15 créations
Céramique SANS TOUR
250 photos en pas à pas
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LES CRÉATIONS
LE MATÉRIEL
LES OUTILS
Bien que la céramique puisse être pratiquée avec peu de matériel au départ, certains outils de poterie deviennent particulièrement essentiels pour façonner l’argile avec succès. Voyons ensemble quelques outils de bases.
Les ébauchoirs : outils de modelage en forme de couteaux ou de spatules, souvent en bois, utilisés pour sculpter et façonner l’argile. Il en existe des formes diverses (larges, fins, au bout arrondi ou biseauté), pour pouvoir s’adapter au mieux à la pièce que vous façonnez. Leur aspect allongé permet d’aller travailler la terre dans des endroits difficilement accessibles, comme au fond d’un vase par exemple.
Les poinçons : il en existe de différents diamètres. Ils sont utilisés pour percer des trous dans l’argile.
Le couteau de potier : outil de coupe et de découpe.
L’aiguille de potier : en métal, elle peut servir à la fois à couper la terre, à enlever les bulles d’air coincées dedans et à effectuer des griffures avant d’attacher des morceaux entre eux. L’aiguille à plusieurs brins sert à griffer la terre plus rapidement.
Les estèques : ce sont des outils plats, qui servent principalement à lisser une pièce pour enlever les imperfections. Il en existe dans différentes matières et différentes formes pour mieux s’adapter au travail à effectuer. Les estèques en bois sont rigides, elles sont donc idéales pour lisser les surfaces bien droites. Les estèques en silicone, matériau souple, peuvent être pliées pour s’adapter aux endroits plus arrondis. Elles sont également idéales pour lisser les plaques de terre avant le travail, car leur flexibilité permet de ne pas laisser de marques. Les estèques en métal permettent une certaine souplesse, mais restent plus solides et coupantes que celles en silicone, ce qui permet facilement d’enlever un peu de matière sur la pièce en la raclant. Elles peuvent être courbées comme celles en silicone et s’adaptent donc à beaucoup de formes.
Les estèques en métal cranté ou estèques à dents : elles peuvent être utilisées pour faire des motifs dans la terre ou pour la griffer avant d’assembler deux pièces.
Le rouleau : outil pour étaler la terre en plaques.
Les tasseaux : ils servent de guide. Ils sont placés de chaque côté de l’argile étalée au rouleau pour assurer une épaisseur de la terre régulière. Il peuvent également servir de règle pour faire des coupes droites.
LES POINÇONS
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LES ÉBAUCHOIRS
LE COUTEAU DE POTIER
LES ESTÈQUES
LES AIGUILLES DE POTIER
LE ROULEAU
LES TASSEAUX
Les outils de sculpture : ils sont divers et variés. Il en existe avec des embouts ronds de différentes tailles, et des plus ou moins courbés pour faire des motifs dans la terre.
Les mirettes : outils qui servent à évider une pièce. On peut également les utiliser pour faire des reliefs dans la terre. Ils peuvent avoir plusieurs formes (arrondis, triangulaires, bout carré) et dans différentes largeurs.
Les pinceaux : les plus fournis et larges sont utilisés pour l’application de l’émail et les plus fins permettent l’application de la barbotine qui servira à coller deux morceaux de terre entre eux.
Les éponges : utilisées pour humidifier et lisser la surface de l’argile, ainsi que pour enlever les excès d’eau. Vous pouvez utiliser des éponges rondes comme celles-ci ou des éponges naturelles mais elles ont tendance à laisser plus de marques dans la terre.
Le fil à couper : il sert à couper le pain d’argile.
Papier de verre : pour poncer les pièces sèches et enlever les irrégularités.
Bien sûr, vous n’aurez pas besoin de tout ce matériel pour commencer ! D’autant plus que la poterie se fait beaucoup au ressenti. Tout le matériel ne vous conviendra probablement pas.
Pour débuter, il vous faudra au minimum un rouleau à pâtisserie, une aiguille, une ou deux mirettes de taille et forme différentes, un fil à couper, une éponge, un ébauchoir et une estèque. Beaucoup d’outils peuvent être remplacés par des objets du quotidiens. Par exemple, vous pouvez remplacer l’estèque en métal par une ancienne carte de fidélité, le poinçon pour faire des trous par une paille ou le bouchon d’un stylo, vous pouvez lissez des pièces avec le dos d’une cuillère ou avec une spatule de cuisine en silicone.
ASTUCE
N’ayez pas peur d’expérimenter et de détourner les objets du quotidien pour voir comment ils peuvent être utilisés. Le travail de la terre et les outils choisis sont des choses très personnelles. Testez et voyez avec quoi vous vous sentez plus à l’aise !
LES OUTILS DE SCULPTURE
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AUTRES OUTILS DE SCULPTURE
LE FIL À COUPER
LES MIRETTES LES ÉPONGES LES PINCEAUXLES SUPPORTS
Le choix du support dépendra de la technique de poterie utilisée, de la taille de la pièce à créer et de vos préférences personnelles. Chaque support a ses avantages et ses limites, et il est important de sélectionner celui qui conviendra le mieux à la tâche à accomplir.
Le plan de travail
Il est important d’avoir un plan de travail dégagé, de préférence en bois non vernis ou contreplaqué, ce qui permettra de travailler la terre à même la table sans que celle-ci ne colle au plan. Si vous n’avez pas la possibilité de travailler sur du bois, vous pouvez acheter des panneaux contreplaqués dans un magasin de bricolage. Évitez les matériaux peu résistants à l’humidité (comme le MDF) ou qui comportent des irrégularités en surface (comme les bois agglomérés qui pourraient laisser des marques ou des morceaux dans l’argile). Privilégiez une surface sans irrégularités, qui sera facile à nettoyer.
Vous pouvez également opter pour une autre solution : travailler sur un tissu épais que vous placerez sur votre plan de travail. Choisissez-en alors un qui se tienne bien et assez rigide, type toile de jute ou toile de coton, pour éviter qu’il ne bouge trop lors du processus de création. De plus, il facilitera le déplacement de la pièce.
Une fois la pièce créée, vous pouvez la transférer sur des étagères ou planches de séchage pour un séchage lent et uniforme avant la cuisson. Si les pièces ne sont pas trop humides, vous pouvez utiliser des plaques en MDF, sinon choisissez-les en contreplaqué ou tout simplement en bois brut. Pour le séchage, privilégiez des surfaces « respirantes », évitez donc les surfaces vernies ou en plastique (à moins que vous ne souhaitiez retravailler votre pièce plus tard et donc préserver l’humidité de l’argile).
Pour l’estampage
Pour éviter que la terre ne colle au support ou au moule lors de sa création, il est recommandé d’utiliser soit un plastique fin type cellophane, soit un tissu fin comme du voile de coton. Vous pouvez également utiliser des vieux collants. Ces matériaux d’une grande finesse permettent de limiter au maximum les marques laissées dans la terre lors du façonnage et de retirer facilement l’argile de son support.
La cellophane peut également servir à envelopper une pièce pour garder l’humidité de la terre si celle-ci doit être retravaillée plus tard, ou pour couvrir les pièces pour ralentir le séchage (notamment en période chaude).
Vous pouvez vous munir d’une tournette, un plateau rotatif, pour faciliter la fabrication, la décoration ou l’application de l’émail sur des pièces en argile.
LES PANNEAUX EN CONTREPLAQUÉ
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LE VOILE DE COTON
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LES TERRES
Il existe plusieurs types d’argiles utilisées en poterie, chacune ayant ses caractéristiques en termes de couleur, de texture, de cuisson et d’utilisation. Le choix de l’argile dépend du projet, de la température de cuisson souhaitée et de la texture recherchée pour la pièce.
LES TROIS FAMILLES D’ARGILE
On distingue trois grandes familles d’argile : faïence, grès, porcelaine. Chacune a des propriétés et des contraintes propres.
La faïence
Caractéristiques : la faïence est une argile cuite à basse température qui reste poreuse après la cuisson. Elle se caractérise par sa grande plasticité, ce qui la rend idéale pour les débutants. Elle est adaptée pour les poteries décoratives et les pièces non étanches. Elle nécessite d’être émaillée pour devenir imperméable. Toutes les créations présentes dans ce livre sont fabriquées en faïence. Les quantités données sont prévues larges afin de rendre le travail de la terre plus confortable.
Température de cuisson : environ 1 050 °C.
Le grès
Caractéristiques : le grès est une argile cuite à haute température qui acquiert une imperméabilité naturelle après cuisson. Il est résistant et adapté pour la poterie utilitaire, comme les bols, les tasses ou même les plats. Il peut être émaillé ou conservé brut.
Température de cuisson : entre 1 200 °C et 1 300 °C.
La porcelaine
Caractéristiques : la porcelaine se distingue par sa finesse exceptionnelle et sa translucidité après cuisson. D’une blancheur éclatante, elle est souvent associée à l’élégance et à la haute qualité. Bien qu’elle soit délicate à manipuler, cette argile est largement employée pour des pièces raffinées comme la vaisselle fine, les services à thé ou les objets d’art décoratifs.
Température de cuisson : entre 1 300 °C et 1 400 °C.
LES TERRES CHAMOTTÉES
Caractéristiques : les terres chamottées contiennent des particules d’argile déjà cuites et broyées (chamotte) mélangées à de l’argile fraîche (faïence, grès ou porcelaine). Elles rendent l’argile plus résistante et moins sujette à la fissuration ou la déformation. Les particules de chamotte, selon leur taille et leur quantité, confèrent une texture distinctive à la pièce, pouvant aller du finement granuleux au grossièrement texturé.
Chaque type d’argile a ses avantages et ses inconvénients, et convient à des applications différentes en poterie. Le choix de l’argile dépend de votre projet artistique, de l’usage prévu pour la pièce, de la température de cuisson nécessaire, ainsi que d’autres éléments comme la couleur ou la texture souhaitées.
LE RECYCLAGE DE LA TERRE
Tant que l’argile n’est pas cuite, elle est réutilisable quasiment à l’infini. Le recyclage de la terre permet de récupérer l’argile non utilisée ou les chutes de poterie pour refaire un pain de terre prêt à être utilisé à nouveau. Il faudra simplement vous armer d’un peu de patience. Pour de la terre déjà séchée, le processus complet peut prendre quelques jours.
Le recyclage commence par la fragmentation de l’argile en morceaux, les plus petits possibles pour accélérer le processus. Dans un seau, mettez les morceaux secs et couvrez-les d’eau. Il faut laisser à la terre le temps de se réhydrater. Vous pouvez la mélanger pour qu’il n’y ait plus aucun morceau. Si la consistance est trop liquide, vous pouvez laisser l’eau s’évaporer d’elle-même en quelques jours. Si la consistance le permet, malaxez la terre. Vous pouvez aussi vous aider d’une plaque de plâtre qui absorbera l’excès d’humidité. Après malaxage (étape détaillée pages 24 et 25), la pâte est prête à être utilisée pour de nouvelles créations.
Souvent, à la fin de la création d’une pièce, on se retrouve avec plusieurs morceaux de terre laissés sur le côté, qui ont commencé à sécher. Il n’est pas toujours nécessaire de passer par le processus long et fastidieux cité plus haut. Si les morceaux le permettent, vous pouvez les rassembler, les tremper brièvement dans de l’eau et les placer dans un endroit hermétique (une boîte, un sachet de congélation). Laissez la terre se réhydrater une journée. Si celle-ci n’est pas suffisamment humide pour être travaillée, renouvelez l’opération. Après un malaxage, votre argile sera de nouveau prête à être utilisée.
Pour éviter ce travail, vous pouvez également prévoir une boîte hermétique dédiée aux chutes, dans laquelle vous pouvez donner un petit coup de pulvérisateur d’eau de temps à autre pour éviter le séchage précoce de la terre. Il faudra tout de même procéder au malaxage avant de la réutiliser.
LES TEXTURES
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CONSISTANCE
BARBOTINE
ARGILE FRAÎCHE
LA BARBOTINE
La barbotine est la forme la plus liquide de l’argile. Polyvalente, elle est un outil essentiel dans l’atelier d’un potier. C’est un mélange homogène d’eau et d’argile, une boue que l’on l’utilise principalement à des fins de liaison, de décoration ou de réparation. Elle sert de colle à toutes les étapes qui nécessitent l’assemblage de pièces (attacher une anse à un mug par exemple). Une fois séchée puis cuite, elle fusionne avec l’argile environnante. Elle sert également au coulage, lors de l’utilisation de moules en plâtre.
La préparation de la barbotine est assez simple. On mélange de l’argile en poudre avec de l’eau jusqu’à obtenir la consistance désirée. On peut également utiliser les restes de terre en les laissant tremper dans l’eau. Il faudra simplement veiller à ne pas mélanger différents types de terre (ne pas mélanger de la faïence avec de la porcelaine par exemple) et avoir une texture sans morceaux. La proportion d’eau peut varier en fonction de l’objectif : une barbotine plus épaisse, à la consistance de yaourt, pour le collage, une barbotine plus liquide, pour la décoration ou le coulage.
L’ARGILE FRAÎCHE (OU HUMIDE)
L’argile fraîche est de l’argile non cuite qui conserve sa texture souple et humide. Plastique et facile à travailler, elle est vendue dans les magasins de loisirs créatifs ou les magasins spécialisés. On la reconnaît grâce à sa malléabilité. Elle peut être façonnée, sculptée ou modelée. On pourrait comparer sa texture à de la pâte à modeler. Gorgée d’eau, elle donne une sensation de fraîcheur sous la main. Tant qu’elle a cette consistance, elle peut être retravaillée à l’infini et réhumidifiée si l’on sent qu’elle sèche et devient moins facile à travailler.
LA CONSISTANCE CUIR
La consistance cuir de l’argile est un stade intermédiaire entre argile fraîche et argile sèche. Elle est atteinte après que l’argile fraîche a été laissée à l’air libre un certain temps, permettant à l’excès d’humidité de s’évaporer. La durée nécessaire pour atteindre cette consistance peut varier, car elle dépend de divers facteurs, notamment la taille de la pièce, l’humidité ambiante, etc. C’est une phase cruciale dans le processus du travail de la terre : lorsque l’argile atteint la consistance cuir, elle est suffisamment ferme et rigide pour conserver sa forme, mais encore assez souple pour être travaillée et moins fragile que lorsqu’elle est complètement sèche.
À ce stade, l’argile ne se déforme pas facilement sous la pression de la main, ce qui nous permet de la manipuler plus facilement, d’ajouter des détails ou de faire des ajustements sans abîmer l’ensemble d’une pièce. C’est avec cette consistance que nous préférerons faire des assemblages (comme fixer l’anse d’un mug avec de la barbotine).
L’ARGILE SÈCHE
Lorsque l’eau s’est évaporée de la terre, l’argile paraît sèche au toucher, et plus dure. Elle est également plus légère en raison de la perte d’eau, et la terre n’est plus froide au toucher comme elle l’était au stade humide ou cuir. Visuellement, elle a changé : elle s’est éclaircie.
Après séchage complet, l’argile sèche est cassante et fragile. Il faut la manipuler avec délicatesse, car il ne sera plus possible de faire des ajustements. À ce moment, votre pièce a sa forme définitive et ne peut plus être remodelée. Elle est prête à passer au four pour sa première cuisson.
LE BISCUIT
Le biscuit est le nom donné à la terre après sa première cuisson. La cuisson du biscuit s’effectue dans un four de potier, à une température généralement inférieure à la cuisson finale (entre 900 et 1 000 °C), en fonction du type d’argile utilisée. Cette étape permet de rendre l’argile permanente, ce qui veut dire qu’après cuisson, la terre ne pourra pas être réutilisée et recyclée, à l’inverse des états vus précédemment.
La pièce sortie du four est dure, solide, mais reste encore poreuse, ce qui facilitera le travail d’émaillage par la suite.
LA CÉRAMIQUE
La céramique, c’est le biscuit, émaillé et cuit une deuxième fois, souvent à plus haute température que la première cuisson. C’est le résultat de la dernière cuisson, les pièces ont pris leur apparence finale, leur durabilité et leur imperméabilité. Cette étape est essentielle pour transformer l’argile en de superbes pièces de céramique prêtes à être utilisées ou exposées.
Récapitulatif simplifié DES ÉTAPES DE CRÉATION D’UNE PIÈCE
Préparation de l’argile : L’argile est malaxée pour obtenir la bonne consistance, ni trop molle, ni trop dure, de manière à être facilement modelée.
Façonnage de la pièce : L’argile est façonnée selon la technique choisie (pincement, plaque, modelage à la main, colombinage, etc).
Séchage à l’air : La pièce est séchée à l’air jusqu’à atteindre la consistance cuir. À ce stade, elle est solide mais encore légèrement humide.
Nettoyage : La surface de la pièce est nettoyée à l’éponge humide ou au papier de verre pour enlever d’éventuelles marques.
Cuisson de biscuit : La pièce est cuite dans un four à une température relativement basse pour éliminer l’humidité et la rendre solide. Cela produit une pièce en céramique non émaillée appelée « biscuit ».
Ponçage et nettoyage : La pièce peut être poncée s’il reste des imperfections et doit être nettoyée à l’éponge humide pour être débarrassée des poussières et impuretés survenues à la cuisson.
Émaillage : La pièce est ensuite émaillée. L’émail est appliqué pour lui donner des couleurs, des motifs et une finition brillante.
Cuisson finale : La pièce est cuite à nouveau pour faire fondre l’émail et le fixer sur la surface. Elle est ensuite laissée à refroidir dans le four pour être enfin terminée.
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Art ancestral de la terre, la poterie traverse les âges grâce à ses multiples possibilités, mêlant beauté, inspiration et utilité. L’autrice et créatrice, Laëtitia Maurel, partage dans cet ouvrage son savoir-faire au travers de projets tout aussi jolis qu’accessibles. Apprenez à pétrir et modeler la terre avec vos doigts et quelques outils seulement, pour créer des objets qui vous ressemblent.
Les techniques de préparation, modelage, et décoration pour personnaliser vos céramiques. 15 créations originales à suivre.
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