La philosophie d'Hannover de Rosanna Festa

{946927726362924955}.txt LA PHILOSOPHIE DE HANNOVER: LES VOIES DE SCIENCE DE LA PHYSIQUE de

Rosanna Festa

introduction La définition de la philosophie reste un problème en soi et sa délégation est placée à centre de toutes les connaissances. Pour l'aspect plus général et universel, la solution est donnée linguistiquement et intellectuellement: il n'y a que l'étude des premiers principes dans la première approche à la philosophie pour atteindre des raisons ultimes, historiques et dialectiques. De la philosophie des premiers principes dérive de la spécialisation de la connaissance (dont le chemin a été long accéléré dans le temps par la science galiléenne); quand les philosophies sont réduites à des philosophies sectorielle, on parle de gnoseologie, c'est-à-dire une doctrine de la connaissance.

Aujourd’hui, la philosophie étudie les formation de concepts à partir de celui de l'existence, de la beauté des mathématiques, de la physique et logique et à partir de celle de la connaissance, et essayer de répondre aux questions comme, qu'est-ce que la métaphysique? comment est-il possible de savoir? Qu'est-ce qui est possible de savoir et comment? de différents systèmes peuvent être adoptés en référence à la relation entre les éléments d’un ensemble en mathématiques, d'une propriété physique du système ou du processus en physique générale ou de la partie de programme destiné à un traitement sectoriel spécifique en informatique. Le conventionnel est expression de l'appartenance d'un mot aux lois de calcul pour la définition de structures et paramétrisations. Inductif et déductif sont différents du rationalisme kantien a cause de l'empreinte anti-cartésienne: cela entraîne des conséquences importantes, à partir du rejet de la notion de causa sui, alors que si nous prenons en compte la philosophie analytique, plus récemment, le langage est fondamental pour les problèmes de philosophie mais déjà dans les quand on parle de la philosophie de la science ou de l'épistémologie nous tombons en contradiction pour l'antithèse entre les déclarations factuelles de la science et les observations évaluatives. Dans l'histoire on parle de lois générales, questions de logique, logique d’analyse fonctionnelle, mais cela semble être inclus dans un contexte quasi psychologique, ou plutôt métaphysique et causale. Pour cela, sûrement pas tombe dans l'erreur dans les antinomies kantiennes mais les prend avec détachement à travers l'analyse et la description des nœuds linguistiques. En philosophie mathématique, la déduction a une empreinte exclusivement cartésien. Pour l'esprit humain, il n'y a pas de vérités absolues pour Page 1

{946927726362924955}.txt la philosophie la vérité absolue est fondamentale et est plus ou moins mathématique; baser des hypothèses sur des certitudes mathématiques, tel est le sens de la construction de grammaires générales, de nature cartésienne, qui inclure à la fois des connaissances générales et des connaissances spéciales. La dialectique transcendantale par Emmanuel Kant étudie les conditions a priori de la connaissance par l'intellect, pour exemple, basé sur les analogies faites sur une base logique-relationnelle. Il n'est pas basé sur relations mathématiques mais recherche mais les relations cartésiennes, la philosophie cartésienne plus métaphysique, sur la base de ces types de métaphysique, nous pensons qu’ils sont supposés dans l’étude de philosophie les intuitions pures de l'espace et du temps. La naissance de la géométrie analytique de Descartes e Fermat remonte aux années 1600. Développer une nouvelle forme d’intelligence mécanique est comparable à cette intelligence électronique que nous essayons de construire dans le monde contemporain. Les rapports en fait, la logique est pré-systématique. Le monde cartésien est un monde qui fonctionne sur la base de une construction mathématique, le doute, cependant, si tout cela ne peut être démontré, suppose en philosophie le nom de l'anti-cartésianisme. Il y a des objections mathématiques au monde des idées existantes indépendamment de l'esprit humain, à partir de la faisabilité empirique, mais alors il n'y a personne telle dynamique qu’elle ne fonctionne pas conceptuellement dans l’esprit selon une métaphysique du détail.

En éthique, nous aurons après tout que le problème de la méthode concerne la conceptualisation la linguistique et la possibilité de choisir entre principe et intellect. La linguistique au sens strict est un problème du premier type pour la méthode, la crise du paradigme en science est méthodologique, donc du second type. Tout ce qui est affirmé au-delà de la science est aussi une conceptualisation. dans le contexte de la démarcation entre science et non-science, l'attribution du sens au type un est une dynamique des connaissances, alors que pour le type deux, il est plus difficile de contextualiser de la connaissance, surtout si de dérivation anti-cartésienne. Le cogito ergo sum est non invasif, il faut le distinguer du doute hyperbolique et des doctrines philosophiques intuitionnistes. La substance est phénomène pré-systématique, comme dans la logique, ou le principe, comme dans la métaphysique. Quand moi Je me réfère à une substance pensante, à un cogito ergo sum de René Descartes que je fais métaphysique précisément en se tournant vers tout ce qui est substance, vers un renversement de mes intentions vers l'analyse des concepts, si nous nous tournons vers la science, nous trouvons des connaissances plus général et universel. Selon Kant, l'homme a "la faculté cognitif immuable et universel ", tandis que, si nous prenons la racine platonicienne de la pensée philosophiques des concepts abstraits, nous trouvons les Lumières, Berkeley, Hume; la société en tant que telle tel que défini par Weber "technologie et connaissances scientifiques" est certainement une définition analytique mais conceptualisable sur le plan linguistique. Il serait intéressant de Page 2

{946927726362924955}.txt voir comment il est compressé l’espace en cas de programmation avancée et selon un principe fonctionnaliste sur plusieurs niveaux de programmation symbolique et de superordinateurs. La performance d'un ordinateur n'est pas mesurable par une fonction de distribution continue, étant donné les suites et la syntaxe alphanumérique, il existe des concentrateurs de différents types entre la programmation et les performances informatiques et des machines qui maintiennent des fonctions constantes. La relativité des états d'Albert Einstein cette masse provoque la courbure de l'espace et déclare qu '"il n'y a pas assez de masse pour arrêter l'expansion de l'univers ", l'univers est ouvert et fermé en même temps, donc, il n'existe pas masse suffisante même pour ne pas contenir d'informations sur notre planète sur la façon dont l'univers crée des barrières, des systèmes quasi-cryptés et cryptographiques, afin d'éliminer paramétrages plats ou vecteurs mathématiques négatifs venant de l'extérieur. y une superposition d'états si l'espace et le temps se comportent comme s'ils avaient été échangés, il est en effet, il est facile d’utiliser des paramètres binaires pour des applications spatio-temporelles, des paramétrages binaire pour le développement d'arguments espace-temps. Alors que le MQ a des problèmes avec le mesure en raison de la barrière de potentiel, nous avons que la vitesse de la lumière, si cela est mineure dans les matériaux réfractifs, projetant d’autres obstacles potentiels. Le contraste entre la théorie La théorie ondulatoire et corpusculaire dans MQ ne se résout pas en parlant de sources polarisées.

Il ne faut parler que de géométrie complexe, les premières figures géométriques simulées passeront seulement par un plan. Cette nature, en revanche, peut être étudiée avec elle la précision des mathématiques est démontrée par la microinformation, par des instruments, par vues. Cette précision informatique est importante, même si nous en sommes encore loin un déchiffrement mathématique du code "nucléaire" et du code "non invasif". Ce n'est pas la même chose comparer un ingénieur du savoir avec une application à un avec une interface BCI (Interface cerveau-ordinateur) car ce n’est pas seulement de la technologie électronique, mais la technologie. L'esprit et la réalité matérielle ne sont pas constitués de deux substances différentes, comme le prétend Descartes, donc, un dualisme entre l'esprit et la substance corporelle est admissible: c'est un devoir comprendre la subjectivité de l'esprit en tant que capacité à reconnaître des états cognitifs. E ' la théorie de Fodor est donc acceptable, qui prétend que l'esprit fonctionne comme des "modules" dérivant de systèmes de saisie, puisque l’esprit se place un code pour lui-même et son utilisation Modulaire. Pour Fodor, les fonctions mentales sont donc des stimuli, étant donné qu’elles sont plus généralement Les états cognitifs tels que les entités physiques sont comparables pour une dynamique intraprojective, et maintenant Fodor peut penser à l'esprit non pas comme une ardoise vierge, mais peut-être avec des caractéristiques innées. si nous acceptons cette thèse, nous affirmons qu’il existe une réalité externe au soi, préconfigurée et prédéterminée. Et il est nécessaire de considérer l’utilité de coder mentalement un Page 3

{946927726362924955}.txt ou plus de réalités physiques, tandis que d'autres théories, comme le behaviorisme, admettent que les états existent mental en tant qu'états cognitifs d'un certain type mais que l'esprit reconnaît son code tandis que le la théorie de l'identité soutient qu'il n'y a qu'une seule réalité physique, matérielle, et donc acceptée dans la pratique car il contient un dualisme actualisé entre acceptation et compromis. De retour Pour les mathématiques, la pertinence de certains systèmes réside dans les connexions par la cartographie. Tous ces les phénomènes dans les sciences sont des phénomènes eux-mêmes apparus à la lumière des enquêtes quantiques, même les La théorie des systèmes est apparue à la lumière parce que le codage des connexions, ou, si on le souhaite, la code de cette information, il est restauré à travers la philosophie de la science.

Si le fonctions sont des connexions, une connexion chimique peut avoir différentes analogies dans le même terme de connexion chimique et de codage chimique. Quand as-tu eu le but de l'unification des sciences, dans le néopositivisme viennois (1929), des développements sont apparus étendu composé de problèmes d'analyse et de mathématiques de base. Nous devons considérer l'encodage en tant que système dynamique ou complexe? La philosophie de l'esprit est fondamentalement intraprojective pour ses connexions? Sur quelles relations fondamentales repose le concept de système? La contradiction ne vient pas d'un système sans cause finale, cependant, mais du une science qui au lieu de cela rejette les causes finales de la nature, une méthode a commencé avec Galileo Galilei. cette la contradiction nous amène à une considération: si un système n’a pas de cause finale la logique, qui, toutes choses considérées, est un système d'induction et de déduction, peut être considéré comme un philosophie auto-vérifiant, si nous rejetons encore les causes finales existantes dans la nature, la logique ne peut être considéré comme un système comme celui développé par Karl Popper.

L'antinomie donc qu’un système indéterministe (c’est-à-dire contradictoire) a si nous ne connaissons pas la magnitude l'extension du système consiste dans l'incomplétude de Godel. Ils peuvent exister infini et cohérent systèmes, mais nous ne connaissons pas le système du point de vue du code ou plutôt du codage, ceci il conteste l'existence de causes finales de la nature, qui, semble-t-il, ressemble à des périodes d'étude en logique. Kuhn, à cet égard, parle de science extraordinaire qui est une méthode de variables indépendant, en raison d'informations asymétriques. Dans la période révolutionnaire du MQ le analyses expérimentales sur le spectre du corps noir, trouvent une large application à cela, dans laquelle théories classiques de la matière rencontraient des difficultés, ces analyses étaient discontinues l'indécidabilité de nouvelles théories issues de la mécanique des vagues, de l'analyse de niveau énergique, des antinomies de la mécanique des matrices. Cette discontinuité affecte également une niveau de recherche opérationnelle. Les systèmes indécidables sont contradictoires et confirment leur existence Page 4

{946927726362924955}.txt sciences extraordinaires qui, dans la philosophie des sciences, se traduisent par des interprétations de faits de la science et doit donc être interprétée dans un horizon plus large. En parlant de connexions scientifique, par exemple, la carte connectomique (cartographie connectomique) qui consiste à tracer une grande échelle (niveau macro) des sciences interconnectées est le moyen de déchiffrer le fonctionnement avec que chaque langue doit travailler une langue avec les autres. Pour le connectome, ce n'est pas le cas connexions synaptiques uniquement, ce sont des interconnexions de langues, comme dans machine lorsque la machine elle-même commence à fonctionner selon une fonction-type et nécessite attention essentiellement dans les connexions à haute fréquence ou impulsions, qui facilitent la transmission et produire une amélioration à long terme, tandis que les basses fréquences affaiblir et induire le phénomène inverse. Mais c'est surtout après cette vertu de l'ingénierie pour cartographier les connexions, qu'il existe des techniques, qui sont plus importantes, que modifier les informations dites "internes", comme en génie génétique en lumière, on peut définir des systèmes qui relient les sciences aux machines. la la sous-détermination faible ne traite pas d'arguments antithétiques, nous générons en géométrie appliquée Des mesures également à travers les Explanans (en vue de l’Explanandum) sur les relations mutuelles des l'espace. Les multiples modèles sont décisifs avant tout dans l'explication physique dans le système pur des conventions. Putnam a résolu les problèmes méthodologiques "nécessaires". En fait, il a clairement indiqué distinctions telles que l'esprit / cerveau du point de vue des sciences cognitives et aussi que logiciels / matériel informatique. Si nous ne distinguons pas plusieurs réalisations, l'hypothèse concluant est un cogito cartésien. Les jugements sur la métaphysique, tous les jugements, peuvent être valables seulement s’il est accompagné d’une analyse expérimentale et qu’il est donc une cause contributive du contexte méthodologique.

Par des explications causales, on devrait venir (étant donné les prémisses données par les lois du couverture) à la symétrie ou aux lois de la coexistence en vue d’une logique inductive. La loi de la gravitation universelle, qui affirme que tous les corps de masse s’attirent les uns les autres avec une force (F) directement proportionnelle au produit de leurs masses (m1m2) et ainsi inversement proportionnel au carré de leurs distances (r) est un principe d'induction conforme à la philosophie des mathématiques, il est universalisable et distribué dans un champ spatial pour tous les éléments de la théorie. En théorie des systèmes, l'universalité est donnée par une règle des preuves: 1) N A ont été observés dans des conditions très différentes et tous se sont avérés être B. 2) On n'a pas observé de A non-B. 3) Si vous êtes observé dans toutes les conditions différents N A, et tous sont B résultats, et aucun n'est non B, tous A sont B. Tous A sont B, ceci est la conclusion, où A et B sont des représentations, comme A comme "échantillon de sodium "et B comme" objets facilement inflammables ", qui valident l'universalisation Néohegelisme américain au néohegelisme kantien, le concept pur est réduit à la synthèse, Page 5

{946927726362924955}.txt objectivation, subjectivité. La logique symbolique ou même formelle fait-on catégorisation en tant que concepts fondamentaux des mathématiques, modalités mathématiques systématique, naturellement non quantitative. La logique mathématique qui montre les champs toujours plus large que le calcul et les fondements des mathématiques, il part de la présupposition, par exemple, que la fonction f de x appartenant à la fonction g de x dans la fonction (x) fx = fg (x) est réel, en fait, il est interprétable différemment et fait partie du langage et de la programmation ils sont posés comme des vérités données. L'antinomie de classe, qui distingue dans les théories normales et sous-théories dérivant, il est construit sur des théories de la philosophie plus générale et appartient à un moment fondamentale ou à une classe de la philosophie elle-même, la philosophie informatique. Science selon Galileo, selon lequel nous avons une représentation universelle de l'espace réel, est une géométrisation, interprétant la science physique comme une antithèse de connaissance du réel, tout comme dans la philosophie informatique. Comme pour le distinction entre entités géométriques et entités non géométriques, la géométrie hyperbolique est encore une fonction de la géométrie elliptique si les tests expérimentaux n'existent pas sous la forme mais dans la contenu que cette géométrie a un contenu en soi. Sur cette base, ils sont prouvés tous les théorèmes géométriques si corrects - où le type de preuve le plus pertinent. "absurde", est typique de l'épistéme et, si nécessaire, à travers l'épistéme consiste à montrer que la négation d’une certaine proposition (qui est précisément le théorème que l’on veut avoir l’intention de démontrer) implique la négation de tel ou tel élément de la base immédiatement vrai du discours prononcé sur la géométrie. La preuve de cette proposition elle consiste précisément à démontrer cette relation avec la vérité immédiate. La théorie de la relativité implique l'utilisation d'une géométrie plane, tout est construit sur la géométrie par Einstein, et par conséquent tous les éléments d’un projet construit sur des bases géométrique a une base fondamentalement accessible. La théorie de la relativité contient, par exemple l'association à des géométries non euclidiennes, des assertions avec une limite de confirmation de ces al limite de la sémantique adoptée. Si l'espace est courbe, la géométrie non euclidienne n'admet pas autres solutions en dehors de la conventionalité de la limite de zone. Inachèvement de la théorie de la relativité et des géométries non-euclidiennes est le critère de l’isolement de la logique de la calculabilité (Computability Logic ou CoL) car il contient des méthodes très étendues. Le principe de l'indétermination est un principe physique pris régulièrement dans les lois et les prévisions statistiques À partir du cogito ergo sum cartésien, la phénoménologie dans ce cas est constituée des principes méthodologiques sous-tendant les causes de l'individualisation et du processus, la métaphysique moderne est une réaction, surtout la philosophie qui exige de nouvelles commutations, des systèmes de complétude, ressources abstraites. Les changements linguistiques et phonétiques sont Page 6

{946927726362924955}.txt régis par des lois universaux qui n'ont pas beaucoup d'éléments en commun avec la linguistique en tant que structure, sur la base aussi à ce que de Saussure affirme. Le néogrammatique est construit sur des transformations linguistique, et cela nous amène à penser à une symbiose de la philosophie à travers les philosophies informatique, langage et mathématiques à la métaphysique en bref. Les systèmes sont basés sur des hypothèses de toutes les expériences possibles tendant à montrer que les systèmes finis sont équivalents symétriquement à des systèmes rationnels avec statique élémentaire.

Mathématiques a ce réalisme représentatif où la perception est conçue comme le résultat de prise de conscience du monde extérieur. Et il a certainement été confirmé que ce réalisme est s'éloigne du réalisme du sens commun car on ne le voit pas vraiment, mais il est contenu dans réalité. Il possède donc des qualités primaires et secondaires classées par John Locke (1632-1704), à l'exception de l'inconnaissabilité du monde réel des qualités secondaires. la La philosophie mathématique est capable de reconnaître cet idéalisme, différent du réalisme représentatif, cet idéalisme crée des synonymes sur le concept de compréhension, d’intelligibilité et de représentation des mathématiques, sans toutefois l'exclure en métaphysique. Tous ceux qui sont Les critiques du fonctionnalisme mathématique n'incluent pas la réflexion sur les mathématiques et la philosophie mathématique, du point de vue de l’empirisme et, bien entendu, de la métaéthique, mais au contraire, d'assumer catégoriquement (comme dans l'impératif catégorique d'Immanuel Kant) que, dans contraposition, il existe des hypothèses hypothétiques: à travers le principe de l'universalité, donc, et seulement à travers elle. Cette universalisabilité est une Version kantienne de l'éthique qui nous amène à penser que les mathématiques peuvent être transformées en philosophie mathématiques à la fois conséquentialiste et utilitaire. Si alors, j'applique la rigueur formelle du mathématiques, j'aurai une difficulté de calcul en faveur du premier cas ou, alternativement, des cas problèmes en eux-mêmes, qui conduisent à des observations générales: 1) la philosophie mathématique contient aspects du problème de la généralisation comme celui observé par Nelson Goodman (1906-1906).

1998) avec le terme "blerbe" dans le problème de l'induction. La généralisation ne il ne peut jamais rejeter un falsificationnisme * de manière disciplinaire également parce qu'il implique des théories scientifique et la soi-disant philosophie des sciences élaborée entre autres par Karl Popper (1902-1961) 1994) consiste en de très importantes généralisations philosophiques; 2) impossible d'éviter d'établir que le dualisme est séparé des processus physiques en ce qui concerne les processus mentaux et, par conséquent, le dualisme L'universalité cartésienne prédit déjà à travers la tromperie potentielle d'un esprit mauvais: nous sommes donc certains que la déclaration de Cartesio cogito ergo sum présente de nombreux autres aspects d'accessibilité à la mémoire et à la logique. L’universalité kantienne présupposant une philosophie mathématique conséquentialiste et utilitaire nous pouvons dire qu’une Page 7

{946927726362924955}.txt rigueur formelle des mathématiques est stricto sensu associations métrique-projectives avec la philosophie mathématique, la comme il implique la symétrie physique des phénomènes optiques et mécaniques, l’aspect logique de une égalité, une égalité projective ou visuelle, la relation que les géomètres considèrent sous la nom de projectivité. C’est une géométrie d’un continuum en trois dimensions, et au toucher (général et spécial) nous construisons une géométrie métrique et une géométrie projective, la première avec la vue, la seconde pour la même variété de points (espace). On parle donc de former à travers ces deux représentations de lignes parallèles, on parle donc d’un postulat de la parallèle. Maintenant, le postulat d'Euclide a été discuté dans la philosophie, et aussi la représentation hyperbolique de Lobatschewsky, tout suit les lois logiques et selon le principe de économie, en réussissant à réaliser la représentation la plus unifiée de la réalité géométrique La rigueur formelle de la philosophie mathématique est une propriété de la philosophie de science et métaphysique. La création de sens est un impératif, une situation hypothétique, presque une continuation de la philosophie de Searle. Ne tenant pas compte de la véritable compréhension e propre, un ordinateur "intelligent" suggère des hypothèses étanches, équivalentes à manipulation des symboles, et cela représente des arguments méta-pascaliens, à savoir que isoler de nombreux philosophes contemporains sur le problème de l'intelligence artificielle, ou conduire à penser aux transpositions et aux métamorphoses, comme par exemple David Hume, auteur de Recherche sur l'intellect humain, Karl Popper, auteur de la Logique de la découverte scientifique, John Stuart Mill, George Berkeley, le même René Descartes et, inversement, la philosophie de langue, chez des auteurs comme Ludwig Wittgenstein. Si nous regardons les commentaires philosophiques sur La théorie de la vérité de Tarski par Karl Popper, paragraphe VII, nous apportons suffisamment de programmes complexe séparant le problème dans un certain sens en plusieurs unités selon un certain dualisme e Parlons d'une meilleure approximation de la vérité. Ces types de systèmes déductifs configurent déjà un système d'approximations qui, exprimé en langage philosophique, élargit les horizons de la fonction mathématique en tant qu’expression d’accord avec la philosophie du langage, avec le philosophie analytique, avec philosophie mathématique, philosophie des sciences, sciences sociales et autres sciences. Ces systèmes déductifs multiples sont donc des problèmes stationnaires, car le problème n'est pas posé si le système déductif ne les exprime pas parfaitement.

Cependant, étant donné la stationnarité de ces systèmes déductifs, nous pouvons parfaitement mesurer une magnitude mathématiques générant une incertitude dans la mesure des autres grandeurs. Ce processus est configuré à un niveau macro, et est un système déductif assez récent dans le développement de la philosophie de 1900 Merci également à Karl Popper qui en a parlé dans la Logique de la découverte scientifique (1934) et dans Propendances, probabilités et théorie quantique (1957). Ici, la propension à Page 8

{946927726362924955}.txt pré-figurer systèmes chaotiques est très élevé, nous avons ici d'autres états du système et des états possibles de la matière, par conséquent, la mesure du système déductif est un processus déductif du système lui-même.

L’interprétation entre objectivisme et subjectivisme implique des états possibles du système ou est en mesure de les déterminer de manière préliminaire, étant en pratique l’intrusion de l’observateur dans la physique. Nous avons donc des états possibles du système, c’est-à-dire un nombre infini de fois avec nombre infini de directions, telles que les orbites d’une balle de billard, en considérant i états possibles de la matière. La mécanique de Bohr oscille sur les transformations du la matière. Pour arriver aux états de la matière en séries infinies, chaque état x (n) +1 est un transformation du système lui-même: cela signifie que nous pouvons prévoir certaines parties du MQ dans la mesure où, selon le principe d’incertitude de Heisenberg, la mesure précise de la une quantité génère une incertitude dans la mesure des autres quantités du MQ. Dans le cas des orbites d'une boule de billard la question de la mesure n'est pas un problème de conversion ou de calcul des mesures, dans le QM, la mesure est arbitraire en ce sens qu'elle est construite par un grand nombre des particules subatomiques. La mesure ne peut pas être partiellement indétectable, le mouvement du En fait, les particules sont comparées à un flux d’états détecté qui fait partie de l’état subatomique de d'autres atomes. Le système déductif est donc configuré selon notre philosophie de la manière suivante: surtout du point de vue des processus cognitifs et non cognitifs, elle peut se dérouler de la manière décrite par Karl Popper dans ces commentaires philosophiques sur la théorie de la vérité de Tarski à travers les propriétés appareils de terrain. Ce n’est rien d’autre qu’une interprétation propensionelle, une extension de tant de logiques déductives et les principes de la philosophie des sciences, qui nous amènent à imaginer la conditions dans lesquelles un système déductif conduit à un résultat, donc si le système déductif est en extension ou non, capable de provoquer des états cognitifs, une induction ou inférence à travers l'expérience, qui est susceptible d'être définie par l'opération de l'observateur, en termes similaires; ou analogique parce que si nous parlons de termes numériques, l’observateur adoptera sûrement un problème, il ne pourra certainement pas convertir un code de l'analogique au numérique sans l'aide d'un ordinateur. C’est l’importance de instrumentation scientifique et comment, en vertu des systèmes déductifs, les fonctions de la calculatrice en x et en y ils doivent être dits "lus" par l'observateur / utilisateur dans l'inférence ou dans le processus de Objectivisme. Un contenu axiomatisable dont parle K. Popper dans The logic des sciences sociales et autres essais (1962) est A = Cn (A) = Cn [A] ; cela correspond à une proposition: quand on parle d'états possibles du système, cela signifie que différents systèmes déductifs peuvent coexister. Quand on parle de système déductif Page 9

{946927726362924955}.txt nous nous référons à tous les contenus de notre esprit qui sont préfigurés comme étant donnés, problème, inférence, phrase introductive, psychologisme. Il n'est pas rare de se retrouver avec des systèmes déductif qui relèvent de la logique de notre esprit. Le mentalisme les inclut parfaitement et peut avoir le même mentalisme, différentes significations. Nous parlons de mentalisme comme une conception philosophique qui tend à réduire les données de la connaissance à de pures conceptions de l’esprit, en négligeant les aspects objectifs de l'expérience, etc. en particulier, la thèse pour laquelle tous les termes psychologiques ils font en réalité référence à des états ou à des événements mentaux. En linguistique, la priorité donnée à processus mentaux dans l'apprentissage et l'utilisation de la langue. Cela nous affecte partiellement de point de vue linguistique, qui est présenté très génératif, mais pour le système déductive qui nous conduit à une mesure de contenu, comme le dit Popper, ou à des rapports de dépendance nécessaire, comme dans le Kantian a priori, qui précède de manière dommageable comme ci-dessus la géométrie, la mécanique et la physique; au-delà de cette limite, le système tend à s’établir à zéro déductif qui diminue au minimum ou à zéro; nous parlons donc de l’un des thèmes classiques de la philosophie dans les différentes adresses à partir de la philosophie de la physique mais aussi de la logique, en fait un système tendant au minimum est plus contrôlable et ouvre les portes à plusieurs sinonimie.

I.

L’objectif d’extensibilité variable est le projet consistant à construire des supercalculateurs équipés des puissances de calcul extrêmement élevées. Au niveau des ordinateurs traditionnels, l’ordinateur plus recent repose sur un accès plus court et donc moins de temps sur les performances de la mémoire.

Chacun a b c est le niveau de mémoire ou d’optimisation des ordinateurs. La solution est une entrée-sortie car il s'agit d'un cache interne et donc de la RAM. Dans le quadrant (socket) nous avons plus de cycles de niveau. Ce sont des exemples typiques d'opérations à un seul niveau processeur. Le développement de systèmes d’E / S efficaces et très rapides est l’un des principaux problèmes de la super-ordinateur. Cela implique à la fois des unités de stockage fixes et des mémoires volatiles comme des RAM de supercalculateur. Les mémoires RAM, par exemple, sont beaucoup plus lentes que CPU et chaque année cette différence de performance augmente à mesure que les mémoires augmentent Page 10

{946927726362924955}.txt 10% de vitesse, alors que les processeurs augmentent leur vitesse de 60% Le problème est de savoir comment chaque opération doit donc renvoyer une partie de l'entrée. Nous arrivons à l'opérationnisme.

L’opérationisme est presque opposé au probabilisme, il est écrit que "x est soluble dans l’eau s’il est soluble en effet après l'évaporation de l'eau si l'on trouve (nécessairement) une substance, à sa soluble dans l’eau ", et non que x soit soluble dans l’eau car il a la propriété pertinente pour la solubilité dans l'eau dans des conditions particulières ". R. Carnap indique que la définition (opérationnelle) de longueur implique d’établir dans ce cas des mesures réelles et des mesures de longueur dans les conditions particulières dans lesquelles a b est valable pour tout b. Mettre un besoin physique à la antipodes d'une interprétation modale signifie que nous devons souvent faire un choix entre différents paradigmes du même domaine, ou trouver des métadonnées dans le domaine spécifique de appartenant, en raison d'hypothèses physiques, ou encore, que le processus est à un certain stade et le raisonnement laisse place à des hypothèses de vraisemblance (comme celle de Fischer).

En termes d’opérationnalité - ce qui nécessite que des termes scientifiques, tels que longueur solubilité, etc. sont définis en termes de procédure expérimentale appropriée - définitions opérationnelles ils servent à transformer des dispositions, ou des termes dispositionnels ou universels, en termes qualitativement objectivable. Les termes dispositionnels sont des éléments d’analyse ou d’analyse, et comme dans les algorithmes d'analyse informatique existent, nous ne supportons pas les opérations sur les algorithmes, mais les analyseurs, parce que les algorithmes définissent une certaine classe alors que les analyseurs ils définissent les propriétés au niveau du programme. Les analyseurs de script les plus simples se trouvent au niveau de la langue, mais une chose est d'établir que les analyseurs peuvent comprendre la langue, il est également nécessaire d’établir si la langue est la forme la plus simple d’analyse en auto. Quand on parle de théorie formelle de probabilité, on peut opérer avec probabilité zéro absolu. Ce calcul, en théorie de la corroboration, fait partie d’un système de probabilité Ordinaire (p (t) = 0) mais ne fait certainement pas partie d'un calcul dans les théories de probabilité qui excluent certains systèmes car ils sont jugés insuffisants pour corroborer les affirmations de dont nous sommes conscients et que nous devons vérifier pour chaque xy, et pourquoi le système lui-même est décidable puisque les algorithmes font partie d'une certaine classe mais l'analyse est encore un système de probabilité ordinaire (p (t) = 0). Cela n'exclut pas que cela puisse être optimisé examiner de larges segments du programme, et pas simplement de petites parties, par déterminer comment améliorer les performances. Cette opération par le compilateur est nécessaire dans la programmation pour l'acceptation rapide du code pour reprogrammer de grands segments du programme, afin de permettre au système d’obtenir des parties également programmables Page 11

{946927726362924955}.txt d'analyse. À ce stade, l’investigation cognitive est divisée en deux parties: l’expérience obtenu par des opérations, il peut avoir deux solutions: une fonction de la vérité, avec son valeur de vérité, ou une probabilité de l'argument qui est essentiellement un système, soit également partiel, faisant référence à xy pour chacun a et b différent de y 1 . La probabilité relative P ((ab) c, d) = p (a bc), d) P (a, (bc) d) = p (a, b (cd)). pour l’opérationnisme, il s’agit d’une formule probabiliste supérieure à une opération probabiliste.

Ainsi, x et y contiennent des éléments de probabilité ordinaire (p (t) = 0). Tout cela n'est pas présent seulement dans l’interprétation subjectiviste mais aussi dans le langage de la symbiose qui divise l’un séparer les mathématiques ordinaires et non ordinaires de la probabilité et toutes les lois attribuables à la physique. De plus, les formules de Heisenberg impliquent des hypothèses auxiliaires ad hoc parce que L’indéterminisme a de la valeur dans ses mesures, c’est un échantillonnage, et si nous introduisons l'échantillonnage sur différentes interprétations statistiques, nous devons exécuter une mesure de particules capable de déterminer une relation d'incertitude, AX. h / 4π et une relation ∆x jusqu'à obtenir x ou des multiples de x. Ceci, à vrai dire, est une définition simple et accessoire au principe d'incertitude qui équivaut à ∆x à y.

En effet, présupposons des conclusions théoriques selon lesquelles la liberté de jauge (et aussi indéterminisme mathématique) présent dans la physique du monde réel n’est pas conseillé, pas seulement parce que les théories physiques contemporaines offrent un choix entre l'électromagnétisme de Maxwel, les théories jauge avec des équations indéterministes pour A méta, et les théories de Proca avec équations indéterministe et aucune liberté de jauge pour les théories déterministes qui sont utilisées d'hypothèses mathématiques ad hoc 2 , mais aussi parce que chaque quantification est une interprétation de la Formules de Heisenberg, car une interprétation statistique des formules crée une incertitude. pas seulement, c’est une condition pour le fait que des théories presque équivalentes empiriquement dans sens classique restent ainsi "sous la quantification" (c'est-à-dire quantifiés de manière à calculer le niveau des dimensions atomiques au niveau des calculs combinés et non seulement), par conséquent, l’équivalence empirique est stable sous la charge d’hypothèses auxiliaires de la mécanique classique à la mécanique quantique. En spécifiant qu'il y a des dimensions minimales sous la quantification, également au-dessus de la quantification, la mesure physique est présente sur une ou plusieurs collections statistiques, ceci en philosophie des sciences équivaut à présupposer l’existence de non-systèmes complexes spécifiquement soumis à une mesure, mais à l'hypothèse des métadonnées. Tous ces systèmes complexes exploitent: 1) une relation de dispersion simple (calcul de la variables dans un système), 2) une relation d’équivalence (le système est symétrique ou utiliser des équations connues), 3) l’approximation à des valeurs minimales système garantit qu'il est possible d'effectuer une mesure), 4) sous-détermination.

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{946927726362924955}.txt Ce système est sous-déterminé car une théorie, une explication ou une loi est compatible avec preuve 3 .

Typiquement, ces théories sont impossibles à distinguer empiriquement car des théories avec des particules différentes de masse (et peut-être d'autres paramètres) sont disponibles. Subdétermination entre des corps de masse et gravité sans masse (Einstein) est un objet d'équivalence empirique approximative, quand oui il s'agit de distinguer l'équivalence empirique inexacte inexacte et l'équivalence empirique approximatif en gravité scalaire. L’idée d’explorer comment une théorie de masse peut fonctionner La place d’une masse (et vice versa) est un lieu commun en physique des particules. chaque enfin, l’équivalence empirique implique à la fois la référence à un corps doté d’une masse et la nécessité de sous-déterminer les équations relatives à partir des méthodes bayésiennes.

L’opérationisme renvoie donc que toutes les opérations probabilistes des systèmes qui ont calculs réversibles, tels que des systèmes complexes qui exploitent ces propriétés, avoir une interprétation absolue, au moyen de la relation de sous-classe. donc: 1) dans sa propre classe; dans le rapport xy.

2) falsifiabilité pour chaque x et y dans Fsb (x) = Fsb (y).

3) non-comparabilité: toutes les opérations probabilistes sous quantification substantielle ils sont l'illustration du principe d'incertitude de Heisenberg.

4) Une théorie de niveau supérieur est capable de spécifier un nombre infini de valeurs aléatoires (aléatoires).

Cette hypothèse à ce stade précis de développement affirme la semi-décidabilité vis-à-vis du forte sous-détermination et décidabilité par rapport à la thèse de Duhem-Quine.

Parce que si la présence d’un nombre infini d’aléatoires (aléatoires) est telle qu’ils sont eux-mêmes sous-déterminés (et il est intégrité, logique et mathématiques), telles que la théorie oscillatoire et la théorie des particules sur la lumière, alors il est nécessaire de re-paramétrer tous les aléatoires (random) capable de se demander ci-dessus, ou sous-quantification pour les systèmes avec un espace réduit de solutions.

En fait, nous avons des espaces de configuration étendus ou un reparamétrage invariant.

Les deux solutions ont un paramètre de contexte reconnaissable dans le temps t 4 . K. Popper semble faire face à un reparamétrage invariant 5 . Les espaces de configuration prolongé par le simple fait qu’ils utilisent le principe d’incertitude de Heisenberg déclarations statistiques et interdépendances statistiques, c’est-à-dire que nous pouvons assimiler à des grandeurs objectivées, ce sont des espaces de liens et la reparamétrisation invariante se développe se développe au lieu de cela dans une ou plusieurs formes via des propriétés telles que le remplacement de variables aléatoires par faire la commutation du système. Ces commutations sont, dans les observations de la DiracBergmann, éléments très réduits avec hypothèses de linéarité pouvant être Page 13

{946927726362924955}.txt développées à partir de propriétés mathématiques et physiques quantitatives. Dans ce cas on prend une fonction réduit, l'hamiltonien, afin de basculer toutes les variables dans un espace minimum, une équation avec un seul vecteur hamiltonien doit réussir à les assimiler ou à les associer quantités physiques à la première variable, si sous forme symplectique dans la phase de l'espace nous associons un champ vectoriel X. Nous savons qu'il existe différentes règles valables dans le domaine du e fini dans celui de l'infini. L’importance ici, dans le contexte des systèmes et métadonnées complexes, est que Galileo admet actuellement l’existence de séries infinies. De plus, Galileo soulève la question suivante: n'importe quel nombre peut être appelé infini. Maintenant, les systèmes complexes doivent être analysés et à travers un nombre infini de séries et pour déterminer quelles sont les métadonnées dans une équivalence empirique, approximatif ou non, capable de nous offrir autant que possible l’existence de métadonnées, parce que ces métadonnées sont traitées par l'homme lors du traitement informatique, par le biais de traitement assisté et utilisation d'opérateurs logiques. La première question à poser est: ils existent transitions à effectuer? Galileo souligne que la transition ne peut pas être réalisée étape par étape par divisions continues du divisible puisque ces divisions successives ne conduisent pas à une dernière division. La procédure Galileo prend en compte le fait qu’une limite n’est pas une élément spécial de la séquence qui converge vers cette limite, et de plus, un nombre transfinito n'est pas un cas particulier de nombres réels finis.

La deuxième question est: quelles sont les procédures pendant la transition? Des négations logiques on en déduit que le fini devient infini, le divisible devient indivisible, les quanta deviennent non combien. Troisième question: quelles sont les différences entre les notions respectives de ces trois couples? la combien de côtés d'un polygone sont divisibles, peuvent mesurer et être mesurés (mesurés) , peuvent être ajoutés et sont comparables. Les non-quanta, comme les côtés d'un cercle, sont indivisibles, ils ne peuvent ni mesurer ni être mesurés (immense). Ceux-ci peuvent seulement passe, traverse. Ceux-ci ne peuvent pas être ajoutés et ne sont pas comparables. Les divers Les traductions anglaise et allemande ne justifient pas l'attention de Galileo sur ces formulations.

La science de Leibniz, à travers sa compréhension des mathématiques, n’admet pas de non-quantités en sciences de la quantité. Les différentes terminologies font référence au fait que le terme de compacité d'une succession (ou ayant successivement la compacité) de chaque succession a les valeurs en K à partir desquelles une convergence peut être extraite convergeant vers un élément de K. terminologies différentes respectivement en quantités finies et en quantités infinies se réfèrent à que les formules de Taylor, consistant en l'approximation d'une fonction par polynômes, représente la notion d'infiniment petit dans le temps dans le système complexe infini ou polynomial.

Il existe d’autres règles en plus des règles canoniques sur le plan quantitatif, Page 14

{946927726362924955}.txt outre à l'existence de certaines limites remarquables.

En s'arrêtant au nième terme de la succession, on obtient une approximation par défaut (supérieur) et avec une erreur inférieure à 4 / (n + 1). Cette procédure de calcul approximative du nombre et est trop lent puisque, par exemple, en prenant n = 400, nous avons encore une incertitude à la deuxième décimale. En fait, différentes méthodes sont utilisées pour calculer e.

Dans la logique mathématique, les éléments métaphysiques supposent que les quantités finies sont dénombrables, et i les quantificateurs doivent être appliqués pour former des séries finies.

En logique mathématique, plus de prédicats peuvent être utilisés dans les prédicats contenant plus de variables quantificateurs; il faut donc faire attention à l'ordre dans lequel elles sont appliquées, puisque le résultat de la proposition résultante peut être complètement différent dans différents cas.

Le principe d’induction en mathématiques s’applique aux systèmes ayant des propriétés de sous-ensembles de N et d'autres systèmes complémentaires 6 .

Principe d'induction: Soit P (n) un prédicat concernant le nombre naturel n: si: 1) P (0) est vrai 2) pour chaque entier naturel n: P (0), P (1) ... P (n) vrai -> P (n +) vrai; alors la déclaration P (n) est vraie pour chaque nombre naturel.

Une autre règle importante est que la classe limite d’une séquence est fermée dans R *, c’est-à-dire que le point d'accumulation de la classe limite est également une valeur limite 7 . autre la représentation, cette fois de type géométrique, de Q peut être obtenue en associant à chaque nombre un point de la ligne euclidienne est rationnel. À un moment donné, choisi arbitrairement, il est associé 0 et un autre, distinct du premier, est associé 1, identifiant ainsi le segment commandé 01 qui constitue l'unité de mesure. À ce stade, il existe une correspondance biunivoque entre les numéros rationnel et les points P de la ligne qui sont les extrêmes des segments orientés O P mesurables o commensurable (au sens classique de géométrie élémentaire, c'est-à-dire qu'ils ont un multiple) commun) avec 01. La représentation des nombres naturels implique un alignement, cette l'alignement est appelé périodique limité ou illimité.

L’empirisme et le rationalisme sont des opposés de la théorie de la connaissance, le phénoménologique (que apparaissent) est opposé à ce qui est montré (noumène). Pour ne pas tomber dans la contradiction, nous utilisons à la fois l'empirisme et le rationalisme. Pour une axiomatisation logique de l'antinomie des classes dans les classes bi-ectives, il est nécessaire de démontrer que le paradoxe de la cardinalité de l'ensemble Russell appartient à plusieurs classes, et limité à une classe donnée, mais à un objet externe, et non contradictoire, car un objet peut à la place appartenir simultanément à une classe et à la classe restante. Le problème de Frege et Russell est tellement exposé: "Parce que deux Page 15

{946927726362924955}.txt progressions sont des relations similaires, il s’ensuit que leurs domaines (ou leurs champs, c’est-à-dire identifier avec leurs domaines) sont des classes similaires. Les domaines de progression forment un nombre cardinal, puisque chaque classe semblable au domaine d’une progression est facilement démontrée qui est lui-même le domaine d'une progression. Ce nombre cardinal est le plus petit nombre cardinal infini; est celui auquel Cantor a assigné à Aleph hébreu le suffixe o, pour le distinguer des autres plus grands cardinaux infinis, qui auront d'autres suffixes. Donc le nom du plus petit infini cardinal est N 0 . Dire qu'une classe a N 0 termes est comme dire qu'il est membre de N 0 ce qui revient à dire que les membres du groupe peuvent être placés dans progression. Il est évident qu'une progression reste une progression si on enlève un nombre termes finis ou un terme tous les deux ou tous les termes sauf un tous les cent ou chaque dix. Ces méthodes de coupe progression ne détruisent pas la progression elle-même, pas en diminuant le nombre de termes restant N 0 . En fait, toute sélection faite par un la progression est toujours une progression, bien que largement répandue, s’il n’ya pas dernier trimestre. Prenons par exemple les nombres inductifs de la formule nn, nnn.

Ces chiffres ils deviennent très rares dans la partie supérieure de la série numérique, mais il y en a autant qu'ils sont les nombres inductifs, soit N 0 " 8 . Dans un ensemble consistant ne contenant aucun chat

Cet ensemble ne contient pas de chats, mais a une cardinalité infinie, c'est-à-dire qu'il ne contient pas n éléments t = t¹, t², t³ ... c'est-à-dire qu'il est fini donc il se contient, pour le paradoxe de Russell il ne contient pas si lui-même. Les nombres réels sont des nombres décimaux, ces valeurs peuvent être approximativement infinies quantités astrophysiques. Des exemples de classes non référentielles sont: les systèmes de référence non pouvant être déduite de la méthode analytique comparative, par exemple, dans un triangle rectangle, l'hypoténuse est la logiquement, l'équation du rapport fini est le rapport final, mais est le rapport infini des nombres, à savoir 5x2x3; 5x 2 2x3²; 5x2 3x3³; 5xx qui donnent tous le résultat de l'hypoténuse. Autre exemple: les systèmes continuons, la puissance des ordinateurs est démontrée par ces systèmes continus.

I = c² / Données: 80; H²: 60 I: 80 / sqrt 80-60 = 17,89 I = 4² + 10 + 54 / sqrt 2² + 5² + 4² + 35-7²-3² +2 I = 4³ + 16 / sqrt 2⁶ + 3² + 9 - 5² + 5² + 2³ + 2 Page 16

{946927726362924955}.txt I = 2³ + 2³ + 4² + 5² + 23 / sqrt 6² + 6² + 8 -5² + 2³ + 4² + 11 Les deux nombres a: 0, 1, 2, 3, 4 b: 2 4 6, pour la négation d'un terme dans la différence complémentaire, il y a une négation entre set et subset. Les nombres cardinaux sont g: 0, 1, 2, 3 et l'ensemble peut être un ensemble de séquences infinies, mais en logique, il s'agit d'éléments finis.

Ce ne sont pas des éléments finis. L'hypothèse du continu démontre l'existence d'ensembles infinis de cardinalité différente, telle que nombres naturels et nombres réels. Russell déclare qu'il ne le fait pas il n'y a pas d'ensemble dont la cardinalité est strictement comprise entre celle des nombres naturels et celle des nombres réels. Les nombres ordinaux sont infinis sont des relations ordinales. L'analyse maintenant en Les nombres ordinaux se concentrent sur la façon de prouver que les nombres naturels sont contradictoires La théorie des ensembles est appliquée aux systèmes de référence "un ensemble peut être contenu dans un autre ". B est un sous-ensemble de a, B appartient à A. Si c’est un système b, il appartient au système, je ne peux donc pas dire en même temps «a est b "et" a n'est pas b "mais c'est un système dans lequel les valeurs peuvent varier. La démonstration absurde c’est un type d’argumentation logique dans laquelle une hypothèse est supposée temporairement, on arrive à un résultat absurde et par conséquent, il est conclu que l'hypothèse initiale doit être incorrecte.

Types de cette preuve est la géométrie non euclidienne niant les postulats euclidiens. Les quatre premiers Les postulats d'Euclide sont évidemment vrais, mais le cinquième fait partie d'un système mathématique prouvable par différents types d'axiomes. Comment l'accomplissement était possible mathématisation de la mécanique par Joseph Lagrange, reformulant les concepts de vitesse, accélération de la force dans les dérivées et les intégrales de fonctions, et la solution analytique de propagation de la chaleur à travers les corps et le vide de Fourier en termes d'équations e fonctions de coordonnées spatiales et temporelles, on ne peut exclure que, dans la science moderne, la capacité de formuler un nouveau langage analytique informatique est possible si on réussit traiter de grandes quantités de données en temps polynomial via un flux mécanique et de données type synthétique et il n’est pas exclu que la métaphysique ait un langage informatique, car il peut y avoir des opérations de type mathématique logique, cet objectif apporte de nouveaux progrès sur plan des théories analytiques et de la méthodologie scientifique, mais aussi de nouveaux problèmes de langage logique. La théorie développée par Cantor peut être démontrée avec des ensembles, et il est impossible sans présupposer un système de nombres transfinis, cardinaux et ordinaux qui sont inclus dans la théorie des ensembles. Cette théorie sert dans les nouvelles technologies à comprendre comment inverser les systèmes, par exemple après la découverte des nanotechnologies, les objectifs technologiques sont celles de la conception de robots virtuels et de systèmes automates capables de réaliser des performances élevées. performance et optimisation au niveau des quantités physiques à travers la manipulation de la matière Page 17

{946927726362924955}.txt au niveau atomique et moléculaire, ce qui a une faisabilité bien inférieure au paradigme technique de développer l'ordinateur et exécuter des programmes et des modèles de calcul électroniques (ordinateurs puces haute performance et calcul quantiques), suivant le développement de la mécanique Quantum. Le paradigme en ce sens est la direction technique de la recherche scientifique, celle des exemple des plus célèbres universités de design technologique. Newton systématise à le niveau mathématique des lois de Kepler sur le mouvement des planètes. Il a généralisé ces lois se rendant compte que les orbites (comme celles des comètes) pourraient être ne sont pas elliptiques mais aussi hyperbolique et parabolique à la lumière des résultats de la théorie de la gravitation universelle, en supposant que le système de mouvement planétaire est un système où le système est négligeable des interactions entre les différentes planètes, ce qui entraîne de légères perturbations sur la forme des orbites, et ils sont basés sur les lois de la révolution autour du soleil ou sur la théorie des modèles en méta-mathématiques.

En d'autres termes, tout est un système et le système peut être conçu pour la technologie et un phase de programmation unique. Nous résumons ici l’impossibilité pour la logique de fonctionner sans se référer à la théorie des systèmes. Dans la théorie du chaos dans les nouvelles théories cosmologiques il existe des contraintes systémiques, car le système est programmé pour réduire le risque d'effets chaotiques.

La possibilité de réduire, au cours de l’analyse, le fonctionnement de phénomènes physiques complexes à l’interaction de systèmes plus simples et inversement, la possibilité de concevoir des systèmes de manière structurée en composant des unités plus simples et en les concevant en synthèse polynomiale. La thèse de Duhem-Quine est un principe cardinal de la logique liée au système déclare: "une expérience de physique ne peut jamais condamner une hypothèse isolée, mais un seul ensemble théorique. Le physicien ne peut jamais soumettre une hypothèse isolée à un contrôle. mais seulement un ensemble d'hypothèses ". Selon la définition d'un système qui est un regroupement d'éléments au sein desquels il existe des interactions telles que la variation de l'état d'un élément finit par changer le statut de chacun des autres éléments, nous rencontrons souvent pour analyser des théories et les développer dans une série d'équations, qui ils peuvent encore être loin des systèmes invariants, alors que les algèbres booléennes sont des structures algébriques permettant la conception de circuits électroniques. La physique de Galilée introduit deux types de relativisme l'interne fait référence au système de référence, c'est-à-dire un système par rapport à laquelle nous effectuons la mesure. celui pour ainsi dire externe est le principe de relativité Galiléen, qui affirme que parmi les systèmes à mouvement rectiligne et uniforme, appelés inertiels, il n'y a pas systèmes de références privilégiées. Cela signifie qu'Einstein a supposé qu'il y avait oui systèmes auxiliaires et systèmes secondaires en mouvement, mais ceux-ci dépendent de la mesure de la quantités physiques. Celle de Galilée est une loi externe car l'invariance tombe quand on considérons la vitesse d'un corps en mouvement dans un système de référence. Le Page 18

{946927726362924955}.txt concept de système de La référence dépend des forces dans un système dynamique. Ce dualisme galiléen est surmonté de la relativité restreinte 9 . qui suppose deux systèmes de solidarité pour démontrer la relativité de simultanéité et états: la description des phénomènes est la même dans les deux systèmes de référence mais le concept de simultanéité n'est défini que par rapport au système de référence choisi.

Par conséquent, dans l’analyse physique, nous pouvons démontrer la description du même phénomène mais émettre une hypothèse. que les forces sur le terrain ont des effets différents. Newton distingue la loi de la gravitation universelle et une certaine théorie sur la cause, ou une explication de la loi, prétendant avoir inféré la loi à partir des données et d’avoir suspendu le jugement quant à la cause, car il n’est pas possible de déduire une rapport de ce qui cause la force de gravité conformément à la loi. Newton prétend que "Hypothèse", les assertions qui ne sont pas déduites de l'observation, n'ont aucune place dans le "Philosophie expérimentale" car ils ne sont que spéculatifs. C’est seulement avec le recul, en regardant rétrospectivement au développement de la mécanique et de l'électrodynamique au cours des siècles, ce qui est possible être certain que ces théories, par exemple les principes fondamentaux de l'optique et thermodynamique, intégrant des généralisations solides et fiables sur le comportement des les choses. De nombreux philosophes ont essayé de résoudre le problème de l'induction en utilisant la théorie mathématiques de probabilité. Les tentatives les plus détaillées et systématiques sont peut-être celles de Rudolf Carnap (1891-1970) et Hans Reichenbach (1891-1953), deux des plus grands philosophes des sciences du vingtième siècle. Tous deux ont essayé d'élaborer une théorie a priori * de la logique inductive à travers lequel le degré de confirmation de chaque hypothèse particulière peut être calculé. Le problème de cette stratégie est qu'il est impossible d'appliquer des résultats techniques de type mathématique à la connaissance du monde sans faire des hypothèses substantielles sur la façon dont il se comporte, et que de telles hypothèses ils ne sont probablement pas justifiés sur une base purement logique et mathématique.

Le sujet des opérations informatiques remet sûrement en cause le problème informations en sortie (en langage machine) et informations dérivant d'un processus d'induction au sens explicite du terme induction. Le problème de Hume dans la recherche sur l’intellect humain (1748), démontrant que également au moyen de mathématiques (au moyen d'exemples tels que la somme des angles d'un triangle égal à 180 °) qu'il existe deux types de propositions, celles concernant les relations entre les idées et celles concernant les questions de fait. L’information est aussi le résultat d’une problème d'induction. Cette information est générée à partir d’une série de propositions (série). Divers arguments ont été avancés lors de la présentation et nous en discuterons ici en supposant que l'induction n'est pas un processus qui peut affecter la machine artificielle, mais il y a des inductions générales ou particulières, qui font partie du processus Page 19

{946927726362924955}.txt d'information et ces inductions sont traduites en expressions particulières du processus d'information. la les systèmes informatiques sont des systèmes basés sur l’induction, il existe en tout cas un type d’information mécanique mais doit être soigneusement distingué du problème de l'induction.

• L'induction est rationnelle par définition.

En ce sens, les systèmes mécaniques sont des systèmes physiques, mais les systèmes d’information sont systèmes basés sur l’induction, et donc l’informatique qui y est intégrée est rationnelle parce que déductivement valide.

• Hume exige une défense déductive de l'induction, ce qui est déraisonnable.

Hume nécessite une défense déductive de l'induction pour certains philosophes, il peut sembler injustifiée, mais en fait, l'induction peut nous dire si cette information est vraie ou faux. L'induction est rationnelle par définition. Cette définition à son tour impliquerait de résoudre le problème de l'induction, s'il n'était pas généré informations. Les systèmes informatiques sont des systèmes basés sur l'induction.

• L'induction est justifiée par la théorie des probabilités.

Cette hypothèse implique des métadonnées en plus des informations que nous utilisons en venant à le problème de la numérotation et des opérations limites doit être établi. Une langue machine est déterministe en ce qui concerne les chiffres et partiellement déterministe pour tous les autres.

• L'induction est justifiée par un principe d'induction ou d'uniformité de la nature.

• L'argument de Hume est trop général. Puisqu'il ne fait référence à rien spécifique à nos pratiques inductives, elle ne peut être basée que sur le fait que l'induction n'est pas déduction.

Toute généralisation sur le sujet de Hume nous ramène au problème de l'inférence de données e comment il est possible de générer un ensemble d’instructions sur une machine: la complexité de la le raisonnement peut nous conduire à différents types d'induction, et pour cela nous devons établir un code, à la fois pour que l'ordinateur continue à exécuter les modèles d'entrée et pour les opérations à supprimer données surestimées sur l'inférence de données. Cette complexité du raisonnement inductif est basée sur l'analyse logique.

• L’induction n’est rien de plus qu’une sorte d’inférence à la meilleure explication, et c’est justifiée.

Si les données de probabilité existent, un type d'inférence est un type de valeur de sortie, alors il sera nécessaire pour établir un ordre.

• Il existe des liens vraiment nécessaires que nous pouvons découvrir.

L'architecture de nombreux systèmes repose sur ce principe.

• Après tout, l’induction peut être justifiée par induction, car même le la déduction ne peut être justifiée que de manière circulaire (c.-à-d. par déduction).

Ce n'est rien d'autre qu'une représentation justifiée par induction.

• Retiré des connaissances probables.

Tous les A sont des B, c'est un système complexe par définition lorsque les entrées varient pour retourner un modèle de sortie. Tous les A de B signifie que le modèle est implicite, ou qu'en inversant x et y ne change pas nécessairement le degré de substitution dans un programme de mémoire.

• Accorder que l’induction est injustifiée et offrir un compte rendu des Page 20

{946927726362924955}.txt connaissances, en particulier du scientifique, qui se passe de l'inférence inductive.

Le modèle d'entrée prévaut, toutes les inférences inductives sont l'induction d'une science particulière et offre donc un compte de la connaissance. Toutes les opérations effectuées par un processeur doivent être inclus ou exclus dans la conception d'un nouveau processeur basé sur le modèle d'entrée, L’induction est basée sur une utilisation particulière d’élaborations ultérieures, en ce sens que le prévaut sur la réduction des données.

La circularité a également été discutée. Toutes les fonctions de l’ALU sont circulaires, car elles consistent en circuits qui effectuent des opérations. L’architecture de von Neumann est particulièrement pertinente. dont l'ALU est valide de manière déductive: tous les A sont B. B. RISC (jeu d'instructions réduites) Les ordinateurs) sont des modèles de machines, ils représentent des données induites pour de très petits objets e très grandes, sont des inductions pertinentes pour l'espace, sont des inductions avec la possibilité d'erreurs. Je CISC (Complex Instruction Set Computer) sont comme des modèles RISC de machines représentées induction verticale des données, les inductions sont-elles pertinentes pour le nombre d'instructions, les inductions sont-elles une nature probabiliste seulement 10 .

L'instabilité du système semble dépendre du processus de réorganisation des connaissances.

Des exemples sont les modèles de validation des théories, les stratégies de falsification, de corroboration et révision d'hypothèses relativistes. La dynamique semble jouer un rôle important dans l'étude des systèmes complexes. L’analyse en logique mathématique est un autre script qui contient le chevauchements dans l'analyse expérimentale, donc une théorie aussi en logique mathématique doit avoir une hypothèse physique. Popper suppose que les méthodes de validation sont des scripts valides pour corroboration scientifique, par exemple des expériences d’idéalisation de la Compton-Simon et Bothe-Geiger 11 , et donc grâce au mécanisme de script pour l'automatisation de l'information, nous pouvons analyser les théories fondamentales telles que les interprétations statistiques, surtout grâce aux "rapports statistiques de dispersion" 12 , en plus de la théorie formelle de la probabilité qui élargit le mécanisme des scripts à travers les matrices conduisant à diviser la espaces pour les valeurs absolues 13 . Le terme est déjà connu avec Marvin L. Minsky, un informaticien et un scientifique américain spécialisé dans le domaine de l'intelligence artificielle (IA).

Il est nécessaire, à ce stade, de souligner qu’un substantalisme "pur" dans cette méthodologie qui suit le phénoménalisme des données "sensibles" présentes à Kant risque de produire une vision phénoménal du point de vue des micro-processus, alors que cela a commencé avec Spinoza (e L’empirisme anglais) est substantiel en ce qui concerne sa capacité à produire des Page 21

{946927726362924955}.txt macrosystèmes.

On ne sait donc pas si la philosophie de la physique part de systèmes déterministes pour arriver à des systèmes indéterministe, dans la pratique, on distingue généralement les deux principalement en raison du concept de grandeur en physique: sachant qu'en physique, il existe des quantités scalaires, vectorielles et tensorielles, nous savons aussi que le concept de grandeur chez Einstein à partir de simples formalismes mathématiques, composant par composant, connue sous le nom de notation d'Einstein, qui conduit au physique à l'introduction du concept corpusculaire de combien de lumière, parce que ensuite ils ont été rendus différents observations en relativité restreinte, que nous énumérons maintenant: • Aucun corps massif ne peut assumer des vitesses égales ou supérieures à c; les transformations de Lorentz pour v ≥ c ne sont pas définis (les valeurs sous la tige deviennent nulles ou négatives). la La valeur NULL n’est pas acceptable, car elle apparaît dans le dénominateur des formules: a le corps peut être accéléré en temps fini seulement à une fraction de la vitesse de la lumière moins de 1. Les corps sans masse matérielle, comme les photons eux-mêmes, voyagent depuis leur propre émission à la vitesse de la lumière. On peut en déduire que tout élément de masse zéro, il se déplacerait à la vitesse de la lumière. Toutes les particules plus rapides que la lumière (appelés tachyons) ne pouvait pas ralentir au-dessous de la vitesse de la lumière.

• La contraction des longueurs ne doit pas être vue comme si le compteur changeait de taille ou comme si l'horloge marquait une heure différente. Les mesures seront en fait différent seulement si effectué par un autre observateur en mouvement relatif: la longueur de la mètre et la durée de la minute est la même pour tous les observateurs. C'est de préciser, en outre, que le rétrécissement de la longueur selon la théorie de la relativité restreint se produit uniquement dans la direction de l'avancement, et est le flux le plus lent de la le temps, à la fois le rétrécissement de l'espace, se produisent simultanément.

• La théorie admet ces effets comme une conséquence de la particularité de c et du mouvement relative et donc comme une conséquence de notre façon de voir les choses. La longueur est la plus grande de toutes les longueurs liées aux points de vue, mais ce n’est pas pour cette raison plus réel que les autres. Ce serait comme constater que nous sommes plus éloignés d’un objet et plus cela nous semble petit: rien ne peut nous dire si l’objet devient vraiment plus petit ou si être un effet de distance. Il n’a donc aucun sens de se demander s’il s’agit d’un phénomène réel ou apparent. Aussi la personne qui a hypothétiquement expérimenté la contraction d'espace, n'aurait pas le sentiment de se sentir restreint, comme son système de la mesure resterait la même puisqu'elle est également impliquée dans la même contraction (Il son mètre aurait toujours une longueur de 1 mètre, le même centimètre, etc.)

• Les transformations de Lorenz traitent le temps comme toute coordonnée l'espace; puisqu'un événement peut toujours être identifié par sa position dans la l’espace et le long de l’axe temporel, le formalisme relativiste peut être formulé en un seul Espace à 4 dimensions (espace-temps) de Minkowsky, dans lequel les 3 premières Page 22

{946927726362924955}.txt coordonnées coïncide avec les coordonnées spatiales normales et 4 est représenté par le temps.

Un événement est donc identifié par les 4 nombres (r, ct) = (x, y, z, ct). En général, dans la théorie de la relativité d'avoir une valeur absolue ne sont pas les mesures de distances dans l'espace ou i intervalles de temps, combien de séparation (distance pseudo-euclidienne) entre les événements (points espace-temps à quatre dimensions) Les transformations de Lorentz sont les transformations linéaires reliant différents systèmes de coordonnées spatiales temporel laissant la séparation espace-temps entre chaque paire d'événements inchangée.

Evidemment, nous semblons contredire le premier et assumer les transformations de Lorenz a priori, tandis que pour les longueurs nous prenons le premier, le deuxième et le troisième, en raison de la théorie dérivations du concept d’espace en électrodynamique classique largement utilisées, cependant, introduisons le concept de QED nous parlons d'électromagnétisme et de commutation beaucoup plus restreint.

Le concept de commutation est similaire au modèle des séquences aléatoires, dont elles sont contenues séquences courtes pour une séquence périodique par rapport à une longueur avec une période génératrice 14 .

Dans l’analyse spatiale, les indices de rapport indiquent qu’ils apparaissent en temps polynomial. processus qui n'impliquent pas, pour les données de taille N, plus de C x opérations fondamentales, correspondance des constantes C et k. Dans un système, la validité des indices de ratio est différente classes: dans le premier cas, il s’agit de configurations typiques et donc d’un problème informatique, en Dans ce cas, nous voulons trouver des données de taille égale à C x, dans le second cas, oui. c’est un problème algorithmique, il s’agit d’établir, dans le troisième cas, les opérations fondamentales ils sont pour C et k. Pour passer aux éléments de calcul, vous devez valider le système, définir le calcul en tant que calcul de la taille totale, résolution d'un problème NP dans le temps polynôme 15 . Le problème mathématique de la détermination d’une opération en fonction d’indices de rapport qui donne l'exhaustivité au problème NP montre qu'il est plus facile de prendre plus de directions court dans le calcul des problèmes de NP en temps polynomial. La classe P peut alors prendre des dimensions de C x plus élevé que prévu, lequel problème est lié à la vérification de P = NP. à démontrant qu'il suffira de résoudre en mécanique solide des processus exécutés simultanément. la Les ordinateurs programmables effectuent différents types de calculs. Chaque calcul est un C pour chaque dynamique ayant une limite de fonction. Le nombre de passages selon La taille des données est une ligne droite. Il est donc extrêmement nécessaire d’établir comment procéder dimension, nous ajoutons une dimension supérieure pour la décrire, un problème typique de la Page 23

{946927726362924955}.txt mécanique solide. Cette complexité du système tourne autour du concept d'espace en physique moderne 16 .

Si N = Z et Z = Q, pour les sections de Dedekind f: N z; f: Z Q [la fonction inverse f (x) = y (N); fa (x) = y (Z)] si a <b on dit que a = + p. et b = + q. pour p <q, m> 1, alors a peut être supérieur de 1. Donc a> 0 si a est négatif, p. , -a = p. supposons. C’est seulement l’un des cas dans lequel, étant m <k <1 et m> 1 a est différent de Z. Si alors a est un ensemble différent de Z. En logique mathématique ce calcul implique la différenciation de P différent de Q, ou P Q, est donc un démonstration du fait que P peut être prouvé si P est vrai ou faux, si P est prouvable non il y a une démonstration de P dans les deux cas précédents. L'asymétrie entre les deux implications est évident: P Q pour chaque y. Dans le calcul formel et logique, la proposition f (x) = 1 + y peut exister, et nous partons de ce cas pour décrire un taux de compression, qui mesure le degré de réduction de l'espace mémoire occupé. Une paire de valeurs (v, n) indique que la valeur v est répliqué n fois. Dans le taux de compression, la taille des données non compressées est divisée par la taille des données compressées, cela signifie qu'il n'y a qu'un seul p q. Cela montre que c'est l'implication des données de numération dans la logique mathématique est évidente si nous fixons Q q et P p ..

Cela affecte évidemment les longueurs, et si nous avons des longueurs en logique mathématique étendues, ce ne sont pas des longueurs fixes, mais des variables pour chaque y dans la numérotation, ce qui se produit dans des structures avec des mondes possibles dans la logique modale propositionnelle 17 . Pour l'exactitude du système la configuration système requise est requise (en particulier que K partage le calcul propositionnel) classique) et pour l’exactitude et la correspondance des systèmes principaux doivent être indiquées entrée pour chaque classe symétrique. La logique modale propositionnelle n'utilise pas l'algorithme pour évaluer p basé sur l'exhaustivité ou la correspondance donnée un système modal mais basé aux systèmes modaux qui introduisent cette numérotation. Pour mieux comprendre, voir les rapports d'inclusion 18 . La complexité de calcul de ce type de logique modale propositionnelle est donné ni par de nouveaux connecteurs ni par de nouvelles grammaires, mais par une stationnarité ou une réalité du formes propositionnelles existantes 19 .

En ce qui concerne les statistiques, la formule de Bayes est beaucoup plus proche de ce résultat attendue par la plupart des physiciens, c’est la probabilité avec les approximations minimales du résultat attendu.

Concernant la divisibilité dans l’espace, il ne s’agit pas de déterminer si les entités sont divisibles à l'infini dans l'espace parce que nous savons que la plus petite partie de la Page 24

{946927726362924955}.txt matière est l'atome, qui il appartient à la sphère de la relation d'implication de l'espace avec le monde corpusculaire, alors que l'aspect ondulant implique l'aspect de la proportion entre les ondes et la longueur d'onde. il en proportion, cela signifie que la mécanique ondulatoire admet la condition de dépendance du variable x. L'aspect de la relation d'implication a été étudié par Russell dans l'introduction à la philosophie mathématique 20 en ce qui concerne la "déductibilité formelle" logique qui est une sorte de raisonnement "mécanique" ou "syntaxique" du processus déductif, Russell ajoute que ce raisonnement se produit conjointement avec le mode assertoires de la fonction propositionnelle, le processus déductif fait donc partie de la philosophie mathématiques et génère entre les mathématiques et la logique toutes les déclarations possibles ou vérités géométriques de dont nous parlons dans le cas des généralisations, des dimensions, des fonctions propositionnelles. Ils l'aiment ils sont étroitement liés les uns aux autres par la notion d'espace d'une courbe ou d'une surface, et donc il s’agit d’établir comment définir certaines classes propositionnelles appartenant a priori à une dimension, donc aux mathématiques. Tout cela amène la logique mathématique dans la sphère de physique et ce qui le distingue des mathématiques est la méthode d'induction. Cela fait une distinction aussi entre déterminisme et indéterminisme. Il y a donc des fonctions directement générées des mathématiques. Du point de vue technique, l’aspect de la déduction logique nous amène à interpréter la mécanique quantique du point de vue d’un seul opérateur afin de déterminer la probabilité de trouver la particule en un point r, et le basculement autorisé admet des fonctions générés directement par les mathématiques et, plus important encore, par déduction.

Le rapport de donc basculer, c'est [Q, P] = ih C'est déductivement un lien avec la théorie des ondes, pour le même raisonnement que il existe des classes de n termes, où n est un entier quelconque, fini; ou même, qui existent classes de termes. Si x est c dans f (x), nous avons tous les états possibles de x et c, donc x = x + 1 + c.

Dans la déduction classique, nous partons des deux possibilités et de la fonction mathématiques avec un seul opérateur à la fois avec les deux opérateurs, de ce point on peut déduire L'exposition de Russell de l'axiome de l'infini dans l'introduction à la philosophie mathématique 21 .

Nous supposons donc différentes valeurs, surtout des relations binaires pour le concept de symétrie. en Dans les deux cas, le nombre fini est prouvable car il exclut le terme d'indécision de -a.

Ainsi, l’infini dans la théorie de Cantor montre parfaitement que les relations mathématiques dans le espace par rapport aux ensembles dénombrables par rapport à <a <ε¹ sont des fonctions étroitement liées à la notion de limite. Comme dit Cantor, il n'y a pas de points intermédiaires ni de niveaux d'infini. cette l'argument est exposé par Russell dans la fonction m / n dans l'introduction à la Page 25

{946927726362924955}.txt philosophie mathématiques 22.

Parmi les propositions indécidables, les propositions classiques, les énumérations et les probabilités nous supposons comme vrais ceux qui ont des valeurs positives et comme faux ceux qui contiennent un régression en tant que x déterminant de y dans la fonction f (x) = 0 ou dans le décollage. En cours de ingénierie des connaissances mais nous devons considérer une forme de réductionnisme ou indétermination dans la transition d'un système à un microsystème (transaction). la Les pièces mécaniques contiennent des instructions complémentaires pour la finalisation du système dans la mise en œuvre physique et l'hybridation. Faire l'analogie avec un ordinateur, parlons-en du langage d'assemblage et du pseudocode Puisqu'il y a une fonction de programmation, il existe également une fonction de spécialisation, également dans l’étude des propriétés qualitatives, telles que la nombre de chefs d'accusation 23 et a conduit de nombreux chercheurs à parler d'unités composites en physique.

Dans le calcul différentiel, il est indiqué qu'il existe des relations en série et qu'il existe des termes qui ils font partie des nombres ou des ensembles de nombres rationnels dans le nouveau type de langage appelé assemblage (assemblage), ou en logique mathématique. Le problème est: si nous définissons ces représentations de nombres comme internes, qui est une propriété caractéristique de langage d'assemblage 24 . L’étude des séquences, déjà reprise par Cantor et Dedekind en ce qui concerne la manière dont les classes contiennent des nombres non ordinaux dans la classe i entiers, pour x-1, x¹, x² et différentes valeurs de n, faisant partie de la classification de la série à le concept de limite, définissant certaines propriétés. Dans les limites du calcul du domaine inverse, dans l’axiome multiplicatif, supposons qu’il existe des classes qui ne sont pas démontrables ou partiellement démontrable, nous devons garder à l’esprit que, pour la continuité cantorienne, nous distinguons sur la base des formules de première ou deuxième classe ou de disjonction, et donc sur la base de propres relations dans leurs sous-domaines. Pour cela, il faut considérer la série de nombres ordinaux comme dans le cas d'une progression géométrique 25 en tant que classes inclusives, puis le la démonstration que les fractions de la forme 1-1 / 2n pour différentes valeurs de n apparaissent comme nombres transfinis. Cependant, il existe des exceptions à l'ordre des facteurs dans l'axiome multiplicatif 26 qui permettent l’application d’équations différentielles ou la continuité de série pour créer des séries géométriques. Il existe des systèmes isolés qui reproduisent les comportement d'une machine, en supposant que la bande de Turing contienne des nombres ou des séries calculable 27 Page 26

{946927726362924955}.txt . C’est exclusivement un aspect interne de l’identification et classement. Le chemin qui est effectué est parfaitement une séquence calculable 28 .

L'information peut être considérée comme complète si la série effectue un cycle machine comme dans la description standard 29 , dans d’autres cas, il peut être déterminé par le fait que Les classes assignées contiennent des réductions mathématiques, que nous résolvons en analysant dans R et dans logique pour la démontrabilité de A à partir d'un système qui a les mêmes propriétés, à travers le calcul de processus entiers 30 . "Il est à noter que dans les deux exemples de Turing ce que la machine produit n’est pas un nombre calculable, mais une séquence calculable. De nombreuses notes de bas de page relatives à la machine de Turing donnent des exemples similaires [..] liés à machines qui appliquent un algorithme à un ensemble particulier de valeurs [..]. Au contraire, le Les machines Turing durent éternellement, chacune imprimant une séquence infinie de nombres plein 31 . Les deux types sont bien adaptés à la définition donnée par Stephen Kleene de l’algorithme, compris comme "une procédure décrite de manière finie, suffisante pour nous guider dans la réponse aux un nombre infini de questions, au moyen d'un nombre fini d'étapes dans le cas de chaque question ». Cependant, le premier type ne fournit qu’une des réponses infinies, tandis que le second il leur donne tout. Ainsi, dans le cas du deuxième exemple de Turing [la séquence générée par le deuxième La machine de Turing est une suite de nombres naturels qui supposent des nombres aléatoires appartenant à la classe de x], chaque réponse générée par la machine - 1, 3, 7, 15 etc. - convient définition de "nombre calculable", tandis que les nombres pris dans leur ensemble s’adaptent aux définition de "séquence infinie calculable". Changez la configuration de la machine en pour qu’il donne une réponse précise, puis qu’il s’arrête, est une chose simple et ne crée aucun différence substantielle par rapport à la thèse de Turing. Dans un sens relatif, ces machines sont les deux élémentaires. En fait, l’une des idées principales de Turing est que pour chaque procédure algorithmique, peu importe sa complexité, il existe une machine dont la table des le comportement aura une incidence sur cet algorithme. Chacune de ces machines serait définie en fonction comportementale, dont la complexité dépend de la difficulté de l’algorithme à résoudre. question ». La haute organisation niveau d'une machine de Turing prend en compte ces sauts étudiés dans des techniques d'analyse telles que la sémantique et la génération de code e optimisation du code. Toutes les machines que nous avons considérées, ad sauf les derniers, ils ne sont pas circulaires. Le premier de ceux-ci - celui conçu pour ajouter deux nombres entre eux - reçoit une entrée et s'arrête lorsqu'il atteint la réponse; les deux voitures de dont Turing fournit un exemple générer des séquences calculables. [..] Pour Page 27

{946927726362924955}.txt expliquer le Comportement U, Turing commence par assumer une troisième machine MP ", qu'il écrira dans les cases F de la bande, les configurations complètes suivantes de M ". En pratique, il est établi que oui peut "incorporer" dans les machines de Turing tous les algorithmes possibles pour calculer fonctions théorico-numériques (thèse de Turing), mais dans la pratique, certaines sont manquantes ou non nous avons les éléments nécessaires pour en vérifier la démonstration 32 . Généralement, du type a dans Séquence de code que nous considérons comme des langues intégrées, qui n'ont rien à voir avec ces machines, mais elles jouent cependant un rôle important dans l'optimisation locale. La réduction de la la complexité (réduction de la force) est une phase importante du code exclusivement destinée au opérations avec lesquelles le code optimisé et x + x * 2 d'instructions de haut niveau réduisent le STORE uniquement pour le code optimisé pour x = y + z. Jusqu'ici, il s'agit d'une opération linéaire, si dans le code optimisé LOAD Y est x = y ce sera également z = x donc I = i + i; continuer à vérifier les opérations intermédiaires et si x = y est comme si nous devions dire x = 1 + 1.

X: DATA; Y: DATE; Z: DATA est utilisé pour analyser des séquences de code volumineuses mais le compilateur va au-delà normalisation des langages, les liaisons linéaires de type espr AND expr OU expr ou expr AND expr ... et une compilation basée sur la langue, le FORTRAN en 1957 exigeait un engagement d’environ 18 ans pour la conception, le codage et les tests. Le compilateur commence de la thèse de Church-Turing à décoder et interpréter ou diviser en deux parties de manière à obtenir une séquence de code. La définition de l'algorithme reste évidemment la même lui-même, mais des problèmes non calculables ou insolubles sont générés en ce qui concerne la "position": S * il peut être calculé selon Turing mais pas pour T *. Cela signifie que des problèmes existent qui s'arrête exactement à un point de P ou pourrait être dans un état de S * ou S * bt quand P n'a pas la capacité de mettre en œuvre lui-même la bande ou d'occuper des positions très similaires de type OUI et NON à l’approche de S *. Donc ça ne s'arrête pas exactement quand T s'arrête jamais sur t. La machine Q génère x, y et z pour chaque 1 mais on appelle cela le "problème décision ». Ainsi, ceux-ci représentent des représentations externes dans le complexe de langages ils sont mis ensemble. L’analyse par algorithmes a une durabilité valable en logique car elle permet de opérer via un script sur des structures de données. Il existe différents types d'algorithmes. De nombreux algorithmes de base ont été analysés par exemple dans Popper dans la logique de la découverte scientifique, etc. effectuer quelques mesures en ce qui concerne la taille, ou sur la base d’un petit nombre de grandeurs caractéristiques du statut du système. Les algorithmes dans Popper sont démontrés pour les dérivations dans la théorie formelle de la probabilité (Annexe * V) 33 , prototypes dans Popper sur Page 28

{946927726362924955}.txt nombre de dimensions d'un ensemble de courbes 34 , exemples de compilation dans Popper dans la théorie probabilité formelle 35 et base de données dans Popper à probabilité nulle et microstructure de probabilité et contenu (Annexe * VII) 36 , les échelles de régression dans Popper dans la méthode de construction modèles de séquence aléatoire (Annexe IV) 37 .

II.

La mécanique quantique et la mécanique relativiste supposent aujourd’hui des études approfondies de la systèmes de quantification en relation avec la nature des observations et des constantes quantitatives, en plus du réintégration et du handicap. La mécanique quantique et la mécanique relativiste sont fait donc partie de la philosophie mécanique qui néglige les notions finalistes, à travers les significations de l’équilibre et la stationnarité, et les axiomes de choix traités en logique quantique. la processus donc dans le microscopique et dans le macroscopique peut assumer des effets dérivés en termes de processus 38 La théorie factorielle est une relation mathématique démontrée dans des relations basées sur données de série a priori de la série ou en conséquence. Étant donné x = 2 et 2 x ce sont des nombres rationnel, en supposant que la multiplication est un facteur complémentaire de l'hypothèse x = 2. mais cette hypothèse est également traitée en logique formelle. X = 2 + 2 + 4x est une annonce système de second degré une inconnue, et c’est une équation à atteindre si xy et y = 0. En effet en induction nous avons des systèmes métathoriques, comme démontré dans les théories de Newton, Hume et Spinoza.

Popper déclare: «Prenez, par exemple, la mécanique newtonienne classique. Ça n'a jamais existé une théorie plus réussie. Si des succès répétés dans les observations pouvaient confirmer une la théorie, alors la théorie de Newton aurait confirmé. Mais la théorie de Newton a été remplacée dans le domaine astronomique de celui d'Einstein et dans le domaine atomique de la théorie quantique. Et presque tous les physiciens croient que la mécanique newtonienne classique est maintenant une conjecture merveilleux, une hypothèse étrangement réussie, et une approximation étonnante bon de la vérité. Je peux maintenant formuler ma thèse centrale, qui est la suivante. Une fois là nous réalisons pleinement les implications du caractère conjectural de la connaissance humain, le problème de l'induction change complètement de caractère: il n'est plus nécessaire de être contrarié par les résultats négatifs de Hume, puisqu'il n'est plus nécessaire d'attribuer à la connaissance humaine une validité qui découle d'observations répétées. La Page 29

{946927726362924955}.txt connaissance humaine ne possède ce genre de validité. D'autre part, nous pouvons expliquer tous nos résultats en termes de la méthode de test et d'élimination des erreurs [...]. Le plus gros obstacle à l'acceptation nature conjecturale de la connaissance humaine, et en acceptant qu’elle contienne la solution à problème d’induction, consiste en une théorie que l’on peut appeler la théorie de connaissance humaine du sens commun ou théorie de l'esprit humain en tant que conteneur ». maintenant, x est un facteur complémentaire et x peuvent être différents de 0. Si x = 2, alors aussi y est égal à 2. Nous pouvons parler aussi en termes méthodologiques dans l'interprétation possible de la proposition, sur la base à la nature du système dont nous parlons. Par exemple, le problème posé par Popper, concernant les formules d'incertitude de Heisenberg est de savoir si la variation du principe consiste en des éléments plus décisifs. Il peut être résolu en première analyse à la fois par la formule mathématique et par dans la formule analytique.

L'inégalité de Kraft-McMillan est une relation mathématique démontrée dans les relations basé sur les données en série a priori de la série ou en conséquence. Étant donné x = 2 et 2 ≠ x c'est nombres rationnels, en supposant que la multiplication est un facteur complémentaire de l'hypothèse x = 2.

Mais cette hypothèse est également traitée en logique formelle. X = 2 + 2 + 4x est un second système degré à une inconnue, et c’est une équation à atteindre si x ≠ y et y = 0. En effet dans induction, nous avons des systèmes métathoriques, comme le démontrent les théories de Newton, Hume et di Spinoza. Popper déclare: «Prenez, par exemple, la mécanique newtonienne classique.

Il n'est jamais une théorie plus réussie existait. Si des succès répétés dans les observations pouvaient confirmer une théorie, ils auraient alors confirmé la théorie de Newton. Mais la théorie de Newton a été remplacé dans le domaine astronomique par celui d’Einstein et dans le domaine atomique par la théorie de combien. Et presque tous les physiciens pensent que la mécanique newtonienne classique n’est plus qu’un merveilleuse conjecture, une hypothèse étrangement réussie et une approximation étonnamment bon de la vérité. Je peux maintenant formuler ma thèse centrale, qui est la suivante. un une fois que nous réalisons pleinement les implications du caractère conjectural du connaissances humaines, le problème de l'induction change complètement de caractère: il n'y a pas plus besoin d'être contrarié par les résultats négatifs de Hume, car il n'y a plus besoin de attribuer à la connaissance humaine une validité découlant d'observations répétées.

La connaissance l'humain ne possède pas ce genre de validité. Par contre, on peut expliquer tous nos résultats en termes de méthode de test et d'élimination des erreurs. [...]. La principale barrière en acceptant le caractère conjectural de la connaissance humaine et en acceptant qu'il contient la solution au problème de l'induction, consiste en une théorie que l'on peut appeler la théorie de la connaissance humaine du sens commun, ou la théorie de l'esprit humain en tant que récipient ». Maintenant, x est un facteur complémentaire et x peut être différent de Page 30

{946927726362924955}.txt 0. Si x = 2, alors aussi y est égal à 2. On peut aussi parler en termes méthodologiques de l'interprétation possible de la proposition, basée sur la nature du système dont nous parlons. Par exemple, en fait, le Le problème posé par Popper concernant les formules d’incertitude de Heisenberg est de savoir si La variation du principe consiste en plusieurs éléments déterminants. Il peut être résolu en premier analyse à la fois dans la formule mathématique et dans la formule analytique. Le développement moderne de la philosophie semble contredire l’hypothèse critique de Kant sur l’impossibilité de la métaphysique en tant que science. la philosophie du 800 prenant en compte les postulats géométriques et mathématiques, à partir de le conventionnalisme, en plus des théories de la cognition, à partir de Hegel, démontre les changements mutations de la structure centrale des théories philosophiques, et donc de la métaphysique en tant que science est démontré dans plusieurs directions. En ce sens, il correspond parfaitement à la définition Le kantien en tant que science des concepts purs, qui peut être révisé à la lumière des processus analytiques. la Le principe critique kantien devient également une méthode scientifique d'étude des lois logiques mathématiques et marque l'abandon de la métaphysique de la transcendance. Ce réglage La critique a permis la restructuration des structures logico-mathématiques et l'abandon de la le réductionnisme, ou les mathématiques, ou même la dialectique, et donc du principe Aristotélicienne. On peut donc affirmer que le processus analytique peut être généralisé et en bases statistiques, il y a le présupposé de transformations informatiques pour les processus mathématiques 39 . en termes d’analyse, il n’existe donc pas de connaissance absolue en ce sens que la déclaration "un" est valable si x est différent de b.

Le continuum en physique admet que des formes spatiales et des formes spatiales relatives existent dans l'espace. absolu, c’est-à-dire qu’il existe des variables relatives continues en un point r.

Par exemple les champs champs magnétiques sans contredire l'identité entre la masse gravitationnelle e masse d'inertie, où la masse d'inertie est l'endroit où la géométrie euclidienne plate est annulée. Comme il dit Einstein il est possible d'imaginer un espace sphérique 40 car dans la zone de la sphère, il est possible de mesurer un cercle à travers une géométrie plane afin que nous puissions déduire la longueur d'un arc d'une lentille gravitationnelle 41 .

La plaque circulaire k 'dont parle Einstein 42 c'est un domaine similaire à celui de Maxwell. la disco est un champ magnétique sur lequel agit une force transmise par le corps k au repos à corps k ’dans l’espace. Maintenant, un disque est une vague généralisation, considérons simplement k 'comme corps rond tournant autour de son propre axe, mais en même temps il peut sentir le corps "Au repos". La mécanique classique a un système de référence stable car elle Page 31

{946927726362924955}.txt considère seulement i valeurs des corps en mouvement, la loi universelle de Newton prend en compte la gravité phénomène lié à la force exercée par les corps: cette relation est valable pour mécanique classique mais cela ne suffit pas pour la mécanique céleste, surtout à la lumière du fait cette mécanique quantique parle de valeurs infinies, de densité, de forces et de particules. À cela point le doute se pose sur la constante universelle de la gravitation, si la vitesse de la lumière se propage dans le vide, mais sur la base de la relativité générale, cela doit toujours dépendre des coordonnées, quand un champ gravitationnel est présent, il doit exister des positions dans lesquelles il est identique manière. Formule de Cavendish 6,67x / kg² soulève de nombreux doutes: elle ne dépend pas du milieu dans lequel se produit le phénomène ni de la nature du phénomène. les corps qui y participent. Cependant, le champ gravitationnel est conservateur dans le sens où il a des propriétés de continuité (continuum gravitationnel) et permet ainsi une fonction potentielle Gm² = U / R. À partir de Newton, la grande variabilité des phénomènes cosmologiques a été découverte. Donc, Newton se réfère à l'état de calme d'un corps quand il se réfère à la constante absolue de mouvement du corps, qui n'est pas proportionnel à la masse d'inertie dont parle Newton.

La constante relative est celle qui est directement liée au sens capturé par l'observateur. Ils sont constants absolu le système de coordonnées altazimutales et l’écliptique céleste équatoriale horaire et équatoriale.

Tous les autres systèmes de coordonnées externes à l'observateur sont des constantes absolues. En effet ces ils sont proportionnels à la masse inertielle pour laquelle on parle de mouvement local et de mouvement absolue. La mécanique absolument classique parle de mouvement local et de mécanique céleste du mouvement absolu. La géométrie euclidienne parle stricto sensu du mouvement local, car pour aller au-delà de la géométrie euclidienne, nous devons considérer que les trois lois de Le mouvement de Descartes, prolongement de la géométrie classique qui concerne également le monde microscopique de la physique quantique 43 . Comme le dit C. Glymour dans le domaine de la statistique «ci ils peuvent être des relations de cause à effet réciproques entre les variables "et la statistique dit que les ensembles de données peut contenir des centaines, voire des milliers de variables et des ensembles de données constituent un exemple représentant ou univers d'échantillonnage d'une réalité causale.

Le principe d'un système représentatif (W) <[Y]> (ZDIE)> U équivalent à l'univers des échantillons en tant que réalité représentative de l'universel. nous pouvons représenter à travers un modèle cyclique

toilette Za Xb km Cela a des conséquences importantes: 1. Si une théorie est falsifiée, un système en dérive et une théorie à une Page 32

{946927726362924955}.txt présupposition "e" 2. chaque échantillon contient une négation de lui-même: cela se produit à partir des formules représentant (du principe classique de la contradiction aristotélicienne) des dépendances causales Zi = zi + adiiXi Xi = Biyi ciwi + + * EXI Les égalités dans le cas sont ai = thèse ou lieu intentionnel et xi = antithèse ou lieu épistémique. Ce principe satisfait à la condition de Markov, à savoir que le système est causalement assez pour un échantillon de variables? Est-ce lui-même une distribution de probabilité? sol implique graphiquement des relations de causalité directes avec le sommet de l'échantillon V et q une distribution des probabilités sur les sommets dans i générées par une structure causale représentée par G.G et P, la la condition n'est satisfaite que si pour chaque W dans V, W est indépendant de V / (W1∪W2) à partir de W2 44 .

Comme nous le savons, les éléments suivants existent déjà: 1. prémisse intentionnelle; 2. prémisse épistémique; 3. conclusion intentionnelle. Cela peut conduire à: - le problème de la multiplicité, étant donné que les qualités peuvent être primaires et secondaires mais que comme on l'a vu avec Kant sont multiples (catégories) - à la contradiction, la seconde qualité n'est que la négation de la première? et si plus de qualité existe y a-t-il une antinomie? A est la négation de B, B est la négation de C, A est la négation de C et ainsi de suite loin, cela remet en question le rationalisme. Quant à la philosophie de Popper, pour le corroboration, poids des tests et contrôles statistiques, il est indiqué que le degré de corroboration ce n’est pas une "probabilité", c’est-à-dire qu’il ne s’agit pas d’une des interprétations possibles du calcul de la probabilité. (2) P (x) = 1 / δ = 1 / σ = 1/0; P (y) = 06/05 = 1/2 = 01/02; P (z) = 1/2 = 1; P (y) = p (z) si p (x) = 1/2; Et si p (y) = 2; Si y = 2/3; 6/5 + 4/6 = p (x) = p (y); ½ + 6/2 = p (z); P (z) = p (y) si p (x) <1; P (x) ≤ p (y) P (y) ≥p (z); P (x, z)> px si p (y, z) = 1/2; P (y) si p (x, z) <p (y) = <p (y, z); Si p (x, z)> p (y) => p (x, y); Co (x, z) = co (x, y); Co (y, z) <p (y, z) = 6/5; Co (y, z)> p (y, z) = 2/3; 5/6 + 2/3 = 5/3 (exactement la moitié).

(3) La formule décrite par Popper sur la probabilité de confirmer y n’est pas contradictoire, en fait • la formule 1) est une hypothèse • l'hypothèse selon laquelle toute affirmation de la forme suivante est contradictoire n'est pas date • comme l'indique Popper, x a la propriété P (par exemple, la propriété "hot") et y n'a pas propriété P en degré supérieur à x (par exemple, y plus chaud que x).

2) x a les propriétés de y donc ce n'est pas contradictoire? X a les propriétés p s'il y a des règles inférentielle capable d'assumer y avec la propriété P, si <y (inférieur à y) est supérieur à x, si> y (supérieur à y) est un degré inférieur à y, alors il ne prend pas les règles de Newton.

De l'étude d'une fonction, calculant les extrêmes, le maximum et le minimum d'une fonction Page 33

{946927726362924955}.txt 45

au moyen de dérivées successives afin d’obtenir des preuves de la façon dont f (x) continue à intervalles périodiques. Les développements de Taylor et McLaurin dans ce sens ne sont pas pratiques 46 pour le formation de nouvelles classes, en développant des séries continues ou dérivées tendant vers x En effet, avoir des exponentielles comme (n + 1)! et polynômes en tant que puissances de h [f (n + 1)] dans la formule (4) à la p. 201 la série est développée par h. Dans l'ensemble des nombres cardinaux inductifs traités en logique pour des nombres rationnels, réels et complexes 47 , + m peut donner une fraction, comme –m, mais est statistiquement prévisible. M + peut en fait contenir des nombres rationnels, réels ou complexes, sinon il est exclu qu'il existe des propriétés dans N / M telles que nm = xy, dans l'égalité x = my, comme dérivé que nous pouvons analyser en coordonnées cartésiennes. Le théorème de l'Hospital de la relation entre deux infinitésimaux est ambivalente en ce sens, et donc le théorème de Lagrange pour développer des ensembles de classes tels que mx et y, mais les relations inverses s'appliquent également.

En effet de la relation entre les entiers, si comme je l'ai déjà dit les nombres rationnels, réels ou complexes, dans les entiers positifs et négatifs, ils ne peuvent être mesurés en M + que pour les relations inverses de N / M ou pour chaque N / M = xy, qui entrent dans les relations discrètes qui sous-tendent la physique du calcul tensoriel, nous pouvons dérivent donc des relations mathématiques importantes. Le nombre cardinal inductif m est beaucoup important à cet effet, ainsi que les principales règles de dérivation 48 . Par conséquent, nous retrouvons dans l’importante série d’applications mathématiques, Cantor utilise largement la série continue et des fractions pour dériver un nombre inductif. La mesure des quantités pour N / M ad Par exemple, pour les nombres qui se répètent statistiquement très souvent, cela fait partie des règles de la logique. mathématiques 49 si les fonctions nous permettent de définir un ordre de classes et la même définition de règles, dans le cas de relations de nombre. En termes logiques, l’axiome multiplicatif est développé par Russell de manière similaire aux propriétés des formules mathématiques 50 pour l'ensemble des classes dans R e R + provenant de la formation de classes. "Supposons que a soit une classe ayant m termes, et b une classe avec n termes. supposons que y soit membre de b, et nous fournissons la classe de tous couples ordonnés qui ont y un second mandat et un membre d'un pour le premier mandat. Pour un y étant donné, il y aura m paires similaires, puisqu'un membre d'un peut être choisi comme premier mandat, et un nombre de membres. Si nous fournissons maintenant toutes les classes de ce type variant y, Page 34

{946927726362924955}.txt nous avons n classes en tout, car y peut être n'importe quel membre de b, et b a n membres.

Chacune de ces n classes est une classe de paires, de toutes les paires pouvant être formées avec un membre variable de a et un nombre fixe de b. nous définirons () comme le nombre de sélecteurs de la classe composée de n classes. Nous pourrions aussi définir () comme le nombre de sélections; En fait, étant donné que nos cours en couple s’excluent mutuellement, le nombre de sélections est égal au nombre de sélecteurs. Une sélection de notre classe sera un ensemble de paires ordonnées dont il y aura exactement un avec un membre donné de b pour le second terme, le premier terme étant n'importe quel membre d'un. then () est défini par les sélecteurs de un certain ensemble de n classes, chacune de m termes, le tout ayant toutefois une certaine structure et une composition plus gérable que le cas général " 51 . De l’axiome multiplicatif ils dérivent règles pour développer les termes de n membres, valables pour l'analyse mathématique 52 .

notes 1. Popper, Logique de la découverte scientifique, Le caractère auto-correcteur de la science, Einaudi, 1998, pag. 64-65.

1 "Supposons que p soit la conclusion d'un système d'hypothèses pouvant se composer de théories et de conditions initiales (Par souci de simplicité, je ne ferai pas de distinction entre eux). On peut alors symboliser la relation de dérivabilité (implication analytique) de p à partir de t, avec "t p", qui peut être lu "p découle de t". Supposons que p est false (nous pouvons exprimer cela en écrivant "pas p"). Compte tenu de la relation de déductibilité, t p, et de l’hypothèse «non p ”, nous dérivons f. Si nous notons la conjonction (l’affirmation simultanée) de deux déclarations en plaçant un entre les symboles qui les représentent, nous pouvons également écrire l'inférence falsifiante comme suit: ((t p) pas p) pas t, ou, en mots: "si p peut être dérivé de t et si p est faux, alors aussi t est faux". Par cette méthode de inférence nous falsifions le système entier (à la fois la théorie et les conditions initiales) nécessaire à la déduction de l’affirmation p, c’est-à-dire pour la déduction de l’affirmation falsifiante. Il n'est donc pas possible pour chaque individu affirmation du système, d'affirmer qu'il est, ou n'est pas, spécifiquement contrarié par la falsification. Seulement si p est Indépendamment d'une partie du système, nous pouvons mourir que cette partie n'est Page 35

{946927726362924955}.txt pas impliquée dans la falsification relation avec ce fait est la possibilité suivante: dans certains cas, par exemple en considérant les niveaux de universalité, on peut attribuer la falsification à une hypothèse définie, par exemple à une hypothèse attribuée exnovo. Cela peut se produire dans le cas où une théorie est bien corroborée et qui continue à être corroborée, a été expliqué de manière déductive avec une nouvelle hypothèse de niveau supérieur. ² Par conséquent, à première vue, nous ne pouvons pas savoir lequel des divers états du sous-système restant t¹ (à partir duquel p n’est pas est indépendante) doit être imputée à la fausseté de p; laquelle de ces déclarations devrait être modifiée, et laquelle devrait être laissée tel quel. [..] Ce n’est souvent que l’instinct scientifique du chercheur (influencé, bien sûr, par les résultats de la vérifier et revérifier) ce qui leur permet de deviner quelles affirmations de t 'doivent être considérées comme inoffensives et lesquelles ils doivent avoir besoin d'être modifiés. [..] Un exemple notable est la modification apportée par Einstein, le concept est la simultanéité.

2. Journal britannique pour la philosophie des sciences, volume 62, juin 2011, numéro 2, p. 281. Article Sous-détermination à partir d'équivalence empirique approximative, par J. Brian Pitts.

3. Les données sous-déterminent la théorie correcte lorsqu'elles sont insuffisantes pour établir laquelle des nombreuses théories est celle vrai. Philosophie de la science, J. Ladyman, p. 175. "Une variante de la sous-détermination est le" problème de l'ajustement de la courbe "."

4. Revue britannique de philosophie des sciences, volume 63, numéro 4, décembre 2012, p. 802, article intitulé Problème du temps dans la mécanique non relativiste, par Karim P. Y. Thébault.

5. K. Popper, Logique de la découverte scientifique, p. 299. On parle aussi de proximité logique, d'ailleurs, dans la mesure où qui est empiriquement établi que chaque probabilité est un degré de corroboration, il existe différents degrés de corroboration aux tests. "Ainsi, contrairement à mon degré de corroboration, la probabilité d’une hypothèse, au sens de Keynes, croît avec l’augmentation de sa probabilité logique a priori. Qu'est-ce, cependant, Keynes signifie par son terme "probabilité" la même chose que je veux dire par mon terme "corroboration", il peut être voir du fait que sa "probabilité" augmente avec l’augmentation du nombre de cas corroborants et aussi importance) avec l’accroissement de la diversité de ces cas. Mais Keynes oublie le fait que les théories dont Les cas corroborants appartiennent à des domaines d'application très différents, ils auront généralement un degré de en conséquence universalité élevée. Donc, les deux besoins qu’il juge nécessaires pour atteindre un niveau élevé la probabilité - l’universalité la plus basse possible et la plus grande diversité de cas corroborants - sera, règle, incompatible. Pour le dire dans ma terminologie, la théorie de Keynes implique que la corroboration (ou probabilité d'hypothèses) diminue avec la contrôlabilité. [..] En fait, la tendance de la logique inductive est celle de rendre les hypothèses aussi certaines que possible ».

6. L'objectif de Peano était d'éviter de recourir aux "classes d'équipotence" introduites par Cantor. Cependant, si oui veut rester dans la théorie des ensembles, nous devons construire un ensemble qui vérifie les axiomes ou postuler son existence, puisque la logique mathématique inclut la théorie axiomatique des ensembles par des règles solides Page 36

{946927726362924955}.txt de calcul. Ceci, du moins, est attendu dans la logique mathématique, où souvent l’inversion de termes tels que succession, fonction limite, la progression provoque un classement de l'ensemble de x. Une commande de l'ensemble x de n objets distincts, d'autre part, est une permutation ou une substitution, et implique la correspondance un-à-un entre X et l'ensemble sujet à échantillonnage. Analyse mathématique 1, Zanichelli, pag. 40, C. D. Pagani, S. Salsa, 1990.

7. Analyse mathématique 1, p. 197-198.

8 Introduction à la philosophie mathématique, B. Russell, p. 91-92.

9. L'univers d'Einstein, p. 14.

10. Informatica, G.M. Schneider, J.L. Gersting, Apogeo, 2007, pag. 180. Pour un modèle d'entrée, voir p. 182183 concernant les classes avec lesquelles les instructions sont regroupées en langage machine: transfert de données, arithmétique, comparaison, saut. Sur la fonction d'un langage explicite pour l'importance des mathématiques pures, nous citons en anglais. "Ici, nous voulons dire" absolument formel ", puisque le concept" formel ", en fonction du degré de contenu matériel, a souvent des niveaux différents du formel. Ainsi, pour toute science thématiquement cohérente, une On peut construire une théorie formelle, c’est-à-dire qu’il est possible d’effectuer une enquête ordonnée sur les concepts dont le contenu est contenu. dans le contenu des concepts fondamentaux. Les concepts absolument formels déterminent le contenu non seulement de la logique propositions, mais aussi des propositions de mathématiques pures, et nous avons ici la raison pour laquelle la logique et les mathématiques forment en principe une unité, comme il a été démontré sans équivoque dans leurs récentes études fondations. Cependant, en mathématiques, où une multiplicité de connexions symboliques complexes doit être étudiés, les interrelations sont beaucoup plus difficiles à pénétrer qu’en logique.

Nous devons nous limiter à montrant quelques malentendus importants dans le nombreuses analogies tracées entre les concepts des sciences sociales et ceux des mathématiques. 37 A. Les concepts de mathématiques pures peuvent être rattachés à ceux de la théorie des nombres naturels 1,2,3 ,. . . i.e., ils peuvent être définis en termes de ces "nombres naturels". Par conséquent, les soi-disant extensions du concept de nombre nombres négatifs, fractions, nombres irrationnels, nombres imaginaires et complexes - ne sont pas des extensions dans le vrai sens, comme chaque déclaration sur ces nombres peut être traduite en une déclaration sur les nombres naturels. B. le toute la théorie des nombres naturels peut être déduite de la description suivante de la série de nombres: (1) il existe un élément initial; (2) pour chaque élément, il y a précisément un élément immédiatement succédant; (3) pour chaque élément, à l'exception du premier, il y a précisément un (4) au moyen des définitions (1) - (3) L'objet de la pensée 'série de nombres est complètement défini. 38 Ces définitions de la série de nombres, qui correspondent en substance aux cinq axiomes classiques de Peano, nous permettent également de dériver des propositions de soi-disant «Mathématiques supérieures», pour désigner en général la ligne de démarcation fréquemment tracée au début Le calcul infinitésimal, entre mathématiques inférieures et supérieures, à des fins d’enseignement, ne correspond à aucune différenciation fondamentale du sujet. C. En ce qui concerne l'infiniment petit, qui apparaîtrait dans le Le calcul dit infinitésimal, ce que nous avons ici est une interprétation mixte d'un symbolisme spécifique. Comme a été Pour les mathématiciens, mais pas pour les philosophes, pendant plus d’un siècle, Page 37

{946927726362924955}.txt nous avons compris le sens réel du terme. dérivé, et donc de l’ensemble du calcul infinitésimal, seulement en le traduisant en langage fi lite. 39 Il On peut facilement montrer que tous les concepts du calcul infinitésimal peuvent être dérivés de ceux de la série de nombres naturels, et toutes ses propositions des axiomes de Peano. D. Nous ne pouvons pas régler la question de l'infiniment grand, l'infini actuel de la théorie des ensembles de Cantor, comme nous l'avons fait de l'infiniment petit. Mais ici aussi, la percée de la conception finitiste, qui, à mon avis, est la seule légitime, est devenue de plus en plus décisive dans les dernières années. C'est ma conviction qu'il n'y a pas d'autre genre de chose l'infini, au-delà de celle de la progression infinie de la série de nombres, tient compte de l'expression "il y a nombre infini », sera finalement rejeté. 40 E. Mais maintenant, quelle est la signification du concept de nombre et validité des lois mathématiques? Dans l'analyse des lois logiques, nous avons établi que leur validité est basée sur l'acte de position, mais sur ce qu'ils présupposent. La même chose est vraie avec le lois des nombres On verra que les abstractions qui conduisent au concept de nombre naturel contiennent déjà dans les principes qui sont ensuite formulés dans les lois de l'arithmétique. Les lois arithmétiques ne sont en aucun cas sur les chiffres au sens strict, mais les lois sur certaines opérations, qui considèrent de ce point de vue de abstraction, à considérer comme équivalent ou différent, d’une manière 41 nous clarifier brièvement ceci: afin de décrire comment la pensée procède de l'expérience, au sens étroit, pour chiffres, recherchez quelles présuppositions implicites il est préférable de prendre comme point de départ y sont contenues, puis expliquent comment on en vient à la notion de nombre à partir du processus de comptage. puis, guidé par un exemple simple, nous devrions nous demander quelles sont les affirmations faites dans le processus de comptage. Laissez nous compté des personnes dans certaines chambres. La première affirmation est: "Voici une personne; appelons-le 'A' ». À cela correspond l'acte de compter «1». «2» correspond à l’affirmation suivante: «Voici une personne qui est différente de la personne «A»; appelons-le «B» ». Ainsi, les deux phrases: "Dans cette pièce se trouve une personne A. et dans cette (même) pièce se trouve une personne différente de lui, "B", et de l'autre, B ”ont une signification complètement équivalente. L’affirmation qui mène à «3» indique ensuite: «Dans la pièce, il y a une personne qui est différent de la personne B et de la personne A, qui est différent de la personne B ", etc., où le progression illimitée de ce "et ainsi de suite" des affirmations de la différence faite précédemment. 42 Qu'est-ce donc que présuppose l'acte de compter? Tout d'abord, la connaissance des caractéristiques qui déterminent ce qui est inclus ou non dans le décompte, en outre, un domaine spécifique - dans notre exemple, la pièce - dans laquelle des choses de ce genre doivent être comptées; et enfin le possibilité de déterminer la différence dans cette sphère délimitée matériellement et espace-temps. En principe, il est secondaire ce qui signifie que l'acte de compter se déroule de cette manière; qu’un certain symbole est attribué à chaque épitomé [noyau signification] des différentes affirmations de différence par rapport au même objet; que les objets sont ainsi conçu comme ‘premier’, ‘deuxième’, ‘troisième’ - pour cette cession n’est autre que le marquage de ces assertions.

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{946927726362924955}.txt Maintenant, comme les deux assertions: "A est différent de B" et "B est différent de A" comptage n'a aucune incidence sur le résultat du comptage est établi depuis longtemps. Pour un changement d'ordre de décompte n'est rien d'autre que le déplacement de la succession des affirmations individuelles de différence. Ainsi, dès qu’il a été établi sans équivoque ce qui doit être compté, la dernière chose à compter - si, par exemple, dans une série de celle-ci est la huitième - alors dans toute autre le huitième. Le nombre cardinal 8, par exemple, exprime l’invariance de la marque symbolique (nombre ordinal) de dernier élément compté, par opposition aux variations de l’ordre de comptage. Dire qu'il y a huit ampoules dans une pièce signifie rien d'autre que l'ampoule comptée en dernier sera huitième, peu importe dans quel ordre ils sont compté. Les opérations mathématiques d’addition et de multiplication, régies par la loi de commutation, loi d'association et les deux lois de distribution en se référant aux nombres eux-mêmes, car les concepts des nombres sont déjà des abstractions de différences qui sont exprimées dans ces lois. Au lieu de cela, les lois ne sont rien de plus que (des déclarations sur) la invariance du calcul du concept par rapport à certaines conditions opérationnelles variations. Ainsi, la phrase "3 + 5 = 5 + 3" ne dit rien sur les nombres 3 et 5 en tant que tels, mais plutôt sur le opération de comptage, en affirmant l'invariance du résultat du comptage par rapport à la variation temporelle dans le processus de comptage. Par conséquent, l’arithmétique a priori est la totalité de ces présupposés, qui sont dans la série des nombres naturels Dans le sens de ce qui vient d’être dit, il embrasse le ensemble des mathématiques pures.

11. K. Popper, Logique de la découverte scientifique, p. 265.

12. K. Popper, Logique de la découverte scientifique, p. 244.

13. K. Popper, Logique de la découverte scientifique, p. 363. Le terme script, en informatique, désigne un type détail du programme, écrit dans une classe particulière de langages de programmation, appelés langages de HYPERLINK "https://it.wikipedia.org/wiki/Linguaggio_di_scripting" HYPERLINK "https://it.wikipedia.org/wiki/Linguaggio_di_scripting" HYPERLINK "https://it.wikipedia.org/wiki/Linguaggio_di_scripting" script "Https://it.wikipedia.org/wiki/Linguaggio_di_scripting". Une classe spécifique de tels programmes sont: Scripts dits shell (en italien), c'est-à-dire conçus pour s'exécuter à l'intérieur d'un shell un système d'exploitation. La distinction entre un programme normal et un script n’est pas claire, mais généralement script vous pouvez identifier les caractéristiques suivantes: • complexité relativement faible; • utilisation d'un langage interprété; • intégration dans un processus de configuration automatique du système (par exemple à chaque démarrage ou chaque connexion d’un utilisateur donné), dans une page Web (généralement en utilisant le langage JavaScript), ou cependant, pour effectuer des tâches accessoires et très spécifiques; • une certaine linéarité (un script peut également accepter les entrées de l'utilisateur, mais généralement des entrées différentes ne modifier substantiellement la structure du diagramme qui décrit le comportement du script); • absence d'une interface graphique propre; • rappel d'autres programmes pour effectuer des opérations plus sophistiquées.

14. K. Popper, Logique de la découverte scientifique, p. 323.

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{946927726362924955}.txt 15. Les problèmes du millénaire, K. Devlin, La bibliothèque des sciences, 2009, pag.

155. "Pour le plus haut niveau Tous les ordinateurs fonctionnent essentiellement de la même manière. Une approche possible consiste à prendre un seul passage binaire de la CPU (l’unité centrale, la partie de l’ordinateur qui fonctionne) effectivement le calcul). Après tout, vous n'êtes pas obligé d'aller à ce niveau.

L'analyse fonctionne essentiellement de la même manière, même si la somme ou la multiplication de est considérée comme une opération fondamentale une paire de nombres décimaux à la portée de l'ordinateur. Que nous étudions l’arithmétique ou non l'analyse en termes d'opérations à un chiffre, ou l'arithmétique informatique l'analyse en termes de opérations arithmétiques de base, l'addition nous donne un exemple de ce qu'on appelle un processus qui a lieu dans un "temps linéaire", c’est-à-dire un processus qui, pour les données de taille N (par exemple, dans le cas d'addition mentale, lorsque les deux nombres à ajouter ont tous les deux N chiffres) a au plus C x N passages fondamentaux, où C est un nombre fixe (dans le cas d’une addition mentale, C = 3). Parce que nous venons de établi pour effectuer l’analyse non pas en termes de temps de calcul, mais en étapes fondamentales, peut-être nous devrions appeler ce paramètre "étapes de base linéaires" au lieu de "temps linéaire", mais comme il Ce type d’analyses avait pour but original de comprendre combien de temps il faudrait à un ordinateur pour effectuant une tâche particulière, le terme "temps linéaire" a été utilisé à l'origine. inchangé. La même convention est utilisée pour parler d'autres tâches de calcul.

Parce que (on peut supposer que) chaque opération fondamentale prendra le même temps prédéfini, le nombre de passes fondamental correspond directement au temps pris pour le calcul, et donc la terminologie Normalement adopté et justifié historiquement, il n’entre pas en conflit avec les mathématiques. Le mot "linéaire" qui apparaît dans l'expression "temps linéaire" indique que si vous tracez un graphique du nombre d'étapes de l'opération de la taille des données, ce sera une ligne droite (et son équation sera S = CN, où S est le nombre de passages) ». Il s'ensuit: "Au lieu de cela, la multiplication est un processus en" temps quadratique ". En général, on dit qu'un processus a lieu en temps quadratique si, pour les données de taille N, au plus C x N² passages a sont requis complétez-le, où C est un certain nombre fixe (dans le cas d'une multiplication mentale, C = 2). Un plus concept processus général en temps linéaire ou quadratique est celui d'un processus qui a lieu dans un "temps polynomial". un le traitement temporel polynomial est tel qu'il n'implique pas, pour les données de taille N, plus que C x opérations fondamental, aux constantes C et k. Les quatre opérations d’arithmétique - addition, soustraction, multiplication et division - ce sont des processus qui se déroulent en temps polynomial. Devant un processus de calcul, les théoriciens recherchent une expression algébrique (par exemple, CN ou CN² O) qui donne une estimation du nombre maximum d’étapes fondamentales qu’elle comporte, pour des données d’une certaine taille N. ils appellent cette expression "fonction de complexité temporelle" de ce processus.

Processus de temps polynomial sont ceux dont la fonction de complexité temporelle est une expression polynomiale, c'est-à-dire une expression algébrique comme CN ou CN² ou ".

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{946927726362924955}.txt 16. Les problèmes du millénaire, p. 188-192.

17. Enc. Bompiani philosophique, voix de logique modale propositionnelle, p. 6685.

18. pag. 6684.

19. Enc. Bompiani Philosophy, p. 6545. On peut dire que la logique traite de l’aspect structurel (formel) de la vérité, c’est-à-dire quels que soient le contenu particulier de l’information véhiculé par les propositions. C'est bien, cependant distinguer soigneusement l’aspect relationnel de la vérité de l’interprétation relativiste de celle-ci. la concept de vérité (et en particulier celui pris en considération par la logique) est essentiellement lié à un contexte de référence, ou un domaine sur lequel interpréter les propositions du langage. La vérité est toujours la vérité dans un modèle. En philosophie de la logique, nous nous sommes donc concentrés sur un autre concept relationnel qui a à voir avec l'aspect sémantique, et c'est sur la connexion de conséquence logique. Dire qu'une proposition A est une conséquence logique d'un ensemble de suppositions X intuitivement signifie admettre que tous les moments X sont vrais, A. sera aussi vrai, autrement dit, la vérité de l'ensemble des prémisses X garantit la vérité de la conclusion A. Comment rendre cette connexion strictement? Comment traduire, c'est-à-dire le sens intuitif de "tous les temps"? Il y a deux grands traditions d’interprétation du lien de conséquence logique, que nous pouvons appeler, pour plus de commodité, sémantique et Modal. Selon la tradition sémantique, A est la conséquence logique de X si et seulement si, sous tous les possibles interprétation du langage dans X, si X est vrai, ce sera aussi A. La tradition sémantique, née selon Coffa (voir A. Coffa, La tradition sémantique de Kant à Carnap, Bologne 1991) à B. Bolzano, trouver l'expression la plus courante complet et rigoureux dans le travail de Tarski (voir A. Tarski, Sur le concept de conséquence logique, Oxford 1956).

L'hypothèse conceptuelle de base est la possibilité d'interpréter le langage différemment. cela signifie que nous sommes en présence d'un langage formel, vide de contenu. L’autre tradition modale que l’on peut faire pour revenir à Leibniz, soutient que A est une conséquence logique de X si dans tous les mondes possibles où X est vrai, il en est de même A. Comme on peut le constater, la tradition modale insère la notion de "monde possible" dans la définition en conséquence logique. En réalité, il existe une consonance logique fondamentale entre les deux paramètres, qui réside dans l'idée d'invariance.

Une proposition est une conséquence logique d’un ensemble de prémisses, si et seulement si la vérité est préservée dans tous les domaines. transformations possibles, c’est-à-dire si la vérité est invariante à leur égard.

Dans le premier cas, les transformations sont constitués par les différentes interprétations du langage, tandis que l’univers objet de référence (le domaine ou le monde) reste fixe, alors que dans la deuxième langue est interprétée de façon quelque peu rigide, alors les univers objets, ou les mondes (qui deviennent maintenant possibles) auxquels les expressions se réfèrent. La notion invariance, entendue comme immuabilité vis-à-vis d’une certaine classe d’opérations, a-t-il suggéré à Tarski la possibilité de définir des notions logiques comme des notions particulières invariantes vis-à-vis des différentes permutations (voir A. Tarski, Que sont les notions de logique?, dans «Histoire et philosophie de la logique» 7, 1986, p. 143154); ce qui se reflète dans les présentations actuelles des systèmes, où l'alphabet est divisé en signes non logiques (différentes interprétations possibles) et des signes logiques (normalement connectif et quantifiant, dont la signification est Page 41

{946927726362924955}.txt invariant vis-à-vis des différentes interprétations). L’un des problèmes fondamentaux de la logique concerne la possibilité de Syntaxiquement, "dominez" la connexion logique. Les notions de "vérité" et de "multiplicité de les interprétations "ont une nature essentiellement infinie; la tentative du calcul, ou de la partie syntaxique de la logique, est la réduction de ces notions au calculable et au fini. La finalisation du lien de une conséquence logique est le problème métathéologique fondamental de tout calcul logique. Au-delà des différents résultats, soit Positif (décidabilité du calcul propositionnel, complétude du calcul des prédicats de premier ordre) et négatifs (indécidabilité du calcul des prédicats du premier ordre et incomplétude de la logique d'ordre supérieur au premier), d'un point de vue philosophique, nous pouvons identifier quelques lignes d'interprétation de la relation entre la dimension sémantique et syntaxe de la logique. Selon l’approche infinitive-sémantique, l’important est le lien entre conséquence logique; la possibilité de terminer cette relation est en effet un résultat utile, mais au cas où elle ne serait pas accessible, cela n’annule en rien sa validité. En un sens, on peut dire que la logique est la description des structures formelles à travers le langage. Historiquement, une position similaire est attribuable à une orientation rationaliste générale à la Leibiniz, Bolzano, Frege. De manière presque antithétique, on peut affirmer que la portée de la logique se termine là où se termine la possibilité de construire le calcul. Ce qui est normatif est le lien de différentiabilité. En ce sens, l’incomplétude sémantique de la logique du second ordre ou l’impossibilité de caractérisant syntaxiquement toutes les conséquences logiques, il est considéré comme une raison suffisante pour ne pas considérer "Formel" ce système formel. Selon cette approche, présente dans le formalisme de Hilbert (D. Hilbert, Grundlagen der Geometrie, Leipzig 1899, tr. It., Par C. F. Manara, Fondements de la géométrie, Milan 1970) p. es. , le La connexion de conséquence logique est accessible via l’outil syntaxique: la logique est essentiellement un calcul.

(19.1) 1. Le problème de la transcendance des valeurs: existe-t-il une sphère de valeurs qui existe "en soi", même s’il peut être compris à un certain degré - par la raison humaine, reste encore totalement insensible au fait de cette compréhension (réalisme des valeurs, platonisme); ou est cette sphère de valeurs rien d'autre que l'hypostostination de certains actes émotionnels d'êtres humains (psychologisme de valeur)?

2. Le problème de l'indépendance des valeurs: être; ou - subjectivement formulé - existe-t-il une connaissance spécifique des valeurs en plus de la connaissance de ce que (réel) Être?

3. Le problème du statut absolu des valeurs: existe-t-il une valeur des jugements dont la validité n'a pas de présupposés - soi-disant, comme les propositions de la logique et des mathématiques - ou toutes les lois de la valeur reposent sur une manière analogue d’hypothèses de valeur hypothétiques, de même que les lois de la nature sont basé sur des principes supposés hypothétiques?

4. Le problème du caractère relationnel des concepts de valeur: les jugements de valeur sont-ils des jugements de qualités, ou jugements de relations; est une qualité de valeur attribuée aux objets (valorisés), ou une certaine relation entre le sujet (valorisant) et l'objet (valorisé) qui y sont affirmés?

5. Le problème de la hiérarchie des valeurs: existe-t-il une valeur maximale ou une Page 42

{946927726362924955}.txt pluralité de valeurs maximales, telle que toutes les autres les valeurs en tirent-elles leur validité?

6. Le problème de l'objectivité des valeurs: on peut parler de la vérité des jugements de valeur dans le même sens que de la vérité des jugements de fait que le interpersonnel inter sujet et accord sur la série de vérification? Les «jugements de valeur» sont-ils de vrais jugements? La clarification de ces problèmes doit être effectuée à l'écart. Être bien sûr, en procédant à une telle reconstruction rationnelle, l'ordre chronologique des problèmes, tels qu'ils sont énumérés ci-dessus, ne peuvent pas être conservés. Il ne sera que émergent dans la formulation des résultats. Commençons par le considération, quelque chose de valeur, quelque chose d'autre, qui est plus affirmé, qu'un effet spécifique de la objet de valeur sur la personne d'évaluation, et sur la majorité des êtres humains qui aiment en contact avec l'objet.

Le jugement de valeur esthétique «L’image est belle», par exemple, a-t-il une signification équivalente à celle du jugement: «La photo suscite un plaisir général (désintéressé)»? Une réflexion un peu plus profonde montrera que cette La «traduction» de l’énoncé de valeur ne peut être acceptée comme étant tout à fait appropriée. Car si les deux théorie et méthode Kaufmann dans les sciences sociales: traduction en anglais des phrases «L’image P est magnifique» et «La image suscite le plaisir général »avait le même sens, puis la phrase« L’image P est certainement (ou, probablement) beau, bien que cela ne me plaise pas, ni la plupart des autres ne seraient contradictoires. Pourtant ce n'est pas généralement compris de cette façon. Nous pensons plutôt que cela veut dire que la photo ne plaît pas à la plupart des gens. personnes (y compris la personne qui rend le jugement), qui aurait la moindre compréhension de l'art, ça plairait les rares qui sont vraiment des experts. Ce serait une oeuvre d'art est magnifique dans la mesure où il gagne l'approbation de ceux qui comprennent vraiment l'art, ou, "une action est bonne car elle a l'approbation de ceux qui pensent justement. "Mais une telle définition ne serait-elle pas circulaire? Ceux qui comprennent vraiment l'art ne sont-ils pas caractérisé uniquement par le fait que ce qu'ils ont jugé justement par le fait qu'ils faire les bons jugements moraux et approuver ainsi ce qui mérite d'être approuvé et désapprouver ce qui mérite désapprobation? La considération ci-dessus nous permet déjà de voir le problème principal - ou du moins l’un des principaux problèmes - dans le cadre de l'analyse des jugements de valeur, réside dans l'élément spécifique caractéristique de exactitude contenue en eux. Nous allons maintenant procéder à une telle analyse.

Laissez-nous partir de la notion de correct affirmation. Une affirmation n’est correcte que lorsque l’état des choses sur lequel quelque chose a été affirmé est effectivement tel. comme cela a été affirmé, c’est-à-dire lorsque l’affirmation est cohérente - de la manière décrite ci-dessus - dans le complexe de expérience. Après notre critique du réalisme naïf, nous pouvons parler de "correspondance de l'affirmation avec les faits", sans craindre d'être mal compris. Le noyau formel de ce concept de correction théorique est donc « Correspondance ».

20. Russell, Introduction à la philosophie mathématique, p. 141 sur l'incompatibilité et la théorie de la déduction.

21. idem pag. 131.

22. idem pag. 73.

23. Informatique, p. 210-217. Encyclopédie philosophique Bompiani, p. 10910, entrée dans l'espace.

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{946927726362924955}.txt 24. IT, p. 210.

25. Russell, Introduction à la philosophie mathématique, p. 106-108.

26. idem, p. 128-130.

27. L’homme qui en savait trop, Alan Turing et l’invention de l’ordinateur, D. Leavitt, La bibliothèque des sciences, pag. 60 28. idem, p. 79.

29. idem, p. 69 30. L'homme qui en savait trop, Alan Turing et l'invention de l'ordinateur, p.

67-68, p. 53-58 31. page 187, en particulier la phase d'exécution: les actions effectuées pendant la phase d'exécution sont différentes pour chaque instruction définie. Voir page 225-234. Page 349. Voir aussi page 193. Pour pag. 356, point 3 [la voiture de Turing peut effectuer des actions selon les instructions d’un algorithme, et le choix de l’action à entreprendre peut dépendent de l'état actuel de l'agent informatique et de l'élément d'entrée actuellement traité] les sous-domaines associés contiennent des classes et le processus est effectué pour quantifier ou qualifier l'agent calcul. Qu'est ce que cela signifie? C'est une question de fonctionnement consistant en temps. La représentation est donc univocal: ce n’est que par l’inversion des bits que l’état du système change, l’agent de calcul est qualifié de 0 ou 1 et donc tous les les états possibles du système et les sous-domaines associés sont créés. Le diagramme d'état est une représentation visuelle de l'algorithme de la machine de Turing, et symbolise le fait que le décalage de 0 à 1 est une phase transitoire du bit. puis il convient de noter que lors de la transmission de ces bits, il n'est pas nécessaire d'effectuer des opérations car les machines utilisent déjà l'algorithme dans le passage du statut à l'échelle Cela fait une énorme différence avec la machine de Turing, qui est différente par échelle, par tout agent de calcul réel. Comme pour dire, a et b sont des ensembles x et y avec un différent de tous les autres a et b des mêmes systèmes. Si a est positionné sur b, il n'y a pas de changement, sauf pour un système autre que x. la diagramme d’état ne détecte pas la présence de b exclusivement pour la finitude du processus, mais est inclus dans un processus secondaire. Dans ce cas, les opérations intermédiaires [2 et 3] sont plus importantes car elles font partie du système après la phase 1, c’est-à-dire que la machine peut accepter les données entrantes.

32. idem, p. 109 33. K. Popper, Logique de la découverte scientifique, p. 390.

34. K. Popper, Logique de la découverte scientifique, p. 132.

35. K. Popper, Logique de la découverte scientifique, p. 362.

36. K. Popper, Logique de la découverte scientifique, p. 406-421.

37. K. Popper, Logique de la découverte scientifique, p. 323.

38. Systèmes structurés complexes et organisés en physique, chimie, biologie et au-delà, G. Villani, Francoangeli, 2008, pag. 107-114.

39. Popper, la logique des sciences sociales et autres essais, Armando editore, 2005, pag. 76. "à chaque système déductif axiomatisable, A, correspond à une proposition (ou une classe de propositions logiquement équivalentes), a. mais étant donné qu'il existe également des systèmes déductifs ou des classes ne sont donc pas axiomatisables, de sorte qu'il n'y a pas proposition ou classe finie de propositions dont sont la classe de conséquence, le passage de propositions à par conséquent, on peut décrire des classes ou des systèmes déductifs, ou du calcul de propositions au calcul de systèmes comme une généralisation. On a donc plus généralement pour chaque classe en conséquence ou système déductif A un Page 44

{946927726362924955}.txt Système Av, le contenu de vérité de A, qui est identique à A si et seulement si A ne consiste que de propositions vraies, et c'est dans tous les cas, un sous-système de A: évidemment, Av est la classe de produit ou l'intersection des éléments A et V ”.page. 57.

"Considérant que la théorie de Plank est une théorie statistique, les formules de Heisenberg peuvent être les plus interprétées comme des relations de dispersion statistique, comme je le proposais il y a plus de trente ans. C'est-à-dire qu'ils ne le font pas ils ne disent rien de l'exactitude possible des mesures, ni des limites de la nôtre connaissances. Mais s’il s’agit de relations de dispersion, elles nous renseignent sur les limites de l’homogénéité de la physiques quantiques, et donc indirectement, même en ce qui concerne la prévisibilité ». Page 80. L. Boltzmann, modèles mathématiciens, physique et philosophie, universel bollati boringhieri, 1999, pag.

81-100.

40. "Sans aucun doute le rapport entre la circonférence c d’un cercle et son rayon r dépend de r, mais pour une valeur donnée de r il est égal pour tous les points de la "sphère-univers"; autrement dit, l'univers sphérique est une "surface a courbure constante ". Il existe un analogue tridimensionnel de ce monde sphérique bidimensionnel, à savoir: espace sphérique en trois dimensions découvert par Riemann. Ses points sont également équivalents. Il possède un volume fini qui est déterminé par R, son "rayon" (2π₂R₃). Est-il possible d'imaginer un espace sphérique?

Imaginer un espace ne signifie rien d’autre que d’imaginer un condensé de notre expérience "spatiale", c’est-à-dire de l'expérience que nous pouvons avoir dans le mouvement des corps "rigides". Dans ce sens, il est possible d’imaginer un espace sphérique. A. Einstein, relativité, exposition populaire, pag. 127 41. A. Einstein, Relativité, divulgation, p. 90 42. "nous considérons un domaine spatio-temporel dans lequel il n'y a pas de champ gravitationnel par rapport à un corps de référence K, dont l'état de mouvement a été choisi de manière appropriée. K sera donc un corps de référence galiléen vis-à-vis du domaine considéré, et les résultats de la théorie de la relativité restreinte seront valables vis-à-vis de K. Imaginons maintenant le même domaine faisant référence à un deuxième corps de référence K ’qui tourne uniformément par rapport à à K. Pour fixer nos idées, nous imaginons aussi que K 'a la forme d’un disque circulaire plat qui tourne uniformément sur votre sol autour du centre. Un observateur assis de manière excentrique sur le disque que K ’perçoit une force qui agit vers l'extérieur dans une direction radiale et qui, d'un observateur au repos par rapport au corps de référence d'origine K serait interprété comme un effet d'inertie (force centrifuge). A. Einstein: Relativité, exposition populaire, p. 104.

43. Descartes, extension et mouvement chez A. Einstein, relativité, exposition populaire et écrits classiques sur l'espace, la géométrie, la physique, la grande bibliothèque de la science, p. 162 Article intitulé Qu'est-ce qui va bien avec "Méthodes Bayes Net" et ce qui ne va pas avec "Causes de la chasse et utilisation eux "de C. Glymour, p. 172, Journal britannique pour la philosophie des sciences, volume 61, mars 2010.

44. Article intitulé Qu'est-ce qui va bien avec les «méthodes Bayes Net» et ce qui ne va pas chez «Les causes de la chasse et les utiliser "par C. Glymour, p. 176, Journal britannique pour la philosophie des sciences, volume 61, mars 2010.

K. Popper, Logique de la découverte scientifique, p. 440 K. Popper, Logique de la découverte scientifique, p. 436.

45. Analyse infinitésimale, p. 216-218 Page 45

{946927726362924955}.txt 46. page 200 analyse infinitésimale. La série contient un degré n pouvant renvoyer la fonction au point de départ a.

47. Russell écrit dans Introduction à la philosophie mathématique, Newton, 2006, p.

74 ”Selon cette définition + m est une relation un-un jusqu'à ce que n soit un nombre cardinal (fini ou infini) et m un nombre cardinal inductif, + m cependant, il ne peut en aucun cas être identifié avec m, qui n'est pas une relation, mais une classe de classes. Donc + m est à tous égards distinct de m as –m. les fractions sont un cas plus intéressant que les entiers positifs et négatifs. la les fractions sont utiles à de nombreuses fins, la plupart du temps cependant, elles servent à des fins de mesure. Mon ami et collaborateur dr. Whitehead a développé une théorie des fractions particulièrement utile pour son application aux fins de mesure, qui est présenté dans les Principia Mathematica. Si toutefois, vous voulez une définition des objets qui ils ont les propriétés purement mathématiques requises, le même objectif peut être atteint avec une méthode plus simple, que nous allons adopter ici. Nous définirons la fraction m / n comme cette relation valide entre deux nombres inductifs x et y, quand c'est xn = ym. Cette définition est suffisante pour montrer que m / n est une relation un-un, à condition que ni m ni n ne sont égaux à 0. Bien entendu, n / m est la relation inverse de m / n. de la définition précédente est clair que la fraction m / 1 est la relation entre deux entiers x et y qui consiste en l'égalité x = my. cette relation, comme la relation + m, ne peut en aucun cas être identifiée au nombre cardinal inductif m, car une relation et une classe de classes sont des objets d'un type complètement différent ».

48. Analyse infinitésimale, Fonctions dans R, p. 163-164 49. voir la page 95 Introduction à la philosophie mathématique 50. pag. 119-124 Introduction à la philosophie mathématique 51. Ensuite, Russell déclare: "Ce qui s’applique à l’élévation de puissance s’applique également au produit de deux cardinaux. Nous pouvons définir "mxn" comme la somme des nombres de n classes ayant chacune m termes, mais nous préférons le définir comme le nombre de paires ordonnées à former avec un membre suivi d'un membre de b, où a a m termes et b a n termes. cette définition permet également d'éviter la nécessité de prendre l'axiome multiplicatif. Avec nos définitions, nous pouvons démontrer les lois formelles habituelles de la multiplication e d'élévation au pouvoir. Mais il y a une chose que nous ne pouvons pas prouver: nous ne pouvons pas prouver qu'un produit il n'est nul que si l'un des facteurs est nul. Nous pouvons le prouver lorsque le nombre de facteurs est terminé, mais pas quand c'est infini ". Page 122-123, en ce sens que l’axiome multiplicatif peut être annulé dans les cas où nous ne pouvons pas prouver que le nombre de facteurs est terminé.

52. voir la page 116 Russell, Introduction à la philosophie mathématique

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