Elodie Petra 4 A
Voyage d etude sur la cote d Azur
Introduction La méditerranée... on voit du soleil, la mer, les palmiers, les vacances. En y regardant de plus près, tout cela semble bien réducteur. Comment appréhender alors ce paysage complexe que les préjugés tendent de simplifier ? Comment comprendre ce milieu qui parfois a été construit par l’homme (implantations, feux...) ? Pour avoir une vision d’ensemble plus complète de ce qu’est le milieu méditerranéen dans le monde, il faut etudier son climat si particulier, sa géographie, sa végétation... Cette description pouvant ensuite etre complétée par la présentation de l’exotisation de la cote d’Azur par les passionnés de plantes et de voyages, créateurs de jardins d’exception.
Sommaire Le milieu mediterranneen Le Climat Températures les précipitations les vents
La Géographie La foret méditerranéenne Francaise La foret sclérophylle Garrigue et Maquis
Adaptations a la secheresse Fynbos sud-africain
Sur le terrain
Le conservatoire du littoral
Massif de l’Estérel Formation du massif Cortège végétal
Cap Dramont Le mont vinaigrier Organisation générale Parc de La granderambos Corniche SERRES DE LA MADONE Historique du jardin Petite visite guidée Arboretum des Cèdres
Jardin Thuret Jardin Hanbury CONCLUSION BIBLIOGRAPHIE
Le milieu mediterranneen
Le Climat Le climat méditerranéen français s’étend sur une frange plus ou moins large, dans les régions entourant la Méditerranée : la péninsule ibérique (sauf sur le littoral nord atlantique) ; le Midi de la France, c’est-adire le Roussillon, le Languedoc, la vallée du Rhone jusqu’au défilé de Donzère, la Provence et la Cote d’Azur ; l’Italie(a l’exception de l’Apennin central, de la plaine du Po et des Alpes) ; le littoral dalmate ; l’Albanie la Grèce; la Turquie; le littoral d’Asie Mineure et du Levant et le Maghreb. Ce type de climat s’étend également sur les franges littorales de la Californie, du Chili et sur les régions méridionales de l’Afrique et de l’Australie. Les limites de son aire d’extension correspondent a peu près a celles de deux espèces végétales typiques de ce milieu : l’olivier et le chene vert. l’idée que l’on a du climat méditerranéen se limite a la chaleur et la sècheresse. Cette vision est a nuancer. Un des caractère principal est en effet la pluie.
Températures Les températures moyennes annuelles sont plus chaudes que dans la zone tempérée, avec une douceur remarquable dans le nord du bassin méditerranéen (cotes espagnole, française et italienne) due a la température de la Méditerranée en hiver. La température en été est très variable.. Autour de la Méditerranée et dans l’intérieur des terres, les étés sont très chauds (température moyenne supérieure a 22 °C tout autour du bassinz). l’automne est très doux. A l’intérieur des terres, les températures maximales dépassent très souvent les 30 °C voire 40 °C, en particulier vers l’est ou le sud du bassin. L’hiver est doux et les températures moyennes du mois le plus froid sont généralement supérieures a 9 °C. sauf dans le nord du bassin ou les influences océaniques et continentales se font sentir. La variabilité thermique est importante en hiver et aux intersaisons. Le réchauffement est lent au printemps et
les précipitations La sécheresse estivale est une caractéristique du climat méditerranéen : pendant les mois les plus chauds, les précipitations deviennent rares voire inexistantes, et le ciel est lumineux et dégagé.
En revanche, les hivers sont bien arrosés dans les régions pas trop abritées des influences maritimes. Les zones les plus proches de l’équateur et celles situées sur les façades ouest des continents connaissent leur maximum de précipitations en hiver, tandis que les régions au nord du bassin méditerranéen connaissent des maxima de précipitations en automne (nord-ouest) ou au printemps (nordest), avec quelquefois un minimum hivernal dans les régions un peu abritées des influences maritimes (Espagne, Provence intérieure, Sicile intérieure).
L’autre caractéristique des précipitations en milieu méditerranéen est leur faible fréquence et leur intensité. Si les cumuls annuels moyens sont compris entre 400 et 900 mm , la fréquence quant a elle est faible : moins de 100 jours par an. Les températures élevées favorisent de développement d’orages violents quand la masse d’air devient instable. L’équivalent de la moitié de la lame d’eau annuelle moyenne peut s’abattre en une journée lors d’épisodes pluvieux intenses, et nous en avons malheureusement fait l’expérience ! On peut alors conclure que la période sèche présente un vrai déficit en eau mais cet état n’est que temporaire. La mauvaise saison est la période estivale et on peut remarquer que les stratégies d’adaptations sont en phase avec ces données.
les vents C’est un élément climatique important. Contrairement a celui qui souffle dans les autres régions de l’Europe, le vent méditerranéenne est régulier. C’est d’ailleurs un des seules régions de France ou le vent porte un nom particulier suivant les saisons et les directions. Au printemps, l’amélioration du temps est souvent due a des vents chauds issus du Sahara. C’est le sirocco. Des vents saisonniers soufflent en provenance des régions montagneuses au nord. C’est néanmoins le mistral le vent le plus connu. Il est fort. les plantes mettent en place une transpiration accrue afin d’éviter une déshydratation complète.
Chaparral Californien
Matorral Chilien
La Géographie
Bassin méditerranéen
Busc Australien
Fynbos d’Afrique du sud
En France, la zone de culture de l’olivier détermine les limites du bassin méditerranéen. Celui ci n’est pas uniforme, on retrouve une grande diversité de milieu déterminés par différents étages climatiques. On distingue donc l’étage thermoméditerranéen, subméditerranéen, oroméditerranéen, mésoméditerranéen. L’étage thermoméditerranéen correspond a la zone du caroubier et de l’olivier sauvage. On la retrouve de facon discontinue le long de la cote dans différents département comme les Ales maritimes, le Var, les Bouches du rhone, la Corse et les Pyrénées Orientales. L’étage subméditerranéen correspond a des zones d’altitude comme dans les Cevennes. L’hiver y est plus marqué. L’étage oroméditerranéen dans les montagnes méditerranéennes. L’étage zones.
mésoméditerranéen
sur
ls
autres
Limites de la culture de l’olivier - Bassin méditerranéen.
La foret méditerranéenne Francaise Depuis la préhistoire, le littoral méditerranéen a été profondement marqué par la présence de l’homme. Depuis la préhistoire, le littoral méditerranéen a été profondément marqué par la présence de l’homme. Le long des cotes, phéniciens grecs et romains fondèrent des comptoirs comme massilia, tulo martius, forum julii, cannae, antipolis et nikaia. L’intérieur des terres est cultivé par les agriculteurs, bergers ou forestiers. Un équilibre s’établit alors peu a peu entre l’homme et son environnement. Au XXè siècle, on observe une multiplication et une accélération des aménagements le long du littoral. Une coupure se crée alors entre l’homme et la nature. Les villes s’étendent, l’exode rural laisse a l’abandon cultures et paturages sur lesquels le maquis et la garrigue s’implantent. Les paysages sont beaucoup plus ouverts, propices aux feux dévastateurs. La présence humaine devient alors une vrai menace dans la région Provence alpes cote d’azur tant sur le plan paysager, faunistique et floristique.
Au fil des ans, la foret méditerranéenne a subi de nombreuses dégradations. L’homme en ai une cause principale. L’exploitation du bois ( pour le chauffage, comme matériaux...) et un pastoralisme intensif (moutons et chèvres) ont dégradé ces paysages a grande échelle. A ces deux causes de régression viennent d’ajouter les incendies et l’étalement urbain. Les feux sont souvent volontaires, dans le but de dégager des nouvelles surfaces de pâture. L’expansion des zones urbanisé n’est pas propre a le région mais comme sur le reste du territoire, les conséquences sont parfois désastreuses. Dans le cas de la foret méditerranéenne, l’accroissement de l’afflux touristique, la multiplication des constructions réduisent sans cesse les surfaces forestière.
La foret sclérophylle En milieu calcaire, la foret se compose de pins d’Alep dont la germination des graines est favorisé par un passage de feu. Cet arbre colonise des terrains rocailleux, se satisfaisant que de peu de terre pour s’enraciner. On retrouve dons les peuplement de pins d’Alep sur les versent sud très exposées au soleil et battus par le vent. En parallèle, sur les versants nord ou a l’abri des pin d’Alep se développent des formations arborées de chenes verts au feuillage persistant. On le retrouve souvent associé au pistachier lentisque, l’olivier sauvage ou la salsepareille. Sur les massifs cristallins, la foret est plus verdoyante. Le pin maritime y est beaucoup plus représenté.
Quel est l’avenir de ces forets ? Toutes les interventions de l’homme ont au cours des ans érodé les sols. On peut meme noter des affleurements de roches dans certains lieux. Dans ces conditions, la reprise de la végétation s’avère difficile. Les forêts sont remplacées peu a peu par des formations de type maquis ou garrigue selon la nature des sols.
Garrigue et Maquis
Roches métamorphiques et cristallines (terrans silaiceux) Dépots récents de nature variée Roches calcaires et dolomitiques Le maquis et la garrigue sont deux formations végétales issues de la dégradation de la foret méditerranéenne. Par feux ou pastoralisme. Ils se différencient néanmoins par la nature du sol sur laquelle ils s’installent. En effet, on retrouvera la formation de maquis sur des sols acides alors que la garrigue se plait sur des sols calcaires. Le maquis est une formation végétale arbustive généralement fermée, plus basse qu’une foret. Le couvert végétal très dense compte de nombreux arbrisseaux résistants a la sècheresse formants des fourrés épineux et inextricables. Comme vu précédemment, cette formation, qui s’établit dans les massifs cristallins en terrain siliceux, résulte en général de la dégradation de la foret de chenes liège, elle-meme ayant généralement remplacé un peuplement originel de chene verts. Espèces végétales rencontrées: pins maritimes, chenes liège, cistes, lavandes, bruyères arborescentes, arbousiers, calycotomes, genets, chèvrefeuilles, ajoncs.
Maquis au massif de l’Éstérel
La garrigue quant a elle remplace les forêts de chênes verts sur terrains acides. Cette formation est plus ouverte que le maquis. En effet, elle se compose essentiellement d’arbustes, d’arbrisseaux et de sous arbrisseaux. Dans cet espace plus ouvert, on peut meme rencontrer de nombreux affleurements, cela a par ailleurs donné son nom a la garrigue. Em effet, ‘Gar’ signifie rocher en celte. Les plantes caractéristiques associées a cette formation sont la lavande, le buis, le thym, la suage et quelques bulbeuses. Les végétaux dépassent que rarement une hauteur de 50 cm. Garrigue a la grande corniche
Adaptations a la secheresse La majorité des arbres et arbrisseaux indigènes sont sempervirents. Nombreux ont des adaptations leur permettant de résister a la rareté des précipitations en été et réduisent leur perte d’eau par la transpiration. On peut alors remarquer des plantes dont les feuilles sont recouvertes d’un enduit cireux, de petite taille ou en forme d’aiguilles. Une autre adaptation est la production d’huile aromatique qui permet de limiter la perte d’eau. De meme, certaines espèces résistent aux long étés sous forme de bulbes, tubercules ou rhizomes souterrains. Le cycle biologique est aussi modifié : les végétaux annuels croissent et fleurissent de l’automne au printemps et passent l’été a l’état de graines en dormance.
Fynbos sud-africain Le climat y est relativement pluvieux pendant l’hiver austral et plutot chaud et sec entre le printemps et l’automne. Généralement les sols des fynbos sont pauvres en matières organiques. Argileux ou sablonneux, ils sont le plus souvent acides. Il est possible de distinguer deux types de fynbos dont la végétation n’est pas spécialement différente (ce son les températures qui changent). En montagne le climat est généralement plus froid et des chutes abondantes de neige ne sont pas rares en haute altitude. Le long de la zone cotière les températures peuvent atteindre 40 °C et les embruns marins sont fréquents.
Les fynbos possèdent un biodiversité absolument incroyable. Les protéacées, restionacées et éricacées sont les familles les mieux représentées. Une grande diversité de plantes bulbeuses, de géraniums, de composées et de succulentes (Aloès, Euphorbes, Crassulacées, Aizoacées...) existent également. Ce type de végétation présentent plusieurs milliers de plantes endémiques.
Helichrysum vestitum Feuilles cotonneuses, veloutées sur les 2 faces, ovales, lancéolées, en larges rosette ; fleurs rougeatres groupées en inflorescences terminales comme celles des immortelles, de la meme famille
Gazania kresiana Le gazania krebsiana est originaire d’Afrique du Sud, tout comme la quinzaine d’espèces qui composent le genre uniquement réparti entre le sud de l’Afrique du Sud et l’Afrique tropicale. il s’agit d’une plante de petite taille qui a tendance a tapisser le sol. Le gazania krebsiana atteint une hauteur d’une dizaine de centimètres pour un étalement de 15 a 20 cm
Sur le terrain Le conservatoire du littoral Les nombreux rivages de France offrent une grande diversité de milieux et de paysages. À partir des années 60, ces rivages virent lu équilibre naturel bouleversé par le développement urbain, industriel et le pastoralisme intensif. Pour faire face a ces menaces, le conservatoire du littoral fut créé en 1975. A travers cet organisme, l’état s’assure de la maitrise foncière des espaces naturels littoraux les plus fragiles. La gestion des sites est confiée aux collectivités locales, a des associations de protection de la nature ou à des organismes spécialisés. Ces gestionnaires emploient ensuite des gardes du littoral afin d’assurer l’entretien, la surveillance, l’accueil du public et le suivi scientifique. Ainsi, le conservatoire et ses partenaires militent chaque jour pour préserver, sensibiliser et faire revivre la mémoire de ces lieux sensibles
Massif de l’Estérel
Massif de l’Estérel
Ce massif est célèbre pour ses roches rouges d’origine volcanique, ses falaises escarpées et son littoral découpé par la mer. Il est aussi remarquable par le fait que le massif est le seul espace naturel littoral de cette envergure entre Fréjus et la frontière italienne. L’urbanisation occupe largement la bande cotière la mer y occupe néanmoins une très grande place. Elle est omniprésente dans le paysage et le rend ainsi très ouvert et sauvage. il n’y a pas d’exploitation forestière c’est surtout de la défense contre les feux de foret. Il y a également un travail d’aménagement de piste et de mise en valeur des sites non touchés par le feu. La sylviculture permet alors de façonner le paysage.
Nice
Le massif est relativement petit, 6000ha d’un seul tenant. viennent y cohabiter tout au long de l’année chasseurs, promeneurs, cueilleurs de champignons, vttistes... tout ce petit monde est alors canalisé sur des grands axes et ce, afin de préserver les richesses biologiques et paysagères de ce milieu fragile. Ce site est très fréquenté car il représente l’un des rares poumons verts littoraux pour les agglomérations cannoises et niçoises. Le gestionnaire de cet espace est le conseil général des Alpes maritimes dont l’action est de renforcer les actions de prévention contre les incendies et favoriser les essences les moins inflammables.. Son role est aussi de protéger les écosystèmes remarquables du milieu
Formation du massif
Le massif de l’Ésterel c’est un massif hercynien. A la fin de l’ère primaire, il y a 250 millions d’années, une intense activité volcanique règne durant 30 millions d’années avec émission de basaltes puis de rhyolites. Cette activité a induit l’emission de laves acides contenant beaucoup de silice. Ces laves sont dites ryolitiques. Par metamorphisation, ces laves donnent naissance a des porphyres, roche rouge d’ou découle toute la particularité du massif. Durant l’ère secondaire, Le massif subit une très forte érosion (-150 millions d’années). Pendant les ères tertiaire et quaternaire, le soulèvement alpin fait basculer le massif dans la mer Méditerranée.
Sur le chemin, on remarque la présence de roches bleutées. C’est de la fluorine, issue de la dégradation des rhyolithes par l’eau
Cortège végétal
Pin maritime, C‘est un arbre qui peut atteindre 30 m de haut, qui arrive a maturité vers 40 ou 50 ans, et qui peut vivre 200 ans environ. L’écorce, gris pale chez les sujets jeunes, devient rougeatre puis rougeatre-noir au fil du temps. Les aiguilles épaisses et rigides sont groupées par deux. Elles mesurent de 10 a 20 cm de long, sont persistantes, de couleur vert foncé et luisantes.
Strate arborée Pinus maritima
Quercus suber Exploitation du chene liège Le prélèvement d’écorce se fait a la main. Le chêne est démasclé, on l’entaille a la hauteur désirée ( le double de la circonférence environ.) La première exploitation se fait a 40 ans puis tous les 10 a15 ans. Les chenes-liège jouent naturellement un role de rempart contre l’érosion, la désertification et les incendies qui sévissent régulièrement en région méditerranéenne.
Erica arboressens Arbuste du maquis, aime les sols acides. Les feuilles sont des aiguilles persistantes rela tivement petites, les branches sont dressées
Erica scoparia la bruyère a balais est une espèce de grand arbrisseau de la famille des Ericaceae, une bruyère pouvant atteindre 2 m de hauteur, a floraison verdatre.
Strate arbustive
Helichrysum italicum serotinum
Lavandula stoechas
Euphorbia acanthotamos
Sous-arbrisseaux a tiges et feuilles laineuses, dégageant un fort parfum de curry. Fleurs jaunes en corymbes
En sol acide, la lavande a toupet ou lavande papillon donne une floraison longue et colorée. Elle pousse dans les collines des Maures, de l’Estérel, de la Corse.
C’est une plante ligneuse robuste, très rameuse, a branches formant de grands buissons arrondis et très colorés. Les tiges sont épaisses, rougeatres, nues en bas et marquées par les cicatrices des vieilles feuilles. Elle apprécie les rochers et colline au bord de la mer.
Strate Herbacée
A l’automne, le paysage est très vert. En effet, 90% des végétaux du massif sont persistants
Mer méditérrannée
Cap Dramont ce site se compose de 48 hectares de foret domaniale. Sa position est très en avant sur la mer, les végétaux sont donc en lutte permanente contres les embruns maritimes qui lessivent leur défenses naturelles. On peut y observer un dépérissement de la végétation. Don statut de foret domaniale en fait un espace privé de l’état. Il y a donc un problème d’harmonisation des forets en ce qui concerne la lutte contre les feux. Ici, on peut observer un système de cultures en terrasses. Les fascines permettent de lutter contre l’érosion après un passage de feu.
LE FEU pourquoi les nouveaux incendies sont ils plus dévastateurs que le précédents ? Chaque incendie accélère le processus de désertification et prépare le terrain aux autres ravages. Au départ, la foret est équilibre, avec des espèces d’ombre essentiellement formant des hautes futaies. La strate buissonnante très inflammable ne se développe donc pas. Des feux accidentels ou volontaires (défrichage de terres exploitables) entraine une modification de l’ambiance : la foret disparaît au profit d’une landes herbeuse ou s’immiscent des espèces basses de pleine lumière.
Le mont vinaigrier
Cet espace naturel s’étend sur 32 hectares, le propriétaire est le conservatoire du littoral. Le gestionnaire est le conseil général des alpes maritimes. Dominant la ville de Nice, le mont vinaigrier rythme le paysage niçois et offre un panorama exceptionnel sur le littoral; La baie des Andes et la rade de Villefranche. Autrefois cultivée, cette colline fut laissée a l’abandon puis acquise par le conservatoire du littoral dans les années 70. Ce site présente tous les types de végétation méditerranéenne de la riviera : pelouses, garrigue, pinèdes et chênaie. Tout au long de la découverte du site, on peut remarquer la présence de nombreux vestiges d’une activité humaine ancienne. Terrasses agricoles plantées d’olivier et systèmes d’irrigation forment le paysage de la colline
Organisation générale
Falaise paysage karstique
Plateau chenes verts pin d’alep
Le talus Frenes a fleur
Le domaine se compose de trois entité paysagères distinctes : - le plateau sommital avec se prairie entrecoupée de prairies fauchées. - La falaise d’une grand richesse et diversité biologique. - L’ancienne exploitation agricole en terrasses dominant la ville. Autrefois, les citadins venaient s’y approvisionner en lait, huile, légumes, fruits... On peut encore remarquer les présence des restanques, murs de retenue en pierres sèches construits dans le lit d’un torrent intermittent pour provoquer un atterrissement en amont (tout en laissant passer l’eau) et créer ainsi une terrasse de culture
Terrasses oliviers fruitiers
La réhabilitation de cette exploitation agricole, élément remarquable du patrimoine niçois, a pour but de arder la mémoire des lieux, de la vie des paysans, e l’évolution du paysage et de l’occupation humaine. Concrètement, cela est mis en place grace a la rénovation de la maison du garde, la maison du domaine ainsi que les entrée du domaines signalisée un portail dont les colonnes sont de part et d’autre recouverte de briques peintes et de chapeaux. Personnellement je ne pense pas que la rénovation des portails ajoutent quoi que ce soit a l’identité du lieu. On se demande meme si l’on est pas entré dans un domaine privé les limites sont confuses. Le traitement du substrat du chemin a aussi été soigneusement choisi : il a été compacté avec du ciment (broyé et mélangé avec le substrat) le ciment peut etre coloré ou non pour garder un aspect le plus naturel possible.
Frenes a fleurs
Oliviers
C’est un arbuste poussant dans les garrigues et surtout les maquis des climats méditerranéens. Plante de la famille des Anacardiaceae, a feuillage persistant, elle donne des fruits, d’abord rouges, puis noirs.
Le Pistachier térébinthe est un arbuste de trois a cinq mètres. Ses feuilles caduques sont vertes au printemps, jaunes ou rouge flamboyant a l’automne. Les fleurs unisexuées sont petites, rougeatres en grappes serrées sur les rameaux d’un an. La floraison se fait d’avril a juin. Les fruits ovoïdes, de la taille d’un petit pois (de 5 a 7 mm) et en grappes caractéristiques, sont blancs, puis roses, rouges et enfin bruns a maturité. Il dégage une forte odeur de résine
Pistachio lentiscus
Pistacia terebinthus
Parc de La grand Corniche Les 660 hectares du parc de la Grande Corniche, situé sur le territoire des communes de La Trinité, Villefranche-sur-Mer, Eze et La Turbie, s’étendent du mont Leuse jusqu’au mont Bataille. Il a été concédé au conseil général par l’armée L’ensemble du parc se développe sur des plateaux calcaires bordés de falaises ou baous caractérisés par un paysage ou l’eau a sculpté la roche et dégagé des formes typiques de cette érosion : grottes et gouffres dolines , lapiaz. On y recense 450 espèces de végétaux, dont certaines protégées au plan national, parmi lesquelles figurent le caroubier, l’ophrys de Bertoloni, la lavatère maritime et la nivéole de Nice. En ce moment, un volet d’évaluation st réalisé au sain du plan de gestion. En effet, le parc est traversé par plus de 320 000 visiteurs tous les ans. Le but de l’étude est de comprendre leur déplacements et leur actions dans le parc.
SERRES DE LA MADONE Menton Superficie de 6,5 ha gestionnaires la commune de Menton objectifs de gestion : restaurer la propriété dans l’esprit de son créateur Le site est classé au titre des monuments historiques Extraordinaire diversité de plantes: un tiers du site est consacré a la flore exotique; Deux tiers constituent une forêt méditerranéenne.
Historique du jardin Le reve de Johnston est de cultiver des plantes exotiques. Il visite Menton dans les années 20. Il tombe amoureux de la région et achète le terrain de son futur jardin. Il choisi ce terrain en particulier pour etre plus proche de sa mère ( gestionnaire de la fortune familiale). Des l’acquisition, johnston met toute son énergie e construire peu e peu le jardin des serres de le Madone. A son arrivée, le terrain est une ancienne exploitation agricole composée d’agrumes, d’oliviers, des terrasses de plantation... Il conserve les terrasses tel quel et tente au mieux de conserver ce passé agricole qui pour lui est une inspiration.
Il voyage beaucoup entre les années 25 et 35 en Chine, en Afrique... Il rapatrie des grandes quantités de plantes afin de les multiplier. 12 jardiniers s’occupent de les planter entres les oliviers centenaires, tandis qu’escaliers, bassins, fontaines, statues, patio oriental... complètent son reve baroque. Les années 35 a 39 témoignent de l’apogée du jardin. Il est quasi fini, les visiteurs peuvent y découvrir un collection exceptionnelle e plantes encore inconnues comme Jasminium poliantum, Mahomias... En 1939, johnston repart en Angleterre en laissant tout derrière lui. Le jardin est alors occupé par des botanistes Italiens qui pillent les jardins et les militaires qui le saccage pour récupérer du bois de chauffage.
Johnston revient en 1949, il est alors atteint de la maladie d’alzheimer. Il retrouve un jardin en ruines mais le restaure grace a ses nombreuses relations et 5 jardiniers entre 4958
En 1958 le jardin est aussi beau qu’avant la guerre. Johnston lège le jardin a la fille de sa meilleure amie. Celle ci n’a ni l’argent ni la passion pour entretenir le jardin. Elle vends les statues, vases et plus de 200 plantes. En 1960, elle met la propriété en vente et c’est un milliardaire américain qui la rachète. Passionné par les jardins, il tente de rénover le jardin tout en conservant l’esprit du lieu. Il remplace les collections qui disparaissent ou s’abiment. Il n’a pas d’héritier, un comte suisse rachète le jardin et y organise ses fetes les plus folles.
Inintéressé par les plantes, il remplace les collection proches de la maison par de vastes pelouses et entoure toute la propriété pour ne pas etre vu. En 1975 il repart en suisse et laisse le jardin dans l’abandon. Il n’est pas racheté et se dégrade jusqu’en 86, Il est voué a disparaitre. Il est ensuite menacé par un projet immobilier, la société immobilière voulant tout raser pour construire des logements ainsi qu’un parc de promenade. Une voisine témoin de cela alerte le général aubert qui contacte ses amis au ministère de la culture. Les botanistes et architectes qui viennent sur les lieux remarquent tout de suite l’intéret architectural et botanique du lieu. En 1990, le conseil d’état par décret prononce le placement du jardin au titre des monuments historiques. En 1999, Serre de la Madone est rachetée par le conservatoire du littoral, avec le concours de la ville de Menton, du département et de le Fondation EDF. Le conservatoire fait alors appel a Gilles Clément pour obtenir une ligne directrice de restauration du jardin. Ne transformez pas ce lieu en jardin botanique réservé a une élite, il faut en faire un lieu invitant a la promenade romantique. N’importe quel visiteur doit y trouver son plaisir, il doit etre retenu, se sentir chez lui de jour comme de nuit.’
La réouverture du jardin au public se fait en 2005. Ce jardin anglais est un trésor botanique. La végétation est exotique et exubérante. Néanmoins, la volonté première était de créer un jardin discret dans son environnement. Apres les nombreux abandons qu’a subit le jardin, ce qui reste de la végétation originelle sont les grand arbres. Un des objectif est alors de réinstaller sous les arbres les massifs qui pouvaient exister a l’époque de la création du jardin.
Petite visite guidée Jardin d'ombre Il se compose d'un petit bassin. Le lys de jour vient prendre le dessus sur l'iris du japon. Raégulièrement le tout est arraché et replanté dans les memes proportions. Cet espace est très géométrique, l'ambiance y est humide, fraiche. L'irrégularité et le foisonnement de l'arrière plan vient contraster avec ce jardin.
1
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2C’est
une ancienne serre sans vitres 3 ni toit. En effet, l’occupation allemande a bouleversé le structure du jardin les serres sont saccagées et les plantes sont volées. Un des but de la restauration a été de garder la serre en état et de retracer les différentes époques dont le 3 jardin a été témoin. le chemin qui mène a Au centre de la l’orangerie est un escaserre ouverte se lier sinueux. Les martrouvent maintenant ches sont irrégulières, une foisonnante étroites a l’image d’un végétation composée sentier naturel dans la de palmiers, montagne. Cette zone est de fougères et très ombragée, la végéune collection tation est foisonnante d’euclidias. on y retrouve notamment de nombreuses fougères, iris d’ombre, plantes himalayennes, sarcococa rustifolia, oreopanax euphinum...
4 L’orangerie : Elle a été plantée il y a quatre ans. Il forme un espace très ouvert qui reçoit beau coup de soleil (enfin je suppose...)
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Le bassin principal est au coeur de la partie basse du jardin. Les bordures sont faites en tuf, et on y retrouve une collection de vases d’Anduze. La végétation se compose de plantes aquatiques comme le papyrus, les lotus...
Banksia integrifolia
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Oreopanax echinops
Lorsque l’on remonte vers la maison, On peut admirer une collection de Proteacées remarquable. Cette partie du jardin s’organise en terrasses. On retrouve aussi des plantes Austraiennes ou Afriquaines comme l’amarylis, Standbergia, Rhodophiala...
Arboretum des Cèdres St Jean Cap Ferrat C’est un jardin de collectionneur. Ce domaine s’étend sur une surface de 14 Ha. Il se compose de 10 Ha de parc, d’1 Ha de serres (Sans implantation logique particulière.) et de 4 Ha de végétation méditérranéenne. On peut observer dans ce jardin plus de 14 000 espèces de plantes différentes. La majeur partie des sujets sont plantés dans le jardin, on ne retrouve dans les serres qe les specimens trop fragiles. La villa fu construite en 1830. La propriété est nsuite acquise par Désiré David. Il commence a mettre en place un jardin autour de la maison dans lequel il introduit des nombreuses espèces exotiques. En 1094, Léopold II de Belgique acquiert la propriété de la maison. C’est ensuite Alexandre Marnier Lapostolle qui rachète les Cedres. La structure général du jardin est régie par des règles simples et des lignes épurées. De grandes allées parcourent l’ensemble du jardin, et ce n’est qu’a L’intérieur de chaque petite ambiance que les parcours sont adaptés a l’identité. A De nombreux endroits, le jardin s’ouvre sur la mer, offrant d’impressionnantes perspectives. Faisons un petit tour...
La terrasse Italienne
Lorsque l’on suit le chemin planté de majestueux Washingtonias, on est happé par cette perspective sans fin. Ces escaliers forment une rampe pour le passage de l’eau du haut du jardin vers le petit lac. Cet espace est très ouvert, les plans découpent la vue de facon nette.
Vaste allées de Washingtonias plantés en 1989
Le chemin se poursuit dans une zone très ombragée. Les arbres sont hauts, la lumière transperce peu la densité de la végétation. Lorsque l’on commence a s’habituer a cette ambiance, on est surprit par un large bassin qui s’ouvre devant nous. C’est un bassin en pierre en contrebas du château, l’espace est tres ouvert et le végétation est diverse.
Victorias amazonica, Euryale pherox, Hibiscus coccineus,
On
peut
noter
la
présence
de
nymphéas, lotus, papyrus... La transition avec l’espace précédent est radicale, on est passé d’un ambiance de résineux sombres et fermée a un espace ouvert composé de plantes tropicales.
Vue panoramique sur la méditérranée
Araucaria bidwilli
Allée des Cycas
Encephalartos aurenarius
Encephalartos lebomboensus
Jardin Le Mexicain
La Jungle
La jungle est un jardin qui imite le système de canopée. A 30 m de haut on retrouve des pins parasols, des avocatiers, des magnolias. La canopée intermédiaire se compose d’araliacées, de fougères arborescentes,
Trachicarpus marcianus, Ficus macrophylls, Iodina rhombifolia... Les transitions entre les différentes ambiances sont franches. En 10 m a peine on passe des lianes de la foret vierge aux figiers de barbarie
Les serre
Jardin Thuret Antibes
Ce jardin appartient a l’INRA. Ce jardin a été créé par gustave thuret dans les années 5657. Apres thuret les successeurs se suivent. Naudin, poirault, l’allemand prennent tour a tour possession de l’arboretum. Le jardin est ensuite legé a l’etat qui le redonne au ministère de l’agriculture. L,’INRA est présentement en charge de l’arboretum. Ces multiples abandons et reprises rendent difficile la gestion de cet espace. Néanmoins, la volonté première du créateur est conservée : faire de thuret un arboretum ‘jardin’ en évolution permanente, hôte de nombreuses expérimentations sur l’adaptation des plantes dans ce climat si particulier. L’arboretum est un arboretum d’expérimentations 80 000 espèces méditerranéennes sont testées. Les nouvelles plantations ne sont arrosées que la première année afin d’évaluer leur résistance ainsi que leur capacité a sortir su jardin et coloniser forets et villes. Les espèces ainsi testée peuvent etre alors supprimées et remplacées par de nouvelles. 50 a 100 espèces de végétaux herbacés ou ligneux par an sont testés. C’est un vrai jardin évolutif dans lequel les sujets conservés enrichissent la mise en scène et la cohérence de l’arboretum en tant que jardin. Une grande partie du cortège végétal du jardin se composent de palmiers. Etudions les sujets les plus spectaculaires.
Jubea chilensis Cocotier du Chili Le stipe est large, lisse, gris, pouvant mesurer jusqu’a 5m de circonférence et 25 m de haut. Les feuilles sont pennées, légèrement grisées. C’est une espèce monoïque, les inflorescences portent a la fois les fleurs males et femelles. Le jubea chilensis est originaire des régions chiliennes bénficiants d’un climat méditérranéen.
Marque des anciennes palmes
Butia capitata
C’est un palmier trapu de 6 m de haut max. Les palmes sont pénnées, arquées bleu glauque. La fructiication est intrafoliaireé. Les pinnules sont plates ou en forme de toit. Il vient du sud du Brésil et de l’estreme nord est de l’Uruguay.
Phoenix cnariensis
Dattier des canaries c’est un des palmiers ornementaux les plus répandus en méditérrannées francaise. Il peut atteindre jusqu’a 20 m de haut. Son stipe est large, il porte des cicatrices foliaires importantes. La fructification est orangée, les pinules forment des v. Il est originaire des Canaries ou il pousse sur des sols volcaniques.
Livistona australis C’est un palmier très élancé et fin. Le stipe est solitaire et robuste, il peut atteindre jusqu’a 25m de haut. Il est gris foncé, brun avec de nombreuses fissures verticales. Les feuilles sont palmées, vert foncé sur les deux faces. Le pétiole est rougeatre et muni d’épines noires acérées. C’est un palmier originaire du sud est de l’Australie.
Fissures verticales sur le stipe
Sabal palmeto
Feuille costapalmée
Les palmes sont profondément découpées et filamenteuses. Elles sont d’un vert profond. Les inflorescences sont ramifiées et portent de nombreuses petites fleurs blanches. Les pétioles sont inermes Le stipe est droit, gris et finement crevassé. Il est originaire de floride et de caroline du sud. En Floride, il se rencontre en colonies immenses sur des substrats calcaires et sabloneux. Dans toute son aire de répartition, le climat est tempéré chaud ou subtropical humide.
Autres végétaux particuliers de l’arboretum
Cinnamomum camphora le camphrier, est un bel arbre a feuillage persistant et aromatique, originaire de Chine, de la Corée, du Japon, des iles Taiwan, et quelques autres lieux d’Asie du Sud-Est. Cet arbre peut en milieu propice atteindre de très grandes proportions, avec des hauteurs de l’ordre de 45m et une largeur de 50m. En Méditerranée, dans les zones propices des Etats-Unis et dans les Antilles, cet arbre atteindra des proportions nettement plus modestes, de l’ordre de 4 a 15m. Le camphrier possède un feuillage persistant et coriace. Les jeunes feuilles ont une couleur rosée, puis prennent une teinte vert-claire, avec le revers des feuilles de teinte glauque. Les feuilles sont alternes, et mesurent jusqu’a une dizaine de centimètres de longueur.
Nolina bigelovii Famille des agaves
Jardin Hanbury Mortola
A la limite franco-Italienne, ce jardin dévale jusqu’a la mer en terrasses regorgeant de plantes exotiques d’une richesse exceptionnelle. Le jardin s’étend sur une surface de 25 a 30 hectares. Néanmoins, uniquement 15 hectares sont accéssibles au public, le reste de la propriété étant laissé comme milieu naturel. Par sa position, le jardin abrite de nombreuses plantes exotiques. En effet, les montagnes environnantes et l’exposition favorisent une bonne acclimatation. Les influences du jardin sont nombreuses : chinoises, moresques... La géstion se fait par l’université de Gene
Impressions
Le jardin est apaisant. On se sent enveloppé comme dans un cocon. Les odeurs de géranium, de pin mouillé et de feuilles endormies nous transportent. J’ai des envies d’ailleurs, de voyage a l’autre bout du monde. C’est un endroit qui nous transporte de découverte en découverte en rupture avec son environnement. Ce n’est pas que le jardin ne s’intègre pas a son environnement, je dirais qu’il devient en soi un espace autre , un lieu indescriptible dans lequel on est happé. Seul face a cette végétation luxuriante, on se laisse bercer par le bruit de la pluie sur la capuche, le crissement des graviers sous nos pas et le clapotis des fontaines de ce de la.
Ambiances
CONCLUSION La méditerranée m’apparais maintenant de facon plus complète. C’est un biome complexe prenant des faciès différents suivant sa localisation dans le monde. C’est un paysage fort subissant a chaque instant des contraintes climatiques et humaines fortes. La cote d’azur est un espace modifié au fil des temps par l’homme et ses introduction de plantes exotiques.
BIBLIOGRAPHIE - Carte IGN provence Alpes cote d’Azur - jardins de la méditerrannée, Jean Paul Pigeat - Toute la nature méditerrannéenne, P. Sterry - différents fascicules receuillis tout au long du vayage - http://www.sophia.inra.fr/jardin_thuret/ visite_virtuelle/parcours_mediterranee/ - http://images.google.com/imgres?imgurl= - http://fr.wikipedia.org/wiki/Finbos - http://www.eaufrance.fr/docs/bsh/2007/09/ images/precipitations1.png