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GETTY MUSEUM LIBRARY
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es artistes de tous tes SÉRIE
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LES TEMPS
temps
MODERNES
GOYA
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REVUE DE L'ART ANCIEN ET MODERNE
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PRESSE
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;,.
FRANCISCO
GOYA
(
par lui même
Collection de M.Léon
Revue de
l'Art ancien et
moderne
)
Bonnat
Imp.L.Fort
LES ARTISTES DE TOUS LES TEMPS Série C. — Les temps modernes
GOYA PA R
PAUL LAFOND DU MUSÉE DE
cO N sE U VATE UR
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PA PIS LIBRAHUE DE A N C
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ANCIEN ET MODEHNE
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lit'
Prdm Louis
Ballesleros.
\ïisi[iicz
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N’iarilot.
Lh'onde do
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— Les
London
— Aolicia inslrnclira
cscrüa
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presentada a
S.
M.
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Bey don
P"er-
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('eau Jicnniidcz.
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;
les
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eaux-fortes et
in-4''.
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ADDENDA CAÏALOdUE DK f/OEnVRE PEfNT ET DESSINÉ Portraits. Portrait de Ferdinand IV, roi de Naples.
ea buste du grandeur nalurello. Peint entre 1780 et 1790. Madrid. Appartient au marquis de la Vega Inclan.
Toile. Fi”'ure
Dessins. Portrait de Ferdinand IV, roi de Naples.
Exécuté au crayon entre 1780
et 1790.
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M.
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W. Dannat
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M.
W. Dannat
Dios. ha.
GOYA I
L’ART DL GOYA L’Espagne, après avoir élonné peintres, de la fin
dn
xvi" siècle
bien bas (jnand aj)parnt Goya,
le
monde par le nombre el le an commencement dn xvm'^, le
opaques
nom
siècle
;
11
pour
suffit
faire
Ini disparu,
les
du dernier
moines
siècle,
et ses
scs voleurs
et
est bien le
même
ténèbres se firent pins
la unit et
a})paraître devant les
mirage, l'Espagne à jamais évanouie et disparue.
Homancero ou
l’anli’e
affirma son génie en faisant revivre
espagnol se résigna de nonveau à
et l’art
seul
tombée
était
dernier annean de cette cbaîm*, à
bout de hnjnelle se trouve Velazqne/.
dans son œuvre Eàme de son
talent de ses
yeux,
Non
au silence. Son
comme dans un point l’Espagne dn
des rois catholiques Isabelle et Eerdinand, mais celle
avec
gentilshommes
ses
et
grandes
ses
dames, ses
contrebandiers, ses toreros et sesmajas, sa Sainte-Ilermandad
de grand chemin, ses nécromanciens
et ses
sorcières.
Goya
miroir fidèle de cette Espagne tour à tour joyeuse et terrilde,
galante et sauvage, picaresque et fanfaronne. Dans son œuvre, on rencontre
pêle-mêle Almaviva coudoyant cita
Torqnemada
;
assistant à
le
torero Pedro
un autodafé
;
Romero
;
Basile, la
Carmen-
des moines et des paysans massa-
crant des soldats de l’armée de Nai)oléon. L’artiste a fixé à jamais,
avec sa
brosse ou sa pointe, cette société castillane qui s’est écroulée sons scs yeux,
dont
il
fut le peintre attitré et le dernier représentant’.
Eug. Delacroix donne une singulière preuve de la sincérilé de Goya dans ses lellrcs écrites son voyage au .Maroc, en l.s:52 et 18:t3. 11 revient à plusieurs reprises sur les sensations de plaisir qu’il a éprouvées à se trouver entouré d’Esi>agnols en costume do Figaro, à contempler des moines de toutes robes, à se sentir transporté dans une civilisation d'un autre siècle. « Tout Goya Iialpitait autour de moi, » écrit-il. *
lors de
(
JUen et
son pays,
lie
captivé
i)ar
li's
l»ien
:
0VA
de sa race, Goya esl avant tout nn nalnralislc attiré
scènes de
avec une ironie, une vivacité
rend
la vie qu'il
d'expression ([ii’aucun aidre peintre n'a jamais atteintes. Coinhien loin der-
ne
rière lui jilns
pas
laisse-t-il
on moins
ofliciels
de
li's
faiseurs de peinture de son pays,
cour
la
El'lSOliE liE l’iiGCCPATIOX
d(‘
Madrid
FKANÇUSE
A
!
cote d eux,
(colledion de
Jl.
auprès de |iygmées. un chêne entouré d’arlndsseaux. d
luii
des (adh'ja, des
luipliaid et
Mengs,
(‘iicore
cet
bei'i'o,
1
pres(pie inaboi'dables, bî
(Jni se
souvient anjour'?
Tout au plus
a tour
ijiii
indomptable Aragon aux grandes
(d
brûlantes on glaciales, aux vallées sauvages
avaient servd de l'ofugc aux libertés nationales
minuscule royaume de Sobrarbe après
Be celte timacc lité, la
Ch. Clicrfils).
l'ispagnol, n'est-il pas tout à fait oublié
entant de ce hautain
montagnes dénudées, tour dans
semble nn géant
des buzan, des Maella, des Bayeu
Allemand devenu
artistes
!
(lOya esl bien
et
il
les
et lièrerace ai’agonaise
cbnlc de Tempirc des Goths.
bravoure qui va jusqu’à
a la
il
la
la
xolonté [toussée jusqu a rentètement, l’amour de rindéj)endance
la libert(', id,
Malgie
le
par-dessus tout,
la
haine
fameux mot de Louis XIV
d(' :
témé(d
de
Tétranger. «
Il
n’y a pins de Pyi’énées
»,
l'Es-
( i
pagne, à
la lin
du
3
xvm'' siècle, était encore tro[) isolée
réforme imposée à
l’aii
que David, à son tour,
Goya une
ÜYA
inlliience
pour
(pie la soi-disant
par les prédécesseurs immédiats du peintre David, allait
et
despotiquement poursuivre, pùl avoir exercé sur
quelconque. D’ailleurs, sa nature énergique, volontaire
Portrait de '
Goya par
et
lui-mème
iVonLispicc des Caprices).
personnelle n’aurait jamais pu s’asservir aux règles auxquelles on eût entendu le
soumettre. Il
n’avait
que
faire des lisières
imposées par ces pseudo-rénovateurs
leur successeur, ce réfoi'mateur à l’esprit étroit et entier. lui cette imitation
tion
mesquine
empruntés aux
et frelatée
informé sur
la
vie? N’avait-il
[>as la
lui
par
importait à
de l’antiquité, ces sujets de composi-
histoires assyrienne,
égyptienne, grecque ou romaine?
Qu’aurait-il été chercher dans les siècles passés être
Que
et
nature,
?
Ne
lui valait-il
et, tout
cahles modèles dans les merveilleuses toiles de Velâzquez
près de et
pas mieux
lui,
d’impec-
des antres grands
CO Y A niaîlivs, réuni. ‘S
delà
les priiicos
i):ir
iialiire el eoiiseillenl
Plus (lu'aueuii autre oi.tiisrs et étroites
hégaiements de
l'art
eemetits des écoles ol.jectit
celui
(|iie
comme eux
il
du
le
la
maison (rAulriche, qui loulcs
de retourner vers
la
d.‘ S.'ville,
était
du Scnncnt des Horaces.
h' sol
de
la
relxdle
aux théories
De^.iiis les
péninsule ihéri.jue, de[>uis
les ai'tisles
procèrleiiL
source d'où elles éinanenl?
tempérament espagnol
jieintre
sur
il(>
les
premiers
commen-
nationaux n’avaient jamais eu d'autre
de faire vrai. Goya })ensail
comme
ses compatriotes, el
avait riiorreur instinctive de tout ce qui est d'importation étran-
gère. La
morgue
(pielqin;
chose à demander au voisin ou à apprendre de
castillane
ou aragonaise n'admet guère que l'on puisse avoir lui.
11
faut recon-
naître (|ue cet orgueil a du hon et qu'il a eu ce précieux résultat de maintenir
t
(10 «
Tralos montes
que
fort
De
»
un
YA
purement autochtone, superhe
art
puissant, n’ayant
et
peu emprunté aux nations étrangères.
ce C(jté,
ne faut cependant pas être
il
Goya, llemljrandt,
merveilleux
notamment,
a eu sur
lui
de clair-obscur dont a
effets
absolu,
tro})
même
à
propos de
une action indéniable. Épias des
tiré
un
si
extraordinaire parti
le
chef de l’école hollandaise, à l’inverse de Yela/quez et de presque tous les
maîtres espagnols dont
la
pénombre, aux ombres
La trahison
toile,
ordinairement d’une simplicité
df-
et
d'une
peintre aragonais attache une énorme importance à
clarté sans égales, le
lumière, à
la palette est
les
Jadas, dans laquelle
plus profondes
l’effet
mêmes
;
la
témoin sa
de clair-obscur est d’une puis-
sance rare; témoin surtout scs eaux-fortes dont nombre de scènes,
et,
parmi
celles-ci, les}dus belles et les plus étourdissant('s, se passent dans d’opa({ues
ténèbres striées de quelque éclat violent et intermittent de lumière
Goya reconnut exercée sur
d’ailleurs de
La preuve,
lui.
la voici
amis
sée à lin littérateur de ses
Velâzquez Si
Goya
laquelle s’il
et
doit
il
Rembrandt.
doit
est
c’est
un
«
dans ce i)assage irune de ses J’ai
eu
lettres adres-
trois maîtres, » écrit-il, « la nature,
»
beaucoup à
beaucoup aussi
un
:
a
nature
la
avec une passion jalouse,
qu’il étudia
cà
recourut sans cesse, qui lui enseigna scs adresses et ses témérités;
non seulement s’il
bonne grâce rintluencc que Rembrandt
à
Rembrandt,
l’avoue,
il
mais
indépendant
et
doit pas
comme même
disciple très reconnaissable
disci[)le
iie
il
il
moins à Velâzquez, comme s’en fait gloire. Toutefois,
du peintre ordinaire de Pbili})pe IV,
peu soumis, qui
s’est
plu,
bien souvent, à
faire l’école buissonnière,
écoutant assez volontiers ceux qu’il rencontrait au
coin des chemins ou dans
les
nolds, Gainsborougb,
boudoirs, quand ces derniers s'appelaient Rey-
^Vattcau ou Greuze.
En
lagunes
sur les
Italie,
l’Adriatique,
Goya aurait bien encore trouvé un peintre avec lequel
eu
i)oint
[)lus
d’un
de contact
:
d’aller faire sa connaissance à ])lus
de soixante-ilix ans,
[tins tard.
et
Gio Rattista Tiepolo; mais
Venise
;
y demeura
ce dernier vint
il
il
de eût
n’eut pas besoin
en Espagne, âgé de
jns([u'à sa mort,
survenue sept ans
Malgré son âge avancé, ce descendant encore reconnaissable de
Véronèse exécuta à Madrid de nombreuses décorations que naisn’étudia pas sans
iirotit.
le
peintre arago-
Les eaux-fortes de Tiepolo', qui pratiqua ce motb'
Jl ne l'aul pas oiililier (|ue Tiepolo a gravé une série de -l planclies inülulée iuvenlati ad incisi dal cclebrc Gio liaüisla Tiepolo. » '
:
»
Vari Capricci
(
.
(;
de -raviirc'
)
VA
ilélaissé alm's, inléivssèrent
si
être à essayer de
la
poinic
vivement Goyael
le
décidèrent peut-
son lonr. mais d nin' layon Ionie dilTérente de
à
les plancln's sont lonjoiirs claires, gaies et
du maître vénitien dont
cidle
(
enso-
leillées.
L'amour de
tiova i>our les anciens maîliv'S est la meilleure i»renve ([ne l’on
SCKiNE DE CAliN.U'AL
duniK'i'
|iiiiss('
vcan.v
;
de sa sincérité.
conscient de ce que
des expressions, l('i'
ce
cpii
il
convenait
le
la conti'aignit à
M. Ui
ji’a [>as soiij^é
meme
chercha à pénétrer
.
Clicriîlb!.
à inventer des procédés
langue n’est pas ennemie de la
la
la
non-
variété
techni([nc du passé et à lui empruii-
mien': à son individualité.
mcnl dans son application,
moyen
la
Il
(colloclioil ilc
conrormant
à ce
Il
la
modilia natnrelle-
qui était en
lui,
et i>ar ce
de nouvelles manifestations.
Certains ont vonin voir dans Goya
un moraliste dans
le
genre de Hogarth,
r.ovA se servant de sa pointe et de sa brosse
mettant à nu
la bassesse
pour fustiger
les vices
de son temps,
de ses contemporains alin d'inspirer
riiorreur de leur conduite, stigmatisant les
mœurs
le
mépris
et
de la cour de Charles IV
en montrant, tous voiles déchirés, l'hypocrisie, l'ignorance, l’impudeur des
personnages des deux sexes qui composaient l’entourage de l’ertile
comme
en luttes intestines.
graveur
et laisser
encore, jugerait on à écrit ses fables
:
H
le
famille royale,
faudrait, dans ce cas, considérer l’artiste surtout
presque complètement de côté son œuvre
tort. Il a peint,
pour
la
dessiné et gravé,
comme
})eint, et
La Fonlaine
a
plaisir de produire, }>ar besoin de se réqiandre, s’em-
barrassant fort peu des (|UCstions de morale. La vérilé est
(jue,
mêlé auxintri-
8
j^urs
tli?
taiilùl
cour, aux (juerolles
puur
tics jiaiiis,
({iii
proutl fail cl cause taulol
pour
l
un,
son burin acéré pour égraligncr ses adver-
l’aulrc. sc servaiil de
saires du jour,
il
seroiil ses alliés
de (bunain.
Les idées de Goya sur son arl n'élaienl pas, bien enlendii, d’accord avec celles des peinlrcs de son temps. Les jirocédés
Aveugle
enlevi';
suiî
les
le
(b‘s
lignes lui semblaient
une absurdité. Quant à il
corps qui
(pii
u(‘ le
reliefs el d(‘s
(pie
Gov.\.
sont encore Irop de nos jours, consislanl à ne voir dans le dessin qne
servir de ses i)i'opres (‘xpressions,
(pii
alors,
cornes d’un taureau
gravure dclacliec de
qui
d'enseignemenl de modo
sont pas, des [dans
eiilonccments
jiasse, avail-il
moi.
»
1
:
«
Je ne
:
^
avancent
comple
et des
i>as les poils
mon
mieux
}dans de
jtinceau ne
Les professeurs abnrissent
leur taisant tracer de leur crayon le
la nature,
pour se
ne voyait que des corps éclairés
babilude de dire,
Et encore
dans
lui,
laillé, cl
la
(jui
reculent, des
barbe de l’homme
doit }ias voir
b-iirs
et des
jeunes
mieux
éli'ves
en
pendant des années, des
LA REINE JUARIE LOUISE Musée du Prado ancien
et
moderne
lmp
L Koit
(^.OYA
9
yeux en amandes, dos bouches en arc ou en cœur, des nez en tôles
en ovale.
dessin.
Qu’ils leur
donnent donc
le
1 renversé, des
seul maître de
»
Avec de
telles théories
esthétique routinière.
il
de comprendre qu’il n’eut jamais une
est facile
prenait les gens
Il
présentaient devant
tels qu’ils se
un type
se gardant bien de les rapporter à Il
nalure, c’est
la
préconçu
idéal
et aria'dé
disait-il, « la
si
l’on veut bien
l'éllécbir
y
couleur n’existe pas plus que
ligne
la
«
:
nalure,
la
n’y a que
il
;
Dans
d’avance.
au premier
avait sui‘ la couleur des idées tant soit peu paradoxales
abord, quoique justes,
ture est dans les sacrilices et dans les })artis pris.
Sa palette
extrêmement simple du
était
noir,
:
ocres, des terres de Sienne, et c’était à
peu
])i’ès
»
le soleil et
ombres. Avec un morceau de charbon je ferais nu tableau. Toute
les
lui,
la
pein-
»
du blanc, du vermillon, des
tout.
Il
peignait dans la pâte,
n’usant que fort rarement des glacis, et encore, uni(juement dans les petits
tableaux qui devaient être vus de très près. L’art
de Goya n’est pas rigoureusement raisonné.
instinctif.
Chez
lui, les
moyens d’expression purement
cherchés ni voulus, mais bien
saisit
en entrant dans une
tout,
ville
il
comme
particulière
celle qui
on dans une bourgade d’Espagne, une
odeur de chair en mouvement, de sueur humaine. Dans ses
toiles,
comme
dans ses eaux-fortes, dans ses décorations religieuses mêmes, qui n’ont, vrai, de religieux
ment des corps
que
le
nom,
uns contre
les
terprète des scènes
({u'il
instar de
I
pour
elle, les
Don
est
les
autres dont se dégage une sorte d'électriest
acteur tout aussi bien qu’in-
représente, et ces scènes, quelles qu’elles soient, se
passent dans des milieux à
il
sensation dominante est celle du dur frotte-
la
animale, pour ne pas dire bestiale. Goya
cité
est
Dans son
résultante fatale de sa nature.
la
œuvre de passionné impulsif on sent une odeur vous
Avant
naturalistes ne sont ni
i)lus
simplistes que les mMres. La race espagnole,
Quichotte, ignore
le
ap[)arences réalistes sont
ridicule,
um^
qui ne peut l’atteindre, et
nécessité.
Dans
sa peinture
Goya
néglige et laisse par conséijuent de côté les transpositions savantes et délicates dont
il
n’a cure, ou,
posilion appelle
la
pour
j)arler plus
sa,
foi'ine
de Irans-
collaboration du spectateui’.
Plus qu’aucun autre peintre des })i'is
justement,
de nos jours. Plus
et
contemporain, })resque un
é[) 0 (|ues
[)assées
mieux (ju’un précurseur,
homme
le
il
est fait
pour être com-
peintre aragonais
de demain. Sa façon de traduire
('st
un
et d'inter-
(i(>
10
la
iialiuT csl ahsolunuMil inodonio.
cûmpi‘('di(‘nsinu
d'mi arlislr
a\ama‘ sur
de eeni ans
(mi
eoin[)l('deinrnl
(>sl
ni
son
(oi
merci,
obsession, d arriver à
esl parv('nu à
Les listes
cm donnei'
ai'lisles
Son j)roeédé de
siàel(‘.
d(diors
(d(-
1
de
})lus
j)orlrai liste
Irès
Il
osl
de Ionie lliéorie d'enseigneinent
poursuivi
C-OntSE EE NoviLLhs,
cal)le
lcdle qu’il la voil, av(“C la
d'une exlraordinaire audace.
raeoii di' Irailei’ la rres(|ne.
sans Irève
la l'oud
Il
nolri' laiiips, os(' cl iiidcpiMidaiil.
d('
personind
i'xisl»nic(‘,
VA
jtar celle
litliograiillio
expression de
Il
;
sa
a diirani Ionie son
lancinaiile idée, iinjila-
de Goya
la vie;
on
peiil
presque dire
qu’il
l’illusion.
qui oui peiiil leur bnnps sont désignés sons les
on de natnralisles. Cela poun'ail à
la
noms de
rigueur s’entendre dans
le
réa-
sens
profond de ces mois, mais ordinaire, ces dénominations s’appliquent aux peintres qui sont plus particulièrement frapj)és par l’exlériorité des choses,
par
le
pittoi’csque de l’inslanl,
véi’ilaldes l'éalisles
(dre
du moment. Ce ne sont pourtant pas
ou natnralisles, ce qui
esl
exclusivemenl réservée aux maîtres émus
incapables de se reluser à rinvisible, et cette
pénétration des êtres
et
(jiii,
tout un. i»ar la
là les
La qnalilication doit puissance de
la
vie,
de toutes parts, se manifeste à eux;
des choses, étrangère à leurs contemporains.
G
en
Goya
seuls, et
générai,
le
souci du sacrifice,
passion sensuelle de
la
décor du costume
et
de
la
le
la vie, cet
couleur locale,
le
sens du
ensemble
contraint au
de simple accompagnement,
rôle
à respecter ce qui est im-
le force
muable,
et,
même,
par cela
sombrer dans
jamais
geante. C’est ce qui a les
cban-
et
que chez
fait
ajustements semblent tou-
jours vraisemblables,
que
ne
<à
ridicule
le
mode ondoyante
la
eux
se trouvent le
dédain de l’anecdote,
le
qui supprime
de
du nombre,
est
11
de leur époque et de riiuinanité. Chez ces maîtres
les deini-dieux
fait
OYA
deptiis
même
lors
longtemps
ont
ils
été
remplacés par d’autres qui cbangeront à leur tour.
Goya,
comme
tous
maîtres, n’a rien omis
Chez
auivres.
ses tient.
vrais
les
de
lui
tout
elles,
Son tempérament
dans
lui
se
impose
des formes précises et absolues
j)ar
endroits, transparentes et fuyantes Tête
par
d’autres.
Plein
de
verve
d’étude,
(ipssin
et (colleclion de M. Paul Lalond),
d’esprit,
il
eut
l’intelligence
des
sacrifices (jui doivent servir de la
point de départ
au si)ectateur
et
sensation voulue. Iiien de plus juste ni de plus vrai, [)U iscpie toute leuvre est faite
Le tabb'au l’artiste la
compléter
n’est pas
digne de ce
})artic
du rêve qui
l’expression d’un
terminé,
nom
est
il
le relie
cà
eiicoia'
celui
(|iii
de désirs.
dans son enfantement va
et déjà
le suivre, l’associant ainsi à
doit faire converger tous ses etïorts vers la vie
amour immense,
à jamais inassouvi.
par
Il
VIE DE (jOYA SA JEUNESSE.
l’i’aurisco
pauvre
(
loy.'i
y
par pai’
(irasa;
r('jj,lise
inmi du
le
paysans
simpO's enl'aulsU
II
halulaiil
journées
un
200
iui([uil le
30 mars 1710 à iMiendelodos,
lial)ilanls,
voisin de Saragosse. Baptise
<'omme en
vieaii'e,
})ari‘aiii
gi'andil
<à
SON MAITRE LUZAN
Nuire-Daine de rAssomjdion, paroisse, du village,
Uamillo Uusla,
eiiré
!('
des
de luO
Maria Xiimuiu,
.lns('
Liioit'iiU's
lr;ici;i
villaiic arai^Diiais
liMidemaiii dans
1('
(
—
eut
il
ne ligure pas iiiu'
p(ui
Ses })aren(s claienl de
sni‘ l’acle.
pauvre cliauruière,
ayant
el
déjà
gamins du voisinage, donnant
recevant force horions, mais très certainement en donnant pins recevait. La h'gemh' i'acont(‘
par hasard
passant
du charhoii, sur un et. (|u’étouué'
à Fuendetodos, aperçut
il
(Jiie
(|u’en
le
pas
la
|»ortrail
(h‘
l’emmenei’
d'un maître ca])ahle de montrait
île si
à
à
de l’avenglc du village,
iM'ine
le
ou fausse, peu iuqiorte. Ce qui
âgé de douze ans,
travaillait
prieur de
Aula Dei, située près de
chartiauise
ohtiut de
la
mettre sous
la
(>ssai,
les princijies
Icujnid
la
dessinaiil avec
Saragosse poui‘
enseigner
Imzan, à Saragosse, chez
soit,
Goya
il
d'un
art
pour
sniqii’enanles dispositions.
cette li'geudc Soit vl'aie
1700 Goya,
lui
et
n’en
— ([n’un moine
petit
le
qu’il
sienne?
des heurmises dispositions que décelait Cad
famille du j(‘uue prodige dii'ection
hujiud
— quel [teinire n’a
coin de muraille
d’antj'es
dans son liourg natal, vagaliondanl
à l’altaudon
j)olissounaut avec les
eiilièi’es,
nue certaine Franeisca
maia'aine
poni'
de l)aplème dressé
l’aele
loi
l'ail
ih'
l’avait fait entrer, soit la
est cei'tain, c’est
dans
l’atelier
de
Don Félix Salzcdo,
ca[»itale
de l’Aragon,
plus proiiahlemcnt, lecomle.de Fuentes, seigneur de Fuendetodos.
Mai'i.a de li Sal.'j., ainsi que le coiut.e de la Vinaza. dans ses Adiciuiies al iùccloiturio llistôde lus md.s ihis/res ]irofe.soreÿ de las hellus arles en Espana de lion .laun A<justin Cean Hermtidez, assurent (|ue le ]ière de Goya quilta Fuendetodos, peu après la naissance de sou fils Francisco, pour aller s'elalilir à Sai'.agosse mi il apprit le mèlier de doreur que dès 1749, il exerçail dans cette ville, calle de la Moreria Cerrada. '
rico
l)(iii
(iO V A QiieI(|U(' primesaiilh'r,
menl
il
se ressent jtlus
porsoimcl
13
el iîiclVpondanl (|ue soil (lu ailisto, falalc-
ou moins de son enlonrage
de son milieu, snrtonl
el
dans sa jeunesse. L’innuence de ses premiers maîtres, de ceux qui
aux
[irincipes et
an mécanisme de
l’art, se
reconnaît toujours chez
secondaire qu'ait été leur valeur. Aussi n'est-il
vement
la
vie
de Luzan qui
Iluhens et Quentin Varin pour
On ne
fat le
[>as
pour Goya ce
l'ont initié
lui,
quelque
inutile de racontei-
Vœnius
<ju’Otto
l)riè-
fut jiour
Poussin.
PEL'T UEGAIUiEU cela, gravure
cx.Li"iite îles
Désastres de
la
Guerre.
Quoi(|ue complètement oublié aujourd’hui, Luzan n’est pas absolument }>remier venu.
amusant,
le
Il
dessinait assez
procédé expéditif et brillant,
l’ordonnance pittoresque })ourtant
Vinaza^
correctement,
et
et possédait
du sens décoratif son ;
une certaine harmonie. Comme, c’était
avait
l’a fort
le
faire
léger,
le
facile,
une certaine entente de
coloris, fade et terne, avait
justement
écrit le
comte de
une sorte de Pacbeco aragonais, mais un Pacbeco de
la la
«lécadence dernière.
Le xvnP
siècle, si brillant
en France,
fut
une époque de déchéance com-
plète pour rEspagne. L’art et les lettres y tombèrent dans
abandon absolus. Pas un '
El l'onde de la Vinaza.
artiste,
pas
un
un marasme
et
un
écrivain à citer d’une valeur réelle.
su tiempo, su cidu, sus ubvas. Uuv.
cit.
(K) V A
La vie iiilelL'diirlk'
d
srmiik'
crrrlirale
pairie de Cervantes el de Vela/apu'Z. (d, été les princes de la
Charles IV,
ils
maison de Bourbon,
ne pnrenl relever
et
avoir alors
lolalomeiil
délaissé
la
(inelque bien inlentionués qn’aienl Pliilipp(‘
^alvaniseï'
V, Charles
l’art
(|ui se
III cl
plus tard
mourait de con-
som])tion.
A
la
vérité Charles
111
avait
couréra sur les Beaux-xVrts
les
l'ail
venir à sa cour Raphaël
Mengs auquel
il
])ouvoirs d'une sorte de dictateur; mais que
pouvait cel Allemand aux maximes
éli’oites et rigides, à
rcxéculion timide
el
POHTKAIT DE EA HEINE MaHIE-Lo L’ISE (uncicnne
galerie
de
San
Tclnio
à
Siî^illc).
(K)
VA
16
son
lal.oriüUsc, qui, avoïKinl ,',ioii.s
,1„
CIrango
ConveC
,1c joiiuli-c
al.sciice il’onginalilô,
au dessin
,lu Saii/,io le
l.-aillcui-ssou inilucucc fui
cul la protciUion loul au
coloris ,lu Tilicn cl
la gi'àcc
k'auenup plus appamilc que
réelle,
Scène fantastique dessin (oollcclion de
iiiliniment l’ielre
celle de
l’ait
entrer
guère dejmis
Après
lui,
Henri Kouari).
Luca Giordano, élève attardé de
de Corlone. Aj)[)clé par Gliarles
mier avait sortit
moindre que
I\î.
l’art csjiagnol
II,
dans
à
Madrid en
la
U)'.)2,
1
école de
celui-ci, le pre-
voie de la décoration dont
il
ne
lors.
Giacomo Amiconi, Giaqiiinto Corrado,
et entin liepolo,
venu
le
(;o
VA
17
mouvement, moins
dernier en Espagne, ne firent qn’accentner et accélérer ce
malhenreux peut-être pas la décadence,
il
ne
qu’il
le
semble au premier abord,
car,
n’enraya
s’il
rendit moins apparente et par conséquent plus sup-
la
portable.
Luzan temps.
une place des plus honorables au milieu des peintres de son
lient
peut être avantageusement
Il
en compagnie des artistes aragonais
cité
ses compatriotes, à côté de Francisco Artiga qui,
en
même
et
au burin
temps architecte, ;
d’être i)eintre lut
malliémalicien, graveur à l’eau-forle
litlérateui’,
de Francisco Piano, également architecte, qui, d’après Palo-
mino, égala en mérite
célèbres Colonna et Metelli
« les
un grand nombre de tableaux de
qui a laissé
non content
»
;
de Pablo Uaviella,
batailles d’un style tant soit
peu
incorrect; de Juan Alrnor, l’auteur des fresques de la Chartreuse de la Con-
mort avant leur achèvement; de Josef Forlea, plus particulièrement
ception,
adonné à
peinture de Heurs
la
;
de Carlos
et
Francisco Casanova,
le
i»remier
peintre et graveur, le second miniaturiste et graveur en médailles; de Pablo
Pernicharo, élève de llovasse, dont les copies des œuvres de Raphaël, exécutées en Italie, ne sont si
envié de peintre de
calzados d(-
de Rarcclone,
»
la Vierge
Saragossc où
dans
la
sans mérite
Chambre
de Josef Romero, qui obtint
et brossa, [lour le
composition
la
;
si
couvent des
«
mercenarios
connue en Catalogne de
Liizan il
fut
ou Luxan y Martinez naquit le Di décembre 1710 à baptisé le jour même dans l’église Saint Michel de los
De nobleextraclion,
il
à l’àge de seize ans, i)lacé en qualité de page
fut,
maison des princes de Pignalelii, comtes deFuentes, qui, par
tion de leur race et
Comme
le
jeune
parleur fortune, tenaient
homme
prince de Pignalelii l’envoya à ses
la
peinture. Luzan y travailla sous jouissait d’une
ouvrages des peintres à
la
la
frais, V('rs la
peinture,
direction de Mastreolo, élève de Soliil
prit le
goût des
mode, de Pielre de Cortone, de Solimène, de Luca Calahrese,
dit-il
et
médiociités lamentables, les Mattéi, les Simonetti,
compositions de nombreuses copies
sans originalité.
la
1730, à Naples, pour y étudier
grande notoriété. Chez ce maître,
Ciordano, de Matlia Preti
testable habileté de
l’ilhislra-
première place en Aragon.
monlraitdc grandes dispositions pour
le
mène, qui
le titre
à saint Pierre Nolasque.
Don Josef JXavarros.
la
}>as
main, ne
lui
même etc.
11
de leurs imitateurs,
exécuta d’a[)rès leurs
(jui, si elles lui lirent
acquérir une incon-
enseigm'rent qu’un slyle sans caractère et
COV A
I.N
Apiès [dac(> suil
à
ciiu]
ans de ce lal»enr assidu,
il
revinl dans sa pairie
an lover dos PignaUdli qu'il ne (jnilla plus. i'('i;ap,ni‘r
l'italir
pour s('juurner
à
Koine,
ne
(|n'il
rcj)ril
cl
[tensa Idcn
Il
sa
un inslant
coniiaissail pas,
apri'S avoir i)réalab]ement
Florence
visité
à
soit
aller
et
Venise,
s’installer
Madrid auprès de
la
à
cour;
mais, par suite d'une sorte d'aj)atliie
natm'elle et aussi
reconnaissance
|iar
ceux qui lilé
l(‘s
son
aid,
lui
avaient
moyens il
pour t'aci-
d’étndier
se décida à res-
auprès de ses bienfai-
ler
teurs,
dans une sorte de honorifique,
donu'slicilc
faisant [lonr ainsi dire })ar-
de leur famille.
li('
ans après
Cinq
relonr de
son
Na[iles, en 1740, à l’àge do
lrenle-cim[ ans,
il
se
ma-
ria avec Doua Teresa Za-
ba O, I
tille
dn [(cintroZabalo
qui jouissait en
Aragon de
quelque notoriété.
L'muvre de Luzan, qui, aussi bien que Lnca Gior-
dano, eût en droit au surc'est CIIAEL)
(jUE gravLirn
(‘\l
railc
nom
!
d(‘
Fa
presto, est con-
dos ('aprices.
sidérable. Elle consiste en
btblcanx do gmm'. en
porti'ads
tableaux de
ses porirails
}>einls
cliez
gami'o les
(d
l'ignatelli,
religieuses sont pour [telles.
le
snrlonl en compositions religienses. Ses
et
sont
devenus assez rares;
la
plupart,
ont dis[)arn ou sont dispersés. Ses compositions
plus grand
églises ou calluMliales
(b‘
nombre
faciles
à retrouver dans les clia-
l’Aragon, delà Navarre, de la Catalogne et
r.o
de la Vieillc-Casülle
;
VA
10
dans
celles qui se trouvaionl
les
couvents supprimés ou
abandonnés sont moins aisées à découvrir.
Parmi
les principales
œuvres
(}uc
de citer, pour la grande sacristie de
Luzan exécuta
la cathédrale,
Saints de t Eglise ; pour Péglise Sainte-Engràce,
une de
ses meilleures inspirations ([ue ses
à Saragosse,
nn tableau
il
convient
repi'ésentant les
nn Saint Jérome dans
le désert,
contemporains admiraient d’une
façon toute particulière; pour l’église des Convalescents, une Mater in/irmo-
rum, placée sur
le
grand autel de Marie
très sainte
Michel, deux comjtositions se faisant pondant
une Apparition, de saint Michel ; pour
œne
:
l’église
dans
le «
formero del talero
»
de
l’édilica',
l’église de Saint-
Afiparition
delà Vierge
la
et
les
chapelle de Marie très pure,
deux tableaux du gi’and autel; pour
nuMlaillons en riionneur du lîosaire, l’un dans
pour
de Notre-Dame de Jésus,
Fiançailles de la Vierge et V Annonciation de la ainsi (jue les
;
l’église Sainte-Croix,
deux
chapelle des Alares, l’autre
au-dessus du chœur.
20
(
catlicdrak' do
I.a
Jrrdme foueltê par
une Mort du
(d
VA
(.)
Huosca reiirermc deux grandes anges pour
les
jnênie saint
pieds du Christ
i
la
;
toiles
de Liizan
un Sainl
:
à la lecture des livres profanes,
et
cathédrale de Galahorra, une Madeleine lavant
les
s'être livré
un Saint Martin donnant
la nwitiê
de son manteau à un
pauvre.
Ces diverses
d'une prestesse
couii)üsiliüns,
de main
d’une habileté
et
d’exécution extrêmes, témoignent d’une absence de pensée et d’une pauvreté d'invention que ne
pas
rachète
leur style
Les formes arrondies
théâtral.
des personnages représentés, leurs attitudes apprêtées et minaudières, sont aussi
loin
que possible de
(|u’ils
ont
d’atfecté,
rest(>nt
ment
d'outré,
Malgré tous ces défauts, malgré ce
vérité.
la
de pompeux,
ouvrages
ces
d’artificiel,
n'en
pas moins l'œuvre d’un décoratcui' expert et sagace. Luzan a justede surcharger
évité
perdues pour
été
auraiiMit
île
détails oiseux, de finesses hors do saison, qui
le
machines religieuses
ces grandes
spectateur,
destinées à être placées dans des églises ou chapelles plus ou
dans des
des
sacristies,
ou
salles
ou moins hauts. Par
éclairés, plus
la
môme
moins sombres,
de couvents plus
cloîtres
raison,
il
s’est
moins
ou
gardé avec soin
des colorations sombres et s’est elTorcé, avec succès d’ailleurs, d’harmoniscr
monuments
ses [)eintin' 0 s avec les
pas leur confusion, leurs elfets maniérés,
seulement de majesté
A
et
de noblesse, mais
coté
11
avait
renfermaient de
ses
dont
Adonné
le sujet
le
»,
;
plupart
la
assez
et
de
Calaliorra
des
épisodes
fréquemment dans
les
Navarre des bannières de procession peintes
il
tribunal de l’Inquisition
n’est pas
mère du
Christ.
«
étonnant que Luzan
Philippe
V
franclii les
voulut
lui
ait été
réviser do toda pintura deshonesta
mission assez délicate qu’il remplit à
Sa réputation avait ronnantes
couvent des Augustins
tout particulièrement à la peinture religieuse, très scrupuleux obser-
par
O irrisoria
le
principal représente généralement la
vateur du dogme dans ses ouvrages,
nommé
énumérées, nombre
de Catalayud
On rencontre encore
églises de la Catalogne et de la lui.
d’être
de l’Aragon et des provinces
compositions, figurant pour
de la vie de la Vierge.
manque non
de tenue.
presque entièrement décoré
chaussés de Saragosse. Ceux des Capucins
par
même
trouvaient dans les monastères
limitrophes.
leur
leur fausseté,
des productions de Luzan qui viennent
d’autres se
mais tout cela n’excuse
qu’elles décorent;
la satisfaction générale.
bornes de l’Aragon
et
des provinces envi-
témoigner l’estime dans laquelle
il
tenait
Fernando
San
de
AcadĂŠmie
(
(i
son talent en
Il
conférant
lui
un honneur
était alors
même
vint
à
0 VA
21
de peintre surnuméraire du
le titre
Madrid après
cette
et
qui
nomination, qui eut lieu en 1741, pour
prêter le serment exigé en pareille circonstance.
temps
roi, ce
fort envié.
n’y resta que fort peu de
Il
retourna à Saragosse quelques mois plus tard.
Mal gré ce que ses œuvres ont de méritoire, ce n’est pas
Luzan nous intéresse particulièrement, mais bien par son amour de gnement, par
du professorat.
sa spéciale entente
aptitude dans celte branche de
l’ensei-
montra une singulière délicate
l’art si difficile et si
enseignements reçus par
Les
propos.
assez insister à ce
Il
que
elles
i»ar
;
l’on
ne saurait
des
lui
maîtres
napolitains lui semblèrent un dép(M qu’il était de son devoir de transmettre à d’autres à son tour. Aussi, à peine fut-il revenu d’Italie et réinstallé à Sara-
gosse, que son atelier devint
avaient le goût
et
l’amour de
une
accueillis à bras ouverts. C’était
que
aux jouissances de
d’initier
pour
l’art
trairement à l’usage de son temps, tion et
quelconque de
il
une profonde
lui
ceux qui
il
se
L’année
1
fut aidé
intéresser.
telli.
le
Il
avait l’habi-
moyen d’apprendre
un
et
de
:
celui d’ouvrir
Il
eut
projet caressé et médité par lui
une académie publique des Beaux-
dans cette œuvre par quelques professeurs
qu’il parvint à
y Citons parmi eux Juan Zabalo, son beau-père; Pablo Baviella;
Josef Ramirez, etc.
Le
local fut
Bien entendu tous
considérée
recevait d’eux était
755-50 est une date mémorable dans l’existence de Luzan.
depuis son retour d’Italie 11
([u’il
art.
alors la profonde satisfaclion de réaliser
Arts.
Jamais, con-
montrait d’un dévouement
de les voir profiter de ses leçons.
tude de dire qu’enseigner était pour lui surtout
dans son
intime satisfaction
s’y intéressaient.
d’une patience à toute épreuve. Le seul paiement
se perfectionner
et
ne consentit à accepter une rémunéra-
ses élèves envers lesquels
la satisfaction qu’il ressentait
où tous ceux qui
sorte d’académie privée
pointure et du dessin étaient assurés d’être
la
comme
la
les
généreusement fourni par
la
famille Pigna-
cours étaient gratuits. Celte institution peut
cause première
et
délerminante de
la
ôli’e
fondation de
l’académie de Saint-Louis, débnilivement étaOlie peu après à Saragosse, sous les
auspices des notables de Il
n'est pas
élèves de rent à
la cité et
de
la
province.
étonnant qu’avec ce dévouement absolu
Luzan
aient été
une haute
à
l’enseignement, les
nombreux. Un certain nombia' d’entre eux arrivè-
situation.
Parmi
les
[)rincipaux qui
devinrent tous
les
•)>
(
condisciples
(d
li‘S
ses heanv-frèi’es. l'i'ancisco (d
dans
la
ainis de (ioya,
Ii‘s
(
I
A
coinienl de
Irois lîayeii y Siilda. d('
liamon.
Cliarirense
il
.
fiireiil d(‘
peinlres de
Inieiiles,
aux
nommer
Saragosse. doni
Chambre,
la
[)orles
en première ligne
d(>
(d
le
denx aînés,
les
moine
lruisi('me,
capilale de l’Aragon; puis
la
Beralon, de Tarra-
J(jscf
gone, imi lalenr des précé-
ïomas
dents;
Saragosse
de
Marline/,
Vallesj)in,
Antonio
;
de
Ilnesca,
graveur
seiilptenr,
en
médailles, joaillier et orfèvre, dont la réputation fui
gi'ande à Madrid
si
commencement
an
du
siècle dernier.
Les procédés d’ensei-
gnement de Imzan
étaient
ceux de son temps.
commençait
Il
par
élèves
faire co[)ier à ses
des estampes, leur recom-
mandant duire
de
une
avec
cice iMi;rAMOui’iiosK ue sonciEKS
il
provoïKml
cli'
l’Alnicda
d’une
j)(‘rmetlait
d'aborder
dance, Coya ('xercic(‘s
certaine
se,
jdaignit
un [xm pmu
force
à
c(q»ier
des
(à
ils,
])lusieiirs i-ej)i'ises
,
17S.j,
plâtre,
le
et
ce
que lorsqu’ils étaient antiques
(ju’il
(|n'il
leur
avait perdu à ces
surtout aux laqu'oductions d’estampes
démi(‘S, de toutes b'S écoles
cet exer-
cntreti(“ns et sa coi'respon-
du temps
ces (buaiii'ies annéc's, ers [U’océdés ne furent-ils
Le 20 septembre
ligui’cs
modeb' vivant. Dans ses
le
temps de
ilu lUic il'Osiiiia).
n’est
devenus
un
les faisait travailler
,,
d apres (pciiilui’o
lidélité
Après
scrupuleuse. certain
repro-
les
;
mais
jus(|u’à
pas ceux de toutes les aca-
?
Luzan
s’éteignit a[>rès
une
vie
si
luen remplie à
(
l’age
(le
;
OYA
23
soixantc-([ualorzc ans, à Saragosse, dont
sorti depuis son retour d
Italie
;
il
fut
vécu assez pour jouir des succès de ses élèves ceux de Goya, arrivé alors
à la
liU
IX'
(collcclion de 51.
([u’un artiste
ment de
[u'it
n’élait l’c'glise
pour ainsi dire pas Saint-Gil.
Il
avait
les i'rères Ilayeu et surtout
cour de Gliarics
l'ilUTHAIT
il
inluimé dans
lit à
la
de
[dns haute situation
DLC D'OsUNA
0
.
Linden).
ambitionner. Ce fut [lonr
le
vieux [leintre
le
couronne-
sa carrière, la récom[)ense de ses ell'orts C
Goya ne
travailla [»as uni([uement chez
Lnzan
il ;
rré(|uenta aussi <[uel([ue
Liizan laissa im fils. Ignacio laiznn y Zabalo, (|iii, entré dans rndininislration, fut preiniei' alcade de la ville frontière de .laça, Ignace Lnzan ou de Luzan, le poète galliciste. ne à Saragosse en 1702, rpii, a[U’ès avoir jiassé comme .losef Luzan sa jeunesse dans le royaume de Na[des, devint successivement secretaii'e d'ambassade, conseiller d’Etat et ministre du commerce, était certainement de la même famille ipie lui; mais f(iiel degré de parenté e.\istait-ii entre le peintre et le poète homme d'Etat ? Mous l'igno'
rons.
(
à Sai'iiii'dssc*,
|)L'ii,
le
pai lienlarilés
de loules
lialiilaiils
uu
u’ail
sien,
le
auquel
les
ue mauqueul jamais de se rendre
ue consiste pas exclusivement à aller
frie
la
son gonl immodéré pour
est
qui
hoiu'g
voisiiu's
les i)uroisses
dans une chapelle ou nu enuilage
d( 0 ()l(‘uuml s'/igeiioniller
des jeux et des
:
isscuueuls sont raccom[iagueuieut ordinaire des cérémonies religieuses,
di v(M'l
et
Kanrirez.
du caraelère aragonais
Mallienreusemeiil,
lonl(“.
.losel
l'omerias. Pas
ou
pèleriuag(*s
les
de dessin, fondée eu 1/14 par
i\ca(lciiiic
I
sculpienr .luan Uainire/. père de
Une des
('U
l^lcoh's l*ios cl
l('S
OVA
i
sonveni
villages
eiilre
riv/ililés
les
sauglanles. La }»ali('uce et
mausuélndc ue sont pas
la
en luttes
dégahièreiit
coiirréri('S
et
domi-
les qualités
iianles de l'Aragou/iis.
On raconte que Goya
jiarlagcait
la
une mêlée, à laquelle
fêles |)Opnlaires, (d (pi'nu jour, après (d
jeunes gens auraient été assommés,
trois
ofi
seciad,
mandad eu vraie,
réfugier à Madrid. Jns(|u'à
;illaut se
de
est difticile
il
il
aurait
il
cause ou [tour une
[)our cette
Toujours
le dire.
sid'ieiiscmeut au travail,
point rauccdole est-elle
(]iiel
qu'à Madrid, où
VEsopc^
c'roit-ou,
part,
Sauta Jler-
il
était
s’eulhousi/ismaut de Velâzquez,
anli'e,
copiant,
est-il
[»ris
crut prudent, sur uu avis
fuir les familiers de rhujuisiliou et les sergents de la
d('
pour ces
})assiou de scs compalriotes
le
Mrnlppr
mil
se
il
et
venu
nombre
d'autres (cuvresdu maiire éparses dans les diverses résidences royales.
Goya continua pourtant, une
vi(>
dans
Uosine, à
la
une
uavaja.
Tou eu
rue.
Malgré
remrdi(j eu il
cape,
sa
sou séjour dans (1
se
i'('da
(|niller
(loya
faut toujours s’eu ra|q»orter
aux ou-dit,
la
dans le
nue
guitare
sur les yeux, sous
mener
la nuit,
la feiiLdre
de
I
donc
le il
<‘ut,
élaldie. puis(pie à peine
;
l
et
Aragou
la
à
Il
;iu
dos pcrc-é d’un coup de
Guaiido esta vipera
aussit(M
était oubli('.
i'(''inslallé
décoration d une cb;qielle de
le
}»ica,
le
no bay
caché aux yeux des alguazils,
aju'ès
ayant lancé contre
ebemiu de y
:
«
r(devé par des amis
luquisilioii
(b|uipée
ou trouva notre écervelé,
fanhonrg de Lavapiès,
le
})roverbe qui dit
qmilrième année
belle nuit, à la lin de la
c;q)itale d('S Caslilles,
assez ])romptemeul
Madrid,
si
h'ulre rabattu
dise, et,
la l»oliea ».
blit
reprit
é(|iii[tee,
le
la
;i
façon d'Almaviva; mais Barlliolo ne se laisse pas toujours ber-
mu-, (|uoi (jur
coin
il
assez irrégulière, courant les aventures, jduçant de
emltossé
d(‘
s
oii
ou lui
le
lui
lit
eu toute
uu ordre
bâte
d'arrestation,
souvenir de sa première
revenait avec une réputation déjà
Saragossc,
il
reçut
la
commande
fameuse église de Nolre-l)amc del
Pilar.
de
la
Paris,
Imj.L.Fort,
moderne
et
ancien
ad'Art
Revue
1
(;oYA Il
partit
25
peu de temps après pour Rome, dont
il
mer ne
arrivé fort soulTrant dans la Ville éternelle, sa
bonne
heureusement
chance
la
d’aller loger chez
une
ardimiment
désirait
étudier les merveilles artistiques. Le voyage sur
vieille
aller
réussit guère
lui
étoile
lui
femme
qui
;
ménagea le
soigna
avec une telle sollicitude qu'il se retrouva promptement sur pied.
A Rome, au engagé dans
lieu d’étudier les
la
chefs-d’œuvre des maîtres Italiens, fioya,déjà
voie qu’il suivit jusqu’à la
tant des scènes de son pays
exécuta des tableaux représen-
fin,
courses de taureaux, fêtes populaires, etc
:
qui
,
attirèrent bientôt sur lui l’attention des amateurs. Ses succès furent tels
l’ambassadeur de Russie, chargé
nombre lui
d’artistes distingués à aller se
les })ropositions les
lit
La légende a toujours
fixer à la
plus tentantes;
il
s’y
cour de Saint-Rétersliourg,
montra sourd.
sa part dans la vie de Goya, et
plus vertigineuses. la
lanterne de
fois se tuer,
des Papes,
la cité
Ne
l'ait
son
d’inscrire
nom
dans
s'il
s’était
avec un couteau sur une pierre que per-
lui ?
N'aurait-il
pas
un autre
l'ait,
borné à ce genre de folies! Mais
aventures galantes
les
les
sbires,
les bras
au
une
enlever une jeune tice, et
il
il
à
Rome sei'ait
dont
était
violcnmient
un mauvais
il
é[u‘is,
fut livré à
il
quai't d’henné, (piand
les
pour
tentait d’escalader les murailles d'un couvent,
était à la veilb* de passer
tille
il
il,
se
montra
été à Madrid. Là-bas,
le
corniche?
d’une gravité extrèim'. Arrêté une nuit par
alfaire
moment où
l'avait
la
jour,
se lança, jiaraît
il
plus imprudentes et se
encore plus déraisonnable qu'il ne
mis sur
à
eût dû mille
il
tour du tombeau de Cécilia Mctella debout sur l’étroite saillie de
Et encore,
pendant
un jour, dans une ascension
se serait-il point avisé
sonne n’avait atteinte avant
feu croire,
tenter,
plus folles entreiu’ises, les escalades les
les
coupole de Saint-Pierre, jiendant laquelle
la
l'aut
s’il
sa nature aventureuse ne s’était pas assagie. Elle lui aurait
son séjour dans
que
par sa souveraine do décider un certain
la il
jusfut
relàclng gi'àce à riuterventiou de l’ambassadeur d'Espague. Tiri' desgrilb's de la [lolice
romaine, Goya se hâta de reprendre
Encore une C’est ce qu’i
I
qu’aux riches.
fois, (juelle est la jairt
est bien di fticile
de
le
chemin de
la vérité et
de démêler. Toujours
de
la
est-il
sa [latrim
fable en tout cela?
que
l'on
ne
[U'ête
Il
\Œ
DE GOYA
—
SUN AGE MUR.
Eu
(lova (initia
177o,
line
fair('
lin
SA VIEILLESSE.
revint
ol
s'installer à
Madrid
avait viiii^l-neur ans, c’était
11
suivante,
l'aniKM'
;
rJlalic
naissante.
l('l)nlal ion
|»réc('d(‘ sa
T
moment
le
de
Bayen, sœur de son
Joseta
(‘ponsail
il
l’avait
ofi
eamarade Eraneiseo Bayen. de leinps apri's,
l'(Mi
lut
il
de dessiner
(diai’i;('
les
carions des tapisseries
destimn's an palais dn Bardo.
Le niariaye vie assez
ii’assaj^il
d’ailleurs d’une
en
[dii[)art
lias
1781
âge
et
le
\il(‘
date
neiirs el
les
I
an
appelait
décédé; (|iii
le
l(>
lui
le
pour a
nomma
ni
avril
1780, à
peintre de
lard,
le
le
la
San iMaincisco
r(''glise
vogue dn peintre
lui
[ironva
lui
R'
la
vi'i'en
à
t
lieiilenaiit la
10 mars
(!rande, de Madrid,
el
de
el
d(‘
lion
rinl’anl
la
de 1781.
lin
ses ceiivres. Eiiis,
Il
dn
frère
l)e
devint roi
une aifeelion tonte parlicnlière. Les lion-
d
lois.
directi'iir.
mort 1788,
la
Le
de mérite;
niemliri'
de
lui lin
mener nue
à
donnant vingt enfants, morts
lui
comnn'iisal
[losle
venait, depuis
01
(‘I
prolils
San l’ernando
en
inlidélilés. Elle
ne fut mis en place qu’à
(]iii
grandi'
s’éprit
({iii
pour
Sirnur
la
iiorlrailiste
(diarles IIE
devant
dont un seul, Eraneiseo Javier, snrvécnl à son père.
enlr('pril
lin Sailli. Ilrnuiril ilv
cette époiiiK'
lirnyanles
et
fa('on p(‘renipt(d r(g
Goya
comme
coni inna
([ni
Sa paii\re l'emme ne laissa cependant d’aimer cet éponx
(I('|('^;I('M‘.
malgré ses nomlirenses
volage,
lui
Goya
yni're
di'
ii
succéder
mai 1780,
einij
Gornelio
di'
7
la
ans
a|ir('S,
place
Van der à
l’Acadinnie de
en
I78’’>. elle
d’Andréas Goli'ii,
Calli'ja,
Charles 1\
son père Gfiarles
III,
lit
,
de
Cliamhri' avec nn traitement de loOOO réanx; dix ans pins
oelohre 1700,
il
sera
élevé
an rang de [iremier peintre de
la
C0YA
Chamlire
une augmentation de
Jiveo
dire dO OIHt
de plus du double, c’est-à-
Irailenieiit
réaux, eu récompense de sa d('‘Coratiou de San Antonio de
l’iorida. Voilà
donc Cioya arrivé encore
souhaiter;
pi'd
•21
rien
u'fdait
tomlxh' bi('U bas an point de vue
j(Mine
aux
})liis
juste; eu dehors
plus
hautes situati(>us
de
lui,
la
([u’il
l'Mspagne était
arlisli(|iie.
CorilSE DE TVntEAl'X collection
(une.
Le
l'ègiie
de Charles IV fut
le
moment
aragonais. Les grands se disputaient
La nature
fêle
reju'eud
sou caractèn' tout rait la
doue des
le
la vie
du peintre
ses ouvrages.,
mais aussi
plus brillant de
non seulement
sa personne. C’était à qui l’aurait chez
Aussi courait-il de
Salainanca).
lui,
le
garderait
le
plus longtem})S.
en fête, de palais en palais. toujours
d’une
le
j)ièce,
dessus. Avec sou lempéranieut emporté,
Goya,
las
de
la
coutraiule (|ue
haute soci(dé, avait soif de se reli’ouver près du po[)ulaire.
[>as
divtu'l
s’élonner
isseimmls
(julia' d(‘
la
mesure cour,
si, il
au milieu des
esl [>ris
de
la
«
leidulias » des
nostalgie de
la
lui Il
inspi-
ne faut
grands
canaille et
el
du
(.0 V A
28
ruisseau.
de
partie
uiK'
du
élait
Il
totalemeni (huiiu*
reste
au
jouriiéc'
la
la
l)()ud('r
daii^
iiiiil
jua'juoés. Api'ès avoir passé
au milieu des t'emmes
palais royal
élt-^aules, d(‘s liüiuiues les plus ral'liiiés.
d(‘
il
moins recommandables
tavei'ues (d les liodeyas les
les
des i'aubourps de Madi'id, jouer aux dés ou aux caries ave(*
mo/os
les (d
}dcador(‘s.
les
(rup
disculer un
cordid,
d('
mauvaise
est-ce
i\lais
gràc(‘
à
dire,
d'é[»ée
nous eût jamais
ou de lance avec
esj)agnol qui ne
laissé
cède que
le
les
et
espadas
nous de nous mi plaindre? Nous aurions
mondes, ce passage dans tous ces ])ages
si
vibrantes,
les milieux,
(|ui ont,
dans une représentation extraordinaire celte
tixi'
aguadorcs
b's
raimenl. Sans ces fréquenlations [)lus(pue louches, sans
\
ces excursions à travers tous les (loya ne
coup
plus
les
soinauit daller vaga-
lui arrivait
tin
pour ainsi
du xviu®
siècle
bien peu au inàtre, par son intérêt
«le
par
et
son caractèr«'.
Avec ces nueui's, amateur
passi«.)nné des sp('ctacles
liculiiM'ement. «l’èliH'
lit
j«as
«run
Il
la
xym®
sa défense,
qui ra])plaudissaienl
«!«>
cbemins
sans nuages,
«pi’il
jour de sa
a l)esoin
Pour il
«lé«lai-
lui,
il
ne
ariaudut plus
l’existence de
trêve
tempêtes,
les
le
«levant de leur l«)ge.
Goya survint
Les beaux jours ni
merci
rendre
le
coup de ton-
«lu
peintre sont
vont sillonner son
pres«[ue
im})raticables
ciel b‘s
faudra néanmoins pai'courir, ne lui laissant plus, jus«ju’au
lui
mort
cirque.
le
mignonnes mains sur
leurs
orages sans
les
il
une de ces gracieuses spectatrices
lU'cre qui reuv«>rsa le troue «le Ghai’b's IV.
jus«iu'alors
toutefois
gens de cour eux-mèmes ne
siècle les
l’offrir à
le })liis brillant «le
Dorénavant,
si
devisa au taureau avec la haialiesse et l’babileté
pi'ofession [tour
«le
Au monnmt
la
qu’un
rue et de l’arène, de l’arène tout par-
pour
bvrl habile à cette «langereuse escrime,
et,
mona ou
la
i'spa«la
linis.
jtouyait être autre chose
de desciuidi'e CJicore queh|ucfois dans
pas faute
d’une fois
«le
Goya ne
ne faut jtas oublier
disculjié. «[u’à la lin «lu
gnèrent s’en
ces baldludes,
«|ui
aura
lieu
en terre étrangère, que quelques rares j«)uniées
d’accalmie relative.
La guerre de rind«‘p«‘ndance, qui mit Un, pour un temps du moins, au règne
des Bourbons en Espagne,
êquivo«|ues. Ouel coup jtour voir le roi et «le ses
des
et
grailes
ti-ouldes
r«dne
la
et
;
le favoi'i
«le
la
«lans
})rotecteurs
événements!
une
[«osture
«les
plus
cour de rin«h)lent Charles IV de
prisonniers en France;
ses «unis et «les
Goya
pla«.‘a
Godoy privé
«lispajms «)u
Comment
se
«b‘
ses titres
«lispersés
par suite
déci«la-t-il à
reconnaître
SCKNK UK SOIlGELLKIilK l‘eiiilui’C pi’uv'CiKinl
ilo
I
Alaiiicdu du duc d'Osuiia.
CO VA
30
Jusopli lionaparli' pour roi qu’il (d
!('
l'ail
ici, l'ul
il
ol (juo,
lil
sans
(diosalicr de
comicnl
loin
d’èlri'
la
?
priuco dos Aslurios,
osl
hicn
«liflicilc
Nous u’avous pas
L’i'xomjde
lui
lard l’ordiiiaiid \MI,
do
viiil lU' S(>
.lovidlanos, Mazarredo, l njuijo,
de
Saula
Colonua,
à
csl-il
a
iulruso »
jii^oi'
l’Iiomino
roi
k‘
li's
liaiil,
de
Irôs
liaul.
Le
iaiiogi-a|iliic.
ducs do Fiu'iian Nuùez
cardinal
di'
il
souuiil-il jias lo proinicr ?
Picador ent.evé sur les cornes d'un tu’reau,
coniti'
Toujours
roxi)li(j lier.
ordiuain' du
dire à sa d('‘cliarge i|u’(‘u cidli' cii'Couslauco
di‘
c'xci'pliou. jiliis
do
lui iioiuim'' priuli'o
il
Li'piou d’Iioiinoiir.
sruloiuoiil uiio
Il
lardoi',
llourijou, jiour
ot dol
Panjuo,
ne ciler
(jiie
le
les
plus grands, n agireul poinl d’aulre façon. Los confrôres do Goya, les peintres
de
Mariaiio Maella, Francisco Uainos,
la COU)’,
Ft ne
laul-il
iaire parlie,
parmi
los
Pahlo Piocio
pas tout diie?
Le inalhenreiix Goya
avec Napoli
Macdla.
(ahloaux de
la
el
do
la
galerie royale,
'
M.
de niôrnc.
jusqu’à accejilei'
de
conimission cliargéo de choisir,
cinquante des
destinées a otre envoyées en France pour enrichir No/lcia inslnidiva escrila y presontada a S. de 1814, por Don Pedro Vasrpiez Ballesleros.
alla
lireni
el
le
plus
helh's
toiles
musée du Louvre L
rev don Fernando
VII en 10 de uiarzo
CO VA Il
est l)0n d’ajouter
que
peintre regretta vite cette adhésion par trop
le
complète au nouvel état de choses,
dans
la
maison de campagne
sortir (pie ville,
il
le
moins
possible.
et (pie
qu'il possédait
un étrange
II.
(rentendre
résonner sur
les
t
sans
lilEN
Tluii.
.
graMii'L' cxlrailv
miirmiii’er
et
s'enfermer
alla
et
à
travers la
cette
ühligé de ronger son
vue
fr(‘in
le
en
des L’apriccs.
éperons des
les
pavés des rues dé Madrid,
hésaslres de lafinerre.
il
aux portes de Madrid pour n’en
runiforme fram^ais
état d exa.spiu'a ion
ESI'
de dégoût,
Mais, dans ses courses ohligées
rencontrait encore trop souvent
mettait dans
silence,
‘
31
il
se
housards
de
Mural
vengea en hurinant
les
en lirossani avec une vignenr dial)oli(pie des tueries
de soldats fram^ais. Itevenn complélement sourd
-,
triste,
morosi', fatigué de tout, des autres
campagne de Coya, il l'allail sortir de Madrid par le vieux pont eu pierres île laille par .liian de llerrera sons l‘hilip[ie II, |uiis prendre un petit cliemin r|iii y eomluisail en einq niiinites. C'était une liàtisse de la fin du x\ iii' siècle, sans caractère aucun, édifiée sur une éminence d'où im domine la ville entière cl scs principaux monuments, avec le lit souvent à sec du Manzanares, au premier plan. '
lie
l’our se rendre à la iiiaisun de
Sci’govic,
liàli
i
-
Coya avait
ressenli les premiers
sym[)tùmes de
la
surdité dès sa jeunesse.
.\
treize
ans
il
était
32 lin de enfermé dans sa « .luiula >>, jusqu'à la de lui-inème, (ioya resla anciens camaseuleinenl sa porle à .luel.iues rucenpalimi, eiilred.àillanl fîlll^ M SO,S m allies et à son
comme
,
de Bon Bni-
illnslradnir
1
jole, qn’il n’avail
cependanl pas
dans ses planches des
éparpillé
Câpriers, Caslillo
Selnia
nus
le
graveur,
peintre
cl
avait con-
([u'il
de
madrilène.
r Acadé'inie
Kl
le
j)ensionnaires
Bonn'
à
((
fjaini-
le criliqne d arl,
mudez, coro,
(jcan Ber-
atraliilaire
liumenr
intruso
rey
.loseph
»,
l)ona[»arle. Int oldigt' de ([iiiltei
ri'lspagne
18B1,
en
années de règne, ;ipp('l('r le
cin([
on
}»ent
si
1
coinme
régnei', vivre
à ^ladrid
lit
après
conlinuelles, à
il
dans des transes 1
ahri des haion-
uelh'S françaises, nnoiiine
Goya
dern'eùt point, snriout dans les lempsde 1 occiqtalion, épailèn'i'S
les (‘xpressions
gné
mépris
de
dont tré,
un
il
et'
p('u
eût été Les GABBES bu tabac, du
(iiiuséi’
i„nnl lèri's,
,
le il
carloii ii'Hir
l’rai.lo).
Itésiié le,s,|Me h, l.aleille
ne
Kuala, „ a„U
restait [tas
,,a„ a
U
i
le
designei'
[tour
celni
avait été le peintre atti(jiii
mam[uail
de générosité;
un
lies
[tins
[lenl-ôtre ([iioitpi
il
chaleureux
des plus exaltés pour acclamer heiretour dans ses hdats de
use
4e
lui ,.ul
nuulu
le
hVme 4e
ses
assez loin tes néanuntins sans <[ueh[ues a[tprehensi(tiis,
a ,à,„,„a„... il IVIaii ,„«t àf.il. l’àge de <ii.araute ans,
°
v.nilnt, vers
nilinnü', iiêaiimuiiis a imsseder d’itue l'acMm surprenante
triste
,1
,q
tapisseno
haine et
d(‘
.
11
lecmait
pail
‘
"SLSu
i t
PLafond
i:i.
Pcvuc de
l’Art
ancien et inodcme
T()Pvl‘:UO
sc.
.JOSK KO.MKIU)
imp.L.l'ort
GOYA d’ailleurs.
compte que
se rendait fort bien
Il
33
ses liaisons et ses relations pen-
dant les années terribles devaient l’avoir fortement compromis auprès de l’entourage du souverain. Si, d’un
dans
les idées libérales, il
coté,
les utopies des
avait terrildement trcnijié dans
il
Joselinos »; d’un autre,
«
avait plus terriblement encore fustigé et fouaillé
Le
patrie.
roi lui
en
comme
à l’écart, craindre,
conduite aurait mérité
Neuf années
et,
frondeur
l’artiste
se contenta,
il
compte,
tint
au
plus
l’exil,
aurait bien eu
môme
que
de
VU
mauvais
Néanmoins
rêve.
il
mode
La plupart de
— plus
de
et ce fut tout.
:
bourbonienne;
dans son
liire
de peintre
—
n’étaient pas les siennes.
il
eût aimé à sc retrouver,
ceux avec lesquels
ses amis, de
avait
il
Les nouvelles
sortes.
toutes
rétrogrades que jamais
le
([ue sa
ne sc sentait pas à son aise à Madrid où
assisté à tant de palinodies et d’apostasies
idées à la
de
raison
française n’avait été qu’un
Cbamlu'c, eût pu croire que l’occupation
la
garrot
tenir
le
en souriant
restauration
la
Goya, réintégré par l’indulgence de Ferdinand
quelque
lui dire
l’exil, le
depuis
écoulées
s’étaient
de sa
les envabisseairs
déporter ou de
lieu de le
pour toute punition, de
est vrai,
il
déportés ou morts. Bref, n’en pouvant plus, après avoir long-
étaient exilés,
temps patienté
rongé son frein en silence,
et
il
demanda au
roi
un congé
pour
aller
en France prendre
était
âgé
de près de soixante-dix-huit ans. Pour sc rendre à Plombières,
il
fallait
les
passer par Paris que
eaux de Plombières.
le vieil
athlète ne
peinture française et juger son école dont
dont et
il
11
et
il
n’alla
la France pour étudier
entendu parler
avait tant
n’avait vu que d’assez rares échantillons.
il
en 1824,
connaissait pas.
pas plus loin et profita de son séjour dans la capitale de la
C’était
et
L’astre de David pâlissait
ceux qui clicrcbaient à renverser ce colosse aux pieds d’argile n’étaient
point faits pour laisser Goya indilTérent. Les toiles de Gros, de Prnd’bon, de
Géricault et du jeune Delacroix firent sur lui une profonde n’entra cependant
ouvrages dont
le
lui
en
[»as
suffit.
se
Il
relation avec ces
il
avait
connu à Rome
le
fait
il
écrivit à
Madrid
aux eaux de Barèges pas plus à Barèges
;
grand-père, .loseph Vernet.
afin de solliciter
elle lui fut
(|u’il
leurs
cependant pour l’enthousiasmer,
Après un séjour de qucbjucs mois à Paris, Goya vint d’où
rexamen de
})eintres,
Il
contenta d’aller rendre visite à Horace Vernet
genre de talent n’était pas
mais dont
impression.
s’installer à
Bordeaux
une prolongation de congé pour
accordée sans diflicnlté.
n’avait (dé à Plombièrc's,
mais
Il
aller
n’alla d’ailleurs
resla à
Bordeaux où
(iOYA
31
ivli'oiiva
il
une ancienne amie
M""’ YVoiss,
plus lard pmress(‘ur de di'ssin de aussi nninlu-c'
d(‘
rtune Isaljcdle.
la
couuaissances de Madrid
Juan Paulisla Muyuiro, iNdlequc,
le
gravcuir
Jos('pli
de
llernai'din
moins
('\ii(''s.
pidntre
de
Saint-Pierre, s’y lia
Il
mai'ines
avaient
Ils
de
A.
de
ou
plus
Prngada.
patrie ne
rue
de
avec un jeune Ces
se ({iiittaienl
riialtitude
(piotidiennement,
Aléa,
Vlrejlnle
tons
d(‘ jilus
;
même
enfants d'um“ guère.
Mignel
José
,
Iraducteui' de Pai/i et
r(dcganl
l'nl
y revit
son Sn/nl Fnaiçots de Borja,
d(‘
Cai'iierero
d('
vieil arlisle
L(‘
poète Moratin, Pio de Molina,
le
;
Weiss,
llosario
ilonl la lille,
réunir
se
d('
iVdite-Taupe,
la
chez un ceidain liranilio Poe, poui' parler de hoir pays, ampiel Lors(|U('
dat(‘
la
de cim| anm'‘es, fut (ui
tS27,Goya
le roi.
cieusement qu’il
son
faire
à
Sara-
mais s’il
à
en par
])orlrait
l)ortrait, pei)it
Portrait du duc de San Carlos Durcau du Canal impérial d'Aragon
était
chemin de rEs[»agne.
le
alla se i>rcsenter
il
accorda
et lui
])eintre qui lui
(jui
souveiaiin le reçut fort gra-
I.e
dition llatfeuse
p(uis(u'.
jirès d'exj)ii‘er, c’est-à-dire
Madrid,
à
s(dlicitait,
son congé,
d(‘
re})ril
A peine anavé devant
ne cessaient de
ils
avait
le
nouveau congé
une condition, conde laisser
celle
fnl,
Viceute
succédé à
Lope/P, la
en (|Ludques heures,
aujourd’hui au musée du
Prado.
le
cour. Ce sc'
trouve
Il
repré-
gossc.
sente relle,
à
mi-corps, assis presque de
gauclie et une hrosse de la
omaude sur
la j)oitrine,
main
le
maître ai’agonais de gi'andeur natutenant
face,
droite.
laissant passer
un
Il
est
une
|)alette
de
la
main
vêtu d'une redingote claire
jahot de dentelles.
Ce Lcipcz nï'l.'iit ]ias le iireiiiier venu. Ne à Valence en 1772, il nunirul à Madrid en 1830, à a^e de .soixaiite-dix-liuiL ans. l'dls cl neveu do peintres, il est tout naturel qu'il ait embrassé la ]irolcssion de Ions les siens, sorte d’herila,!.''e l'amilial. Il décora de nombreux momiments et sa réputation coniine [icinire de fresques fut grande iiéaumoins scs portraits sont encore le meilleur de son couvre, et parmi ses princijiaux, il est juste de citer, à côté de celui de Goya, ceux du roi et de la reine de Naples, père et mère de .Marie-Ghristiae, de l)on Manuel Fernandez de Varela. du marquis del Labrador, etc. *
1
;
Prado).
du
(nmsĂŠe
villageoise
tapisserie
noce
La
iiour
carton
(in
36
Un
raconle (|n’après que Lopez
pas (lemeiiror rn rosie,
(Uil
YA aclievé son porlrail,
do lu'ossor, à
l('ula
iiire
Goya no voulanl
do irciprociks
le
do son oonfrèro; mais sa main Iromldanto, dcqà à moilid glacik" par lonio in'oclio,
de son
on règle Inronl
polil-lils
demonl.
désir do
5(1
So voyani
chambre,
(kcivil
il
le
son
cà
qno
acln'vc('s, lui
roi
d(> lils
sa
lin,
immodialomoni
éfait alilo. Trois jours a[»rès,
h'
dans
15 la
(ra}H)ploxio terrassa le vieux maîlia' lils
La mort de Goya dans
la
ol
il
revinl à Bordeaux, accomi)agn6
avail accord(‘
no
lors,
un conge
forces
S(‘S
(|nillanl
pins,
Madrid, pour
.lavior, l'osh' à
arriva à Bordeaux
d’embrasser ce
mémo
mori
ddmarclios m'cossairos pour mollro
revoir nno dornièr(‘ fois avanl do mourir.
])èro. Il
joie
les
000 rc'anx. llopnis
près
ap})cl, celui-ci parlil
son
d('S
Mariano. Le
un Irailomonl do
la
sa volonlo.
Iraliil
Goya rolonrna on Franco, SOS all'airos
porlrail
maison
si
An
illimiU',
avec
déclinèrcnl
ra})i-
pour
ainsi
dire,
Ini faire pari rorpi
la
do son
do ce prossanl
j)onr aller roenoillir le dernier soiq»ir do
y avail si'izo jours (jno Goya nnil du 15 an il! mars 82S, une alla(|no
mars
;
il
1
(|ui
s’éleignil aju'ès avoir
on
la
dernière
lemhannenl aimé.
fut (b'-clarée par le poète Bio de (jne lui, 30.
Molina qui demeurait
Fossés de rintendance,
et
par un négociant
SCKNl'; J'ISPACNOLE.
(i
OVA
37
espagnol, Uonuielido Yaiies/ halûlant cours de Tourny, furenl célébrées en grande castillane, si
que
nombreuse
pompe dans
les piâncipales notabilités
de
tle la
Guyenne, y
la
famille Goicoechea, alliée à son
COUUAGE
^‘IUIL
DE
L.V
Goicoechea, mort en 1S25. Sur fut
la
colonie
assista, ainsi
tils
la
Cbarirense, dans la
Javier, on reposait Martin
CÉLÈBBE PaJUELER.V DANS UNE COURSE A SaUAGOSSE gTavurc cxlrailc
du peintre,
riiiKu-ailles
la ville.
L'inlinmation eut lien à Bordeaux, au cimetière de sépulture de
Ses
Notre-Dame. Tonte
l'église
alors dans la capitale
3(».
ilc
la
la [)ieri'e
'rauromachie
lomliale qui recouvrait la dépouille
gravée rinsci'iplion suivante
:
inc JACET
FUAISCISCÜS A GOYA ET EUCIEX'TES IIISPAXIEX’SIS
PEHITISSIMUS
MAGNAQCE
PlCTOIl,
SCI XOMl.NIS
CELEKItlTATE NOTES, IiECUllSO, OlîllT
PKOCE, LU.MINE VlTJl, XVI KALENDAS MAII,
ANNO DO.MIM, M. DCCG XXVIII. .ETATIS Sr.E
E.XXXV
II.
I.
P.
(
.
(
3S
(;ell(>
Alldriana y
l.rrlo fui
srpullmv,
à
P.ordeauK
ou-cueils de
l('S
Coya
n'sles d.‘
el
du
inailiau el,
Marlin
1rs s(jU(d(dles .pi’ils roiilenaieiil
rouservalion
(|ii
il
lui
d.-linilive
eu
:
18'.)9.
M. Al-
pinlVsseiir à l’écül(> royale d'archi Icclu re de IMadrid,
delégud parle mar.iiiisde Pidal, inini^lrr
rhrr
,lr
VA
ne dcvail pas èliv
.l'aillriirs,
('diica.le.
)
«
le
del
Fomealo
Irouvaieiil
exluimés
dans
impossidh' (ral'lirmer avec
un
pourv(Miir cher-
même
d juin de lu
(’.oiooecdiea fiinml
se
«,
si
(9
année,
les
ouverts; mais
lamenlahlc
eerlilud(‘
kupud
élal
élad
séparément dans d(Ui.x hoiles dr Coya. Tous d(m\ ruivnt alors enrermés encasirés dans un lri[)le cercinul, (d (dirne. doiildées d(‘ plüinl), puis
rrliii rii
l•amenés
à
Madiid où Coya
ivpose dans l'église San Isidro,
rompa-;non du rinudiére dr llordeaux, sons |,.s
Coidrs avairni. en 1888, volé
prand
la
le
à
cùlé de son
magniliqne rénolaplie
eoiislrudion, pour ^dorilier
prinli'o espap,nol.
I
le
dont
dernier
GOYA PEINTRE RELIGIEUX
mourait en Espagne,
L’arl religieux se
comme
parloul ailleurs, à
du
la lin
XVII i" siècle.
Les
qui dans
jieiulres,
la
[léninsule régentaieni
goùl puldic, faisaient
le
encore montre d’une cerlaim' connaissance de rordounance pittoresque prali([ues ils
du métier
formes llaphaël
En vain Charles
factices.
Mengs
lante jadis;
qu'ils avaient apjirises des Italiens
et Tiepolo, avail
elle
III,
et
que
!
le
nom
essayé de galvaniser l’école nationale,
s’éteignait avec les Bayeu, Maella, Javier
de
commun
do plus faibles encore
pour laquelle
fait les
homonyme
;
nous en passons
la foi, ils
avaient
smrliment naturaliste qui daus
jiei’du
les
et sceptique
Icsenlimeut
siècles précédeuls
ces cutrefailes. Pas })lus (jue ses
contemporains
sédait la foi qui enfante les grandes ouivres, mais, à son défaut,
un amour absolu est
[lour la
ualure
et
il
il
ne pos-
ressentait
avait su prendre jiour maître Velazijuez.
donc tout naturel qu’avec scs extraordinaires qualités natives qui
pèrent tous
les
yeux,
il
ait
conquis sans coup
Son œuvre religieuse consiste en en peintures à
férir
jieintui'es
autres, elles sont enfermées pour la plupart dans h's
églises,
les galei'ies particulières
delà péninsule.
exécutées
décoratives
connues
et
frap-
une haute situation.
l’huile, sur toile. Tro[» [lou
fresque
l»ril-
Gonzalez Velâzquez qui n’avait,
avec son illustre
remplaçaient
si
maîtres des écoles de Séville et de Madrid.
Goya arriva sur
Il
de
Bamos, Vicenle
Vivant au milieu d’une cour dissolue
les jiratiqiies
i-eligieux ainsi ({ue le
avaient
!
et
en appelant deux peintres étraugi'rs,
Cornez, Eugenio Ximenès, Pedro Michel, hélas
delà décadence, mais
que de scènes théâtrales, d'atliludes convenlionnelles
n'étaient épris
des
et
les
les
unes
et
musées
à les et
(K)
il)
Le faire large
cl })uissaiil
un
lout
fresque
la
si'
marie à
pour ainsi dire parlie
rarcliileeture donl elle fait
d'un
de
VA
et
que
aux ligues de
avec laquelle
homogène. Rien ne s'harmonise mieux avec
('dilice
souliail
elle
les puissanles
forme masses
composi lions de ce genre de peinture aux tons mats
les
dmicemenl passés. Malhenreusement qu'aux grandes époques de
l'arl,
el
la
les
IVcscjue
semble ne pouvoir
[)einlres
du xviiL
siècle
et
llenrir
furent les
Fragment de fresoie (ôÿlise
derniers à avoir
le
San Aiilonio Oc
la
sens de celle décoralion
lloiida).
si
haulement arlistique
par
et
trop délaissée aujourd’hui.
Goya,
touche
(}ui
qn'en 1S28,
est le
l’époque conlem})oraine,
à
dernier venu des artislés de
puisqu’il
ne
s’éleignil
grande Iradition qui aieni
la
usé de ce procédé. S('s lifs,
de
fresques religieuses se composent de deux coupoles
à l’église
Notre-Dame
San Anlonio de
la
del
Pilar, à
Florida
<à
Saragosse
Madrid,
;
de
el
de leurs penden-
coupole de l’église
la
d’aulres j)einlures dans
et
les
cloili'esde la cathédrale de Tolède, disparues aujourd’hui.
Notre-Dame lin
(hd Pilar de Saragosse est
un énorme
et
massif édifice de
la
du xviP sièchq de forme rectangulaire, surmonté de onze dômes recouverts
de tuiles do ditférentes couleurs. L’intérieur, divisé en trois nefs, est froide! nu. La seule
],)arlic
série dé (h'mu's, (jni
curiensedu s(>
monument
trouve au milieu
el
esl le
sancluaire consistant en celte
siunhle
un
timiple imcasiré dans
un
AtiOSSE)
SAM
(
l’iLAll
DEE
rs'OTriE-I)A.\IE
UE
COUI'OLIÎ
G
(
aiilro
]mi
|('iii]»l('.
J
OYA
;
771, les cliimoiiK'S.
(li;trg(''S
delà
d(' décur;iliou (‘iilrepris
(lisli'ihiilion
depuis un
malgré
déjà,
u'li('‘si lèr(‘iil }>as,
—
avail juste viugl-cin(| ans
il
la
des
li'iiviiux
cei'lain
lenips
|eunesse de (luya,
—
demaiider
lui
là
deux coiuposi ions important('S. Le peinire brossa I
deux grandes
anssilùl
enVay(* de leur nal
mais
l)l(M‘,
loya
(
les
(I
<1
a
II
même
I
d ra n
chœur de de
la
de
ligiirant,
:
Il
quehjues années
[leigiiit sui' la
coiqiole
chapelle
une
,l//c-
Ihriai/r
la
au milieu de
Imniuenx,
rayons
mali'egimhé
du
a ire
la
Yiergi'
(jijnv
chapitre,
n'accepta pas d’ein-
turent a[)lanies,
mit au travail.
gui
le
(|md(pne pen h's relouclier. (Jnand
tés
se
il
lirai isine,
que
seiiliunent ajirès avoir jias
it'licul
après, q
U
es(|uisses
le
triangle sacré entouré d
auges
de\ant
eu
adoration
lui.
Sur une
seconde coujiole, fait
Fii.uiMKNT
face à
UE FiiEsnn-: 1
San Aiilunio
lin
la
11 1-,]
(1rs
oac
[lieds,
dans
les
1
111
i
Morida).
niarhirs.
cenli'c le point
chapelh'
la
I^a
il ,
.
i‘(‘])i‘rsoiila
raiar
qni
ini're
culminant de
du
La
occupe au
(Jhrisl
la coiii[)osiliou
nuages, des anges,
îles
fargr,
I
;
.à
ses
archanges,
des pnqdiètes et des saints. Sur h's peudiuilirs se voient d'aiilri's auges.
Cet ouvrage fut exéciili', chosi' à [leine croyaIde,
en (|uatre-viugl-dix jours, entre
décemhre 1780 ,
et h-
.
neanmoins, en
nioisde février 17hl .
I
siiii
1
giuire, maigri' h'
mois de
le
[leii
:
il
resti'
II ite temps
Fli.VljMF.Nr
^
que
du
lui
«’gli-'C
DF FliESoUE
San .Vnlonio
ilc la
Florida).
consacra son auteur, rieiivrc [irincipale
[leintre.
Larticul ièrement
remar([iiahles jiar
la
longue
et
rem[)orte-
Saint [''uANnois
iif,
Uüii.ia t
usant ses adieux a sa
i
amim.e
de Sailli d'raiieois de Doi ja, calliédi alc de Valeiiee;
4
O VA
(i
i
nient dn dessin,
finesse
la
manquent vraiment
Iroj)
et
drdiealesse de
la
du sentimcnl religieux qui
Goya. Malgré
à
moins hors de
pair, rejetant hic'U loin
cet le
l'ail,
ces fresques
comme
on
sait, aliso-
capitale, elles n’en sont pas
infériorilc
lument défaut
veilles,
la coloration,
dans romhrc
les
quoique correctes, de son heau-frère Bayeu,
décorations froides et celles de
et
Gonzalez
les avoisinent.
Velâzquez qui
Arrivons aux fresques de San Antonio de
San Antonio
une
est
Florida.
la
presque une
petite église,
cliapcllc, édifiée vers
1792
par ordre de Charles IV dans un des faubourgs de Madrid. C’est en 1798
que Goya i‘xécula en
mois dans
trois
célèbres ouvrages. Ces peintures, sont tout ce
l’église,
gai, véritables éclats
comme
de trompette sonores
Véi'onèse et des tiness('s à
liste la
doit
la
« Sai/i/
:
nom
faire révéler le
Dans
d’aller
avec d’infinies
rien, avec le sujet
la
coupole
de son
se caclier
les lunettes, b's
un de
ses [)lus
murailles de
et les
de plus
brillant,
joyeux. Impossible à
et
la fantaisie
comme Velâzquez, comme Titien, spirituel comme chez ce dernier et chez
plus loin. C’est vrai
lumineux comme liembrandt,
Tiepolo,
La mort
décorent
(|iii
que rimaginalion peul rêver de plus
d’oser davantage, à l’esprit éiiergiqiK' et
cet liiimhlc sanctuaire
délicat
perspectives
Watteau. Mais cela n’a rien à
voir,
absolument
A/tloinc de P(uJouc rcssuscifa/if un mort pour lui
meurh ier.
»
Foin do
honteusement devant
la tristesse et
la
vive la gaieté
!
joie do vivre.
angles des murailles, les rctomliées des voûtes, Far-
représenté dos ebérubins, des gloires, des anges, des archanges, toute
a
milice céleste consistant surtout en
amours
et petits culs
nus, aussi profanes
que possible. Carions maintenant des peintures religieuses de Goya exécutées sur
Sa pi'emière (cuvre impoidaute en ce genre de 1781
peint
mesure nn
4'",
à
sent('‘
789 poui\l’église San
Saint Bernard de Sicnne'^
l’rancisco
el
Grande.
Cette
80 dv hauteur sur 3 mètres de largeur. Elle représente
crucifix à la
colline,
1
est le
devant
main, priant en plein
le
roi Al})bonse
lui-même dans
celte
à
air,
d’Aragon
composition où
la
et sa il
toile.
clarté des étoiles,
le
toile
saint,
sur une
cour. Le peintre s’est repré-
figure à di’oite au milieu de la
foule des courtisans.
Saint Bernard de Sienne est une leuvre d’un dessin ferme '
Le comte ilc Torrccilla possède deux curieuses de Sienne de Goya.
llernarcl
esqitisses, différentes
rime de
et
d’une colo-
l'autre,
du S(dnl
Saint FiiANijois mo ISouja aiui iiant un moribond du se uepeniir du ses eau es i
c;lia|)cllc
de
Saiiil-I'i'uiK'oii
do
IJüija.
calliodi-ale
de Valoiu'o)
CO'i'A
•i(i
ralioiidélicalr qui ;H)p(‘la MU’ [irolil.
r;ii'lisl('
Les eoninumaulés ivligL'uses
d’iiu[)(.»i'laides
déeoralinns. La
coiii'
l'ai Irii S('
(d
Sainte Famille
[)i’odu(di(ms.
L
illiislie ramill(?
parer un cerlain
Les d'Osuiia,
mais aussi
leiu[»s à
(|ui [)orlaieul
celui de
de Valence une
son
dues
cdia])elle
d(‘
l
iuii
p.riK'i'alo.
liàlàronl à la
\ili(‘ S(>
'niust^c
1
d
euvi
Il
lira gloire el
(mi
d('
is|tii l(‘i'('n
lui l
comuiander
S('S
nioiudrcs
du Prado).
d'Osuna jugea
le
niomeiil l’avurahL' [)our l'aeca
pi’olil.
non
s('uleinenl
le
lili'c
decoinles
d(‘
Benavenle,
(landia, venaii'iil de faire ('devenlans la calhédrale
sous rinvocalion de saint Fj'ançois de Borja on de
Borgia. Fi'ançois de Borja, marquis
d(‘
LomLay, duc de
(îaudia, élail
un grand
r.*0
seigneur de
la
cour de
Charlcs-Quint.
dépouilles d'isabeilc de Portugal, première
Le
l’étiqueLle.
La vue des
pression qu'il quitta le
devint
le
Cliarge
femme
ClirUST en croix (nuisrc
tout Fécial de la jeunesse el de la beauté,
clianoines de la caÜiédrale,
47
YA
le faire
il
tlu
d escorter a
troisiènu' géni'ral.
les
de l’empereur, morte dans
l’raJo).
dut, en remeltanl le cercueil
aux
ouvrir pour obéir aux prescriptions de
restes défigurés de sa souveraine lui
monde pour
Grenade
entrer dans la
lit
une.
telle
im
compagnie de Jésus dont
il
GOYA
•18
En
17N7,
le
duc (rOsuna, désireux d’orner celle
deux lalileaux représcmlaid, Eun
cliaj)clle,
commanda
à
Goya
Saint Franrois de Burja faisant scs adieux à
:
sa famille, l'an Ire Sai/it François de
Borja adjurant an moribond de
se repentir
de ses fautes. llans la premièi’c de ces loiles, le saini, en
Ions les pej'sonnaties de
mouumenlal, embrassani son l’amille jdeni'i'ul et se
se
coni})Osition,
la
lameuleid
menls religieux, debout, un
aine
lils
membres de
la
main, exhorte au repentir nn mori-
crncilix à la
à ses sollicilations, laudis
couclié, s'apilent des
démons gidmaçanls, que
les
(jiio
seconde, l’rançois de Borja, eu vète-
bond qui reste sourd
qu’à
du
la tète
oii
lit
il
mourant que
le
est
dans
l’on retrouvera })lus lard
Caprices, cbucbotant des paroles de révolte au
ravir à
siècle ainsi
an sommet d’un escalier
lient
tandis (|ue les autres
<laiis la
;
coslume du xvY
saint veut
l'enfei'.
Ces deux peintures, gravées en 1805
trouvent chez
le
j»ar
IVdeguer
et
dont
maiapiis de Santa Cruz, sont loujours dans
laquelle elles avaient (dé
commandées. D’une sagesse
les es(|uisses se la clia[)elle i)Our
étonner, elles
faite j)Our
]>rouv('utde toute évidence (jue, gêné par le sujet, Goya, en les exécutant, n’a
osé
|)as
S(‘
Banni
livre)’ à sa
fougue liabiluelle.
les meilleui’es
compositions religimises de Goya,
pi’emier l’ang Jésus recevant
d’une longue va
rante,
l’ecevoii’ le
Iniiser
lance à la main. Cette
ti'oj)
lui
toile,
demander
bi'andt [»ar l’entente
le
le
A
Dieu crucilié sur
Tolède, dans
la
le
sacristie
composition
le
Glirisl,
-,
la
de
vêtu
nus, entouré d’une foule hurlante et vocifé-
(jui se
trouve à sa
veut bien, ce
sentiment
et
di’oite, le
casque en
fête et
cintrée par le haut, de 3 mètres sur 2, est ({ui est,
le
il
est vrai,
un peu
clir('dien. Goy;i a pres(]ue
du clair-obscur. La scène
mais purement bumaine, avec
centre de
la
de .ludas qui s’avance à sa gauche et indi(|ue du
véi’ilable cbef-d'ouivre, si l’on
ne pas
le
tiini(|ue, les jtieds
rilomme-Dieu à un soldat
doigt la
Dans
de Tolé(k‘.
callu'drale
la
baiser de Judas
le
faut citer au
il
poui’
est
diflicile,
égalé
Bem-
d’une vérité saisissante,
en j)articulier n’a rien
Christ
un
à
démêler
Golgotlia.
cbajielle
de
la
nuiison du
Nonce ^
se
voit encoi’o
un
Christ mort iittribué [»ar les uns à Bayeu, }»ar les autres à Goya, que l’empla'
Le fameux duc de Lerme
On
étail. petil.-lils
de saint François de Horja.
ignore à i|uelle épO(|ue au juste a été peint c'est probablement vers 1787. -
“
le
tableau de Jésus recevanl
Voir .'Vmadur de los Kios, Toledo pinloresaj. Madrid, 184à.
le
baiser de Judas
:
Sainte Justine et sainte Uufine calhi'â&#x20AC;&#x2122;i.li'alc (
de SĂŠ\ille).
(io V
50
cemont somlire
occupe.
(ju'il
A de
eni|)ùclie
distinguer suffisamment
pour
pouvoir juger de ses mérites.
Le musée du Prado possède de Goya une Sainte Famille de grandeur naturelle
un Christ en
et
également de grandeur naturelle, provenant
croijc',
du couvent de San Francisco
el
Grande, de Madrid, dans lesquels
panni
ses qualités et ses défauts ordinaires. Liions encore,
gieuses brossées avant
dans
l'église de
en Aragon
prière
Mort de
;
un Saint Blas dans
;
un Saint Pierre
;
Sai/it
Bernard
Ghrist à sa droite et
trouvent encoi'e
à
Sainte Omelina
;
un catéchumène ;
Robert baptisant
saint
et
Ir
d’Urrea de Gaen
l’église
cathédiaile de Valladolid
la
Vierge à sa gauche
la
Valladolid dans Péelise Sainte-Anne. O
l’artiste
d’ètre encore jilns ju'ofane
La
vieil h'sse
n’ent
(jiii,
en ihqdt des sujets,
sur
prise
gu('r('
tlemanda un tableau laqu'ésentaut
moyen
le
ici
cou-
les
le
de Goya.
talent
le cluq)itre
de
patronnes de
la
11
âgé
était
de
calliédrale de Séville lui
la ville,
Sainte Justine
et
Bu fi ne L
sainte
Le
dans
i)einlre se rendit alors
celle
commande. Dans une
ron,
il
a
toile
la
capitale de l’Andalonsic pour exécuter
de 3 midres de haut sur 1"\73 de large envi-
représenté les deux saintes dehoni, un peu [dus giauides que nature,
du martyre dans
les [»almes
les
mains,
les
yeux levés vers
des rayons lumineux. Cette comjiosition,
a été peinte dans l’atcdier de .lose Maria
Goya, [HUir
[)i’ix d(!
régnsedc« Calasanz.
los
il
t<ule
celt('
2 mètres de largeur,
d un
prêtre
monire
Arango,
[leinlre
de Séville, [)orlrait.
dont Trois
h'
saint
w
de 2 (>st
de Madrid,
mètres
et
la
Communion
de saint Joseph de
demi de hauteur sur
r(q)résenté à genoux, recevant la
[)i'ès
de
commu-
eu vèlenumis sactu'dolaux, tandis que derrière eux des
'
M.
éclairées
l’artiste fort assagi,
Une copie de ce Christ en croi.r, exécutée p.ar Philippe Ahas, se trouve de la Société écouoiui(|ue ar.agoiiaise des amis du pays. Cliez
ciel,
exécuta dans sa villa des bords dn Manzanares, pour
Padres escolapios
Dans
([ui
le
son hos}dtalil(‘, hi'ossa un charmant [udit
ans après, en 1820,
nion
trouvé
ces
;
11
que d’ordinaire.
soixante et onze ans, quand, en 1817.
[lar
a
la
nomhre
vient de reconnaili'e (jne ces peintures ne i)euveut être conq)tées au
des meilleurc's de
Vierge
la
an morceau de pain à un pauvre qu’il
offrant
dans
saint Joseph, avec
trois toiles se
retrouvent
chute des Bourhons, une Assomption de
Cliimdion
du tombeau,
fait sortir
en
la
se
ses peintures reli-
l’ahlo lioscli à
à Saragosso au siège
Madrid, se voit une curieuse esquisse de Sainte Justine
el
sain
le
Ru fine.
G0YA
enfants prient agenouillés. La effet très
51
Communion
de mini Joseph de Calasanz, d’un
simple quoique des plus saisissants, montre une apparence de sen-
timent religieux, chose rare, pour ne pas dire unique, dans l’œuvi-e du peintre.
Ce fut sa dernière composition importante, mais n’est-cc
i»as
déjà presque
un
Communion de saint Joseph de Calasanz (église
de los Padrcs escolapios, à Madrid).
miracle qu’elle soit sortie des mains d’un vieillard plus que septuagénaire?
Nous l’avons déjà
dit et
Florida à Madrid, celles
tableaux de sainteté
nous y revenons les fresques de San Antonio de la de Notre-Dame del Pilar à Saragosse, les nombreux :
dont
il
vient
d’etre
question,
prouvent d’une façon
péremptoire que Goya n’est point un peintre religieux. Ce sens
lument defaut. De ce côté ses
tableaux destinés à
il
est
lui fait
abso-
bien de son siècle. Dans ses décorations et
inspirer la
piété,
à
paid la
Communion
de
saint
(
;;2
Joseph do Calasanz. lisle,
il
;i
a
vei’S l’expi'ession
peint
liaiali
nirnl
OVA
nionlré surloiil son goùl
laissant à l’ocarl lonio
avant tout el
il
i
t‘l
dans Imir coslnme habituel
i'(‘di(‘i'clio
tlt'
la
\
itn
l'original
el
houle, les lieux
Coinint' l*anl \ t'i’onèsc
el
dans leurs
des (dTels de lumière, .
les Iradi lions ajtprises et ressassées,
aux mœurs des
Nombre de la
les a
el
loi,
!
(|n'('llt‘
en dehors des
la el
franchise
el
sans fausse
sans
le
moindre respect pour
Ne pouvant
se
n’a pas cherché
cà
montrer chrétien,
il
il
personnel et audacieux, original et imprévu les frestjues di‘
femmes de
doux modèles qui ont posé pour
de Séville, Sainte Justine pécheresses
n’a vu
parles recherches
rendus avec
civilisations })assées,
jtersonnages re})résentés dans
les
nalnra-
sans vouloir davantage rien emprunter
Florida sont des portraits. Les plus jolies
proh pudor
ilo
locale, a[)pelc
ne s'emharrassanl guère du fatras
slyh',
rajeunir h's thèmes caducs et lu’anlants. s’est contenlt' d’èlre
aéléallirt''
il
Laissant de eùlè, hravemenl
communs du grand
et
il
allilinh's familières,
des règles couvenlionnelles ayant force de
aux coutumes
on
IVanclieinenl les lioniint's de son temps prestpie
le caracléi'isenl
tjui
it('
son inslinel
liisloriqno
tic vt'i'ili''
rengaines ai'idi(Ahogit|nes. tiomme liemhrandl,
du clair-ol)scnr
cl
et sainte
Rafne,
le.
San Anlonio de
cour y figurent, et, tableau de la cathédrale la
n’étaient-elles pas (.leux
charmanles
?
—
convient il'ajoutcr à la liste des tablean.x religieux de tloya une Immaculée Conceplioii la même roinposition (|iie celle dont parle .lovcllanos dans une de ses lettres un Sii'hU Iteniard, un SaiiU IScnoil et un SahU Ilai/inotiil peints pour le collège de Calatrava de ITniversite de Salamani[iie; une Vierr/p des clouleucÿ commandée vers I77Ô; une Mort de saint Joseph. un Episode de la vie de saint Bernard : un Episode de la vie de suinte lAidçjarde et une Notre-hume del Carmen, exécutés entre les aimées 17!S7 et I7M). D'après une légende accréditée en Aragon, une Apparition de la Vierr/e del l'ilar. jieinte à riiuile sur les portes du retable de l'église paroissiale de Fuendetodos, [latrie de Uuya. aurait été exécutée par lui dans sa première jeunesse. Cet ouvrage est d'ailleurs sans aucune valeur. '
Il
]ieut-ètre
—
P Goya pinx^
LA
FAlvRj.'rSA
Mo.
LIBREHAv Db LA
'''M.i.f
RAiRRÊ!’JAb
\
I
i
â&#x20AC;¢I
if '
(iOYA PORTRAITISTE
Quand, en 1775, Goya, mençait à
être
son retour d’Italie, s'élaldit à
à
dans tout l’épanouissement de son
IMadi'id,
et le
Sain/ Uernord de Sienne de l’église San Francisco
la
mode. Ce
111
en
tète, vint
commandés,
Grande, que
el
admirer en grande pompe,
fut depuis lors à qui aurait
un
com-
Les modides des
talent.
tapisseries de la fabri(|ue de Santa llarbara qni lui furent alors
cour, le roi Charles
il
la
le
mirent à
portrait de sa main.
lÜen de
plus naturel, car Goya, coloriste exquis, dont la pahdle est d’une fraîcheur excessive et d’une transparence sans pareille, excelle dans ce genre de pein-
Peu
ture.
que
lui
rendu
le
et
sentiment de interprété
et tout particulier.
idéal il
y
que
même
d’artistes,
(d
forme baignée dans l'atmosphèi'e. Aussi
a-t-il
humain dans son milieu avec un charme du grand
Velaztjiu'z, d’antre
Il
non dans
faut les
néanmoins reconnaître moins bons,
les
(jne
faut juger
un
j)eintr('
;
c’est
accessoires sont assez
En
et la
valeur
vince d’Avihi, par l’Infant
Don
tableau de famille, montrant lils
d(‘
bien plus dans ses abandons ([ne dans ses coi'rections.
1783, Goya fut appelé au palais de Arenas de San Pedro, dans
Vallabrija, son
œuvre
souvent par ses négligences, alors qu’il
ne se surveille pas, étant simplement lui-même. La qualité l’artiste s’aflirment
;
dans nombre
négligés. Mais, ce n’est pas toujours par les parties soignées d’une ([u'il
rare
toujours cherché à rendre dans son épanouissement
souvent arrivé.
de ses portraits,
point
idus grands, eurent au
n’a jamais eu, à l’instar
la vie qu’il a
est bien
la
l’être
11
même
j)armi les
Don
Luis, frère du roi, qui lui
le [u iiicc'
avec sa
lit
entourés des geus de leur maison. Goya
s’est
[)eindre ce célèbre
femme Doua Maria
Luis, [dus tard cardinal, et salille
la [)ro-
Teresa de
Doua Maria Teresa,
portraituré lui-même dans cette
lüilo,
la
paU'lto à la main. Ce
lai'ücur sur 3 l'ai
l
demi
el
aujourd’hui
d('
parli('
de
sii])ei’l)e
hauteur: la
Le
il
mesure plus de
lahleaii
dans
est resié
eolh'clion du due
liOi
Charles IV
(musi'c
th'
du
la
lamille
Siu'ca,
mètres de
3 d(‘
l
lufanL et
comle de Chincliou,
l'i-ado).
chez lc(|uel se Iruuveut encore um‘ viiiglaim' d'autres toiles peintes par Goya à
la
même
ép(j({ue
d’après rinfaiit, riiit’aute, leurs deux
eiit'auls et
nombre
superhe
})ortrait
d’autres [)Grsouiiag(‘s princiers. C’est
(‘U
cette
du comte de l^eu de
mèuu' année 1783
l’ioiada Blanca,
temps
aju'ès
un de
<[ue le
peintre l)rossa
h>
ses ouvrages les j)lus accomplis.
ravènement de Charles
IV,
Goya peignit
les
deux grands
GOYA portraits équestres des
nouveaux souverains, exposés aujourd’hui au musée du
Prado. Le roi Cliarles IV est représenté en uniforme de colonel des i^ardes du corps,
monté sur un genet andalou de robe
La HEINE Mahie-LoUISE
plus curieuses.
La
pic
;
(imist’e
sa ligure falote et fatiguée est des
du Prado).
reine Maria Luisa, giaisse commiu’e sans aucune distinction,
au teint haut en couleur
et
au regard impudent de
spectateur à calilourchon sur un cheval à
la
vieille coquette, se
montre au
crinière tressée. Elle est également
vêtue d un costume rappelant celui de colonel des gardes du corps. Impossible d imaginer tournure pins étrange,
ture plus vibrante.
mais im[)Ossihle aussi de renconirer pein-
(
l/;irlislo ('X(‘Ciila
eaux du Priiicr du laiis,
dniil
a
il
gruiipiL dans
d(‘
l
lo
(
VA
)
l'Iioui’o,
l’Iiii'ant
l)oii
priiudpaux.
suporlu' laldeau ropios(ui lau
musée
salon du palais royal. Lliarlos IV
iiu
enlrc auU'cs
;
du giuuu'al Don dose Palafox, duc de
aoluol lomoiil au
liguia'
apràs coiix-ci
(m}ik‘sI irs
rails
lloùa i\laiia Terosa, l'cuiimu do
ciloi’ (jiio les
épu(|uo dalo
sa l'amillo, (jui
d('
l*aix,
parlé loul à
('h'
mémo
[)ui
la
Saragosso. pour ne Di' la
d'aiili’cs
i
1
le
i‘oi
au miliou
Lo j)oiulro y a Maria Luisa, eiilouros de l‘rado.
ilu
ol
leurs iiomlu'oux ouraiils.
Lommo l'aiils el
nue
p('iulro
d inraules,
— celui
juire merveille
lU'vimx
lilles,
lils,
Doya drossa de nomiu'eux
(diamlu'o,
la
d('
d(' la
el iiièees
jeune
du couple royal,
[u incess(“ Isaladle
porirails d'incuIj’c aiilres
—
de Dourhou, devenue
plus lard l'oine des Deiix-Sieiles.
de
L(' l'i'gne
li>le.
IV
(lliarles
plus
momcnl
C(idèlires.
C(>
plus l»rillant de
Muùai'riz, du l'iince de
serait long el l'aslidienx.
la
la
célèbre actrice
ne doil-il pas à celle loule Silva,
dncliesse d’Albe,
suivit
dans son d'une
au milieu des
Il
vie de l'ar-
p(unls par
sul'lit
lui
nommer
de
à
Tirana, de José Luis
cbarmanle la
laille
la
duebesse
et toute gracieuse
llexible, à la
d’Alljo.
(Juc
Goya
Maria Teresa de
ilistinclion ex<|uise,
San Lucar de Barramcda? Lxil doux
exil à
s’il
en
(ju’il
fut,
enchanteresse, dans ce merveilleux i>ays d’Andalousie,
telle
d’orangers arrosés
lios(|uels
dans l’Océan. Aussi
la
Paix, de la duchesse d’Albe, ])resqne tons à l’Aca-
démie San l’ernando. Nous venons de nommer
auprès
porirails
la
tamx, enlre autres, de rarcliilecle Villanueva, de son bean-
du poète Moratin, de
trèro Baycii,
le
principaux
essayer (r('nnm(ua'r les
I^'aul-il
en ces années l'orlunées? les
lui le
S(‘S
})ar le
Guadahjiiivir près de se jeter
dessins d’alors ne re|U‘ésenlent-ils (pue l’éléganle sirène,
lanbH dans un co(|uel daGliabillé avec son épaisse chevelure répandue sur ses Idanches épaules, tanb'd dans son boudoir écrivant ou rêvant,
promenade dans son parc aux longmxs et
de citronniers,
(diaise
mar([iiis de
teur sur
la
.")7
lit
de repos,
l»(jmana une
d('
largeui',
mème
laisaul l
bille,
pelil(' toile
r('pr('sei'taut
versant amoureusement, dans
vivant d;ins
allées droites ombi-agées de jialniiers
noiudialammeul étendue dans sa chamiire sur une
lanl('d
longue ou un
en
lanlcàl
une (h-chiration
toujours elle!
du maître, de
un
hu[uelle à la
cavaliei’ et
la
existe
Il
même
chez
le
ceiilimèlres de hau-
une puine femme con-
tradition veut voir
grande dame.
inlimit(‘ de cette quasi-déesse,
Il
le [>eintre
lui-
n’est [tas étonnant (|ue,
au milieu de celte société niadri-
l.A
KK
MM K
A
T,'
KV1'’,NTAI1,
Musée du Louvre
et
moderne
Ini|i
I-.F.m
OYA
( :
lènc
mais clianuaule de
policée, sous l'iiinucnce de celte cour coitoiu[)uc
si
Charles IV, de Maria Luisa et de Godoy, Goya
ail
montré une
face nouvelle
de son talent. Celle-ci, toute de finesse, de grâce et de diMicatesse, à ce
moment, un proche parent de Watteau, de Ueynolds
De
même
cette
les portraits
et
du peintre Asensio
maintenant an musée du Prado la
de Gainshorough.
.Julia,
au palais de San Telmo,
des deux ducs d'Osuna,
;
comtesse-duchesse de Henavenle, de
la
légiu'
i)ar la
famille d'Usuna,
la
le
père et
fils;
le
comtesse de Santa Cruz, nn
des meilleurs du peintre, de Félix Colom, un de ses pins })uissanls
que
lui,
époque, ou d’une é])oque un peu postérienre, datent encore
duchesse de Monl[)cnsi('r à l’archcvèque de Séville; de
de
de
fait
ceux
;
renferment les demeures princières des Fernan Nnnez, des All)o, des
Pontejos, des Ansola, des Veragua, etc. Gardons-nous de passer sons silence les portraits
d’Espagne, la
Yega
que possèdent FAcadémie royale d’histoire,
le
marquis de Casa Torres,
le
la
Banque nationale
marquis de Corvera,
Inclan, l’éminent peintre et écrivain d’art
le
marquis de
Don Aur. de Beruele,
etc.
Au musée
provincial de Valence se voient les portraits de iMariano Ferrer,
secrétaire
de
l’Académie
second de Bayeu,
et celui
de
cette
ville,
du
graveur
de Francesca Caudado; à
la
Bafaël
cathédrale, celui de
l’archevcuiiie Joaquin Company, en costume de franciscain, en pied; h pital de la
Miséricorde de Saragosse, celui de de
Bamon
un
Esteve,
l’hù-
Pignalelli. en {lied,
mais ce dernier n’est peut-être qu’une copie.
En France on ne connaît,
tout au
moins dans
les galeries
nationales ou
municipales, que de très rares portraits de Goya. Le Louvre en possède celui de Gnillemardet C qui a été trop
Best à regretter éteint.
qu’il
Le fougueux
l’évenlaif
ne montre artiste est
acquise en
1898
cà
caractéristique, quoique cette
vu pour
le talent
du peintre que sous un jour un
ordinairement moins sage la
trois,
qu'il soit nécessaire de le décrire.
:
La Jeune
fille
vente Knms, d’Anvers, a un accent
œuvre ne puisse cependant
être mise
})eu
à
})lus
au nombre
des meilleures productions du maître. Le troisième est une délicate ligure de
femme
hahillécde noir, en pied, de dimensions réduites.
C’esL une eiirieusc ligure i|uc ce (Juilleuinnlet. Né en 17iJ5. luéJeciu à .Vutun, envoyé à la Convention par le (lépartement de Saùne-el-Loire, puis représentant de la République française à Madrid, il se rallia coiiiiue tant d’autres à l'Empire et fut successivement préfet de la CliarenteInférieure et de l’Ailier. Très lié avec le père d'Eugène Delacroix, dont il suivit d’ailleurs la ligne politique, il servit de témoin à la déclaration de naissance du futur auteur Je la Haniuedu Dante. le 8 lloréal an VI, en la mairie de Charenton-Saint-Maurice. .Vyaut pour ainsi dire ju'ésidé à la naissance du [dus graml coloriste de école française contemporaine, il était .juste qu'd fi'il [lortraituré par le dernier des coloristes de l’ècade espagnole. '
1
8
(,n V A
:is
Ajuès
l(‘
Louvre, seul, riiuniMemusée de Caslres renrerme deux sujxubes
porlrails de (loya loin,
I
aiili‘(‘
e(diii
run d’un
esl le sien ju'upre.
dont
])ersoiiuai;'e d'aspeel
L
M ANTE
l.
il
va êlre ([ucsliou
assez l'éliarhalil
un
j)eu
plus
hahillé de noir
,
ISABEEI.E DE liOURBO.N
(anricmic galerie de San Telmo, a SOillc).
à
la
mode des
Loutes premières années dusièele
d’une laide, une
letli'e
;i
la
*
il
vient de linir, assis auprès
les
principaux esjiadas de son
main.
Passionné des spectacles de l’arène, temps, dont
({ui
lié
avec
jiarlageait les ^oùfs, les idées et les liahitudes,
Paul Lvfond. Trois tableaux
île
Goya au musée de
Castres, Chronique
c/es
il
n’est pas cton-
Arts,
mars
1896.
CO VA liant
que Goya
des toréadors.
ait aussi porlraituré
principaux d’entre eux
de trois
d('s
tiiicho.
De Pedro Uomero, dont tous
Lf,
la triste lin,
il
les
:
les
une
etligie
I’aI.AI'OX
trouhlante
[lortrait,
a lixé sur toile les traits l'edro et José, et
les aniateui's de; taui-oinachie
l'imiséi' (lu
et
cheveux noirs tombant sur
aux couleurs éclatantes. Ce
Il
deux üoinero,
a laissé deux portraits, dont
l’autre; de José,
renfermant
(JFNFlî.U.
39
connaissent
l'radü)
l’un n’est
que
elleininée, avec les
Mar-
épaules et
le
qui faisait jadis [)artie
réjiétition
la la
longue
de
l'ésille
costume de satin d(' la
collection de
(.0
00
Don Séha^lion de
lioiirhon, oncle
priélé d('s hérilic'rs de son
lils, le
YA reine Isabelle, esl anjonrd’hui
la
d('
duc d'Ans(da. Les conlenrs claires
cl
pro-
la
joyeuses
du vêlement oui beau y claunu' el cbaiiler à l’envi, elles no parviennenl pas à dominer red'el d<‘ la lèle (pii reste malgré tout la parlie la [)lus vibrante de la Pour Marlinebo,
toile.
le
b-nn-raire toiMU’o aragoiiais,
peint également en
l'a
il
bnsie, la tète couverled'un large cbapeau incliné sur l’oreille gauche, recouvert d'uiu' cape (|u’il rann'me de la
main
autre portrait (jue l'on peut rap[)roclier de ceux-ci
Pedro Mocarte, sous
catlnalrale de Tob'ah',
la
pourtant
(|ue celui-ci
le
l’ùt
Goya
à la ceinture.
moins du monde
b'
c’est celui
;
C(jslume à
afiilié
tronvé (jue ce travestissement
soit (juc le peintre eût
a encore exécuté
un
du chanteur de
d(>
toréador,
sans
noble profession;
la
lui allât bien, soit plut(M
parce que Mocarte fut un des plus lidèles hafdtués du cirque. Faut-il faire (uitrer dans la série des poi'traits de
de l’Académie
toiles
Ma/a demada non
traits,
et
duchesse
la
d’All)e,
comme
simplemeut d’une demi-mondaine d’alors
Pans lille
Maja
la
cheveux uégligemmeni dénoués,
les
deux
louei’ ces
toiles (jui sont paiani les
plus
Files ont certainement été faites sur l’oidre
Paidons maintenant
monts.
Ils
(h‘
inaîtiN'
d’une mantille peintre
et
un buste
de Pona Isalad noir('.
c(dui d(‘
du
jeuiu'
et
[»oèt(‘
le
de
même jeune
la
Inutile
voiles.
de
productions du maîtreh
Icelles
du prince
aragonais.
(kiHi-n/ vient, cependant, d’acquérii' tout
celui
sans
d(‘ la
Paix. ([ui
ont passé les
Les musées êlrangau-s ne comptent
d’ailleui's.
guère d’ouvrages de ce genre dn
femme',
d’une légère jupe
et
certains antres portraits de f>oya
sont assez rares
Paix.
croisés deri'ière la tète,
lu'as
exact(‘ment semhlable, mais
la
de repos une jeune
lit
Maja nue monti'e
la
;
mais tout
connue du prince de
un
célèlu-es
ce sont bien des por-
passementeries
(b‘
rose t('udre lui descendant jus(iu’aux pieds
dans une pose
les
deux
a été dit à tort,
il
habilb'O, le peintre a représenté sur
vêtue d’une veste jaune agr(“in('ntée
lille
fort
les
désignation de La
la
La Maja vrs/ida? Pour(|uoi pas? car de
]>as
Goya
San Fernando, connues sous
ih'
En
Anglelei'i’e, la
Xalional
l(‘cemment un cnricmx portrait de
Porc(d,
posée
de face,
musée Powi'S possède nn
la
[)0idrait
tête
du
couverte frère
du
M(deudez-\’ablez. Le musée de Prux(db‘S montre
lille.
Il IViul encore citer parmi les ouvrao'es de Uova île la inème époipie le porlrail du célèbre avengle jmieiir de >,nutare appelé El Ho paijiiele, c'est-à-dire l'oucle cliill'ou. qui se tenait à la porte de l'eglise Saird-I‘liili|i[ie à Madrid et que tous les Madrilènes d'alors counaissaicut. '
*
I'aui, Lki'oht. L'ii
portrait de l'euiuie par Uoya. (1/izcllc des Hoaii.r-Ar/s.
1.
XN'II, 3' jieriode.
I‘(i|m\ur
ru:
l,\
TllU\
\
aoailc''mi(-
dr Sui
1
l^lallllû'.
COYA
02
m l‘uilTH\IT IIE (jril,LEMAltlip;T irnusée
On ne sait trop à quelle date sons le nom de la Jeune /ille à corps, tenant
deux roses dans
de
la vie <ln
la roue les
ilu
Louvre).
peintre reporter
la
brune Andalouse assise
mains
a})[inyées
toile
et
connue
vne
à
mi-
sur les genoux. L'ellet
C
do la toilelte claire sur
le
OYA
63
fond plus foncé
a
un
figuré
assise,
le
pelit
dos pins lirurenx. Colle lotie
est
A
a dù être peinte aux environs de 1800*.
vente Wilson, en mars 1881,
la
jtanneau représentant une jeune
visage encadré
femme vue
à mi-corps,
une mantille noire recouvrant
dans
La jeune riLLE a ua (aucicuiio colleclion do la Ijaronne
une
coilTe
iiose
.Xalli.
de
blanche, la poitrine cachée par un lichn hlanc
Rolliscliild)
et
une écharpe ronge sur
les
épaules.
Citons à Paris dans les collections particulières
superhe portrait de femme, le front
les
cheveux coupés
chezM. Rischolfsheim,
;
Madrazo, celui de Pedro Mocarle
le portrait
tlont
den, ceux du 1X° duc d’Osuna et du
en pied de Manuel Garcia de
ht
If'
il
:
chez M.
II.
retombant sur
à la chien et
de Lorenza Correa
Rouart, un
;
chez M. R. de
vient d’ètre question; chez M. Lin-
Payrel
;
chez M. Pacciity,
le [lortrait
Prada, tilcade coi’regidor de Mtidrid en 1811
;
figuri' à l'exposilioii rétrospective de Bruxelles en 1873. On a longtemps voulu la passer pour un portrait de Charlotte Corda}'. Cette atlrilnition s'explique jusqu'à un certain point la mort de Marat ayant longtenijjs préoccupé Coya, (|ui en a uièine brossé plusieurs es(iuisses. La Jeune fille à la rose sort de la colleclion du marquis de Silva .VIegre, selon Ossosio et Bernard selon Cli. Yriartc, elle aurait l'ait partie de la galerie du patriarche tles Indes. '
Cette peinture a
faire
;
;
01
(IM V A
-
M.
dii'Z
les [torlrails
lîainlK'i'yci',
f^ole l»rune, laissaiil
passer son jahui
veille Salamaiica, faili'
d’une el
de
jeiiiu' la
l'euime
du
îi
à sa
l'iiùlel
loihdle
l('nni'
td
le
d’iiiie rediii-
eullel (ruii gilet Ijlaiic (a ligiiia' à la
Di’ouul: ini (]ui
iMaïund Garcia, V(Mu
1N72),
du
passe pour celui
diicliesse d’Allte eu cosluuie de uiaja
;
(diez
|)einlrc Aseiisio .liilia,
(ririic
M.
I*.
maîlrcsse de Goya Soliège,
un
si'cond
l*(jiiii;Air
(c)lk'clioii de iM. Ilcuii Hoiiarl).
])or(rail
de
la
de
la
duchesse d'Alhe d'une allure superhe chez ;
celui de Lola Ziineùez;
chez
l\l
.
liillollc,
un
jiorlrait
reine IMaria laiisa, nn de ses ent'anls dans les hras; chez M. Gheraniy,
MM. Boussod
chezM. Gaunal,
el
cidui d'une l'einine en mantille noire
Valadon, celui d’Al lamirano,
el
nn
;
chel'-du'nvre, le
porliail en pied de la duchesse de Moiile-Ilerinoso à l'àge de treize ans, etc.
Lors(jue Ghaides VI fut renversé de son Irone, tini,
(jue c'en était
fait
Gova
crnl-il ({ue tout était
de l'hlspagiu'? ou plutôt [lensa-t-il, coininc
de ses compatriotes, ([u’nne
('re
de
lilierlé
el
nombre
d’all'ranchissemenl allait s’ou-
GOYA vrir pour son pays? Qui le
reconnu Joseph Bonaparte,
saura jamais il
fut
?
Toujours
csl-il
qu'aprcs avoir
chargé de peindre son portrait. Cet hon-
neur ne l’attacha pas longtemps au nouvel
AltAMIRANO OidOR, de
état de
choses dont
Séville.
vite.
Les tristesses de roccu})ation étrangère réveillèrent chez lui
ment
patriotique, et
où
imposé
le roi
ses états,
il
vécut dans la solitude
fut obligé
un peu
et
risolement jusqu’au
de quitter l’Espagne.
Ferdinand VU, oubliant généreusement
lance du peintre de son père, lui
se lassa
il
demanda son
Une les
fois
le
senti-
moment
de retour dans
moments de
défail-
portrait équestre. Cette toile,
plus grande ([ue nature, est d'une superhe alluiv
.
Le
roi légitime U
en VA
Ofj
y
L'sl
rei)r(''‘scnié
en
hal)il
boulonné, avec
le
grand cordon de (diarles
])anlalon collani jannàlre, i-econverl de holles molles.
de 1res nombreuses coj)ies
j'nreni
(|iii
envoyées dans
Il
lui
les
en
lui
III,
en
commandé
aynniamienlos
«
»
PoliTIiAIT (colleclion Je
M. Ilaimal).
des dill'érenles provinces dn royaume. Ce ])orlrail qui ligure aujourd'lmi à
l’Académie par Goya. Asturies,
Il
il
n’est pas le seul
l’avait déjà porlraituré
(|uand
il
du souverain qui
ail
été peint
n’élait encuia' (jue prince des
peiguit encoiH' plusieui's lois depuis lors.
le
Goya, vers
un équestre
San Fernando
de.
la
se
même époque, lit trouve chez
le
aussi
deux portraits du duc de Wellington
duc de Wellington actuel
à
Stratblielsaye
:
:
(i
quoique inachevé,
il
dernièrement encore Il
0
YA
67
est des plus reinarquahles la
;
second, à mi-corps, était
le
propriété de D. Hicardo Aleva, à Madrid.
représenté Ini-mème maintes et maintes
s’est
Fernando
})Ossèdc
un
portrait
d(>
en huste,
lui
la
L’Académie de San
fois.
tète inclinée
corps enveloppé dans une sorte de rohe de chambre, dont
Goya par
titions
:
d’hui au
LLI-ML.ME
il
existe
le
deux répé-
(AcacU'mic de San Fernando).
rune, jadis au ministère de rinstruclion puhli([ue,
musée du
en avant,
l*rado, l’autre a fait partie
d(' la
se trouve aujour-
collcclion Baroilhet et a
passé en vente à l’hùtcl Drouot à Paris, en 1S72. Ces dilférents portraits ont servi d’études
ou de préparations au
célèl)re tableau
représentant Goya en
compagnie de son médecin Arriida, dont on connaît plusieurs de son élève Asensio Julia.
Il
convient de faire une
})laee à part
copies,
œuvres
au portrait du
maître ap[)artcnant à M. L. Bonnat dont une répétition, mais avec des variantes assez importantes, se voit au
musée de
exquise et d'une coloration délicieuse.
Castres. Ils
Tous deux sont d’une
représenlent
le
fraîcheui’
peintre, les
abrités par d’énormes bésicles, et coilfé trune perruque poudrée.
Dans
le
yeux pre-
(;n
68
niier,
il
})orlo
des houlons
un vèlrmeiil roucé
d('
;
VA
dans
second, un
le
lialùl
de salin vert avec
métal.
La collection Carderera
ronl'crinail
un
portrait de
Goya vers
l’age de
qua-
rante à qnarant('-cinq ans. de trois (|uarts, vêtu d'un habit à larges revers, jaliot
de dentelh's descendant sur
poilrimv
la
les
cheveux poudrés,
frisés
le
au
PoiiTiiAir
(nmséo Je Caslrcs)
petit h‘r et le
montrant
noués derrière
trouvait dans
chez
le
tète }>ar
un large ruban de velours; un autre
jeune d’une dizaim^ d'années, debout devant un cbcvalcl se
i)lus
cabinet de D. Francisco de Madrazo. D'autres portraits de
le
l’artiste existent
la
:
à Saragosse, chez
comte de Villagonzalo
en détient un des
])lus
1).
et cliez
Mariano de Ena y Yillaba; à Madrid,
Doua Carmen Berganza de Martin, qui
intéressants, mais de proportions fort réduites;
un
dernier, également plus petit (jue nature, a été adjugé en vente publique à
C.OYA
Drouot
riiôlel
Notons en passant deux dessins à
ItlOl).
ijuiii
rapporté d’Espagne par M.
Page de quarante ans, l’autre,
69
Paul Leforl, ligurant
[)luine,
la
mais l’image
prolil, coitl'é
plus curieuse qui reste de lui
la
l’un
trois quarts, vers
cheveux poudrés émergeant d'un large
les
appartenant au marquis de Seoaue, de
à large visière;
Doya de
tricorne, et
d’une casquette est
peut-être la
gravure servant habituellement de frontispice aux
quelle
couverte d’un énorme cha-
la tète
peau, cils,
les
ombragé
l’œil
lèvre
la
nente,
ris
la-
représenté de prolil.
s’est
il
Caprices dans
d’épais sour-
inférieure
proémi-
menton en galoche
le
et
joues recouvertes de gros favobruns. Si
Goya
tain attrait
de scs
témoigné d’un cer-
a
pour
traits,
il
la
reproduction
n’a pas
montré
moins d’ardeur à portraiturer ses parents et ses proches. Au musée du Prado Josefa à
le portrait
Dayeu
fait
de sa
femme
pendant au sien
;
New- York, miss Sarah Cooper
llcwitt possède
de ses
lilles,
sentée à
le
portrait d’une
Ermcnegilda, repréde dix-huit mois
l’cigc
environ, un tambourin à la main
nous savons
qu’un
portrait
;
de
son beau-frère Francisco Dayeu se trouve à l’Académie de San Fernando et
un second au musée de Valence. Nous savons aussi
musée Bowes,
le
propriétaire du portrait de ^Manuel Garcia
possède encore celui d’un jeune
ceux de Javier Goya,
On
[)rcmièrcs
au
ligure le portrait d’un de ses frères.
M. Pacculy,
senter.
((u’en Angleterre,
bomme
du peintre,
le lils
et
dont
montrent
à
mi-corps sont
de
la
:
pctit-lils
Pune chez
Prada,
rappellent beaucoup
qui très proljaldement doit
connaît jusqu’à trois efligies de son (jui le
les traits
le repi'('-
Mariano Goya. Les deux le
mar([uis d’Alcardces,
70
M. Zubiiia;
l'autie à Séville, clie/
passée dans son
pompon
ornée d’un
tète
une cnlottc
[)orle
il
grand
d'un am[)le babil gris
vèlii
cbaussé de demi-
collel el revers,
nn chien loulou
rayui'es verticales;
à
la
représenlé deboul, une main
un formidable gourdin;
soie violelb' avec
qnene douldi' de
de
[larlie aiijourd'liiii
l'ail
esl
lenanl un chapeau de dimensions
tandis cjuc l’antre,
gilet
gigantes(}ues. s’apj)nie sur
boltes,
Iroisièine
la
Mariano y
enlleeliun BisclioH’sheini à Paris:
cà
OYA
(7
ronge, est couclié à ses pieds.
blanc, la
y a dans ce morceau,
Il
peint très rapidement cl sans i)rétention, du Vela/qnez, du Fragonard, du Pru-
du Greuze. enfin, un amalgame réjouissant
d'iion.
A trait
côté de cette toile, encore cln-z M.
du peintre, debout
la lielle lille
(!('
d(‘
maîtres dilférenls.
Bischoll'slieim,
ivu
fanl citer
il
robe de salin noir,
la tète
le
por-
couverte
d’une mantilb' l)lamdie tombant jus(ju’an-dessons des banebes; elle lient un é'vcntail ferim'
Nommons de
de
main
la
encore
donl(‘ de
d(‘
un
blanc jappe à ses côtés.
petit cliien
les portraits d(' la l'amille
(d
nn ans plus
femme du précédent la
mèiu(>.
Ignacio Ziiloaga
A
;
de
la belle-tille
Juan Martin de Goicoecbea brossé une première
L).
seconde vingt
1).
droite
la
;
I).
Iiamon
(|ue oclogtnia ire, oii
[)ortraits
il
de
;i
passa la
;
cadui de
.1
uana
(‘iilin,
Saltn'*.
Paris, les
il
lalai'za
(
cana[)é,
en 1828, Goya peignit S(‘s
plus puissants
exiMUila celui
ib'
.loa(|uin
années de
derjib'res
;
sa
de ces derniers,
il
tôt,
(‘le.
lithographe bordelais avec le(|uel
de
la
jeune paysanne qui
lui
etc.
portrait de l'alcade
il
(jiie
la
bi'ossa les
el à
Itor-
encore
les
circonstances
capitale girondine.
convient de citer Pio de Molina, Lton Juan
Baulista Mugiero, Fernandez de Moi'alin
que vingt-cinq ans plus
sans
a})parlenant à
Maria F('rrer
|)oliliques avaient obligés de vamir chendier un abri dans
An nombre
porli'ait,
l'aumM' suivante, pres-
vi(‘,
plupart de ceux de ses compatriotes
le
une
17ÎS9 et
de Goicoecbea
Gumersinda de Goicoecbea,
celui de
un de
en
1810; un autre
représentant ('dendiie sur nn
veille de qiiil 1er rFs|)agne,
corl('.
ileaux,
la
lard en 181 0
date également de
(pii
fois
de Goya, celui
Il
il
(jui
avait déjà
})0S(‘
devant
lui
quel-
reproduisit aussi les traits d’un imju'imeur s’était lié, Jac(|ues
apportait son
lait
Galos, ainsi qu(‘ ceux
cba({ne malin.
GOYA PEINTRE DE GENRE ET D’HISTOIRE
un
S'il est
dévié,
artiste qui,
toujours montré
le
l'art
aux règles
rebelle
à l'époque
— nul
croirait?
trouvé sa voie et n’eu
ait
bien (loya. Natui'aliste convaincu
c'est
régenter
du premier coup,
où
il
commença
l'air
ses tableaux dont le souvenir ait été conservé est
plus classique.
cours
le
En
ambiant
bien
fait
pour inspirer
Parme
jeunes
il
s'est
voulaient
([ui
—
premier de
le
une composition du
les
jamais
Néanmoins, qui
[)inceau.
1771, l'Académie des beaux-arts de
sujet suivant
délicat,
réformateurs
un
à tenir
n'écbappe à l'inlluence de
coloriste
et
étroites des
ait
style
le
mis au con-
avait
ai'tistes
vainqueur^ du haut des Apennins jette ses premiers reqards sur
:
les
Annihal
campa-
gnes ddtalie. Le bruit de ce concours vint jusqu’à Saragosse où Goya se trouvait alors;
il
voulut y prendre part
avait brossée à cette intention.
numéro du Mercure
11
et
envoya à Parme
obtint
le
second prix,
de France do janvier 1772 relatant
Les considérants du jugement sont à citer plaisir
dans
le
:
«
le
regard d’Annibal
et
deur dans l'attitude du général. Si M. Goya composition du sujet du programme il
le fait
L’Académie
un
pi-ouve
à
tout au long.
remarqué avec
—
qu’il brossa
décorei'
les
appartements
la
cba-
moins écarté dans
»
—
car ce sont de véritables
pour servir de modèles aux tapisseries destinées tlu
sa
son arrivée à Madrid, en 177b.
des cartons, ou plutôt des pointures
tableaux
un
certain caractère de gran-
se fût
aurait balancé les suffrages pour le premier prix.
la suite
a
le
eût mis plus de vérité dans son
et s’il
Le premier ouvrage important de Goya tut
com[)osition qu’il
second tableau un beau mouvement de pinceau, de
leur d’expression dans
coloris,
la
comme
à
prince des Asturies an palais du Pardo. C’est
CO VA UaiiliaT'l
^longs. dispensalour des favem's royales, qui le cliargea de ce Iravail
coiisidérahle. dont
Ahaudonuaut de
rOlympe
la
vie réelle,
il
les
s’acquitta, d'ailleurs, à la satisfacüou générale*.
anciens errements, laissant de caMé les dieux, les déesses
gracieux cortèges, Goya voulut rendre des épisodes de
et leurs d('
rexisteuca'
du peuple. Ces dilVérentes compositions ne
L’enfant a l’agneau. (colleclion Oc Ooii
pas exécutées à
longs intervalles
la ;
suite les la
l'ureut
caiTon Oc Upisscric Livinio SliiiL).
unes des autres, mais, au contraire, à d assez
première fut livrée par
le
peintre en 1776, la dernière,
quinze ans après, en 1761. Les tentures tissées d’après ces peintures sont certainement les plus importantes
et
les
plus remarquables de
celles
(|ui
soient sorties de la
—
manu-
Eugène Don Gregorio Ci'uzada Villaainil. Lrt.s' Tuph-es de Goya, lîivadeneyra, Madrid, 1870. Jules Guilli'ey, llis/oire de la Ta]ii.<tsene. tours. Muntz, La Tapisserie. Paris, A. Onanlin, éditeur. A. Marne et tils, éditeurs. ISSO. ’
—
I)''
MANUKL GAUCIA DK Colit ction de
TA,
M
LA
PDADA
fâ&#x20AC;&#x2122;acculy
GOYA facture nationale
73
La plupaii d’entre
espagnole.
Un fragment
résidences royales de l’Escurial et du Pardo. tapisseries ligure depuis quelques années Il
se trouvent dans les
elles
de l’une de ces
au musée des Gobclins.
ne faudrait pas demander à ces tentures
la finesse et la délicatesse des
pièces françaises de la lin du xvin® siècle. Elles sont autrement comprises,
moins
fines et
même
des plus harmonieuses, vues à une certaine distance.
C’est
moins fondues,
au musée du Prado, à Madrid,
des modèles de Goya.
Ils
([ue se trouve
trois
quarts de
siècle,
suite
demeurèrent
depuis
jour
le
oii
fabrique de Santa
inspecteur des beaux-arts, président de la commission des
mit
richesses des palais nationaux, les
du musée des
avaient
où l’on peut
les
nn Enfant monté
sitions
mètre
plupart,
Il
de
sur
Goya
gouvernement révolution-
nettoyés et restaurés, ce
furent ensuite transportés dans se
demi à
à
la
de Santa
de
mètre
1
Barbara. et
La
demi à
largeur. Leurs
4 mèti’es de
local
composait primitivement
dernière représentant
3
dimension des compomètres
de
hauteur sur
empruntés pour
sujets,
iigurent des joueurs
po[)ulaire,
vie
le
dont
un agneau, appartient à Don Livinio Stink, directenr
varie
et
Commission
ne s’en trouve plus maintenant que 38 au musée du
manufacture
de la
actuel
ils
le
ont été détruites, volées ou égarées, une
7
:
c’est-à-dire
état,
inventaires des
disposition de la
admirer aujourd'hui. Celte suite
de 46 compositions.
Prado
en
Ueniis
plus grand besoin,
le
la
à
de rEscurial, créée par
tapis
naire de 18G0.
1
ils
la
gaies,
y furçnt déposés après l’achèvement des tentures, par le directeur de Itarbara, jusqu’à celui où Don Griizada Villaamil,
ils
ils
fort
et
actuellement
proviennent du Palais Itoyal où
un grenier, près de
roulés dans
la
intéressantes cependant
fort
la
des fêtes
de cartes,
aux environs de Madrid, des réunions champêtres, des jeux d’enfants, des scènes de mœurs,
A
côté de
etc.
ces
tapisseries
faisant pas partie de c’est-à-dire
largeur,
C’est
portrait le
dernièrement une ne
une reproduction, grandeur de
mesurant 77 centimètres
du
avec lequel
la série.
s’en trouvait encore
il
de
lié: l’original,
original,
hauteur sur o8 centimetres de
du fameux acteur Isidoro Mai([uez,
peintre avait été
1
le
Talma espagnol,
dos plus intéressants, est conservé
au musée du Prado. Certaines es(|uisses de Goya
que
les
cartons sont
là,
mais
([ui
tout
avaient servi, non pas de modèles, puis-
au moins d’idées premières aux tentures de 10
7
(
i-
;
0
l’iipparlomonl du prince des Asluidcs,
nels de dilléi'euls aiualeurs
A i'oni
le niai‘(|uis
:
acUicllcmoul l’oruemeul des
de
la
cal)i-
Torecilla, enlr(> auli'es, en |)OS-
sède plusi(Mirs. (à's lajiisseries
daiil, lie
i
sonl pour ainsi dire inconniK's liors de IM7S])agne. C(‘]>en-
nd(^p('iulanimenl
dn IVagnienl
paniu'anx donnés par
Irois
cjne
jossède
musée des
le
(ioltelins, et
reine Isabelle an roi Léopold de Belgi([ne, on
la
pnl voir à rexj»osi(ion réli’ospecti ve dn ]»alais dn Trocadéro, en 187S, dilVé-
DE Tauukaux
f^OriîSE (
acat-li'niio
do Son rcrnando).
renies p(dit('S leninres des l'abri(|nes de .Madrid, (loya
el d(*
son bean-frèiv Baven
harmonieuses
el
relative sortit
:
les
h's la[iiss('ries
Il
l'anl
exécnbn'S
cninposilions de (lova, ne
b's lapissiers se
souvent de leurs
permireni de
iiK'liers lani
d’après des escpiisses de
cas [dèec's, assez médiocres, sonl dnia's, peu
Ideu loin des modèles.
leurs l'éelles ([iialilés,
Barbara, d'a[)rès
;
lisséc's
telles
soit j)en
avouer, dn resle, [)ar
le
la
(jue,
malgré
mannractnre de Sanla
l'nrenl
(|n'avec
une
licences (ine l'œuvre
lidélilé
dn peintre
déformée, sinon méconnaissable.
Les cartons de ces tentures donnèi-enl an duc d’(.)snna qui venait de faire
jadmlrt'
les
deux grands labbnmx de Saint l’rançois de Borja, de
lui
sa
dia})ellc do
do Val('iice.
la catliédralc'
maison do campagne silnée
Goya brossa
alors
do
l’iddo
domander do
lui
ddcur(>r sa
à quel(jnos lienos doMadrid
pour colle
villa,
on 1778, nno snilo do vingL-lrois com-
positions d’nno vil)ration oxiraordinairo, d’iim' colijrati(m Inmincnso et chandc
au possilde. Ce sont dos ro[)rosentalions do scènes |)opnlairos cùlo do
scènes idylli([nos
et
champêtres qn’on
La MAISON DE FOUS
(acatîomie
Walt(‘an, à Bonclior on à l^ancrol. Vonduos
tic
il
mémo
ol
dirait
])Opulacièr(‘s à
presque omprnntéos
San [’cniando).
y
a
un corlain temps
sont maintonant dispci'sées un peu do tons cùlo%.
<léjà, elles
Le duc de Monlollano en
consorvo quelques-unes; d’autres amateurs on possèdent ogalemont. trouve
En
à
National Gallenj
la
l'ait
Londres
do scènes champêtres, voici
seur rapportant du
canipagne,
la
(j 'ib ’ier,
:
et
même
an
;
en
l'ait
mu soe du
wwq Dame au bord de
un Repas de laboureurs,
Balançoire, (de.
à
la
Un en
Prado.
l'eau,
un Chas-
Fenaison, une Partie de
de scènes po})ulaires
:
la
Construction
d'une ma'ison, dos Voleurs atteuiuant une diligence, des Taureaux conduits à l'a'rrogo,
puis enlin
Bonier'ia de
San
la
plus
remarquahlc de toutes cos compositions
Jsidro, c'est-à-dire la foire de Saint-Isidore, la fête
l)opulairc de Madrid.
la
:
la
plus
r.o V A
70
l>ix
ans
ajirès, eii 1798, (ioya })oignil
encore dix an Ires toiles à pen
caria'es.
de 40 eenliinàlres envii'on, desliin'a's
maison
de
épisodes de
campagne,
il
comnn' on
ne faut
le sait,
|)oinl s’élonnei-
pas un'. Ini (hdiorsde leur
])]'éc(Hl('nles,
(!('
a IraiO'
(|ualil(' d'art et
Le
ses plaïudies
nn amateur s'il
TUIBIX.-U.
(lalilcau
et
les
elles
])rès
même divers
i'(‘pi'ésentent
(U‘
j)assionn(‘ des courses de laureanx, les
sujets de
de vie
])ar
lanromachic
UE I.'IXuEIStTIOX
l'Acaik'rnic
ilo
San
l'crnaiKlo).
turos sont du vérilablrs lrail(‘S pi'olrssionmds.
Les attaques,
les
lidélité irré})roclialde.
véritables bêt(‘S de
de cirque, c est
le
détenses
snni
combat dignes des ganadeiâas le
le
On
n'y ren-
plus compé-
toujours d'une just(‘ssc absolue,
Oans ees compositions endiablées
mouvement
comme
cousé(|uent, ses taltleanx
contre pas iinr erreur cajaibb' d'être reb'vée par l’alicionado tent.
de celte
la vi(‘ i'é(dli‘.
(loyaétail,
aus>i
(lomnn'
à la bil)liolliè([ne
pins turbulent,
la
les
d'une
taureaux sont de
les })lus prisées.
bousculade
la
Ces foules
plus grouil-
Lors de son séjour a Sarag'osse. à son retour d Italie. Ooya brossa divers épisodes des courses intérieur du cirque de cette ville, sur les panneaux de la harrei-a qui sépare le couloir du refuge du public, a 1 endroit où l’on a placé posterieurement les numéros du tendido. Plus tard, lorsque ces j)eintures eurent été détériorées par le temps, on les recouvrit de badigeon. Quelques-uns de ces '
à
1
jranneaux cependant furent détachés
;
mais on ignore ce
qu’ils sont
devenus.
( :
lanlc, le
vacarme
Parmi
il
77
plus assourdissant qui
ait
jamais été
fixé
sur une toile à
couleurs d’une palette.
l’aide des
la
le
OVA
les
plus intéressantes toiles
(hi
peintre en ce
genre on doit citer
:
Course de taureaux de l’Académie de San Fernando; ce n’est qu’une esquisse, est vrai,
ne peut fouillis
mais d’une violence de couleur
donner une
lumineux
idée.
et clair
et
Impossible d’imaginer nn
que
le
plus
extraordinaire
premier plan de cette petite
toile grouillant
La procession du Vendredi-saint
de spectateurs
([ui
dévorent des yeux
(acatlcmie do
l’arèni'
son petit taureau se détachant d’une l'açon l’enceinte.
lection
Une
répétition de cette
du marquis de l’Espinar,
Salamanca,
elle a été
d’une hardiesse de dessin dont rien
vendue à
avec seschulos, ses [)icadores et
si
nette
œnvre hors de petit-lils
l’hotel
San Fernando).
sur
le
fond de sable
pair faisait partie de
de l’artiste; |)asséc dans
la
de
la col-
galerie
Drouot en 1875. Notons aussi l’esquisse
du musée du Prado représentant un Picador à cheval vêtu de velours grenat et
courant au galop.
Une des d/q/As
plus belles productions de Goya est sans contredit si
vrai d’elfct cl
si
large de facture,
trouve à Séville au palais de San Tclmo
et
le
taldeau des
dont une répétition
dont une seconde, mais
se
celle-ci
(io y A
78
probaMemeul une co|)ic nous on donnons
(jvie
Parmi
les
nons dispense de
*
Salanianca
[)arlic <lc la j^alerie
a fait
i'aul sij^naler (jiialrc
il
d’une ex(}nise délicalesse de lou,
la
rc'produdion
décrire.
la
antres laldeanx de Goya à peu près de
pninlés aux scènes }>opuIaires,
;
i’aisani [)arlie
de
la
même
la
épO((uo,
esquisses pleines de drio el
rAcadémie de
collection de
San IGu'uando, qui ne laml’erme pas moins de quinze ouvrages du soni
un IntcrK-ur de maison do
:
em-
ce
niaîlr(',
d’un réalisme macabre, une Scène du
fous'^.
Ivihunal de i'ha/uisition, une Scène de lUKjollanls (d Y Eniccremont de la sardine, épisod(‘
Au
(!('
Palais-Royal de Madrid,
de balles, jadis dans
paysages
A
du carnaval
cloliiia'
la
voient
S('
pilant
mar(|uis de
clu'z b‘
:
la
Casa del Princi})C
la
supeidjcs, d(‘s ouvriers
Madrid,
Madrid
à
la
Fabrique de poudre
salj)èlre
ilu
se
monlant des
el
de pestiférés,
')7
cenlimèli'es de
Scènes de bandits, des Attaques de briqands, un Hôpital
Ions
elc.,
l»alles.
Irouve une série de polils
tableaux de Goya mesurani 32 cenlimèlr(‘s de bantenr sur larg(‘ur, liguraul «b's
Fabrique
monlranl, dans des
à rEscui'ial,
Romana,
el la
curieux
l’oi'l
amateurs madrib'mes, du comte de
el
fort inléia'ssants.
Toria'cilla,
du mar(piis
Les collections des d('
Gasiro Serena, du
comlede Yillagonzalo, de M. Lalille,de Pona Carmen Rergonza de Martin, renfermeni
de
nombreuses
compositions
de Goya, particulièremeni
elc.,
des
scènes champèlia's ou de brigandage. (Juel(|ues-unes des j>lns Ixdles toiles de g('iire riiôlel
Drouol depuis un
convi('nl
(le
noter au jiremier rang
fils
du peintre
et
ayant
esquisse éclu'veb'e,
s’il
il
fait
paidie
d’hommes
et
de
se lu'ohlant au
'
Une
re^pétUion
Procession,
ti
de
la
suiqilis et
en cagoub's, chargés
femmes dn peuple fond du tahlean de Vlntérie/ir
de
;
la
il
comme
du cabinet du petit-
liaul.
collection
par
dernières
Loinbas [trovenant,
Salanianca.
mi fut jamais. Rien d'étonnant
nable procession de ju’èires eu froc, de [léniliuiles
la
été (|U(‘slion plus
a
ont passé
noml>re d'années. Parmi ces
cau'lain
Course de taureau.)- doid
la
du maître
comme
C’(>st
une
celte intermi-
en cbasnldes, de moines revêtus du d(‘
liannières, de croix, de cic'rges;
sortant d’une vieille église à clocher carré
rien de curieux maison
de fous,
est
comme la
cette longue théorie
propriété
de D.
Aureliano de
licriiete. “ Don Pedro de Madrazo. C/Ualof/o del museo del Prado de Madrid. Madrid, Iniprenta de la sucesora de M. Minucsa de los liios, l'.HJO. Cuadros seleclus de la Real Academia de Relias Arles de Au» Ferii/indo. Madrid, Iniprenta de M. Tello, 1870.
—
“ Le musée de Besançon possède quatre petits tableaux de Goya peints sur des lamelles de blanc légués par J. Gigoux ils représentent des scènes de banditisme et de cannibalisme. :
fer-
L’ENTEUHEMEXT de
I-.V
{académie
SaiUHNE, scène de lir
San
l’ornainlo).
r.
UiNW
AI.
(10
80
se (léroulani
capricicusemcnl à travers une
On entend
d’orage.
VA
le
brouhaha produit par
i)laine éclairée
cette foule,
cantiques à travers une campagne surchanlfée par
midi.
11
là
que des indications,
bridant du
le soleil
mais d’une vérité
est vrai,
chargé
et
d’une
moins aigue, moins acérée, moins
juste.
Un devine davantage, voyant
Mort du incador
et les
Taureaux à
moins. Citons encore
la
lection Sarlin, la Course de
de
ciel
L’œuvre plus poussée donnerait probablement une sen-
justesse incroyables.
sation
il
nn
psalmodiant ses litanies
et ses
n’y a
par
ainsi
187.'),
que
Taureaux en deux
ï'arroijo
la col-
Salamanca
parties, de la vente
deux esquisses de courses de taureaux,
les
de
jiropriété de
llardac. M. Sieismond C*
léinvasion française, qui en 1808 renversa du trône de ses pères
Cbarb's IV. fournit
Goya de
à
roccujiation furent rendus par
une
En même
idée.
tableaux. Les malheurs de
terribles sujets de lui
le faible
avec une horreur dont rien ne peut donner
tem{)s qn’il gravait ses planches vengeresses des Malheurs
de la guerre, Goya brossait avec une sauvagerie véritablement diabolique deux
scènes de l’occupation en 1808 connues sous
Ces deux
toiles,
aujourd’hui au
musée du
la
dénomination de Dos de Mago.
Pi'ado à Madrid,
mesurent 3”, 12
de largeur sur un })eu plus de 2 mètres et demi de hauteur. Elles nous font assister
de
la
morts
:
l’une, à
une horrible
Garde im[)ériale à et les
la
lutte entre des
et
des
mamelucks
Puerta del Sol à Madrid, scène de carnage où
mourants s’enebevètrent
l’autre, à l’exécution
gens du peuple
et s’entassent les
uns snr
les
les autres
;
de Madrilènes par les soldats de Murat. Impossible de
rien imaginer de plus batailleur, de plus violent, de plus excessif. C’est le cri
de la haine la plus imiilacable, du désespoir
le
plus exaspéré, de la colère
arrivée à son paroxysme. 11
existait
esquisses des l’autre, des
dans
mômes
la
galerie de l'Infant
faits
Don Sébastien de Bourbon deux
représentant, l’une, des amoncellements de cadavres,
femmes assommant des
piques, d’un enlevé, d’un brio
soldats français à coups de bâton et avec des
extraordinaire.
Ces deux compositions ont
d’ailleurs été reproduites idusimirs fois, à queb|ues variantes près, par l’artiste et
môme
gravées dans sa suite de planches des Désastres de
Goya ne pouvait pas toujours représenter de
pareils sujets qu’il était d’ailleurs
oblig’éde tenir cachés à tous les yeux. Incapable de les loisirs
de
la villa
la guerre. iMais
demeurer
inactif,
il
employa
que lui faisaient ces temps malheureux entre tous à décorer les murs des bords du Manzanarès dans la([uelb‘
il
vivait triste et solitaire.
'>oya
pmx
G-A-Kanchon
D'^JA ISABEL f
COBOS DR PORCEL,
Galerie Natiou.-ile de Londret^
)
â&#x20AC;&#x2122;orc
c'
sc.
(10
(Jomnic ces peiiilures il
n’avail
endiablée, à sa furie
la j)lus
81
pour
ont. été hrossi'os
on rendre compte à
<à
VA su satisruclion porsonm'lle,
c'mu' (pui vive,
qiu^s sans eu être
extravagante. Ces curieuses peinluia^s, au
une
d’altord,
Fêle
l'éalité.
Une
[>artie étaient
nombre
ont l’appaiTiice de fres-
le plâtre,
au rez-de-cliaussée de
la (juinta
;
au premier étagau Toutes sont à admirer, toiücs sont à décrire.
les autres,
C’était
en
s’y est livré à sa v(‘rve la plus
il
de quatorze, exécutées à riiui le directement sur
comme
en entrant, dans sérénade
populaire,
héros dépenaillé
en
du rez-de-chaussée
salon
le
vent
plein
donnée par
qu'entourent des auditeurs
et dépoitraillé
uiu'
(d
droite
à
:
de
sorte
des auditrices
qui n’est pas peu dire; à
aussi dépenaillés et aussi dé[)oilraillés que lui, ce
gauche, une Réunion de sorcières, présidée par un vieux houe aux longues cornes; un Portrait en pied de la duchesse d'Albe, souvenir des hrillantes années
de jeunesse ou peut-être plutêjt
d’un peu
une merveille de coloration
loin,
manquant de ses enfants,
simplement une Maja
tout
gaieté et d’une fantaisie
et
de rendu
macahre
d’une exécution assez fruste,
(d La,
;
;
de près, rien,
à côté,
et excessive
;
deux
sujets
Saturne dévorant
Mort dînant avec une
sorcière,
puis enfin une Séance de rnacjic'
Au premier
étage,
on voyait d'abord de jeunes
et élégants cavaliers char-
geant de commissions inavouables d’borribles vieilles décrite par Victoi'
Hugo.
Dont
la
barbe
fleurit et
ensuite une Scène de purjilat
Ho?nmes
et
la
et
Holopherne
;
dont
le
nez trognonne;
des paysans galiciens
enti'e
Femmes du peuple
journal; Judith
se précipitant sur
des
Femmes
Procession de religieux
une
;
une éminence inexjuignable
ébauches
les
des
un personnaç/e
lisant
un
les affres
de la mort
;
une
;
Un
chien luttant contre
le
courant dans
Pargues assises sur un nuage.
extraordinaires peintures,
osées, les
loin,
puis des Guerriers montant à l'assaut d'un château fort
rivière, et enfin Les
Ces
[tins ;
des faubourgs mises en gaieté par
vue d'un malheureux en chemise se tordant dans
bâti sur
semblaldes à celle
auprès desquelles
les
esquisses les
plus
plus violentes sont des ouvrages h-chés et parachevés,
l'eiit-rtrc iuirait-il clé juste de meniioniicr parmi tes (ciivres de ce genre de (toya ses frcsipies prolanes. Elles ii’onl. Il faut en convenir. (|n'nne importance secondaire et consistent surtout en décorations exécutées par lui au palais du prince de la l’aix, aujoiird'liui ministère de la .Marine, simples allégories de peu de valeur, et en un [dal'ond, détruit deimis, qui se trouvait dans le salon d'iionneurdu [lalais du comte de la l'uebla. à Madrid. '
11
(iO
«2 é(ai('nt doslinées,
on
d('vail la craindia', à dis])araîli'e
pres([uo impossible (ju’elles piisseiil (dl(‘s
avaieul élé
si
VA
èfia'
un jour;
cai'
il
scmljlail
enlevées dos murailles sur lesquelles
furieusemeul bi-ossées. Leur dispariliou aurait été un
vériiable malheur, car riou ne [uml.
comme
doumu- une idée
elles,
île
la
verve lerrible et eudialdée de Goya. Elles ont lieureusemeul élé transportées sur
loile,
musé('
^ràce à
la
lilMM'ali(('‘
du baron Eilanyei',
(d
lip,'urenl
aujourd’bui au
Prado.
tlu
F.USrilCA'l
lOX
DE
l'OI
DRE
DANS
I
N
DOIS
(l'akii^aiojal. M.ulri.l).
C’esI à
nue date nu
vaste, compositii^u
peu de temps au il
a été
le tils
inus(‘e
à
jmmi
sans doute qu’il faudrait rattacher une
i>rès
inconnue, appartenant depuis fort
de Castres, ainsi ({ue les deux portraits du maître dont
parlé antérieurement
'.
(îes trois toiles
ont été léguées à cette ville par
du peintre Briguiboul. La composition qui nous occaqie mesure
de hauteur sur
presque de
4"',
3'",
18
30 de largiuir. Ea scène se passe dans une grande salle vue
face, éclairée
cipal, relégué
‘
[leu jiostérieure
du peintre
de gauche
au fond, au second
Paul Lal'onJ. Trois tableau. r de
(ioi/a
à droite }»ar
[)lan, consisti'
une large
baie.
Le sujet prin-
en une douzaine de personnages
au muse'e de Cas/res, Chronique des Arts, mars
189G.
GOYA devant une longue table.
assis
militaire,
comme
Le
[)rincipal
lui riiniforme.
Le premier plan
moins cérémonieuses
leurs sièges,
les
ou tenant
gilet
d’enlre eux est
de grands dignitaires [)lacés à sa droite
des personnages assis sur des chaises les
83
les
:
dans
les
Ils
les
uns à
la
mode de
un moine
tout près de la
maigia'
et
ascétique,
A
l'oiiiVr
le
et
un personnage debout, embossé dans
des plus variées. Parmi eux
corps penché en avant
et obtuse.
sa
cin([uantaine d’années, dont la tète raj)pelle
cape les
liriine,
traits
;
un autre
compa(jnic des
la
Phii//)//i/ies
paraissant âgé d’une
du peintre lui-mème.
re})résente au juste cette composition? Peut-être la
du nouveau.
gauclie, dans l’embrasure d’une porte, on aper-
çoit
d(‘.
ouverture du
bordure, appuyé sur un bâton, n’est ([u’un simple paysan à
énergique
rala
1
l’ancien régime, les autres à celle
tête
Que
plus variées et
Maili'iil).
Leurs expressions sont des plus vivaules se trouve
gauche par
portent les costmiies les plus disparates.
(Palais-Ro\al,
les
les
genoux, passées dans
Faiuucation de bai.les dans une
vôtus
postures
et à
jambes croisées, allongées ou rentrées sous
mains étendues sur leur ebapeau.
occupé à droite
est
coslume
en
à sa gauclie portent
et
une
<jh\v-
ou plus probablement une junte de Los
GOYA
84
cinco gremios majorer. C’est sans doule celle
Madrid
fois à
oliez
au musée de
tienl
Don Angel Berlin.
point de vue de
la
loile
xMaria Terradillos et dont
Ce qui est extraordinaire
cette importance', d’un tel peintre, ait
Au
même
pu échappera
qui se trouvait autre-
une esquisse
c’est
aj)par-
qu’une œuvre de
l’attention générale.
peinture celle vaste composition, malgré
le
vide
absolu du milieu du tableau, ne saurait être assez admirée. C’est peint dans pâte, d'un seul jet et
Après cette
pour ainsi dire sans
Coya
toile,
n’a
plus
il
est vrai,
de
la
chargé
pai‘
Banz
son élève Luis
Cil
passés
d’armes
les
peintres
eurent
revinrent en
la
exécuté d’important, en restauration bourbonienne,
'.
à
iM'aucouj)
tout(' lifde à
il
et
le
«
artistes
El l’escadorct est,
))
d'ailleurs,
sujets religieux,
il
siège de Saragosse.
alla visiter les dilférents endroits
célébrer
de
spécialement
;
peine
Madrid sans
mais, arrêtés à
comme
écbaj)per à
la
où
esi>ions,
colère
fut,
Avec
s’étaient les
deux
populaire
et
(b.)nner suite à ce projet.
Goya ave<- Lucas sou iiuilaleur, Leonardo Alenza et Asensio dans ses fresques de San Antonio de la Florida. La valeur de ces assez mince, quoiqu’ils aient touché à tous les genres histoire, hatailles,
C’est le seul à citer des élèves de
'
Julia
de
fait
Fei'dinand Vil de reproduire les principaux épisodes
guerre de rindépendanct',
faits
glacis.
ri('u
tableaux d’bistoire ou de genre. Lors de
la
iiui
l’aida
portraits, etc.
:
GOYA GRAVEUR
Les gravures de Goya ont
})lus fait
l'Espagne que ses peintures,
pour rendre son
nom
hors de
célèlu’c
aujourd'hui ses planches sont recherchées
et
par tous les véritables amateurs d'art.
Il
n’en fut pas toiijours ainsi
:
elles furent
d’ahord répandues en Angleterre par les officiers de l’armée de Wellington
qui en avaient rapporté un certain
ne
tarda
guère
à
l’Allemagne.
que
plus
lard,
En France, en
leurs bagages; \onv /iKmour
Londres. De
là,
elles se
Royaume-Uni, puis dans
les
Days-Bas
grandement apprécié
être
répandirent rapidement dans tout et
nombre dans
IS2i,
le
à
ne commencèrent à
ces planches
l’installation de
lors de
leur réputation ne s’étendit guère au didà
Goya
tà
l’encontre des idées du
mais
du pays girondin. D’ailleurs
étaient peu faites pour plaire aux amateurs de l’époque. allait trop
connues
êti'e
à Boi'dcaux,
moment.
Leur
elles
liberté d’allure
L’esprit public n’était pas
fait
encore chez nous à faut de liberté et de désinvolture. Ce ne fut que long-
temps après, quand des Piot, fui’ent
des
littérateurs
comme
Delacroix, des curieux d’art
tie
ces
gravures,
pensée
le
conquit dès
qu’il
l’eut
mière planche, un Avciujlo chantant, date de 1778, alors Il
traduisit
Sa j)cnsée avait été
chef de l’école
à
primesautier de Teau-forlc devait séduire Goya,
et
cette façon de Iraduir»' sa
trente-deux ans.
commencèrent
qu’elh's
}>ays.
Le procédé mordant
(|ucz.
comme
eurent franchi les Pyrénées et
Th. Gautier,
revenus enthousiasmés
compter dans notre
comme
artistes
par
madrilène ap})arlenaut à
mau(|ua [)rohahlement
(d
il
ce la
moyeu
(juc
Sa pre-
l’artiste
avait
tableaux de Velaz-
ensuite sur cuivre divers
de rendia^
essayé.
toutes
tàuironne,
ne put réaliser son projet.
mais Il
se
toiles
du
temps
lui
contenta
de
les le
r.OYA
80
reproduire quinze seulemenl des ouvrages du peintre de Philippe IV'.'rout en essayani do deineui’er aussi exact Iraducteur que possible,
pêcher
d('
melli'(‘
il
ne put s’em-
son senliinenl personnel dans ses gravures qui sont plutôt
des interiirélalions libres (lue des reproductions fidèles. Goya grava d’abord
dans d’assez vastes dimensions, c’est-à-dire sur des planches de 25 à 35 cen-
Las Mo)iinas
tinn'dres sur 35 à 45.
(‘questrcs de
Ph 'lUppo
de
///,
Le
la
GOi'u VGEr.v
Los Uorrac/ios ainsi que
et
Marpuerhe
ladne
lîtii
imx \tv\av\st r\
gravure pxlrailo
de
reini'
la
Isabelle
de Pourbou.
du Comte duc d'Olivares, ainsi
d' Autriche
la
d(‘
(|uc
r
—
le p(U'trait
lippe IV, ceux des fous
portraits
de Philippe
IV
vritEAr
Taiiromnrh}(\
I(mii'
Vlufaut l)ou
fils,
V Esope
et h'
dimensions moindres, mais encore assez grandes, sur 25
les
Pallasar Carlos,
Dlénippe. Puis, dans des
—
15 centimètres environ
de Vlufaut Don. Ferdinand d'Autriche, frère de Phich'
cour Pernia,
dit
Parberousse et Don Juan
des nains El Primo et l)on Sébastian de Morra
Pazan, houtfon de (Jhaides
11,
et,
d' Autriche
enfin, celui de Francisco
lu'ohahlcment reproduit d’après une toile de
Garrcùo aujourd’hui perdue. Ces diverses ]danches, exécutées à l’eau-forte avec adjonction d’a{iuatinte, sont fort simplement traitées. L’elfet n’en pas moins des plus justes. Elles furent olfertes par '
La
plupart, des
nale de Madrid
i]ui
gravures de Goya d’après Velâzquez sont en fait de temps à autre un tirage.
le
est
peintre au roi en 1779.
la [iropriété
de
la
Chalcographie natio-
(
;
0 VA
87
Vinrent ensuite Les Caprices^ qui virent productions gravées de
(ïroya
pour sa renommée,
fait
jour
('n
De tonies (|ui
ont
le
les
pins
([uoi-
que,
au point de vue du mé-
tier,
elles
moins
le
ce sont les plus eoiiniu's, (adles
soient peut-être les
Dessinées à
parfaites.
la
pointe, elles ont également des
rehauts iraqualinteV Ce de
rendit tout c’est
que
célèbres,
suite
presque toutes renl’er-
menl une une
([ui les
allusion
poliliqiu',
satire violente et sanglante
à l’adiTSse des personnages (m
vue. L'antenr a bien essayé, en
d’nne
tète
de
défendre
SC
faire
petite*,
introduction,
des personnalités
choisi,
dit-il,
voulu
d’avoir
des
;
«
sujets
il
a
qui
donnent une occasion de tourner en ridicule, de stigmatiser des préjugés,
des impostures,
des hypocrisies consacrées par
temps
le
«
»,
mais
qu’aucune de
n’est est
Il
une
il
ses
afiirme [)lanches
satire [»ersonnello
diflicilc
d’ajouter
foi
».
à
son dire. *
le
5
Jaeques Ganieliu, ne à Carcassonne octobre 1"39, mort à Narlionne le
l'2 octobre 1803 après avoir été directeur de l’Académie de Monlpellier, [)einlre à la touche lourde et commune, a laissé un traité d’anatomie et de bndogie dont les jilancties f<ravécs par lui raqipellent singulièrement par le procédé et retîet, les Caprices do Goja dont elles sont
PoUTIl.UT
IlE
l.’iNI
AXT FciilUX.VMi ll’ACTlUCUE
gravure de Goya, d’après VKLAitQri:z.
contemporaines. Helacroix appréciait d'une l'acon loide particulière les Caprices àe (\oya.. comme en témoigneni lui d’après deux planches de ce recueil, l'une à Londres, au llritish Muséum, l'autre à Paris chez M. E. Degas. *
deux dessins crayonnés par
8!s
(
mu‘
Imi I80.'{, jiprrs ('iiiuiis
aulri'
(|U('
|)onvail
priuee
»b' la
Ibiiv,
lui
suseiU'r
.ht
la
lia
rd
d(‘s i('ss(‘
Caprices^
de
si's
soil
S ‘Xhrhj-^ II'
^
<’//
‘ClKinciSi.' iny.i 'J'ifUi'r
par crainle des
di'ssins, soit
l’olfre fut aceejiléi', et,
cnpin.îL
pnnw./iL- f/>/
<
YA
)
bon d’onrir ses jdauclies au
Manuel (lodoy,
LJi.i/L’
(
(‘dilion
|>remi(''iv
trouva
motif, (loya
;
qth' rrpi’StVif-.L
roi.
Sur
pour (ont l’avis
du
en considération de
«// v/)r>
xvt
I
LXil7t' iVt
n.'uyJcjr-’S
PnllTUAIT
!H'
;:ravui'L’
cette
cession,
(’diarles
NAIN
lUil
«le (ioAA,
I^lILll'l'E i\’, Kl. il’aprc?* Vi;i.\zai
IMilMn
liz
IV accorda une pension de
12 000 réaux an
lils
du
peintre. L’artiste a introduit
dans
les
gravures des Caprices un élément tout parti-
culière! absolument en désaccord avec
époque
:
le
le
sens esthétique de sa
l’ace et
de son
sens dn fantastique. La plnjiarl de ces comjiositions oui une saveur
suraiguë, hallucinée, diaboli([ue
même, en dehors non seulennmt
de la compré-
hension naturaliste es[)agnole, mais aussi des minandei'ies jiolissonnes des
8H
(K) V A
même
ai’üstes de la
époque en France, élèves ou émules des Houcher, des Fra-
g’onard, des Baudoin, des Pierre, peinlres de jolis sous-entendus licencieux (jui
rabaissent
même le vice
Nombre de
par
compréhension
la
éli'i({U(M‘ et
ces planches, dans les([uelles
y
Ji’l J^uhi/v orioin.lL> >io
(TnLtno ,ùl S.‘irhtùq¥‘
POIITU.VIT
IT
'U-ninoisiV
le
^
in^i
lugubre
<l<-‘
et le jovial luttent à
rn
(’/i'quo nqvvA'nt.i.
iixHJo
‘-.hn/or.
r/i
ol
DF NAIN DE pMll.lPPE IV, DON SÉBASTIAN ijravufc;
mes(|uine qu’ils en ont.
t/oSlf-i.H-ut
ItE
’’
MoilUV
Goya, d’après Vülazqlüz
donnent une impression de malaise indéfinissable. On y devim' un sentiment profond de la perversité liumainc n’ayant rien de commun avec Fenvi
les
,
anecdotes des metteurs en scène oixlinaires de
Ces créations superbes nous tient de rballucination
choquent fantômes,
et
et
se confondent,
les
du où
introduisent rêve, les
où
la
la
lin
du xviiF
siècle.
dans un monde particulier qui lumière
et les
ténèbres s’entre-
arbres et les tei'rains ont des allures de
hommes d’animaux. Dans
ci'S
paysagc's l'antasliques, éclairés li
00
(
j»arcimniiitMis('ni(']il
dr
pai'
n
;
A
lueurs,
riilguraiilos
e'esi
un
llamhoienicnl
Ce
subil, laissaiil (l(‘vinor ou eiilrt'voir des Aires prostrés, p,isaiils el l'àlaiils.
soni, à ronibrc de roelu'i's l'ébarbali
au
soreiAres,
vienneiil
des
pr('[)arer
d(‘
pliillia'S
jeunesse })our nn jour, pour d('
sur
reiideul à
elh'S
s('
viee
heure'
et d('
sournois
eacliés
et
;
travers resjeace
(jU('
l'on
lourdement sur
retombe
la
cheveux
les
piei're
la
;
balai
presque
lilles,
niorihoiuls
(h's
de h'nr lomljeau
toutes
({ui
leur
tous
les
de ees planches. Les monstres
(jui
bref,
IA|('
le
à rester éleriiel leuieut iuc<uiuus;
des vieillards })oni'snivant des je'unes
morts soulevant
la
des he'sogues iuuoiuiuahles.
à
enrauls; des luei'ies saiivage's, des guets-apens louches, (h'S
qui
(b'vanl Unir l'endrc'
d('S
aeliAve,
sligmale,
niandragore, elles enfourchenl
Ce sont des assassinats dans l’ouihre destinés (h's viols
son
i-edeve'iiues jeuiu's el
;
de vieilles
l(‘pr(‘US(‘s,
laissé
a
aux sues de solanées
uiu'
jus(|uiame
lusli("saiix ('xirails le(|iiel
eluujue
descjiudlrs
\isa^(‘
ou de ivmi'ailles
l's
b's
lioi'reurs,
épou van tt'iueii Ls. Le maeabiM' h's
humaines, Ali('S
sont
ce
])eu[ib‘ut, d(‘s
Iden
(‘st
des
d(''inons à
dom inan
dragons oi'eilles
t(‘
ou des volatiles déplumés
ailés
à lAtes
des soi'cières à pieds de houe, des
d’àm'. I
h'
('st
champ du
premiei' artiste
nerveuse, violeut('
de pierres et habitués à
(|ui
nue
Age, ait
u'uvix'
l'eligienx.
et les
ne peuvent
snrhumaim',
d('s ymai(ji(-rs
représenter d('
le
le renier,
il
('st
('t
tiia'*
ail
grandiose l)i('U
de ce vaste eherclier
été el
puissante.
eejM'iidant
il
dans
avec sa ])oinle incisive la
la
et
réalité
continuateur attardé des tailleurs
est le
des cathédrales gothi(|nes des xiié et xiv° siècles
malin sous
chiens
bonclu' hnidue
cheveux droits
moyen
le
exaspérée, égratignant ces étranges planches à
el
et
lorme de boucs, la
moines
les
donnée des mysli(jues
de[uiis
délaissées
inlerdil('s el
laii (|ui haïssait
chaude, hesliah'
(|ui,
nue moisson vraiment large, qui
l'autasli(jue
dans ees régions
les
note
plus ou nnnns hyhrid(‘S à d('fonua ions lerrilianles.
Goya
tues.
la
noirs,
les
et roussis.
puants,
sales,
outre mesure,
apparences d’animaux, sous
le
la
avec des oreilles poin-
ne/ outrageusement recourbé et
Tout cela, conl'ormément aux leçons
et écrits
des hagiographes et Pères de l’biglise, sans (|ue l'artiste s’en doutât d’ailleurs. l)ans ces lormidahh's u'iivres les personnages lignrés sont tons plus on
parents des iiriapes, et
des faunesses,
(h's
égipans, des hamadryades, des
mais transformés
juir
moins
satyres, des faunes
des siècles de christianisme.
Ils
ont tous, ce (|n’ignoraienl les créations des théogonies antiques, l'hypocrisie
.MkmiM'I’, j^ruvurc
<1c
()uYA, d'aprùs Vi
i.Aznii;;^.
GUYA
92
hideuse,
joie
basse,
la
visag(‘s
eouvulsés des goules
Parmi dans
il
sur
les
cour de Chaides IV mis eu scène
la
faut d’abord et avant
tout
citei'
Maria Luisa,
reine
la
pour nous servir d'un mot espagnol bien en situation,
niadiilia
|)uis la «
stigmatisée
(h's vamjiiia's.
(d
personnages de
b'S i)i‘iucijiaux
les Câpriers,
doulumauise
crispalion
la
traînait à
(jn’elle
premier
rang garde
sini])le
sa
suite
Godoÿ, royal,
au
:
d’abord
}>uis
ofii-
cier, puis colonel, puis ministre,
puis
ju‘ince de
gré
ministre,
ju'eniier
Paix
la
elle,
il
Viennent
l'oi.
médi'cin
mari, mal-
et
est vrai, de
Don
de rinfanl
enlin
la
lille
Luis, oncle
Pineplc
ensuite
Galinsoya,
du
pauvre
le
Caimicero,
le
grotesque
diplomate Urquijo
et
son rival,
])eintre
1(‘
prudent Caballero, Pin-
trop
signitiant général la
Tomas Morla,
comt(‘sse-duchesse de
vieille
Benavenle, pour ne les plus
citer
que
en vue.
Goya u’épargnait personne, (d
faut
il
c(Hix (ju’il
façon (Jll.MMK
II.S
I.
V
r
lirr
!
cslruilr
lies
vent été
iviiic
cbnyé du
rii(')t('
[)Our lui [)bdn
Maria Luisa
(b‘
lidèle ])Our le ri'st(‘r
ces plancbes
si
l’Ltat voulut-il
possession
de
la
d('s
même
oséi's
et
lui avait
de
[irince
biama'il lanci'
;
fustigeait de
avai('nt
})rotecteui‘s
contié bien des secrets
la
Paix,
qui
il ;
la
puldicalion des
ne resi)ectant rien,
})as
même
la
scandale? G'est doubmx, imisqu’une
cuivres,
b'
gouvermunenl eu
Gbalcograpbie royah', en 1806-1801.
montré
un
ami assez
majc'sté
le
faire
avait sou-
Lu acquérant
ari'êti'r
lit
même
et
toujours s’était
Caprices.
belle
admira-
ses
été
!’inforlum“ Garnicei’o élait son ami,
aprî's
si
t'ajn-ices
tours, ses
ses amis. La
bien reconnaître que
fois
lirage, par
royale,
mis en les
soins
GOYA En
1808, ainsi que nous l’avons vu,
naître pour roi Joseph Bonaparte. Mais
—
et,
plein de colère et de remords,
Désastres de la guerre, dans lesquels lioi’reurs
l’occupation
de
II.
S
et
93
Goya ne il
s’en reiientit vite
difficulté de recon-
— on
le sait
assez
il
grava alors d’une pointe exaspérée
il
exprime d’une façon
de l'invasion.
l’enlèvent,
aucune
lit
les
saisissante les
si
Les Désastres de
la
guerre ou
g'paviiro oxlrailo dos i'ain'icvH.
plutôt les Malheurs de la guerre, sont de véri tables cauchemars, d’épouvantahles scènes de désolation. Les quairc-vingts planches
formant celte suite ne
montrent que des tahlcaux plus horribles
les
qu’hommes
morts
imprimées
autres. Ce ne sont
femmes
violées, blessés
qu(' l’on dépouille
Après l’achèvement des Désastres de
([uel([ucs
uns que
s’entr’égorgeant, soldais fusillés, pendus,
(jue l’on tue,
[)oint
les
du vivant
d(‘
épreuves d’essai, Goya
la guerre,
leur auteur S(>
dont
les
planches ne furent
qui n’en avait
mil à graver
la
suite de
fait
tirer
que
compositions
GOYA
94
communémeni
iippeléi?
férents, est
un
véritalde
par nous montrer
en rase camj)agnr
pour ce
s{>ort
la
comprenant 33
sujets dif-
des coui'ses de taureaux. Le graveur
commence
Taurnmachie Coilo
ti'aité
h's anciens Espagnols cliassant à pi(‘d et à cheval ;
puis, les Arabes, maîtres
j)arlicul ier
d'antres })ersonnages
représente
il ;
non moins
enlin les prouesses des cliulos,
Les
nando dont
la
fI'LMMES
illustres d('s
donnent de coeiiade,
Toro. Dedro Romero,
del
mort
tragi(|
nr dans
la «
gi‘a\uro oxlrailo
d(>
(d
taureau
Cid
Cliarles-Qnint
,
l’ai-cne
;
il
et
célèbre
des picadores et des princi-
(1rs
hrsnslrcs dr ht
(Aballo^,
Remb'm
pla/a «
le
descendant dans illos,
le
péninstile, se passionnant
la
d('
('iisuit(‘
bandei
de son lem])S, jMariaiio
paux espadas
suite,
de
ijiicrre.
Marlincho,
l'alcrs,
l'er-
malbeni'eux l'epe
ce
Madrid fournil
le
lllo,
sujet de
la
et
fut
der-
nière planclu'.
Un
pi'emier tirage* de
alors sous
les
presque en
yeux
et
enliei- d.iiis
gravée entre 1812
la
sous les
la
direction
nniins
liii-mènie.
mais
dans celb‘S
de*
de (!oya
dn jannlre
et
parents et amis privilégii-s. Ce ne fut epie beaucoup
de
l’artiste,
(|n’nne nouvelle impre'ssion eut lieu
naître ces superbes plancbes. états
:
le
[treinier
d’aquatinte.
Il
d’eau-foi'te
convient d’ajonler pure,
le
I8I-"),
et
[>lus tard,
que
(|n'('lles
le
il
fait
resta
(|nel(|ues
après
la
mort
public put con-
onl passé [lardeux
S('cond d'eau-forte avec adjonction
(;o Il
(le
('xislo
lauia'anx.
y ont II
encore sepi (jiii
de Goya, consaertMïs aux courses
aiiires ('uiix-foiies
pas
l'ont
ne faut
de
pai'lio
Tauromachie proprement
la
a[)pelée [>ar lui
d’eau-roiie
connaisse
la
gravé(‘
piii'e,
CLA.MEl'US, graviu'o c\lr;ü(c
Somjes ou Rrveries^
de l’Acadéinie de San iM'rnando, raison
d('
celle
|)ai'
([ui
ne
sons
le
légaunles font défaut. Ce
un
b^iue, des
orateur,
soutemi
àiK‘
mort,
hommes
et
Goya
llcsasli'cs
(les
litre
api‘(''s
de
lut éditée
mais
la
'Tauromachie
lu i/uerre.
qu’en 18(14
de Proverbes,
[)ar les
soins
sans ([ue l'on
dénomination. de ces [danches auxquelles
est bien dillicile d’expli([ner b's sujets
([uins et
ditcn
onldier une anlia* suite de 18 [danches de valeur fort inégale,
[las
tonies
V.UNKS
Il
95
ajoutées [dus tard.
('dé
pi‘esi[iie
ne
VA
sont des majas jouant à
nue armée
elfi'ayé(‘
la
balle avec des
les
manne-
à l’aspect d’un gigantesque fan-
des femmes, assis au
[lied
d'un
ai'bre,
écoulant
un
un géant dansant au son des castagnettes devant un épouvantail |iai'
un
monstre aibq
autre'.
[H'rsonnage,
tenant une'
[)viis
femme dans
un bomme, ses
bras,
à califonrebon
sur un
un monstre conqeosé de
<)(i
(
;
0VA
corps jumeaux, l'un (l'homme, l'aulrc de l'emme, réunis par les éi)aules
dont clnujiK' jamln' repose snr nn donlde }ded, une suivie
par
deux personnages, une danse
majas. des homnn‘s
aveugle,
Un
un
'.oniSK
époques. Nous avons
HK
I
(h^jà
\niK,\rx
parlé
d(‘
f,\
j»i('‘ces
planches,
Aroxajlo assis,
Ililiosi-aiiliio
Isidro,
Majas, un Ilonune embossé dans sa cape,
Il
in/to/i'-,
el
Le
|»i'océdé
la
1
etc.
à dilférontes
(iuvA.
ilc
la
plus grande de
faut encore citer
parmi
(hnix Escarpolettes,
deux
snidout ces deux merveilleux (|ui
doivent
('di’(‘
comptés
(cuvres.
liclles
de
jeunes
de
un Saint François do Paulo,
cuivres du Géant na assis et du Sapplice da ejarrot,
parmi ses jdus
et
moquant d’un
des démons,
et
de VAi'eu</le rhaiilani,
nn Aroacflo apjnnjé snr an
S(‘
détachées exécutées
m'.rx l'Muir.s.
nne Fuilc on Eriypie, un San
à deux lédes pour-
des gens
monstres
des
jiar
mesurani hi cenlimètres sur 40.
ces derni('‘res
un
assailli
trouve enlin une vingtaine
(
ses
à
vieillard
femme
vieux toreros
volant,
ailes
j^rainh's
dc'
et
i
thogra[)hie, grâce
<à
la
facilité (|u’il
laisse à
l’artiste
de
Celte ilei'uièiv [ilanclie a[ipai'üenl à 0. Ignacin Ziiln.'iga, i|ui a l)ieii voulu nous auloriser à la publier. CoiiiplèleiueuL inédite, elle présente, ipudipie inconnue juscpi'à ce jour, les caractères les '
plus sérieux et les plus jn'oijants d'anllienticite. l'ille provient de la rainille Zagrater, de Saragosse, qui la tenait de (lova lui-inênic. et date, sans doute, de l’époque où le maître entreprit la reproduction des reuvres de Velaz(piez.
y.Goya.del et sc.
UX .MKKDIA'XT ‘
Kevuc de l'Art
Collec+LOii de
.i-nc-ien
“tmodeme
Ziiloa^a
>
Irrjp.L.Fort
CO VA rendre sa pensée sans grands
une
i'nrie et
(Jiiand
il
une
et debout,
toile,
instant, ainsi qu’il aurait procédé
Le EAMKl'X
sa
moyen nouveau
[)ierre
A.MÉlilC.UX
avec des ci’ayons
M VUIAXd
(pi’il
ne
que, vers 1820,
tirées toutes à petit
il
nombre, dont
rester dans ses cartons
assez réduites, puisque
ou la
à
(|uatr(‘-vingts ans,
plaçait et
pour un tableau,
lilhograpilic
jamais,
taillait
lie
une pierre sur ra[)[)rocbant à
se
il
dessinait sur
Goya.
salirant de
les très rares
ôti’e oll'ertes
à
épreuves étaient destinées à
quebjues amis. De
mœurs ou
de diableries.
en 1825, à Dordeaux, Goya, arrivé à l’àge de
exécuta sur pierre ces quatre merveilleuses
i)ièces
nues de courses de taureaux. Hautes de 50 cenlimèlres environ
nu taureau
et
dimensions
plus grande mesure seulement 20 cenlimètres sur
[)lus tard,
largeur, elles montrent,
temps en
gralloir.
dessina à Madrid une dizaine de pierres
20, (dles représentent des scènes de
Quehjues années
Il
reculant
se
CeUAM.OS,
temps son ouvrage de grands coups de C’est ainsi
mania avec
le
encore imparfait de reproduc-
et
âgé de plus de soixante-treize ans.
un chevalet, comme une chaque
devait lenler Goya, qui
ell'orts
incroyables.
Jirnlalité
essaya de ce
tion, l’artiste était
97
la
si
con-
sur 40 de
première, Ce torero Mariano Cchaltox^ monlé sur
en alta([uant un
aulia',
la
seconde,
un Picador enhvè sar i:i
ies
CO
DS
d'an taureau,
corju's
(livisre (‘U
l'aulrc,
(leux
dans
l
d' un
la
vigueur du
Ces nouvelles
(|ui,
luali^i'i''
lilliogi’apliies ligiinuil
l'iniprinieur
sabrage de crayon,
en.
furi'ul là les
lillio^r.'iphies
Fmisl
des
en passe
('d(>vé. iiiaiii
Irein-
lourdeurs iiuAilaldes, U'nioi(d
la vi(>
(|u’à
la
wne Scène de duel.
:
arrêt devant un
de
lillioi^raplK*
de
la
couleur
Majo dansant le
Portrait de
Celle dernii'u'e pierre fui
d’un
C’i'sl
iiii
taureau, et
l’arlistio
poinb' du gi'alloir
surgir ce porirail viM’italdenuuil
Ues
un prix
il
la lin clu'/ h' vieil allih'de.
exi'culée d’une façon loiile |iarliculi('‘re.
illustrations du
300 excni-
à
Tii'(''cs
(juaud par hasard
rari's.
Tort
lalenl, du siuilimenl inhuise de
devant une maja, un Picador
M. Uau/on,
(juali'ième,
la
cl
(Joya, pr('S()U(‘ av(‘up,le, dessina d'iiiie
(dl'orl,
(jualre aulri'S piiuaa'S
persislanl juscpu’à
I
coup d'épée'
veille puldujiie, ellealleiiil iinnu'dialemeul
yuenl de
Ce
novillos.
une, un Chulo posant des bandcri Ues ol dans
jdanches soûl devenues
Aprl's ce dernier
Idanle
:
un Torero frappant un taureau
jdaires, ces
une en
une Scènr de
Iroisième.
la
pai lles
VA
(0
J'ond noir
obtenu par un
sans ridoucbes, Goya
lit
('douiiaiil.
derniers iCdairs de son génie.
ne rurcut pas sans inllncncc sur Eugène Delacroix, coinnie le iirouvent ses cl du (oWr de llerli/iclniii/en (jiii en dcn'ivent jn.sr|u'a un certain [toinl.
'l'iliS
CKS l'IlESSENTIMEM
s
UE CE
.KTimiri' oxli'ailr lies /(éKi.s/res
IJI
dr
I
lu
\
A
MIIIIVEU
Onrri'C.
CATALOGUE DE L’(EUVUE PEINT ET DESSINE
Peintures décoratives. 1.
—
VAijricultnic.
l’ne inati'oiie
4.
assise
[lée, coilïée d'épis,
aiiiplenienl
et
lient
une faucille;
à ses
un personnage lui pri’senle des (leurs dans la })aiiie supérieure de composition on voit les signes du scor-
côtés,
;
et des fruils; la
pion et de
fond de paysage.
la lihra;
la
Médaillon circulaire, i’cinluro
à
la
sur
ll(ll•Olupl^
du
unnislèfi,i
de
trom[>ette.
La
que dans lo médail2 de Ma;/o, a\ait été primitivoiuent [icinl le porli'ait du roi Joseph
—
toile.
—
Toile.
U Industrie.
rouets
;
dans
tourner
assises font
dévidant des
clmnvre
le
sont occupées de
la
fils
des
de laine ou
fond,
d'autres
même
façon.
5.
de
Peinture à la Diamètre, 2,52.
sur
ifiîtreinpo,
Madi’id. Iiifiliollièi|uo
toile.
du ministère de
centre,
—
laquelle soid inscrits
1
,05.
d'Espagne;
en
une tablette sur
des calculs algébri-
la
;
dalé
«
[ilan.
des groiqies d'étu-
180(1 ».
Gravé' par Alliuerue, cite par Z. Araujo.
en
costume
mauresque
écrivent assis à une table; au second plan,
hommes examinent
en avant, des
L.
armes
les
ques; au dernier
hommes
;
deux enfants soutenant
Le Commerce.
deux nulres
2, GO
lut militaire, apiuiyé sur un IVd de colonne couvert de ligures géométriques; à droite,
dianls
Deux
1.
avant, un enfant sous Tuniforme de Tlnsti-
marine.
—
1
Ayuidamicnto.
— Allégorie. Au
femmes
iMiélailloii circulaire.
3.
—
-Madriil.
Deux femmes
fil
ISoiia pai'le.
la
mai' '.no. 2.
trailition al'lirnie
lon où on
l)iauu''tre,
Madi'iil. lüDliolhèip.ie
— Allégorie.
t'ne matrone est appuyée sur l'écu des armes de -Madriil; à scs côtés, un enfant soutient un médaillon sur lequel on lit 2 de .\Iaijo ; en haut de la c(.imposition. la lienommée les ailes é[doyées et sonnant de
dra-
un livre;
6
.
— L'apothéose de
une cigogne.
siics et
la musùj^ue.
s’échap[ie une source, une matrone; atqu'ès d'elle dans trois enfants nus, le premier tenanl
Sur des rochers
d'oi'i
est assise Mi'daillon circulaire, l’i'inturo à la Diainèlre, 2.22.
didi'cmpo.
-Mailrid. lîildiollièque
marine.
du
sui’
Inde.
iiiinistèrc
—
de la
les airs,
une (rompette.
le
second des cymbales
et le
troisième un liàtun de clief d'orcheslre avec lequel
il
semble diriger un clueur composé
CATALOCrK DK J/OKÜVHK
100
derriiTe le roelier.
lilletles;
(le
trcjis
vieil-
lards c'(/ouleid allealivemeut Tuile.
—
3
11,
111
,
L, 2,95.
;
Madrid. .\jiparlieMl
il
ET DESSINÉ
PI'llNT la
soulever; derrière, une seconde figure de
remme
assise et
genoux
et
Tuile.
D. Luis Navas.
nue avec un jmpier sur la main.
—
11.
3 ni.
L. 2,40.
;
Madrid. Aiipai'tiont à 7.
—
L'E^piiijuc ccricant niiÿtoirc. 8.
ue
l
main
dclmul tienl un livre de
iiialroiie
droile
;
Temps, sous
le
prend par
vieillard ailiu la
—
Dimensions
figure d'un
la
la Vérilé.
n.'duitcs.
trè's
.Madrid. Ane. collection de
poignet [lour
le
Luis Navas.
1).
Temps découeranl
Le
la
les
une plume à
José Mar-
I).
tinez Espinosa.
Peintures religieuses. 1.
— Apparilion l’reinii'i'e
l’einlUi'O
de la Vicri/c dcl Pilar.
il
— La
Saragossc. .\iiparlient au chapitre de Notre-Dame del Pilar.
paroissiale
de Fuende6.
—
Allégories de la Foi, de la Charité, de la
Force Vierye dus
de
l'église
l’i'f^lise.
Eglise
Vierge reine des Marti/rs.
Esiprisse de la l'rcsipie prée(''dente.
loilos.
2.
— La
l’imile exéelltee sur les portes
du retable de Arag(3ii.
5.
Guya.
ceiivre de
de la Patience.
et
dulllclu^i.
Eresi[ues.
Peint vers 1775.
On no eonnait
Peint enire 178U
l'e.vistenee
par la mention qu'en lettre adrossi'e par Zapater en ITT-'i.
ijue
une
3.
— Allégorie de Le
nom
céleste
occupe
de ce l'ait
lui
latileau
Saragossc.
Goya dans à
Notre-Dame
ami
son
à la
7. la
de Dieu est inscrit dans
le
nombreux anges
chapelle San Joaipiin.
— Saint est
Praalio, éréipie de Saragossc.
de et
la
composition
(jui
de
;
archanges réi»andiis
Tentour. de Ions cmtés. adorent
main
droite étendue en avant dans un geste de bénédiction de la
sacerdotaux,
la
main gauche,
il
;
à
remhleme
de face en vêtements
représenté
triangle
envelop}ié de rayons lumineux
centre
de
inétro[)olitainc
dol Pilai’, corqiole taisant l'ace
DiriuUc. il
le
1781
el
Eglise
sous
la figure,
tient la ci'osse jiastorale.
on
lit
—
San Braulio.
:
Mauvais
état de conservation. Figure en pied de grandeur naturelle.
sacré. Fresiiue.
Peint entre
Saragossc. 1
78U
ut
1
781
Noire-Dame
Eglise méti'opolitaine Saragossc. de Notro-Danie dol Pilar, coupole quadrangulaire ou elneur de la chapelle de la
8.
—
Eglise
inélropolitaine
de
del Pilar.
Saint Bernard de Sietuie 'prêchant devant le
roi Alpho)ise
d'Aragon.
Vierge.
4.
—
Le saint debout sui' un petit monticule, un crucifix à la main, prêche devant le roi
La Vierge reine des Martyrs.
La vierge assise sur un trône soutenu par desnuages estentourée d'anges, d'arclianges et de saints
attentivement.
même
martyrs.
le
Fresi|ue.
métropulitaine Notre-Dame del Pilar, coupole taisant à la cliapclle San Joaquin. Eglise
Doya
au milieu de
s’est
la
de l'ace
ijui
l'écoutent
représenté
lui-
foule qui environne
souverain. Toile. Figures en pied.
Peint onli'e 1780 ut 1781.
Saragossc.
Aljihonse d’Aragon et sa cour
—
11.
4.80; L. 3 ni.
Peint enire 1781 et 1783.
Madrid. Grande.
Eglise
de
San
Francisco
el
9.
CATALOGUE DE L’OEUVRE PELAT ET DESSINE
—
Saint Bernard de Sienne j')réchant devant roi
le
Alphonse d'Aragon.
Esijuisso
—
Toile.
II.
.lésus.
iviaiMjuis
de Tur-
roi
Alphonse
Valence. Catlnélrale. Francisco de Itorja.
dê Aragon.
18.
— Saint
titre
François de
famille
San
Chapelle de
Borgia quittant sa
pour entrer dans
la
Compa-
gnie de Jésus.
de saint François sur la mon-
Esquisse du préi'édont. Toile.
— Saint Bernard de Sienne prêchant devant le roi
—
11.
0,37
;
L. 0,26.
Madrid. .Appartient au marquis de Santa
Alphonse d'Aragon.
Gnu.
Autre es(iuisse du précédent dans laquelle manque le portrait de Goya.
19.
—
Sailli
François de Borgia exhortant un
mourant impénitent au
Toile.
Madrid. .Appartient au niar(iuis de Torrecilla.
12.
emlu-assé,
Gravé par Pelcguer.
tagne. 11.
siens
Toile. Figures en pied.
Sarag'osse. .Appartient à la raniille Zai>ater, d'après Cli. Yriarte (|ui le désigne li‘
un des
Peint vers 1787.
Autre esquisse du précédent.
sous
lient
lamentent.
0.G2; L. 0,33.
— Saint Bernard de Sienne prêchant demoil le
U
tandis que ses autres parents pleurent et se
rccilla.
10.
Compagnie
quitter pour entrer dans la
de
du prûccdonl.
Madrid. Appartient, au
la
DU
— L'Assomption
de la Vierge.
repentir.
Le saint on costume religieux, le crucifix à la main, exhorte an repentir un moribond, couelié sur un grabat, et entouré île dénions grimaçants, qui reste sourd à ses
Toile.
prières.
Peint entre 1783 et 178-L
Toile.
Chinclion. Eglise paroissiale, retalde.
— L Immaculée
13.
14. —
Colli'ge de Galatrava.
20.
—
Toile.
21.
de grandeur naturellie
pieil
au
marquis
de
Le baiser de Judas. le
milieu
de
la
composition,
le
cl
sa droite .ludas in-
dique du doigt riiommc-Dieu aux soldats.
de grandeur naturelle.
Toile. L. 2
Figures en
jiied.
—
11.
3
m.
;
m.
Peint vers 1787.
François de
Borgia quittant
famille pour entrer dans la
gnie
0,37; L. 0,26.
Appartieid
vociférant, tandis qu'à
Salamamiue. Collège de Galatrava.
— Saint
11.
nus, est entouré d’une mnlliludc crianl
Peint vers 1781.
17.
—
Christ vêtu d'une longue tunique, les pieds
Saint liaumnwl. Figure en
—
Dans
Salamamiue. Collège de Galatrava.
—
repentir.
Santa Cruz,
Peint vers 1784.
16.
Saint François de Borgia exhortant un
Aladrid.
Saint Bernanl. jiieil
San
de
Esquisse du précédent.
Peint vers 1784.
Figure en
Ghaiielle
ISorJa.
mourant impénitent au
Saint Benoit.
Salamamiuc. Collège de Galatrava.
—
Catln'dralo.
A'alence.
Francisco de
Figure en pied de grandeur naturelle.
15.
Figures en pied.
Gravé par Peleguer.
Conception.
Figures en pied de giundcur naturelle. Peint vers 1784.
Salamanque.
—
Point vers 1787.
Tolède. Sacristie de
sa
Compa22.
lie
Jésus.
— Le
la ealliédralc.
baiser de Judas.
Esquisse du précédent. I.c
miuaiiiis de IjOiiilmj', due. de Rni'giii,
fait SOS
adieux à sa
l'aiiiille
au
moment
de
Madrid. .Ancienne collection de Rolondo.
L).
Luis
CATAI.OGÜE DE L’OEUVRE DE IA T ET DESSINÉ
lü-2
23.
— CIniat en
que par
ci'oiæ.
les
Toi II.'. Tolrile. Chapullc DüUteii-'i:
24.
Casa
la
dr
l’oul iMro
.
lîaycu.
l'’i'.
31.
— Jm
archiépiscopal,
par
citi'
.sur
coucln!'
est
.lo.scpli
suri
lit
2,00:
II.
;
gaucho.
—
Valladotid,
Saint .losopli rotes,
—
Josep>h.
conidié
est
.lésns
et
son
sni’
A’icrgr'
la
lit
;
Un miiacle de
San
de
l'i'glisc
saint Antoine.
Esquisse du gi'ouiic [irincipal de la fresque précédente.
a
—
Toile.
au-dessus
;
Les ligures inesiu’unt 2,20 do
Maura. Madrid, Coupole de .-\nlonio do la Florida.
Eplise de Santa Ana.
La mort de saint
ses
—
Peint en 1708.
32.
—
sa voix.
Gi-avé par
Peint vers 17S7.
26.
j'i
hauteur.
1.00.
L.
bras étendus,
les
au milieu d'une nonihreuse assistance, rcssuseile un mort, ijiii se lève de son loni-
Toile. Eigiires en pied de oa-andeiu' natii-
—
Goya dans son ami
à
miracle de saint Antoine.
Antoine, deliont,
I'’resque.
.lésas à sa droite, la ^’iergo à sa
i-clle.
Va
heau
mort de saint Joseph.
Saint
—
Sailli
Palais Eli. Yriarlo.
l'ait
lui
Zajialer en 1787 et 1788.
Nuiirio.
ilol
— Le Christ mort. Toli'ilr.
25.
ilo
rncidion qu'en adressées par
la
lettres
0,20
II.
—
Jladrid.
|danent phisienrs anges.
;
L. 0,38.
.Appartient au comte de
ATl-
lagonzalo. Esquisse. Toile.
—
Il
.
(I.tia
;
L. 0.41
Ajiparlicnt
^ladi’id.
33.
Aurediano
I).
ii
Saint hernard
et saint liibert.-
Les deux saints conrerent
haptème
le
erueilix
et
un
Santa Ana.
représentée a genoux devant priant
:
à
ses
pieds,
34.
—
—
II.
2,20; L.
1
29.
—
de
fresque précédente.
la
0.20
;
L. 0,38.
au comte de
Villa-
gonzalo. 35.
—
Chi’ist en crui.r.
Le Christ
est
attaché sur sa croix, s'enle-
vant sur un fond sombre.
Sainte ihncline.
Peint
pour
l'église
San
Toile. Figure en pied de relle.
Peint \ers 1787.
36.
II.
—
de ce tableau
cl
'2.35
;
grandeur nalu-
E. 1.53.
Musée du Pnido.
Sainte VamiUc.
La Vierge
Peint vers 1787 ou 1788. l'e.xistence
—
Madi'id.
Valladoliil. Eglise Santa .\na.
Nolrc-Iianie du (dinnel.
Francisco
grande.
grandeur nalu-
relle.
On ne connaît
II.
Santa Ana.
Toile. Figure en pied de
—
—
.Madrid. Appartient
Elle est représentée en prières.
30.
coupole
,00.
Peint vers 17S7. Valladoliil. Eglise
la
la Florida.
.[nges et chérubins
Toile.
Toile. Figure en |iied de granileiir nalu-
de
San .Anlonio de
Esquisse de
un
ra nieaii.
rclle.
Pendentifs
.Madrid.
Sainte Lnlganle. est
tous
Peint en 1708.
l'i'glise
La Sainte
de
Gi'avé ]iar Galvan.
Valladoliil. Eglise de
—
s'épar|ullent
Fresque.
2.00; L. LOI).
Peint vers 1707.
28.
uns soutenant des des tentures, on à genoux,
ci'ités.
Toile. Figures en pied de grandiuir natu11.
de
vélns
cliéruliins
les
debout,
autres
les
des
et
tuniques.
draperies et à
lioninie agenonilh''.
relle.—
chérubins.
cl
anges
li'gércs
—
lin
Anges
Des
lieruete.
27.
—
de
assise tient
dans ses bras
l'en-
fant .lésns, vers lequel se dresse saint .fean-
CATALOGUE DE L’OEUVUE Baptiste enfant, à gauche, au second plan,
Eond
saint .loseph.
43.
—
clic.
Il
.
—
2 ni
.
-Aragon. Eglise de Ui'cea de Gaen.
44.
L. 1,4S.
;
—
Saint François.
Madrid. Musée du l’rado.
—
37.
.Amérique.
Sainte Famille.
45.
—
Saint Jean.
Madrid. Aiipaidienl au duc do iNohiejas.
—
38.
Shiïile Jiislinc et sainte liu/ine.
Sainte
et sainte
.liistine
regardent
des rayons lumineux
tête
mains
46. delcaut,
Ituline
les
les
—
Sujet religieux.
On ne connaît
rexistcnce de ce tableau, de Torrero de Saragosso, ipic par la mention qu'en l'ait I). AL de Carderora. |ieint
liennent
elles
:
symholes du martyre à gauclie de sainte Butine, un lion lui lèche les pieds dans le fond, on aperçoit la
dans
.Ami'riquc.
d'où descendent sur leur
ciel
le
cathédrale de Séville et Signé'
:
—
47.
<iel lie;/.
Toile.
grandes
Ano
Sujet rcliyieux.
peinl
ItilT.
Figures
en
(luo nature.
—
un
pied
11. 3,0'J
;
jieu
plus
—
Sainte Justine
et
48.
—
II.
0,të
:
40.
Sujet
l’alilo
—
—
pour
exorcise un possédé couché à
prêtre
Saint Joseph de Calasanz. est représenté à
genoux,
les
mains
communion
d'un prêtre devant l'autel
;
50.
—
Toile. Figures en
—
11.
2,50;
51.
— Tohie
et l'aiujc.
—
Ü.I8; L.
11.
ü,2.'j.
A(qiartienl à la l'amillo Pas-
et t'anyc.
—
Saragosse. Zapater.
Saint Joseph de Calasanz. Esquisse du précédent avec variantes. Paris. Aiipartient à M. Léon Bonnal. Ane. collection Paul de Saint-Ahetnr.
52.
— Apparition dinand
ite
Aiqiarlient
à
la
l'aniille
saint Isidore au roi Fer-
III sous les
murs de
Séville.
l'jsquisse.
Saint Pierre exerçant la charité.
Le saint
est représenté
Toile.
to.
A'alladolid. Cal liéd l'ale.
—
53. 11.
3,20
;
0,47
;
L. 0,32.
vas.
toinhcau. Toile. Figures en pied.
— H.
Madrid. .Appartient à D. Antonio Cano-
donnant un mor-
ceau de pain à un [)auvrc qui sort de son
•l,
O.lîO.
Esquisse ou répi'lition du précédent.
los jiadres Esculapios.
—
L.
;
du Prado.
cual Calvo.
en 1820.
Madrid. Eglise de San .tntonio altad, de
—
0, i8
11.
A’alladolid.
L.
,80. l’cint
Tobic Toile.
|)ied.
—
.Madrid. .Alusée
intérieur d'église.
42.
l'existence de ce tableau,
l’église
L'exorcisme.
Un
Bosch.
jointes, en vêtements sacerdotaux, recevant
41.
ce tableau,
relifjiea.x.
Toile.
1
île
Monte de Torrero mention qu’en l'ait
terre et entouré de noinhrcux spectateurs.
Le saint la
del
del Alonte do Torrero a Saragosse, que par la mention i|u’en t’ait I). AL lie Cardercra. |ieinl
49.
L. 0,29. I).
l'existence
l'i'glise
On ne connaît
sainte Itu/inc.
Madrid. .Appartient à
—
L. 1.77.
Esquisse du i)récédenl. Bois.
iiour
à Saragosse, (|ue par la I). V. de Carderei'a.
Lacien/ee-
//
primer jiinlor de camuea
//
Séville. Cathéilrale. Saciislie des Calices.
39.
l'église del .Monte
On ne connaît
Cirnlda.
la
Fi'ancisco de (îoi/a
Aaf/u.<ifa)io
pour
;
;
Cesar
103
Saiïit Jtlas.
somlu'e.
Toile. Figui'os en pied do grandi'ni' nalu1
DESSINÉ
l'ELXT ET
—
Naissance de l'enfant Jésus.
L.
L'onl’ant
crèche avec
Dieu la
est
vierge
représenté cl
saint
dans
la
.loseph en
CA TA
lO't
ronipagnio do
DK
loi; r K
U
LOI-:
vue
des luüres aniniiuix
l'.'mo ol
tenant son enfant dans ses bras, s’agenouille
devant
iialiiliiols.
—
Ardoise.
H.
(l.l'.i
L. 0,2“J.
;
Mailrid. A pparl.ieni à D.
—
54.
ilu
l^ozano.
bas,
sigin'
:
62.
—
La messe de
II. (1.73
— Le
à.
D. Alejaiidro
l’idal.
du
l'angle iid'érieiu'
ano
f'ecif,
l.abli'aii.
on
63. lil;
— La
—
Jîois.
0,47
11.
— Sainte
aux Eroles
de
l’ies
64.
luahelle mriijnanl
lepreav.
ilea
Esiiuisse. Toile.
—
11.
0.33
L. 0,^3.
;
AppaiTienl.
Aladrid.
à D.
Vo-
(dlrinenl.e
laseo.
— AüCCnnion.
il'iin
en
évèipie
dans
èrrijtie.
—
Toile.
11.
0.43
lundis ([ii'ime
Toile.
l'onle
à
Bois.
la
Za-
l'ainillo
65.
—
de
Villa-
lie
Larnio
jettent sur rarolievêriue
et
s'efforce
de protéger
60.
—
poing,
sans défense
vainement de le
an
les
|ienple
se ;
l'éijlise
;
de l'aidrc. des
nombreux
hommes du femmes
grand antol riche-
—
II.
iM'““
0,92
—
:
L. 1,20
Caudéran. Appartient
L. 0,23.
Madrid. Aiiparlient à D. Cleinente Ve-
Douteux.
—
Intérieur d'église
Dans une église, devant nn antel, de nombreux }iersonnages sont agenouillés, sur un banc sont assis des femmes et des un rayon de soleil entrant mendiants par un vitrail éclaire les fonds. ;
lasco.
— La messe de relerailles.
L. 0,40. 0,30 Paris. Ane. collection Aroza.
11.
église,
à
de Lac>'.
;
Esijuisse. ;
le
un
quête, un prêtre
Esquisse.
66.
IL 0.33
i>our fond,
la
age;
décoré.
Bordeaux.
Prison de san Hennencgildo
—
;
à
de la Sco de Saragosse.
d'un coté, dos
;
debout
Toile.
200 trancs.
Dans une
;
nn
repousser
Lamelle de l’er-ldane. 11. 0,34 L. 0,29. Ane. collection Collier. Vente, Paris, 1892.
Tuile.
61.
ment
prélat
—
—
L. 0,40.
L. 0.84. 0.80 Gauib'ran. Appartient
—
enfant de cIuEiir faisant
rai chcei'que Thonuic Jiecket.
inenrlriers.
moine
:
nouillées ou assises sur leurs talons
en chaire
Les
0.30
l'intérieur de l’église de
personnages
gonzalo.
— Mort
II.
— Intérieur de Dans
Jean-Paptiste.
il. 0,33: L. 0.47. Madriil. Aiipai'l.ienl au rond.e
59.
—
Bordeaux. M'''“ do Lacy. Douteux.
paler. IjU décollation île aaint
II.
comte de Esleban
Esquisse,
L. 0.30.
;
—
.
.\]iparlient
Sarag'osse.
iirécédenl.
Dans une grotte, à droite, sous nn dais, nn priHre en surplis, qu'accompagnent de nombreux fidèles jiorte le viatique ;t un moriliond que l’on ajierçoit couché sur un grabat, dans le fond; à gauche, divers personnages
saeerdolaux
vèleiiienls
airs,
les
du
l'er-ldanc.
— Le rialique.
nonibroiise assiste an miracle.
—
])i'éccdenl.
IMadrid. A|qiarl.ienl au Collanles.
L. 0,33.
;
ApparlienI
Madi'id.
58.
do
messe de relevailles.
Lamelle de
San Anionio.
s'élève
Federico
relevailles.
.\ulre esquisse
Ifilii.
J'isiiuisse.
En
collection
recilla.
Dans
57.
;
Lamelle de fer-blanc. 11. 0,32; L. 0,42. Madi’id. A|ipartient au marquis de Tor-
jiirilin de.s nliricru.
Cofja
56.
messe
dit la
—
L. 0,(>à.
;
Madrid. Appart.iiad 55.
du
Esijuisso
—
un prêtre
Ane.
Madriil.
IJ
'J’ode.
oi'i
Madiuzo. en
talileaiT,
l'autel
en avant une foule agenouillée.
en urai^ou.
Sailli Pierre
A (li'oit.e UO a
.
Palrieio
DESSINÉ
l'LINT ET
une jeune femme debout,
;
CATALOGUE DE L’ÜEUVKE PEINT ET DESSINÉ
105
Peintures d’histoire et de genre. 1.
—
Annibal auæ Apennins.
Annibal vainquem'
haut
fin
Apennins ses [ireniiers regards sur pagnes dTtalie.
les
des
cam-
lui
scène reiu’ésente à
mai
à Madrid, le 2
1808,
Pncrta del Sol,
la
une
lutte sanglante
enlre la poimlace espagnole
Sujet reproduit dans les Désastres de la
el la
cavalerie
—
7.
Episode de
enfant dans
—
8.
Une 11.
Episode du dos de Mai/o.
II.
Madrid, .\ppartenant à
la
0,24; L. 0,32.
ducliesso
—
de
de Maijo.
groupe de Madi'ilains de .Alurat près de
Une
le
mai 1808 un
3
l'usillés
par
montagne
la
les
Ironpes
del Principe
Pio.
bataille.
une campagne
déserte, des
femmes
hommes du
[lenple el des soldaLs français
qui
se
essaient de séparer des
plus loin,
fusillent;
sur une émi-
nence. apparaît un personnage levant les bras au ciel
à
l'aspect de cette scène de car-
nage. Toile. Figures en
turelle.
—
11.
pied de gTandeur na-
Esquisse.
2,60; L. 3,45.
Toilo.
Gravé par Gah'an. Madrid. Aluséc du Prado.
—
Episode de
la
guerro de l'Indépendance.
Sujet reproduit dans les Désastres guerre. II.
0,20
;
delà
L, 0,28.
Aranjuez. Ane. collection
I).
Sébastian de
Dorbon y Ih'aganza.
—
Episode de
La scène
la
10.
—
Assemblée de
los cinco
salle
Weber.
deux remmes dont
gronios maijores.
vue de face, une
douz;iine de [lersonnages, hauts dignitaires
magistrats
second plan,
siqiéricurs,
sont
assis
devant une longue table
;
au au
premier plan, à droite et à gauche, d’autres personnages assis sur des chaises, laissant le
devant du tahleau inoccupé. Toile. Figures en pied.
guerre de l'Indépendance.
reiirésenle
0,69; L. 1,07. à M.
Dans une grande ou
des édifices en ruines.
—
II.
Douteuv.
:
Toile.
—
Hambourg. Appartient
La scène représente des cadavres amoncelés an premier plan à gauche, au second,
6.
0,38; L. 0,40.
premier [dan. dans
-\u
(lu très
bataille.
Douleuv
—
Episode
0,35; L. 0,.50.
11.
Torres.
du précédent.
La scène représente
5.
—
Madrid. Aiqiartiiml au niarf[uis de Casa
Villa Ilerniosa.
—
des soldats
FjSquisS(0
Papier collé sur bois.
4.
les bras. re[)Oussenl
lüanitz. .\[qiartient à M. Ch. Cherlils.
Madrid. Musée du Prado.
Escjuisse
guerre de l'Indépendance.
français qui les assaillent.
pied de grandeur na-
2,60: L. 3,45.
II.
la
La scène représente des femmes dont une avec un InUon, une autre avec un
Gi'avé par Galvan.
—
0,20; L. 0,28.
II.
de liorbon y lîraganza.
Toile.
Toile. Figures en
3.
—
.Vranjuoz. ,\nc. collection de D. Sébastian
l'rançaisc.
—
des
assaillent.
177::1.
Episode du dos de Maijo.
lurelle.
repoussent
lu'ilnn,
(jui les
tiaerre.
prix: Goya avec ce Uihleau obtient le de V Académie de Parme sur ce sujet mis au concours.
—
soldats français
Toile.
Peint en
2.
armée d'un
l'une
jette
— IL 4,20; L, 4,50.
Castres. Musée.
Ane.
collections
Mai'ia Terraddlos.
lîriguiboul
el
Angel
11.
DE I/OEEVUE
CATAl.lMini':
10(3
-
,l.s',sc;///)/('t’
Esquisse
II,
Musée
li(U'liii.
soient
Itoyal, (l((nne par
iM.
Ruil.
LioE.lsclmiidt.
Ane. eolledioiis Reurnuiu illo oii il i.'lail (lésiî,;n(i sous 1(J
lici'
(.'t
LaperLe
litn,'
—
—
18.
Scène de Tlnquisition.
La conqiosition renferme de nomlireux personnages, juges, moines, condamnés du
de
Es(juisse
d'c.rjiidsioii
l'ordre
Toile.
des Jésuites. Esi|uisse.
13.
11.
0,80
:
L.
m
1
(Jh.
Yi-iai'te.
Venl(.( Paris,
Ane. collection Léon Gaueliez.
üüO l'ranes.
- F rison
19.
—
—
Bruxelles. Musée royal de peinture eide sculpture.
Ane. colleelion
—
de Goya), dépôt au
Saint-DlTice coiffés d'un bonnet pointu, etc.
Proiindijalion
18118,
autres ceux à litre de
:
Coiii/rès.
12.
(entre
ti'ans]iortés
musée du Prado
L. 0,71.
:
NT ET DESSINÉ
Eernando
cinco (/ronios viai/orcf:.
(lu |iriU'(Mlent..
—
T(.mIc.
(le liix
El
Exécution de
l'ordre
d'caqnilsiun
de Tlnquisition.
des
La scène
Jésuites.
une
se passe (.tans
jirison olrs-
cure éclairée an fond par une fenêtre cinEs([ulssé.
Ane.
14.
—
réo.
I
e(.illeelion
—
1898,
Cli. Yriart.e.
Vi.uilo Paris,
îiüû l'ranes.
l'.si I
II.
Fabrique de balles dans
la
Sierra
de
A
la elai'lé
do
la
Rois.
—
lime, dans un paysage moulent des lialles. L. 0,ô3.
—
—
20.
à
Dans mie
la Sierra
de
sal]iêlre
pour
R
(.11
s.
—
Madi'id. l’Escurial,
—
.à
faire de la jioudre.
H.
O.'I.j:
E.
0..».f.
Palais-Royal,
Casa del
une femme.
une femme nue à coups
nombreux
—
II.
0,37; L.
0,37.
.Appartient
.Madrid.
D.
à
José
de
la
21.
—
Les fbujellants.
La conqiosition montre
une procession
de iiénitents s'avançant en ordre et se fustigeant les uns les autres.
aneiennenient à Bois.
Prlnei[)e.
—
II.
0,54; L. 0,80.
Gravé par Galvan. Vénus.
Madrid. .Vcadi.miic de San Fernando.
Madrid. Ane. Paix, eité jiar
—
fustige
Bastida.
rmnhre de grands clairière, nombreux ouvriers pilenl du
de
fustiijeant
siiectatcnrs contemplent la scène.
Tardieula.
16-
Moine
Un moine
Toile.
Fabrique de j^oudre dans
arlires,
Rarnard Castle. The Bowes
de lanières: au second plan de
Madrid. Palais Roval, anciennenieid l'Eseiirial, Casa «loi Prineipe. 17. 15.
L. 0,50.
Muséum.
0.8.!:
11.
:
Angleteri'e.
Tardieula.
boisé, des ouvriers
uisse.
0.40
le
eolloel.ion
du jninee delà
22.
eoinle do la Vinaza.
—
Procession do llagellants.
Des femmes en mantilles noires regardent Séance du tribunal de Tlnquisition.
passer des llngellants.
Dans un inlih’ieur de convonl, quatre condamnés écoulent la fatale sentence. Bois.
—
11.
0,45; L. 0,75.
Toile.
23.
Gravé par Galvun. Madrid. Académie de San Eernando'. Par décret rendu par la reine régente d'Espagne Marie-Christine, le 15 septembre '
dernier (l'.lül), à Sainl.-Si'bastien, sur la proposilion du comte do Iti.imanones, ministre de rinslrueüon ]iublii|ue cl des beauv-arts, il a, été ordonni' que les tableaux sc trouvant à rAcadémie de San
-
II.
0,80; L. 0,80.
Cité par Z. Araujo.
—
Le (jarrot.
Couvert du san Denito, et
tenant
le
d'expirer, le fer;
en avant,
une
ville. 11.
crncllix.
les
mains
supplicié
jointes
vient
cou serré dans un carcan de la
foule consternée; au fond,
0,53; L. 0,45.
Lille.
le
Musée.
CATALOGUE DE L’OEUVRE PEINT ET DESSINÉ
—
24.
La procession
Paris. Apiiartiont àM. Sigismond Bardac. Ane. collections Piot Bocliofort et Ed. Kalm. Vente. Ed. Kalm, Paris, 1895.
à Lomhas.
La scène représente une long-ne procession
,
dirigée par des prêtres sortant d'nne vieille église
premier
au
;
plan
des
muletiers
—
29.
laissent reposer leurs montures.
A
Esquisse.
—
Toile.
droite, le taureau furieux vient de ren-
0.G3; L.
II.
52.
0,
— 5.100 francs.
rent ses camarades; à gauche, auprès d'un haut màt, une foule grouille, s’agite et se
bouscule;
—
25.
Course de taureaux.
verser un toréador au secours duquel accou-
Ane. coilection Salainanca. Vente. Paris, 1875.
La
Une
procession.
[luis les
de pénitents, sous la conduite
foule
tateurs
au
— [lendant du
Esquisse.
aride et montagneux.
Toile.
—
Madrid.
—
Dans
xVnc.
Kalm.
et
centre de
composition un tau-
la
d'autres toreros à droite et à gau-
che occupent
cirque; autour de l'arène,
le
on aperçoit les si>ectateurs maisons d'un village. Bois.
—
II.
0,45
;
pour foml,
les
en
divisée
jilan
deux
ou couchés sur
où
parties,
le
tour d’une église
autres édifices d'un village. Toile.
—
11. I).
0,97
;
L,
28.
—
—
1,-5.
priétaire
31.
—
l'ourse de taureaux.
cheval éventré
barrières et les gradins du cirque
Esquisse.
Bordeaux
—
0,70
:
-
Caudi'-ran. Apparlient àM'““
<lc
Picador à cheval.
Un picador regardant un cheval main.
sur
L.
l,lo.
à
gaucho
bai, galope,
monté
sa pique à
la
Eluilc aciievéo d'une des ligures dos taureaux au pacage, de VAlamcda d'Osuna. Toile.
II.
tomlier à terre.
[)rét à
Signé.
32.
plan,
couvcrls de monde.
—
.
Lacy.
une foule grouillante sur lai[uelle, à gauche, se précipite un picador à cheval; au second jdan la cuadrilla,
Toile.
àM““de
La scène représente au milieu d'une Imée de poussière et de stdeil, un picador sur son
.Mordant.
Course de taureaux.
[uiis les
vient de le renversera terre
ipii
l'cnscignements donnés sur co suivant, ainsi que sur l(.'s et le portraits catalogués sous les n« 241, 255, 256 et 27.) ipic nous no connaissions pas, nous onl l'U'' communiqués par leur pro-
7.500 fi-ancs,
Au premier
au
laldcau
Ane. collection Salamanea. Vente, Paris, 1875.
courent
Bordeaux-Caudi'i'an. Apparlient
lU’c-
un picador accompagné de nombreux un taureau; à gauche, deux chulos posent des banderilles à un autre
Grave par
chulos
les
Lac y. Los
droite
la
oi'i
herbe, une arène de village
I
toreros et
les
occupé par des spectateurs; à
taureau; pour fond,
Ed.
1895.
ainsi ijuc son cheval.
cliulos assaille
et les
et
Paris,
La scène représente dans une romeria
Course de taureaux (kuis un village.
village
Bodicfort
Kalm,
Ed.
des gens mangent, boivent et devisent assis
La composition représente une arène de mier
Sigismond Bardac.
Piot,
— Course de taureaux.
30.
un taureau
L. 0,72.
;
par Gai van. Madrid. Académie de San Fernamlo. 27.
Vente,
1,10.
secours d'un picador sur lequel s'acharne
Grav('-
—
collections
— 2.500 francs.
le
L.
:
Appartient au comte de Cau-
reau fonce sur un picador; d’autres tau-
reaux
— H. 0,70
Paris. Appai'tient à M.
Course de taureaux dans un village.
personnages,
[irécédent.
H. 0,49; L. 0,60.
dilla.
26.
fond d’autres
gradins du ciiajue remplis de spec-
de religieux, s’avancent dans un paysage
Toile.
107
—
IMadrid.
11.
0,56
;
L. 0,47.
Musée du Prado.
C
108
—
33.
Al A
LOI!
UE DE L’OEUVUE DE INT ET DESSINÉ
La mort du picador.
Un taureau
40.
suspendu cadavre d'un picador dont
le
[loiie
à le
des cliulos accourent pour
victime
du
an fond,
;
Itéjiétition |)lus
cheval
Buis.
git
les
[jaimdlo
—
l'ei'ddanc.
di.‘
34.
les loges
lie
11. ü.i.'t
L. U,3i*
;
Lcr taureaux.
lerre
;
—
11.
x\i
ipd
W.tMae Kay, Esp.
eestida.
les
mains
croisées au-dessus de la
—
42.
picador.
un.
premier plan, un picador accompagné et de toreros assaille le taureau; les
La maja
Tuile. 11. 0,98 L. 1,90. Figure en pied do grandeur naturelle. Grave jiar K. do Los Bios. Madrid. Acadi'inie de San Fernando.
gisenl à
de cliulos
en arriéré
—
longue,
L. U, SU.
U,:.i0;
4 iartient à
— Taureau attaqué par .\u
do
tête.
leurs gardiens
Londres.
Aurcliano
1).
che diaphane avec une veste à passequilles noires et jaunes est étendue sur une chaise
fond sombre.
Tuile.
35.
41.
jdan. trois taureaux viennent
renverser
L. 0,72.
;
Une jeune femme vêtue d’une robe blan-
—
Au premier
avancée du précédent.
0,45
la
cullcdions Daul Lel'url et Carlin. i-.tiUO l'rancs. Vente CaiTm, l’aris, 1872.
Ane.
II,
Beruete.
dégager
gradins et
—
Madrid. x\ppartionl à
remplis do s[)ectaleurs
ciriiue
—
La maison de fous.
ses cornes
éveidré; de toutes parts des toreros
a terre
cl
—
;
—
La maja
La
même
des nuda.
femme dans
Jeune
mais entièrement nue
liose,
—
la
même
pendant du
précédent. Tulle.
gradins du cinpie garnis de
—
IL 0.98
;
L. 1,90. Figure en iiied
do gi'andi.nu' naturelle.
speida leurs. Toile.
Gravé
—
Peint à
li.oU
il.
en
l’ai'is
L. U, (il
;
1
821.
Mailrid. AiiparLionlaii inarpuls de üaroja.
36.
—
Les taureaux
Des taureaux accompagnés de vieux laeufs dans un jietil vallon ;
une foule nombreuse
contemple
les
dant du
11 "
Taureau échappé de
—
38.
—
II.
la
0.43
11.
majus au
femmes
—
assis.
Gravé
44.
—
Les
majus au
Ré'pétition Toile.
;
39.
—
La maison de
Caitliness. Ap-
accroupis,
les
éclairée
nus
les
{lar
0.45
;
1,85;
11.
Figures en pied
L. 1,02.
Anciennement au palais do San
x\nc. collection esjiagnole
des
uns cou-
autres debout ou
45.
— Les majas au Ue|iétilion
Toile. 11.
—
balcon.
du précédent avec variantes.
nature.
Séville.
gesliculanl
—
Sébastian de Borbon
Telnio. Aiiparlient à la comtesse de Paris.
fenêtres grillées, des fous
bois.
lietite
liar’.
fous.
Dans une vaste pièce chés ou
1).
y Braganza.
Taureaux attaquant une processioi.
partient à sir J.-tj.-J. Sinclair
en pied
Flaineng.
|iar L.
Ane. collection de
place de .Madrid.
x\ngleterre. Tliurso-Castle
1,94; L. 1,25. Figures
II.
Madrid. Aiipartiont au duc do Marcliena.
3.100 l'rancs.
au duc do Veragua.
—
petite natui’e.
0,53; L. 0,70.
xVpiiarlierit
sont assises, l'une en robe
une mantille noire, l'autre en robe sombre avec une mantille Idanclie; derrière elles deux gentilshommes embossés dans leur cape, le premier debout, le second
L. 0,32.
;
balcon.
devant d'une loge de cirque deux
claire avec
Lofort et Carlin.
Vente Carlin. Paris, 1872.
Madrid.
le
Tuile.
—
Toile.
Les
jeunes
33.
Lainelle de fer-ldain-. x\nc. collections Paul
—
— — pen-
en costumes cbamarrés
époijuc de Charles IV; effet de soleil
37.
sous
surveillance de cavaliers vêtus de rouge
et de picadores
— Sur
hlanc.s sont jianiués
la
43.
Larroijo.
éi
[lar Dezari'ois.
Madrid. ^Vcadi'inie de San Fernando.
.
L. 0,72.
Madrid. xVcailéinic de San Ecrnaiido.
—
Figures en
balcon.
du
II.
du Louvre.
[iri'ccdent
-1,92;
avec variantes.
L. 1,30.
jiied petite
nature.
Paris. Appai'ticnt à M. G. G...
CATALOGUE DE L’OEUVRE PEINT ET DESSINE Ane. collecLion Salamanca. Vente Paris,
— ITbO
187b.
une copie
l’eut-ètre
46.
ilc
Deux jeunes femmes,
Leonardo Alenza.
jeunes l'emines sont assises; derrière
nn jeune hoinine
trois elles,
au second plan d'un troisième personnage; fond neutre.
cent, suivies
delioul.
Londres. Esq".
Toile. Figures à mi-corps, petite nature.
Appartient
Valence. Mi(iucl
au
Joaquin
1)''
est représenté
Jouant de
la
—
Toile.
la cigarette à
Toile.
la
bouche, nn jabot de den-
11.
0,82; L. Û,5.ù.
Douteux.
Une
inaja.
Cadix. Académie des Beaux-Arts, cienne collection de fAyuntamiento.
an-
Toile.
Ancienne collection D. V.
Les
Deux
Cli.
noire,
1,22.
vieilles.
fenimes en costume de bal
vieilles
L'une regarde un médaillon et en même temps contemple son image dans un miroir que lui présente sa compagne, sur le revers duquel on lit Que tal? (suis-je ainsi?); au second plan, le Temps, armé d'un grand
Toile.
de
—
II.
1,81
:
L.
1,2b.
Musée. Douteux. Lille.
56.
demi cachée sous une mante
—
Le rémouleur. est rc[irésenté
les
en
liras
presque de face, nu-tète,
de chemise, aiguisant un couteau
sur une meule portée par une brouette
une veste
entrevoir
laisse
monde
[tendant du précédent.
Yriarto.
noire qu'elle entr’ouvre légèrement avec
claire à
L.
;
s’entretiennent de ce qu’elles furent jadis.
voilée.
qui
1,81
II.
Douteux
—
55.
Il
et
—
Lille. Atusée.
Elle est représentée debout sur une ter-
mains
pendant
des cordes.
—
Carderera, cité par
rasse, la tête à
lettre
loin, des laveuses et des linges séchant sur
Lsrjuisse
— La maja
une
lit
balai, s’apprête à les chasser de ce
Une maja. Madrid.
tille
qu'une antre ouvre un grand parasol; plus
:
Douteux
51.
Es-
Les jeunes.
hanche droite; fond neutre.
la
—
Figure à mi-corps de grandeur naturelle. Cadix. Académie des Reauv-Arts, an(.'ienne collection de fAyuntamiento.
—
S.
la tête,
;
gauche vers
50.
—
Une jeune
descendant sur la poitrine il porte une veste jaune à épaulettes bleu clair, une cape noire descendant de Tépaule
—
L. 0,4.b.
;
paüa.
représenté un chapeau sur
telles
49.
O.GO
11.
inaju.
est
11
—
Espagne. Rriviesca. .Appartient à Du.
54.
Un
Les rnajas et l'étiuliant.
guitare.
Madrid. Musée du Prado. Ane. collection R. do Madi'azo. 48.
Rothoinstein
Deux rnajas à une fenêtre idaisantent avec un étudiant qui passe devant leur maison.
Un majo.
11
—
53.
.Vjiparticut à AV.
y Polo.
Douteu.v
—
47.
la tête couverte de
retombant
blanches
jusqu'aux hanches, vêtues de rôties sombres, s’avan-
théâtre.
devant d'une loge de théâtre,
le
Deu-.v rnajas.
mantilles
— Les rnajas au Sur
—
52.
IVani’s.
i09
;
fond
neutre. [tassequillcs
;
elle
porte une jupe Toile.
des souliers rouges aux pieds; à sa
gauche nn socle en |nerre
et
à
terre
un I
—
H. 0,24; L, 0,18.
Vienne. .Vutrichc. Aiipartitml à Micthke.
Douteux
57. .M. 11.
11,
0,(58; L,
Ane. collection
manteau. 'l'oilc.
—
0,50.
Rucla[icst. (ialiu’ie nationale.
du prince Nicolas Es-
berliazy.
— La
marchande d'eau.
O.
Elle
est re[irésentée debout,
face, nu-téte,
presque de
en robe brune dont
le
corsage
(lATALOGüE DE
110
les
épaules par un l'oulanl clair
main
relevé, elle tient de la
che qu'elle aicpuie sur
laiilier
—
Ane.
collection
—
—
66.
Scène de brigands.
Lutte du religieux
1800.
L
0,41:
II.
—
hrigand Es-
1
luic lettre.
—
67.
—
Appartieid
Sir
.1.
dans
l'arme
68.
Rewrewsldre. J. Stirling Maxwell.
à
Sir
— Scène de El
—
0,80
L. 1.25,
;
briga)ids.
succomhe dans
—
II.
69.
—
AI.
les
fouette
un enfant à
autres élèves regardent
corde
;
à l'aide
au
loin,
Rois. Ui'anja.
à
terre, à ses côtés,
63.
—
M.
le elianuiiie
(le
accourant
—
11.
0,28; L. 0,37. Al
.
Laffitte.
,\'.
70. lAittc
le
mains avec une
hommes
quatre
Aladrid. .Ajqiartient à
•\ppartient à
Laffitte.
du moine.
la correction.
La
menace
Scène de brigands.
religieux qui lui attache les d'école
la lutte, le
0.28; L. 0,30.
Aladrid. .Appartient à
L'i'colc.
En maitre
le
0,28; L. 0,37.
Le handit vaincu
coups de verges;
au loin
hrigand. Ruis.
Paris. Aiiparlient à M. Mi'ge.
62.
II.
.Atargaroto
jouant.
II.
;
religieux, maître de Pescopelte, en
Des enfants jouent devant une porte.
—
jamhes
les
le reli-
un coup
lui tire
Aladrid. A]iparticnt à AI. Laffitte.
le
faoils
—
Rois.
Ma.well.
Stirling
M .P.
Tuile.
0,28; L. 0,37.
gieux, maitre de l'cscopette,
Enfants jouant.
— En
II.
cheval s'cnfiijant.
.Angleterre. Pollok.
61.
la
cheval du
Scène de brigaauls.
Angleterre. Pcjllok. Rewrewshire.
Rar'.
le
Le hrigand parvient à s'échapper;
Ricardo IIcTcdia. Vente 3o0 tVancs.
de
—
du handit; par
et
aperçoit
compagnons.
et scs
Rois.
0,31.
Enfants jouant. Appartient à Bar'. M. P.
60.
on
porte ouverte,
du prince Nicolas
.\nc. collection
—
0,28; L. 0,37.
11.
Aladrid. Apirartient à Al. Laffitte.
Aladrid. .Appartient à Laffitte.
Tuile. —
59.
hom-
du couvent.
à la porte
;
Jeune femme présentant
l’aris,
—
Rois.
tlierhazy.
58.
l’escopetle de Jlargaroto; trois
mes apparaissent
de
L. 0,;.0. ü,68 lîudapesl. Ualerie nationale. II.
mains
et de la
— ])endant du précédent.
Tuile.
VUE PE IM ET DESSINÉ
droite une cru-
hanche,
rempli de verres: fond
petit panier
|iavsage
la
le
;
long du corps, elle porte
çrauclie, qui penc.l le
un
DE U
est recouvert sur
la poitrine
échancré sur
L’
—
Scène de brigands.
bandits et de soldats.
Des handits arrêtent une voiture de voya.Ah'dée
de bandits et
de
soldats
aupi'ès
geurs jiour
les dévaliser.
d'un cours d'eau. Aladrid.
.\ncienne
eulleeliun
Ihislaipiiu
laqiez.
Vente 18G0. 64.
— A
71.
Scène de hriijands. la
jiorlc
.'dargarotu
d'un
couvent
le
handit
cl
Pedro de Zaldivia cpd
lui
présente une paire de chaussures.
-
—
—
Gitf'
;
72.
Scène de brujands.
Im frère Pedro de Zaldivia
Scène de brigands.
viennent de les arrêter de les épargner; une troisième, morte, git à terre. Toito. —II. 0.80; L. 1,80. Peint au couteau.
Rois. II. 0,28 L. 0..37. Aladrid. Appartient à Al. Laflitte.
65.
au marquis de Cas-
Deux femmes supplient des brigands qni
menace avec une cscopetle un
religieu.x, le frère
.Appartient
tro Serna.
—
par
Z. .Araujo.
lirigands arrêtant une voiture. Aladrid. Ap|iarlienl.
saisit des
deux
Douteux.
au marquis
di'
Riscal.
C.ATALlKH'K DK 73.
—
L’
OKU VUE FEINT ET DESSINÉ Toile.
Scène de brigands.
pleure à eùté de sa mère; un second enfant
un peu
âgé
[ilus
landrin;
essaie d'arrêter
plus loin, une
le
74.
—
Conslau-
Scène de
bi
—
bois.
—
I).
Constaidino
Scène de b)‘igands.
A
l'entrée d'une caverne,
—
Madrid. Roinana.
une jeune femme de-
et
81.
—
0,42
un Itandit assasun rocher et à
à
L. 0,32.
:
Appartient au
—
82.
—
marquis
de
la
II.
0,-42
0,33
L. 0,58.
;
Appartient au marquis de la
chambre
femmes sont
réunies dans une une lumière.
éclairée par
—
II.
0,42; L. 0,32.
Appartient
au mar(]uis de
la
Romana. 83.
tient
un enfant
L. 0,32.
;
—
La
Un femme.
qu'elle cherche à protéger.
—
II.
Scène d'intérieur.
Toile.
femmes dont l une
Toile.
la
Romana.
Scène de brigands.
Madrid.
au marijuis de
cins et des infirmiers soignent avec terreur,
Madrid.
et de
Goya.
0,42; L. 0,32.
Uoprital de pestiférés.
Flusieurs II.
II.
Madrid. Appartient
Des bandits fusillent un groupe d'hom-
Appartient au marquis
visite
moine
Toile.
de la
Romand.
—
Madrid.
du moine. rend H. 0,33
visite
;
à
une
jeune
L. 0,58.
Appartient au marquis de
la
Romana. Scène de brigands.
Dans
l'intérieur d'une caverne
déshabille une
femme
la
;
un brigand
même scène répé-
aux seconds plans avec variantes. Toile.
—
Madrid.
II.
0.42
;
L. 0,32.
i\pparlient
au marquis de
la
Romana.
—
la
Romana.
Madrid.
une femme attachée Toile.
78.
—
Toile.
moitié nue.
tée
de
La promenade.
Toile,
—
—
au marquis
sont étendus par terre.
Cité par Z. Araujo.
77.
L. 0,58.
;
Dans une vaste pièce éclairée par une unique fenêtre, des pestiférés, que des méde-
II.
.Vrdanaz.
mes
0,33
la duclicsse d'Albo et
d’échapper
essaie
0,30; L. 0,37. Madrid. Ane. collection do
—
II.
visent en SC promenant.
igands.
peu près nue.
76.
sol
La tradition veut (jue dans ce tableau deux personnages représentés soient
aux étreintes d'un homme ([ui l'a saisie; à ses côtés un enfant pleure; plus loin, d'autres hommes portent une femme morte à
sine
le
les
Une femme à genoux
75.
—
Toile.
Un gentilhomme I).
la
Caverne de brigands.
Madrid. Appartient Roinana.
II.
Madrid. lino Ardanaz. Cité par Z. Araujo.
marquis de
Des bandits dorment étendus sur
80. 0.30; L. 0,37. Ane. collection de
L. 0,58.
;
dans une caverne.
sont attachées à
la [loitrine.
des arbres.
—
—
la
scène; au fond, deux
bois.
79.
ma-
moine,
0,33
II.
Appartient au
Romana.
main contemple la femmes nues, la tête
debout, un couteau à
retombant sur
de
sorte
—
Madrid.
l'n hriganJ à genoux maintient à terre une renime demi -nue; un enfant au sein
111
84.
—
Scène de brigands.
Deux lutteurs se tiennent à bras le corps un autre vient de terrasser son adversaire le prenant à la gorge et appuyant le genou sur sa poilrine plus loin, deux autres com;
;
battants.
Cuivre ou lamelle de fcr-blanc.
Scène de brigands.
L. 0,30.
Dans
l'intérieur d’une caverne,
assassine une
femme.
un bandit
besam;on. Musée. Ane. collection Jean Gigoux.
— IL 0,20
;
CATAlA'HiUE DE L’OECVHE J>E1\T ET DESSINÉ
11-2
—
85.
Sccne de hriijands.
Cuivre
lamelle de
üii
—
90.
\ gauelie, assis, un vieillard à harhe de neuve et au torse uu; à droite, des luUeurs aux lu'ises.
—
ldanr.
l'er
Scène de carnaval.
Un personnage tenant un cahier de musique à la main chante pendant que deux autres l'écoutent. naturelle.
L. Ü.30.
—
—
I
—
91.
Scène de caiinibalisinc.
louteuv.
de ‘mastjucs.
liai
Au premier lliiiL
sont réunis sous uu arlire
houiiiies
auprès d'un feu
uu
l’uu
,
au milieu de
la
eom-
Jambes écartées, la ligure grimaçante, tient de la main droite levée un bras bumain et. de la main gauebe abaissée, une tète à ses pieds, les débris d'un cadavre à ses eédés, ses compagnons jiosiliou,
cl (Ichoul, les
d'autres
lui,
les
uns debout,
les
autres
—
92.
— H.
U, 31
;
93.
0,4a.
pied d’uue falaise, deux
ouvert,
|)lus
loin,
à
—
—
L. 0,38.
;
à
duchesse
la
de
11.
0,31
L. 0,20.
;
Bal champêtre.
—
Toile.
do
et
femmes
bommes le
ac-
gauche, uu cha|ieau
0.80
;
L. 1,80.
par Z. Araujo.
Cité
ven-
homme
un autre
11.
Peint au couteau.
debout dépouille un autre cadavre pendu
au premier plan,
0,30
dauseni sous un pont.
croupis dépècent un cadavre qui git tre
cos-
Mascarade d'enfants.
Scène de cannibalisme.
Au
II.
Des groupes d'hommes
Ane. collection ,Iean Gigouv.
—
derrière
en
Madrid. Appartient à D. Palricio Lozano.
nesançon. Musée.
87.
—
Madrid. Appartient Villa llermosa.
Toile.
Cuivre ou lamelle de ter-blanc.
;
également
'i>orsonuages
Toile.
assis 011 courbés, le c.onteui[)lent.
L.
une maja
et
tume de réjouissance.
:
comme
majo
plan un
dansent en costume de carnaval
;
nus
1,10; L. 0,80.
II.
Bayonne. Musée.
Besanron. Musée. Ane. cullerlion Jean Gigouv. 86.
Figures à mi-corps de grandeui'
Toile.
0,20:
11.
94.
— Bed chamtpèlrc. Divers personnages dansent dans
la
cam-
;
et
pagne. groupés sur une éminence. 0,12; L. 0,10.
11.
des étoffes.
Paris. Ane. collection Aroza.
H. 0,31
;
L.
0,4.'i.
Besançon. Musée.
95.
— Bal champêtre.
Ane. collection Jean Gigoux. 88.
—
•
L’enterrement de
Même
sujet
la sardine.'
—
Toile.
Dans
hommes
voisinage du
le.
et des
Itlanzauares
des
—
96.
H. 0,82; L. 0,60.
Gravé par Galvan. Madrid. Académie de San Fernando. 89.
— Au
—
11.
0,40; L. Ü.S4.
comte deTorrocilla.
— Bal populaire.
;
à
gauche
97.
—
Vue
fête.
—
Toile.
Cli. Clicrtils.
Calvo.
II.
I,o0;
L. 2
m. Figures de
dimensions.
Madrid.
0,82; L. 1,02.
Appartient à M.
Eustaiiuo Lopoz. Vente
1806.
])etites
—
11.
Ane. collection
nombreux masques
au second i>hm, un château fort un autre groupe de masijues.
Biarritz.
2 des carions
Auprès d'une vieille porte de ville tomhant en ruines, des groiqies de gens de différents âges regardent dos jeunes filles qui
dansent à l'entrée d'une caverne; à droite,
Toile.
uuméro
dansent.
Scène de carnaval. [iremier plan, de
le
iMadrid. .\ppartient au
femmes en costume de mas-
carade dansent et se réjouissent. Bois.
que
de tapisserie.
Appartient
à
D.
Juan
Peroz
CATALoiinK DE E’oEEVHE l'ElXT ET DESSEXÉ 98.
—
La baraque de foire.
rain sur lequel se trouveni des cavaliers et
De nombreux spectateurs debout contemplent sur le devant d'une l)ara([ue un arle-
d'autres personnages.
Madrid. Ane. collection do D. Federico de Matirazo.
quin et d’autres bateleurs. 106.
Lamelle de fcr-blanc. Madrid. Appartient Castro Sema. 99.
au
marquis
de
— Les danseuis de corde.
La composition représente une troupe comique dans laquelle on a vovdii voir une
—
Toile.
107.
—
11.
.Même sujet que
carton n»
le
IMadrid.
cocagne. 108.
un mât de cocagne, [dus loin un village bâti sur un rocher pour tond, des montagnes.
Appartient
— La maison
du
IL 0.80; L.
IMème sujet que Ane. collection 1808.
—
II.
0,80; L.
1
109.
Lamelle
ter-blanc.
de
Le feu de
—
II.
0.32
;
joie.
110.
—
II.
— Le marchand de
do
111.
—
—
Mailinet, 2.080 trancs.
Sema.
—
11.
0,80; L. 1,80.
Les habitants d'un village fuient devant
II.
maisons en llammcs; deux hommes lu’us une femme éva-
poiTcnt dans leurs nouie.
Même sujet (jue la planche 4 saslres de la Guerre.
4
des
I>é-
Lamelle do ferddanc. Madrid. Appartient au rnar(piis do Cas-
0,42;
tro
Vente Paris, 112.
Le ballon.
lui ballon s'élève
Vente Paris,
Village incendié.
leurs
L. 0,34.
collection
Yriarte.
1866.
rnarion)iettes.
ter-blanc.
Cli.
francs.
Ane. collection Eustaquio Lopez. Vente
;
Lamelle
— 410
Toile.
Le marchand de marionnettes est représenté de dos atdour de lui dos entants et trois temmes dont Tune porte un paquet sur la tête; à droite, un gentilhomme assis, dont les traits rappellent ceux du peintre.
—
des tapis-
— L'oiuagan.
0.33; L. 0.47.
Madrid. Appartient au comte de Villa-
105.
3
campagne par un orage une foule de gens fuit vers une ville dont on aperçoit les murailles à l'horizon.
gonzalo.
—
carton n»
Surprise en pleine
Répétition du précédent.
Ane.
le
Madrid. Appartient au mar(juis do Castro
Madrid. Appartient à D. Cristobal Ferriz.
1800.
peiqile
cour d'une
— L'inondation.
m.
L. 0,43.
104.
la
series.
— Le feu de joie.
Rois.
dans
m.
1
— Le mât de cocagne.
—
de
auberge.
—
Répétition du prccéilent.
103.
maiapiis
des gens du
se iiuerellenl et se hattenl
Madrid. Appartient au mar(iuis de Casa
102.
au
corq.
Des charretiers et
Torres.
Toile.
tajiis-
plan,
;
101.
des
Torrccilla.
— Le mât de
Toile.
1
IL 0,40; L. 0,54.
Sema.
Au premier
0,30; L. 0,40.
— Le goûter. series.
Lamelle de fer-ldanc. Madrid. Appartient au marquis de Cas-
100.
Iai sieste.
Deux eniqiles de majos et de inajas sont étendus sur Therbe dans un i)aysage termé par des montagnes.
allusion à la reine Marie-Louise et à Godov.
tro
113
—
Sema. Village incendié.
Les habilanls d'un village nu d'uu fau-
dans
les airs,
d'un ter-
bourg fuient devant leurs maisons en llam-
C
mos, lin
ATA
lioimnes
(les
InMiiciinl
I.OC
I'
une leimm' sur
|Hii'lenl
lonin''
une
[iiip
DK l/UKÜVUK l’KINT ET DESSINE
I-:
éclirlle
ri
nialelas.
—
Tuile.
119.
un
chien enragé.
IjC
Un
cliien Idanc,
est
attaebé
la
rompre.
chaîne et essaie de II.
0.80; L.
1
,80.
II.
au couteau.
Peint,
0,70
120.
1866.
— Montagnard aragonaia.
—
:'i
une
l'orle
L, 0,60.
;
Paris. Apiiartient à
Ane. cûllecLion Euslaciuio Lopez. Vente,
113.
—
M. Carvalhido.
Etude de cheval.
Etude pour
le
portrait équestre du duc, de
Wellington. lioriloaux.
114.
—
Ane. collcrtion
Les paijaans.
Un jeune paysan jeune
lillc II.
une
et
0,27
Ane.
— 115.
E. Vallet.
121. delinnl
est
entre une
vieille feinnie.
la
Vinaza.
Etude de cheval.
Elude
[lour le
Gili'
L. 0,21
;
collectii-in Vallrt.
Venti^ Paris, 188i.
portrait éipiestre du géné-
122.
—
par
le
comte de
La toihdle de
la
Vinaza.
mariée.
la
Une remme aide une jeune
— Le pi'chcur. les
—
coude de
ral l’a la fox.
72 francs.
Sur
Cité [lar le
cède
bords d'une
rivii'-re
honinic est en train de piû
sinueuse un
a sa toilette
tille
qui pro-
de marii’e, à mettre ses
bas.
—
Lamelle de fer-blanc. H, O.tiO; L. 0,30. au comte de Esteban
lier.
Aladrid. Ajipartient II.
0,5.3; E. 0,42.
Collantes.
Ane. collection do D. de Murcie.
.losc
Maria d'Esloup 123.
—
El
Douteux. 116.
—
Un
Scène champetre.
jeune
Dans un paysage oinlireux circulent
dilTiV
rents personnages. II.
0
.53
Ane. collection de de Murcie.
—
prononcent
le
oui.
vieillard grotesque
femme
reçoivent
la,
et
une gracieuse
bénédiction nup-
tiale.
Toile. I).
.lose iMaria
d'Estoup
—
Paris.
II.
Ane.
3,35
;
L. 3,39.
collection
Paul
de
où cette toile figurait sous le du Mariage ridicule. Douteux. Probablement de Lucas.
Victor,
Douteux. 117.
prononcian.
Mè'.me sujet que laplanclio2 des Caprices.
L. 0,42.
:
si
Elles
titre
de la jdupart des eauxGoya, des Caprices, des Désastres de la guerre, de ‘La Tauromachie. dont il existe, pour cei'tains, des cs(juisses, dos ébauches et mémo des tableaux achevés du maitre, ont été fré(juemment reproduits ou imités par ses élèves ou imitati.'urs. Les 21 Caprices de l'ancienne collection Dospital de Madrid, les 16, de Tancicnne collec tion d'Estoup de Murcie étaientils tous des originaux? C’est douteux. 80 toiles attribuées à Goya, reproduisant les mêmes sujets que les Caprices, furent mises en vente à l'ibjtel Drouot en 1856.
Les
Marine.
Saint-
sujets
fortes de
La composition représente diverses
cni-
liarcalions sur la mer. II.
0,30
L. 0,42.
:
Ane. collection do toup do Murcie.
D. José
Maria d'Es-
Douteux. 118.
—
Marine.
La composition représente diverses embarcations sur la mer. II.
0,30
;
L. 0,42.
Ane. collection do D. José Maria d'Esloup de Murcie.
Douteux.
Reconnues fausses, elles furent rachetées le vendeur pour la somme do 3.450 fr. Il est possible que la plupart de ces toiles aient aiqiaru de nouveau sous le nom du maître. par
CATALOGUE DE L’OEUVRE PEINT ET DESSINÉ 124.
—
Le dciccuiona. Elles
le
Dans une
128.
cliambi’e, menljlée élégant,
par une jeune l'emme
(ju'il
se
raser
l'ait
regarde en cou-
cuvette et une vieille duègne. Méiiie
que
sujet
planche
la
Un
seuleinenl
en arrière, une servanle portant une
lisse;
— H. 0,6U;
Lamelle de fer-blanc.
—
moines
35
des
Même
L. 0,30.
0,87
II.
planche
la
44
—
Une jeune
Hasta
:
—
une coiffure
;
la
U, 29
1/2
planche
7i
des
—
H.
L. 0,23 1.2.
;
es holgar. est
de ne rien faire.
sujet
que
Carton.
planche
55
que
planche
la
73
des
—
11.
0,29 1/2
;
L. 0,23 1/2.
—
Douteux.
se rient de sa co-
la
sujet
Ane. collection Doria. Vente, Paris, 1899; 1.200 francs. avec le précédent.
Caprice.
Deux personnages fantastiques sont vus
des
à
mi-corps. M. ComaiTin. Ane. galerie espagnole du Louvre. Paris, .tppartientà
filiacion.
132.
—
Le signalement.
sujet
([ue
la
planche
Caprices.
Idorence. Appartient à M. X.
Douteux.
Caprice.
—
Toile.
Dans une réunion de famille a lieu la lecture du contrat de mariage d'un borrilde rnun dont on ne voit que la tête, avec une jeune bile, le visage caché sous un masque d’animal.
Meme
Mejor
Même
Bordeaux. Ane. collection Lacour. Douteux.
La
que
Caprices.
au second plan, une
hommes
Caprices.
—
en
assis sur un sac, aide une femme à dévider son écheveau; à gauche, une jeune fille debout et riant.
131.
Même
par i[uatre
s’échappe
Un jeune homme,
quetterie.
127.
sujet
Le mieux
Une Parque.
la rnuerte.
deux
humaine,
Ane. collection Doria. Vente, Paris, 1899. Douteux.
l'emme décréfiite, d'une extrême maigreur, assise devant sa table de loiletlc sur laquelle se trouve un miroir, et
poursuivie
fille,
à tête
Même
vieille
femme
pas.
Caprices.
130. titre
le
Jusqu'à la mort.
essaie
des
riant.
L. 0,65.
;
Düuteu.x.
Une
No te escaparas. Tu ne t'échapperas
monstres
des
Musée.
Catalogué sous
—
58
planche
la
Douteux.
Caprices.
—
que
sujet
Carton.
que
sujet
llordeau.x.
figures
Florence. Appartient à M. X.
l'implorer.
Toile.
fond, différentes
menu.
Une l'emme âgée, vêtue avec une élégance grotesque, est assise, une quenouille à la main; à ses cotés, deux personnages dont Tun tient un balai et dont Taulre semble Mbine
le
Caprices.
129. Elles filent
126.
dans
;
fantastiques.
dehjadn.
Ililan,
à genoux, (ju'entourent d’autres
religieux
au cumle de Eslebaii
Maih'bl. Appai'Lienl Collantes.
armé d'une énorme seringue
religieux
semble menacer de son instrument un second
Caprices.
125.
Fragata perro. Avale cela, chien.
rasent.
commode, un
d'une
—
115
57
des
IL 0,44
L. 0,70.
;
.Madrid. Ap[)artient
au mari|uis de Casa
.hmenoz. 133.
— Un
Caprice. religieux jette au feu des livres et
ries
papiers. Bois.
—
II.
0,30
;
L. 0,37.
Madrid. Ane. collection du tiiio
Ai'danaz.
Cite [lar Z. Araujo.
1).
Constan-
dk
(:atal(.m;('k 134.
—
kt dessiné
l’oi<:l;vi!k
Vapricc. Toilo.
—
0.31
il.
L.
;
Ane. colloclion Leon Daguei're Hospital do Madrid.
0,91).
Douteux.
Madi'id. Appai'l.ient à D. Alujandro Pidal.
135.
—
162 a 178.
Capiicc.
levant l'nn un âne,
un
Iruisiènie
second un taureau,
le
136.
—
le
cni'anl
Madrid. Ane. collection de Madrazo.
de
1).
Federico
—
170.
tradition veut
ipio
Caprices.
Douteux.
Caprice.
La
—
Ces compositions étaient au nombre de lü. Dimensions vai'iaid, de U, 55 à ü,58 do hauteur sur t),25 à U, 28 de largeur. Ane. collection de D. .lose Maria d'Estoup do Murcie.
Trois liallons s'dlèvent dans les airs, en-
dans ce tahleau,
poi’soimapes représcnli's soient la dunue de ses suivantes on Coija, a/io ll'J.j. lias, à droite, on lit les
<diesse d'Alho et
Chiens
de chasse.
et accessoires
Espuisse jiour une lapisscrie.
Musée du l’i'adn. Ane. collection R. de Madrazo. Jladrid.
;
;
Toile.
—
0,31
11.
;
137.
—
1)'"'
Garnien
IJer-
Il
—
181.
tradition veut (jue
,
II.4G
L. 0,(ii.
;
Madrid. Musée du Prado.
Caprice.
La
— Dindon mort.
180
L. 0,tlë.
Madrid. Ap|)artient à punza de Martin.
dans ce taldeau
Oiseaux morts. 1
représenlés 1). Luis lîerf^anza et une petile négresse recueillie par la du(diesse d’AIljo, tiiuid. par la rode une sui\ante de la gi-ainle daine. En bas, adroite, on lit Luis Ileri/anza, ano H'.l.j. Co;/a. soient
1
.
(1,4(1
L. 0,64.
;
Madrid. Musée du Prado.
—
La chasse au
Au
centre de
182.
«
hoyo
».
comjiosition se trouve
la
:
Toile.
—
IMadrid.
lilet
IL 0.31
;
—
Carmen
du
Ber-
;
le
au milieu
blet,
poursuivant des sangliers et prêts
nombreux cava-
parmi lesi[iiels se trouvent le roi l’bilippe IV, le comte duc d'tdivares, le cardinal Infant D. Fernando de liourbon, le portearquebuse du roi D. ,luan Mateos la reine
liers,
Caprice.
—
Bordeaux.
Caudéran.
Aiijiartient
à
,M"'“de Lacy.
;
Douteux.
—
gibier
a les abattre, se voient de
Toile.
139.
le
L. 0.53.
Aiiparticnt à
ganza de Martin. 138.
servant à enserrer
11“
neur assistent à la scène de leurs carrosses; au jiremier plan, des groupes de person-
Caprice. Toile.
Bordeaux.
—
Gaudi'ran.
Ajipartient
nages divers.
à
M”' de Lacy.
Toile.
— Caprices.
Cos compositions élaieni au nombre de
51
.
—
11.
1.88
;
L. 3,03.
Madrid, Musée du Prado. Copie d'après la composition de Velâzquez taisant paidie aujourd'hui de la National Callcry, de Lomires.
Douteux.
140 à 161.
dames d'bon-
Isabelle de Dourtion et ses
|
Portraits. 1.
— 11
Portrait da roi Chartes IH.
gauche; à ses pieds
est représenté
blanche sur
dolioid-, coiflé
d'un
tri-
le
e.st
collier
nuestro senor
couchée une chienne de laquelle on
lit
;
fond de paysage aride
corne noir, en costume de chusse, casm]ue,
/ici/
culotte et guêtres
avec quelques arbrisseaux et des montagnes
cliarpe
sur
la
veneur au côté.
main
grises, veste jaune,
poitrine 11
tient
et
une
le
l'é-
couteau de
escoiiette de la
droite, et des gants blancs de la
main
à
1
;
horizon. Toile. Figure en pied de rclle.
—
11.'
5,10; L. 1,27.
grandeur nalu-
GATALCMIUE DE L’OEUVRE DEIAT ET DESSINE Musée du
Madi'id.
—
8.
l’rado.
Portrait de la reine Marie-Louise
Houleux.
—
2.
Fortran du
Toile.
—
Elle est représentée la
roi Charles 111.
Alûdrid. Palais Royal.
H. 2,12; L. 1,30.
du
9.
—
Figure en
jiicd
La
Au
roi Charles IIL
famille de Charles IV.
un
centre, dans
salon, le
do grandeur nalu-
1).
Fi’ançois de Paule
;
à
la droite
Appartient au
duc
tle
;
à sa
l'Infant
de la reine,
doua .Marie-Isabelle le prince des Asturies Ferdinand; sa femme, Marie-AntoiTintant D. Carlos, Tintante doua nette Jlarie-.losepbe, sœur du roi; plus loin, Goya peignant; à la gauche du roi, Tintant l'Infante
relle.
Madrid
roi
main
droite, la reine tenant par la
Autre répétition du précédent. Toile.
abritée par
tête
grandeur naturelle.
Toile. Figure de
Figure en pied do grandeur nalu-
Portrait
femme
une mantille.
Madrid. Palais Royal.
—
3.
,
de Charles IV.
Répétiüon du pi'ccédenl. rolle.
117
Fernan
Nu nez.
;
;
par Z. Araujo.
Cité
—
4.
Portrait du roi Charles IV.
D. .Antoine; le prince Louis de l’arme, sa
en costume de
est représenté deljout
11
chasse, coillo d'un eliai>eau à deux cornes,
sur la poitrine, une écharpe en sautoir sur gilet,
une
et
Charlotte
le
culotte, des guêtres et des chaus-
avei’
dans
maillot
porte un habit avec diverses décorations
il
femme, Alarie-Louise,
rL'lle.
par Maura. Madrid. .Musée du Prado.
Une copie d'un
fraginent, de ce laldeau, reine Marie-Louise et île deux do scs enfants, exéeul.ée par Forluny, fut adjugée 10.000 fr., à la vente de ce dernier, a Paris, en 1875.
Figure en pied de grandeur natu" 11.
2,10; L. 1,30.
— Portrait du
roi Charles
IV. 10.
Répétition du précédent.
Portrait du roi Charles IV.
Portrait de la reine Marie-Louise, femme
le
tableau de La famille de
Elle est re])résenlée
<lehout,
la tète
dessus jaune <pie traverse
;
11.
—
H. 2,10; L.
Etude Charles
et
femme
du précédent.
Naples. Palais de Caito di Monte.
tableau de Lu famille de
Figure à mi-corps de
12.
—
Gravé par Maura.
gra.mleur
R. Esteve,
Carmona, E. Lenius
Portrait de l'Infant Ferdinand, prince des Asturies.
de Charles IV. Ré|)élilion
le
F.
Toile.
1,30.
Marie-Louise,
]iour 1
femme
IV
naturelle.
giundeur natu-
Madrid. Palais Royal. la reine
Portrait de la reine Marie Louise, de Charles
;
<le
—
en sautoir
les bras sont croisés; elle une écharpe un éventail de la main droite; fond sombre pendant du précédent.
Toile. Figure en pied
Lcnius.
et E.
tient
— Poi trail de
de grandeur
Gravé par R. Esteve, Brandy, Garinona
cou-
habillée d'une robe blanche avec une veste
—
ini-corps
naturelle.
verte d'une sorte de turban à panache blanc
relle.
Figure à
Toile.
dù Charles IV.
7.
la
Charles IV.
—
de
—
Etude pour
Naples. Palais de Capo di Monte. 6.
de
les portraits
Madrid. Palais Royal. 5.
grandeur natu-
2,80; L. 3,30.
11.
Peint en 1800.
fond de pny'sage.
—
—
(Ti'avi'
>
relie.
tous les personnages
Toile. Figures en jiied de
;
à sa ceinture;
Toile.
,loa([uine;
un enfant au doua
Tinfanle
sont représentés en costume de cour.
un couteau de veneur est il' lient un fusil de la main droite, le bras gauche pendant le long du corps; un chien est assis à ses pieds sures à éperons
suspendu
bras
les
Fdude pour Charles
1
17
le
lubleau de La famille de
TA
CA
lis
13.
—
—
0,7
11.
;
de
Poi'trait.
Isidore,
Charles
-
Ma rie
Tuile.
—
—
19.
Charles IV.
Etude pour
de La famille de
—
Figure en buste de graïulcur natu-
relle.
de Chai
fils
Elude pour
les
Toile.
20.
—
à
Figui'O
—
do grandeur
iiii-cu]’[)s
0,74; L.
II.
relle.
Etude pour
21.
—
lableau
(le
La
famille de
Charles IV.
du prince
r/endi'C
Etude pour
Louis
de
tableau de
22.
La
fils
Louis
Vail
dans scs niaius
18.
—
—
11.
Iti
à calil'ourcbon
crinière tressée
;
rum.1
3,35; L. 2.79.
Madri(.l. Vlusée
résonner sous ses
tableau de
La
famille de
—
du Prado.
Portrait du roi Charles IV.
représenté dehout, en unirorme de
est
11
colonel des gai'des du corps, tenant son cha-
Figure de grandeur naturelle. L.
—
peau de
main
0,43.
Ane. eollection Pereire. Vente. Paris, 1872.
—
vêtue de Tunirorine
montée
(Iravé par Galvan.
1
0.:i4;
reine Marie-
VAgure écpiestre de grandeur natu-
'Voile.
23. le
la
femme de Charles IV.
des gardes du corps,
enfant.
Etude pour
Tuile.
équestre de
Louise,
de
doigts.
11.
3,3G; L. 2,70.
II.
Portrait
relie.
(pt’il
;
de paysage.
du prince
est représenté’ tenant
une guitare
de ITinirorine des
Figure é(]uostrc de grandeui’ natu-
—
sur un cheval [de à
0,74; L. O.GO.
11.
Polirait du
Charles
équestre du roi Charles IV.
Elle est re[(résent('e
Figure en buste de grandeur natu-
Panne Il
—
famille de
Madrid. Musée du Prado.
—
Musée du Prado.
Madrid. Musée du Prado.
Panne,
de Charles IV. le
l ‘orliait
relle.
Charles IV.
17.
famille de
0,7 4; L. O.GO.
11.
'V(.iilc.
0,74; L. 0,60.
II.
Portrait
—
La
tableau de
gardes du corps, monté sur un cheval pie fond de paysage.
Tuile. Figure en buste du grand(;ur natu-
ivlle.
le
est représenté vêtu
Il
le
—
Jladrid.
Parme.
'Voile.
Marie-Josephe,
l'Infante
Figure en buste do grandeur natu-
'Voile.
U, GO.
de Marie-Louise, princesse de
Portrait
—
de
l‘oïirait
Etude pour
famille de
Madrid. Musée du Prado.
16.
0,74; L, 0,G0.
II.
Charles IV.
naturelle.
—
—
surur de Charles IV.
La
lableau de
le
de
IV.
Charles IV.
relle.
famille de
Madrid. IMuséc du Prado.
Portrait du jeune Infant François
—
La
tableau de
Figure en buste de grandeur natu-
'Voile.
0,7i; L. 0,G0.
11.
Paille,
15.
le
Charles IV.
Madrid. Musée du Prado. 14.
0,74; L. O.GO.
11.
Portrait de l'Infant Antoine, frère de
de Charles IV.
I VA
relle.
Figure en buste de grandeur nalu-
'Voile.
rellu.
taldeaii
le
OKU VUE PEINT ET DESSINÉ
U, GO
L.
l'Infant
fils
l'Tude |)Our
Charles
i
L’
grandeur nalu-
Tuilf\ Figure en liiisle de rellc.
DE
L (MIL! K
la
'Voile.
12.800 l'ranes.
main gauche
et
une canne de
la
droite.
relle.
—
Figure en pied du grandeur natuIV 2,02; L. 1,20.
Madrid. Musée du Prado. PortraiL
de
la
jeune Infante
Isabelle. plus lard
Marie-
femme du prince
24.
héritier de Naples.
Elude pour Charles IV-
le
lableau de
—
/ ’ortrait
de la reine Marie-Louise,
femme
de Charles IV.
La
Elle est repia’sentée eu rohe de soie noire,
famille de le
corsage échancré sur
la poitrine, la tète
CATALOGUA DE L’OEUVRE PEINT ET DESSINE cmiverlc
éventail
corps
;
main
siii’
les
relevée tenant nn
ilroile
tombant
g-auclie
la
;
tninhnnt
mantille
il'nno
i''paules; la
—
fond de paysage
le
diqinssant
long du
Toile. Figure jusqu’aux genoux, de grandeur naturelle. il. 1,18; L. Ü,82.
—
[lendant dn pré-
—
Figure en pied do grandeur natuII.
1,99; L. 1,26.
28.
—
Gravé par bavallcy. Madrid. Musée du Prado.
— Portrait de
—
la reine Marie-Louise,
Séville.
femme
Elle est représentée
le
bras droit levé,
29.
naturelle.
—
à
ini
1,57
II.
;
corps de grandeur
Elle est représentée
femme
;
30.
—
Portrait de l'Infant Ferdinand, prince des Asturies, jrlus tard Ferdinand
main
Séville.
—
de la reine Marie-Louise,
femme
de Charles IV, tenant un de scs enfants
31.
—
Portrait de l'Infante Isabelle, plus tard reine de Naples.
Elle est représentée à l’âge de douze ans, les hras
garnis de gants montant au-dessus
coudes, ramenés
des
trois
deur naturelle.
quarts, la
Séville.
tournée vers la gaucho,
noirs ornés de bijoux; au cou,
;
;
elle
les liras
les
un
cheveux
de
lii
porte une robe
nus recouverts,
une écharpe à handes foncées autour une montre attacliée au haut
taille
Telmo.
collier do
jusqu’au-dessus du coude, de longs gants clairs;
et
Toile ovale. Figure, à mi-corps, de gran-
Elle est représentée de
blanche décolletée
vers la poitrine,
tenant un éventail de la main droite.
les bras.
perles à deux rangs
Anciennement au palais de San
— Appartient à la comtesse de Paris.
Telmo.
droite.
Toile. Figure jusi|u’aux genoux de gran11. 1,10; L. 0,83. deur naturelle. New-York. Appartient à M. Ilavemayer. Ane. collections du duc de Rivas et Th. Durct.
VU.
—
;
tête
manches
— pendant du précé-
Toile ovale. Figure en buste, de gramleur II. 0,82; L. 0,66. naturelle.
;
dans
fond somhre
—
un peu tour-
gauche de lourds pendants des hagues aux doigts et des bracelets aux poignets elle porte une robe d'apparat de soie jaune, les bras nus ramenés sur le devant du corps elle tient un la
I ’orlrail
;
—
oreilles,
—
tournée à
Toile ovale. Figure en buste de gran H. 0,82; L. 0,66. deur naturelle. Séville. xVnciennement au Palais de San Telmo. Apparticnlà la comtesse de Paris.
Elle est représentée de face, la tête recou-
27.
tête
dent.
Marie-Louise,
la reine
verte d'un turban à aigrette,
éventail de la
la
porte une rohe Idanche à
elle
courtes
de Charles IV.
née vers
femme
de diamants à trois rangs au
collier
cou;
L. 1,20.
Madrid. Académie royale d'histoire.
— Portrait de
Portrait de la reine Marie-Louise,
gauche, de lourds pendants aux oreilles et
un Figure
San
palais de
de Charles IV.
;
corps.
—
Anciennement au
— Appartient à la comtesse de Paris.
Telmo.
montrant avec son éventait la couronne royale placée sur une colonne le bras gauche tombant naturellement le long du Toile.
Portrait du roi Charles IV.
Toile ovale. Figure en buste de grandeur naturelle. II. 0,82; L. 0,60.
de Charles IV.
aux
fond
;
M. Billolto. Ane. collection Fromentin.
Toile.
26.
pieds
les
Paris. Appartient à
relle.
.
heaucoup
neutre foncé.
cédent.
25
de
119
;
du corsage à droite. Dans les bras, elle tient nn enfant coiffé d'un béguin blanc, velu d’une longue robe également blanche
32.
— 11
—
II.
0,82; L. 0,66.
Anciennement au Palais do San
— Appartient à la comtesse de Paris.
Portrait du roi Charles IV. est représenté de face, les
cheveux
[lou-
en costume de velours rouge, la main droite à demi recouverte par les broderies drés,
de la
manche de son vêtement
gauche tondiant Toile.
nalurclle,
le
long du
;
le
bras
coiqis.
Figure à mi-corps, de grandeur
—
II.
1,09; L. 0,76.
.
121
CATAI.UCUR
)
Iv-papno
I',
.
liais
ili^
au due
.\li|iai'liuiil,
Dh:
lînadilla
do
Suoea,
1
/mRIIVKR Munie.
ilrl
eonile
tableau on
de
12 de
à
— Portrait
repi'ésciilée
est
Figure à
'J'oilo.
—
nalurolle.
de
l’alais
au duc
lio
;
pen-
37.
—
l'In fant 7).
femme
Portrait de l'Infant Louis de Bourbon. frère de Charles III.
do grandeur Toile. rolle.
Appartient
Louis, frère de 38.
—
:
Louis, également assis
l'Infant
D.
du père
et do la
eux,
mère, en
;
occu[iè à poudrer
à côté'
D. Louis et
un
arrière,
la
;
iiour ainsi dire
enfants
leurs
Marie-Thérèse
et
coiffeur
princesse, puis diffé-
rents autres personnages appartenant à
domesticité
de
l'Infant
chambre, bonnes
femmes
:
d'enfants, et enfin
relle.
—
l'i'ini
IL 2.48; L. on 1783.
Rlle
Loya
forme, avec
le
liois.
relle.
— H.
grandeur natu-
36.
—
Toison d'or
—
Sor, Infante de Espaàa,
manana
la
—
del dia
27 de
A(joslo
—
Figure en liuste,de grandeur natuil.
0,42; L. 0,35.
de
Portrait briga,
Marie-Thérèse
le
bras gauche.
de Vaila-
femme de Ilnfant Louis de
Bourbon. Itépétition du précédent sans l'inscription.
relle.
—
II.
grandeur natu-
0.42; L. 0,37.
Palais de lioadilla del Alonte. Appartient
et
au duc do Sueca. comte de Cbinchon. 40.
—
Portrait de l'Infant Louis de Bourbon,
genoux, de gran-
frère de Charles III.
l.tS; L. 0,97.
comte do Cbinchon.
Portrait de l'Infant Louis de Bourbon, frère de Charles III.
Il
Ser’"^
Toile. Figure en buste, do
Talais de IJoadilla del Monlo. .Aiqiai'ticnt iSueca.
;
Palais do lioadilla del Monte. Appartient au duc de Sueca. comte do Chinclion.
bras droit tomliantle
Toile. Figure jusqu'aux
au duc do
tresses
ano 1783, hacia Don Francisco Goya jiendant du précédent.
39.
long du corps, lechapeausous deur naturelle.
de
Luis Antonio Jaime de Borbon, que de
II a 12 de
debout en grand uni-
le,
de
3,lô.
collier de la
trois auti'es ordres,
coiffée
del
Portrait de l'hifant Louis de Bourbon,
est représenté
représentée
est
exposa del
Don
frère de Charles III 11
Valla-
de Ilnfant Louis
—
la
de
Marie-Thérèse de
fcninic
retombant sur ses épaides, réunies jiar un ruban bleu au revers du tableau on lit Iletrato de ID Maria Teresa de Vallabi iga,
Pa'ais de ISoadilla del Monte. Ap[iartient au duc de Sueca, cointi' do Chinclion.
—
(),3.5.
Bourbon.
lui-même, les pinceaux et la palette à la main; fond de tentures de velours cramoisi. Toile. Figures en pied, do
L.
ü,4-2;
11.
brifja,
droite,
à
Figure en buste, do gi-andeur nalu-
Portrait de
de l'Infant, de prolil. assise dans un
guéridon
—
Palais de lioadilla dol Monte. Aiqiartient au duc de Sueca, comte do Cbinclion.
HL
devant un
del
Uépélition du précédent sans l'inscription.
Cliiiiebon.
île
sepP'<^
0,42: L. 0,35.
II.
couvraid.
L. U, 70.
coude
Suci'a,
lie
1
manana, dia 11 de
la
Figure on tmste, de grandeur naturelle.
cenlre. I\Iarie-Tlii'‘rése de Vailabriga,
fauteuil
35.
Itelrato del Serenisimo Sehor
Palais do lioadilla del Alontc. Ap])artient au duc do Sueca, comte de Glnnclion.
du préeédeid..
lioaililla del Alonto.
Charles
entre
gam
front et
uii-eiu'ps,
I.l
11.
La famille de
,\u
le
— }icndant
épaules
—
la
à nianclies eourti's, la elieve-
a taille,
retombant sur
liire
;
—
main
la
long dn corps. Rlle ]iorte une robe
le
noire
do face,
nn éveidai!
droite tenant danl.
34.
;
Luis Antonio de Borbon, que de
ano de 17S3, hacia Don Francisco Goya.
femme
reine Marie-Louhe,
(le la
Churler, 1 R.
(le
Rlle
b's
lit
Don
Infante
lliiiiclimi.
(
33.
RT DRSSINR
IM':INT
est représenté' de profil
— au revers du
Il
est représenté avec le collier de la Toi-
son d’or et un autre ordre sur
—
la poitrine.
Figure à mi-corps do grandeur naturelle. II.
0,79
;
L. O.Gü.
ilel Monte. Appartient au duc de Sueca. comte de Cbinchon.
Palais de lioadilla
CATALO(;UR 41.
— Portrait de Marie-Théi femme de
R L’URL’V
11
ùiicde Yullabriga,
l'Infant Louis de Bourbon.
Rlle est représentée les cheveux ornés de
diamants,
de bijoux
tombant sur sur
de
rellcment sur che,
rouge,
et
lesmainsa[ipuyées elle
porte une
— H.
1,48
;
grandeur natu-
L. 0,93.
46.
—
II.
1
,9.3
L.
;
1
grandeur natu-
,30.
Louis de
Bourbon.
Portrait de Marie-Thérèse de Vallabriga,
femme de
Toile.
l'Infant Louis de Bourbon.
rellc.
sur les
Figure en pied de grandeur II.
:2,ÜÜ
Bois. relle.
de Monserrat. 47.
—
Portrait du cardinal Infant Louis de
Figure à mi-corps de grandeur natu-
—
Bourbon.
H. 0,65; L. 0,37.
Autre répétition du précédent.
Palais de Boadilla del Monte, .\ppartient
Toile. Figure en pied de
au duc de Sueca, comte de Chinchon.
relle.
femme de
Vallabriga,
de Bourbon. 48. le
—
;
Vallabriga, comtesse de Chinchon.
Viùaza.
la
Elle est représentée
de
Portrait
Bourbon,
couleur bleue,
tenant
cles,
la
lias
de
tard cardinal.
représenté en
est
11
Louis-Marie
l'Infant jrlus
culotte
courte de
droite posée sur uue
carte placée sur une table à son coté
;
à sa
long de
cbe.
Dans
Maria,
muy
on
sur laquelle
:
Al
S.
I>.
Toile. Figure en pied de relle.
—
1,30
;
P ortrait du
49.
—
cardinal Infant Louis de
lit
;
—
II.
1,30;
Vallabriga, comtesse de Chinchon.
Elle est représentée de face, les
tombant sur
le
front en légers
cheveux
frisons
retenus en arrière par un diadème de lants et de plumes. Elle
est.
la
est représenté debout, presque de face,
main
laire
droite qui montre au doigt annuune bague d'émeraude, touibanl natu-
11.
1,9.5
;
L.
cl.
liril-
vêtue de blanc.
Figure en pied de grandeur naturelle. Il
L.
Portrait de Marie-Thérèse de Bourbon
L, 1,16,
Bourbon.
la liaii-
on
Palais de Boadilla del Monte. Apiiarticnt au duc do Sueca, comte de Chinchon.
et 11.
au duc de Sueca, comte de Chinchon,
—
Figure de grandeur naturelle.
grandeur natu-
Palais de Boadilla del Monte, Appartient
l'angle droit inférieur
L. 1,16.
los
anos y 1res inescs de edad.
droite descendant
gauche, sur
rneses.
Luis
Mar. Ter Vallabriga, a
la
Maria Teresa hixa del S. B. Infcuite Don Luis, de edad do dos anos y nueve
Infante D. Luis y de la
Irixo del ser
iluslre S. B.
lit
;
/l. S. I).
gauebe, sur une chaise, se trouve une autre carte
la taille
de face, la tète cou-
main
verte d'un voile, la le
blancs et souliers à bou-
main
grandeur natu-
L. 1,14.
Portrait de Marie-Thérèse de Bourbon et
comte de
m.
II.
Terres.
l'Infant Louis
Peint en 1784. Cité par
—
Madrid. Appartient au marquis de Casa
Portrait équestre de Marie-Thérèse de
—
nal.u-
L, 1,34.
;
:
de Goya.
—
—
Rome. Eglise espagnole de Notre-Raine
un mantelet épaules. Le tableau porte la marque
Rlle est représentée de face,
45.
—
de
celui
Répétition du précédent.
—
seis
ordres dont
divers
Portrait du cardinal Infant
Palais de Boadilla del Monte. Appartient au duc de Sueca, coinle de Chinchon.
44.
d'une soutane
Palais de Boadilla del Monte. Appartient
Toile. Figure on pied de
43.
de la main gau-
au duc do Sueca, comte do Chinchon.
relle.
C.
;
^ élu
Toile. Figure en pied de relle.
noire.
42.
livre.
lil
porte sur la poitrine la croix car-
il
lll.
;
banebe
la
un
lient
dinalice
grenat et une mantille
velours
il
Cbarles
dossier d'un fauteuil
le
robe
RT ItRSSIAR
R PRIA’ T
de plumes et
d’oi-,
les épaules,
11
—
1,30.
Palais do Boadilla del Monte. A|ipartient au duc do Sueca, comte do Cliinchon. 16
CATALOCIIE DE E’OEUVUE l'EINT ET DESSINE
122 50.
—
l'oiirail de el
du
llép(Tilion
—
II.
de Bourbon
ic-Tlicrr>tc
cûnileusc de Cliiiichon.
.
natu-
—
Portrait de Marie-Thérèse de Boiu'bon et Vcillabriija
le
eùlé gauche,
appuyé sur
le
dossier
blanc, ses cheveux
Elle est véliie de
loiidiantsur
l'Agure en
—
II. 2.
OH
roux 56.
front en légères frisctles.
le
do
pied
—
52.
bras
le
de
;
Figure en
Tuile.
—
H. 2,07
57.
la
lient la poignée de son sabre.
Pour fond, un camp avec des cavaliers des chevaux au dernier plan. relle.
et
—
Ilùtel
de grandeur natu-
du Canal
Imiiérial d’Ara-
VIF
costume de cérémo-
Portrait du roi Ferdinand est représenté
11
pre
à collet
le
VIF
collier de la
Toison
un manteau de pour-
d'hermine sur
les
épaules.
Figure en buste de grandeur naturelle. Ane. collection Eustaijuio Lopez. Vente
do gi-amleur natu-
j>iod
grandeur natu-
.
d’or sur la i)oitrine,
L. 1,44.
;
|éicd
L. 1,25.
Madi'id, Ministère do la Gubcrnacion.
dehotd.. en nni-
son chapeau sous il
;
Toile. Figure en pied de rel le
forine de général, avec, culotte et hottes de
main ganrhe.
sur
Esquisse.
Portrait du roi Ferdinand \Ml.
cheval,
;
nie.
est repré'senlé jeune,
Il
boucles d'or
Portrait du roi Fei'diinnid
Palais de lioadilla del Munie. Appartient au duc do Sueca. comte do Cliinchon,
—
2,80
11.
est re[irésenté en
Il
grandi.'ur naturelle.
L. 1,30.
;
Figure en
—
Saragosse. gon.
dore.
lauteuil
d'iiii
bleu foncé, bas de ,9.
Inachevé.
gauche
le hi-as
souliers
le
Toile.
légèrement
assise,
est repi'ésonlée
Elle
le
grand cordon de Charles 111. A son c.é)lé, une table recouverte d'un tapis sur laquelle est posée la couronne royale. la [)oitrine,
relle.
imdinée sur
droite tenaid.
la
porte sur les épaides nu juanteaii
jninc. habit et culotte
eowtessc de Chinchon.
,
11
soie blanche,
0,74; L. 0,50.
Palais de Boadilla del Monle. Appartient au duc do Sueca, coinlo do Chinclion.
51.
appuyée sur son épée, sceptre.
de soie cramoisie bordé d'or et h.)nrré d'her-
prérédenl.
mi-corps do grandeur
Figure à i-elle.
Mai
Vdllabriija
1860.
Madrid. Musée du Prado. 53.
— Portrait équestre du
Ferdinand VIF
pur sang, étendanl
bras droit en avant
le
dans l'allitude du commandement,
la
la
d'uneplume blanche
en grande tenue,
le
;
est
il
collier de la
grand cordon de Charles
—
II.
2,90
;
Toison d’or
el
le
111.
grandeur natu-
L. 2,70.
Bravé par G al van. iMadi'id,
54.
Cité parle
59.
—
comte de
Portrait de François
est représenté le fu'as gauche appuyé un canon maniuc d'un N, tenant une longue-vue de la main droite. 11 porte nn uniforme blanc agrémenté de passementeries rouges, un pantalon de même couleur et un chapeau noir à plumes vertes.
Figure jusqu'aux genoux de grandeur
I).
Federico de
—
naturelle.
II.
1,27; L, 0.95.
Douteux.
le j)i'écédent.
60.
—
Il
Il
Portrait du roi Ferdinand
VIF
Portrait du duc d'Alhc.
vers
la
droite,
la
main
est
a[)jiuyé
est représenté dehoul, presque de face,
lonrné
empereur d'Au-
Il
Madrazo.
—
P'' ,
sur
— Portrait équestre du roi Ferdinand VIL Madriil, Ane. cullection de
55.
la Vifiaza,
triche.
Acailémio do San Fernando.
Etude pour
Portrait du roi Joscjdi. Bonaparte.
Bolivar orini
Toile. Figure éi[ucslre de relle.
—
tête
couverte d'un chapeau à
portant
58.
moulé sur une jument
est re[irésenlé
Il
roi
gauche
reiiréscnté
son tricorne ponilré.
lisant
de
la
musiiiuc,
sur nn clavecin sur lequel est posé
Il
;
coiffé
en oreilles de chien
et
porte nn habit de soie noisette,
CATALor. UE DE un
moucheté Te
^ûlel
lilcu,
1/
UE U
une culotte
gris
VUE l'EINT ET DESSINE 65.
—
Portrail
tendre et des guêtres noires.
de
1-23
Maria Luisa de
I)“
Silva,
duchesse d'Albe.
Figure en pied de grandeur naturelle. Madi'id. Appartient au duc de Médina Sidunia. comte de Niebla et marijuis de
Elle est représentée debout, l'ace,
un chou rouge sur
presque de
tempe
la
droite, lu
couverte d'une inaidille noire,
tête
le
Yillafranca.
gauche appuyé sur 61.
—
Toile. Figui’e à
grandeur
de
mi-coi'ps
Madrid, .\ppartient à D.
la
.
.
—
Porti'Ciit
Maria Laisa de Silea,
de D"
bras dia)il
indiejuant à
nom
le
le
d’/l/6u,
signature de l'auteur écrite à l'envers.
une robe noire, comme la managrémentée d’ornements de même
lille,
couleur
est représentée vêtue d’une rol)e verte,
l'dle
poitrine recouverte d'un llcliu blanc, les
relle.
—
Ane. collections
la [loitrine
;
M.
P. Sohi'go.
66.
— Portrait
de IP Maria Luisa de Silva.
duchesse d'Albc.
M. lîainborger.
—
francs.
(i.OÛO
Portrait de D® Maria Luisa
costume demaja, main gaucho posée sur la hanche, la droite tenant un éventail eidr'ouvert. En Elle est représentée en
Salanianca et Pereirc.
Vente Percire, Paris 1872.
corsage échancré sur
Paris. Appartient à
0,5o; L. 0,40.
il.
Paris. A|ipartient à
—
grandeur natu-
le
Ane. collection Goyeiia de Séville.
d'une gaze rosée. Toile. Figure en buste de
;
tond de paysage découvert.
cheveux légèrement poudrés et surmontés
63.
main
la
bras
Elle porte
duchesse d'Albe.
la
le
Tindex orné d'une bague sur
terre, avec
chaton de laquelle est gravé
naturelle.
62.
en avant et
dirigé
Portrait du duc d'Albc.
hanche,
la
de Silva,
la
du cailre, on lit Duquesa de Alba.
bas, prés Silva,
duchesse d'Albe.
Toile.
Elle est représentée de face,
les
cheveux
tombant sur les épaules, un chou rouge sur la tempe droite au cou, un collier de
Séville.
67.
:
Maria Luisa de
—
Figure en pied. II. 0,52 Ane. collection Urzaiz.
— Portrait de
I>"
;
L. 0,42.
Teresa Caijctana de Silva,
;
aux poignets des bracelets d’or bras gauche toml>ant naturellement le le long du cor[)S le bras droit étendu en avant et la main indiquant avec l'index la signature de l'auteur. Elle porte une robe
corail,
duchesse d'Albe.
;
pieds un petit chien blanc
;
68.
duchesse d'Abrautes.
fond de Toile. 11.
—
1,0 4; L.
11.
64.
—
Paî trait
de
Appartient au
69.
— Portrait du Il
relle
'l’oilo.
du
lu'écédcnl.
Figure à
ini-coi'|is
de
grandeur
Mailrid.
duchesse douai-
comte d'Altamira.
.
—
Figure en pied de grandeur natuIl 1,08. 1,77; L .
.
Madrid, .appartient à pagne.
naturelle.
la
est représenté assis, la léte de prolil. Toile.
P" Maria Luisa de Sdva,
duchesse d'Albc. liéliélilion
—
rière d'Abrantos.
1,30.
Liiàa.
Figure de grandeur naturelle.
0,92; L. 0,70.
Madrid. Appartient à
Toile. Figui'O en pied de gi’andeur natu-
Madrid, l’alais de duc d'Albe.
0,88; L. 0,GG.
— Portrait de IP Mauucla Giron y Pimeulel,
paysage aride. En bas, à gauche, onlil.’jl la Duquesa deAlba. D. Francisco de (roya. I7i)[>. relle.
— H.
Madrid. Appartient à D. Rafael Ran-io.
blanche avec une large ceinture couleur feu; à ses
grandeur natu-
Toile. Figure on buste de relle.
;
70.
—
la
banque
d'Es-
Portrait de IP lynaeia Maria Alvarez de
Tolcdo, marquise d'Aslorga, comtesse
au duc de Médina Aiebla et maniuis lie
Appai'lient
Sidonia, comte de Villal'ranca.
d'Altamira. Elle est représentée avec sa
lille.
CATALUdüK DE on
Fif^ni'os
'J’oilc.
—
vello.
de gi’andeiu' natn-
]iicd
.
—
Portrait du peintre Francisco
Subia, beau-frère de Goya
au
ApparLiont
Muilrul.
76
L. Elu.
1,'Jd;
11.
L’OEIIVKE PEINT ET DESSINÉ
iiuiniuis
do
Cuivre circulaire de 0.08 do diamètre. Madrid. Appartient à 1). Alejandro
Curvura. 71
.
Pidal.
— Portrait
d'Altaudrano, auditeur à la 77
cour de Séville.
.
— Portrait du
lu'un avec jabot et pilet clair à Heurs.
11
MM.
à
lluussud
.
Portrait du ])cinlre andalou José Maria
Peint à
—
78
(lAb; L. 0,40.
11.
— Appartient
Séville.
à
gaindie,
de
Dans on P''
une canne.
E.rcmo.
General de
(Ici l)ep)‘°
S''
jiorte
Il
du taldeau,
A
Armada,!/
la
FuniIL
à
gauche,
Edle
— H.
c.st
.
— Portrait
1,11: L. ü,0ù.
de 13
naturaliste
Vûi/a(jcur
et
Figure en buste de grandeur natu-
représenté en unirorme
.
—
Fhgui'O
'toile.
à nii-corps
grandeur
de
Maih'id. .-\p[iai'tient à la raniillc A/ara.
Elle
de
!>'
M
.
.
Subia,
.
Bai/eu, belle-rnere de Goj/a
Cuivre Madriil.
circulairi'
de
.4p[iartieid
U. 08
a
femme
(.^)
de diann’dre. 1).
Alejandro
rejirésentée debout, presque de cheveux jioudrés, un large chapeau garni de ruhans roses et d'une plume ('sl
face, les
Idaiic
Porlrait
Pidal.
comtesse-duchesse de Benavente
y Osuna.
naturolli'.
—
Cristobal Fcrrir.
t).
Paîtrait de B" Maria José fa de Piincn-
d'cd'Iicier tel,
.
de P” Feliciana Bayeu.
a/'ios.
de marine.
75
donné par
représentée avec un foulard au
Madrid. Appai'tient à 80
est
;
relle. 11. 0,38; L. 0,30.
Azara 11
Provincial
;
Musée naval.
du
mi-corps de gramleur
uu ruhau de soie Ideu et rose dans les heveux fond inachevé. En hasdu tableau, à gauche, on lit: H” de la Feliciana, de edad 'toile.
74
à
IL 1,12; L. U, 83.
cou,
grandeur
de
—
Valence. Musée Monfort.
— Portrait
79
islizabal
i
Cap’' General
Figure à ini-corps
IMadi'id.
en petite veste et cein-
Figure
'toile.
(
nalurolle.
1!. Maura. Musée du Prado.
est re[)résenté
natur..‘lle,
et
de Cadiz.
'toile.
do grandeur
mi-cui'ps
une toile, tenant un pinceau de la main droite signé: B” F”" Bayeu. P'' de C™ P' Goya, 17SG.
marine.
de
P. Gabriel de
la IP
à
1,22; L. 0,84.
Portrait du peintre Francisco Bayeu y Subia, beau-frere de Goya.
gauche, gilet
le
général
lieutenant
l'angle su[)érieur
lit:
bras
le
main cachée sous
l'autre posée sur l'orinc
sous
tricorne
le
tenant une
11.
—
tourné vers
représenté delniut.
;
ture noire, dehoid devant
Gabriel de Aristizabal est
— 11
— Portrait du lieutenant ijénéral de marine Il
.
J.M. Asensio.
1).
droite
Une copie de ce porli’ait, exéculée par Fortnny, fut adjugée 10.000 fr. à la vente de ce dernier, à Paris, en 1873.
de vingt-neuf ans.
en 1810.
lîotis
Toilo. Figure on buste do grandcui' naturelle.
.
—
l'tadrid.
llesl lapirésciité a l'àge
main
la
Gi-avé par
Aranr/o.
73
Figure
'toile.
naturelle.
—
porte un vêtement
fond neutre.
ot
Valadon 72
il
;
un pinceau de
gris et tient
:
Apparliont
Paris.
est représenté assis, presque de face en
lierruque [jomlrée
Toile üvalo. Figure on busto de grandour 11. O.H-'j nalurolle. E. 0,03.
—
Bayeu y
peintre Francisco
Subia, beau-frère de Goya.
est roprosenld lète nue, vêtu d'iin lialiiL
Il
Bayeu y
{'è)
blanche sur
la tête
:
elle
est
vêtue d'une
robe bleu pâle ornée de dentelles blanches, de rubans roses et de Heurs
gants blancs droite.
et lient
:
elle porte des
un éventail de
la
main
CATALUGLIE DE
—
II.
lu.
1
;
OEUVRE PEINT ET DESSINE
grandeur
Figure à mi- corps do
'l’üilc.
iiaUiivllo.
1/
.
cheveux Toile.
est représenté de l'ace en véteiiient bou-
11
naturelle.
—
87
épaules.
les
—
.
Madrid. Appartient au marquis do Cor-
88
—
.
—
tournée vers
la
bleu et blanc,
cba(]ue ]>oignet
;
(.^)
brac.'elet
fermé sur un noirs; il
de velours noir à
tieid
elle
main
sur
les
Toile.
genoux
se
— pendant du
Figure à
—
trouvent divers dessins.
89
.
—
Bcal.
Portrait de D" Francesco, Caudado.
—
II.
2,25
;
dans
arlu'C
'toile.
relle,
tenant de
Caballero. la
:
90
.
—
main
—
Figure en II.
un
;
petit
cliien
1,03
;
jiied
de grandeur natu-
L. 1,18.
Portrait de M. Careda ou J. Caveda.
Figure à
'toile.
ini-coiqis
de grandeur
naturelle. S."‘
Araujo cl Cli. Yriarto sous le de D. M. Careda et par Ossario y Bernard sous celui de J. Caveda. Cité par Z.
nom
Toile. Figure en buste de gi'andeur natu-
H. 1,06; L. 0,84.
Madrid. Appartient au marquis de Cor-
91
.
vera.
—
Portrait de Miguel Cayetano Soler. Peint vers 1803.
Grave Portrait du comte de Cabarrus. est représenté de face. 'toile.
relle.
campagne
la
Valence. Musée provincial.
/hr.’"'' un papier oh se lit d^ Caballero. Goya 1807.
—
remontant
blanc à longs poils est couché à scs pieds.
grandeur natu-
Portrait de la marquise de
relle.
lui
au-dessus des coudes; assise an pied d'un
;
L. 1,40.
Elle est représentée
droite
daim jaune
longs gants de lit
niasilla.
11
L. 0,69.
sur les épaules; elle porte aux mains de
Madrid. Appartient à D. Joaquin Arga-
—
;
sur la tête, une mantille noire retombant Portrait de Manuel Lapena, marquis de
relle.
.
0,99
II.
Alarcon.
mi-corps de grandeur
Tuile. Figure en pied de
85
—
Elle est représentée vêtue de gaze avec,
Boudad
Mar
Figure à mi-corps de grandeur
naturelle.
1,15;
11.
Dans le bas du tableau, à gauche, on D. Manuel Lapena. G. Goiju ano J799.
—
un porte-crayon de la main droite, un angle de tahle sur laquelle
lient
'toile.
précé-
Terres.
.
blanc brodé de points
gilet
cou, une large cravate blanche;
pa[)ier sur
L 0,80. Madrid. Appartient au mar([uis de Casa
84
an.
Madrid. Appartieiit à D. Manuel Soler y
naturelle.
—
conseil de Castille.
aj.qniyée sur
dent.
.
Vinaza.
vingt-ciiK] ans environ, vêtu d'un habit gris,
écrin cranioisi, ainsi (pi'un
lequel ivqiose sa
la
de trois i[uarts, âgé de
critique d'art
gauche, vêtue d'un costnnic
un
du
est représenté
11
femme du
Portrait de la
Ccau Berrnudez
83
comte de
pi'ésident
Elle est représentée de trois quarts, assise,
un
;
Portrait de Evaristo Perez de Castro,
v.'ra.
.
les
main.
Cariipomanes.
Gravé par Maura.
82
—
Cité par le
1.22; L. 0,88.
II.
la
Portrait de Pedro Rodriguez, comte de
de grandeur
nii-corps
à
Figiire
Toile.
avec des Heurs dans
un éventail à
et tient
Figure à mi-corps de grandeur naturelle. H, 1,06 L. 0,84. Madrid. Appartient à D. G.
— Portrait du critique d'art Ceaa Berrnudez.
lonné, un inanleaii sur
Portrait de la marquise de Cadalso.
Elle est coiffée
Madrid. AppurtienL à D. Gustave Bauer. Ane. collection d'Osuna. 81
—
86.
L. U,7o-
125
—
Figure en pied de grandeur natu11.
2,10; E.
!
,27.
Madrid, A ppai'tien ta la banque d'Espagne.
92
.
[lar R.
Esteve.
— Portrait de l'écrivain Félix Colon.
fauteuil, 11 est représenté assis dans un devant une tahle recouverte d un tapis de
damas
vert
sur
laquelle
se
trouvent ses
121
CATALor.UE DE
'.
œuvres
cui
volumes dont Eun
six
OEUVRE
1/
lit
Aùo
;
17'J'j
plume pose sur appuyée sur
est
main
la
;
porte l'uni-
11
galon d'argent
97.
— Portrait
Figui'C
Toile.
naturelle.
—
à
même
du
mi-corps
1.20; L.
11.
Madrid. Appartieid
à
bout de papier, sur lequel on
grandeur
Itieardu
Figure à
Toile.
Trau-
Madrid.
—
Porlrail
rarchca'qiic
île
.loaqain Companij. 98.
— Portrait
debout on vétoinenls
représenté
est
11
monastiques de couleur gris jaunâtre, le grand cordon de Charles 111 sur la jjoitrine, le bras gauche tomhant le long du dans corps, le droit légèrement relevé Tangle supérieur du tableau figurent les armes de Tarchevéque, eu bas se lit une
grandeur
.Appartient au comte
do Villa-
L. 0,80.
;
de
U" Tadca Arias de Enrri-
qiiez.
Elle est rcqirésentée de .
l'ace, la
tête enca-
drée dans une très anqile chevelure noire
dont
;
les
boucles tmnbent sur ses épaules;
porte une robe de guipure
elle
blanc recouverte sur ijuine noire; les
longue inscription.
ini-coiqis
1,08
11.
gonzalo.
Valence,
de
de
—
naturelle.
niann. 93.
un
Maria
lit;/!'
lldefonsa Dabalos y Santa Maria.
0,8.ü. 1).
de D" Maria-Ildefonsa ])abaluti
talde sous laquelle, à gauche, se trouve
ordre. de
Francisco Duran
Elle est représentée assise auprès d'une
cordon de Tordre militaire de Santiago,
ainsi que la médaille
0,87.
1).
y Santa Maria.
sur la poitrine, la croix et
:
L.
;
y Sirvent.
l'orme de hrigadier, tuni(pie et gilet noir et
le
1,28
11.
Madrid. Apiiartieid à
main gauche
la
;
lianclie.
—
naturelle.
ou
droite qui tient une
talde
la
la
Figure à mi-corps de grandeur
Toile.
est ouvert,
puis divers papiers, sur l'uu desipiels
DESSINE
l'ElNT ET
mains
et
de satin
poitrine d'une bas-
la
et les bras jus(pi'au-
du coude sont enfermés dans de longs gants blancs dont elle détire le gauche; dessus
Toile. Figure on pied de rellc.
—
II."
2. 12
grandeur
iiatu-
L. 1,30,
;
les
Peint vers 1801.
Valence. Eglise paroissiale San Martino.
pieds sont chaussés de souliers blancs à
hauts talons
Salle caiiilulairc.
94.
— Polirait
relle.
d'un moine, secrélaire de
chcvi'quc
de
Valence, Jouquin
l'ar-
est
11.’
1.90
L.
;
grandeur natu-
1,08.
Point en 1793-94. Jtlusée
Donné par
du Prado.
D. G. Enrrii|uez de Valdés.
représenté en costume religieux.
Toile.
—
Madrid.
Cjin-
punij. 11
fond de paysage.
;
Toile. Figure on pied de
Figure à
naturelle.
—
11.
rni-eorps
0.09
;
de
99.
— Portrait de D.
L. Ü.83.
Madrid. .Appartient à
1).
Carlos Espana, comte de
Espana.
grandeur
Figure de grandeur naturelle.
Salvador Ca-
Cité
bells.
par
Z.
Araujü
et
le
comte de
la
Yinaza. 95.
—
Polirait de P' Lorenza üorrea.
100.
Elle est représentée en robe bleue ilécolletée.
une guimpe blancbe au cou. Toile. II.
Figure de gi'andeur naturelle.
—
0,80; L.’0,.v8,
Dans le bas du tableau, â gauche, on /l" Juan An’^" (’uerro direclor de la Academia de S" Fernando.
dans un fauteuil
damas jaune, tenant
la
main
droite appuyée sur une planche de cuivre et la
— Portrait de Juan-Antonio Cuervo.
du ijraveur Rafael Esteve.
est représenté assis
recouvert de
Paris. Ap])articnt à M. liiscliolfsheim.
96.
— Portrait 11
gauche tombant sur
planche de cuivre on
lit
;
la
hanche. Sur
Don Rafael
la
Esteve,
por Goya, 1813. lit:
real
Toile. Figure jusqu'aux g.uioux de granII. 1.63; L. 1,18. deur naturelle.
—
Plusieurs fuis gravé.
Valence. Musée provincial.
CATALOGUE DE L’OEUVRE PEINT ET DESSINE
—
101.
Vovliait
Carlos (rulicrrcz
(le
de
los
duc de Fcniaii Naùez.
liios,
Toi le. Figure en pied de grandeur naturelle.
Madrid. Appartient au duc de Fcrnan Nuiïez.
—
102.
derrière
le
le
taldeaii
;
un portrait à mile lias du tableau, sur un bout de papier, on lit Senor dans
III;
;
FraiC° Goya.
Portrait de l'éLuajue d'Andriiioj:)olis,
est représenté assis
Toile. relle.
dans nn
dossier aianorié, lonrin' vers
de chœur,
raiilcnil à
croix pastorale, les mains
la
;
L.
1,66.
tejos.
107.
—
Portrait de .Tosef Monino,
comte de
Florida Blanca.
Figure à nn-corps
T(jile.
IL 2,62
—
sur les genoux.
— IL m
naturelle.
Figure en pied de grandeur natu-
IMadrid. Appartient à la marquise douairière de Martorell, marquise de Pon-
gnnelie, la
ceinture et cainail sur
sur[)lis,
pend
la,
—
Peint en 1783.
en vêlements
télé recouverte d'ime calotte,
leipiel
lui
([iie
de Charles
corps
Frai/ Mi(juel Fernandez. 11
montre Goya
comte, un personnage secondaire; dans fond, sur un chevalet,
est représenté deliout.
Il
127
1
;
L.
de grandeur
O.G.j.
Il
coslume
est représenté deboul. en
tenant des piapiers dans
les
lileu,
mains.
Bilbao. Ai)partient à D. Enrii|ue Salazar. Toile. Figure on pied de
—
103.
Portrait de Mariano Ferrer.
relle.
maroquin
de
portercuillo
Torres.
Bras gauche posé sur un
gris, le
rouge.
Signé
;
108.
— Portrait F Antonio For aster
Goya.
F'^°
Toile.
grandeur
Figure à mi-corps do II. 0,83 L. Ü,6L
Toile.
naturelle.
—
grandeur natu-
1,73; L. 1,12.
11.
Madrid. Appartient au marquis de Casa
est représenté les clieveux poudrés, en
11
vêtements
—
relle.
—
Figure en buste de grandeur natuIL
0,4.3
;
L. 0,37.
Madrid, .appartient à D.
;
.Javier
Millan.
Valence. Musée provincial. 104.
— Portrait
de Joaquin Maria de Ferrer,
109.
— Portrait
U
est
noirs,
représenté debout en
tenant à
main un
la
relié
Ce portrait a servi de modèle au buste de Galos élevé sur son tombeau au cimetii'i’o de la Chartreuse à Bordeaux.
en
le bas du tableau, à gauche, on Goya; à droite; Paris, 182i.
rouge; dans lit;
Toile.
Figure à mi-corps de grandeur
naturelle.
— IL
—
110.
0,73; L. 0,30.
D' Manuela Alvarez de
Portrait de
gauche,
dans l'angle inférieur du tableau, à gauche, on lit Goya; droite pendant <lu précédent. 182i ;
Toile. Figure en buste de
—
II.
;'i
;
0,73
grandeur natu-
L. 0,60.
;
Madrid. A|)parlienl au mai'(iuis de Baroja. 106.
—
111.
— Portrait de
de
.Tosef
Dans droile,
l'angle
on
lit
Moiiino, comte de
Florida Blanca. est
Rosa Garcini y
re[)résenlé
debout
naturelle.
regardant un
D
"
.Tosefa Castilla
Portugal
y Garcini.
;
pC Goya, J8G'i. Portrait
;
Madrid. .Appartient à Arizeun.
Toile.
Il
—
;
—
relle.
à mi-cor|is do grandeur H. 1,04 L. 0,82.
Figure
Toile.
en robe noire, décolletée, tenant un éven-
main
lit;
naturelle.
Elle est représentée de trois quarts, debout,
à la
on
du tableau, à B“ hjnacio Garcini. por
inférieur
l'angle
Goya, 180'i.
Coinas de Ferrer.
tail
— Porlraitde l'iiKjcnicur hjnacio Garcini. Dans
Madrid. Appartient au comte de Caudilla. 105.
lilhofjraphe
Point entre 1827 et 1828 à Bordeau.v.
vêtements
livre
l'imprimeur
de
.Jacques Galos.
président du conseil des ministres.
inférieur
T)" .Tosefa
du
laldeau,
à
Caslilla de Ga>'cin>
— pendant du [irécédcnt.
Figure à nn-corps de gi'andeur
—
11.
I.Oi; L. 0,82.
Madriil. Aiqiarticnt à D. Vicentc Garcini.
12S 112.
—
Porlraif.
du Icnor Manuel
(rurcia.
d'une redingote de
vêtii
liice,
î)E
E’OEUVüE l'KINT ET DESSINÉ Chai'les
rcprésonlé avec une épaisse chove-
csl
Il
CATALOCUE
nn
laissant passer
Dans
du tahleau se
le lias
une
lit
Figure jusqu'aux gonuiix, do grau-
—
ilour naluridlc.
de clieinise et
liout
Toile.
brun,
ilrap
III.
longue inscription.
le
L
0,82;
11.
0,60.
Point on 1789. collet d'nn gilet blanc. Toilo. Figure eu buste relle.
—
0,80
II.
L. 0,57.
:
118.
Paris. Apjiartiont à M. liainberger.
Vente Salainanca. 113.
— 5.300
Paris, 187.à.
— Portrait d'un général de
l'r.
République
la
Ane. cüllection Caniille Rogier.
—
1890.
représenté
Il
IS
il,
du costume
vêtu
de
l'époque, tenant une feuille de papier à la
Toile. :
—
;
Goya ano 1810.
Figure en buste de grandeur natu11.
0,82
L.
:
0,59.
Madrid. Appartient au marquis de Casa
360 francs.
Torres.
—
de Manuel
Portrait équestre
prince de
— Portrait la
Godog. 119.
la Pai.e.
—
Portrait
1)"
île
Galarza de Goicocchca
Fdle est représentée tenant
Peint en 1800. Cité par Z. Araujo Vinaza. 115.
—
Société aragonaiso
la
Portrait de Juan Martin de Goicocchca. est
relle. -i.
Vente Paris, 114.
— 11
main. Signé
française.
L. 0.1
Saragosso. Ilôtoi do des Anus du pays.
grandeur nalu-
île
et
coinlc
le
do
la
main. En bas du tahleau on Galarza por Goya ano 1810. la
de Manuel Godoy, pnànce de
'i
;
ode. Figure en buste de grandeur natu-
relle.
Pair.
un éventail à IM Juana
lit
—
11.
0,82;
—
L. 0,50.
Madrid. .\[ipartient au rnaïquis de Casa nu-téte, en nnirorine
est représenté
11
demi-couché sur un
de général, à
terrain, entouré de drajieaux et de tro[diées
militaires; dans
aide de
camp
Tuile. relle.
—
chevaux tenus en main.
et îles
Figure en pied de grandeur natull.d.80
—
tic
porte une
poche de son hahit
et
un
chemise
gilet lirodé
Charles
111,
;
sur
la
le
du
croix
121.
le
même
—
cordon ordre
grandeur natu-
J)"-
Gurnersinda de Croicoc-
'foile.
lit;
Ano 1805.
Figure en buste de grandeur natuFfantOTrg'.
'f'I-
^
^
Paris. Ane. collection Oudry.
Portrait de .Juan
Martin
île
Goicoc122.
liras
droit
tomhant
le
presque de face; long du corps,
main gauche cachée sous la
Portrait de
Gravé par
est représenté la tête
11
île
L. 1.60.
relle.
chea.
le
;
Elle est rejiri'sentée de profil'; dans l'angle
Cravé parSclma.
—
0,60
supérieur du tahleau on
et ccdle de Santiago.
117.
11.
chea.
un hahit
;
poitrine
la
—
;
bras gauche.
jahot
à
:
Espagne. Eibar. Appartient à D. Ignacio Zuloaga.
pernnine jioudrée,
son chapeau maintenu sous 11
robe
un mouchoir blanc. Signé
'rode. Figure on pied
droite divers jiapiers, la la
vêtue d'une
la tête,
Goya 1813.
Gauza.
tenant de la main main gauche dans
de
une mantille sur
relle.
représenté en
{y)
un canapé
rouge, appuyée sur un de ses bras reidié,
de Miguel de Muzquiz. comte
/ 'ortrait
est
11
Elle est représentée étendue sur
doid. l'une tient
Peint en 1800. Madrid. Acadéniie de San Fernando. 116.
— Portrait de IP Cnilarza de Goicocchca
noire décolletée, de longs gants aux mains,
L. 2,6.0.
:
120.
aperçoit un
fond, on
le
'l'orres.
de
pli
houtonniére
de
le
vétemeid
Fhahit, la
croix
;
la
à
de
— 11
Portrait de Francisco Goya.
s’est
représenté
la tète
inclinée en avant
du coté gauche, le corps enveloppé dans une sorte de robe de chamlire. Signé dans le bas du tahleau Goya 1815. :
CATAI.ÜdUK DK K’OKUVRK DKINT Ktudo pour le médecin Arrieln. Bois. Figure en relle.
—
U,
11.
Gra\’é par
40
;
tahloau Iniste
—
Gotja
et
son
Saragosse. Appartieid à D. Mariano de Villaba. directeur de l’Institut de Saragosse.
Douteux, peut-être une copie
iioija.
130.
—
—
11.0,06; L.
Gravé par
qiiel-
grandeur natu-
0..al.
doua
cl
de son
131.
—
relle.
Figui'c à
— Portrait
nii-eorps de
132.
de Francisco Goi/a.
représenté
—
costume de torero.
tournée
la tête
tombant dans
le
dos;
il
porte
Figure en buste de grandeur natu0,.')0;
— Il
vers
la
gauche,
II.
0,50
;
L. 0,41.
Paris. .Vp[)arlionl à M.
Léon Bunnat.
clieveux
profil,
tourné
coupés assez
11.
0,16
;
L. 0,12.
Vente Dcstailleur. Paris, 1001
134
.
_
— 3.100
Portrait de D" José fa Hayeu.
fr.
femme de
Francisco Goya. l'illc
—
Ber-
de petits favoris sur les joues, le cou engoncé dans une haute cravate claire, vfdu d’un vêtement brun.
Répétition du précédent avec variantes.
Gi’avé pai' Dezarrois.
Carmen
court,
Toile.
Figure en buste de grandeur natu-
I)'
presque de
les
L. 0.30.
Portrait de Francisco Gojja.
relle.
0,18; L. 0,12.
est reiu’ésenté
Ane. collection Briguiboul.
'toile.
:
Portrait de Francisco Goya.
Castres. Musée.
—
11.
Madrid. Aiiparticnt à ganza de Martin.
trois
de grosses besicles.
11.
Portrait de Francisco Goya.
Toile.
133. tle
quarts, les cheveux noués et réunis par une
—
0,42; L. 0,28.
Goya.
Portrait de Francisco Goj/a.
'Toile.
11.
gonzalo.
grandeur
Figure de grandeur naturelle. Ane. collection Urzaiz.
petite (jueue
—
Signé dans l'angle inférieur de droite
est représenté en
Séville.
en train de peindre.
Figure en buste de grandeur natu-
'toile.
Madrid. .\pi>artienl au comte de Villa-
Madrid. Ane. collection Martinez.
relle.
s’est représenté
11
naturelle.
s’est
Portrait de Francisco Goi/a.
lit.
Toile.
Federico
Madi'id. ,\nc. collection de D.
de Madrazo.
médecin Arrieta.
'toile.
frisés,
ivlle.
Porti aits de Francisco
dans son
la
gauche, un crayon dans
F. Milius.
Goya auquel Arrieta fait prendre une médecine est représenté malade, couché
128.
la
Etude pour le portrait du peintre ligudans le tableau de saint Bernard pi’ècbant devant le roi Aliihonse d’Aragon. 'toile. Figure en buste de grandeur natu-
—
—
tournée vers
main gauche, les cheveux longs et un jabot de dentelles au cou.
Appartient, à M'"" IL B. BlodgoU. Vente Baroilbet, l’ai'is 1872. 2.100 francs.
11
Francisco Goi/a.
l'ant
Toile. Figui’e en buste de
127.
île
représenté jusqu’aux épaules,
s’est
11
tête
l’railo.
Portrait de Francisco Goi/a.
relle.
Il
Portrait
grandeur natu-
Autre répétition du [irécédent avee
126.
grandeur
de
la
—
—
ini-coi’[is
Ena y
que.s variantes.
125.
à
0.40; L. 0,3a.
II.
Madrid. Mus(m 3 du 124.
Figure
naturelle
San Fei'nando.
Toile. Figure en buste de
129
Portrait de Francisco tnnja. 'toile.
L. 0. 10.
Répétition du pi’écédcnt.
—
—
Gah an.
VortraiL de Francisco
relle.
129.
de grandeur natu-
Madi-id. .\cailéinie de
123.
:
DK SS (N K
KT
est
représentée de face, assise,
les
un éventail. Elle que recouvre une sombre porte une robe
mains
croisées,
tenant
échaïqie claire. 17
CATALOCrE
lAi»
Tüik'.
I''igni'(‘
—
iiainrolle.
Musi'C
Muili'iil.
Ane. 135.
il
Ane. collection
(lu l’ra(,lo.
U. Dai'n.'ta.
C(jllC(.'li((n
l’ortraU tVun frine de Fniiieif^eo
osl l'CiiréseiiD' de
—
Figure
Toile.
—
II.
Aniilolerre.
en
buste
grandeur
de
L. 0,:i8.
;
Castle.
l'.aiaiard
'l’iie
Bowes
Jliiseuin
peintre Jaricr Güyn['l)
ilu
est reiiréseidé vers
âge de vingt-cini|
1
dans
nette,
la ti'de
les (dicveu.v
de trois i|uarts, coilïé
couleur sombre
;
et
est viidu
il
sur
cliemise. Sigmé dans
la
Tidlc. Figure en buste de relle.
—
II.
l’aris.
—
l>"
de
ii
Ane.
140.
—
tombant le
le
même
noir
le
141.
—
i.Fune
bras gauche
ganté Jusqu’au-dessus
du coude et tenant la main un éventail ferim' un petit chien blanc se dresse contre scs genoux; fond neutre foncé. ii
;
Toile. Figui’e en pied de relle.
—
11.
1,9U; L.
Vente, 138.
de
l’aris. 187.1
—
— Portrait de
la 7.
.51111
bords; cou,
rejirésentée
main
et
au
[laraîl
âgé
porte des vêtements noirs
il
col blanc de (lentelles.
Figure
Bois.
jiaturclle.
Madrid.
—
11.
à
nii-corps
0,59; L.
Il ;
Goya
a su
de graiulcui'
0,47.
au
Ap[iarticnl
Roclicbousseau.
142.
—
inari[uis
d'.Vl-
Portrait de Ferdinand Cruilleinardet,
ambassadeur de
l'rancs.
h'^Iirrnt-
l’Age
de dix-buit
est représenté en
à la
Figure de grandeur naturelle.
main.
Té[iée
au
céité,
lu
Hépubli<pie fran-
Espagne.
tionnel, l’échaïqie
mois environ, un tambourin
la
cafiices.
du peintre.
à
tenant de
nieto.
Il
est
Zubina.
d’une dizaine d’années. .Signé
grandeur natu-
neyilda Goya. Elle
un
raise en la fille
0.50; L. 0,35.
un rouleau de musique, la gauche tombant le long de la hanche, la tète couverte d'un chapeau noir [lointu, à petits
à M. Bisehull'slieim.
collection
II.
esl représenté assis,
1,12.
l’aris. .\|qiartient
—
riano Goya.
Gravi' par Jacipiuiiiart.
•Ane.
du
et 18119.
Portrait du pciil-/iP du peintre. Mu-
l'ace, la tête
long du corps, nu gant défait;
bras droit relevé,
Salainanca
de
A'ente Isaci. l’aris,
Séville. Ap]iartient à I).
du peintre
recouverte
couleur;
(l'isaci.
Figure à ini-corps de grandeur
'l’oile.
Juana Galarza de Goicocheu.
de salin
collections
naturelle.
11
de
L. 1,12.
Ap|iartient à M. Bisidioltsheiin.
riano Goya.
droite
rolie
sur la tête.
est reiu'éseuté de face.
Il
bant juscpi'au- dessous des lia nebes. El le [lorte
i.lentellc
de demiun chien loulou orné
Portrait du petit-/iP du peintre, Ma-
recouverte d’une mantille Idancbe retom-
une
[lieds,
gilet clair,
chaussé
et
3.400 l'rancs,
M. Eiuil l’aceuly.
Elle est représentée debout de
pas-
l'autre
;
vêtu d’un habit gris à revers, d’un
grise
11. l.'JO;
maripiis
grandeur natu-
heUe-jllle
In
à
ses
l’aiis.
0,7,1; L. U,.i9.
Apparl,i(.'iit
Vortrnit
-
fond blanc ouvert
A
bas.
le
main
gilet
Figure on pied de grandeur naturelle.
à l'oiseau,
ravures de soie bleue largement
et
137.
à
est
pompon rouge
d'un
une son-
il
et
culotte
bottes.
d'un haldl de
d'un gilet
ouverture de son
I
un gourdin; grand collet
une ample cravate de
poudri's.
au cou
salin noir
et
Luis de Madi'azo.
tenant son chapeau, tout en s’a|ipujant sur
ans, assis anprès irnne laide sur laiinollc se
trouvent un encrier, des plnines
1).
représenté debout, une
esl
Il
d’une
136. — Po)'lrail du /du
Sarali
rùnio Goya.
regardant
Irni.s (jiiart.s
0.4i’
Miss
à
Portrait du pelil-fih du peintre, Ma-
(îoj/ii.
sée
naluiolle.
.\ppartient
Coo|(cr llewitt.
gauche.
Il
New-York,
^Tanileur
ili'
L. 0.50.
;
139.
— Il
mi-CDi'iis
il
0.81
II.
E’OEEVKE l'RINT ET DESSINE
\)i:
costume de Conven-
tricolore
assis,
les
à
la ceinture,
jambes
une chaise, auprès d'une laquelle est [losé son chapeau
croisées,
table
sur
à
sur
plumes.
CATALOGUE DE également tricolores; sur
il
appuie
le
OEUVRE PEINT ET DESSINE
L
bras droit
—
Musée du Louvre.
Paris.
—
.
l'orlnnt de
I)'<
Mariana
de
Silea,
comtesse de Ilaro. rei)résentée en robe
Elle est
une Heur dans
—
.
—
décolletée,
les clieveux.
Figure en buste do grandeur naturelle.
peau agrémenté d'une cocarde tricolore, une chaise auprès d'une table, penché en avant, la main droite appuyée il tient un [lorte-crayon et semble dessiner sur une feuille de papier placée devant lui.
sur la table
Toile. relle.
—
;
Figure en buste de grandeur natu0,70
II.
Portrait de Gaspar Melchor de Jorel-
—
lanos.
représenté en vêtements gris, cu-
est
148
.
collection
nn fauteuil, les jambes devant une table où se voient nn
0.500 francs.
Portrait d'une laitière de Bordeaux.
relle.
—
appuie
on
main
la lit
sur laquelle
Peint entre 1824 et 1828 à Bordeaux.
il
Appartient
Figure en
Toile.
149
-
.
de grandeui' natu-
i)iod
—
marquise
de temps,
relle.
A, pendant ([uelquo ligure à Matiriil, au palais des Cortès.
— Portrait de Gaspar Melchor
de Jovcl la-
Gigon. Appartient à
—
150
.
—
1).
.José
Maria Cien-
Il
Portrait du peintre Aseitsio Jalia
Portrait de
monté
droit
tombe
che ro[dié
El
;
descend jus-
lui
long du corps
;
le
151
.
Toile.
—
à scs [deds
un
Telmo.
—
11.'
gramleur natu-
1,03; L. 1,15. Liria. .tpiiarlient
Portrait de la libraire de
;
bras gauElle est représentée de trois quarts, tour-
née vers
lit
:
Goya
Palais do San
comtesse de Paris. espagnole du Louvre.
Apiiiirticnt à la
•\nc. collection
la droite,
vêtue d'une robe à
manla
aiquii-maiii et
L. ü, 42.
Anciennement au
au
rue de
la.
ches courtes écliancrée sur la poitrine;
en bas, à droite, on
H. 0,55
dos-
las Carrelas.
tète recouverte d'une mantille
menée
vers la taille par
le
bras gauche [icndant
la
main gantée
Figure en pied de grandeur natu-
Séville.
—
bras
la [loilrine, le
le
la
;
;
appuyée sur
Madrid. Palais de duc d'.VIbo.
porte
il
a su arnirjo Ascusi. relle.
Maria Gahriela Palafox
d’or.
face et nu-
main envclopiiée dans des soutenus parmi bandeau attaché
sur l'éjiaule des brosses
ouverte sur
le
et
linges, sont
1)'
Banque d’Es-
la
Toile. Figure en [lied de
sur un échafaudage
[lieds;
«
relle.
une robe de chambre qui qu’aux
grandeur natu-
d’un fauteuil, en robe blanche pailletée
»
représenté presque de
est
h. 13; L. 0,77. Appartient à
Elle est représentée sier
Pescadorct
téte,
II.
y Portocarrero, marquise de Eazan.
fuegos.
.
—
Madrid. pagne.
nos.
146
de face.
Toile. Figure on buste do
Villainajor.
comtesse de
la
Portrait de Erancisco Larnimhe.
est ro[)résenté la tête
11
îl.’2,05; L. 1,33.
Madrid. Appartient à la
.
à
.Muguiro.
droite tenant une pancarte
Jovellanos, Goya.
:
rollo.
papiers,
grandeur natu-
0,75; L. 0.07.
11.
Madi-id. et divers
encrier
145
Hamberger. Edwards. Vente. Paris,
Toile. Figure en buste de
d’argent, assis dans croisées,
.\nc.
—
lotte noire, lias blancs et souliers à boucles
oii
L. 0,50.
:
Peint vers 1815. Paris, .appartient à M.
— 11
cinquantaine
d'un haut cha-
assis sur
Cruz.
.
Julin
»
est représenté âgé d'une
11
Madrid, .\ppartient au mari|uis do Santa
144
Asensio
peintre
El Pescadoret.
d'années, la tète couverte
0,50; L. 0,35.
II.
du
Portrait ((
Toile. Fifîure en pied do l'randeur natuII. 1.85; L. l,2o.
relle.
143
147
dossier de son siège.
le
131
le
la
blanche ra-
main
droite;
long du corps;
iusi[u'au-dessus
du coude
tenant un éventail fermé. Toile.
Figure
nalurolle.
—
II.
à
mi-corps de
1.50; L. 0.7G.
grandeur
CATALOGCE DE
132
E’ DEL'
VUE
Gravi' par R. Estove.
LUliogropliié par Furlis. Mailriil. Aiio. rollortion Hciiilo Garriga.
—
152.
Lorenzana
Poi'f rail thi cardinal
— Salle
Tolrile.
Madrid. Alusée du Prado,
—
158.
en plus.
dralir
par
Citi'
i;omle dr
11'
Vinaza. d'api-ds
la
Toile. Figure en buste de
Ossorio y lîrrnard.
_
153.
représenté de face
esl
Il
la
— Portrait de
159.
Peint vers 1807, Saragosse. AppartienI
seins découverts, se plaçant une rose sur
D.
à
Fr.
Canlin
iain lioa.
la
cheveux noirs ornés de bijoux tomau cou. un collier de bant sur les épaules les
;
_
154.
("?).
Elle est représentée vers l'àge de vingt-
ti'te, (
Goya
de
la rnailrcsae
cinq ans. en chemise, à sa toilette, les deux
L. 0,44.
0,.b0;
II.
de Casa
inai’ipiis
Douteux. Ib'obablomcnl une cupio.
Toile. Figui-e en Imste de gi'andeur naturelle.
Appartient au
Aladrid.
tournée vers
gauche.
grandeur natu-
IL 0,02; L. 0,72.
Turres.
de onze
à l'àge
tète légéreinenl
la
—
relle.
Portraü de Maimcl Cantin Lncicnicr.
douze ans,
à
Portrait de l'actcur hidoro Maiquez.
Répétition du précédent avec les mains
de la callié-
eapitulairo
DESSINE
l’ElAT ET
Piirtrail de ïactricc Pila
représentée dans
Elle est
années de sa
]ierles espacées,
dernières
les
—
nalurelle.
Figure à
Toile.
0.41
II.
de
busle
en
dos
jiar
chaînons
nii-coi'ps
di‘
grandeur
1,02; L. 0,70. Paris. A[iparliunt à Al. Raniborger.
L. 0,34.
:
—
naturolle.
grandeur
Madrid. Ane. colleelion 'de D. V. de Car-
reliées
d'or.
vie.
Figure
Toile.
Pana.
160.
—
II.
Portrait de
musicienne dite
la
maî-
ilerera.
tresse de
—
155.
Portrait
île
Juan Antonio Llorcnte.
Elle est représentée jouant de la gidtare.
11 est représenté en vêtements sacerdotaux, les mains croisées tenant un l'oulant, il
porte sur
établie jiar
poitrine
la
croix du
la
—
.Mérite
Vente Edwards.
grandeur natu-
Tuile. Figure en pied de relle.
1.00;
II.
L
— 11
Point à Itiris on 181.5? AiiparFient à D. Francisco Llo-
Portrait de Juan Maidin
«
El
«
poissé,
la
guerre de rindépemlance
162.
0,84
l'ii
;
—
II.
0..57;
grandeur natu-
L. 0.77.
de giundour
liusto
E. Caiiu.
représenté assis, portant l’uniforme
iialu-
Luis Naras.
Iriiloro
I).
Portrait de l'andral Mazarredo.
est
croix et
I),
à
de général de marine; sur la poitrine, la
L. 0,05.
— Portrait de l'acteur
— 11
Madrid. ApparlienI à 157.
jiorte
il
Gravi' par Galvan.
Toile. Figuri.' 11.
large
Aladriil. Aiqiartient
espagnole en 1800-1810.
—
d'un
gauche;
Toile. Figure en buste de
El Einjicci-
Empecinado », liitid'alement TEml'ut un des chefs de partisans les
relie.
11.000 francs.
chapeau incliné sur une cape qu'il ramone delà main gauche vers la ceinture. couverte
».
plus célèbres de
—
Portrait du torero Mariincho.
relle.
nado
Paris.
est représenté [u'esque de face, la tète
l'oreille
rcido y Garcia de Vinuesa. Diiuteuv.
—
161.
1.14.
Aladrid.
156.
Toile. Figure à mi-cor[is do grandeur nalurello. Paris. AppartienI à AL do Ponunereid.
roi .losepli.
le
Goya
Maiquez.
la
médaille de Tordre militaire de
Santiago; dans
un navire
et
le
fond à droite, on aperçoit
diverses embarcations.
Dans
Tangle inférieur de gauche du tableau, on 11
est
représenté
vêtu
d'une
redingote lit
grise à hatd col boutonné, laissant aperce-
voir une large cravate blanrbe; fond sombre.
:
Goya
lo hizo.
Toile.
naturelle. Toile. Figui'o en buste do relle.
—
11.
0,77; L.
0,.58,
grandeur natu-
Figure
—
II.
à
mi-ciH-ps de
Aladrid. A iipartiiuit
nando.
grandeur
0.05; L. 0.84.
à
D.
Alariano Iler-
CATALOGUE DE L’OEUVRE PELM ET 163.
— Portrait
du poète Juan Antonio Mc-
lendez Valdcz. Il
représenté
e.sl
i33
dant au métier les deux ai nées en robes blanches et ceintures rouges les deux plus :
;
presque
île
fuce,
les
jeunes, en robes rayées.
cheveux [)Oudrés, vêtu d'un liahit I>run avec un gilet blanc en bas on lit: A Mclendez Valdez su amigo. Goya. line cravate et
grandeur natu-
Toile. Figures on pied do
IL 2,15; L. 1.45.
relle,
;
Toile. Figure en buste de
—
Madrid. Palais de duc d '.Allie.
grandeur natu-
IL 0,72 L. 0,32. Angleterre. Itarnard Castle.
relle.
DESSI.XÉ
168.
;
—
Liria.
Appartient au
Portrait de José Pio de Molina.
The Rowes 'toile.
Muséum.
Peint à Hordeaux entre 1824 et 1828.
164.
—
Portrait do la comtesse de Miranda dcl
Castanar
169. -—Portrait
IP Maiia Amalia Znargo
de
('?).
y Acedo llermoso.
Elle est représentée de trois quarts, assise
dans un fauteuil sur
les
bras duquel est posée
une écharpe blanche, la tête tournée vers la droite les cheveux bruns et courts sur le devant recouvrent en partie le front de
marquise
,
Montc-
de
de douze
Elle est représentée vers Page
ans, debout, en robe blanche
nu-téte,
et
;
leurs
légers frisons et retombent, en
gues boucles sur les é^jaules
;
elle
porte une
blanche légèrement décolletée
robe
lon-
à
la
tenant un
les liras
main
droite,
le
bras
;
boisé.
Figure en pied de grandeur natu-
'toile.
relle.
—
11.
1.70; L.
Appartient
Paris.
sont
nus à partir du coude les mains ramenées vers les genoux tiennent un éventail fermé.
la ;
Directoire avec des épaulettes et une ceinture de soie foncée dont les bouts :
de
le bras gauche légèrement relevé tomfoml de paysage bant le long du corps
mode du
sont terminés par des glands
lis
,05.
1
à
M.AI
Boussod
.
et
A'aladon.
;
Figure à mi-corps de
'toile.
naturelle.
Madrid.
— IL
Ane.
1
;
L. 0,83.
— Il
—
Portrait de Fernandez de Moralin.
représenté
est
Il
les
presque de face, devant
colleidion dos
comtes de
Montijo. 165.
170.
grandeur
cheveux poudrés, une table, vêtu
d'un habit à col haut, sans revers, couleur feuille sèche.
Portrait du chanteur Pedro Mocartc.
est
'tuile.
relle.
représenté en costume de torero.
—
Figure en buste de grandeiu' natuIL 0.72; L. 0 ,.jG.
Peint en 1709. Toile. Figure de Paris.
.Appartient
grandeur naturelle. à M. R,aimundo de
Madrazo. Ane. collection Edwards. Vente, Paris.
Il
rave par Gai van.
Madrid. Académie de San Fernando. 171.
—
Portrait de Fernandez de Moralin.
9.000 francs.
166.
—
'toile.
Portrait de IP Vieenta Solis. duchesse lie
Montellano.
Toile. Figure en pied de
Figure de grandeur naturelle.
—
IL 0,95; L, 0,G8.
Peint à liordeaux entre 1824 Madrid. .Appartient à D.
grandeur natu-
Sil
et 1828.
Francisco
vola.
relle.
Madrid. .\|ipartient au duc Nunez.
de
Fernan 172.
— Portrait du verneur
167.
—
La famille de Montijo.
.\u centre,
Maria-Erancesca de Sales Por-
tocarrero y Zuniga, comtesse de .Montijo, Croij. est femme de Ecli[ie Palal'ox assise entourée de scs ipiatre filles et bro-
maréchal de Mouchy, goude la Guyane,
guillotiné
en 17[)G à G(> ans. 11
est représenté debout,
de face, l'habit par-dessous
la
la
tète
tournée
cuirasse
;
la
chamarrée de croix et de cordons, appuyé sur son bâton de maréchal ipii riqiose poitrine
CATALOGUE DE > 111
son
'
L’
rouge
l"ond de draperie
cas(iiie.
OEUVRE PEINT ET DESSINÉ
niouveiiien Die. Tuile.
il
—
lidi’ileanK
1.2e; L.
11.
gnuidenr
de
ini-em'ps
à
I'’igure
Iialundlo.
il tient un livre ouvert, de la gauche, montre un [lapier sur lequel on lit: El duque de (huna jwr Goj/a.
droite,
0,'JI
Paris.
,\ne.
umo. Douteux.
Paris,
—
.
llulii'id Di'hrousse, Veidi',
('(.illeidiiin
Poiirail
—
177.
—
,
^ Gaslon Lind.en.
à M.
Appai’l.ienI
Portrait du
llautiaUi de Muijuiro.
X‘duc d'Onuna.
re[irésente à
est
Il
Juan
mi-corps de grandeur
1,10; L. 0 8 '^
11.
Ane. collection d'Osuna.
e.rjOü IVanes.
iJc
-
nalurelle.
Laey
173
Figure à
Toile.
de
Ciuidéran. .\pparlienl à
-
l'Age de
douze ans.
vêtu d'un costume marin.
Dans on
lit
droite,
à
Toile. Figure en jucd
Juan de Muijttiro par nu ainifjo lun SJ cnion, en Burdcon Mai/o de
U
Itdi/u
lahlean. sur une laide,
le ]>"
:
Madrid.
—
Toile.
H. 1,02; L.
Apparlieid.
Ma.drid.
0,8fj.
eoiidesso
la
à,
de 178.
Muguiro.
—
—
PorlraU
devani une
représenti'' assis
est
Muùuiriz.
Josc-luiin
ilc
Portrait du
la
de
mariiuise
lisani labié,,
A'“
duc d'Osuna.
debout sur un tertre, appuyé sur un rocher, en
représenté
est
11
Il
à
Ane. collection d'Osuna. Douteux
Figure à mi-corps de grandeur
—
nalurelle.
.
Aiipartient
Villama.jor.
IS-27.
174
de grandeur na-
lui'clle.
une
lettre,
costume de cheval habit bleu foncé, gilet blanc, culotte en daim jaune, la tête découverte. le (hapeau posé à côté de lui au ;
tenant de
main ganehe un
la
verl. vtdn d'une
liant laissant
eid
à
l(''vitc
livre enlr'on-
;
a[ierceyoir
Sur
on
livre
le
ei'avate et les plis dn jabot.
la
lit
D. Jonc Muùarriz, F.
:
second plan, en contre-bas, à gauche, son cheval et un palefrenier.
Goipt /s /S.
Toile, l'^igurc en pied do
Toile. Figni'e relle.
—
enbuslo dr grandeur naluL.
0.8.':);
II.
relle.
—
.
La
Le duc de sur
dossier
le
assise lille
gam
la
niain gauche
la
la
et
179.
rejirésenté
est
incliné vers
;
debout,
lenani sa
lie.
main
la
dn rantenil dans
fils
aîné
:
assis à ses pieds, en avant, sur
Signé
et date'
2,27
ÎMadrid.
sa
est
seconde lils
est
un coussin.
de 1788.
Toile. Figures en pied de relle. II.
;
L.
jMiiS(''C
1
grandeur natu-
est
Il
.
— PorlruH du Il
IX'
cornes;
au
ar/osse.
représenté
il
clair, le
attitude
lie
gauche,
il
monté sur un cheval
lient taras
de
la
levé
main
droite
commandement; ramasse
le
sabre
en avant dans une
les
de
rênes
Toile. Figure éijucsirc de relle.
;
la
main
fond
de
—
II.’
grandeur nalu-
2,48; L. 2,24.
Madrid. Musée du Prado.
duc il'Onuna.
haut
pie
paysage, avec une ville au dernier [dan.
du Prado.
Thaliit. à coi
M. Léon Donnât.,
de trois quarts, coiffé d'un cliapeau à deux
,7i
est représenté de trois quarts, les idie-
veux poudri’s.
grandeur natu-
L. 1,40.
lancé au galop, en uniforme de général, la tête
Ane. collection d’Osuna.
176
;
PoiJaait équestre du cjéncral Palafox,
duc de Sai
aînée
leijnel
son second
—
un peu
lille
droite appuyée
dnebesse enlojirée de
de son
2.02
Ane. collection d'Osuna.
dJJnuna.
fa)iiille
11.
Paris. Appartient à
0,(it.
Madrid. .Veadrniie do San Fernainlo.
175
—
et à larges
revers Iioutonné sur la poitrine, montrant un Jabot de dentelles et un gilet blanc, les bras tombant le long dn corps; de la main
180.
—
Portrait de ta duchesse de! Parque.
Elle est représentée assise sur
un
tertre,
au pied d'un arbre, nu-lète, les cheveux courts, vêtue d'un costume clair, une rose dans la main droite: sur un bout dé rocher, à côté d'elle, une corbeille avec des colombes.
CATALOGUi': DE Tuile. Figure on pied de relle.
—
II.
181.
grandeur natu-
185.
niari[ui;;
de
la
—
Portixiit de
Sur
la
tourné vers pâle, avec
Tuile, Figure en pied de
—
un gilet blanc à
et
186.
—
Figure on buste do grandeur natuÜ,'.W; L.
11.
l),0o.
M. Gaston Linden.
Paris. Appai’tienI à
182.
— Portrait
île
lit
:
Goya, ISOS.
grandeur natu-
.2,05; L. 1,24. I).
Pedro Labat y
Portrait de Itamon de Pignutelli.
Manuel Gaixia de
alcade corregidor de Madi
gauche,
le
culotte
et
manteau
didiout,
chapeau sous bas noirs
tourné vers
le biais
:
en
la
baliit.
sur les épaules un
;
à la lioiitonniere de l’habit,
;
la
aux pieds, des souliers à boucles d'or; la main droite dans la poche du gilet tond de paysage avec un grouiic de personnages à gauche. croix de Gbarleslll
Prada,
la
représenté
est
Il
—
Il
Madriil. Apparticnl à Ari'izabalaga.
dessins bleus.
relle.
})or
vêtu d'un habit gris
la droite,
une cravate
'J'uile.
PanUdeon Perez de Nenin.
partie intérieure diitableau on
relle.
Puj/rel.
représenté de trois quarts, assis,
est
13!1
D Pantaleon Perez dcNcnin,
Inelan.
— Portrait du Docteur Il
VUE PEINT ET DESSINÉ
U
l,2o.
Apparüeid. au
Madi'id.
Vega
L.
I,(i.u;
L’ DE
id.
;
;
est
11
représenté del)Out.
d'un habit bleu à boutons
trois quarts, vêtu
croisé sur la poitrine
d'or,
de
tète une.
la
culotte de Casimir
blanc, des
Toile. Figure en
porte une
il
;
lias
relle.
de soie
Il
;
blanc posé sur un uieulde
main gauche
est
appuyée sur
le
gon,
dessus d'une 187.
Toile.
àM.Einil Pacculy. Ane. collectiun Ruiz y Prado. Paris. Appartient
188.
Tiburcio Perez.
Tangie lit
du
inrérieur ;
A
tableau,
Tiburcio Perez.
Figure à
—
II.
lui-coi'ps
à
1,02
;
11
1).
de
Il
—
11.
1,02
;
à la
de
duchesse
marquise de Pontejos.
un chapeau bergère un
petit
11.
chien carlin
pii.'d
de grandeur natu-
2,10; L. 1,28.
de
.51artuJ-ell,
est
marquise do Pontejos.
d' Antonio
Cobos de Porcel.
représenté assis, tusil et
la
blanc de
ment
grandeur nalu-
la
main gauche
caressant un chien
;
main droite;
il
porte un vêle-
gris avec la croix de Charles
111
à la
boutonnière. Dans l’angle gauche inlérieur
L. 0,72. la
—
appuyée sur un
D" Thomas Perez Eslala, P. Goya.
Madrid. Appartient à rière do Gedillo.
grandeur
vêtue d'une rolie blanche recou-
— Portrait
189.
lit
do
L. 0,02.
;
Madi'id. .tiqiartient à la luariiuise douai-
main gau-
che un rouleau de papier sur lequel on
Toile. Figure en buste de
la
Toile. Figure en relle.
rière
la
0,80
11.
cotés; tond de paysage.
.ses
grandeur
Portrait de Toiiias Perez Eatala.
rellc.
la tète,
Francisco Duran
est représenté tenant de
—
verte d'une échaïqie;
Goya,
L. 0,80.
Madrid. Apparüeid à y Guervu.
—
Figure à mi-cor[)S
Elle est représentée
à Toile.
184.
rilôtel du Canal Impérial d’Araune troisième à Flbipital de la
— Portrait de
sur
JS2I).
nalurelle.
;
Madrid. Aiqiartient Villa-llennosa.
Peint vers 1810.
Dans
et
nalurelle.
gauche, on
de
l'ainille
— Portrait de llainon de Pignutelli.
grandeur natu-
relle.
183.
1,37.
IMiséricorde.
haut à bords relevés.
— Portrait de
de grandeur natu-
[lieil
L.
seconde à
chaise sur laquelle est placé son chapeau
Tuile. Figure en pied de
;
existe à Saragosse plusieui's copies de une au Casino principal, une
ce [lortrail
la
;
2.10
II.
Saragosse. Aiipartiont à la Pignatclb
également blancs attachés au-dessous du genou par un ruban noir aux pieds, des escarpins. De la main droite, il caresse un petit chien
—
tableau, on lit Don Antonio Porcel. por Goya, ISIII',. amigo su
du
conilesse douai1
:
.
—
Ihirlrait
iTlo esl
i,i:i
:
E. U, «5.
Ane, collocrKm
(Ircnailc.
pramlom’
mi-cnrps
à
Bois. I''ii;ui'e mitiirollo. -- 11.
190
UK I/OKI VKE l'ElNT ET DESSINÉ
(^\ÏAI>0(iül':
l.'fG
de
rojii'é-senléc
lie
crée au corsage,
ol
la lète
l'orcel.
tic
recou-
taille
la
mains rame-
195.
—
Eipui'c
mi-corj)S
di'
Kiandeiu'
lilas Anielller.
(diettes
gauche
cülleetion l’orcel y Zayas.
de
Porlrail
île
Ikimnn
désigne de
Po^atla
ilc
pi’ciiticr 'jirésiiletti
S'o/o.
//
Irihunul
ilii
île
ipiarts avec
un jabot
des
tenant de
dentelles,
main
la
droite.
la
un
manmain
(In
Francisco de
p'' ])"
lit
en bas:
arquileclo del
Itodriijuez
Infante D" Luis, pinlailo por
muxer
et
plans du palais de Boadilla qu'il
les
Don Ventura
—
Fedro Fernan-
1).
est représenté de trois
habit et un gilet gris,
L.
par G. A. Manelion.
..\nc.
.
il
0,82:
11.
Eondres. National Gallcry.
Diu\'i'
191
—
L. 0,81.
;
Quez. 11
Toile.
G.
Portrait de rarchitecte Ventura Itodri-
nées vers la ceinture.
naturelle.
1,09
II.
marqué G.
grandeur naturelle.
mi-eori)s de
il
appuyée sur
droite est
Madiid. Appartient à dez Durati.
de vin. éclnin-
verles d'une nianlille noire, les
Figure
la
Gravé par
velue d'une
l'iiec,
ruhe de soie de cuuleui’
jambe. Ee tableau
—
D" habcl ('ohos
île
]ioilrine,
la
y Zayas.
l'nrcci
main
la
S'’
orden de su
cl
tloija.
('iiiILr.
Figure à mi-coi’ps de grandeur
'l’oile.
grandeur nulu-
Toile. Figure en pied de relle.
—
1,97
II.
Madrid. l’oi’ez
192
.
—
Appartient
à
Maria
.losu
I).
PoitraU
José
Moteo Arias
porte
il
somlire,
un
der-
siéele
de dentelles,
jahol
une culoLle de peau
et
relle.
—
.Madrid,
2,34
;
197.
— Il
la
portrait
Madrid. .Académie do San Fernando. 198.
à
Ro-
tioga. Itdiu.
:
Toile. Figure do
L. l.aO.
.\ppartient
ou copie d'un autre
Ib'qiétilion
aujourd'lmi perdu. Signé
un
Figure en pied de grandeur natuII.
Portrait de l'architecte Ventura
est
chaussé de demi-holles. Toile.
—
driguez.
en eos-
est représenlé didiout. nu-tête,
lialiil
196.
comte de Purtonrostro.
lume des iiremiércs aimées du nier:
du comte d'Altamira.
.\nr. collection
Jtinn
île
2,02; L. 0,73.
II,
Madrid. Ajqiartient au marquis de Castro Monte.
Galiallei'u.
Ihtrifla Il
L. 0.90.
;
—
naturollr.
man|uise de
Al magner.
grandeur naturelle.
Portrait de l'éeèi[ue Rojas.
est
représenté sous Tbabil de religieux
augustin; sur
'la
un bonnet noir en
tête
rormc' de calotte.
193
.
—
PorlruU d'une
nalui'elle.
Elle est représentée presijue de
face, sur
uneguimpe Idanche reconverle d'une autre guimpe noire. Toile. Figure iietito nature.
—
II.
0,40;
—
—
194
.
—
1).
Sébas-
Portrait du ijenèru! Hicai'dos.
Il
roi
la
est
L. 0,54. él'ldstoire.
Joseph
est représenté de face,
la
main/ droite débou-
appuyée dans l'ouverture de
l'habit
tonné
Légion d'hon-
;
il
porte
la
croix de
la
neur. de grandeur ^ j {AeJ^lp Aladrid. Ap]iarlient à D. Isidore de Urzaiz.
Toile.
représenlé assis, en unirurme, avec croix de Santiago et d'antres ordres sur
Il
;
Portrait de Manuel Ronicro. rninistfe
du
Aranguez. Ane. collection de tian de Borbun y Braganza.
0,75
II.
Douteux.
L. 0,32.
Feint entre 1824 et 1828 à Bordeaux.
—
Madrid. Académie royale
la tête
de grandeur
Figure à mi-corps
Toile.
relitjicuse.
naturelle.
Figure à
—
II.
1
(/^iM-r
,
02
ini-coriis ;
L.
'
îooJ-
0
.
81
’v :
.
A
1,0
7
vyo,
CATALOGUE DE L’OEUVRE PEINT ET DESSINÉ 199
—
.
du torero José Uomero.
d'or; sur
de face, un peu tourné cheveux enfermés dans porte le costume du cirque,
Charles
Vorirait
est représenté
Il
vers
droite,
la
une
résille.
Il
Toile.
—
II.
Gravé par
0,92
grandeur
Lafond. Madrid. Appartient aux héritiers de I), Luis Alfonsü de Borhon. duc de Ansola. Ane.- collection de U. Sébastian do
205
—
.
—
201
Figure
Toile.
Impérial
en
—
pied.
0,77
II.
;
Madrid. Appartient au marquis
—
;
206
—
.
du torero Pedro Uomero.
Portrait
relle.
la tête
du précédent.
—
0,59
II.
L.
;
grandeur natu-
0,4.3.
Mailrid. Appartient
grandeur
Figure à mi-corps de
Tor-
Portrait du duc de San Carlos.
Bois. Figure en buste de
Répétition du précédent. Toile.
ilo
recilla.
Etude de
—
.
Canal
Esquisse du précérlent.
Borhon
Figure à mi-corps de grandeur naturelle. H. 0,92 L. 0,76. Madrid. Appartient au duc <lc Veragua.
-
du
Hôtel
Portrait du duc de San Carlos.
Portrait du torero Pedro Hornero. Toile.
)
L. 1,23.
:
L. 0,60.
—
.
2.80
II.
1\
y Braganza.
200
—
Saragosse. d'Aragon.
L. 0,76.
:
.\u bas
Ihique de
S''
grandeur natu-
Toile. Figure en pied de
la ceinture.
Figure à mi-corps do
El E.vemo
.'
/
O
San Carlos por Goya ano 18/5. relh'.
naturelle.
lit
O—
grand cordon de
le
et divers autres ordres.
du tableau, on
les
mains ramenées vers
les
poitrine,
la
111
J
1
au comte de
Villa-
gonzalo.
naturelle.
Appartient
Séville.
à
Viuda
S“
do
207
—
.
Portrait de D" Joaquina Tellcz Giron.
Vera.
202
—
.
marquise de Santa Cruz.
on lit Adrian por Goya 180^ sur
laquelle
;
une couronne de
une pierre
El oiarques
de
main une
à la
S"
Toile.
—
relle.
Toile. Figure en pied do •
relie.
—
11.'
2,09
grandeur natu-
—
.
'
208
—
.
face, des
rie
des rubans dans les elievcux,
bleue
•
décolletée
plumes
dentelles. Toile. relle.
—
209
—
.
par
Figure en Imstc
Madrid.
ilo
grandeur natu-
0,6.5.
Appartient à
L. 1,22.
;
au
Ap}>artient
Comte
Bic
de
Aureliano de
de
la
marquise de Santiayo.
comte de
la
Viàaza.
Corte.
la droite,
la tête
en coslumo de chasse,
redingote et pantalon noir, gilet rouge, col
1).
le
est représenté de trois quarts,
11
lournée vers H. 0,84; L.
2,03
II.
Portrait de Uarnon Salué, alcade de
en robe
une écharpe de
avec
et
sofa,
tenant
guitare en forme de lyre.
P ortrait Cité
Portrait de la marquise de San Andres.
Elle est représentée et
ti'te,
Gonctia.
Madrid. Appartient au marquis de San Adrian
203
fleurs sur la
Figure en pied de grandeur natu-
Madi'id,
L. 1,25.
;
un
Elle est représentée étendue sur
Portrait du marquis de San Adrian.
est représenté s'appuyant sur
11
de chemise ouvert sur
dans
les
poches
le
cou;
du pantalon
les
fond
;
le
mains uni.
Beructo.
Sur 204
.
— Il
Portrait du duc de
est représenté
droite
de
debout tourné vers
;
'toile.
la
el
des souliers à boucles
Figure
naturelle.
main gauche,
bas de soie blanche
laldeau, on
lit
;
Alcade de Carte, por Goya
San Carlos.
il tient une canne et sous le bras droit, sou chapeau orné de plumes blanches. Il ])orte un babil et une culotte bleu foncé brodés d'or; des
la
le
— H.
1).
Uarnon Salué
/8'2.'J.
à mi-corps de
gramleur
1,50; L. 0,85.
Madrid. Ane. collection Bcniti^ Gai'riga.
210
.
—
Portrait du yraveur Selma.
Figure en buste de grandeur naturelle. Gravé par Selma lui-méme. 18
GATA LOr, l'K DE L’OEUVRE l'ElNT ET DESSINÉ
138
211
—
.
D" Maria Tcrcsa Apodaca
rorli'ail de
Figure
Toile.
—
nalnrello.
laisse voir
L.
;
gnindoni’
do
iiii-eorps
à
l.-S
II.
Toile.
U,9li-
—
.
redingote
d'une
vèlii
roiirésent/’
grands revers, assis dans nn i'anlenil. une main sur le genou, sur un l'autre sur nn hras dn raulenil ;
jiapier
on
lit
Goija.
:
219
—
.
Portrait de
—
0,(10
11.
Elle
—
tenanl à
papier sur
leipiel
Toile.
L.
:
au
inanjuis
dol
Part, rail,
—
—
.
de
D''»
femme 221
—
—
.
217
à.
D'>
la Yinaza, d'apri'S
1,12:
iT.
Sé'ville.
—
.
Elle
avant, el le
elle
.
—
la
téter..
—
0,07.
Ancionnement au la
palais de San
comtesse de
Pernandez. dite
la
une
d'une écharpe
rôtie à
face.
île
—
Il
.
1
,
12
;
grandeur natu-
L, 0,78. la
Baniiuo
d'Es-
douzaine d’an-
;
sur ses pattes Toile.
lils
le
la
hanche
long du corps:
hlanclie
recouverte
d'or; la jupe courte
;
Signé et daté 1810.
Figure en pied de grandeur natu-
.
Madrid. Appai'tient à
Tirana.
droite appuyée sur
hras gauche tmnhanl porte
Doua
costume marron, au côté Tépée sur laquelle il pose la main gauche à ses pieds, un petit chien hlancse dressant
l’aris.
représentée debout iindinée, en
main
L. 0,31.
Portrait du duc de Trastarnara
relle
est
;
est représenté âgé d'une
Portrait de l'actrice Maria del Uosario
0,30
nées, vêtu d'un
Telmo. Appartient à 218
222
Il
Toile. Figures de granileur naturelle. II.
11.
Madrid. Apiiartient à pagne.
y Bernai'd.
Groupe de
Figure en buste do grandeur natu-
Portrait du marquis de Tolosa.
relle.
Sureda.
de.
—
Toile. Figure en buste do
du comte de Teba
Poi'trait
—
.
Villa-
marches du porche de
est représenté la tète
II
1.20; L. 0,80.
II.
Cité par le cointc (.(.ssoriü
les
Madrid. Appartient au comte de Marina.
Sureda.
Figure à ini-corps do gi-andeur
Ajipiddient
—
comte de
San Felipe.
Toile.
Rendant du précédent.
.
L. 0,70.
Paquete, l'Oncle Ghilïon, était nn
lia
relle.
du précédent.
216
:
Apiiartient au
Portrait de Tio Paquete.
FJ
grandeur
Portrait de D" Tercsa Sureila.
Toile.
à ini-corps de grandeur 1.12
11,
aveugle connu de tout Madrid, qui se tenait
1.20; L. 0,80.
Il
Appaid.ient à
nalurelle.
])"
de linrlolome Sureila
Figure à ini-eorps
naturelle.
;
gonzalo
l'église
—
—
d'ordinaire sur
Toile.
.
Figure
Madi'id.
1,2'£.
Appartient
Socori'O
—
lit
Mercedes Fernandez, por Goija
las
naturelle.
220
I,8 :î
11.
main
la
on
grandeur natu-
Figure en pied do giundeur natu-
—
Tirana.
L. 0,40.
;
Carpio.
Madrid.
la
gauche un
marcjuiÿe de la Solana. coadesae dcl
relle.
actrice Mar'ia del liosario
re[irésentée
Porlrail de 70 Uita de liarrencchca.
Toile.
lé
est
Madrid. Ap|iarlieid, à D. F. Silvela.
215
grandeur natu-
]iiod ilo
L. 1,40.
;
Fernandez, dite
Maria de
Toile. Figure en buste de relle.
214
2,10
.
Gravé (lar Navarrete. Madrid. Académie de San Fernando.
iiiaiTon à large col el à
213
Figure en 11
Poiiraü de Manuel Silecla
c.st
Il
—
relle.
Maih'id. AjipiU'tiont à D. Aiidia's Arl.cta.
212
pieds chaussés de souliers à
les
hauts talons; .tond de verdure.
de Scsina
223
.
— Il
X.
Portrait de Mariano Luis de Grcquijo.
est
coil't'é
1),
rejirésenté tourné
d'une
perruque
il
la
droite;
la
mam
qu'il
tient
présente un papier de la
main
appuyée sur une cachée;
vers
]iondrée.
courte
épée
GATALO(;UE DE L’OEUVKE PEINT ET DESSINE \'èlu d'un habit vert,
droite.
croix de Charles
il
son mari et tenant un pinceau de
porte les
Saint-Jean
de
et
111
de
—
.
Madrid. Appartient au duc de Médina comte de Niehla, marquis de VUlafranca.
;
Si(.lonia,
228
Porlraü du général Uiratia.
—
.
habit ouvert, culotte et bottes de che-
ral,
une lorgnette de la main droite, sa canne et son chapeau de la main gauche; fond de paysage de montagnes avec une ville au dernier plan. val;
lient
il
—
Elle est représentée
un
225
La
de
Madrid. Appartient au duc de Médina comte de Niehla, marquis de VUlafranca. Sidonia,
marine
de
l'officier
—
.
lanueva. est représenté vêtu
Il
est représenté assis,
à
gauche,
tournée du coté opposé, en miirorjiie
la
têl(^
d'ofli-
marine; au bas du taldeaii, on lit Don Joseph de Vargas ano de 1801 Francier de
:
le
droite sur laquelle on
naturelle.
—
Bois. Figure
11.
relle.
—
.
La
famille de VUlafranca.
La marquise de Yillafranca sentée assise, en robe
tenant à
courtes, leiiuel
elle
amuse
la
230
elle
Toile.
.
—
est repré-
— H.
Villanueva por
en buste de grandeur natu-
0,93; L. 0,68.
Portrait de D‘ Catalinu Viola.
par
Cité
blanche à manches
Z.
Araujû
comte de
et le
la
Vinaza.
main un jouet avec
son jeune
lils
placé
chemise de gaze Iransparente; derrière sa femme, le mar(.piis (lehoul, eu uniforme de garde du corps.
devant
;
Gravé par Alogre. Madrid. Académie de San Fernando.
1,64; L. 0,82.
Madrid. Académie royale d’histoire.
226
lit
Gotja.
de grandeur
Figure à mi-corps
d'un habit Ideu,
devant une table sur laquelle il appuie bras, une feuille de papier dans la main
assis
cisco de Goija. Toile.
Portrait de l'architecte Juan de Vil-
et
écricain Josef de Varyas-Poncc 11
Figure en buste de grandeur natu-
Toile. relle.
;
Portrait
d'une masse de che-
tête est couverte
veux grisonnants.
229
—
.
une rose au
corsage et tenant un éventail à la main.
II. 2 m. L. 1,36. Gravé par Blas Anictller. Madrid. Musée du Prado. Ane. collection d'Osuna.
relle.
en robe gris perle,
fichu croisé sur la poitrine,
grandimr natu-
Toile. Figure en pied do
Portrait de la marquise douairière de
VUlafranca.
est représenté debout presque de face, cheveux poudrés, en uniforme de géné-
11
les
Figure en pied de grandeur natu-
Toile.
deur naturelle. H. 1,Ü8 L. 0,97. Peint en 1792. Madrid. Académie royale d'histoire.
224
main
relle.
Figure jusqu'aux genoux de gran-
—
la
droite
Jérusalem. Toile.
139
231
.
—
Portrait équestre
et velu (.l'une
Figuip en pied de grandeur natu-
de Arthur
Colley
Wellcsley, duc do Wellington. est
11
regardant à gauche, petit galop
représenté
monté sur un cheval lancé au allant de droite à gauche
;
il
porte la tuni-
relle.
Madrid. Appartient au duc de Aledina comte de Niehla. marquis de
Sidonia,
.
—
de couleur sombre déboutonnée,
sant voir un gilet plus clair
diie le
Portrait de la marquise de VUlafranca.
Elle est assise, en robe de gaze
penchée en avanl, exécutant
;
une ceinture écarlate a laquelle
Villat'raiica.
227
([iie
le
blanche,
portrait de
sabre
;
de la
main
chapeau à plumes à de
la
main de bride
tient les rênes.
[)eii
;
de
est sus[ien-
droite, [>rés
la
lais-
à la taille,
à
main
il
la
lient son
hauteur
gaia he,
il
CATAl>A<iUK DE L’UEUVUE PEINT ET DESSINÉ
140
Figure
Tiiilc.
rolle.
—
de graiulcur naUi-
éi|uesli'(^
table on
la
e,74; E- 2,12.
II.
lit
mayor trabajo te
mi amigo Zapater] con
:
hc hecho cl retralo
Peint en IS12. 'l’oilo.
Inachevé.
—
relle. SI l'atlilieldsayc
Ang'leteri’e.
—
est ,re[ii'ésenlé la
Il
retenu par
gauche
ses
sous
cacliée
veiTe
du torse
ample
collet, le gilet clair
de boutons, 'l’oison
laisse
voir
main
la
droite (lécou-
luni(jue
la
on
à
lit
—
—
239.
—
Bernardo
Yriarte,
—
240. la
lin
du
avait réuni une culleclion de peintres par eu.x-méiiies, parmi lesquels liguraicnt ceux de Murillu et de
— U
—
11.
Madrid. pagne.
1.13; L. 0,78.
Appartient à la
IJani|ue d'Es-
0,84; L. 0,57.
—
0,38
11.
—
.
est représenté
Il
Goya
le
en lévite gris
lit
11.
:
Voir
Saragosse. ,\ppartient à la famille Zapater.
236
.
— il
tle
Martin Zapater y Claveria.
est représenté les
cheveux poudrés, un
jabot de dentelles au cou, vêtu d'un habit vert,
la
tête
légèrement inclinée sur une
table recouverte de papiers; sur
un coin de
— Il
ou Paî trait
Tàge de sept ans envile
—
Figure en buste de grandeur II.
0,45
;
L. 0,80.
n“
(Peinture d'histoire
30
et
de
genre).
242.
0,80; L. 0,00.
de
V.
1).
lîurdeaux-Caudéran. Appartieid à M™' de Lac y.
Toile ovale. Figure en buste do grandeur
—
de
;
nalurello.
a su aiidyo Martin Zapater, 1707.
naturelle.
collectiun
il une collerette tuyautée au cou porte un liabit de velours bleu à riches boutons recouvrant un gilet de satin blanc.
sombre
bas du tableau, on
L. 0,30.
front,
Portrait de Martin Zapater y Cl ar cria.
boutonnée; dans
;
cheveux blonds tombant sur
'Tuile uvale.
235
Choramy.
Figure en buste do grandeur natu-
est représenté à
ron, les
grandeur nalu-
11.
Portrait d'enfant
est représenté la tête de face.
rello.
robe rouge, des-
Figure on buste de gi'andour natu-
Madrid. Ane. Cardercra. 241.
Portrait de Toro Zambrano.
Toile. Figure on buste de
Lola Zimenez.
D‘‘
Portrait d'an acteur.
relle.
rie
Raphaël Mengs.
—
—
'Tuile.
XVIII® siècle,
portraits
L. 0,58.
;
Paris. Appartieid à M.
de grandeur
à
Ü,7t
Portrait de
relle.
Paris. Appartient à M. G. G...
Don
11.
sinant.
1,08: L. 0,85.
11.
Antonia Zarale
ly‘
Figure en buste de grandeur natu-
Elle est représentée en
'Toile.
naturelle.
Il
—
Ailelaida Gil y
:
grandeur naturolle.
Figure à ini-cuiqis
L. 0,84.
:
Madrid. .-Appartient à D‘> Adelairla Gil y Zarate, viuda do .Albacete.
PorlraU de ïkrnardo Yriarte. 'Tuile.
234.
,0o
1
Portrait de
relle.
Madrid. Ane. cnlloction Ricardo Alova. 233.
.
Tuile.
Terror Gallorain Figui'e do
Il
—
238.
collier de la
le
un écriteau,
Sur
la
Anlonia Zarutc
/F"
Madrid. Appartient à Zaralo, viuda de Albacete.
orné d’une rangée
cravate et
la
d'tJr.
la
sur les
;
partie
plis,
hanche:
la
Portrait de
Figure on buste de grandeur naturelle.
— de face
tiH.c
épaules, un iiiaiilenu
appuyi'a* sur
—
.
Wcllcslcij
WcUiiiglon
iIlic (le
0,78; L. 0,00.
Saragosse. Apjjartioidàlafainillo Zapatei'
237
de Arthur Gollcij
l’o)'trail
Figure on buste de grandeur natuII.
llainpsldrc.
au duc do WeHinglun.
Apiiartii'iit
232.
-
et
Goya 1790.
Portrait
dl enfant
costume de hussard
est représenté en
de.
cosaque;
de bonnet gris,
la le
tête couverte d'une sorte
bras droit posé sur un
ro.dier sur lequel se trouve
une perdrix;
il
tient les jambes croisées, en train de rengainer un sabre recourbé; à scs pieds un
chien sur
le
collier
duquel on
lit
;
V'iclo-
GATALOGUE DE L’OEUVRE PEINT signé
riano Hcr...,
;
Ano 1806,
Goya.
F.
veux en broussaille joues;
les
fecit...
Toile. Figure en pied de relle.
—
1,21
11.
L.
;
U,
grandeur natu-
DESSINE
El’
à
la
Toile.
Gassel. Appartient à M. Kleinschinidt.
relle.
Ane. collection Cepero, de Séville.
—
de courts favoris sur
;
porte un vêlement à col raljatlu
il
mode
81.
141
vers 1815.
Figure en buste de grandeur natu11.
0,45
;
L, 0,32.
Biarritz. .Appartient à
M. Gb.
Clicrflls.
Douteux. Porlrail d'homme.
est représenté assis,
11
—
247.
—
243.
la tête
tournée de
un hahit noir à haut collet, un gilet blanc niontantet une cravate également blanche au cou; de la main droite, il tient une feuille de papier avec une inscription. trois quarts portant
Toile.
— H.
1 in.
;
L.
velu d'un costume sombre à la siècle
et
d'énormes
porte
moustaches. Figure do grandeur naturelle. .\nc. collection
Cepero, de Séville.
Douteux.
—
248.
Ü./.o.
est
11
mode du xviU
Figure à mi-corps de granileur
naturelle.
Portrait d'homme.
Peint vers 1815.
Portrait
d'homme
Valence. Appartient à D. José Toran.
Castres. Musée.
Ane. collection Briguiboul.
—
249.
—
244.
Porlraii d'homme.
Il
un
est représenté assis ilans
11
fauteuil,
la tête de trois quarts tournée vers la droite, les
clieveux poudrés et avec
comme cravate de d’un jabot;
il
queue
;
au
fleurs
de broderies
de
lis
,
il
laquelle
sont figurés des
0,56
teiiaiil a
—
Figure en buste petite nature,
Toile. II.
;
L. 0,38.
Bilbao. Appartient à E. Enrique Salazar.
de
tient
des deu.K mains une feuille de pa[iier sur
de petits favoris courts
une large cravate blanche au cou; la main un livre relié en rouge.
porte un habit et un gilet à
palmettes et de
est représenté
sur les joues, vêtu d'une redingote brime,
mousseline accompagnée
française agrémentés
la
la
Portrait d'homme.
—
250.
dessins d'orne-
Portrait d'homme. Paris. Ane. collection
Candamo.
mentation. Toile.
Figure
naturelle.
—
11.
à mi-corps de
Madrid. Appartient à D. Alarcon.
245.
— 11
grandeur
251
—
.
Portrait de vieillard.
1,00; L. 0,80 11
Manuel Soler y
est représenté presque de face avec
une
longue barbe presiiue blanche. Toile.
Portrait d'homme.
Figure petite nature.
—
II.
0,42;
L. 0,31.
Peint entre 1824 et 1828 à Bordeaux.
est représenté presque de face, en vête-
ments noirs des pi’emières années du
Aranguez. Ane. collection do D. Sébastian de Borbon y Braganza.
siècle
dernier. Toile. Figure en buste de relle.
—
IL 0,60
;
grandeur natu-
L. 0,5-1.
Aranguez. Ane. collection de I). SébasBorbon y Braganza. Douteux. Pj'obablcment de Asensio .lulia.
tian de
252.
—
Portrait de vieillard.
Dans on
lit
;
l’angle inférieur de droite i'''“
Toile.
246.
— 11
Portrait d'homme.
est reiirésenté presque de face, les che-
du tableau
Goya. Figure de grandeur nalurollo.
—
IL 0..59; L. 0,49.
Madrid. Aiqjarlieut Galdeano.
à
D.
Josc
Lazare
CATALUGUI': DK L’OEUVRE PEINT ET DESSINE
142
—
253.
Portrait de petite
Elle
en
repi'ésenlée
est
robe
—
relle.
;
L. 0,Ui.
Appartient à
Portrait de petite
Elle
est représentée
six
de
Patricio
I).
Toile. Figure jusqu'aux genoux de grandeur naturelle.
—
254.
deux mains sur les genoux, tenant une un haut l)onnel blanc garni de rubans dont s’échappe une ample chevelure noire. A longtenqis passé pour le portrait de Charlotte Corday.
rose; elle porte
—
inachevé.
Madrid. Loüanu.
lille.
Gravée par llédouin. Paris. Appartient à la succession do la baronne Nathaniel do llotlischild. Ane. collections Vista Alegre et du car-
ou
l’âge de cinq
à
ans vêtue en paj’sanne avec une casaque et un jupon court rouge; tond de
Idanche
dinal
paysage. Figure de grandeur naturelle.
Toile.
—
—
259.
1,10: L. 0,83.
11.
Madrid. Aiq;>artient au marquis de Casa
—
Indes.
i.les
Portrait de jeune
relle.
—
11.
Elle est représentée
jillc.
Tàgc de cinq ans
à
—
260.
la tête une couronne de
Portrait de femme.
la tête
sorte de l)unnet de tulle et une
mains, dont
de jasmins,
et
sur
droits
une robe décolletée
;i
rbeveiix
les
iront,
le
boucles sur les (iqundes et
blonds
tombant en
raies roses et blancbes
—
11.
0,45
Vente Kums. Anvers,
;
L. 0.38.
261.
—
d'tnsloire
et
de
genre).
fille.
0.52
11.
est
représeid.éc
coitlée
bonnet en compagnie d'un
d’un
M""=
de
262.
Voir
—
n'J
30
(Peinlui’e
d'histoire
et
de
;
la
vêtue de
main gauche;
on
))ied i[uart
nature.
Portrait de
du Louvre.
femme
Portrait de jeune plie.
—
Figiu’o en
0,40
;
liru.xelles.
263.
buste do grandeur naturelle. L. 0,32.
Musée royal de peinture
scuhdure Ane. collection A. Stevens.
II.
1,40
Paris. Aiq)artient
l'ace.
et
de
un
jar-
Figure à mi-corps de grandeur
Toile.
Elle est vue de
—
L. 0,34.
naturelle.
II.
l'r.
din.
genre).
—
20,000
Elle est représentée debout dans
Lacy.
—
un éventail de
Paris. iMusée
petit
petit chien.
bordeaux-Caudéran. Aiqiarlient à
257.
—
tond de paysage.
Portrait de petite
Elle
1808
debout,
représentée
est
noir, tenant
Toile. Figure
—
L. 0,84.
Portrait de femme.
Elle (Peinture
u“ 3U
;
Musée du Louvre.
Paris.
IJürdeau.x-Gauiléran. Appaiiienl. à M'"“ do
Lac y. Voir
—
deur naturelle. II. 1,08 Gravé par Lavalloy.
Toile ovale. Figure en buste de grandeur
genoux.
les
Figure jusi|u'aux genoux de gran-
Toile.
a la taille.
nalui’idte.
les
gauche tient un éventail,
la
dessus du coude, ramenées sur
dos; elle [lorte
le
de trois ipiarts, en robe décolletée,
recouvertes de gants (lairs moidant au-
garnie de dentelles, avec une ceinture noire
256.
L. 0,84.
;
Elle est représentée assise sur une chaise,
environ, vue de trois (luarts, sur
roses
1,17
Paris. Appartient à M. G. G...
Portrait de petite
coupés
fille.
Figure en buste de grandeur natu-
Toile.
Torres.
255.
fille.
les
en buste de grandeur natu-
U, 21
11.
Portrait de jeune
Elle est représentée de trois (juarts, assise,
blanche
ornée de inniuls biens. Toile. Figure
—
258.
lillc.
— Portrait
;
L. 0,00.
àM.
G. G...
de femme.
un ca-
est
représentée assise
sur
Toile.
Figure à mi-corps
de grandeur
Elle
napé. naturelle.
—
II.
1,02
;
L. 0,00.
CATALOGUE DR L’ŒUVP.R PEINT ET DESSINÉ Paris. ApparlicnL à M. G, G... Ane. collection Paul 'le Saint-Victor. Vente. Paris, 1883. - -l.lOü IVancs.
représentée la tète iTiinc mantille blanche. Toile. Figure on l)uste
— H.
1
rn.
recouverte
gi'andeur natu-
ilo
L. Ü.GO.
;
de femme.
est représentée nu-léte,
Anciennonient au palais de San Tehno. A])partient à la comtesse do Paris.
les
que de dos
;
main
ramenée sur
droite
en rohe dé-
tournée de trois quarts, les
ti'de
cheveux tomhant sur
Elle est
relle.
Elle
colletée, la
— Portrait de femme.
264.
— Portrait
270.
143
elle
épaules vues pres-
un éventail de
tient
la.
la.
poitrine et porte
une robe grise ornée de dentelles blanches, éiiaule nue.
Séville.
Toile. Figure en buste de
— Portrait de femme.
265.
robe
blanche décolletée, rubans noirs. Figure à
naturelle.
—
vêtue d'une
agrémentée
II.
U. I.12; L. 0,79.
0.7.J
;
— Portrait de femme.
271.
à
Aureliano
I).
Elle est représentée à mi-corps, assise, le
visage encadré dans une mantille
grandeur natu-
épaules les
une écharpe une bande de tapis-
;
mains
la partie
et
infé-
rieure du buste.
rez Martin.
Figure
Bois.
à
—
mi-corps.
0,13
II.
;
L. 0,10.
représentée
est
les
couvre
serie
L. 0,53.
— Portrait de femme. Elle
hlanche, la poitrine
coiffe
cachée par un fichu blanc;
rouge sur
Madrid. Appartient àD. .loaquin Gutier-
267.
noire,
de
recouvrant une
Toile. Figure en buste de
—
grandeur natu-
L. ü,-i3.
;
de
— Portrait de femme. relle.
0,38
Douteux.
de grandeur
ini-cnr|is
Madi’id. Appartient Beruete.
266.
11.
Paris. Ap]iartient à M. IL Rouart.
Elle est représentée assise,
Toile.
—
relle.
de face,
Ane.
en robe
collection
Wilson.
Vente,
l’aris,
1881.
décolletée, la tête, les épaules et la poitrine
recouvertes d'une mantille noire. Toile.
Figure en
naturelle.
II.
—
buste
de
—
272.
grandeur
Portrait de jeune femme.
touffe
une tom-
est représentée de trois quarts,
Elle
1,12; L. 0.79.
Paris. Appartient à M. Dannat.
lie
cheveux châtains
frisés lui
hant sur l’arcade sourcilière droite, vêtue 268. Portrait de femme.
d'une toilette de satin noir,
costume de maja, la tête couverte d'une mantille, les jambes légèrement croisées, une iianloulle à l'un Elle est représentée en
ses pieds à moitié défaite.
lie
Figure
Toile.
en
do
pied
grandeur
colleté
;
sur la tète,
le
corsage dé-
é]taules et
les
poi-
la
une mantille de dentelles blanche dont elle retient les pans à la ceinture de la main droite; les deux mains gantées de gants gris perle montant au-dessus du coude (iot/a. signé à gauche trine,
;
naturelle.
:
Gijon. Ajipartient à D. .lose Maria Gien-
Toile. Figure jusqu'aux genoux de granL. 0.75. deur naturelle. II. I.Oo Ane. collection lluliert Debrousse.
t'uegos.
—
269.
—
Portrait de femme.
Elle est représentée la tête de trois quarts, les
sur
cheveux Inains coupés à le
front, de lourds
la
chien tomliant
pendants aux
oreilles,
vêtue d'une rohe de gaze. et Icpoidrait
—
7,500 francs.
— Portrait de femme.
273.
de
trois ipiarts.
en
au
costume de maja, mi-tête, de longs cheelle veux noirs tomhant sur les f'paules
Figure en buste do grandeur natu-
vêtue d'une rohe à ravures criai'des, à jupe courte laissant voir ses bas blancs;
être pi'imiti veinent, sinon on pied, tout
;
à mi-coiqis.
'l’oilo.
relle.
—
Elle est représentée
Le tableau a dû être coupe
moins
Vente, Paris, 1900.
;
—
II.
0,GO
;
L. 0,19.
Paris. Aiipai’tionl à M.
11.
Rouart.
est
aux pieds, des souliers noirs; sur
les é[iaiiles.
CATALOGUE DE un
cliàlo (le
manille
un granil chapeau
à
L’
OEUVRE PEINT ET DESSINE
franges; à la main,
Figure à mi-corps do
Toile.
—
nalurello.
gris.
Paris. Apjiarticnt à
Figure en
Toile.
lùoil
do grandeur nalu-
Ane.
rcllc.
—
18G8,
grandeur
IL 0,80; L. 0,57.
collection
M.
G. G...
Cepero.
Vente
Paris,
,020 francs.
1
Ifordeau'c-Caudéran. Apparl.ient à M'"‘ de
Lac y. Voir
n°
30
(Peinture d'idsloire
et
de
275.
g-i'ure).
274.
—
Portrait de femme.
Elle est représentée coiffée cl poudrée, en
coslume
—
rose.
Portrait de femme.
Elle
est.
représentée
assise,
les
chien havanais sur
nus, un pelil
les
Toile. Figui'o on buste do
bras
—
relle.
ge-
il' 0.-49
Appartient
iMadrid.
Vega
noux.
grandeur natu-
L. 0,37.
;
au nian|uis
de la
Inclan.
Cartons de tapisserie Ces carions qui sont de vérilahles laEleaux peints sur
toile,
après être restés de
lougties années roulés dans les greniers de la manufacture de Santa-Barbara
an musée du Prado, à Madrid, on
été transportés
1
.
—
Le
et devisent avec,
une marchande d’oranges sur Manzanarcs à l'ombre d'arbres H. 2.72
;
les
auberge. IL 2,75
bords du
touffus.
1
777.
exemplaires de la tenture ti'ouvcnt au palais de l’Escurial.
L. 2,95.
oxemplairci do la tenture se trouve au palais du Pardo, un second a été donni'' par la reine Isatadle au roi Léoiiold !“' do liclgiijuo.
4.
—
se
La promenade
Divers couples se promènent et devisent
dans un paysage
premier plan un
Imisé
homme
d'Andalousie cjiibossé
au
;
dans sa
cape est assis sur un tertre.
Le bal champêtre. IL 2.75
Des majosetdcs inajas dansent, chantent et joucnl do la guitare sur les bords du
Manzanares auprès d'un grand soit
L. 4,14.
Deux
Peint en 1706.
—
:
Peint en
Un
2.
ont
,
figurent aujourd’hui.
querellent et se battent dans la cour d’une
çjoûter.
Cinq jeunes gens gofdent
ils
arlu'e
IL 2,72
;
Deux
L. 1,90. 1
777.
exenq)laires
trouvent au palais
lanl
peu dénudé.
:
Peint en
5.
—
de
la
tenture
assis boit à la régalade,
Peint en 1777.
dis qu'un jeune garçon, à ses côtés,
Un
des raviolcs.
excnqdaii’c de la tenture se trouve au Pardo. un second au palais de rEscurial, un troisième a été donné jiar la reine Isabelle au roi Léoi)old P'', de Ilol-
se
l'Escurial.
Le buveur.
Un homme
L. 2.95.
di.'
tan-
mange
palais du
IL 1,07; L. 1.51.
Point en 1777.
Un exemplaire delà tenture
gique.
se trouve
au
palais du Pardo, 3.
—
La
rixe.
Des charretiers et des gens du jieuple se
6.
—
Le parasol.
Un jeune homme debout
abrite avec une
CATALOGUE DE L’ŒUVRE une jeune feinuie assise sur un dans la campagne.
oinlu’elle,
tertre,
Peint en 1777. 7.
—
—
12.
d'aidres
les
regardent
2,09
cxemplaii’O de la tenture se
au palais du Pardo, un second au
trouve jialais
Un exemplaire
jouent aux
2,70
;
L.
divers per-
arbre,
tandis
cartes,
1,75.
14.
e.xeinplaire de la
—
se trouve
Enfants cueillant des fruits
fruits à II.
un
fait
la
courte
échelle à
permettre de cueillir
lui
arlu'c
1,19; L.
;
Le militaire
au palais de 11.
—
un des
15.
—
de fruits en II.
(V azeroles
vent.
[deiii
2,59
;
L.
1
Un exemplaire de
tenture
sc
palais
trouve
l’Escurial.
m.
—
de la tenture se trouve au
du Pardo.
Enfants jouant
aii-v
soldais.
la guitare.
dont deux en vêtements militaires jouent aux soldats dans un jardin. enfants,
II.
1,46
;
L. 0,94.
Peint en 1778.
L. 3,11.
Un exemplaire do
Peint en 1778.
palais
la tenUu'c so
trouve au
du Pardo.
leproduit ce inèinc sujet à l'eau
forte.
Un
m.
1
Peint en 1778.
Dans une plaine, aiqu'és il'im grand arbre, un aveugle joue de la guitare au milieu d’un groupe de iiersonnages (jui l’écoutent.
(.lova a
mili-
femmes
exenqilaire de la tenture sc trouve au
La marche
Des
;
d’autres
Une jeune femme avec un panier d’azeroles au bras, jiasse au milieu d'im groupe d'hommes; au second plan, une boutique
16.
2,60
2,59; L.
Un
1,22.
Aveugle jouant de
11.
jeune femme
Peint en 1778.
d’autres les regardent.
exeniplaij'e
et la
salue de l’éventail
Peint en 1777.
Un
soldats.
palais de l'Escurial.
Un exemplaire de la tenture au palais de l'Escurial.
second pour
montés des
L. 2,20.
2, .59;
II.
1,10; L. 1,22.
Un enfant
vaisselle.
(lu’elle aperçoit.
Peint en 1777.
—
Le marchand de
taire
Dans un paysage ombreux, deux enfants gonllcntune vessie, un troisième les regarde.
10.
trouve
tenture se
Une jeune femme accompagnée d’un
tenture se trouve
Enfants jouant avec une vessie
II.
do la
de l’Escurial.
au palais du Pardo.
—
de
Un exemplaire de la tenture se trouve au palais du Pardo, un second au [lalais
que
Point en 1777.
Un
foire
Peint en 1778.
d'fudres les regardent. II.
la
premier plan, un déballage de faïences en plein vent, avec divers personnages; au second plan, un carrosse sur les roues de
cartes
(le
A Tomlire d'un grand sonnages
9.
—
11.
Les joueurs
arrêtés devant à
au palais du Pardo.
derrière duquel sont
de l'Lscurial.
—
mt
.\u
Peint en 1777.
Un
s
fripier,
Peint en 1778.
13.
L. 2,8.5.
;
de
plus
;
loin sont assis divers personnages 11.
Madrid.
2,58; L. 2,18.
II.
à l'omlu'e d'un
grand arbre, des jeunes gens lancent un
8.
boutique
Le cerf-volant
;
foire de
145
Madrid.
Sur une légère éminence, cerl'-volant
La
Divers jiersonnages
une
1,02; L. 1,52.
Il,
l'ElNTJET DESSINE
17.
do au palais du Pardo. exeniplaij’e
la
—
L^es
pe lits charretiers.
tenture so trouve
Deux enfants
jpiuent
avec,
un chariot, 19
1
CATALOr.m- DE L’ŒIIVUE l'EINT ET DESSINÉ
iO
d'aiUres iVaiipent
(lu taiiilioiir et
iÂh:
II.
L.
sonnenl de
gueule d'un chien
;
au second plan, d'aulres
personnages.
do })aysago.
la li'oiiiiicUc; l'ond
0,00.
II.
2,49
Ne
se Irouve jras
Peint ou 1778.
au niusco du Prado on 1800. Un oxoin]dairo de la tenture sc l.rouve au palais du Pardo.
L. 0,80.
;
au musée du Prado.
Did'ulié
23.
—
Lafonlaiue.
Aipirès d'une fontaine, est arrêté un groupe 18.
—
de plusieurs personnages, dont l'un buvant.
Lu partie de paume. jicrsonnages jouent
Divei'.s
d'un
auprè's
\ieux ehiUeau
appuyés
regardent
à
la
d'autres
;
2.49
II.
paume
Ne
L. 0,80.
;
se Irom-e
pas au musée du Prado.
l('s
sur dos murailles en 24.
—
Les gardes du tabac.
ruine.
Sur 2,01
II.
L.
;
arbre,
Peint en 1770.
Un oxenpilaire do la tenture sc timive au palais do PEscurial. 19.
II.
—
escarpolette
25.
H. 2.00
;
U.
—
779.
Un
^
I.G5.
II.
—
les
26.
lavent
d'autres [icndent la
étendues entre II.
2.18
(les
L.
:
du linge, tandis
la
L. 6,40.
la
tenture se trouve au
lessive sur
Ij'cnfant à l'oiseau
Un
enfant, au pied d'un
des cordes
II.
2.62
;
Point en
arbre,
tient
un
L, 6,40. 1
779.
Un exemplaire delà
1,00.
]ialais
27
.
—
tenture so trouve au
de PEscurial.
Les bûcherons.
Des tbicbcrons ébranebent un gros arbre. le/
course de Novillos. II.
2 50
;
Point en
L. 1
28.
1.40.
—
se trou-
chic'ii.
campagne sont assis deux jeunes dont Tun enlève une pelote de la
Dans
la
1,14.
Le chanteur.
joueur
(le
II.
Le
L.
Deux liomines
779.
Deux exemplaires de la tenture vent au palais de l'Escarial.
;
Un exemplaire de la tenture se trouve au palais de PEscurial.
muraille. II.
1,41
Peint en 1779.
;
gens,
:
—
arbres.
De jeunes toreros harcèlent un jeune lanreau dans une arene de village an second plan, des spectateui's derrière une
—
suspend à
oiseau dans ses mains.
(jue
Peint en 1779. Un cxemplaii’O de la tniture so l.rouve au ]ialais de l'FjSeurial.
—
se
palais de PEscurial.
bords ombragés d'un cours d'eau,
femmes
l)leii
en 1779.
Un exemplaire de
du Pardo.
Les laveuses.
Sur
2,62
Peiid,
exeinplair(( de la tenture se trouve au
jialais
L'enfant à l'arbre.
branche d'un arbre.
Peint en 1779.
22
L. 1,37. 1
Un enfant vêtu de
;
21.
;
exemplaire de la tenture so trouve au palais du Pardo, un second à PEscurial.
Dans un ](aysage verdoyant, une jeune une escarpolette (jue l'ait marcher un jeune garçon d'aulres personnages contemplent la scène.
dos
2,62
Peint en lin
l'ernme se halance sur
20.
bords du Manzanares, au pied d'un un groupe de gardes armés est arrête.
les
-i,70.
et
une femme écoutent un
guitare assis sur une éminence.
1,30
;
L.
1,13.
Peint on 1779.
Dérobé au musée du Prado en 1869. Un exemplaire do la tenture se trouve au palais de PEscurial.
CATALAGUE DE L’ŒUVRE DEIAT ET DESSINÉ 29.
— l
Le rendez-vous.
femme
ne
est
éminence
légère
;
34.
assise
[)ensive
sur une
m.
1
l’oint
Un
L.
;
au second et au troisième
30.
—
H. 2.78
i..yi.
en 1779. tenture se trouve
la
île
Le médecin.
35
.
—
Un
exeini)laire de
36.
1869.
tenture so trouve
la
au nionastére royal
Lorenzo.
.San
(le
nouillée offre des Heurs à une Jeune
II.
Peint en 1786.
Un
(le
Le batteurs de
vent et se d'ivr(.igues
donnant
à
et
manger
un enfant
à
la
croupe
;
à droite
et
un autre
couché des enfants jouant, ;
33.
—
etc.
.\ssis
teindre;
II.
la
tenture se
trouve
Peint en
Un
homme
tiennent une
la
tête.
la fontaine.
femmes acconqiagnées d'un enfant
II.
2.62
;
786.
'l’Escurial.
39.
—
L, 1,60.
tenture se trouve
la
tenture se trouve
Le jeu des nains.
Cinq enfants montés
les
uns sur
jouent au jeu des nains à grosse 11.
1,37
;
Peint eu
1,91).
e.veniplaire de la
au palais de
Les femmes à
Un exemplaire de au palais du Pardo.
de -raisins sur
I
L. 3,46.
Peint en 1787.
en arrière, une servante portant
2.75; L.
;
vont remplir leurs cruches à une fontaine. de
l'Escurial.
un jeune
coi'beille
—
Trois
grapiie de raisin c[u'un enfani essaie d’at-
une
38.
sur un bout de muraille, une jeune et
2,67
tlelgiipie.
Les vendanges.
femme
le lit
Un exemplaire de la tenture se trouve au palais du Pardo, un second a été donné par la reine Isabelle au roi Léopobl [“' de
G. il.
e.veniplaire di.‘
La noce.
11.
;
au palais
trouve
se
Peint en 1787.
(les
Peint en 1786.
Un
la tenture
geoise que précède un guitariste.
;
2,75; L,
L. 2.93.
d'une rivière à sec, s'avance une noce villa-
moissonneurs boireposent à gauche (ui groupe un peu plus loin, une femme
clieval blanc
—
blé.
un cheval [irésentaut
II.
au
l'Escurial.
Dos faucheurs
;
Aiqtrès de l'arche d'un pont, dans
e.vonqilairc de la tenture se trouve
palais
2,75
Un exemplaire de au palais du Pardo. 37.
L. 1,92.
;
neige.
Peint en 1786,
femme
qu'accompagnent un enfantet d’autres per2,77
La
Une troupe de gens suivie d’un mulet s'avance dans un chemin balayé par une
sonnages. II.
—
campagne, une boui[ueIière age-
la
de la tenture se trouve
rafale de neige.
La bouquetière.
Dans
—
1,1.0.
Un exemplaire
Point en 1779.
32.
2,77; L.
au palais du Pardo.
L. 1,56.
;
Dérobé au inuséo du Prado en
—
deux enfants remplis-
et
Peint en 1787.
nages. 0,97
tenture so trouve,
sent une cruche à une fontaine.
au second plan, divers autres person-
11.
la
Les pauvres.
Une pauvresse II.
31.
L. l.lo.
;
Un exemplaire de au palais du Pardo.
l’ardo.
Dans un jardin, devant un brasero est assis un médecin le cliapeau sur la tète, la canne à la main et la mante sur les épaules;
blessé.
Peint en 1786.
e.vcmplaire
au palais du
Le maçon
Deux hommes portent un ouvrier blessé (jui vient de tomber d'un édifice que l'on voit en construction au second plan.
plans, divers personnages; fond de paysage. II.
—
147
les
autres
tète.
L. 1,(14. 1
788.
Dérobé au musée du Piado en 1869. Un oxenqdaire de la tentui'c se trouve au [lalais de l'Escurial.
CATALOGUE DE L’ŒUVUE PEINT ET DESSINÉ
148
40.
—
La balançoire.
43.
Deux enrants Jouent
à la l)alaueoire
H. 1.41
au dernier plan.
se trouvent
Dérobé au muséo du Prado en
au palais de
41
.
1860.
de la tordure se
trouve
44.
l'Eseurial.
—
;
L. 1,11.
Le jeu de
poule aveugle.
la
Ouatre jeunes femmes
et
quatre jeunes
du Mauzanares dansent en rond un troisième gaia.-on se trouve au milieu du cercle, les yeux bandés. gens sur
—
un arbre pour
Un exemplaire do la tenture se trouve au palais de l'Eseurial.
Peint en 1788. e.xeinplaire
à
Peint en 1791
H. 0.80; L. 2,07.
Un
Enfants grimpant à un arbre.
cueillir des fruits.
qu'un troisième pleure et que d'autres
(laul
—
Deux eufanls montent
pen-
JjCS cchasscs.
les liords
;
Deux lioimues joident sur des éclinssesau son de la iiiuselte pendant (|ue d'autres les
II.
Il,
Un
au
on 1788.
exemplaire, de la tenture se trouve
45.
au palais du Pardo.
42
.
—
nes
les
L. 3,53.
—
sage
bords du Mauzanares <piatre jeu-
filles l'ont
la
tenture se trouve
du Pardo.
jialais
L'enfant au mouton.
Un enfant coiffé d'un chapeau blanc clievaurhe monté sur un mouton; fond de pay-
Le mannequin.
Sur
;
Un exemplaire de
2,68; L. 3,20.
Peiid.
3,41
Peint en 1791.
contemplent.
sauler un
.
11.
1,27; L. 1,12.
Peiid en 1791.
mannequin sur un
Ce carton no ligure pas au musée du Prado.
dra[i. 11.
2,67
;
L.
Point ou 179
1
,60.
Madrid. Appartient à D. Gabino Stuyk.
1
Un oxeiiqdaire do au palais du Pardo.
la
tenture se
trouve
46.
—
Le chasseur 11.
Ü.35
;
et ses chiens.
L. 0,75.
Peintures de l’Alameda d’Osiina. Ces peintures ont été enlevées de IM/auiec/rt d’Osuna
il
y a
quelques années pour
être vendues. Elles sont aujourd hui dispersées.
1.
—
Taureaux au pacage.
Dans un vaste gardés
[lar
11.
3.
;
—
nuit de cocagne.
montant
L. 2,00.
II.
mât
à un
de cocagne.
1,69; L. 0.89.
Peint en
Peint en 1787. 2.
Le
Divers speclateurs regardent des enfants
enclos, des taureaux sont
des picadores à cheval.
1,60
—
1
787.
Madrid. Aj(partient au duc de .Montellano. L'escarpolcUe.
Une jeune femme halaneoire
(pie
est
assise
pousse un jeune
sur
une
homme
;
d'autres personnages regardent la scène. II.
1,69; L. 0.89.
4.
—
L'accident.
Une jeune femme (ju'accompagnent d'autres dames et des cavaliers vient de tomber d'un
;'ine.
PeinI en 1787.
II.
Madrid. Apjiartient au duc do Montel-
Peint en 1787.
lano.'
1,69
;
L. 0,89.
Madrid. Appartient au duc de Montellano.
CATALOGUE DE L’ŒUVRE PEINT ET DESSINE 5.
—
Brigands arrêtant une voiture.
12.
Des brigands arrêtenl une voilure pleine de voj'ageurs au milieu d'un bois. II.
1,69; L. 1,27.
autre ouvrier blessé
13.
;
civière
un
en avant, un chariot
—
—
Appartient
L'ermitage de San Isidro.
à
la
mar([iiiso
do
assis
un
sur
tertre,
boivent et devisent à
porte de l'ermi-
la
tage.
procession.
Une procession
H. 0.42
sort
de la porte
15.
1,60; L. 1,35.
Peint en 1787.
;
L. 0,40.
Madrid. Ajqiartient à D. Pedro Fernandez Duran.
d'une
église. II.
•
Divers personnages
Villainajor. IjU
0,42; L. 0,40.
11.
14.
1,60; L. 1.35.
Le bal champêtre.
cartons de tapisserie.
Peint en 1787.
—
30 des car-
.Même sujet que Le bal champêtre, n° 2 des
bœufs; au fond, une église en construction.
.
n'^
à Paris en 1866 après avoir appartenu au peintre I). Angel Tadei.
chargé d’une grosse pierre et traîné par des
7
neige,
0.32; L. 0,34.
II.
Construction d'une église.
Madrid.
La
A passé en vente
Deux ouvriers portent sur une
II.
sujet que
tons de tapisserie.
Madrid. Api)arüent au duc de Montellano.
—
L'hiver.
Même
Peint en 1787.
6.
—
149
—
Caprice.
Un Iionime genoux et [)antelant contemple des démons entièrement noirs, auà.
Jladrid.
A[)parlieiit
à
la
inar([uise
de
Villainajor.
8.
—
rorneria de
San
Isidro.
Sur un tertre, divers personnages assisà l'occasion de la fête prairie de divei's
San
Isidro.
monuments
du saint, dans Le Manzanares
la
11.
16.
de Madrid se distinguent
—
17.
Le printemps.
carions de tapisserie.
—
nue
6,32; L. 0,22.
0,34
;
n'^
32
b. 0,74.
Madrid, .\pparticut à D. Ilicardo Trauluann. 11.
—
la lune.
dont ([ui
l'im
à,
tête
trois [)ersonnagcs
viennent
de chien,
une horrible sorcière également prépare un pbiltre
;
un
Irouc noir
s’échajipc par la clieminée.
des carions de tapisserie, II.
de
Caprice.
11.
sujet que Les batteurs de blé,
au
0,52; L, 0,30.
consulter
L'été.
Même
feuillage Irène
Dans un sombre taudis,
.Même sujet que La bouquetière, lU 31 des
—
Conciliabule de sorcières.
II.
nus,
10.
des
voltigent
0.42; L. 0,30.
la clarté
Peint en 1788.
II.
des(p.iels
milieu de sorcières et d'oiseaux de nuit à
0,44; L. 0,94.
Madrid. .Musée du Prado.
—
tète
Un bouc couronné de
et
au dernier plan. II.
la
chats-huants.
tent aux divertissements de la foule réunie
9.
de
dessus
La
18.
—
0,42; L. 0,30.
Caprice.
Un homme la tète et les fqtaules couvertes d'un manteau s'avance à grands [)as sur le sommet d'une montagne derrière droite, un autre homme endormi, lui, ;
;'i
L'automne.
.Même
.sujet (jue
Les vendanges, n° 33 des
cartons de tapisseiâe. II
0,32
:
L, 0,22.
à gauche, un âne attaché à des broussailles. En haut un groiqie de [lorsonuages fantastiipies. 11.
0.42
;
L.
0,30.
CATAl.CMiUK
n;o
19.
—
I>on .hiüit cl
Dnii
vèhi
.liiiiii
dans
apei'(;oil
Eoniinandeu
.
(le
second
au
CoinnunuJctu'.
Londres. Naltonal
(iallory.
i'.
—
22.
Le goùler.
—
Lc.-i
jiitaeroi.
sujet
assis devisent entre cu.v
Les iJancrca,
(jiie
n'^
3a
11.
0.32
L. 0,1
;
0,40
11.
L. 0,20.
;
Londres. National Gallery. 1.
—
23.
—
un jeune lionnne
;
endormi.
s'est
des
cartons de la[dsserie.
.
des
Des jeunes gens cl des jeunes feniines
iMt^'ine
21
dans
Anes
trois
0,42; L. 0,30.
11.
slalue du
la
plan,
nuages.
noir, a.ssis à une laide
llaiiiincs,
lIcs
L'ŒUVIiK PEINT ET DESSINE
0,'i2; L. 0,30.
11.
20
le
DI']
Le maçon
blesaé.
El llcchizudo por Fucizu.
L
maçon
iM('ine sujet (]ue.L6'
emiurcclc de force.
blessé, iD
34 des
cartons de tajdsseric.
Un
iiersonnage en cosluine depiaHre inel
0.32
II.
de riiuile dans une laui|io
iiue
dialde
le
Süus la rornie d'un bouc lient à
la
main
L. 0,14.
;
A[(partient à D. Pedro Fernan-
IMadi'id.
dez Duran.
;
Peintures de la Casa de Goya. (|uatorze peinlures ont
Ce.s
détacher des oll'rir
1.
la
(!(;*
—
Eéunion de vieilles
diahb' sous
femme 11.
1.40
secoiul plan
2.
la
(le
;
conifiosition, sur un
l'aidre, le
premier
second un cbàteau-fort
ai.i
en
soldats,
II.
(laiivre (pn
divers }(ersonnages cir-
6
.
—
au
bas,
sembleid vouloir
Isidro.
gens entoure un
guitare
la
sur une éminence inexjiugnable sur
L. 4,38.
Un groupe joue de
haut de
s’appujunt l'un sur
l'idr,
une
le
montrant,
La liomeria de San
fait
d'orage, deux [lersonnages volent dans
des
—
a
les
Caprice.
Dans ciel
bouc recouvert
assise.
;
—
accroujdes adoi'ent
Au
ejui
transporter sur toile pour les
et
tigurent aujourd hui. 5.
l'or.ine d'iiu
d'une robe de moine.
jeune
oii elles
sorcières.
l'ennnes la
baron Erlanger
achet(ées par le
quinla du peintre
au musée du Prado à Madrid
De le
de
innraillics
tirer des
l)àti
le(piel
premier plan,
coups de
fusil.
1.23; L. 2.00.
Les /‘arques.
cident MU second plan.
nuage
Assises sur un 11.
3.
—
l.iO
;
L. 4,38.
de
Combal de
la cijne
paysag(‘
4.
—
1,23
;
—
7.
L. 2,06.
La procession. relig'ieux suivis
1,23; L. 2,00.
a
rnoja.
voulu voir
d'Albe,
d'une foule de
ln.léles
dénient dans un paysage montagneux. 11.
La
Une jeune femme, debout dans (.(U
Des
1,23; L. 2,00.
montagneux, des pâtres
galliciens se battent à coups de gciurdin. 11.
au-dessus
conseil.
bergers.
II.
Dans un
(jui [lasse
des arbres, les Paiapies tiennent
tient
la
tête
prés
le
portrait de
couverte d'une
d'un
tertre
grille. 11.
1,47
;
L. 1,32.
la
laquelle
duchesse
mantille se
surmonté
d'une
GAÏALOCUF. DE L’ŒUVRE PEINT ET DESSINE
—
8.
Saltimc dévorant un de
Un
clans ses
mains nn enfant
—
Les nouvelles.
hommes
Des
dévore.
([ii'il
<les Ilots agités,
nn chien
—
13. II.
un
1,26
II.
Les
femmes en
gaieté.
vue d'un malheureux
1,40
L. 0,83.
;
—
14.
Deux vieux moines à
hlanche
Ijarlic
la
soulfre.
L. 0,66.
un
sorciers vus en buste préparent
pliiltre.
L. 0,66.
;
;
i[ui
Séance de magie.
Deux
s'a-
vancent, l'nn d'eux a[)piijé sur un hàton, 1.44
1.23
11.
Les deux moines.
11.
L. 0.66.
Des femmes sont mises en gaieté par
.Judith et IJolopherne.
—
;
1,34; L. 0,80.
Une l'eniine, nn couteau à la main, présente une tête d'homme aune vieille, vuedeprolil.
11.
lisant
lui.
lutte contre
courant.
—
homme
journal et vont sa précipiter sur II.
10.
femmes du peuple
Le chien.
Dans te
des
et
écoutent avec colère un
H. 1,40; L. 0,84. 9.
—
12.
ses enfants.
à longs rhevenx gris, tient
vioillai’cl
151
II.
0,33; L. 0,83.
Dessins. 1.
—
228
Suilc de
du bonnet <tu Saint (Iftice avec le un boiteux coiffé du bonnet San Renito; du Saiut-OiTice devant le tribunal de l'inquisilion; une femme coiffée du Ijonnet du Saint-I.Iflice devant le tribunal de l'Inquisition; nn homme .à genoux devant
dessins.
coiffée
—
Ces dessins, accompagnés pour lai>lupart de légendes de
la
main du
peintre, représen-
—
tent des scènes rantasti(pies, des allégories,
des sujets do genre, des caprices. Les i)rinci-
paux sont une :
suite de
—
combats de cavaliers
en costumes anciens; — une série de prisonniers; — un torero embossé; — nn i>aysan pio-
chantcourbé, portant un moine sur les
;
—
épau-
— une jeune femme, vue de dos. en man-
;
traversant une rivière
tille, el
les
lesjiipcs relevées
lUun cavalier au galo[)
— une procession
C(jté;
tant une côte;
des verrons et
jaml)cs nues
cpii
la
tant un
arrive de l'autre
de religieuses
mon-
c[ui
un
E.vécutos [lar
s’avance vers elle avec
— des religieux men-
2.
;
garrot;
son
;
—
— un condamné au du — Caliléo chargé de danssapri-
à
les [lieds
entravés, atta-
Dflicc
femme
(te
(tes
de
fer;
du bonnet du Saiulattachée sur l'écha faud une femme ;
—
une
d(.(S
[u'ocodés dill'érenis.
Suite de dessins.
^[alheurs de la guerre, In
I
0
des Proverhes,
Tauromachie, des Pièces détachées
des lithographies.
coiffée
—
llèches;
trouvaient une [(artle de ceux ayant servi l'exécidion des [danches des Caprices,
su[i[dice
fers
une femme
dos
etc., etc.
l’armi ces dessins, aujonrd hui disperses, a[)[(rochaient du nombre (te. 300 se
([ni
chée à un poteau avec un anneau
— une
—
Diogène avec sa laiderne cherchant
homme;
et
Madrid. Musée du Prado.
diants avec des besaces [>leines sur les ciiau-
—
— un sauvage vêtu de [dûmes por-
cai'([uois
course de taureaux,
—
des clefs Ten délivre;
les
geais;
(te
rencontre
une femme enserrée dans cadenas de chasteté attendant
homme
cju'un
les
pour aller à
—
la Liberté une lumière llgurant la Liberté triomphante aiqnaraissant aux hommes et la balance de la faisant fuir un moine; .lustice venant consoler les malheureux; la Liberté abattant avec son épée une bande
courses de
Los
[irinci[(aiix
et
étaient
;
taureaux, au crayon ronge;
UI2
ATA
(',
—
sujels
l')3
L’ŒUVUE PEINT ET DESSINÉ
I.OGl’R ])E
tauroiuapliie donl 5 à lasan-
(le
— no aveugle enlevé par un taureau, sanguine; — GS scènes des scènes de Proverbes, au pinguerre; — croquis de Caprices dont 5 ceau; — ciiine;
à
Mallicui:<
la
kl
femme
tic
plume,
70 autres an crayon ronge
les
parmi 3'2.
41
lesiiuels des
43 et 73
,
majas,
;
— 4 scènes
quatre feuilles;
ma jas au
et à
7.
variantes des n°*
deux
tl.
5,
de
et
deux,
jiar
;
—
Suite de i dessins.
Ils
représentent un chasseur, un crieur;
un chasseur
un portefaix.
à l’affût et
Exécutés à l'encre de Chine.
sur
—
11
.
0,20
,
L. 0,14.
de majos et de
pinceau, sur deux feiulles
Appartiennent à M. Ch. Cher-
lliarritz.
feiulle,
— 8 croquis de majos
raipiarelle,
à
même
avec un petit
fils.
à la
rencre. parfois deux sur la
femme
Exécutés au crayon,
P,1
81
assise et une
chien.
— 3 su-
Ane. collection E. Calando. Vente, Paris, 1899.
—
245 francs.
jets religieux sur papier vert olive représen-
un saint dans sa gloire, le deuxième, sainl François de Borja faisant tant. le premier,
ses ailieux à sa famille et le
A pparition
de
Vierge
la
8.
homme se frottant la jianme des mains; deux femmes portant des vêtements fermés
Suite de dessins. Exéculé'S i>ar des procédés différents.
troisième une
A'enise.
— 3 sujets de genre,
;
—
Ai)partient à
II.
Mariano For-
tan y.
un
avec des cadenas, chacune ouvrant
ment de
l’autre
;
le
9.
vête-
une jeune femme avec une
et
—
Suite de G dessins.
Ils
représentent sur trois feuilles, au recto
au verso, des scènes de mœurs.
négrillonne dans les hras, ce dernier à l'encre de chine
rouge;
;
—
Exécutés à t'encre de Chine. Ane. collection Paul Lel'ort. Agente Paris,
deux pa^’sages au crayon
— un prisonnier; — deux esquisses de 10.
d’olivares. etc. iMadricl.
18G9.
Tun du comte duc
portraits équestres dont
Ane. collection de
I).
—
3.
—
Yicente de
38
cru etc.
—
Suite de dessins.
reiu’ésentent
caprices et
Suite de
Ils
reiirêsentent des scènes de
mœurs
Exécutés à l’encre do Chine
et à la pierre
5.
—
lioilly.
12.
des
plume
et
au crayon, à
partie.
Suite de 9 dessins.
représentent des scènes fantastiijiies Exécutés à
la
plume. M.
Paris. Appartient à
13.
Bernardino
Ils
430 francs.
Exécutifs ])ar des procéilés différents. Madi'id. Apjiai'tiont au niarijuis de Casa
divers,
plupart une
—
Vente Paris.
Suite de .38 dessins.
la
Saragosse. Apj>artient à D. Alontanez.
et
noire.
—
la
Bordeaux en grande
des Caprices.
1869.
sujets
hrève légende de l’écriture du peintre.
dessins.
Ane. collection Jules
des
portent pour
Exécutés à
—
20
Ricardo de
D.
dessins. Ils
4.
à
.
Exécutés par des procédés différents. Madrid. Ajqjartient à 1). Aureliano de 11
Appartient
Madrid. Madrazo. 11.
Suite de
dessins.
Exi'cutes à la sépia.
Carderoi-a.
Exécutés par des procédés différents.
3
Suite de
II.
Rouarl.
—
Suite de
Ils
représentent, l’un une vache au pâtu-
rage, l’autre
2
un
dessins.
homme
arrêtant un che-
Jimenez. val. 6.
—
Suite de
3
Exécutés à l'encre de Chine.
dessins.
—
II.
0,12
L. 0,18. Ils
rejirèsentent
un
homme
assis,
une
Paris. Appartient à
M. A. Beurdeley.
;
CATALOC.Ul': 14.
—
L
l)l<:
'
Oh;
UVK
Poi'trait (la roi Charles IV.
—
Exécuté au crayon. Madrid. Apparlioiit à nalionalc d'Espagno.
I'KI.XT
h:
—
23.
Portrait
0,08; L. Ü.ÜG.
II.
E.xécuti'
Clialcogi'aphie
la
24.
—
dkssixk
l'/l
du
153
du pcialie Jarier Goija
/ils
au craynii en 1803.
Portrait de h' Juaua Galarza de Goi-
coechea. 15.
—
de
Portrait
femme
Marie-Louise,
reine
la
Ex('‘CUlé’
de Charles IV.
—
E.vcculé au crayon. Madrid. Appartient nationale d'Espagne.
L. O.Ui.
0.08;
II.
25.
—
Portrait de Cean ISermudez.
17.
—
Portrait de Mdjuel de Mus(]uiz, coude
Evi'culé'
26.
—
di.'
—
18.
—
17 fr.
pluiiili.
Vente,
l’aul Lel'orl.
l'aris,
27.
—
Portrait
Portrait de Mir/uel de Masquiz. comle
tête
et
en buste, [U'olil
décorations
;
tête de trois
la
sur son habit des
soinniaircinent
sont
Muséum,
bristisli
l’rint
ttoum.
28.
— Portrait de femme. Elle est reiirésenléc de trois ([uarts, tour-
Ane. collocl.ions Cean IJermudez l’aris. 1809.
—
et l’aul
31 francs.
née vers
’la
gauche,
Portrait de Francisco Goj/a.
cheveux bruns en
les
les
épaules,
vêtue d'une robe gris-bleu bonléc
de four-
retoinljanl sur
légers frisons
—
Wellesleij
Colleij
coilTé d'iui
E.vécuté à la plume.
20.
.Javier Millau.
t).
E\écut(' à la sanguine.
ti’ois (luarts.
droite.
la
tricorne, les clievcnx poudrés avec la (jueuc.
Vente,
0.11; L. 0.09.
II.
à
Arthui'
cmqis de
le
Londres,
tournée vers
Lel'orl.
de
—
indi(iuées.
Portrait de Fiamcisco Goi/a. est i'e[)i‘ésenlé en hiislo, de
11
la
180.3.
est représenté
Il
quarts, croix
—
Goi-
duc de Welliiujton.
;i0.
de Gaaza.
19.
en
Exécuté' au crayon. Madrid. Appartient
Gravé par Selina. 1809.
de
Portrait du lihraire Villareal.
de llauza.
Ane. cülloction
Gumersinda
/)"
cocchca. Elle esl représentée en buste.
—
à la niine
[dume.
la
Portrait de
à la Chalcograiiliie
16.
E.\;éculi'
à
rures. est rei)résenté en Imste, de trois quarts,
Il
cheveux poudrés avec la queue un jabot de dentelles éinergeant d'un col blanc que recouvre un habit à gros lioulons. la tête
tournée vers
la
gauche,
-Miniature survelin.
les
l’aris.
;
Miniature.
29.
—
Tète de jeune
-
0.0-i.
Iteurdeloy.
.\.
homme.
quarts Jusqu'aux éqiaulcs. inclinée en arriére
21.
0.033; L.
11.
.M.
grandeur nature de trois la tête légèrement
est représenté
Il
—
à
.\[ipartienl
;
signé à droite
FraiC<^'
:
Portrait de Francisco Gojja. Goija. est représenté
11
de piadll. coiiïé d'une
Exécuté
casquette à large visière. 1‘txécutü à la i)lume.
Madrid. Seoano. 22.
—
Appai’ticnl
à
—
II.
au
0,08
;
mai'(|uis
de
—
Josefa Bai/eu.
Francisco Goija. t'txéculi'
—
11.
0,43;
au ci'ayon on 1803.
M.
l’aul
Lafond.
Ti’te il'étude.
Signé à droite !)"
sanguine.
l’au. .\|i[iartii.'nt à
L. 0.07.
30.
Portrait de
la
L. 0.33.
:
Fran''“ Goija.
femme de Exéculé'
à
la
sanguine.
—
II.
0.4,3;
L. 0,33.
Ane. colloclion Landrin.
lîiarritz-.Vnglel ii)
.
CATALOi;
154 31.
—
Trie
1)1'^
l' h:
vieillard.
ilr
Evi'cutr
lu
ù.
—
plan
I
les eliidos el
du cirque
rières
srpia.
j
IVanrs.
2.1
I
32.
de
—
Tète de frinine. Evcciitr
I
41.
—
Appai'lient à M. Sigisiiioiul üardae.
—
Combat de taureaux. Exié'ulii
—
Trie de femme.
ApparUeul
Lonilrc.'. lin
—
1859.
à Areliilialil Stir42.
Esq.
—
—
—
ISG'.l.
Etude de taureau.
Va
de
jierc
—
au lavis
Ane. ISlill.
riilleelion
—
el
l’iuil
à la p;uuaehe.
.Maure nionlé sur un cheval ardent tue
Leliu-I.
un taureau d'un
Vente,
l'aris,
.Même
—
Va
au
Evei.’uti.'
—
ISli'.l.
lavis
île
bistre et
l•lllleclion l’aul Lefort.
île
sujet
.
que
la
idancbe 4 de
collecLion Ch. Yriarte.
.\nc.
si'qéa.
Vente,
l'aris.
44.
francs.
.bl
d'une lance qn'il lient
Tauro-
la
machie.
saint endirnv.saat sa croia-.
Ane.
coiij)
des deux inaiiis.
francs.
Il
Lefort. Vente, l’aris,
18 francs.
Course de taureaux.
Fè/jlise.
lin
Evé’iiul.i'
—
1859.
francs.
Iti
au lavis de sanguine.
.\nc. eolleclion l’aul
43.
—
—
l’aris.
Course de taureaux.
Le taureau fonce la tête baissée sur
—
IV
Charles
roi
èi
pada
de
la
reineUanl
el île
les
Toison d'or
a
foiili'
à
person-
insignes
O.iT; L.
l’aris.
Lf/
Exi.'culé à
île
II.
nn amliassa-
U,b'J.
45.
au
fond,
un
faquarelle sur paiiicr gris.
—
—
du conile Doria.
A'ente,
1809.
Le valeureux maure
Gazul attaquant
un taureau.
chute de Sa raf/iisse
.Mi'unc
sujet ipie la planche
n'^
5
de la
Tauromachie.
eiilleclion l’aul Lefort.
—
;
0,22; L. 0,32.
Appartient à M. Man/i.
Exécuté à la sanguine. Ane. collection l’aul Lefort. Vente. Paris.
t'ixécuté à la sépia.
18ti!).
en aide
.\nc. collection
.Mli'gorie.
Ane.
venir
lui
l’aris, II.
l'es-
de divers cotés, des toreros accourent
noniltreux public sur les gradins.
deur.
—
;
prêts
genlilslimmues
île
ofliciels.
l'orilre
d'oi'
représenlé, eiiUmi’i' il'une
o.sl
iiomhreii.se
nages
remettaal la Tuisun
ambassadeur
an.
Ec
38.
l’aris,
.laihlh.
.\nc. culleetiiin l’aiil Lel'url. Vente, l'aris,
37.
Vente,
francs.
1.JÜ
Exé'culé'
36.
d'enci'e de Chine.
Dessin préparatoire pour une eau-l'orte. Em'cuIi’' à la sépia.
35
au pinceau lave
.\nc. collection .Iules Itoill v.
à rriiero ilc Ehiiie.
Iv'iéeuir'
34.
E.xécuté sur papier, à la plume rehaussé couleurs à raquarelle. 11. U, 32; l’aris.
Stii'-
Esq.
lill^'
33.
Cliinc.
île
Appartient à Archilialil
toreros près des bar-
les
puis la foule sur les gra-
L. 0.22.
I
l'encra
il
Limilieÿ.
;
dins.
AiU'. (.iillrcliini l’aul Ld'oi’I. Ycuto, l’aii>. 18G'.l.
DESSINE
l/OEUVKI': l'ElNT ET
l'i
Vente,
l’aris,
1859.
francs.
—
34 francs.
I
39.
—
Scène de riaquisilioii. Londres.
40.
lîritisli
46.
iMuseuni.
l’rinl
Rooin.
—
Pedro Romero tuant un taureau.
.Même sujet avec variantes que la Tauromachie.
—
planche
Course de taureaux. la sanguine. Ane. eolleclion l’aul Lefort. Vente, Paris,
Exécuté à l
la
iv 30 de
n
picador
s'avance vers
a.ssaille lui,
un
tête baissée
taureau ;
qui
an second
1859;
—
39 francs.
CATALOGUE DE L’OEUVRE PEINT ET DESSINÉ
’
47.
—
Dans les
aux courses de taureaux.
Le public
deux toreros
l'arène, à droile,
à rai|uai'clle
Exéeiili' 0,3.0
11.
5
1
;
et
0,20
11.
—
1890.
—
—
La soumission
Un
blessé.
l’aris,
religieuse.
une religieuse age-
nouillée devant lui.
170 francs.
à la plumr
Exéculi'
et
lavé d'encre de
— 0,17 L. 0,22 Ane. colleclion Lefort. Vcnti’, 1809. — 22 francs. Vente Etienne Arago, 1872. — 153 francs. Chine.
le montreur de serpents.
11.
1/2.
;
l’aul
un serpent hoa sur on sa tète et ses bras étendus en croix lit sur ce dessin, de l'écriture du peintre ITi honiine soutient
;
;
57.
Dessin rehaussé de gouaidie.
à tioi'ilcaux.
.\nc. collection E. Vallet.,
Saragosse. Appai'lient à
liernardino
1).
Montanez.
—
50.
58.
L’homme
—
Une femme
Exi'culé à la sépia.
squelette.
représenté d'une maigreur exces-
est
sive
on
;
dans
lit
la
de l'écriture
dessin,
Ambroisio
cl
partie supérieure
du
jieiutre
du
Claudio
:
1800.
59.
—
tenant
0,08 1/2
11.
;
sur ce
lit
de
<lessin,
—
—
U tie
On
;
récriture du
sur
ce
gouaclie
éhime.
sur
—
L. 0,08 1/2.
la
de
l'ail.
gouache
ébène.
sur
—
L. 0,03 1,2.
;
Drosile. Cabinet îles Eslam|ies
de L).
la
dessin, de
61.
l'écriture
du
(provenant vente llabich de Stultgaid).
Douteux.
Bernardino
—
Moine
Une ([u'aiix
cl vieille
vieille
femme.
femme
un moine vus Jusles yeux
et
épaules regardent on avant,
écanpiillés et la bouche enir'ouverto.
Cusligo francés.
Exécuté à Bordeaux. Appartient à Montanez. Sarag()ssc.
Miniature sur 1).
Londres.
Bernardino
Un mendiant.
62.
—
ivoii'c.
Apparticid
à
W.
Rolhenstein
Es([,
— Enfant chantant.
II. 0,17 L. 0,12. Exécuté au crayon. Madrid. Aj)partient à U. l’ilar Echarri.
—
0,0(3
II.
guilloline.
lit
peintre
54.
un, chien.
Homme mangeant
Cusligo franccs.
;
Exécuté à Bordeaux. Saragosse. Appartient à Montanez.
•
la
Douteux. 60.
peintre
—
l’aris,
l die guillotine.
On
53.
Vente,
Dresde. Cabinet des Estampes (provenant de la vente llahich de Stuttgart).
Exécuté à
52.
l’aul Lefort.
20 francs.
Exécuté à
Exécuté à Bordeaux en 1820. Saragosse. Appartient à 1). liernardino Montanez.
—
—
Homme
Esqueleto rivientc en Bordeaux,
ano de lH2ti.
51.
de Bordeaux.
voilée.
Ane. collection 11
l’aris,
— L'acteur tragique.
Serpiente do euatro varas en Bordeaux. l'ixécuti'
;
jeune moine debout, tourné à droite,
regarde avec hauteur
L. 0,li.
;
0.22
—
— Vente,
Ane. colleclion E. Calando. Vente,
II.
Ane. colleclion du comte Doria (provient de la vente de 103 dessins de Goya, du 3avriH877). Vente, l’aris, 1809. 133 lianes. 56.
Le transport d'un
—
Exécuté à l'encre de Chine. L. 0,15.
à la gouache.
1809.
l>ai-is,
—
L'avocat.
sur
L. U,2Ô.
Ane. collection du comte Doria.
49.
;
—
gradins une foule grouillante et agitée.
— 48.
55.
155
Exécuté au crayon.
;
l’aris.
.appartient
à
M.
Raymundo
de
.Madrazo.
Les joueurs de paume. II.
—
0,33
Ane.
;
63.
L. 0,30.
collection X...
580 francs.
Vente,
l’aris,
1899.
—
Bersonnages espagnols. Exéculi/'
L. 0,14.
à l'encro de Chine.
—
11.
0,22
:
CATALOGUE DE l/OEUVKE
e;g
Ane.
—
04
Mamuiiilel. Vente,
l'iillrctinn
—
IIS'.IS.
qui
Ceti.v
l'aris,
— Sur
71.
IVancÿ.
‘.lë
Iravnil
le
Exécuté au crayon noir estompé.
fiuüticnl
.\nc. collection
l'Aeeuli' à
IVnere
(le
Gliine.
—
II.
0,i(l
I
2
65.
—
1811'.).
un
niiedoMiK u
0,21
II.
—
1809.
—
/
1890.
—
Exéculé à llordeaux. Paris. Ane. collecllon Ch. Yriarte.
—
74 E.
h'Ainou)’
Galando. Vente,
Un homme pondu accroché par
l’aris.
Muci
sonlieiil
dans ses
iUi.'uno
lu'as
snjiq
i|ue
un
—
75.
liai'
l’aris.
A iiparlienl
IlirsHi.
76.
(JuichoUe.
— Le
livres,
se
siijid
maigre désignant du doigt onveids à sa droite, un sur lequel est posée nue épée au
lient lin lioniine
t'antenil
livres
II.
0.21
77.
II.
0,2:i;
l)raei|Uemi.ind.
L. à
0,1
ipio
l'eau -forte
.\nc. colleclion Paul Lefort.
78.
— 40 francs.
portant
le
Vente. Paris,
—
Le sonne
Exéculé à Pencre de Chine. Vinile.
l’aris,
.inc. collection Paul Lefort. Vente. Paris.
seiqicnls.
79.
Exécuté à l'encre de Gliini'. Ane. collection Paul Lefurt. Vente,
—
sujet
1809.
i.
— Les channcurs de 1809.
20 francs.
E.xéculé à la plume.
1809.
70.
—
l'encre de Gliine.
Ane. collection Marinontel. 1898.
même
•
— Scène de rnaxcarade. Exécuté
du
— Le prisonnier.
.^ne. collection Galiclion.
69.
une variante
mi'ino tilre,
L. 0,1 i.
Gravé par
avec
an verso.
.Mi'une
<iijya. :
pédanL.
18(19.
:
:
27 francs.
Exécuté à la sanguine. Ane. collection Paul Lefort. Vente, Paris.
;
second plan, diverses figures l'anlastiques de femines el d'animaux. Signé
colleernm Paul Lefort. Vente, Paris.
—
Caprice,
Devant, une laide cunverte de
francs.
Exc'culéà l’encre de Chine. .'tnc.
1809. à .M.
.ji)
Scène de uururs.
la
Hirsidi.
Gra\'i‘
—
1809.
10 des Caprices.
|danelio n"
à la pierre noire.
.\nc. collection .Iules Itoilly. Vente, Paris.
le.
Mort.
lioninie qui so niciirt.
un de ees
son véle-
meni. Ex(‘cuti'‘
la
el la
i'einme
— Mon
est pré-
dans une sorte de jiuils par des personnages dont on distingue mal les traits.
100 tVancs.
— ¥J Arnor y Eue
dans un précipice
cipiti'c
l’aris.
L. o.l'i.
Ane. eidleclion
.
•
Eue jeune remme vêtue de Idanc Galando. \'enle,
17.
200 francs.
0,2:i;
Vente, Paris.
francs.
21
— Jeune femme jetée
73.
de mur^carade
ner. II.
68
—
ijalo muij nci/eo.
torrieos de niut^cani.
1
.
67.
Exéculi' ilia pierre noire. .\nc. collection Paul Lefort.
L, 0,12.
;
Ane. rolleetion
.
Fille, inére el aïeule.
— lIKHr.
Ijs peurcuücx du chai noir.
66
—
72.
1809. ./ans
Paul Lefort. Vente, Paris,
francs.
il
;
Ane. colloetuni du euinte Doria (provoluinl de la vente de lU.â dessins de Goya, avril 1877). Veille, l'aris,
—
1809,
L. D.IT.
l:i
l'ahiine.
.Mlégorie politique.
fuient
ainsi.
du
DESSINÉ
l'ElAT ET
21 francs.
l’aris
—
33 fi'ancs.
— Scène cspannole.
Eue maja releve son Las, i.lerrière majo csiiuisse un pas de danse; en
elle
un
arrière
CATALOGUE DE L’OEUVRE PEINT ET DESSINE une seconde maja sonnages
Gravé par
—
80.
J.
—
88.
par terre.
Déjalo todo a
la
Probidencia
Elle laisse tout à la Providence.
Une femme en mantille noire
.Jacquemart.
promène.
se
—
Exécuté à l'encre de Chine.
Caprice.
IL 0,12:
L. 0,18.
Un le
et plus loin d'autres per-
à demi-coucliés
1S7
Iioimne nu,
les
bras attachés derrière
M. A. Reurdeley.
Paris. Appartient à
dos est entraîné par des démons.
—
89.
Première pensée d'une Htliograpliie de
Cuidado con
las consejos.
Prenez qarde aux
avis.
l'artiste.
E.vécuté
.à
l'encre de Chine.
.\nc. collection
18
(
1 ( 1
.
— 25
Une femme
Paul
J.jçl'ort.
Venh'. Paris.
homme
— Femme avec un enfant.
81.
droite appuyée sur
main gauche
l'rancs.
L.
Appartient à
Raymundo
M.
— Portrait de D. du
Sébastian
ila
tableau de
le
1809.
83.
—
le
84.
—
869.
—
Exécuté à l'encre de CIdne.
du
nain
Phi
roi
— El
91.
Duc
il
Oli-
assis les
jambes
repliées,
Paris. Appartient à
92.
— Lo
M. A. Beurdeley.
tient le soc
Exécuté à l'encre do Chine.
93.
Les buveurs.
—
II.
0,12
:
—
M. A. Beurdeley.
Muii accordez.
Bien d'accord
tableau de Velâzquez.
Paris. Ane. collection Paul Lefort.
— Esope.
Un homme assis chante en s'accompagnant de la guitare, une femme assise à ses cf)tés chante avec lui. Exécuté à l'encre de
tableau de N'eiaziiuez.
Lüiiilres. .Vue. collectiuii
d’une
L. 0.18. Paris. Appartient à
— Los borrachos
le
0,12:
mismo.
Un liomme vu de dos
'l'orres.
D’après
11.
—
charrue attelée de bceufs.
—
le
petit
De même.
tableau de Velâzquez, aujour-
H.ü,2.à; L. 0,18. Exécuté au crayon. Madrid. Appartient au marquis de Casa
D'après
un
L. 0,18.
Ane. collection Paul Lefort.
le
un
genoux, travaille à une cliaus-
Exécuté à renci'o du Chine.
d’hui perdu.
87.
les
garçon.
tableau de Velaz(iuez.
— Portrait du portier Ochoa. D'après
:
trabajador.
Un aveugle enfant sur
varés.
86.
cierjo
plan, on aperçoit une fillette et
Paris.
0,12
sure qu'il tient en l'air; à droite, au second
26 francs.
le
II.
L'aveuijle laborieu.v.
tableau de Velâzquez.
Portrait équestre du Comte
D'après
85.
—
Paris. Appartient à IM. A. Beurdeley,
del Primo,
Exécuté à la sanguine. Ane. collection I*aul Lefort. Vente, Paris, 1
un ouvrage de couune chaise à dossier l)as; à
travaille à
L. 0,18.
lippe IV.
D’après
0,12:
côté d'elle, son panier à ouvrage.
22 francs.
— Portrait
II.
Appartient à M. A. Beurdeley.
ture, assise sur
Exécuté à la sanguine. Ane. collection Paul Lol'ort. Vente. Paris.
—
Cliine.
ilc
0,18.
Une femme
roi Pldlippe IV.
D'après
cause avec un
Le travail récompense toujours.
Morra. nain
\'elazqiiez.
l’air,
main
— El trabajo siempre premia.
90.
82.
levée en
la
à ses côtés, la
âgé, assis en face d'elle.
l'aris.
lic
Madrazo.
vue de dos,
un panier
Exécuté à l'encre
E-vécuté au crayon. l’aris.
assise,
Morse.
Cliiiie.
—
H. 0,12;
L. 0,18. Paris. .\\q)artiunt à M.
-V.
Beurdeley.
CATALOGLIE DE L’ŒUVRE GRAVÉ
Eaux-fortes détachées 1
—
.
La fuite en Egypte.
La
Marie,
vierge
les bras,
montée sur un âne que
est
Joseph conduit par Signi'
—
2
—
.
dans
iiu'>.
Un aveugle au milieu d'un groupe d'hommes et de femmes du jieuple chante en s’accompagnant de la guitare; à gauche, un attelagede hœufs conduitjiar un paysan â droite, des marchands de melons; au
et f'ecit.
L. O.OtlaL
:
preniière
la
planche de
fond, un château fort.
Itare.
Signé au milieu d'un tas de pierres, à
Saint hidore.
gauche
Le saint à genoux regarde le ciel, les bras étendus; au second idan. deux Ixeufs sous le jotig. Encadrement formé par deux troncs en
SiRiii'
gauelie
:
l'ioya,
Eau-foi'le.
Très unique. 3
.
dans l'angle
bas,
iid'érieur
:
Gnj/n.
—
fiau-forte.
Très
5
d’arijres.
—
Aveu;/ le chanteur.
;
0,120
II.
Pi’obalilriiK'nt
—
(toyu
;
—
.
saint
le licol.
droite
à.
Eau-forte. (loya.
4
l'enfant Jésus
.
de
—
Le
Un géant nu.
— —
0,2.10; L. O.IO.ô.
II.
Piuil-èli'c
l'are.
iiièine, l'qireuve
les
barbe brune, vu presque
à
bras appuyés
sur les genoux,
une éminence dominant un immense paysage au fond, des villes et des assis sur
est
;
;
effet
de lune.
Ea.u-I'orte.
est représenté en buste, avec
une 'fi'ès
liarlie
Manche,
les
yeux levés vers
le
rare.
Vente Signi' en bas.
ii,
gaui'lic, ilans la nuii'go
—
Iteu.v idals. rari/a.'i
aiipartieiif
0.030: L. O.OOj.
II.
—
Dans
eei'it
à la
d'Esjiagni'.
à
premier étal le l'ims-ei's. Le cui\re le
Clialcograpbie
II. Il
0.28Ô; L. 0.203.
n'en a édé
tiré
que
trois
T^.
Lel'ort. Taris. 1860.
—
38 francs.
;
<',onn, /'.
Eau-forte.
— —
éqireuves.
ciel.
mol
.340.
ijéant.
de dos,
Saint Franroiÿ de Vaule.
longue
0,400; L, 0
/'.
rivières
Le saint
11.
l'arc.
nationale
6.
—
Le ru2)plicc du garrot.
Le supplicié les
est représenté sur l’échafaud,
memhresiiresquerigid.es,
vulsés. la tète
les traits
maintenue dans
le
con-
carcan de
Le catalogue de l’auivre gravé et lilliograpldé de Goya, publie par M. Ta.ul Lefort dans la Gazelle îles Deau.r-.iii.s on 1867-1868, des plus complets et des plus dé'taiilés, a pour ainsi dire épuise la matière et ne laisse presque rien à glaner après lui. Nous y renvoyons donc lesleclours désireux de )dus am](les détails. '
Il
n’est pas tenu
compte des mesures au-dessous de
0,003 millimétrés.
CATALOCri-: DK L’OKl ^KE CIlAVK un
1er,
crucifix
mis dépassant
dans
la
—
Kau-l'oi'l,e.
mains,
les
les pieds
11.
—
rohe lunguc.
—
Difféi'onls états.
Une
0,325; L. U.21U.
11.
Le
La femme à
à la Glialciigraidiie nationale d'Espagne.
Vente P. Lel’ort, Paris, 1800. ancienne 32 l'ranes.
—
Eiireuve
deux mains on voit un chat.
Homme
embossé tlans sa cape.
—
12.
—
—
O.IOU; L. U,i2U.
11.
En
M. Luiiiley à qui aiqiartenail on lit l'aire un tirage à Londres. On no connaît pas d'épreuves anciennes. Vente P. Lel’oi’t, Paris, 1800. Epreuve du tirage Lundi'v Il francs. 1850,
—
.
Aveaijle chanteur.
—
guitare
la
8.
—
maja.
U)LC
poings sur
les
tournée vers
tête
la
du
—
Eau-forte.
En
11.0,100; L. 0,120.
M. Luinlev à qui
1859.
Vente P. Lefort, du tirage Luinley 9.
1800,
Pai'is,
13.
— Ep reine
poings sur
Aecuijle cnlecé
En
— On
cornes d'un tau-
Un taureau échappé enlève
sur ses cornes
un joueur de guitare aveugle.
—
II.
0,135; L. 0,180. 51. P.
La Cazelte des Ileua.r-Arts en a
les
Lefort.
—
un
ti-
fait
rage en 1867.
—
hanches, chaussée de souliers télé tournée vers la gauche.
Eiireuves Vente P. Lefort, Paris. l8CiO. du tirage de la Gazelle des lleaax-Aiis
—
5 et
IL 0,190
:
L. 0,120.
;
M. Luinley à ([ui appartenait le en lit faire un tirage à Londres. no connaît pas d’iqireuves anciennes.
1850,
tirage Luinley,
.5
1869.
— Epreuve
francs.
se livrant
Eau-forte.
—
le
fond,
au
même
—
f 'n
prisonnier.
est représenté les
Il
le dos, les
lient
;
le
liées derrière
corps ployé en lil-
au fond de son cachot. Eau-forte.
des
—
0,105; L. 0,080.
II.
1850, 51. Luinley à qui appartenait le cuivre en lit faire un tirage à Londres.
En
un autre perexercice.
Vente 0. 100
II.
mains
pieds entravés,
Iranl à travers les grilles d'une fenêtre située
hoininc en vêtements sordides se ha-
deux mains; dans
14.
10 francs.
deux, la tête éclairée par une Inmière
à la balançoire.
lance assis sur une corde qu'il
sonnage
sui’ les
13 francs.
la
L'homme
Un
— E|U'euves
7 fr. 50 et
Le cuivre a apiiartenu à
Vente P. Lefort, Paris.
du
:
les
Eau-forte.
cuivre
Paris, 1860.
Lefort
reau.
Une maja.
découverts,
—
—
P. Lefoid.
tirage P.
Eau-foi'te.
—
adjonction d'aqua-tinte.
L. 0.105.
18 francs.
:
Elleestre[)résentéedebnut,en manlille,
10
avi.'c ;
a[iiiartenait
cuivre eu lit, faire un tirage à Londres. On ne connaît |ias d'épreu\ es anciennes.
—
0,165
Vente
la
droite.
le
II.
—
hanches, chaussée de sou-
découverts,
liers
Eau-forte
Le cuivre a ap|jartenu à 51. P. Lefort qui on a fait faii'e un tirage à Paris. On ne connaît pas d'i.qircuves ancienni's.
Elle est reiii'ésentée dehoul, en mantille, les
au second plan, des figures
;
grotesques.
:
—
bords et chante en s'accompagnant
à larges
de
chapeau
est assis, la télé couverte d’un
Il
le l'uivre.
IL 0,190; L. 0,120.
51.
LS.'iO,
;
;
Eau-rurte.
sur un tronc d'arbre,
;
—
lop[ié dans sa cape sons laquelle il cache un tromhlon au second plan, un taureau cou-
ché.
intérieur de
Luinley à qui appartenait le, cui\-re en lil faire un tirage à Londres. On ne connaît pas d'éprouvos anciennes. Vente P. Lefort, Paris, 1800. Epreuve du tirage Luinley 10 frani'S.
est représenté incliné en avant, eiive-
11
—
Eau-forte.
En
—
balançoire.
lient des
;
7.
la
femme, dans un
halance assise sur une corde qu'elle
forêt, se
a|ipartient
(.aiivre
vieille
159
L. 0,120.
du
P. Lefort,
tirage Luinley
Paris, :
1809.
—
Epreuve
12 francs.
En
1859, M. Luinley à ipii apiiartenail cuivre on lit faire un tirage à Londres. On ne connaîl pas d'éiireuves anciennes.
le
—
Vente P. Lefoi't, Paris. 1800. tirage Luinley 7 francs.
du
;
—
15.
Eiu’euvo le
—
Un
pt’isonnier.
Assis à gauche, sur un siège pris à même mnr, les mains liées et les ineds entravés.
i;
porte
il
un carcan
lUi l'oii
une
jiar
A
l'
K
i/oi:i'VK]: (iiiAvi:
1)1':
la iiinraille
relié à
an rnml,
cliaînc;
li.uirilo
TA L(m;
i
18.
porte
la
cintrée du cacliol.
—
l'iau-roi-lo.
Kn
cuivre en
11'
0,1 10
11.
lil
L.
;
faire
un
lirape Luniley
1800.
—
Hpreuve
sur
Eau-forte
prUonnicr.
P.
(lu tirage
0,100
11.
17. — Il
la
Lefnrl di.'
0,070.
L.
;
,
Paris. 1800.
—
0
lomhe
:
—
IL 0,145
;
L.
.
'Très rare.
20.
—
Ecusson.
armoiries de Tordre
des
—
presque de face, en lornhanl
un hàlon de
la
Signé on fias: Goga. suiiérieuro, on lit
Inisle.
sui'
marge
les
21.
—
Scène de I Ingaisition
22.
—
Vue mascarade.
1
—
II.
0,000; L. 0.070.
apparlicnl
D.
à
Ignacio
O.Ol.'i
11.
l'hi
:
Del
;
L.
haut, dans la S>'
Jovellano.s.
0 000.
Très rare.
le
main gauche
—
Eau-forte.
ramenée en avant. Le cuivre Zuloaga
rivière qui
militaire de.Calalrava ou d'Alcantara.
cmlna.mssaillés
Eau-forte.
domine une
Uncadrement
lépéreinent inclinée en avant,
fr(Uit. lenaiil
rocher ampiel on accède par un
Eau-furte el aqua-tinto. 20
.
Epreuves
Vil niciiilia lit
cheveux
liois
arlires cl les murailles d’une ville.
Gazelle des Heaa.r-Arls
la
esl reiirésenté
léle
IL 0.100; L.
en une large cascade; au dernier plan, des
0 francs.
el
7
—
aciua-tint.e.
(.'t
Pagsage.
pont de
Le cui\re a up|iarfenu à M. P. Lefoi'l. La dazplle dca Ileaii.r-Artf: en a fait un lirage en 1807.
Vente
mon-
second
.
Un grand
mains
les
jointes, les pieds entravés.
—
—
19.
sur l'épaule aau-
une lourde chaîne,
Laud'orle.
le
Très rare.
la tête ])oncliée
le sol,
clie attacliée à
l'horizon, de |ietites
à
plan.
représenlé presijne de face, accroupi
est
11
plus loin,
gaucho, une plaine arrosée par
0 francs.
:
;
en arriére, sur une liauleur. une
tagnes; différentes figures éloffenl
.
i’n
;
un cours d'eau;
0 200
—
16.
iiremier plan, deux arhres
l'ahri(jue; à
0.070.
tirapo à Loniires.
Veille P. Lel'urI, Paris. (lu
Paijmgc.
Au
un rocher Luniley à pui apiiarl.cnail
jM.
I8j'.),
—
loutcuse.
Douteuse.
Eaux-fortes, d’après Velasquez. 1
.
—
Eau-forle. 'l'rès
2,
Vente P. Lefurl. Paris, 1800. anciennes 20 et 22 francs.
Iais Menin.a.s.
—
II.
0,360
:
rai'e.
3.
—
—
Portrait équestre du roi Philippe
JIL
Los horrachos.
Sur
la
marge en
bas, on
lit
:
Pinlura de
Velâzquez, cou fiquras del lainaTin nalaral, en el lieal Palacîo de Madrid. que represenla un Paco /inqido coroD.
Iiiego
dibujada y nnndo ah/unos horrachos yrubadu ]ior D. Francisco Goya, pinlor. au O de 177 S.
Felipe III. Sur la niargo en lias, (ui lil rey de Espana. Pinlura de D. Diego Velâzquez, del luinaîio del natural. en el IV. Palacio de Madrid, dibujada y yrahada Por D. Framsi. Goya, pinlor, ano de 177 S. :
:
Eau-forte.
—
11.
la
(|ui
ü,28b
—
:
L. 0,385.
Le cuivre uppartieiil Ghalcogra[ihie nationale d'Espagne CM a fait des tirages à (li\'crscs (qm-
l)ilf('renls états.
à
— Epreuves
:
L. 0,300.
(pU.'S.
Eau-forte.
—
11.
0,355; L. 0,300.
à
—
Le cuivre aijpartient Chalcograpliie nationale d'Espagne en a fait des Tirages à diverses épo-
Différents états. la
(jui
ques.
Vente P. Lefort. Paris, 1800. anciennes 20 et 24 francs. ;
— Epreuves
CATALOGUE DE L’ŒUVRE GRAVE 4.
—
Portrait équestre de la reine Marguerite
femme de Philippe
d'Autriehe,
III.
Deux
;
;
0,215.
sans apparliimt à la Chalcographie nalionale d’Esi>agne ([ui en a fait des tirages à diverses époques. états.
l'inscriidion.
en bas, on Hl h’‘ Margarita de Austria. Iteina de Espana, muger de Felipe III. Pinlura de Diego Velâzquez, del tamano del natural, en cl Pd. Palacio la mai'go
Sui'
— IL 0.320 L. — Le premier
Eau-forte. 8.
161
très rare,
Le cuivre
Vente P. Lefort, Paris, 1869. ancienne 12 fr. 50.
—
Epreuve
:
de Madrid, dihujadu y grabada por Fran‘'°. Goya, pinlor, ano de I77S. Eau-l’oi'te.
—
D.
—
varcs.
—
Dilïéi’ents états. Le cuivre appartient à la Chalcograpliic nationale d'Espagne qui en a l'ait des tirages à diverses époques.
Vente P. Lefort. Paris, 1860. 24 francs. ancienne
—
D.Gaspar Sur la marge, en bas, on lit de Guzman. Fonde de Oliuares, Duque de Sanlucar. etc. Pinlura de D. Diego Vehizquez, del tamano del natural. en el IV. Palacio de Madrid, dibujada y grabada por D. Franco. Goya, pintor, cuio de :
Epreuve
;
5.
—
Portrait érquestre du Comte -Duc d'Oli-
IL 0,340: L. 0,350.
Portrait équestre du roi Philippe IV.
1778.
Sur la raargÆ, en bas, on lit Felipe IV. Rey de Espana. Pinlura de D. Diego Velâzquez, del tamano del natural, en el PJ. Palacio de Madrid, dibt/jada y grabada por D. FratV°. Goya, pinlor, ano de I77S. :
Eau-forte.
Ueuv
—
états.
Eau-forte.
Vente P. Lefort, Paris, 1869. ancienne 20 francs.
Le premier
très
—
fr.
:
Velâzquez que e.i:iste en el IV. Palacio de Madrid, por D. Franco. Goya, pinlor, ano de 1778. Représenta a Esopo el Fabulador Sur le haut de la estatura natural. de l’estampe, à droite Æsopus.
50.
Vente P. Lefort, Paris, 1869. ancienne 24 francs.
—
Esope.
Sacada y Sur la marge, en bas, on lit grabada del cuadro original de D. Diego
:
—
Epreuve
:
:
—
Eau-forte.
do Bourbon, première
femme
de Phi-
:
— IL 0,340 L. — Le premier très rare, sans — Le cuivre aiipartient à la ;
0.30.3.
états.
la légenile.
Chalcograpliie nationale d’Espagne qui en a fait dos tirages à diverses épioqucs.
Vente P. Lefort, Paris. 1869. ancienne 26 francs.
—
Epreuve
:
7.
—
0,315; L. 0,220.
—
marge, en bas, on lit I)u Isalel de Itorbon. Reyna de Espana. muger de Felipe Quarto. Pinlura de D. Diego VeInzquez, del tamano del natural. en el IV. Palacio de Madrid, dibujada y grabada por I). FraiV». Goya, pintor, ano de 1778. la
Deux
II.
;
lippe IV.
Eau-forte.
— —
Trois états. Le premier, sans inscription le second, avec une légende dilférente de colle du troisième état; les deux Le cuivre apparpremiers très rares. tient à la Chalcographie nationale d’Espagne qui en a fait des tirages à diverses
Portrait équestre de la reine Isabelle
Sur
Epreuve
rare,
—
Epreuve de premier état, vendue il y a une cinquantaine d'années à IMadrid
6.
—
;
peut-être unique, sans la légende. Le cuivre appartient à la Chalcographie nationale d'Espagne qui en a fait des tirages à diverses époques.
370 reales, soit 82
0,350; L. 0,303,
—
Le cuivre appartient à la Chalcographie nationale d'Espagne qui en a fait dos tii'ages à diverses époques.
IL 0,345: L. 0,303.
—
— IL
Différents étals.
époques.
Vente P. Lefort, Paris, 1869. ancienne 9 francs.
—
Epreuve
:
10.
—
Ménippe.
Sur la marge, en bas, on lit Sacada y grabada del quadro original de D. Diego :
Velâzquez qui existe en el IV Palacio de Madrid, por D. Franco. Goya, pinlor, ano 1778. Représenta a Menipo Filosofo. de lu Sur le haut de l’esestatura natural. Mœnipjms. tampe, à droite
—
:
Porto'ait équestre
du prince D. Balta-
sar Carlos.
Sur la marge, en ha.s, on lit D. Rtdlasar Carlos, Principe de Espana. hijo did Rey Felipe IV. Pinlura de D. Diego \'eIdzquez, del tamano del natural. dibujada por D. Franclaco Goya, pintor, 1778. :
Eau-forte.
— IL —
0,310
;
L. 0 220.
Le premier, sans inscripTrois états. tion le second, avec une légende dilférente de celle du hoisiènic état: les deux ))re Le cuivre ajipartient mi('rs, très raies. à la Chalcographie nationale d'Esiiagnc ([ui en a fait des tirages à diverses époques. :
—
21
A T A L O G U R DE
d;2
Lol'orl, Paris. 1800.
Vi'iile P.
!''
anciriino.s,
11
.
—
l'oiiraif.
('lai
lie
10
(le
du
—
/ Olî U V U E G U A V
:
P
l'r.
30.
Fcnlinanil d'Au-
Goya, pintor. Existe en Madrid, siito de I77S.
Philippe IV, en
roi
chasse.
Deux
:
—
—
Vente P. Lefort, Paris 1869. Epreuves anciennes 8 10,50 11 et 20 l'rancs. :
—
14
.
—
adjonction d'aipra-tintc le ti’oisième, avec la b'gende; les deux premiers, très rares. Le cuivi'O appartient à la Ghalcograpliio nationale d'Esiiagne (jiii en a l'ait des tirages à divei'scs éi) 0 i|ucs.
Sur
;
—
Portrait
du
île
—
II.
0.185
;
—
L. 0,145.
15
.
_
0,260
;
L.
;
roi Philippe
IV.
— IL 0,255; L. 0,140. rare. — Trois éqireuves seulement
Eau-forte.
Très
sont connues.
—
Portrait del Primo, nain du roi Phi-
16
.
—
Portrait de Francisco Bazan, fou du roi Charles II.
—
IL 0,250
;
L. 0,120.
Très rare, peut-être mèmeépreuveunique. ]\'oT.x. Go jiortrait attribué' par les uns à Velâzquez, l'est par d'autres à Carreno.
—
lippe IV. la niargo.
11.
Portrait de D. Juan d'Autriche, fou du
Eau-forte.
Sur
—
—
;
.
Barbar-
—
—
;
13
:
[lure et
— Le prcniiei',
—
lit
Le premier, à l'eau-forte sans inscription; le second, avec adjonction d'a(|ua-tinte le troisième, avec Les deux ]iremicrs, très rares. la légende. Le cuivre appartient à la Clialcograpbie nationale d'Espagne qui en a fait des tirages à diverses époques. Trois états.
IV.
sans inscripGon le second, avec les noms de Vidazle troi(juez et Goya gravés à la jiointe siènic.avec une légende ilill'érente de i-ello ilu quali’ièine état, Les li'ois premiers, très rares. Le cuivre appartient à la Ghalcographie nationale d'Espagne, iiui on a l'ait des tirages à diverses é[)oipies. états.
marge, en bas, on
Eaii-l'ortc et aqua-tinte.
;
Eaii-foi'te.
la
0,140.
Sur la inarg,', en bas, on lit Saendn y grabada dcl ciiadro original de l). Idego Velâzquez, en que se représenta al vivo un Enano del Sr. Phelipe IV, jior l>. Francisco Goya, pintor. Existe en el l'd. Pulacio de Madrid. Ano de IÎ7S. Quatre
Barherousse,
dibujado y grabado por F. Goya, pintor
D. Sébastian de Morra. nain
roi Philippe
dit
roxa. Pintura de Velâzquez, del tamailo del naturul, en el Real Palacio de Madrid,
—
.
de Pernia,
Portrait
fou du roi Philippe IV.
;
12
;
;
0.125.
Trois états. Le proniier à l'cau-fortc pure, sans inscription le second, avec
—
légende. Le cuivre aiipartient à la Chalcograpliie nationale d’Espagne, qui en a l'ait des tirages à diverses époques.
0.200; L.
II.
de
états.
la
pinlor. aiiua-linte.
Palacio
el Vd
— IL 0,195; L 0,150. — Le promicr très rare, sans
Eau-foi'to.
Sur la iiiarge.cn bas, on lit Un infunle de Espaûa. J’inli/ra de Vchizqaez. de tamano miliirK en el Id palncio de Madrid, dibux». y grubudo por Francisco Goya, Eau-fui'tü et
1-]
grabada del cuadro original de fi. fdego Velâzquez en que représenta al vivo un Enano del S. Phelipe IV, por l>. Francisco
lîpi'oiivcs
3“ rial-
IV.;
rin.fiint
triche, frvre
cosltune
:
I
on bas, on
lit
:
Sacadu y
Los Caprichos. Les Caprices. La suite des Caprices est gravée à l'eau-forte et à raqua-tinle. Elle se composait primitivement de 1"! i)lanches publiées en 17ÜG-1707 8 planches supplémentaires y furent ajoutées, ce qui, en 1812 en éleva le nombre à 80. Le premier tirage lait sous ;
yeux de l’auteur fut mis en vente au prix de 288 réaux. Une seconde édition imprimée sous la direction du graveur Rafael Esteve aux frais de 1 Etat, parut en 180G-1807. La Chalcographie nationale d’Espagne publia un troisième tirage de ces planches, très inférieur aux précédents, en 1850; enfin elle eu lit paraître un quatrième
les
CATALOGUE DE L'OEUVRE GRAVE
103
en 1892. Les épreuves d’essai et d’état tirées presque toutes par Goya lui-même, sont Il existe 3 planches supplémentaires des Caprices qui ne font pas
des plus rares.
partie de la suite et sont presque introuvables.
Les Caprices reproduits eu fac-similé par Segui
et Riera ont
de Barcelone, en 188b, et à Paris par
librairie artistique
été édités
par
la
maison Goupil (Boussod
la
Valadon) en 1888.
et
1.
—
Francisco Goya y Lucientes, pintor. Francisco Goya et Lucientes, peintre.
peau à
en
représenté
est
Il
tourné vers
de
le collet
—
Nadic
causent en se promenant.
cheveux longs toin-
—
7.
—
si
main au premier qui
Une jeune femme, couverte d'un
ne la reconnaît pas
un
même
figure
0,173; L. 0,123.
II.
8
.
—
Que Us
se la lleearon
t
l'enlevèrent.
Deux hommes inasqués
vieil-
encapuchon-
et
lard laid et repoussant; au fond, une foule
nés enlèvent de vive force une
gesticulant et hurlant.
crie
;
par
les pieds.
II.
3
.
0,180
L. 0,120.
;
Que viene Voilà
cl
Coco. 9.
Croquernitaine.
le
femme
qui
l’un la soutient sous les bras, l'autre
IL
—
ainsi.
;
la
de deux horribles
est conduite à Tautel [lar
duègnes
la
L. 0,120.
Un élégant s’est approché d'une jeune femme qu'il dévisage avec un lorgnon au second plan, deux autres femmes assises.
al
se présente.
haut de
le
louji, suivie
;
Ni asi la distingue. Il
prononcian y la mano alargan priinero que llega. Elles prononcent le oui et donnent El
0,190
II.
R. 0,135; L. 0,110. 2.
se connaît.
Divers personnages masqués et costumés
profd,
du vêtement.
se conoce.
Fer sonne ne
gaucho, coiffé d’un haut cha-
la
la Bolivar, les
Imnt sur
buste,
6.
—
0.
185
;
L.
0,
1
43.
Tantalo. Tantale.
Deux enfants,
cffraj'és
à l'approche d’un
personnage caché sous un manteau qui lui donne l'aspect d'un fantôme, se réfugient
dans
sur
bras de leur mère.
les
Un homme dont profonde douleur, ses
le
les
visage exprime une mains en croix, tient
genoux une
femme évanouie
et
demi-nue. II.
4.
—
0,190
;
L. 0,135.
El de la rollona.
10.
—
II.
0,170
El
Amor
Lienfant de la rollona. L’n domesti(iue essaie
d’entrainer
qui se
met
II.
5
.
—
homme
les doigts
l’aide de lisières
en enfant bouche.
halnllé
dans
la
ensendde
;
II.
mort.
Près d'une somljre muraille, une
qui se
meurt
;
femme
homme
à terre, une épée et un cha-
H. 0,190; L. 0,130. 11.
conversent
en arrière, deux vieilles
0,175; L. 0,115.
Muer te.
peau.
se ressemble s’assemble.
assises les regardent en riant.
et la
en pleurs soutient dans ses bras un
Tal para quai.
élégant et une élégante
L. 0,125.
y la
L'amour
0,17.5; L. 0,130
Qui
Un
un
à.
;
femmes
—
Muchachos
A
al avio.
la provision, les enfants.
Ouatre bandits causent arbre. 11.
0,185
;
L. 0,115.
assis
au pied d'un
CATALOGUE DE
104
—
12.
/I
caza de dientes.
A
la
Une
de peur
—
an pendu.
à
0,180
—
rit
au second plan, un quatrième
;
0,185
corheille de victuailles
L. 0,115.
:
une de
levée vers le ciel
l’arbre,
II.
!
20.
—
L. 0.120.
;
assis et debout.
—
Dias la perdone
:
Y
era su madré. c'est
sa
22.
—
mendiante, appuyée sur une béquille, demande la charité à une jeune
d'homme;
0,195; L. 0,13.
Quai
la
descaùonan
!
p>lument! de
loi,
deux à
tête
et à
de chat, ai’rachent les ailes à un vo-
femme.
buste de 0,135
L, 0,125.
;
Pûbrccitas!
suivies de
II. ;
L. 0,125.
23.
Bien
tlraila esta.
Il est
bien
sur
vieille
femme,
le
;
juet sa jarretière,
bord
deux
hommes embossés
dans leur
—
0,180
;
L. 0,125.
Aqucllûs polvos! Ces pjoussières...
lii'é.
tille
appuyé
0,175
tête
cape.
élégante qui refuse de l'écouter.
11.
coups de balai
Deux femmes encapuchonnées s'avancent,
vieille
Une jeune
à
déplumés à
Pauvres petites!
mère.
—
femmes, encouragées par chassent
Comme ils la Trois hommes latile à
L. 0,130.
;
21.
griffes
Que Dieu ha pardonne, car
17.
pjl Limés.
vieilles,
II.
H. 0,175
femme
de
L. 0.130.
;
Deux jeunes
assise, l'éventail ouvert
main, écoute à la déroliée, une vieille duègne assise à ses côtés, ipii lui parle avec animation ; au second plan, d'autres per-
Une
sur les branches
;
volatile à tête
deux autres volatiles semblables qui ont encore leurs plumes s’échappent à tire d'aile.
la
—
arbre droite
Ya van desplumados.
II.
16.
à
;
conseils.
Une jeune femme
0,180
0,190
trois volatiles
Eellos consejos.
II.
un
Les voilà
deux
0,175
sonnages
dTm
d'homme
agenouillée les mains jointes,
vieille
tête
sacrdficio!
Fameux
à
au pied
d'homme.
contrerait.
—
assises
vers lequel volent d'autres volatiles à tète
Quel sacrifice
15.
Todos caerdn.
lilument un poulet à tête
Des parents accordent la main de leur tille, jeune et jolie, à un vieillard laid et
II.
0,175; L. 0,120,
Deux femmes
la
les Ijras.
Que
déshabillé, soute-
Tous tomberont.
moine s'avance, une 11.
vieillard à moitié
chaud.
Trois moines sont assis à une tahle ; deux mangent en ouvr.ant une large bouche, le
14.
—
19.
troisième
se le ciueina la casa.
11.
L. 0,11a.
;
HAYE
nant son pantalon à deux mains, marche avec difticulté dans une chambre envahie par les flammes.
Estan calientcs. C'est
dans
y
Un
el se ca-
main gauche le visage avec un chant de mouchoir, essaie de la main droite d arracher une dent
G
Et sa maison brûle.
la
13.
—
18.
chasse de dents.
feiiiiuc treiiiblîinte
11.
VUE
ET )E U
d'un
luaisero
le ;
pied
Sur un échafaud, une femme assise, la tète couverte d'un bonnet -pointu, revêtue
une
d'une longue tunique, écoute la lecture de
assise en arrière, la regarde.
la
L. 0,135.
haut d'une chaire un
sentence de l'Inquisition (pie
lui
fait
du
familier du Saint-
CATALOGUE DE L’OEUVKE GRAVE Office
;
temple
au pied de l'échafaud, la condamnée. 0,185
II.
24.
—
la foule con-
n
tj
30.
la ceinture,
IL 0,190
;
tient
dans
mains des sacs
les
quatre personnages qui se rient de II.
31.
—
0,195
L. 0,135.
lui.
L. 0,125.
;
liuega por ella.
pour
Elle prie
Une jeune
fille
elle.
assise tire son
dant qu'une autre jeune
un
vieille, assise
qiril a cassé la cruche.
? ?
d'argent qu'il essaie de cacher à la vue de
montés sur des ânes.
Si quebro el cdntaro.
qu'un
L. 0,125.
;
Por cpie esconderlos Pourquoi les cacher
Un avare
le
d'une foule vociférant, accompagnée d’alguazils également
Parce
—
eut pas de remède.
et
coiffe
le
chausse.
IL 0,180
Une femme nue jusqu'à
25.
le
L. 0,130.
;
bonnet pointu du Saint-Office sur la tête, le carcan au cou et les mains liées, à califourchon sur un âne, s'avance au milieu
—
pendant qu'un valet
autre
No hubo remedio. Il
lit,
lü'j
[leu
fille la
lias,
[len-
coiffe;
une
en arrière, égrene son
chapelet.
Dans un galetas où des langes sont étendus, une mère frappe avec son sabot son enfant, qui vient de briser une cruche. IL 0,180
26.
—
Ya
IL 0,185
32.
—
P orque
ont un siège.
elles
pleure silencieusement.
Deux jeunes femmes couvertes seulement de chemises courtes, Tune debout, Taulre chacune une chaise sur la deux hommes les regardent en riant.
x\qua-tinle seule.
33.
—
;
Quicn mas rendido?
Qui
Un
est le
?
des déclarations
galant fait
femme
amou-
presque de dos, semble très souffrant.
assis,
H. 0.185
qui les dédaigne;
au second plan, d'autres personnages
;
en
34.
—
28.
—
0,180
;
el
suèno.
Elles sont vaincues
Dans une prison,
L. 0,120.
de Chiton.
Chut
L. 0.120.
;
Las rinde
avant, deux petits chiens. II.
vêtu, ariai-
;
;
plus ennuijé
reuses à une jeune
une dent à un patient
deux autres qui viennent d'être opérés sortent de ses mains Tun perd le sang par la bouche, l'autre, clie
—
L. 0,125.
Au
Un charlatan, magnifiquement IL 0,195; L. 0.149.
27.
— IL 0,175:
Al conde Palatino. comte Palatin.
assise, portent
tête
?
fut-elle sensible ?
Dans une prison éclairée par une lanterne suspendue au plafond, une jeune lille assise
tienen asiento.
Mainlenant,
fue sensible
Pourquoi
L. 0,135.
;
L. 0,130.
;
soupirail
grillé,
par
le
sommed.
éclairée par
quatre
une sorte
femmes sont
endormies.
!
IL 0,190
Une jeune
demi caché sous la manlille, fait un signe à une vieille a[)pujée sur un bâton à droite, un tronc éh'gantc, le visage à
35.
—
;
L. 0,135.
Le descanona. Elles
le
rasent.
;
Dans une chambre meublée seulement commode, un éléganl se fait raser par une jeune femme qu'il regarde en coulisse en arrière, une servante portant une cuvette, une vieille duègne.
d'arbre.
d’une
IL 0,190; L. 0,125.
29.
—
Eslo
si
que
es leer.
;
Voilà cc qui s’appelle
Un personnage
assis, les
lire.
jambes
croisées,
11.
0,195
;
L. 0.135.
CATALOGUE DE L’OEUVRE GRAVE
1G(>
—
36.
deux
Main noche.
de
Mauraisc
épaules.
nuit.
Par une nuit orageuse, deux femmes, dont l'une porle un paquet ei dont l’aulre a les jiqies relevées par le vent, iiasseiil par
milieu désert: au
loin,
IL 0,190 43.
—
0,190
—
d'autres ])erson-
Un homme Si uihrd
di$cipulo ?
inài< cl
table,
la
à
j'i
à
lire
la
raison enfante
le
les
coin d'une
lui voltigent des
présente un cixqyon
chauves-
un de ces derniers lui pour l'engager à repro-
duire scs visions.
d'aulres Ones lirayent.
H. 0.183
L. 0,120.
;
La légende
0.185; L. 0,120.
II.
razdn pjroduce rnons-
dort a[)puyé sur
autour de
souris et des hiboux
la main, enseigne un ànon; plus loin,
àne, une IVuade
gravement
leurs
monstres.
L'ch’cc en saiira-l-il davantaçjc 3
Un
El sueno de
L. 0.130.
;
sur
L, 0,120.
;
Le sommeil de
II.
portent
qu'ils
truos.
nages.
37.
ânes
est inscrite
à
même
la gra-
vure dans l'angle inférieur de gaucho.
—
38.
Brahisiiiio ! lU‘avii)iimo
Un àne guitare et
un singe jouant de
assis éeoute
—
seconde lient
Aÿla su ahuclo. Jusqu'à son grand-pcrc.
—
45.
—
H. 0,20o
;
De que mal morirâ ? De quelle maladie mourra-t-il?
II.
moribond
0,180
le
;
L. 0,123.
y a beaucoup à boire.
11.
singe
fait
sur
tête
0,180
;
L. 0.133.
Vorrcccion.
Des sorciers tête
portrait
le
;
Correction.
<rnn àne qui
bi toile
ii'i'il
d'animal
et des sorcières
plusieurs
et
dont Lun à
munis
d'ailes
s'élèvent dans les airs.
IL 0.190
peint,
de cheval coilfée d'une 47.
perruque à marteaux. II.
—
L. 0,130.
lui, et
0,185
au fond, deux person-
;
46. ;
on aperçoit une
—
0,190
souris s’envolent.
de médecin tàte
ni moins.
pose devant
42.
;
une troisième
au fond, suspen-
veau-nés, en haut, à gauche, des chauves-
Ai màs ni menos. Ai
Un
l'aide;
main
as-
Tl ois horribles vieilles prisent et conver-
L. 0.135.
nages debout.
—
à la
femme,
deuxième, une
sent; à leurs pieds, un panier plein de nou-
pouls à un
.
vieille
Macho hay que chupar. Il
—
sciili'.
Un àne en costume
41
une
femme
vieille
un balai
11.
portraits d’autres ânes.
40-
jilan,
(juenoniile; au
due par des cordes, une nichée d'enfants.
Un àne en costume d'homme, assis ilans un l’aiiteuil, contem[>le un album rempli do Aqua-linto
delijado.
Au premier sise, file sa
L. 0,130.
:
]lila)t
la
en arriére, deux personnages rient
0,18;j
—
Elles filent metiu.
ajiplaudissent. 11.
39.
;
44.
!
—
;
L. 0,130.
Obsequio d
maestro.
cl
Hommages au
maitre.
L. 0,130.
Des sorciers
Tu que no Toi qui ne
puedes...
peur
fias...
Deux hommes sont courbés sous
et
des sorcières sont pros-
ternés devant leur chef amiuel offre le
poids
un enfant nouveau-né. 11.
0,190; L. 0,125.
l'un d'eux
CATALO(iUE DE
—
48.
L’
OEUVRE GRAVÉ
Soplo7ies.
167
à la main, s'apprête à manger ce qu'un second [lersonnage lui présente dans une tasse en arriéré, un troisième personnage les
Souf/leiü'S.
;
Un grand
dialdo ailé, à califourchon sur
un chat, réveille de son souflle trois moines endormis; au loin, diirérents personnages
poings fermés.
II.
;
55
L. 0,123.
.
Trois êtres monstrueux à grosse tête, Tun et
causent en-
semble. II.
0.190; L. 0,130.
Los chinchillas.
remplacées par des serrures fermées, et jeux clos, reçoivent la nourriture d'un troisième les veux bandés et orné d’oreilles
56.
—
—
L. 0.120.
coupent
0,130.
hercule à jambes de satyre soulève [deds un homme en riches vête-
les
ments dont
II.
les ongles.
57.
—
Un démon coupe les griffes du pied d'un second démon un IroisiéJiie abrite les ;
deux premiers de ses
L,
Subir y bajar. et descoidre.
Un par
Se repulen. Ils se
;
les
mains
et
la télé laissent
échapper des llammes; deux autres [)Crsonnages tombent du ciel à ses côtés.
d'âne. ;
d'une ex-
décré[dte,
Monter
les
0.173
0,190
II.
les
II.
femme
vieille
coquetterie.
Deux personnages blasonnés sur la poitrine, Tun debout, Taulre couché, les oreil-
.
mort.
la
trême maigreur, assise devant sa table de toilette sur laquelle se trouve un miroir, essaie une coil'fu''c; au second plan, une femme et deux hommes se rient do sa
Les chinchilias.
51
L. 0,120.
Ilasta la rnuorte.
Une
d’eux assis à terre, lioivent
—
;
Duendecitos. Petits fantômes.
50.
—
Jusqu'à
—
49.
0,190
0,190
II.
ranLasli(|ues.
0,
La
190; L. 0,125.
filiaciÔH.
Le signalement.
Dans une réunion de famille a lieu la du contrat de mariage d'un horrible nain dont on ne voit que la léde. avec une jeune fille le visage caché sous un mas-
ailes éployées.
lecture
II.
52.
—
0.180; L. 0,12.5.
Lo que puede un sastre! Ce que peut un tailleur !
Des dévots
que d'animal.
et des dévotes se prosternent
au pied d'un arbre sur lequel on a drapé un vêtement religieux. II.
53.
—
—
perroquet sur la
jiatte
le
0,190; L. 0,113.
Trdgala perro Avale
!
d'une énorme seringue
semble menacer de son instrument un second religieux à genoux qu'entourent d'autres
rebord d'une chaire
droite
!
cela, chien
Un moine armé
Que pico de oro!
d'église,
58.
0,193; L, 0,120.
Quelle bouche d'or!
Un
II.
levée
et
le
bec
moines; dans
le
fond, différentes figures
fantastiques.
ouvert semble prononcer un sermon devant IL 0,190
un auditoire de moines qui l'admirent. II.
54.
—
0.190; L. 0,133.
El vergonzoso. Le honteux.
Un homme aux traits obscènes, une cuiller
59.
—
;
aun no Et
ils
L. 0,120.
se
van!
ne s'en vont pas encore
Deux hommes nus
et
!
décharnés soulèvent
avec peine une énorme dalle
(|ui
menace
I
CATALOarE DE L’OEUVRE GRAVE
(18
(le reti'inil)er
sur eux
avec
les regaialenl II.
60.
—
!..
;
;
parasol ouvert au-dessus du groupe
d'aulrcs personnages
le
ell'roi.
Eiisayos.
loi (.'norme
II.
bouc contemple un
homme
66
.
gauche, dans l'angle inférieur
.
—
•
Allâ va eso.
Un groupe compose
67. (.les
les airs
185
0,
Aguarda que
Qiiiéii lo creijera
unten.
te frotte.
pattes de der-
d'homme
terminée par un pied aii’s,
s'échappant des mains (jui
liciuide cpii se
vien-
trouve
!
dans un vase placé devant eux.
par deux monstres, deux sor68.
—
0,190; L. 0,130.
Linda maestra! Jolie maîtresse!
airs.
0.185; L. 0,130.
II.
Miren que cjrahes
Comme
ils
Deux airs, liéat,
avec des oreilles d'àne,
précédées d'un hil>ou.
11.
69.
—
sert
un groupe de démons
et de
sorcières. II.
0.190
;
va
maman
?
Une grosse femme nue est enlevée dans par trois démons dont l'un chevauche un hibou; à droite, un chat tient un les airs
femme, nu
vieille
et les bras
le
buste découvert, se
qu'elle
tient par les
en guise de soufflet pour
un feu sur lequel cuisent des os humains; à droite et à gauche, différents personnages plus ou moins réels. activer
IL 0,175
L. 0,125.
Bonde va rnamii? Oit
L. 0,120.
d'un enfant
jambes
nnit sombre, un dialdeailé enlève airs
;
Sopla.
Une Buen viage. Bon voyage. la
0.185
;
Elle souffle.
0,185; L. 0,120.
les
une
travers les
Signé à gaucho, dans l'anglo inférieur Goya.
l'un 0
l'antasti(iues.
Dans
vieille et
Italai à
!
chevauchent gravement sur des animaux
II.
une
!
sont sérieux
tête d'oisean. l'autre
sorcières nues,
jeune, chevauchent sur un
Deux personnages d'aspect
65.
chat.
d'un diahle et d'nne sorcière nus
cières nues se battent, suspendues dans les
—
te
Une chèvre dont une des rière est
II.
dans
un
L. 0,120.
nent de l'oindre d'un
Excitées
—
;
s'enlève dans les
Qui l'aurait cru!
64.
de chauve-souris,
nus tous deux, passent
en compagnie d'un serpent sur
Attends qu'on
man-
L. Ü.I25.
:
—
ailes de paiiillon
étendue, s'enlève dans les airs; trois
Il,
—
hé(iinlle,
IL 0,185
sorcières accroupies sous ses pieds.
63.
d'un diable et d'une
Volavouiit.
sur la tète, tenant en guise d'ailes sa
—
L. 0,115.
la ('pieue duciuel est installé
Yolavcniitf.
62.
;
;
;
0.l:12o.
l'ne jeune cdt'ganle,
tille
dans
Gare!
par
0,185; L.
0,180
tenant une
Cioi/a. II.
;
village.
sorcière à grandes ailes
des (pienouilles.
SigiH' à
—
et.
une femme nus riui s'essaient à voler; en avant une cruclie, une l(i‘te de mort, deux cliids et
un
Signé à gauche, dans l'angle inférieur Goya.
0.130.
Essais.
61
fond, à gauche,
70.
—
;
L. 0,115.
Devota profesion. Pieuse profession.
Une femme nue fourchon sur
les
à longues oreilles, à cali-
épaules d'un diahle à jam-
bes de satyre, également
nu
et assis à terre,
CATALOGUE DE L’OEUVRE GRAVE prête serment sur
un
livre
que deux person-
bâton de
169
commandement
à la main, débite
j
nages à oreilles d’àne suspendus dans airs,
revêtus d'ornements
et
des sornettes à trois imbéciles qui l'écou-
les
sacerdotaux
tent. j
tiennent ouvert avec des tenailles
en bas, deux II.
71.
—
Si
à gauche,
:
hommes nageant dans un
0,18a; L.
—
77.
0.1 20.
Vnos d
otros.
Des uns
aii.v
démons
armés de hâtons en guise de lances, piquent une cor-
ques, deux vieillards décrépits,
et de
sorcières
nus, en plein air, par une nuit étoilée.
beille
—
autres.
-Montés sur les épaules de deux domesti-
jour, partons.
le
Conciliabule de
72.
L. 0,130.
;
amanece, nos varnos.
Voilà
II.
0 190
11.
lac,
0,17a
L. 0.123.
;
Tu ne t'échapperas pas. fille,
H. 0.193
par
poursuivie
quatre
monstres à tête humaine, s’échappe en riant.
73.
—
78.
—
Despjacha, (pie despnerlan.
Une faire.
74.
—
0,190
;
réveillent.
debout
femme, un
vieille
balai à la main,
homme
nettoie des assiettes; au second plan,
;
II.
ils se
s’approched’unetablesur laquelle un
Un homme assis sur un sac aide une femme à dévider son écheveau à gauche, fille
un
L. 0,133.
;
Mejor es holgar. Le rnieu.x est de ne rien
une jeune
dos
L. 0,130.
;
Dépeche-toi, 0,193
II.
cornes, simulant
que porte sur son
cinrjuièrne personnage.
V’o te cscapar/ls.
Une jeune
munie de
d'osier,
un taureau,
autre neau.
et riant.
homme H. 0,190
L. 0,130.
79.
—
iVo grites, tonta.
souffle
le
d’un
feu
un
four-
L. 0,133.
;
Nadie nos has
visto.
Personne ne nous a vus.
Tais-toi, imbécile.
Une jeune
fille s’effraie
fantômes qui dans
—
apparaissent
suspendus
Cinq moines dans un
0,190
L. 0.133.
;
80.
—
a-t-il
Un homme
et
Ya
es
hora.
C’est l'heure.
personne qui vienne nous
détacher?
Quatre moines qui viennent de se lever s’étirent et bâillent.
une femme attachés à un II.
milieu du corps font de vains efforts pour s'échapper ; un oiseau de nuit les ailes éployées pose une patte sur la tête de la femme et l'autre sur une branche de arbre par
boivent à
H. 0,190; L. 0,133.
No hay quien nos desate? N'y
cellier
pleins verres, auprès d'un gros tonneau.
les airs. II.
75.
lui
à la vue de deux
19.3;
L. 0.133.
le
81.
_
Sueno de
mentira y de
la
la
incons-
tancia.
Rêve du mensonge
et de l'inconstance.
l’arhre.
Une jeune femme demi-nue, avec des un double visage, occupe
H. 0,193; L. 0,140. 76.
— Esta
ailes de papillon et Uin'L.. pues, coino digo... eh
daclo!
Y
si
!
cui-
êtes-vous?...
donc,
comme
je dis...
eh bien', prenez garde! sinon...
Un
le
personnage en costume de général,
centre de la composition
homme lui
aussi le
;
à sa droite,
une main qu'il pose sur sa poitrine; à sa gauche, une autre femme
un
no...
à
a pris
double
main; sur
le sol
visage, est
lui
tient
1
autre
étendu un diable sans .1
»
CATA L OdliE DE L’OEUVHE EU A VE
170
veux: à oiseau; la
lionrlie 11.
un
rôli’'.
pins
sorpcnl-
loin,
en si^ne
o.Ki;;
<le
82.
avaler nn
ne
l'ait
im
ciel;
i>as
II.
épreuves
soiil
homme
essaie de faire [tren-
assis
dre une médecine à nn
doigl sur
le
silence.
E(0t(‘ phinciie. lE.mlli's
dos
à
0,220
;
[)etil eliien.
L. O.laO.
Cotto [daneho, dont les éprouvés soid, des [dus j'aros, no fait [)as [)artie ilo la suite éditée des Caprices.
E. Ü,l3d.
;
]ilns ra.i'os,
(’diloo
])r('l
une reninie
dos
partie do la suite,
('iijirices.
83
—
.
— Dans nnc [irison,nne femme
les
An premier
[dan, une vieille
lamente; une jenne
femme
rlievenx et une suivante
femme
se Cette planche,
s’arrache les
dos
hras an
lève les
est
pieds attachés par une chaîne à
[dus
rares,
endormie,
la jiuiraille.
dont les épreuves soid. ne fait [>as [>artie de la
suite (idiUio des Caprices.
Los Proverbios. Les Proverbes. La
Proverbes sc compose de 18 planches. Un premier
suite des
en fut
fait
en feuilles
tirap,’e
on I8h0, à Madrid, à nn noml)re très restreint d’exemplaires, par nn par-
ticulier qui édait alors
mer une première
dédenteur des enivres. L’Académie de San Fernando
fil
impri-
planches devenues sa propriété, réunies en volume à
ces
fois
et une seconde fois en 18!)l, sous le titre de: Los Proverbios : ocho lâminas invenladas y grahadas a la agua fuerle par 1). // Francisco Goya. Publicala la Real Academia de Nobles Arles de San Fernando. Madrid ISGi. Goya, de son vivant ne ht tirer de ces gravures (fiie quelques épreuves
2dü cxenqilaires en 1804 coUectiôn de
(liez
d’essai, quelquefois en
plusieurs
états,
devenues aujourd'hui des plus rares. Les le Journal l'Art, ont dù, dans série, quoiqu’elles ne soient pas comprises
O planches supplémentaires, imprimées en 1877 par la [)ensée
dans 1
.
de rauteur, faire partie de
la suite
la
des Proverbes.
— Six femmes
en costume de majas
lier-
4.
nent à l'aide d’une couverture, des mannequins et un àne morl. Eau-foi'te et
ai jiia- tinte.
—
II.
0.210;
—
Un géant danse
gnettes devant un
fantéme sous un II.
3.
—
0,320; L. 0,220.
Vente
Dos soldats fuient d'une
taille
vue d'un
aiganlesquc,
cio
5.
1.5
— Epreuves
francs.
—
Un homme
ciievaucliant
un monstre
dans ses bras une femme mains au ciel.
ailé, sonlienl
L. 0,;510.
;
Ih Loforl, Paris. 1869.
proniier état; 14 et
caché
suaire.
l.argc 0.21:1
é[ierdiis à la
soutient
specires édentés.
L.
II.
—
(juc
un autre personnage; au second plan, deux
0..S20.
2.
en agitant dos casta-
mannequin
lève les
Sur un arhre mort, suspenihi au-des11.
cpii
0,325; L. 0,215.
sus d un ahime, une dizaine de personnages
sont assis écoutant un orateur envelojijié
dans
sa niante. II.
0,210
;
L. 0,32:7.
6.
—
Au
[ded d'un
homme armé
renqiart en ruines, un
d'une lance de picador vient
de jeter à terre un vieillard qui
demande
CATALOGUE DE L’OEUVRE GRAVE grâce
vue
;
en aviint, au preniior plan, une
femme
tumes de mnjoset demajas dansent en agi-
dos; au second plan, au milieu, un
(le
homme
et
une femme, plus
loin,
tanl des castagncites.
d'autres
IL 0,210
personnages. Signé à gauche, dans l'angle inférieur Goya. IL 0,215
13
.
—
et à leurs
un doidde pied,
croise les
de
14
la
mains sur
mon-
L. 0,325.
;
Deux personnages ridiculement habilsaluent cérémonieusement; en arrière du premier, un homme monté sur des échasses; â droite, un majo embossé dans [dus loin, un soldat assis à terre sa cape se
;
une foule regardant
et
deux principaux
les
acteurs de la scène.
—
més
mou-
—
.
lés
L. 0,.325.
;
s’enlèvent dans les airs,
mains.
IL 0.215
une foule agenouillée devant eux. IL 0,215
De nombreux personnages sont
enfer-
IL 0,210
L. 0,320.
;
15
— Un personnage fantastii[uc,
largo
domino
petits
— Sur une pelite estrade
qu'entourent de
à genoux, un moine prêche; à gauche, un soldat se précipite dans un ahime; au dernier plan, des hommes montés les uns sur les autres cher-
nomlireux revêtu d'un
capricieusement
et
porte sur un coussin de
.
L. 0,320.
;
juseju’au cou dans des sacs. IL 0,210
9.
s'appuie sur centre
le
ventre; l'homme, les bras étendus,
tre
8.
Jambe
occupe
femme
comiiosition; la le
hommes
Des
voir avec des cordes attachées à leurs pieds
Un double personnage, composé d’un homme et d'une femme accouplés par les épaules et dont charpie
L, 0,325.
à l'aide de grandes ailes qu'ils font
—
7.
:
:
L. 0,320.
;
171
coiffé,
chats (pie
deux femmes vont recevoir de ses mains; loin, une femme, un nouveau-né au sein, un vieillard assis et lisant, un homme
debout
fidèles
et.
chent à soutenir une large draperie.
plus
0,2 tO
II.
;
L. 0,320.
—
Vente P. Lel'ort, Paris, 1809. Epreuve 2.5 francs E[ireuve do de premier étal
courant.
:
;
11. II.
10
.
deuxième
0,215; L, 0,325.
— Une jeune
femme,
les
bras levés vers
16
emportée par un cheval emballé (pii a saisi sa robe par les dents et la tient suspendue, sur le point de tomlier; au second plan, une autre femme va être dévoen arrière rée par mi animal fantas-liipie un monstre avec un seul œil au milieu du front et un groin de porc.
0,210
11
.
—
droite,
dans l'augle inférieur
un autre
—
.
;
.
—
Trois
autre
;
plus
loin,
L.
0,325.
personnages se mo([uent
homme armé
femmes en
cos-
d'une seringue.
IL 0,215; L. 0,325.
18
L. 0,320.
et trois
[larlant
;
voyant pénétrer sous une vieilles fem-
hommes
;
Différents
.
—
•
Un
vieillard cnveloiipé
teau ([ue 12
;
lui
trois liras
derrière ce dernier,
banc de huis; à ses pieds, une corbeille et un chien prêt à prendre sa défense au second plan, un homme à cheval et un
décréiiiles.
IL 0,215
expriment
main un homme
d'un vieil aveugle à moitié nu, assis sur un
arcade sombre (pi'occupent de
mes
les traits la
semble avoir
(pii
homme
IL 0 215
:
à deux tètes, court, pour-
la
par
a saisi
50.
sage.
suivie par deux personnages (jui s'arrêtent
tout troublés en
fi-.
divers personnages dont deux à double vi-
17
Une femme
16
Une femme dont
placé à sa droite
L. 0..320.
;
—
:
et se frappe le front
;
Signé à Goya.
.
la colère
le ciel est
étal
les
le
dans un man-
vent agite s'avance à travers
ténèbres, entouré de monstres fautas-
CATALOdüE DE
172 liques;
à ses pieds,
un cadavre étendu
E’
OEUVRE GRAVÉ coslume de maja, danse au milieu d’une
à
foule qui l'admire.
terre. II.
0,210; L. 0,320.
0,213
11.
;
L. 0.325.
Cette planclie. 19.
21.
—
les
Une
foule de gens, les
uns
efl'ravés,
ou
plutôt
deux troncs
d’arlires
recouverts de draps blancs; dans les bran-
0,213
Cctle le
tili'i.^
rier
L. 0.330.
:
:
\rà,v
Que le
dont Lun
publiée
iilancliu
(jnerrero
!
journal /'J/7
1877
en
— e.t
Quel
sous guer-
uppart/.uiant
Debout, sur un cheval dont,
[lieds
les
lra[ieze,
1877 sous le Une reine de
présente un livre ouvert et lui offre
un
collier
orné de
IL 0,210; L. 0,323. Culte
[ilanclie,
Olros
lois ])Our le
quatre
lei/es
publiée en
por
peuple,
1877“ sous le
cl jnieblu,
—
[lar lu joui’iial
Aulres /'J/7 cl
ap[iartenant [irécédeimnentà M. E. Lucas, nu l'ait [las partie île la suite éditée des Proverbes
sonl posés sur une corde raide lendue
en forme de
—
grelots.
titi’C:
—
lui
dont un second
precédeiiiinent à M. E. Lucas, ne l'ail, pas partie de la suite éditi'e îles Proverbes.
20.
publiée en del circo,
—
sabre. 11.
Una veina
Auprès d'une sorte de muraille, un éhqdiant sans défenses est arrêté devant quatre [lersonnages costumés en maures,
on aperçoit un
d'un de ces arbres,
ches
;
cirque, par lu journal /'J/7 et apparlenant précédeniment à M. E. Lucas, ne l'ail pas [lai'l'.e delà suite éditée des Proverbes.
aulres égayés, contemplent de loin deux
fanlùnies
litre
une jeune femme, en
Los Desastres de la guerra. Les Malheurs de la guerre. La
Malheurs de la guerre se compose de 80 planches gravées à l'eauraquaJinle et. à la pointe sèche on doit y joindre deux planches supplémenqui n'ont pas été imprimées avec la suite et qui devraient cependant en faire suite des
forle, à
taires
;
partie
L'Académie de San Fernando acquit de D. Român Garreta qui les tenait du fils du peintre D. Javier Goya, les cuivres des Désastres de la guerre et les publia en 1863 à 500 exemplaires sous le titre Los désastres de la guerra, colleccion de ochenta lûminas inventadas tj grabadas al agua fuerte por D. Francisco Goya. Publicala la Real Academia de Nobles Arles de San Fernando. Madrid, 1863. Le véritable titre donné par Goya aux Désastres de la guerre est celui de Eslragos o désastres de la guerra. Cean Bermudez les désigne sous celui de Fatales consecuencias de la sangrienta guerra Fspaïïa con Bonaparte, y otros caprichos enfùticos en 85 estampas inventadas dibujadas y grabadas por el pintor original D. Francisco de Goga y Lucientes. En Madrid. Si au lieu de 80 planches, Cean Bermudez en compte 85, c'est :
—
:
ci
qu'il y ajoute les H
planches siqiplémentaires
n'existe pas de tirage de la suite des
et les 3
des Prisonniers.
Malheurs de
la guerre antérieur à celui par l'Académie de San Fernando, on 1863. Les épreuves imprimées du vivant de l’auleur, quelquefois même en jilusieurs états, sont toujours rares et isolées; seul Cean Il
fait
Bermudez
les a
possédées au complet.
CATALOGUE UE L’OEUVRE GRAVÉ 1
—
.
Tristes presenthnientos de lo
que ha de
une énorme pierre sur un autre ennemi; une troisième en poignarde un dernier; du cùlé opposé, des français tirent sur des
jette
acontecer. Tristes pressentiments
de
ce
va
ciui
arriver.
Un homme
femmes. pâle et sinistre, couvert de
une attitude su[)pliante, regarde vers rempli de monstres menaçants. Eaud'orte.
—
—
Con razdn
0.143
II.
II.
dans
haillons, agenouillé les bras en croix,
2.
le ciel
6
—
.
Que
L. 0,18.3.
;
sur un
—
7.
haïonneltes
menacent de
leurs
—
pointe sèdic.
et
et
meurent
de bataille.
—
II. 0,
120; L.0, 83. 1
Une femme, dehout sur un monceau de met la mèche à un canon.
cadavres,
de nomltreux conihattants. Eau-l'üi'to
champ
Quel courage!
au second plan, on aperçoit
;
bien.
Que valor!
lance, l'autre d’un couteau, atta(iuent des
soldats français qui les
un
Eau-forte et aqua-tiute.
du peuple, Tnn armé d'une
—
te se esta.
ce te soit
Des soldats français agonisent
d sin ella.
lioinrnes
Eau-forte, aqua-Linte et pointe sèche. 0.130; L. 0,180.
Bien
Avec ou sans raison.
Deux
173
Eau-forte, aqua-tlnle et pointe 11.0,153
;
0,133
11.
;
sèche.
L. 0,183.
L. 0,103.
—
3.
le
peuple,
genou a[)pnyé
le
cadavre d'un soldat
va
français,
frapper d'une hache qu’il tient à deux mains
un dragon ennemi qui cherche
homme du
[)euple,
à se
Plusieurs dragons français fuient précipi-
tamment
à gauelie,
—
9.
—
0,143
0,145; L. 0,193.
quieren.
femmes du peuple
essaient de se
Eau-forte et aqua-tinte.
terre, iTiin satire ([u'elletientdes
10.
par
les
Eau-forte et aiiua-tiiite.
—
II.
0,140; L.
deux mains;
II.
0,133
;
Tainpoco.
ter
;
çais
;
L.
.
—
Des femmes lidtent contre des soldats
un enfant a la mamelle, enl’once une lance dans la puilrine d'un ennenn une seconde ;
—
IL 0,123
;
—
L. 0,190.
Ni por esas. Ni pour
français; au premier plan, l'une, portant
luttent contre
à gauche, un cadavre de soldat franplus loin, à terre, des armes. Eau-forte.
11
Et sont comme des bêtes féroces..
jieiiple
des soldats français qui veulent les violen-
0 183.
son feras.
2^lus.
Deux femmes du
cheveux par un
—
—
Non
soldat l'rançais, qui cherche à la renverser.
Y
II.
0,195.
;
—
—
L. 0,193.
;
Les femmes donnent du courage.
5.
un
à les violenter. 11.
Deux femmes luttent contre des soldats ennemis l'une pourfend son adversaire à est saisie
iVo
Des
Las mujercs dan valor.
l'autre
à terre,
défendre de soldats français qui cherchent
genre.
4.
plan,
Elles ne veulent pas.
;
—
au premier
Eau-forte.
second ennemi, s'ai)préte à le poignarder au second i>lan, d'autres scènes du même
Eau-forte.
;
cavalier et sa monture.
défen-
un autre à califourchon sur un
avec son sabre;
dre
Siempre sucede.
•
Ce qui arrive toujours.
Un homme du sur
—
8.
Lo misino. De rnâine.
celles-ci.
Sous une vonte, des soldats français me-
nacenl et alLaijucnt des femmes du peuple. Signe à gaucho, dans l'angle inférieur
G O gu. Eau-forte.
—
II.
0,133; L. 0,100.
:
CATALOGUE DE L’OEUVUE GRAVE
174
—
12.
Para
habeis nacido
c.s'o
Etes-vou^ ne pour cela
cadavres de ipialre guérilleros; au fond, un
? ?
homme
Sous un monceau de cadavres, un
du
grand arlire combat.
divers
et
témoignages d'un
—
Eau-forte et aijua-tiute.
jieuple toml.)C, prêt à rendre le dernier
0,150; L.
II.
0,195.
soupir.
Vente Signé à gauclie, dans l'angle inférieur
do
:
1’.
—
Lefoi't, Paris, 18G9.
iireiniei' état
17
;
Epreuve
fr.
Goija.
Jîaud'urto el aqua-l.iid.e.
—
11.
U,
L.
125;
—
17.
0,190.
13.
—
Amarija ju encncia.
A mère
A
prèrcn.cc.
No
SC
Ils
ne s'accordent pas.
convienen.
un gi'miu'al français à cbeval donnant un onlre à son aide
droite,
étend
le liras,
camp
placé à scs
côtés; à gauebe, des
uiu'
de
si.d-
morts
et des blessés
dats français qui altachenl son mari à un
et des
espagnols se liatlanl.
Jlevanl
femme arbre
une
eliaumière
dévashd',
jiroslernée implure la
au second
;
i)lan,
[lilié
de
deux aulres person-
Signé au milieu, dans
nages.
et
aqua-linle.
—
0,155;
11.
lhu ‘0
L.
18.
—
Goi/u.
0,125
;
L.
Enlcrrar y calinr. Enterrer et se taire.
De nombreux cadavres jonebeut
CS cl jiaso.
Le pas
:
11.
0,190.
0,18a.
—
—
:
Go;/ a.
Eau-forte
bas
le
Eau-forte et aqua-linto.
Signé à gauclie, dans l'angle inférieur
14.
;
au loin, des français
bomme
au second plan, un
est dur.
la terre;
une femme
et
pleurent.
Deux condamnés
fenl. vus de dos, les
du
par
gibet, aidés
;
droite,
mains
les
gieux leur donnent tions
peine capilale
à la
bourreaux
les
15.
—
Signé à gaucho, dans l'angle inférieur Goya.
l'escalier ;
des
reli-
Eau-foi'l.e, ai[ua-tintc et
dernières consola-
au second plan, deux pendus; à un groupe de spectateurs à genoux.
Eau-forte et aqua-tinle, 0.
liées,
mou-
—
11.
19.
— A
y
iLO liai il n.'tj
a pas
île
ci'oix,
remède.
,
pointe sèche.
—
L. 0,195.
liai
tiempo.
plus temps.
n'est
d'une
côté
bomme
reiucdio.
;
y« no Il
0,125; L,
155.
Et
0,130
11.
:
babitalion en
à terre,
est
les
ruine,
un
bras attachés en
un second devant un mamelouck saisit une jeune femme par la plus loin, des femmes implorent la ;
mamelüuck Le milieu de par un
bomme
la
conqiosition est occupé
allacbé de dos à un |ioleau,
que des soldats français menacent avec leur fusil en avant, à terre, le cadavre d'un
taille; pitié
de
la
;
autre
bomme
mortel
dant
;
la
ipii
vient de recevoir
le
d’un
officier, iiui
répond par
au loin, d'autres malbeureux atten-
Eau-forte, aqua-tinte et pointe sèche. H. 0,130 L. 0,195.
mort.
16.
—
Eau-forte, aqua-tiutc et pointe sèche. L. 0, 155. 0,125
légende
Signé à gauche, dans l'angle inférieur Goya.
coup
;
II.
la
planche.
—
Vente
P.
Lefort, Paris, 18G9.
do iireinier état
:
15
fr.
:
—
— Epreuve
50.
;
Se aprovcchan. Ils
Deux
20.
s'approvisionnent.
soldats
français
— .
dépouillent
les
Curarlos y à otra. guérir et à un autre.
JjCS
Des guérilleros blessés sont assis dans
C A TA L 0 aUE
E
1 )
I.
clinmps; au ileniier plan, deux arbres
les
0I<]
UV
26.
—
’
I !
No
dénudés. Signé à gaudic, dans l'angiG inférieur l'iau-forte ef
Sera Il
ai[ua-Lintc.
—
il.
0,120: L,
lo misino.
canons
en sera de même.
;
Signé à gauche, dans l'angle inférieur Éau-forl.e.
.
—
Tanto y
Tant
II.
27.
—
—
II.
0,120
;
hommes
jettent dans une fosse
jonebent
Signé à gauche, dans l'angle inférieur Goya.
le
Eau-forte, aqua-tinte et poiide sèche.
gauche, dans l'angle
Goya. Eau-forte et a(;ua-tinte. 0
5
.
1
,
0.130
—
iidVe-ieur
:
28. II.
0,120
;
La même chose en d'autres
mêmes
Les
cadavres sous
la
questions.
Populacho. Populace. foule ivre traine, attaché par le pied
femme
voûte d'un
frappe d'un hàton et qu'un
piijue d'une sorte de javelot;
Eau-forte, aqua-tinte et jiointc sèche. 0,120 L. (l,19ô.
Eau-forte
:
— 29.
;
—
servir. la
des blessés; ]ionr i'ond, une ville, et en avant
gauche, dans l'angle
que des de
I
là
hommes du
inféi'ieur
—
0,130; L,
30.
Et ceux-ci aussi.
0,150;
L.
—
Estragos de la guerra.
Une maison homhardée s'écroule à travers les poutres, on voit tomher des hommes, des femmes, des enfants et des objets ;
ini[irovisée sont soi-
gnés de nomlircux blessés
;
on opère
l'un
divers.
d'eux.
Signé à gaucho, dans l'angle Goya. l•;au-forte
II.
Désastres de la guerre.
estos.
Dans une ambulance
—
.
Variante do la planche précédente. II.
.
0,195.
0 200
:
coups
[leuple fra[ipent à
ton.
,
Eau-forte et aqua-tinte. 0 210
Tamhiên
L.
méritait.
Eau-forte et aqua-tinte. il
II. O.I.'iO;
Des assassins portent sur leurs épaules corde à la([uelle est attaché un cadavre
d'autres infirmiers relevant d'autres blessés.
Signé Goya.
—
servir.
pourront encore
Ils
aqua-tinte.
Lo merccia. Il le
Aun podrdn
et
0,193.
Des infirmiers de lionne volonté [lortent
—
homme
en arrière, la
multitude contemple ce spectacle.
Signé à gauche, dans l'angle inférieur Goya.
,
—
L. 0,190.
à une corde, un cadavre décapilé qu'une
édifice.
II.
;
:
.
Lo mismo en otras partes.
—
—
L,
Une
—
L.
un champ dépouillés de tout vêtement.
nids.
et plus.
Signii à
:
des cadavres de guérilleros qui gisent dans
II.
25.
des
Charité.
sol.
24.
l'extrémité
Caridad.
:
0.12.5; L. 0,190.
CiiKj cadavres de guérilleros
23.
et
0.183.
Quatre
—
fusils
Eau-forte et aqua-tinte.
d'autres blessés sont à terre; plus
une feiniae en pleurs cacbe son visage dans ses mains.
G 01/ a.
des
Signé à gauche, dans l'angle inférieur Goya.
blessé sur leurs
loin,
22
rnirar.
liai'onnetles des soldats français.
Deux liouuues porteul un épaules
puede
175
étendus par terre ou à genoux, vont être passés par les armes ; à gauche, on aperçoit les
—
É
Des hommes, des femmes, des enfants,
:
0,190. .
SC
UA
Cela ne peut se voir.
Guija.
21
( i
I-
et
aqua-lintc.
—
11.
inférieui'
:
Signé à gauche, ilans l'angle infériciu’
Goya. 0,115; L.
Eau-forte L. 0, 55. 1
et
[lointe
sèche.
—
II.
:
0.125;
CATALOGUE DE L’OEUVRE GRAVE
176 31
—
.
com
Fuerle
es
—
36.
!
Voilà une chose forte
Tampoco.
Non
!
plus.
Commodément assis, un
Aux brandies d'un arbre, à droite, trois un soldat français tire sur les pondus run d'eux pour hâter sa mort de jambes
contemple tranquillement
au centre, un second soldat rengainant son
plus loin, deux autres pendus.
;
sabre avec arrogance.
II. U,
133
—
Eau-forte.
— 37
L. 0,185.
;
cadavre rigide
d'un guérillero pendu à un
;
Eau-forte, aqua-linte et pointe sèche.
soldat français le
—
.
Esta
II.
tronc d'art)re
:
0,140; L. 0,190.
CS peor.
C'est pire.
—
32.
Porque?
Le cadavre d'un
Pourquoi? Trois soldats français pendent un malheu-
deux tirent les jambes do la victime, tandis que le troisième, les épaules appuyées sur le tronc
reux aux branches d'un arhre
de l'arbre, lui pose
;
pied gauche sur
le
arbre aiguisée préalablement
à,
second plan, des français
que hacer nids
Qtié hai
Que
—
38.
faire de plus?
d'un grand sabre, essaie de ;
le
à
!
un poteau avec des cordes
un patient attend que des soldats plus
;
Eau-forte et aqua-tinte.
—
IL 0,135; L.
0,190.
—
39.
Grande hazaîia! Con muertos ! Grande prouesse ! Avec des morts
personnages. Eau-forte, aqua-tinte et pointe sèche. IL 0,140 L, 0,185,
fusillent
le
loin, trois autres soldats.
dépecer de
en arrière, un arbre et d'aim
—
L. 0.183.
qui le tiennent en joue
;
part en part
;
Barbaros!
solides,
Deux soldats français martyrisent un malheureux espagnol suspendu la tête en lias et les bras à terre un troisième, armé
très
0,135
Baiixires
?
espagnols
Eau-forte, aqua-tinte et pointe sèche. II.
Attaché
—
33.
au
cet effet;
et des
se battent.
le
—
horriblement
branche d’un
cou. Eau-forte, aqua-tinte et pointe sèche. II. 0,130; L. 0,183.
homme nu,
mutilé, est fiché à la grosse
—
Trois cadavres pendent à un
!
arbre,
Tun
des trois liorriblement mutilé, la tète sépa-
;
34.
—
rée
Por una nacaja. Pour lui couteau.
Sur
branche.
banquette d'un échafaud se voit
la
cadavre d'un
homme condamné
Signé, à gauche, dans l'angle inférieur
le
Gopa.
jiour s'ètre
II.
;
la foule
considérant
Eau-forte.
35.
—
le
— 0,135
mallieureux. ;
—
40.
0.135; L. 0,183.
Alrjün partido saca. Il
L. 0,185.
en
Armé puede saber por que. On ne peut savoir pourquoi. IVo se
lesquels
ils
les
dans
41
;
homme
se jette
—
la
arme
mâchoire inférieure.
—
II.
0,133
;
L. 0,185.
ont été -condamnés au dernier
Eau-forte, aqua-tinte et pointe sèclie. 0,123 L. 0,175.
d'un couteau, un
Eau-forte et pointe sèche.
objets pour
supplice.
II.
tire parti.
sur une hête féroce et lui plante son
Sur un échafaud sont réunis huit malheureux ayant pendus au cou
;
—
Eau-forte, aqua-tinte et pointe sèche.
un couteau qu'il porte suspendu au cou par une corde au fond, avec
justice
fait
du tronc et fichée à une branche, et les aux poignets retenus par une autre
liras liés
.
—
Escapan entre Hamas. Ils
s’échappent à travers
les
flammes.
Luie foule épouvantée fuit devant
un
in-
CATALOGUE DE L'OEUVRE GRAVÉ un mari porte dans scs Ijras sa demi nue et presque asphyxiée sa mère au second plan, d’autres
cciulie,
femme un
cochon qui court; au dernier plan, d'autres malheureux qui s'écliappent.
à
;
fils,
Signé à gaucho, dans l'angle infériomGoya.
;
personnages. Signé, à gauclie, dans l'angle
Eau-forte et aqua-tinto. inliu’ieui'
IL 0,133; L.
0,190.
—
poinlc sèche.
cl
—
:
;
Goya. Eaii-foi'to. aqua-linto IL 0,130; L. O.lOo.
177
46.
—
Esto es rnalo. Ceci est mal.
—
42.
Un
Todo va revuclto. Tout va de travers.
soldat français qui vient de tuer un moine, en transperce un second d’un coiqi de sabre celui-ci, à genoux, demande grAce tandis que deux autres soldats contemplent
Cliassés de leurs couvents, dos capucins
;
des dominicains errent de droite et de
et
la scène.
gauche. Eau-foi'le
—
arpia-linto.
cl
Eau-forle.
IL O.RJS; L.
0,205.
47 43-
—
.
—
Des moines, pour
éperdus
l'approche
à
des
fran-
çais enlevant les objets sacrés.
Eau-forte et aqua-tinte.
Eau-forle
cl
aqua
—
tinte.
;
deux l'un embrassé et ses
dont
dont
veut faire lever l'autre agenouillé
pieds,
ses
elle
tient
pour
fuir;
à
la
main,
imploi’c la charité; à ses pieds, une
femme
s'échappent;
plus
49.
—
L.
Caridad de unamuger. Charité d'une femme.
A
l'armée française.
— 11.0,130;
0,180.
foule courant; ses
chapeau A
Eau-forte et aqua-tinte.
un mains et loin, une
au fond, un village que haliitants abandonnent à l'approche de
le
avec deux enfants, dont l'un presque inanimé; à côté, plusieurs cadavres.
gauclie,
prêtre un sac d'argent dans les
un paysan
Cruel histima!
Un malheureux, mère avec
plan, une
enfants,
à
L.
Cruel malheur!
Je l'ai vu.
elle
—
lo VI.
Au premier
H. 0,140;
L.
48.
Yo
—
0,183.
IL 0.13.5
0.195.
—
c'est arrivé.
église,
çais.
44.
que
Couché derrière la grille du chœur d’une un moine regarde des soldats fran-
Et cela aussi. la [ilupart franciscains,
0,133; L. 0,185.
Asi sucedin. C'est ainsi
Tarnbiéii esta.
fuient
— IL
une famille mourant de faim fille indique du doigt à un prêtre; à gauche, une vieille femme accourant à son secours; au fond, les murailles d’une lugubre masure. droite,
qu'une jeune
Signé à gauche, dans l’angle inféidcur Goya. Eau-forte, aqua-Uid-e et pointe sèche. IL 0.120 L. 0,193.
;
—
;
45.
—
Eau-forte et aqua-tinte.
Y
esta también.
—
IL 0,125; L.
0,175.
Et cela aussi.
Une femme, un enfant sur
sur l'épaule, une seconde
l'autre
avec un enfant sous poulets dans la
qu’un
le
I
main
le
liras et
droite s'enfuient ainsi
lourd faialeau
;
en
—
avanl,
lo
un
Madré
infeliz.
Malheureuse mère.
femme
bras gauche et dos
roisièine personnage ployant sous
poids d'un
50.
Trois
hommes
conduisent en
sous les bras, une
que
la
soutenant
femme mourant
de faim,
sa fille suit en pleurant.
Eau-forte.
—
IL 0.130; L. 0,170. 23
m 51.
CATALOGUE DE
—
Gracias
la
<i
ahnorta.
et
de
grou[)e
malhonroiix cnloni'o une
l'ennne qui leur dislrilnicdii inilleU
"
— H.
liail-furto.
52.
d
iVo llcrjau
faim; plus loin,
au derdeux femmes envebqjpées dans leur mante. Eau-l'ortc
tieinpo.
Doux
58.
—
aqua-linic.
et
Ao hay que dur
;
O.130;
L.
les luxas
en
II.
et
Un liumme étendu [lar terre, demande la charité, plus
croix,
—
aiiiia-tinl.e.
0.13Ü:
11.
Eau-l'ortc cl 0
Espirâ
U
sans secours.
59.
Divers personnages cnlonrent
henroux gisant à Eau-forte.
—
.
1
80
—
aqua-linlo.
0.123: L,
II.
.
remedio.
siii
iiioui ut
loin, diffé-
rents personnages.
L. 0.180.
—
voccs.
ne sert de rien de crier.
Il
an second plan, un
cadavre ol des mines. Eau-forte
—
aceourcnl an seeonrs d’nne
l'oinines
Iroisionio qui défaille;
54.
ite
gisant sur le sol
nier jdan,
0,l5,j; L. 0,17;i.
Elles n'an'ivcut -pas à temps.
53.
bomme
0.180.
—
-
un enfant mourant
un autre
Grâce au millet.
Un
GRAVE
L’OEl^VliE
—
nn
O.UU
De que
A
terre. 11.
—
maU
Une femme ;
L.
O.lG.'l.
una
sirve
lassa y
quoi sert une tasse
y
dans une
a[qiorte
tasse,
femmes mourant
réconfortant à d'autres
un de
faim.
Clamorcs en vano.
—
Eau-l'ortc cl aqua-linto.
Vaines clameurs.
H. 0 123
:
E.
0,173.
Des inallienreux mourant d'inanition, implorent en vain nn frain ais, devant la
60.
—
porte d’une auberge. Eau-forte
et
ai|ua-tinlc.
—
II.
:
—
lus socorra.
a personne ]}Our renir à leur
)i'y
secours.
L.
0.175.
55.
No hay quien Il
Trois malheureux gisent
ho pcor Le pire
trième est
CS pedir. est
Un groupe de mallieurèux mourant île ‘faim demande en vain la charité à une dame française qui demeure iirqiassihle an
à terre,
debout,
tons sentent
visage;
de mendier.
encore
les
la
un qua-
main sur
approches de
le
la
mort. Eau-l'ortc
cl
aqua-tintc.
—
If.
0,123: L.
0.173.
;
secoml plan, on aperçoit un français. 61. Signé, à gaucho, dans l'angle inférieur
—
:
Seraient-ils d'une autre race y
Goija.
Eau-l'ortc 0
56.
—
.
1
80
et
aqua-tinle.
—
II.
0,125: L.
.
Al cementerio
Au
!
Eau-l'ortc
!
et.
aqua-tinte.
—
11.
0.135
;
L.
0.180.
—
Au premier plan, à gauche, nn mendiant accom|iagné dosa femme et de ses enlants, implore la charité de deux français i|ui son bundjle redemeurent insensibles ti
cimetière
Deux hommes à mine bestiale, portent un cadavre à un cimetière; plus loin, à terre, un autre cadavre; au dernier plan, une femme avec un enfant au sein.
57.
Si son de olro linaje'.'
au
loin, d'autres
Eau-l'ortc cl
personnages.
aqua-tintc.
—
11.0.130;
L.
0,173.
62.
—
Las camus de Les
lits
la
muertc.
de la mort.
Une femme regarde en pleurant de nom-
Sanos y enferrnos. Bien 2 mriants et rnalades.
Sous une voûte, deux femmes, un
ipiéte;
breux cadavres alignés Eau-l'ortc
bomme
0,185.
ol
jiar
aqua-tintc.
terre.
—
11.
0.1-13:
L.
CATALÜ(iUE DE L'OEUVRE GRAVE 63.
—
Mucrtos recogidos.
amoncelées, un crâne, etc.; au milieu, au
Morts ramassés.
premier
auprès de leurs cercueils.
Eau-1'oi'te II, U,
130;
Un
cimetière.
le
les
jamhes un
cadavre
qu'un second personnage
île
femme
l'aide à charger;
Eau-l'orto et aqua-tinte.
—
à coté,
désespérées; assis
un
—
femmes
s’enfuient
français
officier
—
plus loin,
II.
0,140; L.
Un groupe
—
71.
—
Esta no Ceci ne
l'est
—
rolie,
les 11.
0,150
sjjr
.'
bien general.
un
.
un
fauteuil,
armé de
genoux; au
griffes
un gros
vieillard à
aux mains
aux
et
livre qu’il tient sur
loin, divers
personnages
les
le vieillard.
Eau-forte et aqua-tinte.
—
-
H. 0.145; L. -
.
pas moins. 72.
—
Un cadavre, enveloppé dans son gît
d’autres personnages.
lui
Eau-l'orto et aqua-tinte.
—
IL 0,145
;
Las resultas. Les conséquences.
une foule agenouillée; au second [dan, une autre Vierge portée par
suaire,
à terre entouré de vam[)ires dont l’un
suce
le
sang.
Eau-forte et aqUa-linto.
L,
0,190.
—
11.
0,145
;
L.
0.185.
Qué locura!
73.
Quelle folie! di'oite,
des taliieaux de dévotion, des
scul[jlures sacrées
des
—
bien général.
0,190.
leurs; autour d'eux,
che,
el le
bras étendus contemplent
Des membres d'une pieuse confrérie por-
—
.
L.
;
tent sur leurs éjiaules une ^'ierge des Dou-
68.
aux autres par une au cou de chacun d’eux,
pieds, écrit sur
reli(]ues grotesques.
menos.
lo es
Contra Contre
Assis
0,190.
67.
procession de moines, et de
oreilles de chauve-souris, vêtu d’une jimple
de gens est agenouillé devant
Eau-l'orto et aqua-linto.
‘
-
Eau-forte, a([ua-tinto et pointe sèche. H. 0,14.5; L. 0,190.
Extrada deeocion. Étrange dévotion.
un âne portant des
cheirdn.
le
chemine par un sentier raboteux.
0,190.
—
0,140; Li
camino.
cl
ne co)inai.sscnt pas
corde attachée
à droite, deux chiens ahoient,
66.
No saben
Lhie longue
ai[ua-l'mlo.
11.
prêtres, reliés les uns
d'aulres personnages s’enfuient également;
et
—
Eau-forte et ai[ua-tinto.
Ils
à une lahle et écrivant;
Eau-l'orto
dira.
L,
Qué alboroto es este y Que signifie ce tumulte? plan, deux
le
;
70.
Au premier
Lui-même
spectre, la moitié
0,195,
0,12b;
11.
0,180.
65.
N((da. Ello dira.
du corps hors de la tombe, tient de sa main de squelette un crayon avec lequel il écrit sur une. feuille de papier le mot Nada; autour de lui, de nonihreux fantômes.
au second plan, d'aulres personnages.
—
L.
;
_
Rien.
Caratedas a! ccmcnterio.
Le conducteur d'un char sur lequel se trouvent déjà de nonihreux cadavres, tire par
—
69.
Charretées j>our
0,13b
11.
L.
0,17b.
64.
—
aiiua-tinte.
et
0,190,
—
aqua-tinte.
Eau-lbrte
un moine dans une posture
[ilan,
grotesriue.--
De nonihreiix cadavres sont amoncelés
—
17b
télés
jonrheut
le
fantastiques
sol; à
et
gau-
ridicules
—
pantomima. Pantomime de chat. (iatesea
Un oiseau de
[U'oic s’a[i[iroi
he d’un chat
placé sur des gradins; en avant, un franciscain est agenouillé dévotement, les
mains
18 ü
(
jointes,
ATA
;
()
I .
capuchon rahaUii sur
le
(
;
la
f
’
!:
i )
i';
i .
oi']
au
Icle;
—
Eau-l'orto cl aiiua-tinto.
ua
\’
i-:
git
à
le sein
terre
se désespère, — peut-être — et divers autres [)ersonnages.
une femme qui
0,19b.
—
( ;
inanimée, projelant des rayons himineuv; à ses côtés, un évêque,
0,13b; L.
II.
i';
vêtue d'une légère tunique laissaid nu,
fond, la foule.
74.
v vu
Esta
CS lo
Ccd
est le pire.
justice
pcor.
Eau-forte
—
et aijua-tinte.
la
Ü,li0; h
II.
0,170.
Un
loup assis sur ses pattes do derrière
une
écrit sur
feuille
de jiapier
nouillé lui tient l’encrier
nombreuses
—
et a(iua- tinte.
.
—
—
II. 0,
Si i‘csucitara ?
liessuscitera
La
Ibü; L.
0.
1
90.
Farandole de charlatans. tête d'àne, de per-
neux dans
[ilus
coiqts
de
la
dont on voit appa-
corps à
le
ti'avcrs la terre
puissants et plus nombi-cux ([ue
planche
L,
précédente, et
bi'iton
(lu’elle reçoit
tes
les
la-
moines.
Eau-forte et aqua-tinte.
0,19b.
nialgré
j)rojectiles divci’s
les
d'une troupe de gens dans
dominent
ipielle
— ll.O.liô:
aijua-tinte.
et
elle ?
qui la recouvre, projette des rayons lumi-
roquet et de porc. Eau-forto
t
mémo jeune femme,
raître la tête et
Faranduld de charlatanes.
Uéunion de moines à
80
de tous côtés, de
;
figures fantastiques.
Eau-forte
75.
rHiscra Ini-
;
un moine age-
inaiiidad la culpa es liuja...
—
0.145
II.
;
F..
0,180.
76.
—
El buitre carnivoro. 81.
Le vautour carnivore.
—
Ficro monslruo. Fier moïistre.
Une
foule d
un
poursuit
prêtres
tour
hommes, de femmes
queue,
sans
les
s’échappe dlfiicilement
et de
gigantesque
vau-
coupées,
ailes ;
dans
Un énorme animal
ipn
Eau-forte
lointain
le
à tête de chat dévore
des débris d’êtres humains. et
—
aqua-tinte.
0.150; L.
11.
0.190.
(luelques soldats français vus de dos. Eau-forte
aqua-tinte.
et
—
II.
0.15b
Ce cuivre no fait pas partie du la suite 11 a éditée dos Mal/ieiir.s de la r/iierre. été donné à r.\cadéniie de San Fernando
—
;
L. 0,193.
77
.
—
Que
se
rompe
La corde
cuerda
la
se casse
par M. Paul Lefort qui acquéreur.
!
!
Vente
En présence d’une nombreuse qui s’agite et vocifère, un
homme vêtu d’une
tunique et d’un manteau, danse sur
82. la
—
Esto es
lo
:
50
7 fr.
rendu
était
—
P. Lefort, Paris. 18G9.
de tirage moderne
assistance
s’en
Eprouves
10 francs.
et
verdadero.
corde Voilà la vérité.
raide.
Eau-forto
ut
ai]ua-tintc.
—
H. 0.150; L.
78.
recouverte d’un manteau,
—
Se défiendc bien. Il se
Un
droit sur
défend bien. et
([ui l'atta-
quent. Eau-forto et aqua-tinte. 0 200
—
—
Mario
La
la
vérité
la
appuie
homme main
une corbeille de Heurs
pieds,
droite et
le
bras
hirsute te;
à ses
un agneau
:
pour fond, à droite, des arbres chargés de fruits.
II.
0,155;
L.
.
,
l'épaule d’un
nant une bêche de
cheval se défend à coups de ]deds
de dents d’une bande de loups
79.
Une jeune femme, dans l'éblouissement do la lumière, vêtue d’une ample tunique
0.195.
et
Ce cuivre ne
verdad.
aqua-tinte. -
H. 0.150; L.
pas
fait
de la suite
jiartie
éditée des Malheurs de la (juerre.
mourut.
Une jeune femme couronnée de
Eau-forto 0,190.
— Eprouves
lauriers.
Vente P. Lefort, Paris. 1869. de tirage moilerne 10 fr. 50 et :
11
francs.
GATALO(;rK DE l/OEEVKE GliAVÉ
181
La Tauromaquia.
La Tauromachie. La suite de la Tauromachie se compose de dd i)latiche.s gravées ;i l'eau-forle mélangée d’aqua-linle, exécuLées en partie en 1815. Le premier tirage de cette suite, Trcinta y 1res eslampns que reprcfait sous les yeux de Goya, porte le titre suivant :
senlan diferenles suerles y actiludes del arle de lidiar los toros invenladas y yrahadas al ayua fuerle por D. Francisco de Goya y Lucientes. Le second fait par les soins de la Chalcographie nationale d'Espagne en 1855 est intitulé las diferenles suerles
ayua fuerle por
al
—
prenla nacional.
CoUecciôn de
:
y actiludes del arte de lidiar los loros invenladas y grabadas Goya. Madrid 1855. Eslampado en la Calcogralia de la im-
un troisième
Enfin,
tirage
dû à un éditeur français,
est
M. Loizellet. Cette dernière édition renferme 7 planches de plus que les précédentes, soit 40, et porte en français le titre de la Tauromachie, recueil de quarante estampes inventées
et
Eniin
gravées à Veau-forte par D. Francisco Goya y Lucientes. Paris, Loizellet, existe une dernière planche, Les cinq taureaux, parue en 1877 dans
s.
d.
le
journal V Art qui est d’ordinaire cataloguée avec les cuivres de cette série h
1
—
.
il
Modo con que cazahaii los
los
an.tiyuos
a
toros
Alcordn, adoptaron esta
cspaholcs
caballo en
cl
camyo. Procédé avec lequel gnols chassaient
les les
anciens Espa-
taureaux à che-
val à travers champs.
En taureau
a
Ic.s
homme
(pii
le
tire
;
Au
à un
à gauche, un ca-
0.210
—
2.
;
taureau,
de cazar d pie.
le
hommes
—
avec
ite
0,200
;
d'élre trans-
distraire l’attention de
b. 0.31.3. Lcl'orl,
cMat
:
1869.— Eiircuve
l’aris.
19 francs.
Capean oiro cnccrrado. Us exécutent
le
jeu de
la
cape devant
le
taureau dans une enceinte. Trois
Los nioros cstahlecidos en Espana, pres-
Vente
llis
do
cxemplaii’o ;
île I
la
ca[ic sur les
316 francs.
—
—
300 francs. exemplaire de l'“ l'ddiim rai'liimii' Venic Solar, exemplaii'O di' 223 francs. broche Vente l‘. Lefoi'l, oxemplairo do l'“ l'dition. bi'ocln' 68
Salle,
edilinn,
au liremier plan, l’un à le second au milieu, la épaules, le troisième vu de dos
Alaures
droite, accroupi,
cindiendo de las supei'sliciones de su
maroi|uin
tau-
0,200; L. 0,310.
II.
'
le
travers
désarçonné et dont lerlieval blessé se droite; du coté opposé, trois autres
leur lance; au fond, des arbres.
—
un taureau vient
Venle 1’. de premier
mutile baissé et essayant
de fuir, est assailli par deux
3.
à
l'animai.
Autre procédé de chasse à pied
En
de
transpercent
coup de lance par un Maure
.Alaures essaient
L. 0,310.
modo
cet art le
dél.)at à
11.
Olro
et
centre,
(ju'il a
un autre personnage dehout. 11,
chasser
percé d'un
valier avec une lance excite l’animal; plus loin,
adoptent
champs.
cornes enroulées dans
arhre et dont l'autre est dans les mains
d'un
cl
reau
dont un bout est attaché
un lasso
caza. g arte
y lanccan un toro en
campo. Les Maures établis en Espagne se soustragant aux superstitions du Coran
4.
:
—
:
:
Vente
l'“
E.
édition,
li'u.ncs.
Adllnt
relinre
9. C,
182
l)iu'nons [inm-
;iyilaiil .son
lion
taureau; au
lin
ATALOC
IjK
une harriére
—
Un caballero espanol pui's de haber
à
Un
Mau-
0.21)0; L. 0.30ü.
11.
5.
El animoao
que
Lu
iiioru lîaziil
t'.s
cavalier espaqnol tue
maure
liazul
micr qui attaqua,
taureau
le
un taureau
cheval.
ridiculement
hahillè,
taureau gisant dans l'arène; un peu plus loin, un cheval étendu sur le sol et une
pre-
le
ciil
personnage
.son
d un turhau orné de plumes, enfonce sou épée jusqu'à la garde dans le garrot d'uu
luiicco luros ai rcqlu.
Le vulcurcux
el ca.ballo.
coil'l'é
primero
cl
unlorodes-
inala
perdido
après avoir perdu
res.
—
CllAVK
’OKÜVIil-:
l'iiltcn-
iiiipclei’
roinl.
hujuelle ou ajxu'roit d'aulres
Iravers
I»1':
selon,
lance hrisèe. les ri'ijlcs (le l'art. II.
(lazul luouté sur
Le luaiin' (leul. lue le (ju
il
0,20b
—
6.
L.
;
0,200; L, O.yiO.
elieval ar-
taureau d'uu eoup d'une lance
lieul dos deii\ 11.
un
10.
—
(
mains.
’arlos
11.
V lanceando un
toro en la.plaza
de Valladolid.
Charlcs-Quint tue un taureau dans la
o,:',lo.
place de Valladolid. Los moros
Itaceii
oiro capeo en plaza
Etrangement costumé, une médaille au monté sur un vigoureux
cou su albonioz.
Maures cxéculcn t
Les
dans
le
Jeu de
la
cou, Lharles-Ouiut,
cape
cheval l'once de
plaine arec leurs burnous.
la
lance sur
la
le
taureau qui
s'avance furieux.
Lu Mauir
teiiiuil sa cajie
des deux iiuiius 0.210; L. 0,310.
la
et
laissant Iraiuer derrière lui. excite
taureau placé
à di'uile
;
au
set'oiid
le
—
Vente P. Lefort, Paris, 1309. de premier l'dal. 16 l'r. 50.
plan, un
Epreuve
:
autre Maure
une
regarde
Laniiual
;
:ut
l'ouil.
Iravers la(|uelle ou ajiei'çoil
l)arrii“re à
11
.
—
El Cid Cainpeado)' lanceando oIro toro. Le Cid Carnpeador frappe un taureau
(juelipies spectateurs.
0.200
11.
—
7.
(Jiiijcn.
;
de sa lance.
L. o.30;i.
\'ètu
de los arpon.es d banderillas.
(h'bjine des
harpons ou banderilles. cheval,
,\
limite,
laureaii
le
peler
regarde un .Maure
main gauche pour apralteuliou de l'animal et de le main de
teiiaul sa cajie
la
II.
une
hari’iérc.
derrière
hupiellc
taureau qui
0.200
;
L.
furieuse-
l'assaille
0.215
;
L. 0,315.
—
Vente P. Lefort, Paris, 1860. 23 traucs. de premier étal
Epreuve
:
sont 12.
—
Iiesjdrrete
de
la
cunalla
con lanzas,
médias lunas. banderillas II.
soliéle
ment.
une llèchc doul il va le l'rajiper; ;i gauche, au second plan, dei.ix Maures; aii d'autres .Maures.
une petite
monté sur un
Lid assène un terrihlc coup de
le
h)uce au
droite,
l'ouil.
d'uu costume étrange,
sur les épaules,
Cii[)e
O.ülb.
//
otras ar-
mas.
—
8
üaijida de un inoro estando
en. lu
Un Maure
un taureau
est assailli piar
La populace coupe
plaza.
dans la place.
Lu
.Maure, l'euversè par
cl le
taureau, est se-
un autre cmuhatlaul i[ui saisit animal par une corue de la main gauche
cnui'ii jiar 1
el
qui va
lui
lancer un haïqiou de
droite. 11.
la
uuiiu
;
L. O.blb.
jarrets d'un tau-
\
autres armes.
droite,
ti'ois
hommes mcuaccul
le
tau-
reau qui s'arrête devant eux; deux autres
homuies sont renversés et troisième plan,
11.
0,205
;
à
terre; au second
quatre autres personna-
ges. 0,20b
les
reau avec des lances, des demi-lunes
L. 0,310.
CAÏALOr.l'K DE 13.
—
Un
caballero c^panol CH j^laza quebrmi-
do rcjancillûx
Un
üiii
au-iiliu de
chevalier crpagnol place
aans
rilles
I
chidoa.
.Maure
de:>
bande-
en avant
valier velu d'un cosluine
un javelol au laureaii
rlicvnl.
sur
un che-
fanlnisie, lance
ilc
;
0,2U0
14.
—
;
H.
18.
—
très habile
du tau-
lutle avec le taureau
lonihé sur les genoux; au fond,
la
harrière
noinlu’cux spectateurs. O.200
II.
plaza de
;
reau
du
L, 0,300.
contre
l'ace,
le
—
à droite s'avance .Martincho, les handerilles
main; au tond, les liarrières du droile. de nomhreux s[icctaleurs
à la
ciivpie
0,200
II.
;
L. 0.310.
El mismo vuclca
gauche,
[mis,
:
la
porte
son gardien la
([ui
hari'ière
et
s|iectateurs.
L. 0.310.
;
en la
suip:i
du mrmo
folie
une
rouge
misma plaza. la
même
d’un
ta[iis
d'Uts
recouverte
taldc
sur
traine
([iii
le
sahle de
l'arène.
Martincho se lient dehoul, les [deds entravés, sauter [lar les liras étendus en avant, [irét .à
taureau (pu s'avance attiré [lar la couleur (lu lipds au second [dan, adroite, ([iialrc toreros; à gauche, l'un d'eux se dirige dessus
,à
à
;
pli ace.
Sur lc([uel
elle
Otra locura
Autre
taureau vers
toril
nomhreux
0,200
II.
en faisant des écarts.
milieu, de
du
sort
(pii
Le fameux Maidincho pose des banderilles
la
toril (juc vient d'ouvrir
s'ahrile
19.
dans la main droile. le main gauche, attend le tau-
l'estoc
derrière, de
El f'amoso Martincho ponienilo handc-
place de
la
.Marliucho assis sur une chaise, les [deds entravés,
rillas al quiebro.
16.
la
Saragosse.
chapeau à
Falces emhossé dans sa ca|ie, un large
—
E|U'ciivc
Témérité de Martincho dans
éludiant de Falcès. em-
sonilirero sur la tôle,
et
—
180'.).
l’ai'ls,
17 l'rancs.
:
Temeridad de Martincho en
•
El diestrisimo esliidiante de Falccs,c:n-
reau avec des écarts.
Au
Lefoi'l.
I’.
[U'ciuicr ('lat
(le
bossé dans sa cape, se Joue
—
[lar der-
Zaragoza.
Le
15.
nnunc taureau
le
L. 0 310.
0, l,S5;
V(Uito
bûzado, hurla al toro con sus quiebros.
et (le
gauche, trois M.iures armés de
à
;
rière.
au Tond, de
L. 0,305.
;
lances alhujueul
n O ni hreux specta leurs II.
attend
(pii
le sol
Tond sur lui; en
([ui
arrière, à gauche, la harrière
un anlre; derrière celui-ci. un la hi'de de comhal, sa lance [dus loin, à droile, un anlre àne
cot; à terre,
lofi
aide des clialos.
Monlé sur im vigoureux
183
le
;
un toro
en la
plaza
vers
la
barrière
;
en arrière, de
nombreux
de Madrid.
meme
Le
culbute un
taureau dans
s[)eclateurs. la
Signi'
place de Madrid.
Martincho
saisit le
à
droile,
laureau par
la
corne
pour le renverser deux hommes cmhossés dans
droile et par la
(pieue,
0,205
17.
—
;
L.
II.
;
leur cape. 11.
à droite, (lans l'angle
20.
—
0
200
I,. ;
Ugercza // atrevimiento de Juanito Apinani en la plaza de Madrid. Lé(/èreté cl audace de Juanito Apinani
0.305.
dans
la
place de .Madrid.
Ee torero
para defenderse de! toro cmbolado. Les Maures se servant d'ànes comme
sur hupielle
l'once
protégés par
la
los inoros hcch.o
l'cmpart pour se défendre contre un
taureau dont
les
cornes sont garnies
de boules.
Enire
les
;
0,315.
con buiros
Palenque de
inh'rieur
Ctoga, 181,5.
cornes du taureau, un hourri-
exécute
0,200
la
[lerche
nombre
s'ahrile sous
à droite, les gradins vides du
;
ciiapie. 11.
saut de
taureau; à gauche,
harrière. ([ucli[ucs s[)ecla-
teurs dont un certain
des [iaras(ds
le
le
;
L. 0,303.
I
s
cATA
i
21,
—
en
llc^i/riiciii>t (icacciilitÿ
de MadriiL
jilazn
lu
Loci'i';
icud'ulo de
cl ,y
Dr:
i/oi-uiviiK (iUAvi-: 24.
—
toro. quiebrn rejoues en la p>laza de
Madrid.
iilrade de Torrejon.
dun^
('iilnutroplic arrirre
place de Mailrid
In
et.
yrailin; de
les
de
iiuirt
Le
de
tra nspei'ct' l(‘S
le
à
sf'[)aranl
rii'ro
ipii
et
retient des deux
cadavri,'
le
et l(.)inlianl les
soulevée et
25.
un aulre iiersonnagc donl les rappellent ceux de Lova liii-iuèiue. 0,210
II.
—
—
Vuloi' earoail de
(atstuiiic
montée
[ueador,
fie
—
26 à
taureau avec sa pi(pie
son cheval
récuvére
;
dans de
pieds
les
L. 0,:tl0.
;
un dernier
;
le
0 20.3; L.
taureau.
le
taureau
deux autres
;
(pii
se
l'assaillent
à droite. (pioi(]ue
au
à cheval,
;
au second
petit galop.
0,:il0.
bajo del toro. (diuto d'un picador
les têtes
de
li
ch.evil
devanl
le
taureau
un toréador vient en aide à au fond, les liarriéres du riiajue
au-dessus desipielles on aper(;oil
l'avant de sa selle
à
Caida de un picador do su caballo dc-
derrière
:
picador se
cali-
i'ouivhon sur uu hidet, la célèbre l’ajuelera assaille le
céité
II,
ilans la place de Sarayo.ssc
Kn
mains
un alguazil
plan,
de la célèbre Ibijiielcra
riri!
comhat
hlessé, se dirige aussi vers lui
en la plaza de Zarayoza.
C.owayc
(iehallos
l'hahile
Trois chiens atta(juent
Ibijnelera
célébré
la
moidé
Echan perros al toro. On lance les chiens après
de leur 22
face;
retourne contre eux
L. 0.3i;i.
:
la
(tésanglée.
0 20.J
II.
;
jdus loin, traits
place de
lourds étriers.
uns
dans les jainhes de un honinie saule la liarles deux fades du ciiajue:
de
l'attend
jiis(iue
l'animal furieux
la.
héle de
lei[uel est
en sautant sur
se jette
le cüU'’
des gens é|)Oiivaii-
:
fuient, se huiiscnlant
sur les aidres,
vide;
ses eornes
l’alrade
Le taureau, sur
deux (aHés
lc.s
venant de sauter
laurcaii
siHiiendu
|M,)rlanl
gauclie est
lo f'ùlé
dans
Madrid.
La l()nl]los^iou l'eiu'ésenle (lu ciiNjue;
'mc CeJnillos montant un taureau,
in
brise des banderilles
l'al-
ende de Torrcjnn.
droil iiioulre
monlado sobre otro
El inismo Ccballos
del
iniierlc
Etendu reau
à terre, entre les
jambes du tau-
s'attaque à son clieval
ipii
derrière
un picador avec sa lance, deux essaie de faire fuir la bête sauvage toreros regardent altérés; un autre torero bopiel
(luebjues spectateurs.
il
s'abrite,
;
0.20.3
II.
23
—
h. 0,;t0.3.
;
Mariano Ceballos. cl toro.
rindien.
dit
ger son éjiée dans les lairnes
un
sa cajic les
trau(|uille, Cehallos
le
dos
;
lui
27.
—
plon-
main gauche
à
le
;
ciiapie et de
nomlareux
sjieclateiirs.
El célèbre Fernando del Toro barilar-
0,210; L. 0.310.
Veiil(.( P.
Lcl'oi’l,
de premier deu.vi(''ino
('Oal
(.'la.l
:
:
Paris.
1800.
20 francs. 21 frane.s.
—
—
Mprcuvc Mpreuvo do
fiera
con su
taureau, arec sa pique, à fondre
sur
Le
lui.
idcadoi', droit sur son cheval, assaille
avec sa pique 11.
la.
Le célèbre Fernando del Toro obliyeant
l'avant de sa
an second plan, huit toreros prêts à venir à son aide: au fond, la harriére du
selle
à flroite.
yarrocha.
de l'animal de (aimhat se soutela
;
0,200; L. 0,310.
yucro, obliyando d
est incliné vers
il
de distraire l'animal
gradins du cinpie avec une
nombreuse assistance
H
attend l'atlaquc du taureau pour
naid de
tue
tente avec
pour fond,
cheral.
à.
un cheval
.^lonlé .sur
mata
desde su caballo.
Mariano Ccballos taureau
alias cl India,
ment
sa
le
taureau qui regarde fixe-
monture; en arrière
trois toreros
accourent
valier; à gauche, au
à
la
et
à
droite,
défense du ca-
second plan, galope
CATALOGUE DE l/OEUVUE un second piendor sans cdiapeau
ni
lance,
—
31.
que deux toreros essaient d'arrêter plus à gauche encore, un cheval à terre; au fond, les Ijarrières du cirque et divers person-
(iliAVÉ
1S5
JianderiUas de fuego. Les banderilles de feu.
;
Au
centre,
taureau avec une paire de
le
banderilles de feu sur
nages.
dos. vers leijuel se
le
un lorero venant du c('dé droit; plus du même côté, un second torero, puis
ilirige
U. 0,200
0,320.
L.
;
Vente P. Letiirt, Paris. 1809. dr douviêuio état 20 IVancs.
loin,
—
ICprcuvc
un groupe de
trois autres à gauche; au fond, un banderillero et deux picadores.
;
28.
—
El esforzado Ilendon picando un toro, de cu!/a sueide miirid en
la
à
Sigrii'
plaza de
O 01/ a,
Madrid.
Quelques tinte.
Le courageux Ilendon piquant un tau-
reau qu'il tua
coup, dans
d'un
dans l'angle
droite,
—
II.
l('gèros
0,210
:
adjonclions
d'aqua-
L. 0,320,
:
—
Vente P. Lelort, Paris. 1869. de deuxième état 28 francs.
la
infV'i'ieur
ISI.').
Epreuve
:
place de Madrid.
Ilendon plonge sa, pique dans le cou du taureau qui soulève son cheval sur sa corne
—
32.
seguida por un solo toro.
Deux
droite; en arrière, quatre toreros viennent
au secours du picador; un second [licador, la lance ahaissée, attend son tour d'entrer en lutte à gauche, un quatrième torero jette sa cape au taureau; d'autres saident
gi
oupes de picadores culbutés l'un
après l'autre par un seul taureau.
A gauche, deux servants conduisent un au milieu, le taureau laboure de ses cornes un
;
jiicador dont le cheval git dans l'arène
la harrière. II.
Dos grupos de picadores arrollados de
autre cheval à terre, dont
0,205
;
L. 0,310.
—
Vente P. Lefort, Paris, 1809. de douxiéuie état 26 francs.
Eprouve
tenu
[lar
<lans
les
deux toreros
le
;
cavalier sou-
lui
enfonce sa lance
lianes; à droite,
un autre cheval
:
29.
—
gisant et deux toreros s'avançant vers Peqye-Illo hacieiido el recorte al toro.
Pepe-lllo faisant des passes devant
bête le
main gauche,
épaules,
le iiiulle
retourne furieux
le
e.élèl)rc
du taureau qui
les
se
33.
—
;
:
muerte de
Pepe-lllo
l'arène, le malheureux cramponné des deux mains
Etendu dans
—
;
état
La desgraciada
Mort malheureuse de Pepe-lllo dans place de Madrid.
L. 0,310.
—
Eprouve Vente P. Lefort. Paris. 18G9. Epreuve de de premier état 22 francs.
deuxième
Epi'cuve
en la plaza de Madrid.
barrières du cirque.
0,230
—
:
autres toréadors; plus loin, deux picadores;
II.
la
gradins du
Vente P. Lefort, Paris, 1869. de piemier état 28 francs.
torero
à gauche, un toréador cape; à droite, quatre
;
embossé dans sa
au fond,
les
IL 0.200; L. 0,310,
les
frôle avec son petit cha[)eau qu'il tient de la
combat; au fond,
cirque.
taureau.
La cape sur
lie
25 francs.
lllo
est
la
l’epe-
à
la
corne droite du taureau qui le laboure d’une manière horrible à gauche, un toréador ;
30.
—
Pedro Itoinero inatando à toro parada.
essaie en vain, avec sa ca[ie d attirer
Pedro Pioniero tuant un taureau
tention de
intino-
harrière qu'escaladent
bile.
Le torero [)elle
assaille le
taureau dont
l'attention avec sa muleta
;
il
II.
0,205
;
la
L. 0,305.
scène.
at-
divers
personnages
et derrière laquelle d'autres sont réluglés.
quelques
toréadors dont l'un à califourchon sur harrière contemplent
ap-
1
hétc sauvage; pour fond, la
la
II.
la
34.
—
0,200
;
L. 0,305.
Variante de
la
planche
Un toréador monté
n'^
2i.
sur un taureau,
les
1
CATALOCUE DE E’OEUVDE
80
main, se disj)Ose A les ]dadu laiireaii de combaL; à des toreros courant; pour fond, la
G
11
A
VE
lianderilles à la
cherche à attirer
ccr ilans le cou
féroce.
"auclie,
barrière
Il
II.
Gidle plaiirbo UC fail pasjjartiede la suite de la Tuiiromachie éditée à Madrid.
35
—
.
38
0,21o: L. 0,:i20.
Un taureau
porto suspendu à ses cornes cadavre d'un torero; à. sa droite, un picador donne un coup de lance à la bête; plus
Viui noviUaila.
le,
Deux caYaliers montés sur des ânes atteune berline, atbuiuenl un taureau qui enfom.'e ses cornes dans le ventre d une des bêtes de trait; d'autres alicionados montés
un groupe de toréadors; au fond, deux autres toreros dont l'un se cache le visage dans les mains. loin,
lés à
11.
berline ou caclié's derrière elle, tien-
la
:
—
.
Course de novillos.
sur
hête
Cette [)lanclie ne l'aitiias partie de la suite do la Tauromachie éditée à Madrid.
L. 0.3Ü0.
;
la
Signé dans l’angle inférieur, à droite
]jar la foule. Ü,'200
de
G 01/ U
cirque et les gradins occupés
ilu
l'attention
nent dans les mains des l)anderilles un d'eux, penebé à la portière de la voiture e.ssaie d'atteindre le taureau avec une banderille à droite, un groupe de combattants au fond, les barrières et les gradins du
ü,2o;;
;
L, Ü..313.
planche ne
fait pas partie do la suite de la Tauromachie éditée à Madrid.
Cel
;
39
.
te
—
Yariaule de
Au
milieu de l'arène
la T>lanche
2Ï>
;
;
aux chiens
cirque. II.
0.210
un
Celle planclio ne fait pas partie de la suite de la Tiiiiroinuclile éilitée à Madrid.
36
Un
torero tenant de la
main gauche un
40
.
chapeau en guise de muleta, se dispose a attaquer
le
taureau qui est devant lui;
a
un
groiqie de toreros et de spectateurs.
—
Variante de
Au
milieu du
dans
en arrière, des chevaux gisent dans l'arenc: au fond, un groupe de toreros entoure un taureau blessé: ifeux picadores a
le
;
la
la
planche n° JS.
ciiNpie,
un torero
assis sur
les [lieds
entravés, la muleta
main gauche,
se dispose à atta([uer
une chaise,
cauche, deux combattants embossés (lans leur cape
droite,
Cette [jlancbe ne fait pas partie de la suite de la Tauromachie éditée à Madrid,
—
.
taureau tient tête
alguazil à cheval sort du cinjue; à gauche,
L. 0.320.
;
le
l'attaquent; à
i[ui
taureau arrêté devant lui; au fond,
les
spectateurs. 11.
0.2IÙ
;
L. 0,320.
cheval se reposent ap[uiyés sur leur lance; a droite, auprès de la barrière, un cheval
Cette [)lancbo ne fait jjas partie de la suite de la Tauromachie éditée à Madrid.
gradins
Doux Vente P. Lefort, Paris. 1809. épreuves d'états différents 42 francs.
abandonné, [mis
les barrières et les
—
:
du cirque. 11.
0,210
Ci.'Ltc
:
L.
0.32:.i.
41
[danclie ncl'aitpas pari
de la Tuirroinuchic
37
.
l'ditéc à
ie rlo
.
—
Les cinq taureaux.
la suite
Madrid.
Uin([ taureaux sont figurés
-
II.
Un taureau emporte suspendu nes, un toréador
blessé, la tête
à ses cor-
en bas
;
un
picador galope à sa droite; au loin, trois gau(oreros sécha |q)enl épouvantés ;
che. à l'aide
dans des po-
sitions différentes.
,à
de sa cape, un aidre torero
0,210
;
L, 0,325.
a appartenu à M. E. Lucas. on a été fait un tirage par le joui-nal /’.D7 en 1877 sous le titre de Llovia de Cette planche loros. Claie de laureaux. ne fait [la.rtie de la suite de la Tauromachie éditée à Madrid.
—
Le
cuivi'e
Il
—
.
CATALOGUE DE i;œuvre lithographié
1.
—
femme
Vieille
pinceau
fiant.
Elle est assise sur
un banc
et file sa
:
;
;
—
6.
2.
—
le
Le duel.
Signé
et
daté
:
Madrid-Marzo,
Litliographic exécutée à la L. 0.230, H. 0.220 roseau.
—
Vente
démons; au
plume
rte
7.
— Homme du peuple renversant une femme.
;
P. Lefort. Paris,
18G9.
Taureau luttant contre des
le
— 31
Un homme du
francs.
chiens.
peuple, coiffé d'un bonnet
Lithographie exécutée au crayon ot au pinceau. 11.0,130; L. 0.1.30.
—
Dessinée à
au crayon.
0,270
;
—
11,
femme
vue de dos.
assise,
combat.
LiLlmgraiiliie exécutée
8.
— Le
Martrirt.
—
Très rare.
moine.
L. 0.1 70.
Dessinée
à Marti’irt.
—
Un moine
Ti-ès rare.
debout, la tète cachée sous son
capuchon, tient un crucifix de
La femme
Un soldat
remme
la
main droite.
et le soldat.
Lilhograpliie exécutée au
assis à terre lient
dans scs bras
adjonction
qui essaie de lui échapper.
Citlmgrapliic exécutée 0,180; L. 0,120. Dessini'e à Martrirt.
—
nu, les bras attachés derrière
catalan, essaie de renverser une jeune
templent
5.
— 10 francs.
A Londres, au llritish Muséum. Print Room. Epreuve retouchée au pinceau.
Goya.
1819.
Six chiens luttent coiilre un taureau; l'un
une
—
— —
la
d’eux est lancé en Pair; deux toreros con-
—
au
Lithographie exécutée au pinceau avec adjonction do grattoir. 11. 0,120; L. 0,240. Dessinée à Martj'irt. Très rare.
dague.
4.
travail
second plan, d'autres démons.
de Philippe IV se battent à l'épée et à
—
rte
L. 0,130.
dos, est entraîné par des
Deux genlüsbommes en costume du temps
3.
;
Caprice.
Un homme
—
L. 0.140.
adjonction 0,120
II.
Dessinée à Martrirt. Rare, Vente P. Lefort. Paris, 1869.
nouille.
Goya on Signé au milieu rte la marge bas, à gauche, on lit Madrid-Fehrero, !$H). Litlingrapbie exéculée au pinceau et 11. 0 210: tii’ée sur papier rte couleur.
avec
—
grattoir.
que-
—
au pinceau.
—
11.
9.
—
deux enfants; an premier bre, un aidre personnage. Litliogrupliie exécutée
[)lan,
vii'ille
dans l'om-
et
au
endormie, à moitié genoux d'une femme âgée; femmes s'avancent au foml, ;
femme
est assise.
exécuti'e 0,140; L. 0,100.
Litlmgi'apliio 11.
au crayon
O.090.
fille s'est
à droite, trois
une
— IL 0,130; L. — Très rare.
les
lecture.
assise fait la leclnre à
Martrirt,
Le sommeil.
Une jeune
Très rare.
couchée sur
Une Jeune remme
rte fi'<jttis.
Dessinée à
pinceau avec
Dessinée à
.Marti'id.
—
au
ciuyon.
Très rare.
—
CATA
INS
—
10.
Marümo
El fanioso amcricrmo
Ccballos.
Le fameux américain Mariano Ceballos. Ceballos inonlanl un
Mai'inno assaille le
lance à
la
UT
DE l/OEDVKE
LO(i L'E
14.
laureau de plaee, une courte main.
—
En
10
1
”ra]ibie à
1
précédentes, ensemble; 82 francs.
;
champ, un picador fait face à un nombreux spectateurs contemscène montés sur des éminences
plent
la
de
voisines.
l'esta niiio, le titre.
Li
1’ l' Il
plein
taureau
:
Dessinéi,'
E HA
Sucrtc de vara en cl cainpo. Attaque en rase campagne d'un laureau par un picador.
:
—
)
(
et les li'ois
laureau,
Siyné en bas, à. f^anclie. dans le leri'ain Sons resLaiinio ou Id Véposé et Goya. lilli. dr Gatiloii. — En haut, au-d('ssns de
II
au crayon — 11.0.310; L Tirée bordeaux.
0,405.
—
Lilhographie
300
à
au
I.
—
11.
Picador enlevé
cornes d'un tau-
fuir les
15.
reau.
Eu taureau et
sou cbeval
;
de faire
doux toreros essaient
et
]irise à
à cheval
lâcher
—
lessinée
Signi', '
jiicador désar-
à gauche, dans
lias,
L. 0,4 lof
Dessinée
à
—
au crayon.
Lilliograpliio
—
bordeaux.
terrain
le
Vente Doncourt. pièce
—
12
cl
300
à
Tii'éo
un antre
l'ac-
la guitare.
en
lias,
au milieu
Goya.
:
0,183; L. 0,190.
—
Rare.
deux témoins. 11.
0.210
;
Dessiin'‘c à
17.
—
:
Goya.
L. 0,220.
bordeaux vers
1826.
— Rare.
Portrait de M. Gaulon. imprimeur-litho-
graphe. représenté de trois quarts, en buste,
est
11
la tête
nue.
Sigin.' 11.'
en bas, à gauche
270 Dessinée
Slgnéi en lias, à gauche, dans le terrain Déposé cl Sous l'eslaïupe, on lit
0.
L, 0,210.
;
;i
boi’deau.x.
;
—
jaleo, entourée
Duel à l'épée entre deux condjattants, dont l'un tombe transpercé; â leurs côtés,
attaquent et dont les autres s’enfuient.
Güi/a.
le
Le coup d'épée mortel.
d' Espagne.
De jeunes taureaux, conduits par des lifxnd's apprivoisés ont été tâchés dans une arene remplie de toreros amateurs dont les les
—
la pri’i’édeuto, ensendile: 505 francs.
Diverlisscmcnl
uns
16.
Cette
Diversion de Eapana.
13.
Très rare.
Signé en bas, à gauidie
—
18t)7.
Pai'is,
;
0.310:
11.
cxoïnplaires.
;
—
Dessinée à bordeaux en 1823.
çonné. Signé en Goya.
Bordeaux.
l'un chante et
;
compagne sur II.
le
à,
de spectateurs
l'animal qui se dresse sur ses pattes
de derrière et s'acharne sur
0,250
II.
Majn dansant.
Une jeune femme danse
vient de renverser un [ucador
un second picador
—
crayon.
L. 0,335.
exeuiplaiies.
Venle
:
—
Goya. Rare.
P. Lefort, Paits, 1869.
— 13 francs.
:
mil. de Gaalon.
— JAi
de
haut, au-dessus
18.
—
Caprice.
l'esta nqie. le titre.
Li
1
1 1
U g ra P h i e a U c ra y O n
.
—
1 1
—
.
Dessinée â bonleaux. exemplaires. Vente Concourt. Paris, 1897.
0 300 ,
:
L
'J’iréc
— 53
.
0 ù
.
i
1
Un jeune homme
5
300
francs.
la
tète
couverte d'un
chapeaucl élégamment habillé de diables et de démons.
est
entouré
Eiii’cuve aubrilish âluscuin. Priai
—
Place de taureaux en deux parties.
A
droite,
un torero
d'un coup d'épée: des handeriltes
à
a
frapiie
lui
un autre taureau.
en bas. à gauche Goya. hogixqihie au iTa.you. — 11.
19.
—
Scène de tauromachie.
Un picador entouré de sa
:
sur un cheval blanc. 0,:105
c.st
cuadrilla,
monté
en arrêt devant
le
;
laureau.
L, 0,410.
Dessinée
Douteuse.
un taureau
gamdie, un clmlo pose
Si.gné'.
Room,
â Londres.
a
bordeaux.
—
cxenijilairos.
Vente P. Lefort, Paris 1869.
Tin'e
—
à
300
Gi'tto iiiéee
0,310; L. 0,360. Publiée en 1821 par Seiiefehler cl Très rare, douteuse. 11.
G''.
—
TABLES DES MATIÈRES
PLANCHES HORS TEXTE F/'auci.sco (ïoya,
par lui-même, gravure
Les rnajas au balcon, gravure de M.
(le
M. Dezarrois
.......
Frontispice.
Léopold Flameiig
;j
La reine Marie-Louise, gravure de M. La valley
'J
La famille de Charles IV, héliogravure de Braun, Clément
La maja
La maJa desnuda, gravure de M. El torero José liomero
Scène
La
espcijjnole.
gravure de M.
l'éventail,
Don Manuel Garcia de Doua
Don
21
Dezai’rois
27
gravure de M. P. Lafond
,
J.
33
.lac(juemart
fainosa librora de la Galle de Carrelas
La femme à
17
el C‘“
gravure de M. R. de Los Rios
vcstida,
,
.37
gravure de M. Lavalley la
Prada
‘ .
héliogravure
,
Isabel Cobos de Porcel, gravure de R. C.-A.
F.
57 73
Manchon
Quichotle, gravui’e de M. l!rac(iuemond
Un mendiant, gravure de
33
lilliographie de M. C. Ldiclis
Coya
81
85 h7
TEXTE de Coya
I.
L’Ai't
II.
Vie de
Coya
III.
Vie do
Coya
l\'.
Coya peintre
son maîla'e Luzan
:
sa, jeunesse,
:
son âge inùr, sa vieillesse religieu.v
20
39
T Al’.].
190 V.
Roya
VI.
Coya peiulre de genre
^TI.
Roya graveur
ES DES MATIÈRES 52
iiorlrailisie el d'iiisloire
71
85
Calaloguc de l’œuvre peint
et
dessiné
;
l’einlures décoratives
99
Peintures religieuses Peintures d'histoire
et
-
de genre
100
105 116
Poi’Irails
Carions de tapisserie
144
Peintures do TAlmeda d'Osuna
148
Peintures de
la
Casa de Roya
Catalogue de l'œuvre gravé
Eaux Eaux
...
150 151
]>essins ;
fortes détachées
158
fortes d'après Velaz.iuez
160
Les Caprices
162
Les Proverhes
170
Les Malheurs de la guerre
172
La Tauromachie
181
Catalogne de l'auivre lithographié
187
Collection publiée sous
direction de M.
la
JULES COMTE
LKS
Série A. Antiquité
Moyen
B.
—
et Renaissance.
a.ge
G.
—
Temps modernes.
siècle
D.
VOLUP4ES PARUS Série C. Goya, par Paul I.afond, conservateur du musée de Pau. Etude luograpliique et crilique suivie des calalogues complets,
première
la
dessiné
et
2" ;
foin
:
1°
pu/j//é.s-
de l'œuvre peint
de l'œuvre gravé
;
de Tœuivre
de 10 gravures dans le texte et de 3 planches hors texte, dont une héliogravure tirée sui'
papier du .lapon. Tirage à 30 exem-
plaires numirotés à la presse.
graphique
lithogi’aphié.
Un maguitique volume
illustré
de 70 gra-
silion de lS78. 2i gravures
du maîlre,
une lithographie. relié, 1/2
l’el.
deux héliogravures et Prix, broché 30 fr.
—
amateur.
a été tiré en outre
11
luxe numérotés à
;
;
40 ;
hü exemplaires de
hors texte,
du
texte,
— Prix,
50
broché
fr.
démie française. Eue plaquette
illustrée
illustrée de
— Prix
Une plaquette
dans
Sédille, par Sully Prudho.m.ue, de l'Aca-
Une plaquetle
7
Le Général Lejeune, viîZE.
.Japon.
des
d 300 exemplaires numérotés à la pixsse sur
imprimé
Paul
la liste
gravure, tirées sur pajiier du .Japon. Tirage
sur beau papier vélin, hors texte sur papier
la presse, texte
fr.
Ino-
dans le texte et de 8 planches dont une eau-forte et une hélio-
papier vélin.
fr.
de
et critique suivie
texte,
inédile
5
peinlures du maiire ayant liguré à l'Exjio-
vures dans
le texte et de 14 planches hors dont 10 eaux-l'ortes signées de nos premiers artistes, une eau-forte originale cl
— Prix.
Daumier. par Custave Ceffkov. Nolice
le
illusirée
50
de 33 gravures
liéliogravure hors
texte et d’une
tirée
fr.
par Eour.nier-Sarlo-
sur paqiier du
.Ja[ion.
à 30 exemplaires numéi'Otés d
Tirage
la presse.
—
5
fr.
Prix
Série D. Alexandre Lunois, par Émile
Daciek.
Une
texte,
de 17
hors
planclies
principales œuviœs du maître
lithographies originales tirées sur papier
fortes
de Chine. Tirage à 200 exemplaires numé-
Prix
rotés sur papie)' vélin
7
fr.
50
J.-C. Cazin, par Léo.nce Héxkdite, conserva-
teur du I,n
vélin
musée
volume et
nalional du Luxemboui'g. inquiim''
illustré
sur beau
pajiier
de ü2 gravures dans
le
({ualre eaux-fortes
11
originales
de
inédites
dont
Hdeux J.-C.
a été tirée en outre
pa[iier
du
la
.Jai)on
;
Cazin. l'r.
50 exemplaires
presse, eaux-fortes
avec
Irlple
suite
{épreuves d'état, avant et avec la lellrc).
Prix
les
eaux-
15
de luxe numérotés à sur
texte,
exécutées d'après
plaquette illustrée de 19 gravures dans le texte et de 11 planches hors texte, dont 3
25
— fr.
Collection publiée sous
direction de M.
la
JULES COMTE
r
VOLUME S PARUS PREMIÈRE SÉRIE
—
texie et de
ART ANCIEN
1)
In'diogravnre
Le musée du Barde à Tunis et les fouilles deM. Gaucklerà Carthage, par CiEorges inemlu’e
I’krrot,
de rinslilut,
'Tirage
à
)danches hors texie. dont une lirée sur jiafiier du .Japon.
200 exemplaires numérotés à
presse, sui' papier vélin.
—
Prix.
7
fr.
la
50
directeur
de rik’ole normale supérieure. Une plaijueUe le
illustrée
texte
texte.
et
T rage i
do
de deux
gravures
2a
à U)0 c.rciiiplaii cs nainéi-otés a
la prerse, texte
sur papier laJin. hors texte
sur papier du Japon.
Pourquoi Thésée
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servaleur adjoint
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l'r.
riiistitut,
Tirage à
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au nmsée du Louvre.
pla(iuette illustrée de 0 gravures
le texte.
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fut l’ami d’Hercule,
par E. PoTTiEH, rnemhre de
Une
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exemplaires numérotés
a la jiresse, sur papier véli n.
L'Art du Yamato. par
DEUXIÈME SÉRIE
héliogravures hors
El.
— Prix 3
l'r.
50
Une dans le
E. Maître.
jdaijuetle illustrée de 37 gravures
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— ART MODERNE
Les dessins de Puvis de Chavannes au musée du Luxembourg, par Iucoxce HiLn'éDiTE, conserva teui' du musée nalional du Luxembourg. Une plaquelte illustrée de 8
gravures dans
le
hors texte, dont
2
texte et de a planches
héliogravures.
Edition ordinaire. Prix
4
l'r.
Edition de luxe, texte sur papier vélin
;
hédiogravnres sur papier du .lapon. 'Tirage a aO exemplaires
numérotés a
DK CHARLES
la joresse.
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Prix
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GEHY CEMTER
MAIN
LIBRARY
NO 813 G7 L18 c.
1
Lafond. Paul.
BKS 1847-1
Goya.
3 3125 00334 0862