Depuis 2009, DKA a pour mission de créer des milieux de vie réfléchis, diversifiés et performants au niveau humain, environnemental et économique. La firme se distingue par sa capacité à offrir une approche intégrée, proposant des services complets d’urbanisme et de design intérieur, conjointement avec ceux de l’architecture.
L’expertise des professionnels face aux enjeux liés à l’aménagement de l’espace urbain permet d’optimiser les retombées sociales, financières et environnementales d’un projet.
DKA croit fermement qu’il faut faire tomber ses propres murs et qu’une remise en question doit faire partie intégrante de tout processus créatif afin de bâtir un futur durable.
Éric Desjardins Architecte associé principal
Sonkham Khamlong Architecte associé principal
Nicola Cardone Urbaniste associé
Vincent C. Deslauriers Architecte associé
Virginie Roy Montpellier Architecte associée
Pierre-Olivier Petti Architecte associé
Laurie Laterreur Architecte associée
Architectes
Urbanistes
Candidats à la profession d’architecte
Candidat à la profession d’urbaniste
Techniciens + Technologues
Designers
Professionnels de l’image
Soutien administratif
Coordonnateur BIM
Surveillants de chantier
Manifeste
Plus que jamais, la société a besoin d’idéalistes.
Pour inspirer.
On sait aussi que bâtir un futur durable demande à être réaliste.
Pour s’abstenir d’expirer.
Chez DKA, nous combinons idéalisme et réalisme. Nous croyons qu’une prise de risque calculée est nécessaire pour mieux façonner notre environnement. Que de se remettre en question doit faire partie de notre processus créatif.
Pourquoi?
Parce qu’il faut faire tomber ses propres murs pour créer de l’espace. Pour laisser entrer de nouvelles perspectives. Parce que nous croyons que le succès vient en traçant sa propre voie. Pour brasser les idées et décloisonner les disciplines établies.
Parce qu’avec des solutions engageantes, notre processus de travail devient naturellement collégial avec nos clients. Parce qu’on croit fermement que tous ces éléments font de l’architecture – notre architecture – un domaine d’expertise ouvert à tous et à toutes.
Processus
Analyse du site
Études de faisabilité
Relevé du bâtiment
Photos et vidéos aériennes
Recherches et développement
Analyse du code du bâtiment
Modélisation des données
Matérialité
Choix des matériaux
Programme fonctionnel
Études de la volumétrie
Perspectives 3D
Mobilier sur mesure
Plans pour construction
Urbanisme Plan directeur design urbain
Maquettes et sketches
Élaboration des plans
Perspectives intérieures
Plans pour soumission
Surveillance de chantier
PHASE PRÉCONCEPTUELLE
PHASE DU DOSSIER ESQUISSE
PHASE DU DOSSIER PRÉLIMINAIRE
DÉMARCHES AUPRÈS DES INSTANCES MUNICIPALES
SERVICES D’AMÉNAGEMENT ET DE DESIGN
PHASE DU DOSSIER DÉFINITIF
ADMINISTRATION DU CONTRAT DE CONSTRUCTION
LIVRAISON
CCU PIIA
Quilicot
Centre de distribution et d’entreposage incluant un siège social et une boutique à Mascouche.
Budget : 14 M$
- Espaces d’entreposage : 1 533 m2
- Espaces administratifs : 300 m2
- Espaces commerciaux : 763 m2
- Espaces de production : 119 m2
Bâtiment industriel de structure d’acier et métaux ouvrés à Saint-Jérôme
Conception d’un bâtiment industriel et commercial à l’intersection des rues Hogan et Rachel dans l’arrondissement du Plateau Mont-Royal
Budget : 18 M$
- Lot = ±6 474m2 (± 69 689pi2)
- Aire Bâtiment = ±3 194m2 (±34 380 pi2)
Développement industriel à Saint-Eustache Budget : 60 M$
- Superficie du lot : ± 93 027 m2
- Aire du bâtiment : ± 36 017 m2
- Proportion de canopé vert : 40%
Développement industriel
L’ensemble proposé s’inscrit aux côtés de l’Innoparc Albatros, une région innovatrice de Saint-Eustache. Le lot de quatre bâtiments se veut riche d’un point de vue humain et environnemental malgré sa vocation d’entreposage. Ceci se traduit par des aménagements qui améliorent quotidiennement l’expérience des occupants. La qualité des espaces bâtis doit également s’étendre à l’extérieur. Que ce soit par l’adaptation d’infrastructures permettant le transport actif ou encore par l’intégration de fossés végétalisés, le bien-être physique et mental de l’humain est au centre des préoccupations.
Ultimement, par son envergure, l’ensemble du projet s’intègre dans son contexte immédiat qui mise sur le développement durable et la valorisation du paysage. D’ailleurs, le projet s’engage également à être certifié prêt pour un virage carboneutre.
En développant des lieux conçus pour les résidents et travailleurs, le projet est voué à une intégration douce en accord avec son environnement.
Usine de machinerie agricole à Repentigny Budget : 3 M$
- Aire de bâtiment : ± 1 309m2 / 14 090pi2 - Nombre d’étages : 2
Zone Enseignes
Kanzy Medipharm
Immodev
Dals
Valdi-Tech
Noddem
Vasco
IPConsul
Qué-Mont
Si-Ci Stan
Place Côte-Sud
Groupe Alfa
Coréalis Pharma
Montréal Mini Storage
Vasco
Transit Nord-Plus
Terranueva
Scierie St-Elzéar
Bâtiment industriel Raymond
Zone Enseignes II
Centrale Hydro-Québec
Toitures V. Perreault
Édifice à bureaux en structure de bois avec restaurant au rez-de-chaussée
Budget : 10 M$
- 6 étages - Superficie : ±3 896m2
BST2
Clinique dentaire située à Pointe-aux-Trembles incluant laboratoire, stérilisation, buanderie, cuisine et bureaux
Budget : 4,5 M$
- Aire de bâtiment ± 5 420pi2
- Nombre d’étages : 2
Clinique Dentaire Daoust
Inspiré de l’esthétisme du domaine médical, le blanc a été la couleur de choix pour cette clinique dentaire, laissant une impression de légèreté et d’ouverture immaculée.
L’espace est divisé en deux sections distinctes, soit une partie privée pour la clinique et une partie publique pour la réception, la salle d’attente et les bureaux. Tant au niveau des espaces intérieurs, le choix des finis, que du traitement de la façade extérieure, la délimitation de ces deux fonctions est cohérente.
Un comptoir long et blanc, allant de la porte d’entrée à la salle d’attente, soutient la fluidité et l’ouverture de la clinique. L’utilisation du bois pour les rangements, les portes des salles de toilette et le mur, apporte une touche chaleureuse à la salle d’attente. Le laboratoire, la stérilisation, les cabinets de rangement et la salle de consultation sont situés au centre de la clinique, laissant les salles de traitement autour du périmètre, leur donnant un accès direct aux vues extérieures. Au dernier étage, une cafétéria et des bureaux sont baignés de lumière naturelle. Le plan d’étage privilégie les axes de circulation avec une percée visuelle à l’extérieur. Il permet une relation interneexterne. Même de l’intérieur, les portes d’accès à chacune des salles sont alignées avec les fenêtres pour maximiser l’entrée de la lumière jusqu’au couloir. Un jardin a également été aménagé à l’arrière du bâtiment. Le choix de matériaux nobles, mais durables, comme la brique blanche, le bois, la céramique, a été fait pour soutenir l’esthétique.
Firma Rockethammer
Bâtiment F
Clinique médicale Ormstown
Tour Harden
Clinique médicale
Clinique médicale Lachute
District 23
Clinique dentaire
Clinique Jarjoura Gagnon
Clinique médicale Prévost
Caisse Desjardins
Kayali Bugatti
Centre d’apprentissage en santé et en recherche au Collège Montmorency à Laval
Budget : 22,4 M$
- 5 étages
- 2 200 m2 par étage
- Classes, cliniques, laboratoires, atrium et secteur administration
Nouvelle école primaire de 24 classes visant une certification LEED v4 Or Gagnant de plusieurs certifications Or, Argent et Bronze aux Grands Prix du Design Prix d’excellence Cecobois
Précurseur du vaste projet Lab-école, la nouvelle typologie de cette école primaire a servi au développement des pratiques architecturales actuelles en matière de bâtiments scolaires au MEQ.
Le bâtiment ne comporte qu’un seul étage et des espaces distinctifs de dynamisation, d’apprentissage et d’apaisement y ont été soigneusement aménagés. Chaque classe possède une sous-classe, flexible et modulable en fonction des activités.
L’enfant peut ainsi travailler avec divers intervenants, plutôt qu’un seul adulte. Ces zones d’enseignement partagées ont leur propre code de couleur, au sol et sur les murs, permettant aux enfants de s’approprier leur espace à l’intérieur de cette grande école. Chaque classe possède un puit de lumière ainsi qu’un mur fenestré afin de faire bénéficier tous les usagers du même éclairage naturel. De plus, les zones d’enseignement donnent directement accès à la cour extérieure dont l’aménagement paysager a été intégré de manière à révéler la biophilie aux usagers.
Des plafonds suspendus en lattes de bois créés sur mesure permettent le contrôle de l’acoustique dans les classes ainsi que dans la grande salle polyvalente. Les lattes, installées sur un textile et un isolant, absorbent le son et évitent les réverbérations. L’espace entre les lattes se veut un détail acoustique performant et enveloppant. Le design de l’école accorde une place de choix au bois, tant au niveau de la structure que du revêtement, pour ajouter à l’aspect chaleureux du bâtiment. L’utilisation du bois est magnifiée par la lumière naturelle.
Un système de ventilation hybride intégré au mobilier fixe contribue à diriger l’air dans la zone d’occupation située au bas des murs. Cet air, par un effet de cheminée, monte et entraîne les contaminants avec lui avant d’être retiré par le plafond et évacué de la classe. Chaque classe possède d’ailleurs une sonde pour mesurer le CO2. Dans toutes les classes se retrouvent des planchers radians chauffants et refroidissants par un système de géothermie. Un contrôle est effectué afin de suivre les températures extérieures et ainsi anticiper les besoins et obtenir le meilleur confort à l’intérieur des locaux.
Le projet intègre un ensemble de stratégies visant à réduire l’empreinte environnementale du bâtiment sur l’ensemble de son cycle de vie.
Agrandissement de 12 nouvelles classes régulières ainsi qu’un groupe de 4 classes pour des élèves à besoins spécifiques, un plateau sportif avec services
Gagnant d’une certification Bronze aux Grands Prix du Design
Budget : 12 M$
- Superficie de l’agrandissement : ±2
866m2 sur 2 1/2 étage
Consortium : DKA / Yelle Maillé et Associés Architectes
École Saint-René
Budget : 35,5 M$
Consortium : DKA / Atelier Sens
École Chambéry
Nouvelle école primaire de 25 classes dans le secteur de Chambéry à Mirabel
Conception d’une garderie pour accueillir 80 enfants à Sainte-Agathe-des-Monts
Programme Fonctionnel et Technique pour la construction d’un nouvel aréna à Sainte-Thérèse
Budget projeté : 15 M$
Aréna Sainte-Thérèse
Le nouvel aréna se veut une architecture signalétique, distinctive et originale tout en tenant compte de son milieu d’insertion institutionnelle classique. Le concept est inspiré d’éléments aux caractéristiques naturelles, soit le roc et la glace. La dualité présente entre ces deux éléments permet l’insertion et l’appareillage du bâtiment dans le contexte existant.
Le volume principal soit le “le bloc de glace” se voit transposer architecturalement par un volume minimaliste de couleur blanche s’ouvrant sur le complexe sportif et le collège Lionel-Groulx. Par la suite, l’abaissement de la volumétrie en façade principale a pour but de réduire l’effet massif et rejoindre l’échelle du cadre bâti sur la rue SaintLouis. Par la suite, “le roc” émerge à la base du grand volume épuré afin d’accueillir les fonctions périphériques du nouvel aréna. “Le roc” est traduit par un matériau classique tel que la pierre naturelle et le “bloc de glace” est traduit par des panneaux métalliques isolés, ceci permettant d’amalgamer le moderne et le classique tout en s’harmonisant avec le contexte dans lequel l’aréna s’insère.
Développé conjointement avec la Ville de Sainte-Thérèse, le projet préliminaire devait tenir compte de tous les critères de la Ville soit les notions d’insertion du nouvel aréna dans son milieu, le respect du contexte historique, les liens communautaires, les aspects esthétiques ainsi que programmatiques et surtout au niveau de l’efficacité énergétique intégrant une multitude de principes de développement durable.
Le projet devait reposer sur une conception à hauteur de certification LEED OR sans toutefois faire l’objet officiel d’une certification. Le projet de l’aréna met l’emphase sur les préoccupations sociales et environnementales afin que son efficacité sur le plan opérationnel et sa qualité architecturale en fassent un pôle communautaire et sportif reconnu dans la région. De plus, l’implantation stratégique du nouvel aréna sur un site préalablement développé est issue d’une notion importante du développement durable soit la protection de site sensible.
Rénovation du Centre des Services Étudiants au Cégep de Saint-Jérôme
Budget : 2,9 M$
Cégep Saint-Jérôme
Collège Montmorency
Garderie Petits Pas
École Saint-Michel-Archange
Caserne St-Hippolyte
École Domaine-Vert-Nord
Hôtel de Ville
École Chambéry
Polyvalente Sainte-Thérèse
École secondaire
Design
Bureaux de DKA à Sainte-Thérèse
: n/d
Siège social de DKA
Gagnant de 2 Lauréats Platines et d’une Certification Or aux Grands Prix du Design Budget : 1,5 M$
Boutique Quilicot
Boutique signature pour Bicycles Quilicot à Laval
Éclairage Commerce
Création d’une boutique signature pour Quilicot tout en voulant démocratiser le cyclisme sous ses différentes formes, permettant la flexibilité et l’adaptabilité des espaces, intégrant les dernières technologies numériques et offrant la variété d’un magasin de grande surface, tout en conservant le contact humain d’un « bike-shop » de quartier.
Le programme fonctionnel de la boutique est partagé en 6 espaces : Accueil, Atelier, Vente, Rencontres, Services et l’espace Équipe qui est situé sur la mezzanine. Celle-ci accueille un vestiaire, une salle de repos, une cuisine ainsi qu’une salle à manger pour les employés.
Considérant le désir de faire de l’espace une boutique signature, nous avons misé sur la création de pièces singulières. La conception d’un système d’éclairage en grille est unique. L’éclairage créé de toute pièce met en valeur les vélos dans des boîtes lumineuses ainsi que la boutique, telle une salle d’exposition.
Pour ce projet, la création de pièces d’ébénisterie sur mesure a été un facteur essentiel afin de répondre aux besoins de présentoirs modulables et de rangements fonctionnels du client. Le choix de l’utilisation du bois blond et de l’acier perforé prépeint noir a été soigneusement sélectionné afin de traduire le caractère accessible de la marque. La couleur noire, prédominante dans l’espace, apaise l’environnement stimulant, tout en mettant l’emphase sur les produits exposés. La simplicité de l’affichage, de couleur orangée, reflète bien l’image de marque de Quilicot.
Conception du siège social Simon Lussier à Mirabel Budget : n/d
: 5
Siège social Simon Lussier
Budget : n/d
Luncheonette Thaï
Concept d’un comptoir luncheonette
Fogo
Caisse Desjardins
Nordik Café
Club de Golf Le Blainvillier
À Maison
Cégep Saint-Jérôme
Empora
HUB BST2
École Domaine-Vert-Nord
Salon de coiffure
Action Sport-Physio
Urbanisme
Développement de condos au Centre-Ville de Sainte-Marthe-sur-le-Lac
Centro-Cité
Le projet s’inscrit dans le développement du centre-ville.
Création d’un milieu de vie complet, diversifié et invitant pour les résidents et les citoyens du secteur.
La Seigneurie de la Gare à Blainville
Le projet La Seigneurie de la gare s’insère dans un quartier hétéroclite à usages multiples, qui tend vers un redéveloppement, une réaffirmation de son identité.
Le contexte d’insertion se voit ici être un élément structurant du projet, qui comportera des bâtiments multirésidentiels ainsi des bâtiments mixtes. L’objectif ultime du projet est de concevoir un milieu de vie de qualité, performant au niveau humain, économique et environnemental.
Situé au coeur d’une aire TOD, le site se voit accompagné et guidé d’une volonté métropolitaine de développer et de densifier ce secteur de choix. La proximité d’un réseau de transport en commun représente une force et une opportunité exceptionnelles de concevoir un milieu de vie complet, centralisé sur l’humain plutôt que sur la voiture.
Conçu pour atteindre les objectifs locaux et régionaux de densification et de développement du secteur, le projet, par sa qualité, sa densité et sa mixité, répond aux besoins de son environnement immédiat. Son impact, tant sur les citoyens actuels que sur les nouveaux, sera immédiat et positif.
Seigneurie de la gare
Projet intégré
Conception d’un projet intégré à Blainville
Immeuble résidentiel de 15 étages situé au Centre-Ville de Montréal
Budget : n/d
Conception des façades : DKA
Réalisation : Simard Architecture
Le Balt
Développement multirésidentiel TOD à Mascouche
Projet intégré d’habitations à Boisbriand
Budget : n/d
VIVRE DANS UN JARDIN
Imaginons que le site est en fait un grand jardin. Notre volonté est ainsi de maximiser sa superficie cultivable ou exploitable.
Dans le but d’en tirer profit au maximum, les infrastructures routières sont poussées au périmètre, nous donnant une parcelle résiduelle de jardin.
Une série de bâtiments sont implantés le long d’une vaste bande végétale de façon à ce que leurs orientations soient optimales et que leurs gabarits soient progressifs.
Chaque bâtiment a une densité propre et une typologie influencée par son environnement urbain. Un couvert végétal mature caractérise le site existant et permet de créer une zone tampon autour du projet.
La séparation du projet en 3 phases crée l’opportunité de prolonger les zones tampons dans les interstices entre les phases.
L’aménagement d’un stationnement sousterrain nécessitant un tréfonds amène l’opportunité d’investir l’interface entre les tours d’une même phase. C’est l’occasion d’offrir des espaces collectifs de qualité alliant luminosité et transparence, donnant accès à un paysage.
Agrandissement et revitalisation d’un bâtiment existant à Montréal
Budget : 6 M$
Logements Rosemont
Bâtiment résidentiel de 10 étages situé à Pierrefonds-Roxboro
Budget : 45 M$
Bâtiment résidentiel sur la rue Masson dans l’arrondissement Rosemont à Montréal
Budget : 10 M$
Multilogements - 4 maisons de ville et 1 penthouse à Lachine
: 3,5 M$
Le Saint-Louis
Condos de la gare
Lumina
Complexe 25e Avenue
Maisons de ville Boisbriand
Projet intégré Blainville
Habitations 19
Calex Papineau
Complexe d’habitations
O Quai du Nord
Habitations Albatros
Maisons de ville Plateau 3
logements
Chagall
M3 Habitations
Veridis
Quartier Q7 - TOD
Bâtiment Grande-Côte
Luminia
Complexe Sainte-Adèle
Résidence Comtois
Résidence à Terrebonne
Gagnante d’un prix Argent aux Grands Prix du Design
Résidence à Saint-Sauveur
Résidence V + M
Résidence au Mont-Tremblant
Résidence K
Résidence à Boisbriand
Résidence T + H
Chalet Rougeaud
Chalet au Mont-Blanc
Chalet Marcoux
Chalet
Résidence à Dollard-des-Ormeaux
Résidence A
Résidence H
Chalet Saint-Côme
Résidence Blainvillier
Résidence K
Résidence A
Chalet MA
Foresta
Foresta Phase II
Foresta Phase III
Résidence H + C
Concours
Lab-École Rimouski
DU BOISÉ AU PRÉ
Rimouski est une ville fortement profilée par le relief de son territoire. Ses différents quartiers se déploient sur des plateaux en cascade qui s’estompe au littoral du St-Laurent. Le site lui-même présente un léger relief orienté vers l’estuaire. Le concept spatial prend racine dans la transposition de cette morphologie caractéristique et marquante.
D’abord, l’école se déploie selon la topographie du site. Plus précisément, six demi-niveaux sont créés afin d’articuler subtilement et dans une fluidité la progression des niveaux scolaires. Dans cet ordre, du préscolaire à la 6e année, le programme se développe en cascade du point bas du site vers des niveaux plus élevés, à l’image du territoire. En plus de jouer sur la notion de progression, la disposition topographique du programme, conjointement aux relations visuelles créées entre les différents niveaux scolaires, propose la projection de l’élève vers son devenir, favorisant la curiosité, la prospection et le développement intellectuel et social. Un grand parvis qui se transforme en place publique pour tenir les activités sociales et communautaires et accéder à l’entrée publique de l’école.
Au son de la cloche, les élèves sont invités dans un parcours à la lisière du boisé, pour entrer dans l’axe transversal que constitue le cœur de l’école, une agglomération tridimensionnelle regroupant les espaces polyvalents et flexibles pour manger, la cuisine, les arts-plastiques, la musique, le bloc sportif et le vestiaire unique accessible de l’ensemble des accès aux cours extérieures, concentrant la circulation et facilitant l’entretien. Sous forme d’atrium, cet espace laisse entrer le paysage dans l’école et relie physiquement le boisé, le pré, le potager ainsi que tous les niveaux entre eux créant différentes ambiances.
Des rampes-passerelles, un escalier-gradins au cœur de la vie scolaire et des coursives à divers niveaux ponctuent ce noyau de sous-espaces favorisant l’appropriation de l’environnement, rappelant les plateaux de Rimouski.
Les espaces extérieurs, les cours, les potagers, le verger, les toits terrasses, prennent plusieurs formes et sont distribuées tout autour de l’école, en communion avec la nature et dans un objectif d’associer aux espaces intérieurs une extension extérieure qui favorise la diversité, l’alimentation locale et les activités en plein air.
Consortium DKA / Atelier Sens
Bibliothèque de Marieville
APPROCHE CONCEPTUELLE
Notre vision architecturale de la bibliothèque est profondément liée à son paysage. Un équilibre entre le paysage et la sensibilité de l’architecture. Le bâtiment émerge de la géologie du site. Afin de créer une relation omniprésente entre le parc Édouard-Crevier et la bibliothèque, nous proposons un lieu de convergence entre nature et architecture. Le projet permettra de mettre en valeur le site, tout en créant un espace universel et accueillant pour la communauté; un espace propice aux rencontres, à la culture et aux échanges entre citoyens, tel un parvis d’église.
Le site favorise naturellement un bâtiment de forme allongé, permettant de distribuer judicieusement les deux programmes principaux du concours, soit la bibliothèque ainsi que la salle communautaire, de chaque côté d’un espace central. Ainsi répartis autour de cet espace, les nombreux programmes dispensés par le bâtiment seront fonctionnels et mis en relation par un équilibre visuel engageant.
Véritable ancrage du bâtiment au sein de la communauté, cette aire centrale conçue d’une transparence matérielle, permettra une ouverture entre l’entrée principale (la communauté) et la nature (le parc Édouard-Crevier). Cette transparence servira d’invitation à l’intérieur du bâtiment, tout en offrant un lien visuel fort entre le bâtiment et le parc. Ce lien visuel avec la nature ainsi que le dialogue entre l’intérieur et l’extérieur seront le parti architectural du projet.
ORGANISATION SPATIALE
Le prolongement de cette transparence à l’ensemble du bâtiment permettra un dialogue entre la nature et les différents programmes. Les activités programmatiques sont présentées du côté urbain, tandis que les aires de lecture et de travail sont aménagées tout au long d’une grande fenestration donnant vue sur le parc, créant un espace invitant et chaleureux, offrant une lumière naturelle de qualité propice à la lecture et permettant la contemplation de la nature.
De l’autre côté du hall commun, les salles communautaires offriront la possibilité aux organismes d’occuper l’espace central pour leurs activités, qui deviendra un lieu de rassemblement pour la collectivité. La fenestration abondante de ces salles permettra également d’étendre les activités à l’extérieur du bâtiment, sur le parc adjacent. Cette zone entièrement publique permettra la présence d’activités sociales et culturelles, offrant un espace identitaire favorisant les échanges entre les citoyens.
Tour Evolo
PROBLÉMATIQUE
La voiture est omniprésente dans nos espaces et nos structures sociales. Par conséquent, il devient un objet qui pollue les rencontres quotidiennes des citadins. Cette réalité crée de multiples enjeux à plusieurs niveaux : elle affecte l’environnement, la démographie, l’urbanisme et la mobilité des grandes villes.
À Montréal, comme dans la grande majorité des mégalopoles du monde, une problématique de premier plan se pose : l’encombrement des grandes artères de circulation affecte la mobilité de l’ensemble du système. Cette grande ville canadienne possède un réseau de transports en commun déficient, ce qui nécessite un renouvellement majeur qui doit répondre au fléau de la voiture. Le nouveau système ne doit pas se concentrer sur la pensée individualiste, mais plutôt sur un mouvement collectif. Face à cette contamination croissante des automobiles, une solution architecturale doit être conçue.
LE PROJET
Lors de l’analyse du contexte de la ville, de nombreux pôles peuvent être identifiés en fonction de leur concentration de trafic et de leur densité de population. Ces milieux urbains sont les points d’action de la révolution du système de transport actuel. Dans le contexte de Montréal, dix sites d’intérêt sont choisis pour leur proximité avec la population et les stations de métro existantes. Chacun d’entre eux accueillera une méga-structure autonome qui assurera la gestion du nouveau réseau automobile.
Un nouveau périmètre urbain est dessiné : l’ensemble du réseau routier est désormais enterré sous terre et est contrôlé efficacement par un ordinateur maître qui répond en temps réel aux conditions de circulation. Les personnes qui veulent s’introduire dans la ville en voiture doivent passer par une porte où la conduite traditionnelle chaotique est laissée de côté, et un système autonome et fiable qui en prend le contrôle.
Le fonctionnement est assez simple : les voitures sont stabilisées sur de grandes plaques métalliques et les moteurs sont éteints. Chaque véhicule devient alors une sorte de wagon privé; la voie souterraine guide automatiquement les citadins à travers un voyage dans ses tunnels magnétiques, et les emmène vers les stations de transports en commun. Après quelques arrêts rapides dans les gares, les voitures sont ensuite vidées de leurs propriétaires. Ensuite, le réseau les emmène à la tour de stationnement verticale la plus proche. Le propriétaire de la voiture peut ensuite récupérer sa voiture en définissant un lieu et une heure de collecte.
Cette tour est également exploitée par magnétisme et l’informatisation en temps réel. Les voitures arrivent progressivement sur leurs plaques aux pôles de distribution souterrains à la base du bâtiment, et sont propulsées verticalement sur le sol. La particularité de la tour est que son élément structurel principal est invisible : sept solénoïdes créent un champ magnétique qui maintient les véhicules verticalement. L’enveloppe du bâtiment est donc architectonique formée de sa raison d’être : la voiture elle-même. La tour ne cesse de s’assembler et de se démonter par le va-et-vient des voitures : la forme architecturale devient intrinsèquement dépendante du flux de circulation du centreville.
Les tours de stationnement verticales deviennent des machines architecturales urbaines, et la voiture devient la brique d’un processus sans fin de construction et de destruction.
Théâtre Alphonse Desjardins
DESCRIPTION DU CONCOURS
Repentigny est aujourd’hui considérée comme le pôle commercial et le centre des services de la MRC de l’Assomption. Le coeur de la ville se revitalise et se transforme à la mesure d’un centre-ville moderne avec de grands espaces piétonniers, des bureaux, des commerces, des pôles de loisirs et des espaces verts. Repentigny offre à ses citoyens tous les services d’une grande ville.
Il existe un grand potentiel de développement la vie culturelle, toutefois limité par la capacité des installations existantes. Le projet d’Espace culturel qui prendra place au coeur de la ville, entre l’Île-Lebel et la bibliothèque Robert-Lussier, vise à répondre à ce besoin. Imaginé comme un véritable corridor culturel, ce concept unique comprendra une salle de spectacle un centre d’art et de création artistique ainsi qu’un jardin arboretums et d’arts publics.
En 2017, le concours d’architecture pluridisciplinaire pour la salle de spectacle est lancé. La mission du projet était de favoriser la participation active des citoyens de la région à une vie culturelle riche et diversifiée.
En plaçant les citoyens au centre de la mission de la nouvelle salle de spectacle de Repentigny, l’intention était d’imaginer un lieu différent des autres salles de spectacle, que ce soit les salles de la région ou encore les salles du centre-ville de Montréal, un lieu avant tout citoyen. La nouvelle salle devait permettre de cibler un public plus jeune; un public difficile de rejoindre qui a tendance à bouder les salles traditionnelles, mais qui ne souhaite pas nécessairement aller voir des spectacles dans des bars.
