Fanny Ritter von Marx 21 / 10 / 1991 30 rue la BoĂŤtie 75008 Paris fanny.vonmarx@orange.fr 06 19 56 86 26
CURRICULUM EXPERIENCE Février 2014
Atelier d’architecture Vincent Parreira AAVP stage en agence. Logements étudiants à Paris phase DCE, suivi de chantier (78).
Juillet 2011 à Juillet 2012
Juillet 2010
Hardel & Lebihan architectes mission d’étude. Logements à Paris, immeubles de bureaux, réhabilitations, construction neuve, suivi de chantiers (75), réponse de concours (92), réalisation du site internet complet de l’agence.
Pradeau & Morin, filiale d’Eiffage stage de chantier. Réhabilitation d’un immeuble de bureaux en logements sociaux (75009).
Juillet 2007
Hachette Filipacchi Médias stage secteur création. Mises en scènes photographiques, sélection photographiques et scéniques (75).
Juillet 2006
Daufresnes, Legarrec & associés stage en agence. Réhabilitations, logements universitaires, design (75).
EDUCATION Actuellement
Ecole Nationale Supérieure d’Architecture Paris La Villette
144 avenue de Flandre 75019, Paris
Deuxième année de master « patrimoine & mutations »
2012 / 2013
Ecole Polytechnique de Turin
24 corso Duco degli Abruzzi 10129, Torino Echange universitaire erasmus
Juin 2009
Lycée Fenelon Ste Marie
24 rue du Général Foy, 75008 Paris Baccalauréat ES, section européenne allemand avec Mention
/1
COMPETENCES Langues
Français & Allemand langues maternelles Anglais & Italien courant
Logiciels
Modellisation AutoCAD, ArchiCAD, Sketchup, Rhino
Suite Adobe Indesign, Illustrator, Photoshop, Acrobat
Suite Office Word, Excel, Powerpoint
CENTRES D’INTERRET Peinture
Aquarelle, encre de chine
Sculpture
Modelages en terre, argile, mobiles, maquettes
Dessin
Crayon, encore, pastels
Culture européenne
Angleterre (Londres, Exeter, Aberdeen), Allemagne (Francfort, Munich, Hambourg, Berlin, Hamelin), Belgique (Bruxelles, Anvers, Gand), Espagne (Cordoue, Barcelone, Séville), Italie (Turin, Venise, Florence, Rome, Sienne, Pise)
ARCHITECTURE
ESPACE URBAIN – ESPACE DOMESTIQUE Habiter
PROJET DE MAISON INDIVIDUELLE POUR ARTISTE À LA MOUZAIA, PARIS. Semestre 1 / ENSAPLV / Thibaud BABLED / 2009
Sur une parcelle étroite située dans le quartier de la Mouzaïa sur la butte Bellevue de Paris, il s’agit de projeter une maisonatelier de photographe et ses prolongements extérieurs. L’objectif étant de ménager un certain nombre de lieux d’articulation et de transition entre l’espace urbain de la rue et des villas et l’espace domestique dans ses différentes déclinaisons (logement et atelier). Le projet coordonne les deux espaces par un léger décalage qui provoque un dialogue entre appartement et espace de travail. Le logement donne sur l’atelier en contrebas qui intègre une mezzanine faisant le lien entre le jardin et l’espace de travail. La cave est une chambre noire réservée au développement des photos : la lumière qu’elle reçoit vient d’une faille sur la longueur de la rue.
/ PLAN MASSE
/ SCHEMA DE PRINCIPE DU PLAN GÉNÉRAL
PLAN R+2
PLAN R+1
PLAN RDC
/ PRINCIPE DE COORDONNATION DES ESPACES
COUPE
L’ENTRE - DEUX Coordonner
PROJET D’AMENAGEMENT D’ESPACES PARTAGÉS DANS L’ENSEMBLE DU HOLLAINHOF, GAND. Semestre 2 / ENSAPLV / Thibaud BABLED / 2010
C’est sur le site du Hollainhof, béguinage moderne construit par les architectes Neutelings & Riedijk en 1998, que prend place ce projet. Il occupe une des brèches de la rangée des blocs situés le long du canal. La création de nouvelles liaisons entre différents espaces publics tels que le jardin collectif, le niveau supérieur de la terrasse rendue publique et la berge du canal est le moteur de ce projet. La faille très étroite intègre une greffe mouvante, tout en courbes et mouvement contrariant la trame normée sur laquelle est réglé tout le complexe du Hollainhof. Des âmes porteuses verticales s’attachent aux volumes des logements tandis que de fines lames naissent des murs existants et englobent les volumes aux formes elliptiques.
/ SITUATION DU BEGUINAGE
/ PLAN MASSE
/ COUPES SUR LES DIFFERENTES COQUES
/ SITUATION DU PROJET
/ SCHEMA DIRECTEUR DU PLAN
/ PROTOTYPE DU PRINCIPE CONSTRUCTIF
VILLE / NATURE Habiter la pente
PROJET DE LOGEMENTS SOCIAUX SUR LA BUTTE BERGEYRE, PARIS. Semestre 2 / ENSAPLV / Thibaud BABLED / 2010
Le projet s’insère dans la butte Bergeyre et propose d’implanter 5 logements sociaux de 70 à 90 m² et un local associatif faisant office de café, lieu d’exposition et réunion. L’objectif premier de projet était de dialoguer avec cette butte verdoyante, et tenter de compléter ce lieu d’une série de jalons architecturés, de situations nouvelles naissant de l’implantation de volumes habités en les utilisant comme supports potentiels prolongeant l’espace public du jardin et du chemin piéton. Deux types de maisons se distinguent, prenant l’unes et l’autre des orientations et des relations à la pente tout à fait différentes.
Maisons Pa)os
Maisons Tiroirs
/ SITUATION DE LA BUTTE
La maison patio prend une forme de U autour d’une terrasse centrale. En fonction de sa position dans la pente, la terrasse est traitée différemment : tantôt traversant l’espace intérieur, tantôt à un niveau au dessous. La maison tiroir, elle, s’échelonne sur deux niveaux et adopte trois traitements différents, trois manières de discuter avec la pente, trois façons de s’en extraire ou à l’inverse, de faire corps avec elle. Les maisons patios suivent une orientation qui correspond à celle des rues du haut de la butte bergeyre tandis que l’autre typologie s’aligne avec celle des rues rectilignes du bas de la butte. Offrant toutes deux des terrasses et des espaces intérieurs généreux, c’est avant tout à l’amélioration de la qualité de vie entre ville et nature que les maisons amènent une réponse pertinente.
/ TROIS SITUATIONS DE LA MAISON PATIO
/ TROIS SITUATIONS DE LA MAISON TIROIR
/ SITUATION GÉNÉRALE
/ MAISON À PATIO
/ MAISON TIROIR
L’ESPACE DU LIVRE La bibliothèque égoïste
PROJET DE BIBLIOTHÈQUE INDIVIDUELLE, SANS SITE. Semestre 3 / ENSAPLV / Pascal QUINTARD-HOFFSTEIN
/
2010
Le travail consiste à s’insérer sur un site abstrait composé de deux carrés de 7m de côté chacun, délimités par une paroi longue de 14m pour concevoir une
bibliothèque pour une personne. L’hypothèse de base ayant été le fil conducteur du projet était « la théorie de l’inverse », c’est par un jeu de diagonales inverses que la bibliothèque trouve son expression.
/ PLAN & AXONOMÉTRIE GÉNÉRALE
On peut distinguer deux grands espaces liés l’un à l’autre. Le premier, celui de l’entrée est un volume compact, fonctionnel, resserré d’où il faut sortir pour mieux rentrer dans le deuxième. Le second est un volume beaucoup plus aéré, grand et aérien tandis que le premier était beaucoup
plus tellurique. L’enveloppe du deuxième volume semble léviter au dessus du sol, baignant tout l’espace majeur de lumière par le
sol. C’est par l’échange poétique architectural que les deux volumes principaux entretiennent que le projet trouve toute sa richesse et qu’il devient non plus une simple bibliothèque mais un espace dédié exclusivement aux livres et à leur étude.
COUPE LONGITUDINALE
COUPE TRANSVERSALE
/ COUPE DE PRINCIPE DE L’INTERPENETRATION DES ESPACES DE TRAVAIL ET DE LECTURE
BIBLIOTHÈQUE UNIVERSITAIRE L’abstraction du 30 x 30
PROJET DE BIBLIOTHÈQUE ETUDIANTE À LA CITÉ UNIVERSITAIRE, PARIS. Semestre 3 / ENSAPLV / Pascal QUINTARD-HOFFSTEIN / 2010 /
avec S. BLANC
La grande pelouse de la cité universitaire est donnée comme terrain à transformer. Le projet est une bibliothèque publique de 9000 m² ouverte aux étudiants de la Cité U. L’emplacement du projet est libre selon les étudiants, doit intégrer un parcours architectural depuis la grande allée, impérativement respecter les limites d’un carré de 30x30m et être en béton brut. Ce projet est en réalité l’exercice UNO, constitutif de la méthode de travail d’ H. Cirianni. Le projet intègre une salle de périodiques, une salle multimédia, un amphithéâtre, une salle d’exposition, une boutique et une terrasse. Il se développe horizontalement en s’étalant sur toute la largeur du carré de 30x30m.
/ PLAN MASSE
/ GRANDE PELOUSE
/ PLAN MASSE GENERAL
COUPES URBAINES
/ PLAN TYPE / R+2
/ MAQUETTES & SCHEMA D’ETUDE
COUPE TRANSVERSALE / AA
COUPE LONGITUDINALE / BB
SITE PROTÉGÉ Les murs à pêches de Montreuil
PROJET DE PROGRAMME MIXTE, ENTRE LES MURS À PÊCHES, MONTREUIL. Semestre 5 / ENSAPLV / Marc BOURDIER / 2011 / avec M. MELOTTE & A. VALZ-GRIS
Cet exercice, en rupture avec les précédents a, plus qu’un simple site, une position tant géographique que politique, sociologique et économique. C’est à travers l’exploration du processus de métropolisation de Paris que ce projet d’habitation prit forme dans une situation spécifique de première couronne, à Montreuil dans le secteur des « murs à pêches ». Le site choisi est celui d’un complexe d’usines rue Pierre de Montreuil, à la croisée du futur tram, de l’extension du métro et des nouveaux circuits de bus.
/ IMPLANTATION DE L’USINE RÉHABILITÉE
/ UNE ZONE PARTICULIÈREMENT SENSIBLE
/ FAIRE ÉMERGER UN NOUVEAU CENTRE
Le parti pris est de réhabiliter dans le respect des traditions une partie des usines pour en faire des logements destinés à plusieurs types de populations, allant du studio au T5 et de produire des nouveaux logements sur les dents creuses du complexe. L’intégration d’un programme public de bibliothèque, restaurants, commerces, marchés fait de ce site en mouvement un nouveau centre de Montreuil. L’enjeu de ce projet est tant d’arriver à imaginer un futur viable pour les villes de proche banlieue parisienne, dont Montreuil fait partie, que de pouvoir faire accepter l’idée d’une transformation du tissus urbain aux différents acteurs de la ville. C’est pourquoi nous avons, durant toute la durée de notre étude, été en contact permanent avec eux.
/ MAQUETTE GÉNÉRALE / DIFFERENTS CHAPITRES DU CAHIER DES CHARGES
/ RUE INTÉRIEURE ACCESSIBLE ET VIVANTE
/ PLANS & MAQUETTE DES USINES RÉHABILITÉES
MAISON DE VILLE Construire la réalité
PROJET DE MAISON PARTICULIÈRE DE 180 M2, PARIS. Hardel & Lebihan / 2011 / avec C. BERTIN
Ce projet est plus qu’un exercice, c’est une réelle implication dans la réalité. J’ai eu l’opportunité de travailler sur ce projet dans le cadre de ma mission à l’agence Hardel Lebihan. Il s’agit d’un projet de maison individuelle dans un contexte très dense (celui du 18ème arrondissement), sur une parcelle de seulement 7x7m pris en étau entre deux immeubles d’époque. Le parti pris est de construire des volumes aux géométries simples en façade et de faire pénétrer la lumière par des terrasses ouvertes sur l’arrière cour voisine pour la faire traverser tous les étages de l’appartement par des jeux de doubles hauteurs.
/ SITUATION
/ PERSPECTIVE FINALE DEPUIS LA RUE
Le manque d’espace libre au rez de chaussée pour le jardin amène naturellement à aménager des terrasses profitant de plus de luminosité dans les étages. Ainsi, au sommet de la maison, un toit terrasse accessible fait office de jardin panoramique. Cette première expérience de conception pour une demande réelle et une réalisation future m’a permis d’apprendre beaucoup des règles de la construction et de celles implicites imposées par un client.
Par la suite, en consultation avec les futurs habitants de la maison fut ajouté un ascenseur intérieur, un atelier à mi hauteur et un étage pour les amis. L’étage de vie commune où prennent place le salon et la salle à manger sont en léger porte à faux sur la rue, ce qui donne à cet espace sa liberté et sa supériorité par rapport au reste de l’immeuble familial. L’immeuble put monter encore en hauteur pour atteindre finalement un R+5 frôlant les cimes des immeubles voisins. Les travaux sont en cours de réalisation et la livraison prévue pour le début de 2014.
L’ECHELLE DU MEUBLE Bibliothèque prêt-à-lire
PROJET DE BIBLIOTHEQUE SUR MESURE POUR PARTICULIERS, PARIS. Projet mené seule / 2012
Le projet résulte d’une recherche d’adaptation entre les lectures très hétéroclites des clients et la forme omniprésente que devait prendre ce meuble qui occupe pleinement l’un des 2 murs du grand salon de réception. Les clients souhaitaient faire cohabiter deux arts qui les nourrissent : l’art et la littérature. Le parti pris fut donc de construire des modules indépendants, prenant forme, mesures, couleurs, potentialités et matières différentes pour donner à chacun son adéquation la plus totale avec son contenu.
DESORDRE URBAIN
Macro-projet à Skopje
PROJET URBAIN, SKOPJE, MACÉDOINE. Semestre 7 / POLITECNICO DI TORINO
/
Massimo CROTTI
/
2012
Le projet s’insère dans le contexte chaotique et mouvementé de la ville de Skopje. Une zone spécifique nous sera donnée à analyser puis à projeter : morcelée typologiquement, géographiquement et historiquement, il s’agissait d’arriver à rendre, par la transformation de l’urbain, une harmonie générale à ce morceau de territoire. Les nombreuses enclaves monofonctionnelles telles que les îlots industriels, d’équipements, les axes routiers, les lotissements, le fleuve (Vardar), nous ont poussé à mailler ce territoire selon une nouvelle logique oublié par les macédoniens : celle du piéton. Il s’agit d’abord de rendre l’axe Nord-Sud menant au fleuve aux vélos et piétons, et de rendre traversables & attractives les enclaves.
/ ZONE ETUDIEE
/ PHASES DE TRANSFORMATIONS
ZONES RESIDENTIELLES/ QUALITE DES ESPACES VERTS/ DISTRIBUTIONS DES SERVICES/ RESEAUX
Rapidement, 3 zones d’interventions sont définies : Le boulevard Nord/Sud à rende actif de la régénération urbaine, la micro-cité au sud du périmètre & les strates urbaines à proximité du fleuve.
Un cahier des charges est écrit, des objectifs quantitatifs et qualitatifs à atteindre sont calculés. Il s’agit ensuite de développer sur une de ces 3 zones un projet mêlant urbain, tertiaire et logements à une échelle plus rapprochée. Le projet urbain puis architectural fut développé en étroite collaboration avec l’Urban-Center de Turin & celui de Skopje. Il fut sujet à une exposition dans chacun des deux centres.
LEGENDE Piste cyclable & piétonne
Tertiaire existant
Parkings
Tertiaire projeté
Espaces verts privés
Logements existants
Espaces verts Publics
Logements projetés
Fleuve
EXISTANT
PROJET
STRATES URBAINES EN BORD DE FLEUVE: Destination d’usage : TERTIAIRE
MICRO-CITE:
Destination d’usage : 60% RESIDENTIEL 40% TERTIAIRE
/ ANALYSE QUANTITATIVE EXISTANT/PROJETE
/ ANALYSE QUALITATIVE / CAHIER DES CHARGEES
Existant
Parkings installés
Dénivelé & division Piéton / cycliste
/ MICRO-CITE
Aménagements paysagers
/ PRINCIPE DE REQUALIFICATION DU BOULEVARD
Les 3 zones d’interventions questionnent des aspects différents de la régénération urbaine globale : - Le boulevard Nord/Sud voit son parcours requalifié, -
La micro-cité prend une forme typologique nouvelle,
-
La zone le long du fleuve intègre les équipements lourds qu’elle contient en son périmètre pour les désenclaver. / ZONE LONGEANT LE FLEUVE
FAMILLE MACEDOINE
Projet de logements à Skopje
PROJET MIXTE MÈLANT LOGEMENTS & TERTIAIRE, SKOPJE, MACÉDOINE. Semestre 7 / POLITECNICO DI TORINO / Massimo CROTTI / 2012
Il s’agit de prolonger le précédent travail urbain à Skopje par un projet architectural sur la zone le long du fleuve, au Nord. Pour ce faire, il s’agit d’appliquer les principes énoncés dans le cahier des charges établis au préalable et de questionner les enjeux d’un passage de l’échelle de l’urbain à celle architecturale. Il s’agissait ici d’arriver à recréer un cadre de vie pour une zone oubliée de la ville (voir projet précédent). Entre les projets de reconstruction minute post tremblement de terre et les anciens quartiers résidentiels agrandis par extensions maladroites, ce qui était nécessaire était de créer une réelle ambiance de
quartier.
/ CONCEPT URBAIN DU PROJET
1_Existant
3_Activités
2_Boulevard & espaces connexes
4_Logements
/ ETAPES
A l’échelle urbaine, le fil directeur était rendre le boulevard Nord/Sud piéton & cycliste en y intégrant les espaces mitoyens de brownfields et les espaces verts publics. Ce boulevard à géométrie variable permet d’intégrer au nouveau quartier résidentiel, sur lequel le boulevard débouche, des commerces & des zones récréatives à travers un parcours perpendiculaire permanent et une perspective dégagée sur tout le long de son parcours. La position privilégiée du site, le long du fleuve orienta le projet vers une création de logements s’articulant avec des galeries d’exposition et des commerces de proximité, positionnés dans la continuité des équipements lourds déjà présents au Sud/Est du site.
- FLEUVE - Terrasse du restaurant
Piste cyclable
Approvisionnement du restaurant
Accès aux logements
Accès à la galerie Accès à la galerie
Accès au parc
Accès à la galerie Accès aux commerces
/ PLAN MASSE FONCTIONNEL
Entrée du Boris Arena Logement pour 1 famille
Logement pour 2 familles
Jardin privé
Accès aux parkings
- DEBUT DE LA ZONE D’ETUDE -
/ PRINCIPE FONCTIONNEL DU BOULEVARD
Accès aux garages
/ PRINCIPE FONCTIONNEL DES RÉSIDENCES
L’exigence qu’imposait ces nouveaux logements en bordure de fleuve a permis de modifier le plan local d’urbanisme pour créer de nouvelles rues demi-privées pour les résidences et les espaces d’exposition adjacents. Ces derniers, jouant de leur formes en creusant ou excavant le sol créent de nouveaux espaces parcourables, comme autant de nouveaux lieux de rencontre. Les structures résidentielles en R+2 ou R+3 sont reliées deux à deux grâce à des terrasses surélevées du niveau de la rue en dessous desquelles se fait l’accès aux garages. Elles sont toutes, unifamiliales ou bi-familiales, orientées à la fois sur le parc environnant et sur le fleuve.
/ ACCÈS AUX PARKINGS
/ ESPACES PUBLICS SUR LE BOULEVARD PIÉTON
/ ELEVATION TYPE D’UNE RÉSIDENCE
/ TERRASSE DE RÉSIDENCE
/ MOBILIER URBAIN
MUSIQUE A AUBERVILLIERS Un nouveau conservatoire de musique
PROJET D’ÉCOLE DE MUSIQUE ET DE SALLES DE CONCERTS, PARIS. Semestre 8 / ENSAPLV / Bruno GAUDIN & Vincen CORNU / 2013
Il s’agit de répondre au besoin croissant des villes de banlieue parisienne de construire des édifices publics, facteurs de rayonnement et de lien social. Pour ce faire, nous avons projeté un conservatoire de musique sur un site stratégique d’Aubervilliers : en périphérie de Paris, en bordure de canal, à un croisement de 3 rues, sur une parcelle étroite et longue, il tentera de tirer profit de ces éléments contextuels. Le programme prévoit une grande salle de concert de 400 places, un auditorium de plein air de 800 places, et l’école à proprement parler : 16 salles de 15 à 25 m2, son administration et ses lieux communs.
/ PRINCIPE DU PROJET
/ SITE DU PROJET
L’idée première ayant porté le projet de l’ébauche à son expression la plus aboutie est celle d’une mise en relation de deux échelles : celle petite et individuelle de l’école et celle monumentale de l’amphithéâtre. En effet, la grande salle de concert s’élève au dessus du sol, massive et rigoureuse, et s’appréhende depuis les environs du quartier comme un symbole de la musique en ville. Depuis l’arrivée à l’école en longeant le jardin, la salle se présente comme une entité forte, un symbole de reconnaissance du travail auquel souhaite aspirer chaque étudiant de l’école de musique. Les petites salles de musique, elles, jouent chacune une mélodie différente, elles s’accolent les unes aux autres comme des notes sur une partition, en laissant certaines prendre de la liberté par rapport au rythme régulier de la façade et ainsi créer une mélodie nouvelle.
L’entrée dans le monde de la musique se fait par le silence, par une mise à l’écart du monde extérieur et de ses rythmes propres. Pour ce faire, les étudiants traversent un jardin orienté vers le canal, suspendu entre le niveau de la rue et celui du quai, permettant aux musiciens de pénétrer un seuil et de se concentrer sur la musique qui règne dans l’enceinte du conservatoire. En relation physique et visuelle avec son environnement, la salle suspendue détermine un lieu géographique caractérisé par une architecture non standard. Afin de maximiser les liens entre l’espace public et le bâtiment, nous avons choisi de scinder le bâtiment en deux volumes (école et concerts) : Au nord, un volume bas et rythmé dégage la perspective et s’articule avec les hauteurs des constructions alentour. Au Sud, la grande salle, compacte et haute.
4/4 Piano 25 m²
+ 13.50
+ 12.60
52 places
40 places
+ 13.50
52 places
N PLAN
R+3
2/4 Piano 25 m ² + 9.00
Bar
3/4 Piano 25 m²
+ 9.00
56 places
+ 9.00
168 places
+ 9.00
56 places + 9.00
N PLAN
R+2
1/4 Solfège 15 m²
+ 4.50
Musique d'ensemble 100 m ²
4/4 Cordes 25 m²
3/4 Vents 15 m²
Musique d'ensemble 100 m ²
4/4 Vents 15 m²
4/4 Piano 25 m ²
WC H
WC F
Salon
+ 4.50
Bureau 3
Amphithéatre 400 places 168 places
+ 4.90
Vestiaire musiciens
N PLAN
R+1
L’espace public du jardin est ainsi rendu indispensable au passage de l’un à l’autre. Il est aussi mis à contribution pour les files d’attente à l’extérieur et proposer des terrasses aux restaurants. Le hall d’entrée à rez-dechaussée prolonge le parvis sous le volume des salles jusqu’à l’amphithéâtre extérieur qui lui est en totale continuité avec la pente du quai haut vers le quai bas. Le système de distribution se trouve le long de la rue, frôlant la salle de 400 places sans la toucher systématiquement (éclairage par une large faille). Au sein de ce volume s’organisent les espaces d’attente des cours, de la restauration pendant les entr’actes, et de la circulation verticale permettant l’accès aux 3 différents niveaux de la salle. Autour de ce volume s’enroulent des salles de musiques, créant l’animation des façades opaques.
Les deux échelles se rencontrent alors, produisant une multitude de scénarios de parcours d’accès et de sortie, chacun d’eux décomposé en larges séquences, ascendantes ou plongeantes, et créant à elles deux, par leur heureux mariage, une symphonie permanente.
COUPE
LONGITUDINALE
COUPE
+ 12.60 Blacon C 52 places
Monte charge Piano 4m x 3m
+ 4.90
TRANSVERSALE
UPE
REALISE PAR UN PRODUIT AUTODESK A BUT EDUCATIF
40 places
+ 4.50
+ 13.50
Blacon D 52 places
PLAN
SALLE
400 P L A C E S
LONGITUDINALE
/ SALLE DE CONCERT COUPE
TRANSVERSALE
/ ACCES A L’AMPHITHEATRE
/ ACCES AU CONSERVATOIRE PAR LE JARDIN
/ ACCES AUX SALLES DE COURS
/ SALLE DE COURS DONNANT SUR JARDIN
/ VUE DEPUIS L’AUTRE RIVE DU CANAL
/ VUE DEPUIS LE JARDIN
/ VUE DEPUIS LE CANAL
/ VUE DEPUIS LA RUE ARRIERE
APPARTEMENT AVEC VUE Réhabilitation d’un appartement parisien
PROJET DE RÉHABILITATION D’APPARTEMENT RUE DE GRENNELLE, PARIS. Semestre 6 / Hardel & Lebihan / 2012 / avec A-L. DUBOIS
Pour ce projet d’architecture intérieure, il était question d’une rénovation d’appartement pour une famille et leur 2 enfants. L’espace, autrefois très cloisonné et sinueux a pu retrouver respiration et simplicité par les aménagements que nous y avons réalisé. Nous avons ainsi pu recréer un cadre de vie propice à cette famille où les enfants avaient un espace entièrement dédié à leurs jeux (par la communication entre leurs deux chambres), tandis que les parents pouvaient agrandir leurs espaces de réception sur ceux de leur vie quotidienne. Espaces et usages sont travaillés par superposition et permutation plutôt que fragmentation et répartition. Un espace ouvert et continu s’enroule autour d’un noyau technique, prisme d’articulation entre enfants et parents, entre le privé et le public, entre le collectif et l’intime.
/ SIE DU PROJET
Chambre amis 10.25m²
Chambre Enfant 01
Chambre Enfant 02
12.86m²
12.83m²
HSFP 242
HSFP 242
HSFP 242
WC 01 1.16m² 100
SDB Enfants
Circulation
Entrée secondaire
13.70m²
5.18m² HSFP
Dressing Enfants
Entrée principale
242 Buanderie
scanner
Entrée
Séjour
6.66m²
250
Espace lecture Cuisine SàM
27.75m²
52
160
6
HSP 249
8.58m²
Bureau
29.89m²
14.31m²
80
FOUR
184.6
LV
colonnes chauffage
2.57m²
Arrière cuisine
FACE A
9.60m² HSFP 240
FACE B
HSFP 240
FACE C
Dressing Surface habitable: 178m²
HSFP 240
SDB 02
HSFP 240
6.69m²
Chambre parentale WC 02HSFP
1.31 m²
240
13.90 m²
imprimante
/ VUE DEPUIS LE BUREAU SUR SALON & ENTREE
/ EXTRAIT DE PLAN : DETAIL BANQUETTE
/ DETAILS BANQUETTE
/ EXTRAIT DE PLAN : DETAIL BUREAU
/ DETAILS BUREAU
/ EXTRAIT DE PLAN : DETAIL SDB PARENTALE
/ DETAILS SALLE DE BAIN
LE ROCHER DE BUREAUX Concours pour le lot Ya dans la ZAC de Boulogne
CONCOURS POUR 8 800 M2 DE BUREAUX SUR LE LOT Ya, BOULOGNE (92). Semestre 6 / Hardel & Lebihan / 2012 / avec P.SILANDE + N. LOMBARDI
Il s’agissait pour ce concours, de proposer un immeuble de bureaux en R+8 à un lieu stratégique : celui de la ZAC de Boulogne. Positionné face au Parc de Billancourt, à l'articulation entre le tissu existant et la nouvelle ZAC, le bâtiment joue le rôle de "proue". Coté ville, il arbore deux façades urbaines et animées ; en intérieur d'ilot, une grande façade composée de terrasses en escalier s'ouvrant vers le ciel. Le corps du bâtiment dialogue avec les bâtiments voisins, accentué par un épannelage successif des pignons au droit des césures, formant des terrasses accessibles et plantées. Il permettent d’offrir une grande respiration au jardin central, d’améliorer significativement la qualité de vie des travailleurs et leur environnement.
/ PLAN MASSE
/ PERSPECTIVE DEPUIS LE PARC
Le soubassement largement vitré, en double hauteur, marque la continuité avec l'espace public et offre, par transparence, des vues sur l'intérieur de l'ilot. Les façades des étages sont conçues sur une trame de 1.35 m et une alternance de pleins et de vides réguliers (51 % de vitrage). La façade côté parc est vêtue d’une "façade filtre". Elle est animée par un jeu de grands volets accordéons en métal perforé motorisés dont l'ouverture est dirigée par un système de contrôle réagissant aux rayonnements solaires.
/ VOLUMETRIE
/ VUE DEPUIS L’INTERIEUR D’ILOT
Ces façades "vivantes" donnent à l'édifice une image chamarrée, telle peinture interactive qui créée tant une animation urbaine qu’elle personnifie le bâtiment. La conception du volume bâti coté intérieur de l'ilot témoigne de la volonté de réaliser des circulations traversantes végétales ouvertes dans la journée aux piétons boulonnais. Au Rez de Chaussée, le RIE et la Cafétéria s’ouvrent sur une terrasse extérieure d’agrément.
COUPE TYPE
PLANS D’ETAGE TYPE
/ VUE DEPUIS CŒUR D’ILOT
/ VUE DEPUIS RUE DE MEUDON
/ DETAIL DES VOLETS METALLIQUES
/ VUE DE HAUT
ARTS
L’OMBRE & LA LUMIÈRE Apprentissage du regard & des techniques
C’est l’observation des creux, des plis, des ombres et des lumières qui permettent de mieux cerner un sujet et de pouvoir représenter ses mouvements d’après sa structure physique complexe. Le dessin sous toutes ses formes est le meilleur moyen d’appréhender le monde qui nous entoure, qu’il s’agisse d’architecture, de technique, d’objet ou de modèles.
CLIC CLAC Photographie
La photographie suit en réalité un cheminement inverse à celui du dessin ou de la peinture. Elle est nonsélective et par le fait qu’elle englobe tout, elle se doit de porter un regard honnête et franc sur le monde. C’est par la maître de la photographie que j’apprend à apprécier les proportions, les volumes et à cerner les concepts d’immobilité face au temps. Elle est aujourd’hui un outil essentiel au regard de l’architecte. Elle questionne l’architecture et la pérennise à la fois.
ARABESQUE : L’ENCRE & L’EAU Peinture à l’encre de chine
L’apprentissage de la maitrise de cette technique est fondamentale pour pratiquer l’architecture. Elle rend compte de l’équilibre qu’instaurent les vides et les pleins entre eux, l’aspect irrégulier de imprévisible de l’encre et de l’eau, les points de tension, l’importance du mouvement… Autant de principes sans lesquels l’architecture ne serait rien.