01 LA MODE, LE GRAPHISME
EDITO N°01
Edito #1, la mode et le grpahisme peuvent se relier. On n’y pense pas forcément , et pourtant Étapes à décidé de faire un numéro spécial mode. nous allons passé par les beaux magazines de modes, les photographes du temps, du packaging, des invitations de défilés, mais aussi les collections et les motifs que l’on peut trouver sur toutes sortes de tissus. La mode c’ets graphique? Oui! et nous allons vous le prouver. Un numéro graphic fashion. sélection des affiches française de Chaumont. L’ investie l’espace publique avec des performances, des œuvres plastique et graphiques, pensées par les étudiants comme des balises, amenant à un parcours à travers le Centre Pompidou Mobile. L’exposition « Futura, une Gloire Typographique », histoire de la célèbre typographie de Paul Renner, proposé par Michel Wlassikoff et Alexandre Dumas de Rauly, est à voir au Théâtre.
DIRECTRICE DE LA PUBLICATION SARAH HERZ RÉDACTEURS EN CHEF ADJOINTS LOUIS ORLIANGES DIRECTRION ARTISTIQUE LAURE CIVET-DE LOUVENCOURT CRÉATION GRAPHIQUE & MAQUETTE JENNIFER NEYT COORDINATION KATE MATTHAMS-SPENCER SUIVI DE FABRICATION CHRISTELLE CAUSSE EDITORIAL MULTIMÉDIA PIERRE-MARIE LENOIR
RÉDACTION-RÉVISION MAUD CHARMOY WEB & APPLICATIONS MOBILES CHRISTELLE PAILLARD ONT PARTICIPÉ À CE NUMÉRO EUGENIE TROCHU PUBLICITÉ JULIEN BLANC ABONNEMENTS DAMIEN DIONNET IMPRESSION MANUFACTURE D’HISTOIRES DES DEUX-PONTS, BRESSON ANCIEN RÉDACTEUR EN CHEF / COFONDATEUR PATRICK MORIN
Mentions légales N° de commission paritaire: 0916 88598 Dépot légal de parution, issn 1774-5160 © adagp Paris pour les oeuvres des membres étapes: est édité par Pyramyd SAS au capital de 110 000€ dont le principal actionnaire est Michel Chanaud Papiers Ce numéro est imprimé sur SappiQuatro™ silk 300 g/m², SappiMagno™ natural 140 g/m², SappiMagno™ gloss star 135 g/m² (intérieur). Sappi est notre producteur de papier qui respecte les principes du développement durable.
Couverture imprimée sur Quatro™ silk 300 g, en quadrichromie avec vernis sérigraphique mat réservé sur pelliculage brillant dans les ateliers de la Manufacture d’Histoires Deux Ponts. Typographie Ce numéro est composé avec les caractères: Gill Sans dessiné par Damien Gautier & Quentin Margat dans les versions « Regular » (textes, légendes), et « Bold » (signalétique) et disponible chez www.editions205.fr Nexa dessinés par Veronika Burian et José Scaglione pour la fonderie Typetogether et dispnible chez www.myfonts.com Marian (titrage et exergue) Toute reproduction ou représentation intégrale ou partielle, par quelque , des pages ou images publiées dans la présente publication, faite sans l’autorisation écrite de l’éditeur est illicite et consitue une contre-façon.
OURS
ASSISTANT DE LA RÉDACTION PIERRE GROPPO
OURS
01 GLACÉ 15 MAGAZINES
17 self service
21 25 magazine
25 PHOTO
27 ezra petronio
33 theo wenner
02 CARTONNÉ
39 IDENTITÉE VISUELLE
41 invitations
45 catalogues
51 PACKAGING
53 poupées russes
57 dans la boîte
03 VITRÉ
65 INEZ & VINOODH
73 interview
81 la collaboration avec M/M
89 PUBLICITÉ
93 on mise tout sur Kenzo
97 interview
04 TISSÉ
111 COLLECTION
113 maxime rappaz
117 MOTIF
119 balmain paris
121 kenzo
SOMMAIRE
SOMMAIRE
AGENDA DU 04/04 AU 13/04/2014
DU 10/04 AU 10/04/2014
ART×FESTIVAL×PARIS FESTIVAL SONIC PROTEST 2014
CONFERENCE × GRAPHISME × PARIS PAROLE À DES SIGNES
Le festival Sonic Protest est un évènement hybride qui s'intéresse aux outsiders, aux artistes rares, aux expérimentations sonores et aux formes plastiques qui y sont associées. L'édition 2014 invite des noms de la scène musicale (Brigitte Fontaine & Areski Belkacem, Albert Marcoeur & le Quatuor Béla ou encore Lee Ranaldo et Thurston Moore (ex-Sonic Youth) et accorde également une place importante aux arts visuels. Au programme, Sonic Protest, investira la Générale pendant dix jours avec Let’s get physical. Cette exposition fait écho à la thématique de la physicalité du son et propose des installations sonores de Tetsuya Umeda, Jean-François Laporte et Arnaud Paquotte, et un programme de conférences (Andy Bolus, Harold Schellinx, Emmanuel Ferrand), de restitutions d’ateliers et de performances.
Le studio Des Signes, fondé en 2003 par Elise Muchir et Franklin Desclouds, est invité par la conservatrice Amélie Gastaut à intervenir au musée des Arts Décoratifs à l'occasion d'une conférence "Rendez-vous graphique". Les thèmes de la couleur, de la typographie et de la commande seront abordés par les graphistes qui reviendront sur plusieurs de leurs projets.
LIEUX DIVERS, PARIS
La conférence aura lieu le jeudi 10 avril à 18h30. MUSÉE DES ARTS DÉCORATIFS, PARIS
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DU 07/04 AU 18/05/2014
DU 17/04 AU 27/04/2014
EXPO × PARIS × PHOTO EMMANUEL PIERROT
DESIGN × FESTIVAL × PAYS BAS GRAPHIC DESIGN FESTIVAL BREDA
Emmanuel Pierrot, photographe à l'agence Vu, notamment connu pour ses "natures mortes" est l'invité de la galerie du Pont Neuf pour cette première exposition baptisée "Extra-Ordinaire". Ce magicien de l'image est considéré comme un électron libre de la photographie. Il possède un univers singulier et transmet dans ses clichés un regard alternatif et amusé sur la réalité. Le parcours rassemble trente photographies, mises en scène d’objets, de personnages ou d’animaux racontant des histoires qui reflètent l’âme des choses. Il nous fait rentrer dans son monde à part où l’imaginaire et le quotidien se côtoient.
Breda accueille à la fin du mois d'avril son célèbre festival du design graphique. Il réunit chaque année plus de 15 000 visiteurs autour d'expositions, workshops et conférences, qui investiront en 2014 littéralement les lieux : des panneaux publicitaires du centre-ville s'orneront pour une dizaine de jours de messages journalistiques. D'autres projets plus insolites seront également présentés, tels que l'initiative "Human Rights Tattoo". Les membres du collectif Tilburg Cowboys ont en effet décidé de tatouer 6773 personnes, chacune avec un des caractères de la déclaration universelle des droits de l'homme.
GALERIE DU PONT NEUF, PARIS
.LIEUX DIVERS, BREDA
AGENDA DU 08/03 AU 09/04/2014
DU 26/04 AU 24/05/2014
DESSIN×EXPO×PARIS PAPERWORKS
EDITION×EXPO×GRAPHISME LE LIVRE S’EXPLOSE
À l'occasion du Mois du Dessin à Paris, la Galerie LJ met à l'honneur neuf artistes qui travaillent sur papier. Elle sera également présente lors du salon Drawing Now Paris.
Dans le cadre de son programme «Le livre s’expose», le Pavillon Blanc, centre d’art contemporain de Colomiers, accueille le graphiste Grégoire Romanet et son exposition judicieusement intitulée «Le livre s’explose». Conçue comme un retour sur la monographie Territoires Intermittents, réalisée en 2011 pour l’artiste David Coste, elle décortique cet objet éditorial aux multiples formats et textures, pour en expliquer la construction.
L'exposition "Paperworks" présente le travail d' Allyson Mellberg, Antoine Corbineau, Clara Fanise, Tangent Lin, Jérémy Schneider, Frédérique Vernillet, Motomichi Nakamura et Anne Geoffroy.
Rencontre avec Grégoire Romanet le samedi 26 avril à 11h. GALERIE LJ, PARIS PAVILLON BLANC, COLOMIERS
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CONCOURS DE DESSIN: «L’ESPRIT ITALIEN» Pour célébrer son 750ème anniversaire, le papetier italien Fabriano organise un concours à destination de tous les adeptes du dessin, amateurs, étudiants ou professionnels. La participation est gratuite et ouverte à tous : pour s’inscrire, il suffit de se rendre dans l’un des points de distribution partenaires où est offerte pour l’occasion une feuille de papier à dessin Fabriano. Les participants sont en effet invités à réaliser leur création sur le thème "L'esprit Italien", en utilisant le papier à dessin "Accademia" 160 g/m² au format A3, et une technique sèche au choix (esquisse, dessin au crayon, fusain, pastel, crayons de couleur et à l’encre, graphite…).Leur production, signée et marquée de leur nom au dos, doit être remise le 5 mai 2014 à 15h au plus tard, soit dans un point de distribution. Le jury, composé notamment de l'artiste Ernest Pignon-Ernest, délibèrera le 7 mai. Les récompenses seront remises lors d'une soirée de vernissage le 15 mai 2014. Les lauréats recevront les récompenses suivantes: Pour le premier prix, un voyage de trois jours pour deux à Fabriano, en Italie, le village d'origine de la marque, où les ateliers de fabrication se sont installés en 1264. D'une valeur de 1600 € tout compris, le séjour comprendra une visite des usines du papetier et une découverte de la région. Le vainqueur recevra également une dotation de 750 € en papiers Fabriano. Les 2ème et 3ème prix recevront une dotation de 750 € en papiers Fabriano. Du 4ème au 10ème prix, les participants recevront une dotation de 130 € en papiers Fabriano, tout comme le lauréat du Prix du Public élu sur la page Facebook Fabriano 750 ans. Les 11 finalistes verront leurs œuvres exposées à l'Institut Culturel Italien à Paris, du 15 mai au 21 juin 2014, dans le cadre de l'exposition "Fabriano, Maître Papetier depuis 750 ans".
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EMSIHPARG EL ,EDOM AL
ÉCALG
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LA MODE, LE GRAPHISME
GLACÉ
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MAGAZINES
SELF SERVICE MAGAZINE Self Service est un magazine de mode et de culture biannuel basé à Paris.Une mise en page épuré, des changements de papiers agréables, des photographies différentes Self service est un magazine de mode mais surtout un livre qu’on présente fièrement sur sa table basse.
LA COUVERTURE DU SELF SERVICE Les habitués de cette section ne me connaissent probablement pas car je ne viens pas d’ici (je traîne plus bas d’habitude, rubrique sciences mais j’ai eu une idée d’atelier qui pourrait être sympa. Alors voila. A une époque reculé, il existait sur le une publication mensuelle qui s’appelait «le recap’ communautaire» où les membres participait à l’élaboration d’une news résumant un peu l’activité et les tendances du site. On y trouvait par exemple des liens vers des nouveaux tutos ou des présentations de projets de zéros . Pour faire original, je vous propose de réaliser non pas une news mais une maquette de couverture pour un magazine imaginaire ! Vous pourrez ainsi y placer vos coups de coeur ou ce qui anime la communauté comme des (gros) titres. Par exemple «Dossier : Les MMO amateur», «Reportage : l’école ouvre ses portes», «People : Nathalya s’enguelent» Ce que vous pouvez trouver rigolo sur le forum (que ce soit un sujet entier, un post au détour d’un thread un peu long, une bonne blague sur un sujet) ou encore un tuto qui est en vogue, une rumeur sur la roadmap. La couverture doit respecter le format magazine (avoir un titre, des illustrations ) Un format A4 ou ratio similaire est préféré.Le rendu peut-être posté soit en format image directement dans le forum, soit un pdf dont vous donnerez.
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LA MISE EN PAGE DU SELF SERVICE La mise en page, ou mise en pages, est l’opération de disposition graphique d’un contenu informationnel dans un espace donné (feuilles de papier, pages web). Elle succède au travail de collecte et de composition du contenu (composition de texte « au kilomètre », collection des composants), et précède souvent le travail d’impression. Elle peut le précéder dans la mesure où elle est prédéfinie (dimensions des colonnes, styles du texte, placement des illustrations, etc). Elle vise à représenter le contenu (textes, images, animations…) de manière hiérarchique et harmonieuse (équilibre des zones, des couleurs et des espaces, contrastes), afin de faciliter un parcours de lecture à plusieurs niveaux, avec un souci constant d’ergonomie.
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25 MAGAZINE À mi chemin entre le magazine de mode et la revue culturelle, la directrice de création ainsi que top modèle Anja Rubik souhaite parler des femmes et de sexe, avec élégance, finesse et intelligence. Laissant de côté le trash et la vulgarité. 25 c’est avant tout un magazine surprennant.
LA COUVERTURE DU 25 Quelle déception pour moi d’être passé complètement à côté du (re)lancement du magazine «25». En faisant des recherches pour l’article, les rares informations que j’ai retrouvées sont d’anciennes couvertures, trois couvertures différentes pour le premier numéro daté du printemps 2010 et une pour celle de l’édition automne hiver 2010 ! Sauf que depuis plusieurs mois, la top modèle Anja Rubik travaillait sur une nouvelle version du magazine... «25» est disponible à la vente dans quelques très bonnes adresses internationales (Colette, Luisa Via Roma et Galilu) et sur internet depuis début juillet. Il sera, nous le lui souhaitons, bi-annuel. Techninquement, le magazine a l’air assez surprenant puisqu’il n’a pas de couverture, il est relié et vendu dans une boite reliure, agrémenté d’un tirage photo. On nous annonce aussi le choix d’un très beau papier recyclé pour l’impression des pages intérieures, vice et vertu... Plus que de vice (je n’aime pas ce mot) c’est de luxure et d’un esthétisme sexué dont il est question... car Anja souhaite à travers son magazine, à mi chemin entre le magazine de mode et la revue culturelle, parler des femmes et de sexe, avec élégance, finesse et intelligence. Laissant de côté le trash et la vulgarité. Petite parenthèse, mais Carine Roitfeld a elle aussi été mannequin !
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LA MISE EN PAGE DU 25 Anja Rubik dans son nouveau rôle de directrice de création, revendique une fascination pour la presse des années 60 à 70 où érotisme et sensualité rivalisaient avec certaines libérations de mœurs. Un créneau semble t-il disparu à ses yeux. 69 année érotique ! Et 25 comme nouveau symbole graphique du 69, une évidence quand on regarde le logo du magazine. Finalement qui mieux qu’un mannequin, sujet de désir et de convoitise et des femmes photographes de mode, Inez Van Lamsweerde, Ellen Von Unwerth, Annie Leibovitz, Katja Rawles entre autres pour essayer de retrouver cet érotisme perdu. Pour être complet je n’oublierai pas de mentionner la participation du rappeur artiste bientôt globale Kanye West, de plus en plus attaché au milieu de la mode, dans une vidéo réalisée par Barnaby Roper. Un film cherchant comme nouveau symbole graphique du 69, une évidence quand on regarde le logo du magazine. Finalement qui mieux qu’un mannequin, sujet de désir et de convoitise et des femmes photographes de mode, Inez Van Lamsweerde, Ellen Von Unwerth, Annie Leibovitz, Katja Rawles entre autres pour essayer de retrouver cet érotisme perdu. essayant de donner une nouvelle dimension à la pornographie... là aussi surprenant, tout comme le prix, une évidence. Pour conclure, l’expérience de 25 magazine, se partagera aussi sur le site ! 25 Magazine - 69€
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27 EZRA PETRONIO
Ezra Petronio est photographe de mode mais aussi fondateur et éditeur de self service magazine. Des photographies audacieuses et des cadrages osés font d’Ezra Petronio un photographe qui retient notre attention. En juillet 2007, Ezra Petronio décide de ne pas renouveler son contrat Dior Homme, arrivé à échéance. Afin de le persuader de rester, la maison de couture lui propose de financer sa propre griffe, mais les discussions échouent et Petronio souhaite reprendre sa liberté, revenir à la photographie et se mettre en retrait. Il enchaîne alors plusieurs expositions en Europe, à la Fondation d’art contemporain Ellipse de Lisbonne, au Foam Museum d’Amsterdam, à la galerie Arndt Partners plusieurs expositions. de Berlin (exposition sur la jeune scène newyorkaise, Dan Colen, Nate Lowman, Dash Snow, etc.), au Musac, et à la galerie Almine Rech à Paris. Ezra Petronio part aux États-Unis et s’installe à Los Angeles en 2010, une ville dans laquelle il a ses habitudes depuis les années Yves Saint Laurent. Il s’y consacre exclusivement à une étude de la Californie et commence un cycle californien qui sera l’objet de plusieurs expositions. Il publie fin 2011, Anthology of a Decade, « lexique » exhaustif de ses années de mode et de photographie, chez JRP-Ringier. Les archives photographiques de la décennie sont présentées sous forme de quatre volumes, dédiés à chacun de ses cycles : Paris, Berlin, Londres, Los Angeles. Quelques années plus tard, il consacre une exposition de groupe aux artistes californiens, de John Baldessari, à Ed Ruscha ou Chris Burden, mais aussi à la jeune garde, représentée par Sterling Ruby, Mark Hagen, Aaron Curry, ou Patrick Hill.
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Il revient finalement dans la maison Yves Saint Laurent début 2012, après son premier passage entre 1996 et 2000, en remplacement de l’Italien Stefano Pilati,comme « directeur de la création pour la couture » selon ses motsn. Change le nom de celle-ci pour Saint Laurent Parisn. et délocalise son studio de création à Los Angeles; il poursuit tronio. retrait. Il enchaîne alors plusieurs expositions en Europe, à la Fondation d’art contemporain Ellipse de Lisbonne, au Foam Museum d’Amsterdam, à la galerie Arndt Partners plusieurs expositions. de Berlin (exposition sur la jeune scène new-yorkaise, Dan Colen, itre que la silhouette et le style propre à Petronio. retrait. Il enchaîne alors plusieurs expositions en Europe, à la Fondation d’art contemporain Ellipse de Lisbonne, au Foam Museum d’Amsterdam, à la galerie Arndt Partners plusieen parallèle sa carrière de photographe. Les conv sur les réseaux sociaux naissants, au même t que la silhouette et le style propre à Petronio. retrait. Il enchaîne alors plusieurs expositions en Europe, à la Fondation d’art contemporain Ellipse de Lisbonne, au Foam Museum d’Amsterdam, à la galerie Arndt Partners plusieurs expositions. de Berlin (exposition sur la jeune scène new-yorkaise, Dan Colen, itre que la silhouette et le style propre à Petronio. retrait. Il enchaîne alors plusieurs expositions en Europe, à la Fondation d’art contemporain Ellipse de Lisbonne, au Foam Museum d’Amsterdam, à la galerie Arndt Partners plusieurs expositions. de Berlin (exposition sur la jeune
scène new-yorkaise, Dan Colen, Nate de lowaLowman, Dash Snow, etc.), au Musac, et à la galerie Almine Rech à Paris. Ezra Petronio part aux États-Unis et s’installe à Los Angeles en 2010, une ville dans rait. Il enchaîne alors plusieurs expositions en Europe, à la Fondation d’art contemporain Ellipse de Lisbonne, au Foam Museum d’Amsterdam, à la galerie Arndt Partners plusieen parallèle sa carrière de photographe. Les conv sur les réseaux sociaux naissants, au même t que la silhouette et le style propre à Petronio. retrait. Il enchaîne alors plusieurs expositions en Europe, à la Fondation d’art contemporain Ellipse de Lisbonne, au Foam Museum d’Amsterdam, à la galerie Arndt Partners plusieurs expositions. de Berlin (exposition sur la jeune scène new-yorkaise, Dan Colen, itre que la silhouette et le style propre à Petronio. retrait. Il enchaîne alors plusieurs expositions en Europe, à la Fondation d’art contemporain Ellipse de Lisbonne, au Foam Museum d’Amsterdam, à la galerie Arndt Partners plusieurs expositions. de Berlin (exposition sur la laquelle il a ses habitudes dis les années Yves Saint Laurent. Il s’y consacre exclusivement à une étude de la Californie et commence un cycle californien qui sera l’objet de plusieurs expositions. Il publie fin 2011, Anthology of a Decade, « lexique » exhaustif de ses années de mode et de photographie, chez JRP-Ringier. Les archives photogrie Arndt Partners plusieen parallèle sa carrière de photographe. Les conv sur les réseaux sociaux naissants, au même t que la silhouette et le
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THEO WENNER Malheureusement plus connu pour son hypothétique relation avec Hannah Montana aka Miley Cyrus, Theo Wenner c’est aussi un jeune photographe talentueux. On aime ces mises en scène et ces compositions, le style rétro et l’audace.
35 Theo Wenner (born Theodore Simon Wenner in New York, NY in 1986) is the son of Rolling Stone co-founder Jann Wenner and Wenner Media VP Jane Wenner. He began as a model, but later headed behind the camera and became a photographer for Rolling Stone, shooting multiple A-list stars. He came into spotlight when dating Liv Tyler, who was ten years his senior. Currently, he’s reportedly seeing Miley Cyrus.Chalk it up to nepotism, cost cutting or just good genes, but aspiring photographer Theo Wenner, son of Jann, is getting a lot of work from Rolling Stone these days. In recent months, the 23-year-old has photographed Ke$ha, MGMT and Corinne Bailey Rae for the biweekly. Wenner is a familiar face at the magazine: he interned in the photo department over the summer of 2006, and got his big break two years later when he was commissioned to shoot Robert Pattinson for the 2008 Hot List issue. (Notably, he’s gotten quite a bit of mileage out of the series — last summer, Us Weekly, another Wenner Media property, devoted several pages to “never-beforeseen” photos from the shoot, and some of his Pattinson pics have appeared, presumably through syndication agreements, in issues of Dossier magazine and Swedish Elle.) Asked about Wenner’s contributions, Rolling Stone’s creative director, Jodi Peckman, told WWD: “Theo gives a fresh, new perspective to the pages of the magazine. He displays confidence, style and a great knowledge and appreciation of photography in all its forms.” Peckman has good reason to effuse about her boss’ son, but other mags are hiring him, too. Vanity Fair published Wenner’s portrait of “American Idiot” actor John Gallagher Jr. in this month’s front of book, and the French biannual Purple featured his work in a multiphotographer fashion spread in spring 2009. (The story’s other contributors? Ellen von Unwerth, Magnus Unnar, Mark Borthwick and Mario Sorrenti’s sister, Vanina.) And Wenner’s also clocked
time in front of the camera. He posed for Hogan’s fall 2009 ad campaign, alongside comely New York youths including Annabelle Dexter-Jones and Nate Lowman. Clearly, being a Wenner didn’t hurt there, either. Neither the elder Wenner nor his son were available for comment. Notably, he’s gotten quite a bit of mileage out of the series — last summer, Us Weekly, another Wenner Media property, devoted several pages to “neverbefore-seen” photos from the shoot, and some of his Pattinson pics have appeared, and Swedish Elle.) Asked about Wenner’s contributions, Rolling Stone’s creative director, Jodi Peckman, told WWD: “Theo gives a fresh, new perspective to the pages of the magazine. He displays confidence, style and a great knowledge and appreciation of photography in all its forms.” Peckman has good reason to effuse about her boss’ son, but other mags are hiring him, too. Vanity Fair published Wenner’s presumably through syndication agreements, in issues of Dossier magazine and Swedish Elle.) Asked about Wenner’s contributions, Rolling Stone’s creative director, Jodi Peckman, told WWD: “Theo gives a fresh, new perspective to the pages of the magazine. He displays confidence, style and a great knowledge and appreciation of photography in all its fom, too. Vanity Fair published Wenner’s portrait of “American Idiot” actor John Gallagher Jr. in this month’s front of book, and the French biannual Purple featured his work in a multiphotographer fashion spread in spring 2009. (The story’s other contributors? Ellen von Unwerth, Magnus Unnar, Mark Borthwick and Mario Sorrenti’s sister, Vanina.) And Wenner’s also clocked time in front of the camera. Joan Liver
EMSIHPARG EL ,EDOM AL
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ÉNNOTRAC
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LA MODE, LE GRAPHISME
CARTONNÉ
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IDENTITÉ VISUELLE
F/W FASHION WEEK
41 Invitations Une défilé de mode a lieu avec l’aide de mannequins professionnels recrutés en agence, ces derniersse déhanchant en musique le long d’un podium bordé de clients potentiels, d’acheteurs et distributeurs, decritiques journalistes spécialisés, de photographes, parfois de bloggeurs influents, réunis à huis clos pour l’occasion.Événement mondain par conséquent, il sert également aux créateurs à fournir leur vision personnelle de la mode pour la saison à venir, et constitue à ce titre une représentation presque artistique tout en assurant aux maisons de couture commanditaires un renouvellement de leur image de marque. Didier Grumbach souligne que « C’est à chaque fois un spectacle complet qui doit faire passer l’émotion et raconter une histoire en quelques minutes ». Les vêtements sont théoriquement disponibles à l’achat dans la version définitive pour le prêt-à-porter, ou dans une version qui sera adaptée à la vie quotidienne pour la haute couture, cette dernière ne présentant que des prototypes le plus souvent uniques, voir jamais commercialisés. Le couturier John Galliano, alors chez Dior, précise : « Le défilé, c’est le parfum, l’essence même de la collection. C’est le moyen de déclencher une inspiration chez les acheteurs et les journalistes. Ensuite, c’est au show-room que nous montrons l’ensemble des produits, retravaillés et adaptés au marché. Chez nous, ces deux visages d’une même collection sont conçus parallèlement. » Pourtant, la plupart des ventes importantes aux acheteurs professionnels sont déjà réalisées bien avant, lors de la Pierre Roman puissance créative des maisons1. » Il est avant tout une opération de communication plus qu’une action commercialen. Dans la haute couture, où il a pris la forme d’un rituel, ce spectacle est organisé pendant les deux semaines de défilés à Paris. Pour le prêtà-porter, les semaines des défilés ont lieu dans plusieurs endroits du monde.
43 Puissance créative des maisons. » Il est avant tout une opération de communication plus qu’une action commercialen. Dans la haute couture, où il a pris la forme d’un rituel, ce spectacle est organisé pendant les deux semaines de défilés à Paris. Pour le prêt-à-porter, les semaines des défilés ont lieu dans plusieurs endroits du monde, dont les capitales de la mode que sont New York, Milan, Paris, et Londres principalement. Certains stylistes ou couturiers sont reconnus pour leurs défilés de mode toujours remarqués : Martin Margiela, ou encore John Galliano.
CATALOGUES Support de publicité directe. Recueil illustré ou non, présentant les différents produits fabriqués et/ou distribués par l’entreprise, en indiquant, d’une manière plus ou moins exhaustive, leurs caractéristiques On prête à l’Américain Montgomery Ward l’invention, en 1872, de ce support pour le marchand de couleurs de Chicago dont il était le représentant. « Le service catalogue, chargé de la réalisation du catalogue, veille à la cohérence de la présentation et à la qualité esthétique de la communication. Des aller et retour entre l’acheteur et le service catalogue conduisent à la structure finale des pages catalogues et aux coûts surface attribués à chaque article » précise Pierre Desmet. Quel plaisir de pimenter sa journée d’une exquise touche de mode et d’une délicate nuance de luxe.
Et si facile : il suffit de feuilleter ce catalogue pour savourer page après page le must de la tendance présentation! Notre mode d’exception adore la jungle et ses coloris intenses, les imprimés animaliers teintés nature ou l’éternel féminin du motif cachemire, divin dans une palette parme. La nouvelle saison annonce la couleur ! Créez-vous un décor d’exception tout en pastel, ponctué de papillons bigarrés, de notes jungle ou patchwork. maison ! C’est fou à quel point même un détail peut tout changer.
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PACKAGING
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UPÉES RUSSES L’anglicisme « packaging » confond les deux notions élémentaires que sont le conditionnement et l’emballage. Le conditionnement est l’enveloppe première du produit. L’emballage est le contenant supplémentaire destiné à assurer dans de meilleures conditions la sécurité, la manutention, la conservation et le stockage des produits . Le vocabulaire français décompose cet anglicisme en quatre notions connexes et spécifiques : le conditionnement, l’emballage , le design d’un produit , la formulation et la configuration des propriétés fonctionnelles. Et le terme «packaging» lorsqu’il est employé se réfère davantage aux réflexions concernant l’apparence du produit telle qu’elle peut être étudiée par un designer. Dans cette perspective l’optimisation de l’apparence du produit vise à améliorer la reconnaissance, visibilité, attraction du produit dans les lieux de distribution en libre-service (supermarchés ou petits magasins) dans lesquels il doit se vendre seul: A égalité de valeur d’usage, la performance de vente dépend pour une part non négligeable de l’aspect du facing présenté au consommateur-acheteur. l’intégration du design et du packaging produit au stade de la Recherche et Développement du produit lui-même, de façon à configurer une offre de valeur cohérente sur le fond et dans la forme. La vérification de la maîtrise de ces enjeux est réalisée par la conduite de tests accélérés de compatibilité pour vérifier l’adéquats obliion
conditionnement/emballage/produits : au niveau industriel (contenir le produit quantitativement mentions/logotypes obli et qualitativement), logistique (transporter et identifier), laboratoire (garde l’apparence du produit vise à améliorer la reconnaissance, visibilité, attraction du produit dans les lieux de distribution en libre-service (supermarchés ou petits magasins) dans lesquels il doit se vendre seul: A égalité de valeur d’usage, la performance de vente dépend pour une part non négligeable de l’aspect du facing présenté au consommateur-acheteur. l’intégration du design et du packaging produit au stade de la Recherche et Développement du produit lui-même, r intactes les propriétés du contenu), marketing (passer le message/la promesse), design/agence de création (ajouter de la valeur au produit), service légal (porter les mentions/logotypes obligatoires très stricts), commercial (augmenter/ faciliter la vente), etc. Généralement désigné comme étant l’unité de vente consommateur (UVC), c’est-à-dire la plus petite quantité offerte à la vente au consommateur. Ce peut être l’UC ellemême, mais le plus souvent il s’agit d’un regroupement d’unités consommateur en un Lot «commercial» ( par exemple un pack carton de 12 yaourts nature). Cet emballage enveloppe la quantité de produit minimale achetable par le client : il sera éliminé par le consommateur final. Selon la Directive 94/62/CE Emballages conçu de manière à constituer. Jean Teulère
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il rassemble des regroupements intermédiaires d’UVC censés être facilement manipulables -du fait de leur taille ou de leur poids- par les opérateurs des distributeurs ou des points de vente pour les amener jusqu’aux rayons des magasins. Par exemple : caisse américaine. Cet emballage est étudié pour faciliter la mise en linéaire et le recyclage par le distributeur. Les emballages secondaires les plus courants : étuis carton à ouverture facile ou à rabats;coffrets ou flowpack (film plastique thermorétractable) permettant le regroupement lors de promotions.Selon la Directive 94/62/CE Emballages et déchets d’emballage : « L’emballage secondaire est l’emballage
conçu de manière à constituer au point de vente un groupe d’un certain nombre d’unités de vente : qu’il soit vendu tel quel à l’utilisateur final ou au amener jusqu’aux rayons des magasins. Par exemple : caisse américaine de l ouest. Cet emballage est étudié pour faciliter la mise en linéaire et le recyclage par le distributeur. pour le bien des consommateursconsommateur qu’il serve seulement à garnir les présentoirs au point de vente. Il doit pouvoir être enlevé du produit sans en modifier les caractéristiques. » Il correspond à l’emballage des variantes logistiques de manutention : Celles-ci permettent de transporter en grande quantités les produits.
DANS LA BOÎTE
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Quatre pays dans le monde forment des ingénieurs packaging: l’Allemagne, la Belgique, les États-Unis et la France. Historiquement, c’est aux États-Unis que s’est créé la première formation d’ingénieurs en packaging en 1952 à la Michigan State University. Une deuxième formation a été ouverte au Rochester Institute of Technology. En France, l’Université de Reims, en 1981, a créé la Maîtrise de Sciences et Techniques en Emballage et Conditionnement, qui s’est transformée en École supérieure d’ingénieurs en emballage et conditionnement.École Supérieure Européenne du Packaging a ouvert ses portes. Elle forme du au Bac (Master) par la voie de l’apprentissage ou du contrôle continu. Depuis existe aussi l’Institut Supérieur d’Ingénierie Packaging, rattachée au, qui l’Emballage est basée à Angoulême et qui forme des ingénieurs packaging en alternance. La formation liée aux métiers du packaging commencent après le bac avec le Génie du Conditionnement et de l’Emballage crée en à de Reims et d’Avignon. Depuis nouveaux départements ont vu le jour àde Castres, à d’Evreux et à de Chambery. Le d’Angoulême de Poitiers propose le Master Marketing du Design et du Packaging. Sous l’impulsion de et des professionnels du packaging, ce cursus a pour objectif la formation de futurs chefs de projet ou produit en packaging. En Allemagne, à la même période s’est ouverte une section de verpackungtechnik (« technique d’emballage ») à la Technische Fachhochschule de Berlin. En Belgique, la catégorie technique de la Haute École Charlemagne, l’Institut Supérieur Industriel. Sophie Delomre
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INEZ & VINOODH
The Dutch duo Inez van Lamsweerde and Vinoodh Matadin met in 1986 and have been working in collaboration ever since. Though best known as fashion photographers, their talents are hardly siloed to a single medium. This fall, they shot Barneys New York’s fall campaign with Lou Doillon and directed an accompanying music video. We’re excited to announce that Inez and Vinoodh have also collaborated with Ten Thousand Things on a jewelry collection and with Ben Gorham of Byredo on a fragrance. Needless to say, it’s been busy year.
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We caught up with Inez in anticipation of these exciting launches. Read on for the interview, or better yet, head to our Madison Avenue flagship tomorrow, Saturday, September 7th, at 3p.m. to meet the pair. The fragrance, new jewelry collection and copies of their book, Pretty Much Everything (Taschen, 2011), will be available for purchase.
67 YOU’VE GOT THREE BIG LAUNCHES THIS FALL IN ADDITION TO YOUR DAY JOB AS PHOTOGRAPHERS, INCLUDING SHOOTING OUR CAMPAIGN WITH LOU DOILLON. HOW DO YOU DO IT ALL? It has grown out to adding fragrance and jewelry to our existing jobs as photographers and directors so naturally and out of so much enthusiasm that it feels more energizing than exhausting. It is all creative and part of the many ideas that float around in our heads.
WHAT WAS THE IMPETUS FOR COLLABORATING WITH BYREDO AND TEN THOUSAND THINGS SPECIFICALLY? We are always on the other side of the coin when we shoot fragrance campaigns, where the design of the bottle, the name, the scent, etc. have all been decided upon already. With Ten Thousand Things, the collection grew from a personal piece of jewelry (the necklace with our two wedding rings intertwined and the star pendant representing our son, Charles Star) that Vinoodh asked David and Ron to make as a gift for me. From there, it evolved into a 200 piece collection in a very organic way. We spent hours at their studio looking at stones and metals with new ideas each time we would meet for the interview last week. HOW WOULD YOU DESCRIBE THE INEZ & VINOODH ATTITUDE OR AESTHETIC THAT YOU BRING TO THESE PROJECTS? It reflects our style, which you could say is precise, timeless, classic and easy but with a romantic edge. We would never make anything that looks forced or unnatural. We approach everything from a very personal perspective.
WHY DID YOU PICK THE NAME 1996 FOR THE FRAGRANCE? WHAT DOES THAT YEAR MEAN TO YOU? It is ten years after Inez and Vinoodh started working together. It is the year that we moved from Amsterdam to New York. It is the year we made the photograph Kirsten, 1996, which struck us as the ideal image to base a fragrance.
DO YOU THINK THE JEWELRY COLLABORATION WITH TEN THOUSAND THINGS IS JUST THE BEGINNING OF YOUR WORK AS DESIGNERS? There are so many ideas. We meet so many great people through our work that we have learned so much
from. We see so many products and travel so extensively from hotel to hotel and eat out so much that we build up this mental database of ideas that we could bring into play in any creative situation. It could be.
DO YOU WORK TOGETHER AS INDIVIDUALS, OR AS ONE SEAMLESS TEAM? We feel we are a seamless team. We have been working together, living together and loving each other 24/7 since 1991.
EVERYTHING-IVWHAT MADE YOU PICK THE TITLE PRETTY MUCH EVERYTHING FOR YOUR BOOK? HOW DO YOU THINK THE BOOK PORTRAYS YOU? It has that ease and hugeness to it as a title, which we love for a 666-page retrospective book of 27 years of creating images together. It shows how the images have always lived in our heads. We work in pairs always, so it is literally about the connection and interaction between the two images on the pages in a purely associative and personal way.
WHAT WAS YOUR INSPIRATION WHEN WORKING ON THE LOU DOILLON CAMPAIGN? HOW DO YOU FEEL ABOUT THE FINISHED PRODUCT? Lou was the person we were inspired by the moment Barneys asked us to think of a person to embody the store’s philosophy of fashion, ease, edge and creativity. We focused really on her and her attitude, which is all of the above. We love the simplicity of the photos accompanied by the elaborate and personal vision of Lou and her song “‘Devil or Angel” in the video and in the windows. WAS THE BOY FOR COLLABORATING WITH BYREDO AND TEN THOUSAND HOW WOULD YOU DESCRIBE THE INEZ & VINOODH ATTITUDE OR AESTHETIC THAT YOU BRING TO THESE PROJECTS? It reflects our style, which you could say is precise, timeless, classic and easy but with a romantic edge. We would never make anything that looks forced or unnatural. We approach everything from a very personal perspective.
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LA COLLABORATION AVEC AVEC M/M M/M LA COLLABORATION M/M (Paris) est un studio fondé en 1992 par Michael Amzalag (né en 1968 à Paris) et Mathias Augustyniak (né en 1967 à Cavaillon). En travaillant dans le cadre et le langage du design, ils inscrivent leur pratique dans les champs de l’art, de la musique et de la mode. Libérés des structures de séparation entre les disciplines, ils ont multiplié les collaborations avec des musiciens (Björk, Madonna, Jean-Louis Murat...), avec des artistes contemporains (Philippe Parreno, Pierre Huyghe, Liam Gillick, Sarah Morris, Gabriela Fridriksdottir, François Curlet, Dominique Gonzalez-Foerster...), des créateurs de mode (Yohji Yamamoto, Jil Sander, Balenciaga, Givenchy, Stella McCartney…), des magazines (Vogue Paris, i-D, Purple Fashion, Arena Homme+, Interview, Frog, eDEN, Stream, Documents sur l’art...), ainsi qu’avec de nombreuses institutions artistiques (le Palais de Tokyo, le Musée d’Art moderne de la Ville de Paris et le Centre Pompidou à Paris, Le Consortium à Dijon, la Deste Foundation à Athènes, la Serpentine Gallery à Londres, etc.). Parallèlement à leurs travaux de commande, ils développent une pratique propre de l’exposition en réinterprétant leurs archives ou en les confrontant à d’autres œuvres.
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QUAND LA TYPO SE MÊLE À LA PHOTO M/M (Paris) est un studio fondé en 1992 par Michael Amzalag (né en 1968 à Paris) et Mathias Augustyniak (né en 1967 à Cavaillon). En travaillant dans le cadre et le langage du design, ils inscrivent leur pratique dans les champs de l’art, de la musique et de la mode. Libérés des structures de séparation entre les disciplines, ils ont multiplié les collaborations avec des musiciens (Björk, Madonna, Jean-Louis Murat...), avec des artistes contemporains (Philippe Parreno, Pierre Huyghe, Liam Gillick, Sarah Morris, Gabriela Fridriksdottir, François Curlet, Dominique Gonzalez-Foerster...), des créateurs de mode (Yohji Yamamoto, Jil Sander, Balenciaga, Givenchy, Stella McCartney…), des magazines (Vogue Paris, i-D, Purple Fashion, Arena Homme+, Interview, Frog, eDEN, Stream, Documents sur l’art...), ainsi qu’avec de nombreuses institutions artistiques (le Palais de Tokyo, le Musée d’Art moderne de la Ville de Paris et le Centre Pompidou à Paris, Le Consortium à Dijon, la Deste Foundation à Athènes, la Serpentine Gallery à Londres, etc.). Parallèlement à leurs travaux de commande, ils développent une pratique propre de l’exposition en réinterprétant leurs archives ou en les confrontant à d’autres œuvres (Kunstverein, Francfort, 2005, Palais de Tokyo, Paris, 2005, galerie Haunch of Venison, Londres, 2006, Centre Pompidou, Paris, 2008). M/M (Paris) développe par ailleurs un programme éditorial spécifique sous son propre nom. Conçu par M/M (Paris), le Newspaper est réalisé à l’occasion de l’exposun
journal en run journal en rition « Pretty Much Everything » célébrant les 25 ans de carrière d’Inez van Lamsweerde et Vinoodh Matadin au Foam_Fotografiemuseum d’Amsterdam. M/M (Paris) décide de réaliser un journal en réponse au caractère événementiel de cette rétrospective. série Wendy 25 ou bien Marcel de la série Forest. On y retrouve également deux productions inédites de M/M (Paris) inspirées du travail d’Inez van Lamsweerde et Vinoodh Matadin ; la série de posters Ponctuation faite à partir de portraits de célébrités du monde de l’art et du cinéma, publiée ici pour la première fois dans son intégralité, et la Magic Sentence, interprétation de l’exposition des deux photographes « The Now People Part II: Life on Earth » qui eut lieu en 2005 à la galerie Matthew Marks à New York. L’ensemble illustre parfaitement les années d’étroite collaboration artistique entre Inez van Lamsweerde et Vinoodh Matadin et M/M (Paris). Le tout est complété par un essai attendu de Michael Bracewell. Clair Praline
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PUBLICITÉ
ON MISE TOUT SUR KENZO Après sa campagne printemps/été signée Jean-Paul Goude, Kenzo a fait appel au magazine d’art Toiletpaper, publication rare avec à sa tête l’artiste que tout le monde s’arrache Maurizio Cattelan, pour sa nouvelle campagne automne/hiver 2013/2014. Kenzo Takada présente son premier défilé dans la galerie Vivienne. La même année, il ouvre sa première boutique, Jungle Jap, dans le Passage Choiseul (2e arrondissement de Paris). Pour ses premières réalisations, en avril 1970, il utilise des cotonnades japonaises et des coupons achetés au marché Saint-Pierre. Les couleurs et les fleurs de ses collections semblent venir de nulle part et secouent le milieu de la mode parisienne. « J’ai délibérément cherché à créer des formes non structurées, à introduire une ampleur nouvelle, en m’appuyant sur la technique du kimono » explique-t-il. Chandails empruntés aux Slaves, boubous africains en, robes de maharané . Une fois son diplôme acquis, il s’installe à Paris, non sans quelques difficultés d’adaptation. Il lui faut alors se faire une place dans le milieu de la mode.
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TOILETPAPER est de retour cette saison en créant une seconde campagne pour KENZO, teintée de leur sens de l’humour et d’un surréalisme qui est leur est cher. Ils nous livrent les secrets de leurs photos si particulières.
79 LA CAMPAGNE AUTOMNE-HIVER 2013 ÉTAIT UN FRANC SUCCÈS ET BEAUCOUP ONT MÊME SUGGÉRÉ QU’ELLE ÉTAIT UNE DES MEILLEURES DE L’ANNÉE… VRAIMENT PAS MAL POUR UNE PREMIÈRE CAMPAGNE EN ÉQUIPE ! SELON VOUS, QU’EST-CE QUI FAIT QU’UNE CAMPAGNE EST RÉUSSIE ET QU’ELLE PARVIENT À FAIRE LA DIFFÉRENCE? Les images de Toiletpaper sont faites d’images simples, le genre d’images que l’on peut décrire à des amis à un dîner, sans parvenir cependant à expliquer complètement ce sentiment étrange qu’elles provoquent au creux de l’estomac. C’est la même chose pour la campagne : elle a probablement bien marché parce qu’elle reposait sur cette manière de traiter. sommes comme des éponges : on se ballade, on voit des choses qui titillent notre imagination et on les absorbe… C’est pour cela que ce n’est pas facile de remonter juscorrespond à nos idées et à notre vision de la beauté. C’est aussi simple que cela.
QUELS SONT LES ÉLÉMENTS CLEFS DONT VOUS AVEZ BESOIN POUR CRÉER UNE CAMPAGNE POUR KENZO (EN TERMES DE TON, DE COULEURS ETC…) ? TP : Il n’y a pas vraiment d’éléments clefs indispensables à chaque fois, car tout changement east bon pour la créativité, alors que la routine ne l’est probablement pas. KENZO est une marque qui a de plus ordinaire ! Nous sommes comme des éponges : on se ballade, on voit des choses qui titillent notre imagination et on les absorbe… C’est pour cela que ce n’est pas facile de remonter juscorrespond à nos idées et à notre vision de la beauté. C’est aussi simple que cela.
LA PREMIÈRE FOIS OÙ VOUS AVEZ SHOOTÉ POUR KENZO, JE DOIS DIRE QUE L’AMBIANCE SUR LE SET ÉTAIT UN PEU FOLLE, ENTRE LES CHEVAUX, LES CHATONS, LE MASQUE D’HUMBERTO… ALORS QUE CETTE FOIS-CI, LES ANIMAUX ÉTAIENT EN PLASTIQUE. POURQUOI ? VOULIEZ-VOUS QUE CELA SOIT PLUS SÉRIEUX ? Comme nous l’évoquions tout à l’heure, nous aimons bien de temps en temps tout changer. Cela n’a rien à voir avec le fait d’être sérieux,
puisque ces énormespoissons en plastique sont de modifier une simple virgule ou tout un set, même des chosest l’œil esthétique et elle sait comment faire. QUEL ÉTAIT AU DÉPART LE BRIEF DE CAROL ET HUMBERTO ? C’est un sentiment étrange, c’est vraiment difficile de se souvenir comment tout a commencé une fois que le travail est achevé… Nous avons probablement parlé de monastères et de l’Orient, et de musique aussi… mais finalement, le brainstorming continue encore pendant le shooting, indépendamment de là où il a commencé, un peu comme le téléphone arabe de l est stop de la russie.
QUI FAIT QUOI AU SEIN DE L’ÉQUIPE TOILETPAPER PENDANT LE SHOOTING ? il y a des phases de travail au cours desquelles nous discutons tous ensemble, ces moments de partage sont fondamentaux pour préparer le shooting. Naturellement, les rôles se dessinent. Maurizio est un peu un peu un peu comme un deus ex machina qui réussit toujours à garder une distance idéale par rapport aux images, à les critiquer d’une façon neutre. Pierpaolo d’improviser et de réinventer les choses, de modifier une simple virgule ou tout un set, même des chosest l’œil esthétique et elle sait comment faire.
VOUS AVEZ INFLUENCÉ DE NOMBREUX ARTISTES / PHOTOGRAPHES / DESIGNERS… QUELS SONT CEUX QUI VOUS INFLUENCENT ? Un tas d’artistes, de photographes et de designers ! Et beaucoup de gens tout ce qu’il y a de plus ordinaire ! Nous sommes comme des éponges : on se ballade, on voit des choses qui titillent notre imagination et on les absorbe… C’est pour cela que ce n’est pas facile de remonter jusqu’à ceux qui nous ont influencés à l’origine.
POURQUOI EST-CE IMPORTANT D’ÊTRE IRRÉVÉRENCIEUX ? Parce que si vous l’êtes pas, c’est que vous êtes déjà mort.
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L’équipe du magazine d’art Toiletpaper signe pour Kenzo une campagne automne/hiver 2013/2014 à la fois drôle et originale. Ce collectif d’artistes, qui compte parmi ses membres Pierpaolo Ferrari ou Micol Talso, est dirigé par Maurizio Cattelan depuis trois ans et publie dans la revue artistique et, dès le début du shooting, les images n’ont jamais cessé d’évoluer» La campagne Kenzo a donc été imaginée comme un recueil de montages photos ludiques et surréalistes. On y découvre tour à tour un braque allemand sur un foulard, un chaton dans une chaussure d’homme ou des mannequins en modèles réduits épinglés comme des insectes. Si la campagne étonne par son côté avant-gardiste, les images renvoient tout de même à la scénographie hyper colorée choisie par les directeurs artistiques de la marque pour le défilé prêt-à-porter Kenzo automne/hiver. Plus largement, cette campagne reflète l’état d’esprit du duo depuis deux ans. Les deux amis, également à la tête du label ultra-pointu new-yorkais Opening Ceremony, ont redonné à Kenzo ses lettres de noblesse en mélangeant à chaque saison audace, modernité, exotisme, humour et couleurs détonantes.
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COLLECTION
LA COLLECTION:MAXIME RAPPAZ
Il serait je pense anormal de ne pas avoir une collection coup de cœur. Comme chaque année je sais quasiment au premier regard que c’est elle ! Pour les femmes je suis pareil, de toute façon j’ai du mal à dissocier femme et style. Il n’y avait pas de hasard, la mannequin que je préférais défilait dans la collection qui m’avait accrochée. Lors de cette 27ème édition, tous mes encouragements allaient vers la collection du jeune créateur Suisse Maxime Rappaz : «Finally, I opted for the square». Il est dans une voie identique à celle de Céline, une féminité structurée, une allure marquée très visuelle. Transparence et légèreté qui épousent des corps gracieux. Des tissus plissés, des couleurs pastels, bleu, rose, soulignées par des tonalités plus vives qui oscillent entre fluo et fuschia. Une collection qui respire l’été. Puis vient le moment de la surprise, des parallélépipèdes qui viennent accessoiriser l’ensemble, bracelets géants, manchettes, sacs, on ne sait pas vraiment. Il faudra venir chercher quelques plus forte encore, plus graphique mais toujours très féminine explications dans les réponses que m’a données Maxime pour son questionnaire soblacktie...L’année dernière c’est la française Céline Méteil (son questionnaire soblacktie ici) et son élégante et virginale collection très prometteuse qui m’avait séduit, elle avait d’ailleurs remporté deux prix, celui du public et celui de Première Vision. J’ai été d’autant plus convaincu quand j’ai découvert cette année sa seconde collection (Dreams on canvas), plus forte encore, plus graphique mais toujours très féminine. Maxime Rappaz est dans une voie identique à celle de Céline, une féminité structurée, une allure marquée très visuelle. Transparence et légèreté qui épousent des corps gracieux. Des tissus plissés, des couleurs pastels, bleu, rose, soulignées par des tonalités plus vives qui oscillent entre fluo et fuschia. Une collection qui respire l’été. Puis vient le moment de la surprise, des parallélépipèdes qui viennent accessoiriser l’ensemble, bracelets géants, manchettes, sacs, on ne sait pas vraiment. Il faudra venir cherchem’a données Maxime pour son questionnaire soblacktie...L’année dernière c’est la française Céline Méteil (son questionnaire soblacktie ici) et son élégante et virginale collection très prometteuse qui m’avait séduit, elle avait d’ailleurs remporté deux prir quelques explications dans les réponses que m’a données Maxime pour son questionnaire soblacktie... J’aime quand la création est au service d’une mode transposable dans la réalité, l’imagination débordante c’est bien, mais une mode accessible et élégante c’est mieux. Je n’ai qu’une seule limite, que je puisse m’identifier, me (ou la) transposer dans les vêtements que je voie. Dans ce cas de figure simple, Maxime répond à mes attentes en matière de mode. Je souhaite vraiment qu’il réussisse dans les mois qui viennent à se faire connaître...
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LES MOTIFS VUS PAR BALMAIN PARIS Surement victime de la mode, moi aussi je me laisserai bien tenter par cette nouvelle vague de motifs géométriques et graphiques : ligne, courbe, chevron, triangle … et bien évidemment dans un style et une décoration ethnique. J’avais envie depuis longtemps d’écrire cet article du coup ce ne sont pas les idées qui manquent pour chacune d’entre nous : papier peint, coussin, plaid … du salon à la chambre. Et je suis contente parce qu’en prenant le temps de collectionner toutes ces idées de décoration, je pense que chacune y trouvera son bonheur, que vous aimiez la déco Africaine, Indienne, Marocaine ou exotique avec cette première photo tout en couleurs. Je ne pourrais pas vous dire celle que je préfère, je pense qu’il y a une idée à prendre pour chaque ambiance. Que serait l’univers du design d’intérieur sans le papier peint à motif ? Nos gammes classique et moderne enchantent et ne passent jamais de mode. Elles se déclinent sous bien des formes : fleurs, figures géométriques, motifs figuratifs et abstraits, designs cool et modernes ou baroque traditionnel, sans oublier les motifs à rayures incroyablement variés, qui ouvrent une pièce (et vos yeux !) avec leurs ruses verticales et horizontales. On ne se lasse jamais de ces fabuleux modèles, comme le montrent tous les exemples de matières et de couleurs sélectionnés pour vous dans notre catalogue papier peint en ligne.
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KENZO
QUELQUES LIEUX DE DESIGN ET DE GRAPHISME CITÉ DU DESIGN - ST ÉTIENNE www.citedudesign.com CNEAI www.cneai.com
VILLA NOAILLES www.hyeres.fr PARIS DESIGN WEEK www.parisdesignweek.fr CENTRE INTERNATIONAL DU GRAPHISME - CHAUMONT www.cig-chaumont.com CENTRE POMPIDOU www.centrepompidou.fr DOCKS EN SEINE www.paris-docks-en-seine.fr PALAIS DE TOKYO www.palaisdetokyo.com LIEU DU DESIGN www.lelieududesign.com LA GAÎTÉ LYRIQUE www.gaite-lyrique.net LE MUSÉE DES ARTS DÉCORATIFS www.lesartsdecoratifs.fr
BLOGS ET SITES D’INFORMATION www.t-o-m-b-o-l-o.eu www.etapes.com www.strabic.fr www.pointypo.com
GRAPHISME CONTEMPORAIN www.bnf.fr DDAYS www.ddays.fr LE NOUVEAU FESTIVAL www.centrepompidou.fr FESTIVAL DE LA MODE ET DE LA PHOTOGRAPHIE www.villanoailles-hyeres.com/hyeres2013/ PARIS DESIGN WEEK www.parisdesignweek.fr LE FESTIVAL INTERNATIONAL DU GRAPHIQME ET DE L’AFFICHE DE CHAUMONT www.cig-chaumont.com UNE SAISON GRAPHIQUE AU HAVRE www.unesaisongraphique.fr
ADRESSES
LA BIBLIOTHÈQUE NATIONALE DE FRANCE www.bnf.fr
ÉVÈNEMENTS À NE PAS RATER
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