P O R T F O L I O
Maxime Eon
Maxime Eon
ÉDUCATION
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Etudiant en architecure 5 ème année - 23 ans
Octobre 2014 à aujourd’hui Master en architecture ENSA Versailles
Address
108 rue Amelot 75011 Paris France
Contact
eon.maxime@hotmail.fr +33 6 45 19 24 88 @maxime_eon
Octobre 2011 à Juillet 2014 Licence en architecture ENSA Versailles
Septembre 2009 à Juin 2011 BAC pro étude et économie de la construction Lycée Pierre Mendès France, Rennes
EXPÉRIENCE PROFESSIONNELLE
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3
mois
3
mois
Juillet - Septembre 2015 Ignacio Prego architectures CDD
Juillet - Septembre 2013 SOME architecture Stage
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Septembre 2007 à Juin 2009 BEP techniques de l’architecture et de l’habitat Lycée Pierre Mendès France, Rennes
mois
Juillet - Octobre 2014 Ignacio Prego architectures CDD
mois
Juin - Juillet 2010 J.P Meignan architecte CDD
2
mois
Avril - Mai 2010 J.P Meignan architecte Stage
COMPÉTIIONS
COMPÉTENCES GRAPHIQUES
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01 Informatique
02 Manuelle
Adobe Photoshop
Réalisation maquette
Adobe Illustrator
Carton
Adobe Indesign
Bois
Autocad
Plâtre
Artlantis
Cire
Sketchup
Savon
Hybrid housing competition Concours international Édition 2015 120 hours Concours international Édition 2015
Rhinocéros
120 hours Concours international Édition 2014
Cinéma 4D Excel Révit 3ds Max Cinema 4D
COMPÉTENCES LINGUISTIQUES
INTÉRÊTS
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Français langue maternelle
Anglais niveau avancé
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Cinema
Concert
Musique
Voyage
Livre
Sports
Espagnol niveau de base
Back to bike
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Back to back inscrit son concept autour de la notion de temporalité et de modularité. Il n’est pas question de fabriquer un projet autour du « Do it yourself “mais de se recentrer sur un objet architectural capable de supporter différents usages. La nuit, tous les volumes sont fermés et lumineux, ils prennent alors le statut de repères au sein de leur environnement. Le jour, les volumes se déploient, les activités liées à l’univers de cyclisme s’étendent et glissent vers l’extérieur. Alors le bâtiment n’a plus réellement de limites, les larges perspectives divisent les volumes et créer une fluidité spatiale. En développant un langage architectural cohérant vis-à-vis de son site, l’architecture devient un filtre au contact de l’espace urbain.
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Infrachitecture Une gare, un aéroport, un port, la Tour Eiffel, un musée, une école, un métro, une autoroute, un pont, une halle, un observatoire, Pompidou, Vélizy 2, le club med, un truc, un machin compliqué : l’infrastructure ne connaît pas de définition. Tramway, voie express et fleuve s’effleurent, délimitant la parcelle sans jamais se rencontrer : l’infrastructure et son architecture s’imposent alors comme nœuds fédérateurs. Bâtie comme un seul et même bloc, une machine prend forme, redistribuant et organisant des flux jusqu’alors déconnectés. Cette liaison apparaît comme une polarité au sein de la ville, où voitures, bateaux et tramway, marchandises, résidants et voyageurs se côtoient. La mixité est poussée à son paroxysme, rapprochant logements et transports de fret : le transit n’est plus un simple événement industriel, mais un spectacle offert au regard des riverains. Traversant l’ensemble de l’infrastructure, des tapis roulant acheminent les cargaisons, tandis qu’émergent des ensembles d’habitation planifiés selon trois typologies. Proches du sol, les premières s’établissent entre le port et la place ; les secondes sont des tours réservées à des résidants permanents, détachées de l’agitation constante ; enfin, des motels situés près de l’autoroute accueillent des chauffeurs de passage. Parallèlement à cette densification intense, un espace beaucoup plus libre et apaisé se dessine, faisant office de contrepied et permettant une respiration urbaine vitale, où cette machine est vécue comme un véritable paysage.
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De cet objet nait une symphonie où les chants de la foule et les percussions machiniques s’accordent sur le rythme des flux perpétuels et constants des marchandises et des hommes.
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Substrat Substrat à pour volonté de créer une liaison entre le haut et le bas Meudon. Ce centre civique doit profiter à l’ensemble des habitants de la commune, il est apparu évident de l’implanter au niveau de la césure urbaine déjà existante. Une ligne droite dans le territoire définit le gabarit général du bâtiment permettant ainsi de pallier à la forte différence altimétrique. Les programmes présents au sein de cette architecture, dialogue chacun d’entre eux donne à être vue, ainsi il favorise les différents échanges. Une personne venue au centre de documentation se retrouve spectateur d’un mariage ou d’une course d’athlétisme.
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Le bâtiment développe son langage architectural autour de sa trame structurelle volontairement présente, celle-ci agit comme un filtre au sein du paysage. Le centre civique s’exprime à travers trois outils: le plein, la transparence et le vide. Ce système constructif développe un rapport tridimensionnel reposant sur les doubles hauteurs. Les poutres et poteaux en béton d’une section de 50/50cm permettent contreventer naturellement la totalité de l’ouvrage et ainsi la globalité des éléments constructifs sont contenus dans cet interstice de 50 cm.
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Continuity concours 120 heures 2014 / avec Johann Evin & Guillaume Pinton Le projet est le résultat d’ une nouvelle interprétation de la relation entre le développement durable et l’architecture. Il n’est pas question de la voir comme un assemblage de gadgets verts. La durabilité n’est pas seulement sur les panneaux solaires, des éoliennes ou matériaux isolants. La durabilité peut être atteinte à travers la forme, par une économie de projet, par une économie de matériaux. C’est l’occasion de repenser l’architecture à travers le temps, la forme et le programme.
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L’essentiel du projet repose sur l’ambition de concevoir une structure qui offre une immersion architecturale, une structure dans laquelle les vides sont créés, la conception des espaces génériques, des interstices riches et facilement appropriables pour tout usage. Cet aspect est essentiel, car le pavillon est un phare pour le festival, il est également destiné à demeurer dans le parc , et aura une autre vie, une deuxième temporalité pendant le reste de l’année. Pendant le festival, il peut accueillir un petit marché pour les producteurs locaux qui finalement pourra rester toute l’année. C’est aussi un endroit pour se détendre, se reposer, et se rencontrer, de boire un verre face au paysage. L’objectif principal est de proposer des espaces pour le public, les employés et les bénévoles. Les gens sont habitués à acheter des objets aux usages très prédéfinis qui deviennent rapidement obsolètes. L’architecture peut être le support de multiples scénarios et son aspect durable vient de sa capacité à créer chez les gens l’envie de l’habiter.
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L’un dans l’autre Alors que l’on dénombre actuellement une pénurie d’environ 75 000 logements dans la région parisienne, une question subsiste. Comment habiter et construire la ville d’aujourd’hui ? Ce projet inscrit sa démarche dans une économie de moyen en gros oeuvre. Il prend parti de rassembler l’ensemble de ses gaines techniques, ainsi que ses blocs humides en 3 points identiques. En contre partis, de vastes surfaces modulables sont créées en coeur de logement capable de supporter les différents modes de vie. Aujourd’hui, nous ne vivons plus de la même manière, on recense de plus en plus de célibataires, de personnes divorcées ou des personnes qui travaillent chez eux.
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La totalité des appartements est double orienté, de grandes façades en polycarbonate assurent un apport généreux en lumière et pali aux vis à vis. À l’inverse, de larges verrières s’ouvrent sur la ville et offrent des espaces extérieurs de qualités à n’importe quelle saison. De plus, elles facilitent le renouvellement d’air et permettent de créer des connexions physiques entre les habitants. Cet esprit de collectivité s’illustre d’autant plus par la diversité programmatique qu’offre le bâtiment.
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Restructuration du Lycée Voillaume participation concours agence IPA Laureat 2014 - Livraison 2019
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Le projet de rénovation du Lycée Voillaume offre l’opportunité de redynamiser de manière globale et durable le cadre de vie quotidien de cette vaste communauté lycéenne. La stratégie de ce nouveau dispositif s’articule sur les réalités techniques et opérationnelles d’un vaste projet réalisé en site occupé. Notre projet propose un phasage qui supprime les superpositions spatiales entre les bâtiments existants et les bâtiments à construire. L’implantation des nouveaux bâtiments ménage une cohabitation totale entre les espaces en activité et les espaces à construire. Repenser la nouvelle entrée du lycée déplace sensible du centre de gravité de l’ensemble qui appelle une nouvelle pensée du schéma des circulations ainsi qu’une redéfinition des relations et des lisibilités entre les masses bâties.
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Sediments concours 120 heures 2015 /avec Félix Borel & Joseph Vincent Si l’homme désire conserver son architecture, c’est avant tout pour perpétuer la mémoire et de l’identité d’un lieu. Les bâtiments sont les souvenirs d’une époque révolue. Le paysage vierge et magnifique, la ville parallèle, ville rêvée, le principe de colonie et de migration forment les différentes caractéristiques de ce lieu singulier qu’est Pyramiden. Ce sont ces aspects qui doivent être préservés, et non la finalité formelle de cette ville. Sédiments conserve cette identité en offrant une alternative à deux idées extrêmes; d’une part la destruction et l’abandon «Tabula Rasa» et d’autre part l’immortalité, la vie artificielle ... Il est question d’un troisième modèle mûr qui parvient à faire son deuil et prend conscience du passage du temps, et donc, de son passé, de sa décomposition ... Le processus que nous suivons tente de réinterpréter d’une manière littérale, ironique et frénétique, les idées de sédimentation, de stratification et de carotte historique présentes dans les écrits de Colin Rowe “Collage City” ; tout comme le passé est inspiré par le passé, la ville se construit sur la ville. L’architecture suit alors deux directions, toutes deux verticales, d’un côté le passé et la disparition se dirigent inlassablement vers le sol, alors que le présent, la construction et la vie s’orientent vers le ciel.
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Ainsi, au fil des années, les colonies se suivent les unes après les autres, et occupent exactement la même parcelle du site, afin de préserver la pureté du paysage et du lieu. À sa mort, chacune construit un toit au-dessus des bâtiments qu’elle s’apprête à abandonner, comme un premier deuil. Ce toit, tel un drapé recouvrant les constructions, sert de support pour de nouveaux arrivants, formant ainsi une nouvelle topographie, une continuité temporelle inaliénable et inarrêtable. L’identité de chaque colonie influence ainsi la forme de son successeur, tout comme notre passé influe sur la forme de notre présent. Ainsi, le passage du temps et l’acceptation de l’architecture en tant que ruine, dessinent la métaphore d’une tour sans fin qui prend forme à travers son passé, et à travers la préservation de son identité ...
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Nos campos avec Aleja Castellanos Au regard du programme de « Minha Casa, Minha Vida » au Bresil, une production générique et en masse de logements répond-elle aux singularités liées au mode d’habiter ? Dans une zone comme Santa Cruz, ou demeurent les derniers terrains agricoles de Rio de Janeiro, il s’agit de préserver un maximum le sol et sa mémoire tout en négociant avec la densification futur de la ville. Ce paysage de ville diffuse est fait d’opérations foncières isolées qui nient urbanité et ecologie à Santa Cruz. Il s’agit alors de proposer une infrastructure du logement. Des outils hyper déterminés anticipent les usages et identités liées à l’habiter. L’infrastructure s’adapte à son contexte et répond au cadastre agricole existant. Ainsi 5000 unites de logements dialoguent avec un paysage et tentent de concilier espaces communs déterminés avec un espace naturel préservé dont l’usage reste à déterminer. Quant aux équipements leur positionnement est pensés en fonction de leur accessibilité pour prévaloir une mobilité douce et respectueuse des champs et de leur flore.
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A l’inverse des programmes de MCMV qui proposent un usage monofonctionnel du logement en contradiction avec le mode de vire brésilien, le projet tente de montrer le potentiel d’un habitat évolutif et adaptable.
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poteau béton armé 300 x 300 évacuation eau usée O 10 descente eau pluviale O 15 conduit de ventilation O 15 canalisation eau chaude O 1,8 canalisation eau froide O 1,8 gaine électrique O 1 gaine télécom O 1 Alluminium galvanisé ep. 2cm
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rideaux à oeillets 185 x 300 Câble gainé en acier galvanisé O 0,3 pitons à visser en acier zingué O 1
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brique terre cuite 10/20/8 palette bois 800 / 12000 sangle plastique 2 cm
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Groupe scolaire Ovalie 2 concours agence IPA 2015
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Le projet de ce groupe scolaire offre la possibilité de redynamiser de manière globale la ZAC d’Ovalie, située dans la ville de Montpellier. Ce projet se décompose en trois pôles distincts, chacun d’entre eux s’agence autour de vaste espace extérieur dédier au temps de récréation. Pour des questions techniques et pratiques l’espace maternel, le périscolaire et le réfectoire sur un même plateau en contact direct avec la rue. Aux niveaux supérieurs les locaux administratifs et l’espace réservé aux primaires prennent place sur de grandes terrasses paysagées, celle-ci assure une continuité végétale avec le parc voisin. Cette morphologie en gradin garantit à chacune des salles de profiter d’un ensoleillement maximum.
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Projet en cours
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Réalisation d’immeuble de bureaux de 10 000 m 2 au sein de la ZAC rive gauche. Construire sur des voies ferrées s’avère être une contrainte de taille afin d’y répondre, le projet développe une approche structurelle singulière. Il n’est pas question d’en faire un élément noyer dans la masse du bâtiment, mais d’en faire un vecteur d’espace en tirant parti de ses qualités fonctionnelles que formelles.
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