f il vert ÉDITO - Octobre 2015 TRANSITION ÉCOLOGIQUE ET DÉMOCRATIQUE : LA VILLE DE LYON EST-ELLE À LA HAUTEUR DES ENJEUX?
LA lettre des élu-E-s Europe écologie les verts et apparenté-e-s de la Ville de Lyon
Les compétences de la Ville de Lyon écoles et crèches équipements culturels
Focus sur la programmation des investissements de la Ville de Lyon pour la période 2014-2020, votée au mois de juin 2015 en conseil municipal.
+ évenements culturels
Le niveau local est un levier important pour agir contre le dérèglement climatique et les investissements de la Ville doivent soutenir la transition écologique.
+ évenements sportifs
Pour répondre à la hausse démographique et pour maintenir l’emploi local, la Ville de Lyon a choisi de continuer d’investir alors même que les recettes publiques diminuent. Seules les compétences de la Ville sont concernées par cette programmation (voir ci-contre). De grands projets inutiles comme le transfert de la Maison de la Danse à la Confluence ont été abandonnés au profit du projet d’ateliers de création dans les locaux du musée Guimet, ce qui répond à de vrais besoins. Les investissements pour l’enfance et la jeunesse (écoles, centres sociaux, crèches…) répondent partiellement aux besoins de services de proximité, surtout pour les crèches où le manque de places est important. Le budget consacré aux aménagements d’espaces verts reste inchangé et contribuera à rendre la Ville de Lyon agréable, respirable et fraiche. En revanche, aucun projet de jardin partagé n’apparait dans la programmation. Ils devront être soutenus dans les programmations annuelles et la réouverture du jardin des Pendarts dans le 1er arrondissement devra être effective rapidement. Le budget consacré à l’écorénovation des bâtiments municipaux est en hausse. Un point d’étape à mi-mandat a été demandé par les élu-e-s écologistes pour que les objectifs pour le climat soient bien atteints en 2020 et si nécessaire décider d’investir plus dans ce domaine. Les élu-e-s ont réaffirmé leur opposition à l’extension de la vidéosurveillance. L’ensemble des dispositifs humains doit être privilégié. La priorité doit être donnée à une réelle participation des citoyens et à la prise en compte des initiatives locales : initiatives citoyennes (jardins partagés, composteurs de quartier...), initiatives sociales (groupements d’achats...) et initiatives économiques pour favoriser les circuits courts (par exemple, les marchés de producteurs comme le projet de la halle de la Martinière). Fort des réserves mentionnées ci-dessus, les élu-e-s écologistes ont voté pour la programmation des investissements et ont demandé une évaluation à mi-mandat. De nouveaux choix et des rééquilibrages pourront être effectués. Les élu-es écologistes de Lyon seront vigilants et force de propositions pour que la Ville réponde aux enjeux de la transition écologique.
équipements sportifs espaces verts éclairage public logement social emploi et mission locale stationnement sur voirie police municipale sécurité
Les compétences de la Métropole de Lyon grands projets et urbanisme + grands parcs habitat et logement + logement social déplacements, voirie et parkings publics collecte et traitement des déchets eau potable et assainissement développement économique enfance et famille personnes handicapées personnes âgées insertion (RSA et Fond d’Aide aux Jeunes) collèges biodiversité et agriculture périurbaine santé publique (lutte contre les pollutions)
© LUc Legay
INVESTISSEMENTS POUR LES économieS d’énergie
Rénovation des bâtiments municipaux : vers la sobriété énergétique
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our atteindre les objectifs de 3X20 en 2020 (réduction de 20 % de la consommation énergétique, réduction de 20 % des émissions de Gaz à Effet de Serre et augmentation de 20 % de la part des énergies renouvelables dans le mix énergique), la sobriété énergétique des bâtiments municipaux est indispensable. La Ville de Lyon s’est engagée dernièrement en faveur des économies d’énergie : une Mission Énergie a été mise en place ; un niveau d’investissement plus conséquent est consacré à la rénovation thermique et la démarche pour obtenir le label Cit’ergie est en cours (outil opérationnel et structurant permet de construire et d’améliorer le programme politique d’actions pour les collectivités, en appui d’un Plan Climat Air Energie Territorial - PCAET). Néanmoins, au vu des enjeux du réchauffement climatique, les objectifs fixés pourraient être plus ambitieux, à l’instar d’autres collectivités.
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n diagnostic thermique individuel a été réalisé pour l’ensemble des bâtiments municipaux dans le cadre du Plan Climat Air Energie – PCAET de la Ville. Il a permis de quantifier et prioriser l’effort à engager pour atteindre les objectifs 3x20 en 2020 dans le cadre de la programmation des équipements de la Ville de Lyon. Ces investissements sont bénéfiques sur plusieurs points : la diminution de la consommation énergétique de bâtiments municipaux (travaux de remplacement ou de rénovation des menuiseries extérieures, rénovation d’installations thermiques, rénovation de réseaux de chauffage…) et le bien-être des habitants et des personnels qui fréquentent ces bâtiments (résidences de personnes âgées, des crèches, des écoles, des équipements sportifs). Un suivi dans ce domaine et un point d’étape à mi-mandat permettront de vérifier si les objectifs peuvent être atteints à la fin du mandat et si besoin d’augmenter le niveau d’investissement nécessaire. Les élu-e-s écologistes veilleront à ce que l’ensemble des projets soit réalisé dans les délais impartis.
Éclairer mieux la Ville
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récurseur dans la réflexion et la mise en place des plans Lumière depuis 25 ans, la Ville de Lyon continue à investir pour les économies d’énergie de l’éclairage public.
Depuis plusieurs années, la consommation électrique est désormais inférieure à celle de 1989, date du premier plan Lumières malgré une hausse de 40% du nombre de points lumineux. A titre d’exemple, un travail sur les économies d’énergie est réalisé pour a Fête des Lumières (0,1 % de la consommation annuelle d’énergie de l’éclairage urbain de la Ville). Au-delà de la rénovation des systèmes d’éclairage existants par le remplacement de matériels moins énergivores et écologiquement plus performants, les transformations se poursuivent : gestion à distance de l’éclairage, adaptation de l’éclairage aux horaires de la nuit, recyclage des sources lumineuses et des déchets d’équipements électriques et électroniques en partenariat avec Recyclum.
INVESTISSEMENTS POUR LE verdissement et L’aménagement de la ville Vers des trames vertes
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a nature en ville contribue à rendre la ville agréable, respirable et plus fraiche. Le budget qui lui est consacré est stable. Il comprend les deuxièmes phases des grands espaces verts réalisés lors du dernier mandat comme les Rives de Saône, le parc Sergent Blandan ou encore le parc du Vallon à la Duchère. Le verdissement et l’apaisement de la ville continuent avec l’aménagement d’espaces verts de taille moyenne qui permettront de mailler la ville.
La 2e phase de la Rue Garibaldi sera réalisée dans ce mandat
Les élu-e-s écologistes demandent la création de véritables trames vertes qui relient entre eux tous les parcs et jardins favorisant le développement de la biodiversité.
Pour plus d’espaces à jardiner en ville
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es projets identifiés de jardins partagés ne sont pas annoncés dans la programmation des investissements.
Il faudra travailler aux côtés des associations et des habitants, pour une politique plus ambitieuse de création de jardins partagés dans tous les arrondissements. La réouverture du Jardin des Pendarts (1er) en sera le premier pas. Des composteurs de quartier dans les arrondissements
Pour répondre aux propositions des habitant-e-s, de nouvelles devront être installés formes et de nouveaux espaces à jardiner devront être expérimenté-e-s dans l’ensemble des arrondissements : cultures sur toits et façades en complément des micro implantations déjà faites en pied d’immeubles, mise à disposition de terrains pour les épiceries sociales et solidaires, bacs à jardiner dans les écoles volontaires… Les installations de composteurs de quartiers doivent également être facilitées. Ils sont trop rares pour le moment et de ce fait, complétement saturés.
Continuer à produire des logements sociaux La Ville de Lyon maintient un haut niveau de production de logements sociaux, plus ambitieux que le cadre réglementaire de la loi Allur. La Ville poursuit également ses objectifs de mixité afin d’atteindre une répartition plus équilibrée sur l’ensemble des arrondissements. Le nombre de demandeurs reste malgré tout élevé et l’effort doit être maintenu.
Pour la période 2014-2016, la Ville de Lyon s’est engagée à produire 4800 logements sociaux, soit 1600/an (au delà de l’objectif de 3600 logements sociaux fixé par la loi)
INVESTISSEMENTs POUR L’Economie de proximité
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es investissements consacrés à la vitalité de l'économie de proximité sont en baisse dans ce mandat mais une partie de ces actions est maintenant reprise par la Métropole.
La priorité doit être donnée à la reconquête et à la revitalisation des rez-de-chaussée commerciaux et au développement des marchés de fin d'après-midi. Pour assurer la pérennité et une conversion au bio des nombreuses exploitations agricoles de la campagne lyonnaise, les actions de soutien sont à renforcer. Les cantines scolaires, maisons de retraite pourraient être approvisionnées en plus grande partie grâce aux productions bio et locales. Des points de vente sont à organiser, telles les AMAP et des lieux comme la Halle de la Martinière ou encore des marchés de fin de journée dans chaque arrondissement. Avec moins d’intermédiaires et des ventes assurées, les prix du bio deviennent plus abordables et le développement des épiceries solidaires rend accessible à tous les produits bio et locaux. Une démarche label qualité, dans la continuité du label « Lyon, ville équitable et durable », avec les producteurs locaux pour accompagner la dynamique de conversion au bio pourrait être initiée. De plus, la Ville de Lyon doit s’appuyer sur l’économie sociale et solidaire pour produire, consommer et entreprendre autrement, afin de distribuer plus équitablement les richesses issues de l’activité économique.
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Damien Clauzel
OPPOSITION aux investissements pour La VIDÉOSURVEILLANCE
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es études démontrent l’ineficacité de la vidéosurveillance (1% des délits élucidés – rapport de la Cour Régionale des comptes).
Le budget consacré à la vidéosurveillance est en augmentation : projet d’extension de la vidéosurveillance de 3 330 000 d’Euros pour le mandat dont 1 300 000 d’Euros d’installation de nouvelles caméras et 2 030 000 d’Euros de maintenance des équipements (qui comprend l’achat de nouveaux écrans et l’extension de la salle de surveillance). Le budget consacré à la vidéosurveillance, représente une trentaine d’emplois qui pourraient bénéficier à l’embauche de policiers municipaux îlotiers, agents de prévention et médiateurs. Aussi, une politique en faveur de l'occupation de l'ensemble des rez de chaussée animant les rues et les quartiers serait plus efficace. La sécurité des Lyonnais passe d’abord par l’ensemble des dispositifs humains, à savoir l’éducation, l’insertion sociale et professionnelle, la prévention, l’animation et la présence de commerces dans les quartiers. Ce budget aurait pu être destiné à la poursuite de l’Internat Favre en lien avec la Métropole ou encore au maintien du dispositif Enfance Arts et Langages, qui sont de bons outils pour lutter contre les inégalités.
INVESTISSEMENTS POUR LA CULTURE, LE SPORT & LA VIE ASSOCIATIVE
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n matière de politique culturelle, les écologistes interviennent pour une répartition plus équitable et dynamique des financements (80% des subventions bénéficient aux grands équipements culturels de Lyon- celles-ci sont gelées pour le mandat) ; plus de développement local (les nouvelles bibliothèques « le quadrilatère » dans le 6e, la bibliothèque de l’ex-friche RVI dans le 3e et la bilbliothèque de Gerland dans le 7e, verront le jour dans ce mandat) et plus d'expérimentation dans tous les arrondissements.
Projet redimensionné pour l’extension de la Maison de la Danse Les élu-e-s écologistes se sont opposés à la construction d’équipements prestigieux et plus particulièrement au projet de transfert de la Maison de la Danse à Confluence. La Ville de Lyon s’est tournée vers un projet d’ateliers de création artistique dans l’ancien Musée Guimet (6e) et a abandonné le projet de transfert de la Maison de la Danse à Confluences ce qui correspond aux demandes des écologistes.
Baisse des subventions aux clubs sportifs professionnels Le modèle économique des grands clubs sportifs professionnels ne justifie pas de recevoir des financements publics. Les clubs sportifs professionnels verront leurs subventions baisser lors de ce mandat. En revanche, des constructions attendues de nouveaux équipements de proximité, comme de nouvelles piscines, ne sont pas programmées.
Les structures d’éducation populaire Les centres sociaux, les MJC et les associations, grâce à la culture et au sport, portent, dans le respect des idées et des différences, l’éducation à la citoyenneté et le mieux vivre ensemble au quotidien. Fort heureusement, le financement de ces structures a été maintenu. Des solutions doivent être trouvées pour combler le manque de structures d’éducation populaire dans certains arrondissements.
INVESTISSEMENTS POUR L’éducation et la petite enfance
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’Éducation est une des missions premières de la municipalité et un enjeu primordial pour une société plus tolérante dans le respect de sa diversité.
Les économies réalisées par la Ville de Lyon ne peuvent concerner l’Éducation qui plus est dans les quartiers défavorisés. La qualité est essentielle, avec une concertation et des moyens à la hauteur de l’enjeu. L’éducation est un investissement à privilégier. En effet, l’attention portée à nos enfants, c’est l’attention portée à l’avenir de Lyon.
Créations et aménagements d’écoles et de crèches La Ville investit 90 Millions d’Euros pour le scolaire et la petite enfance. De nouveaux groupes scolaires aux normes BBC (Bâtiment Basse Consommation) et de nouvelles crèches verront le jour. Les structures existantes bénéficieront d’agrandissements et de rénovations qui permettront une amélioration de la performance énergétique et phonique. 400 nouvelles places en crèche pour ce mandat _Construction de nouvelles crèches : Girondins (7e), PUP Berliet (8e), Joannès Masset (9e), ZAC industrie Nord (9e) _Relocalisations ou restructuration : Augustins (1er), Centre d’échange de Perrache (2e), Rue Desaix (3e), Les Lucioles (3e)
Groupes scolaires _Construction de nouvelles écoles : Poursuite des études Confluence (2e), ZAC Girondins (7e), PUP Berliet (8e) Acquisition foncière pour le groupe scolaire secteur Moulin à vent/Grand Trou (8e), Joannès Masset (9e) _Réaménagements, extensions, accessibilité Michel Servet (1er) : travaux accessibilité Allix (2e): réaménagement Lucie Aubrac (2e) : 2ème phase Léon Jouhaux (3e): extension Gilbert Dru (7e) : 2ème phase Veyet (7e) : 3ème phase Simone Signoret (8e): extension Lumière (8e) : extension restaurant et réfection cour Paul Emile Victor (8e) : extension Berlioz (9e) : regroupement Chevalier Bayard (9e) : réorganisation
Le programme pluriannuel d’équipements prévoit 400 nouvelles places en crèche. Cela répond essentiellement à l’augmentation démographique mais ne permettra pas de répondre à la demande des familles. Les différents modes de garde des jeunes enfants sont à développer : crèches parentales, crèches familiales par la qualification des assistantes maternelles et leur regroupement dans des lieux de travail collectifs (Relais d’Assistantes Maternelles). D’autres types de structures existent ou sont à inventer. L’intelligence collaborative des parents peut permettre de développer des micro-crèches, des haltes garderies, de mutualiser les expériences et de renforcer les amplitudes horaires de garde. Un Plan de rénovation des cours d’écoles a été programmé. Il devra veiller à impliquer les élèves dans la conception des projets de leur environnement et à favoriser la mixité des usages. La Ville doit également répondre aux besoins d’accessibilité des personnes en situation de handicap à tous ses bâtiments dont les écoles et crèches. Un agenda d’adaptation de ces espaces a été programmé et les échéances devront être respectées.
Manger sain, Bio et local à l’école Dans la programmation d'investissements, la Ville de Lyon crée une 7ème tranche de quotient familial qui permettra de maintenir la qualité de l'encadrement. L'optimisation des commandes de repas permettra de diminuer le gaspillage alimentaire. Prochainement, le renouvellement du marché public de restauration scolaire sera l’occasion de redéfinir un cahier des charges exigeant, où les clauses environnementales et les productions locales et bio devront être privilégiées. Les élu-e-s écologistes demandent que dans le prochain marché de restauration scolaire soit mis en place un repas végétarien (repas sans viande ni poisson) mais avec des protéines végétales ayant des qualités nutritionnelles tout autant reconnues et nettement moins lourd en terme d’empreinte carbone.
L’éducation à la santé et l’implication des élèves dans la restauration doivent être promues.
La Ville de Lyon doit prendre ainsi sa part de responsabilité pour organiser et construire un territoire moins émetteur de gaz à effet de serre et soucieux de la santé de ses enfants. Un groupe de travail pourrait être mis en place autour des questions incontournables d’approvisionnement en fruits et légumes locaux issus d’une agriculture paysanne ou bio. Ce groupe de travail pourrait être composé d’élu-e-s émanant de la commission éducation et associer les fédérations de parents d’élèves, les agents encadrant les enfants sur la pause méridienne mais aussi les associations et les structures travaillant les questions d’approvisionnement en local. De plus, le temps de midi des plus jeunes mérite une attention particulière : des espaces de repos doivent être aménagés et les bio-rythmes respectés, pour un temps du repas apaisé et convivial.
Disparition du dispositiFf Enfance, Arts et Langage Aux côtés des apprentissages classiques, l’apprentissage par la pratique de l’art permet aux enfants de s’épanouir, aux parents de s’ouvrir à des expériences nouvelles et aux enseignants de diversifier leurs méthodes pédagogiques.
En 2015-2016, des classes de maternelle bénéficeront encore de la présence d’artistes sur le temps scolaire avant l’arrêt total du dispositif Enfance, Arts et Langage
C’est regrettable que la Ville de Lyon renonce à un programme salué par d’autres villes françaises et par de nombreux éducateurs et chercheurs comme une réussite artistique et pédagogique. La mise en place d’actions artistiques et culturelles sur le temps périscolaire ne peut se faire au détriment de celles existantes sur le temps scolaire.
Devenir de l'Internat Favre La mobilisation pour le maintien de l’Internat Favre, structure d’accueil d’éducation prioritaire implantée dans le 4ème arrondissement de Lyon, a été conséquente. L’annonce au mois de juin 2015 par le Président de la Métropole de Lyon de l’implantation d’un institut thérapeutique, éducatif et pédagogique (ITEP) est une avancée pour l’avenir du site.
Un institut thérapeutique, éducatif et pédagogique (ITEP) devrait s’implanter sur le site de l’Internat Favre dans le 4e arrondissement
S’il est tout à fait intéressant que le lieu reste dans le patrimoine public et soit dédié à un service public accompagnant des jeunes en difficulté, il serait intéressant de reprendre le projet des personnels de l’Internat Favre qui propose d’accueillir des enfants de toutes les communes de la Métropole venant de primaire et collèges et d’inscrire le projet dans le cadre des «internats de la réussite».
le groupe des élu-es EELV et apparenté-e-s de la Ville de Lyon 2014-2020
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3
e
3
e
émeline Baume
Françoise Chevallier
Pierre Hémon
Conseillère du 1 arrondissement de Lyon Conseillère municipale de Lyon
Conseillère du 3 arrondissement de Lyon Conseillère municipale de Lyon
Conseiller du 3e arrondissement de Lyon Conseiller de la Métropole de Lyon Président du groupe des élu-es EELV de la Métropole de Lyon
er
Conseillère de la Métropole de Lyon Conseillère déléguée à la prévention des déchets
3
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Co-présidente du groupe des élu-es EELV de la Ville de Lyon
4
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4
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Anne-Cécile Paris
Etienne Tête
Marie-Agnès Cabot
Conseillère du 3e arrondissement de Lyon
Conseiller du 4e arrondissement de Lyon Conseiller municipal de Lyon
Conseillère du 4e arrondissement de Lyon
Co-président du groupe des élus EELV de la Ville de Lyon Conseiller régional de Rhône-Alpes
5
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7
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Bertrand Artigny
Bruno Charles
Corinne Iehl
Conseiller du 5 arrondissement de Lyon
Conseiller du 7 arrondissement de Lyon Conseiller de la Métropole de Lyon 15e Vice-président de la Métropole de Lyon, en charge du Développement durable, du Plan Climat et de la Biodiversité
Conseillère du 7e arrondissement de Lyon Conseillère de la Métropole de Lyon Vice-présidente du groupe des élu-es EELV de la Métropole de Lyon
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Conseiller de la Métropole de Lyon
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8
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8
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Pascale Bonniel-Chalier
SoniaBoussema-Rouveyrol
Patrick Odiard
Conseillère du 8 arrondissement de Lyon
Conseillère du 8 arrondissement de Lyon
Conseiller du 8e arrondissement de Lyon
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Fatiha Benahmed Conseillère du 9e arrondissement de Lyon Conseillère régionale de Rhône-Alpes
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Fil Vert Publication du groupe des éluEs Europe Ecologie Les Verts et apparenté-e-s de la Ville de Lyon Dans le cadre de la mandature 2014-2020 - N°17 - ISSN 0753-3454 Imprimé à 500 exemplaires par nos soins sur papier recyclé Groupe des élu-es EELV de la Ville de Lyon - 13, rue du Griffon - 69001 Lyon tél. 04 78 39 85 08 - elus.lyon.eelv@gmail.com Directeurs de la publication : Françoise Chevallier et Etienne Tête Suivez l’actualité du groupe : + site internet : http//lyon.eelv.fr + facebook : Elus Lyon Europe Ecologie + twitter : eluseelvlyon