#7 Habitats de Cyborg 1

#7 HABITATS DE CYBORG 1 SOHO & Maison dĂŠlicieuse

Soho / Monica Khoury Klink

Travaux / Atelier Marc Vaye

Printemps 2013

Vibration jaune 1965 Peinture acrylique sur bois et métal, fils de nylon, 106 x 106 x 20 cm.

Jesus Rafael Soto (1923/2005) L’artiste vénézuelien établi à Paris est un des représentants de l’art cinétique.

Ses travaux cherchent à représenter la fluidité du temps et de l’espace, à capter le mouvement perpétuel du réel.

From: Marc Vaye [mailto:marcvaye@xsitu.net] Sent: Monday, April 15, 2013 12:25 PM To: Picon, Antoine Subject:demande de participation à un jury Monsieur Antoine Picon, Une de mes élèves, amie de votre fille, m'a communiqué votre adresse mail, je vous adresse donc une requête. J'enseigne à l'Ecole Spéciale d'Architecture (atelier de projet, S2) et je souhaite vous inviter, si votre disponibilité vous le permet, au jury de fin de semestre qui se déroulera le lundi 10 juin à 14h dans les locaux de l'ESA. Le sujet du projet s'intitule "L'habitat de Cyborg". Il s'agit d'un récit où Cyborg pratique la multirésidence et dispose à Paris d'un SOHO (Small Office HOuse) et d'une Maison délicieuse située à l'autre bout du monde. C'est aussi une réflexion sur les microarchitectures. Cyborg étant une de vos créatures, votre participation au jury serait un honneur, pour les élèves, l'ESA et moi-même. Je reste à votre disposition pour tout complément utile, et dans l'attente je vous prie de bien vouloir accepter mes sincères salutations.

Marc Vaye

De : Objet : Date : À:

apicon@gsd.harvard.edu RE: demande de participation à un jury 17 avril 2013 15:54:50 HAEC marcvaye@xsitu.net

Cher Collègue, Cela aurait été avec grand plaisir, mais je dois donner une conférence le 10 juin et je ne suis pas libre en conséquence.

Croyez-bien que je le regrette. Bien cordialement.

Antoine Picon

Qui est Cyborg ?

Hybride d’homme et de machine, individu parfait parce que rendu pleinement autonome par la technologie, Cyborg est une fiction, un mixte d’imaginaire, de pratiques et de réalisations concrètes. Le terme, contraction des mots cybernétique et organisme, désigne une intégration de type nouveau entre l’homme et la machine.

comme par exemple pour l’automobiliste de Crash (James G. Ballard 1973), un mixte de chair et de mécanique né de l’accouplement de chair meurtries et de tôles froissées. La présence d’un cerveau biologique ainsi que le respect de schèmes corporels sont la ligne de démarcation entre Cyborg et le robot.

Cyborg est né en 1960 dans une revue d’astronautique, l’article signé de Manfred Clynes & Nathan Kline est titré Cyborgs and space. Cyborg est donc né, non pas d’un désir d’étoiles, d’une rêverie, mais d’un projet technique : échapper au milieu humain. Cyborg est donc un être qui n‘a plus besoin de la Terre, il a franchi les murs de cette niche écologique. En revanche, il ne peut se passer des machines qui sont devenues ses prothèses. Cyborg est un être mécanisé par son monde mécanique. L’ambition de fusion entre l’homme et la machine est à l’œuvre dans la thématique de Cyborg

Cyborg est un surhomme mais sans échapper à la condition humaine, en passe de devenir machine mais aussi définit par sa capacité de résistance à cette machinisation. Comme tout hybride, comme le Sphinx ou l’ange, Cyborg suscite à la fois désir et effroi. Il a vocation à se définir par rapport aux frontières qu’il transgresse, c’est une figure de l’interférence et de la médiation.

Cyborg est la forme achevée de l’individu : autonome, solitaire, libre de toute attache… mais tributaire des techniques et nostalgique.

Habitats de Cyborg Où habite Cyborg ?

Dans un monde où les frontières entre naturel et artificiel s’effondrent, une technonature, entouré de beaucoup de machines, Cyborg vit dans l’urbain diffus, dans la ville territoire. Discontinue, celle-ci est le produit de la juxtaposition de séquences spatiales et fonctionnelles autonomes, c’est un paysage d’événements, fragmentaire, contrasté, plein de surprises, répétitif.

Plug-in city, Walking city d’Archigram, où l’humanité est branchée sur de multiples réseaux. Non stop city d’Archizoom, où la forme architecturale est réduite à une enveloppe pauvre. Il monumento continuo de Superstudio, où le bâti disparaît au profit d’un maillage régulier de la planète par des réseaux sur lesquels se branche une population nomade.

La ville territoire est marquée par l’absence de limites, le hors échelle, l’itération, le manque de lisibilité, la prédominance du temporel sur le spatial. Chaos programmé, le corps de la ville territoire n’a plus rien de commun avec la conception anthropomorphique tant des édifices que de l’agglomération. Dans un tel paysage, il n’est plus question de composition urbaine où les maisons et la ville forment un tout organique. Ici au contraire chaque bâtiment, isolé, vit de son existence propre. L’élément de cohésion, c’est le tapis vert sur lequel il repose et le réseau voyer.

Un monde artificiel où réel et imaginaire, passé et présent se téléscopent, un monde circulatoire à base de juxtapositions et de contrastes violents, d’événements planifiés et d’émotions provoquées, comme dans un parc à thème. Une ville où l’impact des infrastructures et réseaux rend l’architecture, l’art urbain et la planification, secondaires, nostalgiques, dérisoires. Dans cet univers cloisonné, marqué par la multiplication des frontières, seuils, points de passage et interfaces, les figures dominantes sont la clôture, le branchement, la nappe, la texture, l’interconnexion.

SOHO

MACHINE AUTOM

La multirésidence de Cyborg L’habitat de Cyborg n’est habitable que par le truchement de la machine qui matérialise les mythes qui l’ont conduit vers cet habitat : le véhicule automobile. Cet habitacle autonome qui prolonge le cocon de l’espace domestique dans l’inquiétante étrangeté de l’espace public.

Circuler dans le désert du Taklamakan ou sur Broadway, c’est être dans le même espace, le seul qui compte, celui de la mondialisation. Le véhicule incarne l’espace sauvage en pleine ville, incarne le désir d’ascèse érimitique de Cyborg.

Cyborg est donc la figure de la combinaison véhicule/pavillon. Son habitat caractérise un genre de vie grand consommateur d’espace et d’énergie. Il aspire à le situer dans le paysage pour y mener une vie d’éternel touriste, à être en contact direct avec la nature, sans l’intermédiaire du travail, dans une jouissance libre et contemplative. Mais Cyborg préfère se déclarer nomade plutôt qu’ermite.

Cyborg est un jeune urbain professionnel indépendant qui pratique la multirésidence, c’est-à-dire un triptyque qui comprend un Small Office HOuse, une Machine automobile et une Maison délicieuse.

Le SOHO est compact, acosmique (orientation et fondations sont souvent maltraitées), situé au cœur de la ville dont il parasite un bâtiment existant ou un vide de l’espace urbain, qu’il soit public ou privé. En réalité Cyborg a choisi l’emplacement pour son accessibilité et la vue sur la ville.

Le SOHO appartient à l’univers des micro architectures. La tendance généralisée à l’exiguïté de la cellule domestique conduit à considérer ce thème comme une approche et un champ d’action des plus pertinent à la jonction de l’architecture, du design, voire de certaines expressions artistiques.

MAISON DELICIEUSE

MOBILE

C'est une question "à la frange", située dans le hors champ de la discipline et qui invite à "être hors sujet" pour nourrir et redéfinir le sujet. En résumé, c’est un territoire d’expérience.

Enfin la Maison délicieuse perdue au bout du monde répond à la fois à ses attentes les plus archaïques et ses désirs les plus intimes.

Elle incarne à ses yeux un paradis terrestre, à l’image de la cabane des origines.

Le SOHO cible à la fois le domaine de l'intime et de l'individuel. L'intime individuel, c'est la question de la seconde peau.

La miniaturisation ramène l'architecture à une échelle plus humaine démultipliant ainsi nos capacités d'interaction avec elle.

Cyborg est séduit par le double et paradoxal mouvement qu’elle autorise : celui de repli et d’ouverture. C’est le miracle de la proximité lointaine ou de l’horizon proche, l’alliance ineffable de l’intérieur et de l’extérieur, le filtre-philtre, le filtre qui épure sons et lumières, le philtre qui transforme les trivialités du quotidien en rumeur du bonheur et fait aimer le monde en lui restituant à la fois distance et intimité.

Cyborg sera attiré par la complexité des plans, la richesse des détails de construction, ainsi que par la sensualité des matériaux ou des jeux des formes.

Concernant la Machine automobile nous savons seulement que Cyborg a recours à un service universel qui lui permet de pouvoir disposer du véhicule adapté à chaque situation concrète, ce qui permet un large choix de véhicules.

La Maison délicieuse est en prise avec son contexte, elle qualifie le paysage plus qu’elle ne s’y intègre. Elle permet d’entretenir la mémoire et les savoirs faire tout en innovant.

La Jonction et le Refuge Implanté sur le toit d’une villa recouverte d’une végétation proliférante, le Soho qui reprend ce thème végétal est fondé sur un rapport de confusion entre l'intérieur et l'extérieur, entre le privé et le public et composé de différents modules.

La Maison délicieuse est isolée et enterrée, près de Falaya sur les hauteurs du Mont Liban. Après avoir emprunté un long escalier en colimaçon, la grande salle se projette dans le vide et s’ouvre sur le paysage grâce à un prisme vitré. Autour d’elle s’articulent d’autres pièces toutes éclairées par des puits de lumière. Dans ce cocon anguleux, la lumière tombe du ciel.

Monica Khoury Klink

La maison modèle, la maison modelée L’homme robot n’est pas seulement connecté, il incarne son époque. Acquérir une friche et jouir de la vue de l’herbe et des buissons. Habiter la verticalité. Le Soho est un espace intime qui se développe dans la hauteur, exigu en surface et qui se glisse dans un espace résiduel entre plusieurs bâtisses. Sa Maison délicieuse, située à Num, un village népalais de 2500 âmes, comble ses attentes de vie communautaire et d’environnement naturel. Deux résidences antithétiques pour un cyborg incertain.

Lucile Odin

Dedans - dehors

Paris / Séoul Paris, c’est d’abord la Seine, ici près du Louvre, ses quais et leurs parapets, une éloge de l’horizontalité. Le Soho est ourlé d’un espace extérieur à la façon d’un engawa. La Maison délicieuse, située près du Château Chang Duk à Séoul, est une figure inverse, une réinterprétation de la maison traditionnelle coréenne, elle s’enroule autour d’un patio central. Dans les deux cas, la fluidité est recherchée.

Suk-Jae Ko

Duo Harold Macdonald & Arthur Henry

Refuge Harold Macdonald

Arthur Henry

Objet de design / Objet escamoté Le Soho, situé à langle du boulevard Pasteur et de la rue de Vaugirard dans le 15e arrondissement de Paris, est posé sur un toit et s’accroche en porte-à-faux sur un mur pignon aveugle. C’est un duplex inversé, un objet de design qui s’affirme dans son contexte. Lovée dans le pli du relief, accessible par une faille en rampe et dotée d’un toit végétalisé, la Maison délicieuse située à Gulfoss en Islande, au pays de l’aurore boréal, cultive la disparition comme thème. L’intérieur rassemble tous les raffinements de la technologie, une large baie vitrée permet de plonger le regard dans l’immensité du paysage.

Lana Portalier

L’Observatoire / Le Grand large Le Soho situé sur un toit, au 36 avenue Duquesne dans le 7e arrondissement de Paris, dispose d’une vue panoramique. C’est un observatoire qui s’inspire de la fonction oblique de Claude Parent et Paul Virilio. Les espaces sont stratifiés verticalement du public vers l’intime. La Maison délicieuse, située en contre bas de la citadelle de Calvi et accessible par bateau, a les pieds dans l’eau. Elle offre l’horizon à la vue.

Marie Girolami

Entre-deux Le Soho est situé entre interface entre le parc Ferdinand Brunot et le parvis de la mairie du 14e arrondissement de Paris. De conception modulaire c’est un pavillon léger de trois niveaux, de type container, implanté dans les arbres et où la lumière tombe du ciel, un entre-deux. Sa Maison délicieuse, un pied a terre de 16m2, se situe sur l’archipel des Scilly, au large de la Grande-Bretagne. Le site offre un microclimat inattendu et est accessible en bateau par un ponton privé qui se prolonge au-dessus de la végétation sauvage, sans l'abimer et relie la maison, l'impluvium et la route.

Gaëlle Collet

Une vie cachée & Flottant HBT Le Soho, accroché à la coulée verte dans le 12e arrondissement, développe le thème de la verticalité, c’est un rapport au ciel, un accès par passerelle depuis le toit de l’immeuble voisin et par le haut. C’est un parcours descendant vers la lumière où s’enchainent le bureau en mezzanine puis l’espace domestique. Une cabane insolite perchée sur pilotis, de faible impact sur la parcelle, qui semble flotter au-dessus de son contexte. Cyborg rejoins à pied la gare de Lyon où un TGV le mènera à Avignon où l’attend, amarrée, sa Maison délicieuse flottante qui le transportera lentement à son lieu de villégiature sur les berges de l’Ardèche. C’est un espace interne fluide, dotée d’une bande active et largement ouvert sur le paysage.

Clara Lhermitte

Soho / SĂŠquences du parcours

Maison dĂŠlicieuse / SĂŠquences du parcours

Bande active

Discrétion La Maison délicieuse, située près d’Aden au Yemen, dans une région de hauts plateaux, est une réflexion sur la verticalité dans sa confrontation avec un territoire en terrasse. Elle vise avec les matériaux traditionnels, la pierre, à proposer une réinterprétation contemporaine des modèles locaux.

Raphaël Caizergues

Tour organique / Ecran naturel Situé 11 rue Gazan dans le 14e arrondissement de Paris, le Soho bénéficie à la fois de la vue et de l’usage du Parc Montsouris. Perché sur pieds et sur le toit d’une maison de ville, il est doté d’une deuxième peau végétalisée. La Maison délicieuse est plongée dans l’immensité du territoire du Sognefjord en Norvège, là où les perspectives du paysage renvoient aux perspectives intérieures. Accrochée à la pente, elle s’inspire de l’architecture vernaculaire en bois.

Noémie Wilson

Containers & Curtain house Cyborg valorise le nomadisme et se dote de deux containers, d’un Soho transportable et installable de façon éphémère sur les toits de Paris pour se rapprocher de ses lieux de prédilection. La Maison délicieuse a les pieds dans la lagune de Moorea, une île de la Polynésie française. C’est un hommage à la Curtain house de Shigeru Ban. Stéphanie Assous

Hommage à Mathias Goeritz Face à la Seine et au parc André Citroën, dans le 16e arrondissement de Paris, le Soho dispose d’une vue magnifique, il s’accroche aux volumes strictes des cheminées qui émergent en toiture et adopte les courbes comme moyens d’offrir des vues panoramiques. La Maison délicieuse est implantée en Ombrie, en Italie, une région riche de son histoire, à flanc de colline et entourée de vignobles et d’oliviers. Elle est composée d’un espace principal à vivre autour duquel gravitent cinq annexes monofonctionnelles de forme tronconique, inspirée des travaux de Mathias Goeritz, qui prennent la lumière au zénith.

Jérémie Munoz

Cube extrudé / Igloo creusé dans la glace Le Soho, situé 16 rue Marcadet dans le 9e arrondissement de Paris, sur le toit du Grand Orient de France, se développe sur trois niveaux et s’inscrit dans un cube de 7,5 m de coté qui sera extrudé, un simplex surmonté d’un duplex. L’escalier d’accès au deuxième niveau dessine un patio qui prolonge le bureau. L’espace domestique s’inscrit dans un cube de verre, dans lequel s’insère un cube opaque, les pièces de nuit. La Maison délicieuse située dans l’Antarctique, une terre inhospitalière et inhabitée est une transposition de l’igloo des Inuits et pour partie creusée sous la glace.

Léo Le Goff

Parisserre Le Soho, s’adosse à un mur aveugle dans une parcelle résiduelle située derrière la gare Montparnasse, c’est un hommage à la maison Latapie de Lacaton Vassal, un volume à vivre enchassé dans une serre dotée d’un jardin d’agrément. Fondée sur le même thème, la Maison délicieuse se situe à la lisière de la ville et de la forêt de Rambouillet, fermée coté rue, et ouverte coté forêt au sud. Un jeu de cloisons amovibles permet de clore une partie de l’espace de circulation de façon à améliorer le confort dans les périodes hivernales.

Jean-Baptiste Roudeix

Volume primaire / Composition hybride Le Soho est un duplex, un volume simple, ourlé au niveau supérieur par une terrasse et posé sur une plateforme en bordure du Champ de Mars, avenue du Général Ferrié. Un lieu propice au calme où la lumière pénètre par des hublots de taille et de positions aléatoires en fonction des usages qui se tiennent derrière. La Maison délicieuse, située à Dalhla dans le Sahara Occidental, est un hybride entre la tente bédouine, la maison cubique de terre cuite et le pavillon lacustre accessible par ponton.

Lyna Sebti

Clone / In Box Situé au 36 quai Henri IV dans le 4e arrondissement de Paris, le Soho couronne un immeuble dont il prolonge la modénature tout en dissimulant à l’arrière un patio jardin autour duquel le programme s’enroule. La Maison délicieuse, située à Koh Phi Phi dans un archipel d’îles en mer Andaman en Thaïlande est un plateau ouvert et largement ventilé doté de meubles habitables, une robinsonnade inspirée de la tradition vernaculaire locale.

Kim Caliot

Panorama / Marcher au milieu des arbres Situé au Vert-Galant, le Soho bénéficie d’un emplacement stratégique au centre de Paris et d’une vue unique sur la Seine et le pont des Arts, c’est à la fois une tour fine sur pilotis et une proue couronnée d’une terrasse. Située à Lake Placid, état de New-York, la Maison délicieuse est fragmentée en quatre éléments posés sur pilotis et reliés par des passerelles qui se faufilent entre les arbres et offrent une vue dégagée à l’horizon.

Folco Lhardit

Pierre Chavalle

Folie manquante Le parc de la Villette conçu par Bernard Tshumi est fondé sur les thèmes “points, lignes, surfaces”. Les folies, collection de figures et programmes diverses dessinées sur la base d’un vocabulaire similaire occupent chaque intersection de la trame.

Un point reste libre, le Soho répond à la folie manquante. La Maison délicieuse, située sur l’île d’Aix décline sur tout un territoire le même vocabulaire des folies.

Charly Théophile

Habiter au bord de l’eau Située en Inde dans le Kerala au bord d’un canal d’irrigation et de navigation, la Maison délicieuse tisse un rapport étroit avec l’eau et le vent. Composition ouverte, haute sous plafond, elle s’organise en deux poles autour d’un patio central, et distingue un espace intime et un ouvert aux visiteurs.

Sarah Lesueur Mimrane

Small Suspended Office House Bubble House ClĂŠment Delage

Ghali Lahlou

#7

Habitats de Cyborg Printemps 2013 Atelier Marc Vaye Invités du jury Maquettes

Assistant François Le Pivain Jean-Claude Moreau Mathieu Gres Julien Vernay Léa Laulhère avec le concours de Jérémie Bonachera

Cycle Licence Semestre 2 Stephany Assous Pierre Chavalle Marie Girolami Suk Jae Ko Sarah Lesueur Mimrane Harold Macdonald Lana Portalier Charly Théophile

Raphaël Caizergues Gaëlle Collet Arthur Henry Ghali Lahlou Folco Lhardit Jérémie Munoz Jean-Baptiste Roudeix Noémie Wilson

Kim Caliot Clément Delage Monica Khouri Klink Léo Le Goff Clara Lhermitte Lucile Odin Lyna Sebti

École Spéciale d’Architecture