Dossier de Presse Cap@cités

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DOSSIER DE PRESSE Création d’entreprise

Un an après son lancement, la pépinière cap@cités fourmille d’initiatives : un 4e résident, un projet en incubation et la préparation d’un concours pour la création d’entreprises de produits bio et éco-responsables Et de quatre ! Ils sont désormais quatre à bénéficier des prestations de la pépinière d’entreprises située au cœur de Cré@Vallée, le tout récent parc d’activités créés par la Communauté d’Agglomération Périgourdine (CAP). Le nouvel arrivant n’est autre que DB-Chanvre, un bureau d’études en construction de béton de chanvre, qui vient rejoindre SantéGo, l’Institut du Goût du Périgord et Finxeo Patrimoine. Autre nouveauté : cap@cités élargit son champ d’actions vers « l’incubation d’entreprises » en intégrant le projet d’une entreprise en agroalimentaire. Dernier projet : la préparation d’un concours pour la création d’entreprises de produits bio et éco-responsables. Un an après sa mise en service, cap@cités fourmille d’initiatives ! Le point avec Valérie Sers, directrice de la pépinière, et illustrations avec quelques « jeunes pousses ». En savoir plus sur le développement économique de la CAP : www.entreprendre-agglo-perigueux.com ► Interview de Valérie Sers, directrice de cap@cités. ► SantéGo, une entreprise de e-commerce en parapharmacie et cosmétique qui vient de passer la barre des 1 million d’euros de chiffre d’affaires en deux ans d’existence. ► DB-Chanvre, un bureau d’études spécialisé dans la construction en béton de chanvre qui vient tout juste d’intégrer cap@cités. ► L’Institut du Goût du Périgord, un pôle R&D et un laboratoire d’analyse sensorielle. ► Finxeo Patrimoine, une e-solution pour gérer son patrimoine en toute quiétude. ► La CAP : un territoire qui se bat pour le développement économique des entreprises !

Contacts presse Territoires & Co : Catherine-Elise Guillaumin ceguillaumin@territoires-co.com Tél : 05 56 00 89 50 Communauté d’Agglomération Périgourdine - 15/04/2010 -

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► Valérie Sers, directrice de cap@cités. cap@cités, c’est quoi au juste ? Une politique de développement économique d’un territoire se doit de se doter d’outils permettant de soutenir et d’encourager les initiatives des entrepreneurs. La pépinière cap@cités est née de ce constat. Mise en service en 2009, elle a bénéficié d’un investissement total de 1,5 million d’euros, financé à hauteur de 25% par la CAP aux côtés du Conseil régional d’Aquitaine et du Conseil général de la Dordogne. Notre objectif : soutenir les créateurs et les entreprises de moins de 3 ans. Les secteurs visés : l’agroalimentaire, les nouvelles technologies de l’information et de la communication, ainsi que tout projet innovant quelle que soit l’activité. Fort d’une capacité d’accueil d’une douzaine d’entreprises, nous comptons sur l’entrée de 3 à 4 entreprises par an. 11 candidatures sont actuellement en attente. Et puis, vous intégrez aussi des futurs chefs d’entreprise qui sont au stade du projet ? C’est tout récent. Nous venons d’accueillir un entrepreneur, porteur d’un projet d’entreprise en agroalimentaire. Il va pouvoir travailler à la faisabilité de son projet pendant 6 mois et bénéficier du soutien et du réseau de cap@cités. Pour nous, l’incubation d’entreprise permet de favoriser encore la création d’entreprises innovantes. C’est un levier supplémentaire pour faire émerger les bonnes idées et leur « donner vie » en quelque sorte ! Pourquoi rejoindre cap@cités ? Rejoindre cap@cités, c’est d’abord se donner plus de chance de succès. Les études le montrent : 90% des entreprises en pépinière sont toujours en activité au bout de 3 ans, contre 67% en milieu « ordinaire ». Et puis, c’est profiter des expériences des autres en étant parrainé par un chef d’entreprise et en bénéficiant d’un suivi quotidien jusqu’à la sortie de la pépinière : conseil en développement, aide à la recherche de financement, appui au recrutement, mise en relation avec des experts (juristes, comptables, fiscalistes…) et des partenaires potentiels (fournisseurs, investisseurs…). Enfin, c’est se simplifier la vie avec une offre immobilière clé en main, des services partagés (accueil, salle de réunion, salle de visio-conférence, postes informatiques, matériel de reprographie…) et un accès au réseau très haut débit. Quel est le « plus » de cap@cités ? Sa spécificité ? cap@cités, c’est avant tout une pépinière à taille humaine. Sa situation au cœur de Cré@Vallée permet de s’entourer de toutes les compétences et expertises nécessaires avec la proximité des autres entreprises, des chambres consulaires et de l’Institut du Goût du Périgord pour les projets en agroalimentaire. Nous venons d’ailleurs de lancer des ateliers gratuits hebdomadaires où experts et chefs d’entreprises peuvent confronter et partager leurs expériences, mais aussi échanger leurs bonnes pratiques. Ces ateliers thématiques portent sur l’agroalimentaire, les usages des nouvelles technologies et les questions habituelles que se posent les jeunes entrepreneurs comme les aides à l’innovation, le financement de son développement… Et puis, c’est aussi pour ces « entrepreneurs en herbe » l’occasion de tisser un réseau de contacts. Et ça, c’est primordial !

Contact : Valérie Sers : v.sers@agglo-perigueux.fr - Tél : 05 53 03 05 00 La Communauté d’Agglomération Périgourdine prépare un concours pour la création d’entreprises de produits bio et éco-responsables Décidément la Communauté d’Agglomération Périgourdine (CAP) ne manque pas d’initiatives pour dynamiser son territoire économique ! Cette dernière s’apprête à lancer un concours pour la création d’entreprises de développement ou de transformation de produits bio et éco-responsables. Pas moins de sept domaines d’activités sont visés : agroalimentaire ; matériaux ; textile ; produits pour le jardin/intrants ; parapharmacie/cosmétique ; produits d’entretiens ; bio-énergies. Ce concours sera lancé fin 2010. Les lauréats seront sélectionnés début 2011. Affaire à suivre donc… Les membres du comité de pilotage du concours sont : Arbio, Agrobio Périgord, la pépinière d’entreprises cap@cités, la Chambre de Commerce et d’Industrie de la Dordogne, le Conseil Général de la Dordogne, le Conseil régional d’Aquitaine, INNOVALIS Aquitaine, l’Institut Universitaire Technologique de Périgueux, l’Institut du Goût du Périgord, le Lycée Agricole du Périgord, Oseo, Périgord Initiatives, Périgord Développement. Communauté d’Agglomération Périgourdine - 15/04/2010 -

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► SantéGo, une entreprise de e-commerce en parapharmacie et cosmétique qui vient de passer la barre des 1 million d’euros de chiffre d’affaires en deux ans d’existence. Commercialiser des produits de parapharmacie et de cosmétique via internet, tout en multipliant les fonctionnalités du web.2 dédiées aux consommateurs, et ce depuis la Dordogne alors que 96% des clients sont hors du département, c’est possible ! Et le succès est au rendez-vous : en deux ans d’existence, SantéGo a multiplié son chiffre d’affaires par cinq pour atteindre plus d’un million d’euros en 2009. Résident au sein de la pépinière cap@cités, SantéGo entend poursuivre son développement. Objectif : multiplier son chiffre d’affaires par trois d’ici 3 ans et embaucher une personne supplémentaire cette année !

3 questions à Pierre Aguilar, gérant de SantéGo En quoi consiste votre activité ? Faire du e-commerce c’est une chose. Mais aujourd’hui, pour se différencier il faut innover. C’est pourquoi nous avons développé un outil informatique qui multiplie les fonctionnalités du web.2 dédiées aux consommateurs, tout en veillant à la simplicité d’utilisation. Là réside la spécificité du site. Ce logiciel est capable de gérer les commandes, le conseil au client, la communication en ligne, la logistique et la comptabilité. A la recherche d’un produit, le client va se voir proposer différents types d’informations pour guider son choix : contact avec une conseillère (via e-mail, messagerie instantanée ou téléphone), accès aux commentaires des consommateurs dudit produit sur un forum, dépôt ou consultation des avis des clients (plus de 10 000 en ligne à ce jour) et fiche produit. Et dès qu’un produit présente un avis négatif, le logiciel propose d’autres produits similaires mais recueillant de meilleurs avis. Bref, l’outil informatique permet de fournir une multitude d’informations pertinentes et ciblées sur les besoins du « e-acheteur ». Pourquoi venir créer son entreprise en Dordogne ? D’abord parce que je suis natif de la région. Et puis, parce que j’en apprécie son cadre de vie. Alors c’est vrai qu’une fois diplômé - Pierre Aguilar est Docteur en pharmacie et diplômé HEC, mon profil aurait pu me conduire bien loin de Périgueux. Mais j’ai choisi d’y vivre et donc de me créer une activité sur mesure. Pratiquer du ecommerce depuis Périgueux est loin d’être un frein. Avec l’offre de réseau très haut débit développée par la Communauté d’Agglomération Périgourdine, nos besoins sont très largement couverts, notre activité reposant sur l’utilisation continue d’internet. Et puis, notre situation géographique est totalement transparente pour le client. Quelles sont vos perspectives ? En deux ans d’existence, nous avons multiplié notre chiffre d’affaires par cinq pour atteindre plus d’un million d’euros en 2009. Et nous comptons bien poursuivre notre croissance avec un chiffre d’affaires multiplié par trois d’ici à 3 ans ! SantéGo compte 3 salariés et génère au moins autant d’emplois chez nos différents partenaires. Nous prévoyons une embauche cette année, un profil de développeur. Enfin, nous commençons (déjà !) à nous diversifier avec la commercialisation du logiciel que nous avons développé. Il peut s’adapter à toutes les activités de e-commerce. Et visiblement le besoin est là. Plusieurs entreprises ont été séduites après quelques mois de mise sur le marché.

Contact : Pierre Aguilar : pierre.aguilar@santego.com En savoir plus sur SantéGo : www.leclubsante.com

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► DB-Chanvre, un bureau d’études spécialisé dans la construction en béton de chanvre qui vient tout juste d’intégrer cap@cités. Construire et rénover des habitats en béton de chanvre, voilà le nouveau défi lancé par le tout jeune bureau d’études, DB-Chanvre. Son approche englobe les trois dimensions du développement durable. Ecologique et économique d’abord, car les propriétés du béton de chanvre permettent de répondre favorablement aux exigences du label BBC (Bâtiment Basse Consommation), et d’être l’un des rares principes constructifs dont le dégagement de gaz à effet de serre soit négatif. Autre dimension : l’humain, car DB-Chanvre développe une approche de professionnalisation des artisans sur cette technique, constituant ainsi une chaîne de compétences inédites sur l’ensemble des corps de métiers. Parmi ses premiers chantiers, une maison dans les environs de Périgueux, qui sera la première en France à être labellisée BBC !

3 questions à Daniel Bayol, responsable de DB-Chanvre Quel est votre parcours ? Après 15 années d’expérience dans la construction traditionnelle, je me suis converti en quelque sorte à l’écoconstruction. Originaire du Var, je me suis installé avec ma famille en Dordogne pour mener à bien mon projet autour de ce principe constructif spécifique qu’est le béton de chanvre. Contrairement au Sud de la France, la Dordogne est une région propice et mûre à l’éco-construction avec de nombreux éco-artisans sur place. Aujourd’hui, mon bureau d’études, DB-Chanvre fonctionne. Mes premiers chantiers sont la rénovation d’une grange pour une salle de danse et la construction d’une maison individuelle labellisée BBC, une première à ma connaissance ! En quoi consiste votre activité ? DB-Chanvre, c’est d’abord un bureau d’études de maîtrise d’œuvre qui dispense les prestations traditionnelles liées à cette activité, mais spécialisé sur la construction en béton de chanvre : conception du projet, montage du dossier et direction des travaux. Nous sommes parmi les premiers en France sur cette niche, et le seul dans le Périgord » précise Daniel Bayol. Il regroupe un maître d'oeuvre, un architecte bioclimatique, un BET d'études structure bois/métal/béton et un BET Thermique. Quelle est votre spécificité ? Notre approche est globale et ne limite pas aux seules prestations du bureau d’études. Nous sommes en train de constituer un véritable réseau d’entreprises professionnelles et compétentes dans le béton de chanvre, et ce, pour l’ensemble des corps de métier nécessaires à la construction. En effet, cette technique contraint certains métiers comme les électriciens à des procédures différentes par rapport à l’habitat traditionnel. L’objectif est même d’aller plus loin en mettant en place une formation, une façon de professionnaliser les artisans sur cette technique spécifique et de créer une véritable filière. A terme, nous projetons de construire un pavillon témoin, et de regrouper au sein d’une association l’ensemble des corps de métiers compétents.

Contact : Daniel Bayol : dbayol@orange.fr

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► L’Institut du Goût du Périgord, un pôle R&D et un laboratoire d’analyse sensorielle. Comprendre les préférences et les attentes des consommateurs pour améliorer ou développer des produits, définir leur positionnement marketing, suivre leur qualité … autant de prestations proposées par l’Institut du Goût du Périgord aux industriels de l’agroalimentaire, à la grande distribution ou encore aux multinationales en cosmétologie. Situé au cœur de Cré@Vallée, l’Institut du Goût du Périgord poursuit son développement trois ans après sa création. Il incarne véritablement le goût d’entreprendre en Dordogne. L’Institut du Goût du Périgord, c’est un Pôle en Recherche & Innovation, capable de gérer un produit, de l’idée à sa mise sur le marché, intervenant comme un véritable service de R&D et de marketing externalisé pour une entreprise. A son tableau de chasse notamment : la mise au point de vinaigres aromatisés et d’un jambon noir du Périgord (en cours de lancement national). Mais, c’est également un laboratoire d’analyse sensorielle, capable de gérer des tests consommateurs en tout genre (du foie gras à la pâtisserie, en passant par le textile ou la cosmétique). Là réside sa spécificité : réunir les compétences pour assurer ces deux prestations. Et ça marche ! Trois ans après sa création, l’Institut du Goût du Périgord prend un nouveau virage. Sa récente installation dans la pépinière d’entreprises au cœur de Cré@Vallée lui permet de renforcer son développement : de nouveaux locaux multipliant par trois la surface d’activités, et d’autant la capacité des tests de consommateurs (de 60 à 200 personnes) ! Fort de cet outil, l’Institut du Goût du Périgord élargit son offre à la grande distribution dont elle vient de remporter un contrat cadre, et développe de plus en plus de tests sur des produits non alimentaires, et en particulier la cosmétologie auprès de multinationales.

3 questions à Sabine Kieser, Directrice de l’Institut du Goût du Périgord La création de l’Institut du Goût est née de quelle idée ? L’agroalimentaire est le premier secteur d’activité industrielle de notre territoire. Le besoin d’un centre de ressources tel que le nôtre, qui plus est, proche des unités de production pour gagner en réactivité, existait depuis un moment. Résultat : 80% de nos adhérents sont des entreprises, et parmi elles, les « poids lourds » de la Dordogne, Fromarsac, Le Saloir du Périgord, Martine Spécialités, Sobeval… A qui s’adresse l’institut du Goût ? Nous nous adressons à tous types d’entreprises, et en particulier à celles n’ayant ni service R&D, ni service marketing. Notre objectif est bien de favoriser le développement de produits et procédés innovants autour des axes de la nutrition et de la santé. Nous faisons d’ailleurs partie du pôle de compétitivité aquitain, Prod’Innov. Pourriez-vous nous dresser un premier bilan de votre activité ? Notre activité, en phase de test en 2006, a réellement démarré en 2007. A l’époque, le laboratoire d’analyses sensorielles disposait de 13 cabines de dégustations. Aujourd’hui avec notre déménagement sur le tout nouveau site de Cré@Vallée, nous avons triplé notre surface d’activités, et d’autant la capacité des tests de consommateurs, de 60 à 200 personnes ! Nous disposons désormais d’un panel de 1 200 personnes prêtes à répondre aux tests. Avec une telle force de frappe, nous avons élargi notre offre à la grande distribution – on vient d’ailleurs de remporter un contrat cadre avec une importante structure nationale. Autre axe de développement : une diversification sur les tests de produits non alimentaires et en particulier la cosmétologie grâce à des contrats remportés auprès de groupes multinationaux.

Contact : Sabine Kieser : s.kieser@institut-gout24.com En savoir plus : www.institut-gout24.com

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► Finxeo Patrimoine, une e-solution pour gérer son patrimoine en toute quiétude. Prodiguer des conseils personnalisés en matière de gestion de patrimoine auprès des professionnels, et ce, via une solution informatique innovante, c’est ce que propose Finxeo Patrimoine, une jeune société résidente au sein de la pépinière cap@cités, créée par la Communauté d’Agglomération Périgourdine (CAP). Et ça marche ! En une année, la société, par son statut de courtier, a collecté plusieurs dizaines de millions d’euros auprès de ses partenaires, Generali, Cardif, BNP-Paribas, Predica (structure d’assurance du Goupe Crédit Agricole)... En deux années d’existence, la société emploie deux personnes et compte bien en embaucher deux autres ! Il faut dire que les perspectives sont importantes puisque Finxeo Patrimoine va « s’attaquer » au marché des particuliers. Un site internet est en cours de construction. A suivre donc…

3 questions à Dominique Cerrone, gérant de Finxeo Patrimoine En quoi consiste votre activité ? Historiquement, nous avons d’abord développé une activité traditionnelle de cabinet en gestion de patrimoine auprès d’une clientèle de particuliers et de professionnels. Et puis, j’ai développé un logiciel permettant d’assister les personnes dans leur décision d’investissement quel que soit le marché (obligations, actions, devises…). Une année de travail a été nécessaire pour sa mise au point. Nous sommes seulement deux en France à proposer ce type de prestation via un logiciel spécifique. C’est dire comme le champ des possibles est étendu ! Comment ça marche ? Première solution : le logiciel est livré « clé en main » au client, après l’avoir personnalisé en fonction du besoin et de la taille de l’entreprise, et assurer une formation. Seconde solution : à partir du logiciel, nous jouons le rôle de prestataire auprès de clients. C’est comme si l’entreprise externalisait sa gestion de patrimoine. Nous travaillons notamment avec beaucoup de courtiers d’assurance qui gèrent des contrats d’assurance composés principalement de SICAV. Ce logiciel permet d’assurer leur suivi régulier et de délivrer des conseils quant à leur gestion du type « quand acheter », « quand vendre »… Quelle sont vos perspectives ? Nous sommes sur le point de proposer nos prestations directement aux particuliers. Un site internet est d’ailleurs en cours de construction.

Contact : Dominique Ceronne : dominique.ceronne@finxeo.com

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► La CAP : un territoire qui se bat pour le développement économique des entreprises ! « Notre objectif est simple : faire du développement économique durable ! Parce que notre territoire est à taille humaine, nous avons joué la carte de la proximité en associant infrastructures modernes et prestations innovantes dédiées aux entrepreneurs », comme le rappelle Claude Bérit-Débat, Président de la CAP et sénateur de la Dordogne. Au total, le territoire affiche 6 pars d’activités, dont Cré@Vallée. Ce dernier, situé en bordure de l’A89 (BordeauxLyon-Genève), compte 23 entreprises (soit près de 530 personnes), le tout récent pôle interconsulaire (regroupement des trois chambres consulaires pour la première fois en France !) et la pépinière d’entreprises cap@cités. Autre élément structurant : le réseau « très haut débit ». La CAP est la première agglomération de sa catégorie à proposer aux entreprises, la technologie la plus performante en matière de télécommunication. « Se doter d’un tel outil constituait pour nous un élément indissociable de la stratégie de développement économique de notre agglomération. Je dirai même que c’était une condition essentielle. Ce fut en quelque sorte la première pierre ! » rappelle Jean-François Larenaudie, Vice-Président en charge du Développement économique et des Nouvelles technologies de la CAP. Et, les résultats sont là : en 2009, 419 emplois ont été créés ou consolidés sur le territoire de l’agglomération et 40% des dépenses d’investissement de la CAP ont été consacrées au développement économique !

La CAP regroupe 13 communes et près de 70 000 habitants. Premier pôle économique de la Dordogne, l’agglomération compte un bassin de 6 500 entreprises privées et près de 20 000 emplois privés.

Chiffres-clés La CAP : première agglomération de la Dordogne ▪ 13 communes et près de 70 000 habitants. ▪ 40% des dépenses d’investissement de la CAP ont été consacrées au développement économique en 2009. La CAP : premier pôle économique de la Dordogne ▪ 6 500 entreprises privées. ▪ Près de 20 000 emplois privés, soit 31% de la Dordogne (source déc 2007 DDTE). ▪ En 2009, 419 emplois ont été créés ou consolidés sur le territoire de l’agglomération de Périgueux. Six parcs d’activités, industriels, commerciaux et tertiaires (surface totale : 230 ha) Le parc d’activités Cré@Vallée (57 ha) ▪ Aménagement du site Cré@Vallée : 10 millions d’euros. ▪ Nombre d’entreprises résidentes : 23. ▪ Nombre d’emplois sur le parc : près de 530 personnes (dont 275 pour le Pôle interconsulaire). ▪ Objectif : regrouper une centaine d’entreprises, soit près de 1200 emplois d’ici à 2015. La pépinière Cap@Cités ▪ Objectif : l’accueil de 3 à 4 entreprises par an. ▪ Capacité maximum : une douzaine d’entreprises (20 bureaux). ▪ Investissement total : 1,5 million d’euros, dont 25% par la CAP aux côté du Conseil régional d’Aquitaine et du Conseil général de la Dordogne. Institut du Goût du Périgord ▪ 50 adhérents, dont 40 entreprises. ▪ Tests consommateurs : Capacité : 200 personnes et panel de 1200 personnes inscrites Une filière agroalimentaire d’excellence ▪ 1er secteur industriel en Dordogne et sur l’agglomération de Périgueux (en nombre d’entreprises et d’emplois). ▪ En Dordogne : 220 entreprises (de plus de 5 salariés) générant 4800 emplois. ▪ Sur l’agglomération de Périgueux : 101 entreprises générant 1200 emplois. Le réseau « très haut débit » C@pConnexion ▪ Réseau : près de 60 km. ▪ Investissement : 5 millions d’euros, dont 1,8 million d’euros financés par la CAP. Communauté d’Agglomération Périgourdine - 15/04/2010 -

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