PORTFOLIO Élise Bourgeois-Lavoie
PROJETS
01
Continuité
02
Greffe urbaine
03
Continuités [re]trouvées
04
Suivre le pas
05
Collages
06 Folies
07
Gîte au pied levé
08
L’arrière scène
09
Le sentier
10
Entre bois et lumière
11
Maison paysage
12
Dessins
1
implantation d’un volume dans la pente et division du volume en deux bandes
1
implantation d’un volume dans la pente et division du volume en deux bandes
2
Volume désaxé doublé et imbriqué sur le volume initial
3
Désaxement pour accès à l’entrée principale
4
Volume désaxé doublé et imbriqué sur le volume initial
2
Volume désaxé doublé et imbriqué sur le volume initial
3
Désaxement pour accès à l’entrée principale
4
Volume désaxé doublé et imbriqué sur le volume initial
5
Différenciation du volume ajouté par une matérialité distincte
CONTINUITÉ
01
Logements collectifs année / Automne 2014 tuteur / Frédéric Dubé réalisation / 12 semaines collaborateur / Louis Babin Saint-Jean lieu / Montréal
À la rencontre de cinq secteurs ayant leur propre identité, l’îlot, délimité par les rues Saint-Laurent, de Castelnau, Jean-Talon et Clark, est à la fois une composition des ambiances, des matérialités et des usages des secteurs qui l’entourent et à la fois s’affranchit de ces éléments pour exprimer son propre langage, sa propre identité. Conceptuellement, les secteurs relevés se posent au sol en bandes afin de tracer dans l’îlot des lignes de liaison et de continuité avec le contexte. Celles-ci se croisant, des connexions entre les programmes sont alors créées. Les noyaux de circulation verticale, disposés aux intersections des bandes, donnent accès au volume d’habitation.
Les espaces collectifs se dilatent le long des distributions verticale et horizontale à partir de chacun des noyaux. Ils reprennent les caractéristiques matérielles et programmatiques des bandes sur lesquels ils se situent afin d’offrir des espaces variés. Les espaces collectifs offrent par des percées visuelles, des dilatations et l’apport en lumière naturelle, une modulation de la distribution centrale des logements. L’habitant, chaque jour, est exposé à cette vie communautaire et au potentiel que lui offre celle-ci.
1
implantation d’un volume dans la pente et division du volume en deux bandes
2
Volume désaxé doublé et imbriqué sur le volume initial
3
Désaxement pour accès à l’entrée principale
5
Différenciation du volume ajouté par une matérialité distincte
À la rencontre de cinq secteurs ayant leur propre identité, l’îlot, délimité par les rues Saint-Laurent, de Castelnau, Jean-Talon et Clark, est à la fois une composition des ambiances, des matérialités et de
Plan d’implantation
Le centre de l’îlot, contenant l’espace extérieur de la garderie et la terrasse du restaurant, se veut être un espace semi-public en retrait de la forte circulation des rues bordant le site. Les abaissements du volume d’habitation et les rétrécissements permettent la création d’espaces à plus susceptibles d’être appropriés par les usagers.
Cour garderie
Maquette schématique
Espace jeux
Plan rez-de-chaussĂŠe
Plan niveau 2
Plan niveau 3 et 4
plan niveau 5
Plan niveau 6
E.B.
E.B.
E.B.
E.B.
E.B.
E.B.
E.B.
E.B.
E.B.
E.B.
Plan niveau 7
Coupe latérale
Coupe longétudinale
Élévation avant
Élévation rue Clark
Une dualité s’établit entre les volumes publics, au sol, et le volume du bloc d’habitation. Ce dernier qui est traité de manière monolithique par sa matérialité vient contraster avec les volumes situés en-dessous qui eux sont traités en mur-rideau comportant des insertions de matériaux. Le bloc d’habitations est recouvert d’une enveloppe de zinc de module horizontal. Les joints, les plis, les altérations et la patine créent des variations de nuance dans ce volume. Les saillies au nord et les retraits des loggias au sud extrudent et replient cette enveloppe ponctuellement, permettent de moduler les façades.
Schéma matéialité
Maquette loggia 1:10
REALISE PAR UN PRODUIT AUTODESK A BUT EDUCATIF
REALISE PAR UN PRODUIT AUTODESK A BUT EDUCATIF
Maquette loggia 1:10
REALISE PAR UN PRODUIT AUTODESK A BUT EDUCATIF
REALISE PAR UN PRODUIT AUTODESK A BUT EDUCATIF
Maquette brise-soleil 1:20
1
Conservation des façades intérieures, distanciation des circulations du mur existant.
2
Accumulation de blocs servants contre les circulations.
3
Greffes rappelant l’accumulation de volumes sur le bâtiment existant
4
Mise en valeur des deux malteries existantes par deux programmes : Culturel et alimentaire
5
Percements d’accès vers le coeur du projet
GREFFE URBAINE
02
Conservation du patrimoine bâti, Canada Malting année / Hiver 2015 tuteur / Jacques Lachapelle, Richard de la Riva réalisation / 10 semaines collaborateur / Marilyne Michel lieu / Montréal
L’’intention principale était de concevoir un projet à vocation publique dans le but de redonner cet espace au quartier et de multiplier les liens physiques entre le quartier et le canal. Ensuite, dans une optique de conservation patrimoniale, l’intention était de conserver l’aspect visuel du bâtiment le plus intact possible, soit en minimisant les percements dans les façades extérieures et en conservant la majorité des artefacts. Le projet est organisé selon deux axes ayant chacun un programme distinct, soit culturel et alimentaire faisant référence aux deux malteries qui travaillaient indépendamment l’une de l’autre. Les espaces intérieurs sont organisés par empilement de
couches sur les façades extérieures; premièrement, une « couche de vide » permet de se détacher du mur afin de le mettre en valeur. Puis, des coursives linéaires sont disposées sur ce vide pour faire office de circulation. Ensuite, des blocs de service permettent de desservir les espaces de vie de de créer une certaine distanciation entre la circulation et ceux-ci. Les espaces de vie viennent s’adjoindre aux blocs de service et sont connectés à la circulation par des passerelles. Finalement, nous avons intégré au projet un système de greffes qui reprend les typologies des artefacts existants afin de mettre en évidence en façade un espace clé du projet ou de cloisonner les espaces intérieurs.
Avant
Après
Plan du rez-de-chaussĂŠe
Greffes publiques liant les quartiers au canal
Dans l’idée de multiplier les liens entre le canal et la ville, nous avons organisé deux axes de passage de chaque côté du bâtiment auxquels viennent se greffer divers pavillons qui desservent les espaces extérieurs. Alors que l’axe du côté du programme culturel donnant sur St-Rémi sert de lieu de passage en étant ponctué par des installations temporaires à la manière d’un jardin éphémère, l’axe du côté alimentaire est davantage traité avec des points d’arrêt (marché extérieur, pavillon du parc, estrades, kiosque de location d’équipements sportifs) qui desservent également un large parc.
Greffes publiques
Élévation Saint-Ambroise
Élévation Saint-Rémi
Élévation parc
Élévation intérieure bloc culturel
Typologies de greffes RENFORT À LA FAÇADE ET DISTANCIATION DE LA CIRCULATION DU MUR POUR MISE EN VALEUR ET DISTINCTION DE L’ÉTAT D’ORIGINE
CONSERVATION DES TRACES DE L’ANCIENNE STRUCTURE ET DES GRAFFITIS
BLOC DE SERVICE, CIRCULATION ET CONDUIT MÉCANIQUE
MARQUAGE PAR JOINT DANS LE MATÉRIAU AU SOL
REVÊTEMENT MÉTALLIQUE JEU PLEIN / VIDE DANS LE MUR DE BRIQUE EXISTANT
Détail vide, circulation, blocs de service, mur existant et ajout
REVÊTEMENT DE BOIS
1
Continuité urbaine / Dessin d’une ligne symbolisant le parcours historique et mettant en dialogue le patrimoine
2
Topographie / Création d’une topographie en dialogue avec le site existant
3
Espace de représentation / La topographie artificielle accueille des gradins orientés vers la scène au pied des remparts
4
Dialogue avec l’existant / Déformation du dessin de la ligne initial afin de dialogue avec le site d’implantation du musée
5
Extension du musée / Création d’une extension de musée venant s’adapter à la fin du parcours existant du musée
CONTINUITÉS [RE]TROUVÉES
03
Redynamisation du quartier Ferruce année / Automne 2013 tuteur / W.Hayet, B.Chavardes, P.Duffieux, F.Fleury, M.Morel, R.Mouterde réalisation / 12 semaines collaborateur / V.Joyet, S.Doin lieu / Avignon (intra muros)
Le site de projet se situe à la confrontation de nombreuses problématiques et enjeux à différentes échelles. Ce dernier se situe dans un lieu possédant un caractère patrimonial fort qui souffre aujourd’hui d’une importante inégalité de fréquentation. Le projet vient se développer comme une dilatation de la continuité urbaine. Une continuité entre la zone basse correspondant au stationnement des autobus et la zone haute au jardin occidental. La topographie et matérialité de l’espace de représentation faisant écho au rocher des Doms, la structure en maille de bois et la disposition de l’extension du musée
permettent, qu’en à eux, de ne pas entrer en confrontation avec les éléments patrimoniaux. L’ensemble du projet vient qualifier et redynamiser le quartier Ferruce par la conception architecturale, la création de vues et de nouveaux parcours.
Plan d’implantation
Détail exposition ruines - Sans échelle
Détail passerelle - Sans échelle
C
B
D A
Coupe A-A
Coupe B-B
Coupe C-C
Coupe D-D
SUIVRE LE PAS
04
Redynamisation du quartier Ferruce année / Hiver 2014 tuteur / André Avril lieu / Hopital Saint-Jean-de-Dieu, Lyon, France
Il s’agissait de produire un travail d’inventaire sur le site de l’Hopital Saint-Jean -de-Dieu. L’exercice libre a mené à un résultat final, 28 cartes accompagnées d’un plan des trajets suivis. Démarche / Suivre le pas est une mise en relation d’un inventaire effectué in situ sur le site de l’hôpital Saint-Jean de Dieu et de différents textes sur la marche. Ce dialogue s’effectue à partir de cartes illustrant d’un côté un trajet et présentant de l’autre côté une citation relative à la figure de la marche tirée d’écrits divers et d’artistes contemporains. Les trajets récoltés lors de la filature sont réécrits comme une marche à suivre et sont classifiés en catégorie de figures de marche. Matière récoltée / Les trajets : Les flux, les distances parcourus et les espaces traversés constituent une cartographie. La trace
du corps marque le passage. La typologie de marcheur : Les façons de circuler, de s’approprier ou non l’espace, de considérer le paysage. La déambulation, la dérive, la simple promenade, la traverse ou l’avancée exploratoire sont des manières différentes de circuler dans un lieu. Le rythme, la façon de porter le regard, la vitesse, les arrêts permettent de tirer de grande catégorie permettant de classifier la matière récoltée. Les écrits. Procédure / D’abord, il s’agit de suivre la première personne rencontrée, peu importe son statut. Ne cherchant pas le contact et ne désirant pas influencer le trajet de la personne rencontrée, une distance est conservée entre moi et cette dernière. Durant le trajet, le parcours est retracé sur une carte et est accompagné d’une description du rythme, du statut et es façons de parcourir l’espace.
COLLAGE
05
Comment imaginez-vous la maison des usagers de demain ? année / Hiver 2014 tuteur / André Avril réalisation / 15 semaines collaborateurs / Nicolas Jomphe-Côté, Audrey Bertrand lieu / Hopital Saint-Jean-de-Dieu, Lyon, France
Le collage comme outil de conception et de discussion Les étudiants en architecture ont développé un collage comme outil de conception pour repenser la maison des usagers. Le but de cet outil était de susciter un intérêt nouveau pour ce petit bâtiment, parfois inaperçu dans le grand ensemble de l’hôpital. En posant la question «Comment imaginez-vous la maison des usagers de demain», les étudiants voulaient récolter des impressions instinctives et des idées provocatrices. Cet outil de collage a été testé et développé avec les étudiants et les professeurs de l’école d’architecture. Par la suite, l’exercice a été répété avec les patients des services Galilée et L’Orangerie
pendant leur période d’activité artistique. Le collage, suivi d’un échange, a été générateur de discussions sur la maison des usagers (inconnue pour certains patients) et de sa place dans l’hôpital. L’exposition Afin de poursuivre la discussion et amener une nouvelle participation à la maison des usagers, les collages y sont exposés sans distinction entre ceux des patients, des étudiants ou du personnel soignant et accompagnés de citations récoltées pendant l’activité. Ainsi, le visiteur peut avoir sa propre interprétation de ce qu’il voit.
Maison des usagers avec installation temporaire
Maison des usagers
CinĂŠma
Plan transformateur
Salle de sport
FOLIES
06
Comment imaginez-vous la maison des usagers de demain ? année / Hiver 2014 tuteur / André Avril réalisation / 15 semaines collaborateurs / Nicolas Jomphe-Côté, Audrey Bertrand lieu / Hopital Saint-Jean-de-Dieu, Lyon, France
L’immersion in situ durant le semestre à l’Hopital Saint-Jeande-Dieu, a mené une critique de l’actuelle méthode de développement du site de l’hôpital selon les besoins du moment, des petits bâtiments qui se construisent sur le site tel de petit objet satellite. Comme de petits parasites, les bâtiments, à l’origine temporaire, occupent et modifient l’espace. Nous proposons ici une vision à long terme à partir de cette manière de développer l’espace. Il s’agit de poursuivre et de multiplier la construction de ces «folies». Ces constructions pourraient ainsi répondre à des besoins fonctionnels, d’usages ou ponctuels. L’archétype de la maison
permet alors de relier les nouvelles installations tout comme celles qui existent actuellement. La structure du toit permettrait de couvrir un bâtiment en entier ou un espace extérieur au-dessus, à l’avant ou sur le côté du bâtiment.
1
implantation d’un volume dans la pente et division du volume en deux bandes
2
Volume désaxé doublé et imbriqué sur le volume initial
3
Désaxement pour accès à l’entrée principale
4
Volume désaxé doublé et imbriqué sur le volume initial
5
Différenciation du volume ajouté par une matérialité distincte
GÎTE AU PIED LEVÉ
07
Gîte au Pied-Levé année / Hiver 2014 tuteur / Sébastien St-Laurent réalisation / 8 semaines collaborateur / Winsane Lim lieu / Magog, Québec
Ce projet est situé à Magog dans les Cantons de l’Est. Les propriétaires désirent leur actvité d’élevage et de ventes avec une partie gîte. La volumétrie du projet est un bloc qui se sépare au milieu et où ces deux parties pivotent autour d’un axe de rotation. D’un côté s’organise le programme de la maison, de l’autre, sur pilotis, celui du gîte. Le point de pivot se trouve à être l’accueil du gîte, le hall et les circulations. Un axe visuel est créé à partir de la cuisine et de la dinette vers les espaces client afin de favoriser les échanges avec les propriétaires. L’étage, contenant les espaces de nuit, vient
s’imbriquer dans celui du rez-de-chaussée. Ce volume en lamellé-croisé est recouvert, à l’extérieur, d’une résille en bois torréfié rappelant la texture et les eff ets lumineux des granges et off rant des percées uniques vers le paysage environnant.
Le rythme du soleil, des saisons, des bêtes. Vue panoramique sur les saveurs, les couleurs, les odeurs, les matériaux, les actvités et le paysage. Un volume de bois , filtre la lumière. Dormir dans la grange.
1
4
2
1
2
3
atelier 4 I ARC 2012 I professeur : sĂŠbastien st-laurent / manon asselin
Niveau 0
Niveau -1
Niveau 1
ÉLÉVATION ET COUPES Échelle 1:100 Plan rez-de-chaussée - 1:250
Plan étage - 1:250
Niveau 0
ÉLÉVATION ET COUPES Échelle 1:100
Élévation avant - 1:250
Coupe latérale - 1:250
16
14 17 18 15
16
11
11 13
15 14
1 – Pilotis en béton 2 – Plaque d’acier et boulons d’ancrage 3 – Étrier 4 – Plancher terrasse -Bardage de bois -Lambourde de bois 39mm -Solive de plancher 250mm 5 – Plancher RDC exposé (R-34 Requis : R-26,5 ) -Dalle de béton 39mm avec système de plancher radiant -Pare-vapeur -Isolant rigide 25mm (R-5) -Contreplaqué embouveté 19mm -Solive de plancher 250mm -Isolant en ouate de cellulose 250 mm (r-29) -Contreplaqué embouveté 19mm -Pare-air 6 – Poutre Lamellé-collé 6 plis
9
13
7 – Mur extérieur RDC (R-32 Requis : R-19,3 ) -Enduit Acrylique Gris -Treillis métallique -Isolant rigide 50mm (R-10) -Pare-pluie -Contreplaqué 19mm
12 11
-Colombage de bois 140 mm x 38 mm @ 400mm c/c -Pare-vapeur -Fourrures de bois 19mm x 64mm @ 600mm c/c -Panneaux de gypse 15,9mm 8 – Plancher de l’étage -Bois lamellé-croisé 3 plis 105mm (R-4,96)
8
7 6 10
9 – Cornière pour assemblage des panneaux de bois lamellé-croisé 10 – Plancher exposé étage (R-27
Requis : R-16,5 )
-Fourrures de bois 38mm x 38mm @ 600mm c/c -Montant de bois 140mm @ 600mm c/c -Pare-vapeur -Bois lamellé-croisé 3 plis 105mm (R-4,96) 11 – Visse pour assemblage des panneaux de bois lamellé-croisé 12 – Plaque d’acier pour assemblage des panneaux de bois lamellé-croisé 13 – Mur extérieur étage: (R-27
Requis : R-16,5 )
-Tasseaux horizontaux 19mm x 64mm -Tasseaux verticaux 89 mm x 38 mm -Pare-pluie hpv à très haute résistance uv pour façade à claire-voie -Contreplaqué embouveté 19mm -Montants de bois 140 mm x 38 mm @ 600 c/c
5
4
-Pare-vapeur -Bois lamellé-croisé 3 plis 105mm (R-4,96)
15 – Fascia en bois 16 – Toiture: (R-27 Requis : R-16,5 ) -Bardeaux -Papier noir -Contreplaqué embouveté (19mm) -Fourrure de bois 89 mm x 38 mm @ 610 c/c -Fourrure de bois 140 mm x 38 mm @ 610 c/c
3 2 1
-Pare-vapeur -Bois lamellé-croisé 3 plis 105mm (R-4,96) 17 – Fond de clouage 18 – Gouttière intégrée en solin métallique
élise bou
1
Socle monolithique Espace exposition : Salle-à-manger / Réception
2
Ouverture du socle à l’arrière
3
Superposition de volume en gradin Espace de nuit Espace de jour Atelier
4
Insertion de blocs servants Espace sertant
5
Création d’une cour intérieure
L’ A R R I È R E S C È N E
08
La maison du collectionneur année / Automne 2013 tuteur / Cécile Baird réalisation / 3 semaines lieu / Montréal
L’Arrière-Scène est une maison pour un collectionneur. Le collectionneur récupère des objets conservés ou créés en marge de productions théâtrales et cinématographiques. La collection regroupe des photographies de décors, travaux de production, maquettes sont conservés, restaurés et exposés dans des boîtes qui retranscrivent l’éclairage et l’ambiance scénique. L’exercice proposait de concevoir une maison contemporaine exposant une collection privée et s’intégrant dans un terrain étroit et mitoyen situé sur la rue Baile, à Montréal, au nord du Centre canadien d’Architecture. Fermeture avec l’extérieur, lumière tamisée et dispositifs
d’éclairage mettent l’emphase sur la collection au rezdechaussée. L’idée de socle est imposée par le choix de la collection. À l’arrière-scène, aux étages, on habite et profite des vues, de la lumière naturelle et de l’extérieur.
Plan rez-de-chaussée
Plan niveau 2
Plan niveau 3
Coupe D
Élévation avant
Coupe C
Élévation arrière
Coupe A
Ouverture du socledu à l’arrière Socle monolithique Superposi on des en gradinen Inser onInser bloc servant socle à l’arrière Superposi on Ouverture du socle Ouverture à l’arrière Socle monolithique Superposi on des volumes gradin Socle monolithique des volumes envolumes gradin Inser on bloc servant Ouverture du socle à l’arrière onbloc courservant intérieur Forma on
Socle monolithique Socle monolithique
Ouverture du socle à l’arrière
Superposi on des volumes en gradin Inser on bloc servant Superposi on des volumes en gradin Inser on bloc servant
Forma on cour on intérieur Forma cour intérieur Forma on cour intérieur
Forma on cour intérieur
ÉLISE BOURGEOIS-LAVOIE ARCHITECTURE ÉLISE BOURGEOIS-LAVOIE PORTFOLIO ARCHITECTURE ÉLISE BOURGEOIS-LAVOIE PORTFOLIOPORTFOLIO ARCHITECTURE ÉLISE BOURGEOIS-LAVOIE PORTFOLIO ARCHITECTURE ÉLISE BOURGEOIS-LAVOIE PORTFOLIO ARCHITECTURE
13
13
13
TIER
1
cs collec fs fs eutomne 2013 2013 aird écile Baird
Découpage et fragmentation selon le tracé historique
2
Poursuite dans l’ilot du chemin de désir présent dans le parc. Création d’un passage vers Côte-des-Neiges
3
Reprise de typologie à proximité. Évidement d’un bloc pour la création d’une cour intérieur.
4
Modulation des hauteurs pour favoriser l’ensoleillement et les vues vers l’Oratoire Saint-Joseph
5
Percement du passage pour la poursuite du sentier au travers l’ilot. Fragmentation des façades
13
LE SENTIER
09
Logements collectifs année / Automne 2013 tuteur / Cécile Baird réalisation / 10 semaines collaborateur / Laurie Beaumont lieu / Montréal
Le projet reprend le rythme du découpage initial du lieu d’intervention et des bâtiments précédents. Traversant le parc, un chemin de désir marque le flux d’étudiants, de travailleurs et de résidants qui, chaque jour, coupe au travers le parc en direction ou en provenance du chemin de la Côte-des-neiges. Afin de briser les limites de l’espace créée au coeur du bâtiment, le projet prévoit au rez-dechaussée un passage extérieur public poursuivant le flux présent dans le parc. Le passage intérieur se divise en deux. Un chemin traversant le site le reliant à l’avenue Côte-des-Neiges est une connexion
intéressante qui pourrait alors permettre un mouvement traversant incitant l’utilisation de l’espace café, des locaux d’artistes et des commerces se trouvant au rez-de-chaussée. L’autre, le plus large, se poursuit en courbe jusqu’au coeur du bâtiment puis ouvre sur un escalier donnant accès aux logements. Le passage permet de créer une dynamique entre les usages et les gens qui y circulent.
ENTRE BOIS ET LUMIÈRE Résille solaire année / Hiver 2014 tuteur / Sébastien St-Laurent réalisation / 8 semaines collaborateur / Winsane Lim, Laurence Roux, Pascale Busseau.
La démarche exploratrice découlant de l’étude de l’écran cinétique de l’artiste Ned Kahn, Articulated Cloud, composé de volet battant au rythme du vent, le dispositif tente de réinventer l’architecture vernaculaire, la grange et son bardage de bois. Les angles d’ouverture, les essences de bois, la dispositif on des planches sont choisies dans une dimension performative tout en étant empreint d’une grande poésie. Les planches inclinés laissent passer la lumière, la réfléchissent et la filtrent. Les ouvertures ne sont plus des percements. Le bois s’articule pour ouvrir des bois de vue. La façade se dynamise face à son environnement.
10
Résille solaire
Lumière directe
Réflexion
Matérialité
Modules
Analogie à la grange
1
Banlieue actuelle : accumulation d’obtacles. Maison oblique : Infini de l’espace, circulation habitable
2
Tissage de bloc réagissant aux obstacles. Se fissurant, s’inclinant selon la topographie
3
Maison oblique offre l’infini de l’espace, circulation habitable, enclos traversable
4
Jonction des blocs par imbrication. Le parcours se définit et devient d’avantage accessible
5
Création d’un plat par un bloc servant encastré
M A I S O N PAY S A G E
11
Réinventer la banlieue année / Hiver 2012 atuteur / Katherine Lapierre réalisation / 12 semaines
Réinventé la banlieue au travers des explorations rythmiques et formelles. Je refuse et combat La banlieue actuelle Une topographie effacée, sol horizontal, immobile, obligatoire Un paysage, absent. J’acclame Une cité partout, et nulle part Vivre sous terre premiers abris, caverne, terrier, carapace
L’absence d’obstacles, l’habitation parcourable. Tenir compte de l’espace, mais du temps, comme parcours. Creuser la terre, choisir sa caverne, devenir nomade. Succession d’espaces, ressentir différemment les parois, le plafond. La maison comme paysage.
A
B
D
C
Plan - 1:250
Coupe A-A - 1:250
Coupe B-B - 1:250
Coupe C-C - 1:250
Coupe D-D - 1:250
DESSINS Techniques / Modèles vivants, fusain, graphite sur papier, graphite sur papier Mylar
12
C O N TA C T Élise Bourgeois-Lavoie e.bourgeois-lavoie@hotmail.ca 514-355-6534 438-830-8344