PORTFOLIO FLORIAN BOUR
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CV
Florian Bour né le 11 juillet 1990 à Sarreguemines (57) résidence actuelle 52 rue donissan, 33000 Bordeaux 07 67 46 57 61 bourflorian@gmail.com
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Formation
Experience
2020
Mediation, transmission, partage Bordeaux - France
2019
Montage d’exposition Bordeaux - France
2018
Cours Florent Bordeaux - France
2017
Diplôme de HMONP Bordeaux - France
2016
Diplôme d’architecture Ecole d’architecture La Cambre-Horta Bruxelles - Belgique
2015
Master 1 d’architecture Université Ion Mincu Bucarest - Roumanie
2014
Licence d’architecture Ecole d’architecture La Cambre-Horta Bruxelles - Belgique
2011
Architecture du paysage Ecole Agro-Bio Tech Gembloux - Belgique
Stage dans l’atelier d’architecture et de paysage Arjm Bruxelles - Belgique
2010
BAC S mention bien Lycée Jean de Pange Sarreguemines - France
Workshop - Construction de maison en adobe Mutambi - Kenya
Compétences Français Anglais Autocad Vectoworks Archicad Artlantis Suite Adobe V-Ray Sketchup
Centre d’architecture arc en rêve, pôle pédagogique Bordeaux - France
Chef de projet au Bureau Baroque Bordeaux - France
Chef de projet à Dauphins architecture Bordeaux - France
Chef de projet dans l’atelier d’architecture War Rome - Italie
Stage dans l’atelier d’architecture King-Kong Bordeaux - France
Stage dans l’atelier d’architecture Zeppelin Bucarest - Roumanie
Stage ouvrier chez les tailleurs de pierre de l’oeuvre Notre Dame (cathédrale) Strasbourg - France
Activités et interêts Théatre Illustration Danse Piano Boxe Voyage
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INDEX 2020
PROTO - HABITAT
2019
ATELIER
2019
VEJA x DARWIN
2019
MAGASIN GENEREUX
2019
LE PAN DU JOUR
2019
LE ROSEAU ET LE DRAGON
2018
B5G
2018
BARGE 90
2018
MAISON PIVOINE
2017
GREZZANA
2017
LAVOIR
2017
APPARTEMENT
2017
MEDIATHEQUE
2016
EIMAD
2016
NID
2016
INTERSTICE
2015
HIBRIDE
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Visite architecturale
enfants
p. 6-7
Action éducative
enfants
p. 8-9
ESQ
Logement privé
p. 10-11
PRO / EXE
Equipement public
p. 12-13
Projet réalisé
Equipement public
p. 14-15
Concours
Equipement public
p. 16-17
PRO / DCE
Logements collectifs
p. 18-19
Terrtiaire
p. 20-21
Logement privé
p. 22-23
Concours
Equipement public
p. 24-25
Concours
Rénovation
p. 26-29
Projet réalisé
Logement
p. 30-35
Concours
Rénovation
p. 36-39
Réhabilitation
p. 40-43
Master 2
PFE
p. 44-51
Master 2
Mémoire de fin d’étude
p. 52-53
Master 2
Option logement
p. 54-57
ESQ / AVP / PRO ESQ
Marché négocié
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2020 arc en rêve journée nationale de l’architecture
PROTO-HABITAT Dans le cadre des journées nationales d’architecture, arc en rêve a organisé des visites du proto-habitat réservées aux enfants. Habiter un espace construit pour se loger et/ou travailler, est un sujet ouvert à la réflexion et au renouvellement des pratiques. Les défis à relever sont exigeants, pour la conception architecturale, la fabrication urbaine, ou encore l’appropriation par les habitants. Les architectes se sont investis dans un travail centré sur l’innovation architecturale et urbaine à travers leurs expériences françaises et européennes. En s’impliquant sur des projets démonstrateurs à Londres, à Paris, et aujourd’hui à Bordeaux en Aquitaine, ils développent une culture de la recherche appliquée qui caractérise leur positionnement professionnel d’architecte. À partir de leur recherche, en Europe, sur les nouvelles façons d’habiter, les nouvelles représentations du chez soi, et les modes de production des logements, les deux architectes posent les bases de nouveaux modèles d’habitat en prise directe avec les questions écologiques, économiques et les changements de société.
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2019 - 2020 arc en rêve actions éducatives
ATELIER Apprendre à aimer l’architecture en proposant des situations d’expérience. Sentir l’architecture en jouant avec des signes, des formes, des couleurs. Découvrir dans l’univers des objets, des techniques, des images, le monde de l’invention. Comprendre l’urbanisme en marchant dans la ville, en racontant sa ville, en jouant à construire, ensemble. Des dispositifs pédagogiques à l’attention des enfants et des jeunes en milieu scolaire Des stages de formations pour les adultes, les étudiants, les jeunes architectes, paysagistes et urbanistes Des séminaires à l’attention des professionnels de l’aménagement, enseignants, élus Le programme d’arc en rêve, de référence internationale et d’implication locale, éveille le désir d’architecture, invite à la création, et ouvre le regard sur le monde en mutation. Expositions, visites commentées, rencontres, ateliers, formations, lecture de paysages, promenades d’architecture et parcours urbains sont autant d’actions qui s’adressent à tous les publics, pour découvrir et questionner les formes, les acteurs, et les processus qui façonnent le cadre de vie, ici et ailleurs.
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2019 Bureau Baroque chantier Equipement public
VEJA X DARWIN Un lieu test de réparation et de recyclage, pour lancer le magasin du futur à Bordeaux. Darwin est un lieu différent, un terrain de jeu grandeur nature de l’innovation écologique et sociale, inspiré par les cultures urbaines. Lancé à Bordeaux en 2007, son fondateur Philippe Barre a eu l’envie et le courage de rénover cette ancienne caserne et d’en faire un lieu alternatif, un espace de partage et de réflexion sur la place de l’entreprise au service de l’intérêt général et collectif. Cet espace rassemble 50 associations et 200 entreprises, brisant les modes traditionnels d’intégration de l’art, du commerce, de la culture, du travail et du sport. Aussi connu pour ses espaces coworking, Darwin est un lieu de partage. Cette ancienne caserne militaire de 90 000 m2 sur le Quai des Queyries dynamise la rive droite de Bordeaux. Elle accueille près d’un million de personnes chaque année, 800 personnes y travaillent chaque jour, et ce chiffre tend à augmenter dans les mois à venir.
VEJA a choisi ce lieu hybride pour lancer son nouveau projet : un espace destiné à nettoyer, réparer et recycler ses anciennes paires. VEJA x DARWIN rassemble des prototypes de VEJA jamais lancés, des baskets comportant des défauts minimes à prix réduits et quelques paires d’anciennes collections.
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2019 Bureau Baroque PRO / EXE Equipement public
MAGASINS GENEREUX Les Magasins Généreux, un ensemble d’activités éclectiques et complémentaires parmi lesquelles en font parti malgré eux le bureau baroque. Nous sommes au coeur du chantier et avont à notre charge toute la partie scénographie et aménagement de ces 10 000m2. Parmi lesquel nous trouvons : Un espace polyvalent d’expositions et de performances artistiques Un concept store unique au monde Un torréfacteur d’exeption L’ensemble du projet est généreux dans la richesse du programme : auberge de jeunesse, restaurant, artisanat, halle polyvalente, ateliers, campus universitaire – généreux dans les circulations et la halle jumelle, véritables lieux d’appropriation. Nous privilégierons les interstices, les entre-deux, là ou la vie prend place. Naturellement, construire le long des quais de Queyries s’est imposé comme un signal face à la Garonne et à sa rive historique, un marquage de l’entrée du site. Le premier bâtiment est donc un lieu d’hospitalité : appelée la Sentinelle, cette construction accueille l’auberge de jeunesse, un restaurant, des commerces. Deux travées de la Halle Basse seront conservées pour accueillir un espace polyvalent. La halle jumelle reste à l’identique. Vers l’intérieur de la caserne, la Halle Haute est réhabilitée et surélevée pour accueillir un campus et des espaces partagés dans un écrin en bois. L’ensemble des murs en pierre de la périphérie est conservé.
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2019 Dauphins architecture Chantier Equipement public
LE PAN DU JOUR Implantée dans la continuité de l’école maternelle et élémentaire de Cénac, la nouvelle salle d’évolution complète l’offre de la commune en offrant un espace multi-activités favorisant la vie associative tout en déployant un bâtiment à économie d’énergie. Cette nouvelle salle conviviale couvre une partie du parvis minéral. Un accès au nord mène directement sous l’auvent depuis l’entrée de l’école maternelle protégeant du soleil et de la pluie. Un tronc se dresse devant l’entrée faisant signal pour les hommes et refuge pour les cigognes. Le toit s’inscrit dans la continuité des gabarits bâtis existants. Il s’étire de l’église au point haut du site jusqu’au point bas de la nouvelle entrée de l’école maternelle. Cette inflexion lie le très grand et le plus petit. Les enfants et les priants regardent le même paysage ; les uns levant la tête vers le ciel, les autres plongeant le regard vers le sol. Sa ligne élancée insuffle une dynamique et un élan au corps à l’image des activités qui vont s’y dérouler. Cette ligne marque une noue en son centre délimitant l’espace des deux aires d’évolution. Elle ouvre largement le projet sur ses deux pans est et ouest libérant ainsi la façade nord pour une future extension.
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2019 Dauphins architecture Concours Equipement public
LE ROSEAU ET LE DRAGON Le langage architectural du nouvel équipement convoque pour cela à la fois l’archétype de la chaumière et celui de l’architecture de patio. L’épaisseur de la chaume en toiture et en façade autant que l’enroulement du projet autour d’un patio participent à l’équilibre des activités du bâtiment et à son expression résolument contemporaine. L’implantation du projet est dictée par les forces en présence ; au nord l’architecture de patio de l’école et sa cour centrale préservées, à l’ouest les vieux chênes, à l’est l’entrée sur le site de l’école contenu par le réfectoire et au sud la nouvelle voie Guy de Maupassant pacifiée. Au devant de la « scène publique », il structure l’entrée du site et dégage un parvis minéral généreux en partie abrité. Un dispositif de auvent facilite cette déambulation à couvert vers les différents éléments du programme. Il est support de biodiversité créative…. Des nichoirs, des plantes grimpantes, des couleurs flamboyantes, il sera le totem co-crée avec les habitants du quartier, les enfants de l’école et l’artiste retenu; aujourd’hui, il est une première ébauche. Le patio, espace à ciel ouvert organise de façon rationnelle le plan et la géométrie du programme. Il concentre les accès aux fonctions actives du projet ; sur le pignon sud les annexes de quartier, celui de l’est la salle polyvalente projetée vers le quartier, et sur la façade sud du patio l’entrée dans le hall traversant en lien direct avec la cour de récréation de l’école au nord. De proportion rassurante, à la mesure des enfants, le nouvel équipement public de Brossolette est un organisme solaire vivant à la vêture noble; qui respire et se régule naturellement.
Enveloppe biosourcée performante
Panneaux photovoltaïques
Récupération des eaux de pluie au centre de la cour
Valorisation du patrimoine existant Rénovation écologique
Qualité de l’air, ventilation naturelle
Protection solaire efficace
Auvent, préau, concertation autour du «1% artistique»
Parvis d’entrée, lieu de rencontre, zone appaisée
Schéma axonométrique - principes environnementaux
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Cloture
Toiture chaume
Puit de lumière éclairage complémentaire
Support de biodiversité 1% artistique
Volume traversant
+5,70m
+2,30m
Parking existant / Accès personnel
+5,70m
+2,70m
+2,30m
Jardin multi-accueil
Salle à manger
+2,30m
Salle d’activités
accès hall
Entrée de l’école
Réfectoire «rafraîchi»
Coupe 1 est-ouest - 1/200
Zone appaisée Confort thermique et acoustique de la chaume
Pérennité de la chaume pente > 45%
Puits de lumière éclairage complémentaire
+5,70m
+5,70m
+2,70m
Parvis Guy de Maupassant
+2,70m
+2,30m
Salle polyvalente
Co-visibilité entre les batiments, lieu de respiration
Ventilation naturelle par tirage thermique
Jardin et accès multi-accueil
+2,70m
Hall d’accueil
Préau 01
Préau 02 - Cour partagée - Zone de co-visibilité
Coupe 2 nord-sud - 1/200
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2019 Dauphins architecture PRO / DCE Logements collectifs
B5G Réhabiliter une barge des années 50 nous conduit vers les domaines de la préservation d’une forme de patrimoine et de sa valorisation par de nouveaux usages. Un programme tourné vers les entreprises : le client a l’ambition de leur proposer une alternative aux espaces de travail dit “conventionnels”. C’est un particulier qui est venu nous voir pour nous parler de ce projet. L’analyse de la barge ne peut se faire qu’à partir d’anciens documents graphiques, étant donné que le flotteur est en ce moment même immergé dans les eaux des bassins à flots. L’intervention d’une maitrise d’oeuvre complète est nécessaire. Non seulement un bureau d’étude technique, fluide, ingénierie, structure, mais surtout un bureau d’étude maritime est impératif. De nombreuses réunions de conception, discussion, précisions ont été nécessaires, ainsi que plusieurs présentations devant l’Atelier des Bassins. Le bureau d’étude technique maritime est particulièrement attentif, et nous met en garde sur de nombreux points qui pour nous, architectes de sol, sont très différents de notre réalité habituelle : le point de gravité unique que possède un bateau, le lestage, les cloisons étanches qu’il faut positionner ou encore le niveau de l’eau qui reste un élément qui peut considérablement modifier le projet.
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2018 Dauphins architecture ESQ / AVP / PRO Terrtiaire
BARGE 90 Réhabiliter une barge des années 50 nous conduit vers les domaines de la préservation d’une forme de patrimoine et de sa valorisation par de nouveaux usages. Un programme tourné vers les entreprises : le client a l’ambition de leur proposer une alternative aux espaces de travail dit “conventionnels”. C’est un particulier qui est venu nous voir pour nous parler de ce projet. L’analyse de la barge ne peut se faire qu’à partir d’anciens documents graphiques, étant donné que le flotteur est en ce moment même immergé dans les eaux des bassins à flots. L’intervention d’une maitrise d’oeuvre complète est nécessaire. Non seulement un bureau d’étude technique, fluide, ingénierie, structure, mais surtout un bureau d’étude maritime est impératif. De nombreuses réunions de conception, discussion, précisions ont été nécessaires, ainsi que plusieurs présentations devant l’Atelier des Bassins. Le bureau d’étude technique maritime est particulièrement attentif, et nous met en garde sur de nombreux points qui pour nous, architectes de sol, sont très différents de notre réalité habituelle : le point de gravité unique que possède un bateau, le lestage, les cloisons étanches qu’il faut positionner ou encore le niveau de l’eau qui reste un élément qui peut considérablement modifier le projet.
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2018 Dauphins architecture ESQ / AVP Logement
MAISON PIVOINE Le volument de la maison existant et son orientation ne permettent pas aux habitants de jouir plainement des possibilités du site dans lequel il s’inscrit. L’enjeu est d’offrir à cette maison une réelle ouverture sur le paysage qui l’entoure et de créer un dialogue avec celui-ci par le biais d’un conception bioclimatique. Une réhabilitation lourde s’impose. Le volume préssenti en prolongement ouest de l’emprise de la maison agrandirait le gabarit existant. Cela permettrait de préserver la terasse établie à l’est et d’offrir une façade plus généreuse pour l’exposition solaire au sud. Cette prolongation du volume bâti permettrait une reconfiguration de l’agencement intérieur créant une continuité est/sud/ouest entre les pièces de vie principages, à savoir la salle à manger, la cuisine et le séjour. Projet adulé par la maitrise d’ouvrage, mais refusé par la mairie. Le plan d’urbanisme local est considéré comme strict en matière d’extension et notre intervention ne le respect pas vraiment.
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Foyer Chambre Marie
18.19
Séjour
40.51 Cave à vins
Entrée
4.96 Patio
Cuisine
20.37
19.31
toilette Arrière cuisine
seche
Jardin d'hiver
sdb Buanderie
Chambre parentale
15.52
Salle a manger
19.31
11.61 Entrée
RDC
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2017 War Concours Equipement public
GREZZANA Un bâtiment réflêchi dans le cadre d’un concours pour une nouvelle école aux abords de la ville de Parme. Le terrain domine la ville, lui-même surplombé par des collines ; au loin les montagnes des Pyrénées. Cette école est faite pour permettre aux enfants de profiter de l’espace exterieur le plus souvent possible : c’est l’enseignement par la nature. La campagne est dominante dans nos esprits lorsque nous dessinons. Aldo Rossi et Arata Isozaki Kitakyushu sont les deux réfférents qui ressortent de ce projet : le toit en cuivre oxydé et les façades en béton blanchi à la chaux. L’amusement est le principal espoir de l’écolier. L’amusement est notre principale direction lorsque nous commençons un nouveau défi de projet. Malheureusement après avoir gagné le concours, la ville a décidé de l’annuler par manque de moyens.
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2017 War Concours Rénovation
LAVOIR Réaménagement d’un lavoir construit en 1764 par Alexander et Giulio Quinzi et restauré en 1865. Il a joué pendant longtemps la fonction d’abreuvoir et de blanchisserie publique. Le thème nous a directement intéressé et nous avons décidé de l’affronter. Nous avons débuté ce concours avec plusieurs citations, la première est de Tessenow : « Si ce qui est simple n’est pas toujours le meilleur, le meilleur est toujours simple. » Ou, étant donné la dimension ludique d’une prairie de pays, parlant de Cruyff, quand il dit: « Jouer au foot, c’est très simple mais jouer simplement au football est la chose la plus difficile qui soit » Nous avons compris immédiatement le projet comme un exercice à l’encontre de tout acte arbitraire de la création. La fontaine est à entreprendre comme une présence discrète, mais évocatrice. Capable de garder intacte la leçon d’un monument. Un moment, une lumière, précis et rationnel, s’apparentant à une culture du passé que l’on ne doit pas perdre. Une culture agrégative et digne. Le projet est réalisé par des actions qui deviennent des éléments architecturaux, jamais antagonistes à la fontaine elle-même. Peu d’éléments capables de sublimer une vocation ancestrale de l’accès à l’eau. Quelques éléments simples : Un double escalier, compris et protégé par deux hauts murs, comme un moment pour une vue d’ensemble et l’ascension contemplative vers la montagne. Un banc en zig-zag, comme élément qui appelle à une utilisation ludique et, organise une zone métaphysique derrière la fontaine. Enfin, une stèle, capable de transmettre à la postérité l’histoire que nous racontons. Une exposition d’objets qui nous permettent de marcher lentement ou de courrir, le tout en récupérant des souvenirs perdus. L’hypothèse de la conception prévoit l’agencement de la zone entière de Fontanile.
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2017 War Projet réalisé Logement
APPARTEMENT L’appartement se trouve dans un bâtiment remarquable à Rome, il occupe une partie du rez-de-chaussée d’un couvent de la fin du 18ème siècle. Les origines particulières des chambres justifient la présence de petites fenêtres et de généreuses voûtes, qui deviennent l’une des caractéristiques les plus inhabituelles du nouvel appartement. L’intervention visait en même temps à effacer les ajouts posthumes, comme le faux-plafond cachant la voûte principale, mais aussi à montrer et à préserver avec fierté certains des éléments qui témoignent du passage du temps et du changement de programme. Certaines des solives de comptoir, des tuyaux HVAC, modestes portes en fer forgé, sont réarrangées comme des objets trouvés et faisant maintenant partie de la conception de l’appartement. Certains nouveaux éléments, comme la colonne de douche en béton, les escaliers ou les blocs de verre, sont traités de manière similaire, créant une friction avec ceux existants. La chaleur du bois de la chambre en contraste avec le béton façonné du salon. Les carreaux ronds de la salle de bain avec les plus rigides de la cuisine, la douceur des voûtes blanches finies avec le traitement de surface rugueux des murs. Les choix minutieux des matériaux et des couleurs essaient de souligner cette friction, en donnant à chaque élément et surface sa propre identité, tout en considérant la dynamique globale afin d’obtenir une composition équilibrée. San Girolamo est né en Istrie et est mort à Bethléhem, en Palestine. Il reste l’un des acteurs les plus représentatifs de toute l’histoire de l’art occidentale. Dans l’intrigue de ses tableaux, il n’est pas possible d’exclure les objets petits et insolites entourant le Saint, avec une certaine dimension iconique. Mike Rogers peut-il les interpréter comme des préexistences environnementales ? Qui sait combien ont réellement été réalisés par Girolamo lui-même ? Les a-t-il empruntés ? Les a-t-il recueillis ? Les a-t-il pris au cours de ses longues promenades à la frontière de la ville, à un pas du mystère du désert ? Était-il jaloux d’eux ? C’est ainsi que la maison a eu lieu, c’est ainsi que nous procédons à la conception d’une architecture consciente.
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2016 King-Kong Concours Rénovation
MEDIATHEQUE Projet d’extension de la médiathèque Pierre-Moinot à Niort. L’édifice existant jouit d’une situation privilégiée en bord de Sèvre mais souffre d’une organisation aujourd’hui obsolète. Pourtant son vocabulaire architectural un peu passé n’est pas sans charme. Nous décidons de l’enrichir par l’usage. La convivialité est au cœur de la rénovation de la médiathèque. Sont prévues une refonte entière de l’espace avec la création d’un auditorium en gradins de 99 places, la requalification des locaux qui abritent actuellement le fond local et la création d’une liaison vitrée enjambant la Sèvre entre les deux entités bâties. 600 m² supplémentaires sont mis à disposition du public grâce à cette extension et à la réorganisation de l’espace administratif. Une optimisation des performances énergétiques du bâtiment permettra, tout en faisant des économies, d’assurer un maximum de confort aux usagers. Le rez-de-chaussée est consacré à la lecture des publics adultes et adolescents tandis que les enfants sont accueillis au premier étage où l’on trouvera également la section audiovisuelle. Un espace est réservé aussi aux jeux vidéo et aux équipements numériques. L’ensemble est accessible aux personnes à mobilité réduite notamment grâce à l’installation d’un troisième ascenseur. La qualité architecturale à été l’un des principaux aspect sur lequel nous avons passé du temps, l’insertion dans le site du projet y compris la façade extérieure avec le principe de coursive et le bâtiment de liaison dans sa perception qualitative et contemporaine adossé aux bâtiments existants ayant chacun leur écriture architecturale. La qualité des ambiances intérieures par niveaux à été respécté, de même que les exigences générales du programme fonctionnel et technique.
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2016 King-Kong Marché négocié Réhabilitation
EIMAD Opération de travaux du bâtiment les Ursulines, à Brignoles. Marché négocié remporté. D’un point de vue programmatique, il s’agissait de réorganiser un ancien batiment des années soixante en une EIMAD moderne - Ecole Intercommunale Musique Arts Danse. Mais l’histoire du projet permet d’aborder une dimension plus riche de l’édifice. Les recherches permettent de mettre au jour la préexistence d’un plan en croix, dû à l’ancien usage religieux du lieu. Donner à lire ce passé distinguera notre projet. Le bâtiment a la particularité de desservir sur deux niveaux différents, ce qui pourrait être considéré comme un défaut, nous nous en sommes servis comme d’un atout. Les contraintes devenant catalyseur. Réorganisant les circulations verticales aux quatre coins de l’enveloppe, il en devient assez facile d’organiser alors les répartitions entres les espaces privés, publics et semi privés. Les plateaux se succèdent, des doubles niveaux apparaissent comme l’auditorium principal du hall d’entrée, nous avons décidé de garder une connexion visuelle entre tous les étages vers le hall d’accueil. La salle de danse étant la plus privative, nous l’avons placé au sommet du batiment afin de capter le plus de lumière possible et afin d’offrir une vue générale de la ville de Brignoles, comme l’opéra de Jean Nouvel dans la ville de Lyon.
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2016 Master 2 Jean-Marc Sterno Guy Adant PFE
NID Manifeste Le crédo de l’école de Chicago, école de l’écologie urbaine était à peu près celui-ci : En créant la ville, l’Homme s’est recréé lui-même. En recréant son propre monde en dehors du monde il créait les conditions d’une nouvelle naturalité, celle de l’Homme urbain. Une espèce nouvelle donc, qu’il convenait d’étudier au sein d’une science nouvelle, l’écologie urbaine. L’Homme dans son biotope, biotope entièrement manufacturé par ses soins. La ville est-elle un nid pour l’ homme ? N’est elle pas plutôt son exil ? En se recréant lui-même, l’homme ne se serait-il pas, en fin de compte, amputé du monde qui le contenait ? L’idée qu’il se fait de l’environnement, de l’écologie ne trahit-elle pas, en substance son extériorité à celui-ci. Ainsi des philosophes soucieux de se raccommoder avec le monde peuvent écrire ceci : « Il n’y a que nous, enfants de la dépossession finale, exilés de la dernière heure – qui viennent au monde dans des cubes de béton, cueillent des fruits dans les supermarchés et guettent l’écho du monde à la télé pour - avoir un environnement. Ce qui s’est figé en un environnement, c’est un rapport au monde fondé sur la gestion, c’est-à-dire sur l’étrangeté. Un rapport au monde tel que nous ne sommes pas faits aussi bien du bruissement des arbres, des odeurs de friture de l’immeuble, du ruissellement de l’eau, du brouhaha des cours d’école ou de la moiteur des soirs d’été, un rapport au monde tel qu’il y a moi et mon environnement, qui m’entoure sans jamais me constituer. Nous sommes devenus voisins dans une réunion de copropriété planétaire. » En se débarrassant des dieux, l’humanisme en a créé un nouveau, l’Homme. Plus redoutable encore, plus difficile à contester car en apparence beaucoup plus palpable. Mais l’Homme n’est rien de si évident. Il est tout au plus une idée. Et comme toute idée, il est absolument impératif de lui faire son procès. De quelle mythologie relève cette idée de l’Homme ? L’idée de l’Homme est une opération qui consiste à dresser ses contours. L’homme est une grande entreprise d’exclusion. Il se raconte, se comprend, s’explique, strictement exclusivement par contraste de ce qu’il n’est pas. Rien n’est le propre de l’homme. Pas plus la conscience comme l’ont pensé certains que la vie. La définition la plus positive de l’homme est peut-être son explication taxonomique. Qui démontre par la même occasion son absolue relativité. Supprimez l’arbre généalogique et l’Homme n’est plus qu’une feuille morte. Il n’est pas anodin que l’avènement de l’Homme, de l’Humanisme, corresponde exactement à celui des colonies. A sa naissance, l’humanisme c’est ça : L’anti-corps de l’homme blanc, défense immunitaire visant à détruire tous les corps qui lui sont étrangers. En l’occurrence, indiens et africains. L’homme c’est bien cela. Sa définition est : l’Homme n’est pas ce qu’il ce qu’il n’est pas. Homo signifie même. L’homme c’est en substance le semblable, le même. Mais alors, l’oiseau est un homme pour l’oiseau ! Peut-être bien. Mais il n’y a que l’homme, celui-là même, pour définir ce qui lui est semblable. C’est à dire ce qui lui est étranger. L’Homme, homo, le même. L’Homme en tant qu’il n’est pas ce qu’il n’est pas. C’est ce qu’on appelle une tautologie, un énoncé qui se présuppose lui-même. En somme, rien du tout. Et pourquoi faire le procès de l’humanisme ? Car nous sommes dans un atelier d’anthropologie, qui entend donc, engager l’Homme en tant qu’objet de son travail
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d’architecture. Qui prend aussi pour objet la ville, à savoir le grand triomphe de l’Homme sur son monde. Et il nous est nécessaire à nous de savoir de quel Homme nous parlons. De quel sol nous parlons. Un sol pour qui ? Pour les hommes ? Les Hommes qui sont biens conformes à ce qu’est un Homme ? L’Homme en tant qu’il est Homme ne nous convient pas ni ne nous intéresse. Il ne sera pas notre objet d’étude. Nous opposerons à l’humanisme, à titre d’expérimentation, le Vitalisme. Dans une conception vitaliste l’homme ne serait ni plus ni moins qu’un lot d’expériences particulières au sein d’une multiplicité de formes de vies. Un ensemble de qualités de liens et d’intensités affectives déployées spatialement. Il n’y aurait pas d’hommes donc il y aurait de l’homme. La question du nid fait alors surface comme manifestation architecturale d’une telle forme de vie. Il y a de l’homme dans le nid L’Homme, qui n’en est pas un, trouva son frère dans l’oiseau. C’est un habitant de teepeeland qui s’interroge : Mais quelle est donc cette forme de vie ? C’est un zoziopithèque ? que je vois s’expliquer avec l’espace de manière si semblable à la mienne. Il me semble que j’ai plus en commun avec lui qu’avec n’importe quel bureaucrate de la MediaSpree ? Ci-gît la taxonomie se dit-il. Toutes mes condoléances pense-t-il. C’est qu’il voit loin en l’oiseau. Mais contrairement à lui, l’oiseau ne crée pas scandale lorsqu’il niche chez les autres. C’est qu’il n’est pas chez lui mais chez les hommes qui ne l’ont pas reconnu comme l’un des siens et c’est bien là sa grande liberté. L’homme est sa propre prison, son même-infernal. Mais l’homme, dans son indéfectible primitivité ne peut que reconnaître dans le nid une vérité, une éthique, qui même dans l’espace urbain précède et triomphe de toute espèce de règle ou de code abstrait, trop humains pour l’oiseau, trop humanIste pour que nous puissions, sans nous rendre totalement ridicule, lui imposer un bail, ou une concertation préalable d’occupation. Et lorsque l’homme identifie une éthique, c’est justement qu’il se voit lui. Qu’il se voit En l’oiseau. Ici, il fait commun avec l’oiseau, et le voilà tout autre chose qu’un homme. La vérité éthique du nid dans sa fragilité nue, nous ramène à ce dont nous croyons nous être émancipés, ce dont nous nous sommes en fait amputé. Et c’est le fantôme macabre de cette amputation qui nous hante lorsque nous ne pouvons nous résigner à couper l’arbre sur le-quel une famille d’oiseau a élu domicile. C’est dans les marges statutaires de l’espace urbain disséqué que prend place le nid. Espace disséqué par l’homme, c’est à dire, dissection de l’homme par son espace. Dissection de sa vie, dans les espaces organisés de l’administration métropolitaine. Il y a, là où on dort, là où on joue, là où on travaille, là où on dort, là où on drague, là ou on boit, là où on bouquine. Mais que reste-il d’un corps une fois disséqué ? Une fois ses organes éparpillés ? Organes, flux, remembrement, ré-articulation autant de terminologies de l’urbanisme hygiéniste, terminologies de la dissection. Car en voulant désinfecter la ville c’est la vie elle-même que l’ hygiénisme a traité en infection. Mais l’oiseau lui, s’en trouve bien moins mutilé que nous. La ville n’est pas une cage à oiseau. Et la pratique décomplexée qu’il en a pourrait, au prix d’un abandon de l’homme, préfigurer Notre salut.
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2016 Master 2 Jean-Marc Sterno Guy Adant PFE
NID L’atelier « Architecture & Anthropologie » proposait aux étudiants de déterminer le rôle de l’architecte dans la société d’aujourd’hui et de demain, de prendre position et attitude pour élaborer une stratégie la plus cohérente possible par rapport à la question donnée. Ici le thème était «un sol pour tous» Il était pour l’atelier primordial de construire cette pensée avant d’aborder une réponse. Prendre le temps pour asseoir une stratégie, un processus de pensée permettant d’abord d’écrire le parti-pris du projet pour ensuite, voire même enfin, le matérialiser via les moyens de représentation que sont les outils de l’architecte. La démarche de l’atelier suppose un positionnement de chaque étudiant en tant qu’acteur/architecte de la société contemporaine, en permettant de les sensibiliser aux domaines culturel, sociétal, économique, politique auxquels appartient l’architecture, de stimuler, de regarder, de modifier le regard, de comprendre le lieu, de le désamorcer, de le parcourir, de l’appréhender, de l’arpenter, de l’explorer, de l’imaginer, pour finalement le perturber... Ici notre action pirate dans le centre de Bruxelles, une cabane, un refuge, bref un nid.
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2016 Master 2 Jean-Marc Sterno Guy Adant Mémoire de fin d’étude
INTERSTICE Si le lieu interstitiel peut être défini au travers d’une large échelle comme composant d’un espace perçu et d’un espace vécu, il se doit également d’être compris à travers une échelle plus resserrée. En effet, l’interstice représente un espace d’entre-deux, un espace de taille précise compris sur le territoire de la ville. Le lieu anthropologique précédemment énoncé et analysé, s’oppose dans la vision de Marc Augé aux « non-lieux », néologisme visant à définir des lieux dans lesquels les individus restent anonymes. L’analyse de ces non-lieux en opposition aux lieux permet donc de comprendre la nature de l’interstice en tant que lieu propice aux appropriations. L’interstice est un lieu aux marges de la ville, un lieu ouvert et propice à l’action collective de par sa dimension anthropologique et sociale. L’investissement de l’interstice le définit selon Constantin Petcou et Doina Petrescu comme un lieu « alterotopique », un lieu « de désapprentissage des usages assujettis au capitalisme et de réapprentissage d’usages singularisés, en produisant une subjectivité collective et spatiale propre aux sujets investis […] d’espaces construits et partagés « avec les autres », avec ceux qui diffèrent de nous et qui nous importent ». L’interstice comme espace d’entre-deux, comme espace délaissé entre deux bâtiments, comme creux entre deux pleins concentre donc une énergie considérable qui représente la figure de l’espace partagé avec autrui : c’est « l’alterotopie ». Que ce soit dans le centre-ville histoirique, ou dans des quartiers plus en périphérie, Berlin présente bien un nombre démesuré d’interstices urbains, d’espaces d’entre-deux, de terrains encore à l’abandon. Nombre d’entre eux sont réinvestis pour divers usages, programmes, communautés. Il semblerait que les berlinois sachent s’approrier l’espace qui leur est offert, le tout dans une recherche d’interaction, de partage, de rassemblement. Ce sont ces phénomènes précis que j’ai donc décidé d’étudier, en passant par l’analyse de leurs historiques, leurs cultures, leurs aspects sociaux. Vacillant entre explorations urbaines, expositions organisés et institutionnalisées, et nombreuses librairies consacrant des rayons entiers à ce sujet qui se développe de manière exponentielle à Berlin. Un terme très précis de la langue m’est alors apparu, celui de Zwischennutzung.
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Florian Bour / Mémoire de fin d’étude
INTERSTICE URBAIN DANS LA VILLE DE BERLIN
Professeur Jean-Marc Sterno et Guy Adant
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2016 Master 2 Pierre Blondel Irene Lund Jean-Marc Simon Option logement
HYBRIDE La rétrospective de la Spielbudenplatz à Hambourg (quartier St. Pauli) nous révèle qu’elle agit depuis plus de deux siècles comme un espace de représentation à travers des kiosques, théâtres, vitrines de cabarets, lieux de rencontres. Il semblait alors important de préserver ces interactions entre la place publique et l’espace bâti. La plate-forme publique proposée avec diverses activités (terrain de sport, aire de jeux, zones d’arrêts, ...) contribuait à ce dialogue avec la Spielbudenplatz. On retrouve une unité de façade dialoguant avec une zone du quartier plus résidentielle et calme. L’hybridation se situe entre la barre et la tour. L’imbrication des deux formes urbaines génère un nœud, une charnière d’activités publiques et collectives qui fait la jonction entre deux manières d’habiter : horizontalement et verticalement. La structure du plan, outre le nœud tour/barre vu comme un générateur de rencontres, offre une ouverture totale vers l’intérieur de l’ilot semi-public: à travers des coursives, des balcons, des entrées. Une inversion du processus d’approche et d’entrée par rapport à un îlot traditionnel, permet cette stratégie d’accès par l’intérieur. A travers ces façades sur différents plans verticaux, la place engendrée par le toit de la barre permet une promenade en couronne afin de se rendre aux serres au sud, à la plate forme publique au nord ou au nœud collectif de la tour. Il s’agit de proposer sur un terrain de 6500 mètres carrés, un projet d’une envergure de 17 000 mètres carrés. Le programme demandé est vaste et varié, mais le noyau dur du projet repose surtout sur des logements avec des typologies différentes. La forme hybride de H en élévation me permettait de répondre à la demande. Cette forme génère une place publique sous la barre horizontale, tout en proposant un toit terrasse cette fois réservé aux habitants. Les deux tours, quant à elles, me permettent d’agencer des typologies de logements variées pour atteindre une certaine mixité de voisinage.
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Rome, 06.06.2017 Dear Sir/Madam, I’m very pleased to present Florian Bour one of the best collaborators we hosted in our office. He is a determined person, curious and patient at the same time, who gave us the chance to appreciate his value and his potential since he started collaborating with us. Florian Bour led and internship period of six months at our agency. During this period of collaboration I got to know and appreciate its qualities both professional and human. Florian has been an expert collaborator, able to fit very quickly into the dynamics of our office, contributing significantly to the development of projects, from the initial stage till its final representation and communication. I got to check out his skills in both competition projects and concrete assignments, in respect of whom he always showed a very good knowledge of the main software, high-speed learning abilities and above all the fundamental tenacity that each project needs in order to obtain best results. In summary, Florian can be considered strength for the organization of an Architectural Office, in terms of participation, productivity, professional quality, accuracy and constancy. For further information please don’t hesitate to contact me. Best regards
Arch. Jacopo Costanzo
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merci bourflorian@gmail.com
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