Pet & Garden Pro 106 FR

n° 106 • SEPTEMBRE 2015

Editeur responsable.: K. D’haveloose, magazines@expoadvice.com • Parait 5x par an (feb, avr, juillet, sept, dec) • Septembre 2015 • 19ième année • Bureau de dépot P409055 Gent X. Magazine professionnel indépendent pour le secteur pet et jardin en Belgique. Paraît 5 fois par an dans une tirage de 6.250 exemplaires. Pet & Garden Pro est une édition de Expo Advice SA, Kortrijksesteenweg 198 - B-8530 Harelbeke - Tél. +32(0)56 21 30 32 - Fax +32(0)56 25 71 41 Email: admin@expoadvice.com • Rédaction et photographie: Karl D’haveloose - Stijn Eeckloo - Wim Vanderhaegen- Bart Vancauwenberghe - Wouter Temmerman, E-mail: redactie@expoadvice.com • Service commercial et abonnements: Evelien Desmyttere - Karlien Debruyne, Tél. +32(0)56 21 30 32 - E-mail: info@expoadvice.com • Art Director: Dominique Monbaillieu, graphics@expoadvice.com • Impression: Lowyck en Plus Point • Nederlandse versie op eenvoudige aanvraag.

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Interzoo 2016 : la tendance positive se poursuit Du 26 au 29 mai 2016, les experts de l’industrie globale des accessoires pour animaux de compagnie se rassembleront à Nuremberg à l’occasion du salon professionnel Interzoo. La première vague d’inscriptions semble indiquer que le salon poursuit sa croissance. « Si nous comparons les résultats avec ceux de l’édition précédente à la même période, nous constatons qu’il y a actuellement déjà plus d’exposants participants. Cela prouve une fois de plus qu’Interzoo est considéré comme le salon professionnel le plus important au monde dans le secteur des produits et services pour animaux de compagnie », constate fièrement Hans-Jochen Büngener, Président de l’Interzoo Exhibition Committee. Voilà aussi pourquoi la superficie d’exposition disponible pour la prochaine édition a été légèrement agrandie. On sait désormais aussi que le pavillon chinois sera aménagé dans les halls 8 et 10. Nous avons également appris qu’il y aura une deuxième édition de l’Interzoo Summit, un meeting international pour les managers de fournisseurs et de détaillants du secteur. Celle-ci se tiendra le 25 mai, c’est-à-dire un jour avant le coup d’envoi d’Interzoo 2016. Cette fois, le thème sera ‘The Pet Care Market of Tomorrow’. Cette année, outre des conférences, l’organisation prévoit également d’organiser un atelier, qui a pour but de faciliter l’interaction avec les participants.

Sommaire Inside News .................................................................................................................. p. 1-2 Avant-première de Dibevo 2015 .................................................................................. p. 3 Interview avec Fons Leroy, administrateur délégué du VDAB.................................p. 4 À eux la parole... .............................................................................................................. p. 5 Avant-première de DIY, Home & Garden.......................................................................p. 6 En visite chez... Droopy’s Petshop à Lochristi...........................................................p. 7 Êtes-vous prêt pour l’arrivée de la phytolicence ?....................................................p. 8 En visite chez... la jardinerie Dewitte-Provijn à Nevele.............................................p. 9 Interview en profondeur avec Sabine Devreese, directrice générale d’AVEVE Retail...p. 10-11 Filtres pour aquariums...........................................................................................p. 12-13 Adresses utiles..............................................................................................................p. 14 Nouveaux produits........................................................................................................ p.15

Zolux remporte divers trophées Animal Challenge Pour la 5ème année consécutive, c’est Zolux qui a décroché le titre de ‘Fournisseur de l’année 2015’ au cours de la 9ème édition d’Animal Challenge, un événement annuel qui a lieu en France, et qui a été créé en 2007 par Groupe J, l’éditeur du magazine professionnel français Animal Distribution. Les trophées Animal Challenge sont remis chaque année aux acteurs du marché sur la base de votes des responsables des achats des chaînes de distribution (réseaux spécialisés et hypermarchés) et leur remise a toujours lieu au cours de soirées spéciales organisées par le salon Expozoo à Paris. Pour les trophées, qui sont décernés par catégorie d’animaux, on tient compte des critères suivants : ‘L’innovation produit’, ‘La logistique’ et ‘La dynamique commerciale & l’assistance rayon’.

Outre le titre de ‘Fournisseur de l’année’, Zolux a également reçu des trophées dans les catégories suivantes : Accessoires pour Aquariophiles (trophée d’or), Accessoires pour Oiseaux et Petits mammifères (trophée d’or), Alimentation pour Oiseaux et Petits mammifères (trophée d’or), et Accessoires pour chats et chiens (trophée d’or). Et enfin, Zolux a aussi reçu le ‘Trophée Coup de Cœur 2015’, qui récompense le produit préféré des réseaux de distribution, pour sa gamme de friandises pour petits mammifères ‘Crunchy Cups’.

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Pet & Garden Pro • Septembre 2015

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2015 sera une excellente année pour Glee Le SPF Santé Publique interdit l’importation de poissons fluorescents

Les jardineries, architectes paysagistes et aménageurs de jardins qui souhaitent développer leur commerce partiront bientôt d’un peu partout dans le monde en direction du principal événement i2i au sein du secteur du jardinage au Royaume-Uni : Glee. Le salon se tiendra du lundi 14 au mercredi 16 septembre dans le NEC de Birmingham, où toutes les dernières nouveautés de centaines de fournisseurs du secteur du jardinage seront exposées à un seul endroit idéal. À deux mois du coup d’envoi de l’édition 2015, Matthew Mein, event manager de Glee, fournit de plus amples explications sur ce à quoi on peut s’attendre. « Les choses que nous avions changées en 2014 pour donner un nouvel élan à Glee ont beaucoup plu et nous ont permis de renforcer notre position pour le salon de 2015. Le déménagement vers le nouveau site dans les halls 17-20 du NEC a non seulement permis de créer un aménagement plus clair, qui permet aux visiteurs de se balader avec plus d’aisance dans les allées du salon et d’ainsi découvrir de nouveaux fournisseurs, mais il a aussi incité les exposants à porter un nouveau regard sur leur stand. Résultat : de plus en plus d’exposants réservent des stands plus spacieux et nous demandent des conseils sur la manière dont ils peuvent tirer le maximum de leur présence au salon. Glee se porte à merveille, puisque l’événement est pratiquement entièrement réservé ; seuls quelques stands sont encore disponibles. Nous sommes bien partis pour accueillir plus de 530 exposants, dont 350 nouveaux exposants et plus de 75 marques internationales », conclut Matthew Mein.

Le SPF Santé Publique a récemment envoyé une circulaire à tous les importateurs et distributeurs de poissons d’ornement de notre pays. Le motif est simple : au cours de ces derniers mois, plusieurs lots de poissons d’ornement fluorescents génétiquement modifiés en provenance du Sri Lanka ont été interceptés. Les cargaisons interceptées contenaient en effet des poissons de l’espèce Danio rerio ou zébrés, en provenance d’Asie. Ces petits poissons ont de nature des rayures argentées sur leur dos, leurs flancs et leurs nageoires, ce qui fait que, moyennant un éclairage adéquat, ils peuvent joliment « illuminer » un aquarium. Il règne cependant – surtout en Asie – une tendance qui consiste à fortement renforcer cet effet en ajoutant des fragments d’ADN de méduses phosphorescentes à l’ADN de ces poissons. On obtient ainsi de véritables petits « poissons lumineux », qui permettent de réaliser d’importantes ventes.

Dans la circulaire en question du SPF Santé Publique, on souligne clairement que l’importation, la distribution et la vente de ces petits poissons fluorescents sont formellement interdites par la loi. « Pour un Danio rerio ordinaire, le consommateur paie à peine 70 centimes d’euro. Pour la version fluorescente, le prix grimpe facilement à quelques euros », a communiqué Gerald Bassleer, célèbre biologiste et gérant du commerce de gros de poissons d’ornement Bassleer Biofish, au journal Het Nieuwsblad. « En Asie et en Amérique, où il n’est pas interdit d’acheter et de vendre ces poissons, il s’agit d’un marché très lucratif. » Bassleer ne veut d’ailleurs rien savoir de ces petits poissons fluorescents ; on ne sait en effet encore rien au sujet de l’impact de ces petits poissons génétiquement modifiés sur la faune et la flore.C’est pour cette raison qu’en Belgique, et par extension dans toute l’Europe, l’importation et la vente de poissons d’ornement génétiquement modifiés sont strictement interdites. Le SPF Santé Publique attire l’attention sur les risques potentiels pour l’environnement et pour la santé de l’homme et de l’animal. La circulaire mentionne de ce fait que les importateurs et les distributeurs risquent d’importantes amendes s’ils enfreignent cette interdiction.

Zoomark 2015 a un caractère international de plus en plus marqué

Le 17 juin 2015, Felix a dévoilé le nom du chat qui a remporté le concours du « chat le plus futé de Belgique » de l’année. Parmi les 5.000 participants, c’est Jinx de Hal qui a décroché le titre. Via Facebook, la marque de nourriture pour chats Felix (Nestlé Purina) est partie à la recherche du chat le plus futé du pays : au total, 2.467 propriétaires de chats ont participé à la compétition. Le jury a sélectionné Jinx de Hal en tant que gagnant, car il a su faire preuve de vivacité, d’intelligence, de curiosité et de charme dans son superbe selfie.

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ÑÑ Symposium: L'avenir du marché de l'intérieur et du jardin

Sujet: Online/offline: le magazin physique et le consommateur numérique En collaboration avec l'ABJ, Comeos et Febin.

Lundi 7 septembre 2015 Kinepolis, Anvers

ÑÑ DIY, Home & Garden

Salon professionnel pour le secteur du bricolage, du home improvement et du jardinage Du 20 au 22 septembre 2015 Kortrijk Xpo, Courtrai

ÑÑ Salon professionnel Dibevo

Salon professionnel pour le secteur du pet care Du 11 au 13 octobre 2015 Evenementenhal, Gorinchem (Pays-Bas)

ÑÑ Iberzoo

Salon professionnel international pour le secteur du pet care Du 15 au 17 octobre 2015 Fira de Barcelona, Barcelone (Espagne)

ÑÑ E-Commerce Xpo

Salon professionnel pour la vente en ligne Le 30 novembre et 1er décembre 2015 Kortrijk Xpo, Courtrai

ÑÑ Anido

Salon professionnel pour le marché du pet care Les 21 et 22 février 2016 Kortrijk Xpo, Courtrai

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Salon professionnel international pour le secteur du pet care Du 26 du 29 mai 2016 Nürnberg, NürnbergMesse

Si vous désirez voir figurer votre salon ou événement sur notre calendrier, n’hésitez pas à envoyer un e-mail à Evelien Desmyttere à l’adresse admin@expoadvice.com.

Prins Petfoods lance la plateforme web Lifestyle for Pets

Le chat le plus futé de Belgique vient de Hal

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Calendrier des salons

2015

Au total, 22.299 visiteurs se sont rendus à cet événement de quatre jours, ce qui représente une augmentation de 15 % par rapport à l’édition précédente. 30 % de ces visiteurs provenaient de l’étranger. Au total, les professionnels qui ont visité le salon provenaient de 85 pays différents. Ces chiffres montrent que ce secteur du marché est plein de vie, et que Zoomark a un profil de plus en plus international. Parmi les 6.773 visiteurs étrangers, il y avait entre autres des professionnels du Kazakhstan, de la Guadeloupe, de la Martinique, du Rwanda, du Qatar et de la Polynésie française.

Zoomark 2015 a d’ailleurs enregistré 615 exposants, parmi lesquels il y avait également un nombre élevé de sociétés étrangères (65 %). « L’édition de cette année était très importante », déclare Duccio Campagnoli, président de BolognaFiere. « Elle a en effet permis d’établir encore plus de contacts entre les professionnels du monde entier, et a une fois de plus confirmé l’enthousiasme et l’envie d’entreprendre qui caractérisent ce secteur très innovant. La R&D est constamment axée sur des thèmes tels que la durabilité, l’économie d’énergie et la qualité, des valeurs que l’on retrouve au cœur du processus de production et auxquelles les consommateurs les plus exigeants attachent beaucoup d’importance. » Le programme annexe a lui aussi séduit de nombreux visiteurs. Via 4 séminaires éducatifs et scientifiques, de nombreuses possibilités au niveau des formations et des formations continues ont été présentées aux vétérinaires, éleveurs et toiletteurs. En plus de cela, divers meetings et ateliers ont permis d’approfondir plusieurs sujets actuels qui touchent le secteur des produits et services pour les animaux de compagnie. Une des initiatives les plus populaires a été le séminaire consacré aux animaleries « Winning window displays », au cours duquel les exploitants et propriétaires ont pu découvrir des astuces pour faire de leur étalage un véritable pôle d’attraction, de manière à pouvoir accueillir encore plus de clients dans leurs points de vente. La prochaine édition de Zoomark se tiendra en mai 2017.

Nestlé Purina reprend Merrick Pet Care Fin juillet, Nestlé Purina PetCare a annoncé qu’elle a racheté l’entreprise américaine Merrick Pet Care au fonds d’investissement privé Swander Pace Capital. Les détails de cette acquisition n’ont pas été communiqués. Merrick Pet Care est spécialisée dans la production de nourriture naturelle et organique pour animaux domestiques. L’objectif est que l’entreprise continue d’exercer ses activités de façon indépendante avec 350 employés.

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Le 4 octobre 2015, Lifestyle for Pets a inauguré une unique plateforme web, qui comprend une chaîne de télévision interactive, qui a pour but de rassembler toutes les activités et tendances dans le domaine des animaux de compagnie. Prins Petfoods joue donc un rôle de pionnier dans ce contexte, puisqu’elle sera la première à utiliser les toutes dernières technologies dans la pratique. La plateforme interactive offre toutes les connaissances nécessaires, un accompagnement, et les produits de qualité allant de pair pour un style de vie responsable et actif. Le bien-être de l’homme et de l’animal sont ici au cœur des préoccupations. Ce que la plateforme a d’unique, c’est le lien qu’elle établit entre les canaux de vente en ligne et les boutiques traditionnelles, de manière à pouvoir servir de manière optimale le client d’aujourd’hui, mais aussi celui de demain.

Avec Lifestyle for Pets, Prins, qui attache énormément d’importance à l’innovation, met l’accent sur les dernières évolutions du marché. La plateforme a pour objectif de fournir de l’inspiration, de faire bouger les choses, et de stimuler les amateurs d’animaux à acheter des produits et services adéquats via les boutiques (en ligne ou traditionnelles) affiliées. Les conseils, le service et les produits ne sont pas uniquement axés sur les chiens et les chats, mais aussi sur les lapins, les rongeurs, les oiseaux, les reptiles, les poissons et les chevaux.

La chaîne de télévision en ligne Lifestyle for Pets TV diffusera ses programmes via toutes sortes d’appareils (mobiles, ordinateurs de bureau, smart TV, tablettes...). Il est possible d’obtenir les informations proposées en temps réel ou à la demande. La technologie utilisée permet de commander directement en ligne des produits qui sont montrés durant les émissions. Le consommateur peut ensuite choisir s’il veut que le produit lui soit livré à domicile ou s’il désire les retirer lui-même dans une animalerie.

SALONS

Le salon professionnel Dibevo 2015 mettra l’accent sur les animaleries ‘full service’ ‘Faites-vous remarquer !’ est le thème de la prochaine édition Le salon professionnel phare néerlandais pour les pros du secteur des animaux domestiques approche à grands pas : Dibevo 2015 se tiendra en effet du 11 au 13 octobre 2015 dans l’Evenementenhal de Gorinchem. Le thème de la prochaine édition est : ‘Faites-vous remarquer !’ De nos jours, il est en effet crucial que vous vous fassiez remarquer si vous êtes un spécialiste dans le secteur des animaux domestiques et que vous voulez que vos clients ne vous oublient pas.

Se faire remarquer est le mot d’ordre L’augmentation rapide du nombre d’exposants indique clairement que le secteur des animaux domestiques connaît un élan positif. Et cet enthousiasme profitera aussi aux visiteurs, puisque l’organisation du salon professionnel Dibevo mettra cette année un accent prononcé sur les animaleries ‘full-service’. Les entrepreneurs expérimentés et polyvalents qui offrent des services supplémentaires sont en effet mieux à même de fidéliser les clients. Mais tous ces efforts ont peu de sens si l’on ne se soucie pas de sa promotion. En d’autres termes : faites-vous remarquer !

Diverses conférences très intéressantes Les entreprises ne doivent pas seulement faire en sorte que les clients puissent les trouver (tant physiquement que sur Internet) ; elles doivent aussi laisser une impression durable. L’organisation même aborde elle aussi le sujet au moyen d’une place ovale joliment éclairée, où se trouvent un pavillon des connaissances, un pavillon de toilettage, et une galerie de nouveautés. Les deux pavillons proposent un programme équilibré qui offre des outils aux visiteurs qui souhaitent davantage professionnaliser leur entreprise. Les présentations dans les pavillons de toilettage et de connaissances seront sous le signe du ‘spécialiste des animaux domestiques de l’avenir’, qui a pour piliers la connaissance, la promotion et le service. Les sujets abordés seront entre autres : « Que conseiller aux clients en matière de nourriture crue ? », « Comment attirer de nouveaux clients via des lettres d’information ? », « Le meilleur candidat au bon endroit : ‘petit jeune’ ou plus de 50 ans ? », « Médicaments pour animaux et pesticides : quelle est votre part de responsabilité ? », « Augmentez le nombre de ‘J’aime’ sur votre page Facebook », « Un département reptiles : des soucis ou un moyen de booster les ventes » et « Comment faire de votre commerce un lieu plein d’inspiration et incontournable ? ».

Pour de plus amples informations concernant ces conférences, rendez-vous sur le site web de Pet & Garden pro : www.petandgardenpro.be.

Restauration gratuite Le prix d’un ticket d’entrée pour le salon professionnel Dibevo est de 35 euros (ou 27,50 euros en prévente). Tous les visiteurs pourront assister gratuitement aux conférences et aux démonstrations dans les pavillons de connaissances et de toilettage. Ils pourront en outre profiter des boissons et des en-cas gratuits dans les points de restauration.

VOUS S E T I FA ER !

U Q R REMA

Photos: Doc. Norbert Waalboer.

Le salon professionnel Dibevo 2015 en bref Quoi : Salon professionnel pour les pros du secteur des animaux domestiques.

Quand : Du dimanche 11 au mardi 13 octobre 2015 inclus.

Heures d’ouverture : Le dimanche et le mardi de 10 h à 18 h. Le lundi de 10 h à 20 h.

Où : Evenementenhal à Gorinchem, Pays-Bas. Site web : Pour de plus amples informations, rendez-vous sur le site web de Dibevo : www.dibevo.nl

SALON PROFESSIONEL DIBEVO 2015 LE 11–13 OCTOBRE, EVENEMENTENHAL GORINCHEM (PAYS-BAS)

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Pet & Garden Pro • Septembre 2015

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INTERVIEW EN PROFONDEUR

Les jardineries et animaleries doivent davantage souligner leurs atouts dans leur recherche de personnel Un entretien avec Fons Leroy du VDAB portant sur la quête de collaborateurs adéquats (1ère partie)

Les formations donnent confiance aux travailleurs

Fons Leroy, administrateur délégué du VDAB: « Beaucoup d’entreprises de plus petite envergure se braquent encore trop souvent sur le diplôme, et laissent ainsi filer de nombreux travailleurs compétents.»

De nos jours, trouver du personnel motivé et fiable n’est pas une sinécure ; c’est même un véritable cauchemar pour de nombreux propriétaires de jardineries et animaleries. Beaucoup de postulants n’ont en effet pas envie de travailler durant le week-end, pensent qu’il n’y a pas assez de perspectives d’avancement, ou n’ont tout simplement pas assez d’affinités avec ces secteurs et finissent donc par baisser les bras. « Dans de nombreux secteurs, et surtout dans les professions critiques, il n’y a pas de solution miracle pour pourvoir des postes et trouver du personnel adéquat. Dans ces secteurs, nous constatons cependant que ce sont surtout les aspects déplaisants de l’emploi qui sont connus, alors que les atouts restent souvent dans l’ombre. Le VDAB essaie de soutenir les entrepreneurs via des initiatives telles que notre site d’offres d’emploi et la formation professionnelle individuelle », souligne Fons Leroy, administrateur délégué du VDAB.

Il faut attirer davantage l’attention sur les atouts de l’entreprise sur le marché de l’emploi La quête de collaborateurs fiables n’est souvent pas simple, et ce ne fera qu’empirer à l’avenir, dit Fons Leroy. « Nous sommes confrontés à un important vieillissement de la population active. Pour dix personnes qui prendront leur pension en 2020 ou 2025, seuls 8 nouveaux travailleurs feront leur entrée sur le marché du travail.

La pénurie générale sur le marché de l’emploi risque donc de s’aggraver au fil du temps. À l’avenir, on assistera certainement à une ‘guerre des talents’. Il sera donc nécessaire que les entreprises adaptent encore mieux leurs exigences aux compétences des demandeurs d’emploi. De plus, les histoires des secteurs de la métallurgie et non marchand (entre autres) nous apprennent que seule une approche globale peut offrir une solution à cette problématique. Tout d’abord, il est essentiel de faire découvrir un certain secteur et les possibilités qu’offre ce dernier aux étudiants, mais aussi aux demandeurs d’emploi. Les associations sectorielles peuvent éventuellement jouer un rôle dans ce cadre. Il incombe aussi aux entreprises de se présenter comme un employeur attrayant. Souvent, on insiste trop sur les côtés négatifs d’un emploi ou d’un secteur, ce qui effraie bien entendu les postulants, alors que les facteurs positifs ne sont quasiment pas mentionnés. Dans le cas d’une animalerie ou d’une jardinerie, il peut p. ex. s’agir du contact personnel avec le client, du lieu de travail agréable, de l’autonomie ou de la courte distance entre la maison et le lieu de travail. Souvent, les postulants sont trop peu familiarisés avec un certain secteur ou emploi, et ils finissent donc par les trouver peu attrayants. Mais une fois qu’ils le découvrent, leur perception peut vite changer. Prenons par exemple McDonald’s. À première vue, ce n’est peut-être pas vraiment un lieu de travail très attirant pour certains jeunes. Mais grâce à l’excellente politique de formation de l’entreprise, les jeunes employés peuvent finalement souvent avancer jusqu’à la fonction de manager d’un point de vente, ou se diriger vers une fonction financière ou autre. Si les directeurs d’entreprises sur le marché de l’emploi projetaient une image ‘accueillante’ de leur entreprise ou secteur et montraient qu’ils offrent des perspectives d’avancement ou de formation, ils pourraient formuler une réponse, en collaboration avec le gouvernement, au problème du vieillissement ou d’autres problèmes. »

Il est donc vivement conseillé d’investir dans des formations, que ce soit via le VDAB ou sur sa propre initiative. Certains propriétaires de (petites) jardineries et animaleries indépendantes avanceront peut-être qu’ils ne prévoient pas de formation pour leur personnel parce qu’ils craignent que leurs collaborateurs les quittent après un certain temps pour aller travailler pour un autre employeur, réduisant ainsi leur investissement à néant. Fons Leroy ne partage cependant pas cet avis. « Je comprends leur point de vue, mais en règle générale, les choses ne se passent pas toujours ainsi sur le marché de l’emploi, même dans le cas des petites entreprises. Diverses études scientifiques démontrent justement que les collaborateurs restent plus longtemps au service d’un employeur s’ils constatent que celui-ci investit dans leur formation. Un employé voit en effet cela comme une preuve que l’entreprise croit en lui et lui offre des opportunités. »

Tenez compte des compétences, pas du diplôme Pour conclure, Fons Leroy donne encore quelques astuces aux propriétaires d’animaleries et de jardineries qui sont en quête de personnel passionné et fiable. Il pense d’une part qu’il faudrait beaucoup plus s’attarder sur les compétences réelles d’un postulant, et d’autre part que l’on donne trop peu de chances aux demandeurs d’emploi de plus de 55 ans, aux allochtones et aux personnes handicapées sur le marché de l’emploi. « Beaucoup d’entreprises de plus petite envergure se braquent encore trop souvent sur le diplôme, et laissent ainsi filer de nombreux travailleurs compétents. Chez le VDAB, nous nous intéressons en premier lieu aux compétences d’un demandeur d’emploi. De nombreux postulants ont bien plus à offrir que ce que leur diplôme laisse supposer. Lorsque vous procédez à une sélection sur la base de ce dernier, il n’y a plus de juste milieu : soit la personne en question répond à vos critères, soit elle n’y répond pas du tout. Si vous tenez compte des compétences, il y a de fortes chances que plusieurs candidats possèdent un pourcentage élevé des capacités requises. De plus, vous détectez ainsi plus vite les lacunes des candidats potentiels. On peut alors pallier ces lacunes, p. ex. au moyen d’une ‘formation professionnelle individuelle’. Vérifiez donc ce qu’un demandeur d’emploi sait et est capable de faire et essayez de donner une chance à cette personne sur la base de ces critères.

Il est également un fait qu’en Belgique, nous n’offrons pas assez de chances aux personnes de plus de 55 ans, aux allochtones et aux personnes handicapées sur le marché de l’emploi. On ne tient généralement pas compte de ces groupes de travailleurs lorsqu’il y a un poste vacant. Tant que nous ne piochons pas dans cet ensemble de demandeurs d’emploi, nous laissons de côté un important potentiel de travail, et il faudra souvent très longtemps avant qu’un poste vacant soit pourvu. Pourquoi, dans les animaleries et les jardineries, ne ferait-on donc pas appel aux plus de 55 ans sans emploi qui ont pendant de longues années exercé un métier lourd et qui savent pertinemment qu’ils doivent aujourd’hui travailler plus longtemps ? ».

Dans le prochain numéro, nous publierons la suite de notre entretien avec Fons Leroy, où nous examinerons de plus près quelques sujets qui font débat sur le marché de l’emploi actuel.

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(4 octobre)

Connaissez-vous la « formation professionnelle individuelle » ?

Le VDAB offre un important soutien aux entreprises qui désirent pourvoir un poste vacant – cela inclut donc les animaleries et jardineries. « Tout d’abord, il y a notre site d’offres d’emploi, qui est le plus grand de notre pays. Les entreprises peuvent y publier des offres d’emploi gratuitement. Les employeurs peuvent aussi indiquer s’ils souhaitent que le VDAB se charge de la sélection ou de la réorientation.

Un autre instrument dont les entreprises peuvent se servir est ce que l’on appelle la ‘formation professionnelle individuelle’ (FPI). Il y a deux ans, le système a été assoupli, et il permet désormais aux entreprises de plus petite envergure de former un collaborateur au sein de l’entreprise même. Dans certains secteurs, comme p. ex. la vente de détail, beaucoup d’employeurs ne sont toutefois pas au courant de l’existence de cet instrument.

Concrètement, la FPI implique que le VDAB sélectionne un demandeur d’emploi en collaboration avec l’entreprise qui désire pourvoir un poste vacant. Ce demandeur d’emploi suit alors une formation de maximum 6 mois dans l’entreprise même. En tant qu’employeur, vous pouvez ainsi immédiatement constater l’évolution du collaborateur. On ne tient d’ailleurs pas uniquement compte des compétences techniques, mais aussi d’autres aspects, tels que l’attitude, l’amabilité vis-à-vis des clients, le travail en équipe, la ponctualité, la communication, etc. Si le demandeur d’emploi réussit la formation, votre entreprise est par contre obligée d’embaucher cette personne.

La FPI ne requiert pas de grands efforts financiers de la part de l’employeur. Vous payez uniquement la prime de productivité : celle-ci est d’ailleurs limitée dans la phase initiale, mais augmente toutefois au fur et à mesure que la formation avance. Au cours de cette formation, la personne en question reste toutefois inscrite en tant que demandeur d’emploi », résume Fons Leroy.

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À eux la parole…

Dorénavant, nous laisserons quelques professionnels du secteur s’exprimer sur un thème spécifique ou un sujet brûlant d’actualité. Cette fois-ci, nous avons demandé à Céline Pannecoucque (Vadigran), Marc Sleeckx (Karlie Flamingo) et Mathieu De Clippel (VerseleLaga) quels développements ils ont constaté dans le segment animaux de basse-cour.

Ci-dessous, vous retrouverez leurs observations.

Céline Pannecoucque

Marc Sleeckx

Mathieu De Clippel

VADIGRAN

KARLIE FLAMINGO

VERSELE-LAGA

Quels sont a ctuellement les animaux de basse-cour les plus populaires ?

« Chez Vadigran nous remarquons que l’animal de basse-cour le plus populaire actuellement est la poule. Il y a diverses raisons à cela. Avoir des poules chez soi permet d’avoir chaque jour des œufs frais et délicieux. En outre, ces animaux aident aussi à réduire l’empreinte écologique des propriétaires : les poules permettent en effet d’éviter le gaspillage et sont des convertisseurs de déchets idéaux, car elles mangent l’intégralité de nos restes. De plus, avoir des poules est un passe-temps ludique et de surcroît instructif pour les enfants : ils apprennent à soigner un animal, le nourrir et s’en occuper, ce qui permet de les conscientiser et de les responsabiliser. Les poules animent aussi notre jardin. Soigner des poules est relativement bon marché.La poule est donc un animal qui ‘donne’ beaucoup et qui ne demande que peu de choses en retour à son propriétaire. Nous constatons d’ailleurs que de plus en plus de communes encouragent l’adoption de poules en en offrant à leurs riverains. »

« Les animaux de basse-cour les plus populaires sont sans aucun doute les poules – surtout les pondeuses, mais aussi les poules d’ornement. Ici, dans la région, c’est surtout la poule-soie qui a du succès.

Cette popularité est probablement due au fait que ces poules sont relativement faciles à garder. Elles ne requièrent que peu de place, bien qu’il soit naturellement conseillé de leur laisser suffisamment d’espace. De plus, garder des poules apporte divers avantages : elles réduisent la quantité d’ordures ménagères, elles produisent des œufs, éliminent les mauvaises herbes de leur enclos, sont une attraction sympathique pour les enfants, etc. »

« Les gens aiment de plus en plus les poules – non seulement les poules pondeuses traditionnelles, mais aussi les poules de races spéciales, qui ont de plus en plus la cote. Les poules apportent de l’animation dans le jardin et pondent évidemment aussi des œufs frais tous les jours. Outre une nourriture équilibrée, les poules peuvent aussi recevoir un complément alimentaire sous forme de restes de table et de jardin. Voilà pourquoi elles sont des convertisseurs de déchets idéaux. Pour égayer le jardin, outre des poules, on garde aussi des canards et des poules d’ornement. Les gens se sentent de plus en plus proches de la nature et veulent en profiter pleinement. Pour certains consommateurs, cela devient un véritable hobby. En outre, les enfants adorent les poules. C’est aussi une bonne occasion de leur apprendre à devenir responsables. Par contre, il devient de plus en plus difficile de garder des moutons et des chèvres : de nombreux consommateurs abandonnent en raison de la réglementation stricte. »

Comment les ventes de produits pour animaux de bassecour ont-elles évolué au cours de ces deux dernières années ?

« La vente de poules est clairement en forte croissance. Un nombre croissant de consommateurs accueillent une poule chez eux. La poule est passée du stade d’animal utile à celui d’animal de compagnie. On constate aussi que les propriétaires accordent davantage d’attention à leurs poules : ils achètent une meilleure alimentation, une habitation agréable et jolie, divers accessoires... »

« Le fait que les poules soient aujourd’hui très prisées a naturellement entraîné une augmentation significative des ventes de nourriture, de poulaillers et d’accessoires au cours de ces dernières années. »

« On observe la croissance la plus forte dans la vente d’aliments et produits dérivés. On voit aussi une hausse manifeste de la demande de petits emballages. Nous associons cela à la popularité croissante de la volaille dans les zones urbaines. Les femmes font plus souvent leurs courses et préfèrent de ce fait acheter un sac de 5 kg au lieu d’un sac de 20 kg. »

Quelles tendances notez-vous dans les références pour animaux de basse-cour ?

« On constate que les consommateurs recherchent de plus en plus la fonctionnalité, surtout pour ce qui est des habitations : il faut qu’elles soient pratiques et faciles à monter et à entretenir. En outre, il est important que les poulaillers protègent la volaille des renards et autres prédateurs. En parallèle, le client consacre beaucoup d’attention au design d’un poulailler : il fait en effet partie intégrante du jardin, de la vie au jardin… et doit donc être beau. »

« Depuis quelque temps, certains produits ont la cote, comme par exemple les poulaillers. Autrefois, les grossistes proposaient les mêmes 5 tailles de poulaillers en bois. De nos jours, chaque grossiste propose un assortiment vaste et très varié. Il existe même divers modèles en plastique. J’ai en outre remarqué que la vente de portes automatiques pour protéger les poules des renards et martres augmente. Il s’agit clairement d’une évolution positive. »

« Les consommateurs recherchent consciemment des produits qui sont bons pour la santé de leurs animaux et optent plus souvent pour des nourritures complètes, saines et équilibrées. Les animaux de basse-cour ne sont d’ailleurs plus considérés comme des animaux utilitaires ; ils sont devenus de véritables animaux domestiques. Cette tendance est notamment bien visible au niveau des aliments pour lapins et de la demande de snacks pour les poules. Les consommateurs veulent gâter leurs poules avec de délicieux mélanges de grains qui favorisent le bien-être des animaux et qui stimulent le comportement de furetage naturel. »

« Pour les magasins spécialisés, il est clairement conseillé de travailler conceptuellement et de présenter un vaste assortiment de nourriture, de poulaillers, d’accessoires – et bien entendu de proposer des poules aussi. Vous attiserez ainsi la curiosité des clients et leur permettrez d’imaginer l’effet positif que l’installation d’un poulailler pourrait avoir sur leur jardin. » 1 24/08/15 15:40 Anido2016 Pet&GardenProFR copy.pdf

« Une animalerie peut stimuler les ventes d’articles pour animaux de basse-cour en vendant également des poules. Actuellement, beaucoup de magasins ne le font que sur demande. Il va de soi que cette approche requiert une certaine surface commerciale, mais grâce à l’augmentation des ventes de nourriture, d’habitations et d’accessoires, les frais sont amortis au final. »

« Un aménagement de magasin sympathique, avec un ‘coin ferme’, est la façon idéale de créer une expérience unique pour les clients. Les clients veulent pouvoir retrouver dans leur magasin tout ce dont ils ont besoin pour commencer : nourritures, poulaillers et animaux. Les consommateurs sont souvent à la recherche d’informations leur expliquant comment garder des poules. Un atelier ou une session d’information peut donc être fort utile dans ce contexte. »

Comment une animalerie peutelle stimuler les ventes d’articles pour animaux de basse-cour ?

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21 & 22 FEVRIER 2016 KORTRIJK XPO www.anido.be

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SALONS

L’assortiment pour le jardinage sera plus que jamais représenté à DIY, Home & Garden Cette année, le salon professionnel DIY, Home & Garden sera pour la première fois entièrement organisé par Kortrijk Xpo. L’équipe d’organisation compte donc mettre divers nouveaux accents durant la prochaine édition, qui se tiendra du 20 au 22 septembre. « Premièrement, le segment jardinage sera davantage mis en évidence au salon. Nous avons de ce fait choisi d’intégrer le terme ‘Garden’ dans le nom du salon. De plus, nous avons légèrement modifié l’approche de nos séminaires. Enfin, nous mettrons encore plus l’accent sur l’expérience et le réseautage », souligne Pieter Desmet, Sr. Exhibition Manager de DIY, Home & Garden.

Augmentation du nombre d’exposants du secteur du jardinage Début juillet (lorsque nous avons interviewé Pieter Desmet, ndlr), DIY, Home & Garden 2015 comptait déjà plus de 135 exposants inscrits. « C’est donc déjà exactement autant d’exposants que lors de l’édition précédente. Je pense que nous clôturerons les inscriptions avec une liste d’exposants d’environ 150 entreprises, ce qui représenterait une hausse de 10 % par rapport à l’édition de 2013. Notre croissance se concentre principalement au niveau du jardinage. Outre la présence de valeurs sûres comme Polet, Edialux, Husqvarna et Garden Trade International (Giardino), nous pouvons compter sur quelques acteurs renommés du secteur qui avaient été absents durant une ou plusieurs éditions, comme Scotts Benelux, Bayer Cropscience et Compo. Notre décision de nous axer davantage sur le segment du jardinage – raison pour laquelle nous avons adapté notre nom – porte clairement ses fruits. Nous constatons en effet que le bricolage ne se fait plus uniquement dans la maison, mais aussi dans le jardin. Pour les exploitants de jardineries, une visite à DIY, Home & Garden vaut donc clairement le détour. Cette année, dans notre pays, il n’y a en effet aucun autre salon professionnel qui s’adresse aussi spécifiquement au secteur du jardinage. Nous avons d’ailleurs spécialement avancé notre date d’ouverture d’une semaine, afin d’être une parfaite alternative à Green Expo durant les années impaires », souligne Pieter Desmet.

Le concours ‘Stars in the Box’ attire de nombreux candidats L’enquête menée auprès des visiteurs de l’édition précédente a révélé que plus de 72 % des détaillants visiteurs ont indiqué être à la recherche de nouveautés, et plus de 63 % cherchent des fournisseurs. Il n’est donc pas étonnant que l’innovation joue un rôle central cette année à DIY, Home & Garden. « Avec le concours de nouveautés ‘Stars in the Box’, nous mettons encore plus l’accent sur les nouveaux produits. Cette année, nous avons reçu un nombre record de candidatures, dont plusieurs provenant du secteur du jardinage : pas moins de 46 nouveautés sont en compétition pour le titre ‘Nouveauté de l’Année’. Il s’agit tant de produits qui ont été lancés au printemps que d’articles qui n’ont pas encore été mis sur le marché. Un jury, dans lequel on retrouve entre autres des collaborateurs de Horta, Hubo/Walter Van Gastel, Brico et Gamma, a procédé à une présélection, pour finalement retenir 18 nouveautés (vous pourrez découvrir les 5 nouveautés pour le segment Garden dans l’encadré ci-dessous, ndlr). Les nouveautés sélectionnées seront présentées au salon sur le stand ‘Stars in the Box’, où les visiteurs pourront voter pour leurs nouveautés favorites et ainsi participer à la sélection des gagnants », explique Pieter Desmet.

Stars in the Box 1

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Stimuler le réseautage Un salon professionnel ne doit pas uniquement être un lieu où l’on peut découvrir des nouveautés ; il faut aussi pouvoir y faire des affaires et établir des contacts. L’équipe d’organisation désire stimuler le réseautage grâce à quelques initiatives marquantes. « Premièrement, la restauration gratuite ne sera plus assurée dans une salle séparée. Elle sera désormais à disposition dans les allées au moyen de buffets. Le but est que les visiteurs et les exposants puissent encore plus facilement établir des relations professionnelles.

Cette année, nous lançons en outre un bar de barista, qui fera office de lieu de rencontre, où tout le monde pourra savourer divers types de cafés et de thés les uns les plus délicieux que les autres. Nous aménagerons aussi diverses zones lounge çà et là dans les 4 halls du salon. Tous les jours du salon, à 16 h, nous ouvrirons également notre ‘wine lounge’, où l’on pourra déguster un bon verre de vin. Enfin, le lundi du salon sera clôturé par un Network Happening – une agréable soirée organisée par Comeos. Tout cela créera de surcroît beaucoup d’animation dans l’aire d’exposition. C’est dans cette optique que nous présenterons aussi une véritable ‘place de démonstrations’, où une dizaine d’entreprises proposeront de sympathiques démos », ajoute Pieter Desmet.

Une nouvelle approche pour les séminaires L’organisation avait pour habitude de proposer des séminaires petit-déjeuner durant le salon professionnel, mais Pieter Desmet nous annonce que cette année, il y aura du changement à ce niveau. « Nous avons constaté que, du fait que les séminaires commençaient très tôt dans la journée, c’étaient surtout des exposants qui y assistaient. Pour les visiteurs du centre ou du sud du pays, il n’était en effet pas évident de pénétrer dans les bâtiments de Kortrijk Xpo dès 8 h du matin. Les conférences perdaient donc un peu de leur valeur. Pour la prochaine édition, le concept des séminaires a donc été légèrement modifié : ils auront désormais lieu en après-midi. Le lundi 21 septembre, à 16 h, Sofie Vergucht de Phytofar, l’Association belge de l’industrie des produits de protection des plantes, expliquera tout ce qu’il y a à savoir sur la phytolicence, qui sera obligatoire dès le 25 novembre 2015 pour les utilisateurs, distributeurs et conseillers professionnels de pesticides. Et le mardi 22 septembre, Wim Boesmans, Directeur Home & Lifestyle chez GfK, parlera des tendances en matière d’habitat et de style de vie en 2025. L’institut d’études de marché a en effet conduit une étude à grande échelle sur les facteurs qui influenceront notre vie dans la maison et le jardin dans le futur. »

Les 5 candidats dans le segment ‘Garden’ : 1. Rolling cut sécateur de De Pypere Avec un système de levier breveté, qui double la force manuelle au couteau du sécateur. A l’intérieur du sécateur, un galet en acier fait levier sur la lame au moment de la coupe. La coupe est beaucoup plus facile et confortable.

2. Ratissoire pleine lune de De Pypere Cette houe dispose d’un lame de coupe rond, qui permet de sarcler en chaque direction. Vous pouvez tirer, pousser et même couper à gauche et à droite.

Parfaite pour des grandes surfaces.

3. X-tiles de Scala Plastics L’emplacement de ces dalles nécessite aucune fondation. A placer sur l’herbe, terre, gravier ou sol durci. Apte au passage d’une voiture. Placement sans vis ni outils.

4. KB Home Defense Freeze de Scotts Cet aérosol qui produit du froid à -70 dégrées, a été spécialement conçu pour éliminer la plupart des insectes volants comme des mouches, mites, guêpes, ...

Le spray élimine radicalement et rapidement à petites doses. Il suffit de tenir le bouton pendant 2 secondes pour combattre les insectes volants au sein d’espaces d’habitation et de travail.

5. SPAX Freelift de SPAX International Partout où vous pouvez planter une douille de poteau, vous pouvez dorénavant aussi construire une terrasse : sans terrassement du sol et sans un coffrage béton. Pour éviter les mauvaises herbes sous la future terrasse, couvrez la surface d’un feutre géotextile. Plantez ensuite les douilles de poteau carré (entraxe 90 à 92 mm) aux 4 extrémités de votre terrasse ; emboîtez les freelifts dans les douilles, posez les 2 lambourdes aux extrémités et mettez-les à niveau. Ensuite enfoncez les autres douilles à l’intérieur des lambourdes déjà posées, emboîtez les freelifts et réglez là aussi la hauteur.

Les responsables de rayons et de magasins sont également les bienvenus DIY, Home & Garden ne vise pas uniquement les exploitants et acheteurs de magasins de bricolage, les centres de matériaux de construction et les jardineries pour visiter le salon ; les responsables de rayons et de magasins sont eux aussi les bienvenus. « Les exposants demandent explicitement à pouvoir accueillir ces collaborateurs de centres de matériaux de construction, jardineries ou magasins de bricolage sur leur stand. Un fournisseur ou fabricant a en effet déjà régulièrement des contacts avec le département des achats. Ils trouvent donc essentiel de pouvoir également présenter leurs produits et/ou services aux responsables de magasins et de rayons. Ce sont en effet eux qui déterminent où ces articles seront présentés dans le magasin. Et ce sont aussi eux qui informent et conseillent les consommateurs. Dans ce cadre, tant Hubo qu’Adimant/Bouwpunt ont décidé d’organiser une réunion le mardi matin dans les bâtiments de Kortrijk Xpo. Après la réunion, une visite du salon sera organisée. Nous pourrons ainsi considérer ce dernier jour de salon comme la ‘Journée du Responsable de Magasin’ », dit Pieter Desmet pour conclure.

DIY, Home & Garden en bref Quoi : Salon professionnel du bricolage, home improvement et jardinage.

Quand : Du 20 au 22 septembre 2015.

Heures d’ouverture : Tous les jours, de 10 h à 18 h.

Où : Halls 1, 2, 3 et 6 de Kortrijk Xpo. Entrée : Uniquement accessible aux détaillants des secteurs ciblés par le salon professionnel.

Inscription : Vous pouvez vous préinscrire via le site web du salon professionnel.

Infos supplémentaires : Rendez-vous sur www.diy-home-garden.be

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EN VISITE CHEZ… DROOPY'S PETSHOP

« Notre petit zoo fait des miracles »

Le magasin Droopy’s Petshop de Lochristi attire toujours 20 % de nouveaux clients chaque semaine

Droopy's Petshop Gérant : Danny Van Puyenbroeck

Créer une expérience unique pour les clients : voilà un des facteurs clés qui permettent encore aux commerçants de se démarquer des grandes chaînes et des concurrents sur Internet. Danny Van Puyenbroeck a parfaitement compris cela. Le gérant des magasins Droopy’s Petshop de Lochristi et Dendermonde combine ses points de vente avec des élevages de chats et chiens, et donne ainsi le sourire à ses clients. « En soi, le fait de vendre des animaux vivants n’est pas très lucratif, mais c’est tout de même cela qui permet de booster les ventes de nourriture et d’accessoires. » Il y a dix-huit ans, Danny Van Puyenbroek a repris une animalerie à Zele. Le commerce était assez vieillot, mais après une rénovation complète, la surface commerciale était de 900 m². Le magasin, baptisé Droopy, a vite rencontré un franc succès, ce qui a poussé le propriétaire à voir plus grand. Et c’est ainsi qu’en 2003, il a lancé Droopy Dendermonde.

Le long d’une route d’accès fort fréquentée « Ici, nous sommes arrivés dans un ancien commerce de voitures que nous avons entièrement transformé.

Le site était vraiment idéal, car il était situé le long d’une route d’accès fort fréquentée (la Zeelsebaan), et nous pouvions en outre y présenter notre assortiment sur une surface de 1.400 m². À Dendermonde aussi, nous avons assez rapidement réussi à atteindre de bons chiffres de vente. » Et comme il n’y a jamais deux sans trois, en 2006, Danny Van Puyenbroeck a acheté un site (sur la Denen à Lochristi, qui est le prolongement de la très fréquentée chaussée d’Anvers), où se trouvait autrefois une serre. Le gérant y a lancé un commerce, avec un tout nouveau concept, en collaboration avec Tropical Animal Garden nv.

Trois départements « Nous avons ici créé une sorte de paradis pour animaux et amis des animaux, qui est composé de trois départements. À l’avant se trouve le département alimentation (le magasin est entre autres un Expert Shop Royal Canin en Flandre-Orientale), accessoires et petits animaux domestiques (oiseaux, poissons, reptiles et rongeurs) sur une surface commerciale de 2.000 m². À l’arrière, on arrive dans le département PuppyHome, un élevage et centre de vente de petits chiens. Dans ce même espace se trouve le département KittenHome, où les jeunes chatons (siamois et british shorthair) sont élevés. » Les deux départements sont strictement séparés, conformément à la nouvelle loi de 2009 relative à la protection et au bien-être des animaux, qui stipule que l’on ne peut plus vendre de chiens et chats dans une animalerie où l’on vend aussi de petits animaux vivants. Cette séparation a inspiré Danny à également séparer l’espace d’élevage de la vente d’accessoires. « En fait, nous avons été un peu plus loin que le strict nécessaire lors des transformations. Durant cette période, il régnait encore une certaine incertitude du côté des services de contrôle du Ministère, parce que la loi n’avait pas clairement défini ce qui était permis ou non. Chez nous, la surface commerciale et les espaces dédiés à l’élevage sont donc aujourd’hui séparés par un mur assez coûteux, alors qu’une simple paroi de séparation aurait fait l’affaire. Je ne regrette cependant pas cet investissement, car il ne fait qu’accroître le bien-être des animaux. » C’est le magasin de Lochristi qui génère le plus grand chiffre d’affaires, entre autres grâce à son excellente situation géographique (« Une étude socio-économique a révélé qu’il s’agit de la deuxième route régionale à connaître la croissance la plus rapide pour le commerce de détail en Flandre ») et au fait que tous les accessoires sont présentés sur une surface deux fois plus grande qu’à Dendermonde. De petits animaux vivants sont d’ailleurs également vendus à Dendermonde. Le magasin de Zele a fermé ses portes en 2009 parce qu’il se trouvait un peu trop près du commerce de Dendermonde, et que le bâtiment était le moins adapté (surface plus petite et situation moins favorable, ndlr).

biscuits, etc. Si l’on continue à faire cela, les gens reviennent volontiers. » Et tant qu’on parle de service global : Droopy’s Petshop inclut aussi un magnifique coin bien achalandé pour les amateurs de chevaux. « Là aussi, nous nous distinguons : généralement, on ne trouve pas de nourriture ou d’accessoires pour chevaux dans une animalerie. C’est plutôt quelque chose que l’on retrouve dans les magasins d’équitation, mais ceux-là ne proposent pas d’assortiment pour d’autres animaux. »

Davantage de filiales L’organisation et la coordination logistiques des magasins est une tâche d’envergure que Danny Van Puyenbroeck contrôle lui-même. « En fait, j’aurais besoin de davantage de collaborateurs, mais les personnes qui ont un bon feeling commercial ne sont pas faciles à trouver. C’est aussi pourquoi je n’ai pas encore investi dans une troisième ou une quatrième filiale, également en Flandre-Orientale. Pourtant, je n’abandonne pas ces projets et suis toujours à la recherche de sites adaptés. Ces filiales supplémentaires peuvent facilement être approvisionnées depuis le grand entrepôt de 4.000 m² à Lochristi, qui se trouve juste à côté du magasin. Tous les jours, notre propre camion se déplace déjà une ou deux fois par semaine à Dendermonde pour les livraisons urgentes. Il ne serait pas très compliqué d’agrandir cette tournée en passant par d’autres filiales. »

Lieu : Denen 47, à Lochristi et Zeelsebaan 83k, à Dendermonde.

Année de lancement : 1997 (Zele), 2003 (Dendermonde), 2006 (Lochristi).

Surface du magasin : 3.000 m² (Lochristi), 1.400 m² (Dendermonde).

Chiffre d’affaires à Lochristi : 1,25 million d’euros.

Places de parking : 26.

Nombre de collaborateurs : 8 à Lochristi (5 pour le magasin, 2 pour l’élevage de chiens, 1 pour l’élevage de chats), 4 à Dendermonde.

Principales catégories de produits : « Tout est principalement axé sur les chiens et les chats. Le marché des reptiles est stable, contrairement à celui des oiseaux, qui est en chute. Les poissons et rongeurs restent intéressants.

Le reste subit de fortes fluctuations. »

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Une chouette excursion Le fait que l’on puisse admirer tant d’animaux chez Droopy’s Petshop à Lochristi a eu un sympathique effet secondaire. « Un beau jour, j’ai pour la première fois reçu une demande d’un groupe pour une visite du magasin durant une excursion. Nous y avons directement collaboré, et le bouche-à-oreille a très vite fait son effet. Aujourd’hui, nous accueillons régulièrement des classes d’écoles maternelles, des groupes de séniors provenant de maisons de repos (y compris des utilisateurs de chaises roulantes) et des classes d’écoles primaires pour une visite guidée du magasin et des centres d’élevage. Pour cela, nous libérons deux personnes, mais nous demandons aussi que l’organisation – en fonction de la taille du groupe – se charge de prévoir des accompagnateurs. » Sur un plan purement commercial, cela ne génère pas beaucoup de ventes supplémentaires, mais Danny Van Puyenbroeck aime continuer à y collaborer. « Premièrement, c’est chouette à faire. Et deuxièmement, cela contribue à notre bonne réputation. Notre commune n’est pas insensible à cela. De plus, cela permet aux gens de ne pas oublier l’existence de notre magasin – notamment les adultes dont les enfants ou parents sont venus en visite ici. Si jamais ils décident d’acheter un animal domestique, il y a de plus fortes chances qu’ils se rendent chez nous pour les accessoires et la nourriture. Naturellement, ils peuvent aussi acheter l’animal chez nous, mais il arrive aussi qu’ils viennent nous demander des conseils pour ensuite acheter l’animal ailleurs ; ils reviennent cependant chez nous pour les produits dont l’animal a besoin. »

Le client est roi Tous ces efforts cadrent dans le slogan de Droopy’s Petshops : créer une expérience unique chez les clients. « Les magasins indépendants doivent plus que jamais se battre pour faire face à la concurrence des chaînes de magasins et d’Internet. Gino Van Ossel, professeur à la Vlerick Hogeschool et spécialiste de la vente de détail, m’a appris que la meilleure façon de faire cela est de proposer un service global et des produits d’excellente qualité. C’est pour cela que nous aimons proposer un en-cas et une boisson à nos clients, et que le week-end, on trouve ici, à divers endroits, une petite table avec du jus de fruits, des

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PROTECTION DES PLANTES

La liste obligatoire des alternatives est entrée dans sa phase finale Dès le 25 novembre 2015, les utilisateurs, conseillers et distributeurs professionnels de produits phytopharmaceutiques auront besoin d’une phytolicence. Notre secteur est entretemps bien au courant de cela. Mais le gouvernement oblige également les commerçants à communiquer au sujet des alternatives. Nous avons donc demandé des explications à Sofie Vergucht, Conseillère en Communication et Développement Durable chez Phytofar, l’« ambassadeur de l’industrie des produits phytopharmaceutiques ».

face à un problème dans son jardin (maladie d’une

Substrat avec mouches à galles pour lutter contre les pucerons (doc. ECOstyle).

Les nématodes ou anguillules permettent de lutter contre les limaces (doc. ECOstyle).

la ‘technique de la confusion’. On suspend p. ex.

Cela fait déjà quelque temps que les pièges à phéro- Les insectes indésirables sont capturés au mones sont utilisés dans la fruiticulture (doc. BASF). moyen de pièges à colle.

Mention obligatoire Avec l’introduction de la phytolicence, le gouvernement veut entre autres que les conseillers et distributeurs de produits phytopharmaceutiques soient et restent au courant des nouvelles évolutions relatives à l’utilisation de ces produits, afin qu’ils puissent contribuer à limiter le plus possible les risques liés à ces produits pour l’homme, les animaux et l’environnement. Dans le cadre du programme fédéral de réduction des pesticides, le gouvernement ajoute à cela une mention obligatoire des alternatives possibles pour se débarrasser des plantes et animaux indésirables dans le jardin. Vous ne devez pas directement partir à la recherche de cette ‘liste’, car elle n’existe pas encore. « En février 2015, cette liste d’alternatives a été proposée au Conseil consultatif du Plan d’action National, où tant le gouvernement que les ONG et les actionnaires du secteur sont représentés », raconte Sofie Vergucht. « Le but est de formuler une solution adaptée pour la règle dans la directive européenne, qui oblige le secteur à fournir les informations correctes sur les risques et l’utilisation de produits phytopharmaceutiques et à donner au client d’éventuelles alternatives. Les états membres doivent donner forme eux-mêmes à cette règle. Chez nous, cela signifie que tous les points de vente doivent fournir des informations au sujet des alternatives qui peuvent être achetées dans le magasin. Le commerçant peut lui-même déterminer le format de cette communication.

Les fédérations du secteur Comeos et ABJ approfondiront le sujet au cours des mois à venir. Pour le 25/11/2015, tous les magasins devront être en règle à ce niveau. »

ORGANISMES CIBLES

PESTICIDES

PLANTES INDÉSIRABLES (pissenlits, chardons...)

PAILLIS

La vapeur et/ou l’eau bouillante sont une techni- Balayer et brosser : une technique connue dans Les pièges à limaces réutilisables font égaleque efficace contre les mauvaises herbes . les espaces verts publics (doc. Heylens). ment partie des alternatives (doc. BSI).

Phase finale Le but de la liste est d’énumérer des alternatives aux produits phytopharmaceutiques chimiques classiques. « Selon l’objectif des produits, il peut s’agir de divers produits ou techniques. Je pense p. ex. au choix de plantes robustes et résistantes, à des pièges pour les rats et les souris, à des filets à suspendre par-dessus les légumes ou les arbres fruitiers, brosser et biner, arracher les mauvaises herbes… Bref, les options sont légion. Phytofar était partisan d’un aperçu de toutes les solutions possibles, tant chimique que biologiques, mécaniques et physiques. Le gouvernement ne nous a cependant pas suivis dans cette idée et visait une liste proposant d’alternatives, sans plus. Les bio-pesticides à faible risque ont par contre été ajoutés à la liste. Le document est actuellement encore étudié par les autorités compétentes, mais nous nous attendons à ce que cela soit réglé pour septembre. »

Liberté de choix La raison pour laquelle Phytofar voulait aussi les produits chimiques et biologiques sur la liste est due à la philosophie de l’association. « Nous trouvons que le consommateur doit être informé au sujet de toutes les solutions possibles pour faire

PRÉVENTIFS CURATIFS

Litière / paillis organique

✔

Paillis minéral

✔

Toiles et bâches

✔

Couvre-sols

✔

DÉSHERBAGE ALTERNATIF Thermique (vapeur, air chaud...)

✔

Outillage manuel (sarcloir, ratissoire...)

✔

Outillage mécanique (brosses, herses...)

✔

plante, insectes nuisibles ou mauvaises herbes).

Il s’agit donc tant des produits phytopharmaceutiques que des alternatives, et le consommateur doit avoir la liberté de choisir ce qu’il veut utiliser ou non. Nous trouvons en outre que les alternatives doivent être durables et sûres, car les alternatives aussi peuvent comporter des risques. Tout a en effet ses avantages et ses inconvénients, et ce n’est pas parce qu’une solution est ‘alternative’ qu’elle est automatiquement meilleure.

La demande de produits biologiques et écologiques augmente constamment. Nos entreprises font de la recherche et investissent des sommes considérables dans des produits sûrs. Nos membres (entre autres BASF, Bayer, Compo, Edialux-Formulex, Monsanto et Scotts – vous retrouverez la liste complète sur www.phytofar.be) proposent tous une gamme biologique et/ou écologique. Le consommateur dispose ainsi d’un vaste choix entre des produits phytopharmaceutiques chimiques ou biologiques, ou des alternatives. »

des capsules contenant des substances attirantes (=phéromones) dans le verger pour empêcher la venues de carpocapses et de tortricidés. Ces phéromones sexuelles sèmes tellement la confusion parmi les insectes mâles que ces derniers ne parviennent plus à retrouver les femelles. Ils ne peuvent donc pas s’accoupler et se reproduire.

Ainsi, les dégâts qui sont causés normalement par les chenilles gloutonnes sont prévenus sans devoir recourir à des produits chimiques. Cela fait déjà longtemps que cette technique est utilisée dans la fruiticulture professionnelle, et on la retrouve désormais dans le monde des consommateurs. » Comme nous l’avions indiqué auparavant, le texte définitif pour la liste d’alternatives n’est pas encore prêt. On ne sait pas (encore) si la liste fera l’objet d’un décret ministériel. « En tout cas, l’objectif est que le version officielle soit prête pour le 25 novembre 2015, lorsque la phytolicence entrera en vigueur. »

Phéromones

Entre-temps, nous avons déjà pu consulter un projet de liste, que nous vous communiquons volontiers, de manière à ce que vous puissiez déjà vous faire une idée de ce à quoi on peut s’attendre...

Une des mystérieuses alternatives est l’utilisation de phéromones. Qu’est-ce que cela implique au juste ? « Les phéromones sont des substances attirantes qui sont suspendues dans les arbres, généralement des arbres fruitiers ou des châtaigniers, pour lutter contre les ‘visiteurs’ indésirables. Les phéromones fonctionnent selon ce que l’on appelle

Projet de liste

La nouvelle façon de planter!

Deux emballages disponibles

DÉSHERBAGE CONVENTIONNEL Biopesticides à faible risque INSECTES ET ACARIENS (pucerons, chenilles...)

✔

Pièges (colle, phéromones...)

✔

Toiles / filets

✔

Organismes utiles (insectes, acariens, nématodes, micro-organismes...)

✔

Biopesticides à faible risque RONGEURS ET PETITS ANIMAUX FOUISSEURS (campagnols, taupes...)

LIMACES ET ESCARGOTS

✔

Pièges mécaniques

✔

Boules odorantes

✔

Appareil qui produit des vibrations ou des ultrasons

✔

Pièges Barrières / substrats anti-limaces et escargots Biopesticides à faible risque

8

en pot

1.

Détacher couvercle et étiquettes

2.

✔

✔

! pre t pro e le p Plantation sim

Déposer la plante

3.

Choisir un pot décoratif

✔ ✔

Organismes utiles (micro-organismes)

✔

Pet & Garden Pro • Septembre 2015

Terreau Universel

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✔

Plantes robustes / résistantes Biopesticides à faible risque

✔

✔ ✔

Organismes utiles (nématodes) MALADIES (mildiou, oïdium...)

✔

✔

Toile de protection

Une autre solution : des toiles ou des filets.

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EN VISITE CHEZ DE WITTE-PROVIJN À NEVELE

Une jardinerie dans le véritable sens du terme À une époque où les éléments et accessoires d’ornement occupent toujours plus d’espace dans les rayons des jardineries, il existe heureusement encore des entreprises qui continuent de miser sur le végétal. Avec plus de 2.500 espèces de plantes, De Witte-Provijn se veut une vraie jardinerie, où particuliers et professionnels peuvent profiter de deux générations de savoir-faire.

De la pépinière à la jardinerie La jardinerie de Jan et Sabine De Witte-Provijn à Poesele, une petite section de Nevele en Flandre-Orientale, est fière de son vaste assortiment de plantes, arbres fruitiers et conifères. Le 1er juillet 1994, le couple a repris le commerce des parents de Jan, qui avaient lancé leur propre pépinière environ 35 ans plus tôt. « Nous n’avions pas vraiment prévu de faire autre chose que cultiver des plantes – surtout des arbres fruitiers et des rosiers », raconte Jan. « Lorsque nous avons rejoint l’affaire, nous avons construit un nouvel entrepôt autour de la petite ferme familiale et avons réalisé une expansion considérable.

Nous avons peu à peu acheté de plus en plus de plantes de cultivateurs externes au lieu de les cultiver nous-mêmes. Aujourd’hui, nous cultivons encore quelques plantes nous-mêmes, comme par exemple des arbres d’ornement et fruitiers, dont des arbres fruitiers palissés, en pots – mais nous nous concentrons aussi sur l’achat et la vente.

Ici, les plantes sont naturellement soignées pendant quelque temps et cultivées selon les règles de l’art, mais cela fait déjà quelque temps que nous ne gardons plus toutes les sortes d’arbres chez nous, de la pousse à l’arbre adulte. Nous nous concentrons sur le développement du savoir-faire pour lequel notre famille est connue. »

Plantes spéciales L’assortiment classique d’arbres fruitiers, rosiers et conifères constituent toujours la base, mais Jan et Sabine ont élargi leur assortiment en y ajoutant un vaste choix de plantes spéciales. « La jardinerie occupe actuellement une surface de 3,5 ha et offre en moyenne 2.500 à 3.000 espèces de plantes, dont environ toutes les plantes vivaces. Chez nous, les clients trouvent naturellement des classiques, mais aussi de nombreuses variétés qui sont difficiles – voire impossibles – à trouver ailleurs. De plus, nous innovons régulièrement. Nos atouts résident non seulement dans le vaste assortiment de qualité supérieure, mais aussi dans la passion du métier. Avec nos deux collaborateurs fixes, nous possédons des connaissances et de l’expérience. Ajoutez à cela un service irréprochable, et vous aurez une bonne idée de qui nous sommes et ce que nous faisons. Dans les périodes d’activité intense, nous engageons quelques intérimaires selon les besoins. Pour l’instant (ces propos datent de juillet, ndlr), nous sommes en pleine période de taille, et nous préparons la jardinerie pour la prochaine importante période de vente en septembre/ octobre. »

Les plantes vivaces représentent une importante partie de l’assortiment.

Proches des clients En tant qu’entreprise familiale, Jan et Sabine veulent être proches de leurs clients. Le fait qu’il ne s’agit pas de paroles en l’air est prouvé lorsqu’un client débarque avec quelques feuilles d’une plante probablement malade. D’un simple coup d’œil, Sabine cerne le problème, explique en détail ce que le client doit faire, et accompagne ce dernier dans le rayon pour lui fournir toutes les explications nécessaires sur les produits et le traitement à utiliser. « Il arrive aussi souvent que les gens nous montrent les plans de leur jardin et nous demandent des conseils sur le choix des plantes. Nous ne réalisons pas de jardins nous-mêmes, mais entretenons une excellente collaboration avec l’architecte paysagiste Rik Hiergens, qui est établi à Zeveren (Deinze), non loin d’ici. Pour les conseils relatifs à la taille et aux soins, les clients sont aussi à la bonne adresse chez nous. Nous mettons un point d’honneur à pouvoir répondre correctement à toutes les questions et fournissons toujours un service personnel. Notre service ne s’arrête pas à l’amabilité et la serviabilité ; la qualité et le stock sont également essentiels. Les arbres d’ornement sont p. ex. taillés pour le transport et la culture en conteneurs est réapprovisionnée chaque semaine. Si les gens veulent absolument acheter une variété qui n’est pas en stock, nous ferons tout pour fournir la plante désirée dans la semaine. »

La semaine du papillon Sous le slogan ‘Amenez la nature dans votre jardin’, l’ABJ organisait justement lors de notre visite chez De Witte-Provijn la semaine thématique ‘Papillons dans votre jardin’. Le but de cette semaine d’action est d’attirer l’attention sur la participation des citoyens à la biodiversité en attirant davantage de ‘nature’ dans leur jardin. Cela peut se faire en créant des hôtels pour insectes ou en semant des fleurs sauvages, mais aussi en optant consciemment pour des plantes de jardin qui sont appréciées par les papillons. Pour cela, c’est à Poesele qu’il faut se rendre. « Voilà pourquoi nous participons volontiers à cette action », indique Sabine. « Abeilles, papillons... beaucoup d’amateurs de jardins s’y intéressent vraiment, et nous remarquons que les plantes adaptées sont de plus en plus demandées. Ici, nous n’avons pas vraiment aménagé des stands spéciaux, parce que notre jardinerie ne s’y prête pas trop, mais nous accordons l’attention nécessaire à l’action au moyen de bannières et de brochures. »

RLM La jardinerie De Witte-Provijn est membre de l’ABJ et fait aussi partie de la Regionaal Landschap Meetjesland (RLM), un collectif qui a pour but d’inciter les habitants du Meetjesland à prendre soin des richesses typiques du paysage et de la nature de la région. « En octobre, il y aura à nouveau une action ‘Journée des plantations’, dont le but est d’enrichir le paysage naturel de la région. Cet événement cadre aussi dans la tendance générale d’attirer l’attention sur les plantations automnales. Nous y participons avec nos collègues de la jardinerie

De Witte-Provijn Gérants : Jan et Sabine De Witte-Provijn Fondation : environ 1960 ; depuis 1994 aux mains des gérants actuels Adresse : Spoelstraat 3, 9850 Nevele-Poesele Collaborateurs fixes : 2 Superficie : 3,5 ha Assortiment : - arbres fruitiers, arbres d’ornement, d’alignement et forestiers - arbres fruitiers et d’ornement en pots - plantes vivaces, bruyères et plantes de rocaille - buissons d’ornement, conifères d’ornement et nains - plantes de haie et grimpantes, bambou et graminées d’ornement - roses, rosiers tiges et grimpants - plantes spéciales - produits apparentés (semences, terreau, engrais et produits à vaporiser, bulbes, ...)

Site web : www.jandewitte.be Tuincentrum Roegiers (Assenede) et Belleplant (Maldegem). » Il n’y a pas d’autres affiliations. « C’est surtout l’ABJ qui est importante pour nous, en raison des intéressantes actions qu’elle organise, de l’important soutien promotionnel dont elle fait bénéficier le secteur des jardineries, et de la pléthore d’informations que nous recevons. »

Les visiteurs sont des acheteurs La jardinerie de Jan et Sabine se trouve à un endroit plutôt isolé.

L’accueil est très aimable, mais on ne voit pas beaucoup de gens qui déambulent. « Les gens que l’on retrouve ici sont des acheteurs informés, et c’est un plus pour nous. Nous n’avons pas de cafétéria ou d’autres animations mais mettons l’accent sur les plantes mêmes.

Les clients qui viennent achètent d’office ou sont à la recherche des plantes qu’ils veulent acheter. S’ils demandent une offre, en personne ou par e-mail, ils obtiennent une réponse dans les deux jours. Ici, tout le monde est bienvenu pour tout regarder et choisir à son aise, mais les ‘touristes’ d’un jour ne savent pas faire grand-chose ici.

Nous remarquons par contre que, de nos jours, les clients ont beaucoup moins de patience et achètent souvent de manière impulsive.

L’époque où la liste de produits à commander était prête longtemps à l’avance est définitivement révolue. La plupart des gens prévoient une visite à notre jardinerie et veulent tout de suite pouvoir choisir, acheter et emporter. Voilà pourquoi nous avons un stock si important.

Nous écoutons leurs questions et souhaits, calculons ce qu’il leur faut, leur donnons des conseils concernant les espèces adéquates et leur fournissons ce qu’ils demandent ou leur livrons à domicile s’ils le désirent. »

Promotion Il n’y a pas de carte de fidélité, mais bien des ristournes allant jusqu’à 5 %, selon le prix et la quantité achetée. La promotion se fait via le site web de l’entreprise et ses newsletters avec les actions. En outre, l’entreprise publie régulièrement des annonces publicitaires dans environ six publications régionales, jusque même en Flandre-Occidentale. « Nos clients viennent de loin et nous couvrons une vaste région, ce qui explique pourquoi nous voulons aussi être présents dans une vaste zone au niveau promotionnel », dit le couple, en conclusion.

Un vaste assortiment de végétaux demeure le cœur de métier de la jardinerie.

Jan De Witte (gauche), avec un des collaborateurs fixes expérimentés.

Les clients connaissent aussi la jardinerie pour ses roses, et ses rosiers tiges et grimpants.

La gérante, Sabine, aime donner des conseils pour résoudre les problèmes auxquels les plantes sont confrontées.

Le buis sous toutes ses formes ne représente qu’une partie des ‘plantes spéciales’.

De Witte-Provijn cultive encore aujourd’hui elle-même des plantes en pots.

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INTERVIEW EN PROFONDEUR

« C’est le client qui est aux commandes et qui détermine le succès d’un détaillant » Comme dans les éditions précédentes de Pet & Garden Pro, nous avons une fois de plus contacté un détaillant pour discuter des développements au sein de la chaîne de magasins et des évolutions du marché. À la mi-août, nous nous sommes rendus à Wilsele afin d’y rencontrer Sabine Devreese, Directrice Générale d’AVEVE Retail depuis plus d’un an. Selon elle, il est important que le client connaisse les valeurs qu’une chaîne de magasins désire défendre, et que cela soit communiqué d’une manière claire. « Je pense que nous y sommes très bien parvenus chez AVEVE. Le consommateur sait très bien que nous représentons une combinaison unique des thèmes jardin, animaux et boulangerie maison. Avec notre approche axée sur le client, dans le cadre de laquelle nous donnons la priorité au contact personnel et aux conseils de qualité, nous voulons renforcer notre position sur le marché. »

Une expansion du réseau n’est pas à l’ordre du jour En Belgique, AVEVE compte actuellement environ 200 magasins, dont 50 sont en gestion propre. Les autres magasins sont exploités par des franchisés. La plupart de ces filiales sont implantées en Flandre.

En Wallonie, il y a environ 40 points de vente. Mais la chaîne possède également quelques magasins aux Pays-Bas. Selon Sabine Devreese, il n’y a à l’heure actuelle pas de véritables plans d’expansion. « Une politique d’expansion n’est en effet pas à l’ordre du jour. Pour l’instant, notre priorité est de développer les filiales existantes. Naturellement, nous n’hésiterons pas à combler des ‘trous’ dans notre réseau si certaines opportunités devaient se présenter. Des déménagements font aussi toujours partie des possibilités. » Quant à savoir si le concept AVEVE City sera élargi, Sabine Devreese nous dit que la question doit encore être davantage étudiée. « En dehors de la ville, nous avons une position de marché forte ; en ville, notre part est très limitée. Mais il est bien sûr important d’être présents dans la ville, surtout parce que notre marque AVEVE y projette aussi une certaine image. Avec AVEVE City, nous essayons de répondre aux besoins des clients qui vivent en ville, qui sont clairement différents des autres. Dans cette formule commerciale, le client est p. ex. beaucoup plus souvent à la recherche de produits relatifs aux animaux et à la boulangerie maison. Il est donc logique que cela requiert une approche spécifique et un assortiment adapté. »

L’accent sur le contact personnel et les conseils d’experts En soi, rien que la combinaison de jardins, animaux et plaisirs culinaires rend AVEVE unique. En outre, la chaîne de magasins essaie de se distinguer encore plus de la concurrence de diverses manières. « Depuis le temps, les consommateurs savent très bien ce que nous avons à leur offrir : ils connaissent les valeurs qu’AVEVE défend et les segments de produits que nous proposons. Nous assurons chaque jour un accueil chaleureux et personnel. Nous proposons des produits et concepts de qualité. Et nos spécialistes fournissent d’excellents conseils à nos clients. Nous estimons qu’il est donc essentiel que nos collaborateurs et nos franchisés entretiennent de bonnes relations avec la clientèle. Ainsi, ils peuvent apprendre à connaître les clients et leur façon de penser. Cela leur permet d’en savoir plus sur les besoins des clients et d’y répondre en proposant les concepts ou produits adéquats. Pour une entreprise comme AVEVE, il est

Sabine Devreese, Directrice Générale d’AVEVE Retail

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Pet & Garden Pro • Septembre 2015

crucial de réfléchir en tenant compte du point de vue du client. C’est en effet le client qui est aux commandes et qui détermine notre succès. Il faut donc rapidement détecter ses besoins et faire en sorte de pouvoir y répondre.

De plus, chez AVEVE nous insistons beaucoup sur la passion et l’expertise de tous ceux qui sont présents dans nos magasins. Nous voulons que nos collaborateurs et franchisés informent les clients en toute connaissance de cause et les accompagnent dans leurs choix de produits. Grâce à notre passé dans le monde agricole, nous pouvons compter sur une expertise et un savoir-faire hors pair. Pour transmettre ce professionnalisme à nos filiales, qu’elles soient exploitées par des franchisés ou nos propres collaborateurs, nous investissons beaucoup dans des formations. Cela se fait de diverses manières. Tout d’abord, il y a la formation traditionnelle en classe. En outre, nous échangeons un large éventail d’informations via une plateforme électronique. Nous organisons aussi diverses formations de rayon dans le point de vente.

Dans ce cadre, nous fournissons beaucoup d’informations sur certains produits ou rayons, mais nous étudions aussi des questions potentielles des consommateurs et indiquons la façon dont le personnel peut y répondre. Un de nos futurs défis sera certainement de savoir comment garder à niveau les connaissances de nos collaborateurs dans les points de vente AVEVE. » « Dans notre secteur, il n’y a pas de guerre des prix, comme il y en a depuis déjà quelques années dans la vente de détail de produits alimentaires. Cela n’empêche que, pour le consommateur, le facteur prix a gagné de l’importance au cours de ces dernières années. Le client cherche un produit de qualité vendu à un prix correct. En tant que commerçant, il faut en tenir compte, car grâce à Internet, nous sommes arrivés dans un monde de transparence des prix. »

Le magasin physique reste crucial Le client se rend de plus en plus souvent sur le Web et achète de plus en plus d’articles dans des boutiques en ligne. Chez AVEVE aussi, on étudie comment Internet pourrait cadrer dans la stratégie de l’enseigne. « Il est clair que nous devons opter pour une approche omnicanal. Chez AVEVE, le point de vente physique revêtira toujours une place centrale, parce qu’il s’agit d’un canal indispensable pour la vente de nos articles et la manière dont nous présentons ces produits au client. Si nous communiquons par voie numérique, nous fournissons toujours un lien menant vers nos points de vente physiques. Aujourd’hui, il est primordial que le consommateur ait la possibilité de s’orienter sur le Web pour préparer sa visite dans un magasin traditionnel. C’est pour cela qu’en 2014, nous avons lancé un nouveau site web sur la boulangerie maison, via lequel AVEVE informe les consommateurs et leur donne des conseils et de l’inspiration. Bientôt, nous lancerons également un nouveau site web pour le jardin et les animaux. Pour nous, l’orientation est actuellement plus importante que la transaction en ligne. Dans notre secteur, les ventes via le Web sont encore minimales pour l’instant. Mais cela peut naturellement vite changer à l’avenir et nous nous préparons donc à faire face à cette nouvelle ère. »

Pas de ‘palais de l’ambiance’ D’après de nombreux spécialistes du marketing, l’ambiance et l’expérience sont aujourd’hui cruciales pour un magasin. Sabine Devreese pense que ces termes peuvent être traduits de diverses manières. « De toute évidence, le consommateur veut faire son shopping dans un environnement agréable, et on doit

Nourriture fraîche « cuite en conserve » pour conserver tous les nutriments

avoir une raison de se rendre dans un point de vente, mais cela ne veut pas dire que chaque magasin doit être décoré comme un ‘palais de l’ambiance’. Les filiales d’AVEVE ne deviendront jamais de tels endroits. À mon avis, on peut interpréter les termes ambiance et expérience de façon très large. Pour moi, cela peut même se traduire par de sympathiques emballages ou des plantes ou des animaux vivants, ou le fait de recevoir des informations de la part de collaborateurs passionnés et bien informés, ou encore le fait d’organiser un atelier dans le magasin qui offre de l’inspiration dans un cadre agréable, et ainsi de suite. Un point de vente AVEVE n’est pas vraiment ‘un magasin pour flâner’. D’ailleurs, ce n’est pas ce que nos clients recherchent : ils veulent acheter les produits dont ils ont besoin pour leur jardin, leurs animaux ou leur cuisine de manière rapide, simple et efficace. »

Il est indispensable d’innover Au cours de ces dernières années, AVEVE s’est de plus en plus focalisée sur l’innovation. Sabine Devreese explique les raisons qui expliquent cette évolution... « Dans certaines catégories, nous sommes leader du marché et on s’attend donc à ce qu’on ait un rôle de pionnier. Cela crée aussi une dynamique dans certaines catégories de produits. De plus, le consommateur demande qu’un magasin propose des assortiments actuels. Chez AVEVE, nous suivons donc activement les tendances du marché et faisons tout notre possible pour y répondre. Mais l’innovation ne se limite pas aux produits mêmes. C’est un terme très vaste. Pour moi, le fait de changer la présentation de l’assortiment en magasin est aussi synonyme de renouveau. Avec le lancement du nouveau concept de magasin qui a eu lieu il y a quelques années, AVEVE a montré qu’elle vit avec son temps et qu’elle est à l’écoute des besoins des clients."

La durabilité est une priorité AVEVE attache beaucoup d’importance à la durabilité, bien que – selon Sabine Devreese – cela aille plus loin que l’écologie. « Pour moi, la durabilité est liée aux ‘3 P’ : Planet, People, Profit. En tant qu’entreprise il faut consacrer de l’attention à ces trois aspects. Pour le point ‘Planet’, AVEVE présente une alternative biologique, écologique ou naturelle pour divers produits. ‘People’ représente le côté social de la durabilité. Les collaborateurs sont très importants pour une entreprise. Chez AVEVE, nous investissons donc lourdement dans notre personnel et nos franchisés. Notre politique de formation que j’ai évoquée précédemment, illustre bien cette approche.

Enfin, il reste l’aspect ‘Profit’. Il est logique qu’AVEVE veuille que ses magasins soient rentables au niveau économique – y compris ceux de nos franchisés. Dans notre société, la durabilité ne fera que gagner de l’importance à ces trois niveaux. »

L’avenir À terme, Sabine Devreese s’attend à ce que les filiales AVEVE se mettent à proposer plus de services. « Actuellement, notre offre de services est encore assez limitée, mais cela changera certainement à l’avenir. Je pense notamment aux conseils fournis au domicile du client lorsque celui-ci désire semer un gazon ou faire un bilan santé pour un certain animal domestique. » Mais pour Sabine Devreese, le principal défi reste de faire comprendre au consommateur ce que représente AVEVE, et servir correctement nos clients, en réfléchissant avec eux dans le cadre de leurs projets. « Pour qu’une chaîne de magasins réussisse et continue à grandir, il faut opter pour une approche du marché réfléchie et être rigoureux dans ce positionnement. S’ajoute à cela le fait qu’il est essentiel de clairement transmettre ce message au consommateur, afin qu’il sache ce que le détaillant ou commerçant représente.

Avec notre nouveau slogan ‘AVEVE fait grandir depuis 1901’, nous espérons que cela soit bien le cas. »

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ÉQUIPEMENT TECHNIQUE POUR AQUARIUMS

La grande tendance est aux filtres faciles Le filtre biologique L Whale, masse filtrante et pompe inclus, pour aquariums jusqu’à max. 200 litres (doc. Karlie Flamingo).

Le pratique multi-filtre Barracuda est composé d’un biofiltre, d’un filtre interne et d’une pompe de circulation (doc. Karlie Flamingo).

Les nouveaux filtres internes Ciano CF 40/CF 80 utilisent des cartouches filtrantes remplaçables, couplées à l’application ‘My Ciano’ (doc. Belcopet).

La Tetra AquaArt Discovery Line avec EasyCrystal Filter, pour une filtration mécanique et biologique (doc. Tetra).

L’aquariophile d’aujourd’hui exige un aquarium cristallin et sans soucis (doc. Tetra).

Une enquête menée auprès des fournisseurs de filtres pour aquariums nous a appris qu’il n’y a pas vraiment de grandes nouveautés sur le marché actuel. Les filtres deviennent toutefois plus pratiques, moins onéreux, et moins énergivores. En outre, de plus en plus de fabricants passent aux médias numériques pour faciliter l’entretien de l’aquarium. Quelques marques se sont bien imposées sur le marché et notent des effets clairement positifs sur leur part de marché.

biologique ou autre, les ventes de filtres externes continuent à grimper. Cela est dû à plusieurs facteurs : d’une part, les gens surchargent souvent leur aquarium (trop de poissons/nourriture). Dans ce cas, une aide supplémentaire sous la forme d’un filtre externe peut s’avérer très utile. D’autre part, il y a aussi les aquariums plus grands (>100 cm), pour lesquels un filtre externe est plus indiqué.

Médias numériques

Si on s’intéresse à la facilité d’utilisation, on remarque tout d’abord une tendance à une utilisation plus simple des masses filtrantes. Nettoyer, rincer… nombreux sont les consommateurs qui trouvent ces tâches laborieuses et qui préfèrent opter pour un simple remplacement des masses filtrantes. Cela requiert non seulement moins de temps, mais il s’agit surtout d’une solution ‘propre’. Le nettoyage devient ainsi très simple : tous les x temps, l’aquariophile remplace les (différentes) anciennes masses filtrantes par des nouvelles. Le rinçage n’est donc plus nécessaire, et on ne doit même plus se mouiller les mains.

L’utilisation de diverses cartouches filtrantes remplaçables (pour une eau limpide, sans ammoniaque, sans algues, etc.) se traduit non seulement par une bonne filtration (eau propre, sans d’algues, avec un faible taux de mortalité des poissons), mais le consommateur doit à chaque fois acheter de nouvelles cartouches filtrantes en remplacement des anciennes, et cela crée donc du trafic dans le magasin. Ici aussi, les applications ont fait leur apparition. Un exemple : à chaque fois que le consommateur installe une nouvelle cartouche filtrante dans le filtre, il doit introduire le code de l’article dans l’application, de manière à pouvoir être prévenu par la suite lorsque la capacité de filtration approche p. ex. 10 %. Ce genre de système combine à merveille deux aspects clés : l’engouement des jeunes pour le numérique et une filtration de qualité qui profite au hobby.

La facilité d’utilisation est davantage stimulée avec les filtres ‘plug & play’ (avec tous les accessoires – flexibles, robinets, masses filtrantes, etc.) et des conceptions qui rendent impossibles des erreurs que les utilisateurs pourraient commettre : une seule façon possible d’installer la masse filtrante, l’utilisation d’un adaptateur pour robinet qui ferme instantanément l’arrivée d’eau lorsqu’on le connecte, et une indication claire de la direction des flux (entrant et sortant). Une autre évolution intéressante est la mise au point de la technique UV-C pour contrecarrer les maladies et la prolifération d’algues.

Les filtres pour aquariums d’aujourd’hui ont connu une longue évolution et font quasiment tous ce qu’ils sont censés faire. Les tendances actuelles se concentrent surtout au niveau de la facilité d’utilisation, de la durabilité et d’une consommation électrique réduite. Du côté de la facilité d’utilisation, la plupart des fournisseurs s’attendent à ce que l’on se concentre de plus belle sur le contrôle et l’évaluation des résultats via les nouveaux médias, tels que les smartphones et les tablettes. Les applications offrent aux propriétaires d’aquariums une kyrielle de fonctions pratiques, qui relient de manière innovante le monde réel et le monde numérique. Des applications simples, dynamiques et surtout pratiques fournissent des informations au moyen de tests de l’eau numériques et y ajoutent une foule de trucs et astuces. Le monde numérique s’avère une fois de plus être un instrument pratique pour le transfert de connaissances, et offre des outils pratiques pour les poissons, les aquariums et les bassins.

Aujourd’hui, le client a toujours le choix entre des filtres internes, des filtres externes, des filtres suspendus et des filtres biologiques. Bien que de nombreux aquariums soient pré-équipés d’un bon filtre (interne)

Facilité d’utilisation

Une plus faible consommation d’énergie Lorsque l’on évoque les techniques de filtration et la consommation électrique, on ne peut bien entendu pas éviter le sujet des pompes (de circulation), qui sont les éléments les plus énergivores. Grâce à l’introduction de matériaux optimisés, tels que la céramique, la consommation d’énergie peut être considérablement réduite. Aujourd’hui, la consommation est réduite jusqu’à un niveau tellement faible que même les aquariums d’une capacité allant jusqu’à 300 litres peuvent être parfaitement filtrés avec à peine 10

Concept pour l’entretien de l’aquarium

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ÉQUIPEMENT TECHNIQUE POUR AQUARIUMS

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Le système de filtration Juwel BIOFLOW offre de multiples masses filtrantes et utilise le principe du double flux pour une filtration encore plus efficace (doc. Juwel / Laroy Group).

Les filtres externes CristalProfi Greenline : jusqu’à 43 % de consommation électrique en moins, une capacité de filtration élevée, et un nettoyage peu fréquent (doc. JBL).

Le Professionel 3e Electronic d’Eheim est encore plus Le filtre extérieur bioactive 130 et le filtre intérieur de facile à contrôler via l’Eheim Interface et le ControlSera sont très faciles à utiliser (doc. Sera).

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watts de puissance électrique. De nos jours, les frais d’électricité jouent donc un rôle mineur dans tout le processus de filtration.

Le filtre adéquat Comment une animalerie peut-elle conseiller le filtre adéquat à son client ? Les réponses à notre enquête nous apprennent que le principal facteur à prendre en compte est la taille de l’aquarium. Au moyen de codes (couleur) ou autres, les fabricants indiquent clairement sur les emballages le volume d’eau que les filtres peuvent traiter et les masses filtrantes qu’ils conseillent d’utiliser. Le détaillant doit donc avant tout savoir précisément quel aquarium le client possède chez lui, quelles plantes et poissons l’aquarium contient, etc. La plupart des fournisseurs créent aussi des sites web et des applications pour fournir toutes les informations nécessaires aux vendeurs. La meilleure façon de vendre certains filtres reste bien sûr d’avoir un ou plusieurs aquariums de démonstration entièrement aménagés dans le magasin. Les algues et le développement de substances ‘toxiques’ sont les raisons les plus couramment citées par ceux qui arrêtent de pratiquer leur hobby. Un système de filtration qui fonctionne correctement est une manière efficace et sûre d’éviter cela et de faire en sorte que les clients restent satisfaits. Ainsi, ils deviendront des clients fixes et achèteront davantage de poissons, mais aussi de la nourriture, des produits de soin et des éléments décoratifs pour rendre leur aquarium encore plus beau.

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Le jeu en vaut-il encore la chandelle ?

La question reste de savoir si ce groupe cible n’est pas devenu trop insignifiant pour continuer à investir d’importantes sommes d’argent dans des aquariums de démonstration, un stock suffisant, la formation des collaborateurs, etc. Bien que de nombreux fournisseurs mentionnent un marché plutôt stable, celui-ci s’avère amplement suffisant pour que l’on y consacre l’attention nécessaire. Posséder des poissons reste un hobby fascinant et attire toutes sortes de clients et de groupes cible. Les familles voient ce hobby comme une excellente façon d’avoir des animaux domestiques, sans l’accompagnement intensif que requiert un chien ou un rongeur. De plus, les enfants apprennent ainsi à prendre leurs responsabilités, et ils peuvent découvrir l’habitat naturel des animaux. L’aquariophilie peut jouer un rôle essentiel dans l’éducation des enfants relative à la durabilité et au souci de l’environnement. Un autre groupe cible est celui des personnes qui veulent tout simplement un bel aquarium pour donner davantage de cachet à leur habitation ou leur lieu de travail. Ces clients-là sont prêts à dépenser des sommes non négligeables pour garder leur aquarium en parfait état. Avec les véritables amateurs, qui possèdent souvent plusieurs aquariums, ce groupe cible continue lui aussi à booster les ventes. Ajoutez à tout cela un service clients de qualité, qui inclut p. ex. le test gratuit d’échantillons d’eau et de sympathiques ateliers, et l’avenir du secteur de l’aquariophilie est assuré.

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NOUVEAUX PRODUITS Diervoeding Tak : Happy Cat Sterilised et La Cuisine ‘lapin’

Les chats castrés ont non seulement tendance à prendre du poids, mais ils ont aussi régulièrement des problèmes urinaires. Voilà pourquoi Happy Cat a développé une nouvelle alimentation naturelle ‘Sterilised’, qui est savoureuse et riche en fibres, et contient 88,4 % de protéines animales. La nourriture ne contient que 10,5 % de graisse, mais beaucoup de protéines de qualité grâce au saumon et à la volaille. La nourriture contient également des minéraux équilibrés, pour que les voies urinaires de l’animal restent saines. Happy Cat a aussi lancé un nouveau goût dans la gamme La Cuisine : le lapin vient en effet s’ajouter aux variétés existantes (canard, poisson de mer et volaille de pays). Grâce à ses ingrédients spécialement sélectionnés et ses agréables croquettes tendres, la gamme La Cuisine est idéale pour les chats sensibles. La nouvelle variété lapin est exempte de céréales, de volaille ou de poisson. Elle est en outre riche en minéraux et en acides gras Oméga-3 et Oméga-6.

DCM : Terreaux de qualité ECOTERRA® Les terreaux ECOTERRA® contiennent non seulement les meilleures sortes de tourbe pour une structure aérée et souple, mais ils sont aussi enrichis d’engrais organiques Minigran® pour une action longue durée et équilibrée durant 100 jours. Le terreau, qui peut être utilisé en agriculture biologique, garantit un enracinement rapide, des plantes saines avec des racines fortes et une bonne floraison. Diverses références adaptées aux divers types de plantes et applications sont disponibles.

Zoo Med: Aquatic River Pebbles Les nouveaux Aquatic River Pebbles de Zoo Med sont un substrat idéal pour les aquariums qui accueillent des tortues aquatiques. Ces pierres entièrement naturelles sont prélavées et prêtes à l’emploi.

Les grandes pierres rondes sont sûres pour les tortues aquatiques et contribuent à l’aspect naturel de l’aquarium. Le substrat est facile à nettoyer et peut être réutilisé.

Disponible en 2 formats d’emballage.

Beaphar Belgium: Élargissement de la gamme de cosmétiques avec polyphénol Premièrement, la marque a présenté le shampooing sec + polyphénol pour chiens, dont la composition est à base d’aloès et d’eau de framboise. Il y a également un shampooing sec + polyphénol pour chats, dans lequel on retrouve des extraits naturels de bambou et de l’eau de rose. Les deux produits ont un pH neutre et conviennent à tout type de pelage. La marque a en outre présenté un spray anti-nœuds + polyphénol pour chiens, qui permet de démêler et de coiffer le pelage sans l’alourdir ou le rendre gras. Le spray a également un effet calmant et hydratant. Une lotion pour les yeux et du lait pour les oreilles +polyphénol ont aussi été lancés sur le marché. Ces deux produits sont proposés en emballages de 125 ml et conviennent tant aux chiens qu’aux chats.

BELCOPET: EBI Dog Choc

Dog Choc est une nouvelle friandise de récompense sans sucre pour votre chien, préparée à base de produits laitiers combinés à de la viande, du poisson, du poulet et des produits végétaux.

Cette nouveauté a été produite en Europe, selon des normes de qualité très strictes. Elle est disponible sous forme de tablette de chocolat. Le client a le choix entre 5 goûts différents : classique, saumon, poulet, tripes et beurre de cacahuète. Contrairement à ce que l’emballage laisse supposer, ces snacks ne contiennent PAS de chocolat (hormis la variété classique qui contient 3 % de cacao). Un présentoir attrayant est proposé pour soutenir les ventes de ce produit original.

JBL : Grands emballages pour éleveurs de poissons

La nourriture principale JBL NovoBel, les tablettes de nourriture et la nourriture pour tortues sont désormais disponibles en seaux en plastique hermétiques pour tous ceux pour qui les emballages de 1.000 ou 5.500 ml ne sont pas suffisants. Vu que JBL ajoute 500 ml gratuits, le prix de ces grands emballages est très avantageux. Cette nouveauté est idéale pour les aquariophiles qui élèvent des poissons ou qui possèdent une très grande quantité de poissons. Elle leur permet en effet de réaliser des économies sur la nourriture, sans faire de compromis au niveau de la qualité

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Sera: KOI JUNIOR à la spiruline

Cette nouveauté est une nourriture adaptée aux koïs d’une longueur allant jusqu’à 12 cm. Avec des ingrédients soigneusement sélectionnés et préparés, KOI JUNIOR à la spiruline favorise une croissance saine des poissons. Sa forte teneur en spiruline renforce les couleurs tout en assurant une séparation nette des différentes zones. Cet aliment est disponible en boîtes de 1 litre et en seaux de 1,2 kg.

Pet Professionals: Torus Bowl Le Torus Bowl est une gamelle à eau durable et innovante pour animaux de compagnie.

Le produit, qui peut être facilement emporté, fournit de l’eau propre filtrée sans que l’on doive utiliser de l’énergie ou des piles.

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Laroy Group: Duvo+ Foobler

Le Foobler combine food et tumbler – c’est aussi simple que cela. Le propriétaire d’un chien peut insérer jusqu’à 6 snacks différents dans le Foobler. Celui-ci comprend en effet 6 compartiments qui peuvent être activées chacun à leur tour. On peut programmer le Foobler pour qu’il libère des snacks à intervalles de 15, 30, 60 ou 90 minutes. La balle à snacks, qui se recharge automatiquement, offre ainsi jusqu’à 9 heures de jeu au chien.

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