AWAKENING AFRICA MAGAZINE EDITION DE JANVIER

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ALAIN RIBA-RIBA Originaire de la République Démocratique du Congo, Mr. Riba-Riba est une personne motivée, objective, tenace et confiante. Il croit au pouvoir de la vision comme outil de transformation. Il n’a pas peur de faire des erreurs et il utilise toujours ses erreurs et ses échecs passés afin d’avoir un avenir meilleur. Il croit toujours qu’hier est dans le passé, aujourd’hui est le présent et demain est l’avenir. Il se considère comme l’homme du présent car il ne réside pas dans le passé et ne vit pas dans le futur.

1. Parlez-nous de vous en quelques lignes Je suis originaire de la République démocratique du Congo. Je suis un mari et père et Je vis actuellement dans la partie nord de la ville de Dallas, au Texas. J’ai fait mes études primaires et secondaires en République démocratique du Congo et j’ai obtenu mon diplôme au Collège Boboto. Après mes études secondaires, j’étais inscrit à l’Université de Kinshasa à la faculté des Sciences Economiques.

En raison de l’agi2 Awakening Africa Magazine

tation politique et de l’instabilité du pays au milieu des années 90, j’ai quitté le pays et j’ai eu la possibilité de terminer mes études ici aux États-Unis.

J’ai un diplôme associé en développement de logiciels, une License en gestion d’entreprise et plusieurs autres certificats d’études supérieures non limités à la gestion de projet.

Par le biais de la loi Américaine HIPAA ACT (Health Insurance Portability and Accountability Act), j’ai reçu une subvention pour poursuivre une formation en technologies de l’information sur la santé et j’ai obtenu un diplôme en réorganisation du flux de travail et en gestion de l’information sur la santé.

2. Pouvez-vous nous parler de votre carrière?

Je suis architecte de logiciels informatique et consultant en affaires avec plus de 18 ans d’expérience dans les technologies de

l’information, dont 11 ans de développement et d’architecture de commerce électronique. Au cours de ma carrière, j’ai eu l’occasion de travailler avec des entreprises de plus d’un milliard de dollars en revenue.

Mon rôle est de les aider à élaborer des stratégies et à augmenter leurs revenus en mettant en œuvre les meilleures pratiques dans leur domaine de commerce électronique. En tant qu’architecte technique, j’ai géré des moyennes et grandes équipes sur un modèle économique onshore / offshore.

Je suis très impliquée dans ma communauté et j’aime les services publics. Je suis bénévole et membre actif du Parti Républicain et au sein de ce parti, j’appartiens au Reagan Club. Grâce à mon implication dans le parti Républicain et avec l’aide de mon mentor Ed Okpa, qui est actuellement membre du conseil d’administration du comité consultatif de US Exim sur l’Afrique subsaharienne, j’ai eu l’occasion de rencontrer et de dîner en privé avec des grands dirigeants Américains. De l’actuel Président Donald Trump au vice-Président Mike Pence, le chef de cabinet de la maison blanche Mick Mulvaney, le secrétaire à l’énergie Rick Perry, le gouverneur du Texas Greg Abbott, le gouverneur Jeb Bush, l’ancien Président Georges Bush, Donald Trump Junior, Le séna3. Pouvez-vous nous parler d’Amani Consulting?

Amani Consulting est une entreprise basée en République Démocratique du Congo. Il s’agit d’une société de conseil en technologies et en affaires. Amani Consulting souhaite combler le vide numérique entre la RDC et le reste du monde développé. En tant que cabinet de conseil aux entreprises, nous souhaitons créer un partenariat stratégique entre la

teur Ted Cruz, le sénateur Rand Paul, le sénateur Don Huffines ainsi que plusieurs autres sénateurs et membre du Congrès.

J’ai participé à des séances de travail sur la sécurité nationale organisée par le Conseil des affaires mondiales et l’orateur principal était l’ancien directeur et secrétaire à la Défense de la CIA, Leon Panetta. J’ai participé et suivi une formation dans un séminaire mondial sur les affaires organisé par OPIC (The Overseas Private Investment Corporation) et récemment grâce à notre cabinet de conseil aux entreprises et d’investissement, j’ai eu l’opportunité de conduire une délégation congolaise lors d’une session de travail avec la banque Américaine Exim.

République démocratique du Congo et les États-Unis d’Amérique. Récemment, nous avons eu l’occasion d’organiser une réunion entre la République Démocratique du Congo et la banque Américaine Exim.

Selon la banque Exim, l’Afrique est plus riche, plus libre et offre plus d’opportunités aux États-Unis que le continent n’en avait il y a quelques décennies. Selon un certain nombre de paramètres, l’Afrique sera l’une des plus grandes opportu-

4. Quelles sont vos responsabilités en tant que chef d’entreprise ?

En tant que chef d’entreprise, ma responsabilité est de transformer notre vision d’entreprise écrite dans la vie réelle en définissant et en mettant en œuvre un plan stratégique.

nités commerciales au monde au cours des 50 prochaines années. Un partenariat stratégique entre les États-Unis d’Amérique et la République démocratique du Congo profitera aux deux pays.

Amani jouera un rôle clé pour faciliter ce partenariat. Outre Exim, à travers notre éventail de partenaires et avec la collaboration du gouvernement de la RDC, nous aimerions créer un fonds de développement économique pour notre nation.

Je définis la réussite commerciale comme le sentiment de satisfaction et d’achèvement que j’ai après avoir ajouté de la valeur à la vie de quelqu’un.

J’apprécie le concept de relation plus que l’argent et chaque interaction avec un client ou quelqu’un que je rencontre est la transaction la plus importante de la journée. Je crois à la transformation et non aux transactions.

5. Comment définissez-vous personnellement le succès d’une entreprise ? C’est de l’argent ? la Liberté ? l’Influence ? ou l’innovation ?

6. Où voyez-vous dans 5 ans ?

Je suis un disciple de Yahushua Hamaschiach. Je crois en la mission que Hachem m’a confiée sur terre. Dans 5 ans, je me vois me développer et m’améliorer dans cette mission qui est d’aider les orphelins et les veuves. Je crois en partageant ce que Hachem m’a confié. J’aime la parole d’Elohim qui dit : « Quant à moi et à ma maison, nous servirons le Seigneur ». Cela signifie moi-même, ma femme, mes enfants et tout ce que nous possédons doit servir le Seigneur. C’est ainsi que je me vois dans 5 ans.

7. À la fin de votre vie, que souhaiter-

iez-vous pouvoir faire de plus aujourd’hui ? qu’est-ce qui vous arrête. À la fin de ma vie, je souhaiterais pouvoir accomplir ma mission sur terre. C’est ce sur quoi je travaille tous les jours. Ce n’est pas facile ; chaque fois que j’échoue dans ma mission, je redouble les efforts et j’avance vers mes objectifs.

8. Si vous aviez un conseil à donner à quelqu’un qui débute, quel serait-il ?

Je dirais de ne pas Hésiter ou se sous estimer et de rêver grand. De ne pas remettre à demain ce qui peut être fait aujourd’hui.

Parfois, plus tard devient jamais. De Créez

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info@amaniconsultinggroup.com un plan d’affaires et l’utilisez comme feuille de route. De ne pas avoir peur des erreurs et des échecs.

Martin Luther King a dit : « Si vous ne pouvez pas voler, alors courez, si vous ne pouvez pas courir, alors marchez, si vous ne pouvez pas marcher, alors rampez, mais quoi que vous fassiez, vous devez continuer d’avancer. » Ne pensez pas que la chose la plus importante dont vous avez besoin pour démarrer une entreprise est l’argent.

Les choses les plus cruciales sont une vision, une passion et un rêve.

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EDIT O Il y a deux mois, l’Ambassadrice de l’Union Africaine aux États-Unis d’Amérique, le Dr Arikana Chihombori-Quao, a été démit de ses fonctions. Il n’y avait aucune explication claire quant à la raison. On suppose que sa condamnation pure et simple du néo-colonialisme et d’autres sabotages économiques injustes en Afrique lui a peut-être couter son travail.

Mais analysons attentivement les préoccupations de ce bon et grand médecin. C’est un fait que les pays francophones doivent encore payer des impôts à la France, et il est incontestable que la majorité des Africains paient des taux d’impôts élevés en raison de la corruption. Les taxes sont si élevées que cela constitue un grand défi pour les jeunes Africains à démarrer et à maintenir des entreprises qui peuvent élever l’économie Africaine.

Même si des efforts sont faits par des Africains vivant à l’étranger et des magnats du commerce en Afrique pour s’impliquer et stimuler l’économie en investissant dans les entreprises Africaines, le défi de l’ingérence européenne reste un problème clé qui ne peut être ignoré.

L’influence étrangère a joué un rôle clé dans le renforcement de la corruption en Afrique.

Aujourd’hui, plus d’Africains vivent dans l’extrême pauvreté qu’il y a dix ans.

Les quelques Africains qui ont trouvé une éducation moderne et qui peuvent être l’espoir de l’Afrique de demain choisissent d’emmener leurs compétences sur d’autres continents en raison des bas salaires et du chômage dans leur pays.

Nous devons cependant féliciter les différents gouvernements avec le soutien de l’Union Africaine qui ont déclaré la guerre contre la corruption. Bien que la corruption est un mal qui a coûté à l’Afrique la vitesse du développement durable, l’Afrique trouve des moyens d’améliorer ses infrastructures. Les réseaux routiers et ferroviaires s’améliorent de jour en jour, tandis que le continent prend sa place de plaque tournante des TIC. En Afrique, le transfert d’argent mobile est devenu un moyen de transaction idéal et le commerce électronique a fourni des moyens de subsistance à des millions de jeunes.

De plus, le projet Wakanda 1 village et le projet de l’année de retour actuellement en cours au Ghana ont encouragé le tourisme et de grands investissements en Afrique. Ces projets, qui ont attiré des investisseurs en Afrique, sont le point de départ d’un voyage qui peut potentiellement accroître le développement et l’économie de l’Afrique. Par exemple, le projet Wakanda 1, qui constitue la construction de centres d’excellence modernes dans chaque région, contiendra des installations modernes telles que des centres TIC, des centres médicaux, des centres de recherche et des institutions d’apprentissage conçues pour les Africains.

Le projet de l’année de retour au Ghana a fait en sorte que les Africains de la diaspora soient réintégrés dans les communautés Africaines. Ces personnes investissent lentement dans les entreprises Africaines tout en retournant leurs entreprises et en établissant un commerce en Afrique.

Il est grand temps que l’Afrique réalise sa puissance industrielle. C’est la seule façon de cimenter nos industries en Afrique et de stimuler notre économie en évitant le coût élevé de fabrication et d’importation de biens, qui sont vivement disponibles dans notre cher continent. Nous devons tirer parti de nos minéraux, de nos aliments et de nos cultures qui ont toujours eu le potentiel économique de donner à l’Afrique un revirement sur la façon dont elle est perçue.

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Emmanuel Kalumbata

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SOMMAI 04 EDITO

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Politique DR. ARIKANA CHIHOMBORI QUAO

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L’Entrepreneuriat

Portrait FRANÇOISE ILEKA

une femme pour qui les intérêts des autres passent avant ses propres intérêts

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Économie et Finances Les Africains paient des impôts déraisonnables pour régler les dettes de leur pays

Culuture La diversité de la culture Africaine

Science

La clé du développement de l’Afrique

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Réseautage d’influence

Le pouvoir du cerveau humain

Evénement

Le Salon D’affaire Africain 2019

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LA BEAUTÉ DE L’ A F R I Q U E 6

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Chaque fois que l’Afrique est mentionnée, la plupart des gens pensent aux animaux errants et aux safaris en jeep. Alors que l’Afrique a beaucoup plus à offrir que les animaux, la beauté que la nature a accordée à ce continent ne peut être ignorée.

Les animaux habitants l’Afrique sont parmi les plus variés et les plus beaux du monde. La plupart d’entre nous savons que l’Afrique abrite la magnifique girafe et l’impressionnant guépard.

Cependant, il existe également une gamme plus large d’an-

imaux qui vivent en Afrique.

Il s’agit notamment des gazelles, des crocodiles et du puissant hippopotame. Dans certaines régions désertiques de l’Afrique, des chameaux errent librement. L’image de ces animaux est une caractéristique commune dans les films Africains.

Quand vous pensez à l’Afrique, vous pensez sérieusement grand. De la masse continentale à ses parties individuelles, l’échelle est massive. En plus d’avoir la deuxième plus grande superficie continentale, conte-

nant 54 nations à l’intérieur de ses frontières, il abrite également le Nil, le plus long fleuve du monde, ainsi que de très grands lacs. Outre d’immenses déserts, rivières et lacs, le continent compte également de hautes montagnes contenant des roches ignées et de vastes étendues de forêt tropicale d’importance écologique.

Le désert du Sahara est le désert le plus connu et le plus grand d’Afrique. En fait, c’est la région aride la plus étendue de la planète.

Le continent Africain abrite plus de 700 millions d’habitants, qui parlent plus d’un millier de langues différentes entre eux. De nombreux Africains ont un faible niveau de vie et, dans certains pays, souffrent de graves pénuries alimentaires.

L’Afrique est considérée comme le cœur du monde. Développant la plus ancienne civilisation humaine du monde, l’Afrique a donné

à l’humanité l’usage du feu il y a un million et demi à deux millions d’années. C’est la maison des premiers outils, l’astronomie, les bijoux, la pêche, les mathématiques, les cultures, l’art, l’utilisation des pigments, la coupe et d’autres instruments pointus et la domestication des animaux. Bref, l’Afrique a donné au monde la civilisation humaine.

ABRITANT 54 PAYS, L’AFRIQUE A QUELQUE CHOSE POUR TOUT LE MONDE

Pour ce numéro, nous avons choisi quelques-uns des plus beaux endroits d’Afrique

1. Victoria Falls, Zambie et Zimbabwe 2. Bo-Kaap, Afrique du Sud 3. Avenue of the Baobabs, Madagascar 4. Abu Simbel, Egypte 5. Bandiagara, Mali 6. Zanzibar, Tanzanie 7. Le Morne Brabant, Ile Maurice 8. Mt. Stanley, RDC - UGANDA 9. Park National de Virunga, RDC Awakening Africa Magazine

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Notre Equipe

Directeur de publication: Emmanuel Kalumbata

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Éditeur en chef: Joel Kanyonyo Infographie EMKAL STUDIO Photographie EMKAL STUDIO

Équipe de Rédaction Aswani Nabwen Emmanuel Kalumbata

Contact: USA +1 972 674 0124 Kinshasa / RDC +243 853 334 445 E-mail: subscribe@awakeningafricamag.com Web: www.awakeningafricamag.com

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Politique

Société

DR. ARIKANA

CHIHOMBORI-QUAO,MD ANCIENNE AMBASSADRICE DE L’UNION AFRICAINE AUX ÉTATS-UNIS Mariée au très respecté Docteur Nii Saban Quao, son excellence Dr. Arikana Chihombori-Quao a grandi dans un petit village de Chivhu, au Zimbabwe.

Nous, Africains, sommes beaux, intelligents, sophistiqués,

extrêmement

adaptables

Toute autre race qui a traversé ce que nous avons vécu aurait été éteinte et c’est la vérité.

Immigrante de première génération aux États-Unis en provenance du Zimbabwe, Elle a terminé ses études de premier cycle à l’Université Fisk de Nashville, au Tennessee, puis a été diplômée au Meharry Medical College où elle a obtenu un diplôme en chimie générale, une maîtrise en chimie organique et un doctorat en médecine.

Après avoir pratiqué la médecine pendant 25 ans, elle a activement participé à de nombreux programmes et projets de l’Union Africaine et a été présidente de l’Initiative de l’Union Africaine-diaspora pour la santé, où elle a aidé à mobiliser les professionnels de la santé de la diaspora afin de répondre aux besoins du continent Africain en matière de soins de santé.

Depuis qu’elle a accepté le poste d’ambassadeur de l’Union Africaine, Son Excellence Dr. Arikana Chihombori-Quao a mérité des éloges en tant que dirigeante qui a apporté une énergie renouvelée et de nouvelles idées à la mission de l’Union Africaine.

Faisant partie de ceux qui s’efforcent d’annuler ce qui s’est passé lors de la conférence de Berlin il y a 134 ans, lorsque les différentes puissances européennes exploraient, divisaient et piller sans merci l’ensemble du continent Africain. Et considérant ces divisions comme une cause de certains des problèmes de l’Afrique qui sont toujours en vigueur aujourd’hui, Elle cherche à réunir les États Africains et les Africains de la diaspora pour construire une communauté Africaine très forte et unis.

Connu sous le nom de « Scramble for African. », treize pays européens et les États-Unis se sont réunis à Berlin et ont établi des règles qui divisa l’Afrique en 53 nations. « Ils allaient en Afrique pour s’emparer de tout ce qu’ils pouvaient… [ils disent], organisons-nous afin que nous puissions les piller efficacement”.

Cette stratégie est toujours en place, sans relâche, et personne ne la conteste. C’est juste accepté », at-elle dit. »

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et

totalement indestructibles.

«L’amour n’est simplement amour, que lorsqu’il est donné»

En janvier 2019, elle a lancé le Projet ‘’Wakanda One”. Le projet débutera en Zambie et au Zimbabwe. Car ce sont ces deux pays qui ont fait des offres de terrains.

Le “Projet Wakanda One » devrait permettre de recueillir 5 milliards de dollars en fonds de développement au cours de cinq prochaines années environ. Le projet sera financé par des Africains de toute la diaspora, qui en seront les seuls propriétaires.

Elle comprendra cinq centres d’excellence dans les cinq régions du continent Africain. Les cinq centres seront des centres de développement dotés d’installations de soins de santé ultramodernes, d’hôtels, de résidences industrielles et de centres commerciaux, etc.

La commission de l’union Africaine sous pression pour avoir viré l’Ambassadrice Arikana Chihombori Quao en tant que représentante permanent de l’Union Africaine aux États-Unis d’Amérique.

Dans une lettre datée du 7 octobre 2019, le Dr Arikana a reçu un préavis de trois semaines pour quitter son bureau de Washington.

Les Africains du monde entier se sont révoltés de cette décision du Président de la Commission de l’Union Africaine, Mousa Faki Mahamat et ont signé une pétition demandant la réintégration de cette militante née au Zimbabwe.

Parmi les dirigeants Africains éminents qui ont appelé à la réintégration du Dr. Arikana se trouve Jerry Rawlings, ancien Président ghanéen et Floyd Shivambu membre du parti des Combattants de liberté économique en Afrique du Sud. Les Africains à l’étranger et en Afrique ont promis de boycotter toutes les activités de l’Union africaine si le Dr Arikana n’était pas rétabli de ses fonctions.

On laisse parler que le Dr Arikana a été démis de ses fonctions après sa lutte contre le colonialisme moderne et le néocolonialisme en Afrique. Elle a parlé ouvertement de la puissance coloniale et du rôle qu’ils continuent de jouer en Afrique.

Dr Arikana a carrément accusé la France d’avoir pris beaucoup d’argent aux pays Africains francophones.

Elle déplore que la majorité de ces pays ne soient pas indépendants de la France. A travers le Pacte pour la poursuite du traité de colonisation, la France contrôle toujours économiquement les Pays Africains.

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Politique

Société

Dans sa lettre adresse au Dr Arikana, Mr. Mahamat a exprimé sa confiance dans son travail en déclarant que le travail de cette docteure en médecine était louable. Il n’a cependant pas indiqué ni montré de raisons qui auraient pu conduire l’ambassadrice à perdre son emploi.

Dans son rôle d’ambassadrice de la mission de représentation de l’Union Africaine, Dr. Arikana a pu sensibiliser tous les peuples d’ascendance Africaine à se rassembler et à construire « l’Afrique que nous voulons » telle qu’adoptée dans l’Agenda 2063 de l’Union Africaine.

Elle a été saluée comme une dirigeante qui a apporté de nouvelles idées et de l’énergie à la mission de l’Union Africaine. Le panafricanisme est considéré comme un atout pour la société Africaine qui privilégie l’intérêt du public suprême.

La Dr. Arikana parle avec conviction et passion. Elle a insisté sur des problèmes qui ont maintenu l’Afrique en sous-développement. Ceux-ci émettent que les Africains doivent se battre pour

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aller de l’avant.

En conséquence, elle a lancé l’initiative de la Banque Globale pour la diaspora Africaine, dont l’objectif principal est de lever des fonds pour le projet Wakanda 1 Village.

Le projet débutera en Zambie et au Zimbabwe. Car ce sont ces deux pays qui ont fait des offres de terrains.

Le “Projet Wakanda One » devrait permettre de recueillir 5 milliards de dollars en fonds de développement au cours de cinq prochaines années environ. Le projet sera financé par des Africains de toute la diaspora, qui en seront les seuls propriétaires.

Elle comprendra cinq centres d’excellence dans les cinq régions du continent Africain. Les cinq centres seront des centres de développement dotés d’installations de soins de santé ultramodernes, d’hôtels, de résidences industrielles et de centres commerciaux, etc.

Dr.Arikana a été à l’avant-garde du rétablissement de la connexion entre les Africains et les Africains de la diaspora. En investissant en Afrique, les Africains de la diaspora sont encouragés à rentrer chez eux et à créer de meilleures conditions pour leur continent.

Auparavant, en tant que Présidente de l’Initiative de l’UA pour la santé de la diaspora Africaine, elle a mobilisé les professionnels de la santé de la diaspora Africaine en aidant à combattre le manque des soins de santé approprie sur le continent Africain.

La mission et l’agenda de L’ambassadrice pour l’Afrique n’ont pas commencé avec son rôle au sein de l’UA. Bien avant sa nomination, cette mère de cinq enfants avait reçu un prix comme révolutionnaire anti-apartheid pour sa contribution en Afrique.

Dans son dernier discours en tant que représentante de l’UA, cette dame autoritaire mais à la voix douce a parlé à un public majoritairement noir de sa mission de lutte contre le néocolonialisme. “Personne ne va nous donner notre libération économique, nous devons simplement le prendre”, a-t-elle déclaré.

Malgré les troubles que son licenciement a provoqués parmi les Africains de la diaspora, l’UA insiste sur le fait qu’il n’y a rien d’extraordinaire dans son limogeage. Par l’intermédiaire de leur porte-parole, Mr. Ebba Kalondo, le bureau du Président de la commission de l’Union Africaine a fait savoir qu’être Ambassadeur est une nomination politique. Un Ambassadeur sert au gré de l’autorité qui l’a investie au pouvoir et peut être licenciés à tout moment que l’autorité juge approprié.

Alors Il est peu probable que la pétition influence l’UA car une diligence raisonnable a été suivie lors de la mise à pied du Dr Arikana.

La diplomate a servi l’UA pendant trois ans avant son limogeage. Ses plus grandes œuvres unissent sans doute les Africains à travers son message d’espoir et d’indépendance.

Après la mission de l’UA aux États-Unis, Dr Arikana a promis de mobiliser plus d’un million de personnes pour signer une pétition qu’elle présentera aux Nations Unies pour chasser la France hors d’Afrique. Elle promet de continuer à diriger l’agenda d’une Afrique indépendante et unie.

NOUS DEVONS ÉLEVER L’AFRIQUE ET LAISSER L’AFRIQUE OCCUPER UNE PLACE. S.E. Dr. Arikana Chihombori Quao,MD Awakening Africa Magazine

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Société

Interview

FRANÇOISE ILEKA Fière d’être congolaise, Françoise Ileka vient récemment de rentrée dans son pays d’origine où elle se sent à l’aise, prête et motivée à contribuer pour son développement.

Elle a une carrière réussie essentiellement basée sur le travail administratif et social à New York, (USA), où elle a travaillé dans un établissement de santé appelé St.Luke’s / Roosevelt Hospital en tant que coordinatrice NIS pendant de nombreuses années, avant de démissionner en 2012 en raison du mandat diplomatique de son mari qui prit fin à New York en faveur de la France.

Mme Françoise se définit comme une femme pour qui les intérêts des autres passent avant ses propres intérêts. Elle ne supporte pas de voir des gens dans le besoin. Elle n’hésite jamais à donner de son temps pour offrir des conseils malgré ses nombreuses autres responsabilités et rôles de mère et d’épouse. Elle s’efforce toujours 16 Awakening Africa Magazine

de trouver avec l’aide du Dieu Tout-Puissant, des solutions aux problèmes des personnes qui se tournent vers elle.

1. Pouvez-vous nous parler de votre organisation à but non lucratif (quels est la mission, la vision et l’objectif de réalisation à long terme ?)

Je dirige une plateforme nommée FINAL qui a été fondée à Phoenix, dans l’état de l’Arizona aux USA. Il y avait un besoin dans la communauté, donc nous nous sommes organisés afin de pouvoir partager, conseiller, encourager et autonomiser les femmes sans tabou. Pour cela, nous remercions Mgr Auguy Ilunga Kabamba et sa gracieuse épouse Pasteur Sarah-Rose, d’avoir cru en nous et de nous avoir fourni une plateforme pour que nous poussions nous exprimer. Et cela a réveillé quelque chose qui était en nous, ce qui est venu après, c’est ce

que vous voyez aujourd’hui. « Notre destination FINALE est MAINTENANT ». Je suis pleinement consciente des réalités économiques et sociales qu’une grande partie de la population vit en RDC, c’est-à-dire la pauvreté, les conditions insalubres et la maladie. Parce que je l’ai vu de première main, et j’ai entendu des récits personnels qui étaient très tristes, profondément touchants et vraiment révoltants. Je ne peux également ignorer que de nombreuses ONG, que j’admire, sont déjà présentes et proposent des solutions afin de permettre à cette population de vivre dans de meilleures conditions et je souhaite moi aussi m’aligner sur ces missions (amélioration des conditions de vie, mécanismes de santé et de prévention des maladies, sensibilisation à l’hygiène, éducation et formation pour tous, ...)

pousser les femmes à s’émanciper et à utiliser leurs capacités créatives et productives pour construire leur maison et leur famille.

Encourager les hommes à faire preuve de force mentale et d’une forte volonté de protéger et de garantir la sécurité de ceux qui les entourent.

FINAL souhaite sensibiliser les gens en vue de leur faire comprendre que le changement est avant tout interne.

FINAL vise à coacher pour: Il est bien plus facile de se développer dans un environnement économiquement stable et nous en sommes pleinement conscients.

Et nous avons l’intention de nous focaliser à cela aussi, mais nous ne voulons pas, pour l’instant, nous concentrer sur cet aspect.

Nous visons avant tout un développement individualiste et interne qui entraînera, selon nous, un développement externe à une échelle beaucoup plus grande. Nous travaillons sur un programme qui correspond à cette vision, dans l’espoir de changer les attitudes et les mentalités, et d’introduire une pensée plus élevée.

Quand a l’objectifs à long terme, FINAL vise à ouvrir des écoles de formation, visant l’excellence dans tous les aspects. Parce que c’est le but pour lequel nous avons été mis sur cette Terre, être d’excellents êtres. Nous sommes tous importants, exceptionnels et excellents quelles que soient nos occupations professionnelles, économiques ou sociales 2. Qu’est-ce qui vous a attiré dans cette cause ?

inspirer les jeunes à se découvrir, à connaître leur identité et à se former sur le terrain, dans lesquels ils se sentent le plus en confiance . faire confiance à l’avenir, en eux-mêmes, et enfin ne jamais perdre espoir. FINAL est un façonnage, un mentorat, une éducation, un style de vie. FINAL consiste à pousser les êtres humains à sortir de la dépendance , à s’émanciper et à s’améliorer.

Mes semblables. J’adore mes semblables et ils ont tendance à venir vers moi pour telle ou telle raison. J’aime investir dans le développement humain et voir les individus atteindre les plus hauts sommets de leur vie.

3. Qui finance votre organisation ?

Nous travaillons avec des bénévoles, mais nous comptons également sur votre générosité pour un plus grand impact dans ce que nous entreprenons. Et nous tenons à vous remercier à l’avance.

4. Êtes-vous facilement joignable ? À qui beaucoup est donné, beaucoup est nécessaire. Je suis moi-même le produit de la grâce divine. J’ai beaucoup reçu de formidables hommes et femmes, qui ont contribué à mon épanouissement. Ce sont mes héros et je les remercie du fond du cœur. Bien sûr, comme je l’ai mentionné précédemment, je suis joignable. Les gens viennent facilement me demander des con-

seils, peu importe leur âge, leur sexe ou leur origine.

Je suis mère de nombreux enfants, depuis leur naissance, tout au long de leur croissance et jusqu’à l’âge adulte, je les ai vus évoluer et devenir des personnes responsables.

Le fait que j’ai toujours été ouvert pour discuter de toutes les questions avec mes enfants m’a permis d’établir des relations saines et excellentes avec eux jusqu’à ce jour, et je le fais avec tout le monde sans exception. (Jeunes, vieux, hommes, femmes) d’où mon surnom de « Mama Neema». C’est tout simplement dans ma nature. J’adore les jeunes et avec eux, nous discutons de sujets qui les concernent sans tabou. Je suis ouvert d’esprit et tolérant, et il m’arrive aussi souvent d’apprendre d’eux.

Je me sens obligé de leur parler et de leur apporter une consolation particulière, car nous en avons tous besoin dans la vie. Je le fais sans aucun doute ou inquiétude.

Tout simplement, ma vie se résume à aider, aimer et faire épanouir.

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5. Êtes-vous intéressé par la politique ?

Indirectement et à contrecœur, j’ai été contraint d’interagir avec la classe politique, chaque fois que j’approche les gens de notre pays et que ce sont eux qui élisent les politiciens, je cherche à entendre leurs griefs (chômage, éducation, soins de santé, etc.). Leur donner de l’espoir sans solution durable est inutile. La sphère politique doit recevoir les informations afin de changer ou de créer des lois pour atténuer un problème ou l’autre. Je voudrais, à travers FINAL, apporter ma touche personnelle qui utilisera la politique d’inclusion, d’autonomisation, d’éducation.

6. Outre votre vie professionnelle, que faites-vous ou prévoyez-vous faire pour inspirer et encourager les autres femmes au Congo et dans la diaspora ?

Nous voulons tous un Congo renouvelé, un Congo d’excellence. Avec FINAL, je vous invite à vous joindre à nous pour être un modèle d’excellence. Nous ne parlons pas de perfection, je ne suis pas parfaite, et je ne prétends pas l’être, mais je vise l’excellence. Allons sur le terrain, rencontrons-nous, interagissons, partageons nos expériences avec les gens, soyons en contact avec les gens. Devenons un modèle d’humilité, de soutien et d’aide aux gens.

Cela apportera de la valeur à la plus grande ressource du Congo, son peuple !

Contact: DRC: 348, Avenue des Tropiques / Quartier Residentiel Kinshasa / Limete Tel: +243 817 980 140 / www.finalrdc.org / contact@finalrdc.org 18 Awakening Africa Magazine

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Société

Interview

SHERI TOMLIN La femme qui participe activement à l’élaboration de campagnes nationales et mondiales qui aiderons à autonomiser les gens et apporteront de l’aide aux communautés du monde entier.

Sheri Tomlin est une infirmière praticienne spécialiser en santé mentale qui exerce actuellement son métier dans le metroplex de Dallas-Fort Worth. Elle est activement impliquée dans le développement de campagnes nationales et mondiales qui responsabiliseront les gens et apporteront de l’aide aux communautés du monde entier. Par le biais de son organisation à but non lucratif Peace on earth Ministries, Inc., elle crée des systèmes de soins fiables, améliorant l’accès à la technologie, aux énergies renouvelables et à l’éducation sur le continent Africain.

Mme Tomlin est une écrivaine indépendante et elle travaille actuellement sur le scénario de son nouveau Livre, Le garde du corp Africain. Elle aime voyager à travers l’Afrique, le continent qu’elle aime.

Mme Tomlin est éducatrice pour adultes depuis 2004.

Elle a donné des cours d’infirmière auxiliaire, d’aide médicale et de phlébotomie au fil des ans. Beaucoup de ses étudiants étaient des asiatiques et des réfugiés Africains qui ont été amenés aux États-Unis par l’Organismes de bienfaisance catholique. Au cours des années 90, elle a été déployée en Somalie avec l’armée des États-Unis pour une mission humanitaire sur place.

Elle travaillait en tant qu’infirmière militaire pour soigner les soldats et elle soignait les Somaliens en privé dans la mesure du possible.

En Afrique de l’Est, elle a pu visiter le Kenya et son voyage s’est poursuivi en Égypte en Afrique du Nord.

Mme Tomlin a récemment visité le Sénégal en Afrique de l’Ouest et en raison de sa fascination pour le continent Africain qu’elle aime, elle fait du bénévolat et sert des personnes socioéconomiquement défavorisées en Afrique à travers sa propre organisation à but non lucratif. Aujourd’hui, elle est activement impliquée dans le développement de campagnes mondiales et la création de marchés commerciaux qui autonomiseront les populations du continent Africain et elle soutient les efforts visant à relier les Africains à ceux de la diaspora. Par le biais de son organisation à but non lucratif, Peace on Earth Ministries, Inc., elle travaille à accroître l’accès technologique, les énergies renouvelables et l’éducation des enfants en Afrique.

Mme Tomlin travaille actuellement sur le scénario de son nouveau roman qui est disponible sur amazon.com et son site Web: www.sheritomlin.com «Le Garde du corp Africain».

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Les acteurs, musiciens, comédiens, célébrités et dignitaires de renommée mondiale ont conquis le public depuis des générations, transformant et défiant notre imagination. Ils nous permettent de nous voir les uns dans les autres, de célébrer nos triomphes et d’illustrer nos défauts tout en créant un espace pour les nombreux récits qui reflètent nos riches cultures collectives et notre histoire.

HAPAwards honore les leaders des communautés Américaines et Africaines, des personnalités politiques internationales, des dignitaires, des célébrités et des stars pionnières du cinéma, des arts, de la musique et de la comédie.

En tant qu’organisation, elles mettent en lumiere les réalisations exceptionnelles d’artistes dans différentes catégories et s’efforcent de continuer à mélanger les cultures, La beauté et la richesse de l’Afrique et de l’Amérique tout en répandant la paix à travers le monde.

HAPA se tient en harmonie avec l’industrie de la musique, des films et du divertissement comique pour transmettre des messages positifs et respectueux au monde entier mais surtout sur l’Afrique.

Dans le cadre de sa mission, HAPAwards s’engage à redonner aux communautés en Afrique et aux États-Unis ainsi que dans d’autres pays où l’aide est nécessaires pour améliorer les conditions de vie.

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A w a k e n i n g

A f r i c a

M a g

ELODIE NTAMUZINDA Par vocation et amour de sa patrie, Elodie s’intéresse depuis plusieurs années à la question du bienêtre de la population de la RDC tout en menant ses activités en synergie avec les organisations citoyennes en faveur des filles, femmes et jeunes.

Depuis 2001, ensemble avec les autres acteurs impliqués, elle a participé et animé plusieurs formations et séminaires et Au-delà de ce travail bénévole, elle a toujours milité pour l’instauration d’un état des droits, la bonne gouvernance et l’égalité des chances, le genre et la gouvernance participative.

Elle est restée active au sein de la Société civile en RDC depuis 2006. Elle fut Présidente Provinciale pour le Sud-Kivu entre 2010 et 2013.

Avant d’occuper ces hautes responsabilités, elle fut Coordinatrice Provinciale chez Regard Rural Sans Frontières (2006-2013), Présidente/Sud-Kivu de la Fondation des Initiatives des Parents et leurs jumeaux (2004-2006), Chef d’Antenne Sud-Kivu de GALE (Groupe Apprenons à Lire et à Ecrire) de 2005 et 2006 et Responsable Composante Femme de la Société civile Sud-Kivu (2008-2009).

Etant initiatrice de l’ASBL « Dignité Humaine-RD Congo, depuis septembre 2004.

Présidente du Conseil D’Administration du Consortium des Réseaux des femmes de la République Démocratique du Congo, consultante au sein de la société civile pour sa modeste expérience accumulée après plusieurs années de participation aux OMD au regard du DSRP, Madame Elodie NTAMUZINDA est Membre de la Plénière de la Commission Electorale Nationale Indépendante depuis 2013.

Combattante de première heure pour la dignité de l’homme, elle a pu bénéficier de plusieurs prix dans le cadre de l’entrepreneuriat féminin et la motivation des jeunes dans ce secteur.

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Partenaire des médias et experte dans le secteur de l’entrepreneuriat, elle a été présentée à d’autres expositions organisées par les Etats-Unis dans le compte de l’AGOA (African Growth and opportunity Act) dont elle est actuellement la représente en RDC. Pour les 5 prochaines années sa vision est la création des entreprises de transformation des produits agricoles tout en encourageant l’ouverture des routes des dessertes agricoles qui demeurent un casse-tête pour la RDC et l’accès aux engins modernes pour quitter les outils aratoires archaïques (houes).

1. Quelle est votre vision pour un Congo nouveau ?

Ma vison pour un Congo nouveau est de palper les résultats des acquis de la démocratie et en améliorer les perspectives, pour enfin monter des usines de transformation de tous nos produits, et créer une classe moyenne, pour qu’à tout moment après chaque cycle électoral nous puissions palper les réalisations positives pouvant nous mener aux indicateurs objectivement vérifiables pour être ainsi compétitifs sur l’échiquier mondial, de par notre position stratégique sur tous les plans.

LA DIGNITE HUMAINE asbl «DH asbl» est une plateforme d’initiatives de développement local d’envergure nationale œuvrant pour la promotion et la protection des droits de l’homme.

Contact: +243 97-232-8203 / +243 82-604-6904

N° 4 bis, Bo-Boliko Avenue

infos@ladignitehumaine.com

C/Kintambo, Kinshsa /DRC

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Réseautage D’influence

Entrepreneuriat

Réseautage D’influence

Gianni Bubu

Originaire de la République démocratique du Congo et résidant au Texas aux USA, Gianni Bubu Bwaba est le fondateur et PDG de la boutique en ligne Men’s Classic. Une boutique en ligne de vêtements pour hommes (costumes, chemises, chaussures et tout autres accessoires).

Men’s Classic propose une nouvelle vague de costume à la mode qui s’adapte pour être accessible à tous. Les produits sont uniques avec une valeur ajoutée « Made in Italia and Turkey ». Avec la livraison express A travers le monde entier, Men’s Classic Station livre ses produits dans un délai raisonnable. Étant un travailleur acharné, persistant et passionné par ce qu’il aime faire, Gianni s’assure toujours que ses clients sont satisfaits et émerveiller par les services et produits qu’il offre.

1. Y avait-il un moment où tu voulais arrêter ? Et comment as-tu géré cette situation ?

Oui, surtout au début quand j’ai commencé ... ce n’était pas facile pour moi de gérer toutes ces choses.

La raison pour laquelle j’ai continué, c’est parce que j’aime ce que je fais.

Si vous n’aimez pas ce que vous faites, vous n’irez nulle part car cela parait comme une perdre de temps !

J’ai surmonté beaucoup des défis premièrement à cause de ma foi en Dieu, de mon travail acharné et de mon dévouement.

2. Si vous aviez un conseil à donner à quelqu’un qui débute, quel serait-il ?

sistent dans leurs rêves et ceux qui croient que Dieu est vivant !

D’Être prêt, parce que les choses ne seront jamais comme nous le pensons ! De ne jamais abandonner ce rêve car rien n’est impossible pour ceux qui per-

3 mots clés : travaillez dur, croyez et n’abandonnez jamais !

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R é s e a u t a g e

D ’ i n f l u e n c e

FABRICE KOMBO Fier d’être Congolais, Fabrice Kombo est un homme d’affaires prospère originaire de Mbujimayi, une ville située dans le centre-sud de la République démocratique du Congo. Tout en étant très occupée car il gère plusieurs entreprises, il se considère comme un père de famille dévoué car il trouve toujours un moyen de donner plus de son temps à sa famille bien-aimée car il aime toujours passer beaucoup de temps avec eux.

1. Pouvez-vous nous parler de votre entreprise ?

Je dirige une société appelée KOMBO ENTREPRISES. Nos principaux domaines d’activités sont l’aviation, l’exploitation minière, l’agriculture et le divertissement. KF Jets est la seule société de courtage en jets privés au monde appartenant à des Noirs. Nous négocions des accords miniers en utilisant le financement direct avec des entreprises aussi grande qu’IBM. Nous travaillons en partenariat avec la province Kongo central en République démocratique du Congo pour commencer le développement de 22 000 acres de terres. Nous sommes également présents sur le conseil en approvisionnement d’avions militaires. Pour en citer quelques-uns.

2. Comment avez-vous eu l’idée ou concept pour commencer votre entreprise ?

Je viens d’une ville dominer par les affaires et être entrepreneur été célébré et encouragé. Dans ma famille, mon père était un homme d’affaires astucieux. Mon grandpère était l’une des personnes la plus influente du Kasaï. Donc, je ne le revendique pas, je sais que c’est dans le sang.

3. Quelle était votre mission au départ ?

Créer suffisamment d’indépendance pour moi même au début. J’ai toujours eu du mal à suivre des structures sociales autoritaire. De la maison à l’école jusqu’au travail. Donc, il n’y a qu’une seule règle pour moi, si tu ne veux pas qu’on te dise quoi faire, la seule option est d’être celui qui dicte et prend des décisions. Mais ensuite, au fil du temps, alors que de plus en plus de bonnes choses se passaient autour de nous, j’ai commencé à voir plus loin. En partie je pense aussi à mon 40e anniversaire qui vient de se passer. Mais au Delas de tout, j’ai suivi ce à quoi je suis 28 Awakening Africa Magazine

appelé à faire ou être. Je crois maintenant que plus j’apporte de la valeur a un maximum de personnes, plus je serais plus proche de ce dont j’ai été appelé.

de Deerfield, Floride à Brazzaville avec aucune idée de ce qui allais m’arriver. Peutêtre aussi quand j’ai décidé de me lancer dans les affaires.

4. Quels services ou produits offrez-vous?

7. Quels sont les échecs que vous chérissez le plus ?

De ne pas réussir à construire mon premier hangar à Malte. J’avais un projet avec Sierra Nevada Corporation. Les coupes budgétaires au niveau du Sénat aux états unies ont rendu l’accord impossible. Ça allait être une grande victoire car j’étais tellement sûre que j’avais déjà le deal mais Hélas !!!

Nous vendons des : / Jets privés / Yachts / Avions militaires /Boissons Acholique / Vêtements / Et nous sommes aussi dans la production musicale 5. Votre entreprise aide-t-elle la communauté où elle se trouve ?

Nous avons dans le passé, mais en ce moment nous ne sommes pas aussi impliqués que nous devrions être, je vais admettre cela.

6. Quelle est la chose la plus courageuse que vous avez fait dans votre vie ?

J’ai piloté un jet privé pour la première fois

8. Si vous pouviez faire un recul de 5ans, quels conseils donneriez-vous vousmême ?

D’essayez de travailler plus pour aider les autres car on se déplace plus rapidement avec moins de résistance. Le bonheur est le seul point où la confiance et l’humilité se croisent.

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FISTON ALOMBA

Marié et père d’une famille, Fiston ALOMBA OYANGONDJO est Licencié en Droit économique et social de l’Université de Kinshasa « UNIKIN ». Jeune entrepreneur congolais, avocat d’affaires, associé gérant de la société FAOS Sarl, Fiston Alomba est Président National de la Fédération des Entreprise Privées en RDC « FEDEP » ; Président de Fond de Solidarité et d’appui aux petites et moyennes entreprises « FAPEM » et représentant Pays de l’ADE – International.

1. À quoi ressemblerait le monde si vous réalisez votre vision ?

Si je réalise ma vision, le monde ressemblerait comme on dit, qu’après la pluie vient le beau temps, c’est-à-dire, ma joie sera celle de voir qu’après des multiples efforts consentis dans la recherche d’une vie quotidienne, que celle-ci soit profitable à ma famille et à la nation congolaise ; mais aussi, je serai contre ceux-là qui font souffrir les autres pour leurs propres intérêts égoïstes, sans vision.

2. Parle nous de L’Agence de Développement des Entreprises Indépendante à l’International (ADE-INTERNATIONAL). c’est depuis 2016, lors de la conférence mondiale des petites et moyennes entreprises qui a eu lieu à ROME en Italie, par l’Union Mondiale des PME « WUSME »dans laquelle j’avais pris part en qualité de Directeur Général de la Société FAOS et conseiller du Ministre des Affaires Sociales, que j’avais été désigné comme représentant des Pays de l’ADE International en RDC dont l’objectif est de promouvoir les PME congolaises en matière de gestion, de formation adéquate, financement de projets et à la création d’une bourse collaboratrice des moyens ainsi qu’à la recherche des investissements des capitaux.

3. Qu’est-ce qui vous motive à faire ce que vous faites ?

La motivation est que j’ai une passion pour mon pays la RDC et je veux inscrire mon nom dans l’histoire de mon pays tout en contribuant à son émergence et défendre la jeunesse au niveau national qu’international. Cette passion vient de Dieu étant donné que c’est lui le maitre des temps et des circonstances, mais aussi et surtout notre détermination et notre volonté de nous engager dans le combat de la vie tout en prospérant pour la victoire.

4. Que faites-vous la plupart de votre temps ?

La plupart de mon temps est consacré à la

lecture, la réflexion et à la recherche pour concevoir des projets et programmes de mes activités à long et à court terme.

5. Quelle est votre vision pour la jeunesse congolaise? Quel changement aimeriez-vous apporter pour aider cette jeunesse à faire mieux ?

Ma vision pour la jeunesse congolaise s’articule autour des idées positives qui consistent au changement de mentalité et à la prise de conscience. Que les jeunes deviennent autonomes partant de leurs activités quotidiennes, à créer des emplois basés sur les microfinances avec des projets innovateurs. Cela peut soulager tant soit peu

leurs conditions de vie. En outre les jeunes qui souhaitent créer leurs entreprises peuvent aussi bénéficier de notre accompagnement dans leurs projets jusqu’à l’obtention du financement à travers nos structures, l’ADE International et la Fédération des Entreprises Privées en RDC dont je suis le répresentant. Nous profitons de l’occasion pour lancer un appel aux jeunes de se joindre à nous dans notre programme Horizon 2020 -2025 (Tous jeunes Leaders).

Pour toutes facilitations d’affaires et démarches d’investissements en République Démocratique du Congo veuillez nous contacter sur les coordonnées indiqués ici-bas.

Pour toutes facilitations d’affaires et démarches d’inves-

Tel: +243 84 66 98 051

tissements en République Démocratique du Congo

Tel : +243 99 71 466 46 E-mail : fistonoyangondjo@gmail.com Website: www.fedep.net

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R é s e a u t a g e

D ’ i n f l u e n c e

RUDDY MUTOMBO Né à Kinshasa, en République démocratique du Congo. Rudy a immigré aux États-Unis avec sa famille à l’âge de 17 ans. Titulaire d’une maîtrise en comptabilité et logistique à l’Université d’Arlington, au Texas, il rêvait de faire des choses qui changeraient la vie des gens et en inspireraient beaucoup.

Plein d’espoir et ayant une grande vision pour vivre le rêve américain, Rudy prend rapidement la décision de se lancer dans le monde des affaires pour donner vie à sa vision.

Rudy a persévéré contre toute attente et il a finalement pu transformer son expérience en un portefeuille d’activités réussi et a créé plusieurs entreprises qui se développent incroyablement bien en termes de chiffre d’affaires.

La véritable clé de la connaissance de Rudy réside dans le fait que son industrie diversifiée et son expertise personnelle sont transférables sur plusieurs plateformes et amènent ses clients à trouver leur propre niche dans leur propre espace créatif.

La compassion, l’engagement et la culture de responsabilité de Rudy feront de vous et de vos proches des excellents procureur.

Grâce à ses antécédents éprouvés, à son portefeuille diversifié et à ses succès commerciaux, la capacité de Rudy à s’adapter à une multitude de climats économiques tout en se tenant au courant des tendances du marché lui a permis de fournir un modèle innovant à ses clients.

L’engagement de Rudy envers la passion et l’excellence a été illustré tout au long de la longévité de son entreprise. Rudy n’est pas lié par des contraintes régulières, des délais ni des constructions sociales. Sa magie réside dans sa capacité de réaliser l’impossible.

Dernièrement, Rudy a publié son premier livre intitulé <L’attitude d’un millionnaire : 9 étapes pour bâtir une entreprise qui compte des millions de dollars en utilisant des principes bibliques>.

En tant que propriétaire d’entreprise ou aspirant de monter une entreprise, ce livre est conçu pour débloquer les principes divins de Dieu pour un grand succès.

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Disponible sur Amazon https://www.amazon.com/dp/0578554313/ref

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Sandra Bea Sandra Bea est née à Kinshasa, au Congo et a fréquenté le lycée de Muanjadi. elle fut inscrite au programme d’enseignement où elle a appris les principes fondamentaux pour éduquer de jeunes femmes courageuses.

C’est à cette époque que Sandra a commencé à rêver d’aider ces camarades de classe moins fortunés qu’elle. Elle a passé quelques années à travailler au Congo mais a aussi tôt déménagé aux États-Unis où elle a rencontré son mari Dan. Elle est mère de trois beaux enfants : Faida (15), Jelani (11) et Jua (3) et elle réside actuellement à Denver, aux Colorado avec sa famille.

1. Pouvez-vous nous parler de votre carrière ?

J’ai la chance de faire partie d’une organisation incroyable, connue sous le nom de Global Village Academy, où je travaille comme directrice generale et directrice exécutive du programme d’immersion. L’une de nos spécialités uniques est d’offrir tous les sujets en langues étrangères : français, espagnol, russe et mandarin. Nous croyons en exposant nos étudiants plus tôt dans la vie à une langue étrangère les préparerait pour un grand succès dans la vie. Plus jeunes, les enfants sont comme des éponges, ils absorbent rapidement tout ce que vous mettez devant eux, pourquoi ne pas les exposer aux langue! Ma fille aînée, Faida parle couramment l’espagnol, le français et bien sûr l’anglais. Mon deuxième fils, Jelani parle non seulement couramment l’anglais, mais parle couramment le mandarin et le français.

2. Y a-t-il une réalisation ou une contribution dont vous êtes le plus fier ?

Eh bien, je dirais que la plus grande réussite ou contribution a été de maintenir plus de mille filles congolaises à l’école au cours de 32 Awakening Africa Magazine

ces 10 dernières années par le biais de mon organisation à but non lucratif appelée Muanjadi Organizations. Rien ne me procure plus de joie que de récolter de l’argent et de subvenir aux besoins de ces jeunes filles qui, autrement, n’auraient pas eu la chance de poursuivre leurs études par manque de ressources. Je profite de cette occasion pour remercier mon mari Daniel de m’avoir soutenu dans cette grande aventure, mes frères et sœurs, Mme Connie Baker (la plus grande contributrice), mon église (Crossroad Church), mon école, Global Village Academy, et beaucoup plus de donateurs qui, si nous suivons la liste, ne finiront jamais.

3. Quel a été le plus grand défi auquel vous avez été confronté ?

Le plus grand défi auquel j’ai été confronté serait probablement de déménager aux États-Unis dans ma vingtaine et d’avoir à apprendre une nouvelle langue, l’anglais.

C’était frustrant à l’époque et meme déprimant. À certains moments, je me sentais stupide. Je dirais de loin ; la barrière de la langue a été le plus grand défi auquel j’ai été confronté.

4. Parlez-moi de l’organisation MuanJadi

L’Organisation Muanjadi est née du souci de voir des jeunes filles de la ville dans laquelle j’ai grandi, Mbujimayi, abandonnant l’école, par manque de soutiens financiers. Comme alternative, leurs parents les marieraient très jeunes.

Au lieu de me plaindre tout le temps, j’ai décidé de faire quelque chose. C’est ainsi que Muanjadi est né. Chaque année, je finance l’éducation de 50 filles au minimum.

5. Quel est votre programme le plus réussi ? Donnez-moi votre meilleur exemple de la façon dont vous avez vu le travail de votre organisation faire la différence ?

J’ai plusieurs exemples, celui qui me vient à l’esprit est l’exemple de Kabishi. Il y a près de 8 ans, elle a été choisie pour participer à notre programme de bourses, aujourd’hui, elle est diplômée de l’ISP Mbuji Mayi, et elle travaille maintenant en tant que professeur de mathématiques. Nous avons des filles qui poursuivent leurs études de médecine et font maintenant leur stage à l’hôpital Marie Biamba de Kinshasa.

6. Qu’est-ce qui ferait la plus grande différence pour aider votre organisation à s’améliorer dans ce qu’elle fait ?

occasion pour appeler mes compatriotes de la République démocratique du Congo.

Congo pour aider à soutenir cette cause.

Je pense que ce qui aurait le plus grand impact serait de voir les Congolais plus impliqués dans cette cause, en particulier ceux de Mbuji Mayi. Je voudrais saisir cette

7.Quels sont les principaux obstacles qui se dressent entre vous et votre mission, et comment comptez-vous les surmonter ?

Le principal obstacle reste le financement. Établir un noyau de base de supporters reste l’un de nos plus grands défis. Une fois que j’obtiendrai ce noyau de supporters, notre prochain objectif serait de re-ouvrir le pensionnat(internat). Nous voulons que nos filles s’épanouissent dans un environnement plus contrôlé.

www.muanjadi.org

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ÉCONOMIE ET FINANCES LES AFRICAINS PAIENT DES IMPÔTS DÉRAISONNABLES DANS LE BUT DE REMBOURSER LES DETTES QUE LEUR PAYS DOIVENT. Le paiement d’impôts est une contribution obligatoire imposée par le gouvernement sur le revenu de tout travailleurs, les bénéfices des entreprises, les biens, les services et certaines transactions.

Tous les résidents vivants et travaillant dans les pays africains doivent payer des impôts pour aider à gérer les activités gouvernementales telles que la fourniture de services sociaux à ses citoyens, le paiement de ses travailleurs, la conduite d’activités militaires et la construction d’infrastructures telles que des routes et des hôpitaux.

Dans certains cas, les non-résidents qui travaillent en Afrique sont également taxés en fonction de l’argent qu’ils gagnent en travaillant ou en faisant des affaires sur le continent.

L’objectif des gouvernements Africains est de réduire les inégalités et de sortir les gens de la pauvreté en utilisant les revenus générés pour financer les programmes sociaux. Il est donc important d’avoir un bon régime fiscal qui contribuera à percevoir clairement ces recettes.

Dans la plupart des pays Africains, les taxes augmentent lorsque les dettes des pays augmentent. En raison des dettes cumulées, il devient difficile pour ces gouvernements de subvenir aux besoins de leurs citoyens et la priorité passe des services sociaux à la collecte des impôts pour rembourser les dettes. Chaque fois qu’un gouvernement en particulier dépense plus d’argent que les revenus qu’il reçoit, le gouvernement augmente ses dettes.

La corruption et l’utilisation des fonds publics pour des gains personnels sont un autre moyen par lequel les gouvernements Africains ont plus accumuler leurs dettes et par conséquent l’impôt a payé par les travailleurs et entreprises sont souvent déraisonnable.

La seule méthode pour réduire les dettes d’un gouvernement et réaliser la croissance économique consiste à réduire les dépenses ou à augmenter les impôts.

La plupart des gouvernements choisissent d’augmenter les impôts. Ceux qui gagnent plus paient une part plus importante de 36 Awakening Africa Magazine

leurs revenus que ceux qui gagnent moins.

Tout cela pour réaliser le développement.

Bien que les taxes imposées aux Africains soient plus élevées que dans d’autres parties du monde, les revenus sont les plus bas. La taxe sur la valeur ajoutée sur les biens et services est également très élevée.

Ce fait rend impossible la constitution du capital nécessaire.

Les gouvernements Africains utilisent les impôts pour collecter de l’argent pour rembourser des dettes qui sont principalement prises à des fins de développement.

Même s’il y a un pourcentage élevé d’argent perdu dans la corruption, l’argent emprunté sert les pays Africains à améliorer les infrastructures. En Afrique de l’Est, cet argent est utilisé pour améliorer le réseau routier et ferroviaire, au Congo, au Gabon et au Ghana, des prêts ont été utilisés pour construire des barrages et au Nigéria et au Soudan, il a été utilisé pour construire des centrales électriques.

De nombreux pays Africains ont emprunté de l’argent à la Chine et cherchent mainte-

nant des moyens de rembourser cet argent. À l’exception de la Namibie, de la Zambie et du Lesotho où les impôts sont parmi les plus bas du monde, les Africains paient en moyenne 18% de leurs revenus. Le montant du revenu imposable, des exonérations et des déductions fiscales détermine le montant d’impôt qu’un particulier doit payer à son gouvernement.

Bien que les taxes à elles seules ne suffisent pas à stimuler l’économie, la réduction des dépenses contribuera à gérer les dettes.

Il est également souhaitable que les gouvernements réduisent les dépenses dans les domaines qui ne créent pas de possibilités d’emploi car ces domaines ne sont pas susceptibles de donner des rendements tangibles. La lutte contre la corruption contribuera largement à réduire l’impôt sur le revenu que les citoyens doivent payer.

Economie

Ces gouvernements doivent prendre en compte les impacts à court et à long terme de leurs politiques de dépenses fiscales. Cela leur permettra de comprendre ce qui figure en premier dans la liste des priorités et ce qui profitera aux populations à long terme.

Les gouvernements africains devraient également être tenus responsables de l’exécution efficace des activités financières. Les gouvernements doivent dire a la population comment l’argent est utilisé.

Une journée de lecture du budget est normalement réservée par le trésor publique par le biais du ministère des Finances pour expliquer aux différents parlements et a la population ce qu’ils ont l’intention de faire et combien d’argent ils ont l’intention d’utiliser au cours du prochain exercice. Le budget est ensuite approuvé ou modifié.

Une structure de responsabilité financière sert de base à la création d’un processus financier efficace.

La Rédaction

EFFETS ÉCONOMIQUES DES INFRASTRUCTURES DÉVELOPPÉES DANS CERTAINES PARTIES DE L’AFRIQUE

Sur les 54 pays Africains, deux seulement ont échappé à la domination coloniale. Le colonialisme a joué un grand rôle dans le développement en Afrique car il a été une référence pour l’Afrique où il doit être en termes de développement. Un assez grand nombre de pays Africains sont en bonne voie de développement.

Le premier pays en termes de développement en Afrique est le Seychelles, un pays dont l’indice de développement humain (IDH) est de 797 et l’espérance de vie est de 73,7 ans, suivie par l’ile Maurice, l’Algérie, la Tunisie, le Botswana, la Libye, le Gabon, l’Afrique du Sud, l’Égypte et le Maroc.

Le développement d’un pays est mesuré par l’IDH qui comprend l’espérance de vie, l’éducation, le niveau de vie, la croissance

économique, les soins de santé et les infrastructures.

Les infrastructures en Afrique ont été parmi les principaux piliers et catalyseurs de la croissance socio-économique.

Une bonne infrastructure est une combinaison de réseaux routiers, de réseaux ferroviaires, de voies navigables intérieures, de ports et d’oléoducs pleinement opérationnels et de qualité. C’est aussi un système d’information et technologique efficace.

Ceux-ci peuvent être considérés comme des catalyseurs du développement économique car ils garantissent que les transports et les communications sont efficaces d’un point à un autre, ainsi le commerce peut se dérouler sans heurts.

Dans cet article, nous examinerons la croissance des transports, des communications et de la technologie en tant qu’infrastructures clés qui affectent directement l’économie Africaine.

Les nations Africaines sont riches en minéraux tels que l’or, le diamant, l’uranium, le pétrole et le gaz. Une bonne infrastructure facilite le transport moins cher et plus facile de ces minéraux vers les ports et garantit que le commerce a eu lieu au profit économique des miniers et des pays concernés. Cela réduit également le temps consommé entre l’extraction et la vente des produits, ce qui se traduit par une productivité accrue.

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Economie

Non seulement de bons réseaux routiers et ferroviaires améliorent le commerce des minéraux Africains, mais ils garantissent également un accès facile aux centres d’éducation, aux hôpitaux et aux autres équipements nécessaires.

L’Afrique du Sud, deuxième économie et premier pays producteur d’or en Afrique, possède un réseau routier et ferroviaire de premier plan. Il ressort clairement du système de transport du pays que l’infrastructure est directement liée à l’économie du pays.

De même, l’Algérie, l’une des économies les plus développées et les plus avancées d’Afrique, est allée plus loin en réalisant des téléphériques pour économiser sur l’espace terrestre tout en créant un système de transports publics qui aidera ses habitants à contribuer à la productivité socio-économique De leur pays.

L’un des sujets discutés au Forum du transport durable en Afrique est l’utilisation du transport rapide par bus(TRB) en Afrique comme l’un des moyens de créer un accès à différents biens et services d’un point à un autre. Les transports publics sont importants pour la productivité socio-économique. Déjà en Tanzanie, TRB est utilisé.

Tous les secteurs utilisent la communication et la technologie de l’information (TIC) comme un outil pour se développer.

Les TIC facilitent la fourniture et l’échange d’informations en temps utile dans le but ultime de négocier ou de mener des activités qui affectent éventuellement l’économie. Il n’est pas éton-

nant que la Conférence annuelle des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED) vise à aider les gouvernements des pays Africains en développement à atteindre le développement durable des TIC. Le TIC est la structure et les mécanismes qui permettent l’informatisation.

Il s’agit de faciliter la récupération, la transmission, la manipulation, le stockage et la réception d’informations sous forme numérique.

L’infrastructure TIC comprend les logiciels, le matériel et les réseaux.

Grâce à la communication mobile et en ligne, le monde est devenu un village planétaire. Le commerce électronique a facilité le commerce à travers toutes les frontières. Il a également facilité les services financiers dans la plupart des régions d’Afrique grâce à l’utilisation des services bancaires mobiles et des services bancaires électroniques. Par exemple ; Le Kenya, un pays Africain en développement, a créé une application de transfert d’argent, Mpesa, qui est utilisée par la majorité de sa population pour transférer rapidement et facilement des fonds vers diverses parties de l’Afrique et même à l’étranger à peu de frais.

Les TIC peuvent également être reconnues pour leurs connexions intelligentes avec les personnes, les processus et les données, créant ainsi une efficacité. De plus, il est devenu plus facile pour les startups d’exceller et des opportunités d’emploi ont également été créées.

Pour beaucoup des gouvernements, les TIC ont facilité la prestation de services en optimisant la chaîne d’approvi-

sionnement. Il est désormais possible d’optimiser les déclarations de revenus et de soumettre des candidatures en ligne pour les emplois et les offres du gouvernement.

Les TIC ont facilité le transfert d’informations et de connaissances. Les barrières linguistiques ont été brisées car il est devenu plus facile d’interpréter les langues pour atteindre les gens de loin.

Des menaces pour la sécurité, telles que des attaques terroristes connues pour freiner le développement, ont également été détectées à de nombreux points d’entrée (tels que des ports) en Afrique à l’aide d’ordinateurs et de scanners qui peuvent facilement repérer des munitions et des explosifs indésirables.

Dans un passé récent, beaucoup des pays ont pu protéger leur population contre l’épidémie d’Ebola en utilisant des machines pour détecter la température corporelle aux points d’entrée et aux frontières. Cela a permis au personnel de ces postes de rester en sécurité en maintenant leur distance avec les patients suspects et en veillant à ce qu’aucune personne inffectée ne se rende dans le pays. Ce qui provoque des maladies et, par conséquent, un ralentissement des activités socio-économiques.

Bien que les TIC fonctionnent pour l’Afrique, il y a place à l’amélioration en termes de connectivité Internet et d’accessibilité.

Pour que le commerce électronique se développe, il doit y avoir une infrastructure et des services fiables et abordables.

Emmanuel Kalumbata

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CHÔMAGE, CRIMINALITÉ ET CONDITIONS DE VIE ALTERNATIVES EN AFRIQUE Parmi les 28 pays les plus pauvres du monde, 27 se trouvent en Afrique. On estime qu’au moins 413 millions de personnes en Afrique survivent avec moins de 1,90 dollar par jour. Selon l’estimation de la Banque mondiale, l’Afrique est en retard par rapport au reste du monde et pourrait encore être confronté à l’extrême pauvreté après l’année 2030, qui est l’année fixé pour éradiquer complètement la pauvreté extrême dans le monde.

Les Africains en situation d’extrême pauvreté n’ont pas les moyens d’acheter de la nourriture, des vêtements et n’ont pas un abri de base.

De nombreux facteurs ont influencé le taux de pauvreté croissant en Afrique.

Ces facteurs comprennent l’instabilité politique, la croissance démographique rapide, la corruption, les problèmes ethniques, la lutte pour les ressources et les possibilités d’emploi limitées.

Il est difficile de collecter suffisamment de taxes et de fonds lorsqu’un pays est corrompu. En raison du manque d’argent, il devient difficile d’investir dans la santé, l’éducation et le transport ou toute autre institution qui peut être d’une importance au pays et qui peuvent aider à réduire le niveau de pauvreté.

La croissance démographique rapide a fait en sorte que les ressources sont inférieures au nombre de personnes.

Alors que la présence de ressources en Afrique pourrait être la clé de l’élimination de la pauvreté, La mauvaise gestion de ces mêmes ressources a plongé le continent encore plus dans l’insuffisance.

En effet, dans la plupart des régions, les rebelles armés ont soit pris le contrôle, soit cherchent à gagner Le contrôle des minéraux. En conséquence, les canaux appropriés ne sont pas suivis pour le commerce et cela n’apporte pas des avantages à la communauté. La corruption est également renforcée alors que tout le monde essaie de s’emparer des minéraux pour des gains égoïstes.

L’absence de la loi et d’ordre ralentit les processus administratifs et les progrès.

Les dirigeants au pouvoir choisissent des personnes de leur clan pour l’emploi même si elles ne sont pas qualifiées pour occuper ces postes. Cela bloque l’accès aux personnes compétentes en Afrique et contribue au sous-développement.

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L’existence de groupes armées et de groupes terroristes a rendu difficile le travail de la population et cela diminue le fait de gagner de l’argent qui puisse subvenir à leurs besoins et à ceux de leur famille. Cela est dû à la peur de l’enlèvement, du meurtre et de perte de biens. Ils préfèrent s’enfuir ou rester à l’intérieur pour éviter les ennuis.

Les quelques ressources qui peuvent être rassemblées en Afrique sont consacrées à la gestion des maladies tropicales et infectieuses telles que le paludisme, le VIH / sida et la tuberculose.

Cela conduit finalement à un mauvais style de vie.

En raison du manque de revenus, de nombreuses familles n’ont plus de moyens de subsistance, ce qui entraîne une augmentation du taux de criminalité.

La pauvreté et le manque d’opportunités ont frustré les jeunes en Afrique. En conséquence, il est plus facile pour eux de

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se radicaliser et de rejoindre des groupes rebelles.

Les jeunes frustrés sont également à l’origine de la formation de groupes rebelles qui commencent initialement comme des mouvements citoyens mais qui finissent souvent par etre financer pour commettre des activités criminelles. Ces groupes sont également utilisés politiquement pour influencer ou provoquer des troubles afin qu’un individu puisse acceder a une position quelconque dans un pays.

Outre les activités criminelles susmentionnées, la majorité des Africains croient au pouvoir spirituel.

Ils se concentrent davantage sur la religion et la spiritualité. La majorité des Africains espèrent une meilleure vie après la mort plutôt que de croire en leur capacité à améliorer leur vie ici sur terre.

Avec l’augmentation de la population, l’éradication de l’extrême pauvreté en Afrique se révèle être une Tâche très dure.

Le processus peut cependant commencer par la délocalisation et l’éducation des masses.

Le partage des connaissances et de l’expérience entre les Africains, en particulier des Africains alphabétisés et de ceux qui vivent ou qui ont vécu à l’étranger, aidera à trouver des solutions qui peuvent être utilisées pour opérer un changement.

Le développement des capacités des gens peut aider à mettre en œuvre des politiques qui peuvent aider les pays à faire face aux nombreux problèmes qui les font stagner dans le développement.

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L’ENTREPRENEURIAT La clé du développement de l’Afrique

L’Afrique est en train de devenir un continent de croissance et de possibilités parce que les jeunes se plongent plus sur l’entrepreneuriat plutôt que l’emploi traditionnel.

Le nombre de jeunes chômeurs en Afrique augmente chaque jour et le nombre d’emplois est très faible. Certaines des raisons des taux de chômage élevés comprennent l’augmentation de la population qui majoritairement jeune, l’absence d’un plan d’emploi bien planifier et de mauvais choix politiques.

On estime que d’ici 2050, le nombre de jeunes en Afrique va passé à 830 millions.

Ces chiffres placent l’Afrique au premier rang des continents avec une main-d’œuvre majoritairement jeune. L’entrepreneuriat est donc considéré comme l’un des outils de création d’emplois les plus durables en Af-

rique. Les jeunes, grâce aux pratiques commerciales, ont le potentiel de faire croître l’économie du continent Africain.

L’Ouganda, le Cameroun, le Botswana et l’Angola figurent parmi les principaux pays de l’entrepreneuriat. Dans ces pays, les taux de chômage sont si élevés que les jeunes se trouvent d’autres moyens pour gagner leur vies.

De nombreux jeunes sont prêts à prendre des risques, à faire des efforts pour créer des solutions que personne d’autre ne peut fournir dans diverses disciplines.

L’entrepreneuriat en Afrique est considéré comme un contributeur majeur à la croissance économique. Certains des domaines bien explorés par les entrepreneurs en Afrique comprennent l’hôtellerie, l’agriculture, les transports, la communication et la technologie de l’information (TIC).

Les jeunes Africains cherchent à créer des entreprises qui non seulement créent une solution à un besoin spécifique, mais aussi des entreprises susceptibles d’apporter de bonnes opportunités de profit pour relancer l’économie Africaine.

Compte tenu de la croissance des infrastructures en Afrique, l’industrie des transports et de la logistique est un bon moyen de participer à la croissance socioéconomique du continent, car les gens voudront passer d’un endroit à un autre pour échanger des services. Investir dans des taxis, des conteneurs d’expédition et d’autres méthodes pour déplacer des biens et services d’un point à un autre est un bon moyen de gagner de l’argent et de contribuer à l’économie.

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Entrepreneuriat

Investir dans l’agriculture est non seulement important pour générer de revenus, mais il permettra également aux Africains de cultiver des aliments et de s’auto nourrir. L’agro-industrie peut également fournir la transformation des aliments qui pourait garantir que: l’approvisionnement alimentaire est stable, les aliments sont disponibles, et les prix sont cohérent en toutes saisons.

La communication, la technologie de l’information (TIC) et l’ensemble de l’économie numérique sont nécessaires à la croissance économique. Il est également important pour lutter contre la pauvreté et créer des opportunités d’emploi. Grâce à la technologie, la communication a été rendue possible et le commerce plus facile.

Le transfert d’argent mobile et les services bancaires en ligne ne sont que quelques-unes des transactions qui sont désormais possibles à travers l’Afrique.

De nombreuses institutions d’apprentissage adoptent également le e-learning conformément à l’évolution du monde numérique.

Les gouvernements Africains doivent soutenir les jeunes entrepreneurs pour créer des entreprises. C’est en les dotant des bonnes compétences et en les exposant au bon environnement qu’ils pourront apprendre à diriger des entre-

prises prospères. Le gouvernement peut également soutenir les jeunes hommes et femmes d’affaires en créant des forums d’affaires où ces derniers pourraient échanger des idées et apprendre les uns des autres.

Comme toute autre entreprise existante, les jeunes entrepreneurs auront également besoin d’investisseurs pour fournir des capitaux à leurs startups. Les gouvernements doivent travailler avec les banques et les coopératives de crédit pour veiller à ce que ces jeunes soient financés et apprennent à réussir en affaires afin de pouvoir contribuer efficacement à l’économie.

Les programmes de développement économique, les sympathisants, les investisseurs commerciaux, la famille et les amis doivent également être approchés pour investir dans les idées des jeunes et trouver des capitaux pour créer des entreprises.

Les entrepreneurs en Afrique ne créeront pas seulement une source de revenus pour eux-mêmes, mais offriront également des opportunités d’emploi aux jeunes chômeurs dans une société en constante évolution.

ricain sera encouragé. C’est le cas du libre-échange du bloc économique Africain qui est encouragé dans le but d’aider à promouvoir la production de biens et de services pour le marché Africain. Il encouragera également la création d’industries dans différents pays d’Afrique.

L’entrepreneuriat jouera également un rôle dans la connexion de l’Afrique au reste du monde au fur et à mesure que le commerce d’importation et d’exportation se produit.

La Banque mondiale, par le biais de son économiste principal en macroéconomie, commerce et investissement, Peter Chacha, a indiqué qu’il était nécessaire de revoir les lois fiscales existantes pour répondre aux besoins propres des startups de l’écosystème numérique Africain.

La majorité des startups sont incapables de s’adapter aux tenues des grandes entreprises en raison de la loi réglementaire.

Le manque de possibilités d’emploi en Afrique est vraiment une bénédiction déguisée car il a poussé les jeunes Africains à l’entrepreneuriat comme moyen alternatif de joindre les deux bouts du mois.

Ces entreprises devraient stimuler l’économie de l’Afrique à l’avenir.

Les startups contribueront grandement à l’économie, car le commerce intra-Af-

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DIVERSITÉ DE LA CULTURE

AFRICAINE SPIRITUALITY

Ces dernières années, la diversité et la créativité de la culture Africaine a reçu plus d’attention dans le monde entier. De nombreux jeunes (et même vieux) Africains émergents et gravent leurs noms dans les livres d’histoire à travers leurs œuvres. De l’écriture au design, à la mode, en passant par le cinéma, la musique et la danse, ces générations variées présentent la diversité de la culture et de la créativité Africaines en remodelant les récits et en développant une compréhension plus profonde de nos industries créatives. Aujourd’hui, nous examinons certaines de ces personnes et les industries dans lesquelles elles défendent leurs causes.

LITTÉRATURE / ÉCRITURE Au fil des ans, la littérature Africaine a suscité un intérêt massif à la fois locale et à l’étranger. les écrivains Africains ont réussi à raconter des histoires d’un continent qui est ethniquement et culturellement divers, mais qui détient toujours des défis et des succès presque similaires. La plupart des auteurs de renommés ou largement lus ont écrit sur plusieurs questions allant des questions sociales et culturelles, des droits des femmes et du féminisme, à l’identité d’après-guerre et coloniale, en passant par les conflits et la résolution des conflits.

MODE L’industrie de la mode en Afrique a connu une croissance énorme ces dernières années.

La demande mondiale et la discussion sur la mode d’inspiration Africaine ont conduit à des ventes incroyables pour certains designers et marques Africains. Le boom de la mode Africaine a attiré l’attention de célébrités internationales, dont l’ancienne première dame des États-Unis, Michelle Obama, Rihanna, Beyoncé, et autres, ... La croissance a été stimulée par divers jeunes créateurs de mode et entrepreneurs qui participent maintenant à l’industrie qui compte des milliards de dollars.

L’une des industries de la mode la plus dynamique du continent est l’industrie Nigériane.

Avec une population de plus de 180 millions d’habitants, la mode Nigériane a toujours été diversifiée, reflétant ses nombreux groupes ethniques, religions et cultures.

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LA MUSIQUE L’Afrique est un grand réservoir de talents musicaux, et chaque mois, une nouvelle vague de nouveaux artistes éclatent sous les projecteurs qui captent notre attention avec leurs incroyables talents. Faire une liste des génies musicaux sur le continent n’est pas une tâche facile.

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LE POUVOIR DU CERVEAU HUMAIN L’ordinateur le plus puissant connu au monde est le cerveau humain. Le cerveau humain possède environ 100 milliards de neurones avec environ 1 quadrillion de connexions appelées synapses reliant ces cellules entre elles.

Chaque neurone agit comme une station relais pour les signaux électriques. Le cœur de chaque neurone est appelé le soma - une seule fibre mince semblable à un câble connue sous le nom d’axone qui sort du soma transporte les signaux nerveux loin du neurone, tandis que de nombreuses branches plus courtes appelées dendrites qui dépassent de l’autre extrémité du soma portent le nerf signaux vers le neurone.

Vous ne le réalisez peut-être pas, mais le cerveau est très puissant. Son potentiel est illimité. Vous pouvez créer tout ce que vous désirez tout simplement en laissant le cerveau faire ce pour quoi Dieu l’a créé de faire. Une fois que vous commencez à comprendre le pouvoir du cerveau et à appren-

dre les lois de l’univers, vous pouvez reprogrammer votre subconscient afin d’obtenir tout ce que vous voulez dans la vie et vivre pleinement votre vie.

La vie a un but pour vous et vous donnera l’abondance si vous programmez votre cerveau dans cette direction. Une fois que vous avez appris et appliqué les principes et techniques nécessaires pour modifier votre programmation, améliorer les fonctions de votre cerveau et améliorer la façon dont ce dernier peut se développer, vous pouvez avoir tout ce que vous souhaitez ou désirez. Il suffit d’une compréhension du mécanisme pour palper de tout ce bienfait.

Le cerveau a beaucoup de pouvoir comme cela a été dit plus haut. Il a la capacité de guérir toutes les maladies. Mais pourtant, chez la personne moyenne, seulement 10% du cerveau est utilisé, ce qui fait que 90% ne sont pas utilisés. Imaginez ce que nous pourrions faire si nous utilisions la pleine

capacité de notre cerveau ?

Chaque personne sur cette planète a la même capacité dans son cerveau, mais tout le monde ne l’utilise pas. Si nous devions rassembler une poignée de personnes et exploiter toute leur fonction cérébrale, nous pourrions éclairer une ville pendant au moins une semaine. C’est ainsi que le cerveau est puissant. Ce ne sont que les choix que nous faisons et les croyances avec lesquelles nous avons été programmés qui nous différencie des individus qui réussissent.

C’est la programmation que nous avons reçue de la naissance à nos jours qui façonne qui nous sommes et ce que nous faisons. Nous avons la capacité de faire des choses merveilleuses, mais c’est notre système de croyances et notre foi qui nous permettent de participer ou vivre notre vie pleinement.

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GALERIE LE SALON D’AFFAIRE AFRICAIN QUELQUES IMAGES DE LE L’EVENEMENT DE 2019

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GALLERIE EXIM BANK: LA REUNION POUR LE FINANCEMENT DE LA RDC Une réunion importante s’est tenue à Washington DC entre Amani Consulting and Investment et la grande banque Américaine d’import-export Exim. Cette banque est d’une grande renommée ; connu pour son énorme financement de projets dans les pays Africains.

Suite à la nouvelle vision : « l’Afrique Prospère » du président Trump, l’équipe Amani Consulting and Investment et son directeur général, Mr. Alain Riba-Riba, ont été honorés d’être reçus par Exim bank pour discuter du financement de projets en République démocratique du Congo.

Un partenariat stratégique entre la République démocratique du Congo et les États-Unis d’Amérique serait bénéfique pour les deux pays.

A travers Exim bank, Amani Consulting & Investment jouera un rôle majeur pour faciliter ce partenariat stratégique.

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