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PIERRE DE NOLHAC
HUBERT ROBERT 1733-1808
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PARIS GOUPIL MANZI, JOYANT
& 8c 24,
G'^,
ÉDITEURS-IMPRIMEURS
C'% éditeurs-imprimeurs, BOULEVARD DES CAPUCINES
1910
successeurs
FOL'O
FIL Ã&#x2021;'i?-
c.L
LA FÊTE DE LA FÉDÉRATION AU CHAMP DE MARS 14 juillet 1790 (Musée de Versailles}
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2016
https://archive.org/details/hubertrobert173302nolh
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III
LES DERNIERS VINGT ANS E
en 1788, que
fut au Moulin-Joli,
R run peignit
L aimable Watelet
et
lui
charmant,
mort
était
’
plantés par
de son ami Hubert Robert,
portrait
le
Madame Vigée-Le mais
;
les
bosquets
paraient toujours ce lieu pittoresque
souvenir des réunions heureuses
et le
consacrait à jamais, pour la fidélité de l’amitié, ces îles
dont un artistes
ciant
homme et les
enrichi
,
de
la
Seine, couvertes de jardins et de vergers,
sensible et bienveillant avait
fait
un
fier
grâces d’une
intact,
sous
et,
la
Elysée
»
pour
les
poètes. Invités ensemble par le propriétaire nouveau, négo-
de
continuer
de
belles
traditions
avaient quelque peine à retrouver l’enchantement dont les
«
tandis
société
incomparable
;
mais
le
,
ils
décor
les
deux peintres
avaient joui parmi restait à
peu près
que leur compagnon Lebrun - Pindare cherchait encore,
voûte des saules pleureurs,
les
rimes
d’une
ode
orgueilleuse.
HUBERT ROBERT
70
Hubert Robert dessinait une reflet,
les |)eupliers
et
Madame pour
le
mettre lui-même sur travail
adoucie par
dégagent
pont de bateaux, d’un
main, dans
sa palette à la
toile,
la
de campagne
de ce séjour
loisirs
La veste s’ouvre largement
.
enjôleurs et
bonté
la
sur le
La lumière joue sur ce
.
cheveux bouclés
les
intelligents
et destiné
de 1789; mais,
tel
rares
et
rejetés sans
,
ne rient point,
ils
;
rement sérieux
au Salon
qu’apparaît
car
soin
la
simplement pour
fêtait,
le
n’eût-on pas aimé
charmantes
plaire.
moins et
et
qui
S’il
franchise de son caractère,
sans apprêt
la
bon
le
savait
goûtait
:
«
le
tacles,
et je
bals,
ne crois
))arties ,
car tout ser.
»
le
Il
temps
n’avait
qu’il
rien
monde,
la
les
table,
de campagne,
barres,
sui- le
(J^uoique
rien
Un
les
mains,
de
do Colombes, chez
parquet une longue raie à
un balancier dans
l’on
homme
tel
rendait
bien
qualités
Madame
écrit
recherché générale-
il
le
il
se
la
craie;
met
le
par
refusé passait
ni
à
lui
l’égalait faire
rire
l’àge,
;
s’amu-
dans
les
non
[)lus
Rome, il
était
parties de
pour
les
aux larmes tout un
Madame de Verdun,
]>uis,
lui
de son adresse
rendait fameux, à
devenu gros avec
Personne ne
V invention drôle, la façon
jour, au château
lui
n’était
personne ne courait mieux que
de paume ou do ballon.
tours d’écoliers, s:don.
et
était
il
des goûts de sa jeunesse,
pensionnaires du Roi.
resté lort agile,
le
les plaisirs,
n’employait point au travail, jierdu
un
,
son talent que pour ses
extraordinaire dans les exercices du corps, qui
parmi
gaieté
la
monde
le
l’enjoue-
dînât chez lui trois fois dans l’année. Spec-
[>as qu’il
concerts
de
prix
le
Amateur de tous
Le Brun, sans en excepter ceux de ment,
celui
Dans une société où
Robert!
célébrité de
jiour la
volontai-
sympathie que Robert
ses manières et la fécondité joyeuse de son esprit.
Comment
yeux sont
modèle, dans son attitude familière, pris
le
contemporains par
ses
que
,
plus sentimental de l’époque,
le
ment de
et
clair,
front
les
;
à
fait
gilet
vaste
inspirait
était
négligé
le
portrait est
le
au milieu de sa besogne interrompue, on s’explique
s’amusait
joli
si
mal noué découvre un cou puissant sous une belle tête éner-
et le foulard ,
le
rive.
la
Vigée-ljO Brun profita des
de ses heures de
gi([ue
de
do plus
fois
il
trace
costumé en saltimbanque,
à mai’cher sur cette ligne,
à sauter.
LETTRE Dâ&#x20AC;&#x2122;HUBERT ROBERT A LA MAR(JUISE DE GROLLIER (A
il/,
le
vicomte du Pontavice
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LES DERNIERS VINGT ANS imitant les gestes du danseur de corde, donnant l’illusion
à courir,
amusante aux assistants
promenade
dans
terrible
chemin perdu, Robert
et le
;
même homme
de tous
son
cire éteinte,
la
une mort affreuse. de
cercles spirituels,
les
un
émotions de cette
les
Catacombes de Rome, où,
avait pressenti
il
était
les
plus
la
saura les faire frissonner,
en leur contant d’une voix tragique
après,
instant
71
toutes
compagnies
les
joyeuses de Paris, et faisait figure à l’occasion dans les sociétés les plus
Ce mélange agréable, qui réunissait rue de Cléry
choisies. les
Madame Le Brun,
concerts de
aux gens de cour
ainsi
plus raffinés et
les
même
et
que son aimable femme,
pour entendre
artistes
les
à
à ces
demeures
Le
.
en ces beaux jar-
,
dins de Tivoli créés sur les premières pentes de Montmartre. M. de qui recevait parfois des
artistes, aimait à voir arriver
son ami Vernet.
un familier de Madame de
tesse
était
d Angiviller
de
surtout
’
,
Fuligny-Damas, dont
appréciait
il
le
serie toujours nourrie et ardente. les
«
petits comités
de
»
la
la
chez
marquise, pour qui
de
Madame de
l’avait introduit
dans
était invité
environs de Paris, où
On
l’hospitalité.
le
le
chez
villiers,
chez
les hôtes,
il
luxe fastueux n’excluait jamais
le
Méréville
,
chez M.
;
à
Colombes, chez
comte de Vaudreuil. Pour l’extrême
s’attardait
marchands Le
tableau de fleurs
la
de
bonne grâce de Laborde
pittoresques, embellies à chaque saison
maréchal de Ségur
le
campagne, où
la
sans cesse dans ces nombreuses résidences des
rencontrait à
revoyait ses créations ville,
un jour un
Grollier.
Robert
L’été,
Sophie de cau-
com])osa
il
com-
la
précieux sauvé du feu est [)récisément un
seul objet
née
la
talent de peindre les fleurs et
Son amie Le Brun
Ferlé,
Robert avec
lui
,
devant de cheminée représentant une scène d’incendie à le
la
Reynière, de
marquise de Grollier
la
peintre
amusants diners du jeudi,
où tant d’esprit se dépensait autour du financier Boutin
II
mode
la
aux maréchaux de France, se
moins modestes
jours en de
retrouvait à certains était fidèle,
les écrivains
,
les
Verdun
liberté
;
où
il
Romain-
à
;
,
à
Genne-
dont jouissaient
volontiers à Morfontaine, le château du prévôt des
Peletier, au milieu d’un curieux
de beautés naturelles qui ne
le
paysage d’eau, de bois,
cédaient point à celles de Méréville.
On
et
y
HUBERT ROBERT
2
pour
retrouvait,
les parties
Tivoli,
M. de Vaudreuil
Vigée,
Brongniart,
en-train de la la
de bateau sur
chevalier de Coigny
le
,
Madame Le Brun,
compagnie; après
le
gaie société de
lac, toute la
le
Lebrun - Pindare
,
l’abbé Delille.
Bobert
,
boute-
était le
repas, délicat et copieux,
Louis
l’excitation
de
soirée se prolongeait bien après qu’on s’était séparé; les convives conti-
nuaient à composer des charades, à aiguiser des mots d’esprit; réveiller les
chambre
à
uns
les
ils
allaient se
autres pour se les dire, et c’était, toutes les nuits, de
chambre, des accès de
témoignaient d’âmes hon-
folle gaieté qui
nêtes et faciles à divertir.
il
décoré
avait
furent précieux ce
que Bobert ne restât pas l’ami de l’homme de goût dont
était rare
11
maison.
la
quand
l’écrivain
fameux hôtel qui devait
fut
le
Il
fit
être,
dans sa pensée, le
teur du Mariage de Figaro ne tolérait en
plus sévère.
dant
grand salon
était
laissé
un
])ar
j^eut
richesse. L’au-
sa
du péristyle
l’hôtel
la
Beaumarchais,
à l’esthéticpie
â l’antique précé-
comme exemple
des voyageurs
central
et
le
a
inspiré
et cette idée s’est c’est
les
l’art
la
nouveau,
décoration,
trouvée toute con-
un hommage raisonné
dissertations de
de cha(jue composition. L’écrivain
au bain,
des meilleurs
â la gloire
Les j)rincipaux chefs-d’œuvre consacrés par l’admi-
de Médicis, l’Hercule Farnèse,
Nymphe
le
français.
une idée d’ensemble
du moment, car
scul]>ture antique.
ration
le
en ces dernières années du règne de Louis XVI, et
lui
formée de huit trumeaux en hauteur,
forme
néo-grec
le
contribuèrent à maintenir, parmi les sèches créations de
A
conseils
séjour de sa tranquil-
architecture que
prendre
une partie des grâces de l’ancien goût
de
le
témoignage de
petit tableau
ses
orné de peintures importantes de sa main, aujourd’hui â
de Ville de Paris, qu’on
travaux conçus qui
a
qui
jardin, et l’on ne saurait rien voir de plus froid; en revanche,
le
l’Hôtel
Robert
â
au faubourg Saint- Antoine,
construire,
bourgeoise péniblement acquise et
lité
Beaumarchais,
de
la
^^dnckelmann
et le
,
font le
j)eintre ont choisi la
motif
Vénus
Flore Farnèse, l’Apollon du Belvédère,
Gladiateur du Capitole,
le
Laocoon,
et
la
ce Marc-Aurèle à
cheval, tnnt de fois utilisé par Bobert, qui en possédait chez lui une grande
reproduction en
bronze. Cette
noble
liste
ayant
fixé
l’unité
de son œuvre.
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LES DERNIERS VINGT ANS l’artiste a
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rêvé les plus libres arrangements, et son talent
dance une piquante variété de détails
jolis.
lui a
Le socle de
fourni en abon-
Vénus
la
florentine,
par exemple, orné de bas-reliefs et ombragé par un cèdre, s’élève au bord d’une pièce d’eau; un fond de verdure et quatre colonnes ioniques supportant
un entablement tout le ])aysage
sous
un peuplier
brisé, ;
et
une prairie fuyant
l’humanité paraît aux pieds de
et
à l’horizon,
statue de la déesse
la
forme de deux amants enlacés qu’un batelier mène sur
la
voilà
Le pié-
l’eau.
destal de l’Hercule Farnèse a sa corniche en partie brisée, et le grand arbre
des fragments de colonnes
qui l’abrite laisse pendre des branches cassées;
gisent à l’entour; un s’efForce
Comme
homme, auprès de deux femmes
soulever une
de
large pierre
masque
qui
à
demi agenouillées, d’un
l’entrée
caveau.
contraste à cette scène de désolation, de jeunes femmes, de petites
autour de l’image de Flore, jouent aux dés, cueillent de fleurs, rem-
filles,
plissent des corbeilles, et les ruines voisines d’une rotonde de
style dorique
ne mêlent d’aucune tristesse cette évocation du printemps. Autour d’Apollon, l’architecture
enfin,
d’un
temple
prend plus
circulaire
de place;
de style corinthien
,
dresse au
statue se
la
dont
fûts
de colonnes, des fragments de chapiteaux gisent sur
fait
le
romain
sol
;
des
jilusieurs
;
vêtus à l’antique et assis sur les gradins du temple sont occupés
artistes
à copier
la
les figures et
supporte
l’entablement
encore un morceau de coupole à caissons d’un art tout à
centre
nature;
leur attitude,
sur les genoux, rappellent
leur carton
de dessinateurs dont Robert a peuplé tant de
de jardins, évoquant sans se lasser
les souvenirs
]:>alais,
de temples
de sa vie romaine
et
de ses études de jeunesse.
On
pourrait
multiplier les descriptions
décorations d’Hubert Robert,
aimable
et
et
s’en
de ce
servir
genre,
pour établir de
comment
vaut mieux apprendre de lui-même
11
son esprit
ces agréables
imaginations,
parfois
un peu
toujours amusantes, et qui ne diminuent en rien, au
grand peintre d’architecture.
Madame de
d’autres
génie
quel
fécond était doué un peintre qu’on accuse fort injustement de
monotonie.
du
d’après
Grollier, le
naissaient dans
mièvres,
surplus,
Quand Robert exécuta, pour
devant de cheminée
qu’il
avait
promis,
]>resque
les la il
mérites
bonne se 10
]:>lut
HUBERT ROBERT à
lui écrire
à
la
fois
par avance les détails de sa composition, et sa lettre montre
bonne grâce de
la
Après avoir regretté une
tiste.
en ces termes sa curiosité
cheminée que
j’ai
avec moi jeudi;
promener
venir vous
vous envoie
même
Comme
la description.
ai
petit cazin
à
grand foyer se trouve d’échelles,
quelques
les
effets
Madame de
l’entrée
à
précieux, »
de
maison,
la
dans
même
échaj^pée du feu avec toute sa petite famille,
dans une bercelonnette sur
la
tête;
un autre dans
movdin à vent; un troisième attaché de
la
genre
dont
à
elle le
«
:
et
le
moyen
par
fait
se sont pré-
du bout de
Une mère
porte
le
s’est
plus jeune
bras droit, tenant son
son jupon, avec son cerf-volant der-
sœur aînée tenant d’une main
serin et de l’autre son chat,
le
fleurs
continuellement,
crée
Comme
dont on a déjà retiré
Voici maintenant les détails tels qu’ils peintre, qui
j’en
l’intérieur d’un
on sauve, par
l’intérieur,
son pinceau, des centaines d’anecdotes du
et suivi
En conséquence,
un beau tableau de
entre autres
sentés à l’imagination du
rière le dos,
voulu que celui-ci,
j’ai
feu qui prend
le
malheureux qui sont dans
Grollier.
d’avance je
orné de statues, bustes et architecture.
l’italienne,
pic[ue
il
ces sortes de devants de cheminée sont
un tableau d’incendie. C’est
fait
l’ar-
un devant de
tableau dont
le
tableau pendant l’hiver.
fît
de
de jeudi, vous pouviez
relégués tous les hivers dans des garde-meubles,
avec une simple bordure,
marquise,
la
travaillant à
matinée
Auteuil, vous verriez
à
travailler
qui sera peut-être en état de voyager
et
dans cette
si,
manquée de
visite
terminé d’hier
et
façon de
la
Vous m’auriez vu
«
:
et
l’épistolier
son chien qui
la suit.
On
la
cage de son
voit sur
le
pre-
mier plan des jmmpiers qui arrivent avec un tonneau d’eau et des seaux.
Dans
fond du tableau, on aperçoit
le
balustrade ornée de statues,
gueur de tous ces détails; autant que cription.
Robert
I)
j’ai
nK)l
parc, séparé de la maison par une
vous demande mille pardons pour
Rien ne révèle mieux qu’une
à tetdr
telle
prose
ses pinceaux, l’aisance toute joyeuse [)eu
la
lon-
mais, dans l’espoir qu’ils vous intéresseront
eu de plaisir à les peindre, j’en risque aujourd’hui
bien lui coûtaient le
.le
le
d’elfort
d’un confrère bienveil lani
ces tableaux ,
«
aussi vite
(pi’il <pi’il
le
de sa
plaisir
écrivait
parfois,
une
des-
que prend
jieinture,
peignait
la
et
com-
suivant
lettre ».
CASCADE ENTRE DEUX TERRASSES (
Collection
Camille Groult)
l^C
:
'K *1
•
‘
'
i
N
:
f
V '
.
I
•''i/.V»
•
>
•
:
.
\
1^..
4
LES DERNIERS VINGT ANS
A
comme
produire,
il
gagné de vivre
qualité inégale, mais tous bien payés, Robert avait
Les logements prospérité.
Paul
qu’il
son père
puis chez
;
royal du
occupa marquent, pour
18 juin 1778
était
de l’Arsenal
à l’Enclos
mort
les plus notables
le
sculpteur Lemoyne.
dans
l’atelier
Nicolas Lavrcince
composa une gouache
à son chevalet,
auprès de
de leurs amis. Le
séjoui’
annexé
au Louvre
par
miniature, et un autre voisin, Pajou
son
dont
saillies
chéri
et
exposé de tons de ses
orner
souvenirs les causeries d’atelier. Joseph ^"ernet était considéré
un
aussi en
biisle,
homme,
vivait
alors
lit
le ])eignit
poser pour son
le lit
,
pour animer de ses
])areil
et
quelques académi-
Marguerite Gérard
et
,
au Salon do 1789. Isabey encore dessina l’aimable et qui n’avait pas
logement,
ménage Robert y
charmant du paysagiste; Dumont, son voisin,
portrait
la jouis-
ses enfants, et plusieurs
et
})artagé
était
ménage Fragonard
le
un brevet
,
exécuta une partie
11
à ce
ciens favorisés et ])resquc tons dignes de l’être. Le
côte à côte avec
aise.
intéressante, y représentant le peintre
Madame Robert
lui
plus tard
;
1
rue Saint-
mariage,
aux Galeries du Louvre,
accordé,
avait
lui
sance dn logement où
de ses œuvres
,
à
étapes de cette
les
dire,
ainsi
moment de son
avait habité d’abord, au
Il
des ouvrages de
depuis tant d’années,
l’avail fait
comme un
patriarche dans cette petite colonie d’artistes, à laquelle se joignaient quel-
ques distingués fournisseurs du Roi en paix.
que chaque
viable personne.
nni et dénué de
breuses
;
ordinairement, on vivait
celle de
annuellement
façon qu’avait
fait
de l’intelligence,
l’es])rit
le
et, ,
moyennant
par
les
])arents
sait
de ce
])etit
habitation.
On n’abandonna
pendant
Terreur,
la
assu-
montre pendant longtemps
nom-
peinte par Tannay, après Lavreince, avec
engagea pas
les
Madame Robert
sans
doute
Galeries
allcndrc
six
monde,
d’intrigue. Les familles y étaient parfois
fut
les
les
Madame Robert
réunion joyeuse de ses quatre jeunes enfants. Tous moururent, et ressenti
Grande
la
avant elle une antre ser-
Chardin. Tout ce qu’on
efforts
Robert y
communs,
éclairé à frais
même
Madame
dévoué aux plus nobles fort
et
titulaire lui versait
entretien de la
rait cet
le })lns
Le long corridor de dégagement, qui s’étendait sous
Galerie, était entretenu livres
et où,
à
prendre
du Louvre, les
où
le
la
chagrin
une l’on
nouvelles de son
antre verra,
mari
HUBERT ROBERT
76
emprisonné; mais on acheta une maison
à
aux portes de Paris, fort agréable pendant
la
Auteuil,
simple village
alors
que beaucoup
belle saison et
de Parisiens commençaient à habiter toute l’année. Voisine de
la «
maison de Boileau
importance, puisque sa veuve put disposée pour contenir
Elle fut sins
formée
avait
qu’il
du peintre
celle
»,
de quelque
était
revendre, sous l’Empire, 25,000 francs.
la
belle collection de peintures et de des-
la
On y
dont une bonne partie venait de Rome.
et
trouvait vingt-cinq tableaux de Panini, la plupart importants et tous décrits
dans le
catalogue de
le
vente posthume de Robert;
de ses études, répétant journellement
trésor
nature,
la
la
plus grande
lequel Robert
s’effacait
de
partie
ses succès
trop modestement
études de Mola et de Solimène Chardin,
;
Avec ce maître,
».
italienne
devant
n’était
repré-
oublié aujourd’hui, et des
fort
un Watteau, un
l’École française comptait
ou quatre Pater, huit Boucher, quatre Deshayes,
trois
comme
leur devait, après la
qu’il
l’École
,
que par des paysages de Lucatelli,
sentée
les considérait «
il
des fleurs
de Blain de Fontenay, une esquisse de paysage de Fragonard, un Demarne,
un Loutherbourg ,
quelques autres morceaux donnés ou échangés par des
Madame Vigée-Le Brun
confrères.
Madame Du
en buste de
Barry,
trouvés ensemble
s’étaient
chez
un Van Goyen
remarquait
et
plus nombreuses des peintures
Robert d’un portrait
avait fait présent à
fait
où
Louveciennes,
Parmi
châtelaine.
la
un
à
très
deux
les
les
Hollandais, on
beau Jacques Ruysdaël
qui faisaient
maison d’Auteuil, provenaient du maître du
un
petit
«
artistes
.
muséum
Mais
les
de
»
esquisses romaines
logis,
la
ou
françaises, toiles achevées de dimensions variées,
que
conserver, projets des grands
dispersés chez les nobles
amateurs,
études
ou
de Panini, partie
(pii
les
mêlés
Vendeurs
à
ses
la
chassés
»
par exemple,
avait tenu à
de belles fabriques
du Temple de Luca Giordano. Une
collection était
le
choix des dessins
sous verre.
encadré une cinquantaine de ses sanguines et de ses
])lus
évoquent
tableaux de place
d’après des maîtres,
intéressante de
Robert avait relles
les
«
l’artiste
chères,
et
son catalogue relève des
surtout son séjour d’Italie
propres études
d’apiès
:
il
nature,
noms auprès du
sien
trouver sous ses yeux,
aimait
dont
aqua-
il
savait
assurément
le
LES DERNIERS VINGT ANS prix,
d’un Panini
celles
d’un Bouchardon
,
dont
tous de l’ami Frago,
d’un De Wailly,
,
conservait en outre
il
en feuilles, auprès de soixante -dix
montés remplissaient d’immenses
77
des centaines de dessins
études de Boucher. Les
armoires
;
il
en avait plus
y
cinquante volumes et livrets remplis de croquis, que
promenades
tions.
et
»,
qui formaient
appelait
l’artiste
sans éprouver
ses
lui-même avec ferveur. Ainsi
amoureusement
ses souvenirs
enrichir
poète qui était en
lui,
rables images, toujours
portefeuilles
de précieuses richesses, dont
constitué de cette façon libéralité et jouissait
désir d’en
le
nourrissant de
fixés,
toujours prêt
documenté des
il
ses
ses inspira-
avouait n’avoir jamais su voir un site pittoresque, ni un
Il
antique,
le
de douze
notamment
répertoire inépuisable de
le
non
dessins
cents de Robert lui-même, de toute espèce et de toute mesure,
«
avant
et
monument s’était
Il
.
part avec
faisait
au milieu de
vivait -il
émotions anciennes
ses
à illustrer sa conversation d'admidétails nécessaires, dès qu’une
idée
de tableau surgissait dans son esprit.
L’aurore delà Révolution,
saluée avec enthousiasme parmi les artistes,
n’annonçait cependant point pour eux des jours prospères. fut
parmi
que
les
tarir
le
avec
premiers à s’en apercevoir, car sa clientèle
les
troubles devaient décourager ou
Madame Fragonard, parmi
acquitter la dette nationale
Madame Vigée-Le
de
du 6 octobre l’ami
Robert.
faisait fête
,
.
envia
Il
et qui lui
Le peintre
ils
bientôt le
avaient souvent
pas
brusquement
vit
Madame
femmes ou
celles
Robert,
d’artistes,
filles
l’Assemblée, pour contribuer à et
sa
breuses,
l’aigreur s’introduisait
en clans ennemis
diligence
de
femme
partageaient
plutôt
de Lyon par son frère et
l’académicienne
,
à
qui. l’Italie
descriptions enthousiastes du pays qu’il parlé ensemble.
l’émigration
rare,
l’argent
la
sort
écrivait des
se faisait
il
de
était
Brun, qui quitta Paris à grand’peine, au soir
difficile;
divisait
bijoux à
1789, accompagnée à
aimait et dont
tique
citoyennes,
les
qui vont à Versailles offrir leurs
l’effroi
disperser, et
des commandes. Aussi ne trouve -t- on
flot
Hubert Robert
dans
les
le
petit
A
Paris,
fermait
tout
devenait
des maisons
nom-
rapports entre confrères. La poli-
monde des
Galeries
du
Louvre,
HUBERT ROBERT
78
jusque-là
d’accord. La
bien
si
mort de son cher voisin
Au
Yernet, acheva d’attrister Robert. vaient les
dissensions
malgré son
titre
de conseiller,
aux séances dès
du Muséum royal
de garde suspens; trict
mais
;
de Saint-Germain-l’Auxerrois
empiétements du dis-
les
occupants nouveaux des Tuileries,
tableaux du Roi contre certains
et les
restaient en
du dépôt des tableaux du Roi,
local
le
fonctions
ses
commencés
les préparatifs
même
qui prétendaient les confondre dans leur propre mobilier. Ces soucis bientôt
allaient la
enlevés,
être
lui
car
comités
nommés
,
sous
1
’
le
de
influence
David
Muséum
de
projet
Muséum de
place à un projet plus vaste de
et,
,
cessa de paraître
continuait à remplir
Il
n’avait guère qu’à défendre contre
il
il
s’éle-
jalousies
vieilles
depuis 1784,
qu'il portait
milieu de 1790.
le
de
avivées
,
Joseph
de l’Académie elle-même
sein
plus graves
les
d’atelier,
Nation,
la
les
et
éliminaient
,
royal
cédait
premiers
entièrement
le
peintre.
comme une
Considéré et
dans
Famille royale
la
Hubert
dis[)araissait,
créature de M. d’Angiviller,
par toutes ses
lié
,
Robert ne tardait pas
à
bien
attaches à
vu
qui
société
la
inquiété.
être
Cour
à la
avait
Il
ren-
contré, dans les premiers événements révolutionnaires, quelques motifs neufs
de tableaux amusants; on avait vu de aussi
ses Edifices de
démolition
»
Louis
XV'I
avec
Elisabeth,
pour
tout passager.
démie royale
famille,
sa
peut-être
et
même
digne de ses
le
meilleurs
où l'orage symbolique s’amasse
fête,
,
Au
a-t-il
entendant eu
la
[)ensée
la
messe
d’offrir
dans
un
des
salon
ce tableau
à
Madame
rappeler plus tard ce temps d’épreuves, (ju’on croyait
lui
Salon de 1791,
qui
fut
Robert n’envoyait guère
au Salon anarchicpie de
disparaissait l’Académie. le
Fédération nationale,
toile,
[>etite
premiers jours de sa
les la
1789, où parurent
de Paris. Une de ses esquisses, plus émouvante encore, montre
Tuileries,
de
cérémonie de
Champ de Mars en
jours, l’immense le ciel
La Bastille dans
sur une
rej)réscnté
14 juillet 1790, et
dans
«
avait assisté à la
il
;
Paris,
au Salon de
lui,
décret du 8 août,
La
vieille
1793,
le
que des sujets qui
institution
succomhait aux
dernier auquel présida l’Aca-
coups
d’Italie
s’ouvrit à l’heure
,
et
il
même
fit
où
de Louis XIV, supprimée par
de ses mcmhres
dissidents
;
Ci
J w
C/D
ยง
f
V
•i
.
'"'i
>
9»
« I
ir
lĂ *:'
:
1-
LES DERNIERS VINGT ANS avaient dressé contre elle
ils
artistes, qui
populaire, accessible à tous les
société
cette
Commune
s’appela d’abord la
79
générale des Arts,
dont
et
les
procès-verbaux témoignent éloquemment du brusque abaissement des talents et
des caractères.
le
bureau
de
Les anciens académiciens
Commune
la
étaient forcés d’apporter
aux ap})laudissements d’une tourbe
,
ironique,
leurs diplômes et leurs titres, pour être remis à la municipalité et
par
le feu
«
séance du 4 octobre.
11
citoyen Robert
le
le
conduit à
29 octobre la
la
cette mesure, qui
V Enlèvement des Sabines pour ses persécutions
un grand nombre
La trop ardente de
la liste
blance point,
nom
senté
qu’on va
ainsi
restation le
,
des émigrés, paraît avoir
la
même
le
allait
David
qui oublie (jue
royaliste
pouvait conduire à Ilétrit
notamment contre Robert,
d’artistes »,
L’animosité du
.
suspect
«
»
dépassé
ici
«
de
de Robert ne
l’aida
la
se
à
mesure de
la
à
coucher de Marat
barbarie faire la
L’intéressé
.
».
rayer
vraisem-
confrères
de son délateur, d’originale façon, dans une aquarelle où
chambre
de
arrêter
fit
n’alla
odieux raffinements, et
point due
paraît
lui
si
qu’il
jusqu’à
conventionnel contre ses anciens voir, jusqu’à
l’auteur
la
exercées lâchement contre
«
dans sa prison avec une sévérité qui
et traiter
Quelques jours
comme
Madame Vigée-Le Brun
peintre sexagénaire.
le
était arrêté
il
11),
au Comité
veille
la
la
maison d’arrêt de Sainte-Pélagie.
On rend David responsable de mort
dénoncé
Section des Tuileries.
brumaire an
(8
seulement dans
s’en acquitta
»
ignorait qu’il avait été
de surveillance révolutionnaire de
et
détruits
quelques-uns mirent peu d’empressement à remplir cette for-
;
malité humiliante, et
plus tard,
sur
nous il
l’ar-
livre
a repré-
sommeil du pamphlétaire, pour-
et le
voyeur attentif des geôles nationales; un des papiers meurtriers qui traînent sur la table sordide porte distinctement ces
mots
par Beaudoin
doute
Ce Beaudoin
Surveillance révolutionnaire,
qui
ciation portée contre Robert.
Le
d’arrestation
avec
peut se demander a
été reçu
à
la
sans
est
a
commissaire
s'il
n’est pas le
Commune
des
donné
même
le
nul
suite,
Dénonciation de Robert
:
3
le
personnage a
Lacombe
et
le
le
23
octobre, à la dénonvisé,
le
18, le
mandat
secrétaire Charvet
Beaudoin peintre,
Arts
du Comité de
l’adjoint
et peintre
septembre,
;
on
ignoré, qui
d’après le
procès-
HUBERT ROBERT
80
verbal de
«
on trouverait mêlé
époque,
cette
à
séance de ce jour. Dans ce cas, qui eut de nombreux exemples
la
patriote
du devoir d’un
l’accomplissement
satisfaction des rancunes d’un
la
»
à
impuissant contre un
artiste
maître heureux et honoré.
A
Sainte-Pélagie,
de quelque argent
disposaient
On
genre.
régime des détenus
le
commodités de tout
des
procuraient
s’y
assez doux, et ceux qui
était
pouvait non seulement faire venir du dehors sa nourriture, mais
échapper même, en payant loyer pour une cellule, à de
commune. Le poète Roucher,
salle
la
mentionne souvent
retrouva avec plaisir,
pénible existence
la
,
peintre dans
le
des prisonniers.
faut lire
Il
dance échangée entre eux, dans laquelle une son
Le poète des Mois
caractère.
demandant de rechercher dans sur
oublié,
])agnon « Il
Un
l’Egypte,
écrit
sa bibliothèque
artiste célèbre
homme
dans un
de
lettres.
11
ne pouvant peindre; et ,
un ouvrage, aujourd’hui
fort
le
pour
que tu aimes,
art
à
travers
le
16
son
nouveau com-
citoyen Robert, est
])as travailler
faut au premier de l’espace et
nécessités de la vie dont nous n’avons pas
ruines
lui
fdle,
:
s’ennuie complètement, car un peintre ne peut
un
comme
l’antiquité
partout
notre suffisance.
ici
Il
faut,
ma bonne
qu’il
a
si
bien
amie, consoler
fais, |)ar ta ([lie
toi (jui as
promptitude,
le
grand
artiste.
Point
hommage de
d’efl'ort
Eulalie envoie, le
ta
veut
Il
lire,
d’animer et déterminer,
l’art
génie
appris à respecter
mot de
tu ajoutasses un
comme
son imagination se plaît à vivre à travers les
Vandales ne connaissaient pas cette maxime mais nous, mais
ici.
du jour, deux petites
envoie-lui cette fameuse Egypte, dont la vie passée se retrouve
Savary.
correspon-
la
brumaire,
sa
à
et l’état
de Robert révèle tout
lettre
suppose intéressant
qu’il
la vie
quelques morceaux de
qu’il
lettres
les
adresse à sa fdle Eulalie et qui donnent tous les détails sur d’esprit
que Robert
habitant d’Auteuil
la
ileur
lendemain,
ton admiration. Je serais
livre
demandé
et
;
de l’espèce humaine,
même
à cet
d’avis
honnête
cela; laisse-toi aller et tout ira bien. le
les
de philosophie
et
main sur un papier adressé
])oui'
bien dans
Les Goths et
attristé.
de goût
si
«
se
laisse
et
»
aller
».
Lâ&#x20AC;&#x2122;ENTREE DE LA PRISON OU LA MISE EN CAGE I
Captivitas, captivitatis et
omnia
captivitasj
(Ancienne collection du duc de Vallombrosa)
«!
I
H
LES DERNIERS VINGT ANS non sans déclamer un peu
ma
«
:
81
Vos pinceaux, Monsieur, ont
sentimentale mais ignorante
Combien de
admiration.
excité souvent
envié
ai-je
fois
ce degré de savoir qui m’aurait mise à portée de les apprécier à leur juste
valeur
!
Un peu de
goût, peut-être aussi quelques dispositions pour cet art
charmant que vous professez, ont été mes seuls guides... développements que
les
jeune
fdle,
des
maux dont
même
les plus sincères
le
nous comble
elle
génie
s’entend avec
quoique leur caractère
;
vous avez une
j’ai
papa, continue
génie
le
ils
;
fille.
En tous
même
au
aujourd’hui
le
même
but.
Je joins à cette lettre, faible témoignage
du
les lettres sur l’Egypte
bien
les
objets,
langue
les et,
Vous me parde
si
il
au milieu
dans tous
je fais ici
que mon père m’a demandées pour vous. à réaliser
lieux,
parlent une
soit différent, ils arrivent
éprouvé en regardant vos ouvrages,
accoutumée
fait,
;
donc gré de vous avoir donné
je lui sais
donnerez sans doute aisément. Monsieur, l’éloge que si
Mon
«
:
du peu de bien qu’elle nous
à la destinée
Sainte-Pélagie pour prison, au lieu de toute autre.
temps,
doit abréger
m’a appris hier que vous étiez son compagnon d’infortune
compte
faut tenir
On
rhétorique du temps, moins sobre que les autres
impose aux sentiments
arts, la
la
»
mon
père,
plaisir
que
de M. Savary,
Tandis que votre imagination,
vous transportera dans ce pays,
vaste tombeau de tant et tant de merveilles, au pied de ces
masses orgueilleuses rivales du temps, de ces pyramides, vieux ossements de l’antiquité,
tandis que vous
suivrez pas à pas l’auteur de ces aimables et
du Caire, vous oublierez un
riantes excursions à Rosette et dans les environs
moment Voici la
la
verrous et les grilles de Sainte-Pélagie.
réponse du peintre, dont on goûtera
»
le
ton enjoué,
avec l’émotion de certains souvenirs
jolie galanterie,
sible,
et
les
« 11
;
bonté,
la
n’est pas pos-
Mademoiselle, de mettre plus de grâce et d’obligeance dans vos envois
dans vos lettres
de tendresse
et
;
celles
que vous adressez
de sensibilité qu’on ne peut
à votre cher
les lire ni les
baigner de larmes. Qu’il a de grâces à rendre à
pour ce moment-ci, une consolation enfants dont
le
cœur
si
la
précieuse
!
J’avais, ainsi
a
usé dans
la
;
pleines
si
entendre sans
destinée qui
aurait peut-être ressemblé au vôtre
ne m’a conservé que leur mère, qui
papa sont
lui a
que
mais hélas
les
réservé, lui, !
des
le ciel
douleur l’habitude de fl
les
HUBERT ROBERT
82
avoir à son côté et qui aura le regret éternel de n’avoir pu soigner que leur
enfance. Je vais donc, grâce à vos soins obligeants, parcourir encore une fois
l’Egypte avec Savary. Si dans ce voyage, et parmi ces débris imposants qui paraissent avoir défié le temps et
nature, je rencontre quelques plantes
la
moi pour
intéressantes, je regretterai de ne pas vous avoir avec
connaissances qu’une étude suivie vous a données
dans
que, oubliant les verrous de
Sainte-Pélagie,
je
je lui
de votre chère maman. Quoique
et
demande
me
de ses aimables
douceur d’y parler de de
je n’aie pas l’honneur
permission qu’un artiste sexagénaire adresse
la
délasser,
et c’est avec lui
profiterai
entretiens et joindrai l’avantage de m’instruire à la
vous
j’irai
de votre papa, des courses aux Pyramides,
cellule
la
mais
;
profiter des
la
connaître,
la
pureté de
ses sentiments aux grâces de votre âge et à la sensibilité de votre cœur.
Le Voyage en Egypte vait,
s’écrie
peindrait
et
poète, obtenir
le
ferait
une petite place où
ici
la vie
récits
chambre de
la
captifs et leur
»
Il
dessinait
il
du
la
mémoire
femmes représentant
la
Patience
l’aquarelle
Marat,
pou-
S’il
de sainte Pélagie, une autre à
républicaine du jeune Bara, des têtes de l’Espérance, peut-être
«
pût être seul,
il
encore de belles et grandes choses.
moins une composition sur
et
de Robert.
travailler l’imagination
fit
»
vengeresse où
deux
ces
et
où
autres
symbolisés un
mise en liberté sont
reconstitue sur des
il
triste
le
sort
des
peu naïvement par ces
cages d’oiseaux qu’on introduit dans une prison et qu’on retire ensuite pour
donner
vol aux
le
de Tourzel
de ces curieux
communes des nombre de
pauvres bêtes.
leurs
compagnons
devait faire don plus
documents,
bons Français
«
II
»,
qui
leur
prison
;
quer avec revenir.
Pélagie Itobert.
écrit Il
ments qui
il
lui les
C’est
«
,
mais
va
suffisait à
rappelaient les épreuves
terminées tragiquement pour un
les
Robert de pouvoir causer avec un ami les
réveillent,
la
qu’un
homme
conversation
de
l’esprit
et
11
me
évo-
â Sainte-
du talent du citoyen
de pensées, d’anecdotes,
amusent, attachent.
et
voir bien vite
une excellente trouvaille partout, mais plus encore
semant
grand
longues journées de
bonnes heures du passé, pour espérer
Roucber,
si
d’infortune.
Ces distractions incomplètes remplissaient mal la
Madame
tard â
racontait
de senti-
qu’ami intime de
LA SORTIE DE LA PRISON OU LES OISEAUX EN LIBERT {Carcere tandem aperioj
{Ancienne collection du duc de V allombrosa)
I
I
%-
LES DERNIERS VINGT ANS Vernet,
ensemble deux
allaient
ils
dans
belle nature,
tous les ans en pèlerinage vers
fois
de Sceaux
les jardins
8:5
et
de Saint-Cloud,
de fête de ces beaux lieux, au milieu de tout Paris
deux jours
qu’ils y voyaient ras-
semblé, dans les atours les plus aimables de l’élégance.
erraient, saluant
Ils
nombreuses connaissances, mais n’en abordant aucune, observant d’un
leurs
œil studieux ce tableau
de
les objets
la
l’artiste
mouvant
me
et
si
mélange magnifique de tous
varié, ce
embellie et perfectionnée par
nature, parée,
Voilà ce que Robert
de
les
la
peignait, car
peint toujours.
il
ne devait pas un instant se démentir
société
La belle humeur
»
donnait du courage
il
;
la
à tous, par l’exemple de sa propre tranquillité d’âme, par les récits joyeux,
évocations d’une mémoire intarissable, les anecdotes contées du
les
ton et avec
la
même
maison d’Auteuil,
Dans
la
Sainte-Pélagie furent arrivèrent au
verve qu’en son atelier du Louvre ou dans cette petite
pourtant pas sûr de revoir.
qu’il n’était
nuit du
même
30
au
janvier
31
1794
quatre-vingts
en dix charrettes,
transférés,
par
prisonniers
de
,
Saint-Lazare.
à
Ils
y
brouillard, et les cris
des passants
qui les rencontrèrent ne manquèrent point de leur annoncer
la guillotine.
petit jour,
Robert, Roucher raconte que
le
et
transis
Millin
l’antiquaire
qu’il
étage de leur nouvelle prison
un large corridor
ils
,
et
,
du nombre,
étaient
et
ce dernier
dessiner tous les détails du triste
peintre eut le courage de
convoi, en vue d’un tableau
toutes sur
le
exécuta plus tard. Conduits au troisième s’installèrent
peu
firent
dans des cellules ouvrant
peu connaissance avec
à
les
détenus des autres étages.
La
«
Maison d’arrêt Lazare
»,
comme
dit le
langage
officiel
de l’époque,
se trouvait abriter les derniers restes de la société brillante qu’avait détruite la
Révolution. Les récits assez nombreux qui nous en parlent seraient illus-
trés avec
une exactitude extrême par
vie
singulière inspira à Hubert Robert.
en
effet,
les
pièces
ayant
de
dessins et les tableaux que cette
les Il
pouvait reprendre ses couleurs,
grandes fenêtres,
et
avec une facilité inépuisable, les aquarelles que tout dait
en souvenir,
et
aussi
les
assiettes
peintes
il
le
qu’un
multipliait
monde geôlier
lui
aussi,
deman-
vendait au
l
y
I
V
LES DERNIERS VINGT ANS tienne dans
y menait
pièce fameuse où
la
il
décrit
durement
si
85
l’existence légère ([u’on
:
L’un pousse
Un
Comme
et
fait
bondir sur
les
sur les vitres,
toits,
ballon tout gonflé de vent,
sont les discours des sept cents plats bélîtres
Dont Rarère
est le plus savant...
Plus heureux que son ami Roucher qui fut, avec Chénier,
du
rette
thermidor, Robert n’entendit point
7
longs corridors sombres
»
ébranler de
«
n’eut point à comparaître
et
de
la
nom
son
devant
charces
Tribunal
le
révolutionnaire. Nul doute que Fouquier-Tinville, à ce
moment où
lotine activait sa tâche sanglante, n’eùt découvert cent
bonnes raisons pour
La révolution thermidorienne
appelé et probablement exécuté à sa place. le
sauva
Suvée,
.
qui
Son
sort
de
veille
la
,
noble image du poète. tion de
sa
partagé par un
fut
la
femme, qui
se
fut rendu, le
maison d’Auteuil, remplie d’œuvres
du Louvre,
le
monument
Il
salles
la
vérité.
avec
,
lui
»
Il
:
«
Ici
repose
Tuileries,
de
l’homme de
la
les
les principales
de ce Musée des Monuments français que Lenoir constituait avec les
sculptures
des églises et
En même temps,
le
les débris
de toute sorte de l’ancienne
France.
peintre préparait, pour le Salon de vendémiaire an IV,
un Colisée, un Palais des Empereurs,
d’autres
et
morceaux d’architecture
antique, dont la vue mélancolique était faite sans doute pour apaiser les agitées par les violences
du temps. Au Salon de
peinture d’une actualité plus vive, un
Musée par du
la
restes
aux Petits-Augustins,
dessinait,
de
vie
causer une satis-
où étaient déposés
l’inscription
ménage,
le
s’empressait d’aller peindre, au jardin des
Jean-Jacques Rousseau
la
de souvenirs.
d’art et
élevé sur le grand bassin,
nature et de
et
l’heureuse
Robert ne pouvait bouder un régime qui venait de faction aussi vive.
Saint - Lazare
17 thermidor, à l’alfec-
paisiblement
retrouva
bon confrère
son
,
peignait à
désolait aux Galeries
épreuves,
après ces terribles
autre peintre
mort de Chénier,
Hubert Robert
guil-
Robert avait été
qu’un autre
Celui-ci supposait
y envoyer notre peintre.
la
local ».
la
voûte
et
pour
la
«
l’an
V
sera présentée une
Projet pour éclairer
diviser sans ôter la vue de
On recommençait, en
effet,
â
âmes
s’intéresser â
la
la
Galerie
du
prolongation
l’installation
du
HUBERT ROBERT
86
Muséum,
et les autorités républicaines se trouvaient fort
vainement essayé du personnel asservi à David, de de l’ancien
Muséum
garde du
«
royal
après avoir
aises,
aux lumières
faire appel
».
Pour accélérer l’organisation languissante des collections
et
prévenir
«
les
dégradations auxquelles sont exposés les chefs-d’œuvre qui sont dans
les
dépôts provisoires
signe,
10 germinal
le
membres, dans
(mai 1795),
an III
Muséum
du
Conservatoire
Comité d’instruction publique de
le
»,
national
suivant
l’ordre
et
compose
qui
reconstitue
seulement
citoyens Robert, peintre
les
:
le
un arrêté
Convention
la
le
cinq
de
Fragonard,
;
peintre; Vincent, peintre; Pajou, sculpteur; Picault, restaurateur de tableaux.
Peu après, l’architecte De Wailly remplace Vincent, Louvre se trouve
amis de longue date
ration,
bon concert. On tion
aux mains d’artistes
ainsi
«
du Musée du Louvre
fut l’œuvre
du Consulat. Robert se
amenés
retira à ce
d’Italie,
d’aménagement occu])aient
sa
Conservatoire du
de
même
la
géné-
fut
créa-
la
diverses, jusqu’à la réorganisa-
moment, en novembre la satisfaction
dans cette Grande j)ensée
féconde et que
de ce groupe intègre et dévoué, qui
demi-traitement de 1,250 francs, ayant eu trésors d’art
»
le
capables de travailler avec méthode et de
et
demeura en fonctions, avec des collaborations tion
romains
que leur administration
sait
et
1802, avec un
d’aider à installer les
Galerie dont
depuis près de
les
vingt ans
projets
et
,
où
il
n’avait jamais rêvé de voir réunis tant de chefs-d’œuvre.
Avec
Consulat,
le
ont salué
le
siasme (pie
Robert
Madame
de Il
a
été
régime,
fort
a reparu
en France, et tous les artistes
paix à l’intérieur, avec autant la
société
la
Madame Récamier
Tallien et de
d’enthou-
Révolution, qui l’ont troublée.
aisément accommodé de
,
nouvelle.
Il
Hubert
est l’ami
de Visconti et de
Denon.
présenté à Joséphine, quand elle a voulu décorer ses salons
Il
si
paraît, l'on
heureuses,
il
est resté en
du reste, en
qu’on trouve jiorlant à fait
la
premiers jours de
tableaux du Louvre, et Consul.
normale
rétablissement de les
s’est
la vie
et
juge les le
relations avec la famille
avoir beaucoup
par
le
nombre
dates de cette
|)inceau s’est
et
du Premier
les
enrichis du
l’importance des
décorations
travaillé
é|) 0 (pie.
alourdi.
des
Elles
Quehpies
pour
sont petits
rarement tout tableaux, où
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«
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'1
"
«
i*
l
LES DERNIERS VINGT ANS se soigne, gardent
il
de sa «
vie,
une
Colonnade
groupes
et
de Versailles, traversée par une large avenue, où
»
châteaux gothiques,
les
,
multiplié
a
rassé d’établir à ce
sur
sol
le
Madame de
de il
mode
une pelouse
les
et l’inscription
touchante sur
pas rêvée pour célébrer
la
Vigée-Le Brun, qui revoyait sence
!
comme
le
poétique
littérature
la
continue à
vieillissant
ses contemporains
La famille
.
retour de l’émigrée;
le
autour d’une
manque
point. Quelle jolie allégorie
Madame
rentrée d’une émigrée plus chère.
France en 1802,
la
la
lointain s’aperçoit la berline du retour,
ami Robert, tout
Elle retrouvait son
un peu grave,
dans
enfants vêtus à l’antique,
socle ne
le
dont
,
peintures, et l’on ne serait pas embar-
sensibilité de
la
statue de l’Espérance, tandis qu’au
n’a-t-il
la
pittoresques débris, appa-
les
demande de commémorer
Genlis lui
danser sur
fait
de
et
fin
gaieté des
la
abbayes ruinées
L’œuvre d’Hubert Robert
suivre
à
,
français
les
des rapprochements
sujet
romanesque du temps.
refléter la
la
légèreté des feuillages rappelleront ses meilleurs jours.
la
raissent dans quelques-unes de ses
et
peindra encore, sur
il
;
charmante, composée d’une fontaine ronde
fantaisie
Vers ce moment Révolution
cependant ses qualités
87
après
douze
ans
d’ab-
à fait blanchi et, à ses heures,
montre une étude de
Boilly,
mais toujours
alerte,
toujours serviable et aimé de tous ses confrères.
Une anecdote
même
décembre de cette peintre, giste
en
où
il
a
compositeur
le
Reicbardt
,
plus jolie déité du temps
la
:
«
toiles.
Mais
j’ai
trouvé
là
«
pour son usage particulier, une
l’atelier,
égyptienne
négligemment jetées en main charmante
humble admirateur l’atelier
du
il
»
garnie
fourrures
,
son regard humide allant
Madame Récamier
vieil
de
lit
pièce
jolie
de repos.
ses belles
boucles
arrière, sa taille flexible inclinée vers le carton
effleurait, ,
;
une perle d’un autre genre.
dont l’ameublement comprend un piano-forte et un élégant
dans
Le bon paysa-
personne, s’amusant à crayonner un paysage. Elle a
disposer à côté de
Drapée dans son
du
l’atelier
semble ne pouvoir plus peindre que des morceaux d’architecture
Madame Récamier en
sa
mois de
au
année, introduit avec agrément dans
pour élève
surcharge ses
fait
par
racontée
,
artiste.
»
Avec
était
cette
du
dessin
à
que son
assurément un joyau exquis scène piquante,
le
bon Prus-
HUBERT ROBERT
88
évoque une autre qui peint excellemment Robert
en
sien
récente soirée chez çaise
Madame Vigée-Le
Brun,
il
une
avait pris part à
«
fran-
avec une légèreté et une désinvolture étonnante pour ses soixante-
»
Quelques jeunes gens faisaient des façons pour danser; faute d’un
dix ans.
cavalier, la offre la
française
«
main
ne pouvait s’organiser. Robert se lève vivement,
»
femme
à la plus jolie
L’atelier,
auquel
de son rôle à charmer.
et s’acquitte
n’y a qu’un Français capable d’en faire autant la belle Juliette faisait si
donner, avec le
logement qui
le
palais tout
délibérément adjoindre un bou-
s’y trouvait joint,
habitants privilégies en
seraient
aux
réservé
entier serait
Il
»
!
doir à son usage, était celui que Robert possédait au Louvre.
que
Dans une
«
:
le
dut l’aban-
Il
jour où Napoléon décida
services
publics et
que
les
Cette mesure, adoucie cependant
exclus.
par des }>ensions convenables, parut dure à de vieux artistes.
Les Robert
vivaient au Louvre depuis vingt-huit ans, et ne le quittèrent pas sans regret la
en
maison d’Auteuil ne leur suffisant point pour 19 de
au n°
180(),
l’hiver,
rue Neuve-du-Luxembourg,
la
;
allèrent habiter,
ils
dans
le
voisinage de
leur ancien quartier. L’artiste y mourut, le 15 avril 1808, à l’âge de soixante-
quinze ans, s’habillait
pour
Ainsi, écrira la
frappé
aller,
])i‘évu
son habitude,
selon
Madame Vigée-Le
vie de Robert
point
d’un coup d’apoplexie
Brun,
sa fin, n’a point
enduré
eux-mêmes comprirent qu’un
;
ment, en marge de
l’acte
:
«
;
le
fut
bon,
accompagnée toute
le
joyeux artiste n’a
angoisses de l’agonie
lui.
Au
registre des décès
Il
est,
précieux de
le «
membre de
conseiller de la ci-devant
c’esl
p(Mil-êtrc
artiste
dit
Robert des Ruines, peintre.
bien plus varié et
si
jiersonnel
le
qu’il
», »
peintre des
le
un témoin parfois
de son tem])S. Ce que nous ])référons en
l’évocation
Académie
l’Administration du Musée impérial
Robert (Hubert),
pour nous, un
la vie
ne fut pas
Il
du 1" arrondisse-
Hobert, aux yeux de scs conteni|iorains, fut donc surtout ruines.
».
toute l’Ecole française et les jeunes peintres
concernant
de Peinture et de Sculpture, cette désignation
les
il
véritable maître disparaissait, sans laisser dans
son art de successeur digne de
lit
bonheur dont
« le
moment où
dîner en ville avec sa femme.
semble avoir présidé à sa mort
seulement pleuré de ses amis
on
foudroyante, au
lui,
nous donne
cependant,
d’une
Italie
LE REPAS DES PRISONNIERS A SAINT-LAZARE Assiette peinte (A M- Pierre Decourcelle]
\
I
A
I
/
LES DERNIERS VINGT ANS émouvante
89
achève de disparaître sous nos yeux.
et pittoresque qui
Il
désira,
jusqu’à ses derniers jours, revoir le pays cher à sa jeunesse. Dans une des dernières lettres à
son ami l’architecte Paris,
pouvoir retourner
avec
lui
:
«
devant
dont
Que
j’aurais
les
superbes
j’ai
joui!
»
de
plaisir
à
disait
ne manquerait
Il
heur, écrivait-il, que celui d’être le avoir.
il
son
regret de
présent
à
à
mon bon-
compagnon de voyage que vous
me
trouver
monuments auxquels
je
encore dois
le
une
fois
peu de
n’y
désirez
avec
vous
réputation
Ses sentiments de reconnaissance ne s’égaraient point;
devait le meilleur
de
son œuvre à
la
Rome
des
Césars
et
des
il
Papes,
qu’aucun peintre n’a plus complètement exprimée. Quelques-unes des pages qu’elle lui inspira unissent la mélancolie à la grandeur; Robert alors dépasse
Volney, et peut-être annonce-t-il Chateaubriand.
CATALOGUE DES
ŒUVRES PEINTES HUBERT ROBERT QUI ONT PASSÉ EN VENTE PUBLIQUE DEPUIS 1770
JUSQU’EN
1909
UKESSE PAR
GEORGES PANNIER
EXPLICATION DES ABREVIATIONS Le premier
chilfre imlicjue la
hauteur
le
;
second, la largeur.
AbiîÉviations
— Les anciennes mesures indiquées dans
;
T.
Toile.
B. Bois.
les
Catalogues du xviiV siècle, en pieds,
j
ouces
et
lignes, ont été transcrites en centimètres.
Les prix anciens sont restés en
Toutes
les
livres et sols.
œuvres eitées sont données comme peintes PAK Hubert Robert dans
laissons toute la responsabilité de cette attribution
aux
les
Catalogues de vente,
différents experts ejui ont rédigé ces Catalogues.
et
nous
i:
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'
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'V.
J
CATALOGUE DES ŒUVRES ]>E
INTES PAU
HUBERT ROBERT QUI ONT PASSÉ EN VENTE PUBLIQUE DEPUIS
1770
JUSQU EN
1909
LES RUINES DU FAMEUX PORTIQUE DU TEMPLE DE BALBEC A IIÉLIOPOLIS. — UN PONT SOUS LEQUEL ON VOIT LES CAMPAGNES DE SABINE A QUARANTE LIEUES DE ROME (Saloir de llGl) (1). T. 0‘"48
1770. Vente de
DES MONUMENTS DE ROME.
— 0“G0
La Live de Jully,
n° 120
:
300 livres
les
deux.
—
On y remarque deux femmes et un enfant qui forment un groupe, un autre enfant proche d’un tornhean et deux soldats dans l él oignement. T. 0“43
— 0«’33
1770. Vente Baudouin (peintre), n° 30
:
LA VUE DE L’ARSENAL DE CIVITA-VECCIIIA, différents plans.
T. 0”60 1/2
1770. Vente
Baudouin
123 livres, à Basax.
enrichie
de lieaucoup
de
ligures
sur
— 0“49 1/2
(peintre), n“ 31
:
99 livres 19 sols, à A o.letaneuse.
On trouvera la liste des Salons d'Hubert Robert dans l'ouvrage de M. C. Gabillot sur ee niaitre (Paris, 1895), que le catalogue de sa vente et des extraits de inventaire après décès de Madame Veuve Robert, où Ijeuucoup de tableaux se trouvent décrits. (1)
ainsi
1
HUBERT ROBERT
94
UNE VUE D’APRÈS 1770. NATURE PRISE DU JARDIN BARBERINI. B. Diamètre 0‘“41
Vente Baudouin 1777. Vente
DEUX BELLES ESQUISSES Rome
et enrichis
32
(peintre), n“
Randon de Boisset,
60
:
n” 221
livres, à
Rumy.
187 livres, à Millon-Daili y.
:
morceaux d architecture de Saint-Pierre de
représentant des
de figures. T. 0“48
1770. Vente
Baudouin
— 0'“34 1/2 33
(peintre), n°
50 livres
:
les
deux, à Halle.
LA VUE D’UNE HOTELLERIE D’ITALIE.
— 0‘”49
T. 0™39
1770. Vente
DEUX BLANCHISSEUSES,
Baudouin
—
B. 0'“37
Boucher
T. 0“41
UN SACRIFICE A JUPITER.
—
1771. Vente F.
— 0">35
153 livres.
:
le
devant neuf figures.
1/2
90
(peintre), n”
:
168 livres.
LA FIGURE ÉQUESTRE DE MARC-AURÈLE.
Boucher
— 0'"33
(peintre), n“ 91
1778. Vente Nogaret, n° 100
UNE ÉCURIE ET UN GRENIER A
—
fond représente des jardins
de ligures. T.
1“’
deux.
— 0-"32
(peintre), n“
UN TEMPLE EN FORME DE ROTONDE.
les
ligures et des animaux.
FOIN, avec des
Boucher
200 livres
:
181 livres les deux.
:
T. 0"'41 1771. Vente F.
89
Rome, sur
T. 0™66
le
livres.
0'"2G
(peintre), n“
prise dans Saint-Pierre de
Vente F. Boucher
monter,
48
:
dont une met du linge dans une hotte au bas d’uu escalier de jardin.
1771. 1771. Vente F.
UNE COLONNADE
34
(peintre), n“
On
et le
—
:
voit
96 livres 2
sols.
de chaque côté un escalier ^tour y
devant un canal orné de liatcaux
et
quantité
1"“34
1772. 1772. \’ente
n°
140
1774.
11 “
102
Duc de Choiseul, Vente Comte du Barry,
92
1,999 livres, avec uu pendant, n“ 141.
:
1,300 livres, avec
;
le
meme
pendant.
UNE GRANDE ARCADE,
au travers de laquelle se voit un pont, chargé d un palais d architecture, qui paraît répondre à une grande galerie que 1 on voit sur la gauche. L elfet du soleil
couchant, qui vient de
1
horizon
Quantité' de ligures ré[)andues dans ce
T.
—
Duc de Choiseul, Vente Comte Du Barry,
4'ente
1774.
1"'
éclaire
,
lieaii
le
tout
dune manière
très
agréable.
morceau l’ornent infiniment.
l‘"34
11 ”
141
n" 102
1,999 livres, avec un pendant, n« 140.
;
:
1,300 livres, avec
le
même
pendant.
CATALOGUE LA CASCADE DE TIVOLI,
qui
95
tombe d’un grand rocher.
— Sur
le
devant se voient de grands
terrains qui forment opposition à quelques figures.
T. 1™3:3 1772. Vente
—
Duc de Choiseul,
n“ 142
:
121 livres.
1777. Vente Prince de Conty, n“ 754
:
420 livres
—
DES RUINES ENRICHIES DE FIGURES.
0'"82 1/2
T.
1773. Vente Lempeueuiî, n” 111
UNE VUE PEINTE D’APRÈS NATURE T.
Deux pendants.
— 0“'66 300 livres
:
UN HERMITE EN PRIÈRE
anonyme
les
0"’62
—
0“'26
Rome.
30
:
livres.
200
:
livres.
— 0'"21
Lempereeh, n° 113
1773. Vente Vassal, n° 114
LA BERGÈRE DES ALPES.
»
—
:
33
livres.
dont un avec des ruines, orné de figures.
— 0”23
B. 0“30
loin trois
Titus, derrière le Colisée, à
dans un bâtiment ruiné.
DEUX TABLEAUX D’ARCHITECTURE,
«
deux.
0"'40
(11 mars), n° 70
T. 1773. Vente
les
Termes de
dans
1773. Vente Lempeheuh, n° 112 1776. Vente
Renoih.
à
1/2
410 livres
:
les
deux.
Elle est assise et rêveuse, son chien à côté d'elle, plus
moutons sur un terrain près d'une chute d’eau.
1773. Vente Vassal, n® 115 1777. Vente Comtesse
UN JARDIN AGRÉABLE
— 0'"20 1/2
B. (ovale). 0‘"25 1/2
'
;
89 livres
Du Bahry,
10.
n® 58.
où se promènent deux femmes. T. 0-22
1773. Vente Vassal, n® 116
— 0-16 1/2 :
500
livres,
UNE COLONNADE ET UNE BELLE FONTAINE
avec un pendant peint par Theaulon.
dans un jardin de Rome. Plusieurs figures
animent ce tableau. B. Diam. 0-41 1773. Vente de Vigny (architecte), n® 100.
UN PAYSAGE PEINT A ROME. T. 0-47
1775. Vente
anonyme
(31
— 0-62
mars,
1®'"
avril), n®
16
;
100 livres.
HUBERT ROBERT
96
DEUX TABLEAUX
représentant des voûtes
hermite en méditation
;
dans
ruines d architecture.
et
moutons
autre, une quantité de
l
— Dans
l’un,
on voit un
autres animaux avec
et
quelques figures»
— 0-"41
T. 0'"58
1775. Vente Marquis de Felino, n“ 68.
DES RUINES D ARCHITECTURE
dans un paysage avec figures.
— 0™68
0™44
T.
1775. Vente Le.mperelr, n“ 9
UN MORCEAU D’ARCHITECTURE femmes
et
250
:
ruiné en partie
un jeune garçon. Dans
une fontaine proche laquelle sont quatre
et
une rivière
le lointain, à droite,
et
des montagnes.
— 0“33
T. 0‘"44
1775. Vente DE Giiammoxt, n® 75
UNE BELLE ETUDE
livres.
:
146 livres.
de pins, cyprès et autres arbres.
— 9™47
T. 0‘"63
anonyme
1775. Vente
UN CHEVAL ET UNE
4
ACHE
(31
mars,
l>uvant dans
l
T. 60 1/2
n® 17
U'’ avril),
:
61 livres.
auge d une fontaine, au milieu d un jardin.
—
0*’'45
Sorbet (chirurgien des Mousquetaires
1776. Vente
gris), n® 50.
LA VUE DE PLUSIEURS RUINES, MONUMENTS D’ARCHITECTURE, devant, un groupe de statues élevé sur un haut piédestal. côté, sur la
porphyre sont renversées. Dans
le
une pyramide. Sur
colonnade d un temple.
gauche,
la
la
anonyme
1776. Vente
I)
(11 mars), n®
desffiiels i)crccnt
T. 0"'74 1/2
69
:
GBANDI'] PLACE, dont
le
itiilicu
est
—
Une
foule de peuple
el
et,
derrière,
192 livres.
—
Ce tableau présente un amas
:
100 livres.
occupé par une colonne soutenant des pots à feu de
de carrosses ajoute
T. 0‘"96 1/2 1776.
droite, de grosses pièces de
0‘>'60 1/2
fonuant illumination. Le fond est une façade lumières.
le
des chutes d’eau en cascade.
1776. 4’cnte Marquis d’Arcambal, n® 89
UNI']
sur
— 0'"77
UN PRECIPICE AUX ENVIRONS DE ROME.
de rochers au travers
avec,
sont au bas et
fond, une tour, les arches d'un aqueduc
T. 0'”60 1/2
LA VUE
A
monument.
seml)lent s'entretenir sur ce
Deux hommes
bâtiment à
l
elfct
— 0'"77
\ente Mar([tiis d'Arcambal, n® 90
:
garnie
de l)eaucoup de
de ce tableau.
196 livres.
J
J
CATALOGUE
97
UN MAGASIN A FOURRAGE PRATIQUÉ SOUS DES RUINES. Un
sont occupés après des meules de foin.
d’une route.
UNE VUE DTTALIE.
anonyme
Plusieurs soldats y grand arbre traverse, en tombant, le dessus
— 0”47
T. 0"'60 1/2
1776. Vente
(11 mars), n® 71
— A droite, une chute
140 livres.
:
d'eau tombe d'une ruine élevée sur des rochers,
de beaux feuillages d'un ton doré décorent cette partie.
homme
structure; au bas, un chemin sur lequel passe un fond, l’aspect d’un palais,
le
LA CASCADE DE TIVOLI.
anonyme
—
le
devant de
Sur
la
(22 avril), n“ 108
:
cascade s’arrêtant à
anonyme
l"’
L^NE
et,
homme
de
lui à
et
vigoureuse,
principalement, deux jeunes Ita-
considérer.
la
1"'38
108
:
701 livres, avec un pendant.
ornée de plusieurs figures
une marchande de légumes avec laquelle une jeune
un
et
fille fait
près d’une marmite sur un réchaud. Des enfants et une
principalement, sur
marché. Plus
femme
loin,
sont autour
côté d’une table.
VUE DU COLISÉE DE ROME chant.
—
(22 avril), n°
LA PLACE DE LA ROTONDE A ROME, la droite,
le
701 livres, avec un pendant.
deux arbres d’une touche large
la droite,
T. 1776. Vente
gauche, un roc de haute
— 1^38
plusieurs figures sont répandues de divers côtés liennes sur
A
conduisant un mulet. Dans
tout orné de figures.
T. 1™ 1776. Vente
—
Dans
le
bas, une
dans sa plus vaste étendue
marche de plusieurs femmes
;
il
cou-
est éclairé au soleil
à cheval suivie d’un
homme
con-
duisant un attelage de bœufs. Plusieurs autres figures de différents côtés. Plus loin, sur la droite,
deux charrettes.
— Deux pendants. T. 1“ — l‘“38
1776. Vente anonjune (22 avril
,
n® 109
:
699 livres 19
sols, les deux.
UN CELLIER PRATIQUÉ DANS L’INTÉRIEUR DU TEMPLE DE MINERVE. voit
une rangée de plusieurs tonneaux. Une femme ayant
vin. Plus loin,
une échelle de roseaux
et
Forme 1776.
UNE CHAMBRE autre
V^eiite
anonyme
à côté
d’elle
fait
à
:
279 livres 19
sols.
elle,
un poêle.
B. Diamètre 0‘“22 1776. Vente
anonyme
du
ovale
(22 avril), n® 110
sécher un linge
Ou y
tire
un gros chien.
dans laquelle une femme assise a un enfant sur ses genoux. Devant
femme
—
un enfant
(22 avrif, n® 111
:
30 livres. 13
une
HUBERT ROBERT
98
LA TENTATION DE SAINT ANTOINE. colonnade délabrée fuyant vers
le
—
Dans un temple
on aperçoit
antique, dont
la
fond, un saint est agenouillé devant une grosse pierre
sur laquelle se trouvent un livre de prière ouvert, une tête de mort, un crucifix et plu-
Par une porte,
sieurs autres livres.
à droite, entrent trois jeunes filles qui se dirigent
vers un petit autel pour prendre des fleurs dans un vase. Derrière
le saint est
un mur
qui ferme la colonnade. Sur une échelle, de l’autre côté de ce mur, paraît une quatrième
jeune personne qui taquine
Sur une pierre du mur
le :
«
saint avec des roseaux. H.
Robert
fecit 1760. »
— 0”71
T. 0“58 1/2
1777. Vente Prince de
1/2
Conty, n“ 752
;
2,220 livres à Desmadet, avec
le
pendant n“ 753. 1845. Vente Prince Tufialkix, n° 65 (seul). 1892. Vente
anonyme
(25 mars), n® 53
1,853 francs
:
UNE GALERIE TRÈS RICHE EN ARCHITECTURE. foin,
un
homme
et
une femme
On
y
un chariot rempli de
voit
à cheval, d'autres figures et un troupeau de moutons.
— 0"'71
T. 0ni68 1/2
Prince de Coxïy,
1777. Vente
—
(seul).
1/2
n® 753
:
2,200 livres à Desmareï,
avec
le
pendant n® 752.
SUITE DE SIX TABLEAUX.
—
Vue
— Le Tombeau de — Une petite Colon-
prise dans les jardins de Caprarole.
Vase des jardins Borghèse. — La Cascade Sextius nade ruinée. — Un IMoulin près de Rome. — Vue de et le
de Tivoli.
Farnesa.
la Villa
—
•
Les
six
avec
personnages peints par Boucher.
—
T. 2“40
1777. Vente
l'”58
Randon de Boisset,
n®® 217, 218,
219
5,399 livres 19 sols à
;
Langlier.
Le Brun
(14 avril), n® 78
PAYSAGE AVEC ARCHITECTURE,
orné de ligures.
1784. Vente
T. 0“77 1777. Vente
—
Randon de Boisset,
3,801 livres les
:
six.
l‘"50
n° 220
:
800 livres
à Belissan.
L’ESCALIER DE LA CAVE DU CHATEAU DE CAPRAROLE. B. 0-36
— 0“33
152 livres Randon de Boisset, n® 222 240 livres. Vente Abbé de Gevigney, n® 608
1777. Vente 1779.
:
j>ar
Robert en 1773. T. 0'"40
1777.
de Sireeil.
:
VUE DE LA CASCADE ET DU TEMPLE DE TIVOLI. DES.SOUS L’ARCADE D'UN PONT. — Les deux Peints
à
Vente DE Rohan-Ciiaro
—
UN PAYSAGE PRIS DE
ornés de figures
— 0‘"52 i
,
n" 42
:
365 livres
les
deux.
et
d’animaux.
LA CASCADE SOUS UN PONT (Musée du Louvre) Photographie Braun, Clément
&
C‘“
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,
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I
.
CATALOGUE LA VUE D’UNE GRANDE ARCHE
sous laquelle est
anonyme
LES MONUMENTS DE ROME. que
le
Farnèse,
Panthéon, etc.
—
descente d'un abreuvoir.
325
(15 décembre), n“
Ruines
:
172 livres.
antiques
et édifices
et
monuments de Rome,
Constantin, un obélisque
l'Arc de
Colisée,
le
la
— 1™
T. 0™74 1777. Vente
99
tels
égyptien, l'Hercule
Quelques ligures enrichissent ce tableau. (Salon de 1111.) T.
1778. Vente
Abbé Terray,
1‘"
— l‘"66
n“ 6
1,400 livres à de Tolozan.
:
1801. Vente de Tolozax, n® 104
730 francs à Boxnemaison.
;
Comte de la Béraudière, n° 67 Ganay. Vente Madame Ridcway, n° 27 42,000 Les Monuments de Paris.
1885. Vente
1904.
:
COLONNADE D’ARCHITECTURE,
enricliie d
une fontaine
et
:
7,000 francs au Marquis de
un pendant, n® 28,
francs, avec
de nombre de ligures, dans un
paysage très agréable.
—
T. l‘®65
2"'48
1778. Vente de Fitz-Ja.mes, n® 37.
UN PAYSAGE.
—
Sur
le
devant, une fontaine
et
des blanchisseuses.
—
T. l‘"65
1778. Vente de Fitz-James, n®
1™43
.38.
OBÉLISQUE ÉGYPTIEN ET VUE D’UNE PARTIE DU COLISÉE. sortant d un rocher, sur
le
devant quelques figures
T. collée sur B. l‘"65
—
et
—
Une
chute
animaux.
l‘"06
1778. Vente de Fitz-James, n® 39.
VUE DU TEMPLE ET DE LA CASCADE DE TIVOLI. 3“30
—
1778. Vente Nogaret, n° 99
DEUX PAYSAGES MONTAGNEUX,
2'"30
400
:
avec figures B. 0"’50
1778. Vente Nogaret, n® 101
et l)roussailles.
— :
livres.
0“36
375 livres
les
deux.
UNE ILLUMINATION DEVANT L’ACADÉMIE ROYALE A ROME. T. 0“39
—
1778. Vente Nogaret, n® 101 bis
0™50 :
37 livres.
—
(Esquisse.)
d'eau
HUBERT ROBERT
100
LE DESSOUS D’UNE VOUTE D’OU S’ÉCHAPPE UN TORRENT. jeunes
filles
—
Sur
le
devant, deux
montées sur un cheval, une troisième semble leur parler.
—
0m58 1778. Vente
Madame de
Cosse, n° 83
DEUX PAYSAGES ORNÉS DE RUINES
160 livres à Lebrun.
:
olfrant les débris de plusieurs
T. 0“66 1778. Vente
0“44
—
Madame de Cossé,
monuments d
Italie.
1”10
n° 84
96 livres
:
—
LE DÉCINTREMENT DU PONT DE NEUILLY.
Sur
les
deux
devant,
le
Lebrun.
à
divers
groupes de
figures.
T.
—
Madame de Cossé,
1778. Vente
MÊME
1™17
n^ 85
SUJET.
—
T. 0“71 1/2 1784. Vente Dubois, n® 129
DEUX PETITS TABLEAUX
:
50
100 livres à Langlier.
:
0“93
livres.
représentant des vues de Rome. T. 0”>33
—
Madame de Cossé,
1778. Vente
1”33
0™38
n® 86
160 livres les deux à Lebrun.
:
LA STATUE D’UN GLADIATEUR AUX PIEDS DUQUEL UN le
HOMME
EXPIRE.
—
Dans
fond, une pyramide égyptienne. T. 0“33
1778. Vente
Gros
—
0“18 54
(peintre), n°
539 livres 19
:
avec un pendant de
sols,
Panini.
DEUX
JOLIS
TABLEAUX
faisant
—
pendants.
ments de Rome, ornées de plusieurs
Ils
représentent dillerentes vues de
monu-
figures.
B. 0“27 1/2 1778. Vente Dulac, n° 169
—
0”19
198 livres 19 sols les deux.
;
UNE CHUTE D'EAU SORTANT DE ROCHERS.
—
UNE MARINE.
—
Chacun
est
orné
de figures. T. U“>53 1778. Vente Dulac, n® 170
UN PAYSAGE.
—
Vue d
Italie et
d eau qui passe sous
1“05
135 livres 10 sols les deux.
;
d un site très pittoresque.
un pont, sur
le
Dulac,
n®
220
Dans
le
milieu tombe une chute
devant sont des blanchisseuses.
T. 0“71 1/2 1778. Vente
—
:
— 0“49
164 livres.
1/2
CATALOGUE
101
—
UNE VUE D’APRÈS NATURE DE L’UNE DES ÉCLUSES DU COTÉ DE MORET. Le fond de devant, un
des prairies et lointains de montagnes; sur
ce tableau est terminé par
homme
est
endormi avec son chien près de T. 0“27 1/2
1778. Vente Dulac, n“ 402
— Ü'«36
81 livres.
:
LES RUINES DU TEMPLE DE LA CONCORDE, et, dans le des Empereurs. — Sur le devant, un homme considère femmes
et
le
lui.
fond, les vestiges du Palais
une statue
et,
plus loin, des
des enfants se chauffent. T.
1778. Vente
1>"(;5
—
Chaules Natoihe
PAYSAGES VUS DE ROME
l^OO
('peintre), n°
—
deux pendants).
40
030
:
livres.
L’un représente une balancjoire, l'autre une
colonne militaire. B. 0™26 1778. Vente
—
Charles Natoire
DEUX SUJETS PLAISANTS,
0“'21
ipeintre), n“ 41
;
60 livres les deux.
représentant les Polichinelles Romains, l'un musicien, l'autre
peintre.
B. 0‘"10 1/2 1778. Vente
Charles Natoire,
1859. 2« Vente
—
0“'22
n" 42
:
00 livres.
Comte d'HouDETOx (Catalogués
peintres
»/, n“®
122
Les Pierrots musiciens
LE FRONTON DE LA COLONNADE DE SAINT-PIERRE DE ROME. TITUS (deux pendants). B. (ovale) O-^IO
—
Omlb
1778. Vente Charles Natoire, n° 43
DEUX VUES DE ROME.
—
Dans B.
1778. Vente
UNE FONTAINE
l
:
(ovale) 0'"19
Charles Natoire,
—
ARC DE
1/2
O^^lb 1/2
n“ 44
—
où l’on voit des blanchisseuses.
Charles Natoire,
avec une belle fontaine
et
:
30 livres
UN PUITS,
les
deux.
sur
le
devant un
—
0'"15 1/2
n“ 45
;
30 livres
les
deux.
des blanchisseuses.
B. 0“25 1778. Vente
L
une, une chute d'eau; dans l’autre, un aqueduc.
B. (ovale) 0"‘19
UN PAYSAGE,
—
28 livres les deux.
boire son cheval (deux pendants).
1778. Vente
et
et 123.
—
0”21
Charles Natoire, n° 40
;
52 livres les deux.
homme
fait
HUBERT ROBERT
102
DEUX PENDANTS
—
représentant des intérieurs de chambre.
clavecin; dans l’autre, une
dame
—
T. (ovale) 0™15 1/12
Charles Natoire,
1778. Vente
UN INTÉRIEUR DE CHAMBRE,
où
Dans
l’un,
une dame touche du
est à sa toilette.
n“ 48
0”18 36 livres
:
une dame qui
l’on voit
—
T. 0“25
les
écrit
deux.
devant un secrétaire.
0”30
1778. Vente Charles Natoire, n® 49
24 livres.
;
DES LIVRES, PLUSIEURS ROULEAUX DE DESSINS ET DES FLEURS POSÉS SUR UNE TABLE.
—
T. 0”49 1/2
1778. Vente
Charles Natoire,
UNE VUE DES JARDINS DE MARLY. filles
—
Sur
le
1778. Vente
UNE VUE DE JARDIN,
où
Le Brlx,
l’on voit
d’Antinous est placée
—
à
n° 127
LA VUE D’UN JARDIN.
—
0'“25 1 sol.
deux hommes occupés
à
remuer un tombeau. Une statue
gauche.
1779. Vente Trouart, n“ 06
—
On
0“94
79 livres 19 sols.
:
droite, la statue
voit, à
d'Antinoüs sur un piédestal
et
deux
sur les degrés occupés à remuer une grande cuve de pierre.
—
T. 0"‘66 1784. Vente Dubois, n“ 127
UNE VUE DES TERMES DE TITUS, |>ées à
livres.
premier plan, à gauche, on voit deux jeunes Au milieu est un jet d’eau, plus loin une
46 livres
:
T. 0™69
hommes
30
:
courbés en voûte. T. 0'"36
60
:
0”88
livres.
où l'on voit des chevaux. Quelques ligures sont occu-
prendre des fourrages. T. 0™58
1779. Vente
UNE
n° 51
qui chargent un buste de guirlandes.
allée d’arbres
0“'63
TERR.\S.SE,
à droite,
Trouar
t,
n" 67
— :
0'"49 1/2
72 livres 19 sols.
au-dessus de laquelle on aperçoit un
bas, des gens qui éteignent de T.
la
chaux.
0"',38 1/2
1779. Vente Trouart,
n“ 68
:
—
0''’()0
1/2
120 livres
monument
d’architecture.
Au
INTÉRIEUR DE PARC ROMAIN (Musée du Louvre) Photographie Braun, Clément
&
C>”
l'
I
i
«
I
»
}
â&#x201A;¬
CATALOGUE UNE COLONNADE SOUTERRAINE,
où plusieurs ferumcs j)araissent couler
T. 0™44
Tuouart,
1770. Vente
103
n“ 69
:
—
0'”36
30
livres.
la lessive.
—
UNE ÉCURIE PRATIQUÉE SOUS UNE VOUTE D’ARCHITECTURE.
On
y voit une
échelle qui conduit à un grenier à foin. Tableau orné de quelques ligures.
T. 0“41
Trouart, n° 70
1779. Vente
—
O^dd
59 livres.
:
UN GRAND ESCALIER MONTANT A UNE TERRASSE DE FORME CIRCULAIRE. On
voit, à droite, au
—
bas du degré, une colonne militaire. Tableau enrichi de quelques
figures.
T. 0'"41 1779. Vente Trouart, n° 71
UNE VUE DE JARDIN. arbres placés sur
— le
Au
—
0™82
1/2
100 livres.
:
milieu est un jet d’eau que l’on aperçoit entre deux grands
devant du tableau, qui est orné de trois figures. T. 0^63
1779. Vente
Trouart,
UN FRAGMENT DU CAPITOLE,
n“ 72
;
—
0"‘47
92 livres.
au travers duquel on distingue T. 0™41
1779. Vente Trouart, iP 73
L’INTÉRIEUR D’UNE VERRERIE.
—
:
—
la statue
de Marc-Aurèle.
0”33
47 livres 19 sols.
(Esquisse.)
T. 0”58
1779. Vente Trouart, n® 76
:
—
0™74
168 livres.
UN SCULPTEUR OCCUPÉ A MODELER UN RAS-RELIEF. T. 0™58
1779. Vente Trouart, n° 77
LA VUE D’UN PONT, jiar
assis avec sa
:
0“71 1/2
150 livres.
dont une arche ruinée est ré]>arée avec des pièces de bois chargées de
planches d'où pendent des
occupée
—
filets.
Il
domine une
belle
campagne;
un ancien château. Au bas, des blanchisseuses
femme
et
à droite,
sur
le
une montagne
devant, un pâtre,
son enfant, garde des moutons. Trois pêcheurs sont dans un
bateau.
T. 0"’40
1779. Vente
;
—
Abbé de Gevtgxey,
0'"54
n° 607.
HUBERT ROBERT
104
UNE VUE DE LA CASCADE DE TIVOLI A TRAVERS DEUX ROCH ERS. — deux hommes sont au bas.
et
—
0'"76
1779. Vente
0‘"63
Abbé de Gevigney,
n" 609
livres 1 sol à
9.3
:
UNE ESQUISSE DE LA COUPE DU PARC DE VERSAILLES, dans l'éloignement. T. 0‘"66
1779. Vente
ment ruiné, où
l'on
—
Abbé de Gevigney,
—
UN PAYSAGE ORNÉ DE RUINES.
Sur
et
Langlier.
dont on voit
le
château
1"'
610
n®
la droite.
36 livres à Paillet.
:
I
on voit un grand péristyle de monu-
compte onze marches traversant une partie du tableau. Au
sont trois tronçons de colonnes; sur l'une est appuyé un
une femme
Une femme
homme vu
de dos. Sur
bas,
la droite,
près d’elle un enfant avec un chien. Sur les marches du temple, l’on
com|)te six figures. Le côté gauche est orné de masses d’arbres.
T. (ovale) 0'"74 1780. Vente
anonyme
(11
—
décembre), n® 171.
DEUX PENDANTS REPRÉSENTANT DES MONUMENTS D ARCHITECTURE. l’un,
deux femmes arrêtées
travers une arcade
la
parmi lesquelles un
—
On
Leroy de Sennevtlle,
n®
B. 0'"22
VUE DU PONT
F/r
:
—
— 0™1()
Leroy de Senneville,
200 livres
deux.
les
UNE FORÊT ET CHUTE D’EAU.
—
(Deux pendants.)
n® 47
100 livres les deux.
:
—
Sur
le
devant,
deux hommes
un autre est dans un bateau. T.
1780. Vente
Ü®‘;i8
1/2
— 0™74
Leroy de .Sennevtlle,
UNE SUPERBE ÉTUDE DE LA CASCADE DE figures.
T.
1780. \’enle Alibé
S(.)U'riHlR AIN
à
1/2
DU CHATEAU SAINT-ANGE.
retirent leurs filets,
UN
46
y distingue deux figures de fenunes sur un pont de planches.
1780. Vente
Dans
0m2.')
VUE D’UN PARC SITUÉ AU BORD D’UN CANAL. -
—
on voit
paraît admirer ces chefs-d’œuvre de l’art.
B. ()m33
—
l’autre,
fontaine de la place Navone, les bains de Diane et diverses figures,
homme
1780. Vente
une statue antique; dans
à considérer
VOU'fE,
oîi
1“33
:
176 livres.
TIVOLI, ornée sur
fou
voit
(11
devant de diverses
n® 60.
des marches en dill’érenls jilans. L’on y compte six
B. 0‘"14
anonyme
le
l'"6.')
Renouard (chanoine de Cambrai;,
figures.
1780. Vente
—
n® 48
— 0'"I1
décembre), n® 173.
CATALOGUE ESQUISSE
représentant
la
place Louis
XV
T. 0™55
d’une galerie antique; sur
15 livres 2 sols à
:
— L’un
faisant pendants. le
feu d’artifice tiré à l’occasion
— 0™66
1781. Vente de Sireul, n° 38
DEUX TABLEAUX DE RUINES
moment du
à Paris au
du mariage du Roi.
105
Hamon.
représente
la
vue en jaerspective
devant, une statue en porphyre et plusieurs figures
cà
cheval
qui passent au milieu. L’autre, les vestiges d'un temple circulaire, où l'on voit une statue
de
femme en porphyre. Plusieurs
femmes
autres figures de
T. 0™55
ce tableau.
Duquesnoy.
1,205 livres les deux à
;
avec des ruines et nombre de figures.
— 0”92
T. 0>"75
1783. Vente Vassal de Saint-Hudert, n° 63
SUJETS D’ARCHITECTURE
d'hommes ornent
— 0m38 1/2
1782. Vente Marquis de Ménars, n“ 04
DEUX TABLEAUX D’ARCHITECTUPiE,
et
(deux pendants).
— L’un
670 livres
:
les deux.
représente l'intérieur d'une colonnade
ruinée éclairée, tant par un portique à l’extrémité que par une grande ouverture à voûte. Cette composition est ornée d’un grand
remarque quelques jeunes femmes occupées
nombre de ou
à laver
figures,
à ])uiser de l’eau
une immense
taine jilacée sur le devant, à droite. L’autre représente
])ièce
dans une fond’eau entourée
d'une colonnade, au milieu de laquelle est placée une gerbe en cascade. Sur
une grande arcade ouverte. Diverses figures ornent sur
la
le
la
parmi lesquelles on
la droite,
devant de ce tableau, d’autres sont
pièce d’eau dans une barque à l'italienne.
T. Iml7 1784. Vente de Billy, n® 58 1791. Vente
Madame
LES RUINES D’UN TEMPLE, un grand escalier dont
le
dont
B. le
:
— l-^bO 2,680 livres les deux.
(4 avril),
n° 86.
portique est orné de colonnes
différents plans de ce tableau
sont ornés de figures et
pyramide de Sextius. T. 1"'14 1784. Vente de Billy, n° 59
On y
voit
auquel on arrive par
:
un canon
et
le
et les
fond est terminé par une
— 0"'80 460
livres.
LA VUE D’UNE PARTIE DE VOUTE CIRCULAIRE, de garde.
et
perron se termine par une colonne militaire. Le devant
dont
le
devant paraît servir de corps
quelques figures de soldats jouant aux dés sur un tambour. T. 0"’96
1784. Vente de Billy, n° 60
:
— 0™74 216
livres.
LES TROIS COLONNES DU CAMPO VACGINO
et,
Colisée, orné de diverses figures.
T. 0”66 1784. Vente de B^lly, n° 61
:
— O^SO 241 livres.
dans
léloignement,
les
ruines
du
HUBERT ROBERT
106
UNE FAÇADE DE PALAIS, temple. Sur
dont
corps du milieu est surmonté d'un belvédère en forme de
le
devant, à gauche, une fontaine, près de laquelle sont quelques figures de
le
femmes.
— 0™52 1/2
T. 0“’44
1784. 'Vente de Billy, n® 62
UN BOSQUET,
-.
206
livres.
dans lequel deux nymphes ornent de fleurs un terme de Palès, devant lequel une
troisième
nymphe
joue du tambour de basque. T. 0”27 1/2
1784. Vente de Billy, n°
6.3
:
— 0™10
149 livres 19 sols.
UN PAYSAGE DANS LE GENRE DE SALVATOR ROSA. tombent des arbres rompus. Au bas
femme pêchant dans une
1784. Vente Sieur de
—
Lun
devant, sept figures d
sur
le
On y
voit dés rochers d'où
homme
premier plan, on voit un
et
une
pièce d’eau.
T. 1“
DELIX PENDANTS.
et sur le
—
— 0"'60 1/2
Voege
(marchand), n® 149.
représente une cascade tomliant à travers des
hommes
et
rochers; sur
le
de femmes. L’autre olIVe une grande étendue de mer;
devant, une barque conduite par deux ]ièchcurs
viennent prendre trois femmes
ipii
qui sont au bord du rivage.
T.
0m66
1784. Vente Dunois, n® 128
—
ImfO
100 livres
:
les
deux.
COMPOSITION DANS LAQUELLE SONT RASSEMBLÉES PLUSIEURS RUINES DE MONUMENT.S DE ROME. — A gauche, une fontaine placée au |»icd d un fragment d’édifice d ordre toscan et où
deux femmes viennent puiser. Plus
loin,
iilusicurs autres
figures au bas de la statue de IMarc-Aurèle et sur des degrés conduisant aux pyramides.
A
droite, sur une éb'vation, d’autres figures.
T.
0»'.78
— Oi>74
1784. Vente Baron de .Saixt-.Iulien, n® 74
—
DEUX TABLEAUX.
—
.
•
Dans
l’iiii,
il
PAYSAGKS ET RUINES D ARCll ITECTUBE. AVEC FIGURES. firoilc,
un arc de Irionqihc; à gauche,
de Cesliiis. Dans raiilre, un vase sur un pii'dcstal
un
homme
et
la
Colonne
’l
rajane et
le
tombeau
diverses figui’cs, parmi lesquelles
iqipuyé sur un chapiteau. T.
I78Ù.
DIvUX PF.NDAX
160 livres.
:
r.S.
\’eiile
—
I,
Comte
;i
I
—
IMeiiiæ, n" 32
0"',‘')O
:
4(i0 livres les
nu repi-iésenle une piscine enlouri'c d
losean, enire lescpiclles paraît terrasse orné'c,
0'"'i
droite
et
à
rl'gner une galerie; sur
iin
le
deux
ii
Desmaiiei'.
cirque de
(
(doiines de
I
devant, qui pri'sente une
gauche, de quebpies débris de rolonncs
et
ordre belle
de corniches
;
V
.
'W
V
a
i*
' â&#x20AC;¢
;
rS
:
M
f
t
CATALOGUE l’arlisle a
placé plusieurs figures. L'auire
Iravers duquel ou apci\'üil, dans
gauclie
et à droite,
la
oll're
vue d’uu arc de trioinplie en ruines au
un superl)e
lointain,
le
107
sont aussi des débris d'arcidtecini'e
—
T. Um(jG
^deux pendants).
—
Sujets
— U"'47
U'’'3G
1785. Vente Marquis de Véui, n” 32
G52 livres
:
les
deux
à
Desmahet.
Fontaine, n° 142 { L'Adoration des Mages seule).
1708. Vente
La
1808. Vente
Sauvage
Buiiat, n“ 80
Vente
J.
—
Sur
le
30
(peintre), n"
1813. Vente Godeeiuiy, n" 101
UNE VOUTE PERCÉE.
devant, à
grand nombre de figures sur des fonds d architecture. T.
1^1885.
le
1,412 livres les deux à Le Baux.
:
L’ADORATION DES ROIS. L’ADORATION DES BERGERS très
sur
1'"
1785. Vente Marquis de Véiii, n“ 31
composés chacun d un
porti(jue;
et ([iielques figures.
:
2G0 francs
08 francs
:
1,350 francs
;
(
L Adoration des
Mages
seule).
(U Adoration
des Mages seule).
L' Adoration
des Mages seule).
(
devant, deux femmes lavent du linge. Plus loin, un bateau
et
deux pêcheurs dedans. Le fond indique plusieurs ponts.
— On’dG
B. 0'"27 1/2
1785. Vente Baron de Saint-Julien, n° 107.
UN CHARMANT PAYSAGE,
représentant
la
0'"48
vue d'un canal de Chantilly.
— 0'"44
1785. Vente Dubois, n“ 100.
DEUX PENDANTS. pées
—
L'un oITre
et distribuées
les
ruines intérieures d'un palais enrichi de dix figures grou-
sur dilférents plans.
sur un piédestal, derrière lequel on
fait
A
gauche, on voit une statue ruinée
du
et placée
L’autre oHVe un péristyle de colonnade
feu.
en carré, avec un escalier ilescendant en avant. Dans
le
bas, à gauche, on voit des Idan-
chisscuses auprès de deux grandes cuves. Le reste est enrichi de onze figures.
—
T. 0'“74 1/2
178G. Vente Moiiel, n° 172
:
Sur
le
composé de
:
1,100 livres.
seize figures dispersées dans un lieu on l'on voit nn tenq)le en mines.
devant sont des fragments d
porphyre, dont nn Capucin teurs,
Le Buun pour M. de Calonne.
1,001 livres à
1788. Vente de Calonne, n“ IGO
UN TABLEAU
l'"
hommes, femmes
et
s'est fait
anti(piité,
est il
178G. Vente Morel, n" 173
:
— 0‘"32
245
livres.
Paul de Saint-Victor,
n“ 50
:
une grande cuve en
prêche. (Juatoi^ze audi-
enfants. (Signé et daté 1182.)
B. 0'”40
1882. Vente
parmi lesquels
une chaire, dans hupielle
2,880 francs.
HUBERT ROBERT
108
UN JARDIN
où des femmes sont occupées à laver du linge
et à l'étendre
sur des cordes.
A
droite et à gauche, une allée de pins montant en divers étages.
— 0“23 1/2
B. 0”18
Morel, n° 174
1786, Vente
— Sur
DEUX PENDANTS. où une jeune le
devant de
le
hommes, dont
y voit deux
fille
101 livres à Villeneuve.
:
gauche, sont
l'un, à
l’un est vêtu d’un
les restes
d'un ancien temple; l'on
manteau bleu. Au second plan, une fontaine
puise de l’eau. Ce tableau est orné de différents groupes de figures et
fond se termine par
la
vue d'un palais entouré de jardins.
— Dans
lavent du linge. Sur
le
devant, deux jiaysans et une
dans l'eau. De grands arbres dans
le
DEUX PENDANTS
jettent des bottes de chanvre
— 0™67
n° 83
1/2
800 livres
:
les
deux.
LA VUE D'UN TEMPLE précédé de grands escaliers sur figures. — UN CHATEAU, à la porte duquel on voit un
:
remarque plusieurs
tant la garde. Près de
Des
rasse.
femmes
fond.
T. 0”80 1786. Vente Bergeret,
femme
lesquels on soldat
mon-
quelques figures au bas d'un escalier qui conduit à une
là,
un
l'autre, à droite,
belvédère, près duquel on aperçoit une cascade qui remplit un bassin où des
peupliers et différentes autres constructions ornent la gauche
ter-
du tableau.
— 0"‘34
T. 0™30
1786. Vente Bergeret, n“ 84.
LA VUE D’UN TEMPLE
dans
le
milieu d une place entourée d’une colonnade précédée de
vastes escaliers, au milieu desquels on voit une fontaine linge. Le devant est occupé par une rivière
et la
sieurs caisses de liallots et orné d’un grand
oii
jdusieurs
vue d’un port, où
nombre de
femmes lavent du
l’on
remarque plu-
figures. (Première pensée
du
tableau de réception de Robert à l’Académie.)
T. 0'"44 1786. Vente Bergeret, n"
— 0«'72
8.'ï.
LA VUE D UNE GRANDE ARCHE ET D’UNE COLONNADE COMPOSÉE A L’ITALIENNE, Aurèle
et
offrant
un monument du
grand
jilus
effet.
—
T.
1786. Vente
Le premier
jiarlie ruiné.
Watelet,
n“ 27
:
la
sition
offre la
dilfi'u
convenables pour décorer un salon.
—
vue d’un grand escalier qui conduit à un temple circulaire en
—
2.
l>as-rclicfs antiipies et
demi-teinte, est occiqx'e par
d’une pyramide de
Le second représente nue grande arcade,
pcrsjiective est terminée par des degrés.
en
de Marc-
1,030 livres.
Les plans avancés sont ornés de
granit cliargée de caractères égyptiens.
dont
la statue
l'"ll
QUATRE GRANDS ET MAGNIFIQUES TABLEAUX 1.
On y remarque
diverses figures.
La
droite, formant
une partie d un
une masse d'oppo-
magnifique palais,
dont
ents corps avancés reçoivent des coups de lumière d un ciel chaud et imagé.
les
—
CATALOGUE 3.
Le troisième
ture.
—
composé de ruines
est
Le quatrième
4.
_
ii
plus riche architec-
Rome
et
un
édifice
lm34
Duc de Choiseul,
n“® 1 et 2
la
la droite.
3m 178G. Vente
d'un lernple de
et dél>ris
une partie des ruines du Colisée
olfre
ancien qui se détache en brun sur
Jms
109
n“ 13.
repassent en 1791. Vente
Le Brun,
n”
219
:
1,100 les deux à
Boileau.
UN PAYSAGE
dont
le
milieu est occupé par une rivière et un pont et dont l'extrémité se trouve
bordée de prairies
de
et
la
vue d'un cliàteau voisin d’un bois. Le fond se termine par
une chaîne de montagnes. Le [ircmier
est enrichi
[ilan
de divers objets
et
nombre de
ligures.
—
1™77 178G. Vente
UN PONT
Duc de Choiseul,
2"’35
n“ 14.
formé d'une seule arche, sous lequel jilusieurs femmes lavent du linge. La droite du
bas du pont est occupée par une vieille forteresse, qui
Près de
des ligures et des animaux,
là,
et,
jiaraît servir
Duc de Choiseul, anonyme
L’INTÉRIEUR D’UNE GRANGE,
asile à
des paysans. lilets.
n° 15.
1789. Vente Maréchal de Choiseul-Stainville, 1792. Vente
d
devant, des pêcheurs retirant leurs
le
— 1"’GG
T. Im22
178G. Vente
sur
11 “
3G.
(22 mars), n° 37.
dans laquelle des gens sont occupés
à
charger un chariot de
paille.
T. 0'"33
— 0‘"25
178G. Vente de Saint-Maurice,
DEUX TABLEAUX sailles. Ils
75
11 °
représentant dill'érentes vues des
;
2G livres à de Changrand.
intérieurs de bosquets du parc de Ver-
sont ornés de ligures.
B. 0“25
— 0'"15
178G. Vente Chevalier de Clesne, n“ 79.
DEUX PENDANTS.
—
L’un
o!fre,
dans l'intérienr d'un parc, une grande cascade, au pied de
laquelle des grou|)cs de jeunes éclairé par
filles
et d’enfants sont
un jour du matin. L’autre
monuments, dont
le
point de vue est
olfre la
occupés à laver. Ce
vue du Colisée, du Panthéon
talileau et
est
d autres
sous un arc de triomjahe qui se détache en
jiris
vigueur. Des lias-reliefs, des groupes, des figures, des débris d'architecture sont répan-
dus avec goût sur
le
divant de ce tableau, qui est éclairé au B. 0"’79
— 0"'G0
1787. Vente de Vaudreuil, n° 33
:
soleil
1/2
GIO livres
les
deux.
couchant.
HUBERT ROBERT
110
LA VUE D UN PALAIS dans
le
milieu,
clier sur
de colonnes, de porliqnes
cnriclii
du Laocoon,
le groii[)e
des ronleaiix. La gauche
porphyre,
le tout
animé de
oll'rc
des
(jnc
voit,
ligures.
— l^Gl
1787. Vente de Vaudreuil, n“ 94
2,301 livres.
:
LA VUE DE PLUSIEURS RUINES D’ARCHITECTURE. fontaine surmontée d une statue de bronze, quatre
— Sur
le
premier plan, près d’une
femmes sont occupées,
Quelques bas-reliefs
laver, d'autres à remplir des vases.
mur
On
placés à nn lonrniqnel font mar-
des fragmenls de bas-reliefs près d un tombeau de
T. l‘"20
à terre an bas d’nn
de stalnes en bronze.
el
hommes
et
les
unes à
des débris de colonnes sont
de terrasse, orné d une inscription et d’une statue de sphinx
mutilée élevée sur un piédestal. La gauche offre, sur un terrain élevé, les restes d'un
grand monument, des portiques forment des écliappées de vue dans
homme monté gnement de
1787. Vente Collet, n” 107
PAYSANNE
JELINE
:
191 livres.
assise, la tête coiffée de linges qui cachent tout le haut de la figure,
voit à terre
une cruche
et
une terrine pleine d’eau
T. (ovale) 0'"38 1/2
1787. Vente Collet, n” 108
DEUX PENDANTS. et
—
1.
4'^UE
:
le
D’UN PARC. A
0‘''80
—
ch('
d'un panier de linge.
1 sol.
2.
grand bassin, avec
un
Sur
le
jet
d'eau
devant, divers monuments,
et
0“GG
1787. Vente de Bolllongne, n“ 10
TRIvS
d’une jupe roussâtre.
0>”30
droite,
—
jirès
et
plan suivant une voûte laisse voir des cliutes d'eau. Les deux orm's de ligures. T.
DEUX
—
25 livres
cascade; à gauclie, un fond de paysage.
sur
Un
— 0"'G4
jusqu’au-dessous des yeux. Elle est vêtue d'un corset ouvert
On
canqjagne.
petites ligures.
(Ovale en travers) 0'"5G
UNE
la
sur un cheval Idanc termine ce tableau, qui est encore onié dans l’éloi-
BEAUX TABLEAUX.
aux poissons. Le devant
—
;
202 livres
les
deux.
L’un représente une rue de Rome, où se lient un mar-
oll'rc
une voûte près de laquelle, sur
le
premier plan, se
voient plusieurs jiersonnages occupés à arranger différents poissons. L'autre
arcade d'une Aui’ele.
Il
l'iclie
architecture ruinée,
est aussi orm''
la
1"‘G2
—
P" 17
Vente Manpiis DE Moxtesoltol', n" 249
;
2,300 livres
off’i'e
statue de
de plusieui's ligures. (Salon de 1785.) T.
1788.
sous hupiclle se distingue
les
deux.
une
Marc-
>
s
' l
i
i
i
%
i
i
)
CATALOGUE LA VUE D'UN PARC.
— Le milieu
est
111
occupé par un grand escalier ipü conduit
à
liordée d une rivière au liord de laquelle sont des Mancliisscuses qui ornent
une terrasse le
devant de
ce tableau.
— 0"’27
1788.
B. O'^SS 1/2
1/2
Vente Marquis de Montesquiou, n® 250
IjA
vue D’UN PORT. et
dans
le
—
lointain
.V
une ruine
droite,
un château.
(11
des chevaux à
et
—
1788. Vente de Calonne, n® 170 1789. Vente Cocleiis, n® 203
mêle de rochers
et
ahrcnvoir, une grande rivière la
vente du duc de Choiseul.)
:
380 livres
à
Le Bhux.
750 livres à Langlieh.
:
On remarque
de cascades.
livres.
2™50
B. 0'"45 1/2
au liord d’une rivière,
femme
milieu d’un tableau, plusieurs laveuses et une
le
l
vient de Chanleloup, de
T. 1"'77
UN PAYSAGE
500
:
ipii
occupe
qui conduit des vaches.
— 0“36
1789. Vente Dubois de Couhval, n® 24.
—
DPiUX MARINES P’AlSAN'r PENDANT.S. d’un côté par quehpics tours voit
1789.
mer. Sur
A
côté,
De
cl fortifications, cl
deux pécheurs retirant leurs
chaloupes occupent
et
le
le
devant est
milieu
l
lil
est resserré
autrc par une langue de terre où
I
on
à c<ité de leurs conq>agnes. Différentes liaiapies
(ilets
et le
de
le
fond du tableau.
L
antre offre de
même
un bras de
un ouvrage en pierre avec un obélisque en forme de fontaine.
deux personnages,
l’autre côté,
L’une représente une tuer dont
et
un troisième s’ap]>roche dans une barque
une espèce de ]>ont couronné par des rochers
—
B. 0‘"33
et
à force
de rames.
quelques tourelles.
0'"27
Vente Langlieb, n® 122.
DEUX VUES
D ITALIE
rc|>résentant des paysages et fabri(pies enrichis de ligures et animaux.
—
T. 0'"30 1789. Vente Cocleiis, n® 24
LA VUE D UN droite,
400
:
0m|)3 livres, à
PAI..A1S au haut dinpicl on découvre 1790.
le
Hamox.
temple de
la
Siliylle
Tihurtienne.
A
une fontaine.
—
T. 0'«43
1789. Vente Cocleiis, n® 205
DhiUX VUES DE RUINES DE ROME, R.
dont
le
0'>'38 1/2
:
0"'55
1,440 livres à Le Biiux.
Colisée, ornées de |ihisieurs ligures,
— 0“'27
Vente de fen M. Maiun, n® 345.
1/2
f
Esquisses.
HUBERT ROBERT
112
LA VUE D’UN TEMPLE AVEC UNE COLONNADE. — A cà
Par
;
un piédestal, un groupe de deux statues
droite, des figures et entre des colonnes, sur
ruinées.
gauche des fragments d’antiquités
côté, plusieurs autres figures.
1791.
0™60
T.
Vente de Livois
(à
1/2
— 0”80
Angers), n° 250.
LA FONTAINE DE MINERVE A ROME.
— On y voit
des blanchisseuses
et d’autres figures
dans un paysage agréable.
—
T. 0“'52
1791. Vente de Livois
LA VUE DU PANTHEON.
—
Angers), n° 251.
Cet édifice fameux se trouvant aujourd'hui
du
l’élévalion successive
(à
O^CO
Rome, M. Robert
sol de
l’a
comme
enfoncé par
représenté, au contraire,
comme
ayant été construit sur un tertre auquel on arrivait par des degrés. Le monument est censé entouré d’un grand cirque de colonnes, dont 1
la
place de Saint-Pierre lui a donné
idée.
—
T. 2"'50
deM. de Castelmore,
1791. Vente
LES CASCATELLES DE TIVOLI. resque qu'en ajoutant sur
le
—
1791. Vente de
assise avec
sommet un
petit
—
une statue
Un
et
le
.32.
s'est écarté
de
temple antique
la vérité
fort
connu
de cette vue pittoà Tivoli.
l‘"39
M. de Castelmore,
représentant, l’un
un enfant.
n“
M. Robert ne
T. l‘"0G
DEUX PENDANTS
l'"66
n“ 33.
bas d’un escalier, sur les degrés duquel est une
chapiteau, un vase et autres accessoires
le
femme
terminent. L’autre,
une cuve antique dans l'intérieur d une cour de paysan, enrichie d'acces-
soires.
—
R. 0"'2G 1792. Vente de
La Reynière,
0"'34
n® 54.
UN INCENDIE DANS UN QUARTIER DE ROME. T. 0'"GG
anonyme
1792. Vente
—
IjC
premier
0“’52
(22 mars), n° 41.
UN ÉDIFICE DE RICHE ARCIHTFCTURE ruiné.
—
})lan est enrichi
construit sur deux arcs, dont un est en partie
de débris anticpies
et
de plusieurs figures, parmi
lesquelles on distingue des lionnnes occupés à rouler une belle cuve; un paysage lointain se distingue, ainsi
que
le ciel à
travers les arcades.
T. l‘"47 1793. Vente
anonyme
—
(9 avril], n®
i^OG 115.
CATALOGUE DEUX PENDANTS
(Salon de 1789).
ments antiques de
la
— L’un représente un rassemblement des plus beaux
France. I/autre,
Le Bas,
n® 42
UN TEMPLE ANTIQUE DE VENUS, 1793. Vente
Le Bas,
UNE GRANDE ARCHE DE PONT,
— iJAi) livres les deux à Desmahet.
:
dont on a 1">22
T.
monu-
distingués de Paris.
les édifices les plus
T. 1"'25 1793. 'Vente
113
un colombier (Salon de 1789).
fait
—
0"’83
n® 43.
on distingue dilférentes masses de
travers laquelle
à
rochers surmontés de monuments. Diverses figures de blanchisseuses tribuées avec art. T.
1'"
—
et
autres sont dis-
l'"17
1795. Vente Cit. Veuve LEnAS-CouiiMONT, n® 33
:
5,001 livres (en assignats) à
Saubeut.
UN SUJET D’ARCHITECTURE
en ovale, avec une fontaine
plan.
T. 0™47 1795. Vente à
Cit.
—
premier
0"'3()
Veuve liEBAS-CounMONT,
T. 0“’03 1790. Vente
Cit.
Houdon
l’échelle de 100
1790. Vente Cit.
Houdon
l'échelle de
—
—
34
n®
:
710 livres
(en
assignats)
Elles sont enrichies de figures.
0‘"85 n®
(sculpteur),
pour
VUE INTÉRIEURE DU PARC DE MARLY,
:
le
Boileau.
DEUX VUES INTÉRIEURES DE CAVERNES.
DEUX TABLEAUX
diverses figures sur
et
4,000 livres (en
;
assignats
à
assignats
à
tableau orné de figures. n® 5
(sculpteur),
100 pour
4
Catalogue).
1, dit le
1, dit
:
4,800 livres
(en
Catalogue).
le
VUE INTÉRIEURE DE JARDIN ET PORTIQUE RUINÉ.
— Diverses
statues et bas-reliefs enrichissent ces productions ornées de figures.
T. (ovale) 0‘"41 1790. Vente
Cit.
Lempereuu,
n®
— 0“25 19
:
50 livres.
(Une des premières ventes
réglées en argent et non en assignats.)
UNE DES SAVANTES ÉTUDES
de cet artiste en
d’un souterrain, morceau enrichi de figures T. 0"'50
1803 (17 janvier). Vente M. A
—
Italie offrant le
et
point de vue
d animaux par Demarne.
0"'01
n® 138
:
385 francs.
et la
perspective
HUBERT ROBERT
114
POINT DE VUE DE L’INTÉRIEUR D’UN PARC, décorent. L’artiste a pris
le
moment
PAYSAGE,
anonyme
—
:
70 francs.
avec figures de femmes qui lavent du linge à une fontaine.
1808. Vente
DEUX PENDANTS
Un
:
—
Sauvage
0'"30
(peintre), n° 31
16
:
fr.
30.
point de vue des carrières de Montmartre
pont avec bateaux
;
le
dessous d’une arche d'un
et figures.
—
B. 0‘"22 1808. Vente
—
1"'35
(18 avril), n° 190
T. 0“38
1809.
divers bâtiments qui le
et
d’une partie de promenade sur l’eau.
T. 0“’95
1803. Vente
avec canal
Sauvage
(peintre), n“
0“‘16
32
:
36 francs
les
deux.
VENTE DE FEU HUBERT ROBERT. N° 67.
—
DEUX TABLEAUX
d une grande force de couleur
dans
des figures. L’un représente les ruines d’une immense galerie percée dans
le détail
voiitc. L’autre,
un monument indiejuant des bains avec
400 francs
—
N" 68.
les
deux
à
jet d’eau
la
au milieu, gondoles, etc.
Paillet.
UN GRAND TABLEAU
paysage avec une masse de roches sur ([ui
et pleins d’intérêt
de place de forme en travers. Point de vue de
gauche
la
et
baigné par un
lac.
On
voit
un pâtre
conduit trois bœufs.
85 francs. N°
—
()9.
UNP]
GRANDE
ÉTUDhi
:
Décintrement d une des arcades du pont de
Neuilly.
45 francs.
N“ 70.
—
où se voient sacrifices.
CHARMANT TABLEAU la
statue de
Vénus
Divers autres détails,
représentant les ruines d’un temple circulaire
personnages qui viennent y offrir des dont Marc-Aurèle, ajoutent encore à l’intérêt de cette et
plusieurs
production. 251 francs à Laneuville.
N” 71.
—
UNE BELLE ÉTUDE DE PAYSAGE
Cloud, où se voit
le
grand
jet d'eau
faite
d après nature à
Saint-
dans toute sa hauteur.
42 francs. N'J
72.
— JOLI
TABLEAU
de forme ronde oifrant un point de vue très étendu, avec
premier plan qui se brisent dans des roches. On y remarque, entre autres figures, un dessinateur occup('“ à tracer le point de vue.
cascades sur
le
91 francs à
SouzY.
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D O c H Ed
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H Q O.
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ET
O
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%
CATALOGUE 1809.
— VENTE
115
DE FEU HUBERT ROBERT.
—
N» 73.
TROIS DIFFÉRENTS POINTS DE VUE DU PARC DE MÉRÉVILLE
exécutés en grand pour
M. de La Borde.
147 francs à de La Borde.
—
N® 74.
ETUDE D’APRÈS NATURE
otfrant
un point de vue des cascatelles de
Tivoli.
91
N°
francs.
—
75.
UN TABLEAU
deux jeunes
voit
sonnage vêtu en
fdles qui
au premier coup, sujet de ruines et fontaine, où l’on
fait
viennent
piiiseï’
de
1
eau
et
sont aperçues par un per-
(pii
solitaire.
160 francs.
—
N® 76. dont
la
détache
LE POINT DE VUE D UNE RICHE GALERIE D’ARCHITECTURE,
principale arcade laisse voir un fond de paysage et un ciel brillant sur lequel se
Sur des degrés
statue de Marc-Aurèle.
la
répandu diverses
et
tout
le
premier plan
l’artiste
a
ligures.
550 francs.
—
N® 77.
UN TABLEAU
de
forme en
un
hauteur rejiréseiitant
lieau
monument
d’architecture servant de lavoir, où sont étaldies des blanchisseuses occupées à étendre leur linge, tandis ({ue d'autres sur
le
premier plan,
à droite, sont
autour d un feu.
550 francs.
— UN
N® 78. trouve
TABLEAU
statue d’Apollon.
la
de forme en hauteur olfrant
Le milieu du premier plan
figures, dont des soldats jouant
les ruines d’un palais
est enrichi
où se
d’un groupe de neuf
aux cartes.
120 francs à Cüxsi axtix.
—
N® 79.
UN MONUMliNT COMPO.SÉ
dansent des jeunes
offrant
un obélis(pie brisé autour duquel
filles.
1!)3 francs.
N° 80.
— UNE
ÉTUDE DU PLUS GRAND EFFET,
d après
l
incendie de
Dieu.
144
N" 81.
—
23
N® 82.
fi’ancs.
UN TABLEAU,
sujet d’un incendie.
Morceau en hauteur.
fi'ancs.
—
UN TABLEAU
23 francs.
rpii ]>araît
encore être pris de
I
llôtel-Dieu.
I
Hôtel-
HUBERT ROBERT
1I(>
VENTE DE FEU HUBERT ROBERT.
1809.
N® 83.
— ETUDE
FAITE EN ITALIE
d’après Lucas Jordane, représentant
le sujet
des Vendeurs chassés du Temple.
143 francs à
Renaud pour Moitié. Moitte
1810. Vente
(sculpteur), n“ 9.
T. 1™
—
0*"80
(La peinture de Luca Giordano est dans l’église de Saint-Philippe de Neri, à
Naples.)
N® 84.
— UNE
AUTRE BELLE ETUDE DE RUINES,
femmes qui viennent puiser de
paraît être de Panini et les autres détails par
185 francs
—
N® 85.
à
un
l’eau et d’autres autour d
avec fontaine où sont des
La
feu.
partie d’architecture
Hubert Robert.
Cohnileon.
DEUX TABLEAUX,
fragment d'entablement; dans
études d après Panini. Dans l’une, un beau vase et
l’autre,
une pyramide.
150 francs.
—
N° 86.
UNE CHARMANTE ESQUISSE,
point de vue d un ]iarc, avec sujet de
balançoire.
45 francs.
N® 87.
—
DEUX AUTRES
vant d’écuric;
N® 88. l
un
les
—
autre,
l
léSQUlSSES en
ovale. L’une offre
une grande arche de pont, avec gondole
DEUX ESQUISSES EN OVALE, point
hommes
tirent
un bateau; dans
un ancien
et lointain
de vue de mer
l’autre, l’artiste dessine
et
édifice ser-
de paysage. de jardin. Dans
un tombeau.
47 francs.
.N®
89.
—
DEUX ESQUISSES,
Rome, plus une troisième à
différents effets de nuit
offrant des
monuments de
esquisse, sujet d’une pyramide que des ouvriers sont occupés
démolir. 5()
.\®
mer
90.
francs.
—
TROIS ESQUISSE.S
et rocliers
;
les
deux autres,
aussi de forme en travers. L’utie, un point de vue de
effet
de nuit
devant un tond)eau, d'autres sont autour d’un
et
souterrain.
Un
des personnages prie
feu.
95 francs.
Xo PI. tf
_
UXE PETITE ESfjUISSE EN OVALE.
un brouillard, avec monument de ruines sur
en
liaiiteur.
40
Dans fr.
50.
l
un des
peujdiei's,
la
—
Point de vue de mer à
droite; plus deux autres,
dans l'autre une |)yramide.
l’effoi
même forme
CATALOGUE 1809.
—
117
VENTE DE FEU BUBERT ROBERT.
—
N® 92.
BELLE ESQUISSE OVALE,
avec pyramides
en hauteur, offrant l’escalier d un palais,
diverses ligures.
et
38 francs.
— UN
N® 93.
nage qui
PAYSAGE
de forme en ovale, avec chaumière pittoresque
— DEUX ESQUISSES
N® 94
et
person-
de l’eau d’un puits.
tire
ÉTUDES DE ROME. — L’une représente une masse
:
de fabriques, avec une chute d’eau dans
le
milieu; l’autre une procession du Pape. Plus
une troisième esquisse, perspective éclairée par
l’effet
d’un embrasement.
41 francs.
—
N® 95.
DEUX ESQUISSES, sujet
de démolition dans les caveaux de Saint-Denis.
00 francs.
—
N° 90.
QUATRE JOLIES ESQUISSES.
—
Intérieur de temple et autres sujets
d'architecture.
295 francs.
N® 97. taire
—
UNE ESQUISSE
d’un immense détail offrant
le
sujet d’un rejias de mili-
aux Champs-Elysées.
90 francs.
— UNE
N® 98.
AUTRE ESQUISSE
du plus grand goût de touche, perspective d une
colonnade, avec fontaine et figure d’un dessinateur.
N® 99. sur
le
—
UNE ESQUISSE,
composition d'une fabrique piltores(iue
et
d’un lavoir
premier plan. 130 francs.
N® 100. lisent
— UNE
ESQUISSE.
—
Paysage
et
ruines, avec figures de jeunes
filles
(|ui
une inscription. 80 francs.
N® 101. les
catacombes de Rome, l’autre N® 102.
le
— Deux encore plus
—
Ce
tableau,
fait
intéressantes le
|)ar le
motif des sujets. L’une représente
repas des Cinq-Cents dans
la
galerie du
Muséum.
au premier coup, représente un point de vue d’un bois et
sujet historique d’un chien qui ne quitte pas les liabits de son maître.
N® 103.
—
DEUX ESQUISSES
de forme en travers.
— L une représente l’intérieur
d une salle d’antique, l’autre un paysage style de Locatelli. Plus deux autres points de
vue d’un parc
et
d’un orage.
110 francs à Paillet.
HUBERT ROBERT
118
1809.
—
VENTE DE FEU HUBERT ROBERT. N» 104.
— UN
SUJET D’UNE ÉCOLE DE DESSIN,
dans une galerie composée.
50 francs à Laneuville.
—
N° 105.
paysage
;
DEUX MOYENNES ESQUISSES.
—
Différents
points
de vue de
dans l'un un pont pittoresque, dans l'autre une chapelle.
180 francs.
N“ 106. et
—
UN PETIT TABLEAU DE PAYSAGE
quelques animaux sur
le
mêlé de rochers, avec figures
premier plan.
96 francs.
N“ 107.
— DEUX
l’une offrant
ESQUISSES
un souterrain
et
l
de différentes dimensions
et
vigoureuses de couleur,
autre une lavanderie.
46 francs.
N° 108.
—
Quatre autres charmants
]>rojets
de composition, dont un sujet de
la
Crèche. 125 francs.
N“ 109.
— Deux,
idem, dont
le
point de vue d’un pont pittoresque.
56 francs.
N“ 110.
—
Quatre autres de forme étroite en hauteur, projets de tableaux de place
qui ont été exécutés pour le château de Champlatreux. 111 francs.
N" 111.
— DEUX
JOLIES ESQU1SSE.S
représentant
la salle
du Laocoon,
24 francs.
N" 112.
—
.SIX
ESQUISSES
de com|)Ositions variées, dont une des illuminations
des Tuileries. 54 francs.
N° |)alais
113.
—
DEU.X ESQUIS.SES touchées
au l>ord de
la
avec inliniment de goût, l'une offrant un
mer, avec gondoles, l’autre un arc de triomphe aussi au bord d’un
lleuve.
35 francs. i\o
11 /^.
— Deux autres
l)lancliisseuses,
l
de forme en bauteiir,
anire un luonunieni
05 francs.
et
cascades.
l
une offrant une rotonde
et lavoir
de
I
ce
K CĂŽ
O Z c/3
c U H W c/3
ce
O 2l
1 4
}
'i
,1
V
^
J
CATALOGUE 1809.
— VENTE
119
DE FEU HUBERT ROBERT.
— TROIS DIFFÉRENTES COMPOSITIONS,
N» 115.
esquisses dégoût, dans l’une
desquelles on remarque une pyramide, débris de monuments, figures, ete.
251 francs.
N° 116.
—
SIX ESQUISSES DIVERSES
(|ui
seront divisées en deux articles.
42 francs.
N“ 117.
—
Deux
autres
:
intérieur d’une galerie et une arclie de pont, avec figures
de blanchisseuses. 72 francs.
— SIX
N° ILS.
ESQUISSES,
compositions diverses, dont un sujet de Suzanne au
bain.
105 francs.
—
N° 119. et
celui
DEUX PETITS TABLEAUX
faits
au premier coup, l’atelier du peintre
du sculpteur. 60 francs.
N“ 120.
—
DEUX
PEITITS SUJETS en hauteur,
architecture, fontaines et figures
de blanchisseuses.
80 francs. N° 121.
—
TROIS AUTRES COMPOSITIONS
de
goût,
dont
un intérieur de
caverne éclairée par un flambeau. t)9
N° 122.
francs.
— DEUX
monument servant ()3
CHARMANTES ESQUISSES,
d’atelier à
intérieur de galerie
et
ruines de
un sculpteur.
francs à Cornillon.
N° 123.
—
N° 124.
— DEUX
UN PAYSAGE
en hauteur, avec
EiSQUISSES de forme
monument
servant de lavoir.
en travers. L’une, une fontaine de riche
architecture; l’autre, une galerie de tableaux.
70 francs.
N» 125.
—
QUATRE AUTRES COMPOSITIONS DIVERSES ET ÉTUDES
D’ANIMAUX. 102 francs.
N” 120.
—
QUATRE AUTRES,
35 francs.
dont un intérieur de boucherie.
HUBERT ROBERT
120
1809.
—
VENTE DE FEU HUBERT ROBERT.
—
N“ 127. .37
différents sujets et études d’après nature.
francs.
—
N“ 128. Descente
SIX IDEM,
DEUX ETUDES DE ROME,
qui paraissent faites d’après
le
Galabrèse,
de Croix.
et élévation
40 francs.
N'*
— BELLE ESQUISSE terminée de
129.
la
démolition du château de Meudon.
50 francs.
—
N’ 130.
UNE AUTRE ESQUISSE DE CARACTÈRE
Cène représenté dans un beau temple, qui rappelle
la belle
offrant
le
sujet
de
la
manière de Panini.
81 francs.
—
N» 131.
UNE AUTRE CHARMANTE COMPOSITION,
offrant
le
sujet d’une
sérénade italienne au bas d'un pavillon.
50 francs.
N“ 132.
—
N® 133.
— CHARMANTE
eu lieu en
•
projet de fontaine dans une place publique.
ESQUISSE
honneur de Jean-Jacques
1
le
faite
de souvenir des illuminations qui ont
jour que son tondieau fut
])lacé
aux Tuileries.
francs.
.30
N“ 134.
UNE AUTRE,
— ESQUISSE heurtée, mais pleine
d’elfet
de
la
démolition du Pont au Change.
72 francs.
N" 135.
—
UNE AUTRE, même
genre, faite aux Grands Augustins.
50 francs.
N® 136. ments,
l
—
une
DEUX BELLES ESQUISSES
à l'elfet
en hauteur, différentes ruines de
de clair lune.
73 francs.
N“
1.37.
— DEUX
ETUDES
de forme en ovale d'après Panini.
100 francs.
POINT DE VUE DU CHAMP DE MARS LE JOUR DE LA FÉDÉRATION. q\ 0'"90
1810. \’enlc
anonyme
—
0"'15
;8 janvier), n” 24.
monu-
CATALOGUE
121
LE POINT DE VUE DES AQUEDUCS DE MAINTENON, tation de
1810.
—
T. 0”90
Vente anonyme
1“15
(8 janvier), n® 25.
—
VUE DE DIVERS MONUMENTS ANTIQUES. tableau.
—
T. 0”64
1810. Vente de Silvestre, n“ 64
AU MILIEU DE RUINES ANTIQUES, filles
avec figures de cavaliers, à l’imi-
Van der Meulen.
ouvrent sa porte
branche pour
le
l’on voit
Douze
ornent
le
devant de ce
O^SO 42 francs.
:
un Chartreux en prière, tandis que des jeunes
et lui cueillent ses fleurs;
déranger.
figures
une autre, sur une échelle,
— (Même sujet que T. 0“60 — 0“4G
la Tentation
«
de Saint Antoine
tient
une
».)
1811. Vente de Preuil, n° 167.
1814. Vente
CETTE COMPOSITION
J.
-B. -P.
Le Brun,
le
:
73 francs.
temple fameux de l'antiquité.
offre les ruines d’un
entre autres richesses de détail,
n° 137
transjiort d'une statue de Minerve,
force de bras et par un moulinet vers
Capitole.
le
On compte
On y remarque, que
l'on dirige à
sur tous les plans de cette
admirable reproduction plus de vingt figures.
—
T. I^IG
1811. Vente de Séréville, n° 97
SITE
AUX ENVIRONS DE ROME,
1“46 :
451 francs.
traversé dans toute son étendue par une rivière où des
La
villageoises blanchissent du linge.
rive opposée offre les ruines d'un temple, ainsi
que plusieurs habitations rustiques pratiquées dans légèrement nuagé.
—
T. 0™82 1812. Vente Solirène, n® 98
:
les débris
d'un ancien monument. Ciel
0”66
124 francs.
VUE DE L’ESCALIER DU PALAIS CAPRAROLA
et
de sa principale cour, décorée d’une
fontaine dont l’eau tomlie eu cascade dans un large bassin près duquel on voit quatre
blanchisseuses.
De chaque côté sont deux naïades portant une urne d’où sort également femme fait bouillir de l’eau dans une marmite en fonte suspendue
de l’eau. Plus loin, une à
quatre montanis de bois. Sur
une fontaine surmontée de ensemble
et
la
le
devant, à gauche, une jeune
fille
statue de Minerve; du côté opposé deux
une femme monte un escalier conduisant
à la partie
lave
du linge
hommes
à
causent
supérieure du l)àtiment,
enrichie de balustrades ruinées et derrière laquelle s’élève un massif de grands arbres.
T. Ü“69 1812. Vente Clos, n» 35
:
—
1“05
201 francs
HUBERT ROBERT
122
DEUX INTÉRIEURS UE PARC. on voit un abbé donnant
le
—
Dans
près d’une fontaine surmontée d’une statue,
l’un,
bras à une dame; dans l’autre, au fond d’une longue allée, un
bassin avec jet d’eau entouré de figures en costume du temps.
0“27— O'nie
B.
1813. Vente Godefroy, n® 102
UN TEMPLE D’ORDRE IONIQUE.
—A
54 francs les deux.
:
distance devant
Sur
le
la
statue,
deux colonnes, au milieu des-
droite, soutenu jiar
Au
quelles s’élève une statue de déesse sur sa base.
lias est
un grand prêtre
on voit un grou |)0 de cinq figures.
A
et,
à quelque
gauche, un grand arbre.
premier plan se trouvent quelques autres figures. T. (ovale) 0“14
1822. Vente
ESQUISSE TERMINEE,
— 0™11
Robert de Saint- Victor,
représentant
n° 582
181 francs.
:
voûte d’un temple sous laquelle on voit une statue
la
et
quelques figures. B. 0‘“14 1822. Vente
—
0“11
Robert de Saint-Victor,
UN TABLEAU D’ARCHITECTURE
offrant
des
n° 543
obélisques
:
8 francs.
et
divers
monuments égyptiens
composés avec goût. On y remarque plusieurs groupes de figures sur T. 0“'66 1826. Vente Baron V.
UN TABLEAU filles
Denon,
—
les différents plans.
0“52
n° 179
d’un effet piquant, où l’on voit dans
68 francs.
:
réduit agréable d’un jardin des jeunes
le
attachant des guirlandes de fleurs à une statue en partie
ombragée par des arbres
élevés.
T. 0“30 1826. Vente Baron V.
Denon,
—
n° 180
LES RUINES DE L’ENTRÉE D’UN TEMPLE T. 0‘”66
0”22
—
31
:
50.
situé au milieu des rochers.
041
1826. Vente Prince Galitzine, n° 145
UNE FORET,
fr.
:
36
fr.
50 à Michel.
au milieu de lacpielle est un mausolée qui semlde être celui d’un ancien chevalier. T.
1827. Veille
VUE D’UNE CASCADE,
0™55
—
0>"44
Duc de la Rochefoucalld-Liancourt,
n® 39.
avec une grande arclic sous laquelle est un escalier, à droite. n»‘23
IS28. Veille
P. -11.
lloberl.
Lemoyne,
—
0'"44
n" 79
:
20 francs,
avec un
autre paysage de
CUEILLETTE RUSTIQUE (Bibliothèque Albertine, à Vienne)
X
1
I
y
4
4
>»(
'>A
is
l
CATALOGUE 13EUX TABLEAUX. cellier d’un
— Dans l’un est représentée
marchand de
Dans
vin.
la
l’aulre,
au milieu de laquelle est une fontaine où les 1833. T. (ovale) 0"*44
Vente Gauthieh, n“ 57
BEAU PAYSAGE
vue intérieure d’un antique édifice devenu
le
une longue galerie enrichie de colonnes
et
femmes des environs viennent puiser de
—
120
:
l’horizon par des collines.
fr. les
A
fSig-^ié
mi.) B. 0”26 1833. Vente
abbé B.
«
deux.
—
et
animaux ornent
le
peintre a
fait
INThiRIEUR DE JARDIN.
bornée à
cette composition.
—
dans
la
Cité, telle quelle
était
à
son tableau, occupée par un atelier de teinturier.
anonyme (30-31
—
et
», n“ 63.
T. (ovale) 0'"39
1834. Vente
rivière
0™36
VUE INTÉRIEURE DE L’ÉGLISE DE SAINT-LANDRY, l’époque où
d’une
traversée
droite, sur uu chemin sortant d’un hois, plusieurs person-
un cheval. Plusieurs autres figures
et
l’eau.
0"‘36
représentant nne campagne étendue
nages
123
0”33
janvier), n® 116.
Le jiremier plan
que deux lions entretiennent par un
—
est
occupé par un vaste bassin d'eau limpide
jet qui coule sans cesse.
A
droite,
on monte
à
une
terrasse ]>ar des marches qui descendent jusqu’au fond du bassin, nn temple grec décore celte
terrasse, qui est environnée d’une balustrade.
par de grands arlircs occupent
le
T. 2"’20
1835. Vente
De
vastes [iromenades ombragées
fond de cette belle conqiosilion embellie par des statues.
—
2™30
Comte d’O, ancien gentilhomme de M.
le
duc de Penthièvre,
n® 51.
INTERIEUR DE JARDIN. 11
est alimenté
gauche
Un
par
Celte vaste et belle composition a un bassin sur
le
premier plan.
eanx d’une cascade écumante qui sort d’tnic colonnade, placée à
les
terminée
et
— j)ar
deux statues qui
jettent de l’ean
par des urnes qu’elles tiennent.
bois, planté en allées et coupé d’une large avenue conduisant à
un temple, occupe
le
fond de ce tableau. T. 1835. Vente
2’" 20
—
2 '"30
Comte d’O, ancien gentilhomme de M.
le
duc de Penthièvre,
n® 52.
INTERIEUR DE PARC
offrant aux
yeux une vaste pelouse entourée de grands arbres. On
à gauche, une ruine d’architecture
et
des fragments dispersés sur
le
terrain.
A
voit,
droite,
une statue sur son piédestal. T. 2"’20
1835. Vente
—
2"’30
Comte d’O, ancien gentilhomme de M.
n° 53.
le
duc de Penthièvre,
—
HUBERT ROBERT
124
LTLE DES PEUPLIERS. seau
:
—
Site agreste et
champêtre représentant
le
tombeau de
J. -J.
Rous-
Ermenonville. T. 2™20
—
2"’30
Comte d’O, ancien gentilhomme de M.
1835. Vente
le
duc de Penthièvre,
n° 54.
L’ENFANT PRODIGUE.
—
Grande composition d après Teniers. Le
a fait entreprendre ce sujet, auquel
il
a
talent facile de
Robert
lui
donné un grand développement de fabriques
et
de paysage. 1839. Vente Demidoff, n° 100
TOMBES MONUMENTALES
:
dans un paysage
410 francs.
et
au pied desquelles une
femme
assise reçoit
l'aumône d’un visiteur en manteau. B. 0“43 1841. Vente
PAYSAGE.
—
M.
—
G., n“ 201.
Une grande étendue de pays, des
posent ce
0“32
fabriques, des rivières et des montagnes
com-
joli tableau.
T. Diamètre 0“57 1842. Vente Vicomte d’HARCounx, n° 18
DEUX PENDANTS arbres.
Au
LE JET D’EAU.
:
milieu, statue de
droite et à gauche,
bassin inférieur.
LA CASCADE.
Bassin immense entouré de statues
plan,
et
deux femmes
l’eau
deux laveuses avec un
un enfant qui se promènent.
et
homme
lions.
et
A
retombant en cascade dans un
L’eau tombe du haut de rochers qui se perdent dans
droite, sur le devant,
de grands
deux mains appuyées sur deux
assise les
deux autres lions qui vomissent
Au premier
—
—
femme
70 francs.
:
un enfant.
A
la
vapeur.
— A
gauche, quelques
arbres.
1845. Vente
Comte de Cypieure,
n“®
111-112
:
1,075 francs les deux.
DEUX PENDANTS VUE DU MOULIN DE CIIARENTON, avec figures au premier plan. VUE D’ITALIE. — A gauche, un grand monument avec des voûtes et des escaliers. :
Plusieurs ligures de femmes. 1845. Vente
LA BAIGNEUSE.
Comte DE Cypierre,
— Paysage avec
n“®
113-114
des rochers, une cascade
:
700 francs
et
les
deux.
un ruisseau où se baigne une
femme. 1845. Vente
DEUX VUES
Comte de Cypierre,
n" 115
;
130 francs.
prises dans les jardins d’Ermenonville, dont une représente le tombeau de
Rousseau. 1845.
Vente Prince Tufialkin, n® 02.
J. -J.
CATALOGUE
—
VUE D’UN PALAIS VÉNITIEN. gondoles
et
Il
125
est construit sur des arcades
que baigne
la
mer. Des
bateaux sur l’Adriatique et beaucou[) de figures de toutes parts circulent en
sens divers.
—
T. 1” 1845. Vente Meffre, n” 77
226 francs.
;
VUE DE LA COLONNADE DU LOUVRE
1™45
s’apercevant au
travers
d’une allée d'arbres au
premier plan. 1846. Vente
RICHE PAYSAGE.
—
Brunet-Denon,
Au premier
tableau est composé dans
1846. Vente
INTERIEUR D’UN PARC.
n° 322.
plan, Louis
à cheval, auquel
on présente un plan. Ce
goût de Van der Meulen.
le
Brunet-Denon,
— Au
XIV
n“ 323.
premier plan, une terrasse, une fontaine entre deux grands
escaliers et ])lusieurs personnages,
hommes
femmes. Plus
et
loin, des charmilles et
de
grands arbres. Ovale. 1846. Vente Carrier, n® 120.
DANS UN PAYSAGE.
—
Dans un paysage, une fontaine
à laquelle
un paysan
fait
désaltérer
son cheval. 1846. Vente Saint, n° 38
UN RICHE ESCALIER EN PIERRE figures
d'hommes occupés
conduisant à un parc
:
:
—
—
1853. Vente Dugléré, n“® 79-80
LA CASCADE.
—
:
— En proie
à
290 francs
(Même
les
deux.
sujet sur les deux.) :
82 francs.
une profonde mélancolie, une jeune femme contemple ce monu-
ment ombragé par des arbres centenaires. 1857. Vente
MÊME SUJET
anonyme
(31 janvier), n® 73
(signé et daté 1795).
1884. Vente
en
l'eau.
0“45
1856. Vente Barroilhet, n°® 64-65
LE TOMBEAU.
A TRAVERS DES PORTIQUES
femmes vont puiser de
T. 0^57
—
en avant duquel sont diverses
343 francs.
UN PALAIS EN RUINES.
ruines on aperçoit un bassin où des
DEUX ASSIETTES.
et
à déplacer des orangers.
1846. Vente Saint, n® 39
DEUX PENDANTS
40 francs.
:
Moreau-Chaslon,
n® 35.
:
97 francs.
HUBERT ROBERT
126
SA PALETTE,
avec un autographe de Talma. 1‘®
1857.
vente M. Marcille, u° 475
40 francs
:
à
Michauü.
UN HOMME CONDUISANT UNE VACHE. 1''^
1857.
Vente M. Makcille, n" 476
105 francs à Fleury.
;
PAYSAGE, CLAIR DE LUNE. 1857.
l""®
vente
M. Marcille,
n° 477
31 francs à Febvre.
:
TEMPÊTE AU MILIEU D’UNE GROTTE. 1857. 2® vente M. Marcille, n" 144
PAYSAGE.
— Sur
le
32 francs.
:
premier plan, un pêcheur.
1857. 2® Vente M. Marcille, n° 145
:
97 francs.
LE PASSAGE DU PONT. 1857. 2® Vente
M. Marcille,
n® 146
:
135 francs à Fleury.
LA CHUTE D’EAU. 1857. 2® vente M. Marcille, n° 147
—
RUINES ROMAINES.
Dans un paysage, on
voit
centre et au second plan, l’Arc de Titus ineutale
d’uu orateur romain.
contemplent. sol.
A
Une
:
;
à
272 francs à Fleury.
le
tenijile
de
la
Sibylle,
gauche, sur un jiiédestal,
Deux personnages,
la
arrêtés au iiied de ce
à droite;
au
statue inonu-
monument,
le
foule de ruines, chapiteaux, colonnes, entablements sont épars sur le
gauche, un soldat assis sur ces ruines parle à plusieurs femmes. D’autres ligures
animent encore ce tableau. 1857. Vente D® Benoist, n® 87
RUINES ROMAINES.
— Les
;
179 francs.
ruines du temple de Jupiter Tonnant en occupent
centre, l’Arc de Janus et à droite
la
statue de Marc-Aurèle.
De
la droite.
jolies ligures
Au
animent ce
tableau.
1857.
UNE TUILERIE.
—
D"”
Benoist, n® 88
:
145 francs.
Dans une grande pièce
un échafaudage
éclairée par
1857. Vente D® Benoist, n® 89
PAY.SAGE.
—
:
une fabrique.
et
A
larjuelle
100 francs.
C’est un site accidenté ])ar des rochers
gauche du tableau. eaux calmes
une vaste fenêtre en dehors de
est construit, des ouvriers sont occultés à la fabrication des tuiles.
Un
torrent les traverse et
énormes
rpii
occupent tout
tombe en cascade dans une
limpides se répandent juscpi'à l’avant-scène.
gauche, sur
la
crête du rocher,
iiti
terminent ce tableau. 1857. Vente D® Benoist, n® 90
:
185 francs.
kioscpie.
A
droite, au
Çà
et là
le
centre
et la
rivière dont les
second plan,
de jolies ligures
VILLAGEOIS ET CHASSEURS DANS UNE FORÊT {A M.
le
comte de
la
Bédoyère]
Photographie Moreau frères
,ï
a
CATALOGUE
127
VUE D’UNE PIÈCE D'EAU DANS LE PARC DE VERSAILLES. 1857. Vente
D’’
Biînüist, n° 91
;
60 francs.
VUE PRISE DANS LE PARC DE VERSAILLES. 1863. Vente Soiîet, n® 117
LE PONT.
—
Vue d’un grand pont d'une
s’élève
un château
fort en ruines,
855 francs.
:
seule arche, qui occupe tout
tableau et sur lequel
le
changé en habitation rustique, au-dessus des créneaux
sont plantés des poteaux qui portent une vigne. Sur
le
pont, dont
parapet de pierre est
le
à moitié détruit et remplacé par des solives, on voit passer une vache,
et
dessous des
blanchisseuses lavent et étendent leur linge. 1857. Vente Maréchale duchesse de Raguse, n® 42
LA FONTAINE.
—
en ruines;
Un la
joli
paysage vivement éclaire du
droite du tableau
laquelle une laveuse
un paquet sous
le
trempe son
bras.
Au
est
A
soleil.
gauche, s’élève un monument
occupée par une fontaine en forme de fronton, à
linge.
Une
loin s’étend une
femme
autre
campagne
se dirige vers la fontaine avec
à perte de vue.
1857. Vente Maréchale duchesse de Raguse, n® 43
LE MANOIR
(pendant du précèdent).
—
350 francs.
:
322
:
fr.
50.
Vue d’un vieux château délabré, avec
terrasse a
lienne et balustrades, et dont le perron est garni de vases de fleurs. Sur
gentilhomme du temps de Louis groupées sur
la
première marche.
XV monte un A droite, par
le
l
ita-
devant, un
escalier de jardin et salue trois
dames
une porte de parc en claire-voie, entre
une fermière à cheval conduisant des moutons. 1857. Vente Maréchale duchesse de Raguse, n« 44
LA DANSE.
—
hommes
Dans un parc ombragé de hautes et
322
:
futaies et orné de
fr.
50.
statues
cinq personnes,
femmes, dansent en rond.
1857. Vente Maréchale duchesse de Raguse, n® 45
180 francs.
:
VUE SOUTERRAINE DANS LA VILLA MACENATE A RIVOLI. 1857. Vente
anonyme
(29 octobre), n® 59
:
100 francs.
DEUX PENDANTS VUE DE L’ARC DE CONSTANTIN ET DU COLISÉE DE ROME. VUE DES RUINES DU TEMPLE DE LA VICTOIRE. :
1857. Vente A. (26 novembre), n®® 23-24
LE ClIARLiVTAN.
—
Au
j>ied
;
310 francs
les
slatiu's
tronquées gisent
Assis sur ces ruines, un charlatan velu en pulciiiello chante tout en 11
est entouré de j>aysans.
1858.
deux.
de colonnes grec(pies qui sujqioiient encore un reste d entable-
ment, une multitude de débris, b.is-reliefs, chapiteaux,
guitare.
—
Vente Comtesse de B... (24 mars), n® 35.
s
à terre.
accom|)agnant de sa
HUBERT ROBERT
128
L’ATELIER DE L’ARTISTE.
—
1859. 2« Vente
GALERIE DU LOUVRE EN
Plusieurs amateurs examinent des dessins posés sur une table.
Comte de Houdetot,
1770.
_
0m47
0“57
1860. Vente Barroilhet, n° 125
LE BAIN.
—
du
n“ 120.
600 francs.
:
Près d’une source qui s’échappe d’une ruine des jeunes
se livrent au plaisir
filles
bain.
1859. 2® vente
Comte de Houdetot,
n° 124.
LES BAIGNEUSES. 1860. Vente Barroilhet, n“ 126
VUE D’UN PARC DESSINE A L’ANGLAISE 1860. Vente
DEUX PENDANTS fait
son
lit;
chien couché
Madame
LE MATIN.
:
traitée à la
D..., n° 44
—
155 francs.
:
Dans un
:
manière des paysages de Fragonard.
100 francs.
femme, vue de dos,
intérieur rustique une jeune
près d’une fontaine deux petits enfants accroupis s’amusent. ;
en haut, sur un madrier de
occupée près de
cheminée.
la
—
la toiture,
—
INTERIEUR DE RUINES.
installés à table près d’une grosse colonne, reste d’un vaste édifice.
accoudé à une chaise
et
une femme verse
A
à boire.
Au
deux pigeons.
En
avant,
fond, une
Deux paysans
Un
autre
un
femme sont
homme
gauche, une fenêtre ouverte
;
est
en
avant, les degrés d’un escalier.
T. Diamètre 0“56
1861. Vente
LE COLIN-MAILLARD.
—
Leroy d’Etiolles,
n°®
98-99
340 francs
les
Dans un parc sont réunis des gentilshommes
ment parées. Charmante composition de dix-sept 1865. Vente
:
Eugène Tondu,
209
n®
;
deux.
et
des dames élégam-
figures.
510 francs.
PERSONNAGES REGARDANT LA STATUE DE MERCURE AU JARDIN DES TUILERIES. 1865. Vente
Eugène Tondu,
n° 210.
SON PORTRAIT EN BUSTE. 1865. Vente Eu(;ùne Tondu, n® 215.
— Figure de grandeur naturelle; de main gauche daté 1782.) figurines. — (Signé 0"‘70 — 0"'56
FEMME AGGOUDI^E SUR UN BALGON. elle lient
une
(leur.
Fond de parc avec T.
la
trois
1865. Vente M. Meffre, n® 68
:
109 francs.
et
CATALOGUE RUINES UE L’ANCIENNE ROME.
—
129
La colonne Trajane
ruines du Colisée se voient
et les
au second plan près d’une rivière au bord de laquelle est un lavoir. Sur l’autre rive, au
premier plan, gisent à terre des fragments d’entablements
et
de colonnes. De nombreuses
figures de laveuses ornent cette importante composition.
—
T. 2'«66 1860. Vente Boittelle, n° 105
RUINES ROMAINES.
—
2^07 1,400 francs.
:
La façade du Panthéon, un obélisque, une
statue sur un
autel, des
débris d’architecture et une fontaine dans laquelle des personnages puisent de l’eau.
—
T. 2'nl7
1806. Vente Boittelle, n® 100
L’ERMITE.
— Un religieux
1“16 480 francs.
:
son ermitage dans
a établi
dans un vaste bassin de pierre qui
les ruines
femmes, enfants, sont plongés dans un profond sommeil. T. (ovale) 0™62 1860. Vente Boittelle, n° 107
MÊME SUJET
LES CRUCHES CASSÉES. une grosse
—
Hulot,
n“
Des jeunes
[lierre est écrit
et
monté
hommes,
daté 1792.)
le
n“ 108.
116
—
le
pendant.
0“80
1,400 francs, avec
:
viennent emplir leurs cruches à une fontaine
filles
le jet
d’eau, brise leur vase.
la
cruche à
l’eau...
Cette scène se passe sur une place entourée de
daté 1788.) T. (ovale) 0"'02 1806. Vente Boittelle, n“ 108
—
monuments en ruine
(Signé à gauche
0‘"79
1,320 francs avec
:
—
.
le
n“ 107.
(Signé et daté 1798).
1892. Vente A. Hulot, n" 110
:
1,400 francs avec
le
même
pendant.
Des maisons placées au bord d'un grand cours d’eau sont en llammes. 0'>>63
1860. Vente
Sur
:
Tant va
—
— (Signé à droite
est
— 0™79
monumentale, mais un jeune homme, en leur disputant
INCENDIE.
il
tous,
(signé et daté 1798).
1892. Vente A.
MÊME SUJET
prêcher, mais
1,320 francs avec
:
T. (ovale) 0‘"08
et
d’un ancien temple,
sert de chaire à
lui
—
Comte de Suleau,
0“'50 n® 194
:
8 francs.
SUZANNE AU BAIN ET LES DEUX VIEILLARDS. B. 0‘“32
—
0"'25
1807. Vente Boittelle, n® 173. n
HUBERT ROBERT
130
DEUX PENDANTS le
:
—
Au bord
fût
de colonne renversé; près
RUINE D’UNE ARÈNE CIRCULAIRE.
premier plan, deux personnages se reposent sur un
d’une source, sur
— INTÉRIEUR D’UNE — Elle est animée de nombreuses figures. —
d’eux un gros chien couché. Plus loin, groupe de laveuses.
ANCIENNE PISCINE A COLONNADE. (Signés et datés 1796.)
Théodore de Villenave,
1868. Vente
—
CATACOMBES DE ROME.
n“®
30-31.
Dans un monument souterrain où
escalier plusieurs personnages se prosternent devant
Rome
descend par un immense
l’on
un mausolée.
—
(
Signé et daté
1765.) (Ovale)
1868. Vente
Théodore de Villenave,
n° 23.
DEUX PENDANTS COLONNADE D’UN TEMPLE EN RUINE. DOMINANT UNE VALLÉE. :
T. (ovale) 0“91
—
—
TERRASSE DE PARC
0“70
1868. Vente B. Narischkine, n°® 62-63.
TOMBEAUX A ROME.
—
On
premier plan, une statue de
voit, sur le
la
Vierge
et
de l’Enfant
Jésus.
T. 0“51
—
0“37
1868. Vente Carrier, n“ 47.
DEUX PENDANTS
:
—
UN TEMPLE.
temple à colonnes devant lequel se consomme un figures.
Dans
le
—
UN GRAND ESCALIER. sacrifice.
Dans
le
premier, un
Autour, un grand nombre de
second, un grand escalier montant entre deux terrasses bordées de
niches avec statues. Orné de figures.
B. Diamètre 0“‘14 1868. Vente
INTÉRIEUR RUSTIQUE.
—
anonyme
(23
novembre),
n“®
49-50.
Dans une chambre voûtée, une mère de
A
famille et ses enfants.
gauche, une porte ouverte, à côté un dressoir où sont des ustensiles de cuisine. Dans fond, un
lit
à
grands rideaux rouges; à droite, une échelle
et
un cuvier sur lequel
le
est
posé un drap. T. 0'"24 1868. Vente
SIX
anonyme
GRANDS PANNEAUX
—
0“32
(23 novembre), n“ 51.
:
PAYSAGE AVEC MONUMENTS ANTIQUES ET FONTAINES. antique à colonnes, un grand escalier dans
gauche de
l’escalier, les célèbres
le
—
A
gauche, un
haut duquel plusieurs figures.
A
temple
droite et à
chevaux de Monte Cavallo, attribués, l’un à Phidias,
LE JEU DU GOLIN-MAILLARD (Musée d' Amiens)
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CATALOGUE l’autre à Praxitèle.
parmi
Sur
131
on
l’un des piédestaux
lit
d’où sort une eau jaillissante.
Dans
le
et
Au premier
Praxitelli.
un chien.
A
plan,
une fontaine
droite,
coin du tableau, un arbre au tronc noueux, couvert
de plantes grimpantes. Fond avec arbres T. 2“90
VILLA ITALIENNE
Opus
:
fragments de monuments, deux guerriers
les
et balustrades.
—
2‘"45
ornée de fontaines, d’escaliers, de terrasses
de statues.
et
A
gauche, des
arbres d'un ton vigoureux contre lesquels est appuyée une échelle. Des enfants cherchent à détacher
un cerf-volant accroché
femme portant loin,
une des branches. Vers
à
sur sa tête une corbeille
et suivie
un seigneur en habit marron, chapeau
d’un enfant
le
piédestal de laquelle on
lit
:
H. Robert, P.
in.
arbres; au second plan, des terrasses avec escaliers troisième plan, des jets d’eau.
Des arcades T. 2”90
piédestal un vase en granit rouge.
Au
bergère, une autre bergère joue de
Un peu
plus
et
Un
peu sur
la droite,
ad. oivum, an. 1113.
A
une statue droite, des
Au
fontaines où sont des laveuses.
se détachent sur des arbres bleuâtres.
—
PAYSAGE AVEC MONUMENTS EN RUINE.
milieu du tableau, une
d’un chien.
main, accompagne deux dames, l’une en
à la
blanc, l’autre en rose, une petite fdle joue avec un griffon.
sur
le
et
2”45
—
A
gauche, les restes d’un palais, sur son
milieu, trois figures;
la flûte.
Au second
un berger
plan,
invite à
un berger
et
danser une
une bergère
— (Figures par François Boucher.) 2^90 — 1"‘53
dansent au milieu de leur troupeau. T.
— Au premier plan,
PAYSAGE AVEC DES MONUMENTS EN RUINES. et
des fragments de monuments.
une femme assise
tient
A
gauche, un arbre.
sur ses genoux un enfant.
main, suit un troupeau de bœufs et de moutons. dirigent vers une pyramide.
Un
campagne
;
jeune
homme
et
—
A
gauche, un temple
une jeune femme se disposent à
—A
et
faire
A
un arbre
demi la
une statue,
droite, le
à
un repas dans
fond,
droite, les restes d’un palais.
deux bergères, l’une tenant dans ses bras un enfant,
Un
la
les restes
— (Figures par François Boucher.} T. 2“’90 — 1“53
PAYSAGE AVEC MONUMENTS EN RUINES. houlette.
bergère, sa houlette à
un guerrier assis sur un fragment de colonne. Dans
d’aqueducs romains.
un temple
second plan, deux hommes se
une j^aysanne apporte un panier rempli de provisions.
au-dessous,
plan,
Une jeune
Au
à droite,
milieu, une statue. Au-dessous,
— (Figures par François Boucher.) T. 2“90 — P"53
PAYSAGE AVEC MONUMENTS EN RUINES. renversé.
Au
enfant porte une besace et un bâton.
l’autre tenant
Au second
plan,
Au premier
un panier
et
une
un arc de triomphe en
HUBERT ROBERT
132
un berger, une femme sur un cheval, suivie d’un troupeau de moutons.
ruines,
—
(Figures par François Boucher.)
—
T. 2"'90
anonyme
1868. Vente
1“53
mars), n°s 50, 51, 52, 53, 54, 55
(9
20,000 francs
:
les six.
DU CHATEAU DE VILLEMEREUIL (AUBE). VAMIRAL LEGENDRE, ÉTAIT L‘AMI DE HUBERT
SUITE DE ONZE TABLEAUX PBOVENANT
DONT LE
PROPBIliTAlRE.
ROBERT. 1868. Vente
UN TEMPLE. On y
—
occupe
Il
arrive par
anonyme du
la
15 mars.
gauche du tableau, son architecture rappelle
celle
un escalier monumental décoré de chevaux de marbre.
arbres et une fontaine; dans
du Panthéon.
A
droite, des
fond, une balustrade en pierre, au centre de laquelle est
le
Un
une porte ornée de lions antiques, donnant dans un parc.
jeune homme, appuyé
sur une pierre, cause avec deux femmes, dont une porte une corbeille de fleurs.
un enfant
homme lier
ell'rayé
A
par un chien. D’autres personnages animent cette composition
est assis sur
un fragment d’architecture, une femme
et
un enfant montent
côté, :
un
l’esca-
du temple.
—
T. 3“ 15
N°
1
:
2,200 francs.
RUINES DE L’ANCIENNE ROME.
—
A
peu de distance d’une petite chapelle
et
de solides
murailles soutenant les terrasses d’une villa, plantées d’arbres et d’arbustes, s’élèvent les
colonnes d’un temple supportant un reste d’entablement.
masses de construction sur lesquelles duquel serpente une vigne. brisés.
Ce tableau
est
Au premier
Un
des chapiteaux
—
2*"95
2,000 francs.
VUE PRISE AUX ENVIRONS DE rochers.
plan, des colonnes tronquées,
le feu.
T. 3™ 15 ;
escalier, faisant partie des
orné de différents personnages, dont quelques-uns soignent une
marmite tenue par un trépied sur
N” 2
Un
est assis, conduit à ce temple, entre les colonnes
il
TIVOLI.
—
Le premier plan
est
occupé par des blocs de
d’entre ceux de gauche s’avance jusqu’au centre du tableau, formant une
large route qui n’intcrrom])t pas la vue principale et lui sert de repoussoir. offre
d’énormes rochers desquels part une cascade.
Plusieurs figures ajustées dans
le
T. 3"'15 :
1,550 francs.
temple de
la
Sibylle les surmonte.
sentiment des brigands de Salvator Rosa occupent
jireuiier plan
N" 3
Un
Cette vue
—
3“88
le
CATALOGUE
—
UN ESCALIER.
à
une terrasse servant probablement de promenade
Pour y arriver, premières marches forment, au second plan, un vaste perron meublé d’une fontaine
publique. Escalier les
monte
est très élevé et
11
133
adossée à
terrasse sont ornés de sculptures, statues et lion.
et
Dans
la muraille.
le
fond, on aperçoit de spacieuses galeries couvertes. .Sur le
premier plan, un herrnès du dieu Priape ombragé par un grand arbre. Tableau orné de
nombreuses figures; l’eau.
Sur
à la fontaine,
une femme lave du linge, un enfant vient y puiser de est accoudé à un fragment d’obélisque. Une femme
premier plan, un paysan
le
ayant un enfant sur
le
Un pauvre homme,
s’appuyant contre
bras
et
tenant un autre par
Ce
tableau nous montre
versant l'un sur l’autre. Les eaux
Un pont
impraticable.
—
in)S
croisement de deux atpieducs en ruines tra-
le
perdent, tombant en chute, rendent
(pi’ils
supérieure d’un des arceaux du monument.
Une
le
—
—
Les pilastres
arrive par un escalier, qu’une
un arbre. T. 3“'15
N“ 0
LE LAVOIR.
—
:
le
une
vieille
Au premier
—
plan
fond de verdure.
tenant un enfant et
à
On y
j>ar la
main
gauche du tableau, des
0'"50
se voit
une construction rustique, près de
porte en planche. C’est un puits l’un
dans
l’autre.
({ui
domine deux bassins en
Une femme
placée près du puits
premier bassin, dans lequel un petit garçon lave du linge. Une autre femme
un enfant sont assis chiens occiq)ent
le
à terre ])rès
du second. Des pierres, un baquet, un tonneau
7
:
villa,
—
tion à un vieillard et à
Dans un paysage
un bas-relief
0"'95
boisé, qui laisse
est appliqué.
deux femmes, dont l’une T.
;
—
apercevoir au loin par une
on voit, au pied d’un sapin, un tombeau antitpie surmonté d’un vase
brisé et contre lequel
N“ 8
et
deux
810 francs.
PAYSAGE ET FIGURES. une
et
premier plan. T. 3™15
N“
éclaircie
]>a(piet et
430 francs.
maçonnerie déversant leurs eaux emplit
sur un
se détachent
Dans une campagne accidentée
laquelle est
femme conduisant une vache,
l'"34
femme portant un
se dispose à monter, suivie de son chien. et
femme voit Une femme qui, sur
700 francs.
PETITE PORTE DE PARC.
roseaux
partie
devant de ce tableau. T, d-nS
:
la
passerelle, sur lacjuelle une
un cheval blanc, prend un enfant des mains d’une seconde traverse à gué
passage
le
de bois, sur lequel chemine tm paysan, est ajusté dans
avec terreur son enfant engagé, est également jetée sur desrocliers.
N“ 5
marches du perron.
1,725 francs.
;
—
DES AQUEDUCS.
les
muraille, descend péniblement l’escalier.
la
T. 3‘"15
N“ 4
main monte
la
700 francs.
3'" 15
—
0"'92
Une jeune femme
tient
en donne l’explica-
dans ses bras un enfant.
—
HUBERT ROBERT
134
CHUTE D’EAU.
—
Au
pied d’une grande montagne formée de rochers escarpés, une chute d’eau
Une
se précipite et roule sur le roc.
deux petites
femme; sur
villa et
les terrasses
du premier plan, une femme T. 3”15
N° 9
une tour en ruines, près de laquelle se voient
homme
couronnent des rochers escarpés. Plus has, un
figures,
et
un enfant assis à
— 1™Q2
—
Dans un rond-point de charmilles formant berceau
près d’un
et
d’eau s’élançant du centre d’un bassin se voit un gentilhomme saluant une fille.
une
700 francs.
:
INTERIEUR DE PARC. jeune
et
terre.
Au premier
une dame
plan,
et
dame
et
jet
une
un enfant sont arrêtés près d’une statue
ombragée par un massif de verdure que domine un arbre mort.
—
T.
N“ 10
PAYSAGE.
—
:
0“94
810 francs.
Au premier
plan, une
femme
aperçoit un groupe de personnages.
un enfant montent une route au haut de laquelle on
et
Une
chute d’eau au second plan et à gauche un vieil
arbre à moitié mort. T. 1>"05
N“ 11 (Ce dernier n° 59
PAYSAGE.
;
—
l-"74
330 francs.
numéro
11 repasse seul en 1869, vente J.
W.
G. D., Esquire, de Londres,
du Catalogue.)
—
s’élève
A
la
base d’un
monument en
ruines que l’on voit à gauche et au centre duquel
un groupe d arbres, un berger joue avec une chèvre.
A
droite, des
pêcheurs sont
occupés au bord d’une rivière. T. 0”74 1869. Vente
— Un — (Signé
DEUX PENDANTS. les
yeux.
anonyme
—
0“94
(18 janvier), n“ 68.
dessinateur reproduit sur
papier les belles ruines qu
le
T. 1"'98
—
a devant
1“23
Scène animée au milieu de ruines splendides s’ouvrant au fond sur un beau (
il
et daté.)
ciel bleu.
—
Signé et daté.)
T. 1™98
—
1“23
1869. Veille Bigillon (de Grenoble), n®® 112, 113.
INTERIEUR D'UN PARC. sur
le
devant, des
Au
femmes
ceulrc, lavcnl
iiu
du
bassin avec
d eau entouré d’arbres
linge.
B. 0'"36 1870.
jet
—
0"’4O
Vente Maim.et du Boui.i.ay, u" 15
:
2,005 francs.
et
de statues;
ESCALIER Dâ&#x20AC;&#x2122;UNE VILLA ROMAINE (Collection Camille Groult)
f
'I
ï
\
CATALOGUE
135
— Un escalier gigantesque monte vers une terrasse très élevée
VILLA ITALIENNE.
et
couronnée
à l’une de ses extrémités par un pavillon. Des fontaines, des cascades ornent les voûtes de
aperçoit au fond, à droite, un temple et tout près de grands arbres.
On
cette construction.
Quelques figures animent ce tableau. T. 2"’40
San Donato,
1870. Vente
—
LE MOULIN DE CHARENTON. rivière;
n“ 130
:
2“ 2,500 francs au marquis OE Trévise.
Un grand moulin
est entouré d’arbres touffus.
il
femmes qui lavent du
—
A
fait
bouillonner les eaux d'une petite
gauche, une tour ruinée. Des pêcheurs
et
des
linge.
T. 2"'40
1870. Vente San
Donato,
—
n“ 131
:
2“ 4,700 francs au marquis de Trévise.
SUITE DE QUATRE PANNEAUX PROVENANT DE L'HOTEL DE LA VRILLIÈRE.
—
LE JET D’EAU.
Au
de balustrades qui
milieu des grands arbres d’un parc s’élève une terrasse de pierres ornée
et
de statues
se perd dans
les
et
entourant une pièce d’eau d’où s’échappe un jet immense
nuages.
De grandes nappes
d’eau coulent dans un bassin au
premier plan. Tableau orné de quelques figures. 1">90
LE TEMPLE. bas,
—
le
Un
l‘"39
temple en ruine se détache sur
rocher
voûte
fait
passent des figures
et
LE PONT DE BOIS.
—
Un
le ciel
au
sommet de rochers escarpés. Au
passage à un chemin bordant une rivière
et livre
et
sur lequel
des animaux.
1“90
l’une est
—
—
l’^dO
pont de bois jeté sur un torrent
couronnée d’un château
montagnes, quelques figures
et
fort et l’autre
deux masses de rochers, dont
relie
de grands arbres.
des animaux traversent
le
Au
fond, horizon de
pont; au bas, des pêcheurs
tirent leurs filets.
1“90
LA CASCADE.
—
Un
—
1“39
vieux château orné de tours occupe
sort un torrent roulant en cascade.
sur un chemin qui borde
le
sommet d’immenses rochers, d’où
Des hommes conduisant des mulets chargés passent
le torrent.
1™90
—
1“39
1870. Vente Jacques Reiset, n°® 24, 25, 26, 27
;
3,000 francs.
SUITE DE QUATRE PANNEAUX PROVENANT DE L’HOTEL DE LA VRILLIÈRE.
LA TERRE.
—
terrain.
Des rochers entassés
les
uns sur
les autres et
au bas desquels s’ouvre un sou-
HUBERT ROBERT
136
L’AIR.
—
Un grand
arbre ballu par
vent
le
et
dans lequel
s'est
accroché un cerf-volant.
— Un coin de façade d'une maison qu’un incendie commence L’EAU. — Une immense cascade tombant du haut de rochers escarpés. 1”98 — 0‘"37
LE FEU.
la
1870. 'Vente Jacques Reiset, n°® 28, 29, 30, 31
—
RUINES D’UN TEMPLE GREC.
:
à dévorer.
3,700 francs.
Tableau animé d'un grand nombre de figures.
—
0™46
0™65
Vente Radziwill. 1870. Vente Jacques Reiset, n° 32
LA PIEGE D'EAU.
—
Un immense
jet
1,000 francs.
:
d’eau sort d'un bassin situé au bas d'une terrasse, dans
un parc, au milieu de charmilles ornées de fontaines
Au
d'arbres est construit un petit pavillon.
des fontaines. T.
1872. Vente de feu
—
1“>63
Madame
et
de statues. Sur
la
terrasse plantée
premier plan, des figures autour du bassin et
1“08
comtesse de Montesquiou-Fezensac, n° 9
la
:
2,780 francs.
DES FEMMES
sont venues puiser de l’eau et laver à une fontaine antique ornée d’une grande
vasque. T. (ovale dans un carré) 1“35
1872. Vente de feu
Madame
—
If"
comtesse de Montesquiou-Fezensac, n® 10
la
:
2,500 francs.
INTbiRlEUR DE PARC.
—
Au
milieu, une
femmes lavent du
autour, des
s’élèvent de grands arbres.
avec
déversant l’eau dans un grand bassin
fontaine
En
face,
un grand
jet d'eau.
T. 0”54
—
escalier conduisant
:
se déverse
beau
et
1872. Vente E. Vincent, n° 26
SUITI'
TEMPLE
à colonnes et
LE TORRENT.
—
(Signé
If.
:
0'“38
1,000
fi-ancs.
(Signé Robert. 1TJ6.) 1”!)5
—
—
—
P°21
—
I"’21
Robert, llVG.j l'"95
allée
touffue,
Des femmes lavent du linge dans
DE QUATRE PEINTURES DÉCORATIVES
pyramide.
•
—
l'étendent sur une corde.
T. 0“4G
une
2,310 francs.
FONTAINE SURMONTÉE D’UNE STATUE ANTIQUE. oi'i
à
0“44
1872. Vente Étienne Arago, n° 40
un bassin
;
linge, sur les côtés, des terrasses, au-dessus desquelles
CATALOGUE LA BALANÇOIRE. VILLAGEOIS A LA FONTAINE. 1“95
—
i“2i
—
i™15
137
1873. Vente Vicomte (I’Anchald, n®® 27, 28, 29, 30
5,350 francs.
:
— Le Temple 4,300 Vente Oppenheim, n® 81 (La Balançoire — La Fontaine 3,500 Vente Oppenheim, n® 81 (Le Torrent
francs).
:
:
DESSINANT LE PONT RUSTIQUE DU PARC DU MARQUIS DE LABORDE.
L’yVRTISTE
—
Il
est installé au
personnages
bord d’un
lac,
regardent. Devant
le
dans lequel une cascade déverse ses eaux. Quelques lui,
hardiment
Au
des rochers, est un grand pont rustique. château, dont
le
au-dessus du lac
jeté
—
plan est un lac fermé par une cascade, qui occupe
—
Au premier
centre du tableau et au-dessus de
le
un pont rustique qui s’appuie sur des rochers. Des promeneurs circulent
sous des peupliers qui sont de chaque côté du
Sur
lac.
—
T. 0”G3
et à
gauche
le
haut
château.
0™80
1873. Vente Marquis de Larochebusseau, n° 138
Un
En
plusieurs barques.
le lac,
du parc, quelques constructions, une colonne au centre,
—
chapelle du
2,050 francs.
:
VUE GÉNÉRALE DES JARDINS DE M. LE MARQUIS DE LABORDE.
LE PRESBYTÈRE.
la
O-^SO
1873. Vente Marquis de Larochebusseau, n° 137
laquelle est jeté
s’appuyant sur
et
fond du parc, on aperçoit
clocher surgit parmi les arbres.
T. 0'"63
:
1,650 francs.
temple en ruine surmonté d’un clocher, à
la fenêtre
duquel on aper-
un moine; au bas, un cours d’eau dans lequel se baigne une jeune femme, tandis
çoit
qu'une autre y lave du linge. T. 0“80 1873. Vente R. Papin, n® 79
MONUMENTS EN RUINES,
:
1873. Vente
—
vers
le
—
o^^es
1,400 francs.
avec tombeaux et figures au premier plan. T. 0"’41
PAYSAGE.
francs).
anonyme
—
(Signé Robert.)
0”33
(29 janvier), n° 24
EFFET DE CLAIR DE LUNE.
—
—
Sur
:
le
225 francs. devant, l’arche d’un pont en ruine;
fond, un incendie dont la lumière se reflète dans la rivière et éclaire une partie du
paysage. Cuivre. 0“33 1873. Vente
DEUX PENDANTS
:
anonyme
—
0“49
(29 janvier), n® 25
HOMÈRE CHANTANT
:
L’ILIADE.
45 francs.
—
sur un fût de colonne, au pied d’une statue de Diane,
Près d’un temple antique, assis
Homère s’accompagnant de
Plusieurs personnages divisés en deux groupes l’écoutent. T, 0”78
—
0“65
la lyre.
HUBERT ROBERT
138
PERSONNAGES VISITANT DES MONUMENTS EN RUINES.
— Au premier plan, un
phi-
losophe, accompagné de divers personnages, semble leur donner des explications sur les
monuments qui
les entourent.
—
T. 0“80
0“64
Madame veuve Lenoir,
1874. Vente
n“’ 29, 30.
—
MONUMENTS EN RUINES, AVEC PONT.
Au centre d’une vaste composition s’élève un temple en ruine, à l’intérieur duquel on voit encore une statue. Le péristyle est orné de quatre colonnes grecques. Sur
A
lions en bronze.
dont
un des côtés
un escalier monumental orné de
se trouve
formé de traverses en bois
le tablier est
hommes
l
gauche, en face du péristyle, un pont de pierre à moitié démoli à l’entrée
;
et
du pont, deux colonnes. Des
des femmes sont en train de regarder. Par l’ouverture de l’arche on aperçoit
et
des montagnes, des arbres et un large fleuve, sur les liords duquel se tiennent des pêcheurs à la ligne et
des laveuses;
l
une d’entre
étend du linge auprès d’une statue, une autre
elles
entretient un feu sur lequel est une grande chaudière.
—
T. 2™70
— (Signé à gauche 3,500 francs.
:
FONTAINE MONUMENTALE EN RUINES AU BORD D’UN LAC. environné de hautes montagnes
daté 1796.)
4"'55
1875. Vente Comtesse Koucheleff, n“ 25
lac
et
—
A
gauche, près d’un
dont les bords sont plantés d arbres, s’élèvent des
et
ruines d’une fontaine monumentale ornée de colonnes grecques entourant une niche qui contient une statue en bronze représentant une l’eau s’écha])pe.
Au
nymphe debout
et
pied de cette statue, dans une large vascpie, une
une vache, un âne
portant des urnes d’où
femme puise de
un troupeau de moutons conduits par deux femmes, dont une
et
un enfant, viennent se désaltérer. Appuyé sur un obélisque brise, un bâton
et
acconq^agné de son chien
avance, un
homme
garde des bœufs
sur un socle de pierre
retenant un cheval.
Au
ombragé
rivière conduit à
un
Un
tciu|)le
droite,
homme accoudé
sur une
femme
assise et un jeune
— (Signé à droite Hubert Robert T. 2“70 — 4“55 —
A
homme
1875. Vente Comtesse Koucheleff, n” 26
LE TEMPLE DE L’AMOUR.
tenant un
de grands arbres, un groupe formé par un
bas, une jeune
colonne qui gît à terre.
homme
tient
centre, sur une [)ointe de terre qui
une femme se dispose à remplir des vases.
et
j)ar
Au
regarde.
les
l’eau;
magnifupie pont de
:
et
daté 1706.)
3,700 francs.
piei’re
en i-olonde près duquel
orné de cariatides jeté sur une
jaillit
une fontaine monumentale.
Plusieurs figures très élégantes animent cette composition. T. 1“’02 1875. Vente
PAYSAGE.
—
iV
droite
et
pèche nu liomine.
â
A
Couvreur,
264
:
gauche, nu
0"'80
1,580 francs.
gauche, des rochers.
d’.
187().
n"
—
Au
|)remier plan, un cours d eau dans lequel
cliii'ii.
(ovale) 0'"95
Vente Camille Maiicille,
—
0'"72
n" 59
:
365 IVancs.
(A-
ÇC
w U <M fX c/3
W G W •K
G G <
r
"
รป;-.
frV'yrtri
t
)
% >
J
J
CATALOGUE DEUX PANNEAUX DECORATIFS cascade au premier
faisant
139
—
pendants.
1°
Rochers
et
chute d’eau coulant en
deux femmes
plan; 2° Oljélisquc au pied diupiel
et
un enfant causent
avec un vieillard assis sur un fragment de corniche brisée.
—
T. 2™90 1877. Vente Oppenheim, n° 82
liE
TEMPLE CIRCULAIRE.
—
A
1"*
4,000 francs les doux.
:
sur un massif do verdure, arbustes
droite,
pied de
la statue,
une jeune mère assise
un étang, où baignent,
ligne dans
colonnes, sur
l’iin
desquels un
à
allaite
demi submergés, un chapiteau
homme
peupliers
et
femme drapée posée sur un piédestal Au son enfant, une autre femme pêche à la
agités par lovent, se détache une statue antique,
Au
est étendu.
second
iilan, à
et
plusieurs fûts de
gauche, sur un amas
de rocs, s’élève un tem[)le circulaire entouré de colonnes aux chapiteaux corinthiens. Près
du
tenq:)lc, trois
femmes, deux debout,
l’autre assise.
—
T. 0"'62
—
LA FONTAINE.
— (Siÿne JL
liobert.
P. anno 1780.
0“80
Trois femmes viennent emplir leurs amphores à un bassin qui reçoit l’eau
d’une borne ornée d’un mascaron antique. Derrière
elles
se dressent en
enlilade et
formant angle droit, de hautes colonnes d ordre dori(juc, seuls restes d un temple grec de vaste proportion.
homme accoudé Des
A
gauche, parmi
délnûs d'architecture qui gisent sur
les
—
T. 0”62
Comte D’iMÉcouitT,
1877. Vente
LOUIS XVII AU TEMPLE.
—
Simon,
éclairée par une chandelle plantée dans
Robert.)
//.
un
0m2G
masquent
l'horizon.
0"’80
3
n”® 2,
:
2,100 francs
les
deux.
d'un l)onnct fourré, les jaml>es enveloppées ihms
coitfé
une couverture, est assis en face de Louis
:
sol,
sur un chapiteau contenq)le une statue mutilée encore sur son piédestal.
collines boisées d’où s’échappe une chute d’eau
terre
le
le
—
XMI
et
le fait
jouer aux cartes. Cette scène est
goulot d'une bouteille.
— {Signé sur
nu pot en
0'"40
1879. Vente Laperlier, n® 43.
LE PONT RUSTIQUE.
— Paysage avec
figures, peint sur
une assiette de
la
prison Saint-Lazare.
D. 0“18
LE MOULIN.
—
Paysage avec
figures,
peint sur une assiette
de
la
prison Saint-Lazare.
—
(Signé à droite.)
D. 1880. Vente
—
LA CAVEPiNE. par un
vif
enfants.
Walferdin,
La voûte, cllbndrée au rayon de
soleil.
Sur
O"' 18
n“® 153,
154
:
385 francs
les
deux.
centre, est entourée de plantes grinqiantes éclairées
les côtés,
— (Esquisse.) T. 0™33
des soldats.
—
0'"39
1880. Succession Walferdin, n“ 25.
Au
milieu, une fciinne
et
ses deux
HUBERT ROBERT
140
—
ARCHE DE PONT.
Sur
Sur
désaltèrent.
le
devant, des
femmes lavent du
des escaliers; dans
le côté,
le
un troupeau de moutons
linge,
se
fond, un temple, et une fumée épaisse
indiquant un incendie. T. 0“23 1880. Succession
INCENDIE DE L’HOTEL-DIEU
Walpeudin, dans
—
0”31
n° 26.
du 29 au 30 décembre 1772.
la nuit
T. 1“40
—
— (Signé.)
1“10
1880. Vente Baron Pichon, n“ 6. 1897. Vente
un
n“ 1323
:
950 francs.
— Dans un parc, au milieu d’un vaste bassin entouré d’une balustrade de pierre,
LE JET D’EAU. jaillit
Baron Pichon,
Tout autour du bassin, des berceaux de verdure, des charmilles, des
jet d'eau.
treillages, des statues.
A
gauche, une jeune
un
statue et
et
des enfants sont groupés au
garçon joue avec un grand roseau.
petit
un oranger; au milieu, un jardinier
fille taille
apporte des arrosoirs; à droite, des femmes
— (Signé sur
le
jiied
d’une
socle de la statue et
date' 1113.)
T. 0-"72
—
0“94
1881. Vente Baron de Beurnonville, n® 163 1892. Vente
Comte Daupias,
INTERIEUR D’UN MONUMENT. et
—
Sous
n® 51
la
:
19,000 francs.
voûte élevée d'un édifice italien orné de statues
de colonnes, des personnages montent
les
degrés d’un large perron. D'autres se
reposent en examinant des détails d’architecture. ciiilrée
donne sur
la
En
—
0”30
1881. Vente Baron de Beurnonville, n“ 164 1892. Vente
—
Une
haut de l’escalier, une vaste baie
campagne. T. 0">40
LES RUINES.
5,600 francs.
;
Comte Daupias,
n° 51
;
:
710 francs.
19,000 francs.
statue décore une niebe pratiquée dans la paroi intérieure d’une arche en
pierre de grande proportion.
Deux personnages
se reposent parmi les débris de
ment portant des inscriptions auprès d’une corniche renversée sur
le
sol.
Au
monu-
fond,
la
façade à fronton d'une église surmontée d’un dôme.
T. 0'"54
LES LAVEUSES.
—
Au
laveuses trempent
—
0“44
pied d’un escalier, sous l’arche délabrée d’un ancien aqueduc, des le
linge dans une baignoire en })icrre.
T. 0'"54
—
0'"44
1881. Vente Baron de Beurnonville, n®“ 165, 160
:
730 francs
les
deux.
CATALOGUE LA MAISON CARRÉE A NIMES. tourent les maisons de
—
la ville.
141
Le monument s’élève au centre d’une esplanade qu'enDeux moines, manteaux blancs, gravissent le vaste perron
en pierre. Divers jtersounages, dont un peintre assis à terre adossé à des décombi-es dessinant
le
— (Signe sur une pierre T. 0"'98 — 1”42
monument.
et
daté 1183.)
1881. Vente Baron de BEunNONViLLE, n° 167
APOTHEOSE DE Au
fait
—
ROUSSEAU.
.I.-J.
nationale a
élever un
Au monument où
fronton de ce monument, on
vÉiutÉ.
»
lit
anonyme
LE PONT DE BOIS.
—
Il
déposée
la
dépouille mortelle de
(20 mai), n” 17
le
et date' 119k.)
3,000 francs.
:
traversent. Dessous, un pécheur tenant une ligne.
—
T. 0'"33
1882. Vente
0‘"41
Paul de Saint- Victod,
MONUMENT ET FONTAINE.
—
A
n° 51
:
1,010 francs.
gauche, un temple avec un grand escalier; sur
taux qui sont dans les angles, les chevaux de Phidias; à droite, une fontaine
Composition animée de ligures. à
deux villageois;
à
gauche, un
Au centre, une jeune lille tenant un panier homme étendu sur un bloc de ])ierre.
—
T. 3“'05 1882. Vente
Moreau-Chaslon,
iF 102
—
De nombreuses 1
intérieur.
dant qu’un sculpteur restaure une statue qui est au centre. Vers plan, un jeune
penche
à
homme, penché sur une
les
piédes-
des arbres.
de (leurs cause
5,900 francs.
:
monuments antiques sont réunis dans
des restes de
et
2™90
INTÉRIEUR D’UN TEMPLE EN RUINE A ROME. et
Rousseau.
J. -J.
l’homme de la natuiîe et de la
icy déposé
«
:
formé par une échelle reliant deux roches. L^ne femme portant une
est
corbeille et un enfant
1,350 francs.
milieu du grand bassin des Tuileries, l’Assemblée est
— (Signé à gauche sur une base de colonne T. 0"'C2 — 0'"80 1881. Vente
:
échelle, ollre
un bouquet
Un
statues,
la
à
des vases
artiste dessine
gauche
et
une jeune
pen-
au second lille
qui se
une fenêtre. T.
1882. Vente
1“'
—
Moreau-Chaslon,
LE PETIT CANAL A TRIANON.
—
1“’40
n“ 103
Au premier
:
1,950 francs.
plan, près d’une grille en ruine, des
femmes
a'cc leurs enfants; l’une d’elles arrose des fleurs. Le canal est eu face, se perdant l'horizon dans
la
vapeur du matin. Sur T.
des bouquets.
les côtés,
1>“40
—
— (Signe
et
à
daté lll'l.)
1*»10
1882. Vente
Moreau-Chaslon,
1884. Vente
IMoreau-Chaslon (même
n» 104
:
7,100 francs.
sujet sans dimension), n° 35
:
2,350 francs.
HUBERT ROBERT
142
PARC AVEC ROCHERS RELIÉS PAR UN PONT DE
— A droite, de grands arbres.
BOIS.
Composition animée de figures.
—
T. 0™65
0™55
1882. Vente
Moreau-Ghaslon,
n® 105
1884. Vente
Moreau-Chaslon,
n“ 28.
1898. Vente A. Degeuser, n® 31
PARC AVEC MONUMENT
et
Moreau-Ghaslon,
avec grand escalier
et
DEUX PENDANTS
1>"
n° lOG
—
Moreau-Chaslon,
0'"24
n® 107
:
MONUMENTS EN RUINE. —
105 francs
Dans
•
:
1,020 francs.
:
(Grai’épar Geifsler.)
T. 0“31 1882. Vente
1,520 francs avec un pendant, n® 105.
nombreux personnages.
—
—
:
n® 29.
Moreau-Chaslon,
MONUMENT DE JACQUES DELILLE.
0'"55
n® 105 bis
T. 1882. Vente
le
premier, quelcpies personnages
groupés au centre, deux soldats debout sur des assises de pierre; un peu plus pêcheurs dans un
Une bergère, au
liateau.
Dans
le
Beurdeley
LES CASCATELLES DE TIVOLI. un jeune enfant penché sur
—
le
355
(père), n®
:
—
3,500 francs
bord de
(Signé à gauche
— :
—
et
un berger regardent
Promenade des dames de
daté 1786.)
et
2-«40
7,000 francs
les
deux
au centre de constructions en ruine. T. 1"’12
Beurdeley
deux.
rivière.
la
1883. Vente Brame, n®* 37, 38
1883. Vente
les
— Au premier plan, deux lavandières
T. 2»'30
étal^lie
1"'53
VUE PRISE A SAINT-CLOUD.
costume Louis XVI.
FORGE
des
centre, chasse devant elle un troupeau de moutons.
1883. Vente
—
loin,
second, ipielques personnages contemplent les ruines.
T. 1"'30
LE JET D’EAU.
his.
3,900 francs.
:
—
1884. Vente Moreau-Chaslon,
PONT MONUMENTAL
1,520 francs avec pendant, n® 105
porte cintrée ombragée par de grands arbres. T. 0'"G5
1882. Vente
:
—
(père), u®
1"'
35G
:
405 francs.
la
cour,
O'
H
W Q U A-*
<
’è
i
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s.â&#x20AC;&#x2122;-'*
/
ÀkiiÏLi
s;
i
(
CATALOGUE
—
LA FONTvVINE MONUMENTALE. (juée
143
Des laveuses entourenl
de statues sur des piédestaux
et
dont
le
réservoir d’une fontaine flan-
les nouilu-euses vas(pies se
une niche, au milieu d’une façade décorée de sculptures.
On monte
superposent dans
à cette fontaine par
un escalier de pierre orné en haut de lions en bronze lançant par leurs gueules des
jets
d’eau dans les petits bassins échelonnés sur les degrés.
T. 0">42
—
0"’33
1883. Vente Baron de Beuiinonville, n° 35
THERMES ANTR^UES. salle
—
3,150 francs.
:
Autour d'uu hassin sont rangées des laveuses dans une ancienne
de hains à coupole supportée par quatre colonnes.
Au premier
[)lan,
deux hommes
tordent du linge.
T. 0‘"42
—
0“33
1883. Vente Baron de Beeunonville, n“ 30
LA GALERIE EN RUINE. la
—
Plusieurs promeneurs, un
:
2,050 francs.
homme
conduisant deux chevaux par
bride, des laveuses se rendant à la fonlaine circulent au |)ied d'un large escalier décoré
de statues et
<pii
mène
à
une ancienne galerie à colonnes divisée en travées régulières par
de grandes arches délabrées. T. 0‘"40
—
0'"31
1883. Vente Baron de Beeunonville, n“ 37
LA GONDOLE.
—
enlourent
la
Une gondole pourvue d une leiile pour les promeneurs aborde les degrés qui pièce d’eau. De magnili(pies arcades dans le style d’arcs de triomphe forment
une immense cour d’honneur
oii l’on
accède
T. 0“*40
—
[>ar
de vastes escaliers.
0‘“31
1883. Vente Baron de Beeunonville, n“ 38
MONUMENTS EN RUINE. à droite,
—
Au
:
3,500 francs.
centre, un artiste dessinant, entoure de trois personnages;
deux cavaliers. T. 0“‘50
1884. Vente Viiior, u“ 148
RUINES ET PERSONNAGES. uianleau
2,500 francs.
;
lil
une
—
inscrijilion
^Vu
:
—
0“66
510 francs.
centre, (piatre
de grands arbres se détachant sur
le ciel.
ligures,
droite, un vase orne de l>as-reliefs et
Au second
plan, un arc de triomphe; à gauche,
|)ierre.
un obélisipie. T. 1»'20 1884. Vente ViiiOT, n" 170
:
—
0'"81
1,050 francs.
1808, Vente A. Deeeeseii, n° 34
un lioinme couvert d’un anqtle
A
gravee sur une
:
3,200 francs.
HUBERT ROBERT
144
MONUMENTS EN RUINE. montée sur un âne.
— A gauche, près d’un arc de triomphe, des villageois
A
droite, la colonne Trajane.
monuments.
sine des fragments de
—
Au premier
et
une femme
plan, un jeune garçon des-
(Exécuté à la prison de Saint-Lazare, signé en
toutes lettres.)
T. 0™60 1884. ^ ente
—
Moheau-Chaslon,
n” 25
1898. Vente A. Degeuser, n° 33
—
BAINS ANTIQUES. des jeunes
Vers
le
filles
Au premier
)lan,
2
un jîersonnage
1884. Vente
—
Moreau-Chaslon,
paysage.
— (Exécuté à
—
VUE PRISE PRES MENTON.
A
:
prison de Saint-
;
3,600 francs, avec un pendant, n® 25.
4,200 francs seul.
gauche, une fontaine où une femme lave du linge. L’artiste
au centre, drapé dans un manteau bleu. Sur
— (Signé Robert, 1884. Vente
la
0“49
n® 26
1898. Vente A. Degeuser, n° 32
—
un manteau rouge harangue
drajîé dans
lettres.)
T. 0">60
LE TORRENT.
2,800 francs seul.
:
jiorte cintrée laisse voir le
Lazare, signé en toutes
à voile.
3,600 francs avec un pendant, n° 26.
:
^dacées à sa droite. Plus loin, une colonnade borde une vaste piscine.
fond une
s’est rejirésenté,
0«>49
la droite, la
mer
et
un bateau
1771.)
Moreau-Chaslon,
n® 27
:
2,400 francs.
Les eaux s’échapjtent du creux d’un rocher contournant un moulin placé au
milieu de la rivière. Sur
la
berge, au jircmier jilan, un villageois cause avec une
femme
montée sur un cheval. 1884. Vente
Moreau-Ghaslon,
LA FONTAINE DE MINERVE. destal.
—
La
n® 30.
statue de la déesse est en bronze et placée sur
Au-dessous, une grande vasque de pierre où des villageois prennent de
un piél’eau.
A
gauche, un rocher sur lequel s’élève un temjile à colonnes. 1884. Vente
L’ABREUVOIR.
—
d'un pont.
Moreau-Chaslon, n®31.
Des bergers
A
font boire leurs Iroiqicaux dans une auge placée sous l’arche
gauche, des femmes lavent du linge. Effet de
1884. Vente
Moreau-Chaslon,
VASE DE MARBRE PLEIN DE FRUITS. 1884. Vente
—
Moreau-Chaslon,
LES PYRAMIDES D’EGYPTE. personnages gravissent
—
les
Dessus de porte. n® 34
:
L’arliste a représenté une
— (Signe en
n® 37
:
— (Signé.)
1,525 francs.
cérémonie funèbre, de nombreux
degrés d’une des pyramides
Moreau-Chaslon,
couchant.
n® 32.
principales ])Our ensevelir un de leurs chefs.
1884. Vente
soleil
et entrent j)ar
une des portes
toutes lettres et daté 1760.)
500 francs,
CATALOGUE UEUX PENDANTS
—
—
(Signé.)
LA MARNE A
(Signé en 1180.)
1884. Vente
—
—
LE MOULIN DE GHARENTON.
:
CHARENTON.
LES LAVEUSES.
145
Moreau-Ghaslon,
38
et 39.
Elles sont an bord d’un bassin placé au pied d’un grand escalier de pierre
passant sous des terrasses voûtées reliant de hautes constructions.
—
T. 0'“58 1885. Vente
BAINS ANTIQUES.
—
Burat,
J.
n“ 85
:
0”40
2,100 francs.
Les bassins situés au pied de hautes terrasses surmontées de grands
arbres servent à des femmes pour laver du linge. Sur
pêcheurs.
trois
—
B. 0“'48 1885. Vente
LE PARC.
—
Des
Au
Burat,
J.
n®
86
:
le
devant, un bateau monté par
0“‘33
2,600 francs.
centre, un jet d’eau au milieu d’un bassin entouré d’une balustrade de pierre.
un échafaudage monté sur des roues. Vers
jardiniers traînent
devant lesquels on aperçoit une riche
1885. Vente J. Burat, n° 87
—
Auprès d’un
un cours d’eau qui
;
—
0™37
1,750 francs.
femmes portant
temjile à colonnes, des
a débordé.
fond, des bosquets
villa.
T. collée, sur B. 0”26
APRES L’ORAGE.
le
Un homme
sur
la
leur enfant traversent
opposée leur tend
rive
main.
la
A
droite,
de vieux arbres aux troncs noueux et aux branches brisées. T. 0“44 1885. Vente
J.
PARC AVEC PIÈGE D’EAU.
Burat,
—
Un
n® 88
;
—
0“54
1,300 francs.
escalier pratiqué entre
deux bassins monte
h
une terrasse
plantée de grands arbres, bordée d’une balustrade d’où l’on découvre un cours d’eau qui se
perd au loin dans une chaîne de montagnes. Sur
la
terrasse des femmes, des enfants et
un dessinateur copiant une statue. T. 0“.30
1885. Vente
—
Comte de la Béraudière,
1896. Vente E. Martinet, n° 36
DEUX PENDANTS.
—
0“40
:
n® 68
:
6,150 francs.
7,000 francs.
(Peinture sur assiette de forme octogonale .)
Diamètre 0‘"22
PAYSAGE AVEC RUINES.
—
Quatre personnes au milieu de fragments d’ar-
1°
chitecture, auprès d’une colonne qui se dresse sur
chaîne de
monlagues. —
d’une statue, dont ture.
Au
loin,
le
(Signé Robert.)
piédestal est
des arbres, une
1885. Vente
—
2®
le
Deux
bord d’un
tori’ent.
villageois et
encombré de corniches brisées
villa et la
et
n® 69, 69 bis
:
l’horizon, une
deux enfants au
jiied
de débris d’archilcc-
cime azurée des montagnes.
Comte de la Béraudière,
A
— (Signé Robert.)
900 francs
les
deux.
HUBERT ROBERT
146
IjE .lET
—
D’EAU.
II
s’élève au milieu d’un bassin entouré d’une balustrade de pierre, où des
villageois sont appuyés.
Sur
le
homme
devant, un
une femme causent au pied de
et
A
ques degrés, deux enfants jouent montés sur un lion en bronze. aux branches pendantes se détachant sur
les bosc]uets
cjuel-
gauche, de vieux arbres
du parc éclairés par
le
soleil.
—
(Peint dans la maison d’arrêt de Saint-Lazare, signe' à droite.)
—
T. 1“45 1885. Vente
D''
Mallez,
n° 20 à
Lauhext Richard.
Laurent Richard,
1886. Vente
27
n“
13,300 francs, avec
:
le
pendant
La
Fontaine.
LA FONTAINE.
—
Elle est dans un parc, au pied d’une terrasse, formée par une statue debout
tenant dans ses bras deux urnes d’où l’eau s’échappe pour tomber dans une vasque de granit.
Des femmes viennent prendre de
boit dans son chapeau.
—
formant berceau.
Vers
le
l’eau,
fond, plusieurs
un homme drapé dans un manteau rouge
femmes causent
l’ombre de grands arbres
à
(Peint dans la maison d'arrêt de Saint-Lazare.)
—
T. 1”45 1885. Vente 1886. Vente
0“'95
D'' Mallez, n® 21, à JjAUrent Richard. Laurent Richard, n" 28 13,300 francs, avec :
le
pendant
le
Jet
d’eau.
LE PARC.
—
An
nn bassin, une large najipc d’eau tombe en cascade entre deux lions de
centre,
bronze près des(juels se trouvent des statues.
Une jeune femme marche
vers
la
A
droite et à gauche, de grands arbres.
gauche, ayant près
d’elle
une paysanne
cjui tient
un
enfant dans ses bras.
—
T. 2“'51
1885. Vente
—
AQUEDUC EN RUINE. au
|)remier
droite, de
|)lan.
D'’
Mallez, n°
Des bergers
A
22.
font lioirc leni's bestiaux
grands arbres se détachent sur un
1885. Vente
D''
Mallez,
n'>
KUINFS ANIMF.es DE PERSt tNNACIvS. d'une pyramide.
dans un cours
cl
eau
ipii
coule
gauche, nn acpieduc en ruine couvert de plantes grimpantes; à
T. 2'"55
sur une
P"70
Au bord
lance, un bras
—
ciel
semé de légers nuages.
2'«02
23.
—
d'un cours d
ITne slainc e.iii,
tendu, un guerrier tenant
couvert d'un manteau rouge.
A
d(>
—
la
:
s’élève sur un socle près liouiiiie et
une main a|)puyée
nn autre personnage
perspective d'un paysage romain.
l"’20
1886. Vente du château DE Langeais, n" 801
1003. Vente Lelong, n" 48
nu
nn bouclier
droite, une colonne et
B. P"70
|)ierre
trois ligures,
1,600 francs.
:
300
l'rancs à
Madame Lelong.
MADAME GEOFFRIN DÉJEUNANT DANS LE JARDIN DE L’ABBAYE SAINT-ANTOINE (A M.
le
comte de
Photographie
la
Bédoyere)
M<)reaii firres
7
r
}
CATALOGUE ARCHITECTURE ET
déhi'is d’ari'liilcclnre
188G. Vente
à
—
1°
le
une femme
liomnie,
et
un enfant arrêtés parmi des
Une jeune mère elle.
—
n“ 193
375 francs.
:
assise devant une grande cheminée
2“
Au
milieu,
1889. Vente Behend, n“
1
:
—
—
les
deux.
De nombreux
visiteurs parcourent une vaste
galerie à colonnades et voûte en berceau décorée de caissons. le
fond illunnné d’une claiTé blanche
sarcophage anti([ne porte
la
1890. Vente G.
—
sommet d’uu
A
travers
Rothan,
la
([ui
signature du peintre et
B. 0"'32
les
la bouillie
0™23
2,050 francs
INTÉRIEUPi D’UNE GALERIE ANTIQUE.
LE JET D’EAU.
donne
une jeune femme assise couvre avec une
berceau de son enfant. B. (ovale) 0‘“19
l’ombre et
ipii
— (Signé à droite. d\ 0“’3G — 0'"4G
Auguste Sichel,
son enfant deljont devant
draperie
Un
épars autour d’an lem)de circulaire à colonnes corinlldennes,
s’élève au milieu d’un Ijois.
DEUX PENDANTS.
—
FIGLRIES.
147
—
n“ 194
la
la
galerie.
A
est
dans
droite, un
date 1780.
0"'25
2,050
:
Le premier plan
pénètre dans
li'ancs à
Madame
la
comtesse de Courval.
sond)re arcade de verdure formée par de grands arbres, au
escalier d’une dizaine de marches, nu jet d’eau s’élève haut et
retomhe sur
feuillages ensoleillés. Plusieurs ligures animent ce tableau.
—
B. 0"'32 1890. Vente G. Rothan, n“ 195
RUINES ROMAINES.
—
Au
0“2G
2,G50 francs à
:
la
murs
—
0™19
B. 0™2G 1890. Vente G.
lillette
comme
—
Dans un
se sont arrêtées celle
Au
colonnade du temple de Jupiter Stator.
s’allonge sur une terrasse soutenue par des
LA PIECE D’EAU.
la
comtesse de Courval.
pied d’une statue de Minci’vc, plusieurs personnes sont arrêtées
])armi des débris d’architecture et de fûts de colonnes.
ment, se dresse
Madame
Rothan,
n" 19G
j)arc touffu,
:
milieu, sur un haut soubasse-
A
gauche, une
lile
de peupliers
élevés.
1,750 francs.
devant
le
[)iédestal
d’une statue, deux dames et une
pour conteni[)ler une cascade qui tombe par chute de perrons
de Saint-Cloud.
—
T. 0'"25 1890. Vente G. Rothan, n“ 197
;
0'"20
1,820 francs.
HUBERT ROBERT
148
—
LA BAIGNADE.
Une femme en robe rouge, dont
ment d'une chemisette, ont
aménagée dans
Au second esl
le
les
pieds dans l’eau d’un petit lac qu’alimente une fontaine
plan, dans les arbres,
un temple antique couronné d’un fronton dont
le
tympan
décoré d’un bas-relief représentant un sacrifice.
1890. Vente G.
—
LA GARDE CIVIQUE. campagne, oü
Rothan,
—
n® 198
0'"33
1,450 francs.
:
Trois hallebardiers en faction sous une porte voûtée surveillent
l’on aperçoit
émergeant d'un chemin en contre-bas
patrouille.
B. 0“57
—
PAYSAGE AVEC RUINES. Au
gauche.
—
les
Il
est
1,500 francs.
:
ruines d’un cirque, avec
et
i)artie
monumentale sur
la
quelques arbres aux branches brisées.
1891. Vente CouitNEniE, n° 5
—
la
de lances d’une
centre, une statue équestre; au pied, deux personnages lisent une inscription.
un vase antique
droite,
Ce sont
les fers
0“44
1891. Vente DE Montbiuson, n® 71
LE PONT.
relève la jupe, et un enfant vêtu seule-
mur, surmonté de statues, d’un escalier monumental à double rampe.
B. 0‘“24
A
elle
:
1,000 francs.
surmonté d une large tour crénelée, avec porte cintrée fermée par une herse.
un
l’arche est éclairé par
Le dessous de
des gentilshommes
se disposant à
vif
rayon de
soleil.
On
aperçoit des
dames
et
monter dans un bateau.
Tableau de forme ronde. 1891. Vente Couhneiue, n° G
LA MÈRE DE
F'AIMILLE.
—
chevalet, assise, tenant
fond,
le
:
2,450 francs.
Elle est dans un atelier d’artiste, devant iinc toile posée sur un
un enfant dans ses bras,
trois autres sont
auprès
d’elle.
Dans
le
père, vu de dos, dessinant un buste.
Tableau de forme ovale. 1891.
^'entc CouitNEiiiE, n® 7
l’ON’l'AINE AN'l’lQLJE. une
nielle enire
vasipie de
jiiei're.
—
:
Elle est jdacce sur
la
droite; au centre, une statue d’Apollon dans
deux colonnes. Des femmes viennent prendre de yVu
second plan, un
tenqilc.
—
T. 0'"3l 1891.
1,720 francs.
^'enle CouiiNEitiE, n® 8
1893. A’enle
anonyme
:
—
et
daté
0'”40
1,000 francs.
(10 juin], n"
30
:
1,000 francs.
l’eau
dans une large
LA LECTURE DANS LE JARDIN DE L’ARBAYE (A M.
le
comte de la Bédoyère)
Photogiaphie Moreau frères
SA
INT- AN T OINE
1
CATALOGUE LE PUITS.
—
Il
mur de
est placé près d’un
qui sert à prendre de l’eau.
Un
jardin, une
—
Au
paysanne
tire la
corde attachée à
la
poulie
jardinier plonge son arrosoir dans un bassin de pierre.
1891. Vente Courneiiie, n» 9
MONUMENTS EN RUINE.
149
centre,
:
730 francs.
un arc de triomphe dont l’arche
Sur
est effondrée.
droite, une statue placée devant une colonne. Plusieurs jeunes femmes
la
et
des villageois se
la
Sibylle placé an
reposent au bord d’un cours d’eau. T. 0“G3 1893. Vente
—
LA BALANÇOIRE. bord d’une
anonyme
A
0'"78
(10 juin), rP 29
La vue semble prise
rivière.
—
2,100 francs.
:
A
à Tivoli.
droite,
temple de
le
gauche, s'élèvent de grands arbres an feuillage doré.
plan, de jeunes villageois se divertissent avec une balançoire formée par A»i
second plan, des canards.
Un
paysan, tenant une
lillette,
Au premier
un arbre
brisé.
se trouve au bas d’un escalier
de pierre. Au-dessus, des paysannes appuyées sur une balustrade en bois auprès d'une
colonne brisée
et
de pots de Meurs.
—
(Signé
T. 1"T)0 1893. 4'cnte
anonyme
s’élève sur
A
l‘”05
L’une
!)
:
le
pendant, La
Dans nn parc garni de grands arbres, un temple
une terrasse entourée d’une l>alustrade de
Au
2.5,000 francs, avec
bateau.
droite et à gauche, de larges escaliers; sur
pavoises.
à
—
daté 118(i.)
(18 novembre), n°
Promenade en
LA PPiOMENADE EN BATEAU.
—
et
le
|)ierre,
avec statues dans
à colonnes les angles.
devant, une pièce d’ean et des l)ateaiix
bas de rescalier, à droite, nn groupe de jeunes femmes avec leurs enfants.
d’elles,
monter dans
en élégant costume Louis le
prend une
I,
bateau aux drajieries roses.
dans ses
fillette
Au premier
plan,
liras et se
un paysan lance un chien
contre un taureau, qui court dans les roseaux. Plus loin, d’autres bateaux aperçoit des laveuses.
—
l’im,
on
pendant,
La
dans
:
(Signé et daté 1786.) T. l‘"G0
1893. Vente
dispose
anonyme
(18
—
1”05
novembre), n® 10
:
25,000 francs, avec
le
Balançoire.
LE CANAL DE TRIANON. rameurs.
Au premier
—
Bordé de grands arbres
T. 0“40
LES CHAMPS ELYSÈES. arbres.
—
Caron traverse
—
filets.
de baii'aux conduits par des
— (Signé en
vêtus de blanc se promènent sous les
Styx, conduisant un passager sur sa bar([ue.
T. 0“40
anonyme
—
toutes lettres.)
0“31
De nomlireux personnages le
lettres.)
1893. \ ente
et sillonné
plan, trois [lècheurs ont jeté leurs
— (Signé en
0"’31
(18 novembre), n“® 11, 12
;
3,050 francs
les
deux.
toutes
HUBERT ROBERT
150
—
QUATRE PANNEAUX DÉCORATIFS. et
—
une arche de pont.
Trajane
dôme de
et le
Le Colisée
Les Cascades de Tivoli
— (Signés —
Saint-Pierre.
anonyme
Temple de Jupiter
ruines d’un temple.
— La
colonne
datés 1785.)
et
décembre),
(2
et
— Le
1“*28
T. 2“‘4ü 1895. Vente
et l’Obélisque.
3
n°
francs
10,000
;
les
quatre
à
M. Ed. Blanc.
COURS D’EAU ENTRE DES ROCHERS. — VOUTE ÉCLAIRÉE PAR LE SOLEIL COUCHANT. — (Deux pendants ronds.) Diamètre 0“*16 1896. Vente
M.
D... (2 décembre), n° 37
—
LES CASCATELLES DE TIVOLI. surmontés de temples que, derrière
lui,
un montagnard
420 francs
les
deux
à
M.
S.
Bardac.
L’eau tombe en cascades du haut de rochers boisés
de ruines.
et
:
le
A
droite, sur
regarde.
En
un
tertre,
et
un peintre dessine pendant
bas, au premier plan, une paysanne assise
sur un cheval tend les bras pour recevoir un jeune enfant que porte une autre femme.
Près
une vache
d’elles,
et
un chien. Ciel nuageux. T. 0‘“65
—
0“53
1897. Vente Comtesse de la Feurünnays, n“ 11
RUINES.
—
Au premier
:
2,850 francs.
plan, plusieurs barques, dont une richement ornée, s’engagent sous une
voûte surmontée d un grand escalier. Plusieurs personnages en gravissent les degrés, qui conduisent à un superbe palais en ruines. Sur
étendu.
Au
la
rampe, un grand drap blanc est
fond, on aperçoit un parc et d’autres ruines. T. 0"'65
—
0‘"53
1897. Vente Comtesse de la Ferronnays, n“ 12
LES LAVEUSES. a
—
Un
jeune homme, appuyé sur un bâton
une paysanne assise
tenant un panier.
et
Un
et
:
1,550 francs.
ayant son chien à ses côtés, cause
enfant est couché près d’elle. Sur
la
gauche,
deux blanchisseuses lavent à une grande fontaine surmontée d un vase de pierre décoré d’Amours.
A
droite,
un
Les personnages, dans
])alais la
en ruine
et,
dans
le
fond, un parc avec de grands arbres.
manière de Boucher, ne sont pas de Hubert Robert. T. 2‘“35
—
1“56
1897. Vente Marquise de Montesquiou-Fezensac,
LE JET D’EAU.
—
fontaine d
Au
oii
[>ied
de
l
escalier
s’échappe un
jet
monumental d un
d'eau
ii“
22
:
16,000 francs.
palais orné de statues, on voit une
qui retombe en cascade dans un bassin. Sur la
droite, des jeunes filles chargées de fleurs causent avec une de leurs amies assise près
d une gerbe de blé. Sur
tenant un parasol.
la
gauche, un voyageur se repose auprès d'une jeune femme
Les figures qui ne sont pas de Hubert Rol>ert sont légèrement usées. T. 2“'35
—
l‘“56
1897. Vente Maïujuise de Montesquiou-F’ezensac, iP 23
;
16,000 francs.
CATALOGUE LE l’ONT.
—
Sons l’arche ensoleillée
pendant
rpie
A
rette.
vieux pont, des femmes lavent ou étendent du linge
rlii
des pécheurs relèvent leurs fdets.
A
horde de collines.
vieille
Vente
Marquise
M.
—
BUIX’E.
—
Un aqueduc
de
jet
en ruine endirasse presc[ue tout et
son chien surveillent
T. 0'"81
—
couper des roseaux sur
sur un cheval
l)lanc.
—
G, 500
:
francs
le
fond du
talileau.
A
troiq^eau qui va se désal-
Un
jeune
homme
lave
1"'38
rive. Aiqu’es d'un
la
Vers
2,000 francs.
:
bœuf couché, un
homme
est
occupé
autre personnage s'appuie
gauche, un petit bouquet de peupliers près d’un amas de
la
T. 0"’81
—
PX38
1807. Vente INIarquise nu Pi.essis-Bei.mèhe, n° 72
—
2h
Devant un pont surmontant un barrage, un
rochers.
PAYSAGE.
le
de Minerve.
la statue
1897. Vente Marquise du Plessis-Bellièee, n” 71
à
n”
fontaine.
la
PONT SUB UNE CASCADE.
passage.
l^Sl
Montesqeiou-Fezensac,
de
au bassin d’une fontaine surmontée de
son chapeau au
une char-
le
Baedac.
S.
gauche, sur un monticule, un pâtre téré]’
fond du paysage
le
cette composition.
T. 1™J8
AQUEDUC EX
aperçoit au loin
construction couvre ce pont et devait en défendre
De nombreux personnages animent
à
On
droite, un escaliei- conduit au pont, où vient de s’engager
gauche, une
1807.
151
2,000 francs.
:
Près du bassin d Une fontaine en ruine, voisine d un arbre dénudé, une jeune
laveuse regarde son chien couché à côté d'elle. Le fond du paysage est traversé d’un petit
cours d'eau
et
bordé des montagnes. T. 0">78
—
1-38
1807. Vente Marquise nu Plessis-Bei.lièf]E, n° 73
LA GBOTTE.
—
Montée sur un âne
dans une grotte baignée d'eau. aperçu par l'ouverture de
la
conduisant un cheval par
et
Un
la
homme une
—
Fond de paysage
1”’38
Des femmes
:
800 francs.
lavent leur linge dans le bassin d'une fontaine alirilee
surmontée d un vase de pierre orné de bas-reliefs.
debout sur des ruines
allée
leni|)le à
—
et
bride, une paysanne pénétré
chien jappe aux nouveaux arrivants.
1807. Vente Marquise du Plessis-BelliÈiie, n” 74
d un pin ])arasol
1,200 francs.
grotte.
T. 0"'77
PA4 SAGE ET BUINES.
:
les
regarde. Dans
le
V(’rs
la
droite, un
fond, un rideau d arbres rou])é par
où se trouvent deux femmes, dont une montée sur un âne.
demi caché par
la
A
gauche, petit
verdure. T.
P"G,5
—
l‘"41
1807. Vente iManpiise nu Pi.essis-Bei.i.jÈiie, collection
M.
.1,
Douce r.
iV'
lô
8,350 Iranrs
à
M. Bousson.
HUBERT ROBERT
152
TEMPLE EN RUINE.
—
Au
pied d’un grand pin parasol, une fontaine, représentée par une
femme tenant deux urnes, alimente un petit bassin entouré de nombreux personnages, deux femmes lavent du linge, une autre puise de l’eau pendant qu’une jeune fdle se prépare au plaisir du bain. Riant fond de paysage, ayant vers
auquel on accède par des marches. «
Rome 118k
— (Signé à gauche sur
la
n.)
1897. Vente Marquise du Plessis-Bellière, n“ 76
—
RUINES D’ARCHITECTURE. se
gauche un temple en ruine soele de la fontaine et daté
le
Au
:
9,350 francs à M. Boussod.
pied d’une colonnade en ruine, deux femmes et un enfant
chauffent près d un petit feu de bois, pendant qu'une autre, une
Au premier
épaule, descend un escalier.
Vers
droite,
la
plan,
un paysan contemple une statue mutilée.
un homme drapé dans un grand manteau rose
Au
fragment d’architecture.
amphore sur son un
se tient debout sur
fond, à gauche, une éminence surmontée d’une petite con-
struction et d’une longue terrasse plantée de peupliers.
1897. Vente Marquise du Plessis-Bellière, n° 77
—
L’OBÉLISQUE.
Dans un
bois,
un obélisque
se dresse sur
servent de gîte à des chiens auxquels une
manger.
—
T. 0”83
femme
montée d’un vase
—
Une paysanne
brisé, près d’un
cascade et plus loin une
ville.
—
LE JET D’EAU.
11
conduit un bœuf
et
une dame baigne sou
un cheval
le
le
à
une fontaine sur-
fond, on aperçoit une
socle de la fontaine et daté.) :
3,300 francs à M. Pannier
baron H. de Betiimann).
A
droite,
appuyés
petit chien
une statue de Vénus accroupie surmonte une fontaine, pendant qu’un jeune garçon
la
laisse apercevoir le parc
une charmille ornée de statues
à gauche,
850 francs.
;
s’élance d’un bassin entouré d’une balustrade, à laquelle sont
différents personnages. oii
le
creux
0™55
1897. Vente Marquise du Plessis-Bellière, n“ 79
M.
les
des enfants viennent apporter à
grand arbre dénudé. Dans
— (Signé sur
(appartient à
5,500 francs.
un amas de rochers, dont
et
1897. Vente Marquise du Plessis-Bellière, n° 78
ENVIRONS DE NAPLES.
:
regarde. Dans
le
fond,
par de grandes ouver-
tures en forme d’arcades. .Sur une terrasse, à droite, on voit une élégante construction.
(Sur
le
—
piédestal de la statue, signature moitié effacée et une date, 118k.) 1897. Vente Marquise du Plessis-Bellière, n° 80
PAYSAGE AGRESTE.
—
Une cascade
une construction eu ruine. chien, cruclie.
fait
A
Un
:
3,050 francs.
coule au jiied d’un haut rocher, sur leijuel on remarque portant un manteau rouge et accompagné d'un
lierger
signe à deux femmes occiqiées sur
la droite,
l'une
prend de
l’eau
dans une
gauche, des collines escarpées. T. 2"'42 1899.
Vente
—
0‘'’03
Madame Maurice Richard,
5,000 francs.
née Bouruet
-
Aubertot,
n“
2
;
LE CABINET DE
MADAME GEOFFRIN
{Musée de Valence)
t
,
i'
y
•
-•. .
• .
:
!> -f)
,
V;
Pf i®ii
>^'
0
:
'0
i
CATALOGUE
—
RUINES ET PERSONNAGES.
L’archc d'un viaduc s'clèvc au l)ord d uu cours d'eau.
on aperçoit une lrou])C
Iiaul,
montée sur un âne
et escortée
passant
enli-e
deux
duquel nue
auti-e
est
ruililaires
<le
descendent uu escalier
feiurnes
ju'ès
—
T. 2‘"42
])iliei's
villageoise,
de
con-
la
0“'l)3
Madame Maurice Richauo,
Vente
Une
accoudée.
En
deux
pilastres. Plus l)as,
de paysans, suit une roule entre les
struction.
18911.
153
née Rouruet
-
Auber ror
,
n”
3
;
5,000 francs.
—
ARGinTEC3’URE.
Palais d ordre corinlliien en ruines, avec terrasses, escalier, Italusirades,
lions couchés, etc.
Au
loin,
une colonne
une pyramide.
et
—
R. (Ovale) 0"’50 1899. 4'ente Pu. Sichel, n“ 54
LE PONT
RUS1T(,)l’E.
—
Un
495
:
0"’39
fi-ancs.
promeneurs suivent uu chemin tortueux
cavalier et des
sous un ])Ont rustique reliant des rochers escarjiés. Sur
femme
arbre, une
mène deux
Au
sort d'une voûte rocheuse.
A
uu chien.
—
1899. Vente Pu. Siciiel, u“ 55
]>ro-
gauche, un mendiaul ajipuvé sur uu bâton
fond, une prairie
R. 0'”05
grand
deux jiersonnages. Au milieu, une femme
est assise et cause avec
eid'anls ipii jouent avec
pas>e
<pii
droite, au pied d’un
la
et
des vaches
;
plus loin, une petite ferme.
0'"52
4,000 francs.
:
IMPORTANTE DÉCORATION FAITE POUR LE MARQUIS DE LABORDE AU CHATEAU DE MÉRÉVILLE N°
1.
—
L’EMBARCADIMIE. il
—
Le bassin, dont
•
angle droit, est entouré de
la
boi-d est garni de neuf
le
degrés se reiiconti’ant
A
travées s'ouvrent des voûtes en plein cintre.
angle de
I
l'édilice,
ou a])orçoit une nouvelle enceinte.
statue de
femme vue
viUæ
D. Dclabnrde, pin. rit
i>ro
presijue de face. Sur
nombreux |)ersonnages. uu dais
à
A
a. d.
l’angle
1788-
est
LE
\
De
cluupie
lEUN
3'1'iMPLE. enté
de
la
—
le
socle,
Au
fond du
le
ciel.
Plus
du bassin, sur uu socle, se dresse une
aiigle
lias
on
lit
:
II.
Robert
in
et plusieurs
tedibus
Mcrc-
de celte statue et sur les degrés, de est
jiersonuages s'apprêtent
ii
.abritée
par
descendre.
manœuvrée par uu heunme.
T. 2“05
—
l
du bassin, uu bateau, dont une partie
rideaux rouges, est amarré
Près de ce bateau, une banpie
N'’ 2.
A
trois eu trois
sur un haut jiiédeslal, un
cheval à demi cabré que conduit uu bomnie à torse uu se délacbe sur loin,
De
colonnade double d un édifice eu ruine.
—
2“'
15
degrés de pierre y donueiit accès. nef centrale se dressent de hautes colonnes de marbre, deux I..e
teuqile s’ouvre
cl
ciiu]
statues de bi-onze dominent une fontaine, dont l’eau coule dans une vasque de marbre.
Des
lions de bi-onze, couchés, gardent l’entrée de la nef centrale.
débris tombés de
la
voûte.
Nombreuses T.
2>"()5
Le
sol est
jonché de
ligures.
—
2''‘15 20
HUBERT ROBERT
154
N°
3.
—
LES FONTAINES.
—
Une
A
large ruine.
gauche, des colonnes d’ordre ionique, inter-
rompues par des ressauts de murs, où s’ouvrent des portes ornées de médaillons. Une suite de voûtes en plein cintre surmontent cette colonnade. Dans la largeur de la construction, dominée par la première voûte, s’étend un escalier de pierre de dix-neuf degrés. De chaque côté, sur un haut piédestal, un groupe formé d’une statue de cheval tenu par un
homme
nu.
Au
bas de chaque piédestal, deux masques de bronze versent de l’eau dans une
Au premier
cuve de marbre.
plan, au centre, deux chevaux de selle tenus par un écuyer.
Nombreux personnages. A gauche, quelques fragments de
—
T. 2“65
N“
4.
—
—
L’OBELISQUE. arcade s’ouvre sur
Un
le ciel
2”15
escalier de pierre
De chaque
bleu.
ruines.
mène au
côté,
parvis d’un temple, dont l’énorme
deux lions de bronze couchés. Aux arêtes
des murs, des colonnes d’ordre corinthien, entre les colonnes des niches où se dressent des statues de marbre.
A
—
breux personnages.
droite, dans le milieu de l’édifice, se dresse
(Signé à droite
—
T. 2“65
1900
(juin].
Vente L. F.
:
un obélisque.
Nom-
Robert, 1787.)
:
2'“15
les quatre,
59,500 francs à
Durand-Ruel pour une
académie de Chicago.
N°
5.
—
LA CASCADE. un
petit
—
Au
fond, entre les rochers, une cascade, au-dessus de laquelle est
temple circulaire.
A
droite, le long des rochers escarpés, des
chemin étroit, l’un d’eux conduit un cheval blanc portant un
paysans suivent un de voyage. Enfin,
attirail
réunissant les roches qui dominent ce paysage, un petit pont rustique.
une paysanne
fait
—
T. 2”50
N°
G.
—
LE ROCHER. un
—
castel en brirjue.
trois
plan,
2™15
Au bas, à gauche, au bord d’un lac Au centre, un homme invite son
A
pêcheurs dans une barque.
colline,
Au premier
paître ses bestiaux.
alimenté par une cascade, on a élevé chien à se jeter à l’eau. Sur
le lac,
droite, débouchant d’un chemin qui règne sous une
un homme monté sur un cheval blanc, une femme portant un panier sur sa
et trois autres l’italienne.
hommes marchant. En
tête,
haut de cette colline s’élève un petit château à
Enfin, au milieu, un rocher se dresse gigantesque sur
le
fond de
ciel.
—
(Signé à droite, en bas, sur la croupe du cheval, H. R.)
—
T. 2'”50
1900
LE TORRENT.
—
Il
ljuin).
Vente L. F.
à
les
deux, 29,500, au baron Levavasseur.
coule au delà de l’arche d’un pont en ruine, au pied d'un rocher que couronne
une forteresse. Au premier brousses;
;
2">15
[ilan,
gauche, deux pêcheurs à
descendant un escalier, sous
la
hommes amènent un ligne, un homme puisant
quatre la
bateau.
A
droite,
de l’eau
et
une femme
voûte duquel un mendiant a trouvé un abri. T. 3'"75
1900. Vente du 29 mai,
n*’
1
:
—
()"
14,700 francs.
(Provient de l'hôtel de Luynes.)
des
CATALOGUE
— Une cascade coule
PARC AVEC CASCADE.
une tour en ruines.
s’élève
Un homme
à
gauche entre des rochers au-dessus desquels
assis,
au premier plan, dessine
désigne d’un geste une femme debout derrière
mère court après des enfants.
A
remarque encore des laveuses
un
et
155
lui,
accompagnée d’une
homme montant un
—
T. 3‘"75 1900. Vente du 29 mai, n° 2
chute d’eau que
fillette.
homme
une grotte, un
droite, sous
la
Une jeune
se chauffe.
On
bateau.
6‘“
17,050 francs.
;
(Provient de l’hôtel de Luynes.)
LAVEUSES SOUS L’ARCHE D’UN PONT.
—
Trois femmes se sont installées sous
d’un pont rustique orné d une statue dans une niche
et
la
voûte
de plantes grimpantes. Elles lavent
leur linge dans le cours d’eau.
T. 0‘"72 1900. Vente
LA PASSERELLE. relle à
—
anonyme
Au premier
A
juillet), n“
9
:
1,800 francs.
un arbre placé en travers d une rivière
gauche, une cascade; dans
grotte, dans laquelle une et
plan,
9
0‘"57
une femme portant un enfant. Elle semble appeler à son aide un
suivi de son chien.
bas
(G et
—
à gauche
:
femme
H. Robert, Floréal, an
2“30 1901. Vente
DEUX PENDANTS
:
anonyme
un
surveille
—
—
lointain, des lavandières.
feu sur lequel est
A
une bassine.
droite,
—
une
(Signé en
3”40 1
:
3,000 francs.
Un bûcheron
s’efforce d’attirer à lui
moitié abattu, tandis qu’un autre bûcheron achève avec sa cognée de séparer tronc.
qui accourt
II.)
(21 mars), n°
LES BUCHERONS.
le
sert de passe-
homme
un arbre à le
corps du
— LA POURSUITE. — A droite, un portique en ruines sous lequel une lavandière,
traînant son linge, s’enfuit devant
un jeune berger.
A
gauche, un buisson.
Au premier
plan, un chien se désaltère. 0“’48
1901. Vente
anonyme
—
l‘"40
(21 mars), n” 2
:
G30 francs; iP 3
:
580 francs à M. Pierre
Decourcelle.
LES DESSINATEURS.
—
Assis à l’ombre d’un arbre, un jeune
sculptées sur une pierre en ruine. Debout, près de doigt
le
lui,
homme
modèle. 0'"48
1901. Vente
anonyme
—
1"’40
(21 mars), n° 4
:
reproduit deux figures
son compagnon
385 francs.
lui
indique du
—
HUBERT ROBEUT
15G
l’AYSAGE D’EGYPTE.
—
Au
fond
ci à
Au premier
gauche, deux pyramides.
plan, des ruines
prés descpielles une femme cause avec un vieillard.
—
0™48 lOUl. Veille
L’ABREUVOIB. l’on
—
anonyme
(21 mars), n“ 5
Une fonuüue monumentale et l’eau jaillit
250 francs.
:
la
balustrade.
sa
lillelle,
et
Un
sibi siiiscjue
—
anonyme
1004. 4 ente
Madame Bidgway,
somnu'l d un
A
bras,
le
donne
la
main à
sur un mausolée, on
lit
:
parentibus scpulcrnni ereæit 180k.
J002. 4’enle
Du
sont réunis au centre
cheval blanc monté par une femme,
Deux chiens couchés. A gauche,
portant une cruche.
T. 0“H)0
—
li-ilons
un enfant se désaltère. Une mère, un enfant sur
D. M. U. Robert hoc
L’ACCIDEYT.
Deux
d’un mascaron dans un bassin débordant sur l’abreuvoir.
droite et à gauche, des statues dans des niches.
un villageois
couronnée par une terrasse où
s’élève à droite,
remaripie deux femmes accoudées à
sur une vas([uc
1™40
0'"74
(10 mai), n“ 1
monnmenl au
s’écroule, entraînant un ouvrier dans
le
n°
0,700 francs.
:
2t)
:
15,200 francs.
porliipic soutenu par
vide.
Une femme
deux colonnes, une
iiierre
lève la tête avec effroi, plusieurs
personnages accourent. Des ruines, chapiteaux, statues ou bas-reliefs gisent sur
le sol.
(Signé en toutes lettres.)
—
T. 0“00 1002. 4"enle
anonyme
1004. Vente
Madame Bidgway,
EN RUINES.
'l'EMPLE
—
(10 mai), n“ 2
Un temple à
plan, ileux
JI.
1002. Vente
:
teiii[)le et |
(h>
sif^né
debout met en
dames regardent des fragments du
—
0''*00
Comte Mxiszeck,
RUINICS
fuite
une troupe de
1em})lc
un obclis(pie.
a
—
:
étalés sur
4,000 francs.
Dans
colonnade animé de
V’ers h- fond, des peupliers.
I
mare
nn, une
difl’érenls
— Dans
et
un arbre ébranehé
personnages; plus l’autre,
droite et daté 177S.)
T.
ovale) 0'"4J
1002. 4 Cnte Miai.let, n® 35
:
1
_
t)m34
(>,450 francs les
deux
;i
.1
.
loin,
un
un troupeau de bœufs
moutons passant sons un arc de triom|)he, des bergers au repos. il
les
0'“4;}
n" 75
EIGURES.
E'I’
devant lescalier d’un palais
i
orné de bas-reliefs. Sur
Robert, 1789.) 'r.
DlfUX PEXD.V.NTS
15,200 francs.
:
homme
double révolution, un
marches d’un escalier
— (Signé
4,100 francs.
:
ip 30
circulaire à colonnades,
])igeoiis. .Vu premii'r le s(d.
0>"73
Doiget.
—
(Le second
CASCADE DANS UN PAYSAGE ITALIEN (A
Madame
la princesse
de Croÿ -Solrej
Photographie Moreau frères
I
K
\
1
1
.!î|
r»
J
râ'
H,
i.
i
'* J
?!
.
CATALOGUE DEUX PEXDAXTS
157
—
PARCS yVNIMÉS DE PERSONNAGES.
;
Dans
preinicr, un
le
moine
un bosquet de vigne vierge. Une cabane couvciUe de chaume s’élève au
est assis sous
centre, devanl une terrasse
oii
des jeunes femmes accoudées sur une balusirarle convoitent
—
grimpant.
les fleurs d'un rosier
Dans
second, sur une pelouse, des jeunes gens
le
un cerf-volant. Luie jeune femme, vêtue de blanc,
s’efforcent de lancer
est
assise
<i
inté-
l
rieur d'un petit temple en ruine.
T.
Vente Miai.let,
11)02.
PAYSAGES
—
D’ITALIE.
quatre panneaux
—
1"'52
ii® .30
0,000 francs
;
deux.
les
D('coralion com|>osée de deux grands panneaux cintres du haut
— Sites agi'esies
éti'oits.
en partie boisés, avec moulin à eau, constructions divei'scs
Grands
|)anne;iux
:
—
2'*'00
1003, Vente Lei.oxu;, iP 505
LE.S
MONUMENTS
—
PARLS.
Dh]
A
l'"55.
gauche,
plus loin,
la
les
— (Signé sur
fontaine de Rabylone.
T. 1004. Vente 11 ”
UNE FONTAINE. jaillit
— Au
J
;
!
—
la
tailleurs de pierre travaillent,
st.itue
halle au
la
que scie
!
c([uestr(' l>le.
*Vu
Panthéon;
ouvrier
:
II.
XV;
de Louis
second plan,
la
à l’arrière-plan,
Robert, IRIS.)
]“'75
2S
n''
Rome
Les Monuments de
d’un mascaron sur un bassin à [)Ctit(‘ fille,
lui
42,000
;
—
•
Fn/r
le
fram
s,
.avec
nn'me su jet
un
pendant,
en
\-eiidu
170.3.)
la
margelle brisée.
montre
l
inscription
Une femme debout, :
le lu'as
Fonlanu Dei Rirbanti.
passé
— (Signé
daté 1707 ). T.
1004.
LE DESSINxNTIMJR.
4'ente
—
0"‘5(i
—
Madame RinGWAV,
Assis sur un
fût
0"'4t)
n" 31
Signé
et
8,400 bancs
:
à
les ligures d iin bas-relief
daté 1701.) T. 0"’50 Jf)04.
Vente
Madame Guiahu.
de colonne, vêtu de gris, sous un manteau rouge,
dessine sur une ])lanche posée sur ses genoux (
tout.
a|)erçoit, à droite, le
Madame Ridgway,
27
— 0'"25
f'Oti
:
l’cntre,
la pierre
‘>'17
(piehjues figures.
centre d Une laalustraile, deux tritons luttent sur une vascpie d’oii beau
autour du cou de sa et
Au
colonne de
la
colonnade du Louvre, derrière laquelle on la
le
et
monument des
le
regardent.
fontaine des Innocents,
de
porte .Saint-Denis, sous hupielle passe un
la
carrosse attelé de (piatre chevaux; devant
un groupe de personnages
— Petits
2,000 francs
:
et
traversés de torrents tourmentés de rochers et
—
Madame Ridgway,
0"'30
n“ 32
:
3,200 francs.
monumental.
il
—
HUBERT ROBERT
158
NATURE MORTE.
—
Sous
pommes posés
coupole, dans un œil-de-bœuf en pierre sculptée, une vasque à
la
mascarons à motifs de
têtes de
Méduse
sur une baie en marbre rose.
—
T. 0”97
Madame Ridgway,
1904. Vente
LA FERME.
—
Devant
de lions, est remplie de raisins, de melons et de
et
— (Signé
et
daté 1768.)
1“45
n“ 33
14,000 francs.
:
Une paysanne, portant sur sa tête un panier, monte l’escalier d’une ferme. porte, une femme et un enfant. A droite, au bord d’un cours d’eau, deux
la
paysannes;
gauche, divers ustensiles de travail.
à
0^58
M. T. Shiff,
1905. Vente
RUINES ROMAINES.
—
A
—
n“ 73
— (Signé à droite H. Robert,
0”78 550 francs.
:
gauche, devant un édifice précédé d’un large escalier, un
couché sur une colonne, une mère tenant dans ses bras son enfant pitant sur le sien tombé.
1905. Vente
la
berge un
femme 2.
A
bois,
:
droite,
M. T. Shiff,
homme
et
droite, sur le
une femme.
n“ 74
A
homme
une autre se préciles
arches
1795.)
1,000 francs, à M. Saint-Marceaux.
:
A
1.
pêcheurs dans un torrent
droite, trois
gauche, une femme puisant de l’eau
marmite au-dessus d’un
feu.
Au
fond, un
homme
et
et sur
une autre
sur un pont.
—
bord d’un cours d’eau, est assis un pêcheur; au milieu, sur un pont de
et trois
paysannes
et
un enfant. Sur
T. 0'“58 1905. Vente
M. T. Shiff,
—
n® 75
:
1906.
debout, l’autre assise.
Au sommet du
620 francs
rocher, un
T. 0“57
1905. Vente
M.
—
T. Shiff, n° 77
avec ruines et petits personnages.
:
J.
Doucet,
JARDIN D’UNE VILLA ITALIENNE,
n°
Doucet,
n“ 76
Sur
homme
grève,
la
et
850 francs.
:
deux femmes,
une femme.
Au
loin, la
l’une
mer.
— (Signé et doté 1773.)
80
:
—
0”165
4,500 francs.
Nymphée, avec
T. (ovale) 0“'40 J.
—
;
920 francs.
[ircmier plan.
1906. Vente
amas de rochers.
0“>40
B. (ovale) 0"’21
Vente
les côtés,
0™78
UN TUNNEL NATUREL AU BORD DE LA MER.
PAYSAGE,
et
une femme près d’un obélisque. Au fond,
—
LES PÊCHEURS.
surveillant une
un chien
A
— (Signé au milieu H. Robert, 0"’58 — 0™78
d’un aqueduc en ruines.
DEUX PENDANTS
1797.)
n® 81
:
—
0"‘33
5.100 francs.
])ièce
d’eau
et
personnages au
CATALOGUE LA FONTAINE.
—
Dans
les jardins
d’une
romaine, auprès d’une fontaine que domine une
villa
femme avec un
statue gigantesque, une jeune ( Esquisse signée.)
—
T. 0“59 190().
Vente
J.
Doucet,
n® 82
RUINES ANIMÉES DE PERSONNAGES.
J.
Doucet,
6,300 francs.
:
— 83
n®
(Esquisse.)
—
0'"25
500 francs.
:
CASCADE DANS LES ROCHERS DE RONCILIONE. Au premier
—
enfant étend du linge sur une corde.
0“45
T. (marouflée) 0“33 1906. Vente
159
—
Elle coule sous un pont de bois.
—
plan, un pêcheur en veste rouge et une jeune paysanne avec deux enfants.
(Signe' et daté 1791.)
—
T. 0“'36 1906. Vente
Agnès, n® 23
J. -B.
:
0”26 5,600 francs.
ANCIEN ÉDIFICE SERVANT DE BAIN PUBLIC.
—
Un
bassin de forme rectangulaire
s’étend entre deux arches d’un édifice en ruine présentant en perspective une longue
colonnade.
Au premier
plan, sous
la
première voûte, des hommes
et
des femmes
vestiges d’architecture. Plus loin, sur les degrés d’un escalier qui borde
baigneuses au repos. (Signé 1907. Vente
daté 1796.
et
vers
le
et
Comte A. de Ganay,
n® 52
—
14,500 francs.
:
A
gauche, une porte monumentale ornée
de colonnes cannelées, de bas-reliefs
fond, un hémicycle ouvert par de
et
d’une statue antique.
A
la tète
et
fillette.
—
Un
1907. Vente
—
0‘"86
Comte A. de Ganay,
n° 53
LE DÉPART POUR LA PROMENADE. perron baigne dans
avec sa petite
chien au repos. Dans
le
fond, trois
assis
femmes
et et
(Salon de 1796.) T. 0“‘75
prendre place.
Une
accompagnée de deux enfants,
marche près d’une autre femme en robe rouge. Au premier plan, deux soldats appuyés sur une colonne renversée.
droite et
hautes arcades et décoré de mascarons.
femme, en robe bleue portant une cruche sur
une
des
et
bassin, des
— Salon de 1796.)
MONUMENTS EN RUINES ET PERSONNAGES. de pilastres
le
l’eau,
fille.
Dans
le
— (Signé
Devant un palais
plan, à droite, un
à colonnes et fronton, dont le
homme
trois
personnages vont
en manteau rouge et une paysanne
fond, accoudés à une balustrade, des groupes de curieux sous et
daté en bas, à droite, 1796.) B. 0"’30
1907. Vente
6,100 francs.
une bai’que est accostée, dans laquelle
Au premier
de grands arbres.
—
:
anonyme
—
0'"26
(10 avril), n° 21
:
2,100 francs.
HUBERT ROBERT
IGU
LA FONTAINE.
—
Elle est l'orniée d un socle de pierre supportant une statue de Raccluis. L’eau
femmes lavent du
coule d un niascaron dans un grand bassin où des
remplit sa cruche, nn les laveuses.
A
entre nn arbre
petit
garçon
et
une
Au
tenant une branche d arbre, regardent
fillette,
et la statue.
M.
1907. Veille
—
Un homme
un chien. An second plan, des draps sèchent sur une corde tendue
droite,
T. 0™4b
LA PRIÈRE.
linge.
—
X... (de Vienne';,
0"‘38
40
n'’
11,500 francs, à M. Cognac.
;
centre, dans l'encadrement de grands arbres, des paysans sont agenouillés
A
sur les marches de pierre d'une grande croix. d'arljres à terre
;
à droite,
un paralylique
gauche, au premier plan, des troncs
dans un chariot.
est traîné
Au
fond, l’entrée
d'une forêt. T. 0‘"82 1908. Vente
—
LES LAVEUSES. précipiter. tant
un
anonyme
(8 avril), iP
Sons une arche
faite
une jiaysanne
du comte de
anonyie
1908. ^’cnle
LA FONTAINE RU.STlOl’E.
—
A
A gauche, une
marches ilonneni accès marches, un
24
:
7,000 francs.
monumentales, une que sur
linge, tandis
ipii est
venue puiser de
la
cascade vient se
berge un homme, por-
l'eau.
—
(Ancienne collection
lieilhac.)
T.
colonnailes.
0‘”0.">
de jiierres
Des jeunes femmes lavent leur
fouet, parle à
fontaine .}
—
homme
à
(I
0'"8r)
—
l‘"25
décembre), iP 10
I
droite, derrière
9,100 francs à M.
:
J.
Hombeiig.
un repli de terrain, apparaît un temple
haute colonne surmontée d une statue. Sur
le
devant, quelques
nue fontaine en pierre où s’abreuve une paysanne. Sur
est assis
à
vu de dos. Plus haut, d’autres personnages.
— (Signé sur
les la
— Ancienne collection au comte de ReiUtac. — 1"‘25 T. 0"‘,S3
anonyme
1908. 3’ente
LE TEMPL17 D’AORIPPA.
—
monnmenlal conduit de orne de lions
(|iiel(|ues
mendiants.
I
décembre',
l
inlérieur du temple à
et île
la
cariatides. Aiqii’ès de
A gam
N’ente
:
10,000 francs à M.
l
air
libi’e.
et
J.
IIoMBEitG.
de slatnes, un escalier
Nombreux personnages. A
slainc d Agrippa, sonlenue par nn imposant molil d’archi-
anonvnie
(1
I
àire,
une lenime debout; sur
homme descend dans
be, nn
T. OnibO 1908.
11
iP’
Par une longue voùle ornée de niches
gauche, nn feu brille devant leeiiire
1
1
—
nn souterrain.
lmp)
deeendire), n“ 12
:
7,100 francs.
les dalles,
FONTAINE ET COLONNADE DANS UN PARC (A
Madame
la princesse
de Croÿ-Soîre)
Photographie Moreau frères
/ ,
4
.3
' .
I
:i
«
t
 a
1
i
(I
1
GATAI. OGUE
—
LES CASCADES.
A
iravors des roches, une cascade hondil par
deux hommes.
rive,
—
!
1908. Veille
Un
—
anonyme (H
lÆ TORRENT.
:
cliiiles
chien se détaclie sur
le
1"’23
décemlire), n”
—
1.8
un cavalier
A
8, .300 francs.
;
La roule, sur un
jiarapet,
enfant; à côté, d'autres personnages.
de pierre, traverse
])onl
T.
gauche, un cliemin creusé dans
—
A
gauclie, une roule suit
un chien, un gi’and chariot. Plus
gramme
et
0"’4.3
un pont
daté 11 SUT. 0'"44
1908. N'enle
—
LA CASCADE. la taille,
un
anonyme
Une paysanne,
montre
à
un
petit
coiffée d
L’INONDATION. bronze
et
—
D''
est
et
aboyant. Vers
fond, des peupliers.
Un
|)ont
12,200 francs
:
ju|te
:
fillette.
des enfants regardent une statue
anonyme
—
deux.
rouge retroussée autour de
A
droite, sur
et
la
A
crue d'une rivière.
gauche
des ruines.
et
Un
bate-
au premier plan,
A
droite,
un chien
0"'40
(28 mars), n” 89
7,000 francs.
:
do pierre traversant un cours d’eau donne accès à une construction
monumcnlale ornée de colonnes, de portique central s'élève
le
dais abritant trois femmes.
pilastres,
île
bas-reliefs et do statues.
groupe de Laocoon. Sur
A
le
Au premier
droite et à gauche, de larges escaliers animés de
plan, trois
hommes manœuvrent une T. P» 14
1908. Vente
Au-dessus du
cours d'eau, un liateau garni d'un
personnages. Une femme entretient un feu de bois, une antre puise de cruche.
les
0,200 francs.
entourée d eau par
T. 0"'30
—
13
cl
lm45
aune femme accom|)agnée dune
1908. Vente
et
Signé du mono-
t
pierre précédée d'un large escalier orné de lions de
une villageoise
UN PALAIS.
—
G. -II. N..., n® 43
Une construction de
le
—
au repos près d un grand arbre déraciné.
couronnée d une terrasse
lier offi’c jiassage
le
0"’55
un lichu blanc, une
T. 0"'91 1908. 4 ente
—
deux rives.
gargon une chute d'eau coulant entre des rochers.
tertre, plusieurs villageois
un
Fonds montagneux.
animée de personnages, un âne
relie les
décemlire), n"’ 14
(I 1
et à
roc suit
le
0"'33
torrent. lUIe est
le
loin,
torrent.
le
une femme
est arrêté, parlant à
torrent; à droite, un grand rocher et des maisons dans les arbres.
LE RA4TN.
successives. Sur la
Signé du monogramme, h droite.) T.
DEUX PENDANTS
IGl
anonyme
—
slatiie
l'eau
nombreux dans une
de pierre.
P''48
(28 mars), n" 40
:
1,000 francs. 21
HUBERT ROBERT
162
PUITS.
—
Un
puit.s,
couvert d'un
de tuiles porté par des colonnes, est entouré d'une
toit
Un homme
margelle demi-circulaire devant une terrasse.
une femme montent un seau
et
d’eau, des draps sont étendus sur une balustrade qui relie des pilastres sup{)Ortant des
vases de fleurs, une laveuse est penchée sur un sarcophage antique.
descend un escalier ouvert sur une T.
allée d’arbres.
l.A
EONTAIAE.
—
—
0'":i5
1908. Vente A. Albeut, n® 93
Une femme
enfant à bonnet rouge.
an centre, deux
droite,
une femme
H. Robert, Rome.)
Une
d’un mascaron dans une vasque de forme
jaillit
A
homme
gauche, un
femmes
;
un chien se désaltère. Une
l’eau,
en porte un autre de
tète,
accoudé sur un
—
la
fût
main
droite, aidée d’un
de colonne. Vers
— (Signé
plus loin, un temple à colonnades.
1908. Vente A. Albeht, n° 94
—
:
0"‘4()
un enfant sont penchés sur
et
T. 0‘"32
LA TERRASSE.
A
L’eau d’une fontaine monumentale, ornée de colonnes d’ordre corinthien et
femme, vue de dos, un vase sur sa
cl
(Signé, à droite
5,000 francs.
:
d’une statue d’Apollon dans une niche, circulaire.
—
et
le
fond
daté 1199.)
0'"40
1J,100 francs.
;
terrasse, fermée par une balustrade de pierre ornée de statues et de
vases de fleurs, est ouverte au premier plan par un large escalier entre deux fontaines
formées de lions de bronze. Des femmes se reposent, des enfants jouent, d’autres per-
sonnages regardent
campagne qui
la
s’étend vers
—
T. 0'"24
n“95
J908. Vente A. Albeüt,
PAYSAGE AVEC RUINES.
—
Devant
le
fond, entre deux rideaux de pins.
0“’38
3,650 francs à M.
:
mines d’un temple
les
nages se reposent. Une femme en robe rouge tenant un d’un manteau blanc, entretenant une jeune arln’e
ébranché. Vers
le
—
T. 0"'62 1908. Vente P. Mebsch, n“ 105
PORTR.VIT PRhi.SUME DE LA FILLE DE vers
cheveux relevés
corsage goi'ge de |>igeon décolleté T.
1908. Vente P.
M'i
CHEMIN MONTANT.
—
A
assise sur un
FRAGONARD
bord
—
dans une fosse
reni[)lie d’eau,
sue
la
ciel,
un
(?).
—
3,100
:
homme
T. 0'"72
Mebsch,
Signé au centre et
En
buste, la tète tournée elle
porte un
tlu
fraiics.
chemin montant, un gros rocher .<\.u
faîte
de
en habit rouge
u" 73
— :
l"‘1.3
2,400
la cote,
à pic
sur
deux hommes se
sac. iVu |)rcmicr plan, en contre-bas, et
un enfant vont
route une vache blanche, dc'vant laquelle un chien aboie.
1909. \'enle P.
!
couvert
gauche, un
0"'40
un autre monte chargé d Un
le
—
un ruban noir autour du cou,
lequel se dresse un tronc d’arbre brisé et tordu. (Irtachent sur
cascade.
A
pierre.
orné d’une ruche de mousseline.
n“ lOti
droite, au
mur de
homme
5,400 francs.
:
ovalei 0‘"50
Mebsch,
garçon, un
0‘"88
et l>ouclés,
et
person-
à colonnade, plusieurs petit
fond, un cours d’eau, puis une
daté 1198.)
la droite, les
fille
Leroux de Villebs.
fr.iucs.
faire
remonter
CATALOGUE LE PARC. la
—
A
droite, les
163
grands ombrages d'un parc envahi par une foule de promeneurs. Sur
pelouse, un peu à l'écart, un
homme
en habit rouge dessine.
plan de rochers, un ruisseau coule au pied de grands peupliers.
en rotonde. T. 0“97 1909. Vente P. Mersch, n° 74
LA VIEILLE TOUR.
—
Au bord
tour ronde. Sur
vieille
dole qui s’éloigne.
Plus
loin,
de
rivière
la
—
Au premier
que traverse un
—
Au premier
Sur
et
la rive,
femme
parle à un pêcheur.
—
:
LES CASCADES.
P"29
2,800 francs.
un grand arbre. Deux et
paysanne vient puiser de sine; derrière lui,
—
deux enfants.
1“’41
.3,000 francs.
:
Une barque, chargée de
visiteurs, fait le tour d’une
l’eau
assis près de son chien,
;
homme
un
la
rive,
une
en habit rouge des-
une femme en blanc regarde par-dessus son épaule. Adroite, une haute
muraille de rochers à pic. La
campagne T. 2"'21
homme
s’étend au fond jusqu’aux collines.
—
0>"54
Au premier
canal sillonné de bateaux.
grands pins, un
—
cygnes, qu’alimente à gauche une cascade. Sur
pièce d’eau peuplée de
Un
cieL
le
entre deux ruisseaux, une maison de brique rouge à belvédère, un moulin et
1909. Vente P. Meiisch, n® 76
—
temple
pont de bois, à gauche, une
petit
plan, devant l’étang, une pelouse où se dresse
T. 0"’97
DEUX PENDANTS
petit
un enfant que vient de déposer une gon-
deux moutons que conduisent leurs gardiens, puis deux femmes
d’autres habitations.
LE C.VNAL.
et
plan, sur la rive droite, une
1909. Vente P. Mehsch, n“ 75
vaches
un
4,200 francs.
:
d’importants bâtiments et un petit temple qui se détache sur T. 0™97
L’ÉTANG.
gauche, un premier fond,
1”29
chemin, deux femmes
le
A
Au
plan, sur
un
tertre,
au pied de deux
en costume Directoire accompagne deux jeunes femmes; près
d’eux, un chien aboie. Plus à gauche, devant un bouquet d’arbres, trois
hommes
tirent
sur une corde pour amener une barque au rivage. Sur l’autre rive, un château parmi les
arbres.
T. 2™21 1909. Vente P.
Mersch,
n“®
l'"54
77 et 78
:
19,000 francs les deux.
PERSONNAGES AU MILIEU D’UN PALAIS EN RUINES. partie défoncée,
on remarque
drapés se chauffent à
la
la
statue éipiesiia; d'un
1909.
V'^ente
V. Sardou, n°
.'13
;
—
Sous une voûte immense, en
empereur romain. Des personnages
llamme d’un brasieix T. (ovale) 0"’73
—
0'"59
5,100 haines.
HUBERT ROBERT
164
—
UNE VOUTE.
Un
large escalier s’ouvre sous une voûte, des personnages en gravissent les
degrés. T. 0”32
1909. Vente V. Sardou, n° 34
VUE DU PONT DES SPHINX. est
—
—
0“44
1,520 francs.
:
Au premier
plan, une arche dans laquelle, de chaque côté,
ménagé un passage auquel on accède par un
lions stylisés en sphinx.
A
droite, des
rampe de
escalier à
ménagères lavent leur linge
terminée par des
fer
et l’étendent
A
cordes. Entre les deux rives, une planche jetée, que traverse un chien.
Au
brasier.
fond, des rochers, un autre pont de
— (Signé
arbres.
et
daté à gauche sur
le
T. O^Oe
1909. Vente G. Chabert, n° 7
DEUX PENDANTS
LE CHATEAU.
:
A
s’élève à gauche.
Dans
château.
le
droite,
coin,
—
le
garde-fou de
—
moine donne
A à
26,000 francs
:
—
—
A
les
àM. Hottinguer. Louis XII,
il
du deuxième étage conduit au balcon du
un mendiant
—
un château dans
tour construite sous
la
gauche, de grands arbres; à droite, à des pèlerins,
et
gravé par P. -A. Martin.)
le
seuil
du château
homme.
—
et sur le
(Signé en haut,
1">45
la
chapelle.
et différents
Au premier
plan, un
autres personnages.
1“45
1909. Vente G. Chabert, n"® 8 et 9
lessive.
été
voûte, trois chevaux et un
la
la tour.)
manger
—A
un massif de grands arbres. Sur
T. 2‘"48
LE CLOITRE.
deux arches
baril.
1“>63
à hauteur
T. 2"'48
LA CHAPELLE.
—
Flanqué de
un pont
balcon, divers personnages. Sous
sur
fond d’un
sur des
gauche, un
:
34,500 francs
les
deux.
droite, le cloître; des religieuses y sont occupées à d’humbles besognes de
Au premier
de pierre. Par
la
plan, à gauche,
un portique auquel on accède par un large escalier
baie des portiques on aperçoit
T.
1"'30
—
1909. Vente G. Chabert, n° 10
LE DliBARCADERE.
—
l’église.
l-"05
9,500 francs
:
àM. Charley. bords du Tibre
L’artiste, par fantaisie, a placé sur les
entre les deux palais du Capitole.
Une barque, ornée de
des promeneurs. Composition ornée de noml)reuses figures.
Panneau 1909. Vente F. Doistau,
PONT ACCEDANT A UN PALAIS. se détachant sur le
—
n'’
—
0‘"26
51
:
n“ 52
— :
— (Signé
et
daté 1182.)
0'"43
de
la rivière,
ciel doré, une statue équestre.
1909. Veille F. Doistau
Panthéon
34,000 francs à M. Stettiner.
Au bord
T. 0"’49
le
riches tentures, va débarquer
—
des bateliers
et
des lavandières
(Signé et daté en bas, à gauche.)
0‘’‘76
8,100 francs à M. Mandiargue.
MADAME ROBERT, NÉE
SOOS,
FEMME DE L’ARTISTE
(Musée de Besançon)
V
1
ai:-/
>*•
'S
;
•
,
CATALOGUE L’ARC DE TITUS, A ROME.
—
Vue d’une
partie du
nages.
B. 0”25 1909. Vente F. Doistau, n" 53
LAVANDIÈRES.
—
Au
— :
165
Forum romain, animé
de petits person-
0“20
2,650 francs à
M. de Blacas.
fond d’une galerie d’un palais en ruine,
derrière une muraille, des
lavandières lavent et étendent du linge sur des cordes tendues.
T. 0“41 1909. Vente F. Doistau, n® 54
L’ARC DE TRIOMPHE.
—
Au -dessous
— :
0”32
1,900 francs à
Madame
la
marquise de Ganay.
d’une porte monumentale et formant son soubasse-
ment, une fontaine qu’animent des lavandières T. 0“>23 1909. Vente F. Doistau, n® 55
— :
et
personnages divers.
0”44
5,705 francs à M. Lévy.
I
I
\
^
(
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N. }
l"
fV
i
»
.î
TABLE DES MATIÈRES PAGES
HUBERT ROBERT I.
II.
III.
— — —
1
LES ÉTUDES A ROME
9
LES SUCCÈS A PARIS
37
LES DERNIERS VINGT ANS
69
CATALOGUE DES ŒUVRES PEINTES PAR HUBERT ROBERT ONT PASSÉ EN VENTE PUBLIQUE DEPUIS
qui
1770 .IUSQu’eN 1909, DRESSÉ PAR
Georges Pannier
91
TABLE DES ILLUSTRATIONS HUBERT ROBERT Hubert Robert,
:
portrait peint par
Madame
Vigée-l>c Brun,
en 1788, fac-similé
en couleurs (Musée du Louvre)^ frontispice
1.
—
En
rogaid du
liti-e
Les Bûcherons (A M. Pierre Decourcelle)
1
Détail d’un tableau de ruines (Musée du Louvre)
7
LES ÉTUDES A
ROM]<]
Fontaine antique, dessin pour
:
le
nature par Messieurs Robert
Rome
et
de Naples.
»
frontispice des
et
«
Différentes vues dessinées d’après
Fragonard, peintres du Roi, dans
les
environs de
(Musée de Besancon.)
9
Gampo-Vaccino et le Colisée, a Rome (A Madame Lefebvre), eu regard de. Le Portique d'Octavie, a Rome, servant de Marché aux poissons (Musée du IjE
.
Louvre ),
,
18
en regard de
Etude d’après la Villa Médicis, a Rome (Musée du Louvre), en re gard de Étude dans une Villa romaine (Bibliothèque Albertine, à Vienne), en regard L’Abside de Saint-Pierre de
16
Rome
(Bibliothèque Albertine, à
22 de.
.
.
Vienne}, en regard de.
24
26
,
HUBERT ROBERT
168
PAGES
Les Chanteurs ambulants (Musée du Louvre),
Le Temple de la Sibylle, a Tivoli Intérieur de Saint-Pierre de
Rome
(A
28
en regard de
Madame
(les pèlerins
DE l’apôtre) (Bibliothèque Albertine, à Vienne),
30
Lefebvre), en regard de
devant la statue de bronze 32
en regard de
Détail d'un tableau de ruines (Musée du Louvre)
II.
—
LES SUCCÈS A PARIS
35
:
L'Allée royale ou le Tapis vert, a Versailles (replantation des jardins de Versailles en 1775 (Musée de
37
Versailles)
Portique avec la statue de Marc-Aurèle (Musée du Louvre),
en regard de.
.
.
.
Colonnade d'un Temple ruiné (Musée du I.nuvre), en regard de Le ^’IEUX Pont Collection de M. Georges Pannier), en regard de Les Joutes sous le Pont Notre-Dame, a Paris (Musée Carnavalet), en regard de. Temple de Pæstum et Obélisque (Bibliothèque Albertine, à Vienne), en regard de. Allécorie sur la décadence de la famille Du Barry (Institut Staedel, à Francf
.
fort),
.
.
42 44 46
48
en regard de
La Chambre a coucher de Madame Geoffrin (A M.
le
comte de
la
Bédoyère),
oO
en regard de .
38
40
Madame Geoffrin
se
promenant dans le jardin de l’Abbaye Saint- Antoine (A
M. le comte de la Bédoyère) en regard de 1æ Roi Louis XVI et la Reine Marie-Antoinette, DANS LES JARDINS DE VERSAILLES, en 1775 (Musée de Versailles),
far-siiiiilc
OU
l’entrée du Tapis vert,
coiilciirs clu cU'taü d'iiii tableau peint
54
en regard de
Le Bosquei- des Bains d’Apollon, a Versailles AU COMMENCE.MENT DU XIX® SIÈCLe)
Iæ Parc de Méréville (A Madame
Canal dans un Parc français
52 a
(le
rocher d'Hubert Robert 56
Carnavalet), en regard de
la comtesse
(Collection
Bnbert de Fitz—./ames),
Camille
Groult),
en regard de
.
en regard de
Jet d'eau dans un Parc français (Collection Camille Groult),
en regard de
58
60 62
La Maison carrée, les Arènes et la Tour Magne, a Vîmes (Musée du Louvre), 64
en regard de
Le Pont du Gard, en I..A
III.
—
Source,
detail d'un
I.,anguedoc /'A/mscg
la
66
en regard de
paysage (Musée du Louvre)
LES DERNIERS VINGT ANS
La Fête de
du Louvre),
67
:
Fédéra iton au Champ de Mars, 14
juillet
1700 (Musée de Ver60
sailles j IjEi tre d’IIubicrt
taVICC),
Incendie quise
Robert
a la marquise de Grollier (A
M.
le
vicomte du Pon-
en regard de
d
une Maison
Di;
de campagne (devant de cheminée peint pour la mar-
GbollierJ (A M.
Cascade en tre deux terrasses
le
vicomte du Pontavice), en regard de
(Collection
Camille G/'ou/tb
en regard de
72 74
,
,
,
TABLE DES ILLUSTRATIONS
169 PAGES
Le Sommeil de Mauat (Bibliothèque Albertine, à L’Entrée de la Prison ou la Mise en cage captivilas) (Ancienne collection
La Sortie de la Prison ou
Vienne),
78
en regard de
(Captivitas,
du duc de Vallombrosa),
captivitatis
et
omnia 80
en regard de
Oiseaux en liberté (Carceve tandem aperto)
les
(Ancienne collection du duc de Vallombrosa),
82
en regard de.
La Grande Galerie du Muséum national, au Louvre
(Collection Camille Groult),
84
en regard de
Les Monuments de Paris a l’époque du
Consulat, Teproduction d’une gravure
de R. Carrey d’après Hubert Robert, fac-sirnilé en couleurs
Le Repas des piusonnieiîs a Saint-Lazape,
,
en regard de
...
.
86
M. Pierre Decourcellej.
89
L’Orage (A M. Pierre Decourcelle) Le Bosquet des Bains d’Apollon (replantation des jardins de Versailles en
93
CATALOGUE
1775),
assiette peinte (A
:
fac-similé
en couleurs (Musée de Versailles), en
L’Escalier tournant
(Musée du Louvre),
La Cascade sous un pont (Musée du
96
en regard de
Louvre), en regard de
Intérieur de Parc romain (Musée du Louvre),
98 102
en regard de
Intérieur du Temple de Diane, a Nîmes (Musée du Louvre),
La Ter RASSE DE MaRLY (Au
prince
1
93
regard de
106
en regard de
110
oussoupoffj, en regard de
Les Démolitions du Pont-au-Change et la Tour de l’Horloge, a Paris, en 1788 (Musée Carnavalet)
114
en regard de
Portiques et Casino a la romaine (Bibliothèque
Albertine,
Cueillette rustique (Bibliothèque Albertine, à Vienne), Villageois
et
Chasseurs dans
une forêt (A M.
à Vienne),
en regard de.
le
comte de
la
Bédoyère),
126
en regard de
Le Jeu du Colin-Maillard (Musée Escalier d’une Villa romaine
d'Amiens),
(Collection
130
en regard de
Camille
L’Arrivée des Pêcheurs (Musée de Narbonne)
,
Groult),
comte de la Bédoyère),
134
en regard de
138
an rega,và de
Arc de triomphe a l’antique [Bibliothèque Albertine, à Vienne) en regard Madame Geoffrin déjeunani’ dans le jardin de l’Abcaye Saint-Antoine
de.
.
(A M.
.
.
146
Saint- Antoine
(A
M.
le
comte
de
ta
en regard de
148
Le Cabinet de Madame Geoffrin (Musée de Valence), en regard de Cascade dans un paysage italien (A Madame la princesse de Croy-Solre), en regard de. Fontaine et Colonnade dans un parc (A Madame la princesse de Croÿ-Solre) en regard de
Madame Robert, née Soos, femme
142
le
en regard de
Lecture dans le jardin de l’Abbay'e Bédoyère),
118 122
en regard de
152
156
160 de l’artiste (Musée de Besancon)
165
CE LIVRE suit
HUBERT ROBERT a été
imprimé ET
T,
ES PLANCHES EN ONT ETE GRAVÉES
PAU
^lAXZI,
A
J
O TANT
(k
Asnièrcs-sur-Seine
L’année
MCMX
ET
TIRÉES
i
I
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GETTY CENTER LIBRARY