnalités

choisi,

dit-il,

voulu

d’avoir

des

;

«

sujets

il

a

qui

donnent une occasion de tourner en ridicule, de stigmatiser des préjugés,

des impostures,

des hypocrisies consacrées par

temps

le

«

»,

mais

qu’aucune de

n’est est

Il

une

il

ses

afiirme [)lanches

satire [»ersonnello

diflicilc

d’ajouter

foi

».

à

son dire. *

le

5

Jaeques Ganieliu, ne à Carcassonne octobre 1"39, mort à Narlionne le

l'2 octobre 1803 après avoir été directeur de l’Académie de Monlpellier, [)einlre à la touche lourde et commune, a laissé un traité d’anatomie et de bndogie dont les jilancties f<ravécs par lui raqipellent singulièrement par le procédé et retîet, les Caprices do Goja dont elles sont

PoUTIl.UT

IlE

l.’iNI

AXT FciilUX.VMi ll’ACTlUCUE

gravure de Goya, d’après VKLAitQri:z.

contemporaines. Helacroix appréciait d'une l'acon loide particulière les Caprices àe (\oya.. comme en témoigneni lui d’après deux planches de ce recueil, l'une à Londres, au llritish Muséum, l'autre à Paris chez M. E. Degas. *

deux dessins crayonnés par


8!s

(

mu‘

Imi I80.'{, jiprrs ('iiiuiis

aulri'

(|U('

|)onvail

priuee

»b' la

Ibiiv,

lui

suseiU'r

.ht

la

lia

rd

d(‘s i('ss(‘

Caprices^

de

si's

soil

S ‘Xhrhj-^ II'

^

<’//

‘ClKinciSi.' iny.i 'J'ifUi'r

par crainle des

di'ssins, soit

l’olfre fut aceejiléi', et,

cnpin.îL

pnnw./iL- f/>/

<

YA

)

bon d’onrir ses jdauclies au

Manuel (lodoy,

LJi.i/L’

(

(‘dilion

|>remi(''iv

trouva

motif, (loya

;

qth' rrpi’StVif-.L

roi.

Sur

pour (ont l’avis

du

en considération de

«// v/)r>

xvt

I

LXil7t' iVt

n.'uyJcjr-’S

PnllTUAIT

!H'

;:ravui'L’

cette

cession,

(’diarles

NAIN

lUil

«le (ioAA,

I^lILll'l'E i\’, Kl. il’aprc?* Vi;i.\zai

IMilMn

liz

IV accorda une pension de

12 000 réaux an

lils

du

peintre. L’artiste a introduit

dans

les

gravures des Caprices un élément tout parti-

culière! absolument en désaccord avec

époque

:

le

le

sens esthétique de sa

l’ace et

de son

sens dn fantastique. La plnjiarl de ces comjiositions oui une saveur

suraiguë, hallucinée, diaboli([ue

même, en dehors non seulennmt

de la compré-

hension naturaliste es[)agnole, mais aussi des minandei'ies jiolissonnes des


8H

(K) V A

même

ai’üstes de la

époque en France, élèves ou émules des Houcher, des Fra-

g’onard, des Baudoin, des Pierre, peinlres de jolis sous-entendus licencieux (jui

rabaissent

même le vice

Nombre de

par

compréhension

la

éli'i({U(M‘ et

ces planches, dans les([uelles

y

Ji’l J^uhi/v orioin.lL> >io

(TnLtno ,ùl S.‘irhtùq¥‘

POIITU.VIT

IT

'U-ninoisiV

le

^

in^i

lugubre

<l<-‘

et le jovial luttent à

rn

(’/i'quo nqvvA'nt.i.

iixHJo

‘-.hn/or.

r/i

ol

DF NAIN DE pMll.lPPE IV, DON SÉBASTIAN ijravufc;

mes(|uine qu’ils en ont.

t/oSlf-i.H-ut

ItE

’’

MoilUV

Goya, d’après Vülazqlüz

donnent une impression de malaise indéfinissable. On y devim' un sentiment profond de la perversité liumainc n’ayant rien de commun avec Fenvi

les

,

anecdotes des metteurs en scène oixlinaires de

Ces créations superbes nous tient de rballucination

choquent fantômes,

et

et

se confondent,

les

du où

introduisent rêve, les

la

la

lin

du xviiF

siècle.

dans un monde particulier qui lumière

et les

ténèbres s’entre-

arbres et les tei'rains ont des allures de

hommes d’animaux. Dans

ci'S

paysagc's l'antasliques, éclairés li


00

(

j»arcimniiitMis('ni(']il

dr

pai'

n

;

A

lueurs,

riilguraiilos

e'esi

un

llamhoienicnl

Ce

subil, laissaiil (l(‘vinor ou eiilrt'voir des Aires prostrés, p,isaiils el l'àlaiils.

soni, à ronibrc de roelu'i's l'ébarbali

au

soreiAres,

vienneiil

des

pr('[)arer

d(‘

pliillia'S

jeunesse })our nn jour, pour d('

sur

reiideul à

elh'S

s('

viee

heure'

et d('

sournois

eacliés

et

;

travers resjeace

(jU('

l'on

lourdement sur

retombe

la

cheveux

les

piei're

la

;

balai

presque

lilles,

niorihoiuls

(h's

de h'nr lomljeau

toutes

({ui

leur

tous

les

de ees planches. Les monstres

(jui

bref,

IA|('

le

à rester éleriiel leuieut iuc<uiuus;

des vieillards })oni'snivant des je'unes

morts soulevant

la

des he'sogues iuuoiuiuahles.

à

enrauls; des luei'ies saiivage's, des guets-apens louches, (h'S

qui

(b'vanl Unir l'endrc'

d('S

aeliAve,

sligmale,

niandragore, elles enfourchenl

Ce sont des assassinats dans l’ouihre destinés (h's viols

son

i-edeve'iiues jeuiu's el

;

de vieilles

l(‘pr(‘US(‘s,

laissé

a

aux sues de solanées

uiu'

jus(|uiame

lusli("saiix ('xirails le(|iiel

eluujue

descjiudlrs

\isa^(‘

ou de ivmi'ailles

l's

b's

lioi'reurs,

épou van tt'iueii Ls. Le maeabiM' h's

humaines, Ali('S

sont

ce

])eu[ib‘ut, d(‘s

Iden

(‘st

des

d(''inons à

dom inan

dragons oi'eilles

t(‘

ou des volatiles déplumés

ailés

à lAtes

des soi'cières à pieds de houe, des

d’àm'. I

h'

('st

champ du

premiei' artiste

nerveuse, violeut('

de pierres et habitués à

(|ui

nue

Age, ait

u'uvix'

l'eligienx.

et les

ne peuvent

snrhumaim',

d('s ymai(ji(-rs

représenter d('

le

le renier,

il

('st

('t

tiia'*

ail

grandiose l)i('U

de ce vaste eherclier

été el

puissante.

eejM'iidant

il

dans

avec sa ])oinle incisive la

la

et

réalité

continuateur attardé des tailleurs

est le

des cathédrales gothi(|nes des xiié et xiv° siècles

malin sous

chiens

bonclu' hnidue

cheveux droits

moyen

le

exaspérée, égratignant ces étranges planches à

el

et

lorme de boucs, la

moines

les

donnée des mysli(jues

de[uiis

délaissées

inlerdil('s el

laii (|ui haïssait

chaude, hesliah'

(|ui,

nue moisson vraiment large, qui

l'autasli(jue

dans ees régions

les

note

plus ou nnnns hyhrid(‘S à d('fonua ions lerrilianles.

Goya

tues.

la

noirs,

les

et roussis.

puants,

sales,

outre mesure,

apparences d’animaux, sous

le

la

avec des oreilles poin-

ne/ outrageusement recourbé et

Tout cela, conl'ormément aux leçons

et écrits

des hagiographes et Pères de l’biglise, sans (|ue l'artiste s’en doutât d’ailleurs. l)ans ces lormidahh's u'iivres les personnages lignrés sont tons plus on

parents des iiriapes, et

des faunesses,

(h's

égipans, des hamadryades, des

mais transformés

juir

moins

satyres, des faunes

des siècles de christianisme.

Ils

ont tous, ce (|n’ignoraienl les créations des théogonies antiques, l'hypocrisie


.MkmiM'I’, j^ruvurc

<1c

()uYA, d'aprùs Vi

i.Aznii;;^.


GUYA

92

hideuse,

joie

basse,

la

visag(‘s

eouvulsés des goules

Parmi dans

il

sur

les

cour de Chaides IV mis eu scène

la

faut d’abord et avant

tout

citei'

Maria Luisa,

reine

la

pour nous servir d'un mot espagnol bien en situation,

niadiilia

|)uis la «

stigmatisée

(h's vamjiiia's.

(d

personnages de

b'S i)i‘iucijiaux

les Câpriers,

doulumauise

crispalion

la

traînait à

(jn’elle

premier

rang garde

sini])le

sa

suite

Godoÿ, royal,

au

:

d’abord

}>uis

ofii-

cier, puis colonel, puis ministre,

puis

ju‘ince de

gré

ministre,

ju'eniier

Paix

la

elle,

il

Viennent

l'oi.

médi'cin

mari, mal-

et

est vrai, de

Don

de rinfanl

enlin

la

lille

Luis, oncle

Pineplc

ensuite

Galinsoya,

du

pauvre

le

Caimicero,

le

grotesque

diplomate Urquijo

et

son rival,

])eintre

1(‘

prudent Caballero, Pin-

trop

signitiant général la

Tomas Morla,

comt(‘sse-duchesse de

vieille

Benavenle, pour ne les plus

citer

que

en vue.

Goya u’épargnait personne, (d

faut

il

c(Hix (ju’il

façon (Jll.MMK

II.S

I.

V

r

lirr

!

cslruilr

lies

vent été

iviiic

cbnyé du

rii(')t('

[)Our lui [)bdn

Maria Luisa

(b‘

lidèle ])Our le ri'st(‘r

ces plancbes

si

l’Ltat voulut-il

possession

de

la

d('s

même

oséi's

et

lui avait

de

[irince

biama'il lanci'

;

fustigeait de

avai('nt

})rotecteui‘s

contié bien des secrets

la

Paix,

qui

il ;

la

puldicalion des

ne resi)ectant rien,

})as

même

la

scandale? G'est doubmx, imisqu’une

cuivres,

b'

gouvermunenl eu

Gbalcograpbie royah', en 1806-1801.

montré

un

ami assez

majc'sté

le

faire

avait sou-

Lu acquérant

ari'êti'r

lit

même

et

toujours s’était

Caprices.

belle

admira-

ses

été

!’inforlum“ Garnicei’o élait son ami,

aprî's

si

t'ajn-ices

tours, ses

ses amis. La

bien reconnaître que

fois

lirage, par

royale,

mis en les

soins


GOYA En

1808, ainsi que nous l’avons vu,

naître pour roi Joseph Bonaparte. Mais

et,

plein de colère et de remords,

Désastres de la guerre, dans lesquels lioi’reurs

l’occupation

de

II.

S

et

93

Goya ne il

s’en reiientit vite

difficulté de recon-

— on

le sait

assez

il

grava alors d’une pointe exaspérée

il

exprime d’une façon

de l'invasion.

l’enlèvent,

aucune

lit

les

saisissante les

si

Les Désastres de

la

guerre ou

g'paviiro oxlrailo dos i'ain'icvH.

plutôt les Malheurs de la guerre, sont de véri tables cauchemars, d’épouvantahles scènes de désolation. Les quairc-vingts planches

formant celte suite ne

montrent que des tahlcaux plus horribles

les

qu’hommes

morts

imprimées

autres. Ce ne sont

femmes

violées, blessés

qu(' l’on dépouille

Après l’achèvement des Désastres de

([uel([ucs

uns que

s’entr’égorgeant, soldais fusillés, pendus,

(jue l’on tue,

[)oint

les

du vivant

d(‘

épreuves d’essai, Goya

la guerre,

leur auteur S(>

dont

les

planches ne furent

qui n’en avait

mil à graver

la

suite de

fait

tirer

que

compositions


GOYA

94

communémeni

iippeléi?

férents, est

un

véritalde

par nous montrer

en rase camj)agnr

pour ce

s{>ort

la

comprenant 33

sujets dif-

des coui'ses de taureaux. Le graveur

commence

Taurnmachie Coilo

ti'aité

h's anciens Espagnols cliassant à pi(‘d et à cheval ;

puis, les Arabes, maîtres

j)arlicul ier

d'antres })ersonnages

représente

il ;

non moins

enlin les prouesses des cliulos,

Les

nando dont

la

fI'LMMES

illustres d('s

donnent de coeiiade,

Toro. Dedro Romero,

del

mort

tragi(|

nr dans

la «

gi‘a\uro oxlrailo

d(>

(d

taureau

Cid

Cliarles-Qnint

,

l’ai-cne

;

il

et

célèbre

des picadores et des princi-

(1rs

hrsnslrcs dr ht

(Aballo^,

Remb'm

pla/a «

le

descendant dans illos,

le

péninstile, se passionnant

la

d('

('iisuit(‘

bandei

de son lem])S, jMariaiio

paux espadas

suite,

de

ijiicrre.

Marlincho,

l'alcrs,

l'er-

malbeni'eux l'epe

ce

Madrid fournil

le

lllo,

sujet de

la

et

fut

der-

nière planclu'.

Un

pi'emier tirage* de

alors sous

les

presque en

yeux

et

enliei- d.iiis

gravée entre 1812

la

sous les

la

direction

nniins

liii-mènie.

mais

dans celb‘S

de*

de (!oya

dn jannlre

et

parents et amis privilégii-s. Ce ne fut epie beaucoup

de

l’artiste,

(|n’nne nouvelle impre'ssion eut lieu

naître ces superbes plancbes. états

:

le

[treinier

d’aquatinte.

Il

d’eau-foi'te

convient d’ajonler pure,

le

I8I-"),

et

[>lus tard,

que

(|n'('lles

le

il

fait

resta

(|nel(|ues

après

la

mort

public put con-

onl passé [lardeux

S('cond d'eau-forte avec adjonction


(;o Il

(le

('xislo

lauia'anx.

y ont II

encore sepi (jiii

de Goya, consaertMïs aux courses

aiiires ('uiix-foiies

pas

l'ont

ne faut

de

pai'lio

Tauromachie proprement

la

a[)pelée [>ar lui

d’eau-roiie

connaisse

la

gravé(‘

piii'e,

CLA.MEl'US, graviu'o c\lr;ü(c

Somjes ou Rrveries^

de l’Acadéinie de San iM'rnando, raison

d('

celle

|)ai'

([ui

ne

sons

le

légaunles font défaut. Ce

un

b^iue, des

orateur,

soutemi

àiK‘

mort,

hommes

et

Goya

llcsasli'cs

(les

litre

api‘(''s

de

lut éditée

mais

la

'Tauromachie

lu i/uerre.

qu’en 18(14

de Proverbes,

[)ar les

soins

sans ([ue l'on

dénomination. de ces [danches auxquelles

est bien dillicile d’expli([ner b's sujets

([uins et

ditcn

onldier une anlia* suite de 18 [danches de valeur fort inégale,

[las

tonies

V.UNKS

Il

95

ajoutées [dus tard.

('dé

pi‘esi[iie

ne

VA

sont des majas jouant à

nue armée

elfi'ayé(‘

la

balle avec des

les

manne-

à l’aspect d’un gigantesque fan-

des femmes, assis au

[lied

d'un

ai'bre,

écoulant

un

un géant dansant au son des castagnettes devant un épouvantail |iai'

un

monstre aibq

autre'.

[H'rsonnage,

tenant une'

[)viis

femme dans

un bomme, ses

bras,

à califonrebon

sur un

un monstre conqeosé de


<)(i

(

;

0VA

corps jumeaux, l'un (l'homme, l'aulrc de l'emme, réunis par les éi)aules

dont clnujiK' jamln' repose snr nn donlde }ded, une suivie

par

deux personnages, une danse

majas. des homnn‘s

aveugle,

Un

un

'.oniSK

époques. Nous avons

HK

I

(h^jà

\niK,\rx

parlé

d(‘

f,\

j»i('‘ces

planches,

Aroxajlo assis,

Ililiosi-aiiliio

Isidro,

Majas, un Ilonune embossé dans sa cape,

Il

in/to/i'-,

el

Le

|»i'océdé

la

1

etc.

à dilférontes

(iuvA.

ilc

la

plus grande de

faut encore citer

parmi

(hnix Escarpolettes,

deux

snidout ces deux merveilleux (|ui

doivent

('di’(‘

comptés

(cuvres.

liclles

de

jeunes

de

un Saint François do Paulo,

cuivres du Géant na assis et du Sapplice da ejarrot,

parmi ses jdus

et

moquant d’un

des démons,

et

de VAi'eu</le rhaiilani,

nn Aroacflo apjnnjé snr an

S(‘

détachées exécutées

m'.rx l'Muir.s.

nne Fuilc on Eriypie, un San

à deux lédes pour-

des gens

monstres

des

jiar

mesurani hi cenlimètres sur 40.

ces derni('‘res

un

assailli

trouve enlin une vingtaine

(

ses

à

vieillard

femme

vieux toreros

volant,

ailes

j^rainh's

dc'

et

i

thogra[)hie, grâce

<à

la

facilité (|u’il

laisse à

l’artiste

de

Celte ilei'uièiv [ilanclie a[ipai'üenl à 0. Ignacin Ziiln.'iga, i|ui a l)ieii voulu nous auloriser à la publier. CoiiiplèleiueuL inédite, elle présente, ipudipie inconnue juscpi'à ce jour, les caractères les '

plus sérieux et les plus jn'oijants d'anllienticite. l'ille provient de la rainille Zagrater, de Saragosse, qui la tenait de (lova lui-inênic. et date, sans doute, de l’époque où le maître entreprit la reproduction des reuvres de Velaz(piez.


y.Goya.del et sc.

UX .MKKDIA'XT ‘

Kevuc de l'Art

Collec+LOii de

.i-nc-ien

“tmodeme

Ziiloa^a

>

Irrjp.L.Fort



CO VA rendre sa pensée sans grands

une

i'nrie et

(Jiiand

il

une

et debout,

toile,

instant, ainsi qu’il aurait procédé

Le EAMKl'X

sa

moyen nouveau

[)ierre

A.MÉlilC.UX

avec des ci’ayons

M VUIAXd

(pi’il

ne

que, vers 1820,

tirées toutes à petit

il

nombre, dont

rester dans ses cartons

assez réduites, puisque

ou la

à

(|uatr(‘-vingts ans,

plaçait et

pour un tableau,

lilhograpilic

jamais,

taillait

lie

une pierre sur ra[)[)rocbant à

se

il

dessinait sur

Goya.

salirant de

les très rares

ôti’e oll'ertes

à

épreuves étaient destinées à

quebjues amis. De

mœurs ou

de diableries.

en 1825, à Dordeaux, Goya, arrivé à l’àge de

exécuta sur pierre ces quatre merveilleuses

i)ièces

nues de courses de taureaux. Hautes de 50 cenlimèlres environ

nu taureau

et

dimensions

plus grande mesure seulement 20 cenlimètres sur

[)lus tard,

largeur, elles montrent,

temps en

gralloir.

dessina à Madrid une dizaine de pierres

20, (dles représentent des scènes de

Quehjues années

Il

reculant

se

CeUAM.OS,

temps son ouvrage de grands coups de C’est ainsi

mania avec

le

encore imparfait de reproduc-

et

âgé de plus de soixante-treize ans.

un chevalet, comme une chaque

devait lenler Goya, qui

ell'orts

incroyables.

Jirnlalité

essaya de ce

tion, l’artiste était

97

la

si

con-

sur 40 de

première, Ce torero Mariano Cchaltox^ monlé sur

en alta([uant un

aulia',

la

seconde,

un Picador enhvè sar i:i

ies


CO

DS

d'an taureau,

corju's

(livisre (‘U

l'aulrc,

(leux

dans

l

d' un

la

vigueur du

Ces nouvelles

(|ui,

luali^i'i''

lilliogi’apliies ligiinuil

l'iniprinieur

sabrage de crayon,

en.

furi'ul là les

lillio^r.'iphies

Fmisl

des

en passe

('d(>vé. iiiaiii

Irein-

lourdeurs iiuAilaldes, U'nioi(d

la vi(>

(|u’à

la

wne Scène de duel.

:

arrêt devant un

de

lillioi^raplK*

de

la

couleur

Majo dansant le

Portrait de

Celle dernii'u'e pierre fui

d’un

C’i'sl

iiii

taureau, et

l’arlistio

poinb' du gi'alloir

surgir ce porirail viM’italdenuuil

Ues

un prix

il

la lin clu'/ h' vieil allih'de.

exi'culée d’une façon loiile |iarliculi('‘re.

illustrations du

300 excni-

à

Tii'(''cs

(juaud par hasard

rari's.

Tort

lalenl, du siuilimenl inhuise de

devant une maja, un Picador

M. Uau/on,

(juali'ième,

la

cl

(Joya, pr('S()U(‘ av(‘up,le, dessina d'iiiie

(dl'orl,

(jualre aulri'S piiuaa'S

persislanl juscpu’à

I

coup d'épée'

veille puldujiie, ellealleiiil iinnu'dialemeul

yuenl de

Ce

novillos.

une, un Chulo posant des bandcri Ues ol dans

jdanches soûl devenues

Aprl's ce dernier

Idanle

:

un Torero frappant un taureau

jdaires, ces

une en

une Scènr de

Iroisième.

la

pai lles

VA

(0

J'ond noir

obtenu par un

sans ridoucbes, Goya

lit

('douiiaiil.

derniers iCdairs de son génie.

ne rurcut pas sans inllncncc sur Eugène Delacroix, coinnie le iirouvent ses cl du (oWr de llerli/iclniii/en (jiii en dcn'ivent jn.sr|u'a un certain [toinl.

'l'iliS

CKS l'IlESSENTIMEM

s

UE CE

.KTimiri' oxli'ailr lies /(éKi.s/res

IJI

dr

I

lu

\

A

MIIIIVEU

Onrri'C.


CATALOGUE DE L’(EUVUE PEINT ET DESSINE

Peintures décoratives. 1.

VAijricultnic.

l’ne inati'oiie

4.

assise

[lée, coilïée d'épis,

aiiiplenienl

et

lient

une faucille;

à ses

un personnage lui pri’senle des (leurs dans la })aiiie supérieure de composition on voit les signes du scor-

côtés,

;

et des fruils; la

pion et de

fond de paysage.

la lihra;

la

Médaillon circulaire, i’cinluro

à

la

sur

ll(ll•Olupl^

du

unnislèfi,i

de

trom[>ette.

La

que dans lo médail2 de Ma;/o, a\ait été primitivoiuent [icinl le porli'ait du roi Joseph

toile.

Toile.

U Industrie.

rouets

;

dans

tourner

assises font

dévidant des

clmnvre

le

sont occupées de

la

fils

des

de laine ou

fond,

d'autres

même

façon.

5.

de

Peinture à la Diamètre, 2,52.

sur

ifiîtreinpo,

Madi’id. Iiifiliollièi|uo

toile.

du ministère de

centre,

laquelle soid inscrits

1

,05.

d'Espagne;

en

une tablette sur

des calculs algébri-

la

;

dalé

«

[ilan.

des groiqies d'étu-

180(1 ».

Gravé' par Alliuerue, cite par Z. Araujo.

en

costume

mauresque

écrivent assis à une table; au second plan,

hommes examinent

en avant, des

L.

armes

les

ques; au dernier

hommes

;

deux enfants soutenant

Le Commerce.

deux nulres

2, GO

lut militaire, apiuiyé sur un IVd de colonne couvert de ligures géométriques; à droite,

dianls

Deux

1.

avant, un enfant sous Tuniforme de Tlnsti-

marine.

1

Ayuidamicnto.

— Allégorie. Au

femmes

iMiélailloii circulaire.

3.

-Madriil.

Deux femmes

fil

ISoiia pai'le.

la

mai' '.no. 2.

trailition al'lirnie

lon où on

l)iauu''tre,

Madi'iil. lüDliolhèip.ie

— Allégorie.

t'ne matrone est appuyée sur l'écu des armes de -Madriil; à scs côtés, un enfant soutient un médaillon sur lequel on lit 2 de .\Iaijo ; en haut de la c(.imposition. la lienommée les ailes é[doyées et sonnant de

dra-

un livre;

6

.

— L'apothéose de

une cigogne.

siics et

la musùj^ue.

s’échap[ie une source, une matrone; atqu'ès d'elle dans trois enfants nus, le premier tenanl

Sur des rochers

d'oi'i

est assise Mi'daillon circulaire, l’i'inturo à la Diainèlre, 2.22.

didi'cmpo.

-Mailrid. lîildiollièque

marine.

du

sui’

Inde.

iiiinistèrc

de la

les airs,

une (rompette.

le

second des cymbales

et le

troisième un liàtun de clief d'orcheslre avec lequel

il

semble diriger un clueur composé


CATALOCrK DK J/OKÜVHK

100

derriiTe le roelier.

lilletles;

(le

trcjis

vieil-

lards c'(/ouleid allealivemeut Tuile.

3

11,

111

,

L, 2,95.

;

Madrid. .\jiparlieMl

il

ET DESSINÉ

PI'llNT la

soulever; derrière, une seconde figure de

remme

assise et

genoux

et

Tuile.

D. Luis Navas.

nue avec un jmpier sur la main.

11.

3 ni.

L. 2,40.

;

Madrid. Aiipai'tiont à 7.

L'E^piiijuc ccricant niiÿtoirc. 8.

ue

l

main

dclmul tienl un livre de

iiialroiie

droile

;

Temps, sous

le

prend par

vieillard ailiu la

Dimensions

figure d'un

la

la Vérilé.

n.'duitcs.

trè's

.Madrid. Ane. collection de

poignet [lour

le

Luis Navas.

1).

Temps découeranl

Le

la

les

une plume à

José Mar-

I).

tinez Espinosa.

Peintures religieuses. 1.

— Apparilion l’reinii'i'e

l’einlUi'O

de la Vicri/c dcl Pilar.

il

— La

Saragossc. .\iiparlient au chapitre de Notre-Dame del Pilar.

paroissiale

de Fuende6.

Allégories de la Foi, de la Charité, de la

Force Vierye dus

de

l'église

l’i'f^lise.

Eglise

Vierge reine des Marti/rs.

Esiprisse de la l'rcsipie prée(''dente.

loilos.

2.

— La

l’imile exéelltee sur les portes

du retable de Arag(3ii.

5.

Guya.

ceiivre de

de la Patience.

et

dulllclu^i.

Eresi[ues.

Peint vers 1775.

On no eonnait

Peint enire 178U

l'e.vistenee

par la mention qu'en lettre adrossi'e par Zapater en ITT-'i.

ijue

une

3.

— Allégorie de Le

nom

céleste

occupe

de ce l'ait

lui

latileau

Saragossc.

Goya dans à

Notre-Dame

ami

son

à la

7. la

de Dieu est inscrit dans

le

nombreux anges

chapelle San Joaipiin.

— Saint est

Praalio, éréipie de Saragossc.

de et

la

composition

(jui

de

;

archanges réi»andiis

Tentour. de Ions cmtés. adorent

main

droite étendue en avant dans un geste de bénédiction de la

sacerdotaux,

la

main gauche,

il

;

à

remhleme

de face en vêtements

représenté

triangle

envelop}ié de rayons lumineux

centre

de

inétro[)olitainc

dol Pilai’, corqiole taisant l'ace

DiriuUc. il

le

1781

el

Eglise

sous

la figure,

tient la ci'osse jiastorale.

on

lit

San Braulio.

:

Mauvais

état de conservation. Figure en pied de grandeur naturelle.

sacré. Fresiiue.

Peint entre

Saragossc. 1

78U

ut

1

781

Noire-Dame

Eglise méti'opolitaine Saragossc. de Notro-Danie dol Pilar, coupole quadrangulaire ou elneur de la chapelle de la

8.

Eglise

inélropolitaine

de

del Pilar.

Saint Bernard de Sietuie 'prêchant devant le

roi Alpho)ise

d'Aragon.

Vierge.

4.

Le saint debout sui' un petit monticule, un crucifix à la main, prêche devant le roi

La Vierge reine des Martyrs.

La vierge assise sur un trône soutenu par desnuages estentourée d'anges, d'arclianges et de saints

attentivement.

même

martyrs.

le

Fresi|ue.

métropulitaine Notre-Dame del Pilar, coupole taisant à la cliapclle San Joaquin. Eglise

Doya

au milieu de

s’est

la

de l'ace

ijui

l'écoutent

représenté

lui-

foule qui environne

souverain. Toile. Figures en pied.

Peint onli'e 1780 ut 1781.

Saragossc.

Aljihonse d’Aragon et sa cour

11.

4.80; L. 3 ni.

Peint enire 1781 et 1783.

Madrid. Grande.

Eglise

de

San

Francisco

el


9.

CATALOGUE DE L’OEUVRE PELAT ET DESSINE

Saint Bernard de Sienne j')réchant devant roi

le

Alphonse d'Aragon.

Esijuisso

Toile.

II.

.lésus.

iviaiMjuis

de Tur-

roi

Alphonse

Valence. Catlnélrale. Francisco de Itorja.

dê Aragon.

18.

— Saint

titre

François de

famille

San

Chapelle de

Borgia quittant sa

pour entrer dans

la

Compa-

gnie de Jésus.

de saint François sur la mon-

Esquisse du préi'édont. Toile.

— Saint Bernard de Sienne prêchant devant le roi

11.

0,37

;

L. 0,26.

Madrid. .Appartient au marquis de Santa

Alphonse d'Aragon.

Gnu.

Autre es(iuisse du précédent dans laquelle manque le portrait de Goya.

19.

Sailli

François de Borgia exhortant un

mourant impénitent au

Toile.

Madrid. .Appartient au niar(iuis de Torrecilla.

12.

emlu-assé,

Gravé par Pelcguer.

tagne. 11.

siens

Toile. Figures en pied.

Sarag'osse. .Appartient à la raniille Zai>ater, d'après Cli. Yriarte (|ui le désigne li‘

un des

Peint vers 1787.

Autre esquisse du précédent.

sous

lient

lamentent.

0.G2; L. 0,33.

— Saint Bernard de Sienne prêchant demoil le

U

tandis que ses autres parents pleurent et se

rccilla.

10.

Compagnie

quitter pour entrer dans la

de

du prûccdonl.

Madrid. Appartient, au

la

DU

— L'Assomption

de la Vierge.

repentir.

Le saint on costume religieux, le crucifix à la main, exhorte an repentir un moribond, couelié sur un grabat, et entouré île dénions grimaçants, qui reste sourd à ses

Toile.

prières.

Peint entre 1783 et 178-L

Toile.

Chinclion. Eglise paroissiale, retalde.

— L Immaculée

13.

14. —

Colli'ge de Galatrava.

20.

Toile.

21.

de grandeur naturellie

pieil

au

marquis

de

Le baiser de Judas. le

milieu

de

la

composition,

le

cl

sa droite .ludas in-

dique du doigt riiommc-Dieu aux soldats.

de grandeur naturelle.

Toile. L. 2

Figures en

jiied.

11.

3

m.

;

m.

Peint vers 1787.

François de

Borgia quittant

famille pour entrer dans la

gnie

0,37; L. 0,26.

Appartieid

vociférant, tandis qu'à

Salamamiue. Collège de Galatrava.

— Saint

11.

nus, est entouré d’une mnlliludc crianl

Peint vers 1781.

17.

Christ vêtu d'une longue tunique, les pieds

Saint liaumnwl. Figure en

Dans

Salamamiue. Collège de Galatrava.

repentir.

Santa Cruz,

Peint vers 1784.

16.

Saint François de Borgia exhortant un

Aladrid.

Saint Bernanl. jiieil

San

de

Esquisse du précédent.

Peint vers 1784.

Figure en

Ghaiielle

ISorJa.

mourant impénitent au

Saint Benoit.

Salamamiuc. Collège de Galatrava.

Catln'dralo.

A'alence.

Francisco de

Figure en pied de grandeur naturelle.

15.

Figures en pied.

Gravé par Peleguer.

Conception.

Figures en pied de giundcur naturelle. Peint vers 1784.

Salamanque.

Point vers 1787.

Tolède. Sacristie de

sa

Compa22.

lie

Jésus.

— Le

la ealliédralc.

baiser de Judas.

Esquisse du précédent. I.c

miuaiiiis de IjOiiilmj', due. de Rni'giii,

fait SOS

adieux à sa

l'aiiiille

au

moment

de

Madrid. .Ancienne collection de Rolondo.

L).

Luis


CATAI.OGÜE DE L’OEUVRE DE IA T ET DESSINÉ

lü-2

23.

— CIniat en

que par

ci'oiæ.

les

Toi II.'. Tolrile. Chapullc DüUteii-'i:

24.

Casa

la

dr

l’oul iMro

.

lîaycu.

l'’i'.

31.

— Jm

archiépiscopal,

par

citi'

.sur

coucln!'

est

.lo.scpli

suri

lit

2,00:

II.

;

gaucho.

Valladotid,

Saint .losopli rotes,

Josep>h.

conidié

est

.lésns

et

son

sni’

A’icrgr'

la

lit

;

Un miiacle de

San

de

l'i'glisc

saint Antoine.

Esquisse du gi'ouiic [irincipal de la fresque précédente.

a

Toile.

au-dessus

;

Les ligures inesiu’unt 2,20 do

Maura. Madrid, Coupole de .-\nlonio do la Florida.

Eplise de Santa Ana.

La mort de saint

ses

Peint en 1708.

32.

sa voix.

Gi-avé par

Peint vers 17S7.

26.

j'i

hauteur.

1.00.

L.

bras étendus,

les

au milieu d'une nonihreuse assistance, rcssuseile un mort, ijiii se lève de son loni-

Toile. Eigiires en pied de oa-andeiu' natii-

Goya dans son ami

à

miracle de saint Antoine.

Antoine, deliont,

I'’resque.

.lésas à sa droite, la ^’iergo à sa

i-clle.

Va

heau

mort de saint Joseph.

Saint

Sailli

Palais Eli. Yriarlo.

l'ait

lui

Zajialer en 1787 et 1788.

Nuiirio.

ilol

— Le Christ mort. Toli'ilr.

25.

ilo

rncidion qu'en adressées par

la

lettres

0,20

II.

Jladrid.

|danent phisienrs anges.

;

L. 0,38.

.Appartient au comte de

ATl-

lagonzalo. Esquisse. Toile.

Il

.

(I.tia

;

L. 0.41

Ajiparlicnt

^ladi’id.

33.

Aurediano

I).

ii

Saint hernard

et saint liibert.-

Les deux saints conrerent

haptème

le

erueilix

et

un

Santa Ana.

représentée a genoux devant priant

:

à

ses

pieds,

34.

II.

2,20; L.

1

29.

de

fresque précédente.

la

0.20

;

L. 0,38.

au comte de

Villa-

gonzalo. 35.

Chi’ist en crui.r.

Le Christ

est

attaché sur sa croix, s'enle-

vant sur un fond sombre.

Sainte ihncline.

Peint

pour

l'église

San

Toile. Figure en pied de relle.

Peint \ers 1787.

36.

II.

de ce tableau

cl

'2.35

;

grandeur nalu-

E. 1.53.

Musée du Pnido.

Sainte VamiUc.

La Vierge

Peint vers 1787 ou 1788. l'e.xistence

Madi'id.

Valladoliil. Eglise Santa .\na.

Nolrc-Iianie du (dinnel.

Francisco

grande.

grandeur nalu-

relle.

On ne connaît

II.

Santa Ana.

Toile. Figure en pied de

.Madrid. Appartient

Elle est représentée en prières.

30.

coupole

,00.

Peint vers 17S7. Valladoliil. Eglise

la

la Florida.

.[nges et chérubins

Toile.

Toile. Figure en |iied de granileiir nalu-

de

San .Anlonio de

Esquisse de

un

ra nieaii.

rclle.

Pendentifs

.Madrid.

Sainte Lnlganle. est

tous

Peint en 1708.

l'i'glise

La Sainte

de

Gi'avé ]iar Galvan.

Valladoliil. Eglise de

s'épar|ullent

Fresque.

2.00; L. LOI).

Peint vers 1707.

28.

uns soutenant des des tentures, on à genoux,

ci'ités.

Toile. Figures en pied de grandiuir natu11.

de

vélns

cliéruliins

les

debout,

autres

les

des

et

tuniques.

draperies et à

lioninie agenonilh''.

relle.—

chérubins.

cl

anges

li'gércs

lin

Anges

Des

lieruete.

27.

de

assise tient

dans ses bras

l'en-

fant .lésns, vers lequel se dresse saint .fean-


CATALOGUE DE L’OEUVUE Baptiste enfant, à gauche, au second plan,

Eond

saint .loseph.

43.

clic.

Il

.

2 ni

.

-Aragon. Eglise de Ui'cea de Gaen.

44.

L. 1,4S.

;

Saint François.

Madrid. Musée du l’rado.

37.

.Amérique.

Sainte Famille.

45.

Saint Jean.

Madrid. Aiipaidienl au duc do iNohiejas.

38.

Shiïile Jiislinc et sainte liu/ine.

Sainte

et sainte

.liistine

regardent

des rayons lumineux

tête

mains

46. delcaut,

Ituline

les

les

Sujet religieux.

On ne connaît

rexistcnce de ce tableau, de Torrero de Saragosso, ipic par la mention qu'en l'ait I). AL de Carderora. |ieint

liennent

elles

:

symholes du martyre à gauclie de sainte Butine, un lion lui lèche les pieds dans le fond, on aperçoit la

dans

.Ami'riquc.

d'où descendent sur leur

ciel

le

cathédrale de Séville et Signé'

:

47.

<iel lie;/.

Toile.

grandes

Ano

Sujet rcliyieux.

peinl

ItilT.

Figures

en

(luo nature.

un

pied

11. 3,0'J

;

jieu

plus

Sainte Justine

et

48.

II.

0,të

:

40.

Sujet

l’alilo

pour

exorcise un possédé couché à

prêtre

Saint Joseph de Calasanz. est représenté à

genoux,

les

mains

communion

d'un prêtre devant l'autel

;

50.

Toile. Figures en

11.

2,50;

51.

— Tohie

et l'aiujc.

Ü.I8; L.

11.

ü,2.'j.

A(qiartienl à la l'amillo Pas-

et t'anyc.

Saragosse. Zapater.

Saint Joseph de Calasanz. Esquisse du précédent avec variantes. Paris. Aiipartient à M. Léon Bonnal. Ane. collection Paul de Saint-Ahetnr.

52.

— Apparition dinand

ite

Aiqiarlient

à

la

l'aniille

saint Isidore au roi Fer-

III sous les

murs de

Séville.

l'jsquisse.

Saint Pierre exerçant la charité.

Le saint

est représenté

Toile.

to.

A'alladolid. Cal liéd l'ale.

53. 11.

3,20

;

0,47

;

L. 0,32.

vas.

toinhcau. Toile. Figures en pied.

— H.

Madrid. .Appartient à D. Antonio Cano-

donnant un mor-

ceau de pain à un [)auvrc qui sort de son

•l,

O.lîO.

Esquisse ou répi'lition du précédent.

los jiadres Esculapios.

L.

;

du Prado.

cual Calvo.

en 1820.

Madrid. Eglise de San .tntonio altad, de

0, i8

11.

A’alladolid.

L.

,80. l’cint

Tobic Toile.

|)ied.

.Madrid. .Alusée

intérieur d'église.

42.

l'existence de ce tableau,

l’église

L'exorcisme.

Un

Bosch.

jointes, en vêtements sacerdotaux, recevant

41.

ce tableau,

relifjiea.x.

Toile.

1

île

Monte de Torrero mention qu’en l'ait

terre et entouré de noinhrcux spectateurs.

Le saint la

del

del Alonte do Torrero a Saragosse, que par la mention i|u’en t’ait I). AL lie Cardercra. |ieinl

49.

L. 0,29. I).

l'existence

l'i'glise

On ne connaît

sainte Itu/inc.

Madrid. .Appartient à

L. 1.77.

Esquisse du i)récédenl. Bois.

iiour

à Saragosse, (|ue par la I). V. de Carderei'a.

Lacien/ee-

//

primer jiinlor de camuea

//

Séville. Cathéilrale. Saciislie des Calices.

39.

l'église del .Monte

On ne connaît

Cirnlda.

la

Fi'ancisco de (îoi/a

Aaf/u.<ifa)io

pour

;

;

Cesar

103

Saiïit Jtlas.

somlu'e.

Toile. Figui'os en pied do grandi'ni' nalu1

DESSINÉ

l'ELXT ET

Naissance de l'enfant Jésus.

L.

L'onl’ant

crèche avec

Dieu la

est

vierge

représenté cl

saint

dans

la

.loseph en


CA TA

lO't

ronipagnio do

DK

loi; r K

U

LOI-:

vue

des luüres aniniiuix

l'.'mo ol

tenant son enfant dans ses bras, s’agenouille

devant

iialiiliiols.

Ardoise.

H.

(l.l'.i

L. 0,2“J.

;

Mailrid. A pparl.ieni à D.

54.

ilu

l^ozano.

bas,

sigin'

:

62.

La messe de

II. (1.73

— Le

à.

D. Alejaiidro

l’idal.

du

l'angle iid'érieiu'

ano

f'ecif,

l.abli'aii.

on

63. lil;

— La

Jîois.

0,47

11.

— Sainte

aux Eroles

de

l’ies

64.

luahelle mriijnanl

lepreav.

ilea

Esiiuisse. Toile.

11.

0.33

L. 0,^3.

;

AppaiTienl.

Aladrid.

à D.

Vo-

(dlrinenl.e

laseo.

— AüCCnnion.

il'iin

en

évèipie

dans

èrrijtie.

Toile.

11.

0.43

lundis ([ii'ime

Toile.

l'onle

à

Bois.

la

Za-

l'ainillo

65.

de

Villa-

lie

Larnio

jettent sur rarolievêriue

et

s'efforce

de protéger

60.

poing,

sans défense

vainement de le

an

les

|ienple

se ;

l'éijlise

;

de l'aidrc. des

nombreux

hommes du femmes

grand antol riche-

II.

iM'““

0,92

:

L. 1,20

Caudéran. Appartient

L. 0,23.

Madrid. Aiiparlient à D. Cleinente Ve-

Douteux.

Intérieur d'église

Dans une église, devant nn antel, de nombreux }iersonnages sont agenouillés, sur un banc sont assis des femmes et des un rayon de soleil entrant mendiants par un vitrail éclaire les fonds. ;

lasco.

— La messe de relerailles.

L. 0,40. 0,30 Paris. Ane. collection Aroza.

11.

église,

à

de Lac>'.

;

Esijuisse. ;

le

un

quête, un prêtre

Esquisse.

66.

IL 0.33

i>our fond,

la

age;

décoré.

Bordeaux.

Prison de san Hennencgildo

;

à

de la Sco de Saragosse.

d'un coté, dos

;

debout

Toile.

200 trancs.

Dans une

;

nn

repousser

Lamelle de l’er-ldane. 11. 0,34 L. 0,29. Ane. collection Collier. Vente, Paris, 1892.

Tuile.

61.

ment

prélat

L. 0,40.

L. 0.84. 0.80 Gauib'ran. Appartient

enfant de cIuEiir faisant

rai chcei'que Thonuic Jiecket.

inenrlriers.

moine

:

nouillées ou assises sur leurs talons

en chaire

Les

0.30

l'intérieur de l’église de

personnages

gonzalo.

— Mort

II.

— Intérieur de Dans

Jean-Paptiste.

il. 0,33: L. 0.47. Madriil. Aiipai'l.ienl au rond.e

59.

Bordeaux. M'''“ do Lacy. Douteux.

paler. IjU décollation île aaint

II.

comte de Esleban

Esquisse,

L. 0.30.

;

.

.\]iparlient

Sarag'osse.

iirécédenl.

Dans une grotte, à droite, sous nn dais, nn priHre en surplis, qu'accompagnent de nombreux fidèles jiorte le viatique ;t un moriliond que l’on ajierçoit couché sur un grabat, dans le fond; à gauche, divers personnages

saeerdolaux

vèleiiienls

airs,

les

du

l'er-ldanc.

— Le rialique.

nonibroiise assiste an miracle.

])i'éccdenl.

IMadrid. A|qiarl.ienl au Collanles.

L. 0,33.

;

ApparlienI

Madi'id.

58.

do

messe de relevailles.

Lamelle de

San Anionio.

s'élève

Federico

relevailles.

.\ulre esquisse

Ifilii.

J'isiiuisse.

En

collection

recilla.

Dans

57.

;

Lamelle de fer-blanc. 11. 0,32; L. 0,42. Madi’id. A|ipartient au marquis de Tor-

jiirilin de.s nliricru.

Cofja

56.

messe

dit la

L. 0,(>à.

;

Madrid. Appart.iiad 55.

du

Esijuisso

un prêtre

Ane.

Madriil.

IJ

'J’ode.

oi'i

Madiuzo. en

talileaiT,

l'autel

en avant une foule agenouillée.

en urai^ou.

Sailli Pierre

A (li'oit.e UO a

.

Palrieio

DESSINÉ

l'LINT ET

une jeune femme debout,

;


CATALOGUE DE L’ÜEUVKE PEINT ET DESSINÉ

105

Peintures d’histoire et de genre. 1.

Annibal auæ Apennins.

Annibal vainquem'

haut

fin

Apennins ses [ireniiers regards sur pagnes dTtalie.

les

des

cam-

lui

scène reiu’ésente à

mai

à Madrid, le 2

1808,

Pncrta del Sol,

la

une

lutte sanglante

enlre la poimlace espagnole

Sujet reproduit dans les Désastres de la

el la

cavalerie

7.

Episode de

enfant dans

8.

Une 11.

Episode du dos de Mai/o.

II.

Madrid, .\ppartenant à

la

0,24; L. 0,32.

ducliesso

de

de Maijo.

groupe de Madi'ilains de .Alurat près de

Une

le

mai 1808 un

3

l'usillés

par

montagne

la

les

Ironpes

del Principe

Pio.

bataille.

une campagne

déserte, des

femmes

hommes du

[lenple el des soldaLs français

qui

se

essaient de séparer des

plus loin,

fusillent;

sur une émi-

nence. apparaît un personnage levant les bras au ciel

à

l'aspect de cette scène de car-

nage. Toile. Figures en

turelle.

11.

pied de gTandeur na-

Esquisse.

2,60; L. 3,45.

Toilo.

Gravé par Gah'an. Madrid. Aluséc du Prado.

Episode de

la

guerro de l'Indépendance.

Sujet reproduit dans les Désastres guerre. II.

0,20

;

delà

L, 0,28.

Aranjuez. Ane. collection

I).

Sébastian de

Dorbon y Ih'aganza.

Episode de

La scène

la

10.

Assemblée de

los cinco

salle

Weber.

deux remmes dont

gronios maijores.

vue de face, une

douz;iine de [lersonnages, hauts dignitaires

magistrats

second plan,

siqiéricurs,

sont

assis

devant une longue table

;

au au

premier plan, à droite et à gauche, d’autres personnages assis sur des chaises, laissant le

devant du tahleau inoccupé. Toile. Figures en pied.

guerre de l'Indépendance.

reiirésenle

0,69; L. 1,07. à M.

Dans une grande ou

des édifices en ruines.

II.

Douteuv.

:

Toile.

Hambourg. Appartient

La scène représente des cadavres amoncelés an premier plan à gauche, au second,

6.

0,38; L. 0,40.

premier [dan. dans

-\u

(lu très

bataille.

Douleuv

Episode

0,35; L. 0,.50.

11.

Torres.

du précédent.

La scène représente

5.

Madrid. Aiqiartiiml au niarf[uis de Casa

Villa Ilerniosa.

des soldats

FjSquisS(0

Papier collé sur bois.

4.

les bras. re[)Oussenl

lüanitz. .\[qiartient à M. Ch. Cherlils.

Madrid. Musée du Prado.

Escjuisse

guerre de l'Indépendance.

français qui les assaillent.

pied de grandeur na-

2,60: L. 3,45.

II.

la

La scène représente des femmes dont une avec un InUon, une autre avec un

Gi'avé par Galvan.

0,20; L. 0,28.

II.

de liorbon y lîraganza.

Toile.

Toile. Figures en

3.

.Vranjuoz. ,\nc. collection de D. Sébastian

l'rançaisc.

des

assaillent.

177::1.

Episode du dos de Maijo.

lurelle.

repoussent

lu'ilnn,

(jui les

tiaerre.

prix: Goya avec ce Uihleau obtient le de V Académie de Parme sur ce sujet mis au concours.

soldats français

Toile.

Peint en

2.

armée d'un

l'une

jette

— IL 4,20; L, 4,50.

Castres. Musée.

Ane.

collections

Mai'ia Terraddlos.

lîriguiboul

el

Angel


11.

DE I/OEEVUE

CATAl.lMini':

10(3

-

,l.s',sc;///)/('t’

Esquisse

II,

Musée

li(U'liii.

soient

Itoyal, (l((nne par

iM.

Ruil.

LioE.lsclmiidt.

Ane. eolledioiis Reurnuiu illo oii il i.'lail (lésiî,;n(i sous 1(J

lici'

(.'t

LaperLe

litn,'

18.

Scène de Tlnquisition.

La conqiosition renferme de nomlireux personnages, juges, moines, condamnés du

de

Es(juisse

d'c.rjiidsioii

l'ordre

Toile.

des Jésuites. Esi|uisse.

13.

11.

0,80

:

L.

m

1

(Jh.

Yi-iai'te.

Venl(.( Paris,

Ane. collection Léon Gaueliez.

üüO l'ranes.

- F rison

19.

Bruxelles. Musée royal de peinture eide sculpture.

Ane. colleelion

de Goya), dépôt au

Saint-DlTice coiffés d'un bonnet pointu, etc.

Proiindijalion

18118,

autres ceux à litre de

:

Coiii/rès.

12.

(entre

ti'ans]iortés

musée du Prado

L. 0,71.

:

NT ET DESSINÉ

Eernando

cinco (/ronios viai/orcf:.

(lu |iriU'(Mlent..

T(.mIc.

(le liix

El

Exécution de

l'ordre

d'caqnilsiun

de Tlnquisition.

des

La scène

Jésuites.

une

se passe (.tans

jirison olrs-

cure éclairée an fond par une fenêtre cinEs([ulssé.

Ane.

14.

réo.

I

e(.illeelion

1898,

Cli. Yriart.e.

Vi.uilo Paris,

îiüû l'ranes.

l'.si I

II.

Fabrique de balles dans

la

Sierra

de

A

la elai'lé

do

la

Rois.

lime, dans un paysage moulent des lialles. L. 0,ô3.

20.

à

Dans mie

la Sierra

de

sal]iêlre

pour

R

(.11

s.

Madi'id. l’Escurial,

faire de la jioudre.

H.

O.'I.j:

E.

0..».f.

Palais-Royal,

Casa del

une femme.

une femme nue à coups

nombreux

II.

0,37; L.

0,37.

.Appartient

.Madrid.

D.

à

José

de

la

21.

Les fbujellants.

La conqiosition montre

une procession

de iiénitents s'avançant en ordre et se fustigeant les uns les autres.

aneiennenient à Bois.

Prlnei[)e.

II.

0,54; L. 0,80.

Gravé par Galvan. Vénus.

Madrid. .Vcadi.miic de San Fernando.

Madrid. Ane. Paix, eité jiar

fustige

Bastida.

rmnhre de grands clairière, nombreux ouvriers pilenl du

de

fustiijeant

siiectatcnrs contemplent la scène.

Tardieula.

16-

Moine

Un moine

Toile.

Fabrique de j^oudre dans

arlires,

Rarnard Castle. The Bowes

de lanières: au second plan de

Madrid. Palais Roval, anciennenieid l'Eseiirial, Casa «loi Prineipe. 17. 15.

L. 0,50.

Muséum.

0.8.!:

11.

:

Angleteri'e.

Tardieula.

boisé, des ouvriers

uisse.

0.40

le

eolloel.ion

du jninee delà

22.

eoinle do la Vinaza.

Procession do llagellants.

Des femmes en mantilles noires regardent Séance du tribunal de Tlnquisition.

passer des llngellants.

Dans un inlih’ieur de convonl, quatre condamnés écoulent la fatale sentence. Bois.

11.

0,45; L. 0,75.

Toile.

23.

Gravé par Galvun. Madrid. Académie de San Eernando'. Par décret rendu par la reine régente d'Espagne Marie-Christine, le 15 septembre '

dernier (l'.lül), à Sainl.-Si'bastien, sur la proposilion du comte do Iti.imanones, ministre de rinslrueüon ]iublii|ue cl des beauv-arts, il a, été ordonni' que les tableaux sc trouvant à rAcadémie de San

-

II.

0,80; L. 0,80.

Cité par Z. Araujo.

Le (jarrot.

Couvert du san Denito, et

tenant

le

d'expirer, le fer;

en avant,

une

ville. 11.

crncllix.

les

mains

supplicié

jointes

vient

cou serré dans un carcan de la

foule consternée; au fond,

0,53; L. 0,45.

Lille.

le

Musée.


CATALOGUE DE L’OEUVRE PEINT ET DESSINÉ

24.

La procession

Paris. Apiiartiont àM. Sigismond Bardac. Ane. collections Piot Bocliofort et Ed. Kalm. Vente. Ed. Kalm, Paris, 1895.

à Lomhas.

La scène représente une long-ne procession

,

dirigée par des prêtres sortant d'nne vieille église

premier

au

;

plan

des

muletiers

29.

laissent reposer leurs montures.

A

Esquisse.

Toile.

droite, le taureau furieux vient de ren-

0.G3; L.

II.

52.

0,

— 5.100 francs.

rent ses camarades; à gauche, auprès d'un haut màt, une foule grouille, s’agite et se

bouscule;

25.

Course de taureaux.

verser un toréador au secours duquel accou-

Ane. coilection Salainanca. Vente. Paris, 1875.

La

Une

procession.

[luis les

de pénitents, sous la conduite

foule

tateurs

au

— [lendant du

Esquisse.

aride et montagneux.

Toile.

Madrid.

Dans

xVnc.

Kalm.

et

centre de

composition un tau-

la

d'autres toreros à droite et à gau-

che occupent

cirque; autour de l'arène,

le

on aperçoit les si>ectateurs maisons d'un village. Bois.

II.

0,45

;

pour foml,

les

en

divisée

jilan

deux

ou couchés sur

parties,

le

tour d’une église

autres édifices d'un village. Toile.

11. I).

0,97

;

L,

28.

1,-5.

priétaire

31.

l'ourse de taureaux.

cheval éventré

barrières et les gradins du cirque

Esquisse.

Bordeaux

0,70

:

-

Caudi'-ran. Apparlient àM'““

<lc

Picador à cheval.

Un picador regardant un cheval main.

sur

L.

l,lo.

à

gaucho

bai, galope,

monté

sa pique à

la

Eluilc aciievéo d'une des ligures dos taureaux au pacage, de VAlamcda d'Osuna. Toile.

II.

tomlier à terre.

[)rét à

Signé.

32.

plan,

couvcrls de monde.

.

Lacy.

une foule grouillante sur lai[uelle, à gauche, se précipite un picador à cheval; au second jdan la cuadrilla,

Toile.

àM““de

La scène représente au milieu d'une Imée de poussière et de stdeil, un picador sur son

.Mordant.

Course de taureaux.

[uiis les

vient de le renversera terre

ipii

l'cnscignements donnés sur co suivant, ainsi que sur l(.'s et le portraits catalogués sous les n« 241, 255, 256 et 27.) ipic nous no connaissions pas, nous onl l'U'' communiqués par leur pro-

7.500 fi-ancs,

Au premier

au

laldcau

Ane. collection Salamanea. Vente, Paris, 1875.

courent

Bordeaux-Caudi'i'an. Apparlient

lU’c-

un picador accompagné de nombreux un taureau; à gauche, deux chulos posent des banderilles à un autre

Grave par

chulos

les

Lac y. Los

droite

la

oi'i

herbe, une arène de village

I

toreros et

les

occupé par des spectateurs; à

taureau; pour fond,

Ed.

1895.

ainsi ijuc son cheval.

cliulos assaille

et les

et

Paris,

La scène représente dans une romeria

Course de taureaux (kuis un village.

village

Bodicfort

Kalm,

Ed.

des gens mangent, boivent et devisent assis

La composition représente une arène de mier

Sigismond Bardac.

Piot,

— Course de taureaux.

30.

un taureau

L. 0,72.

;

par Gai van. Madrid. Académie de San Fernamlo. 27.

Vente,

1,10.

secours d'un picador sur lequel s'acharne

Grav('-

collections

— 2.500 francs.

le

L.

:

Appartient au comte de Cau-

reau fonce sur un picador; d’autres tau-

reaux

— H. 0,70

Paris. Appai'tient à M.

Course de taureaux dans un village.

personnages,

[irécédent.

H. 0,49; L. 0,60.

dilla.

26.

fond d’autres

gradins du ciiajue remplis de spec-

de religieux, s’avancent dans un paysage

Toile.

107

IMadrid.

11.

0,56

;

L. 0,47.

Musée du Prado.


C

108

33.

Al A

LOI!

UE DE L’OEUVUE DE INT ET DESSINÉ

La mort du picador.

Un taureau

40.

suspendu cadavre d'un picador dont

le

[loiie

à le

des cliulos accourent pour

victime

du

an fond,

;

Itéjiétition |)lus

cheval

Buis.

git

les

[jaimdlo

l'ei'ddanc.

di.‘

34.

les loges

lie

11. ü.i.'t

L. U,3i*

;

Lcr taureaux.

lerre

;

11.

x\i

ipd

W.tMae Kay, Esp.

eestida.

les

mains

croisées au-dessus de la

42.

picador.

un.

premier plan, un picador accompagné et de toreros assaille le taureau; les

La maja

Tuile. 11. 0,98 L. 1,90. Figure en pied do grandeur naturelle. Grave jiar K. do Los Bios. Madrid. Acadi'inie de San Fernando.

gisenl à

de cliulos

en arriéré

longue,

L. U, SU.

U,:.i0;

4 iartient à

— Taureau attaqué par .\u

do

tête.

leurs gardiens

Londres.

Aurcliano

1).

che diaphane avec une veste à passequilles noires et jaunes est étendue sur une chaise

fond sombre.

Tuile.

35.

41.

jdan. trois taureaux viennent

renverser

L. 0,72.

;

Une jeune femme vêtue d’une robe blan-

Au premier

avancée du précédent.

0,45

la

cullcdions Daul Lel'url et Carlin. i-.tiUO l'rancs. Vente CaiTm, l’aris, 1872.

Ane.

II,

Beruete.

dégager

gradins et

Madrid. x\ppartionl à

remplis do s[)ectaleurs

ciriiue

La maison de fous.

ses cornes

éveidré; de toutes parts des toreros

a terre

cl

;

La maja

La

même

des nuda.

femme dans

Jeune

mais entièrement nue

liose,

la

même

pendant du

précédent. Tulle.

gradins du cinpie garnis de

IL 0.98

;

L. 1,90. Figure en iiied

do gi'andi.nu' naturelle.

speida leurs. Toile.

Gravé

Peint à

li.oU

il.

en

l’ai'is

L. U, (il

;

1

821.

Mailrid. AiiparLionlaii inarpuls de üaroja.

36.

Les taureaux

Des taureaux accompagnés de vieux laeufs dans un jietil vallon ;

une foule nombreuse

contemple

les

dant du

11 "

Taureau échappé de

38.

II.

la

0.43

11.

majus au

femmes

assis.

Gravé

44.

Les

majus au

Ré'pétition Toile.

;

39.

La maison de

Caitliness. Ap-

accroupis,

les

éclairée

nus

les

{lar

0.45

;

1,85;

11.

Figures en pied

L. 1,02.

Anciennement au palais do San

x\nc. collection esjiagnole

des

uns cou-

autres debout ou

45.

— Les majas au Ue|iétilion

Toile. 11.

balcon.

du précédent avec variantes.

nature.

Séville.

gesliculanl

Sébastian de Borbon

Telnio. Aiiparlient à la comtesse de Paris.

fenêtres grillées, des fous

bois.

lietite

liar’.

fous.

Dans une vaste pièce chés ou

1).

y Braganza.

Taureaux attaquant une processioi.

partient à sir J.-tj.-J. Sinclair

en pied

Flaineng.

|iar L.

Ane. collection de

place de .Madrid.

x\ngleterre. Tliurso-Castle

1,94; L. 1,25. Figures

II.

Madrid. Aiipartiont au duc do Marcliena.

3.100 l'rancs.

au duc do Veragua.

petite natui’e.

0,53; L. 0,70.

xVpiiarlierit

sont assises, l'une en robe

une mantille noire, l'autre en robe sombre avec une mantille Idanclie; derrière elles deux gentilshommes embossés dans leur cape, le premier debout, le second

L. 0,32.

;

balcon.

devant d'une loge de cirque deux

claire avec

Lofort et Carlin.

Vente Carlin. Paris, 1872.

Madrid.

le

Tuile.

Toile.

Les

jeunes

33.

Lainelle de fer-ldain-. x\nc. collections Paul

— — pen-

en costumes cbamarrés

époijuc de Charles IV; effet de soleil

37.

sous

surveillance de cavaliers vêtus de rouge

et de picadores

— Sur

hlanc.s sont jianiués

la

43.

Larroijo.

éi

[lar Dezari'ois.

Madrid. ^Vcadi'inie de San Fernando.

.

L. 0,72.

Madrid. xVcailéinic de San Ecrnaiido.

Figures en

balcon.

du

II.

du Louvre.

[iri'ccdent

-1,92;

avec variantes.

L. 1,30.

jiied petite

nature.

Paris. Appai'ticnt à M. G. G...


CATALOGUE DE L’OEUVRE PEINT ET DESSINE Ane. collecLion Salamanca. Vente Paris,

— ITbO

187b.

une copie

l’eut-ètre

46.

ilc

Deux jeunes femmes,

Leonardo Alenza.

jeunes l'emines sont assises; derrière

nn jeune hoinine

trois elles,

au second plan d'un troisième personnage; fond neutre.

cent, suivies

delioul.

Londres. Esq".

Toile. Figures à mi-corps, petite nature.

Appartient

Valence. Mi(iucl

au

Joaquin

1)''

est représenté

Jouant de

la

Toile.

la cigarette à

Toile.

la

bouche, nn jabot de den-

11.

0,82; L. Û,5.ù.

Douteux.

Une

inaja.

Cadix. Académie des Beaux-Arts, cienne collection de fAyuntamiento.

an-

Toile.

Ancienne collection D. V.

Les

Deux

Cli.

noire,

1,22.

vieilles.

fenimes en costume de bal

vieilles

L'une regarde un médaillon et en même temps contemple son image dans un miroir que lui présente sa compagne, sur le revers duquel on lit Que tal? (suis-je ainsi?); au second plan, le Temps, armé d'un grand

Toile.

de

II.

1,81

:

L.

1,2b.

Musée. Douteux. Lille.

56.

demi cachée sous une mante

Le rémouleur. est rc[irésenté

les

en

liras

presque de face, nu-tète,

de chemise, aiguisant un couteau

sur une meule portée par une brouette

une veste

entrevoir

laisse

monde

[tendant du précédent.

Yriarto.

noire qu'elle entr’ouvre légèrement avec

claire à

L.

;

s’entretiennent de ce qu’elles furent jadis.

voilée.

qui

1,81

II.

Douteux

55.

Il

et

Lille. Atusée.

Elle est représentée debout sur une ter-

mains

pendant

des cordes.

Carderera, cité par

rasse, la tête à

lettre

loin, des laveuses et des linges séchant sur

Lsrjuisse

— La maja

une

lit

balai, s’apprête à les chasser de ce

Une maja. Madrid.

tille

qu'une antre ouvre un grand parasol; plus

:

Douteux

51.

Es-

Les jeunes.

hanche droite; fond neutre.

la

Figure à mi-corps de grandeur naturelle. Cadix. Académie des Reauv-Arts, an(.'ienne collection de fAyuntamiento.

S.

la tête,

;

gauche vers

50.

Une jeune

descendant sur la poitrine il porte une veste jaune à épaulettes bleu clair, une cape noire descendant de Tépaule

L. 0,4.b.

;

paüa.

représenté un chapeau sur

telles

49.

O.GO

11.

inaju.

est

11

Espagne. Rriviesca. .Appartient à Du.

54.

Un

Les rnajas et l'étiuliant.

guitare.

Madrid. Musée du Prado. Ane. collection R. do Madi'azo. 48.

Rothoinstein

Deux rnajas à une fenêtre idaisantent avec un étudiant qui passe devant leur maison.

Un majo.

11

53.

.Vjiparticut à AV.

y Polo.

Douteu.v

47.

la tête couverte de

retombant

blanches

jusqu'aux hanches, vêtues de rôties sombres, s’avan-

théâtre.

devant d'une loge de théâtre,

le

Deu-.v rnajas.

mantilles

— Les rnajas au Sur

52.

IVani’s.

i09

;

fond

neutre. [tassequillcs

;

elle

porte une jupe Toile.

des souliers rouges aux pieds; à sa

gauche nn socle en |nerre

et

à

terre

un I

H. 0,24; L, 0,18.

Vienne. .Vutrichc. Aiipartitml à Micthke.

Douteux

57. .M. 11.

11,

0,(58; L,

Ane. collection

manteau. 'l'oilc.

0,50.

Rucla[icst. (ialiu’ie nationale.

du prince Nicolas Es-

berliazy.

— La

marchande d'eau.

O.

Elle

est re[irésentée debout,

face, nu-téte,

presque de

en robe brune dont

le

corsage


(lATALOGüE DE

110

les

épaules par un l'oulanl clair

main

relevé, elle tient de la

che qu'elle aicpuie sur

laiilier

Ane.

collection

66.

Scène de brigands.

Lutte du religieux

1800.

L

0,41:

II.

hrigand Es-

1

luic lettre.

67.

Appartieid

Sir

.1.

dans

l'arme

68.

Rewrewsldre. J. Stirling Maxwell.

à

Sir

— Scène de El

0,80

L. 1.25,

;

briga)ids.

succomhe dans

II.

69.

AI.

les

fouette

un enfant à

autres élèves regardent

corde

;

à l'aide

au

loin,

Rois. Ui'anja.

à

terre, à ses côtés,

63.

M.

le elianuiiie

(le

accourant

11.

0,28; L. 0,37. Al

.

Laffitte.

,\'.

70. lAittc

le

mains avec une

hommes

quatre

Aladrid. .Ajqiartient à

•\ppartient à

Laffitte.

du moine.

la correction.

La

menace

Scène de brigands.

religieux qui lui attache les d'école

la lutte, le

0.28; L. 0,30.

Aladrid. .Appartient à

L'i'colc.

En maitre

le

0,28; L. 0,37.

Le handit vaincu

coups de verges;

au loin

hrigand. Ruis.

Paris. Aiiparlient à M. Mi'ge.

62.

II.

.Atargaroto

jouant.

II.

;

religieux, maître de Pescopelte, en

Des enfants jouent devant une porte.

jamhes

les

le reli-

un coup

lui tire

Aladrid. A]iparticnt à AI. Laffitte.

le

faoils

Rois.

Ma.well.

Stirling

M .P.

Tuile.

0,28; L. 0,37.

gieux, maitre de l'cscopette,

Enfants jouant.

— En

II.

cheval s'cnfiijant.

.Angleterre. Pollok.

61.

la

cheval du

Scène de brigaauls.

Angleterre. Pcjllok. Rewrewshire.

Rar'.

le

Le hrigand parvient à s'échapper;

Ricardo IIcTcdia. Vente 3o0 tVancs.

de

du handit; par

et

aperçoit

compagnons.

et scs

Rois.

0,31.

Enfants jouant. Appartient à Bar'. M. P.

60.

on

porte ouverte,

du prince Nicolas

.\nc. collection

0,28; L. 0,37.

11.

Aladrid. Apirartient à Al. Laffitte.

Aladrid. .Appartient à Laffitte.

Tuile. —

59.

hom-

du couvent.

à la porte

;

Jeune femme présentant

l’aris,

Rois.

tlierhazy.

58.

l’escopetle de Jlargaroto; trois

mes apparaissent

de

L. 0,;.0. ü,68 lîudapesl. Ualerie nationale. II.

mains

et de la

— ])endant du précédent.

Tuile.

VUE PE IM ET DESSINÉ

droite une cru-

hanche,

rempli de verres: fond

petit panier

|iavsage

la

le

;

long du corps, elle porte

çrauclie, qui penc.l le

un

DE U

est recouvert sur

la poitrine

échancré sur

L’

Scène de brigands.

bandits et de soldats.

Des handits arrêtent une voiture de voya.Ah'dée

de bandits et

de

soldats

aupi'ès

geurs jiour

les dévaliser.

d'un cours d'eau. Aladrid.

.\ncienne

eulleeliun

Ihislaipiiu

laqiez.

Vente 18G0. 64.

— A

71.

Scène de hriijands. la

jiorlc

.'dargarotu

d'un

couvent

le

handit

cl

Pedro de Zaldivia cpd

lui

présente une paire de chaussures.

-

Gitf'

;

72.

Scène de brujands.

Im frère Pedro de Zaldivia

Scène de brigands.

viennent de les arrêter de les épargner; une troisième, morte, git à terre. Toito. —II. 0.80; L. 1,80. Peint au couteau.

Rois. II. 0,28 L. 0..37. Aladrid. Appartient à Al. Laflitte.

65.

au marquis de Cas-

Deux femmes supplient des brigands qni

menace avec une cscopetle un

religieu.x, le frère

.Appartient

tro Serna.

par

Z. .Araujo.

lirigands arrêtant une voiture. Aladrid. Ap|iarlienl.

saisit des

deux

Douteux.

au marquis

di'

Riscal.


C.ATALlKH'K DK 73.

L’

OKU VUE FEINT ET DESSINÉ Toile.

Scène de brigands.

pleure à eùté de sa mère; un second enfant

un peu

âgé

[ilus

landrin;

essaie d'arrêter

plus loin, une

le

74.

Conslau-

Scène de

bi

bois.

I).

Constaidino

Scène de b)‘igands.

A

l'entrée d'une caverne,

Madrid. Roinana.

une jeune femme de-

et

81.

0,42

un Itandit assasun rocher et à

à

L. 0,32.

:

Appartient au

82.

marquis

de

la

II.

0,-42

0,33

L. 0,58.

;

Appartient au marquis de la

chambre

femmes sont

réunies dans une une lumière.

éclairée par

II.

0,42; L. 0,32.

Appartient

au mar(]uis de

la

Romana. 83.

tient

un enfant

L. 0,32.

;

La

Un femme.

qu'elle cherche à protéger.

II.

Scène d'intérieur.

Toile.

femmes dont l une

Toile.

la

Romana.

Scène de brigands.

Madrid.

au marijuis de

cins et des infirmiers soignent avec terreur,

Madrid.

et de

Goya.

0,42; L. 0,32.

Uoprital de pestiférés.

Flusieurs II.

II.

Madrid. Appartient

Des bandits fusillent un groupe d'hom-

Appartient au marquis

visite

moine

Toile.

de la

Romand.

Madrid.

du moine. rend H. 0,33

visite

;

à

une

jeune

L. 0,58.

Appartient au marquis de

la

Romana. Scène de brigands.

Dans

l'intérieur d'une caverne

déshabille une

femme

la

;

un brigand

même scène répé-

aux seconds plans avec variantes. Toile.

Madrid.

II.

0.42

;

L. 0,32.

i\pparlient

au marquis de

la

Romana.

la

Romana.

Madrid.

une femme attachée Toile.

78.

Toile.

moitié nue.

tée

de

La promenade.

Toile,

au marquis

sont étendus par terre.

Cité par Z. Araujo.

77.

L. 0,58.

;

Dans une vaste pièce éclairée par une unique fenêtre, des pestiférés, que des méde-

II.

.Vrdanaz.

mes

0,33

la duclicsse d'Albo et

d’échapper

essaie

0,30; L. 0,37. Madrid. Ane. collection do

II.

visent en SC promenant.

igands.

peu près nue.

76.

sol

La tradition veut (jue dans ce tableau deux personnages représentés soient

aux étreintes d'un homme ([ui l'a saisie; à ses côtés un enfant pleure; plus loin, d'autres hommes portent une femme morte à

sine

le

les

Une femme à genoux

75.

Toile.

Un gentilhomme I).

la

Caverne de brigands.

Madrid. Appartient Roinana.

II.

Madrid. lino Ardanaz. Cité par Z. Araujo.

marquis de

Des bandits dorment étendus sur

80. 0.30; L. 0,37. Ane. collection de

L. 0,58.

;

dans une caverne.

sont attachées à

la [loitrine.

des arbres.

la

scène; au fond, deux

bois.

79.

ma-

moine,

0,33

II.

Appartient au

Romana.

main contemple la femmes nues, la tête

debout, un couteau à

retombant sur

de

sorte

Madrid.

l'n hriganJ à genoux maintient à terre une renime demi -nue; un enfant au sein

111

84.

Scène de brigands.

Deux lutteurs se tiennent à bras le corps un autre vient de terrasser son adversaire le prenant à la gorge et appuyant le genou sur sa poilrine plus loin, deux autres com;

;

battants.

Cuivre ou lamelle de fcr-blanc.

Scène de brigands.

L. 0,30.

Dans

l'intérieur d’une caverne,

assassine une

femme.

un bandit

besam;on. Musée. Ane. collection Jean Gigoux.

— IL 0,20

;


CATAlA'HiUE DE L’OECVHE J>E1\T ET DESSINÉ

11-2

85.

Sccne de hriijands.

Cuivre

lamelle de

üii

90.

\ gauelie, assis, un vieillard à harhe de neuve et au torse uu; à droite, des luUeurs aux lu'ises.

ldanr.

l'er

Scène de carnaval.

Un personnage tenant un cahier de musique à la main chante pendant que deux autres l'écoutent. naturelle.

L. Ü.30.

I

91.

Scène de caiinibalisinc.

louteuv.

de ‘mastjucs.

liai

Au premier lliiiL

sont réunis sous uu arlire

houiiiies

auprès d'un feu

uu

l’uu

,

au milieu de

la

eom-

Jambes écartées, la ligure grimaçante, tient de la main droite levée un bras bumain et. de la main gauebe abaissée, une tète à ses pieds, les débris d'un cadavre à ses eédés, ses compagnons jiosiliou,

cl (Ichoul, les

d'autres

lui,

les

uns debout,

les

autres

92.

— H.

U, 31

;

93.

0,4a.

pied d’uue falaise, deux

ouvert,

|)lus

loin,

à

L. 0,38.

;

à

duchesse

la

de

11.

0,31

L. 0,20.

;

Bal champêtre.

Toile.

do

et

femmes

bommes le

ac-

gauche, uu cha|ieau

0.80

;

L. 1,80.

par Z. Araujo.

Cité

ven-

homme

un autre

11.

Peint au couteau.

debout dépouille un autre cadavre pendu

au premier plan,

0,30

dauseni sous un pont.

croupis dépècent un cadavre qui git tre

cos-

Mascarade d'enfants.

Scène de cannibalisme.

Au

II.

Des groupes d'hommes

Ane. collection ,Iean Gigouv.

derrière

en

Madrid. Appartient à D. Palricio Lozano.

nesançon. Musée.

87.

Madrid. Appartient Villa llermosa.

Toile.

Cuivre ou lamelle de ter-blanc.

;

également

'i>orsonuages

Toile.

assis 011 courbés, le c.onteui[)lent.

L.

une maja

et

tume de réjouissance.

:

comme

majo

plan un

dansent en costume de carnaval

;

nus

1,10; L. 0,80.

II.

Bayonne. Musée.

Besanron. Musée. Ane. cullerlion Jean Gigouv. 86.

Figures à mi-corps de grandeui'

Toile.

0,20:

11.

94.

— Bed chamtpèlrc. Divers personnages dansent dans

la

cam-

;

et

pagne. groupés sur une éminence. 0,12; L. 0,10.

11.

des étoffes.

Paris. Ane. collection Aroza.

H. 0,31

;

L.

0,4.'i.

Besançon. Musée.

95.

— Bal champêtre.

Ane. collection Jean Gigoux. 88.

L’enterrement de

Même

sujet

la sardine.'

Toile.

Dans

hommes

voisinage du

le.

et des

Itlanzauares

des

96.

H. 0,82; L. 0,60.

Gravé par Galvan. Madrid. Académie de San Fernando. 89.

— Au

11.

0,40; L. Ü.S4.

comte deTorrocilla.

— Bal populaire.

;

à

gauche

97.

Vue

fête.

Toile.

Cli. Clicrtils.

Calvo.

II.

I,o0;

L. 2

m. Figures de

dimensions.

Madrid.

0,82; L. 1,02.

Appartient à M.

Eustaiiuo Lopoz. Vente

1806.

])etites

11.

Ane. collection

nombreux masques

au second i>hm, un château fort un autre groupe de masijues.

Biarritz.

2 des carions

Auprès d'une vieille porte de ville tomhant en ruines, des groiqies de gens de différents âges regardent dos jeunes filles qui

dansent à l'entrée d'une caverne; à droite,

Toile.

uuméro

dansent.

Scène de carnaval. [iremier plan, de

le

iMadrid. .\ppartient au

femmes en costume de mas-

carade dansent et se réjouissent. Bois.

que

de tapisserie.

Appartient

à

D.

Juan

Peroz


CATALoiinK DE E’oEEVHE l'ElXT ET DESSEXÉ 98.

La baraque de foire.

rain sur lequel se trouveni des cavaliers et

De nombreux spectateurs debout contemplent sur le devant d'une l)ara([ue un arle-

d'autres personnages.

Madrid. Ane. collection do D. Federico de Matirazo.

quin et d’autres bateleurs. 106.

Lamelle de fcr-blanc. Madrid. Appartient Castro Sema. 99.

au

marquis

de

— Les danseuis de corde.

La composition représente une troupe comique dans laquelle on a vovdii voir une

Toile.

107.

11.

.Même sujet que

carton n»

le

IMadrid.

cocagne. 108.

un mât de cocagne, [dus loin un village bâti sur un rocher pour tond, des montagnes.

Appartient

— La maison

du

IL 0.80; L.

IMème sujet que Ane. collection 1808.

II.

0,80; L.

1

109.

Lamelle

ter-blanc.

de

Le feu de

II.

0.32

;

joie.

110.

II.

— Le marchand de

do

111.

Mailinet, 2.080 trancs.

Sema.

11.

0,80; L. 1,80.

Les habitants d'un village fuient devant

II.

maisons en llammcs; deux hommes lu’us une femme éva-

poiTcnt dans leurs nouie.

Même sujet (jue la planche 4 saslres de la Guerre.

4

des

I>é-

Lamelle do ferddanc. Madrid. Appartient au rnar(piis do Cas-

0,42;

tro

Vente Paris, 112.

Le ballon.

lui ballon s'élève

Vente Paris,

Village incendié.

leurs

L. 0,34.

collection

Yriarte.

1866.

rnarion)iettes.

ter-blanc.

Cli.

francs.

Ane. collection Eustaquio Lopez. Vente

;

Lamelle

— 410

Toile.

Le marchand de marionnettes est représenté de dos atdour de lui dos entants et trois temmes dont Tune porte un paquet sur la tête; à droite, un gentilhomme assis, dont les traits rappellent ceux du peintre.

des tapis-

— L'oiuagan.

0.33; L. 0.47.

Madrid. Appartient au comte de Villa-

105.

3

campagne par un orage une foule de gens fuit vers une ville dont on aperçoit les murailles à l'horizon.

gonzalo.

carton n»

Surprise en pleine

Répétition du précédent.

Ane.

le

Madrid. Appartient au mar(juis do Castro

Madrid. Appartient à D. Cristobal Ferriz.

1800.

peiqile

cour d'une

— L'inondation.

m.

L. 0,43.

104.

la

series.

— Le feu de joie.

Rois.

dans

m.

1

— Le mât de cocagne.

de

auberge.

Répétition du prccéilent.

103.

maiapiis

des gens du

se iiuerellenl et se hattenl

Madrid. Appartient au mar(iuis de Casa

102.

au

corq.

Des charretiers et

Torres.

Toile.

tajiis-

plan,

;

101.

des

Torrccilla.

— Le mât de

Toile.

1

IL 0,40; L. 0,54.

Sema.

Au premier

0,30; L. 0,40.

— Le goûter. series.

Lamelle de fer-ldanc. Madrid. Appartient au marquis de Cas-

100.

Iai sieste.

Deux eniqiles de majos et de inajas sont étendus sur Therbe dans un i)aysage termé par des montagnes.

allusion à la reine Marie-Louise et à Godov.

tro

113

Sema. Village incendié.

Les habilanls d'un village nu d'uu fau-

dans

les airs,

d'un ter-

bourg fuient devant leurs maisons en llam-


C

mos, lin

ATA

lioimnes

(les

InMiiciinl

I.OC

I'

une leimm' sur

|Hii'lenl

lonin''

une

[iiip

DK l/UKÜVUK l’KINT ET DESSINE

I-:

éclirlle

ri

nialelas.

Tuile.

119.

un

chien enragé.

IjC

Un

cliien Idanc,

est

attaebé

la

rompre.

chaîne et essaie de II.

0.80; L.

1

,80.

II.

au couteau.

Peint,

0,70

120.

1866.

— Montagnard aragonaia.

:'i

une

l'orle

L, 0,60.

;

Paris. Apiiartient à

Ane. cûllecLion Euslaciuio Lopez. Vente,

113.

M. Carvalhido.

Etude de cheval.

Etude pour

le

portrait équestre du duc, de

Wellington. lioriloaux.

114.

Ane. collcrtion

Les paijaans.

Un jeune paysan jeune

lillc II.

une

et

0,27

Ane.

— 115.

E. Vallet.

121. delinnl

est

entre une

vieille feinnie.

la

Vinaza.

Etude de cheval.

Elude

[lour le

Gili'

L. 0,21

;

collectii-in Vallrt.

Venti^ Paris, 188i.

portrait éipiestre du géné-

122.

par

le

comte de

La toihdle de

la

Vinaza.

mariée.

la

Une remme aide une jeune

— Le pi'chcur. les

coude de

ral l’a la fox.

72 francs.

Sur

Cité [lar le

cède

bords d'une

rivii'-re

honinic est en train de piû

sinueuse un

a sa toilette

tille

qui pro-

de marii’e, à mettre ses

bas.

Lamelle de fer-blanc. H, O.tiO; L. 0,30. au comte de Esteban

lier.

Aladrid. Ajipartient II.

0,5.3; E. 0,42.

Collantes.

Ane. collection do D. de Murcie.

.losc

Maria d'Esloup 123.

El

Douteux. 116.

Un

Scène champetre.

jeune

Dans un paysage oinlireux circulent

dilTiV

rents personnages. II.

0

.53

Ane. collection de de Murcie.

prononcent

le

oui.

vieillard grotesque

femme

reçoivent

la,

et

une gracieuse

bénédiction nup-

tiale.

Toile. I).

.lose iMaria

d'Estoup

Paris.

II.

Ane.

3,35

;

L. 3,39.

collection

Paul

de

où cette toile figurait sous le du Mariage ridicule. Douteux. Probablement de Lucas.

Victor,

Douteux. 117.

prononcian.

Mè'.me sujet que laplanclio2 des Caprices.

L. 0,42.

:

si

Elles

titre

de la jdupart des eauxGoya, des Caprices, des Désastres de la guerre, de ‘La Tauromachie. dont il existe, pour cei'tains, des cs(juisses, dos ébauches et mémo des tableaux achevés du maitre, ont été fré(juemment reproduits ou imités par ses élèves ou imitati.'urs. Les 21 Caprices de l'ancienne collection Dospital de Madrid, les 16, de Tancicnne collec tion d'Estoup de Murcie étaientils tous des originaux? C’est douteux. 80 toiles attribuées à Goya, reproduisant les mêmes sujets que les Caprices, furent mises en vente à l'ibjtel Drouot en 1856.

Les

Marine.

Saint-

sujets

fortes de

La composition représente diverses

cni-

liarcalions sur la mer. II.

0,30

L. 0,42.

:

Ane. collection do toup do Murcie.

D. José

Maria d'Es-

Douteux. 118.

Marine.

La composition représente diverses embarcations sur la mer. II.

0,30

;

L. 0,42.

Ane. collection do D. José Maria d'Esloup de Murcie.

Douteux.

Reconnues fausses, elles furent rachetées le vendeur pour la somme do 3.450 fr. Il est possible que la plupart de ces toiles aient aiqiaru de nouveau sous le nom du maître. par


CATALOGUE DE L’OEUVRE PEINT ET DESSINÉ 124.

Le dciccuiona. Elles

le

Dans une

128.

cliambi’e, menljlée élégant,

par une jeune l'emme

(ju'il

se

raser

l'ait

regarde en cou-

cuvette et une vieille duègne. Méiiie

que

sujet

planche

la

Un

seuleinenl

en arrière, une servanle portant une

lisse;

— H. 0,6U;

Lamelle de fer-blanc.

moines

35

des

Même

L. 0,30.

0,87

II.

planche

la

44

Une jeune

Hasta

:

une coiffure

;

la

U, 29

1/2

planche

7i

des

H.

L. 0,23 1.2.

;

es holgar. est

de ne rien faire.

sujet

que

Carton.

planche

55

que

planche

la

73

des

11.

0,29 1/2

;

L. 0,23 1/2.

Douteux.

se rient de sa co-

la

sujet

Ane. collection Doria. Vente, Paris, 1899; 1.200 francs. avec le précédent.

Caprice.

Deux personnages fantastiques sont vus

des

à

mi-corps. M. ComaiTin. Ane. galerie espagnole du Louvre. Paris, .tppartientà

filiacion.

132.

Le signalement.

sujet

([ue

la

planche

Caprices.

Idorence. Appartient à M. X.

Douteux.

Caprice.

Toile.

Dans une réunion de famille a lieu la lecture du contrat de mariage d'un borrilde rnun dont on ne voit que la tête, avec une jeune bile, le visage caché sous un masque d’animal.

Meme

Mejor

Même

Bordeaux. Ane. collection Lacour. Douteux.

La

que

Caprices.

au second plan, une

hommes

Caprices.

en

assis sur un sac, aide une femme à dévider son écheveau; à gauche, une jeune fille debout et riant.

131.

Même

par i[uatre

s’échappe

Un jeune homme,

quetterie.

127.

sujet

Le mieux

Une Parque.

la rnuerte.

deux

humaine,

Ane. collection Doria. Vente, Paris, 1899. Douteux.

l'emme décréfiite, d'une extrême maigreur, assise devant sa table de loiletlc sur laquelle se trouve un miroir, et

poursuivie

fille,

à tête

Même

vieille

femme

pas.

Caprices.

130. titre

le

Jusqu'à la mort.

essaie

des

riant.

L. 0,65.

;

Düuteu.x.

Une

No te escaparas. Tu ne t'échapperas

monstres

des

Musée.

Catalogué sous

58

planche

la

Douteux.

Caprices.

que

sujet

Carton.

que

sujet

llordeau.x.

figures

Florence. Appartient à M. X.

l'implorer.

Toile.

fond, différentes

menu.

Une l'emme âgée, vêtue avec une élégance grotesque, est assise, une quenouille à la main; à ses cotés, deux personnages dont Tun tient un balai et dont Taulre semble Mbine

le

Caprices.

129. Elles filent

126.

dans

;

fantastiques.

dehjadn.

Ililan,

à genoux, (ju'entourent d’autres

religieux

au cumle de Eslebaii

Maih'bl. Appai'Lienl Collantes.

armé d'une énorme seringue

religieux

semble menacer de son instrument un second

Caprices.

125.

Fragata perro. Avale cela, chien.

rasent.

commode, un

d'une

115

57

des

IL 0,44

L. 0,70.

;

.Madrid. Ap[)artient

au mari|uis de Casa

.hmenoz. 133.

— Un

Caprice. religieux jette au feu des livres et

ries

papiers. Bois.

II.

0,30

;

L. 0,37.

Madrid. Ane. collection du tiiio

Ai'danaz.

Cite [lar Z. Araujo.

1).

Constan-


dk

(:atal(.m;('k 134.

kt dessiné

l’oi<:l;vi!k

Vapricc. Toilo.

0.31

il.

L.

;

Ane. colloclion Leon Daguei're Hospital do Madrid.

0,91).

Douteux.

Madi'id. Appai'l.ient à D. Alujandro Pidal.

135.

162 a 178.

Capiicc.

levant l'nn un âne,

un

Iruisiènie

second un taureau,

le

136.

le

cni'anl

Madrid. Ane. collection de Madrazo.

de

1).

Federico

170.

tradition veut

ipio

Caprices.

Douteux.

Caprice.

La

Ces compositions étaient au nombre de lü. Dimensions vai'iaid, de U, 55 à ü,58 do hauteur sur t),25 à U, 28 de largeur. Ane. collection de D. .lose Maria d'Estoup do Murcie.

Trois liallons s'dlèvent dans les airs, en-

dans ce tahleau,

poi’soimapes représcnli's soient la dunue de ses suivantes on Coija, a/io ll'J.j. lias, à droite, on lit les

<diesse d'Alho et

Chiens

de chasse.

et accessoires

Espuisse jiour une lapisscrie.

Musée du l’i'adn. Ane. collection R. de Madrazo. Jladrid.

;

;

Toile.

0,31

11.

;

137.

1)'"'

Garnien

IJer-

Il

181.

tradition veut (jue

,

II.4G

L. 0,(ii.

;

Madrid. Musée du Prado.

Caprice.

La

— Dindon mort.

180

L. 0,tlë.

Madrid. Ap|)artient à punza de Martin.

dans ce taldeau

Oiseaux morts. 1

représenlés 1). Luis lîerf^anza et une petile négresse recueillie par la du(diesse d’AIljo, tiiuid. par la rode une sui\ante de la gi-ainle daine. En bas, adroite, on lit Luis Ileri/anza, ano H'.l.j. Co;/a. soient

1

.

(1,4(1

L. 0,64.

;

Madrid. Musée du Prado.

La chasse au

Au

centre de

182.

«

hoyo

».

comjiosition se trouve

la

:

Toile.

IMadrid.

lilet

IL 0.31

;

Carmen

du

Ber-

;

le

au milieu

blet,

poursuivant des sangliers et prêts

nombreux cava-

parmi lesi[iiels se trouvent le roi l’bilippe IV, le comte duc d'tdivares, le cardinal Infant D. Fernando de liourbon, le portearquebuse du roi D. ,luan Mateos la reine

liers,

Caprice.

Bordeaux.

Caudéran.

Aiijiartient

à

,M"'“de Lacy.

;

Douteux.

gibier

a les abattre, se voient de

Toile.

139.

le

L. 0.53.

Aiiparticnt à

ganza de Martin. 138.

servant à enserrer

11“

neur assistent à la scène de leurs carrosses; au jiremier plan, des groupes de person-

Caprice. Toile.

Bordeaux.

Gaudi'ran.

Ajipartient

nages divers.

à

M”' de Lacy.

Toile.

— Caprices.

Cos compositions élaieni au nombre de

51

.

11.

1.88

;

L. 3,03.

Madrid, Musée du Prado. Copie d'après la composition de Velâzquez taisant paidie aujourd'hui de la National Callcry, de Lomires.

Douteux.

140 à 161.

dames d'bon-

Isabelle de Dourtion et ses

|

Portraits. 1.

— 11

Portrait da roi Chartes IH.

gauche; à ses pieds

est représenté

blanche sur

dolioid-, coiflé

d'un

tri-

le

e.st

collier

nuestro senor

couchée une chienne de laquelle on

lit

;

fond de paysage aride

corne noir, en costume de chusse, casm]ue,

/ici/

culotte et guêtres

avec quelques arbrisseaux et des montagnes

cliarpe

sur

la

veneur au côté.

main

grises, veste jaune,

poitrine 11

tient

et

une

le

l'é-

couteau de

escoiiette de la

droite, et des gants blancs de la

main

à

1

;

horizon. Toile. Figure en pied de rclle.

11.'

5,10; L. 1,27.

grandeur nalu-


GATALCMIUE DE L’OEUVRE DEIAT ET DESSINE Musée du

Madi'id.

8.

l’rado.

Portrait de la reine Marie-Louise

Houleux.

2.

Fortran du

Toile.

Elle est représentée la

roi Charles 111.

Alûdrid. Palais Royal.

H. 2,12; L. 1,30.

du

9.

Figure en

jiicd

La

Au

roi Charles IIL

famille de Charles IV.

un

centre, dans

salon, le

do grandeur nalu-

1).

Fi’ançois de Paule

;

à

la droite

Appartient au

duc

tle

;

à sa

l'Infant

de la reine,

doua .Marie-Isabelle le prince des Asturies Ferdinand; sa femme, Marie-AntoiTintant D. Carlos, Tintante doua nette Jlarie-.losepbe, sœur du roi; plus loin, Goya peignant; à la gauche du roi, Tintant l'Infante

relle.

Madrid

roi

main

droite, la reine tenant par la

Autre répétition du précédent. Toile.

abritée par

tête

grandeur naturelle.

Toile. Figure de

Figure en pied do grandeur nalu-

Portrait

femme

une mantille.

Madrid. Palais Royal.

3.

,

de Charles IV.

Répétiüon du pi'ccédenl. rolle.

117

Fernan

Nu nez.

;

;

par Z. Araujo.

Cité

4.

Portrait du roi Charles IV.

D. .Antoine; le prince Louis de l’arme, sa

en costume de

est représenté deljout

11

chasse, coillo d'un eliai>eau à deux cornes,

sur la poitrine, une écharpe en sautoir sur gilet,

une

et

Charlotte

le

culotte, des guêtres et des chaus-

avei’

dans

maillot

porte un habit avec diverses décorations

il

femme, Alarie-Louise,

rL'lle.

par Maura. Madrid. .Musée du Prado.

Une copie d'un

fraginent, de ce laldeau, reine Marie-Louise et île deux do scs enfants, exéeul.ée par Forluny, fut adjugée 10.000 fr., à la vente de ce dernier, a Paris, en 1875.

Figure en pied de grandeur natu" 11.

2,10; L. 1,30.

— Portrait du

roi Charles

IV. 10.

Répétition du précédent.

Portrait du roi Charles IV.

Portrait de la reine Marie-Louise, femme

le

tableau de La famille de

Elle est re])résenlée

<lehout,

la tète

dessus jaune <pie traverse

;

11.

H. 2,10; L.

Etude Charles

et

femme

du précédent.

Naples. Palais de Caito di Monte.

tableau de Lu famille de

Figure à mi-corps de

12.

Gravé par Maura.

gra.mleur

R. Esteve,

Carmona, E. Lenius

Portrait de l'Infant Ferdinand, prince des Asturies.

de Charles IV. Ré|)élilion

le

F.

Toile.

1,30.

Marie-Louise,

]iour 1

femme

IV

naturelle.

giundeur natu-

Madrid. Palais Royal. la reine

Portrait de la reine Marie Louise, de Charles

;

<le

en sautoir

les bras sont croisés; elle une écharpe un éventail de la main droite; fond sombre pendant du précédent.

Toile. Figure en pied

Lcnius.

et E.

tient

— Poi trail de

de grandeur

Gravé par R. Esteve, Brandy, Garinona

cou-

habillée d'une robe blanche avec une veste

ini-corps

naturelle.

verte d'une sorte de turban à panache blanc

relle.

Figure à

Toile.

dù Charles IV.

7.

la

Charles IV.

de

Etude pour

Naples. Palais de Capo di Monte. 6.

de

les portraits

Madrid. Palais Royal. 5.

grandeur natu-

2,80; L. 3,30.

11.

Peint en 1800.

fond de pny'sage.

(Ti'avi'

>

relie.

tous les personnages

Toile. Figures en jiied de

;

à sa ceinture;

Toile.

,loa([uine;

un enfant au doua

Tinfanle

sont représentés en costume de cour.

un couteau de veneur est il' lient un fusil de la main droite, le bras gauche pendant le long du corps; un chien est assis à ses pieds sures à éperons

suspendu

bras

les

Fdude pour Charles

1

17

le

lubleau de La famille de


TA

CA

lis

13.

0,7

11.

;

de

Poi'trait.

Isidore,

Charles

-

Ma rie

Tuile.

19.

Charles IV.

Etude pour

de La famille de

Figure en buste de graïulcur natu-

relle.

de Chai

fils

Elude pour

les

Toile.

20.

à

Figui'O

do grandeur

iiii-cu]’[)s

0,74; L.

II.

relle.

Etude pour

21.

lableau

(le

La

famille de

Charles IV.

du prince

r/endi'C

Etude pour

Louis

de

tableau de

22.

La

fils

Louis

Vail

dans scs niaius

18.

11.

Iti

à calil'ourcbon

crinière tressée

;

rum.1

3,35; L. 2.79.

Madri(.l. Vlusée

résonner sous ses

tableau de

La

famille de

du Prado.

Portrait du roi Charles IV.

représenté dehout, en unirorme de

est

11

colonel des gai'des du corps, tenant son cha-

Figure de grandeur naturelle. L.

peau de

main

0,43.

Ane. eollection Pereire. Vente. Paris, 1872.

vêtue de Tunirorine

montée

(Iravé par Galvan.

1

0.:i4;

reine Marie-

VAgure écpiestre de grandeur natu-

'Voile.

23. le

la

femme de Charles IV.

des gardes du corps,

enfant.

Etude pour

Tuile.

équestre de

Louise,

de

doigts.

11.

3,3G; L. 2,70.

II.

Portrait

relie.

(pt’il

;

de paysage.

du prince

est représenté’ tenant

une guitare

de ITinirorine des

Figure é(]uostrc de grandeui’ natu-

sur un cheval [de à

0,74; L. O.GO.

11.

Polirait du

Charles

équestre du roi Charles IV.

Elle est re[(résent('e

Figure en buste de grandeur natu-

Panne Il

famille de

Madrid. Musée du Prado.

Musée du Prado.

Madrid. Musée du Prado.

Panne,

de Charles IV. le

l ‘orliait

relle.

Charles IV.

17.

famille de

0,7 4; L. O.GO.

11.

'V(.iilc.

0,74; L. 0,60.

II.

Portrait

La

tableau de

gardes du corps, monté sur un cheval pie fond de paysage.

Tuile. Figure en buste du grand(;ur natu-

ivlle.

le

est représenté vêtu

Il

le

Jladrid.

Parme.

'Voile.

Marie-Josephe,

l'Infante

Figure en buste do grandeur natu-

'Voile.

U, GO.

de Marie-Louise, princesse de

Portrait

de

l‘oïirait

Etude pour

famille de

Madrid. Musée du Prado.

16.

0,74; L, 0,G0.

II.

Charles IV.

naturelle.

surur de Charles IV.

La

lableau de

le

de

IV.

Charles IV.

relle.

famille de

Madrid. IMuséc du Prado.

Portrait du jeune Infant François

La

tableau de

Figure en buste de grandeur natu-

'Voile.

0,7i; L. 0,G0.

11.

Paille,

15.

le

Charles IV.

Madrid. Musée du Prado. 14.

0,74; L. O.GO.

11.

Portrait de l'Infant Antoine, frère de

de Charles IV.

I VA

relle.

Figure en buste de grandeur nalu-

'Voile.

rellu.

taldeaii

le

OKU VUE PEINT ET DESSINÉ

U, GO

L.

l'Infant

fils

l'Tude |)Our

Charles

i

L’

grandeur nalu-

Tuilf\ Figure en liiisle de rellc.

DE

L (MIL! K

la

'Voile.

12.800 l'ranes.

main gauche

et

une canne de

la

droite.

relle.

Figure en pied du grandeur natuIV 2,02; L. 1,20.

Madrid. Musée du Prado. PortraiL

de

la

jeune Infante

Isabelle. plus lard

Marie-

femme du prince

24.

héritier de Naples.

Elude pour Charles IV-

le

lableau de

/ ’ortrait

de la reine Marie-Louise,

femme

de Charles IV.

La

Elle est repia’sentée eu rohe de soie noire,

famille de le

corsage échancré sur

la poitrine, la tète


CATALOGUA DE L’OEUVRE PEINT ET DESSINE cmiverlc

éventail

corps

;

main

siii’

les

relevée tenant nn

ilroile

tombant

g-auclie

la

;

tninhnnt

mantille

il'nno

i''paules; la

fond de paysage

le

diqinssant

long du

Toile. Figure jusqu’aux genoux, de grandeur naturelle. il. 1,18; L. Ü,82.

[lendant dn pré-

Figure en pied do grandeur natuII.

1,99; L. 1,26.

28.

Gravé par bavallcy. Madrid. Musée du Prado.

— Portrait de

la reine Marie-Louise,

Séville.

femme

Elle est représentée

le

bras droit levé,

29.

naturelle.

à

ini

1,57

II.

;

corps de grandeur

Elle est représentée

femme

;

30.

Portrait de l'Infant Ferdinand, prince des Asturies, jrlus tard Ferdinand

main

Séville.

de la reine Marie-Louise,

femme

de Charles IV, tenant un de scs enfants

31.

Portrait de l'Infante Isabelle, plus tard reine de Naples.

Elle est représentée à l’âge de douze ans, les hras

garnis de gants montant au-dessus

coudes, ramenés

des

trois

deur naturelle.

quarts, la

Séville.

tournée vers la gaucho,

noirs ornés de bijoux; au cou,

;

;

elle

les liras

les

un

cheveux

de

lii

porte une robe

nus recouverts,

une écharpe à handes foncées autour une montre attacliée au haut

taille

Telmo.

collier do

jusqu’au-dessus du coude, de longs gants clairs;

et

Toile ovale. Figure, à mi-corps, de gran-

Elle est représentée de

blanche décolletée

vers la poitrine,

tenant un éventail de la main droite.

les bras.

perles à deux rangs

Anciennement au palais de San

— Appartient à la comtesse de Paris.

Telmo.

droite.

Toile. Figure jusi|u’aux genoux de gran11. 1,10; L. 0,83. deur naturelle. New-York. Appartient à M. Ilavemayer. Ane. collections du duc de Rivas et Th. Durct.

VU.

;

tête

manches

— pendant du précé-

Toile ovale. Figure en buste, de gramleur II. 0,82; L. 0,66. naturelle.

;

dans

fond somhre

un peu tour-

gauche de lourds pendants des hagues aux doigts et des bracelets aux poignets elle porte une robe d'apparat de soie jaune, les bras nus ramenés sur le devant du corps elle tient un la

I ’orlrail

;

oreilles,

tournée à

Toile ovale. Figure en buste de gran H. 0,82; L. 0,66. deur naturelle. Séville. xVnciennement au Palais de San Telmo. Apparticnlà la comtesse de Paris.

Elle est représentée de face, la tête recou-

27.

tête

dent.

Marie-Louise,

la reine

verte d'un turban à aigrette,

éventail de la

la

porte une rohe Idanche à

elle

courtes

de Charles IV.

née vers

femme

de diamants à trois rangs au

collier

cou;

L. 1,20.

Madrid. Académie royale d'histoire.

— Portrait de

Portrait de la reine Marie-Louise,

gauche, de lourds pendants aux oreilles et

un Figure

San

palais de

de Charles IV.

;

corps.

Anciennement au

— Appartient à la comtesse de Paris.

Telmo.

montrant avec son éventait la couronne royale placée sur une colonne le bras gauche tombant naturellement le long du Toile.

Portrait du roi Charles IV.

Toile ovale. Figure en buste de grandeur naturelle. II. 0,82; L. 0,60.

de Charles IV.

aux

fond

;

M. Billolto. Ane. collection Fromentin.

Toile.

26.

pieds

les

Paris. Appartient à

relle.

.

heaucoup

neutre foncé.

cédent.

25

de

119

;

du corsage à droite. Dans les bras, elle tient nn enfant coiffé d'un béguin blanc, velu d’une longue robe également blanche

32.

— 11

II.

0,82; L. 0,66.

Anciennement au Palais do San

— Appartient à la comtesse de Paris.

Portrait du roi Charles IV. est représenté de face, les

cheveux

[lou-

en costume de velours rouge, la main droite à demi recouverte par les broderies drés,

de la

manche de son vêtement

gauche tondiant Toile.

nalurclle,

le

long du

;

le

bras

coiqis.

Figure à mi-corps, de grandeur

II.

1,09; L. 0,76.

.


121

CATAI.UCUR

)

Iv-papno

I',

.

liais

ili^

au due

.\li|iai'liuiil,

Dh:

lînadilla

do

Suoea,

1

/mRIIVKR Munie.

ilrl

eonile

tableau on

de

12 de

à

— Portrait

repi'ésciilée

est

Figure à

'J'oilo.

nalurolle.

de

l’alais

au duc

lio

;

pen-

37.

l'In fant 7).

femme

Portrait de l'Infant Louis de Bourbon. frère de Charles III.

do grandeur Toile. rolle.

Appartient

Louis, frère de 38.

:

Louis, également assis

l'Infant

D.

du père

et do la

eux,

mère, en

;

occu[iè à poudrer

à côté'

D. Louis et

un

arrière,

la

;

iiour ainsi dire

enfants

leurs

Marie-Thérèse

et

coiffeur

princesse, puis diffé-

rents autres personnages appartenant à

domesticité

de

l'Infant

chambre, bonnes

femmes

:

d'enfants, et enfin

relle.

l'i'ini

IL 2.48; L. on 1783.

Rlle

Loya

forme, avec

le

liois.

relle.

— H.

grandeur natu-

36.

Toison d'or

Sor, Infante de Espaàa,

manana

la

del dia

27 de

A(joslo

Figure en liuste,de grandeur natuil.

0,42; L. 0,35.

de

Portrait briga,

Marie-Thérèse

le

bras gauche.

de Vaila-

femme de Ilnfant Louis de

Bourbon. Itépétition du précédent sans l'inscription.

relle.

II.

grandeur natu-

0.42; L. 0,37.

Palais de lioadilla del Alonte. Appartient

et

au duc do Sueca. comte de Cbinchon. 40.

Portrait de l'Infant Louis de Bourbon,

genoux, de gran-

frère de Charles III.

l.tS; L. 0,97.

comte do Cbinchon.

Portrait de l'Infant Louis de Bourbon, frère de Charles III.

Il

Ser’"^

Toile. Figure en buste, do

Talais de IJoadilla del Monlo. .Aiqiai'ticnt iSueca.

;

Palais do lioadilla del Monte. Appartient au duc de Sueca. comte do Chinclion.

bras droit tomliantle

Toile. Figure jusqu'aux

au duc do

tresses

ano 1783, hacia Don Francisco Goya jiendant du précédent.

39.

long du corps, lechapeausous deur naturelle.

de

Luis Antonio Jaime de Borbon, que de

II a 12 de

debout en grand uni-

le,

de

3,lô.

collier de la

trois auti'es ordres,

coiffée

del

Portrait de l'hifant Louis de Bourbon,

est représenté

représentée

est

exposa del

Don

frère de Charles III 11

Valla-

de Ilnfant Louis

la

de

Marie-Thérèse de

fcninic

retombant sur ses épaides, réunies jiar un ruban bleu au revers du tableau on lit Iletrato de ID Maria Teresa de Vallabi iga,

Pa'ais de ISoadilla del Monte. Ap[iartient au duc de Sueca, cointi' do Chinclion.

(),3.5.

Bourbon.

lui-même, les pinceaux et la palette à la main; fond de tentures de velours cramoisi. Toile. Figures en pied, do

L.

ü,4-2;

11.

brifja,

droite,

à

Figure en buste, do gi-andeur nalu-

Portrait de

de l'Infant, de prolil. assise dans un

guéridon

Palais de lioadilla dol Monte. Aiqiartient au duc de Sueca, comte do Cbinclion.

HL

devant un

del

Uépélition du précédent sans l'inscription.

Cliiiiebon.

île

sepP'<^

0,42: L. 0,35.

II.

couvraid.

L. U, 70.

coude

Suci'a,

lie

1

manana, dia 11 de

la

Figure on tmste, de grandeur naturelle.

cenlre. I\Iarie-Tlii'‘rése de Vailabriga,

fauteuil

35.

Itelrato del Serenisimo Sehor

Palais do lioadilla del Alontc. Ap])artient au duc do Sueca, comte de Glnnclion.

du préeédeid..

lioaililla del Alonto.

Charles

entre

gam

front et

uii-eiu'ps,

I.l

11.

La famille de

,\u

le

— }icndant

épaules

la

à nianclies eourti's, la elieve-

a taille,

retombant sur

liire

;

main

la

long dn corps. Rlle ]iorte une robe

le

noire

do face,

nn éveidai!

droite tenant danl.

34.

;

Luis Antonio de Borbon, que de

ano de 17S3, hacia Don Francisco Goya.

femme

reine Marie-Louhe,

(le la

Churler, 1 R.

(le

Rlle

b's

lit

Don

Infante

lliiiiclimi.

(

33.

RT DRSSINR

IM':INT

est représenté' de profil

— au revers du

Il

est représenté avec le collier de la Toi-

son d’or et un autre ordre sur

la poitrine.

Figure à mi-corps do grandeur naturelle. II.

0,79

;

L. O.Gü.

ilel Monte. Appartient au duc de Sueca. comte de Cbinchon.

Palais de lioadilla


CATALO(;UR 41.

— Portrait de Marie-Théi femme de

R L’URL’V

11

ùiicde Yullabriga,

l'Infant Louis de Bourbon.

Rlle est représentée les cheveux ornés de

diamants,

de bijoux

tombant sur sur

de

rellcment sur che,

rouge,

et

lesmainsa[ipuyées elle

porte une

— H.

1,48

;

grandeur natu-

L. 0,93.

46.

II.

1

,9.3

L.

;

1

grandeur natu-

,30.

Louis de

Bourbon.

Portrait de Marie-Thérèse de Vallabriga,

femme de

Toile.

l'Infant Louis de Bourbon.

rellc.

sur les

Figure en pied de grandeur II.

:2,ÜÜ

Bois. relle.

de Monserrat. 47.

Portrait du cardinal Infant Louis de

Figure à mi-corps de grandeur natu-

Bourbon.

H. 0,65; L. 0,37.

Autre répétition du précédent.

Palais de Boadilla del Monte, .\ppartient

Toile. Figure en pied de

au duc de Sueca, comte de Chinchon.

relle.

femme de

Vallabriga,

de Bourbon. 48. le

;

Vallabriga, comtesse de Chinchon.

Viùaza.

la

Elle est représentée

de

Portrait

Bourbon,

couleur bleue,

tenant

cles,

la

lias

de

tard cardinal.

représenté en

est

11

Louis-Marie

l'Infant jrlus

culotte

courte de

droite posée sur uue

carte placée sur une table à son coté

;

à sa

long de

cbe.

Dans

Maria,

muy

on

sur laquelle

:

Al

S.

I>.

Toile. Figure en pied de relle.

1,30

;

P ortrait du

49.

cardinal Infant Louis de

lit

;

II.

1,30;

Vallabriga, comtesse de Chinchon.

Elle est représentée de face, les

tombant sur

le

front en légers

cheveux

frisons

retenus en arrière par un diadème de lants et de plumes. Elle

est.

la

est représenté debout, presque de face,

main

laire

droite qui montre au doigt annuune bague d'émeraude, touibanl natu-

11.

1,9.5

;

L.

cl.

liril-

vêtue de blanc.

Figure en pied de grandeur naturelle. Il

L.

Portrait de Marie-Thérèse de Bourbon

L, 1,16,

Bourbon.

la liaii-

on

Palais de Boadilla del Monte. Apiiarticnt au duc do Sueca, comte de Chinchon.

et 11.

au duc de Sueca, comte de Chinchon,

Figure de grandeur naturelle.

grandeur natu-

Palais de Boadilla del Monte, Appartient

l'angle droit inférieur

L. 1,16.

los

anos y 1res inescs de edad.

droite descendant

gauche, sur

rneses.

Luis

Mar. Ter Vallabriga, a

la

Maria Teresa hixa del S. B. Infcuite Don Luis, de edad do dos anos y nueve

Infante D. Luis y de la

Irixo del ser

iluslre S. B.

lit

;

/l. S. I).

gauebe, sur une chaise, se trouve une autre carte

la taille

de face, la tète cou-

main

verte d'un voile, la le

blancs et souliers à bou-

main

grandeur natu-

L. 1,14.

Portrait de Marie-Thérèse de Bourbon et

comte de

m.

II.

Terres.

l'Infant Louis

Peint en 1784. Cité par

Madrid. Appartient au marquis de Casa

Portrait équestre de Marie-Thérèse de

nal.u-

L, 1,34.

;

:

de Goya.

Rome. Eglise espagnole de Notre-Raine

un mantelet épaules. Le tableau porte la marque

Rlle est représentée de face,

45.

de

celui

Répétition du précédent.

seis

ordres dont

divers

Portrait du cardinal Infant

Palais de Boadilla del Monte. Appartient au duc de Sueca, coinle de Chinchon.

44.

d'une soutane

Palais de Boadilla del Monte. Appartient

Toile. Figure on pied de

43.

de la main gau-

au duc do Sueca, comte do Chinchon.

relle.

C.

;

^ élu

Toile. Figure en pied de relle.

noire.

42.

livre.

lil

porte sur la poitrine la croix car-

il

lll.

;

banebe

la

un

lient

dinalice

grenat et une mantille

velours

il

Cbarles

dossier d'un fauteuil

le

robe

RT ItRSSIAR

R PRIA’ T

de plumes et

d’oi-,

les épaules,

11

1,30.

Palais do Boadilla del Monte. A|ipartient au duc do Sueca, comte do Cliinchon. 16


CATALOCIIE DE E’OEUVUE l'EINT ET DESSINE

122 50.

l'oiirail de el

du

llép(Tilion

II.

de Bourbon

ic-Tlicrr>tc

cûnileusc de Cliiiichon.

.

natu-

Portrait de Marie-Thérèse de Boiu'bon et Vcillabriija

le

eùlé gauche,

appuyé sur

le

dossier

blanc, ses cheveux

Elle est véliie de

loiidiantsur

l'Agure en

II. 2.

OH

roux 56.

front en légères frisctles.

le

do

pied

52.

bras

le

de

;

Figure en

Tuile.

H. 2,07

57.

la

lient la poignée de son sabre.

Pour fond, un camp avec des cavaliers des chevaux au dernier plan. relle.

et

Ilùtel

de grandeur natu-

du Canal

Imiiérial d’Ara-

VIF

costume de cérémo-

Portrait du roi Ferdinand est représenté

11

pre

à collet

le

VIF

collier de la

Toison

un manteau de pour-

d'hermine sur

les

épaules.

Figure en buste de grandeur naturelle. Ane. collection Eustaijuio Lopez. Vente

do gi-amleur natu-

j>iod

grandeur natu-

.

d’or sur la i)oitrine,

L. 1,44.

;

|éicd

L. 1,25.

Madi'id, Ministère do la Gubcrnacion.

dehotd.. en nni-

son chapeau sous il

;

Toile. Figure en pied de rel le

forine de général, avec, culotte et hottes de

main ganrhe.

sur

Esquisse.

Portrait du roi Ferdinand \Ml.

cheval,

;

nie.

est repré'senlé jeune,

Il

boucles d'or

Portrait du roi Fei'diinnid

Palais de lioadilla del Munie. Appartient au duc do Sueca. comte do Cliinchon,

2,80

11.

est re[irésenté en

Il

grandi.'ur naturelle.

L. 1,30.

;

Figure en

Saragosse. gon.

dore.

lauteuil

d'iiii

bleu foncé, bas de ,9.

Inachevé.

gauche

le hi-as

souliers

le

Toile.

légèrement

assise,

est repi'ésonlée

Elle

le

grand cordon de Charles 111. A son c.é)lé, une table recouverte d'un tapis sur laquelle est posée la couronne royale. la [)oitrine,

relle.

imdinée sur

droite tenaid.

la

porte sur les épaides nu juanteaii

jninc. habit et culotte

eowtessc de Chinchon.

,

11

soie blanche,

0,74; L. 0,50.

Palais de Boadilla del Monle. Appartient au duc do Sueca, coinlo do Chinclion.

51.

appuyée sur son épée, sceptre.

de soie cramoisie bordé d'or et h.)nrré d'her-

prérédenl.

mi-corps do grandeur

Figure à i-elle.

Mai

Vdllabriija

1860.

Madrid. Musée du Prado. 53.

— Portrait équestre du

Ferdinand VIF

pur sang, étendanl

bras droit en avant

le

dans l'allitude du commandement,

la

la

d'uneplume blanche

en grande tenue,

le

;

est

il

collier de la

grand cordon de Charles

II.

2,90

;

Toison d’or

el

le

111.

grandeur natu-

L. 2,70.

Bravé par G al van. iMadi'id,

54.

Cité parle

59.

comte de

Portrait de François

est représenté le fu'as gauche appuyé un canon maniuc d'un N, tenant une longue-vue de la main droite. 11 porte nn uniforme blanc agrémenté de passementeries rouges, un pantalon de même couleur et un chapeau noir à plumes vertes.

Figure jusqu'aux genoux de grandeur

I).

Federico de

naturelle.

II.

1,27; L, 0.95.

Douteux.

le j)i'écédent.

60.

Il

Il

Portrait du roi Ferdinand

VIF

Portrait du duc d'Alhc.

vers

la

droite,

la

main

est

a[)jiuyé

est représenté dehoul, presque de face,

lonrné

empereur d'Au-

Il

Madrazo.

P'' ,

sur

— Portrait équestre du roi Ferdinand VIL Madriil, Ane. cullection de

55.

la Vifiaza,

triche.

Acailémio do San Fernando.

Etude pour

Portrait du roi Joscjdi. Bonaparte.

Bolivar orini

Toile. Figure éi[ucslre de relle.

tête

couverte d'un chapeau à

portant

58.

moulé sur une jument

est re[irésenlé

Il

roi

gauche

reiiréscnté

son tricorne ponilré.

lisant

de

la

musiiiuc,

sur nn clavecin sur lequel est posé

Il

;

coiffé

en oreilles de chien

et

porte nn habit de soie noisette,


CATALor. UE DE un

moucheté Te

^ûlel

lilcu,

1/

UE U

une culotte

gris

VUE l'EINT ET DESSINE 65.

Portrail

tendre et des guêtres noires.

de

1-23

Maria Luisa de

I)“

Silva,

duchesse d'Albe.

Figure en pied de grandeur naturelle. Madi'id. Appartient au duc de Médina Sidunia. comte de Niebla et marijuis de

Elle est représentée debout, l'ace,

un chou rouge sur

presque de

tempe

la

droite, lu

couverte d'une inaidille noire,

tête

le

Yillafranca.

gauche appuyé sur 61.

Toile. Figui’e à

grandeur

de

mi-coi'ps

Madrid, .\ppartient à D.

la

.

.

Porti'Ciit

Maria Laisa de Silea,

de D"

bras dia)il

indiejuant à

nom

le

le

d’/l/6u,

signature de l'auteur écrite à l'envers.

une robe noire, comme la managrémentée d’ornements de même

lille,

couleur

est représentée vêtue d’une rol)e verte,

l'dle

poitrine recouverte d'un llcliu blanc, les

relle.

Ane. collections

la [loitrine

;

M.

P. Sohi'go.

66.

— Portrait

de IP Maria Luisa de Silva.

duchesse d'Albc.

M. lîainborger.

francs.

(i.OÛO

Portrait de D® Maria Luisa

costume demaja, main gaucho posée sur la hanche, la droite tenant un éventail eidr'ouvert. En Elle est représentée en

Salanianca et Pereirc.

Vente Percire, Paris 1872.

corsage échancré sur

Paris. Appartient à

0,5o; L. 0,40.

il.

Paris. A|ipartient à

grandeur natu-

le

Ane. collection Goyeiia de Séville.

d'une gaze rosée. Toile. Figure en buste de

;

tond de paysage découvert.

cheveux légèrement poudrés et surmontés

63.

main

la

bras

Elle porte

duchesse d'Albe.

la

le

Tindex orné d'une bague sur

terre, avec

chaton de laquelle est gravé

naturelle.

62.

en avant et

dirigé

Portrait du duc d'Albc.

hanche,

la

de Silva,

la

du cailre, on lit Duquesa de Alba.

bas, prés Silva,

duchesse d'Albe.

Toile.

Elle est représentée de face,

les

cheveux

tombant sur les épaules, un chou rouge sur la tempe droite au cou, un collier de

Séville.

67.

:

Maria Luisa de

Figure en pied. II. 0,52 Ane. collection Urzaiz.

— Portrait de

I>"

;

L. 0,42.

Teresa Caijctana de Silva,

;

aux poignets des bracelets d’or bras gauche toml>ant naturellement le le long du cor[)S le bras droit étendu en avant et la main indiquant avec l'index la signature de l'auteur. Elle porte une robe

corail,

duchesse d'Albe.

;

pieds un petit chien blanc

;

68.

duchesse d'Abrautes.

fond de Toile. 11.

1,0 4; L.

11.

64.

Paî trait

de

Appartient au

69.

— Portrait du Il

relle

'l’oilo.

du

lu'écédcnl.

Figure à

ini-coi'|is

de

grandeur

Mailrid.

duchesse douai-

comte d'Altamira.

.

Figure en pied de grandeur natuIl 1,08. 1,77; L .

.

Madrid, .appartient à pagne.

naturelle.

la

est représenté assis, la léte de prolil. Toile.

P" Maria Luisa de Sdva,

duchesse d'Albc. liéliélilion

rière d'Abrantos.

1,30.

Liiàa.

Figure de grandeur naturelle.

0,92; L. 0,70.

Madrid. Appartient à

Toile. Figui'O en pied de gi’andeur natu-

Madrid, l’alais de duc d'Albe.

0,88; L. 0,GG.

— Portrait de IP Mauucla Giron y Pimeulel,

paysage aride. En bas, à gauche, onlil.’jl la Duquesa deAlba. D. Francisco de (roya. I7i)[>. relle.

— H.

Madrid. Appartient à D. Rafael Ran-io.

blanche avec une large ceinture couleur feu; à ses

grandeur natu-

Toile. Figure on buste de relle.

;

70.

la

banque

d'Es-

Portrait de IP lynaeia Maria Alvarez de

Tolcdo, marquise d'Aslorga, comtesse

au duc de Médina Aiebla et maniuis lie

Appai'lient

Sidonia, comte de Villal'ranca.

d'Altamira. Elle est représentée avec sa

lille.


CATALUdüK DE on

Fif^ni'os

'J’oilc.

vello.

de gi’andeiu' natn-

]iicd

.

Portrait du peintre Francisco

Subia, beau-frère de Goya

au

ApparLiont

Muilrul.

76

L. Elu.

1,'Jd;

11.

L’OEIIVKE PEINT ET DESSINÉ

iiuiniuis

do

Cuivre circulaire de 0.08 do diamètre. Madrid. Appartient à 1). Alejandro

Curvura. 71

.

Pidal.

— Portrait

d'Altaudrano, auditeur à la 77

cour de Séville.

.

— Portrait du

lu'un avec jabot et pilet clair à Heurs.

11

MM.

à

lluussud

.

Portrait du ])cinlre andalou José Maria

Peint à

78

(lAb; L. 0,40.

11.

— Appartient

Séville.

à

gaindie,

de

Dans on P''

une canne.

E.rcmo.

General de

(Ici l)ep)‘°

S''

jiorte

Il

du taldeau,

A

Armada,!/

la

FuniIL

à

gauche,

Edle

— H.

c.st

.

— Portrait

1,11: L. ü,0ù.

de 13

naturaliste

Vûi/a(jcur

et

Figure en buste de grandeur natu-

représenté en unirorme

.

Fhgui'O

'toile.

à nii-corps

grandeur

de

Maih'id. .-\p[iai'tient à la raniillc A/ara.

Elle

de

!>'

M

.

.

Subia,

.

Bai/eu, belle-rnere de Goj/a

Cuivre Madriil.

circulairi'

de

.4p[iartieid

U. 08

a

femme

(.^)

de diann’dre. 1).

Alejandro

rejirésentée debout, presque de cheveux jioudrés, un large chapeau garni de ruhans roses et d'une plume ('sl

face, les

Idaiic

Porlrait

Pidal.

comtesse-duchesse de Benavente

y Osuna.

naturolli'.

Cristobal Fcrrir.

t).

Paîtrait de B" Maria José fa de Piincn-

d'cd'Iicier tel,

.

de P” Feliciana Bayeu.

a/'ios.

de marine.

75

donné par

représentée avec un foulard au

Madrid. Appai'tient à 80

est

;

relle. 11. 0,38; L. 0,30.

Azara 11

Provincial

;

Musée naval.

du

mi-corps de gramleur

uu ruhau de soie Ideu et rose dans les heveux fond inachevé. En hasdu tableau, à gauche, on lit: H” de la Feliciana, de edad 'toile.

74

à

IL 1,12; L. U, 83.

cou,

grandeur

de

Valence. Musée Monfort.

— Portrait

79

islizabal

i

Cap’' General

Figure à ini-corps

IMadi'id.

en petite veste et cein-

Figure

'toile.

(

nalurolle.

1!. Maura. Musée du Prado.

est re[)résenté

natur..‘lle,

et

de Cadiz.

'toile.

do grandeur

mi-cui'ps

une toile, tenant un pinceau de la main droite signé: B” F”" Bayeu. P'' de C™ P' Goya, 17SG.

marine.

de

P. Gabriel de

la IP

à

1,22; L. 0,84.

Portrait du peintre Francisco Bayeu y Subia, beau-frere de Goya.

gauche, gilet

le

général

lieutenant

l'angle su[)érieur

lit:

bras

le

main cachée sous

l'autre posée sur l'orinc

sous

tricorne

le

tenant une

11.

tourné vers

représenté delniut.

;

ture noire, dehoid devant

Gabriel de Aristizabal est

— 11

— Portrait du lieutenant ijénéral de marine Il

.

J.M. Asensio.

1).

droite

Une copie de ce porli’ait, exéculée par Fortnny, fut adjugée 10.000 fr. à la vente de ce dernier, à Paris, en 1873.

de vingt-neuf ans.

en 1810.

lîotis

Toilo. Figure on buste do grandcui' naturelle.

.

l'tadrid.

llesl lapirésciité a l'àge

main

la

Gi-avé par

Aranr/o.

73

Figure

'toile.

naturelle.

porte un vêtement

fond neutre.

ot

Valadon 72

il

;

un pinceau de

gris et tient

:

Apparliont

Paris.

est représenté assis, presque de face en

lierruque [jomlrée

Toile üvalo. Figure on busto de grandour 11. O.H-'j nalurolle. E. 0,03.

Bayeu y

peintre Francisco

Subia, beau-frère de Goya.

est roprosenld lète nue, vêtu d'iin lialiiL

Il

Bayeu y

{'è)

blanche sur

la tête

:

elle

est

vêtue d'une

robe bleu pâle ornée de dentelles blanches, de rubans roses et de Heurs

gants blancs droite.

et lient

:

elle porte des

un éventail de

la

main


CATALUGLIE DE

II.

lu.

1

;

OEUVRE PEINT ET DESSINE

grandeur

Figure à mi- corps do

'l’üilc.

iiaUiivllo.

1/

.

cheveux Toile.

est représenté de l'ace en véteiiient bou-

11

naturelle.

87

épaules.

les

.

Madrid. Appartient au marquis do Cor-

88

.

tournée vers

la

bleu et blanc,

cba(]ue ]>oignet

;

(.^)

brac.'elet

fermé sur un noirs; il

de velours noir à

tieid

elle

main

sur

les

Toile.

genoux

se

— pendant du

Figure à

trouvent divers dessins.

89

.

Bcal.

Portrait de D" Francesco, Caudado.

II.

2,25

;

dans

arlu'C

'toile.

relle,

tenant de

Caballero. la

:

90

.

main

Figure en II.

un

;

petit

cliien

1,03

;

jiied

de grandeur natu-

L. 1,18.

Portrait de M. Careda ou J. Caveda.

Figure à

'toile.

ini-coiqis

de grandeur

naturelle. S."‘

Araujo cl Cli. Yriarto sous le de D. M. Careda et par Ossario y Bernard sous celui de J. Caveda. Cité par Z.

nom

Toile. Figure en buste de gi'andeur natu-

H. 1,06; L. 0,84.

Madrid. Appartient au marquis de Cor-

91

.

vera.

Portrait de Miguel Cayetano Soler. Peint vers 1803.

Grave Portrait du comte de Cabarrus. est représenté de face. 'toile.

relle.

campagne

la

Valence. Musée provincial.

/hr.’"'' un papier oh se lit d^ Caballero. Goya 1807.

remontant

blanc à longs poils est couché à scs pieds.

grandeur natu-

Portrait de la marquise de

relle.

lui

au-dessus des coudes; assise an pied d'un

;

L. 1,40.

Elle est représentée

droite

daim jaune

longs gants de lit

niasilla.

11

L. 0,69.

sur les épaules; elle porte aux mains de

Madrid. Appartient à D. Joaquin Arga-

;

sur la tête, une mantille noire retombant Portrait de Manuel Lapena, marquis de

relle.

.

0,99

II.

Alarcon.

mi-corps de grandeur

Tuile. Figure en pied de

85

Elle est représentée vêtue de gaze avec,

Boudad

Mar

Figure à mi-corps de grandeur

naturelle.

1,15;

11.

Dans le bas du tableau, à gauche, on D. Manuel Lapena. G. Goiju ano J799.

un porte-crayon de la main droite, un angle de tahle sur laquelle

lient

'toile.

précé-

Terres.

.

blanc brodé de points

gilet

cou, une large cravate blanche;

pa[)ier sur

L 0,80. Madrid. Appartient au mar([uis de Casa

84

an.

Madrid. Appartieiit à D. Manuel Soler y

naturelle.

conseil de Castille.

aj.qniyée sur

dent.

.

Vinaza.

vingt-ciiK] ans environ, vêtu d'un habit gris,

écrin cranioisi, ainsi (pi'un

lequel ivqiose sa

la

de trois i[uarts, âgé de

critique d'art

gauche, vêtue d'un costnnic

un

du

est représenté

11

femme du

Portrait de la

Ccau Berrnudez

83

comte de

pi'ésident

Elle est représentée de trois quarts, assise,

un

;

Portrait de Evaristo Perez de Castro,

v.'ra.

.

les

main.

Cariipomanes.

Gravé par Maura.

82

Cité par le

1.22; L. 0,88.

II.

la

Portrait de Pedro Rodriguez, comte de

de grandeur

nii-corps

à

Figiire

Toile.

avec des Heurs dans

un éventail à

et tient

Figure à mi-corps de grandeur naturelle. H, 1,06 L. 0,84. Madrid. Appartient à D. G.

— Portrait du critique d'art Ceaa Berrnudez.

lonné, un inanleaii sur

Portrait de la marquise de Cadalso.

Elle est coiffée

Madrid. AppurtienL à D. Gustave Bauer. Ane. collection d'Osuna. 81

86.

L. U,7o-

125

Figure en pied de grandeur natu11.

2,10; E.

!

,27.

Madrid, A ppai'tien ta la banque d'Espagne.

92

.

[lar R.

Esteve.

— Portrait de l'écrivain Félix Colon.

fauteuil, 11 est représenté assis dans un devant une tahle recouverte d un tapis de

damas

vert

sur

laquelle

se

trouvent ses


121

CATALor.UE DE

'.

œuvres

cui

volumes dont Eun

six

OEUVRE

1/

lit

Aùo

;

17'J'j

plume pose sur appuyée sur

est

main

la

;

porte l'uni-

11

galon d'argent

97.

— Portrait

Figui'C

Toile.

naturelle.

à

même

du

mi-corps

1.20; L.

11.

Madrid. Appartieid

à

bout de papier, sur lequel on

grandeur

Itieardu

Figure à

Toile.

Trau-

Madrid.

Porlrail

rarchca'qiic

île

.loaqain Companij. 98.

— Portrait

debout on vétoinenls

représenté

est

11

monastiques de couleur gris jaunâtre, le grand cordon de Charles 111 sur la jjoitrine, le bras gauche tomhant le long du dans corps, le droit légèrement relevé Tangle supérieur du tableau figurent les armes de Tarchevéque, eu bas se lit une

grandeur

.Appartient au comte

do Villa-

L. 0,80.

;

de

U" Tadca Arias de Enrri-

qiiez.

Elle est rcqirésentée de .

l'ace, la

tête enca-

drée dans une très anqile chevelure noire

dont

;

les

boucles tmnbent sur ses épaules;

porte une robe de guipure

elle

blanc recouverte sur ijuine noire; les

longue inscription.

ini-coiqis

1,08

11.

gonzalo.

Valence,

de

de

naturelle.

niann. 93.

un

Maria

lit;/!'

lldefonsa Dabalos y Santa Maria.

0,8.ü. 1).

de D" Maria-Ildefonsa ])abaluti

talde sous laquelle, à gauche, se trouve

ordre. de

Francisco Duran

Elle est représentée assise auprès d'une

cordon de Tordre militaire de Santiago,

ainsi que la médaille

0,87.

1).

y Santa Maria.

sur la poitrine, la croix et

:

L.

;

y Sirvent.

l'orme de hrigadier, tuni(pie et gilet noir et

le

1,28

11.

Madrid. Apiiartieid à

main gauche

la

;

lianclie.

naturelle.

ou

droite qui tient une

talde

la

la

Figure à mi-corps de grandeur

Toile.

est ouvert,

puis divers papiers, sur l'uu desipiels

DESSINE

l'ElNT ET

mains

et

de satin

poitrine d'une bas-

la

et les bras jus(pi'au-

du coude sont enfermés dans de longs gants blancs dont elle détire le gauche; dessus

Toile. Figure on pied de rellc.

II."

2. 12

grandeur

iiatu-

L. 1,30,

;

les

Peint vers 1801.

Valence. Eglise paroissiale San Martino.

pieds sont chaussés de souliers blancs à

hauts talons

Salle caiiilulairc.

94.

— Polirait

relle.

d'un moine, secrélaire de

chcvi'quc

de

Valence, Jouquin

l'ar-

est

11.’

1.90

L.

;

grandeur natu-

1,08.

Point en 1793-94. Jtlusée

Donné par

du Prado.

D. G. Enrrii|uez de Valdés.

représenté en costume religieux.

Toile.

Madrid.

Cjin-

punij. 11

fond de paysage.

;

Toile. Figure on pied de

Figure à

naturelle.

11.

rni-eorps

0.09

;

de

99.

— Portrait de D.

L. Ü.83.

Madrid. .Appartient à

1).

Carlos Espana, comte de

Espana.

grandeur

Figure de grandeur naturelle.

Salvador Ca-

Cité

bells.

par

Z.

Araujü

et

le

comte de

la

Yinaza. 95.

Polirait de P' Lorenza üorrea.

100.

Elle est représentée en robe bleue ilécolletée.

une guimpe blancbe au cou. Toile. II.

Figure de gi'andeur naturelle.

0,80; L.’0,.v8,

Dans le bas du tableau, â gauche, on /l" Juan An’^" (’uerro direclor de la Academia de S" Fernando.

dans un fauteuil

damas jaune, tenant

la

main

droite appuyée sur une planche de cuivre et la

— Portrait de Juan-Antonio Cuervo.

du ijraveur Rafael Esteve.

est représenté assis

recouvert de

Paris. Ap])articnt à M. liiscliolfsheim.

96.

— Portrait 11

gauche tombant sur

planche de cuivre on

lit

;

la

hanche. Sur

Don Rafael

la

Esteve,

por Goya, 1813. lit:

real

Toile. Figure jusqu'aux g.uioux de granII. 1.63; L. 1,18. deur naturelle.

Plusieurs fuis gravé.

Valence. Musée provincial.


CATALOGUE DE L’OEUVRE PEINT ET DESSINE

101.

Vovliait

Carlos (rulicrrcz

(le

de

los

duc de Fcniaii Naùez.

liios,

Toi le. Figure en pied de grandeur naturelle.

Madrid. Appartient au duc de Fcrnan Nuiïez.

102.

derrière

le

le

taldeaii

;

un portrait à mile lias du tableau, sur un bout de papier, on lit Senor dans

III;

;

FraiC° Goya.

Portrait de l'éLuajue d'Andriiioj:)olis,

est représenté assis

Toile. relle.

dans nn

dossier aianorié, lonrin' vers

de chœur,

raiilcnil à

croix pastorale, les mains

la

;

L.

1,66.

tejos.

107.

Portrait de .Tosef Monino,

comte de

Florida Blanca.

Figure à nn-corps

T(jile.

IL 2,62

sur les genoux.

— IL m

naturelle.

Figure en pied de grandeur natu-

IMadrid. Appartient à la marquise douairière de Martorell, marquise de Pon-

gnnelie, la

ceinture et cainail sur

sur[)lis,

pend

la,

Peint en 1783.

en vêlements

télé recouverte d'ime calotte,

leipiel

lui

([iie

de Charles

corps

Frai/ Mi(juel Fernandez. 11

montre Goya

comte, un personnage secondaire; dans fond, sur un chevalet,

est représenté deliout.

Il

127

1

;

L.

de grandeur

O.G.j.

Il

coslume

est représenté deboul. en

tenant des piapiers dans

les

lileu,

mains.

Bilbao. Ai)partient à D. Enrii|ue Salazar. Toile. Figure on pied de

103.

Portrait de Mariano Ferrer.

relle.

maroquin

de

portercuillo

Torres.

Bras gauche posé sur un

gris, le

rouge.

Signé

;

108.

— Portrait F Antonio For aster

Goya.

F'^°

Toile.

grandeur

Figure à mi-corps do II. 0,83 L. Ü,6L

Toile.

naturelle.

grandeur natu-

1,73; L. 1,12.

11.

Madrid. Appartient au marquis de Casa

est représenté les clieveux poudrés, en

11

vêtements

relle.

Figure en buste de grandeur natuIL

0,4.3

;

L. 0,37.

Madrid, .appartient à D.

;

.Javier

Millan.

Valence. Musée provincial. 104.

— Portrait

de Joaquin Maria de Ferrer,

109.

— Portrait

U

est

noirs,

représenté debout en

tenant à

main un

la

relié

Ce portrait a servi de modèle au buste de Galos élevé sur son tombeau au cimetii'i’o de la Chartreuse à Bordeaux.

en

le bas du tableau, à gauche, on Goya; à droite; Paris, 182i.

rouge; dans lit;

Toile.

Figure à mi-corps de grandeur

naturelle.

— IL

110.

0,73; L. 0,30.

D' Manuela Alvarez de

Portrait de

gauche,

dans l'angle inférieur du tableau, à gauche, on lit Goya; droite pendant <lu précédent. 182i ;

Toile. Figure en buste de

II.

;'i

;

0,73

grandeur natu-

L. 0,60.

;

Madrid. A|)parlienl au mai'(iuis de Baroja. 106.

111.

— Portrait de

de

.Tosef

Dans droile,

l'angle

on

lit

Moiiino, comte de

Florida Blanca. est

Rosa Garcini y

re[)résenlé

debout

naturelle.

regardant un

D

"

.Tosefa Castilla

Portugal

y Garcini.

;

pC Goya, J8G'i. Portrait

;

Madrid. .Appartient à Arizeun.

Toile.

Il

;

relle.

à mi-cor|is do grandeur H. 1,04 L. 0,82.

Figure

Toile.

en robe noire, décolletée, tenant un éven-

main

lit;

naturelle.

Elle est représentée de trois quarts, debout,

à la

on

du tableau, à B“ hjnacio Garcini. por

inférieur

l'angle

Goya, 180'i.

Coinas de Ferrer.

tail

— Porlraitde l'iiKjcnicur hjnacio Garcini. Dans

Madrid. Appartient au comte de Caudilla. 105.

lilhofjraphe

Point entre 1827 et 1828 à Bordeau.v.

vêtements

livre

l'imprimeur

de

.Jacques Galos.

président du conseil des ministres.

inférieur

T)" .Tosefa

du

laldeau,

à

Caslilla de Ga>'cin>

— pendant du [irécédcnt.

Figure à nn-corps de gi'andeur

11.

I.Oi; L. 0,82.

Madriil. Aiqiarticnt à D. Vicentc Garcini.


12S 112.

Porlraif.

du Icnor Manuel

(rurcia.

d'une redingote de

vêtii

liice,

î)E

E’OEUVüE l'KINT ET DESSINÉ Chai'les

rcprésonlé avec une épaisse chove-

csl

Il

CATALOCUE

nn

laissant passer

Dans

du tahleau se

le lias

une

lit

Figure jusqu'aux gonuiix, do grau-

ilour naluridlc.

de clieinise et

liout

Toile.

brun,

ilrap

III.

longue inscription.

le

L

0,82;

11.

0,60.

Point on 1789. collet d'nn gilet blanc. Toilo. Figure eu buste relle.

0,80

II.

L. 0,57.

:

118.

Paris. Apjiartiont à M. liainberger.

Vente Salainanca. 113.

— 5.300

Paris, 187.à.

— Portrait d'un général de

l'r.

République

la

Ane. cüllection Caniille Rogier.

1890.

représenté

Il

IS

il,

du costume

vêtu

de

l'époque, tenant une feuille de papier à la

Toile. :

;

Goya ano 1810.

Figure en buste de grandeur natu11.

0,82

L.

:

0,59.

Madrid. Appartient au marquis de Casa

360 francs.

Torres.

de Manuel

Portrait équestre

prince de

— Portrait la

Godog. 119.

la Pai.e.

Portrait

1)"

île

Galarza de Goicocchca

Fdle est représentée tenant

Peint en 1800. Cité par Z. Araujo Vinaza. 115.

Société aragonaiso

la

Portrait de Juan Martin de Goicocchca. est

relle. -i.

Vente Paris, 114.

— 11

main. Signé

française.

L. 0.1

Saragosso. Ilôtoi do des Anus du pays.

grandeur nalu-

île

et

coinlc

le

do

la

main. En bas du tahleau on Galarza por Goya ano 1810. la

de Manuel Godoy, pnànce de

'i

;

ode. Figure en buste de grandeur natu-

relle.

Pair.

un éventail à IM Juana

lit

11.

0,82;

L. 0,50.

Madrid. .\[ipartient au rnaïquis de Casa nu-téte, en nnirorine

est représenté

11

demi-couché sur un

de général, à

terrain, entouré de drajieaux et de tro[diées

militaires; dans

aide de

camp

Tuile. relle.

chevaux tenus en main.

et îles

Figure en pied de grandeur natull.d.80

tic

porte une

poche de son hahit

et

un

chemise

gilet lirodé

Charles

111,

;

sur

la

le

du

croix

121.

le

même

cordon ordre

grandeur natu-

J)"-

Gurnersinda de Croicoc-

'foile.

lit;

Ano 1805.

Figure en buste de grandeur natuFfantOTrg'.

'f'I-

^

^

Paris. Ane. collection Oudry.

Portrait de .Juan

Martin

île

Goicoc122.

liras

droit

tomhant

le

presque de face; long du corps,

main gauche cachée sous la

Portrait de

Gravé par

est représenté la tête

11

île

L. 1.60.

relle.

chea.

le

;

Elle est rejiri'sentée de profil'; dans l'angle

Cravé parSclma.

0,60

supérieur du tahleau on

et ccdle de Santiago.

117.

11.

chea.

un hahit

;

poitrine

la

;

bras gauche.

jahot

à

:

Espagne. Eibar. Appartient à D. Ignacio Zuloaga.

pernnine jioudrée,

son chapeau maintenu sous 11

robe

un mouchoir blanc. Signé

'rode. Figure on pied

droite divers jiapiers, la la

vêtue d'une

la tête,

Goya 1813.

Gauza.

tenant de la main main gauche dans

de

une mantille sur

relle.

représenté en

{y)

un canapé

rouge, appuyée sur un de ses bras reidié,

de Miguel de Muzquiz. comte

/ 'ortrait

est

11

Elle est représentée étendue sur

doid. l'une tient

Peint en 1800. Madrid. Acadéniie de San Fernando. 116.

— Portrait de IP Cnilarza de Goicocchca

noire décolletée, de longs gants aux mains,

L. 2,6.0.

:

120.

aperçoit un

fond, on

le

'l'orres.

de

pli

houtonniére

de

le

vétemeid

Fhahit, la

croix

;

la

à

de

— 11

Portrait de Francisco Goya.

s’est

représenté

la tète

inclinée en avant

du coté gauche, le corps enveloppé dans une sorte de robe de chamlire. Signé dans le bas du tahleau Goya 1815. :


CATAI.ÜdUK DK K’OKUVRK DKINT Ktudo pour le médecin Arrieln. Bois. Figure en relle.

U,

11.

Gra\’é par

40

;

tahloau Iniste

Gotja

et

son

Saragosse. Appartieid à D. Mariano de Villaba. directeur de l’Institut de Saragosse.

Douteux, peut-être une copie

iioija.

130.

11.0,06; L.

Gravé par

qiiel-

grandeur natu-

0..al.

doua

cl

de son

131.

relle.

Figui'c à

— Portrait

nii-eorps de

132.

de Francisco Goi/a.

représenté

costume de torero.

tournée

la tête

tombant dans

le

dos;

il

porte

Figure en buste de grandeur natu0,.')0;

— Il

vers

la

gauche,

II.

0,50

;

L. 0,41.

Paris. .Vp[)arlionl à M.

Léon Bunnat.

clieveux

profil,

tourné

coupés assez

11.

0,16

;

L. 0,12.

Vente Dcstailleur. Paris, 1001

134

.

_

— 3.100

Portrait de D" José fa Hayeu.

fr.

femme de

Francisco Goya. l'illc

Ber-

de petits favoris sur les joues, le cou engoncé dans une haute cravate claire, vfdu d’un vêtement brun.

Répétition du précédent avec variantes.

Gi’avé pai' Dezarrois.

Carmen

court,

Toile.

Figure en buste de grandeur natu-

I)'

presque de

les

L. 0.30.

Portrait de Francisco Gojja.

relle.

0,18; L. 0,12.

est reiu’ésenté

Ane. collection Briguiboul.

'toile.

:

Portrait de Francisco Goya.

Castres. Musée.

11.

Madrid. Aiiparticnt à ganza de Martin.

trois

de grosses besicles.

11.

Portrait de Francisco Goya.

Toile.

133. tle

quarts, les cheveux noués et réunis par une

0,42; L. 0,28.

Goya.

Portrait de Francisco Goj/a.

'Toile.

11.

gonzalo.

grandeur

Figure de grandeur naturelle. Ane. collection Urzaiz.

petite (jueue

Signé dans l'angle inférieur de droite

est représenté en

Séville.

en train de peindre.

Figure en buste de grandeur natu-

'toile.

Madrid. .\pi>artienl au comte de Villa-

Madrid. Ane. collection Martinez.

relle.

s’est représenté

11

naturelle.

s’est

Portrait de Francisco Goi/a.

lit.

Toile.

Federico

Madi'id. ,\nc. collection de D.

de Madrazo.

médecin Arrieta.

'toile.

frisés,

ivlle.

Porti aits de Francisco

dans son

la

gauche, un crayon dans

F. Milius.

Goya auquel Arrieta fait prendre une médecine est représenté malade, couché

128.

la

Etude pour le portrait du peintre ligudans le tableau de saint Bernard pi’ècbant devant le roi Aliihonse d’Aragon. 'toile. Figure en buste de grandeur natu-

tournée vers

main gauche, les cheveux longs et un jabot de dentelles au cou.

Appartient, à M'"" IL B. BlodgoU. Vente Baroilbet, l’ai'is 1872. 2.100 francs.

11

Francisco Goi/a.

l'ant

Toile. Figui’e en buste de

127.

île

représenté jusqu’aux épaules,

s’est

11

tête

l’railo.

Portrait de Francisco Goi/a.

relle.

Il

Portrait

grandeur natu-

Autre répétition du [irécédent avee

126.

grandeur

de

la

ini-coi’[is

Ena y

que.s variantes.

125.

à

0.40; L. 0,3a.

II.

Madrid. Mus(m 3 du 124.

Figure

naturelle

San Fei'nando.

Toile. Figure en buste de

129

Portrait de Francisco tnnja. 'toile.

L. 0. 10.

Répétition du pi’écédcnt.

Gah an.

VortraiL de Francisco

relle.

129.

de grandeur natu-

Madi-id. .\cailéinie de

123.

:

DK SS (N K

KT

est

représentée de face, assise,

les

un éventail. Elle que recouvre une sombre porte une robe

mains

croisées,

tenant

échaïqie claire. 17


CATALOCrE

lAi»

Tüik'.

I''igni'(‘

iiainrolle.

Musi'C

Muili'iil.

Ane. 135.

il

Ane. collection

(lu l’ra(,lo.

U. Dai'n.'ta.

C(jllC(.'li((n

l’ortraU tVun frine de Fniiieif^eo

osl l'CiiréseiiD' de

Figure

Toile.

II.

Aniilolerre.

en

buste

grandeur

de

L. 0,:i8.

;

Castle.

l'.aiaiard

'l’iie

Bowes

Jliiseuin

peintre Jaricr Güyn['l)

ilu

est reiiréseidé vers

âge de vingt-cini|

1

dans

nette,

la ti'de

les (dicveu.v

de trois i|uarts, coilïé

couleur sombre

;

et

est viidu

il

sur

cliemise. Sigmé dans

la

Tidlc. Figure en buste de relle.

II.

l’aris.

l>"

de

ii

Ane.

140.

tombant le

le

même

noir

le

141.

i.Fune

bras gauche

ganté Jusqu’au-dessus

du coude et tenant la main un éventail ferim' un petit chien blanc se dresse contre scs genoux; fond neutre foncé. ii

;

Toile. Figui’e en pied de relle.

11.

1,9U; L.

Vente, 138.

de

l’aris. 187.1

— Portrait de

la 7.

.51111

bords; cou,

rejirésentée

main

et

au

[laraîl

âgé

porte des vêtements noirs

il

col blanc de (lentelles.

Figure

Bois.

jiaturclle.

Madrid.

11.

à

nii-corps

0,59; L.

Il ;

Goya

a su

de graiulcui'

0,47.

au

Ap[iarticnl

Roclicbousseau.

142.

inari[uis

d'.Vl-

Portrait de Ferdinand Cruilleinardet,

ambassadeur de

l'rancs.

h'^Iirrnt-

l’Age

de dix-buit

est représenté en

à la

Figure de grandeur naturelle.

main.

Té[iée

au

céité,

lu

Hépubli<pie fran-

Espagne.

tionnel, l’échaïqie

mois environ, un tambourin

la

cafiices.

du peintre.

à

tenant de

nieto.

Il

est

Zubina.

d’une dizaine d’années. .Signé

grandeur natu-

neyilda Goya. Elle

un

raise en la fille

0.50; L. 0,35.

un rouleau de musique, la gauche tombant le long de la hanche, la tète couverte d'un chapeau noir [lointu, à petits

à M. Bisehull'slieim.

collection

II.

esl représenté assis,

1,12.

l’aris. .\|qiartient

riano Goya.

Gravi' par Jacipiuiiiart.

•Ane.

du

et 18119.

Portrait du pciil-/iP du peintre. Mu-

l'ace, la tête

long du corps, nu gant défait;

bras droit relevé,

Salainanca

de

A'ente Isaci. l’aris,

Séville. Ap]iartient à I).

du peintre

recouverte

couleur;

(l'isaci.

Figure à ini-corps de grandeur

'l’oile.

Juana Galarza de Goicocheu.

de salin

collections

naturelle.

11

de

L. 1,12.

Ap|iartient à M. Bisidioltsheiin.

riano Goya.

droite

rolie

sur la tête.

est reiu'éseuté de face.

Il

bant juscpi'au- dessous des lia nebes. El le [lorte

i.lentellc

de demiun chien loulou orné

Portrait du petit-/iP du peintre, Ma-

recouverte d’une mantille Idancbe retom-

une

[lieds,

gilet clair,

chaussé

et

3.400 l'rancs,

M. Eiuil l’aceuly.

Elle est représentée debout de

pas-

l'autre

;

vêtu d’un habit gris à revers, d’un

grise

11. l.'JO;

maripiis

grandeur natu-

heUe-jllle

In

à

ses

l’aiis.

0,7,1; L. U,.i9.

Apparl,i(.'iit

Vortrnit

-

fond blanc ouvert

A

bas.

le

main

gilet

Figure on pied de grandeur naturelle.

à l'oiseau,

ravures de soie bleue largement

et

137.

à

est

pompon rouge

d'un

une son-

il

et

culotte

bottes.

d'un haldl de

d'un gilet

ouverture de son

I

un gourdin; grand collet

une ample cravate de

poudri's.

au cou

salin noir

et

Luis de Madi'azo.

tenant son chapeau, tout en s’a|ipujant sur

ans, assis anprès irnne laide sur laiinollc se

trouvent un encrier, des plnines

1).

représenté debout, une

esl

Il

d’une

136. — Po)'lrail du /du

Sarali

rùnio Goya.

regardant

Irni.s (jiiart.s

0.4i’

Miss

à

Portrait du pelil-fih du peintre, Ma-

(îoj/ii.

sée

naluiolle.

.\ppartient

Coo|(cr llewitt.

gauche.

Il

New-York,

^Tanileur

ili'

L. 0.50.

;

139.

— Il

mi-CDi'iis

il

0.81

II.

E’OEEVKE l'RINT ET DESSINE

\)i:

costume de Conven-

tricolore

assis,

les

à

la ceinture,

jambes

une chaise, auprès d'une laquelle est [losé son chapeau

croisées,

table

sur

à

sur

plumes.


CATALOGUE DE également tricolores; sur

il

appuie

le

OEUVRE PEINT ET DESSINE

L

bras droit

Musée du Louvre.

Paris.

.

l'orlnnt de

I)'<

Mariana

de

Silea,

comtesse de Ilaro. rei)résentée en robe

Elle est

une Heur dans

.

décolletée,

les clieveux.

Figure en buste do grandeur naturelle.

peau agrémenté d'une cocarde tricolore, une chaise auprès d'une table, penché en avant, la main droite appuyée il tient un [lorte-crayon et semble dessiner sur une feuille de papier placée devant lui.

sur la table

Toile. relle.

;

Figure en buste de grandeur natu0,70

II.

Portrait de Gaspar Melchor de Jorel-

lanos.

représenté en vêtements gris, cu-

est

148

.

collection

nn fauteuil, les jambes devant une table où se voient nn

0.500 francs.

Portrait d'une laitière de Bordeaux.

relle.

appuie

on

main

la lit

sur laquelle

Peint entre 1824 et 1828 à Bordeaux.

il

Appartient

Figure en

Toile.

149

-

.

de grandeui' natu-

i)iod

marquise

de temps,

relle.

A, pendant ([uelquo ligure à Matiriil, au palais des Cortès.

— Portrait de Gaspar Melchor

de Jovcl la-

Gigon. Appartient à

150

.

1).

.José

Maria Cien-

Il

Portrait du peintre Aseitsio Jalia

Portrait de

monté

droit

tombe

che ro[dié

El

;

descend jus-

lui

long du corps

;

le

151

.

Toile.

à scs [deds

un

Telmo.

11.'

gramleur natu-

1,03; L. 1,15. Liria. .tpiiarlient

Portrait de la libraire de

;

bras gauElle est représentée de trois quarts, tour-

née vers

lit

:

Goya

Palais do San

comtesse de Paris. espagnole du Louvre.

Apiiiirticnt à la

•\nc. collection

la droite,

vêtue d'une robe à

manla

aiquii-maiii et

L. ü, 42.

Anciennement au

au

rue de

la.

ches courtes écliancrée sur la poitrine;

en bas, à droite, on

H. 0,55

dos-

las Carrelas.

tète recouverte d'une mantille

menée

vers la taille par

le

bras gauche [icndant

la

main gantée

Figure en pied de grandeur natu-

Séville.

bras

la [loilrine, le

le

la

;

;

appuyée sur

Madrid. Palais de duc d'.VIbo.

porte

il

a su arnirjo Ascusi. relle.

Maria Gahriela Palafox

d’or.

face et nu-

main envclopiiée dans des soutenus parmi bandeau attaché

sur l'éjiaule des brosses

ouverte sur

le

et

linges, sont

1)'

Banque d’Es-

la

Toile. Figure en [lied de

sur un échafaudage

[lieds;

«

relle.

une robe de chambre qui qu’aux

grandeur natu-

d’un fauteuil, en robe blanche pailletée

»

représenté presque de

est

h. 13; L. 0,77. Appartient à

Elle est représentée sier

Pescadorct

téte,

II.

y Portocarrero, marquise de Eazan.

fuegos.

.

Madrid. pagne.

nos.

146

de face.

Toile. Figure on buste do

Villainajor.

comtesse de

la

Portrait de Erancisco Larnimhe.

est ro[)résenté la tête

11

îl.’2,05; L. 1,33.

Madrid. Appartient à la

.

à

.Muguiro.

droite tenant une pancarte

Jovellanos, Goya.

:

rollo.

papiers,

grandeur natu-

0,75; L. 0.07.

11.

Madi-id. et divers

encrier

145

Hamberger. Edwards. Vente. Paris,

Toile. Figure en buste de

d’argent, assis dans croisées,

.\nc.

lotte noire, lias blancs et souliers à boucles

oii

L. 0,50.

:

Peint vers 1815. Paris, .appartient à M.

— 11

cinquantaine

d'un haut cha-

assis sur

Cruz.

.

Julin

»

est représenté âgé d'une

11

Madrid, .\ppartient au mari|uis do Santa

144

Asensio

peintre

El Pescadoret.

d'années, la tète couverte

0,50; L. 0,35.

II.

du

Portrait ((

Toile. Fifîure en pied do l'randeur natuII. 1.85; L. l,2o.

relle.

143

147

dossier de son siège.

le

131

le

la

blanche ra-

main

droite;

long du corps;

iusi[u'au-dessus

du coude

tenant un éventail fermé. Toile.

Figure

nalurolle.

II.

à

mi-corps de

1.50; L. 0.7G.

grandeur


CATALOGCE DE

132

E’ DEL'

VUE

Gravi' par R. Estove.

LUliogropliié par Furlis. Mailriil. Aiio. rollortion Hciiilo Garriga.

152.

Lorenzana

Poi'f rail thi cardinal

— Salle

Tolrile.

Madrid. Alusée du Prado,

158.

en plus.

dralir

par

Citi'

i;omle dr

11'

Vinaza. d'api-ds

la

Toile. Figure en buste de

Ossorio y lîrrnard.

_

153.

représenté de face

esl

Il

la

— Portrait de

159.

Peint vers 1807, Saragosse. AppartienI

seins découverts, se plaçant une rose sur

D.

à

Fr.

Canlin

iain lioa.

la

cheveux noirs ornés de bijoux tomau cou. un collier de bant sur les épaules les

;

_

154.

("?).

Elle est représentée vers l'àge de vingt-

ti'te, (

Goya

de

la rnailrcsae

cinq ans. en chemise, à sa toilette, les deux

L. 0,44.

0,.b0;

II.

de Casa

inai’ipiis

Douteux. Ib'obablomcnl une cupio.

Toile. Figui-e en Imste de gi'andeur naturelle.

Appartient au

Aladrid.

tournée vers

gauche.

grandeur natu-

IL 0,02; L. 0,72.

Turres.

de onze

à l'àge

tète légéreinenl

la

relle.

Portraü de Maimcl Cantin Lncicnicr.

douze ans,

à

Portrait de l'actcur hidoro Maiquez.

Répétition du précédent avec les mains

de la callié-

eapitulairo

DESSINE

l’ElAT ET

Piirtrail de ïactricc Pila

représentée dans

Elle est

années de sa

]ierles espacées,

dernières

les

nalurelle.

Figure à

Toile.

0.41

II.

de

busle

en

dos

jiar

chaînons

nii-coi'ps

di‘

grandeur

1,02; L. 0,70. Paris. A[iparliunt à Al. Raniborger.

L. 0,34.

:

naturolle.

grandeur

Madrid. Ane. colleelion 'de D. V. de Car-

reliées

d'or.

vie.

Figure

Toile.

Pana.

160.

II.

Portrait de

musicienne dite

la

maî-

ilerera.

tresse de

155.

Portrait

île

Juan Antonio Llorcnte.

Elle est représentée jouant de la gidtare.

11 est représenté en vêtements sacerdotaux, les mains croisées tenant un l'oulant, il

porte sur

établie jiar

poitrine

la

croix du

la

.Mérite

Vente Edwards.

grandeur natu-

Tuile. Figure en pied de relle.

1.00;

II.

L

— 11

Point à Itiris on 181.5? AiiparFient à D. Francisco Llo-

Portrait de Juan Maidin

«

El

«

poissé,

la

guerre de rindépemlance

162.

0,84

l'ii

;

II.

0..57;

grandeur natu-

L. 0.77.

de giundour

liusto

E. Caiiu.

représenté assis, portant l’uniforme

iialu-

Luis Naras.

Iriiloro

I).

Portrait de l'andral Mazarredo.

est

croix et

I),

à

de général de marine; sur la poitrine, la

L. 0,05.

— Portrait de l'acteur

— 11

Madrid. ApparlienI à 157.

jiorte

il

Gravi' par Galvan.

Toile. Figuri.' 11.

large

Aladriil. Aiqiartient

espagnole en 1800-1810.

d'un

gauche;

Toile. Figure en buste de

El Einjicci-

Empecinado », liitid'alement TEml'ut un des chefs de partisans les

relie.

11.000 francs.

chapeau incliné sur une cape qu'il ramone delà main gauche vers la ceinture. couverte

».

plus célèbres de

Portrait du torero Mariincho.

relle.

nado

Paris.

est représenté [u'esque de face, la tète

l'oreille

rcido y Garcia de Vinuesa. Diiuteuv.

161.

1.14.

Aladrid.

156.

Toile. Figure à mi-cor[is do grandeur nalurello. Paris. AppartienI à AL do Ponunereid.

roi .losepli.

le

Goya

Maiquez.

la

médaille de Tordre militaire de

Santiago; dans

un navire

et

le

fond à droite, on aperçoit

diverses embarcations.

Dans

Tangle inférieur de gauche du tableau, on 11

est

représenté

vêtu

d'une

redingote lit

grise à hatd col boutonné, laissant aperce-

voir une large cravate blanrbe; fond sombre.

:

Goya

lo hizo.

Toile.

naturelle. Toile. Figui'o en buste do relle.

11.

0,77; L.

0,.58,

grandeur natu-

Figure

II.

à

mi-ciH-ps de

Aladrid. A iipartiiuit

nando.

grandeur

0.05; L. 0.84.

à

D.

Alariano Iler-


CATALOGUE DE L’OEUVRE PELM ET 163.

— Portrait

du poète Juan Antonio Mc-

lendez Valdcz. Il

représenté

e.sl

i33

dant au métier les deux ai nées en robes blanches et ceintures rouges les deux plus :

;

presque

île

fuce,

les

jeunes, en robes rayées.

cheveux [)Oudrés, vêtu d'un liahit I>run avec un gilet blanc en bas on lit: A Mclendez Valdez su amigo. Goya. line cravate et

grandeur natu-

Toile. Figures on pied do

IL 2,15; L. 1.45.

relle,

;

Toile. Figure en buste de

Madrid. Palais de duc d '.Allie.

grandeur natu-

IL 0,72 L. 0,32. Angleterre. Itarnard Castle.

relle.

DESSI.XÉ

168.

;

Liria.

Appartient au

Portrait de José Pio de Molina.

The Rowes 'toile.

Muséum.

Peint à Hordeaux entre 1824 et 1828.

164.

Portrait do la comtesse de Miranda dcl

Castanar

169. -—Portrait

IP Maiia Amalia Znargo

de

('?).

y Acedo llermoso.

Elle est représentée de trois quarts, assise

dans un fauteuil sur

les

bras duquel est posée

une écharpe blanche, la tête tournée vers la droite les cheveux bruns et courts sur le devant recouvrent en partie le front de

marquise

,

Montc-

de

de douze

Elle est représentée vers Page

ans, debout, en robe blanche

nu-téte,

et

;

leurs

légers frisons et retombent, en

gues boucles sur les é^jaules

;

elle

porte une

blanche légèrement décolletée

robe

lon-

à

la

tenant un

les liras

main

droite,

le

bras

;

boisé.

Figure en pied de grandeur natu-

'toile.

relle.

11.

1.70; L.

Appartient

Paris.

sont

nus à partir du coude les mains ramenées vers les genoux tiennent un éventail fermé.

la ;

Directoire avec des épaulettes et une ceinture de soie foncée dont les bouts :

de

le bras gauche légèrement relevé tomfoml de paysage bant le long du corps

mode du

sont terminés par des glands

lis

,05.

1

à

M.AI

Boussod

.

et

A'aladon.

;

Figure à mi-corps de

'toile.

naturelle.

Madrid.

— IL

Ane.

1

;

L. 0,83.

— Il

Portrait de Fernandez de Moralin.

représenté

est

Il

les

presque de face, devant

colleidion dos

comtes de

Montijo. 165.

170.

grandeur

cheveux poudrés, une table, vêtu

d'un habit à col haut, sans revers, couleur feuille sèche.

Portrait du chanteur Pedro Mocartc.

est

'tuile.

relle.

représenté en costume de torero.

Figure en buste de grandeiu' natuIL 0.72; L. 0 ,.jG.

Peint en 1709. Toile. Figure de Paris.

.Appartient

grandeur naturelle. à M. R,aimundo de

Madrazo. Ane. collection Edwards. Vente, Paris.

Il

rave par Gai van.

Madrid. Académie de San Fernando. 171.

Portrait de Fernandez de Moralin.

9.000 francs.

166.

'toile.

Portrait de IP Vieenta Solis. duchesse lie

Montellano.

Toile. Figure en pied de

Figure de grandeur naturelle.

IL 0,95; L, 0,G8.

Peint à liordeaux entre 1824 Madrid. .Appartient à D.

grandeur natu-

Sil

et 1828.

Francisco

vola.

relle.

Madrid. .\|ipartient au duc Nunez.

de

Fernan 172.

— Portrait du verneur

167.

La famille de Montijo.

.\u centre,

Maria-Erancesca de Sales Por-

tocarrero y Zuniga, comtesse de .Montijo, Croij. est femme de Ecli[ie Palal'ox assise entourée de scs ipiatre filles et bro-

maréchal de Mouchy, goude la Guyane,

guillotiné

en 17[)G à G(> ans. 11

est représenté debout,

de face, l'habit par-dessous

la

la

tète

tournée

cuirasse

;

la

chamarrée de croix et de cordons, appuyé sur son bâton de maréchal ipii riqiose poitrine


CATALOGUE DE > 111

son

'

L’

rouge

l"ond de draperie

cas(iiie.

OEUVRE PEINT ET DESSINÉ

niouveiiien Die. Tuile.

il

lidi’ileanK

1.2e; L.

11.

gnuidenr

de

ini-em'ps

à

I'’igure

Iialundlo.

il tient un livre ouvert, de la gauche, montre un [lapier sur lequel on lit: El duque de (huna jwr Goj/a.

droite,

0,'JI

Paris.

,\ne.

umo. Douteux.

Paris,

.

llulii'id Di'hrousse, Veidi',

('(.illeidiiin

Poiirail

177.

,

^ Gaslon Lind.en.

à M.

Appai’l.ienI

Portrait du

llautiaUi de Muijuiro.

X‘duc d'Onuna.

re[irésente à

est

Il

Juan

mi-corps de grandeur

1,10; L. 0 8 '^

11.

Ane. collection d'Osuna.

e.rjOü IVanes.

iJc

-

nalurelle.

Laey

173

Figure à

Toile.

de

Ciuidéran. .\pparlienl à

-

l'Age de

douze ans.

vêtu d'un costume marin.

Dans on

lit

droite,

à

Toile. Figure en jucd

Juan de Muijttiro par nu ainifjo lun SJ cnion, en Burdcon Mai/o de

U

Itdi/u

lahlean. sur une laide,

le ]>"

:

Madrid.

Toile.

H. 1,02; L.

Apparlieid.

Ma.drid.

0,8fj.

eoiidesso

la

à,

de 178.

Muguiro.

PorlraU

devani une

représenti'' assis

est

Muùuiriz.

Josc-luiin

ilc

Portrait du

la

de

mariiuise

lisani labié,,

A'“

duc d'Osuna.

debout sur un tertre, appuyé sur un rocher, en

représenté

est

11

Il

à

Ane. collection d'Osuna. Douteux

Figure à mi-corps de grandeur

nalurelle.

.

Aiipartient

Villama.jor.

IS-27.

174

de grandeur na-

lui'clle.

une

lettre,

costume de cheval habit bleu foncé, gilet blanc, culotte en daim jaune, la tête découverte. le (hapeau posé à côté de lui au ;

tenant de

main ganehe un

la

verl. vtdn d'une

liant laissant

eid

à

l(''vitc

livre enlr'on-

;

a[ierceyoir

Sur

on

livre

le

ei'avate et les plis dn jabot.

la

lit

D. Jonc Muùarriz, F.

:

second plan, en contre-bas, à gauche, son cheval et un palefrenier.

Goipt /s /S.

Toile, l'^igurc en pied do

Toile. Figni'e relle.

enbuslo dr grandeur naluL.

0.8.':);

II.

relle.

.

La

Le duc de sur

dossier

le

assise lille

gam

la

niain gauche

la

la

et

179.

rejirésenté

est

incliné vers

;

debout,

lenani sa

lie.

main

la

dn rantenil dans

fils

aîné

:

assis à ses pieds, en avant, sur

Signé

et date'

2,27

ÎMadrid.

sa

est

seconde lils

est

un coussin.

de 1788.

Toile. Figures en pied de relle. II.

;

L.

jMiiS(''C

1

grandeur natu-

est

Il

.

— PorlruH du Il

IX'

cornes;

au

ar/osse.

représenté

il

clair, le

attitude

lie

gauche,

il

monté sur un cheval

lient taras

de

la

levé

main

droite

commandement; ramasse

le

sabre

en avant dans une

les

de

rênes

Toile. Figure éijucsirc de relle.

;

la

main

fond

de

II.’

grandeur nalu-

2,48; L. 2,24.

Madrid. Musée du Prado.

duc il'Onuna.

haut

pie

paysage, avec une ville au dernier [dan.

du Prado.

Thaliit. à coi

M. Léon Donnât.,

de trois quarts, coiffé d'un cliapeau à deux

,7i

est représenté de trois quarts, les idie-

veux poudri’s.

grandeur natu-

L. 1,40.

lancé au galop, en uniforme de général, la tête

Ane. collection d’Osuna.

176

;

PoiJaait équestre du cjéncral Palafox,

duc de Sai

aînée

leijnel

son second

un peu

lille

droite appuyée

dnebesse enlojirée de

de son

2.02

Ane. collection d'Osuna.

dJJnuna.

fa)iiille

11.

Paris. Appartient à

0,(it.

Madrid. .Veadrniie do San Fernainlo.

175

et à larges

revers Iioutonné sur la poitrine, montrant un Jabot de dentelles et un gilet blanc, les bras tombant le long dn corps; de la main

180.

Portrait de ta duchesse de! Parque.

Elle est représentée assise sur

un

tertre,

au pied d'un arbre, nu-lète, les cheveux courts, vêtue d'un costume clair, une rose dans la main droite: sur un bout dé rocher, à côté d'elle, une corbeille avec des colombes.


CATALOGUi': DE Tuile. Figure on pied de relle.

II.

181.

grandeur natu-

185.

niari[ui;;

de

la

Portixiit de

Sur

la

tourné vers pâle, avec

Tuile, Figure en pied de

un gilet blanc à

et

186.

Figure on buste do grandeur natuÜ,'.W; L.

11.

l),0o.

M. Gaston Linden.

Paris. Appai’tienI à

182.

— Portrait

île

lit

:

Goya, ISOS.

grandeur natu-

.2,05; L. 1,24. I).

Pedro Labat y

Portrait de Itamon de Pignutelli.

Manuel Gaixia de

alcade corregidor de Madi

gauche,

le

culotte

et

manteau

didiout,

chapeau sous bas noirs

tourné vers

le biais

:

en

la

baliit.

sur les épaules un

;

à la lioiitonniere de l’habit,

;

la

aux pieds, des souliers à boucles d'or; la main droite dans la poche du gilet tond de paysage avec un grouiic de personnages à gauche. croix de Gbarleslll

Prada,

la

représenté

est

Il

Il

Madriil. Apparticnl à Ari'izabalaga.

dessins bleus.

relle.

})or

vêtu d'un habit gris

la droite,

une cravate

'J'uile.

PanUdeon Perez de Nenin.

partie intérieure diitableau on

relle.

Puj/rel.

représenté de trois quarts, assis,

est

13!1

D Pantaleon Perez dcNcnin,

Inelan.

— Portrait du Docteur Il

VUE PEINT ET DESSINÉ

U

l,2o.

Apparüeid. au

Madi'id.

Vega

L.

I,(i.u;

L’ DE

id.

;

;

est

11

représenté del)Out.

d'un habit bleu à boutons

trois quarts, vêtu

croisé sur la poitrine

d'or,

de

tète une.

la

culotte de Casimir

blanc, des

Toile. Figure en

porte une

il

;

lias

relle.

de soie

Il

;

blanc posé sur un uieulde

main gauche

est

appuyée sur

le

gon,

dessus d'une 187.

Toile.

àM.Einil Pacculy. Ane. collectiun Ruiz y Prado. Paris. Appartient

188.

Tiburcio Perez.

Tangie lit

du

inrérieur ;

A

tableau,

Tiburcio Perez.

Figure à

II.

lui-coi'ps

à

1,02

;

11

1).

de

Il

11.

1,02

;

à la

de

duchesse

marquise de Pontejos.

un chapeau bergère un

petit

11.

chien carlin

pii.'d

de grandeur natu-

2,10; L. 1,28.

de

.51artuJ-ell,

est

marquise do Pontejos.

d' Antonio

Cobos de Porcel.

représenté assis, tusil et

la

blanc de

ment

grandeur nalu-

la

main gauche

caressant un chien

;

main droite;

il

porte un vêle-

gris avec la croix de Charles

111

à la

boutonnière. Dans l’angle gauche inlérieur

L. 0,72. la

appuyée sur un

D" Thomas Perez Eslala, P. Goya.

Madrid. Appartient à rière do Gedillo.

grandeur

vêtue d'une rolie blanche recou-

— Portrait

189.

lit

do

L. 0,02.

;

Madi'id. .tiqiartient à la luariiuise douai-

main gau-

che un rouleau de papier sur lequel on

Toile. Figure en buste de

la

Toile. Figure en relle.

rière

la

0,80

11.

cotés; tond de paysage.

.ses

grandeur

Portrait de Toiiias Perez Eatala.

rellc.

la tète,

Francisco Duran

est représenté tenant de

verte d'une échaïqie;

Goya,

L. 0,80.

Madrid. Apparüeid à y Guervu.

Figure à mi-cor[)S

Elle est représentée

à Toile.

184.

rilôtel du Canal Impérial d’Araune troisième à Flbipital de la

— Portrait de

sur

JS2I).

nalurelle.

;

Madrid. Aiqiartient Villa-llennosa.

Peint vers 1810.

Dans

et

nalurelle.

gauche, on

de

l'ainille

— Portrait de llainon de Pignutelli.

grandeur natu-

relle.

183.

1,37.

IMiséricorde.

haut à bords relevés.

— Portrait de

de grandeur natu-

[lieil

L.

seconde à

chaise sur laquelle est placé son chapeau

Tuile. Figure en pied de

;

existe à Saragosse plusieui's copies de une au Casino principal, une

ce [lortrail

la

;

2.10

II.

Saragosse. Aiipartiont à la Pignatclb

également blancs attachés au-dessous du genou par un ruban noir aux pieds, des escarpins. De la main droite, il caresse un petit chien

tableau, on lit Don Antonio Porcel. por Goya, ISIII',. amigo su

du

conilesse douai1

:


.

Ihirlrait

iTlo esl

i,i:i

:

E. U, «5.

Ane, collocrKm

(Ircnailc.

pramlom’

mi-cnrps

à

Bois. I''ii;ui'e mitiirollo. -- 11.

190

UK I/OKI VKE l'ElNT ET DESSINÉ

(^\ÏAI>0(iül':

l.'fG

de

rojii'é-senléc

lie

crée au corsage,

ol

la lète

l'orcel.

tic

recou-

taille

la

mains rame-

195.

Eipui'c

mi-corj)S

di'

Kiandeiu'

lilas Anielller.

(diettes

gauche

cülleetion l’orcel y Zayas.

de

Porlrail

île

Ikimnn

désigne de

Po^atla

ilc

pi’ciiticr 'jirésiiletti

S'o/o.

//

Irihunul

ilii

île

ipiarts avec

un jabot

des

tenant de

dentelles,

main

la

droite.

la

un

manmain

(In

Francisco de

p'' ])"

lit

en bas:

arquileclo del

Itodriijuez

Infante D" Luis, pinlailo por

muxer

et

plans du palais de Boadilla qu'il

les

Don Ventura

Fedro Fernan-

1).

est représenté de trois

habit et un gilet gris,

L.

par G. A. Manelion.

..\nc.

.

il

0,82:

11.

Eondres. National Gallcry.

Diu\'i'

191

L. 0,81.

;

Quez. 11

Toile.

G.

Portrait de rarchitecte Ventura Itodri-

nées vers la ceinture.

naturelle.

1,09

II.

marqué G.

grandeur naturelle.

mi-eori)s de

il

appuyée sur

droite est

Madiid. Appartient à dez Durati.

de vin. éclnin-

verles d'une nianlille noire, les

Figure

la

Gravé par

velue d'une

l'iiec,

ruhe de soie de cuuleui’

jambe. Ee tableau

D" habcl ('ohos

île

]ioilrine,

la

y Zayas.

l'nrcci

main

la

S'’

orden de su

cl

tloija.

('iiiILr.

Figure à mi-coi’ps de grandeur

'l’oile.

grandeur nulu-

Toile. Figure en pied de relle.

1,97

II.

Madrid. l’oi’ez

192

.

Appartient

à

Maria

.losu

I).

PoitraU

José

Moteo Arias

porte

il

somlire,

un

der-

siéele

de dentelles,

jahol

une culoLle de peau

et

relle.

.Madrid,

2,34

;

197.

— Il

la

portrait

Madrid. .Académie do San Fernando. 198.

à

Ro-

tioga. Itdiu.

:

Toile. Figure do

L. l.aO.

.\ppartient

ou copie d'un autre

Ib'qiétilion

aujourd'lmi perdu. Signé

un

Figure en pied de grandeur natuII.

Portrait de l'architecte Ventura

est

chaussé de demi-holles. Toile.

driguez.

en eos-

est représenlé didiout. nu-tête,

lialiil

196.

comte de Purtonrostro.

lume des iiremiércs aimées du nier:

du comte d'Altamira.

.\nr. collection

Jtinn

île

2,02; L. 0,73.

II,

Madrid. Ajqiartient au marquis de Castro Monte.

Galiallei'u.

Ihtrifla Il

L. 0.90.

;

naturollr.

man|uise de

Al magner.

grandeur naturelle.

Portrait de l'éeèi[ue Rojas.

est

représenté sous Tbabil de religieux

augustin; sur

'la

un bonnet noir en

tête

rormc' de calotte.

193

.

PorlruU d'une

nalui'elle.

Elle est représentée presijue de

face, sur

uneguimpe Idanche reconverle d'une autre guimpe noire. Toile. Figure iietito nature.

II.

0,40;

194

.

1).

Sébas-

Portrait du ijenèru! Hicai'dos.

Il

roi

la

est

L. 0,54. él'ldstoire.

Joseph

est représenté de face,

la

main/ droite débou-

appuyée dans l'ouverture de

l'habit

tonné

Légion d'hon-

;

il

porte

la

croix de

la

neur. de grandeur ^ j {AeJ^lp Aladrid. Ap]iarlient à D. Isidore de Urzaiz.

Toile.

représenlé assis, en unirurme, avec croix de Santiago et d'antres ordres sur

Il

;

Portrait de Manuel Ronicro. rninistfe

du

Aranguez. Ane. collection de tian de Borbun y Braganza.

0,75

II.

Douteux.

L. 0,32.

Feint entre 1824 et 1828 à Bordeaux.

Madrid. Académie royale

la tête

de grandeur

Figure à mi-corps

Toile.

relitjicuse.

naturelle.

Figure à

II.

1

(/^iM-r

,

02

ini-coriis ;

L.

'

îooJ-

0

.

81

’v :

.

A

1,0

7

vyo,


CATALOGUE DE L’OEUVRE PEINT ET DESSINÉ 199

.

du torero José Uomero.

d'or; sur

de face, un peu tourné cheveux enfermés dans porte le costume du cirque,

Charles

Vorirait

est représenté

Il

vers

droite,

la

une

résille.

Il

Toile.

II.

Gravé par

0,92

grandeur

Lafond. Madrid. Appartient aux héritiers de I), Luis Alfonsü de Borhon. duc de Ansola. Ane.- collection de U. Sébastian do

205

.

201

Figure

Toile.

Impérial

en

pied.

0,77

II.

;

Madrid. Appartient au marquis

;

206

.

du torero Pedro Uomero.

Portrait

relle.

la tête

du précédent.

0,59

II.

L.

;

grandeur natu-

0,4.3.

Mailrid. Appartient

grandeur

Figure à mi-corps de

Tor-

Portrait du duc de San Carlos.

Bois. Figure en buste de

Répétition du précédent. Toile.

ilo

recilla.

Etude de

.

Canal

Esquisse du précérlent.

Borhon

Figure à mi-corps de grandeur naturelle. H. 0,92 L. 0,76. Madrid. Appartient au duc <lc Veragua.

-

du

Hôtel

Portrait du duc de San Carlos.

Portrait du torero Pedro Hornero. Toile.

)

L. 1,23.

:

L. 0,60.

.

2.80

II.

1\

y Braganza.

200

Saragosse. d'Aragon.

L. 0,76.

:

.\u bas

Ihique de

S''

grandeur natu-

Toile. Figure en pied de

la ceinture.

Figure à mi-corps do

El E.vemo

.'

/

O

San Carlos por Goya ano 18/5. relh'.

naturelle.

lit

O—

grand cordon de

le

et divers autres ordres.

du tableau, on

les

mains ramenées vers

les

poitrine,

la

111

J

1

au comte de

Villa-

gonzalo.

naturelle.

Appartient

Séville.

à

Viuda

S“

do

207

.

Portrait de D" Joaquina Tellcz Giron.

Vera.

202

.

marquise de Santa Cruz.

on lit Adrian por Goya 180^ sur

laquelle

;

une couronne de

une pierre

El oiarques

de

main une

à la

S"

Toile.

relle.

Toile. Figure en pied do •

relie.

11.'

2,09

grandeur natu-

.

'

208

.

face, des

rie

des rubans dans les elievcux,

bleue

décolletée

plumes

dentelles. Toile. relle.

209

.

par

Figure en Imstc

Madrid.

ilo

grandeur natu-

0,6.5.

Appartient à

L. 1,22.

;

au

Ap}>artient

Comte

Bic

de

Aureliano de

de

la

marquise de Santiayo.

comte de

la

Viàaza.

Corte.

la droite,

la tête

en coslumo de chasse,

redingote et pantalon noir, gilet rouge, col

1).

le

est représenté de trois quarts,

11

lournée vers H. 0,84; L.

2,03

II.

Portrait de Uarnon Salué, alcade de

en robe

une écharpe de

avec

et

sofa,

tenant

guitare en forme de lyre.

P ortrait Cité

Portrait de la marquise de San Andres.

Elle est représentée et

ti'te,

Gonctia.

Madrid. Appartient au marquis de San Adrian

203

fleurs sur la

Figure en pied de grandeur natu-

Madi'id,

L. 1,25.

;

un

Elle est représentée étendue sur

Portrait du marquis de San Adrian.

est représenté s'appuyant sur

11

de chemise ouvert sur

dans

les

poches

le

cou;

du pantalon

les

fond

;

le

mains uni.

Beructo.

Sur 204

.

— Il

Portrait du duc de

est représenté

droite

de

debout tourné vers

;

'toile.

la

el

des souliers à boucles

Figure

naturelle.

main gauche,

bas de soie blanche

laldeau, on

lit

;

Alcade de Carte, por Goya

San Carlos.

il tient une canne et sous le bras droit, sou chapeau orné de plumes blanches. Il ])orte un babil et une culotte bleu foncé brodés d'or; des

la

le

— H.

1).

Uarnon Salué

/8'2.'J.

à mi-corps de

gramleur

1,50; L. 0,85.

Madrid. Ane. collection Bcniti^ Gai'riga.

210

.

Portrait du yraveur Selma.

Figure en buste de grandeur naturelle. Gravé par Selma lui-méme. 18


GATA LOr, l'K DE L’OEUVRE l'ElNT ET DESSINÉ

138

211

.

D" Maria Tcrcsa Apodaca

rorli'ail de

Figure

Toile.

nalnrello.

laisse voir

L.

;

gnindoni’

do

iiii-eorps

à

l.-S

II.

Toile.

U,9li-

.

redingote

d'une

vèlii

roiirésent/’

grands revers, assis dans nn i'anlenil. une main sur le genou, sur un l'autre sur nn hras dn raulenil ;

jiapier

on

lit

Goija.

:

219

.

Portrait de

0,(10

11.

Elle

tenanl à

papier sur

leipiel

Toile.

L.

:

au

inanjuis

dol

Part, rail,

.

de

D''»

femme 221

.

217

à.

D'>

la Yinaza, d'apri'S

1,12:

iT.

Sé'ville.

.

Elle

avant, el le

elle

.

la

téter..

0,07.

Ancionnement au la

palais de San

comtesse de

Pernandez. dite

la

une

d'une écharpe

rôtie à

face.

île

Il

.

1

,

12

;

grandeur natu-

L, 0,78. la

Baniiuo

d'Es-

douzaine d’an-

;

sur ses pattes Toile.

lils

le

la

hanche

long du corps:

hlanclie

recouverte

d'or; la jupe courte

;

Signé et daté 1810.

Figure en pied de grandeur natu-

.

Madrid. Appai'tient à

Tirana.

droite appuyée sur

hras gauche tmnhanl porte

Doua

costume marron, au côté Tépée sur laquelle il pose la main gauche à ses pieds, un petit chien hlancse dressant

l’aris.

représentée debout iindinée, en

main

L. 0,31.

Portrait du duc de Trastarnara

relle

est

;

est représenté âgé d'une

Portrait de l'actrice Maria del Uosario

0,30

nées, vêtu d'un

Telmo. Appartient à 218

222

Il

Toile. Figures de granileur naturelle. II.

11.

Madrid. Apiiartient à pagne.

y Bernai'd.

Groupe de

Figure en buste do grandeur natu-

Portrait du marquis de Tolosa.

relle.

Sureda.

de.

Toile. Figure en buste do

du comte de Teba

Poi'trait

.

Villa-

marches du porche de

est représenté la tète

II

1.20; L. 0,80.

II.

Cité par le cointc (.(.ssoriü

les

Madrid. Appartient au comte de Marina.

Sureda.

Figure à ini-corps do gi-andeur

Ajipiddient

comte de

San Felipe.

Toile.

Rendant du précédent.

.

L. 0,70.

Paquete, l'Oncle Ghilïon, était nn

lia

relle.

du précédent.

216

:

Apiiartient au

Portrait de Tio Paquete.

FJ

grandeur

Portrait de D" Tercsa Sureila.

Toile.

à ini-corps de grandeur 1.12

11,

aveugle connu de tout Madrid, qui se tenait

1.20; L. 0,80.

Il

Appaid.ient à

nalurelle.

])"

de linrlolome Sureila

Figure à ini-eorps

naturelle.

;

gonzalo

l'église

d'ordinaire sur

Toile.

.

Figure

Madi'id.

1,2'£.

Appartient

Socori'O

lit

Mercedes Fernandez, por Goija

las

naturelle.

220

I,8 :î

11.

main

la

on

grandeur natu-

Figure en pied do giundeur natu-

Tirana.

L. 0,40.

;

Carpio.

Madrid.

la

gauche un

marcjuiÿe de la Solana. coadesae dcl

relle.

actrice Mar'ia del liosario

re[irésentée

Porlrail de 70 Uita de liarrencchca.

Toile.

est

Madrid. Ap|iarlieid, à D. F. Silvela.

215

grandeur natu-

]iiod ilo

L. 1,40.

;

Fernandez, dite

Maria de

Toile. Figure en buste de relle.

214

2,10

.

Gravé (lar Navarrete. Madrid. Académie de San Fernando.

iiiaiTon à large col el à

213

Figure en 11

Poiiraü de Manuel Silecla

c.st

Il

relle.

Maih'id. AjipiU'tiont à D. Aiidia's Arl.cta.

212

pieds chaussés de souliers à

les

hauts talons; .tond de verdure.

de Scsina

223

.

— Il

X.

Portrait de Mariano Luis de Grcquijo.

est

coil't'é

1),

rejirésenté tourné

d'une

perruque

il

la

droite;

la

mam

qu'il

tient

présente un papier de la

main

appuyée sur une cachée;

vers

]iondrée.

courte

épée


GATALO(;UE DE L’OEUVKE PEINT ET DESSINE \'èlu d'un habit vert,

droite.

croix de Charles

il

son mari et tenant un pinceau de

porte les

Saint-Jean

de

et

111

de

.

Madrid. Appartient au duc de Médina comte de Niehla, marquis de VUlafranca.

;

Si(.lonia,

228

Porlraü du général Uiratia.

.

habit ouvert, culotte et bottes de che-

ral,

une lorgnette de la main droite, sa canne et son chapeau de la main gauche; fond de paysage de montagnes avec une ville au dernier plan. val;

lient

il

Elle est représentée

un

225

La

de

Madrid. Appartient au duc de Médina comte de Niehla, marquis de VUlafranca. Sidonia,

marine

de

l'officier

.

lanueva. est représenté vêtu

Il

est représenté assis,

à

gauche,

tournée du coté opposé, en miirorjiie

la

têl(^

d'ofli-

marine; au bas du taldeaii, on lit Don Joseph de Vargas ano de 1801 Francier de

:

le

droite sur laquelle on

naturelle.

Bois. Figure

11.

relle.

.

La

famille de VUlafranca.

La marquise de Yillafranca sentée assise, en robe

tenant à

courtes, leiiuel

elle

amuse

la

230

elle

Toile.

.

est repré-

— H.

Villanueva por

en buste de grandeur natu-

0,93; L. 0,68.

Portrait de D‘ Catalinu Viola.

par

Cité

blanche à manches

Z.

Araujû

comte de

et le

la

Vinaza.

main un jouet avec

son jeune

lils

placé

chemise de gaze Iransparente; derrière sa femme, le mar(.piis (lehoul, eu uniforme de garde du corps.

devant

;

Gravé par Alogre. Madrid. Académie de San Fernando.

1,64; L. 0,82.

Madrid. Académie royale d’histoire.

226

lit

Gotja.

de grandeur

Figure à mi-corps

d'un habit Ideu,

devant une table sur laquelle il appuie bras, une feuille de papier dans la main

assis

cisco de Goija. Toile.

Portrait de l'architecte Juan de Vil-

et

écricain Josef de Varyas-Poncc 11

Figure en buste de grandeur natu-

Toile. relle.

;

Portrait

d'une masse de che-

tête est couverte

veux grisonnants.

229

.

une rose au

corsage et tenant un éventail à la main.

II. 2 m. L. 1,36. Gravé par Blas Anictller. Madrid. Musée du Prado. Ane. collection d'Osuna.

relle.

en robe gris perle,

fichu croisé sur la poitrine,

grandimr natu-

Toile. Figure en pied do

Portrait de la marquise douairière de

VUlafranca.

est représenté debout presque de face, cheveux poudrés, en uniforme de géné-

11

les

Figure en pied de grandeur natu-

Toile.

deur naturelle. H. 1,Ü8 L. 0,97. Peint en 1792. Madrid. Académie royale d'histoire.

224

main

relle.

Figure jusqu'aux genoux de gran-

la

droite

Jérusalem. Toile.

139

231

.

Portrait équestre

et velu (.l'une

Figuip en pied de grandeur natu-

de Arthur

Colley

Wellcsley, duc do Wellington. est

11

regardant à gauche, petit galop

représenté

monté sur un cheval lancé au allant de droite à gauche

;

il

porte la tuni-

relle.

Madrid. Appartient au duc de Aledina comte de Niehla. marquis de

Sidonia,

.

de couleur sombre déboutonnée,

sant voir un gilet plus clair

diie le

Portrait de la marquise de VUlafranca.

Elle est assise, en robe de gaze

penchée en avanl, exécutant

;

une ceinture écarlate a laquelle

Villat'raiica.

227

([iie

le

blanche,

portrait de

sabre

;

de la

main

chapeau à plumes à de

la

main de bride

tient les rênes.

[)eii

;

de

est sus[ien-

droite, [>rés

la

lais-

à la taille,

à

main

il

la

lient son

hauteur

gaia he,

il


CATAl>A<iUK DE L’UEUVUE PEINT ET DESSINÉ

140

Figure

Tiiilc.

rolle.

de graiulcur naUi-

éi|uesli'(^

table on

la

e,74; E- 2,12.

II.

lit

mayor trabajo te

mi amigo Zapater] con

:

hc hecho cl retralo

Peint en IS12. 'l’oilo.

Inachevé.

relle. SI l'atlilieldsayc

Ang'leteri’e.

est ,re[ii'ésenlé la

Il

retenu par

gauche

ses

sous

cacliée

veiTe

du torse

ample

collet, le gilet clair

de boutons, 'l’oison

laisse

voir

main

la

droite (lécou-

luni(jue

la

on

à

lit

239.

Bernardo

Yriarte,

240. la

lin

du

avait réuni une culleclion de peintres par eu.x-méiiies, parmi lesquels liguraicnt ceux de Murillu et de

— U

11.

Madrid. pagne.

1.13; L. 0,78.

Appartient à la

IJani|ue d'Es-

0,84; L. 0,57.

0,38

11.

.

est représenté

Il

Goya

le

en lévite gris

lit

11.

:

Voir

Saragosse. ,\ppartient à la famille Zapater.

236

.

— il

tle

Martin Zapater y Claveria.

est représenté les

cheveux poudrés, un

jabot de dentelles au cou, vêtu d'un habit vert,

la

tête

légèrement inclinée sur une

table recouverte de papiers; sur

un coin de

— Il

ou Paî trait

Tàge de sept ans envile

Figure en buste de grandeur II.

0,45

;

L. 0,80.

n“

(Peinture d'histoire

30

et

de

genre).

242.

0,80; L. 0,00.

de

V.

1).

lîurdeaux-Caudéran. Appartieid à M™' de Lac y.

Toile ovale. Figure en buste do grandeur

de

;

nalurello.

a su aiidyo Martin Zapater, 1707.

naturelle.

collectiun

il une collerette tuyautée au cou porte un liabit de velours bleu à riches boutons recouvrant un gilet de satin blanc.

sombre

bas du tableau, on

L. 0,30.

front,

Portrait de Martin Zapater y Cl ar cria.

boutonnée; dans

;

cheveux blonds tombant sur

'Tuile uvale.

235

Choramy.

Figure en buste do grandeur natu-

est représenté à

ron, les

grandeur nalu-

11.

Portrait d'enfant

est représenté la tête de face.

rello.

robe rouge, des-

Figure on buste de gi'andour natu-

Madrid. Ane. Cardercra. 241.

Portrait de Toro Zambrano.

Toile. Figure on buste de

Lola Zimenez.

D‘‘

Portrait d'an acteur.

relle.

rie

Raphaël Mengs.

'Tuile.

XVIII® siècle,

portraits

L. 0,58.

;

Paris. Appartieid à M.

de grandeur

à

Ü,7t

Portrait de

relle.

Paris. Appartient à M. G. G...

Don

11.

sinant.

1,08: L. 0,85.

11.

Antonia Zarale

ly‘

Figure en buste de grandeur natu-

Elle est représentée en

'Toile.

naturelle.

Il

Ailelaida Gil y

:

grandeur naturolle.

Figure à ini-cuiqis

L. 0,84.

:

Madrid. .-Appartient à D‘> Adelairla Gil y Zarate, viuda do .Albacete.

PorlraU de ïkrnardo Yriarte. 'Tuile.

234.

,0o

1

Portrait de

relle.

Madrid. Ane. cnlloction Ricardo Alova. 233.

.

Tuile.

Terror Gallorain Figui'e do

Il

238.

collier de la

le

un écriteau,

Sur

la

Anlonia Zarutc

/F"

Madrid. Appartient à Zaralo, viuda de Albacete.

orné d’une rangée

cravate et

la

d'tJr.

la

sur les

;

partie

plis,

hanche:

la

Portrait de

Figure on buste de grandeur naturelle.

— de face

tiH.c

épaules, un iiiaiilenu

appuyi'a* sur

.

Wcllcslcij

WcUiiiglon

iIlic (le

0,78; L. 0,00.

Saragosse. Apjjartioidàlafainillo Zapatei'

237

de Arthur Gollcij

l’o)'trail

Figure on buste de grandeur natuII.

llainpsldrc.

au duc do WeHinglun.

Apiiartii'iit

232.

-

et

Goya 1790.

Portrait

dl enfant

costume de hussard

est représenté en

de.

cosaque;

de bonnet gris,

la le

tête couverte d'une sorte

bras droit posé sur un

ro.dier sur lequel se trouve

une perdrix;

il

tient les jambes croisées, en train de rengainer un sabre recourbé; à scs pieds un

chien sur

le

collier

duquel on

lit

;

V'iclo-


GATALOGUE DE L’OEUVRE PEINT signé

riano Hcr...,

;

Ano 1806,

Goya.

F.

veux en broussaille joues;

les

fecit...

Toile. Figure en pied de relle.

1,21

11.

L.

;

U,

grandeur natu-

DESSINE

El’

à

la

Toile.

Gassel. Appartient à M. Kleinschinidt.

relle.

Ane. collection Cepero, de Séville.

de courts favoris sur

;

porte un vêlement à col raljatlu

il

mode

81.

141

vers 1815.

Figure en buste de grandeur natu11.

0,45

;

L, 0,32.

Biarritz. .Appartient à

M. Gb.

Clicrflls.

Douteux. Porlrail d'homme.

est représenté assis,

11

247.

243.

la tête

tournée de

un hahit noir à haut collet, un gilet blanc niontantet une cravate également blanche au cou; de la main droite, il tient une feuille de papier avec une inscription. trois quarts portant

Toile.

— H.

1 in.

;

L.

velu d'un costume sombre à la siècle

et

d'énormes

porte

moustaches. Figure do grandeur naturelle. .\nc. collection

Cepero, de Séville.

Douteux.

248.

Ü./.o.

est

11

mode du xviU

Figure à mi-corps de granileur

naturelle.

Portrait d'homme.

Peint vers 1815.

Portrait

d'homme

Valence. Appartient à D. José Toran.

Castres. Musée.

Ane. collection Briguiboul.

249.

244.

Porlraii d'homme.

Il

un

est représenté assis ilans

11

fauteuil,

la tête de trois quarts tournée vers la droite, les

clieveux poudrés et avec

comme cravate de d’un jabot;

il

queue

;

au

fleurs

de broderies

de

lis

,

il

laquelle

sont figurés des

0,56

teiiaiil a

Figure en buste petite nature,

Toile. II.

;

L. 0,38.

Bilbao. Appartient à E. Enrique Salazar.

de

tient

des deu.K mains une feuille de pa[iier sur

de petits favoris courts

une large cravate blanche au cou; la main un livre relié en rouge.

porte un habit et un gilet à

palmettes et de

est représenté

sur les joues, vêtu d'une redingote brime,

mousseline accompagnée

française agrémentés

la

la

Portrait d'homme.

250.

dessins d'orne-

Portrait d'homme. Paris. Ane. collection

Candamo.

mentation. Toile.

Figure

naturelle.

11.

à mi-corps de

Madrid. Appartient à D. Alarcon.

245.

— 11

grandeur

251

.

Portrait de vieillard.

1,00; L. 0,80 11

Manuel Soler y

est représenté presque de face avec

une

longue barbe presiiue blanche. Toile.

Portrait d'homme.

Figure petite nature.

II.

0,42;

L. 0,31.

Peint entre 1824 et 1828 à Bordeaux.

est représenté presque de face, en vête-

ments noirs des pi’emières années du

Aranguez. Ane. collection do D. Sébastian de Borbon y Braganza.

siècle

dernier. Toile. Figure en buste de relle.

IL 0,60

;

grandeur natu-

L. 0,5-1.

Aranguez. Ane. collection de I). SébasBorbon y Braganza. Douteux. Pj'obablcment de Asensio .lulia.

tian de

252.

Portrait de vieillard.

Dans on

lit

;

l’angle inférieur de droite i'''“

Toile.

246.

— 11

Portrait d'homme.

est reiirésenté presque de face, les che-

du tableau

Goya. Figure de grandeur nalurollo.

IL 0..59; L. 0,49.

Madrid. Aiqjarlieut Galdeano.

à

D.

Josc

Lazare


CATALUGUI': DK L’OEUVRE PEINT ET DESSINE

142

253.

Portrait de petite

Elle

en

repi'ésenlée

est

robe

relle.

;

L. 0,Ui.

Appartient à

Portrait de petite

Elle

est représentée

six

de

Patricio

I).

Toile. Figure jusqu'aux genoux de grandeur naturelle.

254.

deux mains sur les genoux, tenant une un haut l)onnel blanc garni de rubans dont s’échappe une ample chevelure noire. A longtenqis passé pour le portrait de Charlotte Corday.

rose; elle porte

inachevé.

Madrid. Loüanu.

lille.

Gravée par llédouin. Paris. Appartient à la succession do la baronne Nathaniel do llotlischild. Ane. collections Vista Alegre et du car-

ou

l’âge de cinq

à

ans vêtue en paj’sanne avec une casaque et un jupon court rouge; tond de

Idanche

dinal

paysage. Figure de grandeur naturelle.

Toile.

259.

1,10: L. 0,83.

11.

Madrid. Aiq;>artient au marquis de Casa

Indes.

i.les

Portrait de jeune

relle.

11.

Elle est représentée

jillc.

Tàgc de cinq ans

à

260.

la tête une couronne de

Portrait de femme.

la tête

sorte de l)unnet de tulle et une

mains, dont

de jasmins,

et

sur

droits

une robe décolletée

;i

rbeveiix

les

iront,

le

boucles sur les (iqundes et

blonds

tombant en

raies roses et blancbes

11.

0,45

Vente Kums. Anvers,

;

L. 0.38.

261.

d'tnsloire

et

de

genre).

fille.

0.52

11.

est

représeid.éc

coitlée

bonnet en compagnie d'un

d’un

M""=

de

262.

Voir

n'J

30

(Peinlui’e

d'histoire

et

de

;

la

vêtue de

main gauche;

on

))ied i[uart

nature.

Portrait de

du Louvre.

femme

Portrait de jeune plie.

Figiu’o en

0,40

;

liru.xelles.

263.

buste do grandeur naturelle. L. 0,32.

Musée royal de peinture

scuhdure Ane. collection A. Stevens.

II.

1,40

Paris. Aiq)artient

l'ace.

et

de

un

jar-

Figure à mi-corps de grandeur

Toile.

Elle est vue de

L. 0,34.

naturelle.

II.

l'r.

din.

genre).

20,000

Elle est représentée debout dans

Lacy.

un éventail de

Paris. iMusée

petit

petit chien.

bordeaux-Caudéran. Aiqiarlient à

257.

tond de paysage.

Portrait de petite

Elle

1808

debout,

représentée

est

noir, tenant

Toile. Figure

L. 0,84.

Portrait de femme.

Elle (Peinture

u“ 3U

;

Musée du Louvre.

Paris.

IJürdeau.x-Gauiléran. Appaiiienl. à M'"“ do

Lac y. Voir

deur naturelle. II. 1,08 Gravé par Lavalloy.

Toile ovale. Figure en buste de grandeur

genoux.

les

Figure jusi|u'aux genoux de gran-

Toile.

a la taille.

nalui’idte.

les

gauche tient un éventail,

la

dessus du coude, ramenées sur

dos; elle [lorte

le

de trois ipiarts, en robe décolletée,

recouvertes de gants (lairs moidant au-

garnie de dentelles, avec une ceinture noire

256.

L. 0,84.

;

Elle est représentée assise sur une chaise,

environ, vue de trois (luarts, sur

roses

1,17

Paris. Appartient à M. G. G...

Portrait de petite

coupés

fille.

Figure en buste de grandeur natu-

Toile.

Torres.

255.

fille.

les

en buste de grandeur natu-

U, 21

11.

Portrait de jeune

Elle est représentée de trois (juarts, assise,

blanche

ornée de inniuls biens. Toile. Figure

258.

lillc.

— Portrait

;

L. 0,00.

àM.

G. G...

de femme.

un ca-

est

représentée assise

sur

Toile.

Figure à mi-corps

de grandeur

Elle

napé. naturelle.

II.

1,02

;

L. 0,00.


CATALOGUE DR L’ŒUVP.R PEINT ET DESSINÉ Paris. ApparlicnL à M. G, G... Ane. collection Paul 'le Saint-Victor. Vente. Paris, 1883. - -l.lOü IVancs.

représentée la tète iTiinc mantille blanche. Toile. Figure on l)uste

— H.

1

rn.

recouverte

gi'andeur natu-

ilo

L. Ü.GO.

;

de femme.

est représentée nu-léte,

Anciennonient au palais de San Tehno. A])partient à la comtesse do Paris.

les

que de dos

;

main

ramenée sur

droite

en rohe dé-

tournée de trois quarts, les

ti'de

cheveux tomhant sur

Elle est

relle.

Elle

colletée, la

— Portrait de femme.

264.

— Portrait

270.

143

elle

épaules vues pres-

un éventail de

tient

la.

la.

poitrine et porte

une robe grise ornée de dentelles blanches, éiiaule nue.

Séville.

Toile. Figure en buste de

— Portrait de femme.

265.

robe

blanche décolletée, rubans noirs. Figure à

naturelle.

vêtue d'une

agrémentée

II.

U. I.12; L. 0,79.

0.7.J

;

— Portrait de femme.

271.

à

Aureliano

I).

Elle est représentée à mi-corps, assise, le

visage encadré dans une mantille

grandeur natu-

épaules les

une écharpe une bande de tapis-

;

mains

la partie

et

infé-

rieure du buste.

rez Martin.

Figure

Bois.

à

mi-corps.

0,13

II.

;

L. 0,10.

représentée

est

les

couvre

serie

L. 0,53.

— Portrait de femme. Elle

hlanche, la poitrine

coiffe

cachée par un fichu blanc;

rouge sur

Madrid. Appartient àD. .loaquin Gutier-

267.

noire,

de

recouvrant une

Toile. Figure en buste de

grandeur natu-

L. ü,-i3.

;

de

— Portrait de femme. relle.

0,38

Douteux.

de grandeur

ini-cnr|is

Madi’id. Appartient Beruete.

266.

11.

Paris. Ap]iartient à M. IL Rouart.

Elle est représentée assise,

Toile.

relle.

de face,

Ane.

en robe

collection

Wilson.

Vente,

l’aris,

1881.

décolletée, la tête, les épaules et la poitrine

recouvertes d'une mantille noire. Toile.

Figure en

naturelle.

II.

buste

de

272.

grandeur

Portrait de jeune femme.

touffe

une tom-

est représentée de trois quarts,

Elle

1,12; L. 0.79.

Paris. Appartient à M. Dannat.

lie

cheveux châtains

frisés lui

hant sur l’arcade sourcilière droite, vêtue 268. Portrait de femme.

d'une toilette de satin noir,

costume de maja, la tête couverte d'une mantille, les jambes légèrement croisées, une iianloulle à l'un Elle est représentée en

ses pieds à moitié défaite.

lie

Figure

Toile.

en

do

pied

grandeur

colleté

;

sur la tète,

le

corsage dé-

é]taules et

les

poi-

la

une mantille de dentelles blanche dont elle retient les pans à la ceinture de la main droite; les deux mains gantées de gants gris perle montant au-dessus du coude (iot/a. signé à gauche trine,

;

naturelle.

:

Gijon. Ajipartient à D. .lose Maria Gien-

Toile. Figure jusqu'aux genoux de granL. 0.75. deur naturelle. II. I.Oo Ane. collection lluliert Debrousse.

t'uegos.

269.

Portrait de femme.

Elle est représentée la tête de trois quarts, les

sur

cheveux Inains coupés à le

front, de lourds

la

chien tomliant

pendants aux

oreilles,

vêtue d'une rohe de gaze. et Icpoidrait

7,500 francs.

— Portrait de femme.

273.

de

trois ipiarts.

en

au

costume de maja, mi-tête, de longs cheelle veux noirs tomhant sur les f'paules

Figure en buste do grandeur natu-

vêtue d'une rohe à ravures criai'des, à jupe courte laissant voir ses bas blancs;

être pi'imiti veinent, sinon on pied, tout

;

à mi-coiqis.

'l’oilo.

relle.

Elle est représentée

Le tableau a dû être coupe

moins

Vente, Paris, 1900.

;

II.

0,GO

;

L. 0,19.

Paris. Aiipai’tionl à M.

11.

Rouart.

est

aux pieds, des souliers noirs; sur

les é[iaiiles.


CATALOGUE DE un

cliàlo (le

manille

un granil chapeau

à

L’

OEUVRE PEINT ET DESSINE

franges; à la main,

Figure à mi-corps do

Toile.

nalurello.

gris.

Paris. Apjiarticnt à

Figure en

Toile.

lùoil

do grandeur nalu-

Ane.

rcllc.

18G8,

grandeur

IL 0,80; L. 0,57.

collection

M.

G. G...

Cepero.

Vente

Paris,

,020 francs.

1

Ifordeau'c-Caudéran. Apparl.ient à M'"‘ de

Lac y. Voir

30

(Peinture d'idsloire

et

de

275.

g-i'ure).

274.

Portrait de femme.

Elle est représentée coiffée cl poudrée, en

coslume

rose.

Portrait de femme.

Elle

est.

représentée

assise,

les

chien havanais sur

nus, un pelil

les

Toile. Figui'o on buste do

bras

relle.

ge-

il' 0.-49

Appartient

iMadrid.

Vega

noux.

grandeur natu-

L. 0,37.

;

au nian|uis

de la

Inclan.

Cartons de tapisserie Ces carions qui sont de vérilahles laEleaux peints sur

toile,

après être restés de

lougties années roulés dans les greniers de la manufacture de Santa-Barbara

an musée du Prado, à Madrid, on

été transportés

1

.

Le

et devisent avec,

une marchande d’oranges sur Manzanarcs à l'ombre d'arbres H. 2.72

;

les

auberge. IL 2,75

bords du

touffus.

1

777.

exemplaires de la tenture ti'ouvcnt au palais de l’Escurial.

L. 2,95.

oxemplairci do la tenture se trouve au palais du Pardo, un second a été donni'' par la reine Isatadle au roi Léoiiold !“' do liclgiijuo.

4.

se

La promenade

Divers couples se promènent et devisent

dans un paysage

premier plan un

Imisé

homme

d'Andalousie cjiibossé

au

;

dans sa

cape est assis sur un tertre.

Le bal champêtre. IL 2.75

Des majosetdcs inajas dansent, chantent et joucnl do la guitare sur les bords du

Manzanares auprès d'un grand soit

L. 4,14.

Deux

Peint en 1706.

:

Peint en

Un

2.

ont

,

figurent aujourd’hui.

querellent et se battent dans la cour d’une

çjoûter.

Cinq jeunes gens gofdent

ils

arlu'e

IL 2,72

;

Deux

L. 1,90. 1

777.

exenq)laires

trouvent au palais

lanl

peu dénudé.

:

Peint en

5.

de

la

tenture

assis boit à la régalade,

Peint en 1777.

dis qu'un jeune garçon, à ses côtés,

Un

des raviolcs.

excnqdaii’c de la tenture se trouve au Pardo. un second au palais de rEscurial, un troisième a été donné jiar la reine Isabelle au roi Léoi)old P'', de Ilol-

se

l'Escurial.

Le buveur.

Un homme

L. 2.95.

di.'

tan-

mange

palais du

IL 1,07; L. 1.51.

Point en 1777.

Un exemplaire delà tenture

gique.

se trouve

au

palais du Pardo, 3.

La

rixe.

Des charretiers et des gens du jieuple se

6.

Le parasol.

Un jeune homme debout

abrite avec une


CATALOGUE DE L’ŒUVRE une jeune feinuie assise sur un dans la campagne.

oinlu’elle,

tertre,

Peint en 1777. 7.

12.

d'aidres

les

regardent

2,09

cxemplaii’O de la tenture se

au palais du Pardo, un second au

trouve jialais

Un exemplaire

jouent aux

2,70

;

L.

divers per-

arbre,

tandis

cartes,

1,75.

14.

e.xeinplaire de la

se trouve

Enfants cueillant des fruits

fruits à II.

un

fait

la

courte

échelle à

permettre de cueillir

lui

arlu'c

1,19; L.

;

Le militaire

au palais de 11.

un des

15.

de fruits en II.

(V azeroles

vent.

[deiii

2,59

;

L.

1

Un exemplaire de

tenture

sc

palais

trouve

l’Escurial.

m.

de la tenture se trouve au

du Pardo.

Enfants jouant

aii-v

soldais.

la guitare.

dont deux en vêtements militaires jouent aux soldats dans un jardin. enfants,

II.

1,46

;

L. 0,94.

Peint en 1778.

L. 3,11.

Un exemplaire do

Peint en 1778.

palais

la tenUu'c so

trouve au

du Pardo.

leproduit ce inèinc sujet à l'eau

forte.

Un

m.

1

Peint en 1778.

Dans une plaine, aiqu'és il'im grand arbre, un aveugle joue de la guitare au milieu d’un groupe de iiersonnages (jui l’écoutent.

(.lova a

mili-

femmes

exenqilaire de la tenture sc trouve au

La marche

Des

;

d’autres

Une jeune femme avec un panier d’azeroles au bras, jiasse au milieu d'im groupe d'hommes; au second plan, une boutique

16.

2,60

2,59; L.

Un

1,22.

Aveugle jouant de

11.

jeune femme

Peint en 1778.

d’autres les regardent.

exeniplaij'e

et la

salue de l’éventail

Peint en 1777.

Un

soldats.

palais de l'Escurial.

Un exemplaire de la tenture au palais de l'Escurial.

second pour

montés des

L. 2,20.

2, .59;

II.

1,10; L. 1,22.

Un enfant

vaisselle.

(lu’elle aperçoit.

Peint en 1777.

Le marchand de

taire

Dans un paysage ombreux, deux enfants gonllcntune vessie, un troisième les regarde.

10.

trouve

tenture se

Une jeune femme accompagnée d’un

tenture se trouve

Enfants jouant avec une vessie

II.

do la

de l’Escurial.

au palais du Pardo.

de

Un exemplaire de la tenture se trouve au palais du Pardo, un second au [lalais

que

Point en 1777.

Un

foire

Peint en 1778.

d'fudres les regardent. II.

la

premier plan, un déballage de faïences en plein vent, avec divers personnages; au second plan, un carrosse sur les roues de

cartes

(le

A Tomlire d'un grand sonnages

9.

11.

Les joueurs

arrêtés devant à

au palais du Pardo.

derrière duquel sont

de l'Lscurial.

mt

.\u

Peint en 1777.

Un

s

fripier,

Peint en 1778.

13.

L. 2,8.5.

;

de

plus

;

loin sont assis divers personnages 11.

Madrid.

2,58; L. 2,18.

II.

à l'omlu'e d'un

grand arbre, des jeunes gens lancent un

8.

boutique

Le cerf-volant

;

foire de

145

Madrid.

Sur une légère éminence, cerl'-volant

La

Divers jiersonnages

une

1,02; L. 1,52.

Il,

l'ElNTJET DESSINE

17.

do au palais du Pardo. exeniplaij’e

la

L^es

pe lits charretiers.

tenture so trouve

Deux enfants

jpiuent

avec,

un chariot, 19


1

CATALOr.m- DE L’ŒIIVUE l'EINT ET DESSINÉ

iO

d'aiUres iVaiipent

(lu taiiilioiir et

iÂh:

II.

L.

sonnenl de

gueule d'un chien

;

au second plan, d'aulres

personnages.

do })aysago.

la li'oiiiiicUc; l'ond

0,00.

II.

2,49

Ne

se Irouve jras

Peint ou 1778.

au niusco du Prado on 1800. Un oxoin]dairo de la tenture sc l.rouve au palais du Pardo.

L. 0,80.

;

au musée du Prado.

Did'ulié

23.

Lafonlaiue.

Aipirès d'une fontaine, est arrêté un groupe 18.

de plusieurs personnages, dont l'un buvant.

Lu partie de paume. jicrsonnages jouent

Divei'.s

d'un

auprè's

\ieux ehiUeau

appuyés

regardent

à

la

d'autres

;

2.49

II.

paume

Ne

L. 0,80.

;

se Irom-e

pas au musée du Prado.

l('s

sur dos murailles en 24.

Les gardes du tabac.

ruine.

Sur 2,01

II.

L.

;

arbre,

Peint en 1770.

Un oxenpilaire do la tenture sc timive au palais do PEscurial. 19.

II.

escarpolette

25.

H. 2.00

;

U.

779.

Un

^

I.G5.

II.

les

26.

lavent

d'autres [icndent la

étendues entre II.

2.18

(les

L.

:

du linge, tandis

la

L. 6,40.

la

tenture se trouve au

lessive sur

Ij'cnfant à l'oiseau

Un

enfant, au pied d'un

des cordes

II.

2.62

;

Point en

arbre,

tient

un

L, 6,40. 1

779.

Un exemplaire delà

1,00.

]ialais

27

.

tenture so trouve au

de PEscurial.

Les bûcherons.

Des tbicbcrons ébranebent un gros arbre. le/

course de Novillos. II.

2 50

;

Point en

L. 1

28.

1.40.

se trou-

chic'ii.

campagne sont assis deux jeunes dont Tun enlève une pelote de la

Dans

la

1,14.

Le chanteur.

joueur

(le

II.

Le

L.

Deux liomines

779.

Deux exemplaires de la tenture vent au palais de l'Escarial.

;

Un exemplaire de la tenture se trouve au palais de PEscurial.

muraille. II.

1,41

Peint en 1779.

;

gens,

:

arbres.

De jeunes toreros harcèlent un jeune lanreau dans une arene de village an second plan, des spectateui's derrière une

suspend à

oiseau dans ses mains.

(jue

Peint en 1779. Un cxemplaii’O de la tniture so l.rouve au ]ialais de l'FjSeurial.

se

palais de PEscurial.

bords ombragés d'un cours d'eau,

femmes

l)leii

en 1779.

Un exemplaire de

du Pardo.

Les laveuses.

Sur

2,62

Peiid,

exeinplair(( de la tenture se trouve au

jialais

L'enfant à l'arbre.

branche d'un arbre.

Peint en 1779.

22

L. 1,37. 1

Un enfant vêtu de

;

21.

;

exemplaire de la tenture so trouve au palais du Pardo, un second à PEscurial.

Dans un ](aysage verdoyant, une jeune une escarpolette (jue l'ait marcher un jeune garçon d'aulres personnages contemplent la scène.

dos

2,62

Peint en lin

l'ernme se halance sur

20.

bords du Manzanares, au pied d'un un groupe de gardes armés est arrête.

les

-i,70.

et

une femme écoutent un

guitare assis sur une éminence.

1,30

;

L.

1,13.

Peint on 1779.

Dérobé au musée du Prado en 1869. Un exemplaire do la tenture se trouve au palais de PEscurial.


CATALAGUE DE L’ŒUVRE DEIAT ET DESSINÉ 29.

— l

Le rendez-vous.

femme

ne

est

éminence

légère

;

34.

assise

[)ensive

sur une

m.

1

l’oint

Un

L.

;

au second et au troisième

30.

H. 2.78

i..yi.

en 1779. tenture se trouve

la

île

Le médecin.

35

.

Un

exeini)laire de

36.

1869.

tenture so trouve

la

au nionastére royal

Lorenzo.

.San

(le

nouillée offre des Heurs à une Jeune

II.

Peint en 1786.

Un

(le

Le batteurs de

vent et se d'ivr(.igues

donnant

à

et

manger

un enfant

à

la

croupe

;

à droite

et

un autre

couché des enfants jouant, ;

33.

etc.

.\ssis

teindre;

II.

la

tenture se

trouve

Peint en

Un

homme

tiennent une

la

tête.

la fontaine.

femmes acconqiagnées d'un enfant

II.

2.62

;

786.

'l’Escurial.

39.

L, 1,60.

tenture se trouve

la

tenture se trouve

Le jeu des nains.

Cinq enfants montés

les

uns sur

jouent au jeu des nains à grosse 11.

1,37

;

Peint eu

1,91).

e.veniplaire de la

au palais de

Les femmes à

Un exemplaire de au palais du Pardo.

de -raisins sur

I

L. 3,46.

Peint en 1787.

en arrière, une servante portant

2.75; L.

;

vont remplir leurs cruches à une fontaine. de

l'Escurial.

un jeune

coi'beille

Trois

grapiie de raisin c[u'un enfani essaie d’at-

une

38.

sur un bout de muraille, une jeune et

2,67

tlelgiipie.

Les vendanges.

femme

le lit

Un exemplaire de la tenture se trouve au palais du Pardo, un second a été donné par la reine Isabelle au roi Léopobl [“' de

G. il.

e.veniplaire di.‘

La noce.

11.

;

au palais

trouve

se

Peint en 1787.

(les

Peint en 1786.

Un

la tenture

geoise que précède un guitariste.

;

2,75; L,

L. 2.93.

d'une rivière à sec, s'avance une noce villa-

moissonneurs boireposent à gauche (ui groupe un peu plus loin, une femme

clieval blanc

blé.

un cheval [irésentaut

II.

au

l'Escurial.

Dos faucheurs

;

Aiqtrès de l'arche d'un pont, dans

e.vonqilairc de la tenture se trouve

palais

2,75

Un exemplaire de au palais du Pardo. 37.

L. 1,92.

;

neige.

Peint en 1786,

femme

qu'accompagnent un enfantet d’autres per2,77

La

Une troupe de gens suivie d’un mulet s'avance dans un chemin balayé par une

sonnages. II.

campagne, une boui[ueIière age-

la

de la tenture se trouve

rafale de neige.

La bouquetière.

Dans

1,1.0.

Un exemplaire

Point en 1779.

32.

2,77; L.

au palais du Pardo.

L. 1,56.

;

Dérobé au inuséo du Prado en

deux enfants remplis-

et

Peint en 1787.

nages. 0,97

tenture so trouve,

sent une cruche à une fontaine.

au second plan, divers autres person-

11.

la

Les pauvres.

Une pauvresse II.

31.

L. l.lo.

;

Un exemplaire de au palais du Pardo.

l’ardo.

Dans un jardin, devant un brasero est assis un médecin le cliapeau sur la tète, la canne à la main et la mante sur les épaules;

blessé.

Peint en 1786.

e.vcmplaire

au palais du

Le maçon

Deux hommes portent un ouvrier blessé (jui vient de tomber d'un édifice que l'on voit en construction au second plan.

plans, divers personnages; fond de paysage. II.

147

les

autres

tète.

L. 1,(14. 1

788.

Dérobé au musée du Piado en 1869. Un oxenqdaire de la tentui'c se trouve au [lalais de l'Escurial.


CATALOGUE DE L’ŒUVUE PEINT ET DESSINÉ

148

40.

La balançoire.

43.

Deux enrants Jouent

à la l)alaueoire

H. 1.41

au dernier plan.

se trouvent

Dérobé au muséo du Prado en

au palais de

41

.

1860.

de la tordure se

trouve

44.

l'Eseurial.

;

L. 1,11.

Le jeu de

poule aveugle.

la

Ouatre jeunes femmes

et

quatre jeunes

du Mauzanares dansent en rond un troisième gaia.-on se trouve au milieu du cercle, les yeux bandés. gens sur

un arbre pour

Un exemplaire do la tenture se trouve au palais de l'Eseurial.

Peint en 1788. e.xeinplaire

à

Peint en 1791

H. 0.80; L. 2,07.

Un

Enfants grimpant à un arbre.

cueillir des fruits.

qu'un troisième pleure et que d'autres

(laul

Deux eufanls montent

pen-

JjCS cchasscs.

les liords

;

Deux lioimues joident sur des éclinssesau son de la iiiuselte pendant (|ue d'autres les

II.

Il,

Un

au

on 1788.

exemplaire, de la tenture se trouve

45.

au palais du Pardo.

42

.

nes

les

L. 3,53.

sage

bords du Mauzanares <piatre jeu-

filles l'ont

la

tenture se trouve

du Pardo.

jialais

L'enfant au mouton.

Un enfant coiffé d'un chapeau blanc clievaurhe monté sur un mouton; fond de pay-

Le mannequin.

Sur

;

Un exemplaire de

2,68; L. 3,20.

Peiid.

3,41

Peint en 1791.

contemplent.

sauler un

.

11.

1,27; L. 1,12.

Peiid en 1791.

mannequin sur un

Ce carton no ligure pas au musée du Prado.

dra[i. 11.

2,67

;

L.

Point ou 179

1

,60.

Madrid. Appartient à D. Gabino Stuyk.

1

Un oxeiiqdaire do au palais du Pardo.

la

tenture se

trouve

46.

Le chasseur 11.

Ü.35

;

et ses chiens.

L. 0,75.

Peintures de l’Alameda d’Osiina. Ces peintures ont été enlevées de IM/auiec/rt d’Osuna

il

y a

quelques années pour

être vendues. Elles sont aujourd hui dispersées.

1.

Taureaux au pacage.

Dans un vaste gardés

[lar

11.

3.

;

nuit de cocagne.

montant

L. 2,00.

II.

mât

à un

de cocagne.

1,69; L. 0.89.

Peint en

Peint en 1787. 2.

Le

Divers speclateurs regardent des enfants

enclos, des taureaux sont

des picadores à cheval.

1,60

1

787.

Madrid. Aj(partient au duc de .Montellano. L'escarpolcUe.

Une jeune femme halaneoire

(pie

est

assise

pousse un jeune

sur

une

homme

;

d'autres personnages regardent la scène. II.

1,69; L. 0.89.

4.

L'accident.

Une jeune femme (ju'accompagnent d'autres dames et des cavaliers vient de tomber d'un

;'ine.

PeinI en 1787.

II.

Madrid. Apjiartient au duc do Montel-

Peint en 1787.

lano.'

1,69

;

L. 0,89.

Madrid. Appartient au duc de Montellano.


CATALOGUE DE L’ŒUVRE PEINT ET DESSINE 5.

Brigands arrêtant une voiture.

12.

Des brigands arrêtenl une voilure pleine de voj'ageurs au milieu d'un bois. II.

1,69; L. 1,27.

autre ouvrier blessé

13.

;

civière

un

en avant, un chariot

Appartient

L'ermitage de San Isidro.

à

la

mar([iiiso

do

assis

un

sur

tertre,

boivent et devisent à

porte de l'ermi-

la

tage.

procession.

Une procession

H. 0.42

sort

de la porte

15.

1,60; L. 1,35.

Peint en 1787.

;

L. 0,40.

Madrid. Ajqiartient à D. Pedro Fernandez Duran.

d'une

église. II.

Divers personnages

Villainajor. IjU

0,42; L. 0,40.

11.

14.

1,60; L. 1.35.

Le bal champêtre.

cartons de tapisserie.

Peint en 1787.

30 des car-

.Même sujet que Le bal champêtre, n° 2 des

bœufs; au fond, une église en construction.

.

n'^

à Paris en 1866 après avoir appartenu au peintre I). Angel Tadei.

chargé d’une grosse pierre et traîné par des

7

neige,

0.32; L. 0,34.

II.

Construction d'une église.

Madrid.

La

A passé en vente

Deux ouvriers portent sur une

II.

sujet que

tons de tapisserie.

Madrid. Api)arüent au duc de Montellano.

L'hiver.

Même

Peint en 1787.

6.

149

Caprice.

Un Iionime genoux et [)antelant contemple des démons entièrement noirs, auà.

Jladrid.

A[)parlieiit

à

la

inar([uise

de

Villainajor.

8.

rorneria de

San

Isidro.

Sur un tertre, divers personnages assisà l'occasion de la fête prairie de divei's

San

Isidro.

monuments

du saint, dans Le Manzanares

la

11.

16.

de Madrid se distinguent

17.

Le printemps.

carions de tapisserie.

nue

6,32; L. 0,22.

0,34

;

n'^

32

b. 0,74.

Madrid, .\pparticut à D. Ilicardo Trauluann. 11.

la lune.

dont ([ui

l'im

à,

tête

trois [)ersonnagcs

viennent

de chien,

une horrible sorcière également prépare un pbiltre

;

un

Irouc noir

s’échajipc par la clieminée.

des carions de tapisserie, II.

de

Caprice.

11.

sujet que Les batteurs de blé,

au

0,52; L, 0,30.

consulter

L'été.

Même

feuillage Irène

Dans un sombre taudis,

.Même sujet que La bouquetière, lU 31 des

Conciliabule de sorcières.

II.

nus,

10.

des

voltigent

0.42; L. 0,30.

la clarté

Peint en 1788.

II.

des(p.iels

milieu de sorcières et d'oiseaux de nuit à

0,44; L. 0,94.

Madrid. .Musée du Prado.

tète

Un bouc couronné de

et

au dernier plan. II.

la

chats-huants.

tent aux divertissements de la foule réunie

9.

de

dessus

La

18.

0,42; L. 0,30.

Caprice.

Un homme la tète et les fqtaules couvertes d'un manteau s'avance à grands [)as sur le sommet d'une montagne derrière droite, un autre homme endormi, lui, ;

;'i

L'automne.

.Même

.sujet (jue

Les vendanges, n° 33 des

cartons de tapisseiâe. II

0,32

:

L, 0,22.

à gauche, un âne attaché à des broussailles. En haut un groiqie de [lorsonuages fantastiipies. 11.

0.42

;

L.

0,30.


CATAl.CMiUK

n;o

19.

I>on .hiüit cl

Dnii

vèhi

.liiiiii

dans

apei'(;oil

Eoniinandeu

.

(le

second

au

CoinnunuJctu'.

Londres. Naltonal

(iallory.

i'.

22.

Le goùler.

Lc.-i

jiitaeroi.

sujet

assis devisent entre cu.v

Les iJancrca,

(jiie

n'^

3a

11.

0.32

L. 0,1

;

0,40

11.

L. 0,20.

;

Londres. National Gallery. 1.

23.

un jeune lionnne

;

endormi.

s'est

des

cartons de la[dsserie.

.

des

Des jeunes gens cl des jeunes feniines

iMt^'ine

21

dans

Anes

trois

0,42; L. 0,30.

11.

slalue du

la

plan,

nuages.

noir, a.ssis à une laide

llaiiiincs,

lIcs

L'ŒUVIiK PEINT ET DESSINE

0,'i2; L. 0,30.

11.

20

le

DI']

Le maçon

blesaé.

El llcchizudo por Fucizu.

L

maçon

iM('ine sujet (]ue.L6'

emiurcclc de force.

blessé, iD

34 des

cartons de tajdsseric.

Un

iiersonnage en cosluine depiaHre inel

0.32

II.

de riiuile dans une laui|io

iiue

dialde

le

Süus la rornie d'un bouc lient à

la

main

L. 0,14.

;

A[(partient à D. Pedro Fernan-

IMadi'id.

dez Duran.

;

Peintures de la Casa de Goya. (|uatorze peinlures ont

Ce.s

détacher des oll'rir

1.

la

(!(;*

Eéunion de vieilles

diahb' sous

femme 11.

1.40

secoiul plan

2.

la

(le

;

conifiosition, sur un

l'aidre, le

premier

second un cbàteau-fort

ai.i

en

soldats,

II.

(laiivre (pn

divers }(ersonnages cir-

6

.

au

bas,

sembleid vouloir

Isidro.

gens entoure un

guitare

la

sur une éminence inexjiugnable sur

L. 4,38.

Un groupe joue de

haut de

s’appujunt l'un sur

l'idr,

une

le

montrant,

La liomeria de San

fait

d'orage, deux [lersonnages volent dans

des

a

les

Caprice.

Dans ciel

bouc recouvert

assise.

;

accroujdes adoi'ent

Au

ejui

transporter sur toile pour les

et

tigurent aujourd hui. 5.

l'or.ine d'iiu

d'une robe de moine.

jeune

oii elles

sorcières.

l'ennnes la

baron Erlanger

achet(ées par le

quinla du peintre

au musée du Prado à Madrid

De le

de

innraillics

tirer des

l)àti

le(piel

premier plan,

coups de

fusil.

1.23; L. 2.00.

Les /‘arques.

cident MU second plan.

nuage

Assises sur un 11.

3.

l.iO

;

L. 4,38.

de

Combal de

la cijne

paysag(‘

4.

1,23

;

7.

L. 2,06.

La procession. relig'ieux suivis

1,23; L. 2,00.

a

rnoja.

voulu voir

d'Albe,

d'une foule de

ln.léles

dénient dans un paysage montagneux. 11.

La

Une jeune femme, debout dans (.(U

Des

1,23; L. 2,00.

montagneux, des pâtres

galliciens se battent à coups de gciurdin. 11.

au-dessus

conseil.

bergers.

II.

Dans un

(jui [lasse

des arbres, les Paiapies tiennent

tient

la

tête

prés

le

portrait de

couverte d'une

d'un

tertre

grille. 11.

1,47

;

L. 1,32.

la

laquelle

duchesse

mantille se

surmonté

d'une


GAÏALOCUF. DE L’ŒUVRE PEINT ET DESSINE

8.

Saltimc dévorant un de

Un

clans ses

mains nn enfant

Les nouvelles.

hommes

Des

dévore.

([ii'il

<les Ilots agités,

nn chien

13. II.

un

1,26

II.

Les

femmes en

gaieté.

vue d'un malheureux

1,40

L. 0,83.

;

14.

Deux vieux moines à

hlanche

Ijarlic

la

soulfre.

L. 0,66.

un

sorciers vus en buste préparent

pliiltre.

L. 0,66.

;

;

i[ui

Séance de magie.

Deux

s'a-

vancent, l'nn d'eux a[)piijé sur un hàton, 1.44

1.23

11.

Les deux moines.

11.

L. 0.66.

Des femmes sont mises en gaieté par

.Judith et IJolopherne.

;

1,34; L. 0,80.

Une l'eniine, nn couteau à la main, présente une tête d'homme aune vieille, vuedeprolil.

11.

lisant

lui.

lutte contre

courant.

homme

journal et vont sa précipiter sur II.

10.

femmes du peuple

Le chien.

Dans te

des

et

écoutent avec colère un

H. 1,40; L. 0,84. 9.

12.

ses enfants.

à longs rhevenx gris, tient

vioillai’cl

151

II.

0,33; L. 0,83.

Dessins. 1.

228

Suilc de

du bonnet <tu Saint (Iftice avec le un boiteux coiffé du bonnet San Renito; du Saiut-OiTice devant le tribunal de l'inquisilion; une femme coiffée du Ijonnet du Saint-I.Iflice devant le tribunal de l'Inquisition; nn homme .à genoux devant

dessins.

coiffée

Ces dessins, accompagnés pour lai>lupart de légendes de

la

main du

peintre, représen-

tent des scènes rantasti(pies, des allégories,

des sujets do genre, des caprices. Les i)rinci-

paux sont une :

suite de

combats de cavaliers

en costumes anciens; — une série de prisonniers; — un torero embossé; — nn i>aysan pio-

chantcourbé, portant un moine sur les

;

épau-

— une jeune femme, vue de dos. en man-

;

traversant une rivière

tille, el

les

lesjiipcs relevées

lUun cavalier au galo[)

— une procession

C(jté;

tant une côte;

des verrons et

jaml)cs nues

cpii

la

tant un

arrive de l'autre

de religieuses

mon-

c[ui

un

E.vécutos [lar

s’avance vers elle avec

— des religieux men-

2.

;

garrot;

son

;

— un condamné au du — Caliléo chargé de danssapri-

à

les [lieds

entravés, atta-

Dflicc

femme

(te

(tes

de

fer;

du bonnet du Saiulattachée sur l'écha faud une femme ;

une

d(.(S

[u'ocodés dill'érenis.

Suite de dessins.

^[alheurs de la guerre, In

I

0

des Proverhes,

Tauromachie, des Pièces détachées

des lithographies.

coiffée

llèches;

trouvaient une [(artle de ceux ayant servi l'exécidion des [danches des Caprices,

su[i[dice

fers

une femme

dos

etc., etc.

l’armi ces dessins, aujonrd hui disperses, a[)[(rochaient du nombre (te. 300 se

([ni

chée à un poteau avec un anneau

— une

Diogène avec sa laiderne cherchant

homme;

et

Madrid. Musée du Prado.

diants avec des besaces [>leines sur les ciiau-

— un sauvage vêtu de [dûmes por-

cai'([uois

course de taureaux,

des clefs Ten délivre;

les

geais;

(te

rencontre

une femme enserrée dans cadenas de chasteté attendant

homme

cju'un

les

pour aller à

la Liberté une lumière llgurant la Liberté triomphante aiqnaraissant aux hommes et la balance de la faisant fuir un moine; .lustice venant consoler les malheureux; la Liberté abattant avec son épée une bande

courses de

Los

[irinci[(aiix

et

étaient

;

taureaux, au crayon ronge;


UI2

ATA

(',

sujels

l')3

L’ŒUVUE PEINT ET DESSINÉ

I.OGl’R ])E

tauroiuapliie donl 5 à lasan-

(le

— no aveugle enlevé par un taureau, sanguine; — GS scènes des scènes de Proverbes, au pinguerre; — croquis de Caprices dont 5 ceau; — ciiine;

à

Mallicui:<

la

kl

femme

tic

plume,

70 autres an crayon ronge

les

parmi 3'2.

41

lesiiuels des

43 et 73

,

majas,

;

— 4 scènes

quatre feuilles;

ma jas au

et à

7.

variantes des n°*

deux

tl.

5,

de

et

deux,

jiar

;

Suite de i dessins.

Ils

représentent un chasseur, un crieur;

un chasseur

un portefaix.

à l’affût et

Exécutés à l'encre de Chine.

sur

11

.

0,20

,

L. 0,14.

de majos et de

pinceau, sur deux feiulles

Appartiennent à M. Ch. Cher-

lliarritz.

feiulle,

— 8 croquis de majos

raipiarelle,

à

même

avec un petit

fils.

à la

rencre. parfois deux sur la

femme

Exécutés au crayon,

P,1

81

assise et une

chien.

— 3 su-

Ane. collection E. Calando. Vente, Paris, 1899.

245 francs.

jets religieux sur papier vert olive représen-

un saint dans sa gloire, le deuxième, sainl François de Borja faisant tant. le premier,

ses ailieux à sa famille et le

A pparition

de

Vierge

la

8.

homme se frottant la jianme des mains; deux femmes portant des vêtements fermés

Suite de dessins. Exéculé'S i>ar des procédés différents.

troisième une

A'enise.

— 3 sujets de genre,

;

Ai)partient à

II.

Mariano For-

tan y.

un

avec des cadenas, chacune ouvrant

ment de

l’autre

;

le

9.

vête-

une jeune femme avec une

et

Suite de G dessins.

Ils

représentent sur trois feuilles, au recto

au verso, des scènes de mœurs.

négrillonne dans les hras, ce dernier à l'encre de chine

rouge;

;

Exécutés à t'encre de Chine. Ane. collection Paul Lel'ort. Agente Paris,

deux pa^’sages au crayon

— un prisonnier; — deux esquisses de 10.

d’olivares. etc. iMadricl.

18G9.

Tun du comte duc

portraits équestres dont

Ane. collection de

I).

3.

Yicente de

38

cru etc.

Suite de dessins.

reiu’ésentent

caprices et

Suite de

Ils

reiirêsentent des scènes de

mœurs

Exécutés à l’encre do Chine

et à la pierre

5.

lioilly.

12.

des

plume

et

au crayon, à

partie.

Suite de 9 dessins.

représentent des scènes fantastiijiies Exécutés à

la

plume. M.

Paris. Appartient à

13.

Bernardino

Ils

430 francs.

Exécutifs ])ar des procéilés différents. Madi'id. Apjiai'tiont au niarijuis de Casa

divers,

plupart une

Vente Paris.

Suite de .38 dessins.

la

Saragosse. Apj>artient à D. Alontanez.

et

noire.

la

Bordeaux en grande

des Caprices.

1869.

sujets

hrève légende de l’écriture du peintre.

dessins.

Ane. collection Jules

des

portent pour

Exécutés à

20

Ricardo de

D.

dessins. Ils

4.

à

.

Exécutés par des procédés différents. Madrid. Ajqjartient à 1). Aureliano de 11

Appartient

Madrid. Madrazo. 11.

Suite de

dessins.

Exi'cutes à la sépia.

Carderoi-a.

Exécutés par des procédés différents.

3

Suite de

II.

Rouarl.

Suite de

Ils

représentent, l’un une vache au pâtu-

rage, l’autre

2

un

dessins.

homme

arrêtant un che-

Jimenez. val. 6.

Suite de

3

Exécutés à l'encre de Chine.

dessins.

II.

0,12

L. 0,18. Ils

rejirèsentent

un

homme

assis,

une

Paris. Appartient à

M. A. Beurdeley.

;


CATALOC.Ul': 14.

L

l)l<:

'

Oh;

UVK

Poi'trait (la roi Charles IV.

Exécuté au crayon. Madrid. Apparlioiit à nalionalc d'Espagno.

I'KI.XT

h:

23.

Portrait

0,08; L. Ü.ÜG.

II.

E.xécuti'

Clialcogi'aphie

la

24.

dkssixk

l'/l

du

153

du pcialie Jarier Goija

/ils

au craynii en 1803.

Portrait de h' Juaua Galarza de Goi-

coechea. 15.

de

Portrait

femme

Marie-Louise,

reine

la

Ex('‘CUlé’

de Charles IV.

E.vcculé au crayon. Madrid. Appartient nationale d'Espagne.

L. O.Ui.

0.08;

II.

25.

Portrait de Cean ISermudez.

17.

Portrait de Mdjuel de Mus(]uiz, coude

Evi'culé'

26.

di.'

18.

17 fr.

pluiiili.

Vente,

l’aul Lel'orl.

l'aris,

27.

Portrait

Portrait de Mir/uel de Masquiz. comle

tête

et

en buste, [U'olil

décorations

;

tête de trois

la

sur son habit des

soinniaircinent

sont

Muséum,

bristisli

l’rint

ttoum.

28.

— Portrait de femme. Elle est reiirésenléc de trois ([uarts, tour-

Ane. collocl.ions Cean IJermudez l’aris. 1809.

et l’aul

31 francs.

née vers

’la

gauche,

Portrait de Francisco Goj/a.

cheveux bruns en

les

les

épaules,

vêtue d'une robe gris-bleu bonléc

de four-

retoinljanl sur

légers frisons

Wellesleij

Colleij

coilTé d'iui

E.vécuté à la plume.

20.

.Javier Millau.

t).

E\écut(' à la sanguine.

ti’ois (luarts.

droite.

la

tricorne, les clievcnx poudrés avec la (jueuc.

Vente,

0.11; L. 0.09.

II.

à

Arthui'

cmqis de

le

Londres,

tournée vers

Lel'orl.

de

indi(iuées.

Portrait de Fiamcisco Goi/a. est i'e[)i‘ésenlé en hiislo, de

11

la

180.3.

est représenté

Il

quarts, croix

Goi-

duc de Welliiujton.

;i0.

de Gaaza.

19.

en

Exécuté' au crayon. Madrid. Appartient

Gravé par Selina. 1809.

de

Portrait du lihraire Villareal.

de llauza.

Ane. cülloction

Gumersinda

/)"

cocchca. Elle esl représentée en buste.

à la niine

[dume.

la

Portrait de

à la Chalcograiiliie

16.

E.\;éculi'

à

rures. est rei)résenté en Imste, de trois quarts,

Il

cheveux poudrés avec la queue un jabot de dentelles éinergeant d'un col blanc que recouvre un habit à gros lioulons. la tête

tournée vers

la

gauche,

-Miniature survelin.

les

l’aris.

;

Miniature.

29.

Tète de jeune

-

0.0-i.

Iteurdeloy.

.\.

homme.

quarts Jusqu'aux éqiaulcs. inclinée en arriére

21.

0.033; L.

11.

.M.

grandeur nature de trois la tête légèrement

est représenté

Il

à

.\[ipartienl

;

signé à droite

FraiC<^'

:

Portrait de Francisco Gojja. Goija. est représenté

11

de piadll. coiiïé d'une

Exécuté

casquette à large visière. 1‘txécutü à la i)lume.

Madrid. Seoano. 22.

Appai’ticnl

à

II.

au

0,08

;

mai'(|uis

de

Josefa Bai/eu.

Francisco Goija. t'txéculi'

11.

0,43;

au ci'ayon on 1803.

M.

l’aul

Lafond.

Ti’te il'étude.

Signé à droite !)"

sanguine.

l’au. .\|i[iartii.'nt à

L. 0.07.

30.

Portrait de

la

L. 0.33.

:

Fran''“ Goija.

femme de Exéculé'

à

la

sanguine.

II.

0.4,3;

L. 0,33.

Ane. colloclion Landrin.

lîiarritz-.Vnglel ii)

.


CATALOi;

154 31.

Trie

1)1'^

l' h:

vieillard.

ilr

Evi'cutr

lu

ù.

plan

I

les eliidos el

du cirque

rières

srpia.

j

IVanrs.

2.1

I

32.

de

Tète de frinine. Evcciitr

I

41.

Appai'lient à M. Sigisiiioiul üardae.

Combat de taureaux. Exié'ulii

Trie de femme.

ApparUeul

Lonilrc.'. lin

1859.

à Areliilialil Stir42.

Esq.

ISG'.l.

Etude de taureau.

Va

de

jierc

au lavis

Ane. ISlill.

riilleelion

el

l’iuil

à la p;uuaehe.

.Maure nionlé sur un cheval ardent tue

Leliu-I.

un taureau d'un

Vente,

l'aris,

.Même

Va

au

Evei.’uti.'

ISli'.l.

lavis

île

bistre et

l•lllleclion l’aul Lefort.

île

sujet

.

que

la

idancbe 4 de

collecLion Ch. Yriarte.

.\nc.

si'qéa.

Vente,

l'aris.

44.

francs.

.bl

d'une lance qn'il lient

Tauro-

la

machie.

saint endirnv.saat sa croia-.

Ane.

coiij)

des deux inaiiis.

francs.

Il

Lefort. Vente, l’aris,

18 francs.

Course de taureaux.

Fè/jlise.

lin

Evé’iiul.i'

1859.

francs.

Iti

au lavis de sanguine.

.\nc. eolleclion l’aul

43.

l’aris.

Course de taureaux.

Le taureau fonce la tête baissée sur

IV

Charles

roi

èi

pada

de

la

reineUanl

el île

les

Toison d'or

a

foiili'

à

person-

insignes

O.iT; L.

l’aris.

Lf/

Exi.'culé à

île

II.

nn amliassa-

U,b'J.

45.

au

fond,

un

faquarelle sur paiiicr gris.

du conile Doria.

A'ente,

1809.

Le valeureux maure

Gazul attaquant

un taureau.

chute de Sa raf/iisse

.Mi'unc

sujet ipie la planche

n'^

5

de la

Tauromachie.

eiilleclion l’aul Lefort.

;

0,22; L. 0,32.

Appartient à M. Man/i.

Exécuté à la sanguine. Ane. collection l’aul Lefort. Vente. Paris.

t'ixécuté à la sépia.

18ti!).

en aide

.\nc. collection

.Mli'gorie.

Ane.

venir

lui

l’aris, II.

l'es-

de divers cotés, des toreros accourent

noniltreux public sur les gradins.

deur.

;

prêts

genlilslimmues

île

ofliciels.

l'orilre

d'oi'

représenlé, eiiUmi’i' il'une

o.sl

iiomhreii.se

nages

remettaal la Tuisun

ambassadeur

an.

Ec

38.

l’aris,

.laihlh.

.\nc. culleetiiin l’aiil Lel'url. Vente, l'aris,

37.

Vente,

francs.

1.JÜ

Exé'culé'

36.

d'enci'e de Chine.

Dessin préparatoire pour une eau-l'orte. Em'cuIi’' à la sépia.

35

au pinceau lave

.\nc. collection .Iules Itoill v.

à rriiero ilc Ehiiie.

Iv'iéeuir'

34.

E.xécuté sur papier, à la plume rehaussé couleurs à raquarelle. 11. U, 32; l’aris.

Stii'-

Esq.

lill^'

33.

Cliinc.

île

Appartient à Archilialil

toreros près des bar-

les

puis la foule sur les gra-

L. 0.22.

I

l'encra

il

Limilieÿ.

;

dins.

AiU'. (.iillrcliini l’aul Ld'oi’I. Ycuto, l’aii>. 18G'.l.

DESSINE

l/OEUVKI': l'ElNT ET

l'i

Vente,

l’aris,

1859.

francs.

34 francs.

I

39.

Scène de riaquisilioii. Londres.

40.

lîritisli

46.

iMuseuni.

l’rinl

Rooin.

Pedro Romero tuant un taureau.

.Même sujet avec variantes que la Tauromachie.

planche

Course de taureaux. la sanguine. Ane. eolleclion l’aul Lefort. Vente, Paris,

Exécuté à l

la

iv 30 de

n

picador

s'avance vers

a.ssaille lui,

un

tête baissée

taureau ;

qui

an second

1859;

39 francs.


CATALOGUE DE L’OEUVRE PEINT ET DESSINÉ

47.

Dans les

aux courses de taureaux.

Le public

deux toreros

l'arène, à droile,

à rai|uai'clle

Exéeiili' 0,3.0

11.

5

1

;

et

0,20

11.

1890.

La soumission

Un

blessé.

l’aris,

religieuse.

une religieuse age-

nouillée devant lui.

170 francs.

à la plumr

Exéculi'

et

lavé d'encre de

— 0,17 L. 0,22 Ane. colleclion Lefort. Vcnti’, 1809. — 22 francs. Vente Etienne Arago, 1872. — 153 francs. Chine.

le montreur de serpents.

11.

1/2.

;

l’aul

un serpent hoa sur on sa tète et ses bras étendus en croix lit sur ce dessin, de l'écriture du peintre ITi honiine soutient

;

;

57.

Dessin rehaussé de gouaidie.

à tioi'ilcaux.

.\nc. collection E. Vallet.,

Saragosse. Appai'lient à

liernardino

1).

Montanez.

50.

58.

L’homme

Une femme

Exi'culé à la sépia.

squelette.

représenté d'une maigreur exces-

est

sive

on

;

dans

lit

la

de l'écriture

dessin,

Ambroisio

cl

partie supérieure

du

jieiutre

du

Claudio

:

1800.

59.

tenant

0,08 1/2

11.

;

sur ce

lit

de

<lessin,

U tie

On

;

récriture du

sur

ce

gouaclie

éhime.

sur

L. 0,08 1/2.

la

de

l'ail.

gouache

ébène.

sur

L. 0,03 1,2.

;

Drosile. Cabinet îles Eslam|ies

de L).

la

dessin, de

61.

l'écriture

du

(provenant vente llabich de Stultgaid).

Douteux.

Bernardino

Moine

Une ([u'aiix

cl vieille

vieille

femme.

femme

un moine vus Jusles yeux

et

épaules regardent on avant,

écanpiillés et la bouche enir'ouverto.

Cusligo francés.

Exécuté à Bordeaux. Appartient à Montanez. Sarag()ssc.

Miniature sur 1).

Londres.

Bernardino

Un mendiant.

62.

ivoii'c.

Apparticid

à

W.

Rolhenstein

Es([,

— Enfant chantant.

II. 0,17 L. 0,12. Exécuté au crayon. Madrid. Aj)partient à U. l’ilar Echarri.

0,0(3

II.

guilloline.

lit

peintre

54.

un, chien.

Homme mangeant

Cusligo franccs.

;

Exécuté à Bordeaux. Saragosse. Appartient à Montanez.

la

Douteux. 60.

peintre

l’aris,

l die guillotine.

On

53.

Vente,

Dresde. Cabinet des Estampes (provenant de la vente llahich de Stuttgart).

Exécuté à

52.

l’aul Lefort.

20 francs.

Exécuté à

Exécuté à Bordeaux en 1820. Saragosse. Appartient à 1). liernardino Montanez.

Homme

Esqueleto rivientc en Bordeaux,

ano de lH2ti.

51.

de Bordeaux.

voilée.

Ane. collection 11

l’aris,

— L'acteur tragique.

Serpiente do euatro varas en Bordeaux. l'ixécuti'

;

jeune moine debout, tourné à droite,

regarde avec hauteur

L. 0,li.

;

0.22

— Vente,

Ane. colleclion E. Calando. Vente,

II.

Ane. colleclion du comte Doria (provient de la vente de 103 dessins de Goya, du 3avriH877). Vente, l’aris, 1809. 133 lianes. 56.

Le transport d'un

Exécuté à l'encre de Chine. L. 0,15.

à la gouache.

1809.

l>ai-is,

L'avocat.

sur

L. U,2Ô.

Ane. collection du comte Doria.

49.

;

gradins une foule grouillante et agitée.

— 48.

55.

155

Exécuté au crayon.

;

l’aris.

.appartient

à

M.

Raymundo

de

.Madrazo.

Les joueurs de paume. II.

0,33

Ane.

;

63.

L. 0,30.

collection X...

580 francs.

Vente,

l’aris,

1899.

Bersonnages espagnols. Exéculi/'

L. 0,14.

à l'encro de Chine.

11.

0,22

:


CATALOGUE DE l/OEUVKE

e;g

Ane.

04

Mamuiiilel. Vente,

l'iillrctinn

IIS'.IS.

qui

Ceti.v

l'aris,

— Sur

71.

IVancÿ.

‘.lë

Iravnil

le

Exécuté au crayon noir estompé.

fiuüticnl

.\nc. collection

l'Aeeuli' à

IVnere

(le

Gliine.

II.

0,i(l

I

2

65.

1811'.).

un

niiedoMiK u

0,21

II.

1809.

/

1890.

Exéculé à llordeaux. Paris. Ane. collecllon Ch. Yriarte.

74 E.

h'Ainou)’

Galando. Vente,

Un homme pondu accroché par

l’aris.

Muci

sonlieiil

dans ses

iUi.'uno

lu'as

snjiq

i|ue

un

75.

liai'

l’aris.

A iiparlienl

IlirsHi.

76.

(JuichoUe.

— Le

livres,

se

siijid

maigre désignant du doigt onveids à sa droite, un sur lequel est posée nue épée au

lient lin lioniine

t'antenil

livres

II.

0.21

77.

II.

0,2:i;

l)raei|Uemi.ind.

L. à

0,1

ipio

l'eau -forte

.\nc. colleclion Paul Lefort.

78.

— 40 francs.

portant

le

Vente. Paris,

Le sonne

Exéculé à Pencre de Chine. Vinile.

l’aris,

.inc. collection Paul Lefort. Vente. Paris.

seiqicnls.

79.

Exécuté à l'encre de Gliini'. Ane. collection Paul Lefurt. Vente,

sujet

1809.

i.

— Les channcurs de 1809.

20 francs.

E.xéculé à la plume.

1809.

70.

l'encre de Gliine.

Ane. collection Marinontel. 1898.

même

— Scène de rnaxcarade. Exécuté

du

— Le prisonnier.

.^ne. collection Galiclion.

69.

une variante

mi'ino tilre,

L. 0,1 i.

Gravé par

avec

an verso.

.Mi'une

<iijya. :

pédanL.

18(19.

:

:

27 francs.

Exécuté à la sanguine. Ane. collection Paul Lefort. Vente, Paris.

;

second plan, diverses figures l'anlastiques de femines el d'animaux. Signé

colleernm Paul Lefort. Vente, Paris.

Caprice,

Devant, une laide cunverte de

francs.

Exc'culéà l’encre de Chine. .'tnc.

1809. à .M.

.ji)

Scène de uururs.

la

Hirsidi.

Gra\'i‘

1809.

10 des Caprices.

|danelio n"

à la pierre noire.

.\nc. collection .Iules Itoilly. Vente, Paris.

le.

Mort.

lioninie qui so niciirt.

un de ees

son véle-

meni. Ex(‘cuti'‘

la

el la

i'einme

— Mon

est pré-

dans une sorte de jiuils par des personnages dont on distingue mal les traits.

100 tVancs.

— ¥J Arnor y Eue

dans un précipice

cipiti'c

l’aris.

L. o.l'i.

Ane. eidleclion

.

Eue jeune remme vêtue de Idanc Galando. \'enle,

17.

200 francs.

0,2:i;

Vente, Paris.

francs.

21

— Jeune femme jetée

73.

de mur^carade

ner. II.

68

ijalo muij nci/eo.

torrieos de niut^cani.

1

.

67.

Exéculi' ilia pierre noire. .\nc. collection Paul Lefort.

L, 0,12.

;

Ane. rolleetion

.

Fille, inére el aïeule.

— lIKHr.

Ijs peurcuücx du chai noir.

66

72.

1809. ./ans

Paul Lefort. Vente, Paris,

francs.

il

;

Ane. colloetuni du euinte Doria (provoluinl de la vente de lU.â dessins de Goya, avril 1877). Veille, l'aris,

1809,

L. D.IT.

l:i

l'ahiine.

.Mlégorie politique.

fuient

ainsi.

du

DESSINÉ

l'ElAT ET

21 francs.

l’aris

33 fi'ancs.

— Scène cspannole.

Eue maja releve son Las, i.lerrière majo csiiuisse un pas de danse; en

elle

un

arrière


CATALOGUE DE L’OEUVRE PEINT ET DESSINE une seconde maja sonnages

Gravé par

80.

J.

88.

par terre.

Déjalo todo a

la

Probidencia

Elle laisse tout à la Providence.

Une femme en mantille noire

.Jacquemart.

promène.

se

Exécuté à l'encre de Chine.

Caprice.

IL 0,12:

L. 0,18.

Un le

et plus loin d'autres per-

à demi-coucliés

1S7

Iioimne nu,

les

bras attachés derrière

M. A. Reurdeley.

Paris. Appartient à

dos est entraîné par des démons.

89.

Première pensée d'une Htliograpliie de

Cuidado con

las consejos.

Prenez qarde aux

avis.

l'artiste.

E.vécuté

l'encre de Chine.

.\nc. collection

18

(

1 ( 1

.

— 25

Une femme

Paul

J.jçl'ort.

Venh'. Paris.

homme

— Femme avec un enfant.

81.

droite appuyée sur

main gauche

l'rancs.

L.

Appartient à

Raymundo

M.

— Portrait de D. du

Sébastian

ila

tableau de

le

1809.

83.

le

84.

869.

Exécuté à l'encre de CIdne.

du

nain

Phi

roi

— El

91.

Duc

il

Oli-

assis les

jambes

repliées,

Paris. Appartient à

92.

— Lo

M. A. Beurdeley.

tient le soc

Exécuté à l'encre do Chine.

93.

Les buveurs.

II.

0,12

:

M. A. Beurdeley.

Muii accordez.

Bien d'accord

tableau de Velâzquez.

Paris. Ane. collection Paul Lefort.

— Esope.

Un homme assis chante en s'accompagnant de la guitare, une femme assise à ses cf)tés chante avec lui. Exécuté à l'encre de

tableau de N'eiaziiuez.

Lüiiilres. .Vue. collectiuii

d’une

L. 0.18. Paris. Appartient à

— Los borrachos

le

0,12:

mismo.

Un liomme vu de dos

'l'orres.

D’après

11.

charrue attelée de bceufs.

le

petit

De même.

tableau de Velâzquez, aujour-

H.ü,2.à; L. 0,18. Exécuté au crayon. Madrid. Appartient au marquis de Casa

D'après

un

L. 0,18.

Ane. collection Paul Lefort.

le

un

genoux, travaille à une cliaus-

Exécuté à renci'o du Chine.

d’hui perdu.

87.

les

garçon.

tableau de Velaz(iuez.

— Portrait du portier Ochoa. D'après

:

trabajador.

Un aveugle enfant sur

varés.

86.

cierjo

plan, on aperçoit une fillette et

Paris.

0,12

sure qu'il tient en l'air; à droite, au second

26 francs.

le

II.

L'aveuijle laborieu.v.

tableau de Velâzquez.

Portrait équestre du Comte

D'après

85.

Paris. Appartient à IM. A. Beurdeley,

del Primo,

Exécuté à la sanguine. Ane. collection I*aul Lefort. Vente, Paris, 1

un ouvrage de couune chaise à dossier l)as; à

travaille à

L. 0,18.

lippe IV.

D’après

0,12:

côté d'elle, son panier à ouvrage.

22 francs.

— Portrait

II.

Appartient à M. A. Beurdeley.

ture, assise sur

Exécuté à la sanguine. Ane. collection Paul Lol'ort. Vente. Paris.

Cliine.

ilc

0,18.

Une femme

roi Pldlippe IV.

D'après

cause avec un

Le travail récompense toujours.

Morra. nain

\'elazqiiez.

l’air,

main

— El trabajo siempre premia.

90.

82.

levée en

la

à ses côtés, la

âgé, assis en face d'elle.

l'aris.

lic

Madrazo.

vue de dos,

un panier

Exécuté à l'encre

E-vécuté au crayon. l’aris.

assise,

Morse.

Cliiiie.

H. 0,12;

L. 0,18. Paris. .\\q)artiunt à M.

-V.

Beurdeley.


CATALOGLIE DE L’ŒUVRE GRAVÉ

Eaux-fortes détachées 1

.

La fuite en Egypte.

La

Marie,

vierge

les bras,

montée sur un âne que

est

Joseph conduit par Signi'

2

.

dans

iiu'>.

Un aveugle au milieu d'un groupe d'hommes et de femmes du jieuple chante en s’accompagnant de la guitare; à gauche, un attelagede hœufs conduitjiar un paysan â droite, des marchands de melons; au

et f'ecit.

L. O.OtlaL

:

preniière

la

planche de

fond, un château fort.

Itare.

Signé au milieu d'un tas de pierres, à

Saint hidore.

gauche

Le saint à genoux regarde le ciel, les bras étendus; au second idan. deux Ixeufs sous le jotig. Encadrement formé par deux troncs en

SiRiii'

gauelie

:

l'ioya,

Eau-foi'le.

Très unique. 3

.

dans l'angle

bas,

iid'érieur

:

Gnj/n.

fiau-forte.

Très

5

d’arijres.

Aveu;/ le chanteur.

;

0,120

II.

Pi’obalilriiK'nt

(toyu

;

.

saint

le licol.

droite

à.

Eau-forte. (loya.

4

l'enfant Jésus

.

de

Le

Un géant nu.

— —

0,2.10; L. O.IO.ô.

II.

Piuil-èli'c

l'are.

iiièine, l'qireuve

les

barbe brune, vu presque

à

bras appuyés

sur les genoux,

une éminence dominant un immense paysage au fond, des villes et des assis sur

est

;

;

effet

de lune.

Ea.u-I'orte.

est représenté en buste, avec

une 'fi'ès

liarlie

Manche,

les

yeux levés vers

le

rare.

Vente Signi' en bas.

ii,

gaui'lic, ilans la nuii'go

Iteu.v idals. rari/a.'i

aiipartieiif

0.030: L. O.OOj.

II.

Dans

eei'it

à la

d'Esjiagni'.

à

premier étal le l'ims-ei's. Le cui\re le

Clialcograpbie

II. Il

0.28Ô; L. 0.203.

n'en a édé

tiré

que

trois

T^.

Lel'ort. Taris. 1860.

38 francs.

;

<',onn, /'.

Eau-forte.

— —

éqireuves.

ciel.

mol

.340.

ijéant.

de dos,

Saint Franroiÿ de Vaule.

longue

0,400; L, 0

/'.

rivières

Le saint

11.

l'arc.

nationale

6.

Le ru2)plicc du garrot.

Le supplicié les

est représenté sur l’échafaud,

memhresiiresquerigid.es,

vulsés. la tète

les traits

maintenue dans

le

con-

carcan de

Le catalogue de l’auivre gravé et lilliograpldé de Goya, publie par M. Ta.ul Lefort dans la Gazelle îles Deau.r-.iii.s on 1867-1868, des plus complets et des plus dé'taiilés, a pour ainsi dire épuise la matière et ne laisse presque rien à glaner après lui. Nous y renvoyons donc lesleclours désireux de )dus am](les détails. '

Il

n’est pas tenu

compte des mesures au-dessous de

0,003 millimétrés.


CATALOCri-: DK L’OKl ^KE CIlAVK un

1er,

crucifix

mis dépassant

dans

la

Kau-l'oi'l,e.

mains,

les

les pieds

11.

rohe lunguc.

Difféi'onls états.

Une

0,325; L. U.21U.

11.

Le

La femme à

à la Glialciigraidiie nationale d'Espagne.

Vente P. Lel’ort, Paris, 1800. ancienne 32 l'ranes.

Eiireuve

deux mains on voit un chat.

Homme

embossé tlans sa cape.

12.

O.IOU; L. U,i2U.

11.

En

M. Luiiiley à qui aiqiartenail on lit l'aire un tirage à Londres. On no connaît pas d'épreuves anciennes. Vente P. Lel’oi’t, Paris, 1800. Epreuve du tirage Lundi'v Il francs. 1850,

.

Aveaijle chanteur.

guitare

la

8.

maja.

U)LC

poings sur

les

tournée vers

tête

la

du

Eau-forte.

En

11.0,100; L. 0,120.

M. Luinlev à qui

1859.

Vente P. Lefort, du tirage Luinley 9.

1800,

Pai'is,

13.

— Ep reine

poings sur

Aecuijle cnlecé

En

— On

cornes d'un tau-

Un taureau échappé enlève

sur ses cornes

un joueur de guitare aveugle.

II.

0,135; L. 0,180. 51. P.

La Cazelte des Ileua.r-Arts en a

les

Lefort.

un

ti-

fait

rage en 1867.

hanches, chaussée de souliers télé tournée vers la gauche.

Eiireuves Vente P. Lefort, Paris. l8CiO. du tirage de la Gazelle des lleaax-Aiis

5 et

IL 0,190

:

L. 0,120.

;

M. Luinley à ([ui appartenait le en lit faire un tirage à Londres. no connaît pas d’iqireuves anciennes.

1850,

tirage Luinley,

.5

1869.

— Epreuve

francs.

se livrant

Eau-forte.

le

fond,

au

même

f 'n

prisonnier.

est représenté les

Il

le dos, les

lient

;

le

liées derrière

corps ployé en lil-

au fond de son cachot. Eau-forte.

des

0,105; L. 0,080.

II.

1850, 51. Luinley à qui appartenait le cuivre en lit faire un tirage à Londres.

En

un autre perexercice.

Vente 0. 100

II.

mains

pieds entravés,

Iranl à travers les grilles d'une fenêtre située

hoininc en vêtements sordides se ha-

deux mains; dans

14.

10 francs.

deux, la tête éclairée par une Inmière

à la balançoire.

lance assis sur une corde qu'il

sonnage

sui’ les

13 francs.

la

L'homme

Un

— E|U'euves

7 fr. 50 et

Le cuivre a apiiartenu à

Vente P. Lefort, Paris.

du

:

les

Eau-forte.

cuivre

Paris, 1860.

Lefort

reau.

Une maja.

découverts,

P. Lefoid.

tirage P.

Eau-foi'te.

adjonction d'aqua-tinte.

L. 0.105.

18 francs.

:

Elleestre[)résentéedebnut,en manlille,

10

avi.'c ;

a[iiiartenait

cuivre eu lit, faire un tirage à Londres. On ne connaît |ias d'épreu\ es anciennes.

0,165

Vente

la

droite.

le

II.

hanches, chaussée de sou-

découverts,

liers

Eau-forte

Le cuivre a ap|jartenu à 51. P. Lefort qui on a fait faii'e un tirage à Paris. On ne connaît pas d'i.qircuves ancienni's.

Elle est reiii'ésentée dehoul, en mantille, les

au second plan, des figures

;

grotesques.

:

bords et chante en s'accompagnant

à larges

de

chapeau

est assis, la télé couverte d’un

Il

le l'uivre.

IL 0,190; L. 0,120.

51.

LS.'iO,

;

;

Eau-rurte.

sur un tronc d'arbre,

;

lop[ié dans sa cape sons laquelle il cache un tromhlon au second plan, un taureau cou-

ché.

intérieur de

Luinley à qui appartenait le, cui\-re en lil faire un tirage à Londres. On ne connaît pas d'éprouvos anciennes. Vente P. Lefort, Paris, 1800. Epreuve du tirage Luinley 10 frani'S.

est représenté incliné en avant, eiive-

11

Eau-forte.

En

balançoire.

lient des

;

7.

la

femme, dans un

halance assise sur une corde qu'elle

forêt, se

a|ipartient

(.aiivre

vieille

159

L. 0,120.

du

P. Lefort,

tirage Luinley

Paris, :

1809.

Epreuve

12 francs.

En

1859, M. Luinley à ipii apiiartenail cuivre on lit faire un tirage à Londres. On ne connaîl pas d'éiireuves anciennes.

le

Vente P. Lefoi't, Paris. 1800. tirage Luinley 7 francs.

du

;

15.

Eiu’euvo le

Un

pt’isonnier.

Assis à gauche, sur un siège pris à même mnr, les mains liées et les ineds entravés.


i;

porte

il

un carcan

lUi l'oii

une

jiar

A

l'

K

i/oi:i'VK]: (iiiAvi:

1)1':

la iiinraille

relié à

an rnml,

cliaînc;

li.uirilo

TA L(m;

i

18.

porte

la

cintrée du cacliol.

l'iau-roi-lo.

Kn

cuivre en

11'

0,1 10

11.

lil

L.

;

faire

un

lirape Luniley

1800.

Hpreuve

sur

Eau-forte

prUonnicr.

P.

(lu tirage

0,100

11.

17. — Il

la

Lefnrl di.'

0,070.

L.

;

,

Paris. 1800.

0

lomhe

:

IL 0,145

;

L.

.

'Très rare.

20.

Ecusson.

armoiries de Tordre

des

presque de face, en lornhanl

un hàlon de

la

Signé on fias: Goga. suiiérieuro, on lit

Inisle.

sui'

marge

les

21.

Scène de I Ingaisition

22.

Vue mascarade.

1

II.

0,000; L. 0.070.

apparlicnl

D.

à

Ignacio

O.Ol.'i

11.

l'hi

:

Del

;

L.

haut, dans la S>'

Jovellano.s.

0 000.

Très rare.

le

main gauche

Eau-forte.

ramenée en avant. Le cuivre Zuloaga

rivière qui

militaire de.Calalrava ou d'Alcantara.

cmlna.mssaillés

Eau-forte.

domine une

Uncadrement

lépéreinent inclinée en avant,

fr(Uit. lenaiil

rocher ampiel on accède par un

Eau-furte el aqua-tinto. 20

.

Epreuves

Vil niciiilia lit

cheveux

liois

arlires cl les murailles d’une ville.

Gazelle des Heaa.r-Arls

la

esl reiirésenté

léle

IL 0.100; L.

en une large cascade; au dernier plan, des

0 francs.

el

7

aciua-tint.e.

(.'t

Pagsage.

pont de

Le cui\re a up|iarfenu à M. P. Lefoi'l. La dazplle dca Ileaii.r-Artf: en a fait un lirage en 1807.

Vente

mon-

second

.

Un grand

mains

les

jointes, les pieds entravés.

19.

sur l'épaule aau-

une lourde chaîne,

Laud'orle.

le

Très rare.

la tête ])oncliée

le sol,

clie attacliée à

l'horizon, de |ietites

à

plan.

représenlé presijne de face, accroupi

est

11

plus loin,

gaucho, une plaine arrosée par

0 francs.

:

;

en arriére, sur une liauleur. une

tagnes; différentes figures éloffenl

.

i’n

;

un cours d'eau;

0 200

16.

iiremier plan, deux arhres

l'ahri(jue; à

0.070.

tirapo à Loniires.

Veille P. Lel'urI, Paris. (lu

Paijmgc.

Au

un rocher Luniley à pui apiiarl.cnail

jM.

I8j'.),

loutcuse.

Douteuse.

Eaux-fortes, d’après Velasquez. 1

.

Eau-forle. 'l'rès

2,

Vente P. Lefurl. Paris, 1800. anciennes 20 et 22 francs.

Iais Menin.a.s.

II.

0,360

:

rai'e.

3.

Portrait équestre du roi Philippe

JIL

Los horrachos.

Sur

la

marge en

bas, on

lit

:

Pinlura de

Velâzquez, cou fiquras del lainaTin nalaral, en el lieal Palacîo de Madrid. que represenla un Paco /inqido coroD.

Iiiego

dibujada y nnndo ah/unos horrachos yrubadu ]ior D. Francisco Goya, pinlor. au O de 177 S.

Felipe III. Sur la niargo en lias, (ui lil rey de Espana. Pinlura de D. Diego Velâzquez, del luinaîio del natural. en el IV. Palacio de Madrid, dibujada y yrahada Por D. Framsi. Goya, pinlor, ano de 177 S. :

:

Eau-forte.

11.

la

(|ui

ü,28b

:

L. 0,385.

Le cuivre uppartieiil Ghalcogra[ihie nationale d'Espagne CM a fait des tirages à (li\'crscs (qm-

l)ilf('renls états.

à

— Epreuves

:

L. 0,300.

(pU.'S.

Eau-forte.

11.

0,355; L. 0,300.

à

Le cuivre aijpartient Chalcograpliie nationale d'Espagne en a fait des Tirages à diverses épo-

Différents états. la

(jui

ques.

Vente P. Lefort. Paris, 1800. anciennes 20 et 24 francs. ;

— Epreuves


CATALOGUE DE L’ŒUVRE GRAVE 4.

Portrait équestre de la reine Marguerite

femme de Philippe

d'Autriehe,

III.

Deux

;

;

0,215.

sans apparliimt à la Chalcographie nalionale d’Esi>agne ([ui en a fait des tirages à diverses époques. états.

l'inscriidion.

en bas, on Hl h’‘ Margarita de Austria. Iteina de Espana, muger de Felipe III. Pinlura de Diego Velâzquez, del tamano del natural, en cl Pd. Palacio la mai'go

Sui'

— IL 0.320 L. — Le premier

Eau-forte. 8.

161

très rare,

Le cuivre

Vente P. Lefort, Paris, 1869. ancienne 12 fr. 50.

Epreuve

:

de Madrid, dihujadu y grabada por Fran‘'°. Goya, pinlor, ano de I77S. Eau-l’oi'te.

D.

varcs.

Dilïéi’ents états. Le cuivre appartient à la Chalcograpliic nationale d'Espagne qui en a l'ait des tirages à diverses époques.

Vente P. Lefort. Paris, 1860. 24 francs. ancienne

D.Gaspar Sur la marge, en bas, on lit de Guzman. Fonde de Oliuares, Duque de Sanlucar. etc. Pinlura de D. Diego Vehizquez, del tamano del natural. en el IV. Palacio de Madrid, dibujada y grabada por D. Franco. Goya, pintor, cuio de :

Epreuve

;

5.

Portrait érquestre du Comte -Duc d'Oli-

IL 0,340: L. 0,350.

Portrait équestre du roi Philippe IV.

1778.

Sur la raargÆ, en bas, on lit Felipe IV. Rey de Espana. Pinlura de D. Diego Velâzquez, del tamano del natural, en el PJ. Palacio de Madrid, dibt/jada y grabada por D. FratV°. Goya, pinlor, ano de I77S. :

Eau-forte.

Ueuv

états.

Eau-forte.

Vente P. Lefort, Paris, 1869. ancienne 20 francs.

Le premier

très

fr.

:

Velâzquez que e.i:iste en el IV. Palacio de Madrid, por D. Franco. Goya, pinlor, ano de 1778. Représenta a Esopo el Fabulador Sur le haut de la estatura natural. de l’estampe, à droite Æsopus.

50.

Vente P. Lefort, Paris, 1869. ancienne 24 francs.

Esope.

Sacada y Sur la marge, en bas, on lit grabada del cuadro original de D. Diego

:

Epreuve

:

:

Eau-forte.

do Bourbon, première

femme

de Phi-

:

— IL 0,340 L. — Le premier très rare, sans — Le cuivre aiipartient à la ;

0.30.3.

états.

la légenile.

Chalcograpliie nationale d’Espagne qui en a fait dos tirages à diverses épioqucs.

Vente P. Lefort, Paris. 1869. ancienne 26 francs.

Epreuve

:

7.

0,315; L. 0,220.

marge, en bas, on lit I)u Isalel de Itorbon. Reyna de Espana. muger de Felipe Quarto. Pinlura de D. Diego VeInzquez, del tamano del natural. en el IV. Palacio de Madrid, dibujada y grabada por I). FraiV». Goya, pintor, ano de 1778. la

Deux

II.

;

lippe IV.

Eau-forte.

— —

Trois états. Le premier, sans inscription le second, avec une légende dilférente de colle du troisième état; les deux Le cuivre apparpremiers très rares. tient à la Chalcographie nationale d’Espagne qui en a fait des tirages à diverses

Portrait équestre de la reine Isabelle

Sur

Epreuve

rare,

Epreuve de premier état, vendue il y a une cinquantaine d'années à IMadrid

6.

;

peut-être unique, sans la légende. Le cuivre appartient à la Chalcographie nationale d'Espagne qui en a fait des tirages à diverses époques.

370 reales, soit 82

0,350; L. 0,303,

Le cuivre appartient à la Chalcographie nationale d'Espagne qui en a fait dos tii'ages à diverses époques.

IL 0,345: L. 0,303.

— IL

Différents étals.

époques.

Vente P. Lefort, Paris, 1869. ancienne 9 francs.

Epreuve

:

10.

Ménippe.

Sur la marge, en bas, on lit Sacada y grabada del quadro original de D. Diego :

Velâzquez qui existe en el IV Palacio de Madrid, por D. Franco. Goya, pinlor, ano 1778. Représenta a Menipo Filosofo. de lu Sur le haut de l’esestatura natural. Mœnipjms. tampe, à droite

:

Porto'ait équestre

du prince D. Balta-

sar Carlos.

Sur la marge, en ha.s, on lit D. Rtdlasar Carlos, Principe de Espana. hijo did Rey Felipe IV. Pinlura de D. Diego \'eIdzquez, del tamano del natural. dibujada por D. Franclaco Goya, pintor, 1778. :

Eau-forte.

— IL —

0,310

;

L. 0 220.

Le premier, sans inscripTrois états. tion le second, avec une légende dilférente de celle du hoisiènic état: les deux ))re Le cuivre ajipartient mi('rs, très raies. à la Chalcographie nationale d'Esiiagnc ([ui en a fait des tirages à diverses époques. :

21


A T A L O G U R DE

d;2

Lol'orl, Paris. 1800.

Vi'iile P.

!''

anciriino.s,

11

.

l'oiiraif.

('lai

lie

10

(le

du

/ Olî U V U E G U A V

:

P

l'r.

30.

Fcnlinanil d'Au-

Goya, pintor. Existe en Madrid, siito de I77S.

Philippe IV, en

roi

chasse.

Deux

:

Vente P. Lefort, Paris 1869. Epreuves anciennes 8 10,50 11 et 20 l'rancs. :

14

.

adjonction d'aipra-tintc le ti’oisième, avec la b'gende; les deux premiers, très rares. Le cuivi'O appartient à la Ghalcograpliio nationale d'Esiiagne (jiii en a l'ait des tirages à divei'scs éi) 0 i|ucs.

Sur

;

Portrait

du

île

II.

0.185

;

L. 0,145.

15

.

_

0,260

;

L.

;

roi Philippe

IV.

— IL 0,255; L. 0,140. rare. — Trois éqireuves seulement

Eau-forte.

Très

sont connues.

Portrait del Primo, nain du roi Phi-

16

.

Portrait de Francisco Bazan, fou du roi Charles II.

IL 0,250

;

L. 0,120.

Très rare, peut-être mèmeépreuveunique. ]\'oT.x. Go jiortrait attribué' par les uns à Velâzquez, l'est par d'autres à Carreno.

lippe IV. la niargo.

11.

Portrait de D. Juan d'Autriche, fou du

Eau-forte.

Sur

;

.

Barbar-

;

13

:

[lure et

— Le prcniiei',

lit

Le premier, à l'eau-forte sans inscription; le second, avec adjonction d'a(|ua-tinte le troisième, avec Les deux ]iremicrs, très rares. la légende. Le cuivre appartient à la Clialcograpbie nationale d'Espagne qui en a fait des tirages à diverses époques. Trois états.

IV.

sans inscripGon le second, avec les noms de Vidazle troi(juez et Goya gravés à la jiointe siènic.avec une légende ilill'érente de i-ello ilu quali’ièine état, Les li'ois premiers, très rares. Le cuivre appartient à la Ghalcographie nationale d'Espagne, iiui on a l'ait des tirages à diverses é[)oipies. états.

marge, en bas, on

Eaii-l'ortc et aqua-tinte.

;

Eaii-foi'te.

la

0,140.

Sur la inarg,', en bas, on lit Saendn y grabada dcl ciiadro original de l). Idego Velâzquez, en que se représenta al vivo un Enano del Sr. Phelipe IV, jior l>. Francisco Goya, pintor. Existe en el l'd. Pulacio de Madrid. Ano de IÎ7S. Quatre

Barherousse,

dibujado y grabado por F. Goya, pintor

D. Sébastian de Morra. nain

roi Philippe

dit

roxa. Pintura de Velâzquez, del tamailo del naturul, en el Real Palacio de Madrid,

.

de Pernia,

Portrait

fou du roi Philippe IV.

;

12

;

;

0.125.

Trois états. Le proniier à l'cau-fortc pure, sans inscription le second, avec

légende. Le cuivre aiipartient à la Chalcograpliie nationale d’Espagne, qui en a l'ait des tirages à diverses époques.

0.200; L.

II.

de

états.

la

pinlor. aiiua-linte.

Palacio

el Vd

— IL 0,195; L 0,150. — Le promicr très rare, sans

Eau-foi'to.

Sur la iiiarge.cn bas, on lit Un infunle de Espaûa. J’inli/ra de Vchizqaez. de tamano miliirK en el Id palncio de Madrid, dibux». y grubudo por Francisco Goya, Eau-fui'tü et

1-]

grabada del cuadro original de fi. fdego Velâzquez en que représenta al vivo un Enano del S. Phelipe IV, por l>. Francisco

lîpi'oiivcs

3“ rial-

IV.;

rin.fiint

triche, frvre

cosltune

:

I

on bas, on

lit

:

Sacadu y

Los Caprichos. Les Caprices. La suite des Caprices est gravée à l'eau-forte et à raqua-tinle. Elle se composait primitivement de 1"! i)lanches publiées en 17ÜG-1707 8 planches supplémentaires y furent ajoutées, ce qui, en 1812 en éleva le nombre à 80. Le premier tirage lait sous ;

yeux de l’auteur fut mis en vente au prix de 288 réaux. Une seconde édition imprimée sous la direction du graveur Rafael Esteve aux frais de 1 Etat, parut en 180G-1807. La Chalcographie nationale d’Espagne publia un troisième tirage de ces planches, très inférieur aux précédents, en 1850; enfin elle eu lit paraître un quatrième

les


CATALOGUE DE L'OEUVRE GRAVE

103

en 1892. Les épreuves d’essai et d’état tirées presque toutes par Goya lui-même, sont Il existe 3 planches supplémentaires des Caprices qui ne font pas

des plus rares.

partie de la suite et sont presque introuvables.

Les Caprices reproduits eu fac-similé par Segui

et Riera ont

de Barcelone, en 188b, et à Paris par

librairie artistique

été édités

par

la

maison Goupil (Boussod

la

Valadon) en 1888.

et

1.

Francisco Goya y Lucientes, pintor. Francisco Goya et Lucientes, peintre.

peau à

en

représenté

est

Il

tourné vers

de

le collet

Nadic

causent en se promenant.

cheveux longs toin-

7.

si

main au premier qui

Une jeune femme, couverte d'un

ne la reconnaît pas

un

même

figure

0,173; L. 0,123.

II.

8

.

Que Us

se la lleearon

t

l'enlevèrent.

Deux hommes inasqués

vieil-

encapuchon-

et

lard laid et repoussant; au fond, une foule

nés enlèvent de vive force une

gesticulant et hurlant.

crie

;

par

les pieds.

II.

3

.

0,180

L. 0,120.

;

Que viene Voilà

cl

Coco. 9.

Croquernitaine.

le

femme

qui

l’un la soutient sous les bras, l'autre

IL

ainsi.

;

la

de deux horribles

est conduite à Tautel [lar

duègnes

la

L. 0,120.

Un élégant s’est approché d'une jeune femme qu'il dévisage avec un lorgnon au second plan, deux autres femmes assises.

al

se présente.

haut de

le

louji, suivie

;

Ni asi la distingue. Il

prononcian y la mano alargan priinero que llega. Elles prononcent le oui et donnent El

0,190

II.

R. 0,135; L. 0,110. 2.

se connaît.

Divers personnages masqués et costumés

profd,

du vêtement.

se conoce.

Fer sonne ne

gaucho, coiffé d’un haut cha-

la

la Bolivar, les

Imnt sur

buste,

6.

0.

185

;

L.

0,

1

43.

Tantalo. Tantale.

Deux enfants,

cffraj'és

à l'approche d’un

personnage caché sous un manteau qui lui donne l'aspect d'un fantôme, se réfugient

dans

sur

bras de leur mère.

les

Un homme dont profonde douleur, ses

le

les

visage exprime une mains en croix, tient

genoux une

femme évanouie

et

demi-nue. II.

4.

0,190

;

L. 0,135.

El de la rollona.

10.

II.

0,170

El

Amor

Lienfant de la rollona. L’n domesti(iue essaie

d’entrainer

qui se

met

II.

5

.

homme

les doigts

l’aide de lisières

en enfant bouche.

halnllé

dans

la

ensendde

;

II.

mort.

Près d'une somljre muraille, une

qui se

meurt

;

femme

homme

à terre, une épée et un cha-

H. 0,190; L. 0,130. 11.

conversent

en arrière, deux vieilles

0,175; L. 0,115.

Muer te.

peau.

se ressemble s’assemble.

assises les regardent en riant.

et la

en pleurs soutient dans ses bras un

Tal para quai.

élégant et une élégante

L. 0,125.

y la

L'amour

0,17.5; L. 0,130

Qui

Un

un

à.

;

femmes

Muchachos

A

al avio.

la provision, les enfants.

Ouatre bandits causent arbre. 11.

0,185

;

L. 0,115.

assis

au pied d'un


CATALOGUE DE

104

12.

/I

caza de dientes.

A

la

Une

de peur

an pendu.

à

0,180

rit

au second plan, un quatrième

;

0,185

corheille de victuailles

L. 0,115.

:

une de

levée vers le ciel

l’arbre,

II.

!

20.

L. 0.120.

;

assis et debout.

Dias la perdone

:

Y

era su madré. c'est

sa

22.

mendiante, appuyée sur une béquille, demande la charité à une jeune

d'homme;

0,195; L. 0,13.

Quai

la

descaùonan

!

p>lument! de

loi,

deux à

tête

et à

de chat, ai’rachent les ailes à un vo-

femme.

buste de 0,135

L, 0,125.

;

Pûbrccitas!

suivies de

II. ;

L. 0,125.

23.

Bien

tlraila esta.

Il est

bien

sur

vieille

femme,

le

;

juet sa jarretière,

bord

deux

hommes embossés

dans leur

0,180

;

L. 0,125.

Aqucllûs polvos! Ces pjoussières...

lii'é.

tille

appuyé

0,175

tête

cape.

élégante qui refuse de l'écouter.

11.

coups de balai

Deux femmes encapuchonnées s'avancent,

vieille

Une jeune

à

déplumés à

Pauvres petites!

mère.

femmes, encouragées par chassent

Comme ils la Trois hommes latile à

L. 0,130.

;

21.

griffes

Que Dieu ha pardonne, car

17.

pjl Limés.

vieilles,

II.

H. 0,175

femme

de

L. 0.130.

;

Deux jeunes

assise, l'éventail ouvert

main, écoute à la déroliée, une vieille duègne assise à ses côtés, ipii lui parle avec animation ; au second plan, d'autres per-

Une

sur les branches

;

volatile à tête

deux autres volatiles semblables qui ont encore leurs plumes s’échappent à tire d'aile.

la

arbre droite

Ya van desplumados.

II.

16.

à

;

conseils.

Une jeune femme

0,180

0,190

trois volatiles

Eellos consejos.

II.

un

Les voilà

deux

0,175

sonnages

dTm

d'homme

agenouillée les mains jointes,

vieille

tête

sacrdficio!

Fameux

à

au pied

d'homme.

contrerait.

assises

vers lequel volent d'autres volatiles à tète

Quel sacrifice

15.

Todos caerdn.

lilument un poulet à tête

Des parents accordent la main de leur tille, jeune et jolie, à un vieillard laid et

II.

0,175; L. 0,120,

Deux femmes

la

les Ijras.

Que

déshabillé, soute-

Tous tomberont.

moine s'avance, une 11.

vieillard à moitié

chaud.

Trois moines sont assis à une tahle ; deux mangent en ouvr.ant une large bouche, le

14.

19.

troisième

se le ciueina la casa.

11.

L. 0,11a.

;

HAYE

nant son pantalon à deux mains, marche avec difticulté dans une chambre envahie par les flammes.

Estan calientcs. C'est

dans

y

Un

el se ca-

main gauche le visage avec un chant de mouchoir, essaie de la main droite d arracher une dent

G

Et sa maison brûle.

la

13.

18.

chasse de dents.

feiiiiuc treiiiblîinte

11.

VUE

ET )E U

d'un

luaisero

le ;

pied

Sur un échafaud, une femme assise, la tète couverte d'un bonnet -pointu, revêtue

une

d'une longue tunique, écoute la lecture de

assise en arrière, la regarde.

la

L. 0,135.

haut d'une chaire un

sentence de l'Inquisition (pie

lui

fait

du

familier du Saint-


CATALOGUE DE L’OEUVKE GRAVE Office

;

temple

au pied de l'échafaud, la condamnée. 0,185

II.

24.

la foule con-

n

tj

30.

la ceinture,

IL 0,190

;

tient

dans

mains des sacs

les

quatre personnages qui se rient de II.

31.

0,195

L. 0,135.

lui.

L. 0,125.

;

liuega por ella.

pour

Elle prie

Une jeune

fille

elle.

assise tire son

dant qu'une autre jeune

un

vieille, assise

qiril a cassé la cruche.

? ?

d'argent qu'il essaie de cacher à la vue de

montés sur des ânes.

Si quebro el cdntaro.

qu'un

L. 0,125.

;

Por cpie esconderlos Pourquoi les cacher

Un avare

le

d'une foule vociférant, accompagnée d’alguazils également

Parce

eut pas de remède.

et

coiffe

le

chausse.

IL 0,180

Une femme nue jusqu'à

25.

le

L. 0,130.

;

bonnet pointu du Saint-Office sur la tête, le carcan au cou et les mains liées, à califourchon sur un âne, s'avance au milieu

pendant qu'un valet

autre

No hubo remedio. Il

lit,

lü'j

[leu

fille la

lias,

[len-

coiffe;

une

en arrière, égrene son

chapelet.

Dans un galetas où des langes sont étendus, une mère frappe avec son sabot son enfant, qui vient de briser une cruche. IL 0,180

26.

Ya

IL 0,185

32.

P orque

ont un siège.

elles

pleure silencieusement.

Deux jeunes femmes couvertes seulement de chemises courtes, Tune debout, Taulre chacune une chaise sur la deux hommes les regardent en riant.

x\qua-tinle seule.

33.

;

Quicn mas rendido?

Qui

Un

est le

?

des déclarations

galant fait

femme

amou-

presque de dos, semble très souffrant.

assis,

H. 0.185

qui les dédaigne;

au second plan, d'autres personnages

;

en

34.

28.

0,180

;

el

suèno.

Elles sont vaincues

Dans une prison,

L. 0,120.

de Chiton.

Chut

L. 0.120.

;

Las rinde

avant, deux petits chiens. II.

vêtu, ariai-

;

;

plus ennuijé

reuses à une jeune

une dent à un patient

deux autres qui viennent d'être opérés sortent de ses mains Tun perd le sang par la bouche, l'autre, clie

L. 0,125.

Au

Un charlatan, magnifiquement IL 0,195; L. 0.149.

27.

— IL 0,175:

Al conde Palatino. comte Palatin.

assise, portent

tête

?

fut-elle sensible ?

Dans une prison éclairée par une lanterne suspendue au plafond, une jeune lille assise

tienen asiento.

Mainlenant,

fue sensible

Pourquoi

L. 0,135.

;

L. 0,130.

;

soupirail

grillé,

par

le

sommed.

éclairée par

quatre

une sorte

femmes sont

endormies.

!

IL 0,190

Une jeune

demi caché sous la manlille, fait un signe à une vieille a[)pujée sur un bâton à droite, un tronc éh'gantc, le visage à

35.

;

L. 0,135.

Le descanona. Elles

le

rasent.

;

Dans une chambre meublée seulement commode, un éléganl se fait raser par une jeune femme qu'il regarde en coulisse en arrière, une servante portant une cuvette, une vieille duègne.

d'arbre.

d’une

IL 0,190; L. 0,125.

29.

Eslo

si

que

es leer.

;

Voilà cc qui s’appelle

Un personnage

assis, les

lire.

jambes

croisées,

11.

0,195

;

L. 0.135.


CATALOGUE DE L’OEUVRE GRAVE

1G(>

36.

deux

Main noche.

de

Mauraisc

épaules.

nuit.

Par une nuit orageuse, deux femmes, dont l'une porle un paquet ei dont l’aulre a les jiqies relevées par le vent, iiasseiil par

milieu désert: au

loin,

IL 0,190 43.

0,190

d'autres ])erson-

Un homme Si uihrd

di$cipulo ?

inài< cl

table,

la

à

j'i

à

lire

la

raison enfante

le

les

coin d'une

lui voltigent des

présente un cixqyon

chauves-

un de ces derniers lui pour l'engager à repro-

duire scs visions.

d'aulres Ones lirayent.

H. 0.183

L. 0,120.

;

La légende

0.185; L. 0,120.

II.

razdn pjroduce rnons-

dort a[)puyé sur

autour de

souris et des hiboux

la main, enseigne un ànon; plus loin,

àne, une IVuade

gravement

leurs

monstres.

L'ch’cc en saiira-l-il davantaçjc 3

Un

El sueno de

L. 0.130.

;

sur

L, 0,120.

;

Le sommeil de

II.

portent

qu'ils

truos.

nages.

37.

ânes

est inscrite

à

même

la gra-

vure dans l'angle inférieur de gaucho.

38.

Brahisiiiio ! lU‘avii)iimo

Un àne guitare et

un singe jouant de

assis éeoute

seconde lient

Aÿla su ahuclo. Jusqu'à son grand-pcrc.

45.

H. 0,20o

;

De que mal morirâ ? De quelle maladie mourra-t-il?

II.

moribond

0,180

le

;

L. 0,123.

y a beaucoup à boire.

11.

singe

fait

sur

tête

0,180

;

L. 0.133.

Vorrcccion.

Des sorciers tête

portrait

le

;

Correction.

<rnn àne qui

bi toile

ii'i'il

d'animal

et des sorcières

plusieurs

et

dont Lun à

munis

d'ailes

s'élèvent dans les airs.

IL 0.190

peint,

de cheval coilfée d'une 47.

perruque à marteaux. II.

L. 0,130.

lui, et

0,185

au fond, deux person-

;

46. ;

on aperçoit une

0,190

souris s’envolent.

de médecin tàte

ni moins.

pose devant

42.

;

une troisième

au fond, suspen-

veau-nés, en haut, à gauche, des chauves-

Ai màs ni menos. Ai

Un

l'aide;

main

as-

Tl ois horribles vieilles prisent et conver-

L. 0.135.

nages debout.

à la

femme,

deuxième, une

sent; à leurs pieds, un panier plein de nou-

pouls à un

.

vieille

Macho hay que chupar. Il

sciili'.

Un àne en costume

41

une

femme

vieille

un balai

11.

portraits d’autres ânes.

40-

jilan,

(juenoniile; au

due par des cordes, une nichée d'enfants.

Un àne en costume d'homme, assis ilans un l’aiiteuil, contem[>le un album rempli do Aqua-linto

delijado.

Au premier sise, file sa

L. 0,130.

:

]lila)t

la

en arriére, deux personnages rient

0,18;j

Elles filent metiu.

ajiplaudissent. 11.

39.

;

44.

!

;

L. 0,130.

Obsequio d

maestro.

cl

Hommages au

maitre.

L. 0,130.

Des sorciers

Tu que no Toi qui ne

puedes...

peur

fias...

Deux hommes sont courbés sous

et

des sorcières sont pros-

ternés devant leur chef amiuel offre le

poids

un enfant nouveau-né. 11.

0,190; L. 0,125.

l'un d'eux


CATALO(iUE DE

48.

L’

OEUVRE GRAVÉ

Soplo7ies.

167

à la main, s'apprête à manger ce qu'un second [lersonnage lui présente dans une tasse en arriéré, un troisième personnage les

Souf/leiü'S.

;

Un grand

dialdo ailé, à califourchon sur

un chat, réveille de son souflle trois moines endormis; au loin, diirérents personnages

poings fermés.

II.

;

55

L. 0,123.

.

Trois êtres monstrueux à grosse tête, Tun et

causent en-

semble. II.

0.190; L. 0,130.

Los chinchillas.

remplacées par des serrures fermées, et jeux clos, reçoivent la nourriture d'un troisième les veux bandés et orné d’oreilles

56.

L. 0.120.

coupent

0,130.

hercule à jambes de satyre soulève [deds un homme en riches vête-

les

ments dont

II.

les ongles.

57.

Un démon coupe les griffes du pied d'un second démon un IroisiéJiie abrite les ;

deux premiers de ses

L,

Subir y bajar. et descoidre.

Un par

Se repulen. Ils se

;

les

mains

et

la télé laissent

échapper des llammes; deux autres [)Crsonnages tombent du ciel à ses côtés.

d'âne. ;

d'une ex-

décré[dte,

Monter

les

0.173

0,190

II.

les

II.

femme

vieille

coquetterie.

Deux personnages blasonnés sur la poitrine, Tun debout, Taulre couché, les oreil-

.

mort.

la

trême maigreur, assise devant sa table de toilette sur laquelle se trouve un miroir, essaie une coil'fu''c; au second plan, une femme et deux hommes se rient do sa

Les chinchilias.

51

L. 0,120.

Ilasta la rnuorte.

Une

d’eux assis à terre, lioivent

;

Duendecitos. Petits fantômes.

50.

Jusqu'à

49.

0,190

0,190

II.

ranLasli(|ues.

0,

La

190; L. 0,125.

filiaciÔH.

Le signalement.

Dans une réunion de famille a lieu la du contrat de mariage d'un horrible nain dont on ne voit que la léde. avec une jeune fille le visage caché sous un mas-

ailes éployées.

lecture

II.

52.

0.180; L. 0,12.5.

Lo que puede un sastre! Ce que peut un tailleur !

Des dévots

que d'animal.

et des dévotes se prosternent

au pied d'un arbre sur lequel on a drapé un vêtement religieux. II.

53.

perroquet sur la

jiatte

le

0,190; L. 0,113.

Trdgala perro Avale

!

d'une énorme seringue

semble menacer de son instrument un second religieux à genoux qu'entourent d'autres

rebord d'une chaire

droite

!

cela, chien

Un moine armé

Que pico de oro!

d'église,

58.

0,193; L, 0,120.

Quelle bouche d'or!

Un

II.

levée

et

le

bec

moines; dans

le

fond, différentes figures

fantastiques.

ouvert semble prononcer un sermon devant IL 0,190

un auditoire de moines qui l'admirent. II.

54.

0.190; L. 0,133.

El vergonzoso. Le honteux.

Un homme aux traits obscènes, une cuiller

59.

;

aun no Et

ils

L. 0,120.

se

van!

ne s'en vont pas encore

Deux hommes nus

et

!

décharnés soulèvent

avec peine une énorme dalle

(|ui

menace


I

CATALOarE DE L’OEUVRE GRAVE

(18

(le reti'inil)er

sur eux

avec

les regaialenl II.

60.

!..

;

;

parasol ouvert au-dessus du groupe

d'aulrcs personnages

le

ell'roi.

Eiisayos.

loi (.'norme

II.

bouc contemple un

homme

66

.

gauche, dans l'angle inférieur

.

Allâ va eso.

Un groupe compose

67. (.les

les airs

185

0,

Aguarda que

Qiiiéii lo creijera

unten.

te frotte.

pattes de der-

d'homme

terminée par un pied aii’s,

s'échappant des mains (jui

liciuide cpii se

vien-

trouve

!

dans un vase placé devant eux.

par deux monstres, deux sor68.

0,190; L. 0,130.

Linda maestra! Jolie maîtresse!

airs.

0.185; L. 0,130.

II.

Miren que cjrahes

Comme

ils

Deux airs, liéat,

avec des oreilles d'àne,

précédées d'un hil>ou.

11.

69.

sert

un groupe de démons

et de

sorcières. II.

0.190

;

va

maman

?

Une grosse femme nue est enlevée dans par trois démons dont l'un chevauche un hibou; à droite, un chat tient un les airs

femme, nu

vieille

et les bras

le

buste découvert, se

qu'elle

tient par les

en guise de soufflet pour

un feu sur lequel cuisent des os humains; à droite et à gauche, différents personnages plus ou moins réels. activer

IL 0,175

L. 0,125.

Bonde va rnamii? Oit

L. 0,120.

d'un enfant

jambes

nnit sombre, un dialdeailé enlève airs

;

Sopla.

Une Buen viage. Bon voyage. la

0.185

;

Elle souffle.

0,185; L. 0,120.

les

une

travers les

Signé à gaucho, dans l'anglo inférieur Goya.

l'un 0

l'antasti(iues.

Dans

vieille et

Italai à

!

chevauchent gravement sur des animaux

II.

une

!

sont sérieux

tête d'oisean. l'autre

sorcières nues,

jeune, chevauchent sur un

Deux personnages d'aspect

65.

chat.

d'un diahle et d'nne sorcière nus

cières nues se battent, suspendues dans les

te

Une chèvre dont une des rière est

II.

dans

un

L. 0,120.

nent de l'oindre d'un

Excitées

;

s'enlève dans les

Qui l'aurait cru!

64.

de chauve-souris,

nus tous deux, passent

en compagnie d'un serpent sur

Attends qu'on

man-

L. Ü.I25.

:

ailes de paiiillon

étendue, s'enlève dans les airs; trois

Il,

hé(iinlle,

IL 0,185

sorcières accroupies sous ses pieds.

63.

d'un diable et d'une

Volavouiit.

sur la tète, tenant en guise d'ailes sa

L. 0,115.

la ('pieue duciuel est installé

Yolavcniitf.

62.

;

;

;

0.l:12o.

l'ne jeune cdt'ganle,

tille

dans

Gare!

par

0,185; L.

0,180

tenant une

Cioi/a. II.

;

village.

sorcière à grandes ailes

des (pienouilles.

SigiH' à

et.

une femme nus riui s'essaient à voler; en avant une cruclie, une l(i‘te de mort, deux cliids et

un

Signé à gauche, dans l'angle inférieur Goya.

0.130.

Essais.

61

fond, à gauche,

70.

;

L. 0,115.

Devota profesion. Pieuse profession.

Une femme nue fourchon sur

les

à longues oreilles, à cali-

épaules d'un diahle à jam-

bes de satyre, également

nu

et assis à terre,


CATALOGUE DE L’OEUVRE GRAVE prête serment sur

un

livre

que deux person-

bâton de

169

commandement

à la main, débite

j

nages à oreilles d’àne suspendus dans airs,

revêtus d'ornements

et

des sornettes à trois imbéciles qui l'écou-

les

sacerdotaux

tent. j

tiennent ouvert avec des tenailles

en bas, deux II.

71.

Si

à gauche,

:

hommes nageant dans un

0,18a; L.

77.

0.1 20.

Vnos d

otros.

Des uns

aii.v

démons

armés de hâtons en guise de lances, piquent une cor-

ques, deux vieillards décrépits,

et de

sorcières

nus, en plein air, par une nuit étoilée.

beille

autres.

-Montés sur les épaules de deux domesti-

jour, partons.

le

Conciliabule de

72.

L. 0,130.

;

amanece, nos varnos.

Voilà

II.

0 190

11.

lac,

0,17a

L. 0.123.

;

Tu ne t'échapperas pas. fille,

H. 0.193

par

poursuivie

quatre

monstres à tête humaine, s’échappe en riant.

73.

78.

Despjacha, (pie despnerlan.

Une faire.

74.

0,190

;

réveillent.

debout

femme, un

vieille

balai à la main,

homme

nettoie des assiettes; au second plan,

;

II.

ils se

s’approched’unetablesur laquelle un

Un homme assis sur un sac aide une femme à dévider son écheveau à gauche, fille

un

L. 0,133.

;

Mejor es holgar. Le rnieu.x est de ne rien

une jeune

dos

L. 0,130.

;

Dépeche-toi, 0,193

II.

cornes, simulant

que porte sur son

cinrjuièrne personnage.

V’o te cscapar/ls.

Une jeune

munie de

d'osier,

un taureau,

autre neau.

et riant.

homme H. 0,190

L. 0,130.

79.

iVo grites, tonta.

souffle

le

d’un

feu

un

four-

L. 0,133.

;

Nadie nos has

visto.

Personne ne nous a vus.

Tais-toi, imbécile.

Une jeune

fille s’effraie

fantômes qui dans

apparaissent

suspendus

Cinq moines dans un

0,190

L. 0.133.

;

80.

a-t-il

Un homme

et

Ya

es

hora.

C’est l'heure.

personne qui vienne nous

détacher?

Quatre moines qui viennent de se lever s’étirent et bâillent.

une femme attachés à un II.

milieu du corps font de vains efforts pour s'échapper ; un oiseau de nuit les ailes éployées pose une patte sur la tête de la femme et l'autre sur une branche de arbre par

boivent à

H. 0,190; L. 0,133.

No hay quien nos desate? N'y

cellier

pleins verres, auprès d'un gros tonneau.

les airs. II.

75.

lui

à la vue de deux

19.3;

L. 0.133.

le

81.

_

Sueno de

mentira y de

la

la

incons-

tancia.

Rêve du mensonge

et de l'inconstance.

l’arhre.

Une jeune femme demi-nue, avec des un double visage, occupe

H. 0,193; L. 0,140. 76.

— Esta

ailes de papillon et Uin'L.. pues, coino digo... eh

daclo!

Y

si

!

cui-

êtes-vous?...

donc,

comme

je dis...

eh bien', prenez garde! sinon...

Un

le

personnage en costume de général,

centre de la composition

homme lui

aussi le

;

à sa droite,

une main qu'il pose sur sa poitrine; à sa gauche, une autre femme

un

no...

à

a pris

double

main; sur

le sol

visage, est

lui

tient

1

autre

étendu un diable sans .1

»


CATA L OdliE DE L’OEUVHE EU A VE

170

veux: à oiseau; la

lionrlie 11.

un

rôli’'.

pins

sorpcnl-

loin,

en si^ne

o.Ki;;

<le

82.

avaler nn

ne

l'ait

im

ciel;

i>as

II.

épreuves

soiil

homme

essaie de faire [tren-

assis

dre une médecine à nn

doigl sur

le

silence.

E(0t(‘ phinciie. lE.mlli's

dos

à

0,220

;

[)etil eliien.

L. O.laO.

Cotto [daneho, dont les éprouvés soid, des [dus j'aros, no fait [)as [)artie ilo la suite éditée des Caprices.

E. Ü,l3d.

;

]ilns ra.i'os,

(’diloo

])r('l

une reninie

dos

partie do la suite,

('iijirices.

83

.

— Dans nnc [irison,nne femme

les

An premier

[dan, une vieille

lamente; une jenne

femme

rlievenx et une suivante

femme

se Cette planche,

s’arrache les

dos

hras an

lève les

est

pieds attachés par une chaîne à

[dus

rares,

endormie,

la jiuiraille.

dont les épreuves soid. ne fait [>as [>artie de la

suite (idiUio des Caprices.

Los Proverbios. Les Proverbes. La

Proverbes sc compose de 18 planches. Un premier

suite des

en fut

fait

en feuilles

tirap,’e

on I8h0, à Madrid, à nn noml)re très restreint d’exemplaires, par nn par-

ticulier qui édait alors

mer une première

dédenteur des enivres. L’Académie de San Fernando

fil

impri-

planches devenues sa propriété, réunies en volume à

ces

fois

et une seconde fois en 18!)l, sous le titre de: Los Proverbios : ocho lâminas invenladas y grahadas a la agua fuerle par 1). // Francisco Goya. Publicala la Real Academia de Nobles Arles de San Fernando. Madrid ISGi. Goya, de son vivant ne ht tirer de ces gravures (fiie quelques épreuves

2dü cxenqilaires en 1804 coUectiôn de

(liez

d’essai, quelquefois en

plusieurs

états,

devenues aujourd'hui des plus rares. Les le Journal l'Art, ont dù, dans série, quoiqu’elles ne soient pas comprises

O planches supplémentaires, imprimées en 1877 par la [)ensée

dans 1

.

de rauteur, faire partie de

la suite

la

des Proverbes.

— Six femmes

en costume de majas

lier-

4.

nent à l'aide d’une couverture, des mannequins et un àne morl. Eau-foi'te et

ai jiia- tinte.

II.

0.210;

Un géant danse

gnettes devant un

fantéme sous un II.

3.

0,320; L. 0,220.

Vente

Dos soldats fuient d'une

taille

vue d'un

aiganlesquc,

cio

5.

1.5

— Epreuves

francs.

Un homme

ciievaucliant

un monstre

dans ses bras une femme mains au ciel.

ailé, sonlienl

L. 0,;510.

;

Ih Loforl, Paris. 1869.

proniier état; 14 et

caché

suaire.

l.argc 0.21:1

é[ierdiis à la

soutient

specires édentés.

L.

II.

(juc

un autre personnage; au second plan, deux

0..S20.

2.

en agitant dos casta-

mannequin

lève les

Sur un arhre mort, suspenihi au-des11.

cpii

0,325; L. 0,215.

sus d un ahime, une dizaine de personnages

sont assis écoutant un orateur envelojijié

dans

sa niante. II.

0,210

;

L. 0,32:7.

6.

Au

[ded d'un

homme armé

renqiart en ruines, un

d'une lance de picador vient

de jeter à terre un vieillard qui

demande


CATALOGUE DE L’OEUVRE GRAVE grâce

vue

;

en aviint, au preniior plan, une

femme

tumes de mnjoset demajas dansent en agi-

dos; au second plan, au milieu, un

(le

homme

et

une femme, plus

loin,

tanl des castagncites.

d'autres

IL 0,210

personnages. Signé à gauche, dans l'angle inférieur Goya. IL 0,215

13

.

et à leurs

un doidde pied,

croise les

de

14

la

mains sur

mon-

L. 0,325.

;

Deux personnages ridiculement habilsaluent cérémonieusement; en arrière du premier, un homme monté sur des échasses; â droite, un majo embossé dans [dus loin, un soldat assis à terre sa cape se

;

une foule regardant

et

deux principaux

les

acteurs de la scène.

més

mou-

.

lés

L. 0,.325.

;

s’enlèvent dans les airs,

mains.

IL 0.215

une foule agenouillée devant eux. IL 0,215

De nombreux personnages sont

enfer-

IL 0,210

L. 0,320.

;

15

— Un personnage fantastii[uc,

largo

domino

petits

— Sur une pelite estrade

qu'entourent de

à genoux, un moine prêche; à gauche, un soldat se précipite dans un ahime; au dernier plan, des hommes montés les uns sur les autres cher-

nomlireux revêtu d'un

capricieusement

et

porte sur un coussin de

.

L. 0,320.

;

juseju’au cou dans des sacs. IL 0,210

9.

s'appuie sur centre

le

ventre; l'homme, les bras étendus,

tre

8.

Jambe

occupe

femme

comiiosition; la le

hommes

Des

voir avec des cordes attachées à leurs pieds

Un double personnage, composé d’un homme et d'une femme accouplés par les épaules et dont charpie

L, 0,325.

à l'aide de grandes ailes qu'ils font

7.

:

:

L. 0,320.

;

171

coiffé,

chats (pie

deux femmes vont recevoir de ses mains; loin, une femme, un nouveau-né au sein, un vieillard assis et lisant, un homme

debout

fidèles

et.

chent à soutenir une large draperie.

plus

0,2 tO

II.

;

L. 0,320.

Vente P. Lel'ort, Paris, 1809. Epreuve 2.5 francs E[ireuve do de premier étal

courant.

:

;

11. II.

10

.

deuxième

0,215; L, 0,325.

— Une jeune

femme,

les

bras levés vers

16

emportée par un cheval emballé (pii a saisi sa robe par les dents et la tient suspendue, sur le point de tomlier; au second plan, une autre femme va être dévoen arrière rée par mi animal fantas-liipie un monstre avec un seul œil au milieu du front et un groin de porc.

0,210

11

.

droite,

dans l'augle inférieur

un autre

.

;

.

Trois

autre

;

plus

loin,

L.

0,325.

personnages se mo([uent

homme armé

femmes en

cos-

d'une seringue.

IL 0,215; L. 0,325.

18

L. 0,320.

et trois

[larlant

;

voyant pénétrer sous une vieilles fem-

hommes

;

Différents

.

Un

vieillard cnveloiipé

teau ([ue 12

;

lui

trois liras

derrière ce dernier,

banc de huis; à ses pieds, une corbeille et un chien prêt à prendre sa défense au second plan, un homme à cheval et un

décréiiiles.

IL 0,215

expriment

main un homme

d'un vieil aveugle à moitié nu, assis sur un

arcade sombre (pi'occupent de

mes

les traits la

semble avoir

(pii

homme

IL 0 215

:

à deux tètes, court, pour-

la

par

a saisi

50.

sage.

suivie par deux personnages (jui s'arrêtent

tout troublés en

fi-.

divers personnages dont deux à double vi-

17

Une femme

16

Une femme dont

placé à sa droite

L. 0..320.

;

:

et se frappe le front

;

Signé à Goya.

.

la colère

le ciel est

étal

les

le

dans un man-

vent agite s'avance à travers

ténèbres, entouré de monstres fautas-


CATALOdüE DE

172 liques;

à ses pieds,

un cadavre étendu

E’

OEUVRE GRAVÉ coslume de maja, danse au milieu d’une

à

foule qui l'admire.

terre. II.

0,210; L. 0,320.

0,213

11.

;

L. 0.325.

Cette planclie. 19.

21.

les

Une

foule de gens, les

uns

efl'ravés,

ou

plutôt

deux troncs

d’arlires

recouverts de draps blancs; dans les bran-

0,213

Cctle le

tili'i.^

rier

L. 0.330.

:

:

\rà,v

Que le

dont Lun

publiée

iilancliu

(jnerrero

!

journal /'J/7

1877

en

— e.t

Quel

sous guer-

uppart/.uiant

Debout, sur un cheval dont,

[lieds

les

lra[ieze,

1877 sous le Une reine de

présente un livre ouvert et lui offre

un

collier

orné de

IL 0,210; L. 0,323. Culte

[ilanclie,

Olros

lois ])Our le

quatre

lei/es

publiée en

por

peuple,

1877“ sous le

cl jnieblu,

[lar lu joui’iial

Aulres /'J/7 cl

ap[iartenant [irécédeimnentà M. E. Lucas, nu l'ait [las partie île la suite éditée des Proverbes

sonl posés sur une corde raide lendue

en forme de

grelots.

titi’C:

lui

dont un second

precédeiiiinent à M. E. Lucas, ne l'ail, pas partie de la suite éditi'e îles Proverbes.

20.

publiée en del circo,

sabre. 11.

Una veina

Auprès d'une sorte de muraille, un éhqdiant sans défenses est arrêté devant quatre [lersonnages costumés en maures,

on aperçoit un

d'un de ces arbres,

ches

;

cirque, par lu journal /'J/7 et apparlenant précédeniment à M. E. Lucas, ne l'ail pas [lai'l'.e delà suite éditée des Proverbes.

aulres égayés, contemplent de loin deux

fanlùnies

litre

une jeune femme, en

Los Desastres de la guerra. Les Malheurs de la guerre. La

Malheurs de la guerre se compose de 80 planches gravées à l'eauraquaJinle et. à la pointe sèche on doit y joindre deux planches supplémenqui n'ont pas été imprimées avec la suite et qui devraient cependant en faire suite des

forle, à

taires

;

partie

L'Académie de San Fernando acquit de D. Român Garreta qui les tenait du fils du peintre D. Javier Goya, les cuivres des Désastres de la guerre et les publia en 1863 à 500 exemplaires sous le titre Los désastres de la guerra, colleccion de ochenta lûminas inventadas tj grabadas al agua fuerte por D. Francisco Goya. Publicala la Real Academia de Nobles Arles de San Fernando. Madrid, 1863. Le véritable titre donné par Goya aux Désastres de la guerre est celui de Eslragos o désastres de la guerra. Cean Bermudez les désigne sous celui de Fatales consecuencias de la sangrienta guerra Fspaïïa con Bonaparte, y otros caprichos enfùticos en 85 estampas inventadas dibujadas y grabadas por el pintor original D. Francisco de Goga y Lucientes. En Madrid. Si au lieu de 80 planches, Cean Bermudez en compte 85, c'est :

:

ci

qu'il y ajoute les H

planches siqiplémentaires

n'existe pas de tirage de la suite des

et les 3

des Prisonniers.

Malheurs de

la guerre antérieur à celui par l'Académie de San Fernando, on 1863. Les épreuves imprimées du vivant de l’auleur, quelquefois même en jilusieurs états, sont toujours rares et isolées; seul Cean Il

fait

Bermudez

les a

possédées au complet.


CATALOGUE UE L’OEUVRE GRAVÉ 1

.

Tristes presenthnientos de lo

que ha de

une énorme pierre sur un autre ennemi; une troisième en poignarde un dernier; du cùlé opposé, des français tirent sur des

jette

acontecer. Tristes pressentiments

de

ce

va

ciui

arriver.

Un homme

femmes. pâle et sinistre, couvert de

une attitude su[)pliante, regarde vers rempli de monstres menaçants. Eaud'orte.

Con razdn

0.143

II.

II.

dans

haillons, agenouillé les bras en croix,

2.

le ciel

6

.

Que

L. 0,18.3.

;

sur un

7.

haïonneltes

menacent de

leurs

pointe sèdic.

et

et

meurent

de bataille.

II. 0,

120; L.0, 83. 1

Une femme, dehout sur un monceau de met la mèche à un canon.

cadavres,

de nomltreux conihattants. Eau-l'üi'to

champ

Quel courage!

au second plan, on aperçoit

;

bien.

Que valor!

lance, l'autre d’un couteau, atta(iuent des

soldats français qui les

un

Eau-forte et aqua-tiute.

du peuple, Tnn armé d'une

te se esta.

ce te soit

Des soldats français agonisent

d sin ella.

lioinrnes

Eau-forte, aqua-Linte et pointe sèche. 0.130; L. 0,180.

Bien

Avec ou sans raison.

Deux

173

Eau-forte, aqua-tlnle et pointe 11.0,153

;

0,133

11.

;

sèche.

L. 0,183.

L. 0,103.

3.

le

peuple,

genou a[)pnyé

le

cadavre d'un soldat

va

français,

frapper d'une hache qu’il tient à deux mains

un dragon ennemi qui cherche

homme du

[)euple,

à se

Plusieurs dragons français fuient précipi-

tamment

à gauelie,

9.

0,143

0,145; L. 0,193.

quieren.

femmes du peuple

essaient de se

Eau-forte et aqua-tinte.

terre, iTiin satire ([u'elletientdes

10.

par

les

Eau-forte et aiiua-tiiite.

II.

0,140; L.

deux mains;

II.

0,133

;

Tainpoco.

ter

;

çais

;

L.

.

Des femmes lidtent contre des soldats

un enfant a la mamelle, enl’once une lance dans la puilrine d'un ennenn une seconde ;

IL 0,123

;

L. 0,190.

Ni por esas. Ni pour

français; au premier plan, l'une, portant

luttent contre

à gauche, un cadavre de soldat franplus loin, à terre, des armes. Eau-forte.

11

Et sont comme des bêtes féroces..

jieiiple

des soldats français qui veulent les violen-

0 183.

son feras.

2^lus.

Deux femmes du

cheveux par un

Non

soldat l'rançais, qui cherche à la renverser.

Y

II.

0,195.

;

L. 0,193.

;

Les femmes donnent du courage.

5.

un

à les violenter. 11.

Deux femmes luttent contre des soldats ennemis l'une pourfend son adversaire à est saisie

iVo

Des

Las mujercs dan valor.

l'autre

à terre,

défendre de soldats français qui cherchent

genre.

4.

plan,

Elles ne veulent pas.

;

au premier

Eau-forte.

second ennemi, s'ai)préte à le poignarder au second i>lan, d'autres scènes du même

Eau-forte.

;

cavalier et sa monture.

défen-

un autre à califourchon sur un

avec son sabre;

dre

Siempre sucede.

Ce qui arrive toujours.

Un homme du sur

8.

Lo misino. De rnâine.

celles-ci.

Sous une vonte, des soldats français me-

nacenl et alLaijucnt des femmes du peuple. Signe à gaucho, dans l'angle inférieur

G O gu. Eau-forte.

II.

0,133; L. 0,100.

:


CATALOGUE DE L’OEUVUE GRAVE

174

12.

Para

habeis nacido

c.s'o

Etes-vou^ ne pour cela

cadavres de ipialre guérilleros; au fond, un

? ?

homme

Sous un monceau de cadavres, un

du

grand arlire combat.

divers

et

témoignages d'un

Eau-forte et aijua-tiute.

jieuple toml.)C, prêt à rendre le dernier

0,150; L.

II.

0,195.

soupir.

Vente Signé à gauclie, dans l'angle inférieur

do

:

1’.

Lefoi't, Paris, 18G9.

iireiniei' état

17

;

Epreuve

fr.

Goija.

Jîaud'urto el aqua-l.iid.e.

11.

U,

L.

125;

17.

0,190.

13.

Amarija ju encncia.

A mère

A

prèrcn.cc.

No

SC

Ils

ne s'accordent pas.

convienen.

un gi'miu'al français à cbeval donnant un onlre à son aide

droite,

étend

le liras,

camp

placé à scs

côtés; à gauebe, des

uiu'

de

si.d-

morts

et des blessés

dats français qui altachenl son mari à un

et des

espagnols se liatlanl.

Jlevanl

femme arbre

une

eliaumière

dévashd',

jiroslernée implure la

au second

;

i)lan,

[lilié

de

deux aulres person-

Signé au milieu, dans

nages.

et

aqua-linle.

0,155;

11.

lhu ‘0

L.

18.

Goi/u.

0,125

;

L.

Enlcrrar y calinr. Enterrer et se taire.

De nombreux cadavres jonebeut

CS cl jiaso.

Le pas

:

11.

0,190.

0,18a.

:

Go;/ a.

Eau-forte

bas

le

Eau-forte et aqua-linto.

Signé à gauclie, dans l'angle inférieur

14.

;

au loin, des français

bomme

au second plan, un

est dur.

la terre;

une femme

et

pleurent.

Deux condamnés

fenl. vus de dos, les

du

par

gibet, aidés

;

droite,

mains

les

gieux leur donnent tions

peine capilale

à la

bourreaux

les

15.

Signé à gaucho, dans l'angle inférieur Goya.

l'escalier ;

des

reli-

Eau-foi'l.e, ai[ua-tintc et

dernières consola-

au second plan, deux pendus; à un groupe de spectateurs à genoux.

Eau-forte et aqua-tinle, 0.

liées,

mou-

11.

19.

— A

y

iLO liai il n.'tj

a pas

île

ci'oix,

remède.

,

pointe sèche.

L. 0,195.

liai

tiempo.

plus temps.

n'est

d'une

côté

bomme

reiucdio.

;

y« no Il

0,125; L,

155.

Et

0,130

11.

:

babitalion en

à terre,

est

les

ruine,

un

bras attachés en

un second devant un mamelouck saisit une jeune femme par la plus loin, des femmes implorent la ;

mamelüuck Le milieu de par un

bomme

la

conqiosition est occupé

allacbé de dos à un |ioleau,

que des soldats français menacent avec leur fusil en avant, à terre, le cadavre d'un

taille; pitié

de

la

;

autre

bomme

mortel

dant

;

la

ipii

vient de recevoir

le

d’un

officier, iiui

répond par

au loin, d'autres malbeureux atten-

Eau-forte, aqua-tinte et pointe sèche. H. 0,130 L. 0,195.

mort.

16.

Eau-forte, aqua-tiutc et pointe sèche. L. 0, 155. 0,125

légende

Signé à gauche, dans l'angle inférieur Goya.

coup

;

II.

la

planche.

Vente

P.

Lefort, Paris, 18G9.

do iireinier état

:

15

fr.

:

— Epreuve

50.

;

Se aprovcchan. Ils

Deux

20.

s'approvisionnent.

soldats

français

— .

dépouillent

les

Curarlos y à otra. guérir et à un autre.

JjCS

Des guérilleros blessés sont assis dans


C A TA L 0 aUE

E

1 )

I.

clinmps; au ileniier plan, deux arbres

les

0I<]

UV

26.

I !

No

dénudés. Signé à gaudic, dans l'angiG inférieur l'iau-forte ef

Sera Il

ai[ua-Lintc.

il.

0,120: L,

lo misino.

canons

en sera de même.

;

Signé à gauche, dans l'angle inférieur Éau-forl.e.

.

Tanto y

Tant

II.

27.

II.

0,120

;

hommes

jettent dans une fosse

jonebent

Signé à gauche, dans l'angle inférieur Goya.

le

Eau-forte, aqua-tinte et poiide sèche.

gauche, dans l'angle

Goya. Eau-forte et a(;ua-tinte. 0

5

.

1

,

0.130

iidVe-ieur

:

28. II.

0,120

;

La même chose en d'autres

mêmes

Les

cadavres sous

la

questions.

Populacho. Populace. foule ivre traine, attaché par le pied

femme

voûte d'un

frappe d'un hàton et qu'un

piijue d'une sorte de javelot;

Eau-forte, aqua-tinte et jiointc sèche. 0,120 L. (l,19ô.

Eau-forte

:

— 29.

;

servir. la

des blessés; ]ionr i'ond, une ville, et en avant

gauche, dans l'angle

que des de

I

hommes du

inféi'ieur

0,130; L,

30.

Et ceux-ci aussi.

0,150;

L.

Estragos de la guerra.

Une maison homhardée s'écroule à travers les poutres, on voit tomher des hommes, des femmes, des enfants et des objets ;

ini[irovisée sont soi-

gnés de nomlircux blessés

;

on opère

l'un

divers.

d'eux.

Signé à gaucho, dans l'angle Goya. l•;au-forte

II.

Désastres de la guerre.

estos.

Dans une ambulance

.

Variante do la planche précédente. II.

.

0,195.

0 200

:

coups

[leuple fra[ipent à

ton.

,

Eau-forte et aqua-tinte. 0 210

Tamhiên

L.

méritait.

Eau-forte et aqua-tinte. il

II. O.I.'iO;

Des assassins portent sur leurs épaules corde à la([uelle est attaché un cadavre

d'autres infirmiers relevant d'autres blessés.

Signé Goya.

servir.

pourront encore

Ils

aqua-tinte.

Lo merccia. Il le

Aun podrdn

et

0,193.

Des infirmiers de lionne volonté [lortent

homme

en arrière, la

multitude contemple ce spectacle.

Signé à gauche, dans l'angle inférieur Goya.

,

L. 0,190.

à une corde, un cadavre décapilé qu'une

édifice.

II.

;

:

.

Lo mismo en otras partes.

L,

Une

L.

un champ dépouillés de tout vêtement.

nids.

et plus.

Signii à

:

des cadavres de guérilleros qui gisent dans

II.

25.

des

Charité.

sol.

24.

l'extrémité

Caridad.

:

0.12.5; L. 0,190.

CiiKj cadavres de guérilleros

23.

et

0.183.

Quatre

fusils

Eau-forte et aqua-tinte.

d'autres blessés sont à terre; plus

une feiniae en pleurs cacbe son visage dans ses mains.

G 01/ a.

des

Signé à gauche, dans l'angle inférieur Goya.

blessé sur leurs

loin,

22

rnirar.

liai'onnetles des soldats français.

Deux liouuues porteul un épaules

puede

175

étendus par terre ou à genoux, vont être passés par les armes ; à gauche, on aperçoit les

É

Des hommes, des femmes, des enfants,

:

0,190. .

SC

UA

Cela ne peut se voir.

Guija.

21

( i

I-

et

aqua-lintc.

11.

inférieui'

:

Signé à gauche, ilans l'angle infériciu’

Goya. 0,115; L.

Eau-forte L. 0, 55. 1

et

[lointe

sèche.

II.

:

0.125;


CATALOGUE DE L’OEUVRE GRAVE

176 31

.

com

Fuerle

es

36.

!

Voilà une chose forte

Tampoco.

Non

!

plus.

Commodément assis, un

Aux brandies d'un arbre, à droite, trois un soldat français tire sur les pondus run d'eux pour hâter sa mort de jambes

contemple tranquillement

au centre, un second soldat rengainant son

plus loin, deux autres pendus.

;

sabre avec arrogance.

II. U,

133

Eau-forte.

— 37

L. 0,185.

;

cadavre rigide

d'un guérillero pendu à un

;

Eau-forte, aqua-linte et pointe sèche.

soldat français le

.

Esta

II.

tronc d'art)re

:

0,140; L. 0,190.

CS peor.

C'est pire.

32.

Porque?

Le cadavre d'un

Pourquoi? Trois soldats français pendent un malheu-

deux tirent les jambes do la victime, tandis que le troisième, les épaules appuyées sur le tronc

reux aux branches d'un arhre

de l'arbre, lui pose

;

pied gauche sur

le

arbre aiguisée préalablement

à,

second plan, des français

que hacer nids

Qtié hai

Que

38.

faire de plus?

d'un grand sabre, essaie de ;

le

à

!

un poteau avec des cordes

un patient attend que des soldats plus

;

Eau-forte et aqua-tinte.

IL 0,135; L.

0,190.

39.

Grande hazaîia! Con muertos ! Grande prouesse ! Avec des morts

personnages. Eau-forte, aqua-tinte et pointe sèche. IL 0,140 L, 0,185,

fusillent

le

loin, trois autres soldats.

dépecer de

en arrière, un arbre et d'aim

L. 0.183.

qui le tiennent en joue

;

part en part

;

Barbaros!

solides,

Deux soldats français martyrisent un malheureux espagnol suspendu la tête en lias et les bras à terre un troisième, armé

très

0,135

Baiixires

?

espagnols

Eau-forte, aqua-tinte et pointe sèche. II.

Attaché

33.

au

cet effet;

et des

se battent.

le

horriblement

branche d’un

cou. Eau-forte, aqua-tinte et pointe sèche. II. 0,130; L. 0,183.

homme nu,

mutilé, est fiché à la grosse

Trois cadavres pendent à un

!

arbre,

Tun

des trois liorriblement mutilé, la tète sépa-

;

34.

rée

Por una nacaja. Pour lui couteau.

Sur

branche.

banquette d'un échafaud se voit

la

cadavre d'un

homme condamné

Signé, à gauche, dans l'angle inférieur

le

Gopa.

jiour s'ètre

II.

;

la foule

considérant

Eau-forte.

35.

le

— 0,135

mallieureux. ;

40.

0.135; L. 0,183.

Alrjün partido saca. Il

L. 0,185.

en

Armé puede saber por que. On ne peut savoir pourquoi. IVo se

lesquels

ils

les

dans

41

;

homme

se jette

la

arme

mâchoire inférieure.

II.

0,133

;

L. 0,185.

ont été -condamnés au dernier

Eau-forte, aqua-tinte et pointe sèclie. 0,123 L. 0,175.

d'un couteau, un

Eau-forte et pointe sèche.

objets pour

supplice.

II.

tire parti.

sur une hête féroce et lui plante son

Sur un échafaud sont réunis huit malheureux ayant pendus au cou

;

Eau-forte, aqua-tinte et pointe sèche.

un couteau qu'il porte suspendu au cou par une corde au fond, avec

justice

fait

du tronc et fichée à une branche, et les aux poignets retenus par une autre

liras liés

.

Escapan entre Hamas. Ils

s’échappent à travers

les

flammes.

Luie foule épouvantée fuit devant

un

in-


CATALOGUE DE L'OEUVRE GRAVÉ un mari porte dans scs Ijras sa demi nue et presque asphyxiée sa mère au second plan, d’autres

cciulie,

femme un

cochon qui court; au dernier plan, d'autres malheureux qui s'écliappent.

à

;

fils,

Signé à gaucho, dans l'angle infériomGoya.

;

personnages. Signé, à gauclie, dans l'angle

Eau-forte et aqua-tinto. inliu’ieui'

IL 0,133; L.

0,190.

poinlc sèche.

cl

:

;

Goya. Eaii-foi'to. aqua-linto IL 0,130; L. O.lOo.

177

46.

Esto es rnalo. Ceci est mal.

42.

Un

Todo va revuclto. Tout va de travers.

soldat français qui vient de tuer un moine, en transperce un second d’un coiqi de sabre celui-ci, à genoux, demande grAce tandis que deux autres soldats contemplent

Cliassés de leurs couvents, dos capucins

;

des dominicains errent de droite et de

et

la scène.

gauche. Eau-foi'le

arpia-linto.

cl

Eau-forle.

IL O.RJS; L.

0,205.

47 43-

.

Des moines, pour

éperdus

l'approche

à

des

fran-

çais enlevant les objets sacrés.

Eau-forte et aqua-tinte.

Eau-forle

cl

aqua

tinte.

;

deux l'un embrassé et ses

dont

dont

veut faire lever l'autre agenouillé

pieds,

ses

elle

tient

pour

fuir;

à

la

main,

imploi’c la charité; à ses pieds, une

femme

s'échappent;

plus

49.

L.

Caridad de unamuger. Charité d'une femme.

A

l'armée française.

— 11.0,130;

0,180.

foule courant; ses

chapeau A

Eau-forte et aqua-tinte.

un mains et loin, une

au fond, un village que haliitants abandonnent à l'approche de

le

avec deux enfants, dont l'un presque inanimé; à côté, plusieurs cadavres.

gauclie,

prêtre un sac d'argent dans les

un paysan

Cruel histima!

Un malheureux, mère avec

plan, une

enfants,

à

L.

Cruel malheur!

Je l'ai vu.

elle

lo VI.

Au premier

H. 0,140;

L.

48.

Yo

0,183.

IL 0.13.5

0.195.

c'est arrivé.

église,

çais.

44.

que

Couché derrière la grille du chœur d’une un moine regarde des soldats fran-

Et cela aussi. la [ilupart franciscains,

0,133; L. 0,185.

Asi sucedin. C'est ainsi

Tarnbiéii esta.

fuient

— IL

une famille mourant de faim fille indique du doigt à un prêtre; à gauche, une vieille femme accourant à son secours; au fond, les murailles d’une lugubre masure. droite,

qu'une jeune

Signé à gauche, dans l’angle inféidcur Goya. Eau-forte, aqua-Uid-e et pointe sèche. IL 0.120 L. 0,193.

;

;

45.

Eau-forte et aqua-tinte.

Y

esta también.

IL 0,125; L.

0,175.

Et cela aussi.

Une femme, un enfant sur

sur l'épaule, une seconde

l'autre

avec un enfant sous poulets dans la

qu’un

le

I

main

le

liras et

droite s'enfuient ainsi

lourd faialeau

;

en

avanl,

lo

un

Madré

infeliz.

Malheureuse mère.

femme

bras gauche et dos

roisièine personnage ployant sous

poids d'un

50.

Trois

hommes

conduisent en

sous les bras, une

que

la

soutenant

femme mourant

de faim,

sa fille suit en pleurant.

Eau-forte.

IL 0.130; L. 0,170. 23


m 51.

CATALOGUE DE

Gracias

la

<i

ahnorta.

et

de

grou[)e

malhonroiix cnloni'o une

l'ennne qui leur dislrilnicdii inilleU

"

— H.

liail-furto.

52.

d

iVo llcrjau

faim; plus loin,

au derdeux femmes envebqjpées dans leur mante. Eau-l'ortc

tieinpo.

Doux

58.

aqua-linic.

et

Ao hay que dur

;

O.130;

L.

les luxas

en

II.

et

Un liumme étendu [lar terre, demande la charité, plus

croix,

aiiiia-tinl.e.

0.13Ü:

11.

Eau-l'ortc cl 0

Espirâ

U

sans secours.

59.

Divers personnages cnlonrent

henroux gisant à Eau-forte.

.

1

80

aqua-linlo.

0.123: L,

II.

.

remedio.

siii

iiioui ut

loin, diffé-

rents personnages.

L. 0.180.

voccs.

ne sert de rien de crier.

Il

an second plan, un

cadavre ol des mines. Eau-forte

aceourcnl an seeonrs d’nne

l'oinines

Iroisionio qui défaille;

54.

ite

gisant sur le sol

nier jdan,

0,l5,j; L. 0,17;i.

Elles n'an'ivcut -pas à temps.

53.

bomme

0.180.

-

un enfant mourant

un autre

Grâce au millet.

Un

GRAVE

L’OEl^VliE

nn

O.UU

De que

A

terre. 11.

maU

Une femme ;

L.

O.lG.'l.

una

sirve

lassa y

quoi sert une tasse

y

dans une

a[qiorte

tasse,

femmes mourant

réconfortant à d'autres

un de

faim.

Clamorcs en vano.

Eau-l'ortc cl aqua-linto.

Vaines clameurs.

H. 0 123

:

E.

0,173.

Des inallienreux mourant d'inanition, implorent en vain nn frain ais, devant la

60.

porte d’une auberge. Eau-forte

et

ai|ua-tinlc.

II.

:

lus socorra.

a personne ]}Our renir à leur

)i'y

secours.

L.

0.175.

55.

No hay quien Il

Trois malheureux gisent

ho pcor Le pire

trième est

CS pedir. est

Un groupe de mallieurèux mourant île ‘faim demande en vain la charité à une dame française qui demeure iirqiassihle an

à terre,

debout,

tons sentent

visage;

de mendier.

encore

les

la

un qua-

main sur

approches de

le

la

mort. Eau-l'ortc

cl

aqua-tintc.

If.

0,123: L.

0.173.

;

secoml plan, on aperçoit un français. 61. Signé, à gaucho, dans l'angle inférieur

:

Seraient-ils d'une autre race y

Goija.

Eau-l'ortc 0

56.

.

1

80

et

aqua-tinle.

II.

0,125: L.

.

Al cementerio

Au

!

Eau-l'ortc

!

et.

aqua-tinte.

11.

0.135

;

L.

0.180.

Au premier plan, à gauche, nn mendiant accom|iagné dosa femme et de ses enlants, implore la charité de deux français i|ui son bundjle redemeurent insensibles ti

cimetière

Deux hommes à mine bestiale, portent un cadavre à un cimetière; plus loin, à terre, un autre cadavre; au dernier plan, une femme avec un enfant au sein.

57.

Si son de olro linaje'.'

au

loin, d'autres

Eau-l'ortc cl

personnages.

aqua-tintc.

11.0.130;

L.

0,173.

62.

Las camus de Les

lits

la

muertc.

de la mort.

Une femme regarde en pleurant de nom-

Sanos y enferrnos. Bien 2 mriants et rnalades.

Sous une voûte, deux femmes, un

ipiéte;

breux cadavres alignés Eau-l'ortc

bomme

0,185.

ol

jiar

aqua-tintc.

terre.

11.

0.1-13:

L.


CATALÜ(iUE DE L'OEUVRE GRAVE 63.

Mucrtos recogidos.

amoncelées, un crâne, etc.; au milieu, au

Morts ramassés.

premier

auprès de leurs cercueils.

Eau-1'oi'te II, U,

130;

Un

cimetière.

le

les

jamhes un

cadavre

qu'un second personnage

île

femme

l'aide à charger;

Eau-l'orto et aqua-tinte.

à coté,

désespérées; assis

un

femmes

s’enfuient

français

officier

plus loin,

II.

0,140; L.

Un groupe

71.

Esta no Ceci ne

l'est

rolie,

les 11.

0,150

sjjr

.'

bien general.

un

.

un

fauteuil,

armé de

genoux; au

griffes

un gros

vieillard à

aux mains

aux

et

livre qu’il tient sur

loin, divers

personnages

les

le vieillard.

Eau-forte et aqua-tinte.

-

H. 0.145; L. -

.

pas moins. 72.

Un cadavre, enveloppé dans son gît

d’autres personnages.

lui

Eau-l'orto et aqua-tinte.

IL 0,145

;

Las resultas. Les conséquences.

une foule agenouillée; au second [dan, une autre Vierge portée par

suaire,

à terre entouré de vam[)ires dont l’un

suce

le

sang.

Eau-forte et aqUa-linto.

L,

0,190.

11.

0,145

;

L.

0.185.

Qué locura!

73.

Quelle folie! di'oite,

des taliieaux de dévotion, des

scul[jlures sacrées

des

bien général.

0,190.

leurs; autour d'eux,

che,

el le

bras étendus contemplent

Des membres d'une pieuse confrérie por-

.

L.

;

tent sur leurs éjiaules une ^'ierge des Dou-

68.

aux autres par une au cou de chacun d’eux,

pieds, écrit sur

reli(]ues grotesques.

menos.

lo es

Contra Contre

Assis

0,190.

67.

procession de moines, et de

oreilles de chauve-souris, vêtu d’une jimple

de gens est agenouillé devant

Eau-l'orto et aqua-linto.

-

Eau-forte, a([ua-tinto et pointe sèche. H. 0,14.5; L. 0,190.

Extrada deeocion. Étrange dévotion.

un âne portant des

cheirdn.

le

chemine par un sentier raboteux.

0,190.

0,140; Li

camino.

cl

ne co)inai.sscnt pas

corde attachée

à droite, deux chiens ahoient,

66.

No saben

Lhie longue

ai[ua-l'mlo.

11.

prêtres, reliés les uns

d'aulres personnages s’enfuient également;

et

Eau-forte et ai[ua-tinto.

Ils

à une lahle et écrivant;

Eau-l'orto

dira.

L,

Qué alboroto es este y Que signifie ce tumulte? plan, deux

le

;

70.

Au premier

Lui-même

spectre, la moitié

0,195,

0,12b;

11.

0,180.

65.

N((da. Ello dira.

du corps hors de la tombe, tient de sa main de squelette un crayon avec lequel il écrit sur une. feuille de papier le mot Nada; autour de lui, de nonihreux fantômes.

au second plan, d'aulres personnages.

L.

;

_

Rien.

Caratedas a! ccmcnterio.

Le conducteur d'un char sur lequel se trouvent déjà de nonihreux cadavres, tire par

69.

Charretées j>our

0,13b

11.

L.

0,17b.

64.

aiiua-tinte.

et

0,190,

aqua-tinte.

Eau-lbrte

un moine dans une posture

[ilan,

grotesriue.--

De nonihreiix cadavres sont amoncelés

17b

télés

jonrheut

le

fantastiques

sol; à

et

gau-

ridicules

pantomima. Pantomime de chat. (iatesea

Un oiseau de

[U'oic s’a[i[iroi

he d’un chat

placé sur des gradins; en avant, un franciscain est agenouillé dévotement, les

mains


18 ü

(

jointes,

ATA

;

()

I .

capuchon rahaUii sur

le

(

;

la

f

!:

i )

i';

i .

oi']

au

Icle;

Eau-l'orto cl aiiua-tinto.

ua

\’

i-:

git

à

le sein

terre

se désespère, — peut-être — et divers autres [)ersonnages.

une femme qui

0,19b.

( ;

inanimée, projelant des rayons himineuv; à ses côtés, un évêque,

0,13b; L.

II.

i';

vêtue d'une légère tunique laissaid nu,

fond, la foule.

74.

v vu

Esta

CS lo

Ccd

est le pire.

justice

pcor.

Eau-forte

et aijua-tinte.

la

Ü,li0; h

II.

0,170.

Un

loup assis sur ses pattes do derrière

une

écrit sur

feuille

de jiapier

nouillé lui tient l’encrier

nombreuses

et a(iua- tinte.

.

II. 0,

Si i‘csucitara ?

liessuscitera

La

Ibü; L.

0.

1

90.

Farandole de charlatans. tête d'àne, de per-

neux dans

[ilus

coiqts

de

la

dont on voit appa-

corps à

le

ti'avcrs la terre

puissants et plus nombi-cux ([ue

planche

L,

précédente, et

bi'iton

(lu’elle reçoit

tes

les

la-

moines.

Eau-forte et aqua-tinte.

0,19b.

nialgré

j)rojectiles divci’s

les

d'une troupe de gens dans

dominent

ipielle

— ll.O.liô:

aijua-tinte.

et

elle ?

qui la recouvre, projette des rayons lumi-

roquet et de porc. Eau-forto

t

mémo jeune femme,

raître la tête et

Faranduld de charlatanes.

Uéunion de moines à

80

de tous côtés, de

;

figures fantastiques.

Eau-forte

75.

rHiscra Ini-

;

un moine age-

inaiiidad la culpa es liuja...

0.145

II.

;

F..

0,180.

76.

El buitre carnivoro. 81.

Le vautour carnivore.

Ficro monslruo. Fier moïistre.

Une

foule d

un

poursuit

prêtres

tour

hommes, de femmes

queue,

sans

les

s’échappe dlfiicilement

et de

gigantesque

vau-

coupées,

ailes ;

dans

Un énorme animal

ipn

Eau-forte

lointain

le

à tête de chat dévore

des débris d’êtres humains. et

aqua-tinte.

0.150; L.

11.

0.190.

(luelques soldats français vus de dos. Eau-forte

aqua-tinte.

et

II.

0.15b

Ce cuivre no fait pas partie du la suite 11 a éditée dos Mal/ieiir.s de la r/iierre. été donné à r.\cadéniie de San Fernando

;

L. 0,193.

77

.

Que

se

rompe

La corde

cuerda

la

se casse

par M. Paul Lefort qui acquéreur.

!

!

Vente

En présence d’une nombreuse qui s’agite et vocifère, un

homme vêtu d’une

tunique et d’un manteau, danse sur

82. la

Esto es

lo

:

50

7 fr.

rendu

était

P. Lefort, Paris. 18G9.

de tirage moderne

assistance

s’en

Eprouves

10 francs.

et

verdadero.

corde Voilà la vérité.

raide.

Eau-forto

ut

ai]ua-tintc.

H. 0.150; L.

78.

recouverte d’un manteau,

Se défiendc bien. Il se

Un

droit sur

défend bien. et

([ui l'atta-

quent. Eau-forto et aqua-tinte. 0 200

Mario

La

la

vérité

la

appuie

homme main

une corbeille de Heurs

pieds,

droite et

le

bras

hirsute te;

à ses

un agneau

:

pour fond, à droite, des arbres chargés de fruits.

II.

0,155;

L.

.

,

l'épaule d’un

nant une bêche de

cheval se défend à coups de ]deds

de dents d’une bande de loups

79.

Une jeune femme, dans l'éblouissement do la lumière, vêtue d’une ample tunique

0.195.

et

Ce cuivre ne

verdad.

aqua-tinte. -

H. 0.150; L.

pas

fait

de la suite

jiartie

éditée des Malheurs de la (juerre.

mourut.

Une jeune femme couronnée de

Eau-forto 0,190.

— Eprouves

lauriers.

Vente P. Lefort, Paris. 1869. de tirage moilerne 10 fr. 50 et :

11

francs.


GATALO(;rK DE l/OEEVKE GliAVÉ

181

La Tauromaquia.

La Tauromachie. La suite de la Tauromachie se compose de dd i)latiche.s gravées ;i l'eau-forle mélangée d’aqua-linle, exécuLées en partie en 1815. Le premier tirage de cette suite, Trcinta y 1res eslampns que reprcfait sous les yeux de Goya, porte le titre suivant :

senlan diferenles suerles y actiludes del arle de lidiar los toros invenladas y yrahadas al ayua fuerle por D. Francisco de Goya y Lucientes. Le second fait par les soins de la Chalcographie nationale d'Espagne en 1855 est intitulé las diferenles suerles

ayua fuerle por

al

prenla nacional.

CoUecciôn de

:

y actiludes del arte de lidiar los loros invenladas y grabadas Goya. Madrid 1855. Eslampado en la Calcogralia de la im-

un troisième

Enfin,

tirage

dû à un éditeur français,

est

M. Loizellet. Cette dernière édition renferme 7 planches de plus que les précédentes, soit 40, et porte en français le titre de la Tauromachie, recueil de quarante estampes inventées

et

Eniin

gravées à Veau-forte par D. Francisco Goya y Lucientes. Paris, Loizellet, existe une dernière planche, Les cinq taureaux, parue en 1877 dans

s.

d.

le

journal V Art qui est d’ordinaire cataloguée avec les cuivres de cette série h

1

.

il

Modo con que cazahaii los

los

an.tiyuos

a

toros

Alcordn, adoptaron esta

cspaholcs

caballo en

cl

camyo. Procédé avec lequel gnols chassaient

les les

anciens Espa-

taureaux à che-

val à travers champs.

En taureau

a

Ic.s

homme

(pii

le

tire

;

Au

à un

à gauche, un ca-

0.210

2.

;

taureau,

de cazar d pie.

le

hommes

avec

ite

0,200

;

d'élre trans-

distraire l’attention de

b. 0.31.3. Lcl'orl,

cMat

:

1869.— Eiircuve

l’aris.

19 francs.

Capean oiro cnccrrado. Us exécutent

le

jeu de

la

cape devant

le

taureau dans une enceinte. Trois

Los nioros cstahlecidos en Espana, pres-

Vente

llis

do

cxemplaii’o ;

île I

la

ca[ic sur les

316 francs.

300 francs. exemplaire de l'“ l'ddiim rai'liimii' Venic Solar, exemplaii'O di' 223 francs. broche Vente l‘. Lefoi'l, oxemplairo do l'“ l'dition. bi'ocln' 68

Salle,

edilinn,

au liremier plan, l’un à le second au milieu, la épaules, le troisième vu de dos

Alaures

droite, accroupi,

cindiendo de las supei'sliciones de su

maroi|uin

tau-

0,200; L. 0,310.

II.

'

le

travers

désarçonné et dont lerlieval blessé se droite; du coté opposé, trois autres

leur lance; au fond, des arbres.

un taureau vient

Venle 1’. de premier

mutile baissé et essayant

de fuir, est assailli par deux

3.

à

l'animai.

Autre procédé de chasse à pied

En

de

transpercent

coup de lance par un Maure

.Alaures essaient

L. 0,310.

modo

cet art le

dél.)at à

11.

Olro

et

centre,

(ju'il a

un autre personnage dehout. 11,

chasser

percé d'un

valier avec une lance excite l’animal; plus loin,

adoptent

champs.

cornes enroulées dans

arhre et dont l'autre est dans les mains

d'un

cl

reau

dont un bout est attaché

un lasso

caza. g arte

y lanccan un toro en

campo. Les Maures établis en Espagne se soustragant aux superstitions du Coran

4.

:

:

:

Vente

l'“

E.

édition,

li'u.ncs.

Adllnt

relinre


9. C,

182

l)iu'nons [inm-

;iyilaiil .son

lion

taureau; au

lin

ATALOC

IjK

une harriére

Un caballero espanol pui's de haber

à

Un

Mau-

0.21)0; L. 0.30ü.

11.

5.

El animoao

que

Lu

iiioru lîaziil

t'.s

cavalier espaqnol tue

maure

liazul

micr qui attaqua,

taureau

le

un taureau

cheval.

ridiculement

hahillè,

taureau gisant dans l'arène; un peu plus loin, un cheval étendu sur le sol et une

pre-

le

ciil

personnage

.son

d un turhau orné de plumes, enfonce sou épée jusqu'à la garde dans le garrot d'uu

luiicco luros ai rcqlu.

Le vulcurcux

el ca.ballo.

coil'l'é

primero

cl

unlorodes-

inala

perdido

après avoir perdu

res.

CllAVK

’OKÜVIil-:

l'iiltcn-

iiiipclei’

roinl.

hujuelle ou ajxu'roit d'aulres

Iravers

I»1':

selon,

lance hrisèe. les ri'ijlcs (le l'art. II.

(lazul luouté sur

Le luaiin' (leul. lue le (ju

il

0,20b

6.

L.

;

0,200; L, O.yiO.

elieval ar-

taureau d'uu eoup d'une lance

lieul dos deii\ 11.

un

10.

(

mains.

’arlos

11.

V lanceando un

toro en la.plaza

de Valladolid.

Charlcs-Quint tue un taureau dans la

o,:',lo.

place de Valladolid. Los moros

Itaceii

oiro capeo en plaza

Etrangement costumé, une médaille au monté sur un vigoureux

cou su albonioz.

Maures cxéculcn t

Les

dans

le

Jeu de

la

cou, Lharles-Ouiut,

cape

cheval l'once de

plaine arec leurs burnous.

la

lance sur

la

le

taureau qui

s'avance furieux.

Lu Mauir

teiiiuil sa cajie

des deux iiuiius 0.210; L. 0,310.

la

et

laissant Iraiuer derrière lui. excite

taureau placé

à di'uile

;

au

set'oiid

le

Vente P. Lefort, Paris, 1309. de premier l'dal. 16 l'r. 50.

plan, un

Epreuve

:

autre Maure

une

regarde

Laniiual

;

:ut

l'ouil.

Iravers la(|uelle ou ajiei'çoil

l)arrii“re à

11

.

El Cid Cainpeado)' lanceando oIro toro. Le Cid Carnpeador frappe un taureau

(juelipies spectateurs.

0.200

11.

7.

(Jiiijcn.

;

de sa lance.

L. o.30;i.

\'ètu

de los arpon.es d banderillas.

(h'bjine des

harpons ou banderilles. cheval,

,\

limite,

laureaii

le

peler

regarde un .Maure

main gauche pour apralteuliou de l'animal et de le main de

teiiaul sa cajie

la

II.

une

hari’iérc.

derrière

hupiellc

taureau qui

0.200

;

L.

furieuse-

l'assaille

0.215

;

L. 0,315.

Vente P. Lefort, Paris, 1860. 23 traucs. de premier étal

Epreuve

:

sont 12.

Iiesjdrrete

de

la

cunalla

con lanzas,

médias lunas. banderillas II.

soliéle

ment.

une llèchc doul il va le l'rajiper; ;i gauche, au second plan, dei.ix Maures; aii d'autres .Maures.

une petite

monté sur un

Lid assène un terrihlc coup de

le

h)uce au

droite,

l'ouil.

d'uu costume étrange,

sur les épaules,

Cii[)e

O.ülb.

//

otras ar-

mas.

8

üaijida de un inoro estando

en. lu

Un Maure

un taureau

est assailli piar

La populace coupe

plaza.

dans la place.

Lu

.Maure, l'euversè par

cl le

taureau, est se-

un autre cmuhatlaul i[ui saisit animal par une corue de la main gauche

cnui'ii jiar 1

el

qui va

lui

lancer un haïqiou de

droite. 11.

la

uuiiu

;

L. O.blb.

jarrets d'un tau-

\

autres armes.

droite,

ti'ois

hommes mcuaccul

le

tau-

reau qui s'arrête devant eux; deux autres

homuies sont renversés et troisième plan,

11.

0,205

;

à

terre; au second

quatre autres personna-

ges. 0,20b

les

reau avec des lances, des demi-lunes

L. 0,310.


CAÏALOr.l'K DE 13.

Un

caballero c^panol CH j^laza quebrmi-

do rcjancillûx

Un

üiii

au-iiliu de

chevalier crpagnol place

aans

rilles

I

chidoa.

.Maure

de:>

bande-

en avant

valier velu d'un cosluine

un javelol au laureaii

rlicvnl.

sur

un che-

fanlnisie, lance

ilc

;

0,2U0

14.

;

H.

18.

très habile

du tau-

lutle avec le taureau

lonihé sur les genoux; au fond,

la

harrière

noinlu’cux spectateurs. O.200

II.

plaza de

;

reau

du

L, 0,300.

contre

l'ace,

le

à droite s'avance .Martincho, les handerilles

main; au tond, les liarrières du droile. de nomhreux s[icctaleurs

à la

ciivpie

0,200

II.

;

L. 0.310.

El mismo vuclca

gauche,

[mis,

:

la

porte

son gardien la

([ui

hari'ière

et

s|iectateurs.

L. 0.310.

;

en la

suip:i

du mrmo

folie

une

rouge

misma plaza. la

même

d’un

ta[iis

d'Uts

recouverte

taldc

sur

traine

([iii

le

sahle de

l'arène.

Martincho se lient dehoul, les [deds entravés, sauter [lar les liras étendus en avant, [irét .à

taureau (pu s'avance attiré [lar la couleur (lu lipds au second [dan, adroite, ([iialrc toreros; à gauche, l'un d'eux se dirige dessus

à

;

pli ace.

Sur lc([uel

elle

Otra locura

Autre

taureau vers

toril

nomhreux

0,200

II.

en faisant des écarts.

milieu, de

du

sort

(pii

Le fameux Maidincho pose des banderilles

la

toril (juc vient d'ouvrir

s'ahrile

19.

dans la main droile. le main gauche, attend le tau-

l'estoc

derrière, de

El f'amoso Martincho ponienilo handc-

place de

la

.Marliucho assis sur une chaise, les [deds entravés,

rillas al quiebro.

16.

la

Saragosse.

chapeau à

Falces emhossé dans sa ca|ie, un large

E|U'ciivc

Témérité de Martincho dans

éludiant de Falcès. em-

sonilirero sur la tôle,

et

180'.).

l’ai'ls,

17 l'rancs.

:

Temeridad de Martincho en

El diestrisimo esliidiante de Falccs,c:n-

reau avec des écarts.

Au

Lefoi'l.

I’.

[U'ciuicr ('lat

(le

bossé dans sa cape, se Joue

[lar der-

Zaragoza.

Le

15.

nnunc taureau

le

L. 0 310.

0, l,S5;

V(Uito

bûzado, hurla al toro con sus quiebros.

et (le

gauche, trois M.iures armés de

à

;

rière.

au Tond, de

L. 0,305.

;

lances alhujueul

n O ni hreux specta leurs II.

attend

(pii

le sol

Tond sur lui; en

([ui

arrière, à gauche, la harrière

un anlre; derrière celui-ci. un la hi'de de comhal, sa lance [dus loin, à droile, un anlre àne

cot; à terre,

lofi

aide des clialos.

Monlé sur im vigoureux

183

le

;

un toro

en la

plaza

vers

la

barrière

;

en arrière, de

nombreux

de Madrid.

meme

Le

culbute un

taureau dans

s[)eclateurs. la

Signi'

place de Madrid.

Martincho

saisit le

à

droile,

laureau par

la

corne

pour le renverser deux hommes cmhossés dans

droile et par la

(pieue,

0,205

17.

;

L.

II.

;

leur cape. 11.

à droite, (lans l'angle

20.

0

200

I,. ;

Ugercza // atrevimiento de Juanito Apinani en la plaza de Madrid. Lé(/èreté cl audace de Juanito Apinani

0.305.

dans

la

place de .Madrid.

Ee torero

para defenderse de! toro cmbolado. Les Maures se servant d'ànes comme

sur hupielle

l'once

protégés par

la

los inoros hcch.o

l'cmpart pour se défendre contre un

taureau dont

les

cornes sont garnies

de boules.

Enire

les

;

0,315.

con buiros

Palenque de

inh'rieur

Ctoga, 181,5.

cornes du taureau, un hourri-

exécute

0,200

la

[lerche

nombre

s'ahrile sous

à droite, les gradins vides du

;

ciiapie. 11.

saut de

taureau; à gauche,

harrière. ([ucli[ucs s[)ecla-

teurs dont un certain

des [iaras(ds

le

le

;

L. 0,303.


I

s

cATA

i

21,

en

llc^i/riiciii>t (icacciilitÿ

de MadriiL

jilazn

lu

Loci'i';

icud'ulo de

cl ,y

Dr:

i/oi-uiviiK (iUAvi-: 24.

toro. quiebrn rejoues en la p>laza de

Madrid.

iilrade de Torrejon.

dun^

('iilnutroplic arrirre

place de Mailrid

In

et.

yrailin; de

les

de

iiuirt

Le

de

tra nspei'ct' l(‘S

le

à

sf'[)aranl

rii'ro

ipii

et

retient des deux

cadavri,'

le

et l(.)inlianl les

soulevée et

25.

un aulre iiersonnagc donl les rappellent ceux de Lova liii-iuèiue. 0,210

II.

Vuloi' earoail de

(atstuiiic

montée

[ueador,

fie

26 à

taureau avec sa pi(pie

son cheval

récuvére

;

dans de

pieds

les

L. 0,:tl0.

;

un dernier

;

le

0 20.3; L.

taureau.

le

taureau

deux autres

;

(pii

se

l'assaillent

à droite. (pioi(]ue

au

à cheval,

;

au second

petit galop.

0,:il0.

bajo del toro. (diuto d'un picador

les têtes

de

li

ch.evil

devanl

le

taureau

un toréador vient en aide à au fond, les liarriéres du riiajue

au-dessus desipielles on aper(;oil

l'avant de sa selle

à

Caida de un picador do su caballo dc-

derrière

:

picador se

cali-

i'ouivhon sur uu hidet, la célèbre l’ajuelera assaille le

céité

II,

ilans la place de Sarayo.ssc

Kn

mains

un alguazil

plan,

de la célèbre Ibijiielcra

riri!

comhat

hlessé, se dirige aussi vers lui

en la plaza de Zarayoza.

C.owayc

(iehallos

l'hahile

Trois chiens atta(juent

Ibijnelera

célébré

la

moidé

Echan perros al toro. On lance les chiens après

de leur 22

face;

retourne contre eux

L. 0.3i;i.

:

la

(tésanglée.

0 20.J

II.

;

jdus loin, traits

place de

lourds étriers.

uns

dans les jainhes de un honinie saule la liarles deux fades du ciiajue:

de

l'attend

jiis(iue

l'animal furieux

la.

héle de

lei[uel est

en sautant sur

se jette

le cüU'’

des gens é|)Oiivaii-

:

fuient, se huiiscnlant

sur les aidres,

vide;

ses eornes

l’alrade

Le taureau, sur

deux (aHés

lc.s

venant de sauter

laurcaii

siHiiendu

|M,)rlanl

gauclie est

lo f'ùlé

dans

Madrid.

La l()nl]los^iou l'eiu'ésenle (lu ciiNjue;

'mc CeJnillos montant un taureau,

in

brise des banderilles

l'al-

ende de Torrcjnn.

droil iiioulre

monlado sobre otro

El inismo Ccballos

del

iniierlc

Etendu reau

à terre, entre les

jambes du tau-

s'attaque à son clieval

ipii

derrière

un picador avec sa lance, deux essaie de faire fuir la bête sauvage toreros regardent altérés; un autre torero bopiel

(luebjues spectateurs.

il

s'abrite,

;

0.20.3

II.

23

h. 0,;t0.3.

;

Mariano Ceballos. cl toro.

rindien.

dit

ger son éjiée dans les lairnes

un

sa cajic les

trau(|uille, Cehallos

le

dos

;

lui

27.

plon-

main gauche

à

le

;

ciiapie et de

nomlareux

sjieclateiirs.

El célèbre Fernando del Toro barilar-

0,210; L. 0.310.

Veiil(.( P.

Lcl'oi’l,

de premier deu.vi(''ino

('Oal

(.'la.l

:

:

Paris.

1800.

20 francs. 21 frane.s.

Mprcuvc Mpreuvo do

fiera

con su

taureau, arec sa pique, à fondre

sur

Le

lui.

idcadoi', droit sur son cheval, assaille

avec sa pique 11.

la.

Le célèbre Fernando del Toro obliyeant

l'avant de sa

an second plan, huit toreros prêts à venir à son aide: au fond, la harriére du

selle

à flroite.

yarrocha.

de l'animal de (aimhat se soutela

;

0,200; L. 0,310.

yucro, obliyando d

est incliné vers

il

de distraire l'animal

gradins du cinpie avec une

nombreuse assistance

H

attend l'atlaquc du taureau pour

naid de

tue

tente avec

pour fond,

cheral.

à.

un cheval

.^lonlé .sur

mata

desde su caballo.

Mariano Ccballos taureau

alias cl India,

ment

sa

le

taureau qui regarde fixe-

monture; en arrière

trois toreros

accourent

valier; à gauche, au

à

la

et

à

droite,

défense du ca-

second plan, galope


CATALOGUE DE l/OEUVUE un second piendor sans cdiapeau

ni

lance,

31.

que deux toreros essaient d'arrêter plus à gauche encore, un cheval à terre; au fond, les Ijarrières du cirque et divers person-

(iliAVÉ

1S5

JianderiUas de fuego. Les banderilles de feu.

;

Au

centre,

taureau avec une paire de

le

banderilles de feu sur

nages.

dos. vers leijuel se

le

un lorero venant du c('dé droit; plus du même côté, un second torero, puis

ilirige

U. 0,200

0,320.

L.

;

Vente P. Letiirt, Paris. 1809. dr douviêuio état 20 IVancs.

loin,

ICprcuvc

un groupe de

trois autres à gauche; au fond, un banderillero et deux picadores.

;

28.

El esforzado Ilendon picando un toro, de cu!/a sueide miirid en

la

à

Sigrii'

plaza de

O 01/ a,

Madrid.

Quelques tinte.

Le courageux Ilendon piquant un tau-

reau qu'il tua

coup, dans

d'un

dans l'angle

droite,

II.

l('gèros

0,210

:

adjonclions

d'aqua-

L. 0,320,

:

Vente P. Lelort, Paris. 1869. de deuxième état 28 francs.

la

infV'i'ieur

ISI.').

Epreuve

:

place de Madrid.

Ilendon plonge sa, pique dans le cou du taureau qui soulève son cheval sur sa corne

32.

seguida por un solo toro.

Deux

droite; en arrière, quatre toreros viennent

au secours du picador; un second [licador, la lance ahaissée, attend son tour d'entrer en lutte à gauche, un quatrième torero jette sa cape au taureau; d'autres saident

gi

oupes de picadores culbutés l'un

après l'autre par un seul taureau.

A gauche, deux servants conduisent un au milieu, le taureau laboure de ses cornes un

;

jiicador dont le cheval git dans l'arène

la harrière. II.

Dos grupos de picadores arrollados de

autre cheval à terre, dont

0,205

;

L. 0,310.

Vente P. Lefort, Paris, 1809. de douxiéuie état 26 francs.

Eprouve

tenu

[lar

<lans

les

deux toreros

le

;

cavalier sou-

lui

enfonce sa lance

lianes; à droite,

un autre cheval

:

29.

gisant et deux toreros s'avançant vers Peqye-Illo hacieiido el recorte al toro.

Pepe-lllo faisant des passes devant

bête le

main gauche,

épaules,

le iiiulle

retourne furieux

le

e.élèl)rc

du taureau qui

les

se

33.

;

:

muerte de

Pepe-lllo

l'arène, le malheureux cramponné des deux mains

Etendu dans

;

état

La desgraciada

Mort malheureuse de Pepe-lllo dans place de Madrid.

L. 0,310.

Eprouve Vente P. Lefort. Paris. 18G9. Epreuve de de premier état 22 francs.

deuxième

Epi'cuve

en la plaza de Madrid.

barrières du cirque.

0,230

:

autres toréadors; plus loin, deux picadores;

II.

la

gradins du

Vente P. Lefort, Paris, 1869. de piemier état 28 francs.

torero

à gauche, un toréador cape; à droite, quatre

;

embossé dans sa

au fond,

les

IL 0.200; L. 0,310,

les

frôle avec son petit cha[)eau qu'il tient de la

combat; au fond,

cirque.

taureau.

La cape sur

lie

25 francs.

lllo

est

la

l’epe-

à

la

corne droite du taureau qui le laboure d’une manière horrible à gauche, un toréador ;

30.

Pedro Itoinero inatando à toro parada.

essaie en vain, avec sa ca[ie d attirer

Pedro Pioniero tuant un taureau

tention de

intino-

harrière qu'escaladent

bile.

Le torero [)elle

assaille le

taureau dont

l'attention avec sa muleta

;

il

II.

0,205

;

la

L. 0,305.

scène.

at-

divers

personnages

et derrière laquelle d'autres sont réluglés.

quelques

toréadors dont l'un à califourchon sur harrière contemplent

ap-

1

hétc sauvage; pour fond, la

la

II.

la

34.

0,200

;

L. 0,305.

Variante de

la

planche

Un toréador monté

n'^

2i.

sur un taureau,

les


1

CATALOCUE DE E’OEUVDE

80

main, se disj)Ose A les ]dadu laiireaii de combaL; à des toreros courant; pour fond, la

G

11

A

VE

lianderilles à la

cherche à attirer

ccr ilans le cou

féroce.

"auclie,

barrière

Il

II.

Gidle plaiirbo UC fail pasjjartiede la suite de la Tuiiromachie éditée à Madrid.

35

.

38

0,21o: L. 0,:i20.

Un taureau

porto suspendu à ses cornes cadavre d'un torero; à. sa droite, un picador donne un coup de lance à la bête; plus

Viui noviUaila.

le,

Deux caYaliers montés sur des ânes atteune berline, atbuiuenl un taureau qui enfom.'e ses cornes dans le ventre d une des bêtes de trait; d'autres alicionados montés

un groupe de toréadors; au fond, deux autres toreros dont l'un se cache le visage dans les mains. loin,

lés à

11.

berline ou caclié's derrière elle, tien-

la

:

.

Course de novillos.

sur

hête

Cette [)lanclie ne l'aitiias partie de la suite do la Tauromachie éditée à Madrid.

L. 0.3Ü0.

;

la

Signé dans l’angle inférieur, à droite

]jar la foule. Ü,'200

de

G 01/ U

cirque et les gradins occupés

ilu

l'attention

nent dans les mains des l)anderilles un d'eux, penebé à la portière de la voiture e.ssaie d'atteindre le taureau avec une banderille à droite, un groupe de combattants au fond, les barrières et les gradins du

ü,2o;;

;

L, Ü..313.

planche ne

fait pas partie do la suite de la Tauromachie éditée à Madrid.

Cel

;

39

.

te

Yariaule de

Au

milieu de l'arène

la T>lanche

2Ï>

;

;

aux chiens

cirque. II.

0.210

un

Celle planclio ne fait pas partie de la suite de la Tiiiiroinuclile éilitée à Madrid.

36

Un

torero tenant de la

main gauche un

40

.

chapeau en guise de muleta, se dispose a attaquer

le

taureau qui est devant lui;

a

un

groiqie de toreros et de spectateurs.

Variante de

Au

milieu du

dans

en arrière, des chevaux gisent dans l'arenc: au fond, un groupe de toreros entoure un taureau blessé: ifeux picadores a

le

;

la

la

planche n° JS.

ciiNpie,

un torero

assis sur

les [lieds

entravés, la muleta

main gauche,

se dispose à atta([uer

une chaise,

cauche, deux combattants embossés (lans leur cape

droite,

Cette [jlancbe ne fait pas partie de la suite de la Tauromachie éditée à Madrid,

.

taureau tient tête

alguazil à cheval sort du cinjue; à gauche,

L. 0.320.

;

le

l'attaquent; à

i[ui

taureau arrêté devant lui; au fond,

les

spectateurs. 11.

0.2IÙ

;

L. 0,320.

cheval se reposent ap[uiyés sur leur lance; a droite, auprès de la barrière, un cheval

Cette [)lancbo ne fait jjas partie de la suite de la Tauromachie éditée à Madrid.

gradins

Doux Vente P. Lefort, Paris. 1809. épreuves d'états différents 42 francs.

abandonné, [mis

les barrières et les

:

du cirque. 11.

0,210

Ci.'Ltc

:

L.

0.32:.i.

41

[danclie ncl'aitpas pari

de la Tuirroinuchic

37

.

l'ditéc à

ie rlo

.

Les cinq taureaux.

la suite

Madrid.

Uin([ taureaux sont figurés

-

II.

Un taureau emporte suspendu nes, un toréador

blessé, la tête

à ses cor-

en bas

;

un

picador galope à sa droite; au loin, trois gau(oreros sécha |q)enl épouvantés ;

che. à l'aide

dans des po-

sitions différentes.

de sa cape, un aidre torero

0,210

;

L, 0,325.

a appartenu à M. E. Lucas. on a été fait un tirage par le joui-nal /’.D7 en 1877 sous le titre de Llovia de Cette planche loros. Claie de laureaux. ne fait [la.rtie de la suite de la Tauromachie éditée à Madrid.

Le

cuivi'e

Il

.


CATALOGUE DE i;œuvre lithographié

1.

femme

Vieille

pinceau

fiant.

Elle est assise sur

un banc

et file sa

:

;

;

6.

2.

le

Le duel.

Signé

et

daté

:

Madrid-Marzo,

Litliographic exécutée à la L. 0.230, H. 0.220 roseau.

Vente

démons; au

plume

rte

7.

— Homme du peuple renversant une femme.

;

P. Lefort. Paris,

18G9.

Taureau luttant contre des

le

— 31

Un homme du

francs.

chiens.

peuple, coiffé d'un bonnet

Lithographie exécutée au crayon ot au pinceau. 11.0,130; L. 0.1.30.

Dessinée à

au crayon.

0,270

;

11,

femme

vue de dos.

assise,

combat.

LiLlmgraiiliie exécutée

8.

— Le

Martrirt.

Très rare.

moine.

L. 0.1 70.

Dessinée

à Marti’irt.

Un moine

Ti-ès rare.

debout, la tète cachée sous son

capuchon, tient un crucifix de

La femme

Un soldat

remme

la

main droite.

et le soldat.

Lilhograpliie exécutée au

assis à terre lient

dans scs bras

adjonction

qui essaie de lui échapper.

Citlmgrapliic exécutée 0,180; L. 0,120. Dessini'e à Martrirt.

nu, les bras attachés derrière

catalan, essaie de renverser une jeune

templent

5.

— 10 francs.

A Londres, au llritish Muséum. Print Room. Epreuve retouchée au pinceau.

Goya.

1819.

Six chiens luttent coiilre un taureau; l'un

une

— —

la

d’eux est lancé en Pair; deux toreros con-

au

Lithographie exécutée au pinceau avec adjonction do grattoir. 11. 0,120; L. 0,240. Dessinée à Martj'irt. Très rare.

dague.

4.

travail

second plan, d'autres démons.

de Philippe IV se battent à l'épée et à

rte

L. 0,130.

dos, est entraîné par des

Deux genlüsbommes en costume du temps

3.

;

Caprice.

Un homme

L. 0.140.

adjonction 0,120

II.

Dessinée à Martrirt. Rare, Vente P. Lefort. Paris, 1869.

nouille.

Goya on Signé au milieu rte la marge bas, à gauche, on lit Madrid-Fehrero, !$H). Litlingrapbie exéculée au pinceau et 11. 0 210: tii’ée sur papier rte couleur.

avec

grattoir.

que-

au pinceau.

11.

9.

deux enfants; an premier bre, un aidre personnage. Litliogrupliie exécutée

[)lan,

vii'ille

dans l'om-

et

au

endormie, à moitié genoux d'une femme âgée; femmes s'avancent au foml, ;

femme

est assise.

exécuti'e 0,140; L. 0,100.

Litlmgi'apliio 11.

au crayon

O.090.

fille s'est

à droite, trois

une

— IL 0,130; L. — Très rare.

les

lecture.

assise fait la leclnre à

Martrirt,

Le sommeil.

Une jeune

Très rare.

couchée sur

Une Jeune remme

rte fi'<jttis.

Dessinée à

pinceau avec

Dessinée à

.Marti'id.

au

ciuyon.

Très rare.


CATA

INS

10.

Marümo

El fanioso amcricrmo

Ccballos.

Le fameux américain Mariano Ceballos. Ceballos inonlanl un

Mai'inno assaille le

lance à

la

UT

DE l/OEDVKE

LO(i L'E

14.

laureau de plaee, une courte main.

En

10

1

”ra]ibie à

1

précédentes, ensemble; 82 francs.

;

champ, un picador fait face à un nombreux spectateurs contemscène montés sur des éminences

plent

la

de

voisines.

l'esta niiio, le titre.

Li

1’ l' Il

plein

taureau

:

Dessinéi,'

E HA

Sucrtc de vara en cl cainpo. Attaque en rase campagne d'un laureau par un picador.

:

)

(

et les li'ois

laureau,

Siyné en bas, à. f^anclie. dans le leri'ain Sons resLaiinio ou Id Véposé et Goya. lilli. dr Gatiloii. — En haut, au-d('ssns de

II

au crayon — 11.0.310; L Tirée bordeaux.

0,405.

Lilhographie

300

à

au

I.

11.

Picador enlevé

cornes d'un tau-

fuir les

15.

reau.

Eu taureau et

sou cbeval

;

de faire

doux toreros essaient

et

]irise à

à cheval

lâcher

lessinée

Signi', '

jiicador désar-

à gauche, dans

lias,

L. 0,4 lof

Dessinée

à

au crayon.

Lilliograpliio

bordeaux.

terrain

le

Vente Doncourt. pièce

12

cl

300

à

Tii'éo

un antre

l'ac-

la guitare.

en

lias,

au milieu

Goya.

:

0,183; L. 0,190.

Rare.

deux témoins. 11.

0.210

;

Dessiin'‘c à

17.

:

Goya.

L. 0,220.

bordeaux vers

1826.

— Rare.

Portrait de M. Gaulon. imprimeur-litho-

graphe. représenté de trois quarts, en buste,

est

11

la tête

nue.

Sigin.' 11.'

en bas, à gauche

270 Dessinée

Slgnéi en lias, à gauche, dans le terrain Déposé cl Sous l'eslaïupe, on lit

0.

L, 0,210.

;

;i

boi’deau.x.

;

jaleo, entourée

Duel à l'épée entre deux condjattants, dont l'un tombe transpercé; â leurs côtés,

attaquent et dont les autres s’enfuient.

Güi/a.

le

Le coup d'épée mortel.

d' Espagne.

De jeunes taureaux, conduits par des lifxnd's apprivoisés ont été tâchés dans une arene remplie de toreros amateurs dont les les

la pri’i’édeuto, ensendile: 505 francs.

Diverlisscmcnl

uns

16.

Cette

Diversion de Eapana.

13.

Très rare.

Signé en bas, à gauidie

18t)7.

Pai'is,

;

0.310:

11.

cxoïnplaires.

;

Dessinée à bordeaux en 1823.

çonné. Signé en Goya.

Bordeaux.

l'un chante et

;

compagne sur II.

le

à,

de spectateurs

l'animal qui se dresse sur ses pattes

de derrière et s'acharne sur

0,250

II.

Majn dansant.

Une jeune femme danse

vient de renverser un [ucador

un second picador

crayon.

L. 0,335.

exeuiplaiies.

Venle

:

Goya. Rare.

P. Lefort, Paits, 1869.

— 13 francs.

:

mil. de Gaalon.

— JAi

de

haut, au-dessus

18.

Caprice.

l'esta nqie. le titre.

Li

1

1 1

U g ra P h i e a U c ra y O n

.

1 1

.

Dessinée â bonleaux. exemplaires. Vente Concourt. Paris, 1897.

0 300 ,

:

L

'J’iréc

— 53

.

0 ù

.

i

1

Un jeune homme

5

300

francs.

la

tète

couverte d'un

chapeaucl élégamment habillé de diables et de démons.

est

entouré

Eiii’cuve aubrilish âluscuin. Priai

Place de taureaux en deux parties.

A

droite,

un torero

d'un coup d'épée: des handeriltes

à

a

frapiie

lui

un autre taureau.

en bas. à gauche Goya. hogixqihie au iTa.you. — 11.

19.

Scène de tauromachie.

Un picador entouré de sa

:

sur un cheval blanc. 0,:105

c.st

cuadrilla,

monté

en arrêt devant

le

;

laureau.

L, 0,410.

Dessinée

Douteuse.

un taureau

gamdie, un clmlo pose

Si.gné'.

Room,

â Londres.

a

bordeaux.

cxenijilairos.

Vente P. Lefort, Paris 1869.

Tin'e

à

300

Gi'tto iiiéee

0,310; L. 0,360. Publiée en 1821 par Seiiefehler cl Très rare, douteuse. 11.

G''.


TABLES DES MATIÈRES

PLANCHES HORS TEXTE F/'auci.sco (ïoya,

par lui-même, gravure

Les rnajas au balcon, gravure de M.

(le

M. Dezarrois

.......

Frontispice.

Léopold Flameiig

;j

La reine Marie-Louise, gravure de M. La valley

'J

La famille de Charles IV, héliogravure de Braun, Clément

La maja

La maJa desnuda, gravure de M. El torero José liomero

Scène

La

espcijjnole.

gravure de M.

l'éventail,

Don Manuel Garcia de Doua

Don

21

Dezai’rois

27

gravure de M. P. Lafond

,

J.

33

.lac(juemart

fainosa librora de la Galle de Carrelas

La femme à

17

el C‘“

gravure de M. R. de Los Rios

vcstida,

,

.37

gravure de M. Lavalley la

Prada

‘ .

héliogravure

,

Isabel Cobos de Porcel, gravure de R. C.-A.

F.

57 73

Manchon

Quichotle, gravui’e de M. l!rac(iuemond

Un mendiant, gravure de

33

lilliographie de M. C. Ldiclis

Coya

81

85 h7

TEXTE de Coya

I.

L’Ai't

II.

Vie de

Coya

III.

Vie do

Coya

l\'.

Coya peintre

son maîla'e Luzan

:

sa, jeunesse,

:

son âge inùr, sa vieillesse religieu.v

20

39


T Al’.].

190 V.

Roya

VI.

Coya peiulre de genre

^TI.

Roya graveur

ES DES MATIÈRES 52

iiorlrailisie el d'iiisloire

71

85

Calaloguc de l’œuvre peint

et

dessiné

;

l’einlures décoratives

99

Peintures religieuses Peintures d'histoire

et

-

de genre

100

105 116

Poi’Irails

Carions de tapisserie

144

Peintures do TAlmeda d'Osuna

148

Peintures de

la

Casa de Roya

Catalogue de l'œuvre gravé

Eaux Eaux

...

150 151

]>essins ;

fortes détachées

158

fortes d'après Velaz.iuez

160

Les Caprices

162

Les Proverhes

170

Les Malheurs de la guerre

172

La Tauromachie

181

Catalogne de l'auivre lithographié

187


Collection publiée sous

direction de M.

la

JULES COMTE

LKS

Série A. Antiquité

Moyen

B.

et Renaissance.

a.ge

G.

Temps modernes.

siècle

D.

VOLUP4ES PARUS Série C. Goya, par Paul I.afond, conservateur du musée de Pau. Etude luograpliique et crilique suivie des calalogues complets,

première

la

dessiné

et

2" ;

foin

:

pu/j//é.s-

de l'œuvre peint

de l'œuvre gravé

;

de Tœuivre

de 10 gravures dans le texte et de 3 planches hors texte, dont une héliogravure tirée sui'

papier du .lapon. Tirage à 30 exem-

plaires numirotés à la presse.

graphique

lithogi’aphié.

Un maguitique volume

illustré

de 70 gra-

silion de lS78. 2i gravures

du maîlre,

une lithographie. relié, 1/2

l’el.

deux héliogravures et Prix, broché 30 fr.

amateur.

a été tiré en outre

11

luxe numérotés à

;

;

40 ;

hü exemplaires de

hors texte,

du

texte,

— Prix,

50

broché

fr.

démie française. Eue plaquette

illustrée

illustrée de

— Prix

Une plaquette

dans

Sédille, par Sully Prudho.m.ue, de l'Aca-

Une plaquetle

7

Le Général Lejeune, viîZE.

.Japon.

des

d 300 exemplaires numérotés à la pixsse sur

imprimé

Paul

la liste

gravure, tirées sur pajiier du .Japon. Tirage

sur beau papier vélin, hors texte sur papier

la presse, texte

fr.

Ino-

dans le texte et de 8 planches dont une eau-forte et une hélio-

papier vélin.

fr.

de

et critique suivie

texte,

inédile

5

peinlures du maiire ayant liguré à l'Exjio-

vures dans

le texte et de 14 planches hors dont 10 eaux-l'ortes signées de nos premiers artistes, une eau-forte originale cl

— Prix.

Daumier. par Custave Ceffkov. Nolice

le

illusirée

50

de 33 gravures

liéliogravure hors

texte et d’une

tirée

fr.

par Eour.nier-Sarlo-

sur paqiier du

.Ja[ion.

à 30 exemplaires numéi'Otés d

Tirage

la presse.

5

fr.

Prix

Série D. Alexandre Lunois, par Émile

Daciek.

Une

texte,

de 17

hors

planclies

principales œuviœs du maître

lithographies originales tirées sur papier

fortes

de Chine. Tirage à 200 exemplaires numé-

Prix

rotés sur papie)' vélin

7

fr.

50

J.-C. Cazin, par Léo.nce Héxkdite, conserva-

teur du I,n

vélin

musée

volume et

nalional du Luxemboui'g. inquiim''

illustré

sur beau

pajiier

de ü2 gravures dans

le

({ualre eaux-fortes

11

originales

de

inédites

dont

Hdeux J.-C.

a été tirée en outre

pa[iier

du

la

.Jai)on

;

Cazin. l'r.

50 exemplaires

presse, eaux-fortes

avec

Irlple

suite

{épreuves d'état, avant et avec la lellrc).

Prix

les

eaux-

15

de luxe numérotés à sur

texte,

exécutées d'après

plaquette illustrée de 19 gravures dans le texte et de 11 planches hors texte, dont 3

25

— fr.


Collection publiée sous

direction de M.

la

JULES COMTE

r

VOLUME S PARUS PREMIÈRE SÉRIE

texie et de

ART ANCIEN

1)

In'diogravnre

Le musée du Barde à Tunis et les fouilles deM. Gaucklerà Carthage, par CiEorges inemlu’e

I’krrot,

de rinslilut,

'Tirage

à

)danches hors texie. dont une lirée sur jiafiier du .Japon.

200 exemplaires numérotés à

presse, sui' papier vélin.

Prix.

7

fr.

la

50

directeur

de rik’ole normale supérieure. Une plaijueUe le

illustrée

texte

texte.

et

T rage i

do

de deux

gravures

2a

à U)0 c.rciiiplaii cs nainéi-otés a

la prerse, texte

sur papier laJin. hors texte

sur papier du Japon.

Pourquoi Thésée

l*rix,

servaleur adjoint

.

7

.

l'r.

riiistitut,

Tirage à

eou-

au nmsée du Louvre.

pla(iuette illustrée de 0 gravures

le texte.

50

fut l’ami d’Hercule,

par E. PoTTiEH, rnemhre de

Une

dans

:>0

dans

exemplaires numérotés

a la jiresse, sur papier véli n.

L'Art du Yamato. par

DEUXIÈME SÉRIE

héliogravures hors

El.

— Prix 3

l'r.

50

Une dans le

E. Maître.

jdaijuetle illustrée de 37 gravures

K \'RKU.\,

I

AI

r

II

1

M RR

I

E

— ART MODERNE

Les dessins de Puvis de Chavannes au musée du Luxembourg, par Iucoxce HiLn'éDiTE, conserva teui' du musée nalional du Luxembourg. Une plaquelte illustrée de 8

gravures dans

le

hors texte, dont

2

texte et de a planches

héliogravures.

Edition ordinaire. Prix

4

l'r.

Edition de luxe, texte sur papier vélin

;

hédiogravnres sur papier du .lapon. 'Tirage a aO exemplaires

numérotés a

DK CHARLES

la joresse.

7

Prix

II

L R

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l'r.


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1

I

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I


GEHY CEMTER

MAIN

LIBRARY

NO 813 G7 L18 c.

1

Lafond. Paul.

BKS 1847-1

Goya.

3 3125 00334 0862



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