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HABITER 3

Habiter 1 heure / Habiter la verticalitĂŠ, la pente, la longueur, entre ciel et terre. AmĂŠlie Garcia

Travaux / Atelier Marc Vaye

Automne 2015


Fish & chips Marc Vaye 2015 Acrylique sur toile 120cm x 90cm



“Le véritable voyage de découverte ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages mais à avoir de nouveaux yeux.” Marcel Proust


Habiter 1 heure A l’image de la chorégraphe Joanne Leighton* proposer un dispositif pour un veilleur ainsi défini :

Etre un moment suspendu à 28 mètres du sol. Etre comme un géant qui regarde la ville.

Etre présent. Etre acteur observateur. Questionner l’espace. Ouvrir son regard à perte de vue. Eprouver la rencontre entre notre corps et le paysage.

Tout commence par une ascension et un rituel : déposer son sac et son portable. Etre coupé du monde et hors du temps sinon cosmique.

Assister aux spectacles de l’aube et du crépuscule, c’est le privilège des marins, des aiguilleurs, des amoureux ou des gardiens. En ville, c’est même un spectacle assez rare pour des raisons de géométrie et de perspectives. Soixante minutes de veille chaque matin, soixante minutes chaque soir. Etre vu et observer la ville et les passants. Etre seul dans un abri, comme une sorte de tour de garde moderne.

Les horaires de veille sont très précis et calqués sur ceux du soleil donc évoluent au fil des mois et avec eux les perceptions des veilleurs. En vérité, il fait jour bien avant que le jour se lève et on sent le temps fuir par tous les points cardinaux selon les jours de l’année et la date de la veille. * Festival “Les tombées de la nuit”, Rennes, du 30 septembre 2012 au 29 septembre 2013, 729 personnes vont se relayer à l’aurore et au crépuscule pour veiller sur la ville.


Révolution cosmique /

Origami Amélie Garcia

Dispositif de captation de l’immatériel Fluctuation progressive de l’intensité lumineuse

Se perdre dans les méandres des ombr


Orientation Est-Ouest

res chinoises, compositions uniques chaque jour diffĂŠrentes



City view Kumi Yamashita 2003

VEIL Kumi Yamashita 2013

Feather Kumi Yamashita 2013

Maison Koshino T. Ando 1984

MUCEM Rudy Riciotti 2013

MusĂŠe juif Libeskind 1993/1998

DGT Architect 2015

Disco disco Haberdashery 2015

Primary Paris Flynn Talbot 2015








Poursuite du soleil Paul Hardy

Installation Nicolas MilhĂŠ


Ascension + Pincement du champ de vision






Nord Ouest

La route suspendue Huang Xianjie

Est

Nord Est

Sud


Création d’un patio et d’un observatoire panoramique




Parcours lumineux Wassim Faraji

Patio Couloir Linéarité Ouverture Lumière Intérieur / Extérieur Voir Vertige Intensité Liberté de circulation Etre vu





Monter pour voir et ĂŞtre vu Maylis de Reviers





ForĂŞt Pierre Vagnier





Parcours visuel Carole Saleh





CrĂŠer son espace Roxanne Makountz


Mouvement Changement Découverte Shoji Lumière Ambiances Espaces

Plans

Différentes configurations Panneaux




Vigie éphémère Julien Chalançon

Matériaux légers Structure démontable et transportable Voir la ville de partout Multiplicité des parcours Lever du soleil

Coucher du soleil


Vigie de voilier

Pavillon du BrĂŠsil Arthur Casas




Blur building Neuchatel Diller Scofidio + Renfro 2002

Les ailes du désir Boyoung Park

Gravitation Expérimentation Fluidité Continuité Espace ouvert Brouillard Existence Contemplateur Voir / Se voir dans le brouillard Plonger vers soi même Expérience comme un être divin Frontière entre deux espaces Ascension Au-delà





Capsules Auriane Bonnault Capsule / Enveloppe protectrice Protège du monde extérieur Deuxième vêtement Capsule noire Cocon / Aperçu / Etroit / Etouffant Confinement / Intimité / Taille humaine Découvrire l’au-delà / Début Capsule transparente Panorama / Ouverture / Dominer Isolement / Solitude / Etranger Délivrer du monde / Aboutissement





Breaking the surface Balkiss Lachiheb





Cellula vestibulum LĂŠopoldine Hacher de Bellaing





Habiter un nuage Alexis Millet

Labyrinthe Selga Canos


Concept

Architecture

Lieu imaginaire / Entre ciel et terre Recueillement / Observatoire S’exposer et se camoufler / Solitude Rêve / Expérience / Ascension

Légèreté / Volupté Aérien / Cocon Douceur / Informelle Déstructurée / Enveloppante

Léviathan Anish Kapoor




L’escalier Fatima Adam Amoumoun





Le perchoir Thomas Lazareff





Trouble triangulaire Kelly Fernandes



Perchoir Alexandre Moreau-Recoing



Contemplation panoramique RaphaĂŤl Pauschitz



Congo Kitoko 1926/2015 JP Mika Des jeunes artistes de la scène kinoise se proclament “peintres populaires” dès les années 70. JP Mika est le plus jeune de leurs représentants. Ses oeuvres reprennent la composition des portraits photographiques réalisés dans les années 60 dans certains studios de Kinshasa ou de Bamako et montre l’extravagance des nuits kinoises et du monde de la SAPE (Société des Ambianceurs et des Personnes Elégantes).





The Jungle / Wifredo Lam Wifredo Lam (1902 /1982) est Cubain, père chinois, mère hispano-africaine. Un métis engagé dans un voyage perpétuel, le constant exil de l’identité multiple. Madrid, Paris, Marseille, Martinique, La Havane, Caracas, Albissola, Zurich ont été les principales étapes de son errance où il rencontre successivement les avant-gardes cubistes et surréalistes. Picasso et Breton. Côtoie le poète de la négritude Aimé Césaire, l’écrivain Alejo Carpentier l’explorateur de la culture Afro-cubaine. Plus tardivement les membres du groupe CoBrA et le poète René Char. Wifredo est un moderne transcontinental, un médiateur entre les Amériques, l’Europe, et l’Afrique. Il réalise La Jungle en 1943 à Cuba “un poème barbare, monumental, superbe” selon les mots de Max-Pol Fouchet.



AndrĂŠ Breton Oscar Dominguez Wifredo Lam Dessin collectif 1940 encre de Chine, collages, crayon de couleur sur papier


AndrĂŠ Breton Wifredo Lam Jacqueline Lamba Dessin collectif 1940 encre de Chine, crayon de couleur sur papier


Hab Habiter la verticalitĂŠ Habiter la pente Habiter entre ciel et terre Habiter la longueur


biter Faire architecture correspond au Japon, mais aussi dans d’autres contrées, aux deux verbes “creuser” et “dresser”. “Creuser” est l’action la plus originelle, depuis l’habitat troglodyte semi-enterré jusqu’à la maison construite sur terre battue. Ces formes sont celles d’une culture de l’“asseoir” et du “dormir”, plutôt que celles d’une culture du “lever” et du “marcher”. Quant à l’acte de “dresser”, il est à l’origine de la formation des maisons aristocratiques. “Dresser”ne s’applique pas seulement aux poteaux et aux murs mais également aux pierres des jardins comme en témoignent les traités d’art des jardins. D’une manière plus générale, cette technique permet de créer un environnement dans lequel la frontière entre le bâtiment et le jardin est extrêmement fluide. Ce qui nous permet d’énoncer le concept de maison - paysage.


Habiter la verticalitĂŠ

Shibam, la Manhattan du dĂŠsert Hadramaout, Yemen (Patrimoine UNESCO) Fatima Adam Amoumoun


Garden & house, Tokyo, Ryue Nishizawa Julien Chalançon

Casatorre, San Gimignano, Toscane (Patrimoine UNESCO) Raphaël Pauschitz


Stacking Greenhouse, SaĂŻgon, Vo Trong Nghia Thomas Lazareff


Moriyama House, Ohta-ku, Tokyo Kazuyo Seijima & Ryue Nishizawa, SANAA, 2005. Amélie Garcia

4 X 4 house, Kobe, Tadao Ando Thibault Goupil


Fira, Santorini Alexis Millet

Habiter la pente Casa rural, Espagne, RCR Arquitectes Paul Hardy


Casa Tolo, Alvaro Leite Siza Vieira Kelly Fernandes


Fallingwater house, Mill Run Frank Lloyd Wright Auriane Bonnault

Casa en Mallorca Alvaro Siza LĂŠopoldine Hacher de Bellaing


Rokko Housing I II III Kobe Tadao Ando 1981/1998 Boyoung Park


Olnick Spanu house, Garrison, New-York, Alberto Campo Baeza Xianjie Huang

Habiter entre ciel et terre

Azuma house, Osaka, Tadao Ando Pierre Vagnier


Yaodong, maisons du fleuve jaune Balkiss Lachiheb

Guerrero house, Vejer, Cadiz, Alberto Campo Baeza Carole Saleh


Rufo house, Toledo, Alberto Campo Baeza Wassim Faraji

Habiter la longueur

Fletcher - Page House,Kangaroo Valley, Glenn Murcutt Alexandre Moreau-Recoing


Maison Jean ProuvĂŠ, Nancy Roxane Makountz


Habiter entre ciel et terre La notion d’habitat entre ciel et terre évoque l’idée du changement, de fréquences dans l’habitation. Ceci est représenté notamment par l’ambiguïté entre l’intérieur et l’extérieur exprimée par des ouvertures : terrasses, patios, puits de lumière, jardins. Cela permet à la fois une sensation d’isolement et une proximité avec l’espace public. Ainsi, on constate un rapprochement de la nature dans ces habitats, voire une implémentation de ceux-ci dans la nature. Cette forme d’agencement permet des possibilités spatiales qui génèrent des circulations variées dans l’espace. La lumière naturelle est une caractéristique essentielle. Elle amène des ambiances et redessine l’espace intérieur. C’est le

lien qui unit ciel et terre dans la maison. Ces différents éléments offrent une ouverture du regard. L’habitant est à la fois “ici” et “là-bas”: il est enveloppé mais n’est pas enfermé. Néanmoins, ce type de projet nécessite en général un espace conséquent et des conditions climatiques et topographiques particulières. L’isolement provoqué par l’implantation de l’habitat dans le contexte naturel peut engendrer un manque de contact avec l’entourage. La relation verticale terre-ciel inhibe les relations sociales horizontales. Habiter entre ciel et terre, c’est habiter un espace transcendé par le caractère de son environnement.

Balkiss Lachiheb


Cradle house Ghomrassen, est une municipalité de 11 380 habitants située au sud de la Tunisie. C’est une ville au climat semi-desertique avec une température moyenne de 22°C construite à l’emplacement d’un ancien oasis. Le développement urbanistique de la ville a engendré la disparition de la majeure partie des puits d’irrigation, ainsi que l’oasis.

Espaces partagés

Espaces privés

Fonction

Espaces intermédiaires

Circulation

Puits de lumière










Habiter la verticalité Entrez dehors Le terrain se situe dans le Sud de la France sur les côtes méditerranéennes à Six-fours les plages. Le climat y est agréable : l’été chaud et sec et l’hiver doux et humide. La température oscille en moyenne entre 6 et 30°C. La région est très ensoleillée avec une moyenne de 2 900 h/ an de soleil. Il ne pleut que rarement. La nature est très présente dans le quotidien des Six-fournais. La ville est très fleurie et jouit de nombreuses forêts, plages, criques ainsi que de très beaux ports. Le climat favorise le mode de vie de ses habitants qui ont tendance à vivre dehors et privilégier des activités avec vue mer/foret. Le projet se situe en forêt sur le flanc d’une colline face à la mer et proche d’un ruisseau. La parcelle est totalement défrichée et comporte un accès à un sentier de randonneur. Nous sommes orienté Ouest. Nous profitons donc du spectacle du couché du soleil.

Amélie Garcia



















Habiter entre ciel et terre Cette maison est conçue pour une famille de quatre personnes. Elle contient un salon, une cuisine, une loggia, quatre chambres, trois salles de bains, toilettes et jardin. L’extérieur est ici implanté à l’intérieur de l’habitat. Le jardin est au centre de l’espace et les pièces sont organisées autour. La circulation entre ces dernières s’effectue par l’extérieur. Afin de mettre en exergue les caractéristiques de l’habitat entre ciel et terre, trois décisions architecturales sont notables : L’isolement horizontal au monde extérieur. L’habitat est caché dans son enveloppe, et un sas le sépare de l’espace public. Toutes les fenêtres sont dirigées vers le jardin central. Le corps d’habitation est construit en vasque, “versé” vers le centre. Les toitures et la succession des coursives sur les deux niveaux donne ainsi de l’importance à ce “dehors”, ce jardin, placé “dedans”. La loggia du rez-de-chaussée est formée par l’effritement progressif des intérieurs qui la bordent. C’est l’ambiguité pièce/jardin. Les murs sont visuellement aspirés vers l’unique percée de la façade aveugle. Cette verticale, accentuée par la prise de hauteur du bureau, laisse entrevoir les bleus de la mer et du ciel. Elle symbolise l’ascension de la terre au ciel.

Pierre Vagnier


Croatie Ile de Hvar








Habiter la verticalitÊ Inside house Julien Chalançon







Habiter la pente Naked house Huang Xianjie







Habiter la pente Invitation du paysage à l’intérieur Adaptation à la topographie Rencontres des espaces composants Ouverture entre l’espace extérieur et l’espace intérieur Jeux de lumière Habiter la pente, c’est plutôt une manière qui s’applique à la superposition de chaque module, au lieu de juxtaposer les espaces verticalement ou horizontalement : espace privé, espace public, passage. Le logement en pente élargit la limite des compositions spatiales. Au fur-et-à-mesure que la division entre l’espace privé et l’espace public se superpose, cela fournit la pluralité des formations d’espace. Elle offre des variations par rapport au paysage avec une diversité de vues. Le plus important, c’est de pétrir, cet élément fondamental de l’architecture qu’est la lumière et ceci selon les nécessités des usagers.

Park Boyoung











Habiter la pente Bersurukan Labyrinthe, jeu de cache cache, ouvertures, intérieur-extérieur. La problématique de ce projet repose sur l’association de jeux de cache-cache verticaux et horizontaux pour permettre différents points de vue, créer des zones d’intimité, et mettre en valeur une circulation. Les pièces se chevauchent et s’étendent sur plusieurs niveaux correspondant aux différentes strates de la rizière. Il s’agit de vivre avec elle, d’aménager la rizière afin de permettre aux habitants d’entretenir une relation particulière avec leur environnement. Un autre défi était de concilier l’idée du labyrinthe avec celle des ouvertures. C’est à dire renforcer le contraste entre cloisons et vides. De nombreux chemins se succèdent et donnent sur des espaces ouverts sur la nature grace aux larges baies vitrées qui encerclent la maison, provoquant ainsi une sensation chez l’individu qui ne distingue plus les limites de l’espace dans lequel il vit. Une croyance balinaise consiste à penser que le monde fonctionne selon des principes binaires et vise toujours à assosier deux forces opposées. Je me suis inspirée de cette croyance en considérant les pièces communes et les pièces privées comme opposées. Elles se rejoignent par un troisième module qui permet la transition entre ces deux dimensions. Aussi, plus on descend, plus on accède à un degré supérieur d’intimité.

Auriane Bonnault









Habiter la longueur


Roxanne Makountz




Habiter la longueur Villa Jabal Imlil Créer un habitat en lien avec l’architecture des maisons environnantes Ramener le travail au sein même de l’habitat Apporter une vue panoramique sur l’environnement Rendre le parcours intérieur intéressant Travailler l’opposition public/privé Concilier intimité et lumière

Wassim Faraji









Habiter entre ciel et terre La Villa Patio Kirène Sénégal La notion d’habitat entre ciel et terre évoque l’idée du changement de fréquences dans l’habitation. Ceci est notamment représenté par l’ambiguïté entre l’intérieur et l’extérieur exprimée par des ouvertures : terrasses, patios, puits de lumière, jardins. Cela permet à la fois une sensation d’isolement et une proximité avec l’espace public. Cette forme d’agencement permet des possiblités spatiales qui génèrent des circulations variées dans l’espace. La lumière naturelle est une caractéristique essentielle. Elle amène des ambiances et redessine l’espace intérieur. C’est le lien qui unit ciel et terre dans la maison. Ces différents éléments offrent une ouverture du regard. L’habitant est à la fois ici et là-bas. Il est enveloppé mais n’est pas enfermé. Néanmoins, ce type de projet nécessite un espace conséquent et des conditions climatiques et topographiques particulières. L’isolement provoqué par l’implantation de l’habitat dans le contexte naturel peut engendrer un manque de contact avec l’entourage. La relation verticale terre-ciel inhibe les relations sociales horizontales. Habiter entre ciel et terre, c’est habiter un espace transcendé par le caractère de son environnement. L’année climatique est divisée en deux saison. La saison sèche, de novembre à mai, et la saison des pluies de juin à octobre. Le climat se constitue de 3 flux principaux. Le premier est représenté par l’alizé maritime de direction Nord-Nord Est. Il est constamment humide, frais voire froid en hiver. Le deuxième d’octobre à mai,


l’harmattan, de direction Est dominante, est caractérisé par une grande sécheresse liée à son long parcours continental. Frais ou froid la nuit, il est chaud à torride le jour. Le troisième flux, est la mousson. Elle bénéficie d’un très long trajet maritime qui la rend particulièrement humide. Elle pénètre dans le pays en période estivale selon une direction Sud Est-Nord.

Carole Saleh






Habiter la pente Skraningen House Oslo, Norvège


Située dans les hauteurs de la ville d’Oslo en Norvège et à proximité du parc national protégé de Voksenkollen, la maison bénéficie d’un environnement sauvage tout en étant à quelques stations de métro du centre ville. Disposant d’une vue dégagée sur le paysage scandinave, elle est entourée par les arbres et par la neige plus de six mois par an, offrant donc une configuration propice à la pratique des sports d’hiver. L’escalier agit ici comme la structure sur laquelle viennent se poser les différents programmes, il invite l’usager depuis la rue jusqu’à la piscine et se devine de l’exterieur. Sa taille lui donne une place monumentale dans la configuration de la maison qui le détourne de sa fonction principale d’espace de transition.

Paul Hardy




Habiter la longueur Alexandre Moreau-Recoing





Habiter la verticalité Aghiwan Timia Niger Nomade Liberté Mouvement Tradition Climat Fragmenter un espace et le prolonger afin de créer des espaces favorisant le mouvement invitant l’habitant a se déplacer. Les niveaux de différentes hauteurs permettent la circulation de l’air mais suggerent aussi un déplacement vertical. La forme labyrinthique dévoile ou cache certains espaces, poussant l’habitant à explorer.

Fatima Adam Amoumoun











Habiter la pente Entre intĂŠrieur et extĂŠrieur Alexis Millet







Habiter la pente Casa Douro Kelly Fernandes









Habiter la pente LĂŠopoldine Hacher de Bellaing







Habiter la verticalitĂŠ Extension Thibault Goupil





Habiter la longueur Alice Lhardit



Habiter la verticalitĂŠ Thomas Lazareff



Habiter la verticalité Raphaël Pauschitz





#12 Habiter 3 Habiter 1heure Habiter la pente, la verticalité, la longueur, entre ciel et terre Travaux / Atelier Marc Vaye Automne 2015 Assistante Loubna Touzani Invité du jury Gaston Tolila Cycle Licence semestre 2 Fatima Adam Amoumoun Auriane Bonnault Julien Chalançon Maylis de Reviers Wassim Faraji Kelly Fernandes Amélie Garcia THibault Goupil Léopoldine Hacher de Bellaing Paul Hardy Huang Xianjie Balkiss Lachiheb Thomas Lazareff Alice Lhardit Roxanne Makountz Alexis Millet Alexandre Moreau-Recoing Park Boyoung Raphaël Pauschitz Carole Saleh Pierre Vagnier

École Spéciale d’Architecture


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