Portfolio

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FLORIAN VIMARD

ARChITECTE D.E. ÉCOLE NATIONALE SUPÉRIEURE D’ARCHITECTURE DE NANTES



« L’éducation ne consiste pas à gaver, mais à donner faim. » Michel Tardy


FLORIAN VIMARD Né le 9 juillet 1985 à Caen (14) 2, rue du Maréchal de Gassion 44 100 Nantes 06 26 49 92 00 florian.vimard@gmail.com

FORMATION 2013 Architecte DE - diplômé avec les félicitations du jury École Nationale Supérieure d’Architecture, Nantes (44) 2007 Licence 3 « Arts Appliqués » Université Montaigne - Bordeaux III, Bordeaux (33) 2005 BTS Design d’Espace Lycée Laplace, Caen (14) 2003 Bac STI Arts Appliqués Lycée Laplace, Caen (14) - mention AB

Compétences PhotoShop ◆◆◆◆◆◆◆◆ Illustrator / InDesign ◆◆◆◆◆◆◆◇ AutoCad ◆◆◆◆◆◆◆◆ SketchUp Artlantis 3DS max (rendu) Rhinoceros / Grasshopper

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Analyses et propositions Esquisse et conception Dialogue et discussion Communication Echange et communication avec différents intervenants du projet - BET, maîtrise d’ouvrage privée et publique Connaissance des différentes réglementations et normes Anglais : lu, écrit, parlé (niveau professionnel) TOEIC : 840 points Espagnol : notions Permis B depuis 2004


Passion Travail d’équipe Qualité d’écoute Esprit de synthèse Pragmatisme Curiosité Réactivité Force de proposition Maîtrise des logiciels

Après diverses expériences dans divers champs de l’architecture, et après 2 ans en poste en urbanisme, je suis à la recherche de nouvelles opportunités, de nouveaux challenges. Avec le désir de retrouver des échelles plus intimes, des temporalités différentes, les questions de spatialité et d’«habiter», les problématiques de maîtrise d’oeuvre, du détail et la question de la matérialité, je suis motivé pour intégrer une équipe dynamique afin mettre en application mes compétences tout en les approfondissant au quotidien.

Expériences dans les domaines

2013/15 ENET-DOLOWY - Urbanisme & Paysage / Nantes (44) CDD 10 mois + CDI depuis septembre 2014 URBA / Intervention sur différentes opérations Architecte assistant / Suivi de projet, études de faisabilités, réglements graphiques, visa de PC : - Couëron (44) - ZAC Ouest Centre Ville : 70ha/1500 lgmts - Rezé (44) - ZAC de la Jaguère : 15ha/800 lgmts Architecte assistant / Scenarii, Esquisse et AVP, Plan guide, études de faisabilités, concours, suivi et visa de PC : - Beaucouzé (49) : revitalisation du centre bourg (concours) - Blois (41) - Avenue Maunoury : valorisation de l’entrée de ville, étude de faisabilité et programmation - Brest (22) : faisabilité pour une opération de 50 logements Architecte en charge / Plan masse, réglements graphiques, coordination, suivi de projet et visas - Cholet (49) - ZAC Val de Moine : 11ha/250 lgmts - Orgères (35) - ZAC des Prairies d’Orgères : 44ha/1000lgmts - Vezin-le-Coquet (35) - ZAC des Champs Bleus : 62ha/1250 lgmts - Caudan (56) - ZAC du Lenn Sec’h : 45ha/900 lgmts 2013 Philippe LASSER - Architecte DESA / Falaise (14) CDD - 8 semaines (juillet-août 2013) Mise en forme de PC, DCE. Opération de 12 logements. 2012 LA COURSIVE - SARL d’Architecture / Falaise (14) CDD 8 semaines (vacances hiver/été) : Esquisses, échanges avec les maîtres d’ouvrages, PC. Deux projets d’extension de maisons individuelles et faisabilité pour réhabilitation d’un hangar pour un CAT. 2011 Laurent VIGNERON - Architecte / Nantes (44) Stage de suivi de chantier sur une durée de 4 mois : Réunions hebdomadaires / compte-rendus de chantier 2008/09 Philippe LASSER - Architecte DESA / Falaise (14) Dessinateur-projeteur - 15 moins (mai 08 à juillet 09) : Mise en forme de permis de construire, DCE. 2006 WHARF, Centre d’Art Contemporain de Basse-Normandie Hérouville-Saint-Clair (14) Stage de 6 semaines : scénographie, montage et médiation d’une exposition dans le centre d’art


Modèle vivant, poses rapides Feutres sur formats divers 2009



SEVEN DOORS

Avec Nathan Louërat & Martin Brodu Enseignants : Didier Courbot / Clément Laigle Automne 2010


L’installation met en place un système de partition d’espaces remettant en question le sens et la logique de l’usage de la porte. Définie comme une «ouverture pratiquée dans une cloison permettant le passage», la porte devient ici structure de l’architecture, le passage d’un espace à l’autre se fait pas le plein. Le plein devient le vide. Questionnant le sens de la porte et le fondement de l’architecture, Seven Doors propose une déambulation, un parcours riche d’expériences spatiales.


LE LOGEMENT étudiant à travers la fenêtre 90 chambres sur l’Île de Nantes Enseignants : G. Breton / L. Lagadec Printemps 2010 / retravaillé 2014



L’approche du projet porte sur un double enjeux, travaillés de façon parallèle. Il est question d’un travail sur le dispositif «fenêtre» à l’échelle d’une chambre étudiante, ainsi qu’une démarche encré dans un site concret, avec ses réglementations, autour d’un travail urbain de volumétrie et de fonctionnement d’un bâtiment à l’échelle d’un quartier et d’une parcelle. L’ouest de l’ïle de Nantes est un territoire post-industriel, dont l’empreinte des infrastructures est bien présente. Le projet s’implante sur une parcelle de 1370m² et compose avec l’environnement existant pour trouver des points d’accroche et ainsi articuler un angle urbain fort. Le bâtiment se développe au maximum en R+5 et s’appuie sur ses abords directs : par un mur d’un rez-de-chaussée, une sousface qui marque un petit immeuble

collectif, une hauteur alignée sur le projet mitoyen. Chaque logement est distribué par une coursive extérieure. Elle anime la rue principale quand les chambres sont orientées Sud ; elle se retourne en coeur d’îlot pour préserver l’intimité alors que les chambres sont ouvertes sur le soleil levant. Au rez-de-chaussé, on trouve l’accueil, les halls, ainsi que les espaces communs (foyer, salles de travail, laverie...) ainsi que le logement du gardien. Trois terrasses sont offertes aux étudiants sur différents niveaux. La problématique intrinsèque à un tel programme réside en la répétition d’une cellule - chambre étudiante. Comment aborder la question de la façade, de la matérialité, pour jouer de cette multiplication d’éléments accolés ?

La chambre étudiante est totalement ouverte sur la façade : une baie divisée en 3 ventaux (2 fixes dont un traité avec un verre sablé et un coulissant central). Pour rompre la répétition des percements, une vêture en lattes de bois se décline selon les usages : brises-soleil horizontaux au Sud, verticaux à l’Est. La question de l’intimité est traité par un sens de lattage différents sur coursive et logement, de façon à limiter les vues. Les éléments de bois fixés sur des cadres métalliques font osciller la façade et crééent une vibration urbaine. Au coeur du projet, comme un cloître, un jardin inspiré du «jardin en mouvement» de Gilles Clément instaure le havre de paix nécessaire à l’agrément, à la réflexion, au travail...




vêture : lattage bois garde-corps métallique

menuiserie 3 ventaux dont 1 coulissant central

garde-corps métallique panneau coulissant

vêture : lattage bois

Le jardin est traité en prolongement de l’espace public (trottoirs en pavés 10x10cm). A l’image du « jardin en mouvement » de Gilles Clément, le coeur végétal est laissé libre et se développe au rythme seul du temps. Central comme au cloître, ce lieu poétique créé le vacuum qui apporte à l’univers étudiant le calme et le rapport à la nature et à la vie.


RDC


R+3


ARCHITECTURE VILLE Mobilité Parking (200 pl) + programmes connexes (salle de musique et studios de répétition, auditorium) Enseignants : G. Breton / P. Barré / J-F. Renaud / V. Didelon Automne 2011



Le projet s’implante au coeur d’un croisement complexe. Il a pour double ambition de répondre d’abord à un territoire qui compose avec des déplacements multiples et divers, puis de réaffirmer la place du piéton, et fixer des activités au coeur de la mobilité. C’est sur un réel noeud de circulation, entre le centre commercial et la station de Busway, entre les habitations et les bureaux, entre le boulevard De Gaulle et la ligne de chemin de fer, que le projet se développe. On propose, dans un environnement dense, d’affirmer la station de tram-train par le vide. L’infrastructure propose un parking de 200 places, organisé dans une barre, reculée du boulevard. Cette barre se voit percée par la ligne de chemin de fer, lieu privilégié et évident de la station de tram-train. De part et d’autre de cette confrontation se trouvent le parking, au sud, et des équipements relatifs à la musique (salles de

répétition, studios, auditorium) au nord. L’édifice souligne alors la promenade parallèle au boulevard, qui reliera Carrefour aux bassins situés plus au nord. Composant avec une géométrie simple et rigoureuse, il joue un rôle structurant d’un territoire décousu. Dans la volonté de fixer l’homme dans cet environnement de passage, on creuse la place publique offerte par le recul de la barre, afin de glisser, sous la place nord, une salle de musique actuelle, d’une capacité de 600 personnes. La confrontation des différentes épaisseurs du site et le traitement des espaces extérieurs offre un jeu de balcons, de points de vue sur les activités diverses que peuvent accueillir ces places (représentation en plein air, concert, marché, ...).




EPICENTRE

Médiathèque Île de Nantes (MIDN’Height) Enseignants : Gaëlle Breton / Jean-François Renaud / Gilles Bienvenu Printemps 2011


Photomontage : intentions et ambiances - lire / ĂŠcrire / stocker


Le projet s’implante sur une parcelle triangulaire, résultante charismatique d’un urbanisme tramé et rigoureux, contrecarré par l’ancien boulevard industriel. Ainsi, à l’image de Broadway, la confrontation des tracés affirme une parcelle unique. C’est donc à l’image, et dans les mêmes proportions que le Flat Iron Building de NYC que le projet propose une tour de 87 mètres, signal de l’Île de Nantes. La médiathèque s’insère dans une tranche comprise entre les hauteurs maximum et moyenne induites par le PLU. On assure ainsi aux espaces une vue imprenable sur les toits, et offre à la ville une sous-face, négatif des points hauts, qui accroche le programme public à l’échelle du quartier. La médiathèque s’enroule, se recroqueville sur elle-même,

donnant d’abord une vue sur l’intériorité de l’édifice, puis rayonne et s’ouvre à la ville. Chacun des trois plateaux met en place un système de divisions en hauteurs. Le stockage des livres s’effectuent dans les simples hauteurs, confinées, alors que les espaces plus généreux sont offerts à la lecture et à l’écriture.



documentation 350 m²

reprographie 40 m²

« trésor » fond particulier 200 m²

R+6 +24.00

fiction 220 m² salle animation 120 m²

circulation interne à la médiathèque

audio / vidéo 40 m²

musique / cinéma 200 m²

R+5 +20.00

administration 220 m² hall / exposition 120 m² wc accueil espace de travail 150 m²

adolescents 150 m²

presse / périodique 80 m²

R+4 +16.00

enfants 150 m²



DENSITY IS HOME ?

320 logements à Clichy-la-Garenne (92) 150 chambres étudiantes / 100 studio FJT / 70 logements sociaux Enseignants : Louis Paillard / Éthel Buisson Automne 2011


Le projet propose de mettre en tension un tissu urbain décousu et lâche. L’enjeu de cette parcelle est de structurer et révéler le site, en créant un nouveau morceau de ville. Le programme est fragmenté dans ses 3 entités. La résidence étudiante et le foyer de jeunes travailleurs, aux temporalités limitées, s’incarnent en 2 édifices ; les logements sociaux se fractionnent en 2 bâtiments, aux échelles plus douces. Les 4 bâtiments s’articulent alors pour tenir cette parcelle : la résidence CROUS tient la rue Georges Boisseau, et fait écho au FJT qui affirme la limite de la parcelle

face au cimetière. Entre ces 2 jalons, les 70 logements sociaux s’implantent en 2 bâtiments dont les gabarits sont la résultante des jeux complexes des règlements d’occupation des sols, des prospects, des reculs, et d’une règle de 6 mètres minimum entre les édifices que nous nous fixons. Les bâtiments sont travaillés comme des stèles qui s’accrochent chacune à une limite de la parcelle. Ne disposant d’aucunes limites ni parallèles, ni perpendiculaires, cette approche permet de légers glissements entre les bâtiments. De nouveaux rapports

s’établissent alors, sans confrontations frontales ni trop brutales. S’implantant dans des géométries différentes, ces rapports biaisés offrent alors des perspectives faussées, et jouent sur des profondeurs de champs qui donnent la profondeur recherchée du site. Les bâtiments sont traités dans des matérialités différentes, et les jeux de fenêtres et de façades dynamisent est donnent son caractère à ce morceau de ville extrèmement dense.






SUPERAMA

Plateforme réalisée dans le cadre du Voyage à Nantes Équipe : E. Chauviteau, E. Danais, M. Deck-Roussel, A. De Rougé, C. Dussart, T. Faussurier, T. Gallier, V. Héraud, E. Lapeyre et G. Le Bihan Enseignants : Michel Bertreux / Francis Miguet / Michel Dudon Ingénieurs : MECA / Samuel Durand / Émilien Billaudeau Novembre 2011 - Juin 2012


Le Quai de la Fosse présente à la Loire un grand front bâti fait d’hôtels particuliers du XVIIIème siècle. Dans la barrière érigée, une faille. La rue d’Ancin, large de 1,70m, vient percer entre deux maisons une étroite fissure. C’est de cet écart entre deux maisons que Superama se diffuse dans la ville. Comprimé dans la ruelle, le courant d’air s’incarne dans une explosion de planches de polycarbonate qui jaillit depuis la faille jusqu’à s’offrir à la ville avec force et poésie. Simple et complexe, Superama déploie dans les airs une structure en acier tubulaire, qui amène le visiteur à 7m au dessus du sol, et le projette à près de 8m de la façade, dans le vide.

Une succession d’ellipses en acier s’échappent de la structure tramée de l’échafaudage dans la rue d’Ancin, et se déploient sur la ville. De la structure s’échappent quelques 600 tiges filetées, qui stabilisent dans l’espace les 400 plaques de polycarbonates. La brillance des plaques, leurs chevauchements et leurs positions variées font vibrer un ensemble dynamique, qui capte la lumière, les reflets, et l’ambiance du ciel et de la ville. A l’intérieur, entre translucidité et opacité, de nombreux degrés de transparence affirment un univers perturbant.



De la main Ă la souris et vice-versa





Moeurs

Ralliement

Biologique

Profane

LE MÊME & L’AUTRE

Information

Enseignants : Toufik Hammoudi / Jean Lévêque Printemps 2013

Adaptation

Ce qui nomme roi

Préceptes Géologique

avec Antoine Allain-Dupré Jean-François Caoki David Chadeuf Paul Chenneberg Muriel Cupif Pauline Dilé Marc-Antoine Elie Anaïs Jacquard Charlène Lefeuvre Julie Milovanovic Thomas Rouillon Natalya Yankovska

Adoration

Culture

Développement

Ressource Politique

Matière organisée

Jurisprudence

Circonstance

Filiation Nutrition Mouvements

Cycle

Quirinus Distribution

Formes physiques

Institutions

Place d'échange Action de produire

Tectonique Schisme

Société Singularité

Composition Le territorialisé

Renouvellement

Formes culturelles

Déplacement

Artefact

Etalonnage

Production en série

Adhésion

Pari Cataclysme

Echange

Conservatisme

M

Réel


Jupiter Décomposition

Militance

Mars Souveraineté

Exogenèse Règle

Catastrophe Présevation

Mythe

Allégeance

Valeur

Enseignement

Sacré

Militaire Tendances Hypothèse

Leg Equipement

Ce qui fait roi Climatique

Contestation

Planification

Sur-mesure Dogme

Régénération Artisanat

Edifications

Hérésie

Prototype

Rupture

Hérédité

Doctrine

Endogenèse Production

Format

Archive Particularisme

Biocénose

Le déterritorialisé

Etat

Réforme

Civil

Géodynamique externe Géodynamique interne Administration

Bio

Trajectoire

Expérience

Art

Milieu

Etablissement

Régulation

Gouvernance

Savoir

Liker

Culte

Normes Codes

ts

Modes

Discontinuité

Croyance

Extinction

Formes anthropologiques

Conformisme Stratification

Rite

Alliance


abstrait

concret

Réel ARBORESCENCE élaboration d’un modèle abstrait : système de décomposition du réel, grille de lecture de la multiplicité des phénomènes et de la complexité du monde

Cartographie abstraite dresser une liste de cartographies : traductions graphiques des phénomènes à considérer pour appréhender un territoire

Cartographie concrète instanciation de la cartographie abstraite : application du modèle à notre cas d’étude

tabulations Plan de coupe sur l’arborescence : mise en évidence des relations et pistes de croisements des cartes

Stratigraphie appréhender les relations : croisements des cartes pour dévoiler les formes structurales du territoire

formes structurales structures abstraites qui sous-tendent le territoire : révéler les singularités

singularités définir les singularités du territoire : observer pour agir avec les formes présentes

potentialités lire le récit du territoire pour déceler les possibilités de développement du territoire et les potentiels de projet

délibération citoyenne présentation des Potentiels et propositions dans une démarche claire et transparente vers des choix éclairés

morphogenèse territoriale, urbaine et architecturale


L’hypothèse du morpholab tient en ce qu’il est envisageable de faire projet avec les formes en présences. Par formes, au delà de la plastique, comprenons relations, structures, organisations. Pour cela, le projet vise à construire un modèle qui interroge le processus de projet : mettre en place une méthodologie pour une nouvelle manière d’aborder la conception urbaine et architecturale. Cette démarche est alimentée par un cas d’étude, ici Lisbonne. Exploiter le contexte : construire une machine à décrire le réel pour agir, travailler avec. Dans une démarche pluridisciplinaire, à travers la description du territoire, la méthodologie tend à révéler les formes structurales du territoire, puis ses singularités. Ainsi l’observation et la description du territoire nous donnent les formes pour définir les potentialités et fabriquer le projet. Dans une société - analysée en ce qu’elle est de dispositif mimétique par Gabriel Tarde - où l’on assite au nivellement des pratiques et à l’application de modèles - recettes et références - orchestrés par le marketing urbain et territorial, au coeur de la « ville générique » qui tend à faire des territoires les mêmes, l’approche morphologique tend à développer le projet et le territoire depuis ses singularités. A travers un tisssu de relations intrinsèques et extrinsèques, dans l’ère des phénomènes d’open source, de big data, et donc d’open data, le territoire peut être observé et décrit de manière très précise. En tendant vers l’exhaustivité, le modèle abstrait envisage de considérer la totalité des enjeux et problématiques qui cocernent in fine l’architecture et l’urbanisme. Dans tous les champs disciplinaires, la visualisatin de données occcupe un domaine de recherche privilégié. Tout les champs formalisent. Les données peuvent revêtir des formes, l’architecte travaille avec les formes. Dans cette acception, nous questionnons une nouvelle approche et une nouvelle définition du concepteur.


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FC_PT_PAYS_HOTELS FC_PT_PAYS_MOTELS FC_PT_PAYS_RESTAURANTS FC_PT_VILLE_APPART_HOTELS FC_PT_VILLE_HOTELS_2/3/4/5_ETOILES FC_PT_VILLE_AUBERGES JEUNESSE FC_PT_PAYS_CAMPINGS FC_PT_VILLE_CAMPINGS FC_PT_PAYS_REFUGES FC_PT_VILLE_PENSIONS FC_PT_PAYS_MEMORIAUX FC_PT_PAYS_MIRADORS FC_PT_PAYS_OFFICES_TOURISME FC_PT_VILLE_OFFICES TOURISME FC_PT_VILLE_VESTIGES_ARQUEO FC_PT_PAYS_SITES_CLASSES_UNESCO FC_PL_VILLE_NIVEAUX ARCHEO FC_LN_VILLE_MONUMENTS ARCHEO FC_PT_PAYS_CHATEAUX FC_PT_PAYS_RUINES FC_PT_VILLE_COMPAGNIES AERIENNES FC_PT_VILLE_OFFICES_TOURISME FC_PT_VILLE_STATUES FC_PT_PAYS_AMBASSADES FC_PT_VILLE_AMBASSADES FC_PT_PAYS_DEC_ADM_LIEUX FC_PL_VILLE_AIRES_DE_JEUX FC_PT_VILLE_AIRES JEUX FC_PL_VILLE_ESPACES_VERTS FC_PL_VILLE_PARCS_ET_JARDINS FC_PT_PAYS_PLAGES FC_PL_VILLE_BORDS DE RIVE



mĂŠmoire de master


La mythologie autour de Louis Kahn voudrait que dans son enfance, autour de l’âge de 3 ans, il fut tellement attiré par la lumière et les flammes se dégageant des charbons sur le poêle qu’il ne put s’empêcher de s’en approcher. La tentation de se saisir de cette énergie ne lui laissa que de graves brûlures... Gardant en effet les stigmates de cet accident et de sérieuses marques sur le visages toute sa vie, il est certain que la lumière tient un rôle central dans les recherches de l’architecte. Romancé à la manière d’Icare - fils de l’architecte Dédale - qui se brûla les ailes en essayant d’atteindre le soleil, cette expérience qu’on ne saurait nier pour Kahn participe au charisme du personnage. C’est en tout cas une belle façon d’alimenter le récit des recherches d’un architecte toujours guidé par le souci de la lumière naturelle, à travers une réelle ambition de donner naissance à une expression architecturale digne du XXème siècle. La question du contexte est une donnée importante pour cerner le personnage.

Ainsi, cette aventure me mène à revoir la pratique architecturale du XXème siècle dans sa globalité (réalisations, projets, expositions, théories, manifestes et influences...). Resituer l’architecte dans la nébuleuse de ses pairs est un paramètre important pour comprendre le travail de Kahn. Au même titre, il est intéressant de percevoir l’évolution de la pensée de Kahn à travers ses projets et ses écrits. L’enjeu de ce travail est enfin ouble pour moi. Dans un premier temps, j’ai cherché à voir, lire, comprendre la pratique de l’architecte américain. Entrer dans les rouages d’une mécanique projectuelle dense et complexe, dans laquelle le protagoniste créé son propre vocabulaire, redéfini ses propres notions, et élabore un réel way of life, façon de faire de l’architecture. Dans un second temps, c’est un axe de réflexion plus personnel sur la question de se positionner en tant qu’architecte, en 2013... Ce travail intitulé « La leçon du passé, la distance des modernes » est une relecture de la pratique de l’architecte américain

Louis Kahn à travers la bibliothèque Exeter. C’est avant tout un prétexte pour creuser l’approche de projet de Kahn, à travers une réalisation emblématique, puis des conférences, cours, écrits, et témoignages de collaborateurs. C’est également un questionnement plus large, sur le positionnement d’un architecte, de l’architecture. Comment peut-on le définir par rapport à ses contemporains ? Vis-à-vis de la modernité ? Quels rapports entretientil avec l’histoire, avec une forme de tradition de sa formation finalement très française, avecla temporalité ?



Expériences personnelles EXPLORATIONS COMPETITIONS


conception d’une maison individuelle Projet de 120 m² réalisé pour un couple d’amis Conception > Permis de construire Printemps 2010

La commande concerne une petite maison individuelle de 120m² pour un jeune couple. Dans un volume simple, préconisé par le réglement d’urbanisme, le projet inscrit l’haitat dans un premier volume de base carré, avec une toiture à deux pentes. Un second volume, pour le garage, est accolé à la maison. Le projet s’implante, dans les règles de retrait, à l’est de la parcelle, pour dégager un maximum de jardin à l’ouest. La construction en ossature bois offre un angle sud-ouest très ouvert sur ce jardin, appréhendé par une large terrasse. On propose au rez-de-chaussée un espace peu séquencé, mélant séjour et bureau, sur lesquels s’ouvre la cuisine. A l’étage, on trouve 2 chambres et une salle d’eau. Cette première expérience indépendante a permis de se confronter à de réels maîtres d’ouvrage, à des contraintes réglementaires et budgétaires concrètes, et de mener à bien un projet.



habitat collectif : 12 logements Projet abordĂŠ en agence EtĂŠ 2013


Projet abordé en agence (emploi temporaire été 2013), il s’agit d’un programme de 12 logements, répartis en six T3 et six T4, ainsi que des locaux de commerce ou service. Sur la parcelle de 1400m², située en angle, le projet s’implante en soulignant les deux rues. Les locaux professionnels au rez-de-chaussée forment le socle en L. Les logements se répartissent sur trois niveaux, dans un volume qui suit la rue principale. Au R-1, le parking est accessible depuis la rue en fond de parcelle grâce au fort dénivellé. Tous les logements sont traversants, distribués par deux halls d’entrées. Le volume se creuse au rez-de-chaussée pour y trouver les accès en léger retrait de la voie publique. A l’Est, sur la rue, les chambres disposent de volets qui ferment totalement la façade qui devient complétement aveugle à l’heure du coucher. A l’Ouest, les séjours s’ouvrent largement. Tous les T4 disposent d’une loggia.


GHOST TOWN CHALLENGE Karosta Cultural Center, Liepaja, Lettonie Avec Adnane El Younsi + Nathan LouĂŤrat Hiver 2013



On peut lire l’ancienne cité militaire comme une vaste étendue plane, comme posé sur une dalle. Les bâtiments implantés sur des trames orthogonales développent un système de barrières - visuelles et physiques. Au coeur de ce système, un objet rayonnant, la cathedrale St Nicholas. Le projet à l’ambition de révéler le site et de se le donner à voir. Le projet s’approprie le vocabulaire, le découpage orthogonal et le système de bandes du site, et développe à partir de ce motif une nouvelle topographie pour révéler la structure de l’environnement bâti. Le programme est fractionné : deux bandes séparées marquent les rues à l’Est et à l’Ouest de la parcelle, orientées vers la cathédrale. Les 200 places de parking sont enfouies sous un espace public généreux qui élève la vue. Le centre culturel affirme l’angle Ouest, et offre un point de vue sur la cathédrale. Entre les deux, un vaste espace public, séparé aussi en deux entité : une place minérale et une élancée végétale. Dans une étroite bande bâtie se développe le centre culturel : bibliothèque, centre d’art, salle d’exposition, auditorium... Ces strates émergentes du sol sont couverte de panneaux en aluminium perforés, qui permettent de varier les ambiances lumineuses intérieures selon les besoins et usages.



The traveler gets off the train. He arrives in Detroit for a business meeting. The monumentality of the station from the early 20th century shows his stability and posture. The heavy facade made of brick walls is punctuated by metallic emergences growing from the original iron bones. Three abstract squares and a new coping are exhibited to the traveler. These thin and light elements are working through the weight and the thickness of the building. The elegant pieces highlight and underline the structure of the old station. Poetry arises from the tight relationships between the old and the new. The late lights are playing with volumes and materials and offer by contrasts a respectful link. The 4 emergences are resonnning with the programmatic rebirth of the central station : workshops for artists, exhibition areas, a conference center including a large auditorium, and some housing units (residences and hotel rooms). The lightning boxes reveal the inside uses. The traveler can imagine the hive of activity that reigns behind and aroud the strong walls, in

the thickness, in the heart of the building. First he get down under the railway before emerging in the first hall, where he can spend several minutes to walk through the temporary exhibition. Deeper in the station, the height of the historical ceiling lets the traveler hear the sound of the restaurant on the left. There he could later enjoy dinner on the refurbished original rooms. On the right, the main lobby, information center and shops. Then reaching the main entrance, in the large hall takes place an other exhibition. Here the traveler meet his client. The traverler is a painter. Or a photographer or a film director. Maybe a dancer or a graphic designer. From the lobby, he is led to his apartment that takes place in one of the wing of the station. Once he left his luggage, he can enter the heart of the factory. The principal body of the building is empty. The entire floor is an open and free space, inhabited by a forest of posts and beams that let the light slipped from one facade to another. To favor the unchanging north light, the south elevation

DeTROIT sTATION FOR THe ARTs Concours, RĂŠhabilitation de la gare de Detroit Mars 2015

DSFA detroit station for the arts

comes unstuck from the floors. The void creates an atrium, a link between the different workshops levels. Except this space managed between the wall and the floor, nothing have been done in the interiror. Here stands the original spirit of the famous abandonned building. Here and there some artists set their working units and share the plateau that is put in tension between the thick facades. The only element actually built is the common atelier : one emmergence fitted and working as a factory. This is the first step, the traveler will start working to create his own working space, then he could also do some big scale works. There are 2 common ateliers, with various heights. The fault along the south facade is fitted with a gantry crane that allows moving works from the common spaces to individual ateliers or exhibition rooms. During the residence of several weeks, artists can work night and day. This time will end and be concluded by an exhibition in one of the rooms or halls of the station.


The traverler is fascinated by arts. He comes this weekend to visit an old friend, a photographer. Off the train, he walks through the exhibitions before he can get the keys of his room. The hotel stands on top of the station and gives to the room incredible views on Detroit. The room is also playing with thcikness : the duplex offers a room extended from one side of the building

to another. Put in a distance from the facades, the metallic filters play with lights and the sky. At the foot of the hotel, the bar takes place in the never-used upper floor of the original station. Resonning with this historical use, the level stays empty. It’s a large terrasse in the open air, thought as a public space, open to everyone. The structure of the building is

exposed and revealed : posts and beams, heavy facades. The bar is open, on the outside stand happenings and exhibitions. The traveler reach the atelier to meet his old friend. Then they can spend some times in the common space of the large workshop to discuss his work and exhibition to come.

hotel rooms

bar / terrasse

exhibition area

auditorium

atelier

gallery

main entrance / exhibition area


Habillage des points de mutualsation de la fibre Appel à idées MANCHE NUMérique Avec Adnane El Younsi Printemps 2014

La réponse à cet appel à idées naît d’un double constat : le paradoxe de l’émergence matérielle d’un réseau de connexion et de données virtuelles. D’abord les points de mutualisation témoigne de la présence d’un réseau de communication sous-jacent ; mais ce point est très concrètement et solidement attaché au territoire par un même jeu de racines, de connexions. C’est à partir de ce double enjeux que se développe le projet, sur la dualité de deux approches de la matière. D’abord le point de mutualisation émerge d’un réseau vivace. A l’image d’un sujet végétal, il se couvre d’une robe légère et vibrante, faites de centaines de cils qui oscillent au vent. C’est là sa dimension matérielle. Cette vêture protège un coeur tout aussi

intense (combien de millions de giga de données ?) : c’est donc par la matière lumière que s’exprime parallèlement le projet. Le shelter devient une lanterne, composée de panneaux perforés. On peut jouer ensuite et décliner un motif, une toile impressionniste, ou faire apparaître le logo de cette émergence qui devient un support de communication pour le mouvement en marche de l’internet partout, pour tous. C’est donc par le double jeu de la lumière, rayonnante depuis un coeur et diffusante à travers les cils, que les points de mutualisation sont amenés à ponctuer et recouvrir le territoire. - Structure bois - Panneaux perforés bois - tube PVC transparent - diamètre 1cm


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ExpĂŠriences professionnelles



RÉHABILITATION D’UNE GRANGE EN HABITATION Projet réalisé dans le cadre d’un emploi temporaire Agence LA COURSIVE, Falaise (14) Été 2012 Le projet réside en la réhabilitation d’une grange, dépendance d’une maison, en habitation. Les ouvertures sont conservées, la spatialité s’organise autour d’un vide qui s’appuie sur deux murs de refend existant. Au rez-de-chaussée, l’entrée offre un généreux espace d’exposition, qui dessert ensuite deux chambres, les pièces d’eau et un atelier. Le vide s’appuie sur un «mur-écran» qui structure la scénographie de la maison : c’est derrière cette paroi que se trouve l’escalier pour accéder aux espaces de vie. Tournant autour de cet écran, l’escalier abouti sur une petite coursive qui relie la partie cuisine / salle à manger et le salon / bibliothèque. A l’étage l’espace est traversant. La bibliothèque, les sanitaires et la cuisine s’inscrivent dans une bande servante, située à l’arrière de l’écran.

L’espace de vie se situant à R+1, une plate-forme prolonge cette bande servante à l’extérieur pour offrir une large terrasse distribuée par la cuisine / salle à manger. Sur ce projet, j’ai pu développer l’esquisse, et suivre le projet jusqu’au dépôt de permis de construire de manière quasi autonome. J’ai réalisé les pièces graphiques (plans, coupes, perspectives) et participé aux rendez-vous et présentations du projet au maître d’ouvrage.



EXTENSION D’UNE MAISON INDIVIDUELLE Projet réalisé dans le cadre d’un emploi temporaire Agence LA COURSIVE, Falaise (14) Été 2012

Il est question ici de l’extension d’une maison individuelle. La maison est composée de deux volumes, inscrits dans le prolongement de la maison mitoyenne. Le projet ne rompt pas avec le rythme de l’existant, et vient s’ajouter au gabarit, comme l’étirement du pignon. C’est dans sa matérialité que la différentiation ancien / contemporain s’incarne. La commande prévoit de créer une entrée pour la maison, un escalier pour accéder à l’étage, ainsi qu’un

garage et un atelier. Prolongeant le gabarit de la maison, l’extension propose une peau métallique qui enveloppe le volume créer. Cette vêture se soulève au nord pour donner l’entrée et la porte du stationnement, au sud, elle s’effrite en lamelle pour protéger la façade placée en retrait. Cet espace abrite une coursive desservie par l’atelier au R+1. A l’étage, on trouve un nouvel accès aux chambres existantes, et un espace réservé pour une

possible salle d’eau future (non demandée dans le programme initial). Sur ce projet, j’ai pu développer l’esquisse, et suivre le projet jusqu’au dépôt de permis de construire de manière quasi autonome. J’ai réalisé les pièces graphiques (plans, coupes, perspectives) et participé aux rendez-vous et présentations du projet au maître d’ouvrage.



ENET-DOLOWY

Urbanisme et Paysage Au cours de 2 ans au sein de l’agence, avec une douzaine d’architectes et paysagistes, j’ai eu l’opportunité d’aborder de nombreuses approches de projet : scénarii, esquisse, AVP, faisabilités, et production graphique (plans, coupes, schéma, perspectives...) sur une dizaine de projets et quelques concours. Il s’agit principalement de projet d’habitat, quelques secteurs d’activités et renouvellement urbain. J’ai plus particulièrement suivi une ZAC de 72ha en périphérie urbaine, répartie en sept phases depuis 2002. Sur cette même opération, j’ai pu appréhender toutes les étapes du projet urbain : scénarii d’aménagement, plans de prescriptions et suivi et visa de PC des projets construits sur la ZAC.




GRAPHISME

Réalisation d’affiches et flyers pour divers concerts, festivals, ...


madrid /2015

berlin /2013

ROMA /2010


san sebastian /2014

porto /201

santiago de compostela /2015


cascais /2013

BRAGA /2010

PORTO /2010


liboa /2013




FLOR IAN VIMAR D architecte d. e.

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florian.vimard@gmail.com

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