4 minute read

CONTRIBUTEUR.RICE.S

CONTRIBUTEUR·RICES

Joëlle Lehrer

JOURNALISTE

Joëlle est la nouvelle rédactrice de coordination de Marie Claire Belgique.

D’OÙ VENEZ-VOUS?

«Je suis née à Bruxelles un jour de plein été, un 4 juillet, c’est mon côté Independence Day... J’adore ma ville mais j’adore aussi voyager.»

POURQUOI FAITES-VOUS CE MÉTIER?

«J’ai toujours voulu être journaliste parce que c’est un métier de plume, de curiosité, de recherches et de rencontres où l’on ne cesse d’apprendre.»

VOTRE MOMENT PRÉFÉRÉ PENDANT LA RÉALISATION DE CE MAGAZINE?

«J’ai pris plaisir à découvrir et à éditer les reportages et enquêtes qui se trouvent dans ce numéro de septembre. Et bien sûr, j’ai adoré pouvoir interviewer longuement Tamino, l’un des talents les plus hype de la scène belge. Et sur les tendances de la mode pour l’automne-hiver, je suis désormais incollable!»

QUI VOUS INSPIRE?

«Mes inspirations sont multiples et passent de Mariella Righini, une ancienne journaliste au Nouvel Obs, à Meryl Streep, qu’on ne présente plus et que j’ai eu la chance d’interviewer à L.A., il y a quelques années. Avoir autant de talent, d’intelligence et de simplicité, c’est ça la classe absolue. Mais la nouvelle génération m’inspire également comme la Belge Claire Laffut que l’on retrouve dans les pages de ce numéro.»

Ilja De Weerdt

STYLISTE

Ilja s’est chargée du stylisme du shooting de notre cover avec la mannequin Anouck Lepère.

D’OÙ VENEZ-VOUS?

«Je suis née et j’ai grandi à Gand. J’y retourne volontiers pour voir mes amis et ma famille, mais je vis aujourd’hui à Anvers.»

POURQUOI FAITES-VOUS CE MÉTIER?

«Petite, j’étais déjà passionnée par la mode et j’adorais faire des collages. À coups d’expérimentations, j’ai pu faire de mon hobby mon métier. Au fil du temps, l’industrie de la mode est devenue un secteur difficile. Par ailleurs, j’adore danser!»

VOTRE MOMENT PRÉFÉRÉ PENDANT LE SHOOTING DE LA COVER?

«Alors qu’Anouck sautait et courait dans les champs, elle a accidentellement perdu une chaussure au fond d’un ravin plein de chardons. Notre photographe Emil a eu la gentillesse d’aller la rechercher. Notre métier n’est pas de tout repos!»

QUI VOUS INSPIRE?

«Je marie les influences de la rue à celles de la musique, du cinéma, des autres cultures... Notre environnement est une source inépuisable d’inspiration. Et bien sûr mes amis proches qui travaillent sur une belle plateforme internationale.»

Kim De Craene

JOURNALISTE

Kim est la nouvelle journaliste beauté & lifestyle de Marie Claire.

D’OÙ VENEZ-VOUS?

«Après dix ans passés à São Paulo, je suis de retour à Anvers. J’ai donc vécu au Brésil pendant près d’un quart de ma vie. Ça me rend un peu Brésilienne!»

POURQUOI FAITES-VOUS CE MÉTIER?

«J’écris des articles sur des sujets de société, ainsi que sur la musique, la beauté, les hotspots pour un magazine centré sur les femmes, réalisé avec humour, classe et style: un travail de rêve.»

VOTRE MOMENT PRÉFÉRÉ PENDANT LA RÉALISATION DE CE MAGAZINE?

«J’en ai plusieurs. La balade à vélo le long du canal de Bruxelles par une journée d’été ensoleillée avec les sagesfemmes de Wheel of Care, le shooting de mon portrait officiel pour Marie Claire avec un joli make-up et de beaux vêtements, la découverte du nouvel album de Hot Chip (que j’ai écouté en boucle une centaine de fois).»

QUI VOUS INSPIRE?

«Il y a quelques années, j’ai lu What Would Audrey Do? C’est un petit livre sympa qui utilise des exemples de la vie de l’actrice Audrey Hepburn pour donner des conseils sur les relations, la mode, le travail. Depuis lors, face à un dilemme, je me demande souvent Que ferait Audrey? Elle incarnait l’élégance et le glamour, elle a survécu aux difficultés avec grâce.»

Elke Binnemans

CHEVEUX ET MAKE-UP ARTIST

Elke s’est chargée du maquillage et des coiffures du shooting de la cover.

D’OÙ VENEZ-VOUS?

«Je suis née à Genk et j’ai grandi à Opoeteren, en pleine nature. Nous habitions juste à côté d’une forêt, c’était le paradis sur terre quand j’étais petite. Mais pendant mes études, il est apparu clairement que j’étais plutôt une citadine. Aujourd’hui, je vis à Anvers, mais je retourne régulièrement dans le Limbourg.»

POURQUOI FAITES-VOUS CE MÉTIER?

«Enfant, j’étais déjà fascinée par ma poupée de maquillage, et mes Barbie étaient régulièrement relookées. Mais j’ignorais que c’était un vrai métier. Pendant mes études en photographie, j’ai découvert la coiffure et le maquillage, et j’ai immédiatement su que je voulais continuer dans cette voie.»

VOTRE MOMENT PRÉFÉRÉ PENDANT LA RÉALISATION DE CE MAGAZINE?

«C’est aussi le moment où Anouck a perdu sa chaussure, on a tellement rigolé!»

QUI VOUS INSPIRE?

«Difficile de citer une personne en particulier. L’art, aussi bien la peinture que la photographie, est une source fréquente d’inspiration. J’en tire certaines émotions que je veux transmettre, des palettes de couleurs, des idées...»

This article is from: