155 mm de Bange Mle 1877 (extraits)

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Matériel de 155 mm de Bange Mle 1877

LE CANON DE 155 MILLIMÈTRES LONG, MODÈLE 1877 SYSTÈME DE BANGE Dr BALLIET Jean-Marie

L’artillerie de siège et de place va connaître, au lendemain de la défaite de 1870, une transformation aussi radicale que celle de l’artillerie de campagne. Les besoins sont énormes puisqu’il convient de recréer un vaste réseau défensif, élaboré par le général Séré de Rivières, venant suppléer à la perte des places de Lorraine et d’Alsace. Pour équiper ces forts d’une conception nouvelle, il est nécessaire de disposer d’une artillerie de place moderne et puissante. Toutes ces réflexions sur les matériels d’artillerie seront néanmoins subordonnées au choix d’un nouveau système d’artillerie de campagne jugé comme étant prioritaire. L’artillerie de siège et de place bénéficiera ainsi des progrès déjà réalisés.

PROLÉGOMÈNES Sur le plan tactique, il convient de distinguer Le colonel de Bange, né en octobre 1833 et sorti de l’École polytechnique en 1855, dans l’Artillerie, fut nommé capitaine en 1862, chef d’escadron en 1874, l’artillerie de siège de l’artillerie de place. L’arlieutenant-colonel en 1878 et colonels en novembre 1880. Il prit sa retraite en tillerie de siège comprend des pièces destinées à 1882, à l’âge de 49 ans, ruiner les défenses d’une place et à ouvrir, à dispour diriger, jusqu’en tance si possible, une brèche en détruisant le 1889, la fabrication des système défensif que représentent les escarpes, canons à l’usine Cail. Il parapets et casemates. Cette artillerie de siège se décède en 1914 au compose essentiellement de pièces de fort caliChesnay, près de Versailles. bre, de grande portée et doit disposer de pièces Au cours de sa belle carpermettant le tir de plein fouet et d’autres perrière, il compta à la manumettant un tir plongeant destiné à atteindre le facture d’armes de Châtellerault, à l’École de pyromatériel de défense abrité derrière les parapets technie de Metz et devint, ou les traverses de la fortification. La question de de bonne heure, Directeur la mobilité, qui s’impose pour l’artillerie de de l’Atelier de Précision, à campagne, devient secondaire puisque le déplaSaint Thomas d’Aquin. cement stratégique de ces lourdes pièces est supposé s’appuyer sur un réseau de chemin de fer stratégique alors en pleine expansion. Les avanttrains de siège ne sont alors plus qu’un complément permettant des mouvements de peu d’amLieutenant-Colonel de Bange (in Hennebert — 1890) pleur vers des batteries fixes. Les munitions variant suivant le tir à exécuter et la diversité des calibres n’ont plus la même importance pour l’artillerie de siège que pour l’artillerie de campagne. L’artillerie de place, bras armé des fortifications, est destinée avant tout à contrebattre une puissante artillerie de siège en l’éloignant et à retarder les progrès de l’assaillant. Ses qualités essentielles doivent être la puissance et la portée car la mobilité est ici tout à fait secondaire. Ce cheminement va être réalisé sous la direction du Comité de l’artillerie en un laps de temps extraordinairement réduit puisque le délai séparant le début des réflexions et l’adoption des matériels ne comptera que quatre années ! C’est ainsi qu’à la séance du 2   février   1874, le Comité d’artillerie présidé par le général Camu, aborde les importantes questions

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proposant l’étude de deux canons de 120 millimètres (un léger et un lourd), de deux canons de 155 millimètres (un léger et un lourd), d’un canon de 22 centimètres et de deux mortiers (canons courts), un de 22 et un de 27 centimètres. À ce moment, la phase des études préliminaires pouvait être considérée comme terminée. C’est du moins ainsi que le Comité le jugeait puisqu’à la séance du 26 janvier 1874, il refusait d’essayer un nouveau canon Vavasseur en donnant comme motif de ce refus que ce canon se chargeait par la bouche alors qu’à la séance du 13 novembre 1873, il avait approuvé à l’unanimité le chargement par la culasse. Cela témoigne de la volonté du Comité de consacrer exclusivement les ressources de l’artillerie aux études et aux expériences concrètes et définitives Le Comité, au cours de sa séance du 9 janvier 1877, propose la création d’une Commission de contrôle de la fabrication en grand des matériels de Bange. Dès l’approbation de cette proposition par le Ministre, la Commission est organisée sous la présidence du président du Comité et sous la vice-présidence du général de Berckheim. On peut également relever, qu’à la séance du 28 décembre 1875, le Comité d’artillerie avait proposé d’autoriser le colonel de Reffye à réaliser deux canons de 155 mm sans que cette autorisation ne semble avoir été mise à profit. Seuls sont présentés à Calais, en 1876, les matériels de 155 mm établis par la Commission d’étude des bouches à feu, par le lieutenantcolonel de Lahitolle et par le commandant de Bange. À la suite de ces essais, lors de la séance du 20 février 1877, le Comité propose d’adopter le canon de 155 mm de Bange avec son obus ordinaire, de faire étudier pour cette pièce des modèles d’obus à balles, des projectiles de rupture et de poursuivre les études d’affûts de siège et de place pour ce canon. Le 19 juin 1877, le Comité est d’avis de faire construire de suite, 100 spécimens d’affûts de siège du modèle de Bange, essayé avec succès à Calais, et de mettre à l’étude un affût de place de 155 sur grand châssis. Enfin, le 27 novembre 1877, le Comité apprend, par une dépêche du Ministre de la Guerre, qu’une commande de 300 affûts pour canons de 155 a été

Pièce de 155 mm de Bange – modèle de présérie – cliché exceptionnel réalisé en 1877 par A. Humbert au fort de Razimont (place fortifiée d’Épinal) dont la construction venait de s’achever.

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modèle 1877 qui diffère de l’étoupille à friction ancienne que par les tolérances imposées au moment de la fabrication : le diamètre extérieur du grand tube est maintenu près du maximum et le diamètre intérieur très près du minimum. On obtient ainsi de grands tubes d’une épaisseur plus forte et plus régulières qui se brisent rarement durant le tir. Cette étoupille, placée au centre de la culasse en faisant passer la tige du rugueux dans l’une des entailles prévue à cet effet, permet de mettre le feu à la charge par l’intermédiaire d’une lumière disposée dans l’axe de la culasse qui communique avec la chambre. Affût de 155, modèle 1877 Le canon de 155 millimètres est porté par un affût spécial (système de Bange), identique, sauf les dimensions, à l’affût de 120, et disposé comme lui pour permettre le service de la bouche à feu dans les batteries de siège et sur les terre-pleins de la fortification. Les parties principales de l’affût sont : 1° les flasques ; 2° l’essieu ; 3° les roues ; 4° l’appareil de pointage ; 5° Affût de siège et de place Mle 1877 équipé de roues en bois et de sabots d’enrayage

Anse Chaînettes de sus-bande

Sus-bande

Coupe suivant l’axe de la pièce

Volant de pointage

Sous-bande

Support de tourillon

Renfort

Flasque d’affût

Plaque de tête d’affût

Renfort de corps

Fusée

Plaque de bout de crosse

Lunette de cheville-ouvrière

Anneau de suspension du sabot

Plaque à oreilles porte-chaînes de sabot d’enrayage

Sabot d’enrayage

Roue n° 1bis

Plaque d’appui de roue

les sabots d’enrayage ; le frein hydraulique. Les flasques, en tôle d’acier, forment le bâti de l’affût. Leur partie postérieure forme la flèche et leur écartement est maintenu invariablement par le boulon entretoise de tête d’affût, la plaque de dessus de flèche, la plaque de dessous de flèche, la plaque de tête d’affût, qui porte la cornière de butée de volée. L’extrémité de la flèche s’appelle la crosse qui est renforcée à son extrémité par une plaque de bout de crosse. Sur les flasques, on remarque les encastrements de tourillons renforcés par des sous-bandes en acier sur lesquelles reposent des coussinets en bronze destinés à diminuer le frottement des tourillons lorsque la pièce pivote autour d’eux. Les tourillons sont maintenus dans leur logement par des sus-bandes. On trouve également des supports de tourillons et un coussinet de culasse destinés à recevoir les tourillons et la culasse quand la pièce est en position de route ; des plaques d’appui de roues qui préservent les flasques du frottement des roues de l’avant-train dans les tournants ; un piton d’attache de frein hydraulique (pour les pièces qui en seront équipées) pour permettre au frein de se déplacer par rapport au plan de symétrie de l’affût ; une lunette de cheville ouvrière destinée à 8


Matériel de 155 mm de Bange Mle 1877

Charge et projectile en place dans la chambre de la pièce de 155 mm de Bange

est sensiblement pus grand que celui du cylindre, sert à arrêter la boîte à mitraille dans la pièce à sa position de chargement. Le zinc a été choisi pour l’enveloppe de la boîte en raison de sa souplesse qui doit éviter les dégradations de l’âme et des rayures. Elle contient 429 balles en plomb durci, de 22,5 mm de diamètre, d’un poids unitaire de 65 grammes environ. Les balles, préalablement graissées avec du vieil oing, sont introduites par couches successives autour d’un mandrin en bois, placé suivant l’axe, dans la boîte à mitraille renversée sur le couvercle. Au fond de la boîte, on verse préalablement un peu de goudron pour bien obturer les joints de l’enveloppe et du couvercle. On enlève alors le mandrin, on introduit les balles et, lorsqu’elles sont en place, on verse du soufre fondu de manière à remplir la boîte. Ce soufre est destiné à agir comme un liant puisqu’il se fige en se refroidissant. Par-dessus, on place une petite couche de goudron, puis on pose le culot, sur lequel on rabat les franges du cylindre. Le poids du soufre fondu reliant les balles est d’environ 3 kilogrammes, celui du goudron de 150 grammes réparti pour moitié au fond et par-dessus les balles. La boîte à mitraille de 155, chargée et terminée, pèse environ 40 kilogrammes. Charges du canon de 155L, modèle 1877 Dans le tir à plein fouet, la charge normale du canon de 155 (et en même temps la charge maxima admissible) est de 8,750 kg de poudre SP1. Cette charge est placée dans un sachet de toile amiantine (tissu de bourre de soie incombustible), fermée par une ligature faite avec un fort cordonnet de laine. Les dimensions réglementaires du sachet rempli sont les suivantes : 127 millimètres de diamètre ; longueur, y compris la ligature, de 610 millimètres. On fait, en outre, usage de charges réduites de 7, 6 et de 5 kilogrammes de poudre SP1. Les sachets sont identiques à ceux utilisés pour la charge maxima mais pour conserver la même longueur on introduit par-dessus la poudre, un cylindre en carton fermé à ses deux extrémités par une coiffe en forte toile. Quelques exemples de projectiles de 155 mm et leurs marques colorées.

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1. Obus ordinaire 2. Obus à balles 3. Obus explosif en fonte ordinaire chargé en explosif fondu (avec cartouche-relai) 4. Obus explosif en fonte ordinaire chargé en Schneiderite en grains et tolite fondue 5. Obus explosif en fonte aciérée chargé en explosif fondu 6. Obus explosif en fonte aciérée chargé en Schneiderite en grains et tolite fondue 7. Obus incendiaire chargé en PS type N 8. Commission d’expérience — Obus lesté 9. Commission d’expérience — Obus explosif

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Matériel de 155 mm de Bange Mle 1877

155 L, MODÈLE 1877 155 L MODÈLE 1877-1916 LE CANON DE

DURANT LE PREMIER CONFLIT MONDIAL ET LE CANON DE

Les portées obtenues avec la pièce de 155 mm Mle 1877 avec des projectiles plus modernes seront comprises durant le premier conflit mondial entre 10 000 et 11 000 mètres. En abaissant la crosse, de manière à dépasser l’angle limite permis par l’affût [28°], on a même pu atteindre la portée de 12 700 mètres avec un obus D. Sur un sol horizontal, l’angle limite indiqué ci-avant a fourni des portées de 10 400 mètres pour l’obus à mitraille, 9 850 mètres pour l’obus allongé et 11 000 mètres pour l’obus D. Ceci représentait un gain non négligeable par rapport aux valeurs obtenues lors de la mise en service de la pièce. Les ceintures pour roues — Cingolis Durant cette même période, des ceintures pour roues n° 1 bis comportant 12 plateaux et 12 segments furent mis en service. L’emploi de ces ceintures de roues, couramment appelées cingoli, a permis de supprimer la sujétion de la plate-forme de siège difficile à transporter et longue à construire. C’est ce qui a permis au matériel de Bange d’être utilisé comme un véritable système d’artillerie lourde de campagne. Les dimensions des plateaux et segments et celles des coins de recul et de la glissière de crosse sont plus fortes que pour celles relatives à la pièce de 120 mm de Bange. Les plateaux, en bois, sont enchâssés dans une tôle qui en recouvre le dessus et les côtés et dont les bords sont repliés en dessus. Ils portent deux oreilles métalliques qui permettent leur assemblage avec les segments. Chaque segment se compose d’un élément de rail métallique creux, solidement fixé à un bout de madrier par deux sabots rivetés. Sa largeur lui permet de s’emboîter sur la roue. Il se termine à l’une de ses extrémités par deux oreilles mâles et à l’autre par deux oreilles femelles. Dans le montage de la ceinture, on place les oreilles d’un plateau les oreilles femelles d’un segment les oreilles mâles du segment suivant. Cette articulation est maintenue à l’aide d’un boulon. Deux des articulations sont organisées pour en permettre le démontage. La mise en place des ceintures est réalisée de manière fort simple. Les ceintures de roues sont disposées parallèlement à même le sol, en arrière des roues de l’affût. Il suffit de faire reculer celui-ci de façon à faire monter les roues sur les ceintures, la jante s’engageant entre les joues des segments. Quand les roues ont parcouru environ 50 centimètres sur les ceintures, on brêle sur les jantes l’extrémité des ceintures qui a été franchie et on poursuit le mouvement de recul de l’affût. Les ceintures se placent ainsi sans effort, il suffit alors de réunir les deux extrémités. Le déceinturage procède de la méthode inverse. Les avantages procurés par ce système sont nombreux. Une roue ainsi équipée permet d’exercer une pression au sol nettement moindre et de limiter l’enfoncement de la pièce tant pendant le tir que pendant les déplacements. Ces ceintures peuvent donc jouer deux rôles : remplacer les éléments de la plate-forme située sous les roues et faciliter les déplacements du matériel en mauvais terrain. Mais les ceintures de roue jouent en outre un troisième rôle, très important et largement méconnu, de freinage pendant le recul de la pièce. En effet, les roues tournent autour de leurs 13


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situdes, les pièces connurent un usage intensif tout au long de la guerre et un nombre non négligeable d’améliorations techniques fut apporté à ces pièces qui étaient qualifiées de vieux matériels en 1914.

Pièce de 155 mm de Bange – Ces clichés illustrent parfaitement les manœuvres de force nécessaires à la mise en batterie sur le parapet d’artillerie d’un fort de l’est de la France. La pièce est équipée des roues en fer utilisées au seul profit des pièces de place. Clichés extraits d’un album photographique, s.l., s.d. (vers 1885). Tirage sur papier albuminé.

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Matériel de 155 mm de Bange Mle 1877

Les années de guerre 1914 - 1918

Ca m

oufl age

Mise en batterie d’une pièce de 155 Mle 1877 dont le tube est superbement camouflé (s.d., vers 1916).

Pièces d’une batterie de 155 Mle 1877 en batterie sur le front de la Macédoine (1916).

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Matériel de 155 mm de Bange Mle 1877 29

HENNEBERT (Lt-Colonel) — Les merveilles de l’artillerie. Paris, Librairie Hachette et Cie, 1887 ; in-12, 329 pp.

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HERR (Général) — L’artillerie. Ce qu’elle a été. Ce qu’elle est. Ce qu’elle doit être. Paris, Berger-Levrault, 1923 ; grand in-8, 340 pp.

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[KORZEN-KÜHN WAFFENLEHRE XIIIA] — KORZEN (K. u. k. Artillerie-Oberingenieur Anton), KÜHN (K. u. k. Artillerie-Ingenieur Rudolf ) — Belagerungsgeschütze. Vienne, L.W. Seidel & Sohn, 1906 ; in-8, 106 pp.

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[MANUSCRIT XIXe — FORTIFICATIONS] — BARRE (Lt) — Cours de fortification. S.l., s.e., s.d. (vers 1877) ; in-12, plus de 400 pp.

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[MARQUAGE DES MUNITIONS — 1916] — MINISTERE DE LA GUERRE (Artillerie) — Renseignements sur le marquage et la peinture des munitions d’artillerie. 1916 - 2 janvier. S.l., Ministère de la Guerre, 1916 ; in-12, 14 pp. avec IV planches dépliantes en couleur.

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[MINISTÈRE DE L’ARMEMENT ET DE FABRICATION DE GUERRE — Artillerie] — Renseignements sur le marquage et la peinture des munitions d’artillerie approuvés le 16 Janvier 1916 - Feuille rectificative n° 7. S.l., s.e., 1917 ; in-12, 4 pp., 7 papillons à coller et une planche en couleur, br.

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MINISTERE DE LA GUERRE — Règlement de manœuvre de l’artillerie à pied. Service des bouches à feu. Matériel complémentaire des places et matériels spéciaux à certaines batteries (rédaction provisoire approuvée par le Ministre de la guerre le 15 mars 1907). Paris, Ministère de la Guerre, 1907 ; in-12, 238 pp.

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MINISTÈRE DE LA GUERRE — Règlement de manœuvre de l’artillerie à pied. Service des bouches à feu de siège et de place. Matériels de siège et place. Canons de 155 L et 120 L sur affût de siège et place. Canon de 155 court sur affût modèle 1881. Mortier de 220 sur affût modèle 1880. Canons de 95, de 90 et de 80 sur affûts de siège et place et sur affûts de campagne (approuvé par le Ministre de la Guerre le 9 juin 1915). Paris, Ministère de la Guerre, 1915 ; in-12, 226 pp.

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MINISTERE DE LA GUERRE — Règlement de manœuvre de l’artillerie à pied. Instruction provisoire sur le tir. Paris, Imprimerie Nationale, 1916 ; in-12, 144 pp.

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MINISTÈRE DE LA GUERRE (Artillerie) — Note sur les matériels d’artillerie lourde et les munitions qui leur sont afférentes. S.l., s.e., 1915 ; in-12, 14 pp.

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MINISTÈRE DE LA GUERRE (Artillerie) — Note sur les matériels d’artillerie lourde et les munitions qui leur sont afférentes approuvée le 4 juillet 1915. S.l., s.e., 1915 ; in12, 51 pp.

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[ORGANISATION DES MATÉRIELS D’ARTILLERIE] — ÉCOLE MILITAIRE DE L’ARTILLERIE — Cours d’organisation des matériels d’artillerie. S.l., École Militaire de l’Artillerie, 1922 ; in-4, 166, 45, 167, 59 pp.

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PLACE (Louis-Pierre-Henry de (pseud. Colonel Gun)) - L’artillerie actuelle en France et à l’étranger. Canons, fusils, poudres et projectiles. P., J.B. Baillière, 1889 ; in-16, 316 pp.

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PLESSIX (Capitaine d’artillerie H.) — Nouveau cours spécial à l’usage des candidats au grade de sous-officier dans les régiments d’artillerie. Paris, Librairie militaire de J. Dumaine, 1878 ; in-8, 516 pp.

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PLESSIX (Chef d’escadron d’artillerie H.) — Manuel complet d’artillerie rédigé conformément au programme du cours d’artillerie professé à l’École spéciale militaire et au programme d’admission à l’École supérieure de guerre. Paris, Librairie militaire L. Baudoin, 1883 ; in-8, Deux volumes, pagination continue XXII, 800 pp.

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PLESSIX (Chef d’Escadron H.) — Nouveau cours spécial à l’usage des candidats au grade de sous-officier dans les corps de troupe de l’artillerie. Paris, Baudoin & Cie, 1886 ; in-8, 694 pp.

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ROUQUEROL (Général Gabriel) — Le canon artisan de la victoire. Paris, Nancy & Strasbourg, Berger-Levrault, s.d. (vers 1920) ; in-4, 108 pp.

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VALLIER (Commandant) — L’artillerie. Matériel - organisation. France, Allemagne, Angleterre, Autriche-Hongrie, Italie, Espagne, Russie, Turquie, États-Unis, Japon, etc. Paris, Georges Carré et C. Naud, 1899 ; in-8, 272, 37 pp., 45 fig. et 11 tableaux in-texte.

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VALLIER (E.) — Projectiles de campagne, de siège et de place. Fusées. Paris, Gauthier-Villars, Masson, s.d. (vers 1885) ; in-12, 178 pp.

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VAUVILLIER (François) — Le 155 long de Bange, une pièce de siège et de place bat la campagne. [in : Guerre Blindés & Matériels (82) — 2008].

© Publication à compte d’auteur — Tous droits réservés Tous les clichés et figures sont issus des collections de l’auteur 1re édition — 2006 1re édition révisée — 2007 2e édition — février 2009 3e édition — octobre 2010 Dr BALLIET Jean-Marie Groupe Hospitalier du Centre Alsace — Hôpital A. Schweitzer 201 av. d’Alsace. BP 20129 F-68003 COLMAR CEDEX


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