Planète Actu n°17

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N° 17 - Hiver 2014 - France - Magazine gratuit - Site : www.planetactu.com

Des météorites à l’origine de la vie Ce qui fut jadis une théorie semble aujourd’hui être bien établi, la vie viendrait de l’espace ! Il y a quatre milliards d’années, notre planète était intensément bombardée de corps célestes et de météorites.

L’humanité en danger !

Les effets du réchauffement climatique sur la perte d’espèces se fond déjà sentir sur nos côtes, dans les montagnes et dans les zones polaires. La montée des eaux fait carrément disparaître des villages de pêcheurs entiers. Les montagnes perdent leur flore et leur faune et les zones polaires s’effondrent. Nous risquons de perdre les merveilles et les bienfaits généreusement offerts par la nature sous forme de « services écologiques ».

Les runes, des lettres venus d’ailleurs

Des signes venus de l’univers associés à des symboles gravés sur des pierres, du bois ou des ossements, telle est l’essence propre des runes. Issues de Scandinavie et d’un ancien langage des cieux, les runes norroises sont magiques dans le sens où elles expriment une interaction avec l’univers.

Ca va chauffer ! Sans équivoque, l’action de l’homme a été définie comme étant la cause majeure du réchauffement climatique. Dés les années 50, le climat a été sévèrement exposé aux pollutions atmosphériques. A cet instant l’humanité a fait subir à la planète un dangereux virage climatique.

Méditer en pleine lumière La méditation en pleine conscience est un outil remarquable tandis que, par son action bienfaisante, la luminothérapie nous relaxe et nous apporte un remarquable bien-être. Aussi, associer la luminothérapie à la méditation peut nous aider dans notre cheminement.

Fabuleuse découverte d’une dent d’enfant dans la grotte du Lazaret La toute dernière découverte d’une molaire de lait provenant d’un enfant de 10 à 12 ans a fait la une des journaux. C’est la deuxième dent mise au jour par l’équipe du Laboratoire Départemental de Préhistoire du Lazaret.

Antoine, l’éternel voyageur du monde se tourne vers le Japon Chanteur d’élucubrations au départ, à l’époque des yéyés, Antoine est devenu voyageur, depuis, plus de 30 ans, et, depuis ses premiers pas sur la terre ferme, au bout du monde, à Tahiti. Son tout dernier DVD sur le Japon vient de sortir

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EDITO Nous ne le répéterons jamais assez, il nous faut prendre soin de notre planète. Hors actuellement et malgré les différents cris d’alarmes, il semblerait que l’indifférence perdure. Bien sûr et heureusement, des actions bienfaisantes ont lieu un peu partout dans le monde. Mais, il semblerait quelles ne soit pas suffisant. Le volume 1 du dernier rapport 2013 du Groupe Intergouvernemental d’Experts du Climat (GIEC) concernant les « éléments scientifiques du changement climatique» est sans équivoque, nous sommes les responsables majeurs du réchauffement climatique. C’est à partir des années cinquante que nous avons sévèrement exposé notre planète aux pollutions atmosphériques. A cet instant, l’humanité a prit un dangereux virage climatique dont le réchauffement atmosphérique est en grande partie issu. La hausse de température est due à l’accroissement du taux de gaz à effet de serre. Les océans se réchauffent et s’acidifient jusqu’à un point de non retour. Les glaciers et les précipitations neigeuses diminuent. Le niveau des mers ne cesse d’augmenter. Au cours des 20 dernières années, le Groenland et l’Antarctique ont vu inéluctablement leurs glaces fondre et il en a été de même pour les glaciers qui ont diminués de façon alarmante. Les trois dernières décennies ont été successivement les plus chaudes depuis 1850. Mais ce n’est pas tout, l’homme modifie aussi la biodiversité. Pire, l’extinction des espèces est en route. Elle aurait débuté il y a 80 000 ans. Cela fait longtemps que l’homme façonne son environnement naturel, au détriment de la biodiversité avoisinante. L’augmentation exponentielle de la démographie n’arrange rien et nourrir touts ces personnes induit la surexploitation de nombreuses espèces. La surpêche vide sans cesse nos océans et les cultures à outrance ne font que détruire encore plus. La surpopulation induit une modification accrue des paysages avec à la clé, les grandes déforestations, la pollution de l’eau et la dégradation de l’air. A-t-on atteint ce point de non retour ? Peut-être ! La rédaction PLANETE ACTUALITES

Magazine édité par la SARL CD Editions 10, rue Blacas 06 000 Nice Mail : journaldelaplanete@gmail.com Tél : 04 93 92 26 07 RCS NICE 484 323 589 ISSN 1961-3806 Commission paritaire : En cours Directeur de publication : M. Christian Pinson Rédaction : au journal Imprimé en Union Européenne - La Toscane Ont participé à ce numéro : Christian Pinson, Didier Soulet, S Voizard, Pierre Goeth, Gérard Pons, JM Gallo, Prof. De Lumley Les articles et publicités contenus dans ce magazine paraissent sous la seule responsabilité de leurs auteurs. Le magazine « Planète Actualités » n’en sera en aucun cas responsable Respectez la planète, ne jetez pas ce produit sur la voie publique. Des bacs de recyclage papier sont à disposition un peu partout.

Coopération France-Afrique du sud vers la protection de l’antarctique En Octobre 2013, Philippe Germa, le Directeur général du WWF France, a accompagné François Hollande en Afrique du Sud pour plaider en faveur de la mise en place d’une coopération renforcée entre la France et l’Afrique du Sud dans la gestion des îles Crozet (France) et des îles Edwards (Afrique du sud). Des hauts lieux de biodiversité menacés Rappelons que, de part l’interaction de leur diversité et de leur flore, les îles Crozet et Edwards sont des sanctuaires de pure biodiversité ayant peu d’équivalents dans le monde. Ces îles abritent la communauté d’oiseaux de mer la plus riche de la planète. L’isolement extrême et la faible démographie leur confèrent des enjeux environnementaux de première importance. Malheureusement, ces deux territoires subantarctiques sont exposés à de nombreuses menaces qui fragilisent leur patrimoine d’exception. Parmi ces dangers, notons la pêche illégale (et/ou non durable), les risques d’explorations pétrolières et gazières, le changement climatique, les espèces envahissantes ainsi que les nombreuses autres pressions qui impactent l’ensemble de ces écosystèmes. Les gouvernements français et sud-africain luttent pour une meilleure préservation de ces espaces Au printemps 2013, l’Afrique du Sud a créé la première Aire Marine Protégée (AMP) autour des îles Edwards (180.000 km2). De fait, ces îles se retrouvent au septième rang du classement des plus grandes AMP au monde. Lors de cette occasion, la Ministre sud-africaine de l’Eau et de l’Environnement, Madame Bono Edna Molewa, a exprimé son intérêt pour la mise en place d’une coopération renforcée avec la France. Ce partenariat portera sur la gestion des îles Edwards et Crozet ainsi que sur la volonté de voir se créer de nouvelles AMP dans l’Océan Austral, sous l’égide de la CCAMLR. Cette initiative est saluée par le WWF International. En parallèle, dans la feuille de route pour la transition écologique 2013, Jean-Marc Ayrault n’a pas hésité à affirmer sa volonté de « mettre en place un réseau d’aires marines protégées cohérent dans les zones de Crozet et Kerguelen ». Vers une coopération France-Afrique du Sud sur la gestion des îles Crozet et Edwards. Selon le WWF France, il est important de renforcer les liens de coopération scientifique et institutionnelle avec l’Afrique du Sud afin d’obtenir une vision partagée de la gestion des îles Crozet et Edwards. Ce partenariat servira de base à l’élaboration d’une proposition commune de désignation d’une AMP particulière (Aires Marines Protégées). Cette AMP inclura la haute-mer et ira jusqu’au plateau Del Cano. Le tout se fera en accord avec la CCAMLR. Une telle collaboration confortera la proposition franco-australienne déposée à la CCAMLR de créer en Antarctique un réseau d’AMP bien gérées. Proposition qui pourrait être perçue comme une première étape vers le développement d’une structure cohérente d’AMP dans l’Océan Austral. Un projet qui suscite jusqu’à présent les réticences de la Russie et l’Ukraine. Source : WWF France

Non à l’augmentation du quota de pêche du thon rouge Pour répondre aux recommandations des scientifiques, en 2012 les Parties Contractantes de l’ICCAT (Commission Internationale pour la Conservation des Thonidés d’Atlantique) avaient fait le choix d’agir de manière responsable en établissant le TAC (Total Admissible de Capture) pour l’année 2013 et les années suivantes. Il est aujourd’hui question d’augmenter le TAC. A ce sujet, le WWF alerte sur le fait que toute augmentation du quota de thon rouge d’Atlantique Est et Méditerranée pourrait mettre en péril la lente reconstitution de cette espèce et appelle donc les parties contractantes à ne pas augmenter le quota de thon rouge cette année. Nous devons respecter l’avis scientifique qui ne préconise aucune augmentation du quota La recommandation scientifique actuelle est basée sur l’évaluation du stock de thon rouge d’Atlantique Est et de Méditerranée menée en 2012. En 2013, il n’y a pas eu de nouvelle évaluation du stock par le SCRS (acronyme anglais du Comité Scientifique de l’ICCAT). L’avis basé sur l’évaluation menée en 2012 est donc toujours valable. En conséquence, la recommandation du SCRS pour 2013 est de maintenir le TAC actuel (13 400 tonnes). Le comité scientifique de l’ICCAT précise également que stabiliser les captures au niveau du TAC de 2012 permettra probablement au stock d’être entièrement restauré d’ici 2022. Isabelle Autissier ajoute que : « Tout pas en arrière ne tenant pas compte des avis scientifiques ramènerait l’ICCAT dans ces années les plus sombres durant lesquelles la gestion du thon rouge menée par cette organisation était associée à « un simulacre de gestion de la pêche ». Le WWF appelle l’ICCAT à ne pas augmenter le quota de thon rouge jusqu’à ce qu’une nouvelle évaluation scientifique soit disponible et que le SCRS ait émis de nouvelles recommandations » Mettre fin à la surcapacité de la pêcherie de thon rouge La mise en place de mesures permettant de mettre fin à la surcapacité de la flotte est un point clé de la réussite de l’actuel plan de restauration. Le comité scientifique de l’ICCAT, lance l’alerte sur les niveaux de capacité actuels qui pourraient facilement capturer des volumes en large excès par rapport au quota actuel. Source : WWF

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Pour Rudy Ricciotti, l’architecture est un sport de combat Le livre est provocateur et polémique. Il aborde avec vigueur et clarté la question de la responsabilité de la société toute entière en matière d’architecture. En juin dernier 2013, l’inauguration du MUCEM (Musée des Civilisations de l’Europe et de la Méditerranée) aura favorisé la découverte de la dernière des réalisations conçues par Rudy Ricciotti. Les conférences d’avril à septembre données par l’auteur, auront permis aux passionnés d’aller à la rencontre de ses idées novatrices, à Paris comme à Marseille, pour l’intérêt de tous. Christian Pinson

« Conversations avec David d’Equainville », voilà le dernier ouvrage de l’architecte international Rudy Ricciotti. Notre architecte a signé les réalisations de Marseille, du stade de Vitrolles, du centre chorégraphique national d’Aix en Provence, du Philarmonique de Postdam, de la passerelle de la Paix à Séoul et du Musée Cocteau de Menton. Dans son ouvrage, Rudy Ricciotti ne mâche pas ses mots. Avec un sens des hors pair de l’écriture, il amplifie ses idées et décrit aussi les principaux combats qu’il mène depuis plusieurs décennies. Il interroge de manière iconoclaste les enjeux et les perspectives de sa profession et parle autant du ‘’Salafisme architectural’’ qui domine les constructions contemporaines que de la ‘’Fourrure verte’’ dont se drapent tous les tartufes au chevet de l’environnement. Depuis de nombreuses années, ce bâtisseur se faufile entre les concepts reçus. Avec brio, il évoque la pornographie de la réglementation dont les défenseurs et principaux bénéficiaires sont les tenants du pouvoir. D’avril à septembre 2013, la Cité de l’architecture de Paris avait mis en œuvre l’année Rudy Ricciotti par le biais d’une exposition monographique. Ce rendez-vous a attiré un public nombreux avide de découvertes architecturales.

Contact : anne@anneetarnaud.com - arnaud@annetarnaud.com

Colomiers : une course de voitures éco-responsables en plein centre ville ! reprises, ou encore les lycées Diderot de Paris et Léonard-deVinci de Melun dont le prototype « Augustine 2 » a fait parler de lui en recevant cinq récompenses. Au total, 70 équipes, soit 765 participants, ont

Record du monde pour la dernière édition d’Educ Eco qui, cette foisci, s’est déroulée sur le circuit urbain créé à Colomiers. « Tenante du titre depuis 2012, l’équipe du lycée de la Joliverie et de l’École Polytechnique de Nantes a battu son propre record pour cette 5e édition d’Educ Eco, la première en milieu urbain ». Faire 1431 km avec l’équivalent d’un litre de sans plomb 95, était l’incroyable pari du moment. Et pourtant, il a été tenu ! Les étudiants du lycée de la Joliverie et de l’École Polytechnique de Nantes sont une fois de plus détenteurs du nouveau record du monde. L’exploit a été réalisé avec Cityjoule, une voiture éco-citadine que nous pourrions conduire demain. Pour cette 5e édition du Challenge Educ Eco de mai 2013, Cityjoule utilisait une pile à combustible alimentée à l’hydrogène. Philippe Maindru, l’enseignant qui a suivi ce projet, s’est réjouit et a expliqué qu’il s’agissait « d’un travail d’équipe de trois années, engageant son Lycée et l’Ecole polytechnique de Nantes. C’est incroyable de penser que cette voiture a consommé 0,07 litre d’essence sur 100 km ! Soit 157 km par Kwh ! C’est un record mondial et nous avons amélioré la performance passée de 50 %.». Lors de la remise des prix, Cityjoule a reçu cinq prix et une trentaine de récompenses ont été remises aux autres participants. On retiendra en particulier l’INSA de Toulouse, primé à trois

concouru pendant trois jours. Du circuit automobile au circuit urbain Les responsables de l’association AD3E, créatrice d’Educ Eco, organisaient jusqu’à présent ce challenge sur le circuit automobile Paul-Armagnac, à Nogaro, dans le Gers. Cette année, pour faire partager cette démarche au grand public et démontrer tout l’intérêt de cette course pour l’avenir du secteur automobile, AD3E avait choisi de monter un parcours en milieu urbain, un véritable défi qui a séduit la ville de Colomiers. Pour l’occasion, un circuit de 1,2 km a été créé sur un long boulevard entre deux giratoires du centre-ville, tandis que le village des équipes et ses 70 stands a occupé 1000 m2 sur la place de la Mairie. Forte de 35000 habitants, cette commune de l’agglomération toulousaine a fait du développement durable l’un de ces principaux axes de travail. AD3E et la Ville de Colomiers ont signé un partenariat de trois ans et travaillent d’ores et déjà à l’organisation du Challenge Educ Eco 2014.

Le Prince Albert II aux cotés deux gypaètes barbus Un espace protégé hors des frontières monégasques a permis le futur envol pour deux Gypaètes barbus, des volatiles protégés. Le Gypaète barbu est le plus grand rapace d’Europe. Il peut atteindre jusqu’à 3 mètres d’envergure. Son poids se situe entre 5 et 7 kilos et sa longueur oscille entre 1m10 et 1m50 tandis que son âge peut atteindre 40 ans. Ce charognard se situe à la fin de la chaîne alimentaire, passant après les vautours, les corbeaux, les renards et les sangliers. Il porte le nom de ‘’casseur d’os’’. Pour soutenir sa fondation, le Prince Albert II de Monaco ne rate aucune occasion de s’immerger en pleine nature. Et pour cause, en mai dernier, son excellence Albert II de Monaco a honoré de sa présence, le 20ème lâcher de deux gypaètes barbus dans les Alpes. Depuis 2006 la Fondation du prince Albert II de Monaco effectue ce type de lâché. Cela répond aux menaces préoccupantes qui pèsent sur l’environnement de notre planète. L’évènement a réuni plus de cent personnes et ce véritable instant de bonheur aura permis à nos deux volatiles, Costa et à Tenao, de prendre leur envol vers leur milieu naturel. Mais rassurezvous, auparavant, ils avaient

séjourné dans une grotte, où ils recevaient les soins et la nourriture nécessaire à leur survie. Après le lâché tout s’est bien passé et à la fin de l’été, une entière autonomie les a poussé à agrandir leur territoire de vol. Depuis 1922, la disparition de ce rapace dans les Alpes a attisé toutes les attentions des spécialistes. C’est en 1972 que sa réintroduction avait été envisagée pour être effective en 1978, grâce au WWF International. Soutenue par diverses communes des alentours de Roubion et par l’association Parco Alpi Maritime, la Fondation du prince Albert II, soutient depuis 2007 le programme de réinsertion de ce charognard qui participe au nettoyage des montagnes. Ce programme tout à fait pertinent a permis dernièrement de favoriser la réintroduction au niveau européen des gypaètes barbus, et ainsi de dépasser largement les frontières du Parc du Mercantour qui se sont étendues aux Alpes entières, à la Corse et aux Pyrénées. C. Pinson avec l’aide de Karine Taillandier http://www.mercantour.eu/index.php/especesle-gypaete-barbu

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Déjà 11 ans d’activités au Centre Anima, pour mieux vivre ! En plein cœur paris, dans le 9éme arrondissement, le Centre Anima vous accueille et met à votre dispositions une multitude de disciplines. Anima s’adresse à toute personne désireuse de trouver ou de retrouver une activité correspondant à son besoin. En fonction de vos désirs, vous pourrez opter pour une activité physique, psychique, émotionnelle et pourquoi pas pour les trois si, tel est votre souhait. Dés 2002, Lise d’Ambrin, Ostéopathe (D.O.), professeur de Stretching Postural et de Qi Gong eut l’idée de créer un centre où chaque personne pourra choisir la discipline qui lui convient au travers d’un large panel d’activité. Il lui a semblé important de regrouper dans un même lieu, non seulement ses propres techniques, mais aussi celles de praticiens et professeurs travaillant dans le même sens. Aujourd’hui, le centre ANIMA a atteint sa maturité et est heureux de célébrer, avec vous, ses 11 ans d’existence. Sa fierté est de vous accompagner du mieux possible dans toutes vos envies de bien-être et de développement personnel. Selon le moment de sa vie, on peut choisir de se détendre et d’être soi même en optant pour les techniques douces comme la technique Feldenkrais, la Relaxation, le Qi Gong et le Yoga de Madras qui permettent de se ressourcer. On peut aussi se tourner vers une technique tonique comme le Yoga Iyengar, le Stretching Postural ou la Méthode Pilates. En fait, chacun doit pouvoir trouver son miel ! Au Centre Anima, vous trouverez des professeurs spécialisés qui enseignent le Stretching Postural®, la méthode Feldenkrais, le Qi Gong, différents types de Yogas, la Méthode Pilates, une Ecole du Mouvement pour seniors & la Relaxation dynamique. Ici, les femmes enceintes découvrirons un Hatha Yoga adapté et les seniors, une gymnastique correspondant à leurs besoins. Le centre vous propose aussi un travail sans risque sur le périnée et les abdos. Chez nous, vous aurez aussi accès à l’Ostéopathie, à la psychologie clinicienne, à la Sophrologie, au Coaching, à des techniques travaillant sur la gestion du stress, à l’Eurythmie, à la Réflexologie, à la méditation... Toutes ces méthodes ont pour but : de libérer l’homme de ses blocages et de ses tensions, de le remettre dans sa verticalité, de lui donner un nouveau goût de lui-même,et de retrouver détente et harmonie. Elles sont basées sur une prise de conscience corporelle et préconisent un accompagnement de la personne dans sa globalité : « corps, esprit et environnement ». Le Centre Anima est un lieu intime, lié à la recherche de soi et au développement de sa relation avec l’autre, un lieu silencieux, apaisant et revitalisant. C’est un lieu d’échange. Plusieurs grands axes sont à votre disposition comme : Le Développement personnel (Séances de Sophrologie, Eurythmie de santé, Coaching, Méthode Vittoz, Coach relations...). La Gym douce (Stretching postural, Gym séniors, Abdos sans risque, Méthode Pilates Barre au sol...). Le Yoga Cours de Yoga, Yoga Iyengar, Yoga Femmes Enceintes, Yoga de Madras, Hatha Yoga... L’Ostéopathie (Trois Ostéopathes D.O. vous accueillent pour des séances en Cabinet privé). La Relaxation (Cours de Relaxation, Gestion du stress, Réflexologie plantaire et crânienne...). Le Travail énergétique (Séances de Shiatsu, Qi Gong, Hui Chun Gong, Reiki, Quantum Touch). Centre Anima – 31, rue de Maubeuge – 75009 Paris - Tél : 01 53 20 97 47 – Site : www.centreanima.com Se rendre au centre : Métro ligne7: stations Cadet ou Poissonnière - Métro Ligne 12 : station Notre-Dame-de-Lorette – Métro ligne 2 : Station Anvers. Bus 26/ 42/ 43/ 85 : arrêt Maubeuge- Rochechouart

Découvrez LE CENTRE ANIMA Votre centre de gymnastiques douces à Paris Dans un cadre agréable, spacieux et silencieux venez découvrir et pratiquer les techniques de gymnastiques douces. Un grand choix de techniques enseignées par des professeurs spécialisés est à votre disposition. Vous pourrez accéder à une détente profonde en choisissant une ou plusieurs activités. Le CENTRE ANIMA, ce sont des professeurs spécialisés qui enseignent: Le Stretching Postural® - Le Yoga – La Méthode Pilates - Le Qi Gong - La Méthode Feldenkrais - La Gym Séniors - Abdos sans risques - L’Eurythmie de Santé Le CENTRE ANIMA, c’est aussi des intervenants qui exercent : La Relaxation et la Réflexologie - la Méthode vittoz - L’Energiologie - La Relaxation (Dynamique, Jacobson) - La Sophrologie - Le Coaching - La méditation Le Développement personnel - La Psychologie- l’Ostéopathie Centre ANIMA 31, rue de Maubeuge 75009 - Paris Pour tous renseignements: Tel. 01 53 20 97 47 Métro : Cadet (ligne 7) - Notre Dame de Lorette (ligne 12) - Anvers (ligne 2) Bus : 26, 32, 42, 43, 48, 85 - Parking : square Montholon Site Web: www.centreanima.com Retrouvez-nous aussi sur Facebook et Twitter

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Plusieurs tonnes d’ivoire saisies à Zanzibar ( Le Cap, Afrique du Sud ) Plusieurs tonnes d’ivoire d’éléphant ont été découvertes dans un conteneur sur l’île de Zanzibar. D’après les autorités, la marchandise avait été dissimulée dans des sacs de coquillages pesant cinquante kilos chacun. Le volume total découvert n’a pas été dévoilé, mais aux dires de la police locale, il se chiffrerait en tonnes. Deux personnes, un transitaire et un homme d’affaires, auraient été arrêtées. Cette saisie s’inscrit dans le cadre d’une vaste opération menée par les autorités tanzaniennes (Zanzibar est un archipel semi-autonome appartenant à la Tanzanie) visant à endiguer l’essor rapide du braconnage et du trafic d’ivoire dans le pays. Et pour cause, la semaine dernière, la police tanzanienne a ainsi arrêté trois hommes d’affaires chinois en possession de 706 pièces d’ivoire.

Ce stock d’ivoire, qui comprenait aussi bien des défenses entières que des bibelots et des bijoux, constituait la majeure partie du stock américain. IFAW soutient sans réserve les gouvernements qui décident de détruire leurs stocks d’ivoire. Les massacres d’éléphants ne cesseront que lorsque la demande disparaîtra. Au cours de la CoP15 (Doha, Qatar, mars 2010) et de la CoP 16 (Bangkok, Thaïlande, mars 2013) de la CITES, les Parties (pays membres) ont été encouragées à réaliser des tests ADN pour chaque saisie d’ivoire de grande ampleur. Cela permettra d’aider les enquêtes scientifiques qui seront conduites sur les cargaisons d’ivoire confisquées et d’identifier les routes empruntées par les trafiquants tout en soutenant les efforts d’application de la loi à l’échelle internationale, une vision que partage aussi IFAW. N’oublions pas que les saisies importantes d’ivoire sont toutes liées à des syndicats du crime organisé qui sont responsables du braconnage des éléphants et du trafic d’ivoire. La majeure partie de l’ivoire illégal est destinée à l’Asie, et en particulier à la Chine.

Quelques jours plus tôt, pas moins de 89 défenses étaient découvertes dans le coffre d’une voiture arrêtée lors d’un barrage routier. James Isiche, Directeur régional Afrique de l’Est d’IFAW (Fonds international pour la protection des animaux - www.ifaw.org) explique « qu’il faut saluer le travail des autorités tanzaniennes et la fermeté dont elles font preuve face au braconnage et au trafic d’ivoire … Nous devons aussi nous réjouir de voir les gouvernements régionaux redoubler d’efforts pour lutter contre la criminalité faunique. Heureuse en apparence, cette nouvelle laisse néanmoins entrevoir l’ampleur du phénomène : entre 30 000 et 50 000 éléphants sont tués chaque année pour leur ivoire. Si nous voulons sauver l’espèce, nous devons nous attaquer à chacun des maillons de la chaîne du trafic de l’ivoire, des braconniers aux consommateurs en passant par les trafiquants. ».

Dans le cadre d’une initiative internationale visant à renforcer les capacités de lutte contre ce trafic, IFAW forme les forces de l’ordre à la prévention du trafic d’espèces de faune sauvage dans de nombreux pays d’Afrique, du Moyen-Orient, d’Asie, d’Océanie et des Caraïbes. IFAW a récemment signé un mémorandum d’entente avec INTERPOL, le premier jamais signé avec une ONG par le Programme d’INTERPOL sur la criminalité environnementale. Depuis 2005, INTERPOL et IFAW ont collaboré sur de nombreux projets, et notamment l’année dernière lors de la plus grande opération de lutte contre le trafic d’ivoire jamais menée à l’échelle internationale.

L’annonce de cette saisie majeure en Tanzanie coïncide avec la destruction, aux États-Unis, de six tonnes d’ivoire confisqué.

Source : communiqué de presse IFAW

Climat énergie : 38 acteurs économiques mobilisés avec la Ville de bordeaux Cette charte vise aussi à créer une dynamique d’adhésion des entreprises bordelaises et à valoriser les initiatives au sein du Club climat énergie des entreprises de Bordeaux créé en 2012. Les 38 premiers engagés Auchan, Mériadeck,, la Banque de France, Bouygues Immobilier, Carrefour Market (5 enseignes), Casino Lucien Barrière, CGPME Gironde, Chambre d’agriculture de la Gironde, Chambre de Commerce et d’Industrie de Bordeaux, Chambre des métiers et de l’artisanat de la Gironde, CHU Coligny, Congrès Expositions de Bordeaux (CEB), Darwin Ecosystème; EDF, Eiffage construction, Eiffage immobilier, ERDF, Grand Hôtel de Bordeaux, Groupe la Poste, Groupe Bordeaux nord Aquitaine, Hôtel Mercure Bordeaux centre, IKEA, Lyonnaise des eaux, le Club des entreprises de Bordeaux, MEDEF de la Gironde, MIN de Brienne, PRODIS Maison Johanès Boubée, REGAZ-Mixener, REP, SAFT Établissement de Bordeaux, SNI, la Ronde des quartiers de Bordeaux.

Le lundi 25 novembre 2013 à l’hôtel de ville et en présence d’Alain Juppé, près d’une quarantaine d’acteurs économiques locaux ont signé, avec la ville et le soutien de l’ADEME, la Charte d’engagement climat-énergie de Bordeaux. Ils ont ainsi promit de réduire l’impact de leurs activités sur l’environnement. Depuis 2001, Bordeaux s’est engagée dans une démarche volontaire de développement durable qui a abouti en décembre 2008 à l’adoption d’un Agenda et d’un Plan Climat Énergie Territorial. En 2012, ce plan a été réactualisé pour réaffirmer l’engagement de Bordeaux sur le long terme, dans la division par quatre des émissions de gaz à effet de serre, d’ici 2050.

Le Club climat énergie des entreprises de Bordeaux ce sont : 2 millions de m² chauffés, 38 acteurs mobilisés regroupant 26,5% de la population active ayant un emploi à Bordeaux (source INSEE 2012), 452 GWh soit 15% de la consommation totale d’énergie à Bordeaux (Gaz et électricité) et près de 66.000 teqCO2 soit 5% des émissions du territoire associées aux bâtiments. Les entreprises ou organisations (basées à Bordeaux et d’au moins 50 salariés) souhaitant intégrer le Club, peuvent contacter la Délégation au développement durable de la mairie de Bordeaux au 05 56 10 14 79 ou sur ddd.clubenergie@ mairie-bordeaux.fr

Mobilisation générale Pour réduire les émissions à l’échelle de la ville, une mobilisation conjointe et coordonnée de l’ensemble des acteurs majeurs du territoire est indispensable. Initiative inédite pour une commune, la charte officialise l’engagement de ces structures et entreprises.

Ainsi est réaffirmée la volonté commune de réduire les émissions de gaz à effet de serre en diminuant les consommations d’énergie et en développant les énergies renouvelables. Source : communiqué de presse de la Mairie de Bordeaux 05 56 10 21 73 & 10 20 46 - twitter.com/bordeauxpresse

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Climat

Ca va chauffer ! L’avertissement du GIEC L’étude du (GIEC) est sans appel, la somme des gaz à effet de serre produit et continuera à produire des dégradations climatiques qui se feront sentir durant plusieurs centaines d’années. Les experts sont formels, depuis le milieu du 20 ème siècle les activités humaines sont la principale cause du réchauffement climatique planétaire avec une primalité de 95%. Cette probabilité était de 90% dans le rapport 2007 et de 66 % dans le rapport 2001. Le bilan prévoit un accroissement du réchauffement global avec pour conséquences, des canicules, des inondations, des sécheresses et une forte montée du niveau des mers, sans oublier l’acidification de leurs eaux. Et bien évidemment, la biodiversité va pâtir de tout ca.

A Stockholm, lors de son assemblée plénière de fin septembre 2013, le Groupe Intergouvernemental d’Experts sur le Climat (GIEC) s’est penché sur le « volume 1 » de son cinquième rapport d’évaluation traitant des « Eléments scientifiques du changement climatique ». Et, sans équivoque, l’action de l’homme a été définie comme étant la cause majeure du réchauffement climatique. 1950, l’année du virage climatique Dés les années 50, le climat a été sévèrement exposé aux pollutions atmosphériques. A cet instant l’humanité a fait subir à la planète un dangereux virage climatique. Le réchauffement climatique s’est mis en route. La hausse de température consécutive à l’accroissement du taux de gaz à effet de serre a réchauffé les océans. Les glaciers et les quantités de neige ont diminués. Le niveau des mers n’a cessé d’augmenter. Au cours des 20 dernières années, le Groenland et l’Antarctique ont vu leur glace fondre et les glaciers ont disparu de façon alarmante. Les trois dernières décennies ont étaient successivement les plus chaudes depuis 1850.

La réponse du GIEC aux « sceptiques du réchauffement climatique » Les détracteurs qui refusent d’entendre le cri d’alarme du GIEC n’hésitent pas à mettre en avant le fait que les températures ont augmenté à un rythme plus lent que ce que présageaient les hausses de gaz à effet de serre. A ce sujet, les scientifiques du GIEC rétorquent qu’il ne faut pas voir le phénomène à cours terme mais plus profondément dans la durée et que les effets du réchauffement climatique se feront sentir bien après notre mort.

GIEC 2013, l’acidification des océans comme préoccupation importante présentés ne font que valider ce que nous pouvons déjà observer autour de nous. »… et que « depuis la dernière publication du GIEC en 2007, la fonte du glacier terrestre et l’élévation du niveau des mers se sont considérablement accélérées. Dans l’Arctique, la fonte des glaces de mer en été est plus élevée que prévu et la dernière décennie a été la plus chaude depuis 1850.». Il incombe à tous les secteurs de la société, y compris les gouvernements, d’agir maintenant en se basant sur les faits scientifiques présentés dans ce rapport et qui ont fait l’objet d’un processus d’examen sans précédent. Madame Smith conclue que : « Les faits scientifiques peuvent être discutés, débattus ou déformés, nous ne pouvons pas ignorer la réalité qui est que nous devons agir ou faire face aux nouveaux impacts du changement climatique. Nous savons que la principale source de pollution à l’origine du changement climatique est la combustion de matières fossiles. Le WWF appelle les gouvernements et les entreprises à stopper leurs investissements dans les énergies polluantes et à opérer une transition immédiate vers les énergies renouvelables ».

Dans son dernier rapport, le GIEC explique que le changement climatique est plus rapide et plus intense que prévu et qu’il est urgent et nécessaire d’agir. Les conclusions des scientifiques nous révèlent que nos océans sont très sérieusement impactés. Cela en fait une source importante de préoccupation étant donné que plus d’un milliard de personnes vivent et dépendent de ces derniers. La mer est leur principale source de nourriture et de subsistance et les dégâts occasionnés par la bêtise humaine entraineront de nombreuses famines. Dés 1900, l’acidification des océans n’a cessé d’augmenter pour avoisiner de nos jours les 30%. Aujourd’hui, elle est probablement à son niveau le plus fort depuis des millions d’années. Le Dr Stephan Singer, responsable du Département Européen Energie et Climat au WWF, a déclaré que : « le réchauffement des océans et surtout leur acidification sont néfastes pour les poissons, les récifs coralliens et la plupart des autres éléments des écosystèmes marins.» et que « cette acidification est liée au CO₂ issu principalement de la combustion des matières fossiles. Celui-ci se dissout dans les océans et peut ainsi détruire un écosystème déjà fragile d’une façon presque irréversible si nous n’opérons pas au plus vite une transition vers les énergies renouvelables.». L’éclairage scientifique global des dernières données du GIEC ne fait que renforcer le caractère crucial des négociations climatiques (COP 21) qui doivent aboutir fin 2015 à Paris. Samantha Smith, leader du Global Climate Initiative du WWF et de l’Energie a déclaré que « les résultats de ce rapport ne sont pas une surprise et les faits scientifiques

Source : Communiqué de presse du WWF

Un gain de 5% de certitude en faveur de l’hypothèse du réchauffement climatique Dans leur 5éme rapport de GIEC, les scientifiques sont désormais certains à 95 % que l’activité humaine influence considérablement le changement climatique. Le précédent rapport de 2007 parlait de 90% de certitude.

et mettent en avant le fait que le réchauffement se ralentit depuis une quinzaine d’année et que le pic de chaleur de 1998 n’a jamais été dépassé. Les scientifiques du GIEC ont plusieurs réponses à ce genre de remarque anti-réalité.

Ce gain de 5% est plus qu’alarmant et pourtant les gouvernements ne semblent pas réagir en conséquence. Qui plus est, le lien entre réchauffement extrême et perturbations météorologiques se renforce considérablement. Les septiques du réchauffement contre attaquent

Parmi ces réponses, ils expliquent que la terre poursuit son réchauffement mais que les océans piègent la hausse de chaleur. L’océan pacifique contribue énormément à ce piégeage calorique de la température atmosphérique.

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Climat

Après le cri d’alarme du 5ème rapport du GIEC, le réseau action climat attend l’exemplarité politique Alors que le GIEC (Groupe Intergouvernemental d’Experts sur l’évolution du Climat) a présenté, vendredi 27 septembre 2013, à Stockholm, le premier volume de son cinquième rapport, le Réseau Action Climat propose un outil pédagogique d’information sur les conclusions du rapport, sous forme de site internet, accessible à l’adresse www.leclimatchange.fr

d’apporter des réponses claires et pédagogiques à ceux qui continuent de douter de la réalité du changement climatique et, qui minent l’ambition politique française. Le site est disponible à l’adresse www. leclimatchange.fr. Quelques réactions du Réseau Action Climat suite à la sortie du rapport du GIEC : Morgane Créach, directrice du Réseau Action Climat : «Le 5ème rapport du GIEC est très clair: les changements climatiques sont en marche et vont s’aggraver dans les décennies à venir. Les impacts sont déjà visibles et tous les indicateurs sont au rouge: le niveau de la mer monte de plus en plus vite et inonde les côtes en Asie et en Afrique, la banquise en Arctique bat des records de fonte et on recense 800 évènements extrêmes en 2012. Le prix humain, pour les écosystèmes et économique du changement climatique n’est pas acceptable …. Les bénéfices de l’action climatique pour l’économie et l’emploi ne sont plus à démontrer. Ce qui manque aujourd’hui en France, c’est la volonté politique de François Hollande d’agir contre les changements climatiques. Si la France veut sceller un accord ambitieux en 2015, elle doit élever le niveau d’ambition, en commençant déjà par engager chez elle une véritable transition énergétique. Comment la France compte entraîner les autres pays si à domicile, elle n’est pas en mesure de démontrer qu’une politique ambitieuse de lutte contre les changements climatiques est possible et souhaitable ?» Celia Gautier, chargée des politiques européennes au Réseau Action Climat : « Nous attendons de la France qu’elle défende l’adoption de trois objectifs européens, contraignants et cohérents d’ici à 2030. A la conférence environnementale, François Hollande a fait un pas en arrière sur ce triple engagement. Mais seul, un objectif de réductions d’émissions de GES ne suffira pas à enclencher la transition dont nous avons besoin !» Alix Mazounie, chargée des politiques internationales au Réseau Action Climat : « L’inaction actuelle de nos gouvernements nous place déjà sur une des trajectoires les plus pessimistes du GIEC - un niveau de réchauffement auquel des continents entiers ne seraient pas en mesure de s’adapter! Il est encore temps pour la communauté internationale de changer la donne en renforçant l’ambition collective entre 2013 et 2020 et en finançant l’adaptation des pays les plus pauvres. A quelques mois du prochain sommet international qui se déroulera à Varsovie, nous attendons de la France qu’elle finance le Fonds Vert et le Fonds pour l’Adaptation».

Un changement climatique en marche et qui s’accélère ! Selon le 5ème rapport du GIEC, les changements climatiques sont en marche. Plus gave encore, ils vont s’accentuer dans les décennies à venir. Depuis l’ère préindustrielle, la planète s’est déjà réchauffée de 0,8°C et les prévisions pour 2100 annoncent une trajectoire dangereuse pour la survie de continents entiers. Les impacts sont déjà visibles et tous les indicateurs sont au rouge : le niveau de la mer monte de plus en plus vite, la banquise en Arctique bat des records de fonte. Plus de 800 évènements extrêmes ont été recensés en 2012. Pourtant, les gouvernements, y compris la France, ne prennent pas les mesures urgentes nécessaires au maintient du changement climatique sous un seuil acceptable. La France doit montrer l’exemple, puisqu’elle va accueillir une conférence mondiale sur le climat en 2015 Alors qu’en 2015, François Hollande présidera une conférence mondiale sur les changements climatiques à Paris, il tarde à engager la transition énergétique ainsi qu’à réformer la fiscalité et à financer l’adaptation aux impacts du changement climatique dans les pays les plus pauvres. Avant de pouvoir sceller un accord mondial sur les changements climatique, la France a un devoir d’exemplarité. D’ici 2015, le Réseau Action Climat entend sensibiliser et remobiliser les citoyens et la classe politique pour obtenir de la France une politique climat-énergie ambitieuse au niveau domestique, européen et international. Un site pour informer et mobiliser le grand public Afin de renforcer la compréhension citoyenne des enjeux du changement climatique, le Réseau Action Climat lance un site internet qui s’adresse au grand public. Le but étant d’expliquer les grandes conclusions du rapport du GIEC, sous forme de texte et d’infographies. En présentant les nouveautés du rapport, le site permettra de mieux appréhender les nouvelles conclusions proposées par le GIEC depuis son précédent rapport, daté de 2007. Il expliquera également les observations et les changements constatées, l’influence des activités humaines dans ces changements et les projections de court, moyen et long terme. Enfin, une rubrique « Questions - Réponses » permettra

Source : Réseau Action Climat

Climat, clash à la Conférence de Varsovie La conférence sur le climat de Varsovie de Novembre 2013 n’a finalement accouché de rien de vraiment probant. En effet, certains pays ont délibérément miné le processus multilatéral de l’ONU, seule solution à la résolution de la crise climatique mondiale. La conférence à fait passer la défense des intérêts des énergies du passé bien avant l’intérêt général des citoyens. N’ayant plus rien à attendre d’une telle mascarade, les organisations représentatives de la société civile mondiale ont pris la décision de quitter les négociations climatiques afin de consacrer leur temps et leur énergie à d’autres sujets. Dés lors, l’objectif se focalisera à mobiliser les opinions publiques pour faire pression sur les gouvernements afin que le climat devienne une réelle priorité de l’agenda politique. C’est d’un commun accord que les organisations de la société civile mondiale ont décidé de se retirer volontairement des négociations climatiques de Varsovie. C’est la première fois que cela arrive dans l’histoire du processus de négociation Retrouvez les exclusivités presse du WWF France sur : TWITTER : @WWFFrance.Press

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M.T.O

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Coup de cœur

LE DHARMASŪYA MAHĀYĀGA PALAKKAD, Kerala, Inde du Sud Le déroulement de l’évènement 1er jour : La valeur suprême de l’Ordre cosmique, la non-violence, la pacification des forces de la nature. Table ronde internationale pour la Paix dans le monde. 2e jour : La jeune génération, les justes principes et valeurs dans la jeunesse ainsi que l’inclusion du développement intérieur dans l’éducation. 3e jour : Les 3 âges de la vie qui suivent la jeunesse : le couple et la famille puis le temps de la distanciation d’avec le monde et la vie de famille et enfin la dernière phase de la vie. Table ronde internationale pour l’écologie sociale et le développement durable. 4e jour : L’émergence de bons dirigeants au niveau de chaque nation, ayant la clarté intérieure, la hauteur de vue, le souci du bien public ainsi que la compréhension des lois universelles et la compassion pour tous les êtres. 5e jour : La compréhension et l’adoption générale de l’ensemble des grands principes (Dharma). Permettre aux énergies correspondantes de descendre vers les personnes présentes et l’humanité entière. 6e jour : Journée cruciale, grande prière collective pour faire descendre l’énergie de la supra-conscience 7e jour : L’énergie divine est transmise à tous les êtres et tous les mouvements de l’univers, ainsi qu’à la grande célébration de la présence divine.

QU’EST-CE QUE LE MAHAYAGA ? Un Mahayaga est un processus d’offrandes au Feu sacré, codifié dans les Vedas, textes sacrés qui nous ont été transmis par les Rishis, ces êtres éclairés de la tradition multimillénaire indienne. Śrī Tathāta, un grand sage du Sud de l’Inde, a conçu le Dharmasuya Mahayaga de 2014 en intégrant l’apport des Rishis et en l’adaptant à notre époque. Son intention est d’aider le monde à traverser la phase actuelle de grands changements, sur le chemin d’une conscience humaine plus élevée. Le Dharmasuya Mahayaga a pour but de générer, par les rituels et la résonance des hymnes védiques, une immense Energie qui contribuera à stabiliser le mental humain, à apporter la paix au niveau individuel et social et à aider tous les êtres humains à entrer dans la nouvelle conscience. Il réunit des personnes de nombreux pays, des pratiquants spirituels et des représentants de tous les domaines de la société, y compris des leaders politiques. Lorsque des représentants de l’humanité unissent leur pensée pendant la descente d’une grande Energie divine, en présence d’un être de haute conscience tel que Śrī Tathāta, leurs intentions positives pour l’humanité deviennent réalité. Enfin, plus d’un million d’Indiens viendront recevoir la bénédiction de la Présence sacrée qui régnera sur le lieu. Tous ces éléments font du Dharmasuya Mahayaga un événement marquant pour le futur de l’humanité.

Du 6 au 12 Février 2014 - Sites Internet : www.mahayaga.org et www.dharma-resa.net CONTACT dans le LOT (France) : assnamaskaram@yahoo.fr – Tél. 05 65 35 79 40 - 06 25 32 74 48

Le Domaine du Taillé Non loin d’Aubenas, le Domaine du Taillé prend vie en plein cœur du « Parc Régional des Monts d’Ardèche ». Jalonnant la bordure orientale du Massif Central, les grands espaces de cette région magnifient les paysages sauvages. Ici, le charme naturel des étendues boisées, des gorges sauvages, des volcans, des torrents, de la nature, des productions de châtaignes et de myrtilles,… agit en nous à l’identique d’un merveilleux voyage. Fier d’appartenir à la beauté de la région, le Domaine exalte, par ses abords sauvages, les possibilités de détente, de ressourcement et d’éveil, nécessaires à l’épanouissement. Des bâtisses et un esprit Zen La tradition Zen apportée du Japon par la famille d’Aulan, propriétaire des lieux, imprègne le centre, même dans la façon d’accueillir ses hôtes. Les 100 hectares arborés du site sont un vrai joyau qui sublime la sérénité. En s’écoulant au fond d’une belle vallée, une petite rivière accessible par des chemins de randonnée vient mettre sa touche finale au décor. Dans le souci de s’intégrer à la nature environnante, l’ensemble architectural s’est fait un devoir de respecter la morphologie et les dénivelés du terrain. Les reliefs naturels sont intégrés et mis en valeur avec des bâtisses mariant admirablement la pierre et le bois. En voulant faire du Domaine du Taillé un centre d’accueil où l’esprit se situe, entre l’ashram et l’hôtel, Jean et Mathieu d’Aulan ont mis à disposition une structure idéale permettant de recevoir des activités d’intériorisation. Un lieu où nature et valeur écologique font bon ménage Au Domaine, le respect profond de la nature et des personnes fait partie de la philosophie de vie, ce qui lui a valu l’obtention de l’Ecolabel Européen (Services d’Hébergements touristiques). Dans le tourisme, ce label permet de valoriser des services respectueux de l’environnement et de garantir un accueil de qualité. Elle passe par une activité économique durable qui respecte l’environnement naturel. Dans sa démarche environnementale, depuis juin 2011, le Domaine s’est enrichi d’un somptueux et agréable bassin naturel de baignade. Affichant 130 m², il est en accord avec Dame Nature. D’une pureté bienfaisante l’eau douce favorise votre détente, elle vous ressource. Son traitement et sa régénération se font grâce à un procédé totalement biologique. La purification de l’eau à été confiée aux plantes où, par passage

prolongé dans un milieu sans oxygène, les microorganismes sont réduits. L’épuration se fait sous l’action d’une filtration anaérobique. Une pompe volumétrique de 30m3/ heure maintient le cycle de l’eau en permettant son acheminement en amont des bassins. Elle peut ainsi redescendre en suivant le lit originel du ruisseau. Des vortex naturels augmentent l’oxygénation et la dynamisation avant de remplir les bassins de baignade. Puis par débordement l’eau pénètre dans un bassin de filtration (anaérobie) rempli de gravier de pouzzolane (roche volcanique ardéchoise) où ont été plantés des phragmites (roseaux) qui participent activement au traitement biologique. Les stages et séjours L’ambiance, la magie et la philosophie Zen du site se prêtent tout particulièrement à l’organisation de stages. Trois salles de grande qualité, d’une capacité de 60 à 12 personnes sont à votre disposition. Tout le long des saisons, des sessions d’arts martiaux, de travail d’intériorisation, de méditation, de yoga, de danse, de calligraphie, de massages,… et d’activités artistiques diverses, vous sont régulièrement proposés, sans oublier les conférences - débats. Le Domaine est aussi ouvert aux entreprises souhaitant organiser des séminaires dans un cadre idyllique, loin des structures de l’hôtellerie traditionnelle. Enfin, toute personne, groupe de personnes ou familles désirant passer quelques jours de détente et de sérénité, en pleine nature dans une ambiance Zen, sont les bienvenues parmi nous. Le Domaine peut accueillir une soixantaine de personnes. Domaine du Taillé - Jean d’Aulan - 07200 Vesseaux (Ardèche) Tél : +33 (0)4 75 87 10 38 - Ouvert du 15 Février au 20 décembre Email : domainedutaille@wanadoo.fr Site : www.domainedutaille.com

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Tao

Pourquoi les peurs interfèrent sur notre force intérieure ? Selon le Tao des Vertus, les reins sont associés à la vertu de la Lucidité, et la peur est l’émotion reliée à l’énergie des reins. La voie de l’équilibre dans la Lucidité nous permet d’avoir la vision de toutes nos possibilités, de toutes nos capacités de mise en œuvre, de la façon dont on va enclencher l’action. Le Rein amène donc la volonté qui libère des peurs et des croyances qui sont sources de conflits et qui enlèvent tout recul à l’être. Sans lucidité on n’a plus de recul, plus de possibilité de décision, on manifeste toutes les formes de manque de vision, ce qui équivaut à manquer d’intelligence. La peur fait descendre l’énergie et ainsi celle des reins n’alimente plus aussi bien les moelles et le cerveau, affaiblissant la volonté, la mémoire, la lucidité. La vertu de la Lucidité, sur la roue du Tao, fait face à celle de la Compassion. Si cette dernière est déséquilibrée par un manque d’ouverture et d’acceptation de la différence des autres, elle induit forcément à l’opposé une peur des autres et un sentiment d’insécurité plus ou moins important dans les relations.

A l’heure où l’ambiance générale et nos médias appuient fortement sur nos peurs en développant essentiellement les scénarii-catastrophes, il serait bon de regarder selon le Tao et la voie des vertus, les répercussions que cela engendre en nous, et ce que peut provoquer cette émotion, insidieusement maintenue, sur notre comportement et notre santé.

Le Rein est la capacité d’accomplissement et c’est pour cela qu’arrive après la vertu de la Force, avec la Foi en ce que l’on est, en notre manifestation, en notre perfection, envers le plus Haut, et la détermination de passer à l’acte sans peur.

Selon la physiologie chinoise, les deux reins organes encadrent Ming Men, « la porte de la destinée », qui nous apporte l’énergie nécessaire et utile pour réaliser notre mandat céleste et nous recréer à chaque souffle. Ils ont en charge la transmission, l’entretien et le soutien de la vie. Lieu et source des transformations, ils sont les gardiens de notre énergie profonde où s’enracine la vie, de notre Jing, énergie transmise par nos parents et confortée par celle issue des aliments et de la respiration. L’Esprit-Shen des reins est le Zhi, force instinctive, créative qui nous pousse à vivre et à survivre dans toutes les conditions. La puissance des reins se manifeste dans notre capacité à croître et devenir un homme adulte, puis à nous reproduire, et enfin à vivre vigoureusement et longtemps. On la retrouve dans la force de nos os, de nos lombes, de nos cheveux et de notre ouïe. Une fatigue associée à une baisse de l’énergie Zhi peut tout aussi bien être physique, psychique, intellectuelle que sexuelle. L’énergie des reins soutient l’ensemble des métabolismes du corps et entretient des relations particulières avec chaque organe. Ainsi le Rein-Eau a un rapport étroit avec le Cœur-Feu, et leur relation équilibrée maintient la tension et les battements cardiaques à leur juste niveau. Avec le Poumon, il évitera les troubles respiratoires chroniques et l’essoufflement à l’effort. Au couple Rate-Estomac il apportera l’énergie Yang sous forme d’un feu digestif, nécessaire à une bonne assimilation et transformation des aliments….

La peur bloque la Lucidité et le passage à l’acte Ainsi l’être maintenu dans les peurs ou maintenant cet état par ses propres incompréhensions va petit à petit voir apparaître des signes de déficience de l’énergie des reins, comme faiblesse et douleurs lombaires, fatigue généralisée, insomnie pour les plus courants. Sur le plan psycho-émotionnel ce sera une personne qui prend facilement des vessies pour des lanternes, qui délègue ses pouvoirs aux autres, qui ne s’adapte pas aux situations et manifeste toutes formes d’illogisme dans ses choix et ses actions, avec souvent une sexualité non vécue et insuffisante. Notre volonté d’accomplissement est donc complètement indépendante des informations de peurs et des fausses croyances véhiculées par notre entourage et la société. Elle s’appuie en réalité sur notre capacité à rester connecté à notre moi profond et entre le Ciel et la Terre, laisser la volonté du Ciel s’exprimer à travers nous Quelques conseils pour retrouver volonté et vitalité : Entretenir une bonne énergie des reins et développer sa Lucidité par les soins du Tao. Lorsque l’on est dans les peurs, on perd tout recul face aux situations perturbatrices. Il est nécessaire de se faire aider car l’énergie des reins a besoin d’être relancée, tonifier et équilibrée. Un regard neutre extérieur et un accompagnement énergétique sont utiles et permettent d’éliminer les peurs et de retrouver sa capacité de mise en œuvre.

Les douleurs lombaires sont le reflet de l’état énergétique de nos reins.

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TAO Les soins apportés en Tao Energétique permettent tout à la fois de réguler les émotions, le corps et l’esprit par son approche unique alliant médecine chinoise, les techniques de déblocage des vertus donc des émotions, la diététique et le soutient complémentaires des élixirs et produits alchimiques.

gauche au sol. Les bras se placent en croix, coudes légèrement fléchis et paumes de mains tournées vers l’extérieur pour repousser les peurs et croyances liées au passé et au futur. Puis pivoter le buste et la tête vers la gauche, le regard clair loin devant soi. Inspirer calmement et profondément. Mentalement, à partir du cœur, bien s’encrer à la Terre puis au Ciel pour renforcer sa Force intérieure Adopter la diététique du Tao, en privilégiant les aliments qui favorisent la mise en vibration de la vertu de la Lucidité, tels que Radis, algues, tous les potages chinois ou japonais aux algues, fruits et produits de la mer, figues, sirop d’érable, citron, fruits acides, tarte au citron, à l’orange, à la rhubarbe.

Quelques suggestions pour relancer en soi la Vertu de la Lucidité. Voici quelques conseils à appliquer, matin et soir pour les exercices. Harmoniser l’énergie de vos reins, en massant le point n° 6 du méridien du rein, situé sous la malléole interne, sur chaque pied 2 à 3 minutes avec une goutte d’huile essentielle d’Ylang Ylang ou de Laurier noble. Etirer votre méridien du rein : s’asseoir jambes tendues devant soi, rassembler ses talons, écarter les orteils, pencher le haut du corps et tendre les bras vers les pieds. Expirer, se détendre et laisser le corps descendre sans forcer. Maintenir la position et ré-inspirer lentement et profondément pour favoriser l’étirement, puis expirer et laisser le corps s’assouplir encore. Continuer ainsi un moment pour favoriser par cet étirement la libre circulation de l’énergie dans le méridien. Relancer la Vertu de la Lucidité, par une Posture de Yoga simple : Debout, commencer par s’intérioriser au niveau de son cœur. Puis descendre lentement à genou, la jambe droite devant soi, genou

Ségolène VOIZARD, Soins et Formations Tao Energétique, Espace Emeraude (30 Gard), Tél : 04 66 75 55 99 - sites : www.energetique-chinoise.com www.dragonsdemeraude.cmonsite.com

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649 Promenade du Soleil, 06500 Menton Tél : +33 (0)4 92 07 32 57 12h – 14h30 & 19h – 21h30 (jour de fermeture selon la saison) www.lovinghut.fr - email : menton@lovinghut.fr www.facebook.com/loving.hutmenton

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Bien - être

Méditer en pleine lumière Les principes de la luminothérapie Utiliser la lumière naturelle à des fins thérapeutiques et de bien-être n’est pas une idée nouvelle. Le concept remonte à la fin du XIX ème siècle. Dès 1903 le médecin Niels Ryberg Finsen reçut le prix Nobel de physiologie pour ses travaux sur la luminothérapie. Aux EtatsUnis, depuis 1984, on traite la dépression saisonnière par la luminothérapie grâce à la découverte de Norman E. Rosenthal et de son équipe du National Institute of Mental Health. Lors de certaines fatigues, les scientifiques ont mesuré un taux particulièrement élevé de mélatonine présent durant la journée. Ce taux est lié au manque de lumière (hivers, grisaille, pays du nord, etc.). Ceci s’explique par le manque de stimulation du matin des cellules photo-réceptrices ganglionnaires rétiniennes. En effet, ces dernières permettent de bloquer la sécrétion de mélatonine par la glande pinéale (épiphyse) durant le jour en stoppant la transformation de la sérotonine en mélatonine. Cette stimulation matinale permet aussi une reprogrammation de notre horloge biologique qui sera bien régulée et qui favorisera la synchronisation des rythmes et la bonne sécrétion de mélatonine la nuit selon les phases de sommeil. Cela aura pour effet une amélioration de la forme avec une augmentation de l’énergie vitale. Les séances de luminothérapie ont pour effet de stimuler favorablement les régions de la base du cerveau avec à la clef, une amélioration du niveau de sérotonine. La sérotonine est un neurotransmetteur à effet antidépresseur ainsi qu’un régulateur fonctionnel.

Nous souhaitons tous palier aux aléas de la vie. Pour se faire, la méditation en pleine conscience est un outil remarquable tandis que, par son action bienfaisante, la luminothérapie nous relaxe et nous apporte un remarquable bien-être. Aussi, associer la luminothérapie à la méditation peut nous aider dans notre cheminement. L’esprit est une particule cosmique issue du grand tout qui n’a ni commencement ni fin. Lorsque nous nous incarnons, cet esprit pur s’associe à notre corps et à une conscience qui s’individualise sans cesse, avec toutes les perturbations que cela entraîne.

Il ne s’agit pas d’utiliser n’importe quelle lumière mais une lumière suffisamment intense, épurée des infrarouges et des ultra-violets irritants pour la rétine. Les spécialistes recommandent environ 10 000 Lux sur une vingtaine de minutes pour une température de couleur avoisinant les 4000 K. En inhibant la sécrétion de mélatonine, cette lumière procure un bon réveil qui facilitera la pleine conscience. On peut profiter des bienfaits de la luminothérapie pour combattre les dépressions saisonnières, pour favoriser le travail de nuit, pour remettre à la bonne heure notre horloge interne lors de décalage de phases ou d’insomnies, pour palier aux décalages horaires des voyages aériens et aussi dans les syndromes de fatigues chroniques.

Cette individualisation laisse le champ libre à une forme de mental perturbateur qui est là pour nous pourrir la vie et nous faire souffrir. Nous devons donc apprendre à travailler le calme mental qui nous mène à la pleine conscience afin de renouer avec la pureté de notre esprit. Et, nous devons aussi prendre soin de la vitalité de notre corps. Les principes de la pleine conscience

Et si nous associons la pleine conscience à la luminothérapie ? Nous avons vu que la méditation en pleine conscience et la luminothérapie agissent sur certains états dépressifs, sur l’anxiété existentielle, sur l’équilibre de l’esprit et du corps et donc sur le bien-être. Alors pourquoi ne pas les associer ? Méditer en pleine lumière peut apporter bien-être et sérénité ! En effet le fait de pratiquer la pleine conscience durant une séance de luminothérapie peut amplifier les effets souhaités tandis que la luminothérapie peut aider à méditer, par les bienfaits physiologiques qu’elle apporte. En effet, il n’y a rien de mieux qu’un corps en forme pour faciliter le travail de pleine conscience.

Il est vrai que le concept de pleine conscience peut sembler flou pour certains. Aussi nous parlerons d’attention juste qui ramène sans cesse à l’instant présent. Oui, vous savez cet instant que beaucoup ne vivent jamais, tellement ils sont plongés dans les pensées du passé et du futur qui leurs bouffent la vie ! Etre attentif à l’instant présent permet d’examiner les sensations qui se présentent à l’esprit et de mieux comprendre comment elles apparaissent puis comment elles disparaissent. En s’attardant sur cette pratique, le pratiquant s’aperçoit qu’il existe des sensations quasi-permanentes et d’autres impermanentes. Il découvre aussi la réalité de la matière, des ressentis, des perceptions et des habitudes mentales positives ou négatives qui imprègnent sa conscience. Pour faire simple, découvrir et vivre l’instant présent par la pleine conscience nous fait découvrir en toute sérénité comment toutes les choses apparaissent, durent et disparaissent. Ensuite au fur à mesure que les pensées et les sensations (agréables ou désagréables) circulent dans l’esprit, le méditant les découvre puis les laisse passer sans les accrocher et surtout en restant neutre face aux réactions quelles pourraient provoquer. C’est ainsi que l’apprentissage du détachement se fait, par la pleine conscience de « l’ici et maintenant ». La méditation en pleine conscience est mondialement reconnue pour ses améliorations du stress et de l’anxiété, sources de nombreux maux tant physiques que mentaux. Jon Kabat-Zinn propose, dans plus de 200 hôpitaux américains, une méthode de réduction du stress et de l’anxiété existentielle par le développement de la pleine conscience (en anglais Mindfulness-based Stress Reduction).

Lorsque l’on décide de méditer beaucoup d’obstacles peuvent entraver le processus. Ces obstacles sont souvent liés aux stress de la vie, à la fatigue accumulée et/ou chronique ainsi qu’à la conséquence d’un manque de lumière. C’est là que la luminothérapie vient compléter la pratique méditative. Alors, il ne faut pas hésiter à méditer en pleine lumière. Gérard Pons Consultant en Luminothérapie et purification de l’air Email : info@elecomac.com Tél : 04 75 81 85 40

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COUP DE COEUR

Jean Max Gallo, un poète, écrivain, scénariste et acteur hors pair Poème « Camille Claudel »

Nous avons déjà mis ce poète à l’honneur dans un de nos précédents numéros et, en lisant le poème « Camille Claudel » de Jean Max Gallo, nous sommes tombés sous le charme. Aussi nous ne pouvions que vous le faire découvrir. Bon voyage vers la beauté de l’écriture ! Jean Max Gallo, comédien, s’est produit :

Mieux compris par un autre en sortant de la salle, Après ma matinée de Camille Claudel, Je quittais ma fonction d’actrice principale, M’avait montré le vrai bon coté de mon ciel. Isabelle Adjani qui me prêtait son âme, Pour revenir chez moi porté par son talent, L’art de la comédienne et le don de la femme, C’était la performance qui rend nonchalant.

- au théâtre du palais de la Méditerranée (Nice), au cloître du Monastère e de Cimiez (Nice), - au cercle militaire de Paris, sous le chapitaeau des Tréteaux de France, - au Théâtre de Nice, au Théâtre National de Dortmund (Allemagne), - au Centre National d’Art dramatique de saint –Etienne, - ainsi que dans plusieurs festivals.

Camille dépassait quelques anthologies. On garde, je le pense, après la projection, La grandeur de ce drame accompagnant nos vies , Dans leur Acte, quand on oriente la mission. C’est d’une éducation que les excès nous viennent, A tout génie sa forme au cœur de chaque enfer, Le détail qui fait reconsidérer la sienne, C’est l’esprit séparé de l’amour, de la chair.

Il a également tourné dans plusieurs films et téléfilms, dont : - « La Scoumoune », - « Jacques Brel rit toujours et il rit à Paris », - « Les Bidasses en Vadrouille », - « une Vie du Mal Aimé », - « le Coup de Parapluie », - « le Retour de la Panthère rose ».

Bouleversé à en rendre l’espèce humaine, Isabelle Adjani dans la famille Claudel, C’est mon adolescence investie de ma peine, Je repars dans la nuit mieux comprendre ce ciel.

Pour votre confort, osez la gamme d’oreillers à base de Balle de Sarrasin

Coussin

Oreiller voyageur

Pourquoi utiliser la balle de sarrasin ? Tout simplement parce qu’il s’agit d’un produit qui de part sa texture prend soin de vos articulations en s’adaptant à leur forme, d’autant plus qu’il est cent pour cent naturel et issu de l’agriculture biologique. La balle de sarrasin possède la particularité de constituer un support sain, ferme, non bruyant qui s’adapte naturellement à la courbure du cou, de la tête et des épaules. Elle ne se tasse pas, ne se réduit pas en poussière et ne provoque pas d’allergies. Aérée, elle est fraiche en été et ne fait pas transpirer. L’hiver, elle maintient une d’une douce chaleur. Lors des mouvements nocturnes, la balle de sarrasin s’adapte à ces derniers en les suivant et en les épousant. Elle s’ajuste au mieux à votre nuque afin de vous laisser rêver !

Oreiller le dormeur

Quant à l’oreiller « voyageur », un autre produit de notre gamme, il vous proposera de modifier sa longueur et sa fermeté grâce à un lien de régulation permettant de déplacer la quantité de balle de sarrasin. Le coussin Ce superbe coussin sera toujours prêt à vous rendre service. Que se soit pour le yoga, le shiatsu, la gymnastique, la sophrologie, la relaxation, la plage, en voiture, en avion, à l’hôtel et à la campagne, il vous apportera le confort que vous méritez. NB : l’oreiller existe à la vente en version nue ou en pack et des accessoires vendus séparément sont à votre disposition. Photos non contractuelles.

Les oreillers bon repos Ces magnifiques oreillers ne sont pas perforés, ce qui permet aux vertus de la balle de sarrasin de s’adapter à votre nuque tout en favorisant ses positions naturelles durant le sommeil. Grâce à la mobilité de la balle de sarrasin qui se placera de chaque coté de la nuque, l’oreiller dormeur, la star de notre gamme, procurera un maintient parfait lorsque vous dormez sur le dos.

Depuis 1987, la société Echirion commercialise une gamme destinées à soulager les douleurs ostéo-articulaires. Société Echirion – 9, Avenue de la plage – 17 110 St Georges de Didonne Tél : 05 46 06 76 72 Site : www.echirion.com

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Préhistoire

Fabuleuse découverte d’une dent d’enfant dans la grotte du Lazaret Située sur les pentes occidentales niçoises du mont Boron, à 20 mètres au-dessus du niveau de la mer, la grotte du Lazaret ne cesse de dévoiler ses secrets. A l’époque du Quaternaire, il y a 170 000 ans, cette caverne culminait à environ 140 mètres. Cela est dû aux grandes régressions maritimes liées aux périodes glaciaires où une importante partie de l’eau des océans était stockée sous forme de glace continentale. Les peuples chasseurs acheuléens fréquentaient le littoral méditerranéen. Ils connaissaient bien cette grotte qu’ils occupaient, à intervalles plus ou moins réguliers, sous forme de campements saisonniers temporaires. Elle leur servait aussi de haltes de chasse ou de simples bivouacs. La récente découverte d’une dent d’enfant est une aubaine qui confirme la richesse du site. Un campement de chasseurs préhistorique acheuléens niçois daté d’environ 170 000 ans. Sous le patronage du Conseil Général des Alpes-Maritimes et de la Ville de Nice, l’intérieur de la grotte est soumis à un chantier de fouilles conduit tout au long de l’année par les équipes de chercheurs du Laboratoire Départemental de Préhistoire du Lazaret. Au cours des derniers mois, un sol d’occupation exceptionnel de chasseurs acheuléens s’étalant sur une surface de plus de 85 m² et daté d’environ 170 000 ans a été mis au jour. L’endroit est jonché d’ossements de grands mammifères du Quaternaire, de cerfs, de bouquetins, d’aurochs, de chevaux, de rennes, d’éléphants et de nombreux outils lithiques.

Les grandes révélations de la grotte du Lazaret Parmi les nombreuses richesses archéologiques offertes par cette magnifique grotte, la mise au jour d’une dent d’enfant est venue transcender la flamme des chercheurs du site. Mais ce n’est pas tout, parmi les découvertes, les nombreux outils lithiques et l’association de quarante bifaces présentant deux bords retouchés convergents accouplés à une bonne symétrie bilatérale et bifaciale, caractéristiques des cultures acheuléennes, sont exceptionnels. L’examen de l’usure des bords tranchants des bifaces montre qu’ils servaient à découper des peaux et de la viande. De nombreux choppers et des galets aménagés en tranchoirs primitifs étaient utilisés pour désarticuler les carcasses des grands herbivores, mais aussi pour fracturer les os afin d’en extraire la moelle. Différents critères comme l’examen des bois des cervidés des animaux, la comparaison des stades de leurs éruptions dentaires et l’usure de leurs dents ont permis

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de déterminer les mois de l’année au cours desquels les animaux étaient abattus. Tout montre qu’il s’agissait d’un campement temporaire hivernal. L’étude des matières organiques, dispersées sur la surface du sol d’occupation, et la prise en compte de la dégradation des lipides d’origine animale et végétale a non seulement permis de déterminer les lieux où étaient installées les litières d’herbes (marines ou terrestres) mais elle a aussi aidé à localiser les coins où était traitée la viande et où cette viande était fumée. On a même pu déterminer si elle était consommée crue ou cuite. La récente découverte d’une deuxième molaire humaine La toute dernière découverte d’une molaire de lait provenant d’un enfant de 10 à 12 ans a fait la une des journaux. C’est la deuxième dent mise au jour par l’équipe du Laboratoire Départemental de Préhistoire du Lazaret. Sortie de terre il y a plusieurs jours, cette dent nous apprend que sur ce sol d’occupation acheuléen tout un groupe comprenant des hommes, des chasseurs, des femmes et des enfants, s’était installé pour passer l’hiver, il y a environ 170 000 ans. En effet, si un enfant habitait la grotte, c’est qu’il devait y avoir aussi sa maman et une vie sociale. L’unité archéostratigraphique UA 29 du sol d’occupation acheuléen de la grotte du Lazaret qui vient d’être mis au jour par l’équipe des chercheurs du Laboratoire Départemental de Préhistoire du Lazaret nous remémore qur ce lieu haut en préhistoire possède un sol d’occupation exceptionnel. Comprendre la vie d’Homo erectus Suite aux observations effectuées sur le terrain tout au long de la fouille et à l’étude de la répartition spatiale du matériel archéologique, accompagnées d’analyses effectuées en laboratoire, le Préhistorien peut aujourd’hui pénétrer dans la vie quotidienne des Homo erectus européens qui animaient la grotte du Lazaret. Il peut aussi appréhender leur comportement, leur mode de subsistance et les coutumes de vie de ces très anciens niçois qui, il y a plus de 8 500 générations, vivaient dans la caverne. Homo erectus et l’émergence de la conscience humaine Tout porte à croire que des êtres qui se réunissaient le soir autour d’un feu de camp ou dans une grotte étaient déjà animés d’une forme première de conscience. Sans doute échangeaient-ils à leur façon leurs peurs et leurs ressentis de la journée. Nous voyons ici l’importance du feu dans l’émergence de la conscience humaine. Pour mémoire, de très anciens foyers ont été découverts à Terra Amata, juste au-dessus de la grotte du Lazaret. La dent de lait découverte récemment dans la grotte présuppose que la maman de l’enfant était là, avec un groupe de chasseurs, et met en avant l’idée d’une conscience humaine déjà émergée. Professeur Henry de Lumley* *Le professeur Henry de Lumley est une sommité internationale. Ce préhistorien émérite possède à son actif pas moins de 50 années de recherches, de découvertes et de créations de musées de préhistoire. C’est lui qui a organisé les fouilles de Terra Amata en 1966. Il est encore aujourd’hui le responsable scientifique du Laboratoire du Lazaret. Renseignements 04 92 00 17 37et www.lazaret.unice.fr


Biodiversité

L’humanité en danger !

Au fil du temps, les oscillations climatiques et l’anthropisation n’ont cessé de modeler les paysages et la faune. Rappelons que l’anthropisation correspond aux processus utilisés par l’homme pour modifier son environnement. Jusqu’au début de l’Holocène (9500 ans av. J.C) une alternance de périodes glaciaires et d’épisodes tempérés a régulièrement chamboulé la biodiversité planétaire. Les pourtours côtiers ont continuellement fluctué au rythme des variations marines glaciaires. C’est ainsi qu’il y a 12 000 ans l’Angleterre touchait la France. De fait, les animaux et les végétaux ont du s’adapter à ces aléas climatiques inter-glaciers. Faune et flore ont alternativement déserté puis recolonisé ces sols affectés climatiquement avec de nombreuses extinctions et modifications d’espèces à la clé. C’est dans ce contexte que l’homme a su devenir acteur de son environnement, tout d’abord en tant que chasseur émérite puis comme éleveur-agriculteur. L’élevage et l’agriculture ont fortement impacté la biodiversité et ont favorisé le déboisement et la création de nouvelles espèces, telles que le blé, l’orge, le mouton, la chèvre, l’auroch (ancêtre du bœuf). Puis, durant les périodes romaines et gallo-romaines les extinctions d’anciennes espèces se sont considérablement accrues. Le phénomène s’est accentué de siècle en siècle pour finir par aboutir au désastre actuel qui subrepticement a mis l’homme en danger.

ont affiné leurs sélections en tenant compte de la taille et de la docilité du caractère de l’animal. Ce travail de longue alène représente sans doute la première domestication animale dont le chien est issu. Cinquante siècles plus tard, au néolithique, on retrouve d’importantes traces de domestications animales et végétales. La voie de l’élevage et de l’agriculture s’est ainsi ouverte, notamment au Proche-Orient. Le bœuf, la chèvre, le cochon, l’orge, le kamut, le blé, …, sont apparus ainsi. L’élevage et l’agriculture ont considérablement changé la vie de l’homme qui de chasseur-cueilleur est passé à cultivateur-éleveur. Stop aux extinctions Comme nous l’avons vu plus haut, l’action de l’homme sur la biodiversité ne date pas d’hier. L’actuelle crise d’extinction aurait débuté il y a 80 000 ans. C’est pourquoi, il nous faut remonter des millénaires en arrière pour apprécier les premières traces de domestications animales et végétales. Depuis fort longtemps l’homme façonne son environnement naturel et au détriment de la biodiversité avoisinante, il le transforme à des fins d’asservissement. Jusqu’à la révolution industrielle tout allait bien. Puis tout c’est accentué. L’augmentation exponentielle de la démographie n’a rien arrangée puisque pour nourrir tout ce petit monde la surexploitation des espèces a vu le jour. Nos océans se sont vidés par la surpêche, les espèces animales sauvages sont en train de s’éteindre par la surchasse et les cultures à outrance ne font que polluer encore plus. Cette surpopulation induit une modification accrue des paysages avec à la clé, les grandes déforestations, la pollution de l’eau et la dégradation de l’air. Le bilan animal et végétal n’est pas meilleur puisqu’avec deux cent espèces animales domestiquées au Néolithique, on se retrouve actuellement à une cinquantaine et de sept milles espèces végétales, on frôle péniblement les cent-cinquante de nos jours. Mais attention, si jusqu’à présent la nature était clémente, il arrivera un moment où l’hyper-domestication franchira les limites où la destruction se fera sans point de retour. Et, là l’homme sera en danger ! A-t-on atteint ce pont de non retour ? Il pourrait arriver bientôt, si l’on n’agit pas urgemment. Or, l’emprise du modernisme, l’hyper-démographie, l’évolution des modes de vies et les échanges internationaux s’intensifient. De fait, beaucoup de verrous sautent et des dégradations irréversibles épuisent les ressources naturelles de la planète.

La domestication animale Dés le paléolithique inférieur, il y a 3 millions d’années, notre ancêtre Homo-habilis s’est instinctivement mis en étroite relation avec la grande biodiversité de l’époque. Petit à petit, ce dernier a su adapter cette biodiversité à ses besoins. A la fin du paléolithique inférieur (300 000 ans) et au début du paléolithique moyen, la découverte du feu par Homo-erectus a eu une incidence phénoménale sur le rapport hommenature. Le fait de se retrouver le soir autour d’un feu de camp à sans doute permis l’émergence d’une forme première de la conscience humaine. Les premiers hommes ont alors compris qu’ils pouvaient agir sur la nature pour améliorer leur condition. D’autant plus qu’avec Neandertal et l’apparition de l’Homme Moderne, il y a 180 000 ans, le paléolithique moyen a vu apparaître une technique astucieuse du débitage de la pierre, la méthode « Levallois » associée au « Moustérien ». Les outils ainsi fabriqués étaient les ancêtres de notre technologie. Ils ont grandement participé à la dominance de la faune et de la flore. Ainsi est né le lent effondrement de la biodiversité. Voila comment nos ancêtres sont passés de cueilleurs-charognards à chasseurs- cueilleurs. Puis durant le paléolithique supérieur, 14 000 ans auparavant, Homo sapiens-sapiens a apprivoisé le loup. Cette dominance sur l’animal sera bénéfique aux deux espèces puisque en contrepartie des restes de nourriture, le loup deviendra un bon gardien de campements et servira à la chasse. Afin d’améliorer cette domestication, nos ancêtres

Le cercle infernal du réchauffement planétaire Les effets du réchauffement climatique sur la perte d’espèce se fond déjà sentir sur nos côtes, dans les montagnes et dans les zones polaires. La montée des eaux fait carrément disparaître des villages de pêcheurs entiers. Les montagnes perdent leur flore et leur faune et les zones polaires s’effondrent. Dans les autres régions on remarque une accentuation des migrations et un déplacement massif vers des zones plus tempérées d’espèces comme les poissons, les papillons, les insectes, les oiseaux, etc. Mais il arrivera un jour où ce déplacement ne pourra plus pallier au sur-réchauffement du climat et l’on assistera a un effondrement brutal de la biodiversité qui mettra l’homme en hyper danger.

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Biodiversité Reste-t-il beaucoup de zones sauvages ? Là encore, le bilan n’est pas fameux. L’homme a déjà transformé plus de 80% des terres mondiales à des fins d’élevage et d’agriculture, alors qu’il n’en occupe qu’un cinquième. Quant aux quelques 20% restantes, elles ont pour la plupart déjà subit des dégradations environnementales. Actuellement, nous consommons quelques 25% de la productivité globale des écosystèmes mais nous affectons la totalité des écosystèmes Aujourd’hui, la nature primitive intacte n’existe quasiment plus. C’est dangereux pour la planète et pour l’homme qui se retrouve une fois de plus en danger. Les pluies acides sont dues aux émissions d’oxydes de souffre et d’azote issues des transformations industrielles. Elles dévastent les forêts et les végétations du monde entier. Plus la population va augmenter, plus le nombre d’industries va grandir et plus les pluies acides seront présentes. Des conséquences désastreuses pour l’homme Nous risquons de perdre les merveilles et les bienfaits généreusement offerts par la nature sous forme de « services écologiques ». Un « service écologique » est un apport vital que la nature met à notre disposition. Parmi ces services notons les poissons des océans, les nappes phréatiques, la pollinisation essentielle à la production de légumes frais, les plantes naturelles, la chasse, les matériaux et matières premières, etc. la perte de biodiversité accentue la dégradation de ces services. Déjà en 2005, l’ONU avait tiré la sonnette d’alarme suite à une étude expliquant que 60% des services écologiques s’étaient dégradés en seulement un demi-siècle. La biodiversité est aussi un sacré rempart contre les maladies du vivant. Par exemple un champ riche en biodiversité sera bien moins sensible aux champignons pathogènes qu’une monoculture. Si l’on prend l’exemple de la diffusion du virus West Nile aux Etats-Unis, on s’est aperçu que les Etats riches en espèces d’oiseaux étaient les moins infectés, comme si la biodiversité diluait les réservoirs viraux. En fait plus un écosystème est riche, plus faibles seront les risques qu’une maladie prenne le dessus. La pharmacie des plantes naturelles en grand danger La biodiversité de la nature renferme les clés de nos médicaments actuels et futurs. La destruction massive des forêts amazoniennes fera disparaître à jamais des futurs médicaments merveilleux qui auraient pu lutter contre des maladies graves. Quel gâchis ! D’autant que par le passé nous avons eu de beaux exemples de médicaments naturels. L’aspirine était issue du saule avant d’être synthétisée. La morphine est encore directement extraite des fleurs de pavots.

Certains médicaments anticancéreux comme le taxol ou la vinblastine sont extraits de plantes du monde entier. De nos jours, une grande partie des médicaments vendus en pharmacie est issue du vivant naturel. Une fois de plus la perte de biodiversité mettra l’homme en danger. La richesse naturelle, un revenu primordial pour les pauvres Par la force des choses, les pays pauvre dépendent énormément de la richesse de leur environnement. Mais l’attrait du profit met à mal l’équilibre écologique de ces pays en favorisant les déboisements et les monocultures intensives destinées à enrichir les pays riches tout en affamant les pays pauvres. Si rien n’est fait, la perte de biodiversité des pays à bas revenus augmentera significativement la pauvreté de leurs habitants. Pour sauver le monde, doit-on repenser l’agriculture et la pêche ? Selon certains chercheurs européens depuis le début l’homme aurait converti plus de 47 millions de forêts en cultures, chose qui aurait fait disparaître plus de 26 milliards d’oiseaux de la planète. Actuellement l’aspect intensif de notre agriculture décloisonnée et sur-boostée aux pesticides et aux engrais accentue notoirement l’érosion de la diversité du vivant. Rien que pour l’année 2011, le France a utilisé quelques 63 000 tonnes de pesticides pour seulement 3,5% de surfaces agricoles converties au bio. Le monde ne fait pas mieux avec quelques 2,8 millions de tonnes de produits chimiques utilisés chaque année et seulement 0,9% d’agriculture bio. Face à la gravité de ce problème, nous avons devoir de réagir. Mais, comment ? Et bien tout simplement en repensant l’agriculture. Venue des années 70, l’agro-agriculture semble une voie sympathique qui permettrait de stopper l’agriculture intensive. Le principe est simple, il consiste à se servir de la biodiversité vivante qui habite naturellement les sols pour améliorer le rendement des cultures. La méthode préconise de semer directement dans les résidus des cultures précédentes sans le labourage des terres puisque la vie et le contenu organique des sols se trouve dans les premiers centimètres de terre. L’agriculture bio est une solution remarquable qui peut, si les états s’en donnent les moyens devenir un comportement agricole économiquement rentable et profitable à la planète. Cette technique limite les effets néfastes sur l’environnement, même si elle est pratiquée à grande échelle. Prés de deux cents études ont montrés que la vie reprenait sa diversité avec à la clé une augmentation de 30% des espèces d’oiseaux et des bio-organismes divers. Le fait de restaurer les haies et les bosquets de nos champs limite l’érosion des sols et protège des impacts désastreux attenants. Rétablir le lien homme-nature vu l’expansion démographique, pour préserver la nature de nos jours, l’enjeu ne consiste plus à seulement isoler certains territoires du contact humain mais aussi a faire cohabité l’homme avec la nature. Pour se faire, nous devrons prendre les mesures nécessaires afin d’aménager les espaces habités urbains et ruraux de façon à ce qu’ils accueillent le maximum d’espèces végétales et animales. Cela nous permettra de nous tourner vers un nouveau concept de biodiversité où la nature sera parti prenante de la vie sociale. A nous les espaces verts bio-équilibrés où les promeneurs respecterons les alentours. Les petits producteurs seront à l’honneur et les activités sportives, pédagogiques, artisanales s’effectueront dans un esprit de conservation du vivant.

L’AZT qui est un antiviral agissant contre le virus du sida est un dérivé synthétique d’une molécule produite par une éponge de mer.

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Coup de cœur

Les Moulins d’Alma, une gamme hors du commun associée à un art de vivre Cette magnifique gamme s’adresse à tous, professionnels ou particuliers. Cuisiner est un art de vivre ! Alors comblez- vous de bonheur avec les sublimes objets culinaires en bois de la gamme « Moulins d’Alma ». La richesse de cette gamme avec ses fabuleux moulins, ses extracteurs de jus, ses séchoirs, ses germoirs et ses pots de lacto-fermentation saura vous satisfaire tout en comblant vos désirs et en vous émerveillant. Pour les passionnés, le site www. moulins-alma.fr met aussi à disposition une multitude d’ouvrages sur les préparations de boissons naturelles, les méthodes de conservation, les recettes de cuisine traditionnelles et bien d’autres choses passionnantes encore ! Basée à Givry, en Seine et Loire l’entreprise est aussi présente sur de nombreux salons Bio partout en France.

réserves avec couvercles en bois naturel. En vissant ou dévissant la molette située sous le socle, qui agit sur le mécanisme en céramique, vous aurez la possibilité de choisir la taille de la mouture (fine, moyenne ou concassée). Moulins à farine meules de pierre (fabrication artisanale) Tout en contemplant les lignes magnifiques de ses moulins à meule de pierre, vous confectionnez votre farine à la maison comme d’antan. A vous les farines fraichement moulues faites de différentes céréales (épeautre, blé, sarrasin, seigle, riz, châtaignes, pois chiches, sans gluten, etc.) qui constituent une véritable alimentation vivante. Boites en fibres de bouleau Ce très bel artisanat ancestral fait d’écorce de bouleau permet de conserver au mieux les condiments et aliments tout en stabilisant le taux d’humidité. D’une beauté remarquable, chaque pièce est unique et pratique . Ces articles sont confectionnés à l’aide d’une technique ancestrale particulière qui permet une finition sans clous ni colle. L’écorce est façonnée sans substances chimiques.

Moulins universels de très belle fabrication artisanale française Leur système exclusif avec recharges interchangeables permet d’utiliser, avec une simplicité remarquable, un seul et même moulin pour moudre tous les condiments (poivre, sel marin, épices, etc.). L’objet est très facile à remplir grâce à sa réserve en verre, fort pratique. Pour plus de faciliter, vous pourrez disposer de plusieurs

Les Moulins d’Alma 1, rue du pré beau – 71 640 Givry Site : www.moulins-alma Tél : 03 85 94 14 70

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Planète Actualités

Doulton le procédé naturel de la filtration de l’eau Imaginez, un système de purification d’eau constitué d’une cartouche en céramique (argile) et charbon actif compacté (coque de noix de coco) pour un encombrement réduit (l’équivalent d’une bouteille d’eau), fonctionnant sans énergie, simple à installer et facile à entretenir. La marque Anglaise Doulton® détient plus de 175 ans d’expérience dans le domaine de la micro filtration de l’eau par céramique et charbon actif. Les purificateurs d’eau Doulton sont toujours fabriqués en Angleterre, ils jouissent de certifications internationales délivrées par des organismes de contrôles indépendants (NSF, WQA, WRAS…). Avec les purificateurs Doulton, vous disposez en continu d’une eau purifiée grâce aux 4 étapes de filtration d’eau de l’unique cartouche filtrante Ultracarb™ : La première étape sur l’extérieur de la céramique consiste à la micro filtration des organismes pathogènes (bactéries, parasites, kystes) et l’élimination des sédiments (jusqu’à 0.5 micron) La deuxième étape à l’intérieur de la céramique consiste en un traitement bactéricide pour éviter tout développement bactérien dans la cartouche. La troisième étape est celle du charbon actif compacté qui réduit et élimine, les mauvais goûts (odeurs), le chlore, les dérivés chlorés, les résidus chimiques, les produits chimiques (herbicides, pesticides, atrazine…), résidus médicamenteux, hormones et cosmétiques. La quatrième étape de filtration est celle des métaux lourds (plomb, aluminium…). L’eau filtrée Doulton est débarrassée de nombreux polluants présents dans l’eau du réseau, pour moins de 0.03 euros du litre d’eau filtrée. Boire de l’eau filtrée Doulton, une eau pure et saine. Appréciez la finesse de filtration d’eau naturelle des filtres Doulton sur l’évier ou sous l’évier dans votre cuisine, pour un entretien rapide et un fonctionnement sans rejet d’eau et sans énergie, tout en préservant minéraux et oligoéléments. Aqua Techniques spécialisé depuis 1990 dans la filtration et le traitement de l’eau, distribue depuis plus de 15 ans en tant que représentant exclusif les systèmes de filtration d’eau Doulton sur le territoire Français. Depuis de nombreuses années les purificateurs d’eau Doulton ont su s’imposer comme le meilleur choix pour la filtration d’eau naturelle à la cuisine dans tous les foyers qui veulent améliorer la qualité de leur eau et éviter tout gaspillage (bouteilles d’eau en plastique) et également partout où il y a risque sur l’eau dans le monde. Vous pouvez découvrir le catalogue des produits d’Aqua Techniques sur simple demande (téléphone : 05 63 04 45 67) ou sur la boutique en lignewww.aquatechniques.biz ou bien lors d’un salon bio ou habitat naturel auquel Aqua Techniques participe, ou dans l’un des magasins bio « revendeurs » des filtres Doulton.

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Bien-être

Une approche de la kinésiologie Quelles sont les motivations qui nous poussent à consulter en kinésiologie ?

Le terme kinésiologie prend ses racines dans la langue grecque où « kinésis » veut dire « mouvement » et « logos » signifie « parole ». Globalement la kinésiologie désigne l’étude des mouvements humains. Enseignée aux éducateurs physiques dans les universités sportives canadiennes et américaines, elle est dénommée « Human Kinétic ». Dans les années 90, les campus sportifs canadiens ont même délivrés des diplômes en kinésiologie avec au programme de la physiologie, de la biomécanique humaine, une évaluation de la condition physique et des habitudes de vie, l’étude des populations symptomatiques, l’alimentation, la condition physique, etc. Mais attention, plusieurs aspects de la kinésiologie existent. Aussi, il ne faut pas confondre la kinésiologie globale dont nous venons de parler avec la kinésiologie appliquée qui s’intéresse plus particulièrement au cheminement de l’individu depuis sa naissance, à la recherche des troubles et à la façon d’y remédier. La « kinésiologie appliquée » peut prendre plusieurs formes personnalisées. Cette technique psychocorporelle s’emploie à détecter les problèmes énergétiques, corporels et émotionnels. La finalité étant de lever les blocages et de dénouer les stress énergético-émotionnels. Cette forme de kinésiologie aide à lutter contre le stress, les émotions perturbatrices, les troubles du sommeil, les problèmes relationnels, les difficultés d’apprentissage, etc.

Elles sont variées et multiples. Le bouche à oreille style « j’ai consulté un kinésiologe, c’était génial » est souvent de mise. Généralement l’envie de consulter est animée par un mal être diffus et récurent ou par des problèmes de stress, de relationnel et d’insomnies. Vous pouvez vous tourner vers la Fédération des praticiens de kinésiologie spécialisée qui vous indiquera un praticien. Que se passe –t-il lors d’une séance ? C’est parti pour une heure à une heure trente ! Le praticien et la personne concernée vont travailler ensemble. Tout d’abord, ils vont définir un objectif pertinent à partir de la problématique de la personne. Dés lors, une conversation à trois va s’instaurer entre le praticien, la personne et son propre corps afin de définir l’origine de cette souffrance. Vient ensuite le test musculaire qui validera ou non la demande en question. Puis, le praticien effectura plusieurs tests musculaires qui se comporteront comme de véritables guides. Ils permettront de mieux cerner les blocages et d’adapter les corrections à effectuer. C’est la que le recours à la mémoire corporelle prend tout son sens. Nous l’avons vu plus haut, le corps mémorise tout depuis la naissance. Pour faire ressortir les problèmes dont la plupart du temps la personne ne se souvient pas, le kinésiologue va faire appel à plusieurs muscles attenants à des méridiens, à des émotions ou à des organes. Si, suite à une question donnée, un muscle affiche une faiblesse, il offre une information importante sur l’origine du problème.

La kinésiologie appliquée La technique se fonde sur l’appréciation du tonus musculaire. Il s’agit d’une méthode de soins non conventionnelle ou la qualité du mouvement, le tonus musculaire et la santé globale prennent tout leur sens. Suite à des émotions un peu trop fortes, il arrive souvent d’entendre : « les bras m’en tombent » ou « j’ai les jambes en coton ». Cela prouve qu’il existe bien un rapport entre certaines perturbations émotionnelles et la réponse musculo-énergétique du corps. La kinésiologie appliquée s’intéresse à cette réponse énergétique musculaire. Pour l’apprécier, elle utilise le test musculaire, son principal outil. Ce test peut être effectué de la façon suivante : Le praticien pose une question à une personne dont le bras est préalablement tendu en position bloquée, puis il va évaluer la pression nécessaire pour abaisser ce bras. Si tout va bien, le bras va résister et dans le cas contraire le bras va s’effondrer. En fait, dans ce cas la mémoire de nos émotions a modifié la réponse du système musculaire et le verrouillage du bras ne peut plus être maintenu. Du point de vue pratique, à conditions de poser des questions appropriées, le test musculaire permet d’établir un dialogue avec le corps. Cela permet de faire appel à la mémoire corporelle. En fait, il semblerait que le corps garde en mémoire toutes les infos inhérentes à sa vie.

Le travail se déroule sur un objectif global et ne prend pas uniquement en compte un symptôme isolé. Le sujet doit jouer le jeu et se laisser porter par les questions tout en permettant à ses souvenirs conscients ou inconscients de recréer la situation de l’époque. Une fois le problème du passé retrouvé, son intensité doit être modifiée. Pour ce faire le praticien dispose d’un panel de techniques. Par exemple, afin de rééquilibrer les blocages énergétiques liés à la situation précise un patient qui vient de se remémorer un problème, il peut lui proposer d’exercer une pression sur un point précis de son corps. Le praticien peut aussi agir sur une visualisation particulière, sur une couleur, sur un mouvement, sur une forme de respiration, etc. Pour savoir si le problème a été convenablement atténué, voir supprimé, le kinésiologue va faire de nouveau usage du test musculaire qui confirmera ou non la chose. Puis, il passera à d’autres objectifs et ainsi de suite. Entre deux séances, le praticien peut le cas échéant préconiser des exercices ou des mouvements d’intégration qui permettront de stimuler la connexion des zones motrices du cerveau droit et du cerveau gauche afin de rétablir la latérisation. Le cross crawl est le mouvement le plus usité. Il consiste à toucher successivement son genou droit avec sa main gauche et son genou gauche avec sa main droite. Tout cela n’est pas exhaustif et chaque praticien possède sa propre expérience et ses propres méthodes. La kinésiologie est une aide qui permet de surmonter les maux et mal être de la vie, elle ne soigne pas les maladies.

Un peu d’histoire Les tests musculaires ne sont pas nait d’hier puisque dés le début de la neurologie les praticiens de l’époque s’en servaient pour évaluer les paralysies et les troubles moteurs divers. La kinésiologie appliquée fut crée par le docteur Georges Goodheart (1918-2008), un éminent chiropraticien américain. Dés1964, il met à nu une analogie entre certains muscles et certains méridiens d’acupuncture en prenant note que le tonus des muscles reflète l’état énergétique de notre organisme. Un autre chiropraticien, le docteur John Thie invente le « Touch for health », à l’origine des kinésiologies amélioratrices du bien-être et de la santé. Puis Paul Dennison se penche sur l’amélioration du pouvoir d’adaptation qui stimule et libère le potentiel de tout un chacun. Et enfin, Gordon Stokes ajoute les émotions et les sensations aux potentiels énergétiques des muscles et des circuits. Les domaines du développement personnel, de la libération du stress et du mieux être sont dés lors intégrés à la méthode.

Mise en garde : la Miviludes (Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires) met en garde les personnes afin qu’elles ne tombent pas dans certaines dérives sectaires intransigeantes et radicales qui prônent de façon excessive des choix extrêmes d’alimentation, de médecines parallèles et de thérapies non médicamenteuses extrêmes.

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Bien-être

La révolution ostéopathique : de l’usage réservé à l’ostéopathie pour tous ! Ceci la place sur la liste des outils thérapeutiques pouvant être vulgarisés, ce qui suscite l’intérêt du grand public. A ce désir et cette curiosité bien légitimes, s’ajoute l’intérêt de nombreux professionnels de santé de tous horizons. Masseurs, naturopathes, homéopathes, coachs, infirmières, psychothérapeutes: ils sont nombreux à vouloir ajouter à leurs panoplies l’efficacité de l’ostéopathie.

1 - Emergence difficile de l’ostéopathie

3 - Les différentes formations en ostéopathie

Depuis le Moyen-âge où sorcières, guérisseurs et magiciens finissaient au bûcher, le corps médical officiel a tenté d’éradiquer les pratiques qui lui échappaient, essayant ainsi de s’approprier le droit de soigner. Malgré cela, l’ostéopathie d’abord captée par les médecins finit par s’imposer plus librement : En 2002 le législateur vote un décret qui reconnait la profession et le droit d’exercer pour les non-médecins dûment formés. Malgré cela, l’ostéopathie est encore aujourd’hui pratiquée quasi exclusivement dans le cadre étroit des cabinets.

Depuis le décret les choses sont claires : il faut pour obtenir le titre d’ostéopathe avoir étudié dans une école agrée. Que l’étudiant soit médecin, kinésithérapeute ou ni l’un ni l’autre n’a pas d’importance : le professionnel ainsi formé pourra pratiquer en cabinet. Néanmoins, tout comme les stages de massage délivrent une compétence et permettent d’exercer sans pour autant donner le titre de kinésithérapeute, quelques formations courtes d’ostéopathie existent. En effet, de nombreuses techniques ostéopathiques ne nécessitent pas de connaissances pointues et sont donc accessibles à tous. Les techniques tissulaires, intra-osseuses, fluidiques ou sur le fascia sont des exemples de ce qu’un débutant peut apprendre facilement et rapidement. Dans ce cadre, certains gestes comme les manipulations vertébrales ne sont bien sur pas concernées par un enseignement au plus grand nombre : il faut pour cela des connaissances trop pointues, pour qu’un béotien puisse les apprendre en quelques jours. La formation que j’anime a entre autre particularité de n’enseigner que les techniques douces. L’évolution globale des différentes approches de soin et la demande des patients vont dans ce sens: Le monde a compris que le processus de guérison peut se mettre en place non seulement sans douleur mais aussi dans le confort et la délicatesse.

2 - Emancipation du savoir médical Depuis 30 ans, le raz-de-marée des formations traitant de méthodes de soins et de médecines (alternatives ou pas) et destinées à un large public, souligne un processus en cours : Les gens ont envie d’acquérir un savoir-faire, contestant par là même qu’il soit réservé à certains. Ils ont changé dans leur rapport à leur santé et ont à cœur de récupérer de l’autonomie en apprenant des gestes ou des pratiques simples. Les kinésithérapeutes l’ont compris et proposent depuis longtemps au grand public des stages de massage. Grace à eux, l’efficacité de la kinésithérapie a diffusé largement son efficacité et sa pertinence hors des cabinets. La méthode Feldenkrais, le shiatsu et la réflexologie plantaire sont d’autres exemples de méthodes implantées durablement. Enfin, les livres et enseignements autour de l’ «homéopathie familiale», la naturopathie, la diététique ou le traitement par les huiles essentielles, rendent de grands services en étant ainsi accessibles à tous. L’ostéopathie comprend de nombreuses techniques ne demandant pas de connaissances poussées.

Enfin, ma double formation d’ostéopathe et de psychothérapeute me permet de transmettre une approche relationnelle du soin, un « savoirêtre thérapeutique » : Au-delà de la pratique et du geste, c’est aussi la qualité du lien avec le sujet qui permet sa guérison. Pierre Goett, Ostéopathe www.osteopathiepourtous.com

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Coup coeur

Une cuisine Végétale Bio et Gourmande vous attend au Restaurant Loving Hut de Menton ! Dans l’une des plus belles villes de la Riviera française, Loving Hut Menton met à votre disposition ses deux superbes terrasses avec vue sur mer. Un large choix de plats savoureux et frais va chatouiller et enchanter vos papilles. Avec la présence de certains mets sans gluten, nous avons pensé aux intolérants à cette protéine. Tous les produits utilisés sont garantis d’origine végétale, sans OGM, et pour la plupart d’origine biologique. Le restaurant est entièrement non-fumeur. Nous vous invitons à découvrir nos savoureux plats. Depuis sa création, Loving Hut ravit les palais avec sa délicieuse cuisine saine et variée et 100 % végétalienne Créée en 2008, « Loving Hut » international est la plus grande chaîne de restaurants végétaliens dans le monde. Elle compte aujourd’hui plus de 200 restaurants sur tous les continents. Inspiré par le Maître Suprême Ching Hai – une humanitaire, artiste et maître spirituel renommée–dans la noble vision que tous les êtres, humains comme animaux, puissent coexister dans la paix, l’amour et l’harmonie, Loving Hut est devenu le pionnier dans la promotiond’un mode de vie durable sans cruautéen faveur del’environnement, la santé, et de nos cohabitants les animaux. Vainqueur du prix « Vegan of the years » pour 2012 et 2013 Un coin boutique rien que pour vous ! Vous y trouverez toutes sortes de produits végétaliens avec : - une gamme de produits surgelés Loving Hut jambon végétal, des crevettes véganes,…) - des galettes de soja au poivre noir - du crudivorisme avec les lazagnes crus « crudivines - des délicieux fromages et des saucisses Vegusto - des super aliments (spiruline, clamat,…) - des biscuits, des chocolats crus - divers aliments sains et nutritifs pour chiens et chats - des livres de recettes… En France, déjà 2 magnifiques restaurants estampillés « Loving Hut » vous attendent : l’un à Paris et l’autre à Menton. Loving Hut Menton (retour des congés annuels dés le 13 février 2014) 649, promenade du Soleil 06500 Menton - Tél : 04 92 07 32 57 - Horaires d’ouvertures : 12h00-14h30 et 19h00-21h30 www.lovinghut.fr - Facebook : www.facebook.com/loving.hutmenton / Email : menton@lovinghut.fr Loving Hut Paris 92 boulevard Beaumarchais, 75011 PARIS - Tél : 01 48 06 43 84 - Horaires d’ouvertures : 12h00-15h00 et 19h00-22h30

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Végétarisme

Serons-nous tous végétariens un jour ? Outre son coté énergétivore, l’élevage est aussi aquavore (dévoreur d’eau). Les auteurs de ce rapport, astucieusement publié lors de la dernière conférence mondiale sur l’eau, sont formels : les pays développés devront réduire leur consommation carnée. La production planétaire de viande nécessite beaucoup d’espaces libres et une quantité astronomique de nourriture. Le végétarisme utilisera ces espaces à bon escient pour augmenter les cultures destinées à l’homme. L’Organisation des Nations-unies pour l’alimentation et l’agriculture précise que la nourriture réservée aux animaux nécessite beaucoup trop d’eau. Selon cette étude, les régimes hyper carnés engloutissent jusqu’à dix fois plus d’eau que les régimes végétariens. Le bilan est sans appel, un kilo de bœuf nécessite 15 000 litres d’eau, un kilo de porc 4500 litres, un kilo de poulet 4000 litres et un kilo de riz 3000 litres. Ces chiffres donnent le tournis, sachant que selon l’OMS, 1,2 milliard de personnes n’ont pas accès à l’eau salubre et que 800 millions ne peuvent pas boire d’eau potable. Toujours d’après cette étude, le végétarisme permettrait d’augmenter la quantité de ressources alimentaires et de ménager l’hyper consommation en eau. Actuellement 30% de la nourriture mondiale est gaspillée. Aussi, stopper ce gaspillage permettrait de mieux nourrir le monde. Cela pourrait se faire en augmentant les échanges entre les pays excédentaires et ceux qui manquent de tout. Réduire la production de biocarburants semble aussi nécessaire, d’autant que les récentes sècheresses mondiales de juin 2013 et la faiblesse des moussons en Asie ont fait grimper de quasi cinquante pour cent les prix mondiaux des céréales et des diverses denrées alimentaires.

Pour les végétariens, le discours est clair et sans appel, nous devons arrêter de manger de la viande afin que les animaux ne souffrent plus. Il est vrai qu’il devient compliqué de consommer des aliments d’origine carnée et du poisson lorsque l’on s’intéresse à la souffrance animale souvent liée aux conditions d’élevage déplorables et à l’abattage digne de véritables films d’horreurs. Dés lors ou l’on équilibre ses menus végétariens, la viande et le poisson ne sont pas obligatoire dans un régime alimentaire. Mais au-delà de cette problématique la race humaine va vite se retrouver face à un autre problème, plus égoïste cette fois ci, mais de taille. D’ici à 2050, l’hyper augmentation de la population et le réchauffement climatique vont nous contraindre à éliminer la viande puis le poisson de nos assiettes. C’est ce que révèle une étude du Stockholm International Water Institut, citée dans le Guardian.Actuellement, les bientôt huit milliards d’individus présents sur la planète tirent 20% de leurs apports protéiques de la viande animale. Pourtant, d’ici 2050, ce pourcentage devra obligatoirement avoisiner les 5% afin de permettre aux trois millions de futurs êtres supplémentaires de manger. La raison de cette nécessité est fort simple : « nos réserves en eau ne seront pas suffisantes pour maintenir le même schéma alimentaire face à la hausse exponentielle de la démographie. ».

Le végétarisme contre le désastre écologique Ne nous masquons pas les yeux, l’hyper consommation mondiale de viande et de poisson provoque un véritable désastre environnemental. L’augmentation exponentielle de la population mondiale associée à l’accès des pays émergents à ce type d’alimentation ont pour finalité la multiplication des élevages industriels et le recours à la surpêche. Les océans se vident ! On pêche à outrance et on n’hésite pas à mettre en péril une multitude d’espèces, le tout au détriment des bienfaits de la biodiversité océane. La voracité humaine est à l’origine des effondrements de populations sauvages de poissons comme le saumon, le cabillaud, le flétan, le turbot, etc. En France, quasiment tout le saumon consommé provient d’élevages forts polluants pour la planète. L’aquaculture et la pisciculture sont des activités très polluantes et, beaucoup d’exploitations oublient de traiter leurs déchets. Le parc forestier mondial ne va pas mieux, les forêts sont détruites et remplacées par des zones d’élevages industriels. A ce sujet, David Faimowitz, le directeur du Centre International pour la recherche forestière, déclare que : « les éleveurs n’hésitent pas à transformer les forêts de l’Amazonie en viande hachée. ». Comme nous l’avons vu plus haut, l’élevage intensif nécessite des quantités astronomiques d’eau, chose qui ne va pas arranger la pénurie mondiale à venir. Pire encore, les quantités phénoménales d’excréments et d’urines rejetées par le bétail et l’élevage se comportent comme de

puissants polluants de rivières et de nappes phréatiques. Le problème des antibiotiques, hormones de croissances et stéroïdes en rajoute une couche. Ils sont à l’origine de nombreuses anomalies notamment en matière de résistances aux médicaments et d’effets secondaires. Aux USA, selon le Conseil Américain pour la Protection des ressources Naturelles, les fermes usines rejettent 135 fois plus de déchets que la population humaine. Le réchauffement climatique n’est pas oublié par l’élevage. A ce sujet, il est bon de rappeler que 23% des émissions de méthane, un gaz à fort potentiel à effet de serre, sont dus au lisier ainsi qu’aux flatulences et éructions du bétail. Pour finir, notons que la viande est responsable d’une forte consommation d’énergie du à sa production et à sa diffusion. En effet, le voyage nécessaire aux morceaux de viande pour atteindre nos assiettes est fortement consommateur d’énergie fossile. Cette surconsommation énergétique commence par l’énergie nécessaire à la culture des céréales qui nourrissent le bétail. Puis cela continu avec le transport des céréales vers le bétail et le transport du bétail vers les abattoirs. Pour finir, on achemine la viande dans des véhicules climatisés et on la conserve dans des frigos dévoreurs d’énergie. Un kilo de veau correspond à un transport automobile de 220 Kms et un kilo de bœuf à 70 Kms. Une solution à tout cela existe, le végétarisme.

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croyances

Les runes, des lettres venues d’ailleurs civilisation celtique. Etymologiquement, dans l’ancien langage des peuples du nord, le mot « run » signifie « écriture secrète ». Il a par la suite évolué pour donner l’appellation « runes ». Les plus anciennes runes retrouvées dateraient de l’an 200. Mais, elles pourraient être bien plus vieilles et dériver d’un ancien système d’écriture préhistorique dit d’Hallristinger dont les courbes représentent les mêmes signes pictogrammiques. L’alphabet le plus connu est le « furthak », du nom des six premiers caractères sur 24 qui le composait à l’origine. En fait aux 24 lettres du furthak, on doit rajouter une 25 ème rune de couleur blanche, la rune d’Odin qui ne sert qu’à la divination.

Des signes venus de l’univers associés à des symboles gravés sur des pierres, du bois ou des ossements, telle est l’essence propre des runes. Issue de Scandinavie et d’un ancien langage des cieux, les runes norroises sont magiques dans le sens où elles expriment une interaction avec l’univers. Le sens des runes Le langage runique n’a pas servi d’écriture au sens général du terme mais plutôt de moyen particulier de communication. La lecture de l’alphabet ogamique ne permettait pas d’élaborer de grands textes. En fait, les pictogrammes qui les composent n’étaient pas vraiment destinés à faire des mots appartenant à une langue précise. Ils servaient plutôt à rédiger certains écrits sacrés ou secrets et avaient une connotation littéraire magique. C’est pour cela que les inscriptions littéraires d’antan sont de traduction compliquée et incertaine. On les utilisait beaucoup sur les tombes, leur rôle étant de fixer la demeure du défunt dans le ciel. Lors d’un tirage de runes, les prêtres nordiques consultaient les dieux et demandaient à l’univers de répondre à différentes questions spirituelles et existentialistes. A l’inverse des runes noroises, les oghams étaient gravés sur des baguettes d’if que l’on jetait à des fins de rituels magiques et divinatoires. Les runes expriment une connexion à l’univers. Cette connexion nous relie à ce dernier tout en nous permettant aussi de voir le futur immédiat. Et oui, les runes avaient bien pour rôle de consulter l’au-delà et de communiquer avec la terre-mère. Elles étaient emplies d’une sagesse ancestrale qui reconnecte à la nature. Les signes des runes correspondaient aussi à des postures du corps et à l’époque on les employait pour communiquer d’une colline à l’autre. Par la suite, la stylisation des runes à permis à ces signes pictogrammiques sacrés d’être inscrits sur d’autres sortes de supports comme le cuir, le parchemin, etc. Le plus ancien parchemin runique en notre possession est le Codex Runicus. Il exprime la volonté moyenâgeuse de remettre cette ancienne écriture au goût du jour. Les 202 pages qu’il contient ont été écrites en runes médiévales vers les années 1300. La forme symbolique de chaque lettre exprime un aspect particulier de la création. Les runes noroises ou scandinaves constituent un alphabet magique utilisé autant en écriture qu’en instrument de divination.

Une interprétation des symboles de l’alphabet runique :

1/ F ou FEHU Cette lettre correspond à l’impulsion de vie que l’univers nous offre. Elle évoque le mouvement premier nécessaire pour générer une force de création qui donne naissance aux activités et à la richesse. Les bienfaits terrestres accumulés et potentiels de réussite dépendent de cette lettre que l’on associe au noisetier. 2/ U et V ou URUZ Uruz est liée au contenant ou à l’enveloppe nécessaire à l’accomplissement du processus créateur. Cette rune renferme à l’état latent le potentiel de générosité et d’amour qui existe en chacun de nous. Elle définie aussi les capacités à dépasser les limites et à améliorer les points faibles. On associe cette lettre au bouleau, à la pierre de lune et aux bovins. 3/ TH ou THORN Il s’agit de l’épine issue de l’expérience des épreuves qui stimulent la vie. C’est pourquoi cette rune se rapproche des arbres épineux et du scorpion. Thorn est apparentée au courage dans l’adversité qui empêche de s’effondrer dans les épreuves. Elle initie aux plans subtils et invite au recul sur les évènements ainsi qu’à la bonne patience libératrice par l’action continue. L’union de Fehu et de Thorn est assimilée à un géant instinctif et inconscient. L’hématite lui est associée. 4/ A ou ANSU Nous sommes en présence du souffle assimilé à la conscience du soi et à la communion avec la source divine sous forme d’émission et de réception de messages. Ce pictogramme est aussi lié aux messages du ciel portés par les oies et les corneilles. Lorsqu’ANSU s’associe à THORN l’être instinctif s’humanise et accède au verbe, à l’incantation, aux sons divins et à l’inspiration. Cette rune est aussi associée au frêne et à la lazuli. 5/ R ou RAIDHO C’est le signe de l’ordre universel, de la loi et des rituels. Raidho caractérise le déplacement qui permet de bien affronter le monde extérieur et le mouvement au sens large. Il s’agit du fait de sortir de soi et d’aller à « la rencontre de… ». La progression est au rendez-vous. 6/ K ou KENAZ La créativité lumineuse associée au soleil et à la lumière dans son ensemble prend ici tout son sens. Elle représente l’accomplissement tant au plan matériel qu’aux plans affectifs et spirituels. La sagesse et la noblesse de l’âme sont très présentes dans cette rune. On lui attribut le pin, la coraline et le dragon. 7/ G ou GEBO Le don est à l’honneur. Gebo relate une certaine harmonie qui pousse vers les autres et qui allie créativité et partage. Elle représente l’équilibre entre ce que l’univers nous apporte et ce que l’on retransmet par nos actes. Tout bonheur doit être partagé. On l’associe au tilleul, au jade, à la baleine, au dauphin et aux insectes butineurs. 8/ W ou WUNJO Cette rune traduit la joie et le bonheur dans son ensemble mais aussi tout simplement

L’origine des runes L’origine des runes remonte à la nuit des temps. Une légende attribut leur apparition au dieu Odin qui, alors qu’il était pendu à un arbre et transpercé par une lance, aurait ramassé à terre des symboles aux pouvoirs magiques gravés sur des pierres. Cependant, les runes sont bien réelles puisque des traces archéologiques de signes pré-druidiques datant de 2 siècles avant notre ère ont été découvertes dans une grotte de suède. Les germains, les scandinaves et les tribus du Nord de l’Europe ont été les premières peuplades à se servir de ses lettres primitives codées et sacrées, jusqu’à en faire un l’alphabet. Cet alphabet a en suite était gravé sur des supports divers (pierres, bois, ossements, etc.). Bien plus tard, les celtes ont eu accès à ce savoir et l’ont adapté à leurs connaissances. Les runes ont été remises au gout du jour vers la fin du XVII ème siècle avec l’engouement de l’époque pour la

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croyances d’énergie de l’enfance et d’émerveillement. Le renouveau printanier de la vie trouve tout son sens. La confiance en son devenir est la solution. Le bouleau, la pierre de lune et le sanglier sont liés à ce symbole. 19/ E ou EHWAZ Bienvenue dans la complexité de la dualité. le « Un » n’existe pas et l’on navigue dans l’incertitude de l’esprit. C’est dans l’alternance qui se trouvent les dimensions terrestres et célestes. Ehwaz exprime une suite de changements qui débutent et finissent. Le soleil reste présent. Comme le cheval qui galope et qui nous fait découvrir de nouveaux paysages, cette rune ouvre l’univers des possibles. Le frêne et l’agate sont présents.

l’acceptation du destin. Elle exprime une sorte de gratitude pour la vie mais aussi le remercîment de ce qui a réussi. Les bienfaits obtenus sont gratifiés d’un sentiment de conscience et de gratitude envers l’univers. Pour les personnes qui ont du mal à partager leur joie, Wunjo peut exprimer l’absence de chagrin ou d’émotions perturbatrices. Le chêne lui va si bien ainsi que les animaux domestiques. 9/ H ou HAGALAZ Cette lettre affiche la libération du passé et le lâché prise. Hagalaz prône une sorte de retour sur soi-même. Liée aux forces de la nature, elle peut être associée à la grêle parce que la symbolique du grêlon symbolise ici la particule profonde de l’être. Le castor et la pureté cristalline lui correspondent fort bien. 10/ N ou NAUDIZ Cette rune nous dit que l’être doit assumer son état et accepter les épreuves de la vie tout en se remettant en cause. Naudiz nous pousse à garder l’espoir afin de pouvoir sortir de l’impasse. On parle souvent de vie de chien, c’est pour cela que ce symbole est associé au chien. L’hêtre, le sapin et l’onyx s’allient à ce signe. 11/ I ou ISA Isa traduit une immobilité cristallisée dite de glace qui représente la personnalité. Cette rune fait référence à la stabilité émotionnelle et à la patience dans les épreuves. Le travail intérieur permet la bonne assimilation du passé qui mène à la stabilité émotionnelle. Sapin, tourmaline et ours blanc lui collent à la peau. 12/ J ou JERA Le cycle du temps lié aux saisons et aux années s’exprime à travers ce signe. Il peut aussi s’agir de la durée et des expériences humaines qui s’y rattachent. Jera tempère l’immédiateté et remet au goût du jour le proverbe « tout vient à point à qui sait attendre ». On l’associe souvent aux arbres fruitiers et à l’hirondelle. 13/ Entre le E et le L ou EIWHAZ Cette rune est signe d’une rupture dans la durée. Elle représente une sorte de mort initiatique. Mais rassurez-vous, cela n’est pas néfaste puisque le plus souvent, il s’agit d’un passage vers un autre niveau d’éveil expérimental de la vie. La foi dans le cheminement et la prise de conscience de la relativité des choses sont à l’honneur. Elle est liée à l’If et au Cyprès. 14/ P ou PEORTH Ce symbole conduit dans les méandres du destin et des mystères qui l’entourent. Les mondes de l’initiation et de la divination font parties de cette rune. La compréhension du cycle des morts et des renaissances prend ici tout son sens. La notion de redistribution karmique est incontournable. Le pommier et la corneille font partis de ce pictogramme. 15/ Z ou ELHAZ Le monde de l’âme prend sa dimension particulière. L’expérience initiée par le vécue est omniprésente. Bien se connaître est nécessaire à la qualité de la vie. Elahaz correspond au bon sens protecteur souvent associé au chêne. Le cygne lui est associé et il suffit d’observé sa grâce pour comprendre le vrai sens de cette rune. 16/ S ou SOWILO C’est le un, la source première ou divine de la vie. Sowilo correspond à la lumière et au soleil. Le rayonnement intérieur provient de cette source. Il converge en permanence vers celle-ci. Le message transmis consiste à prendre la mesure du lien avec la source et à agir en conséquence. SOWILO est associée à l’enseignement de la vie et à ceux qui enseignent (expérience, signes, personnes, etc.). Chêne, laurier, ambre et aigle font parti de cette lettre. 17/ T ou TEIWAZ Cette rune traduit le flux énergétique qui sort de son propre intérieur afin d’influencer les mondes extérieurs. L’esprit du guerrier est mis en avant. Puiser l’énergie profonde est indispensable pour triompher du combat nécessaire qui permet d’atteindre l’objectif fixé. La vie est une lutte et l’énergie doit jaillir afin d’influencer favorablement l’épreuve. Courage et mental d’acier sont les maîtres clés de cette rune. Teiwaz est associée à l’ours, au châtaignier et au saphir. 18/ B ou BERKANO Cette pièce est la rune mère. Toutes les naissances et les renaissances définissent le retour à la terre. Ce symbole parle de procréation,

20/ M ou MANNAZ L’être humain s’épanouit dans son intégrité et dans son individualité. La pleine réalisation créera un magnifique pont entre le présent et le futur. C’est pour cela que Mannaz est liée à Ehwaz pour représenter l’harmonie du mouvement. Tout est possible à force de persévérance. 21/ L ou LAGUZ C’est la rune du cœur. Elle ramène à la mer, l’élément de base du développement de la vie. C’est pourquoi le corail, le dauphin, les galets des bords de plages lui vont si bien sans oublier la femme et la sensibilité. L’écoute du monde intérieur premier prédomine. Cela permet la fusion entre le divin et la nature. Le message invite à oser construire le meilleur des mondes intérieur et à réceptionner de façon intuitive l’énergie extérieure. 22/ N- G ou INGWAZ Ingwaz exprime le pouvoir créateur souvent associé à la fertilité, source de tout développement. De la bonne création, au sens large, dépend la réussite. Mettre en action ses dons est primordial. L’éclosion et la réalisation nécessaire au bon accomplissement de la vie sont au programme. On l’associe au bouc et au charme (arbre). 23/ D – TH ou DAGAZ L’aube représente toute la magie des possibles liée à ce moment particulier de la journée. Le monde est à vous ! L’équilibre des énergies opposées permet une transmutation alchimique des éléments et des évènements. La lumière régénératrice du matin réveille l’être. L’œil du tigre et le coq qui chante le matin mettent en avant l’infinie possibilité du renouveau matinal. 24/ O ou OTHALA En accord parfait avec l’héritage des ancêtres, l’initié réintègre sa particule divine, son patrimoine le plus précieux. Il va aux racines de son existence. C’est la finalité, le moment ou tout est accompli. Les fossiles, le loup et l’aubépine lui correspondent. L’axe ou WYRD - la rune blanche Le non- manifesté, l’insondabilité du vide sont présents dans cette rune vierge. Cette rune ne dit rien et pourtant contient tout en elle. On l’associe au vide cosmique qui contient tout. Le druide Aladia’h est entré dans le druidisme en 1970. Il a reçu son ordination de druide en 1992, après avoir suivi de longs enseignements dans la pure tradition celto- druidique. Depuis, il enseigne au sein l’association « la clairière aux trois chênes ». Des stages sur les runes sont organisés pour le 21 juin 2014. Tél : 06 63 93 87 06.

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Le Domaine du Taillé

s’étend dans une propriété de 100 hectares de forêt dans le parc régional des Monts d’Ardèche. Il se situe à 20 minutes d’Aubenas sur la commune de Vesseaux. Le Domaine vous propose : - Ses locations de Villas **** (labellisées) - La Villa Christina pour deux, quatre ou six personnes, le Mas de la Nojarette totalement isolé pour 12 personnes, avec leurs piscines privatives - Ses stages et séminaires à thème - Ses salles de séminaire dont une de 200m2 - Ses différentes chambres et chalets - Son restaurant avec sa cuisine au naturel - Ses bassins de baignade écologiques - Son tennis en terre battue - Ses nombreuses randonnées dans le parc

Domaine du Taillé

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Sciences

Des météorites à l’origine de la vie terrestre Quand les astrobiologistes s’en mêlent ! En 1906, le suédois Svante Archénius émet une hypothèse, nommée « Panspermie », selon laquelle la vie serait venue du ciel. Ses dires furent rapidement réfutés par la communauté scientifique de l’époque, adepte d’un scénario exclusivement terrestre. Mais, dans les années soixante, l’idée est remise au goût du jour par la découverte dans des météorites de composés organiques entrant dans la chimie de la vie. Devant l’immensité du problème, les universités mondiales se sont mises à former des astrobiologistes susceptibles de faire avancer le débat des origines de la vie. Dés lors, de nombreuses découvertes prouvant l’origine extraterrestre de la vie, appuyées par une multitude de publications scientifiques, ont vu le jour.

Ce qui fut jadis une théorie semble aujourd’hui être bien établi, la vie viendrait de l’espace ! Il y a quatre milliards d’années, notre planète était intensément bombardée de corps célestes et de météorites. Aujourd’hui, de nombreux scientifiques pensent que certains de ces corps, riches en acides aminés, ont probablement ensemencé la terre. Pour mémoire, les acides aminés sont les briques chimiques indispensables à la construction des molécules biochimiques, dont toute vie est issue. Formées il y a 4,6 milliards d’années, les planètes du système solaire ont longuement évolué à l’exception des comètes et des météorites qui restent aujourd’hui les seuls témoins du début. Pendant trois cent millions d’années, notre planète a été soumise à une incessante pluie spatiale. Ce déferlement a apporté des milliards et des milliards de tonnes de matière céleste avec, entre autre, des résidus de comètes et des météorites. Or, il se trouve que les noyaux des comètes sont faits de glace et de matière organique propices à la vie. En 1986, la sonde spatiale Giotto découvre que le noyau de la comète de Halley renferme de l’acide cyanhydrique et du formaldéhyde qui en présence d’eau peuvent conduire à la formation des éléments de base des protéines et des acides nucléiques (ADN et ARN). De là à dire que des fragments de comètes tombés sur terre ont contribués à l’apparition de la vie, il n’y a qu’un pas ! Et ce pas nous convient.

Parmi toutes ces découvertes, nous nous sommes plus précisément intéressé à trois d’entre elles, dont une très récente : - Des chercheurs américains de la NASA ont mis en évidence les composants essentiels de la vie (acides aminés), dans une météorite, issue d’une collision spatiale entre deux astéroïdes, qui s’est écrasée au nord du Soudan. Daniel Glavin, responsable à la NASA, est formel : Il explique que cette météorite possède des acides aminés très intéressants et révélateurs d’une origine extra terrestre. L’équipe de la NASA a voulu être sûre que la météorite n’a pas été contaminée par des acides aminés terrestres et qu’il s’agit bien d’éléments spatiaux. Les molécules qui composent les acides aminés peuvent prendre deux formes inverses lorsqu’elles sont face à un miroir. Ces formes sont dites lévogyre (qui tourne à gauche) et dextrogyre (qui tourne à droite). Sur terre, la vie est uniquement faite d’acides aminés dextrogyre. Mais voilà, on a retrouvé les deux formes dans la météorite, ce qui prouve leur origine extraterrestre. - Pour la première fois, une équipe d’astrobiologistes du centre spatial Goddard de la NASA a identifié des traces de glycine (un acide aminé) d’origine cosmique. Cette découverte a été effectuée sur des échantillons de la fameuse comète WIL 2 extraits en 2004 par la sonde Stardust qui évoluait à 390 millions de kilomètres. Il a fallu une longue période de vérification pour permettre d’assurer que cette glycine n’était pas issue d’une contamination terrestre de l’échantillon. La chercheuse Jamie Elsila explique que cette révélation est extraordinaire car jusque là, on avait mis en avant que des acides aminés issus de météorites et jamais d’une comète. Tout cela laisse présumer que les briques nécessaires à la vie sont bien plus répandues dans l’univers qu’on ne le pense. - Récemment, une découverte a fait la une des journaux. Des scientifiques allemands et des chercheurs de l’université de Nice Sophia Antipolis ont prouvé, en fabriquant une comète artificielle, que les éléments de base nécessaires à la vie sont d’origine spatiale. S’inscrivant dans le cadre de la mission spatiale européenne « Rosetta » ces travaux ont été publiés et ont fait l’effet d’une petite bombe dans le monde des astrobiologistes. Notons que le programme « »Rosetta » a pour but de faire atterrir, dés 2015, une sonde sur une comète afin de scruter les secrets de son noyau. De leur comète artificielle, les chercheurs ont extrait pas moins de 26 acides aminés, dont six d’entre eux sont des acides di-aminés, un record ! La découverte ravive l’idée que des molécules de bases auraient pu naitre du milieu interstellaire. De quoi agiter les neurones de beaucoup de scientifiques et de beaucoup d’entre nous.

La quête scientifique des origines de la vie En 1953 la fameuse expérience de Stanley Miller et Harold Clayton Urey révèle que, lorsque certaines conditions physiques et chimiques sont réunies (rayonnements, pression, température), on peut obtenir des composés organiques à partir de composés inorganiques. L’après Big-bang était enfin éclairci. Cette théorie fut accueillie comme l’événement cosmo-scientifique majeur des années cinquante. Elle répondait enfin à la question des origines de la vie et montrait que les protéines terrestres pouvaient naitre des conditions physicochimiques qui régnaient à l’époque. Mais, c’était sans compter sur la survenue de la météorite de Murchison qui seize ans plus tard bouscula sérieusement la découverte de Miller et Clayton Hurey. Le 28 septembre 1969 en fin de matinée, cette météorite de type chondrite carbonée d’une surface avoisinant les 13 Km² s’écrase prés du village de Murchison (EtatsUnis). Immédiatement la collecte des échantillons est organisée et les laboratoires spécialisés se mettent au travail. En 1970, les premiers résultats tombent, l’équipe de Keith Kvenvolden du « Ames Research Center NASA » fait une première révélation qui bouscule les idées reçues, 18 acides aminés d’origine spatiale ont été découverts dans la météorite. Un peu plus tard, ce ne sont pas moins de 70 acides aminés au total qui sont extraits des échantillons. Parmi ces acides aminés, on a recensé de la valine, de la leucine et de l’isoleucine, de la glycine, de la proline, l’acide glutamique et de l’acide aspartiques ainsi que des purines et pyrimidines (constituant des ADN et ARN). Dés lors la polémique sur l’origine de la vie s’est mise à enfler et l’hypothèse de la formation extraterrestre de structures moléculaires propres au vivant, à partir de précurseurs comme HCN, NH3, H²CO, H²O, est revenue au goût du jour.

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Découverte

Antoine, l’éternel voyageur du Hiroshima, et l’île voisine de Miyajima avec le fameux « torii » ; en allant vers l’ouest, la région du spectaculaire Mont Fuji ; et vers le nord-est, Nikko et le lac Chuzenji, le Tohoku, et la belle baie de Matsushima, aux 260 îles. « Je n’ai pas encore eu l’occasion de visiter l’île la plus au nord, Hokkaido, mais elle semble magnifique, quoi qu’un peu froide : la banquise la tangente au cœur de l’hiver.’». « Nous avons particulièrement apprécié les deux grandes îles les plus au sud-ouest : Shikoku, au sud de la « mer intérieure » est l’île des 88 temples, reliées par un pèlerinage incontournable.

Chanteur d’élucubrations au départ, à l’époque des yéyés, Antoine est devenu voyageur, depuis, plus de 30 ans, depuis et depuis ses premiers pas sur la terre ferme, au bout du monde, à Tahiti. Il y a d’ailleurs, passé des mois et des mois, mais, pas seulement. Quelques mois après la découverte de ces îles du sud Pacifique, et la Polynésie française, en général, il réalise son premier film, en collaboration avec ses amis cinéastes de l’institut de communication audiovisuel. Diffusé par Warner, il est vendu en France et ailleurs, à plus de 100 000 exemplaires et devient ainsi une référence dans le domaine des voyages. Livres, émissions de télévision, cartes postales et hop, le sympathique chanteur voyage, très vite, d’îles en îles tout d’abord, seize au départ, puis d’autres, ensuite. Il y en a tellement dans le monde. Il en revient à chaque fois, avec des images fixes et animées et, aujourd’hui, sa collection de souvenirs, couvre une très grande partie de la planète. Entre les livres édités et les conseils de cuisines illustrés, Antoine est devenu, une entreprise, à lui seul, ou avec Francette, faut-il le préciser.

Enfin l’île de Kyushu a, comme la plus grande partie de l’archipel, un relief très tourmenté ; la ville de Nagasaki, au sombre passé est splendide à la saison des cerisiers en fleurs, le hanami ; Kagoshima, avec son volcan actif, est surnommée la Naples japonaise; quant à la région de Beppu, elle est connue pour ses « enfers » multicolores , les jigoku, des sources thermales éblouissantes ;

Son tout dernier DVD sur le Japon vient de sortir. Il vous fait découvrir ce pays, et il est encore un fois, très réussi, mais, là, ce n’était même pas la peine de le préciser.

« Lost in Translation » : un voyage au Japon est toujours une aventure, un challenge : conduite à gauche, très peu de gens parlent une autre langue que le japonais hors des plus grands centres, traditions et gastronomie souvent déroutantes... Mais le voyage n’en est que plus fascinant , et le pays offre tant de visions magnifiques !

et mon coin secret au coeur de Kyushu, c’est la jolie vallée de Kurokawa où, le long d’une rivière, jaillissent de nombreuses sources chaudes alimentant les onsen (bains) des auberges traditionnelles, les ryokan’». Les liens préférés d’Antoine : L’office du Tourisme du Japon : www.tourisme-japon.fr et Japon pratique avec Géo : www.geo.fr Toutes les infos pratiques : www.easyvoyage.com Voyages sur mesure : www.japanveo.com Pour les navigateurs : www.noonsite.com © antoine.tv et Planète Actualités

Sur Honshu, la plus grande île, en prenant le Shinkansen vers le sudouest, on atteint, Kyoto,

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Découverte

monde se tourne vers le Japon Le pays du soleil levant Bienvenu au pays des samouraïs, le japon vous attend. Les archéologues sont formels, le pays était habité dès le Paléolithique supérieur. Aujourd’hui vous découvrirez un endroit moderne, attrayant et surprenant où respect et traditions se marient avec le modernisme. Avec ses 127 millions d’habitants et ses paysages somptueux, le japon insulaire embellit les eaux du pacifique qui l’entoure. Il forme un archipel parsemé de 6852 îles volcaniques aussi belles les unes que les autres. Les quatre plus grandes îles du pays (Kyushu, Shikoku, Honshu et Hokkaido) représentent à elles seules 97% des terres. Quand au Grand Tokyo, il s’agit d’une des plus importantes régions métropolitaines du monde, englobant la ville de Tokyo et les nombreuses préfectures avoisinantes. On ne peut pas évoquer le Japon sans parler de son plus haut sommet, le mont Fuji (3776m). Etymologiquement, le mot Japon signifie « lieu d’origine du soleil » d’où l’appellation de « pays du soleil levant ». Ce qualificatif ne l’empêche pas d’être la troisième puissance économique du monde par son PIB. Le Japon est imprégné d’une riche tradition ancestrale, mais il vous surprendra par sa culture contemporaine. A l’honneur, les florissantes subcultures, les films d’animations, les mangas et les jeux électroniques. Une monarchie constitutionnelle Véritables dieux, les empereurs successifs ont su par le passé guider et protéger l’archipel japonais. Notons tout de même que depuis 1947, le pays est devenu une monarchie constitutionnelle. Il a adopté une constitution où cohabitent un empereur et un parlement élu, nommé « la Diète ». La richesse des paysages Le pays soleil levant offre des paysages atypiques, à la japonaise ! Au départ des grandes villes une escapade en voiture ou en train vous ouvrira les portes des visions champêtres attenantes à une luxuriante végétation recouvrant les vallons pentus et les sommets. A vous de choisir entre les petits hameaux nichés dans les montagnes

ou les villages de pêcheurs traditionnels, et pourquoi pas les deux. Vous garderez à l’esprit des clichés évoquant la magie de l’ancien japon associée à une pointe de nostalgie. Introduite voilà plus de 2000 ans, la culture du riz et omniprésente dans les contrées japonaises. La rencontre avec une population attachante de part sa culture particulière et l’hospitalité japonaise vous apporteront des moments de bonheurs inoubliables. Les infrastructures Les boutiques des arcades et les centres commerciaux situés proche des grands hôtels vous attendent avec leurs employées qui parlent anglais. Et oui, le japonais n’est pas très facile à comprendre ! A vous les grands magasins qui offrent un énorme choix de produits associé à un service clientèle à la japonaise, c’est-à-dire hors pair. Les expositions d’artisanat sauront enrichir vos achats tout en vous offrant la culture et le savoir faire artistique japonais. Vos enfants seront à l’honneur grâce à de nombreuses salles de jeux aménagées. Les grandes villes comme Tokyo, Kyoto, Osaka et Fukuoka possèdent des grands centres commerciaux souterrains situés sous les rues marchandes et souvent reliés aux gares ferroviaires. Les quartiers branchés des grandes villes sont riches en magasins spécialisés où vous trouverez de quoi exhausser vos désirs d’achats les plus diverses et même de la haute couture. Dans les boutiques le mariage de l’art, de la beauté à la japonaise et de la culture locale ira au-delà de votre imagination. Les technologies en tout genre ne sont pas en reste. Et pour cause, le japon est à la pointe mondiale des technologies et plus précisément de l’électronique, des techniques environnementales ainsi que de l’information numérique. Le japon, c’est aussi ses virées nocturnes sans pareil, ses nombreux bars, ses établissements de restauration rapide qui proposent des plats traditionnels, ses salles de jeux électroniques, sa gastronomie, etc. Bonne découverte ! Pour en savoir plus : Office national du Tourisme Japonais Site : www.tourisme-japon.fr

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