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Université Jean Monnet Master M1 – Patrimoine Sciences Sans Frontières
LES PATRIMOINES SATELLITES À BRASÍLIA EMÍLIA WOLF DE ALMEIDA
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RESUMO – PALAVRAS CHAVE O trabalho a seguir trata da influência do urbanismo encontrado em Brasília na formação das cidades satélites, com enfoque especial na cidade de Ceilândia. Através de um panorama geral sobre Brasília e um estudo de caso de Ceilândia foi possível o levantamento das semelhanças e diferenças da forma urbana da cidade com relação à Brasília. Ademais, são levantados pontos da história de Ceilândia que poderiam contribuir para a sua inclusão na consideração de patrimônio de Brasília.
Palavras-chave: Cidade Satélite, Brasília, Ceilândia, Patrimônio, Candangos.
RESUME – MOTS-CLÉS Le mémoire suivant examine l'influence de l'urbanisme trouvée en Brasília dans la formation des villes satellites, avec l’approche spécial dans la ville de Ceilândia. Par un panorama général sur Brasília a et une étude de cas sur Ceilândia était possible l'identification des similitudes et des différences de la forme urbaine de la ville quant à Brasília. En plus, ils sont soulevés les points de l'histoire de Ceilândia qui pourraient contribuer à sa inclusion dans la considération du patrimoine de Brasília.
Mots-clés: Villes satellites, Brasília, Ceilândia, Patrimoine, Candangos.
ABSTRACT - KEYWORDS The following reaserch to treats of the influence of the urbanisim found in Brasília in the formation of the satellite cities, with special focus in the city of Ceilândia. Through a general panorama on Brasília and a study of case of Ceilândia it was possible to arise de information about the similarities and differences in the urban form of the city regarding to Brasília. Besides, they are lifted up points of the history of Ceilândia that could contribute to her inclusion in the consideration of the heritage of Brasília.
Key-words: Satellite Cities, Brasília, Ceilândia, Heritage, Candangos.
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INDEX
Remerciements.............................................................................................................5 Note d’intention...........................................................................................................6 Liste d’images.............................................................................................................11 Metodologie...............................................................................................................12
Historique...................................................................................................................17 L’expédition Cruls..........................................................................................21 Juscelino Kubistcheck.....................................................................................24
Brasília, projet et construction Rapport du Plan Piloto..................................................................................33 Ville Lineaire x Ville-Jardin...........................................................................60
Villes-satellites Panorama historique.......................................................................................63 Ceilândia.........................................................................................................71
Conclusion..................................................................................................................79 Bibliografie.................................................................................................................81 Webografie.................................................................................................................85
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Remerciements
Aux Candangos, qui ont construit l’utopie À mes parents, Martha et Marcelo, qui ont toujours me soutenu dans mes projets les plus imprevisibles et ambicieux À mes amis du Brésil et de la France, inoubliables, pour m’enseigner beaucoup sur le monde Au gouvernement Brésilien, À la CAPES et au Campus France Pour avoir fourni l’expérience de mon séjour en France À l’Université Jean Monnet, Pour avoir m’accueilli À Michel Depeyre et à Anne-Sophie Granjon, Pour avoir me conseillé dans la conception de cem mémoire Enfim, à les amitiés qui sont ce que j’amène de plus précieux dans ma vie
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NOTE D’INTENTION
1. CHOIX DE STRUCTURE 1.1. ACADÉMIQUE Emília Wolf de Almeida 1.2. NOM DU PROJET DE RECHERCHE Les Patrimoines Satellites de Brasília 1.3. RÉALISATION Université Jean Monnet COMUE de Lyon 1.4. DURÉE De février à juin 2016 1.5. FINANCIER Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior (CAPES)
2. ITINÉRAIRE En tant qu’étudiant dans le cours d’Architecture et d’Urbanisme
de
l’Université de Brasília, actuellement dans le cours Master 1 sur Patrimoine de l’Université Jean Monnet COMUE de Lyon, a partir d’une bourse fourni par le gouvernement Brésilien pour le programme d’échanges Sciences Sans Frontières. Je me pose vivement intéressé dans le domaine de la recherche depuis le début du cours. Dans l’Université Jean Monnet, je trouve la possibilité de pouvoir contribuer pour la recherche en donnant mes connaissances provenant de mes études au Brésil et en France au même temps qu’en les mélanger avec mon regard analytique qui a été raffiné au loin des années dans mon parcours professionel. Habitant depuis seize ans de la ville de Brasília, je me trouve absolument passionnée pour les villes modernes e ces réalités au jour d’aujourd’hui. Vivre dans le rêve moderne brésilien est une expérience dificile d’avoir sans une sorte de fascination. Cette fascination avec l’utopie moderne m’a motivé d’être toujours engagé dans les
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mouvements pour le droit de la ville et pour sa préservation, mais surtout a motivé mes nombreuses études sur Brasília. Au début de mes études à l’Université en 2013, dès mon premier semestre, j’ai eu la possibilité de participer du Centre Académique des étudiants de la Faculté d’Architecture et d’Urbanisme de l’Université de Brasília ce qui me déposait la responsabilité de leur representer face les autorités. En 2014, le gouvernement de Brasília a lancé un projet pour un “Plan de Préservation de l’Ensemble Urbanistique de Brasília.” qui, malgré le nom, ne s’occupé pas du tout à la préservation de la ville et menacé la ville de perdre son titre de patrimoine Unesco. Donc là, après plusieurs études, j’ai eu le privilège d’être entre les dirigeants de l’opposition du projet qui représentait pas seulement les étudiants de la Faculté d’Architecture et d’Urbanisme de Brasília, mais aussi des spécialistes, la population civile locale et la Fédération Nationale des Étudiants d’Architecture – c’est à dire tous les étudiants d’architecture du Brésil. Et dans la fin avec le soutien du Ministère Publique et de l’Institut du Patrimoine Historique et Artistique Nationel, le projet n’était pas approuvé. Après, en 2014, j’ai pu participer de l’organisation du XIIIème séminaire de l’Histoire de la Ville et de l’Urbanisme qui a reçu des spécialistes sur l’histoire de l’urbanisme de tous les coins du Brésil et même d’autres provenances comme le français, Henri Pierre Jeudy. Au début de l’année suivante, j’ai pu aussi donner le cours de soutien qui s’appelait “Brasília, expérience urbanistique: pratique et théorie” où j’ai pu améliorer mes connaissances sur la ville avec le professeur Antônio Carlos Carpintero, le plus grand specialist dans le sujet de le cours d’Architecture et d’Urbanisme de l’Université de Brasília. Dit ça, j’espère pouvoir contribuer le mieux posible pour l’université Jean Monnet avec mes connaissances et expériences précédentes et tout en me posant vraiment envie de les développer encore plus et d’étendre mes compétences. 3. STRUCTURE ET FAISABILITÉ Le but principal de cette recherche et d’analyser les éléments sociales, historiques, économiques, politiques, formels et idéologiques qui rendrent la vie dans une ville produit de l’urbanisme moderne tel quel est aujourd’hui, tout en soulignant un aspect en particulier qui c’est la réalité les villes satellites. On cherche definir
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l’influence exercée par Brasília dans les villes satellites, et peut être leurs influences sur Brasília ou même dans des autres villes. Pour atteindre ce but, il faut diviser la recherche en parties pour bien expliquer le sujet. On commence par introduire le thème avec un historique des évènements qui ont précédé la construction de Brasília, suivi d’une analyse relativement aprofondé du projet d’urbanisme conçu par Lúcio Costa et leurs modifications. Après, on prend le regard patrimonialiste pour discuter un peut sur la formation du concept de patrimoine dans le cas de Brasília. Puis, on expose un panorama general pour ambienter le sujet des villes satellites de Brasília, sa formation, sa structure, sa réalité. Finalement, l’étude de cas de Ceilândia affichera la présence ou la manque de l’influence de Brasília et jusqu’à quel point elle peut arriver. Tous ces études vont aboutir dans la conclusion ultime qui compilera les résultats et lui adressera un positionnement critique. Les étapes de la recherche seront présentées avec des textes expositifs et analytiques, des images, des dessins, des photos et des schémas qui peuvent expliquer le sujet d’une façon plus didactique possible, avec le but de mieux expliquer et bien clarifier les points-clés du questionnement sur lequel on parle.
4. CHRONOGRAME D’ACTIVITÉS Activités 1. Conception, Lecture et Recherche de Base 2. Historique 3. Projet et modifications de Brasília 4. Villes satellites 5. Étude de cas: Ceilândia 6. Conclusion 7. Présentation et diagramation
Février X
Mars Avril
Mai
Juin
X X X X X X X X X X X
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4. LES RESSOURCES INTELECTUELLES 4.1. BIBLIOGRAPHIE La bibliographie sera basée sur des œuvres qui répresentent une contribuition pour qui se trouve des conclusions sur le sujet. En utilisant des études en forme de livres, thèses, périodiques, publications et d’une façon general des documents suffisament solides pour mieux expliquer l’étude. 4.2. LES OUVRAGES FONDAMENTAUX BELCHER, DONALDE J. O relatório técnico sobre a nova capital da república ou Relatório Belcher. 4ª ed. Brasília, CODEPLAN, 1995. BITENCOURT, RICARDO B. A constituição do espaço metropolitano da capital do Brasil. Disssertação de Mestrado. UnB-FAU-PPG. 2005. CARPINTERO, ANTONIO CARLOS. Brasília, prática e teoria urbanística no Brasil (1957-1998). Tese de doutorado. São Paulo, USP-FAU, 1998. CARPINTERO, ANTONIO CARLOS. Paisagem e Política. in: Humanidades. revista. (56):40-51. dez 2009. Brasília, EdUnB. CARPINTERO, ANTONIO CARLOS. Projeto e Política. Relendo Brasília 50 anos depois. in: GAZZANEO, Luiz Manoel (organizador). 2010. Da Baixa Pombalina a Brasília. Iluminismo e contemporaneidade em países e espaços de língua portuguesa - livro III. Patrimônio e Historicidade, Rio de Janeiro-RJ, UFRJ- PROARQ. pp. 78-98. COSTA, LÚCIO. Brasília, Cidade que Inventei ou Relatório do Plano Piloto de Brasília. Brasília-DF, CODEPLAN – ArPDF – DePHA, 1991. COSTA, LÚCIO. Lúcio Costa: registro de uma vivência. Brasília, EdUnB, 1992. CRULS, LUIZ. Planalto central do Brasil ou Relatório Cruls. 1894. 3a Edição. Rio de Janeiro, José Olympio, 1957. DELSON, ROBERTA MARX. Novas vilas para o Brasil colônia. Brasília, Alva & Ciord, 1997. HOWARD, EBENEZER. Cidades-jardins do amanhã. São Paulo-SP, HUCITEC, 1996. JACQUES, PAOLA BERENSTEIN. Estética da ginga, A arquitetura das favelas através da obra de Hélio Oiticica - Rio de Janeiro, Casa da palavra, 2001. LE CORBUSIER. Urbanisme - Champs arts - Édition Arthaud, Paris, 1980. LE CORBUSIER. La Charte d’Athènes - Points - Éditions de Minuit, Paris, 1957.
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MADOZ, KENIA DE AMORIM. Paranoá: ambiente natural e urbanização. Dissertação de Mestrado. UnB-FAU-PPG. 2004. Disponível no CEDIARTE. MONTANER, JOSEP MARIA; MUXÍ MARTINEZ, ZAIDA. Arquitectura y política, ensaios para mundos alternativos - Gustavo Gili, São Paulo, 2014. MONTANER, JOSEP MARIA. A modernidade superada, ensaios sobre arquitetura contemporânea – Gustavo Gili, São Paulo, 2011. REIS, NESTOR GOULART. Quadro da arquitetura no Brasil. São Paulo, Perspectiva, 1970.
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LISTE D’IMAGES: Figure 1 Quadrilatre du futur District Fédéral défini par la Mission Cruls ............... 22 Figure 2 Trajetoire de la Mission Cruls par l'intérieur du pays .................................. 23 Figure 3 Juscelino en train de montrer les principales routes du plan routière ........... 29 Figure 4 Croquis du Rapport du Plan Pilote ............................................................. 34 Figure 5 Croquis du rappor du Plan Pilote ................................................................ 35 Figure 6 Schéma des Secteurs du Centre de Brasília ................................................. 37 Figure 7 Schéma des échelles de Brasília ................................................................... 38 Figure 8 Schéma des échelles de Brasília ................................................................... 39 Figure 9 Croquis du Rapport du Plan Pilote ............................................................. 40 Figure 10 Croquis du Rapport du Plan Pilote ........................................................... 42 Figure 11 Croquis du Rapport du Plan Pilote ........................................................... 48 Figure 12 Croquis du Rapport du Plan Pilote ........................................................... 49 Figure 13 La pelouse central de l'esplanade ............................................................... 50 Figure 14 Croquis du Rapport du Plan Pilote ........................................................... 50 Figure 15 Capture Satellite de l'esplanade ................................................................. 52 Figure 16 Le congrès national.................................................................................... 53 Figure 17 Esplanade des Ministères .......................................................................... 55 Figure 18 Croquis du Rapport du Plan Pilote ........................................................... 56 Figure 19 Croquis du Rapport du Plan Pilote ........................................................... 57 Figure 20 Schéma de la numération des superquadras ............................................... 58 Figure 21 Schéma des régions administratifs de Brasília ........................................... 64 Figure 22 Image de la conurbation de Brasília dans le sens sud ................................. 68 Figure 23 Carte de Hiérarchie Routière de Ceilândia. .............................................. 74 Figure 24 Schéma d'usages et ocupations du sol de Ceilândia ................................... 77
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METODOLOGIE Pour prêter l'appui aux questionnements posées par la recherche, l'élaboration des textes penchera sur des documents officiels, des dissertations de graduation et de master de l'Université de Brasília, les textes du professeur Antonio Carlos Carpintero - un des plus grands spécialistes du sujet de l'Université de Brasília - les articles de journaux pertinentset les enregistrements photographiques qui traversent la temporalité du sujet. Toutes les références ont été méticuleusement choisies prenant en compte la pertinence pour le thème à être approché. Il était toujours vérifié les sources du matériel utilisé tout en prenant l'engagement à la maxime l'impartialité possible, dans une tentative constante de relativizer ce qui est approché par l'interprétation de contexte. La recherche sera divisée en six parties pour contribuer pour le didacticisme et la meilleure compréhension du sujet. La division s’est fait dans l'introduction; le historique; le projet et leurs modifications; la formation du concept de patrimoine en Brasília; le panorama historique des villes satellites; un étude de cas de Ceilândia; et finalement la conclusion. Premièrement il sera fait l'analyse de quelques œuvres officielles qui traitent sur le thème de Brasília. Parmi celui d'importance principale se trouvent le Rapport du Plan Pilote et le Rapport Cruls. Le Rapport Cruls était un rapport de reconnaissance du territoire produit par une commission nommée en 1892 pour la république récemment installée au Brésil. Ce rapport définit le rectangle qui abrite la capitale fédéral aujourd'hui et cela a d'énorme importance pour une bonne compréhension du problème entier qui inclut Brasília. Le rapport est résulté d'une expédition des spécialistes qui aviez comme la mission l'analyse de l'intérieur du territoire brésilien et finalement la définition la zone de meilleure qualification prenant en compte des aspects géographiques, sociaux, économiques, politiques et pratiques. Évidemment, l'exposé ne sera pas plus qu'un résumé analytique pour les fins proposées. Cependant, on expliquera le texte de 1892 correctement, se détachant les points principaux de pertinence pour la recherche. Pour bien adapter et contextualizer le moment qui va depuis jusqu’après le rapport Cruls jusqu'au moment où en fait il est démarré le processus de construction de la nouvelle capitale, ils seront remarqués les moments politiques du gouvernement
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de Juscelino Kubistcheck qui organise son gouvernement d'une telle façon de directioner la construction et la mise en œuvre de la nouvelle capitale. Il faut comprendre le moment que le Brésil a vécu pour compredre pas seulement les decisions de projet urbain de Brasília, mais aussi tous les les facteurs responsables pour leurs modifications et l'image qu’on trouve dans la capitale aujourd'hui. Dans le chapitre suivant ce qui sera analysé sera une autre oeuvre officiel et original sans laquel ne serait pas possible parler de Brasília: le Rapport du Plan Pilote. Il est traité d'un mémorial explicatif du plan de Lúcio Costa pour la ville, exactement ce qui a été présenté pour la commission de jugement du concours de Brasília. On cherche ici présenter le concept de l'Utopie de Brasília, telle comme elle a été idéalisé pour fonctioner. En présentant le plan pilote de Lúcio Costa on présente aussi, dans des parties, la Brasília qui a été construit parce que, même avec toutes ses modifications la similitude avec ce qui était proposé par le plan original est toujours incroyable. Peu après on examinera la construction et les modifications faites dans le projet avec le soutien des textes du professeur Antônio Carlos Carpintero publiés dans le CREA-DF. Cette série de textes du professeur de l'Université Brasília et le spécialiste dans le soujet fait toujours une connexion entre le projet, le moment dans lequel il a été pensé, les idées de Lucio Costa et ce qu'on peut voir actuellement dans le contexte brasiliense. Autrement dit, les textes, d'une façon générale, promeuvent la compréhension du cadre socio-spatiale actuelle de Brasília a partir des implications historiques, de la chronologie des évènements et des changements qui sont arrivés dans la ville. C'est ici où on introduit le thème des villes-satellites depuis ses apparitions au temps de la construction de la capitale. Dans cette étape le texte concernant le projet original de Lúcio Costa sera revisité et les modifications élémentaires principales dans le projet qui interfèrent dans les elément originels du plan idéalisé seront ajoutés. Cette décision a été faite pour favoriser le didacticisme de la lecture, autrement dit, dans le même moment dans lequel on mentionné ce qui a été imaginé on explique leurs modifications bientôt peu après dans ce qui a été construit pour pas interrompre le flux de pensée et pour éviter les reprises de sujets mentionnés à beaucoup de pages d'antécédence.
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Ensuit, il sera soulevé un panorama sur les villes satellites, un peu de sa formation et un peu du cadre actuelle. Malgré la volonté de s'approfondir mieux dans le thème, il s’agit d'un thème extrêmement vaste à être approché d'une façon complète dans ce travail. Quand même, le panorama rapide doit prêter l'appui aux augmentations suivantes et donner une notion de base de la réalité de la périphérie géographique de Brasília Avec la clarification de la formation des villes satellites finalement on peut soulever ce que soit peut-être les grands questions de cette mémoire: à qui appartient vraiment le patrimoine de Brasília? Serait-il possible de considérer l'existence de patrimoines satellites à Brasília? Auraient-ils en sa forme et fonction des urbanismes reçus des influences de Brasília? Exerceraient-ils mêmes un certain type d'influence? Ici on cherche montrer un peu plus que la carte postale de la ville, détachant les aspects de l'histoire et de la réalité des habitants de la ville, s avie, son accès ou sa restriction au super patrimoine moderne et surtout l'exercice d'influence de Brasília sur le cas étudié. L'étude de cas servira d'un type d'exemple de l'hypothèse de l'influence moderniste de Brasília sur la formation des villes satellites. Finalement, il sera exposé une conclusion qui viendra pour adresser l’ensemble de ce qu'a été soulevé le long du travail à un positionnement critique et analytique sur les hypothèses soulevées.
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«Je suis tombé complètement dans la réalité, et un des réalités qui ont m’ étonné était la gare routière, à la tombée de la nuit. Je répétais toujours que cette plate-forme routière était la ligne d'union de la métropole, de la capitale, avec les villessatellites improvisés dans la périphérie. C'est un point forcé, où cette population entière qui vit hors-ville entre dans le contact avec la ville. Alors j'ai estimé ce mouvement, cette vie intense des vrais brasilienses, cette masse qui vit hors-ville et converge pour la gare routière. Cela y a leur maison, c'est l'endroit où ils se sentent à l'aise. Ils même s'attardent, le retour pour la ville-satellite de la ville et ils restent là, buvants à petits coups. J'ai été étonné de la bonne disposition de ces visages sains. Et «le centre d'achats» alors, marche jusqu'à minuit. Ceci tout est très différent de ce que j'avais imaginé pour ce centre urbain, comme une chose raffinée, un peu cosmopolite. Mais ce n'est pas. Qui a l’pris c’étaient ces vrais Brésiliens qui ont construit la ville et ils sont là légitimement. Seulement le Brésil. Et j'étais fier de cela, j'ai été satisfait. C’est ça. Ils sont avec la raison, c’est moi qu’il a eu tort. Ils s'en sont occupé de ce qui n'a pas été conçu pour eux. C'était un bastille. Alors j'ai vu que Brasília a les racines Brésiliennes, vraies, elle n'est pas une fleur de serre comment elle pourrait être. Brasília marche et marchera de plus en plus. En fait, le rêve était plus petit que la réalité. La réalité était plus grande, plus belle. J'ai été satisfait, je me suis senti fier d'avoir contribué.»
Lúcio Costa, le 30 mars, 1987.
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HISTORIQUE Les évenements qui ont précédé Brasília.
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HISTORIQUE
C’était dans la contituition de 1891 que la construction d’une nouvelle capitale dans l’interieur du pays a été mentionée dans la première fois. Dans la récent instalée Republique des États Unis du Brésil, la constituition de 1891, fortement influencié par laquele des États Unis a été la deuxième constituition du Brésil étant la première republicaine, en aménant avec elle même le grand simbole de la transition de la monarchie pour la Republique. Déjà dans son troisième article ele établissait:
"Art. 3ème. Appartiennent à l'Union, dans le plateau central de la Republique, une zone de 14.400 kilometres carrés, qu'il sera délimité, pour en elle établir la Capitale Fédéral futur. Paragraphe Seule. Effectuée le changement de la Capitale, l’actuel District Fédéral commencera à constituer un État.”1
Les raisons au transfert de la capitale sont les plus divers, mais, parmi eux certains se détachent avec la plus grande importance. À ce moment-là la protection de la capitale était un sujet autant qu'urgent, tout en gardant en tête l'installation de la république et le besoin d'éviter des attaques militaires possibles. L'emplacement côtier de la capitale, à ce moment-là représenté une décision autant qu'ambigu. Sur un côté il était où se trouvait le plus grand pôle de développement social, économique, urbain et démographique du pays mais d'autre part c'était un emplacement qui a laissé le gouvernement extrêmement susceptible à n'importe quelles attaques ou coups d’états et de telles rébellions latentes dans un changement de système gouvernemental comme celui qui est arrivé dans le moment. La technologie guerrière du temps consistait en artillerie en canons qui pourrait être embarqué dans des bateaux ou chargés par terre. Étant la deuxième bien plus lentement, facilitant la défense ou une contre-attaque de la part des attaqués. La ville du Rio de Janeiro a jusqu’à aujourd'hui, mais il y avait surtout à ce moment-là, un paysage marqué par la mer. Dans plusieurs parties de la ville la mer est comme un interlocuteur extrêmement proche et présente toujours dans le quotidien de la ville. 1
Passage retiré de la publication original de la Constituition de 1891 traduit.
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Des attaques marines étaient, donc, une gros préoccupation de menace, étant donné qu’un attaque ne détruirait pas juste la facilement la plupart de la ville, mais aussi bien que les domaines principales de concentration du siège social du gouvernement et du pouvoir. C'est une image extrêmement tendue pour la situation d'une capitale, en sachant que les principaux ennemies et les menaces du nouveau régime gouvernemental installé venaient de l'étranger et de l’ultra-marinent, c'était la couronne portugaise ou même d'autres pays avec des intérêts au Brésil. Le transfert de la capitale pour l'intérieur du pays résoudrait le problème, vu que les attaques pourraient seulement être faites par terre ce qui les a tournés suffisamment lentes pour être contenu avec plus de facilité.
La décision de Floriano Peixoto, sans aucun doute, devrait aussi être lié aux menaces que le régime a vécu en conséquence de la révolte de la Marine, le 23 novembre 1891, qui a laissé tomber Deodoro de Fonseca, quand le vice-amiral Custódio de Melo(1840-1902), ministre de la Marine du 23 novembre 1891 le 30 avril 1893, il a commandé une rébellion de trois bateaux au Rio de Janeiro. Si la propre Marine brésilienne a menacé le gouvernement brésilien installé dans la capitale carioca, il pourrait imaginer le danger d'une attaque ennemie dans la baie de Guanabara.2
D'autre raison importante pour le changement de la capitale, faisait rarement des remarques sur des œuvres officielles, c’est que l'éloignement du gouvernement des grands centres démographiques du pays devrait aussi protéger le gouvernement de révoltes populaires ou des rébellions possibles contre le gouvernement. Ce facteur viendrait devenant très utile pour les dirigeants pendant la dictature militaire au Brésil entre 1964 et 1985, dont le gouvernement déjà installé à Brasília profiterait de la distance des grands centres démographiques et de quelques élements urbanistiques et les architecturaux de la ville pour maintenir le contrôle de la population. L'alternative de créer un siège du gouvernement isolé des grands centres a souvent comme produit 2 Texte de Ronaldo Rogério de Freitas Mourão sur le rapport de la comission exploitante du Plateau Central du Brésil.
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un type de société qui est d'une façon générale, dissociée des sujets politiques qui a comme l'outil principal l'éloignement du contact quotidien avec l'univers politique de la part des grandes masses. Ce qui est toujours plus secure pour la maintenance des structures conservateurs de pouvoir que perpetuent un certain status quo. En plus, la détermination constitutionnelle a aussi examiné un sujet de souveraineté nationale. On considère que dans le cadre temporel de la fin du siècle XIX, le Brésil - aussi bien que dans la plupart de sa histoire - a été juste peuplé dans la côte. Rio de Janeiro, Salvador, Recife, Fortaleza, Belém et même São Paulo (avec le port de Santos), ce sont toutes les villes côtières. L'intérieur n'a été réservé que pour des zones rurales et pour des populations non-blancs, ce qui a créé une très grande spéculation sur le territoire national et il a réveillé des avidités externes sur les potenciels richesses à être exploré là bas. Depuis les temps du traité de Tordesilhas signé en 1494 parmi la couronne portugaise et l'espagnole qu'il a été en vigueur jusqu'à 1750, le territoire sud-américain a présenté une définition un autant que nébuleuse quant à leurs frontières. Le traité définit une ligne imaginaire qui traverserait tout le continent d'accord avec les déterminations suivantes :
...une ligne droite de pôle à pôle, a partir du pôle arctique jusqu’au pôle antartique qui est vers le nord au sud. Que l'on doit donner aux rayures ou la ligne et donner le droit, comme dit il est, à trois cent soixante-dix lieues des îles du Cap-Vert, la partie du ponente, pour des degrés ou pour d'autre façon comme mieux et plus prêt il se peut donner... (Traité de Tordesilhas)3
Autrement dit, la frontière a été définie par des paramètres absolument douteux et flous et tout qu'il y avait de plus précis était un type d'estimation ou de la spéculation sur quel territoire a appartenu à qui. En pratique ce qu'il définirait la propriété de la terre était sa occupation et c’est pour cela le besoin de se disperser pour l'intérieur du continent, et augmenter territoire national. C'était pour ça aussi que a partir de 1750 le traité a été abandonné et institué que la terre appartiendrait à qui la occupent, intensifiant la course pour des territoires. 3 Traité de Tordesilhas
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Même si les deux empires sont restés pour la plupart dans la côte et s'ils ne se sont pas aventurés beaucoup pour l'intérieur du continent, l'intérêt dans l'agrandissement de leurs empires coloniaux respectifs, leurs domaines d'influence et d'exploration étaient évidemment très présente. L'occupation de la zone centrale du pays arriverait vraiment seulement d'une façon solide et profonde après le changementde la capitale pour le centre, parce que même dans les moments les plus remarquables de l'expansion pour les zones non-côtiers du pays (comme avec les pionniers ou dans les cycles d'exploration de l'or et des minerais) on ne voyait pas le centre du pays comme un super pôle de dévéloppement ou urbain. Le centre, dans la mentalité des gen, a été réservé pour le milieu rurale, pour les endroits d'exploration de ressources, pour des aventuriers et, d'une façon générale, un territoire inconnu dans lequel personne ne connaissait vraiment qu’est-ce que il y avait là. Comme ceci, les express de spéculation externe sur les potentiels richesses à être explorées supplémentaire avec la souveraineté territoriale fragile d'un régime républicain récemment installé étions de facteurs propulseurs de l'ordonnance de la constitution de 1891 sur le transfert de la capitale. Le développement du plan du changement de la capitale est un réflexe du cadre sociale et politique de la première république. Le moment de rupture avec l'empire et leurs structures de pouvoir inclurait aussi pour rompre avec sa villesymbole. Dans le contexte de conflits pour la commande de la République entre les militaires positivistes et les libéraux, le transfert de la capitale était la configuration spatiale équivalente pour la centralisation proposée par les positivistes. Mais il a aussi réprésenté, une décision militaire de l'occupation du territoire national a partir des hauts endroits dans le centre du plateau brésilien, tout en réutilisant une typologie des stratégies provenants de l'occupation portugaise du début de la colonisation brésilienne.
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L’EXPEDITION CRULS
Sous comande du président de la république, Floriano Peixoto, qui décide de donner la poursuite immédiate avec la détermination de la constitution de 1891, le ministre des Travaux publics assigne au directeur de l'Observatoire national, Luiz Cruls, la mission de délimiter le domaine qui devrait être occupée dans l'avenir par la capitale de la république. Est défini alors, le 17 mai 1892, une commission responsable de proceder les études indispensables pour la connaissance de la position du domaine à être délimité prenant en compte les aspects indiqués dans le passage suivante: “Dans l'observance à la disposition de l'article 3ème de la Constitution Fédérale et donner l'exécution à la résolution du Congrès national qui a entériné dans la loi du budget en vigueur destiné à l'exploration du plateau central de la République et de la démarcation du domaine qui doit être occupé pour l'avenir la capitale des États-Unis du Brésil, est dans cette date nommée la Commission confiée de telles travaux, dont la direction est confiée à votre connu zèle et la compétence prouvée. Dans l'acte d'une telle mission importante vous devriez continuer aux études indispensables à la connaissance de la position astronomique du domaine à délimiter, de l'orographie, hidrografie, des conditions climatologiques et hygiéniques, la nature du terrain, la quantité et la qualité des eaux, qui devraient être utilisés pour le ravitaillement, des matériels de construction, la richesse forestière, etc du domaine explorée et tout plus que directement se lie avec le sujet qui constitue l'objet de votre mission” 4(CRULS:65)
La mission de Luiz Cruls devait, donc, réaliser ces déterminations dans une sorte de rapport qui montrerait le meilleur site possible pour l'installation de la nouvelle capitale. Pour cela la commission, composée par 22 hommes choisis parmi des professeurs et des ingénieurs-militaires de l'École Supérieure de Guerre, en plus des astronomes et les serviteurs de l'Observatoire Astronomique national [1], qui viendrait pour explorer le plateau central et avec la technologie disponible à ce moment-là avec le but de définir le quadrilatère qui comprendrait le District fédéral.
4 Passage retiré du document ofitiel du Rapporte Cruls
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L'expédition de la première mission Cruls est parti du Rio de Janeiro en juin 1892 après l'itinéraire pour chemin de fer jusqu’à Uberaba (point final des rails des chemins de fer du pays à ce moment-là) et après a suivi le cours avec d'animaux cargos jusqu’à Pirenópolis, Santa Luzia et Formosa [2]. À un voyage qui a duré 13 mois il a été soulevé une quantité monumentale d'informations, des mesures, des enquêtes, des cartes, des images, des échantillons de sol, des échantillons de flore et la faune. On les a découvert comme ceci, les accidents géographiques de grande importance environnementale comme les eaux chaudes de Caldas Novas, le Salto do Itiquira - une des cascades les plus hautes du pays - mais sur tout ce qu'ils ont découvris c’est des sources d’eau connues comme “les eaux amendées”. Cette dernière découverte a représenté un des plus grands facteurs pour le choix de la région comme il a arrivé. Les sources d'Eaux Amendées représentent les sources des trois plus grands et plus importants bassins hidrografiques brésiliennes, étant eux celui du fleuve Amazonas, São Francisco et Paraná. Reste défini, donc, "le rectangle Cruls" de 160km pour 90km la définition d'une zone de 14400 km2 compris parmi les villes de Pirenópolis, Santa Luzia et Formosa contenant les sources des fleuves Amazonas, São Francisco et Paraná. Il est fait l'officiel par le Congrès national la zone délimitée pour baser le District fédéral futur, rejetant les propositions d'exploration d'autres zones. En faisant avec cela que "le rectangle Cruls" apparîtrait dans tous les cartes du Brésil.
Figure 1 Quadrilatre du futur District Fédéral défini par la Mission Cruls
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Figure 2 Trajetoire de la Mission Cruls par l'intérieur du pays
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LE GOUVERNEMENT DE JUSCELINO KUBISTCHEK La construction de la ville de Brasília a été annoncée officiellement juste dans la campagne électorale du président Juscelino Kubistchek, en 1955. En reprenant la promesse faite par Getúlio Vargas dans le mandat précédent, la campagne de Juscelino a été directionée la plupart dans la construction de la nouvelle capitale et s'est déroulé par un slogan charismatique de dévéloppement que l'on a connu comme "les 50 ans dans 5". Né le 12 septembre 1902 dans Diamantina, une ville de l'intérieur de l'état de Minas Gerais, Juscelino Kubistchek a travaillé comme médecin et officier de la police militaire avant sa carrière politique. En 1920, après concluir l'enseignement de base il s'est déplacé pour Belo Horizonte, la capitale de l'état de Minas Gerais et en 1927 il a été diplomé dans l'Université Fédérale de Minas Gerais dans le cours de médecine. En 1930, il a fait une spécialisation à Paris et un stage à Berlin. L'année suivante, de retour au Brésil, il s'est marié et il est entré dans la police militaire comme docteur. En 1932, avec ce qu'on appel la “Revolução Constitucionalista” 5, Juscelino a été convoqué pour travailler comme le docteur des troupes minières dans la Serra da Mantiqueira où il a conquis la sympathie des militaires et il a établi des contacts comme Benedito Valadares. En 1933, avec la mortu du gouverneur de Minas Gerais l, le président Getúlio Vargas a nommé Benedito Valadares pour le poste qui a nommé Juscelino Kubistchek pour le poste de chef de cabinet. Même s’il a été nommé par
5 La “Revolução Constitucionalista de 1932” (où en français “La Révolution Constitionaliste de 1932”) était un conflit armé dans l'état de São Paulo qui avait comme l'objectif de faire tomber le gouvernement de Getúlio Vargas. Le gouvernement de Getúlio Vargas a été considéré illégitime en raison des événements de la Révolution ou du Coup de 1930 qui on mis la fin dans la Première République, empêchant l’investure du président élu Júlio Prestes et établissant un gouvernement provisoire dirigé par le candidat battu, Getúlio Vargas. La révolution ou le coup de 1930 sont arrivés en raison des évenéments qui ont mis fin à la politique du café au lait. La politique du café au lait a consisté dans une alliance parmi les directions politiques de l'état de São Paulo (la grande production de café) et de l'état de Minas Gerais (la grande production de lait) qu’a cherché une alternance de mandats des présidents de São Paulo et de Minas Gerais pour défendre les intérêts de l'élite agraire du pays. Cette politique qui est arrivée depuis 1898 avait sa fin quand l'oligarchie de São Paulo a indiqué la candidature de Júlio Prestes après le mandat de Washington Luís qu'était aussi un représentant de São Paulo, se cassant comme ceci, l'accord avec la direction politique minière qui a décidé soutenir l'ascension de Getúlio Vargas.
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l'imposition et initialement n'avait pas d'intention d'assumer le poste, c'était comme ça que Juscelino a commencé sa carrière politique. Dans le charge, Juscelino était responsable de plusieurs travaux publics, parmi eux des routes, des ponts et de la conservation des constructions historiques de sa ville natale, Diamantina. Avec cela, il a augmenté sa popularité, arrivant pour être le député le plus voté de Minas Gerais dans l'année suivante. Il exerce son mandat jusqu'à l'année de 1937 où le coup du Estado Novo (Nouvel État) fermerait le Congrès National. Trois ans plus tard, en 1940, Juscelino a été nommé de nouveau par le gouverneur de l'état de Minas Gerais, cependant dans cette fois comme le maire de la capitale de l'état de Minas Gerais, Belo Horizonte. Inopinément, Juscelino a réussi à maintenir sa carrière médicale en même temps que sa carrière politique et il a arrivé au poste de docteur-lieutenant-colonel de la police Militaire de Minas Gerais toujours dans la même année. Il est devenu connu par la population comme "le maire ouragan" en raison de leurs innombreables travaux publics qui sont venus pour inonder la ville des modifications urbaines. Ils ont été construites des importants avenues, ponts, quartiers, hôpitaux, des œuvres de culture, des travaux d'assainissement de base et d'une façon générale, des travaux qu’ont intégrée le centre-ville aux noyaux de population périphériques et de la banlieue. Le rappel du temps qu’il a vécu à Paris avec leurs amis artistes modernes comme Cândido Portinari, vien quand JK6 entre en contact encore une fois avec l'esthétique moderne prêtant l'appui pour Oscar Niemeyer dans la construction des œuvres comme l’ensemble de Pampulha, par exemple. À ce moment là, un contact de confience et d'une extrême importance est établi pour que la construction de la ville de Brasília soit devenu possible. Avec la fin de Seconde Guerre Mondiale, en 1945, c'est arrivé au Brésil aussi la fin de ce qu’on a appelé le Estado Novo(le Nouveau État), le régime dictatorial de Getúlio Vargas. Avec la redémocratisation du pays, tous les dirigeants qui avaient été nommés et pas élus de façon democratique ont été forcé à quitter leurs postes et cela incluait également le maire Juscelino Kubistchek. La même année, il a été élu comme député fédéral et il s'est déplacé pour la capitale de ce temps, Rio de Janeiro, jusqu'à la fin de son mandat en 1950. Toujours en 1950, il a présenté sa candidature pour 6 JK -‐ Juscelino Kubistchek
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gouverneur de l'état de Minas Gerais avec la promesse de campagne d’accomplir des améliorations des secteurs d'Énergie et de Transport. Élu avec 56,77 % des votes, JK assume en janvier 1951 et le long de son mandat il met en œuvre la création de l'Entreprise d'Énergie de Minas Gerais, de 5 stations d'énergie hydro-électrique, environ 3mil kilomètres d'autoroutes, 251 ponts et 120 centres médico-sociaux. Avec la consolidation de toutes ces travaux le développement de l'industrie a été stimulé, étant mis en œuvre et jusqu’à 1954 un réseau de métallurgie pour "l'Industrie sidérurgique de Mannesmann", une entreprise allemande, qui viendrait pour marquer la présence du capital étranger à l'intérieur de l'état. Évidemment, pour que toutes ces travaux étaient vraiment construites la population a dû faire face aux hauts taxes de l’état et une présence forte du capital étranger dans le marché intérieur qu’a crée une super dépendance quant à la situation économique des autres pays. Quoi qu’il en soit, sa image publique était extrêmement positive et à la fin de 1954 il renonce au poste de gouverneur de Minas Gerais, et laisse son vice-gouverneur et sa popularité dans Minas Gerais comme de principaux alliés pour annoncer sa candidature à la présidence. Finalement, dans les élections de 1955, Juscelino Kubistchek a été élu et il a gouverné du 31 janvier 1956 au 31 janvier 1961 en se consacrant juqu’à la fin de son mandat à la tentative de l'exécution de sa proposition de campagne principale, la construction de la nouvelle capitale du pays. Juscelino Kubistchek a été choisi comme le président dans le Partido Social Democrático7, dans un groupe politique dont il a été allié avec six d'autres partis. Il a été élu avec 35,6 % des votes et il a fait face à une tentative d'annulation de l'élection de la part de l'opposition qui a allégué que le président n'avait pas obtenu la majorité absolue des votes. Avec ce pourcentage de votes, Juscelino était toujours très proche du pourcentage de son principal concourrent, Juarez Távora, du parti de la União Democrática Nacional 8, qui avait rassemblé 30,2 % des votes de l'élection présidentielle. Ce pourcentage, si près de celui de JK, a permi que l'opposition ait revendiqué l'annulation de l'élection, en plus de cela parce qu’il était le pourcentage le plus petit de votes présidentiels depuis 1945. Même si la tentative d'annulation des élections de 1955 n'a jamais été faite vraiment, 7 Parti Social Démocratique(PSD) 8 Union Démocratique Nationale(UDN)
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grâce à l’intervention du ministre de la guerre, ce fait doit donner une notion de base de la scène politique brésilienne du temps où la UDN avait tant de pouvoir que le PSD qu' a élu Juscelino, aussi bien qu'une grande popularité de la part des électeurs brésiliens.Tel que s’est arrivé que le président qui viendrait après Juscelino Kubistchek, Jânio Quadros, faisait partie de leurs adversaires principaux et était soutenu par l’UDN. L'intervention du ministre de la guerre, le général Henrique Teixeira Lott, a consisté dans un soulèvement militaire arrivé en novembre 1955. On peut facilement considérer de cette intervention un coup militaire sachant qu'elle était responsable de la déposition du président provisoire Carlos Luz, membre de l'UDN et il a mis le pays dans l'état de siège jusqu'à la prise de fonction de Juscelino. Juscelino Kubistchek est devenu connu dans l'histoire du pays en raison de son plan ambitieux des buts qui a été illustrée par le slogan charismatique "cinquante ans dans cinq”. Son discours principal était de faire le Brésil laisser sa position de pays sous-développé par un plan gouvernemental qui promouvrait un développement économique rapide au pays. Le plan de buts a été divisé en cinq grands points, étant Brasília juste un d'entre eux et les autres l’Énergie, le Transport, l'Alimentation, l'Industrie de Base et l'Éducation. C'était un discours extrêmement l'enthousiaste et charismatique pour la population et dans la théorie, la construction de Brasília serait comme une synthèse de tous les points et consoliderait le changement d'une façon irréversible. En pratique le plus grand succès de JK s'est senti dans le domaine du développement industriel du pays. Avec son objectif déclaré de faire le Brésil devenir plus que sa économie rurale, Juscelino ouvre les portes du pays pour le capital étranger et il prend les mesures nécessaires pour rendre le sol brésilien noté comme un sol fertile et productif pour l'implantation de multinationales et des entreprises étrangères. La politique économique du temps considérait impossible le progrès économique sans la participation des investisseurs étrangers et en plus, c’était la maniére la plus rapide de développer l'économie dans un plan si ambitieux. Une des mesures principales pour développer le domaine industriel du pays était la mise en place de grandes entreprises automobiles dans la région du sud-est du pays. Cela a entraîné un grand flux migratoire des zones rurales d'autres états qui cherchait de nouvelles offres d'emploi dans le développement qui s'est installé dans
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cette région. Sur un côté, la présence des multinationales générait beaucoup d'emplois dans la région, mais d'autre part il l'a tournée extrêmement dépendant du capital étranger et l’accumulation des migrants a fini pour augmenter les indices de pauvreté, et de violence dans les capitales du sud-est. On considérait à ce moment-là que l'origine du flux migratoire, en plus des zones rurales, était provenant principalement de la région du nord-est fréquemment et historiquement oublié de l'inclusion dans les plans de développement national. Dans une tentative de résoudre le problème, il a été créé à la fin de 1959 la Sudene9, la Direction de Développement du Nord-est qui avait comme l'objectif principal l'intégration de la région au marché intérieur national. L'installation des multinationales du secteur d’automobile au Brésil a entraîné dans le développement des secteurs de transport et d'énergie qu’on a commence à recevoir un plus grande importance en raison des nouveaux besoins établis par l'industrie. Quant au secteur d'énergie on a une augmentation de la production de pétrole de la Petrobrás10 et la création des grandes usines d'énergie hydroélectrique. Un exemple d'entre eux et peut-être le plus grand était l'usine de Furnas située entre Minas Gerais et Rio de Janeiro, construit en 1957, qu' était responsable de la création d'un lac qui bord 34 municipes de Minas Gerais. En 1961, quant aux critiques qui ont accusé des dégâts économiques causés par la croissance des importations de produits dérivés du pétrole par la faute de la forte présence de l'industrie automobile, Juscelino inaugure la Raffinerie de Duque de Caixias. Cette raffinerie garantirait l'autosuffisance du Brésil et rendrait nécessaire juste l'importation de la matière première pour la production de dérivés de pétrole. La construction de Brasília est pensé, par elle même, pour promouvoir une intégration des régions du Brésil et étendre le développement pour le territoire national entier, comme une vraie marche colonizatrice à l'ouest. Cependant, avec elle une super initiative de construction d'autoroutes que connecteriez toutes les coins du pays a eu lieu. Ils étaient construites des autoroutes qui ont croisé le territoire national entier de nord au sud et d'est à l'ouest, liant les principales villes du temps à d’autres qui soit présentaient un point d'emplacement stratégique soit deviendraient 9 Sudene – Superintendência de Desenvolvimento do Nordeste 10 Petrobras (Petróleo Brasileiro S.A) est une entreprise d'État brésilienne de recherche, d'extraction, de raffinage, de transport et de vente de pétrole.
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importants exactement pour ce contact. La construction d'autoroutes et l'entrée des entreprises étrangères du domaine d’automobile était un processus de motivation mutuel, autrement dit, tandis que l'agrandissement de la maille routière a attiré la présence des multinationales de l'automobile de plus en plus, la présence des multinationales a aussi dictées comme plus nécessaire la création de nouvelles autoroutes. Des autoroutes construites pendant le gouvernement de Juscelino, peut-être celui qui était plus connu à ce moment-là a été la Route Belém-Brasília, ou Bernardo Sayão (ou encore BR-153) qui croisait le pays du nord au sud par son centre, liant Belém, en passant par Brasília et arrivant jusqu'à la ville d'Aceguá à l’extremité sud du pays. D'autres autoroutes importantes qu'ils sont inclus dans la liste de la construction effervescente de JK, incluent la Route Régis Bittencourt, qui lie le sud-est avec le sud du pays, la Route Fernão Dias, que lie São Paulo et Belo Horizonte, et aussi la BR364, que lie São Paulo à Rio Branco, étant la premier route à passer par la région à l'ouest de centre du Brésil.
Figure 3 Juscelino en train de montrer les principales routes du plan routière
Sans doutes, la politique de valorisation de l'automobile dans laquelle le Brésil se trouvait a influencé sur la construction de Brasília. La culture de l'automobile extrêmement marquée dans l'urbanisation de la ville n'est pas simplement une décision de projet de Lúcioo Costa ou de la Companie Urbanizatrice de la Nouvelle Capitale, mais si le fait d’être un reflexe de la façon de penser du Brésil au temps et
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son quotidien. L'automobile était symbole de progrès, prospérité, développement économique et une approche d'un avenir idéalisé de façon générale. Entre 1959 et 1960, la construction de Brasília a fait face à une crise économique et le budget prévu à l'origine pour la construction y avait si épuisé alor que la ville n'était pas, ni de près d'être prête. Avec cela, Juscelino Kubistchek est recouru au Fonds Monétaire International et il a demandé un prêt de 300 millions de dollars qui a été refusé conformément à l'allégation que le président devrait "organiser la maison avant demander un prêt." Le président arrive pour substituer le responsable du Ministère de l'Économie et des Finances, mais finalement il décide de rompre avec les demandes de l'organe et il obtient le prêt par les titres de dette publique et des lettres négociés dans la bourse de valeurs. Étrangement, cet événement a augmenté sa popularité pour la sensation que les brésiliens ont dû de défier les autorités étrangères que controlaient les pays voisins à l’example de l'Argentine et le Chili. Indépendant de sa popularité, la construction de toutes les travaux du gouvernement JK, a coûté très cher au pays. En 1955, avant que le président a assumé le poste et avoir mis en ordre con ambitieux plan de buts, la dette étrangère du Brésil était autour de 87 millions de dollars et à la fin de son mandat en 1959, ella est arrivé à 297 millions de dollars. En plus, il y avait encore des dettes provenantes du capital associé aux entreprises étrangères et la dette nationale a grandi à environ 500 millions de dollars. En 1960 le taux d'inflation est arrivé à 30,9 % par an. Pour tout cela, Juscelino a été accusé de faire impraticable les gouvernements suivants et pour dévaster le pays dans dettes. Cependant, la ville de Brasília a été construite et inaugurée avant le temps promis. La construction commence officiellement en février 1957 et la ville a sa inauguration le 21 avril 1960, la date choisie pour honorer le jour férié qui célèbre le mouvement de la Inconfidência Mineira. Pendant la construction, Brasília avait comme des chefs de projet Lúcio Costa, l'urbaniste et Oscar Niemeyer, l'architecte, qui étaient les principaux responsables de la conception de l'image moderne de Brasília. Selon les déclarations d'Oscar Niemeyer, Juscelino savait que pourrait compter avec les modernistes pour l'exécution à la hâte de leurs projets. Cependant les vrais responsables de la construction de la ville étaient les candangos, qu’étaient les ouvriers provénants de toutes les parties du pays qui ont
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trouvé dans Brasília l'offre d'emploi et un type d'idéalisation d'un meilleur avenir et de qualité de vie. Malheureusement, ce qu’ils ont trouvé était en réalité un régime ininterrompu de travail, avec de longs journées de travail où le travail ne s'est pas jamais arrêté et les travaux ont fonctionné sans cesser jour et nuit. Les paramètres de base de sécurité dans les travaux étaient juste un mythe et si un ouvrier refusait d'accepter les conditions de travail épouvantables, il y aurait un autre qui ferait le travail sans hésitation. Il y en a beaucoup d'enregistrements des ouvriers qui ont été blessés dans les travaux et de même ils de quelques que sont morts en tombant des échafaudages qui n’avaient pas de protection. Comme il n'y avait pas de cimetière au début de la construction, les victimes d'accidents étaient plusieurs fois enterrés dans le propre chantier et le travail ne pouvait pas s'arrêter. La population pendant la construction était pour la plupart masculine, prenant en compte les préjugés du temps qui considéraient que juste les hommes pourraient accomplir ce type de travail et le petit numéro de femmes que habitaient là bas ont été considéré juste comme des épouses ou des prostituées, malgré qu’elles n’étaient pas nécessairement cela. Les indices de viol étaient alarmants et certaines femmes racontent qu’elles avaient fait la fortune comme des prostituées dans ce temps. En temps record, les travaux essentielles de la ville ont été finis dans 41 mois, une période avant le prévu. La ville a été couverte pour les campements d’ouvriers et d’entreprises étrangères qui étaient responsables d’une certaine partie de la construction et la ville déjà représentait un avenir rêvé par un grand numéro de personnes. Jusqu'à aujourd'hui, on considère la ville de Brasília une des œuvres les plus importantes de l'architecture et de l’urbanisation contemporains et elle se tient fier de son titre de première ville moderne a être considéré patrimoine d'UNESCO.
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BRASÍLIA: PATRIMOINE À QUI?
PLAN PILOTE Project et Construction de l’utopie moderniste.
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“Voyant Brasília actuellement, ce qui m’étonne, plus que les modifications, c’est exactement la similitude entre ce qui existe et la conception originel”11 Lúcio Costa
Lúcio Costa commence son rapport pour le projet de la ville de Brasília en justifiant à la commission d'examen du concours, alléguant qu’il n'avait pas initialement l'intention de concurrence, mais que, cependant, il voudrait rendre disponible sa idée comme un simple maquis de l'urbanisme, un volontaire qui voudrait contribuer. Premièrement, il établit leurs critères pour le projet de la ville :
“Elle doit être conçu pas seulement comme un simple organisme capable de remplir d’une manière satisfaisante et aisement les fonctions vitales propres de n’importe quelle ville moderne , pas seulement comme urbs, mais aussi comme civitas, propriétaire des attributs inhérents à une capitale”
Ici un vocabulaire est utilisé en latin, où "urbs" concerne un groupe de constructions et "civitas" aux citoyens. Cette sentence peut être interprétée comme un critique subtil à l'annonce du concours qui a rendu disponible un grand montant de cartes, mais presque aucune fait référence à la population qui habiterait la ville. Il est
11 COSTA, Lucio. Brasília revisitada 1985/1987. Complementação, preservação, adensamento e expansão urbana. Rio de Janeiro, 1987, p. 1.
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comme si Lúcio Costa disait que la ville devrait être pensée pour les gens qui l'habitent et pas juste pour les egos des architectes qui la projettent. Selon lui, l'idée centrale du projet a apparu, pour ainsi dire, prête, mais malgré la spontanéité originale, a été pensé intensément et résolu. On a, peu après, des croquis qui indiquent que la simplicité de la solution initiale Lúcio Costa accompagnées d'une petite explication :
Elle est née du geste primaire de ce qui marque un endroit ou de lui il prend la propriété : deux axes se croisant dans angle droit, autrement dit, le propre signe de la croix. [1]
Il a été cherché plus tard, l'adaptation à la topographie locale, au drainage naturel des eaux, à la meilleure orientation, courbant un des axes pour le contenir dans le triangle équilatéral qui définit la zone urbanisée [2]”
Figure 4 Croquis du Rapport du Plan Pilote
Lúcio Costa fait reference à la tradition coloniale de construction de villes à l'est et à l'ouest de la ligne du Traité de Tordesilhas, remarquable de l'occupation portugaise au territoire brésilien. C'est une action délibérée de possession, un geste pionnier. Dans ce simple geste le planificateur développe les deux axes principaux de flux de la ville qui devront créer le dépliage du composé urbain entier, étant eux l’axe
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routière (entre le nord et le sud dans le sens des villses Patrocínio-Anápolis[3]) et l'axe monumental. La disposition des axes se sentirait pour que l'axe monumental ait été placé sur le diviseur des eaux des bassins au sud et au nord du Paranoá á et l'axe routière au loin des courbes de niveau, de façon à être le plus plan possible, comme il faut être les autoroutes. La suggestion vient directement du terrain, du puissant paysage mentionné dans le Rapport Cruls de 1894. L'axe monumental pour sa propre nature, dans le haut diviseur d'eaux et l'axe routière adapté à la morphologie du terrain menant naturellement pour l'horizon au fond, l’élément plus important du paysage de Brasília. Afin d'appliquer les principes de la technique de route à l'urbanisme, Lúcio Costa développe, dans l'axe arqué, la route principale de la ville. Sa fonction circulatoire serait convenable dans la typologie de tronc, autrement dit, il distribuerait les flux a partir des pistes centrales d'à grande vitesse bordées par des pistes latérales destinées au trafic local, et donc, de vitesse plus réduite. De cette façon, avec l'introduction de trois trèfles [4] dans chaque partie de l’axe routière et d'autres nombreux passages souterrains, le trafic d'automobiles et de bus serait traité dans aussi bien dans la partie centrale et dans les résidences de sections sans aucun croisement. Pour le trafic de véhicules plus lourds, comme des camions et des transports de charge, il s'installe un système indépendant du précédent ci-dessus ce qui viendrait a être le secteur sportive qui accède les bâtiments du secteur commerciale au niveau du sous-sol, contournant la grande partie de ce que serait les centres civiques et résidentiels de la ville.
Figure 5 Croquis du rappor du Plan Pilote
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Reste comme ça défini dans le projet, le réseau général du trafic automobile de la ville où juste dans les sections centrales et résidentielles ils seraient implantés des trames autonomes pour le trafic des piétons "[...] pour leur garantir l'utilisation libre du sol, sans cependant amener une telle séparation aux fins systématiques et anti-naturelles parce qu'il ne faudrait pas oublier que l'automobile, aujourd’hui, s'est arrêtée d’être l'ennemi incompatible de l'homme, il a été domestiqué et fait déjà, pour ainsi dire, partie de la famille. Il seulement se "déshumanise", en retrouvant du piéton la face menaçants et hostile quand incorporée à la masse anonyme du trafic. Il doit ensuite les séparer, mais sans perdre de vue que dans de certaines conditions et pour le confort réciproque, la coexistence est imposée." Autour de cet axe routière qui traverserait la ville entière, on dévéloppe la plupart des secteurs résidentielles de la ville. Étant la zone de l'axe routière entièrement occupée par le secteur résidentiel, c'est resté loger dans les territoires restants les centres civiques et administratifs, le secteur culturel, le centre d'amusements, le centre sportif, le secteur administratif municipal, les casernes, les zones destinées au stockage, au ravitaillement et les petites industries locales et la gare routière. Ces éléments sont mis en place au loin de l'autre axe transversal du système pour qu’il soit dénommé comme l'axe monumental de la ville.
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À coté de l’intersection des deux axes, se sont placés les secteurs commercial, bancaire, les secteurs des bureaus des entreprises et des métiers libéraux et encore les secteurs de vente au détail comercial.
Figure 6 Schéma des Secteurs du Centre de Brasília
SHN- Secteur Hotêlier Nord SDN – Secteur d’Amusements Nord SCN – Secteur Commercial Norte SMHN – Secteur Médico- Hospitalier Nord SBN – Secteur Bancaire Nord CCR – Centres Culturels
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ÉCHELLES
La ville de Brasília a été pensée pour avoir, plus que sa différenciation de secteurs, mais pour avoir aussi une différenciation d'échelles urbaines. C’est comme ça que la ville exécute sa transition de paysage et de fonctions urbaines d'une telle façon subtile et harmonique, comme c'est remarquable par Lúcio Costa:
“C’est comme ça que, étant monumental, elle est aussi commode, efficace et intime. Est au même temps répandue et concise, bucolique et urbaine, lirique et fonctionelle ...”12 Lúcio Costa. Le terme échelle est solvente utilize par des architectes et des urbanistes quando ils faisent reference aux dimensions d’un telle project, et dans le cas de Brasília traduisent d’une certain façon tout le project de le ville. Les échelles sont divisées entre Monumentale, Grégaire, Residentielle et Bucolique.
Figure 7 Schéma des échelles de Brasília
12 Lúcio Costa em passagem retirada do Relatório do Plano Piloto
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L'échelle Monumentale est représentée par la partie de l'axe monumental qui va de la Place des trois Pouvoirs à la Place du Buriti et il rassemble les bâtiments qui abritent l'âme politique-administrative des administrations féderales et locales. C'est le domaine destinée aux monuments de la ville, comme son propre nom dit déjà . Il est dans l'échelle monumentale de Brasília où on peut trouver les meilleurs exemples de l'expression de l'architecture moderne brésilienne, où il se cultive le concept idéal de pureté en plastique par l'élégance ferme et en même temps floue. Comme que qui c’était soutenu par Lúcio Costa, il s’agit d'une architecture qui évoque toujours la noblesse d'intention et la monumentalité pour sa signification. L'échelle Grégaire, ou de Convivialité est défini par la rencontre des secteurs où il converge la population. Elle comprend les secteurs comercial, bancaire, hotelier, le médico-hopitalier, culturel, midiatique et d'amusements et il présente comme point central la Plate-forme de Routière, le plus grand symbole d'union de la métropole parmi elle même (étant la rencontre des deux axes principaux) et parmi les autres villes du District fédéral et son autour.
Figure 8 Schéma des échelles de Brasília
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La traduction de l'échelle résidentielle se sent dans le concept “superquadra” développé par Lúcio Costa a être approfondie plus tard dans ce travail. Cependant, on peut l’expliquer d'une façon synthétique par un groupe de bâtiments d'utilisation résidentielle disposées sur des pilotis et liées parmi eux par un accès commun compris par un carré de 280mx280m enveloppé par les arbres de feuillages denses et des commerces locales. Finalement, l'échelle bucolique, est défini par une grande bande qui entoure le groupe entier du plan pilote. Cette échelle pénètre les autres trois, pour être représenté par les pelouses, les places et les vastes zones boisées de la ville. Ils se détachent des espaces destinés au loisir et la contemplation du paysage horizontal et naturel de Brasília, comme des jardins, des parcs, la bord du lac, etc. La cadre de l'échelle qu’on parle est la partie principale de ce qui la caractérise comme une ville-parc et lui garantit ces hauts indices de qualité de vie de la capitale. C'est dans cette cadre qui s’est trouvé le Parc Sarah Kubistcheck (ou simplement connu comme Parc de la Ville) et le Parc national de Brasília, les deux grands responsables pour l'attenuation des phénomènes de bulle de chaleur de la ville et donc réconnues comme ses grands pulmons. On a dans cette échelle un besoin de préservation aussi importante que dans les autres monuments et batiments de la ville moderniste.
LA PLATE-FORME ROUTIÈRE
Figure 9 Croquis du Rapport du Plan Pilote
Dans la rencontre, ou le croisement des axes routières-résidentiel avec le monumental et dans le coeur de la ville on a la gare routière. Dénommé par Lúcio Costa comme la plate-forme routière la fonction qui lui donne son nom est juste une
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parmi autres plusieurs fonctions de l'endroit. Cette grande plate-forme libre du trafic concentrerait proche d’elle même les secteurs des amusements de la ville, idéalement avec des cinémas, des théâtres, des restaurants et évidemment, la gare routière de la ville. Cette plate-forme serait comme cela la grande place centrale qu'on peut trouver dans n'importe quelle ville brésilienne. Ce serait un une place des assemblées, des manifestations, des commémorations publiques, du carnaval, des réceptions, et d'autres nombreuses fonctions qui qualifieraient la plate-forme comme une place du quotidien de la population. La grande place centrale se trouverait sur une plate-forme continue qui serait aussi la couverture de la gare routière interurbaine. Elle serait limitée dans ses cotés par les secteurs d'amusements et vraiment penchée sur l'esplanade, avec une vue tout à fait privilégiée du point principal de la ville. Placé dans le centre géographique et social, la grande plate-forme serait aussi, la grande ligne d'union parmi le nord et le sud, l'est et l'ouest de la ville. Le trafic destiné aux autres secteurs continuerait, ordonné à sens unique dans le domaine inférieure à la plate-forme. Juste les pistes de grande vitesse plongeraient dans la partie centrale de la plate-forme, dans ce que ce serait plus tard connu comme "le trou du tatou." La circulation d'automobiles et de bus, serait traitée, donc, dans la partie centrale et résidentielle de la ville, soulignant de nouveau l'absence de croisements. L'étage inférieur continuerait dans la pente dans le sens de l'axe monumental jusqu’à atteindre le même niveau de l'esplanade des ministères et du gouvernement national. Tout cette solution serait faite avec le but de profiter de la topographie locale et naturelle pré-existante du terrain, étant utilisé de la pente originale pour ce plan urbain-architectural du composé routière.
SECTEUR D’AMUSEMENTS
Dans la plate-forme supérieure à la gare routière, où le trafic serait juste local, il se placerait le secteur d'amusements dans ses parties sud et nord. Ce qui a été pensé pour être un mélange de Cirque Picadilly, avec Times Square et les Champs Élysées en réalité n'a jamais été construit. À côté du Centre Culturel de la ville il seraient
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construits seulement deux centres commerciaux parmi eux, un qui est tout à fait abandonné maintenant.
Figure 10 Croquis du Rapport du Plan Pilote
Pour définir la configuration de la grande place centrale pour son côté ouest on trouverait une grande façade continue du nord au sud du secteur d'amusements. Cette façade avec leurs annonces lumineuses et d'esthétique cosmopolite conformerait une base pour la tour de TV qui, placé au fond et plus haute détacherait encore l'horizon. Cette zone du la secteur d'amusements a été destinée pour des restaurants, des théâtres, des bars, des boîtes de nuit et d'autres formes possibles de loisir de la ville. Le secteur d’amusement possède comme la référence Marais, de Paris, bien que Lúcio Costa n'ait jamais lui mentionné. L'organisation des ruelles, petites voies et des allées qui devraient composer la plupart des amusements de la ville est extrêmement de proche de ce qu'ont aujourd'hui comme l'imaginaire de quand on pense au Marais. La petite élévation du lobby supérieur de la gare routière marquerait une limite visuelle dans la direction du Nord et il définirait la zone centrale de la grande place.
CONSTRUCTION
Pour examiner les modifications du projet de la plate-forme routière et leurs éléments immédiats il est nécessaire de reprendre les critiques faits au projets Lúcio Costa par la commission d'examen du concours. Une d'entre elles se détache comme une des modifications principales du projet et affecte directement le produit construit de la gare routière. Dans le processus de dépouillement du concours, la commission du jury adopte le projet de Lúcio Costa a cause de plusieurs facteurs parmi eux le fait d’être le seul plan pour une vraie capitale administratif et pas juste une ville. Lúcio Costa est
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salué pour la réalisation d’un plan clair, direct et fondamentalement simple, d'appréhension facile et que permettrait une construction plus rapide et une plus grande fluidité pour sa croissance urbaine au fil des années. Concernants les critiques ils ont été soulevés les points du grand montant de terre sans détermination entre le centre du gouvernement et le lac, l'absence d'occupation résidentielle des péninsules du lac, et, finalement, la manque de spécification de la typologie des autoroutes régionales sur tout quant aux possibles villes satélites qui seraient créées avec l'expansion urbaine de la ville. Il s'est aussi marqué l'emplacement de l'aéroport, trop proche de la ville, mais c'était un critique facilement résolu et ils ont simplement lui déplacé. Comme ça, un des principaux changements du plan pilote assumé par la commission a consisté dans le déplacement à l'est de tout l’ensemble urbain. Comme détachent les architectes Adeíldo Viegas de Lima et Maria Elisa Costa dans le document des Premiers Changements au Niveau de Partie de Brasília élaboré par la Terracap qui a été útil pour l'élaboration du “Brasília Revisitada ", de 1987.
...l’ensemble de la ville est déplacée pour l'est, et les lots résidentiels ont passé pour l'autre côté du lac. La raison de ce déplacement était de réduire l'extension de zone vide entre la ville et l'eau, à leur vision vulnérable, dans l'avenir, aux pressions dans le sens d'une occupation indue. (p. 27).13
Le déplacement avait d'une valeur entre 700m et 800m, étant cette imprécision justifié par la considération que le plan original présenté par Lúcio Costa s’était basée dans des croquis à main levée dans l'échelle 1:25000. L'objectif de réduction de la zone sans determination entre les ailes (asa sul e asa norte) et le lac a été parfaitement fourni de cette modification. La zone restante entre les ailes résidentielles et le lac a été remplie au sud par le secteur d'ambassades et au nord pour l'université. Le seul vide qui est resté à l'intérieur du composé du plan pilote était cela de la péninsule à l'est, situé parmi la Praça dos Três Poderes (Place des 13 Premiers Changements à Niveau de Partie, Brasília 57-85, Terracap. (p.27).
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Trois Pouvoirs) et le Palácio da Alvorada (Palais de l'Aube), le sujet que l'on s'en approchera plus tard dans ce texte. Il peut être dit que les axes ne soufrent pas de changement quant à leurs directions, cependant ce déplacement avait comme la conséquence un énorme détachement pour tout le projet. Le mot détachement s'est approché ici pour mettre en evidénce qu'aussi bien que la gare routière, plusieurs autres parties du plan pilote avaient d'une certaine façon d'accomplir de petites modifications dans eux pour s’adapter à la cette modification. Le plan entier de Lúcio Costa s’est basé sur sa implantation initiale, étant ce geste a extrêmement pensé pour valoriser la topographie déjà existante sans qu'il a dû faire des grands changements ou des déplacements de la terre – ce qui rendrait plus rapide la construction. Avec le déplacement, les secteurs comercial et bancaire au nord étaient dans la part brusquement plus bas que celui de la plate-forme routière, étant qu'un élément de rupture parmi l’idéalisé et le construit. Idéalement il y aurait une intégration des secteurs à un même niveau où ils se tourneraient des interlocuteurs constants et ils se établiraient une connexion au niveau de praticité et de esthétique quant à son usage quotidien. Tant les secteurs bancaires sud et nord ont été implantés dans des décharges, avec un lien mal résolu pour les secteurs commerciales. Dans le cas sud il a grandi une galerie souterraine, la Galerie d'États qui abriteraient idéalement un type de foire avec les spécialités de chaque état du pays, étants eux gastronomiques, artisanaux, etc. Aujourd'hui la Galerie d'États est abandonnée, mais au moins elle permet une connexion au niveau des piétons. Sur le côté nord il n'était pas possible d'intégrer les secteurs comercial et bancaires de la même manière et ils restent jusqu'à aujourd'hui sans une connexion. Avec le déplacement et la précarité des études topographiques de la Novacap, deux quadras(cadres) ont été supprimés dans l'Asa Norte par des problèmes d'emplacement et le centre urbain a été débranché et disfuncional bien que ce soit dû à d'autres problèmes qui seront soulevés plus en avant. Quand on examine la gare routière, on peut dire que la fonction de base de résoudre le sujet du croisement des axes de route est parfaitement fournie. Sur les articulations du projet de la plate-forme routière, il faut garder à l'esprit qu’elle a été projetée pour une utilisation différente soyez pour une ville de 500mil des habitants,
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pour un autre cadre topographique et même d'autres fonctions. Il est nécessaire de se rappeler qu'à l'origine la plate-forme a présenté un terrain plus régulier où ce serait possible l'intégration avec les autres secteurs adjacentes dans une façon beaucoup plus harmonique. La fonction de gare routière entre les États du Brésil, prévue initialement, a été changée pour le courant, de terminal urbain. Cette modification est resultant essentiellement de la superation du numéro des habitants qui ont passé de 500.000 à l'origine prévu dans le concours pour plus de 2.500.000 de nos jours. À cause de cette foule qui circule dans la zone provenant de partout dans le district fédéral qui a trouvé dans Brasília son pôle d'activités, le commerce régulier et ambulant a été attiré pour la gare routière en l'attribuant encore une autre fonction en plus. En plus des changements en raison du déplacement de l’ensemble urbain entier un des éléments que ont modifié la réalité le plus de l'endroit était la couverture de la plate-forme routière. De la gare routière, il a été préservé que le lobby supérieur, la mezzanine commerciale et les plates-formes en forme de “U”. La grande place centrale qui a été prévue pour la partie supérieure de la plate-forme a été projetée pour être continue et pour contenir en plus des voitures du centre, aussi le secteur d'amusements, cependant que dans la construction il a été construit un énorme espace vide. Ce vide de 360 mètres de la partie supérieure de la plate-forme n'a été construit sans aucune raison apparente, en plus de l'aspect esthétique et il a fini pour essentiellement d'éteindre la possibilité d'existence de la grande place centrale. Les automobiles de plus en plus nombreux ont occupée les domaines disponibles autour de ces qui étaient à l'origine destiné à la secteur d'amusements. Aujourd'hui le domaine n’est que des grands stationnements pour les secteurs comerciales e bancaires et pour les deux centres commerciaux qui ont été encastrés dans ce qu'il est resté du secteur d'amusements. Ce grand espace vide dans la couverture de la plate-forme routière omet ce qui serait destiné à l'espace des amusements de la ville qui finit pour occuper d'autres endroits de la ville près des zones résidentielles. Ce transfert cause plusieurs problèmes de coexistence dans les zones résidentielles arrivant au point de la création de lois de silence que pour “préserver la paix e la tranquilité” des résidents finisse par créer un type de couvre-feu de la population et des absurdités de cette sorte.
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En plus, et peut-être le problème principal de la construction de cet espace vide dans l’endroit à l'origine destiné à la place centrale de la ville soyez la destruction de l'unité de l'espace sociable de la ville. Ce qui a aujourd'hui comme l'espace de réunionde la ville est divisé en plusieurs parties isolées parmi eux qui ne se communiquent jamais, et comme ceci, le seul espace de la ville destinée à la confluence des secteurs, la coexistence de la population et de la rencontre des coordonnées de la ville, finit pour ne pas rejoindre rien en fait. Cet secteur d'amusements n'est jamais arrivée pour être vraiment construit comme le pensé par Lúcio Costa, ayant édifiés deux grands centres commerciaux construits dans sa place. Étant institué dans la ville les zones publiques de destination du loisir, une destination juste adressée à la consommation. Un de ces centres commerciaux, le <<Conic>>, situé dans ce que ce serait le secteur d'amusements sud a fait sa utilisation de plus en plus rejetée et est devenu avec le temps une zone connue comme Crackolândia, un type de point de rencontre à vendre et à consommation de drogues et extrêmement marginalisée. Il y a, pourtant, une forte initiative de la communauté alternative de la ville de réadaptation de la zone qui devient plus souvent un point d'événements "cools". Avec ces initiatives la zone devient de plus en plus habité et donc plus secure et il se tient et de cette façon que l'image de la zone change petit à petit avec sa occupation. Analysant ce mouvement de manière pratique tout a commencé par une sorte de mélange parmi des bas coûts pour la location des endroits des événements, liées à une super accessibilité et cela a créé un sol extrêmement fertile pour les événements universitaires et alternatifs qui n'avaient pas de super budget pour l'accomplissement de leurs productions indépendantes. Évidemment, le jeune idéalisme de déconstruction de préjugés, l'occupation de la ville et l'objectif de montrer les inégalités
pour créer la tension nécessaire pour une
changement c'était un facteur d'une extrême importance pour la réadaptation de l'endroit, bien qu'elle soit dans ses premiers pas.
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ESPLANADE L'esplanade a 2800m de longueur pour 360m de largeur si on considere inclus les deux secteurs culturelles dans le cadre de la composition. La plate-forme routière et le secteur d'amusements limitent un des côtés tandis que l'autre est défini par l’ensemble du Congrès, point de plus importance du groupe entier. À l'origine dans le projet les secteurs culturelles étaient beaucoup plus courtes, avec de 400m et pour Lúcio Costa il a été appelé l'esplanade juste la partie qui a compté au départ de la cathédrale et il irait jusqu'au Congrès. Le long de cette esplanade une pelouse vaste est disposée destinée aux piétons, à les parades, à les manifestations, aux ministères et les autarcies. Chaque ministère aurait un propre stationnement privé qui fournirait le volume des voitures des employées. Cette zone inclurait une grande pelouse centrale bordée par des bâtiments similaires - qui seraient les ministères - et tout ceci serait organisé de façon de former un chemin qui conduisait à la contemplation de la monumentalité et du symbolisme de la capital administratif concentrés dans la construction du Congrès national et, plus tard, dans la place des trois pouvoirs. Dans le rapport du Plan Pilote, Lúcio Costa fait référence au Mall anglais comme une inspiration pour le projet de l'esplanade, cependant il est possible d'aussi observer d'autres références d'urbanismes. Un d'entre eux serait les Champs de Mars, parisien, qui présente une similitude indéniable quand on parle sur la structure de composition, présentant une pelouse fermée par les latéraux pour des arbres et des bâtiments de hauteur uniforme, fermée dans les extrémités sur un côté pour la masse horizontale de l'école militaire et d'autre pour la verticalité de la tour Eiffel en opposition emblématique à l'horizontalité de l’ensemble.
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Dans le mémoire du plan pilote, Lúcio Costa, en traitent de l'esplanade, établit l'emplacement des ministères basés sur des critères fonctionnels et esthétiques. Proposant l'emplacement des ministères de l'éducation et de la culture de près de la ville universitaire, par exemple, ce n'est pas juste une solution pratique, mais aussi un idéale de participation universitaire dans le milieu politique. Dans l'esplanade il serait aussi placé la Cathédrale de Brasília, où même si l'état brésilien s'est a défini comme laique, cela représenterait le rôle historique de l'Église Catholique au Brésil. La proposition a été aussi faite, comme une solution pour le sujet d'échelle et de lecture architecturale. Figure 11 Croquis du Rapport du Plan Pilote
La perspective de groupe de l'esplanade devrait continuer libre jusque même après la plate-forme routière. Cela permettrait la construction du rythme visuel obtenu par la répétition des ministères et la transition intégrée pour un instant différent de l'expérience d'urbanisme : un moment de contemplation de la monumentalité et du symbolisme inhérent d'un siège du gouvernement national. Les ministères des Relations Extérieurs et de la Justice se trouveraient à côté du Congrès avec un cadrage plus remarquable que les autres ministères. Ces deux, qui seraient transformés en beaux palais gouvernementaux, ont la fonction de créer le souffle et casser le rythme de la répétition des ministères et présenter la monumentalité de signification présent dans le Congrès National et à la Place des
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Trois Pouvoirs. De ce fait, les palais sont légèrement reculés dans le terrain exactement pour rendre l'attention de l'observateur vers le Congrès National. Dans la proposition originale de 1957, les ministères seraient composés par des bâtiments d’hauteur plus bas et plus prolongée sur les pilotis. (representé à droite). Les pignons se rapprocheraient plus des voies de l'axe monumental que ce qui a été construit en fait et il y aurait une grande passerelle
suspendue
qui
relierait
les
bâtiments où se concentreraient des services comme des cafés, des magasins, des agences bancaires, etc. Dans le terreux les pilotis seraient laissés libres pour le passage des piétons et le stationnement de véhicules.
Figure 12 Croquis du Rapport du Plan Pilote
Cependant, c'est la grandepelouse centrale qui donne le soutien visuel à l’ensemble de l'esplanade. Il donne à la ville un aspect de ville-jardin et sa fonction n'est pas seulement extrêmement pratique, mais aussi extrêmement symbolique. Soyez sa utilisation pour des fonctions civiques, des parades militaires, des réceptions et des manifestations politiques, la pelouse doit être préservée avec une attention spéciale. Pour ne pas avoir son usage défiguré il faut rester propre, avec la vue dégagée et il faut toujours être maintenu sa qualité monumentale. L'esplanade est le point principal de la composition urbanistique de Brasília, c'est la marque de la ville, sa carte postale et un symbole du pays diffusé dans le monde entier.
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Figure 13 La pelouse central de l'esplanade
PLACE DES TROIS POUVOIRS
Se distinguent dans l’ensemble
de l'administration du gouvernement fédéral, les trois pouvoirs fondamentaux et autonomes contenus à l'intérieur de la forme d’un triangle équilatéral, selon Lúcio Costa, la forme élémentaire appropriée pour les contenir. Il s'est levé donc, la place, sur un terrassement triangulaire soulévé dans la prairie à la fin de ce que serait l'axe monumental.
Figure 14 Croquis du Rapport du Plan Pilote
Chaque angle de cette place serait destiné à un des pouvoirs, étant localisées
dans la base le pouvoir éxecutif e le judiciaire et dans le sommet le Congrès National, en face à l'esplanade des ministères. Le caractere monumental se sentirait aussi, par cette variation de plateaux entre l'esplanade et la place des trois pouvoirs, qui selon l'auteur du projet garantiraient la cohésion de l’ensemble et donnerait un accent monumental inattendu. Le fait de l'élément principal de la composition de Brasília, autrement dit, la sigège du
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gouvernement national,
d’être mis en œuvre dans le point le plus bas de l'axe
monumental représente une inversion du schéma traditionnel de monumentalité et des représentations de pouvoir. Il est d'habitude mis dans le haut ce que l'on veut mettre en évidence, cependant, Lúcio Costa exécute une proposition oposée et de même, d'une façon de magistrale. Ce triangle sur lequel la place a été construite se détache de la ville. Il est élevé de son terrain immédiatement périphérique et il est autou de 1500m de distance du centre urbain - secteurs culturelles, commerciales, résidentielles, etc. Malgré le placement dans le point le plus bas de l'axe monumental la place est visible de n’importe où de la ville étant ça l'élément principal de consistance de son caractère monumental.
CONSTRUCTION
La construction de la ville a imposé quelques modifications à la place au regard principalement du dimensionnement et de la forme. Dans le dessin original la place aurait une forme triangulaire prolongée et il conformerait une sorte d'amphithéâtre qui convergerait aux deux palais avec une rampe oblique qui créerait un mouvement inhabituel pour l'espace. Dans la construction on a opté pour une solution plus simple : un rectangle. Dans ce rectangle il se trouveraient juste la voie nord ouverte, étant la voie sud obligée à contourner la place jusqu'à l'arrivée au côté nord. Pour arriver à cette courbe on a crée un angulation proche aux 90 degrés trop proche de la fin de la rampe descendante. Cela force que les véhicules se ralentissent et il favorise le moment de la contemplation de la place. En plus, le détournement de la route sud fait créer dans la place un espace de piétons, libres du trafic, et institue l'endroit du point de rencontre, le point touristique, mais surtout favorise la sécurité des palais.
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Figure 15 Capture Satellite de l'esplanade
À l'origine, le Congrès présenterait juste une tour d’annexe et une seule coupole dont le centre coïnciderait avec le sommet du triangle. Il se trouverait sur une plate-forme au niveau du sol qui s'étendrait le long de la route sud de l'axe monumental. Toutefois l’iconique projet de Niemeyer, qui a été construit, tourne cette plateforme originellement prévue à 90 degrés et il fait les constructions du Congrès rester devant l'esplanade. Ce choix représente un grand changement dans ce qui deviendrait la carte postale de la ville et il intègre mieux la transition entre l'esplanade et la place des trois pouvoirs. Le projet de Niemeyer présente deux tours liées dans le centre pour une passerelle et deux coupoles – étant un à eux inversé – qui seraient destinées à la chambre des députés et le sénat. Une des coupoles est légèrement plus petite, malgré il soit presque imperceptible en raison du jeu perspectif de l'architecte en les positionnant. Avec cet projet, Niemeyer, exprime la structure institutionnelle tout aussi elle est, étant chacun des coupoles une institution indépendante qui ensemble,
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forment le Congrès national dans une architecture qui symbolise au même temps l'unité et la duplicité. La pelouse de l'esplanade souffre un abaissement quando elle s’approche de l’ensemble de constructions du Congrès configurant un type de patio. Le plan de la pelouse arriverait au même niveau de la plate-forme sur laquelle sont construits les tours et les coupoles, étant ces constructions totalement fermées, pratiquement blindés et interdits à n'importe quel accès. Cela rendre posible la création d'un espace absolument sûr pour l'institution dans les cas de manifestations, que c'est au même temps un espace absolument pas sûr pour des manifestants pour être très facilement entourable et contrôlable.
Figure 16 Le congrès national
Les modifications d'Oscar Niemeyer aux traits élémentaires du projet de Lúcio Costa pour le Congrès a produit des effets irréversibles et de grand importance dans la structure urbaine. Le tour de la plate-forme a fait l'espace parmi les voies de l'axe monumental augmenter, en les éloignant parmi eux et faisant par conséquent que les ministères ont été aussi éloignés par un sujet d'harmonie de composition.
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Ceci était, peut-être, un des principaux crimes contre le projet original de Lúcio Costa. Bien qu'une promenade magnifique ait été construite, d'architecture exceptionnelle et de monumentalité indubitable, ce changement a modifié toute l'existence de l'espace. Avec le déplacement des routes et la séparation des ministères, l'esplanade avait grandit sa taille. Cela a l'intention de dire qu'il y avait un changement de proportion de l’oeuvre en faisant qu’elle deviendrait hostile pour le piéton. Ici on voit un projet d'architecture modifier un projet d'urbanisation complètement. Cette transformation a défini une nouvelle dynamique de manifestations publiques. Avec l'agrandissement des routes et l'augmentation de la séparation des ministères, n'importe quelle réunion populaire semble d'être infiniment plus petite. Ce qui c’est intéressant quand on a par l'objectif contrôler les manifestations et les démoraliser par sa diminution symbolique. L'augmentation de la proportion des routes de l'axe monumental a crée une condition qui rendre possible que la ville continue à couler d'habitude dans les cas de posibles manifestations ou des occupations de la zone. Sur un côté, il est tout à fait pratique si on a à l'esprit qu’une capitale fédéral d'un pays de la taille du Brésil reçoit des manifestations innombrables de plusieurs sortes et que si elle s'était arrêtée à chaque manifestation, elle se trouverait dans un état constant d'obstruction impraticable. Toutefois, d'autre part, ce condition finisse par créer un type de société intouchable, autrement dit, les causes manifestées touchent très rarement les habitants. Si le trafic est toujours libre et tout marche comme d'habitude dans les situations de grandes manifestations les individus ne sont pas affectés et ils restent dans leurs bulles et zones de confort sans aucun malaise. Celui qu’on essaye d'indiquer ici, est que si une certaine cause n'affecte pas l'individu d'une façon directe ou s'immisce à son quotidien, il est très difficile que l’individu prend conscience sur ou l'essai de changer un sujet problématique. Cette stratégie d'occupation de l'esplanade, même si a été dû à une décision nécessaire et positive de projet, ne cesse pas d’être une stratégie de silencier la population et de maintenit des conservatismes.
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Figure 17 Esplanade des Ministères
SUPERQUADRA La solution pour le problème résidentiel s'est sentie dans un ordre continu de grands blocs, disposés en pairs ou pas, bordés par une bande de reboisement immédiat aux routes de voiture. Dans l'axe routière, le visuel continu des blocs de six étages créeraient un rythme qui fournirait en plus d’une partie considérable de l'identité visuelle de la ville, aussi son paysage principalement horizontal. Cette organisation rendrait aussi possible après, une transition douce et harmonique pour les bâtiments un peu plus haut du centre urbain qui amèneraient à la plate-forme routière et la vision de l'axe monumental, dans son croisement. Lúcio Costa souligne toujours l'importance d'un projet de paysage pour cette partie signalant la présence d'espèces végétales comme des locuteurs constants de vivre dans la superquadra, appliquant les concepts de qualité de vie de ville-jardin. Dans cette bande il se trouveraient des arbres de grande taille, des pelouses et des buissons qui protégeraient mieux le contenu des superquadras, en ajoutant plus d’intimité pour un espace résidentiel. Ce paysage a été pensé pour être observé de l'intérieur d'une automobile qui passe dans l'axe routière avec le rythme constant de la répétition des superquadras adapté par la présence forte de la flore locale.
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Chaque superquadra serait défini par un carré de dimensions de 300 mètres et comprendrait environ 15 blocs résidentiels qui varieraient toujours entre 4 et 6 étages sur de pilotis toujours présent dans les constructions. La population initialement prévue pour chaque superquadra était entre 2500 et 3000 habitants. Les pilotis sont un élément très important pour le concept superquadra et ce qui contribue pour la construction du nouveau concept d’habitation multifamilier, comme il remarque Lúcio Costa lui même: "Le sol est publique - les résidents appartiennent à la quadra, mais la quadra ils n'appartiennent pas - il est ceci la grande différence entre superquadra et le condominium. Non il n'y a des barrières, ni gardes et, cependant, la liberté d'aller et venir ne contraint pas ni inhibe le résident de profiter de son territoire et la visibilité continue assurée pour les pilotis contribue pour la sécurité”14 À l'intérieur des superquadras les blocs résidentiels se disposeraient de façon diverse, obéissant juste aux principes de gabarit maximale uniforme de 6 étages et pilotis, la séparation du flux d'automobilespiétonnes et l'accès à l'école primaire
Figure 18 Croquis du Rapport du Plan Pilote
existante à l'intérieur de chaque quadra.
Pour la première fois en Brasília le concept superquadra serait appliqué d'une façon continue dans le tissu urbaine pour une grande extension de la ville. À l'origine presque toutes les zones résidentielles prévues pour la ville suivraient cette typologie.
14 Passage retiré du rapport du Plan Pilote
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Dans la confluence des quatre quadras on aurais l'église du cartier et dans ses fonds une école secondaire, un cinéma et un terrain sportif. Cette attitude a destiné la création de zones de loisir proches aux résidences, pour que ce ne soit pas nécessaire pour le résident de se déplacer des grandes distances
Figure 19 Croquis du Rapport du Plan Pilote
Dans cette proposition de confluence des superquadras on voit l'application d'un concept connu comme l'Unité de Voisinage, un principe qui valorize l'autonomie des zones résidentielles et la possibilité de fournir les besoins essentiels des résidents. L'Unité de Voisinage suit six paramètres étant eux la taille, les limites, les espaces publics, les domaines institutionnelles, le commerce local et le système interne de rues. Chaque unité promeut des habitations pour un certain nombre de personnes, sa zone dépend de sa densité de population et leurs limites devraient contenir des routes suffisamment larges pour drainer le flux de sa population. L'unité de voisinage doit contenir un système d'espaces publics dans son intérieur comme de petits parcs et des espaces de récréation, en plus des domaines institutionnelles destinées aux écoles et les églises qui occuperaient une place central et commun. Le système interne de circulation, aussi bien que le commerce local doivent être organisé de la façon de fournir sans problèmes les besoins de tout ce cette densité de population concentrée. Concernant la numération urbaine, Brasília présente un modèle un peu différent de la plupart des autres villes construites au Brésil. Dans un système simple qui s'approche au Cartésien, la référence principale devrait être l'axe monumental, divisant la ville en moitiés sud et nord e à les quadras seraient marqués des numéros, tandis qu'aux bâtiments, des lettres. Dans la partie à l'ouest du rencontre de l'axe routière avec le monumental seraient placés les centaines dont le premier numéro était impair tandis que à l'est, les paires. Dans l'axe routières, les quadras seraient numérotés de 1 à 16 et compte comme le marque zéro le point où est la gare routière
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de Brasília et étant une organisation reflétée entre l'Asa Nord et l'Asa Sud. Observez le schéma suivant:
Figure 20 Schéma de la numération des superquadras
La gradation sociale se developperait d'accord avec la valorisation de chaque quadra d'accord avec le besoin. Évidemment quelques quadras comme ceux à côté des l'axe routière seraient plus valoriseés que les internes, mais le groupement de quatre en quatre assurerait une transition douce et une coexistence sociale du groupe. Cependant, ce serait à l’agence d’urbanisme et l'administration de la ville, de neutraliser les différences de standards parmi les quadras et garantir un confort social digne pour tous. D'accord avec Lúcio Costa, les variations parmi les superquadras se sentiraient par la densité, par la quantité d'espace destiné à chaque individu dans les appartements et même par la finition plus ou moins raffinée des immeubles. C’est quand il fait reférence à la structuration des superquadras que l'auteur fait une déclaration importante quant aux futurs problèmes sociaux auxquels la ville ferait face:
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“Dans ce sens il faut être empêché l’implantation des favelas autant dans la périphérie urbaine comme aussi dans la rural. Il concerne à la Companie d’Urbanization fournir à l'intérieur du plan a proposé des logements décents et économiques pour la totalité de la population.”15
Sur les domaines restantes qui pourraient être occupées par des résidences dans le cas d'une croissance inattendue de la ville, Lúcio Costa souligne que l'emplacement de quartiers résidentiels a été évité dans la frontière du lac avec l'idée qu'elle fut une zone publique et de loisir pour la totalité de la population. La seule exception pour l'occupation du lac serait les clubs sportifs, les restaurants, les endroits de récréation, les stations thermales et des nucles de pêche. Dans les mots de Lúcio Costa:
“[...] pour la préserver intact, traité avec des forêts et les champs de caractér naturaliste et rustique pour les promenades et les agréments bucoliques de la population urbaine entière.”16 CONSTRUCTION ET MODIFICATIONS: Lúcio Costa, aussi bien que tous les autres concurrents, a présenté une proposition de la ville pour une population prévue selon l'appel, qui a considéré que Brasília serait juste une capitale administratif où ils vivraient juste des dirigeants, parlementaires, des fonctionnaires, des ambassades, etc. L'annonce a prévu une population de, au maximum, 500.000 habitants. Celui qu'on essaye de mettre en évidence ici c’est que la population prévue pour la ville est environ 6 fois plus petite que celui qui est aujourd'hui dans la zone métropolitaine de la ville. La surcharge de la ville était un des facteurs principaux de changement du plan original, l'expansion urbaine et des problèmes trouvés aujourd’hui. Il concernerait à la Commission de Planification de la Construction et du Changement de la Capitale Fédéral et à la Companie d’Urbanization de la Nouvelle Capitale du Brésil d’avoir 15 Trecho retirado na íntegra do Relatório do Plano Piloto 16
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prévu qu'une capitale comme telle attirerait une population beaucoup plus grande que celui de 500 mille habitants définis dans l'annonce du concours.
VILLE LINÉAIRE ET VILLE-JARDIN:
L'analyse de l'urbanisation de Brasília peut la definir comme une somme de deux typologies de villes différentes : celui de ville linéaire et celui de la ville-jardin. Comme ville linéaire, Brasília présente les deux axes comme sa base physique sur lesquels s’installent tous les paradigmes du projet de Lúcio Costa. Comme ville-jardin, Brasília présente son principal aspect visuel de la ville. La proposition de ville linéaire a été initialement développée par Arturo Soria y Tue, en 1882, pour la banlieue de Madrid, où la ville a été organisée autour d'un axe de route de transport. C'est une typologie d'occupation tant que intuitive prenant en compte que même avant Arturo il était déjà possible de constater des nombreuses villes développées a partir d'une autoroute partout dans le monde, y compris est une stratégie extrêmement comun dans les villes de l'intérieur du Brésil. Le projet de Lúcio Costa pour Brasília, montre un utilisation double de ce plan étant cela facilement perceptible dans l'axe routière et un peu moins, mais toujours perceptible dans l'axe monumental. Dans l'axe routière les lignes de quadras résidentiels à l'ouest et à l'est de la principale route de la ville caractérisent par eux même l'organisation linéaire d'occupation. Dans l'axe monumental la perception se sens de façon moins directe à la cause de la séparation des deux routes pour la pelouse centrale et les certaines barrières pour l'échelle du milieu, cependant l'organisation est la même : un axe central de circulation longitudinale détachée de son occupation latérale. Comme ville-jardin, Brasília se distingue pour son paysage et de certaine façon sa identité visuelle. Elle est présentée plus précisément comme ville-parc par Lúcio Costa qui a insisté en toujours mettre en évidence les espaces verts dans l'image essentielle de la ville. On a proposé la typologie de ville-jardin pour la première fois par le Britannique Ebenezer Howard en 1898, quand on trouvait dans la ville industrielle un modèle démodé et insoutenible pour la qualité de vie urbaine. Ce qui arrive dans le mouvement de création des villes-jardin est une reprise des éléments
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avantageux de ce qu'ont caractérisé la vie à la camapgne de l’époque et leur mise en œuvre dans l’aglomeration industrielle urbaine qui a déjà montré leurs échecs. La proposition d'Howard consistait dans un schéma de trois aimants : la campagne, la ville et la ville-campagne. Une ville parmi des jardins, avec la présence d'un paysage plus naturel et vert garantirait une meilleure qualité de vie pour les habitants. Idéalement les villes-jardin auraient une croissance limitée à quelque chose près des 70.000 habitants quand la construction d'une nouvelle ville aurait lieu et absorberait la population supplémentaire. La dynamique de ville-jardin est extrêmement requérant dans la tradition d'urbanisme brésilienne. C’est possible d'inscrire une série vaste de villes dans l'intérieur brésilien que se trouvent dans cette typologie de bâtiments dispersées, débranchées, disposés autour d'une place où la nature est présente comme locuteur toujours proche. La composition de Brasília est sa marque. La coopération des deux formations d'urbanismes de ville-linéaire et ville-jardin est ce qui construit sa identité, aux yeux du piéton une ville-parc et aux yeux aériens et des planificateurs, une ville linéaire.
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VILLES-SATELLITES: Ville-satellite est une désignation utilisé d'habitude pour définir des centres urbains qui apparaissent à la marge de n'importe quelle ville, littéralement dans leurs environs. Plus fréquemment que non, les villes satellites apparaissent pour fournir une demande, d'habitude résidentiel, quant à un déficit de sa ville noyau. Malgré la séparations géographique et des ses organisations administratives, les villes satellites présentent toujours une relation étroite avec sa ville noyau. Plusieurs sont des villes dortoirs, autres sont des banlieues, d'autres existaient déjà avant la création de la ville noyau d'une façon indépendante, mais profitent de la relation interurbaine installée. Dans le cas de Brasília, cela ne pouvait pas être différent et les villes sont apparus le long de son développement urbain et d'accord avec les besoins locaux et devenant de plus en plus nombreux. Ce phénomène pourrait être prévu dès la proposition du concours, qui a défini dans le programme de besoins une ville pour une population évidemment beaucoup plus petit que celui qui serait vraiment attirée avec la construction d'une capitale administratif à un pays comme le Brésil à ce moment-là. Dans la réalité, même dans le mémorial de projet de Lúcio Costa le plan pilote il a été déjà prévu la construction de villes satellites, bien que pensé pour un avenir plus loin que ce qui s'est senti en fait. Quand même, la zone métropolitaine de Brasília a été progressivement élargie jusqu’au dépassement des limites du quadrilatère prévu au District Fédéral, mais ici on va mettre l’accent pour la plupart dans les villes comprises à l'intérieur du quadrilatère. Aujourd'hui, les villes satellites du District Fédéral composent une périphérie complexe. Il y existent des 19 Régions Administratifs à l'intérieur du District Fédéral, étant Brasília juste une des celles. Pour la constitution aucune région administrative ne peut pas être politiquement autonome et pour cela elles ne peuvent pas être considérées des municipes, même si toujours un administrateur soit nommé pour chaque région administrative par le gouverneur du District Fedéral et dans la pratique ces régions administratives ont son opération semblable à celui d'une ville. Les régions administratifs officiels sont Brasília (ou le Plan Pilote), Gama, Taguatinga, Brazlândia, Sobradinho, Planaltina, Paranoá, Núcleo Bandeirante, Ceilândia, Guará, Cruzeiro, Samambaia, Santa Maria, São Sebastião, Recanto das Emas, Lago Sul,
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Lago Norte, Riacho Fundo, Candangolândia, Águas Claras, Sudoeste/Octogonal, Varjão, ParkWay, SCIA, Jardim Botânico, Itapoã, SIA, Vicente Pires e Fercal. En plus de ceux-là on a de nouvelles zones qui sont aussi reconnus comme des région administratives, mais qui sont subséquents du développement des autres comme c'est le cas de Riacho Fundo II et Sobradinho II, qui reçoivent même de son nom, le nom de sa origine. Ces cas représentent les villes qui avaient une croissance si vaste qu'il y avait le besoin de les subdiviser pour pas simplement améliorer l'administration, mais pour la rendre possible. Cependant en plus de ceux-ci on peut trouver quelques autres zones d'urbanisation qui sont reconnus juste par la population, comme Taquari, Sol Nascente, Vila Areal, Vila Roriz, Jardim do Ingá, et des autres nombreuses. Dehors le quadrilatre on trouve Águas Lindas, Santo Antônio do Descoberto, Valparaíso, Cidade Ocidental, Novo Gama, Céu Azul, Parque Azul, Formosa, et encore beaucoup d’autres.
Figure 21 Schéma des régions administratifs de Brasília
Avant la construction de Brasília, quand la campagne de Juscelino était toujours dans leurs origines, les villes de Planaltina et Brazlândia existaient déjà. À ce moment-là de la construction quand il y avait plusieurs campements pour les ouvriers des travaux il a commencé à apparaître la necessité déjà latent de l'expansion de la ville et un mouvement populaire de réclamation de droits a appuyé la NOVACAP
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(Companie Urbanizatrica de la Nouvelle Capitale) pour planifier la ville de Taguatinga à la hâte, implantée à près du bassin hydrografique du Paranoá. La construction des villes satellites a été juste prévue pour un avenir éloigné, mais avec la planification de Taguatinga on a profité pour commencer la planification d’autres deux plus villes satellites : Gama et Sobradinho. Le Gama, qui aurait du être destiné aux fonctionnaires et à l'origine mis en œuvre dans les proximités du barrage du Paranoá, près du contorno 17 comme Taguatinga, a fini pour être implanté dans la vieille ferme de Gama à qui il doit son nom. Alors que Sobradinho a fait développer son projet d'urbanisme avec l'objectif de créer un type de colonisation rurale, cherchant la production rurale nécessaire pour le ravitaillement de Brasília. Sobradinho a été implanté loin de la zone du bassin hydrografique du Paranoá et dans certain façon tout à fait proche du centre de Brasília, pour servir à son but original. Un sujet important dans l'histoire de Sobradinho est le grand flux théoriquement inattendue des résidents de l’ancienne Vila Amaury. La Vila Amaury était un établissement provisoire des ouvriers qui ont travaillé dans les travaux de la construction de Brasília, aussi bien que plusieurs d'autres. Cependant l'histoire de Vila Amaury est un peu différente. La ville où on considère que il a vécu environ 16 mille personnes, n'a coïncidé avec l’emplacement du lac Paranoá prévu dans le projet de Brasília et que ce serait une marque du paysage, en plus d'une alternative pour un contrôle de problèmes comme les bulles de chaleur et la bas humidité typique de la région. La ville est allée être inondé petit à petit et on raconte que la plupart des résidents de l'occupation n'a pas cru que le domaine ne serait vraiment inondée jusqu'à ce que l'eau eux arrivent à leurs genoux. C’est possible de trouver jusqu'à aujourd'hui, dans le fond du lac Paranoá, les traces de ce campement d’entre eux des réfrigérateurs, des murs et des planchers des vieilles résidences. Comme ceci, les résidents de Vila Amaury ont été forcés de déplacer vers d'autres endroits étant la nouvelle offre pour la ville de Sobradinho une des principales choix.
17 Contorno c’est la région à l'intérieur du diviseur des eaux du District Fédéral et proche au bassin du lac Paranoá
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Un autre projet d'agrovila, semblable au de Sobradinho est cela de São Sebastião. Aussi bien que Sobradinho, São Sebastião est venu pour fournir une demande de ravitaillement de la capitale, cependant la demande de São Sebastião a consisté dans la provision de matériaux de construction pour le chantier accéléré de Brasília. Sa occupation avait le début en 1957, autrement dit, au début de la construction de la capitale servant parfaitement pour le but de la date. Aujourd'hui, la ville joue une rôle d'une ville normale, même étant satellite de Brasília, elle a déjà leurs propres demandes de maison, travail, commerce, etc, aussi bien que beaucoup d'autres, osant dire la plupart d'entre eux. L'exode rural, présente toujours dans Brasília dès sa construction, allié avec d'autres facteurs comme le surpeuplement de la ville quant au qui était prévu d'une façon naïve à l’origine du concours, ont fait Brasília et le District fédéral ont dépassé toutes les expectatifs d'expansion urbaine prévue. Cette grande conurbation trouvée dans Brasília est certainement quelque chose qui a échappée le controle des planificateurs initiaux de la ville. Les villes satellites ont se dévélopée conformemente son période de vie, évidemment que quelques unes un peu plus que d'autres, mais d'une façon générale, on peut observer que les plus grandes villes en termes d'extension territoriale sont ces plus vieux même s’il ne soit pas proportionnel à la valorisation immobilière ou de la qualité de la vie de l'endroit. Évidemment, ceci n'est pas le seul facteur pour déterminer la valorisation urbaine des régions administratives (en avoir en mémoire les facteurs sociaux, historiques, etc) mais le prix des propriétés sont encore toujours liés avec sa distance du centre urbain de Brasília, ou le Plan Pilote. Il est important d'analyser l'histoire récente de la formation des villes satellites pour bien pour comprendre l'image actuelle. Il est possible de diviser cette histoire dans trois grands moments, celui de la construction de Brasília, celui de la dictature et après un moment de la réconciliation et de la résistance que perdure jusqu'à aujourd'hui d'une certaine façon. Pendant la construction (parmi 1956 et 1961) on avait un grand flux des gens et une grande tolérance sur les campements parce qu'ils étaient nécessaires pour la construction à la hâte de la capitale, dans une image où le plus de main-d’œuvre qu’il y avait le mieux et la propagande pour attirer des ouvriers a marché d'une façon effervescente. Après, pendant la période de la dictature militaire
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(parmi 1964 et 1985) la plupart des occupations, des établissements et des campements sont restées figées et ils avaient leurs besoins négligées pendant plusieurs années. La volonté politique de l’époque cherchait d’etouffer l'image de pauvreté ou d'inégalité sociale, et littéralement créer une image même que faux que le régime en vigueur a tourné le pays plus prospère et progressif, qu’il grandissait et la croissait. Et pour cela, il n’y a rien de plus de previsible qu'une tentative de glisser sous le tapis tout ce que cela n'a pas correspondu avec l'image d'un régime prospère. Le produit de cette politique était des problèmes d'infrastructure de base, un enorme déficit d’habitation et une faillite de la fonction sociale de plusieurs endroits. Avec la redémocratisation du pays, a partir de 1985, la promesse de lots pour les communautés périphériques a devenue la pièce de monnaie électorale et il a s’installé une politique réglementaire, de libération et d'organisation des occupations que étaient considérées avants juste comme des invasions. Au moins dans le cas des invasions de classes sociales moins riches. Il est important de détacher, que les villes satellites de Brasília ne sont pas exclusivité de communautés pauvres. Les invasions de territoire qui étaient avec le temps légitimées par le gouvernement font partie aussi du quotidien de la haute classe depuis les origines de la construction de Brasília. Un exemple de cela est le Secteur de Maisons ParkWay (Setor de Mansões ParkWay), située près de l'aéroport de Brasília, dans un domaine intérieur au qui s’est appelé de contorno. Dans cette secteur d’habitations des énormes terrains ont été projectés avec autor de 2500m2 que l'on a souvent donnés ou vendus aux prix bas au début de la construction. Par contraste avec de nos jours dans lequel les prix arrivent aux numéros inimaginables. La même logique d’habitation a passé pour d'autres occupations comme les quartiers du Jardin Botanique, Águas Claras, Sudoeste, Octogonal, Cruzeir e Noroeste. Évidemment, chacune des occupations présente leurs particularités mais essentiellement tous ont été pensés pour un public cible de classe moyenne ou haut et ont servi pour l'intensification de la spéculation immobilière de Brasília, qui n'était jamais quelque chose de léger. Avec cette politique plus récente, la ceinture verte à l'origine prévue pour isoler et préserver le centre de Brasília des villes satellites a été cassée dans quelques parties et même si la bulle du plan pilote reste encore fort, elle n'est plus intacte. On a de
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Brasília jusqu’à Ceilândia et Recanto das Emas, dans le sens du sud, une urbanisation continue qui peut être lue comme une conurbation des villes. La conurbation implique aussi une zone qui comprend les bassins hydrografiques de la région et inclu dans son intérieur le Guará, Vicente Pires, Águas Claras, Riacho Fundo, Paranoá, etc et donc il représente aussi une question de pouvoir et conservation environnementale.
Figure 22 Image de la conurbation de Brasília dans le sens sud
L’autour immédiat dans le cas de la sortie du nord de la ville reste toujours considérablement préservé des conurbations en raison de la zone de conservation environnementale du Parc national. À l'origine le projet de Brasília a prévu un type de ceinture verte qui encadrerait Brasília dans son centre, le plan pilote. L'objectif était seule et simple, comme il était remarqué pour le propre Lúcio Costa dans le mémorial du Plan Pilote: il faudrait empêcher l’implantation des favelas tant que dans la périphérie urbaine comme dans la rural. Cette ceinture est étudiée jusqu'à aujourd'hui avec le nom qu'il y avait à ce moment-là comme "la ceinture hygiénique" un titre répulsif si on se rend compte qu'en pratique il est mis en place pour le seul but de s'éloigner les populations pauvres du centre, les maintenir suffisament loin de n'importe quel droit à la ville et sans accès aux cartes postales de l'utopie moderne, parce que cela consistait en un privilège des riches. C'est aussi de cette façon que Brasília maintien leur tels hauts index de qualité de vie, comme fréquemment le mieux
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du Brésil, car ils est considéré dans les recherches juste les voisinages riches et centraux, la bulle urbaine de Brasília et les zones de périphérie sont encore ignorées
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“Vamos sair da invasão A cidade é uma só Você que tem um bom lugar pra morar Nos dê a mão, Ajude a construir nosso lar Para que possamos dizer juntos A cidade é uma só Você, você, você Você vai participar Porque, porque, porque A cidade é uma só” “Allons-‐y sortir de l’invasion La ville est une seule Toi, qui a un bon place pour habiter Donnez-‐nous la main Aidez à construire notre Maison Pour que nous puissons dire ensemble La ville est une seule Tu, tu, tu Tu va participer Parce que, parce que, parce que La ville est une seule”18 19 Jingle de la Campagne d’Érradication des Invasions, 1969.
18 Paroles traduits par l’auteur.
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CEILÂNDIA Les premières années après sa fondation, Brasília présentait déjà une énorme population dans des occupations irrégulières et des camps. Les évaluations de 1969, avec seulement 9 ans après l'inauguration de la ville, ont bordé le numéro de 80 mille habitants considérant juste les agglomérations dans le centre ou près des Brasília. Dans cette année, le troisième président de la dictature militaire, Emílio Garrastazu Médici, a été choisi au Brésil dans une période que l'on a considéré le sommet de la dictature où la répression, des censures et la torture étaient des activités communes dans le quotidien de ce qui s'opposaient au régime ou sa idéologie. La préoccupation avec la maintenance d'une apparence d'ordre était une constante de la plus grande importance. Le régime devrait sembler marcher parfaitement bien et c'est exactement pour ça que n'importe quelle image d'opposition, insatisfaction ou pauvreté a été rapidement étouffé. Dans le même temps, c'est arrivé dans le récemment créé District fédéral l'apparition effervescente des zones urbaines manquantes d'infrastructure prenant en compte que les gens qui se sont déplacés pour là pour la construction n'avion pas retourné et ni ils retourneraient d’où ils se sont venus. Contrairement à celui que les propagandes ont promis, les ouvriers qu’avaient construit Brasília n'ont pas trouvé dans la capitale construit d'espace pour des meilleures qualités de vie, du travail et un bon endroit pour vivre et il n’y avait pas là assez de programmes sociaux pour accueillir ces gens et les incorporer dans l'opération urbaine de la ville. Brasília, en clair, n'était pas pour tous et le candangos n’ont été plus bienvenus. Le seul espace qui s’est resté pour eux étaient les occupations irrégulières. Reconnaissant l'image alarmante des occupations irrégulières à l'intérieur du centre de la capitale ou son autour immédiat et ce que celui représentait pour l'image de la capitale, le gouverneur Hélio de Silveira Jase, l'année de 1969, prend la décision de demander l'extermination des favelas au bureau général de Services Sociaux. Cette même année il a été créé un groupe de travail qui deviendrait plus tard la Commission d'Extermination d’Invasions, responsables de la CEI - Campagne d'Extermination d'Invasions. 19 Le jingle circulait dans la radio, journal, television e dans les rues. Il était chanté par un chorale d’enfants séléctionées dans l’école central de l’ocupation de la vila IAPI.
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Avec les actions de cette campagne, en 1971 ils étaient déjà délimitées 17.619 lots dans un domaine de 20 km2 au nord de Taguatinga, dans les terres qu'ont avant appartenu à la Ferme Guariroba. Ces lots ont été destinés à la réception des familles d’habitants des occupations irrégulières dans le plan pilote parmi eux la Vila do IAPI, Vila Tenório, Vila da Esperança, Bernardo Sayão, Colombo, Morro do Querosene, Morro do Urubu, Curral das Éguas e Placa das Mercedes. Tous ces invasions ont concentré plus de 15 mille résidences irrégulières et une population d’environ 80 mille personnes comme il a été déjà détaché avant. C’était une question urgente, le problème d’habitation de tant des gens, et comme ceci, "le nettoyage" du plan pilote a été rapidement accompli quand la NovaCap et la CEI ont balayé la pauvreté pour loin des yeux des résidents du plan pilote. En seulement 97 jours, à la fin de 1970, les lots ont été déjà délimités par la NovaCap et déjà le 27 mars 1971 Hélio Prates, le gouverneur du District fédéral, a lancé la pierre fondamentale pour la construction de la ville de Ceilândia, tandis qu'ils s’installait déjà les premières familles transférées des invasions. En seulement neuf mois Ceilândia déjà atteignait sa capacité maximale et d'une certaine façon que le plan de transfert des familles a été finie. Les familles des occupations irrégulières avaient déjà été enlevées des zones centrales qu’elles ont occupé et elles trouvaient dans la ville de Ceilândia leurs nouvelles préoccupations. Au lieu de la proposition de maison convenable qu'ils avaient reçue, les résidents ont trouvé les problèmes d'approvisionnement en eau, d'assainissement de base, de l'illumination publique, des transports en commun, de la poussière, de la boue et des torrents. Plusieurs habitants ont découvert que, comme il dirait un proverbe brésilien, ils avaient changé six pour une demi-douzaine et les conditions d’habitation n'avaient pas être améliorées en rien du tout. En fait, pour plusieurs familles, les conditions de vie ont éte considerés encore pires par rapport avec ce qu’ils ont trouvé avant dans les occupations irrégulières. Ce n’est pas comme si les familles avaient eu vraiment la choix de rester dans leurs invasions et n’être pas transférés pour cette nouvelle banlieue de Brasília, cependant, ce que l’ont trouvé après que le changement définitivement n'était pas ce qui était promis pour eux.
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Un des sujets principaux était celui du transport. Les habitants qui auparavant étions localisés près du centre et de leurs endroits de travail, maintenant ont dû faire face aux déplacements quotidiens de plus qu'une heure de l'itinéraire, qui était à 27km du centre de Brasília, des bus rares et insuffisants et même une absence totale de transports en commun dans les week-ends. Le déménagement de cette population du centre et son transfert a crédité les résidents le droit d'une maison régulière et légalisé mais les a supprimés le droit de la ville qu'ils avaient eux même construite. Aujourd'hui, la ville de Ceilândia est la région administrative plus peuplée du District Fédéral, avec une population de 449.592 habitants et un une taxe moyen de croissance de 4,66 %, selon le recensement de 2013. La population de Ceilândia réprésent d’environ 16 % de la population totale du District Fédéral. Le numéro de maisons urbaines est éstimé dans 126.765, où 98,76 % sont des constructions permanentes et la plupart de 95,99 % ce sont des maisons et seulement 2,49 % ce sont des appartements. La ville de Ceilândia a été implantée à 27km du centre de Brasília, à l'ouest de Taguatinga. Le projet d'urbanisme a de la paternité de l'architecte Ney Gabriel de Souza. Il consiste essentiellement en deux axes de route croisés dans un angle droit, étant les axes arqués dans des moments différents. Les lignes directives de dessin urbain s'approchent intensément du tracé proposé par Lúcio Costa dans le projet de Brasília. Il est possible de remarquer facilement que les lignes de force du projet ressemblent l'un à l'autre visuellement. La présence de deux lignes dans des sens perpendiculaires, cela aussi bien que Lúcio Costa dans le rapport du plan pilote, sont suggérés comme une action délibérée de propriété, un x qui marque un nouvel objectif, la construction d'une nouvelle ville. Comme Brasília, les lignes que définissent le projet sont guidés par la topographie où l'emplacement final des routes est choisi prenant en compte la meilleure adaptation de la maille urbaine au terrain. Cette ligne directrice est suivie le long du projet par plusieurs stratégies. Pour établir la meilleure implantation dans le terrain, les planificateurs ont pris en compte les príncipes routières comme une politique de localisation des routes de forme à les maintenir le plus plan possible pour la fluidité du trafic. Un autre facteur important pour le choix de la position d'implantation des routes et par conséquent de la ville, est que l'urgence de la
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demande de construction a fait les urbanistes opter pour une implantation qui éviterait au maximum le besoin de grands et longs déplacements de la terre, parce que la construction n’auras pas d’assez de temps ou de budget pour ce type de travail.
Figure 23 Carte de Hiérarchie Routière de Ceilândia.
Carte de l’hiéarchie routière de Ceilândia. Échelle 1:2000 Bleu: Voie expresse; Rouge: voie arteriel primaire; Orange: voie arteriel secondaire; Jaune: voie colecteur; Gris: voie local.
Dans le cas du dessin de Ceilândia on a la route principale d'accès, en rouge dans le schéma, comme la voie à grande circulation primaire. Cette route donne accès à la route de plus grande importance du projet dont il s’est formée la maille urbaine. À cette route centrale se sont ajoutées d'autres routes parallèles qui déterminent la création du composé urbain et les derniers routes sont adaptées à la topographie et donc, pliées. Dans ce sens il reste défini, alors, l'urbanisation de la ville en forme de
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bande, où l'occupation des espaces vides pour les constructions crée le caractère de la ville. Le projet de la ville de Ceilândia suggère les lignes de route qui définissent le sens entier du développement de la ville. De cette façon, la ville s'approche de la typologie de la ville linéaire qui développe une bande d'urbanisation a partir d'une route centrale qui est très importante dans le projet. Comme les premières villes linéaires de Sorio y Tuent, Ceilândia a fait la base de sa conception pour combattre le problème de sur-solicitation et de l'embouteillage du centre-ville. La ville linéaire est une solution qui permet une grande réduction du temps de construction et du temps consacré pour le déplacement à l'intérieur de la ville, en plus de la permission d'une croissance illimitée et intuitive. Idéalement la ligne droite, dans sa perfection moderne et ortogonal, est la distance la plus petite parmi deux points et en évitant un setorization, les diférents usages de la ville se feraient placer de manière naturelle et resteront toujours plus près de leur utilisateurs, ce qui exclurait la possibilité d'embouteillage ou de problèmes de déplacement. Selon la typologie formelle des villes linéaires, la ville de Ceilândia aurait sa organisation a partir de la constitution d'une large route qui serait utilisée comme le guide pour le démembrement entier de la ville. Cette large route abrite toujours la fonction de route principale, une super rue de drainage de la population où on trouve une ligne de transport. À l'origine, dans les premières villes linéaires construites, cette ligne de transport a consisté en lignes en trains ou des chariots, mais si on prend en compte la réalité de Brasília dont l'influence de l'industrie automobile est toujours présent dans sa formation il n’y a rien plus previsible que l’implémentation de cette route comme une autoroute. Le travail de distribution des flux serait dans la pratique exécuté pour des lignes de bus et pour le transport privé et individuel de voitures. Cependant, pour qu’il n’y ait pas des problèmes de déplacement, la ville devrait compter avec un système public de transport efficace. Pour éviter l'obstruction des routes et maintenir l'opération parfaite du flux de la population urbaine, il serait nécessaire que ce c’est nécessaire dans presque n'importe quel système où il y a des problèmes de flux : transports en commun efficaces. Malheureusement il n'était pas ce qui s'est rencontré dans le cas de Ceilândia que, comme c'était déjà explicité avant dans ce texte, a fait face à une série de problèmes sérieux de transport et il y fait face
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jusqu’à aujourd'hui. Le grand flux des gens vers le plan pilote trouve que de peus chemins pour se disperser dans Ceilândia et il se concentre sur le tronc routière, central et principal et aussi dans la route principale de drainage. Il y ressemble, une disposition autant que problematique quant à la fonction que la ville joue et encore un problème de transport de plus pour s’ajouter dans la liste des ceilandenses. Étant créé pour une finalité autant que différent du plan pilote, le projet d'occupation des zones devrait être différent aussi. Le centre de Brasília a été construit pour marcher comme le pôle de la ville polinuclée, autonome et représenter plusieurs fonctions parmi eux des fonctions civiques, administratives, etc. Ceilândia a été construit pour être une ville dortoir, une banlieue de Brasília, pour abriter un manque d’habitations en cours. Avec ce but Ceilândia a présenté une quantité de domaines destinée à l'utilisation résidentielle très supérieure aux domaines destinées aux autres fonctions sociales. En plus du besoin d’être construit à la hâte pour abriter le grand numéro des résidents enlevés de leurs occupations irrégulières. Toujours suivant les règles de la typologie de ville linéaire la mise en œuvre des services municipaux et des utilisations institutionnelles, comme des département de police, des écoles, des centres religieux, des parcs, etc, obéiraient à une certaine organisation. Cette organisation consiste dans une détermination d’intervalles fixes et définis, que assisteront l'extension entière de la route principale. Une autre règle pour identifier la typologie de ville linéaire est l'ordre d’implantation des zones résidentielles. Les zones résidentielles s'étendraient le long des marges de la route principale et, aussi bien que l'axe routière de Brasília, et développeraient les bandes d'occupation résidentielle à chaque côté de la route principale. L'apparition des routes secondaires et transversales pour l'alimentation du flux local, plus petit, de chaque unité de groupement résidentiel vient comme un processus du l'accomplissement d'intégration des différents flux de la ville. Il est possible de vérifier dans l’image suivant une carte d'utilisation et d’occupation du sol de la ville de Ceilândia. Dans l'image les utilisations résidentielles, mixtes, commerciales et institutionnelles de la ville sont distinguées et l'occupation de caractère majoritairement résidentiel de la ville est mis en évidénce. Néanmois, c’est important de faire attention à la disposition et la distribution des autres utilisations de la ville. Il est notable que les utilisations comerciales, institutionnelles et mixte sont
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dispersés dans la maille urbaine au lieu de concentré dans juste un noyaux et tout de même, c’est possible de remarquer l'organisation de l'implantation de ces fonctions sociales.
Figure 24 Schéma d'usages et ocupations du sol de Ceilândia
Chaque bloc est contourné par les espaces d'utilisation institutionnelle et mixte, qui le contiennent comme un cadre. Cette organisation spatiale est semblable à celui du plan pilote dans le sujet de la définition d'une celule d’habitation autosuffisant. Aussi bien que l'unité de voisinage, on a ici une formation qui dispose les blocs résidentiels dans des blocs qui partagent un domaine institutionnel. Le concept d'unité de voisinage s'approche en soi la question de la possibilité de l'utilisation d'équipements urbains et sociaux d'une façon collective pour un nombre de personnes contrôlé. Aussi bien que l'unité de voisinage de Lúcio Costa, on a une définition très claire des espaces d'utilisation résidentielle et des espaces d'utilisation institutionnelle que sont proches, un à côte de l’autre, mais encore toujours séparés. L'unité de voisinage dans le cas de Ceilândia ressemble avec celui du Plan Pilote pour la distribution régulière des espaces d'utilisation institutionnelle et d’équipements publics. Cependant elle diffère exactement dans leur définition. Dans
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Ceilândia, les domaines communs de l'unité de voisinage concernent les écoles et les églises et les espaces d'utilisation mixte, tandis que dans le Plan Pilote ils incluent en plus des écoles et des églises, le commerce local, les parcs, les blocs sportifs et des cinémas. Malheureusement on a considéré ces espaces publics des luxes inutiles dans la construction de Ceilândia, que soit les a cherchés en d'autres endroits non si immédiats à sa zone residentiel, soit a transformé les parties de l'utilisation résidentielle pour les adapter à leurs besoins. Dans le cas du commerce local, par exemple, dans le Plan Pilote on a une définition très bien établie et isolé des résidences d'espaces quant aux espaces commerciaux, alors que dans Ceilândia la source principale de commerce local est concentré dans les occupations d'utilisation mixte immédiate aux maisons ou concentré dans des points de centres commerciales plus grands. Restent comme ça visibles, les ressemblances et les différences trouvées dans les urbanisations de la ville de Brasília quant à la ville de Ceilândia. Sans doutes le projet du Plan Pilote a influencé les directives urbaines de Ceilândia en sa forme, en sa hiérarchie de route, en sa stratégie d'occupation des fonctions urbaines et même dans sa esthétique moderne. Les lignes fréquemment droite et ortogonais croisés perpendicularment dans la formation de la maille urbaine avec un bon touche sinueuse, la marque symbole du modernisme brésilien marquent la ville de Ceilândia comme pas juste une ville moderne, mais aussi comme une ville moderne construite à l'image de Brasília.
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CONCLUSION Serait-il alors possible de soulever le questionnement sur l'existence des patrimoines satellites? La réponse doit être positif, parce que les villes satellites présentent une valeur pas simplement historique et sociologique, mais aussi bien qu'esthétique de l'architecture et principalement de l'urbanisme que ne pourrait pas exister sans l'exemple de Brasília ou simplement sans sa émmergence dans l'histoire du pays. Les villes satellites, aussi bien que l'exemple de Ceilândia soulevé au long de ce travail, ont a son valeur, son histoire et sa réalité actuelle sans laquelle ce ne serait pas possible l'existence de Brasília. De la même façon que Brasília a impliqué et influencé la construction des villes satellites, les villes satellites influencent tous les moments de l'histoire de Brasília et la construisent tel qu’elle est aujourd'hui, la réalité vivant de la plus grande Utopie moderne brésilienne. Sûrment, les villes satellites n'ont pas été prévues dans l'histoire officielle de Brasília, mais sans eux Brasília n'existerait pas. Les habitants de Brasília ont dans sa histoire, à son quotidien et à son exercice d’habiter, un questionnement constant des fonctions de la ville et même de la définition de ville. Pas simplement, ils présentent de paramètres différents dans leur conception de ville, car ils vivent dans une Utopie moderne construite sur un grand désert vide sur la poussière et le béton, mais la définition de Brasília dépasse les marges et les limites d'extension, et sort la définition spatiale et le projet. Brasília n’est pas juste le plan pilote, ou les zones centrales de la ville, ou tout de même l'énorme quadrilatère défini comme le District fédéral non plus. Brasília dépasse tous ces limites et crée un rayon chaque fois plus grande de l'expansion urbaine qui a début dans son noyau. Brasília c’est l'histoire du pays étant mise à l’épreuve, répétés et renouvelés tout en même temps. Brasília est le noyau pas simplement des institutions de pouvoir du pays. Brasília est le noyau des rêves de milliers de Brésiliens, candangos, que l'avaient construit et à qui elle doit sa existence et son honneur. Elle doit son honneur au candangos que l'avaient construit et que étions trahi quand ils ont éte jeté à l’extérieur et caché ci-dessous d'un tapis de ségrégation du pays. Le candangos ont, alors, germé dans les terres où ils ont été joués et là ils ont constitué les villes satellites, à l'image de
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Brasília et à l'image d'eux mêmes, avec les outils qu'ils ont disposés dans les mains dans le moment de la formation urbaine du complexe urbain de Brasília. Le patrimoine de Brasília consiste en plus que le domaine tombée aujourd'hui par l'UNESCO. Le patrimoine de Brasília devrait inclure les villes satellites pour la reconnaissance de sa importance le long de l'histoire de la ville, mais aussi pour le rôle qu'ils effectuent jusqu’à aujourd'hui dans sa relation avec Brasília. Vraiment, on devrait les considérer comme des parties que ensemble formeront la ville de Brasília par entier.
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